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Samuel présente

 

Tome 1

 

La manne spirituelle des derniers marcheurs                adventistes

 

en chemin vers la Canaan céleste.

Arrivée, le Mercredi 20 Mars 2030.

 

 

« Quel est donc le serviteur fidèle et prudent, que son maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ?

Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi !

Je vous le dis en vérité, il l'établira sur tous ses biens. »

Matthieu 24 : 45 à 47

 

Index des thèmes traités en fin d’ouvrage

La manne spirituelle des derniers marcheurs adventistes

 

 

Prolongation des révélations divines reçues depuis le 07/03/2020

Les nouveaux messages inspirés continuellement par Dieu

 

Messages de l’auteur

 

Selon qu’il est écrit dans Apo.2:26 : « A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations. », Jésus-Christ fait partager à son serviteur, son prophète, la connaissance de son jugement sur toutes choses, telles que les sujets, religieux, politiques et économiques. Car il fait accomplir ses projets en agissant dans tous ces domaines qui régissent l’humanité.

Parmi les œuvres de Jésus-Christ, se trouve l’inspiration constante de sa lumière, aussi importante pour la vie spirituelle de ses élus, que le fut la manne donnée chaque jour aux Hébreux rassemblés par Dieu au désert du Sinaï.

Ceux qui la cherchent trouveront dans les articles écrits dans cet ouvrage, la garantie d’une pensée divine authentique, qui m’engage en tant que témoin, et qui les responsabilise devant Dieu et son saint suprême jugement. Car le refus de sa lumière est cause d’une rupture de relation entre lui et sa créature.

L’inspiration révélée dans ces lignes n’est que l’accomplissement de la promesse faite par Jésus à ses serviteurs, dans Mat.28:18 à 20 où, pour soustraire ses interlocuteurs au doute, il est écrit : « Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi: Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde.»

 

 

Après avoir présenté dans « Explique- moi Daniel et Apocalypse » l’étude détaillée, verset après verset, de ces prophéties divines, je présente dans cet ouvrage, selon l’inspiration divine du moment, des analyses de synthèse sur des thèmes traités dans ces prophéties, mais aussi sur l’actualité du moment. Ce regard englobant est riche et il favorise la maîtrise de la compréhension offerte par Dieu au nom de Jésus-Christ. Ces témoignages nouveaux ont pour lui autant de valeur que les premiers et pour ses élus, ils rendent clair et compréhensible ce qui était crypté et impénétrable.

J’ajoute que dans les temps difficiles que nous allons devoir traverser, la connaissance de ces articles fera toute la différence pour obtenir ou pas, du Christ, son indispensable aide et son soutien divin pour vaincre comme il a vaincu. Car ses élus sont invités à « garder ses œuvres jusqu’à la fin » du monde, dans « la patience et la persévérance » qui caractérisent les vrais « saints » de Dieu.

Note : les traductions en langues étrangères étant réalisées à partir de logiciels de traduction automatique, l’auteur n’engage sa responsabilité que pour les textes en français, langue de la version originale des documents.

 

 

2020 – Début des malheurs

 

En dehors du comportement idéal qu’il approuve et bénit, Dieu supporte pour un temps ce qu’il désapprouve ; mais, uniquement, pour un temps assez court. Depuis 2020, nous avons l’avantage de le voir répondre immédiatement aux outrages qu’il subit dans l’Occident chrétien principalement.

En application de ce verset cité dans Rom.2:9 : « Tribulation et angoisse sur toute âme d'homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec! » le grand Dieu créateur, notre grand Juge a fait de l’année 2020, depuis l’équinoxe du printemps 2020 à l’équinoxe du printemps 2021, selon son ordre, une année marquée par une malédiction sans pareille dans l’histoire humaine depuis la sortie d’Egypte. Et en suivant l’ordre indiqué dans le verset, Israël fut le premier pays qui a adopté, en face de la « pandémie » supposée attribuée au virus Covid-19 apparu en Chine, et cause de l’ampleur de cette malédiction, la funeste décision de « confiner » tout le pays, bloquant ainsi tout l’appareil économique. En recopiant ce modèle, à leur tour, l’Italie (premier pays occidental touché) et les autres peuples chrétiens occidentaux ont adopté cette même mesure avec les mêmes conséquences économiques désastreuses depuis le printemps 2020. L’effondrement du monde occidental est égal à celui que provoque une guerre mondiale.

La cause de cette malédiction divine remonte aux origines de la création terrestre et aux derniers outrages, comme le mariage unisexe, les nouvelles « théories du genre » multi sexe et le soutien donné à l’islam. Par cette réaction, le Dieu créateur d’Adam et Eve et de leurs descendants vient de confirmer le message donné dans Gen.3:22 : « YaHWéH Dieu dit : Voici, l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement ». Je précise déjà que ce « l’un de nous » désigne Satan, le diable.

Explication : Depuis plusieurs décennies, une partie des énormes profits récoltés par le géant financier américain, « Google », est réinvesti dans la recherche scientifique et l’un de ses buts à atteindre est rien moins que rendre l’homme « immortel ». Avec l’apparition des virus contagieux mortels, le Tout-Puissant signale aux scientistes terriens qu’il ne leur permet pas d’obtenir ce résultat ; la mort restera son arme divine et elle atteindra tous les rebelles coupables. Les énormes progrès scientifiques dus au développement de l’électronique et de l’informatique ont considérablement transformé les esprits humains et surtout chez les jeunes gens élevés en Occident sans la religion. En vérité, l’humanité ne fait que s’adapter au programme que Dieu a conçu pour elle. En donnant la domination aux Etats-Unis américains dans la Seconde Guerre Mondiale, Dieu a préparé le déclin européen. Par son réseau « internet », l’Amérique a rendu les habitants de toute la terre dépendants de sa technologie. La cupidité capitaliste a fait sacrifier les productions locales au profit des productions délocalisées vers l’Asie et particulièrement, en dernière, la Chine. Il fallait l’action des virus pour que les nations occidentales réalisent leur dépendance des producteurs asiatiques et leur état de ruine. La prochaine étape sera leur destruction par la guerre. Les dirigeants des nations sont en Occident assez jeunes et comme les jeunes de notre époque, ils ne s’appuient que sur la science qui a su résoudre, jusqu’en 2020, tous les problèmes. On peut comprendre alors le désarroi de cette jeunesse qui découvre que la science n’a pas de réponse pour guérir les victimes du Covid-19. Cette situation nouvelle angoissante les a conduits à « confiner », « déconfiner » et « reconfiner » leurs populations, ne se doutant pas que le remède serait à terme pire que le mal, par ailleurs, amplement amplifié dans leur jugement. Mais agissant ainsi, ils n’ont fait qu’accomplir le plan de Dieu qui a résolu leur destruction.

 

En cours d’année, le vendredi 16 Octobre à 17 heures au début du sabbat, le professeur d’Histoire Samuel Paty est décapité par un immigré tchétchène suite à l’affichage, en cours scolaire, des caricatures moqueuses et scabreuses du prophète Mahomet publiées par le journal satyrique « Charlie Hebdo ».

 

Les 6, 7 et 8 Mars 2021, le pape François se rend en Irak pour soutenir les « chrétiens » orientaux persécutés. Se rendant à Mossoul, l’ex-capitale dévastée du Califat islamique, il nomme « frères » les musulmans qu’il rencontre ; ce faisant, il irrite Jésus-Christ qui va utiliser l’islam guerrier de ses « frères » pour le châtier. Selon Dieu, « l’amour fraternel » est un fruit de son Esprit Saint qui s’active uniquement en faveur de ses élus fidèles ; et surtout pas pour les peuples qui nient et présentent, comme un mensonge chrétien, la mort expiatoire de Jésus-Christ, base de l’Evangile (la Bonne Nouvelle) du salut. A relever que dans les mêmes jours, des affrontements violents entre jeunes d’origine immigrée et la police française ont eu lieu dans plusieurs villes, confirmant ainsi, l’incompatibilité de la religion musulmane avec le régime laïque républicain français.

 

Le mercredi 19 Mai 2021

 

35000 policiers se sont rassemblés pour manifester contre le laxisme de la Justice près de l’Assemblée. Ils sont victimes d’attaques des jeunes délinquants trafiquants de drogue qui sont aussi des islamistes qui n’hésitent plus à tirer sur eux. Les policiers comptent leurs morts et leurs blessés. La violence est de moins en moins contrôlable. La cause est l’incapacité de la République à empêcher l’immoralité des êtres humains. La corruption apparaît dans tous les corps de métiers et tous les domaines religieux, économiques, judiciaires et politiques. Et l’explication repose sur le fait que la République donne des postes en se basant uniquement sur les diplômes obtenus. La moralité des gens n’est jamais prise en compte et on découvre après coup que les candidats à la présidence sont des menteurs et des voleurs. Coupée de Dieu, elle est incapable de répondre à ses problèmes et sa justice uniquement basée sur la lettre de ses lois produit l’injustice que seule la moralité pourrait empêcher. Dans la République, comme dans la Bible, « la lettre tue, mais l’esprit vivifie ». Comme à son commencement, la République coupée de Dieu ne peut qu’avoir pour fruit, la violence, la destruction et la mort. Concernant la justice des hommes, Jésus-Christ n’a su présenter en parabole que le type du juge inique ; la réalité de 2021 accomplit parfaitement sa vision et son Jugement des choses.

 

 

L’actualité en date du 25 Septembre 2021

 

 

L’homme spirituel juge de tout

 

Le verset complet d’1 Cor.2:15 dit : « L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne. »

Je veux être honnête et reconnaître que ce verset cible essentiellement les sujets religieux, mais celui qui bénéficie de la sagesse divine pour juger les choses spirituelles peut mieux que tout autre, juger également les choses de ce monde. L’apôtre Paul l’entendait ainsi, en disant dans 1 Cor.6:3 : « Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges ? Et nous ne jugerions pas, à plus forte raison, les choses de cette vie ? »

Je vais donc présenter le regard spirituel éclairé de mon jugement sur les choix politiques et économiques de notre société française car c’est celle que je connais le mieux, étant né sur la fin de la seconde guerre mondiale et ayant grandi dans ce pays de France. Les premières images reçues étaient celles d’un quartier détruit par les bombardements. Sous la quatrième république, le pays s’est reconstruit et il a retrouvé une bonne prospérité. Puis est venu le temps des décolonisations et la quatrième république s’est brisée à cause de la guerre d’Algérie, au point qu’en 1958, cette république a été remplacée par la cinquième proposée par le général de Gaulle. Sur le plan démocratique, la quatrième, basée sur la majorité et la représentation proportionnelle des députés, empêchait l’adoption par le vote des mesures excessives. C’était un garde-fou très utile. Pour être adopté, le projet devait faire consensus et être soutenu par le parti du gouvernement et une partie, au moins, de ceux de l’opposition. Le principe était vraiment digne d’une démocratie et bénéfique pour le peuple français. Mais l’heure étant venue pour Dieu de préparer la punition du régime républicain français, il livra la France au régime semi monarchique de la 5ème République qui ne posa pas de problème sous la gouvernance du Général de Gaulle. L’homme était droit, honnête, mais aussi, rusé et âgé de 68 ans quand il prit la présidence du pays. Il réussit donc à faire accepter comme démocratie, son régime dictatorial déguisé et masqué derrière une organisation officiellement démocrate. Le peuple allait pouvoir changer son « roi » tous les sept ans. De plus, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, époque où je suis né, la France était placée sous la pression des deux influences politiques extrêmes opposées : le capitalisme américain et le communisme soviétique russe, à l’image de sa position géographique qui la place entre l’Amérique et la Russie. Le général de Gaulle usa de ses pouvoirs pour donner à la France une indépendance face aux pressions des deux blocs adversaires. Mais après son retrait et sa mort, ses successeurs ont replacé la France sous l’influence séduisante de la riche Amérique. Son esprit libéral prenant une forme religieuse de libéralisme a conquis les élites des héritiers politiques du général de Gaulle. Le libéralisme est en effet la forme doctrinale de la pratique de la liberté. Mais Dieu nous a appris que la vraie liberté ne se trouve qu’en lui, dans l’obéissance à ses lois, aussi tout autre désir de liberté ne vise en réalité qu’à obtenir de manière égocentrique soit, égoïste, le droit de faire ce que l’on veut. Dès lors, de génération en génération, et de présidence en présidence, le fruit de la cupidité devait conduire les dirigeants à faire toutes les erreurs préjudiciables au peuple français tout entier. Au nombre de ces erreurs, je relève en premier, celle de permettre à ses ennemis musulmans de s’installer sur son territoire, sur le sol de sa métropole. Cette erreur est directement due au mépris religieux de ses élites. Eclairées par Dieu, elles auraient compris l’impossibilité de faire cohabiter et « vivre ensemble » les religions chrétiennes avec l’islam. Mais l’installation de l’islam avait pour but de préparer l’affrontement religieux final, qui ouvrira la voie à la Troisième Guerre Mondiale, cette fois nucléaire. La longue expérience de la France rejetée successivement par toutes ses colonies du Maghreb aurait dû servir de leçon, mais comme des aveugles, des sourds et des insensés, les leçons vécues furent ignorées. Dans une démarche quasi suicidaire, les autorités françaises se sont interdit le droit de procéder à des sondages, des tests au sujet des proportions réelles de l’immigration étrangère particulièrement dans un premier temps, musulmane. Cependant, la vérité apparaît puisque la France se compose officiellement de 63 millions d’habitants mais curieusement ses services de santé comptent 75 millions de personnes prises en charge. Les 12 millions exédentaires ne seraient-ils pas, au moins en partie, des immigrés clandestins accueillis par les immigrés légaux ? En face d’un danger, il devient vital de pouvoir doser son intensité, la survie l’impose. Le risque de la constitution d’une « cinquième colonne » musulmane sur le territoire de la France existe et finira par être payé très cher. La cause de cet aveuglement était la puissance d’égarement dans laquelle, Dieu plonge les peuples et leurs autorités dirigeantes, quand ils méprisent sa vérité, selon qu’il est écrit dans 2 Thes.2:11-12 : « Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés. » Les relations établies par la France avec l’islam furent, dès le commencement, conflictuelles, et c’est uniquement par la force que les pays du Maghreb furent colonisés. La haine et la rancune se trouvent toujours chez la victime, et non chez le conquérant. Et là encore, complètement aveuglés, les Français ne prirent pas conscience du niveau de cette rancœur pourtant bien justifiée. Les Evangiles et les épîtres présentant tous Jésus-Christ comme l’unique sauveur universel qui, volontairement, a donné, sa vie charnelle terrestre en expiation des péchés de ses seuls élus ; l’islam, qui nie cette mort volontaire, ne pouvait, en aucune manière, être compatible avec la foi chrétienne et son Dieu inspirateur. Il n’est pas cet esprit versatile que les fausses religions chrétiennes présentent, mais au contraire, l’unique Dieu créateur qui, selon Mal.3:6, « ne change pas », et propose à l’humanité entière un seul et même projet de salut qui repose, exclusivement, sur la vraie foi chrétienne que Jésus juge et évalue personnellement. Ceci étant bien compris, nous pouvons analyser l’islam comme tout autre pensée idéologique qui répond à ce principe : elle aura toujours envers elle, des partisans, des opposants et des indifférents ou hésitants. Ce mauvais arbre selon Jésus-Christ a deux bras fondamentaux qui sont les partisans actifs et les partisans inactifs. Pour être plus clair encore, disons que l’islam se compose du bras terroriste actif et du bras inactif qui applaudit publiquement, ou de manière cachée, les victoires obtenues par le bras actif. La chose a été prouvée puisque lors de la destruction des tours jumelles américaines à New-York le 11 septembre 2001, les « youyous » victorieux des femmes musulmanes ont retenti et exprimé leur joie dans les banlieues et ZUP de la France. Ces réactions hostiles n’ont pas été relevées ni sanctionnées par les politiques français et en conséquence, le bras armé musulman s’est fortifié, organisé et il a pris la forme du groupe islamique Daesh. L’indifférence envers la vérité divine et la vérité des faits vécus explique l’agressivité islamique que Dieu a entretenue et réveillée pour accomplir sa mission punitive de l’occident incrédule et rebelle du temps de la fin. La France demeure à titre symbolique la cible de sa colère, car, après la Grèce et Rome, elle est à l’origine de toutes les républiques contemporaines. Et le régime républicain et ses outrances ne doivent leur existence qu’au Dieu Créateur qui les a suscités pour abattre le régime monarchique qu’il a accusé et condamné, à cause de son soutien à la foi catholique papale romaine, depuis le début de son instauration, en 538. Cette accusation est lisible dans Apo.2:20 à 23 où Dieu nomme « grande tribulation » l’action meurtrière de la Révolution Française : « Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu'ils se livrent à l'impudicité et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles.  Je lui ai donné du temps, afin qu'elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu'ils ne se repentent de leurs œuvres. Je ferai mourir de mort ses enfants ; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres.» Dans ce verset, la « femme Jézabel »  désigne l’église papiste dont les persécutions ordonnées par ses juges inquisiteurs conduisent Dieu à la comparer symboliquement à la reine « Jézabel », la femme étrangère épousée par le roi juif « Achab » qui avait déjà fait tuer les prophètes de Dieu au temps du prophète Elie selon 1 Rois 18 et 19. Un autre aspect de leur ressemblance concerne l’accusation des victimes par des faux témoins, car les témoignages des prêtres catholiques, aussi coupés de Dieu que « les prêtres d’Astarté et des Baals de la Jézabel » de l’ancienne alliance, n’avaient aucune valeur pour lui. Les témoignages écrits dans les livres des Rois et des Chroniques ont apporté la preuve de l’incapacité des monarques terrestres à rendre la justice agréée par Dieu. A la fin de chaque règne, l’Esprit ponctue en révélant son jugement en ces termes : « il fit entièrement le mal comme l’avait fait son père avant lui ». Et après ce type de gouvernance, le régime républicain a fait, encore plus, « le mal » ; et ceci pour les raisons suivantes.

Le principe de la démocratie française donne la même valeur à la voix de chacun des citoyens français. Or, la valeur des citoyens n’est pas uniforme, car elle varie entre les deux extrêmes que constituent l’être très intelligent et le parfait insensé. Entre ces deux extrêmes, le peuple entier se compose donc d’êtres intelligents et d’autres qui le sont moins, voire même quasiment stupides. Les êtres intelligents analysent les propositions des candidats qui se présentent pour les élections présidentielles ou législatives. Et dans ce mélange de voix intelligentes et stupides, la moyenne obtenue est obligatoirement au-dessous du niveau intelligent nécessaire et indispensable. La majorité des votants est en réalité incapable d’analyser les propositions et les enjeux des élections. En conséquence, ce droit de vote donné à tous est mortifère et il condamne à plus ou moins long terme le régime à l’échec, la crise, la ruine et le désastre pour tous qui conduit à l’affrontement meurtrier. Quelle chance, ce principe égalitaire a-t-il d’adopter des lois bénéfiques et justes pour tous ? Aucune, car, de plus, le chef élu impose son caractère, sa nature et sa volonté. Si l’homme était parfait, ce serait l’idéal, mais hélas, il est, le plus souvent, égoïste et ambitieux par orgueil, et tous les successeurs du général de Gaulle ont ceci en commun, qu’ils ont tous sacrifié l’intérêt français du long terme au profit du cours terme soit, du temps que dure leur mandat personnel. La chose devient évidente quand on voit comment le président socialiste François Mitterrand a favorisé les importations chinoises et asiatiques pour donner aux Français l’impression d’un pouvoir d’achat, réel dans l’immédiat, mais destructeur d’emploi pour le long terme de l’économie française. De plus, la création de l’Europe unie repose uniquement sur les règles de son commerce. Aveuglés par les valeurs humanistes, les dirigeants ont fait payer par la France et son peuple le prix de cette construction. Ses emplois ont été délocalisés et transportés dans les pays européens de faible niveau de vie, successivement, le Portugal, la Pologne, la Roumanie et la Bulgarie. Si l’Europe s’est retrouvée avec 27 nations, c’est parce que le capitalisme qui l’anime fait entrer, pour les exploiter, des pays toujours plus pauvres. Dans le même temps, la France est devenue entièrement dépendante de la Chine qui a maintenant l’exclusivité de la production des produits de toutes sortes. La ruine a donc de multiples causes, mais, principalement, celle de la malédiction du Dieu vivant venu sur terre en Jésus-Christ.

La démocratie française a ceci de particulier, c’est que sa constitution fait reposer ses votes sur deux tours. Ceci révèle bien le caractère pervers des Français. A l’opposé, le principe divin nous dit dans Mat.5:37 : « que ton oui soit oui et que ton non soit non et tout ce qu’on y rajoute vient du malin ». C’est donc « au malin » que nous devons imputer le second tour qui pervertit le choix électoral. A l’origine sous la 3ème et la 4ème République, le scrutin à un tour permettait de sélectionner le candidat qui arrivait en tête quel qu’était le nombre des voix obtenues. Mais dans la 5ème République, le second tour donne au vote le moyen d’exprimer, en plus du soutien, la détestation et le rejet des candidats nationalistes ; la voix suicidaire qui va tuer la nation est de cette manière imposée. J’ajoute cette question : Comment faire élire la personne intelligente si l’électeur est majoritairement stupide ? Ce jugement est confirmé par Dieu  puisque ses élus forment un « petit troupeau » qui reçoit seul, de sa part, l’intelligence véritable, très différente de l’instruction des gens diplômés. Mais ces choses sont conformes à la volonté de Dieu, pour lequel : le peuple a les dirigeants qu’il mérite.

Les avancés technologiques de l’informatique et l’instauration du système « internet » ont aussi un rôle important dans la transformation des économies occidentales. De nombreux métiers spécialisés sont devenus réalisables par de simples individus, à cause de leurs ordinateurs. Or, l’équilibre économique des peuples repose sur le plein emploi et la satisfaction équilibrée de l’offre et de la demande. En tuant, les uns après les autres, les divers secteurs économiques, les outrances d’internet détruisent les économies des nations par un déséquilibre fatal de l’emploi.

Dans les derniers temps, le rôle amplifié du système « internet » porte la responsabilité de permettre aux intelligents et aux insensés de faire connaître leurs pensées et leurs avis sur plein de sujets. La majorité des humains étant incapable de juger entre le bien et le mal, le positif et le négatif, les pensées du mal sont puissamment divulguées et partagées par des multitudes, et les nations sont ainsi gagnées par le mal, incapables d’empêcher sa diffusion. Les idéologies, toutes utopiques, s’affrontent sur « internet » avant de s’affronter, physiquement, sur le sol de la terre et dans les airs. Il ne faut attendre ou espérer, ni remède, ni solution, pour régler ces problèmes qui viennent au temps choisi par le Dieu vivant pour préparer un grand embrasement qui constituera, selon Apo.9:13, le « sixième » châtiment avertisseur de sa grande colère, avant son retour révélé à ses élus pour le printemps 2030 qui sera l’heure où sonnera, la « septième trompette » d’Apo.11:15. Il reviendra, et mettra fin à l’existence des rebelles et à celle de tous leurs rêves utopiques, sous le nom céleste de Jésus-Christ, Micaël et Tout-Puissant YaHWéH.

 

Savoir écouter pour comprendre

 

En France, l’élection présidentielle se prépare en vue de choisir le chef d’Etat qui sera élu en Avril 2022. Les débats et les échanges des journalistes et des spécialistes politiques permettent de distinguer ceux qui, parmi eux, se remarquent par leur aptitude à écouter. L’expérience est très instructive, car ce même comportement concerne le sujet religieux. Dans la campagne électorale qui s’engage, un homme, un « trublion », polémiste et journaliste politique de droite de longue date, retient l’intérêt des médias à cause du taux de 17 à 18% des estimations que les agences de sondages d’opinion du peuple lui donnent. Cet homme n’est pas déclaré officiellement candidat à la présidence, mais il profite de la sortie de son livre, dans lequel il présente son jugement sur la situation de la France, qu’il juge « cauchemardesque », convaincu qu’une future guerre civile interne sera la conséquence inévitable de l’évolution croissante de la population musulmane installée en France. Cette prise de position est logiquement combattue par tous les gens tournés vers la pensée humaniste et l’esprit universaliste, qui représente la quasi-totalité des journalistes des médias. Les prophéties bibliques de Dan.11:40-45 et Apo.9:13 confirment l’imminence de ce conflit. Je ne peux donc que reconnaître une certaine sagesse et intelligence humaine aux idées répandues par cet homme. Eric Zemmour est ainsi projeté tel un phare dans cette campagne électorale et les avis exposés sur lui et ses paroles sont extrêmement révélateurs. Je relève ceux qui ne tiennent aucun compte de ses explications car ils restent sourds à toutes les précisions qu’il apporte dans le temps à ses déclarations contestées et incomprises. Tels des robots dépourvus de l’intelligence humaine, ils répètent inlassablement des accusations que la justice partisane favorable au camp humaniste avait soutenues et confirmées. Le parti pris se révèle dans tout son sens. Ils restent sur leur position et n’entendent plus la voix de la raison. Ce comportement se retrouve chez la majorité des journalistes qui animent les médias publics et privés. Certains qui aiment « les fables agréables » (2 Tim.4:3-4), même si la conséquence de la tromperie est mortelle, lui reprochent de ne pas présenter, ni ses solutions, ni un message optimiste et entraînant pour rallier derrière lui un soutien populaire. Mais, heureusement, certains autres, peu nombreux, se distinguent en montrant qu’ils sont capables d’analyser correctement et honnêtement les déclarations du polémiste.

Les humains se comportent de la même manière dans le domaine civil et dans le domaine religieux, c’est pourquoi leur comportement dans un choix électoral civil révèle ce qu’ils sont véritablement. Et je relève que dans son discours, Eric Zemmour dénonce le renoncement des gouvernants français au modèle de l’assimilation de l’étranger accueilli par la France. Finement, il relève, dans le choix de conserver ou d’abandonner un prénom étranger, un signe qui révèle la fausse adhésion au peuple français ou la vraie. Ce reproche est d’autant plus justifié qu’en premier, cette faute s’est appliquée dans le domaine religieux. Car ce que les religions apostâtes n’ont pas compris, c’est que Jésus-Christ « assimile » dans son modèle et ses normes tous ceux qu’il sauve et va réellement sauver. Quand il appelle et engage ses apôtres, il commence par changer leur nom et les instruit ensuite : Simon devient Pierre ; Saul devient Paul, mais ce changement de nom peut révéler la nécessité d’un grand changement nécessaire car le premier Simon, sera converti après avoir renié Jésus trois fois. Et pour le second, Saul, c’était le zélé meneur des persécuteurs des premiers Chrétiens. Au contraire des autres, Jean ne change pas de nom, ce qui révèle une nature réellement né de Dieu dès sa naissance comme le dit son nom : Dieu a donné. Pour Dieu et ses élus intelligents, l’assimiliation est la norme nécessaire et conforme à l’idée du baptême, duquel le baptisé ressort en homme nouveau, qui ne s’appartient plus à lui-même, car il appartient désormais au Christ qui l’a racheté. La fausse religion a fait du christianisme une simple étiquette collée sur le front du faux baptisé qui, logiquement, esclave du diable, va continuer à le servir, dans une trompeuse espérance du salut chrétien. Il en est de même pour le modèle de l’assimilation des immigrés étrangers qui a été abandonné et l’immigré cohabite avec le Français de souche mais ne veut pas s’assimiler avec lui car il tient à conserver tout son héritage originel. C’est ainsi que comme dans le domaine religieux, dans le domaine civil, le bon grain cohabite aussi avec l’ivraie, et cette cohabitation crée des problèmes d’agressions et de refus de soumission aux autorités nationales ; ce comportement belliqueux n’est que le prélude d’affrontements beaucoup plus graves. Pour Dieu, depuis Clovis, le premier roi des Francs, le modèle France constitue la société du péché dont il dénonce les comportements civils et religieux. Jusqu’à sa destruction prochaine, la France aura tenu ce rôle révélateur pour lui. C’est pourquoi, les reproches présentés par Eric Zemmour doivent être écoutés et entendus, comme il en est de la parole prophétique selon Apo.1:3 : « Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche ». Ce verset montre le lien entre les étapes successives qui conduisent l’âme vers la pratique bénie par Dieu. Tout commence par la lecture « heureux celui qui lit » soit, la compréhension par un individu. La seconde étape est celle de la transmission : « ceux qui entendent » soit, la multitude de ceux qui comprennent le message transmis. Et la troisième, « et qui gardent » désigne la possibilité de mettre en pratique concrète la norme du message transmis.

Relève donc son avantage, car l’homme spirituel retire des messages spirituels même dans une situation électorale civile. Car la vie est un tout qui comprend le civil et le religieux et par son comportement, l’homme reproduit sa nature profonde dans les deux domaines de la même manière.

Depuis sa résurrection, Jésus-Christ sélectionne ses élus que l’on peut comparer à des multitudes d’êtres humains qui se préparent en vue d’émmigrer dans un pays étranger qui est le royaume des cieux. Or, le Maître et Roi de ce pays exige une tenue vestimentaire qu’il y a rendue obligatoire ; il la nomme : « l’habit de noce ». Sous cette expression, Dieu résume la norme de son caractère révélé en Jésus-Christ et avant-lui, celle qui a été révélée par ses œuvres accomplies depuis la création du monde terrestre. Car le Dieu Justice et Amour s’est présenté avant le Dieu Amour et Justice. Les faux Chrétiens ne voient Dieu que sous l’aspect amour en raison de la faiblesse portée par Jésus-Christ dans la chair humaine. Ils n’ont pas compris que pendant son passage sur la terre, le puissant Micaël avait renoncé, volontairement, à ne pas faire usage de sa toute-puissance divine. Pourtant, à tout moment, Jésus aurait pu reprendre son apparence divine, telle qu’elle était, glorieuse et terrible, épouvantant les Hébreux depuis le sommet du mont Sinaï, transformé en fournaise ardente et fumante.

Je loue et remercie le Seigneur Jésus-Christ qui me permet de relever des leçons divines dans ce contexte électoral car l’assimiliation est à la base de l’enseignement biblique puisqu’elle est exprimée dès la Genèse quand Dieu dit à l’homme dans Gen.2:24 : « C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. » Pour réussir sa nouvelle union avec sa femme, l’homme doit renoncer à son statut de fils pour devenir le mari de sa femme ; et parallèlement, ses parents doivent accepter de perdre leur statut privilégié de parents, afin de favoriser la transformation et l’adaptation de leur fils à sa nouvelle situation. Né dans une ambiance païenne à Ur en Chaldée, Abram fut invité à quitter la maison de son père terrestre pour s’assimiler à la norme de vie céleste qu’il allait recevoir de Dieu. Tu peux ainsi comprendre que Dieu s’intéresse à tous les domaines de l’existence humaine. Ce n’est pas lui, mais l’humanité athée, qui a choisi de séparer les sujets civils des sujets religieux. Car Dieu est le propriétaire de l’un et de l’autre, étant leur Créateur. Et à ce titre, il juge divinement l’un et l’autre. Il n’y a donc aucune raison de juger différemment les comportements civils et les comportements religieux. Et la nécessité de l’assimilation apparaît dans ce principe révélé par Jésus-Christ : « Nul ne peut servir (je précise : correctement, au point de les satisfaire) deux maîtres » ; deux femmes, deux nationalités, deux appartenances religieuses ou politiques opposées.

Appliquons maintenant ces leçons pour les comportements civils.

Il ne s’agit pas encore, d’approuver ou de réprouver les propos tenus par Eric Zemmour, mais déjà chose indispensable, de bien comprendre ce que l’homme, l’autre que nous-mêmes, veut nous dire. Ceux qui comprennent peuvent alors se positionner pour ou contre, mais là encore l’homme intelligent doit établir la différence entre l’explication possible et ce que celui qui écoute, souhaite. La vie ne donne pas aux hommes ce qu’ils souhaitent mais la guerre mondiale, non souhaitée, n’en sera pas moins inévitable, parce que Dieu l’a programmée pour s’accomplir avant 2030.

Dans son discours, Eric Zemmour dénonce le danger de l’islam et il a raison, car cette religion est apparue à la fin du 6ème siècle uniquement pour châtier les péchés de la fausse religion chrétienne catholique papale instaurée, pour sa part, en 538 de ce même 6ème siècle. Les musulmans pacifiques défendent l’idée que l’islam est une religion d’amour ; ce que les actions guerrières conduites par son fondateur Mahomet contredit. La seule religion qui repose sur l’amour est celle qui a pour fondement, Jésus-Christ, qui, par amour pour ses élus, a livré sa vie et fait verser son sang, en ayant précisé dans Jean 10:17-18 : « Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père.» Sa résurrection, rendue visible après le troisième jour, en a donné la preuve. La foi chrétienne a, seule, du sens, car elle accomplit un projet divin prophétisé dans la sainte Bible par laquelle le vrai et unique Dieu créateur s’est fait connaître aux êtres humains, par les écrits de Moïse, l’Hébreu père du peuple Juif, 3500 ans avant notre époque.

Les humanistes ne comprennent pas pourquoi Eric Zemmour dénonce le danger de l’islam, parce qu’ils ne voient l’islam que par l’aspect pacifique que la majorité des musulmans français affichent. Le comportement des musulmans est identique à celui des chrétiens occidentaux. De plus, en France, l’incrédulité est devenue majoritaire et la fausse foi du reste forme avec les musulmans pacifiques une écrasante pensée humaniste qui ne veut que vivre en paix, les uns à côté des autres. Hélas pour eux, le Dieu créateur est bien vivant et actif dans sa toute-puissance, et son projet envers ceux qui l’ignorent ou le méprisent s’impose sur tous d’une manière inévitable. Depuis peu, afin de distinguer entre pacifique et guerrier, les humanistes appellent l’islam guerrier « islamisme ». Je vais donc ajouter aux affirmations fermes et convaincues présentées par Eric Zemmour un argument qui fait de l’islam pacifique un danger pour les Français. La présence des musulmans pacifiques en France rend l’intervention des « islamistes » nécessaires puisqu’ils doivent venir « redresser » le comportement infidèle de leurs coreligionnaires musulmans. Pour un « islamiste », le musulman pacifique est le premier qui doit être reconverti. Quant aux incrédules, ils les tiennent pour des « chiens » et les traitent comme tels. Ainsi, où que se trouve un musulman, l’islamiste doit s’y rendre et agir pour convertir l’infidèle. La chose ne plait pas aux humanistes mais ceux qu’ils appellent « islamistes » sont, en réalité, les serviteurs intègres et obéissants, puisqu’ils ne veulent qu’obéir aux directives guerrières enseignées et pratiquées par Mahomet. Le problème est donc bien l’existence du Coran et son enseignement agressif. Si des musulmans condamnent la violence et l’intolérance religieuse qu’ils témoignent alors contre le Coran qui encourage et ordonne ces choses. Qu’ils condamnent aussi l’interdiction de changer de religion que l’islam défend au sein même d’une pays libre dont les devises sont « liberté, égalité, fraternité » ; une belle devise qui ne reste dans les faits qu’une belle devise utopique. Ces contradictions multiples sont à la base de l’échec de l’assimiliation de la religion du Coran et des affrontements qui ne peuvent que croître. Et l’agression ne se présente qu’avec l’accord et la volonté du Dieu créateur qui la revendique ouvertement en inspirant ces paroles citées dans Amos 3:6 : « Sonne-t-on de la trompette dans une ville, sans que le peuple soit dans l'épouvante ? Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ? » Le jugement spirituel me permet de relever des situations semblables dans le déroulement de l’histoire révélée dans la Bible. Ce que la France, l’Europe et le monde entier, s’apprêtent à vivre, n’est que l’ultime application des actions punitives organisées par le Dieu créateur, le grand Juge de l’humanité et des anges célestes. Après le déluge, venu en 1656 après le péché d’Adam et Eve, Dieu a frappé l’Egypte pour libérer et former la nation d’Israël. Entre – 605 et – 586, il a fait appel au peuple des Chaldéens pour punir l’infidélité d’Israël. Ensuite, en l’an 70 de notre ère, il a appelé les Romains pour punir et détruire la nation Israël à cause de son rejet du Messie Jésus. En notre époque, après l’Allemagne Nazie et les actions meurtrières de son furieux « fuhrer », Adolf Hitler ; à son tour, l’islamisme devient le fouet et le sabre de la punition, expression de la fureur divine. L’islam n’est pas la religion du salut mais celle de la punition ; le sabre apparaît sur ses drapeaux. Le salut est rattaché de manière exclusive au Christ Jésus et à son ministère expiatoire terrestre, et c’est lui qui, se voyant trahi et méprisé, envoie contre l’occident la fureur fanatique religieuse islamique et après elle, la fureur vengeresse, rancunière, et opportuniste, russe. Car au cours de son histoire et jusque dans le temps récent, les dirigeants de la France et leurs alliés européens ont fait des choix vexants envers des ennemis potentiels puissants et surarmés.

Revenant à l’actualité électorale, je ne sais pas si Eric Zemmour s’engagera finalement pour la présidentielle. Mais son rôle est déjà, pour Dieu, celui d’un lanceur d’alerte, car l’humanité menacée de mort devait être prévenue ; l’intelligence individuelle de chacun est invitée à produire son fruit d’intelligence. Et ces paroles citées dans Dan.12:10, trouvent alors tout leur sens : « Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront ».

L’élection ou pas du polémiste n’est plus le sujet car désormais les jeux sont faits. Comprends par là que la situation établie est irréversible, le mal redouté étant déjà fait. Quel est ce mal ? C’est l’impossibilité de former en France une majorité soucieuse de la défendre. Car au cours des 40 années d’aveuglement des responsables politiques, le grand remplacement annoncé par Eric Zemmour s’est déjà effectué. La France se compose aujourd’hui d’un mélange de bi-nationaux italiens, espagnols, portugais, allemands, anglais, etc… qui partagent cette réflexion sortie de la bouche de l’actuel garde des sceaux Dupont-Moretti, entre les deux tours des élections de 2017 : « comment voulez-vous que moi qui suis de double nationalité, je puisse voter pour le Front National ? (devenu le Rassemblement National) ». La double nationalité légitimée se retourne ainsi contre ceux qui l’ont rendue légale. Ils ont ignoré la sagesse du Dieu incarné, Jésus-Christ, qui a déclaré dans Mat.6:24 : « Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre ; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon. » ; pas plus que le vrai Dieu et l’Allah de l’islam qui désignait, avant Mahomet, le dieu lunaire soit, l’Astarté païen de la Bible. Le danger véritable n’est donc pas uniquement l’islam mais aussi l’accueil des étrangers venus d’Europe et du monde qui, nationalisés, par leur vote, rendent impossible la défense des intérêts nationaux français. Nous nous retrouvons en France dans cette situation paradoxale où le plus français des français, celui qui se soucie de la survie de la France, est cet Eric Zemmour qui revendique ses origines berbères.

Cet autre verset de la Bible, cité dans Jér.17:5, révèle bien un mal de notre siècle dirigé par les pensées des intellectuels : « Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, Et qui détourne son cœur de YaHWéH ! » Dans les échanges médiatiques, souvent, les interlocuteurs font référence aux écrivains rendus traditionnellement célèbres, par les choix républicains effectués au fil du temps de l’histoire de France. Et en France, précisément, le régime républicain a favorisé, par sa conquête de liberté, la multiplication des expressions des divers sens de pensées. On s’y réfère aux écrivains appelés « lumières », dont le premier, le Genevois Voltaire. Mais quelque soit la pensée et l’opinion d’un homme, elle ne reste que sa propre conception d’un modèle. Pourquoi la pensée d’un homme doit-elle devenir une pensée commune imposée comme modèle ? Parce que l’inintelligence partagée par la majorité écrasante des créatures humaines fait que cette masse populaire a besoin d’être dirigée et enseignée. L’homme ne sait plus réfléchir et juger par lui-même, et il trouve, dans le groupe, la force que crée l’union. Dans cette vision de la vie humaine, l’humanité a perdu de vue, le véritable « droit de l’homme » ; celui que Dieu donne, individuellement, « aux hommes » ; celui de décider par eux-mêmes, d’approuver ou de résister, en fonction d’une analyse strictement personnelle des sujets étudiés. Cette opinion personnelle doit faire son choix entre les choses qui se présentent à notre réflexion, et que trouve l’homme sur son chemin ? Des pensées humaines et des pensées divines révélées, exclusivement, par la Bible. Sans la Bible, toutes choses peuvent être légitimées par l’homme, mais cette légitimation disparaît quand la norme du bien et du mal est, clairement, indiquée et définie par Dieu. C’est ainsi que ce verset de Jér.17:5 prend tout son sens. Dieu « maudit l’homme » qui va prendre pour modèle les pensées des écrivains humains, et méprise, de la sorte, la norme divine inscrite dans la Bible, la parole de Dieu écrite sur des rouleaux devenus des livres. 

La génération qui a connu le régime de la 4ème République est en voie de disparition, remplacée par les générations nées après l’arrivée en France des travailleurs nord-africains soit, après 1976, date du regroupement familial rendu légal. Cette génération a grandi en prenant pour modèle la culture venue de la société multiethnique des USA, composée d’aventuriers peu scrupuleux venus de tous les peuples de la terre. Car c’est là que ce modèle de société du type Babel est né et s’est développé. Cette nouvelle expérience se caractérise par un taux de violence et de meurtres des plus élevés et par de douloureuses démonstrations de ses injustices. Relève que Dieu a lui-même condamné ce modèle, en séparant les hommes réunis par des langues différentes, dans l’époque de la Babel historique après le déluge. De plus, pour installer ce modèle de société condamné par Dieu, les pionniers américains venus d’Europe et du monde ont presque anéanti l’habitant originel pour le remplacer. C’est donc dans l’exemple américain que l’Europe moderne a trouvé son modèle qui favorise, maintenant sur son sol, cette pratique du remplacement des populations, remplacement des travailleurs, remplacement des entreprises familiales par les entreprises sociétaires qui enrichissent des actionnaires dispersés sur la terre entière, au détriment de la nation locale et de ses travailleurs. La création de l’Europe Unie est, elle-même, une imitation du modèle américain : les Etats-Unis. Ces USA sont en démarche de conquête mondiale et la première de leur conquête, c’est l’Europe, qui a abandonné son modèle de nations libres et indépendantes, et a épousé les normes de la culture américaine, ses modes musicales, ses mots et expressions. Le Français, ex langue diplomatique, a été remplacé par l’Anglais. Relève que cette réussite est, pour Dieu, le relèvement d’une tour de Babel dont l’Anglais est la nouvelle langue internationale. De nouveau, et cette fois malgré les langues étrangères, les êtres humains se rassemblent dans le but de se soustraire à la norme de vie fixée par Dieu. Mais ce que l’homme rebelle n’a pas prévu, c’est la conséquence finale de ces cohabitations de cultures et religions opposées. Le grand rassemblement porte en lui-même, par simple conséquence, son futur châtiment. Les agressions de l’islam guerrier accomplies au sein même des sociétés occidentales confirment la chose, et elles ne sont que le prélude lugubre d’une destruction massive qui se prépare en accomplissement punitif voulu et prophétisé par Dieu. Ainsi, le Dieu créateur punira cette dernière forme de la tour de Babel, et son châtiment aura, cette fois, des conséquences définitives, parce que mortelles. Pour autant, il ne s’agit là, que de la première partie de ce châtiment, qui intervient pour mettre fin au temps des nations. En effet, la Troisième Guerre Mondiale nucléaire, qui vient, va mettre fin aux systèmes nationaux que nous connaissons actuellement. La destruction planétaire annoncée ne laissera derrière elle que des « survivants » dispersés sur toute la terre. Ne pouvant plus relever les anciennes nations, ces survivants vont tout de même se regrouper, à l’échelle mondiale, sous la direction des USA, constituant ainsi, un nouvel Etat, une nouvelle étoile, représentant le reste du monde pour sa bannière étoilée. Ces survivants seront en partie des élus du Christ, et le reste, des rebelles qu’Apo.9:21 décrit en ces termes : « Les autres hommes qui ne furent pas tués par ces fléaux ne se repentirent pas des œuvres de leurs mains, de manière à ne point adorer les démons, et les idoles d'or, d'argent, d'airain, de pierre et de bois, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni marcher ; et ils ne se repentirent pas de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité ni de leurs vols. »

A la lecture de ces choses, je peux tirer la déduction que l’imminente destruction guerrière ne vient pas changer les hommes ; elle n’a donc bien comme but unique que celui de donner à l’humanité rebelle un solennel dernier avertissement de la part de Dieu aux hommes rebelles ; ce qui justifie son symbole de « 6ème trompette » dans Apo.9:13. J’en profite pour rappeler que, signe de l’attitude rebelle, le dimanche catholique romain hérité de Constantin 1er, depuis le 7 Mars 321, est la cause des châtiments successifs symbolisés par les cinq « trompettes » précédentes. L’avertissement suggère la venue d’un châtiment encore plus grand : le dernier. Il va venir avec l’accomplissement de la « 7ème trompette » qui, symbole du retour du Christ, va, cette fois, exterminer l’homme de dessus la surface de la terre. Car, enlevant ses élus vers son royaume céleste pour un séjour provisoire de mille ans, le Christ Dieu vainqueur fera de la terre désolée, pendant ce même temps, la prison du diable isolé au milieu des ruines que sa méchanceté aura provoquées.

En 2020, transformée par les avancées techniques, l’humanité se ressemble d’un bout à l’autre de la terre. Le rôle des médias est devenu prépondérant. Partout, en rentrant dans leur logement, les gens subissent le matraquage publicitaire qui revient toutes les 20 à 25 minutes sur les chaînes tv ou radio privées. Ce lavage de cerveau est imposé pour financer les programmes proposés et certaines de ces chaînes, spécialisées dans l’information organisent des débats où des êtres orgueilleux, envieux de notoriété, viennent exposer leur jugement sur les divers faits de l’actualité. Ce type de programme dirige l’auditeur vers des réponses qui se substituent aux siennes propres. Tout est fait pour arracher l’homme à ses opinions personnelles. Je relève que les avis exprimés sont, fondamentalement, liés à l’orientation du choix politique des individus. Aussi, peut-on comprendre combien ces débats sont sans intérêt réel, et que les seuls raisons de leur existence sont l’orgueil des uns et la cupidité des autres.

Les temps électoraux suscitent dans les cœurs et les esprits des humains, uniquement, des faux espoirs parce que la perfection n’est pas humaine, ni terrestre, depuis que Dieu a maudit la terre et ses habitants, après le péché d’Adam et Eve. J’ai sur beaucoup, l’avantage d’avoir compris le projet de Dieu qui a condamné les projets des êtres rebelles, et avec moi, je t’invite à te libérer des fausses espérances terrestres humaines. Dieu l’a décrété par lui-même, il aura le dernier mot et ses élus marcheront sur les corps des rebelles devenus « poussière ».

Avant ce temps, l’imperfection humaine se relève dans ses caractères extrêmes soit, dans l’extrémisme ; celui de droite et celui de gauche soit, des conservateurs et des novateurs, des libéraux et des socialistes, des riches et des pauvres, ou moins riches. Dans les pays de l’Est où il s’est développé, il ne manquait au communisme que l’Esprit divin de Jésus-Christ pour qu’il ressemble à la première Eglise composée par ses apôtres et ses disciples. Mais le modèle parfait aimé et approuvé par Dieu va encore plus loin dans l’abnégation de soi, puisque le maître doit se faire serviteur de tous et de ses serviteurs ; en matière d’égalité, la conception républicaine est battue et prend l’image de l’injustice type. La sagesse divine nous apprend à marcher sur une ligne exiguë située au milieu de ces choix extrémistes. Le sage retient de droite et de gauche les choses qui sont justes sous le regard du Dieu vivant. Et ce choix, qui se caractérise par son étroitesse, prend la caractéristique du chemin étroit religieux enseigné par Jésus, dans la Bible, à ceux qui veulent le suivre. Le bien et le bon ne se trouvent pas dans les positions extrémistes, mais le mal défini par Dieu se trouve, lui, chez les deux. Et vu que, sans l’Esprit de Dieu, « la lettre tue », l’élu a besoin d’être guidé dans ses jugements par l’Esprit qui est l’Esprit divin du Christ Jésus. Dans Thes.5:19 à 22, l’Esprit nous dit : « N'éteignez pas l'Esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Mais examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon ; abstenez-vous de toute espèce de mal. »   Mais ne te fais pas de fausses illusions, sans l’aide de Jésus-Christ, mettre en pratique ces choses est impossible, selon qu’il a dit dans Jean 15:5 : « Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. » Ce qui signifie qu’avec lui, la limite de l’impossible recule et que tout ce que Dieu juge bon peut devenir possible pour un être humain puisque « rien n’est impossible à Dieu » selon Luc 1:37 ; Dieu, qui lui propose en Jésus-Christ son aide indispensable.

« Ceux en qui Jésus ne demeure pas » brillent par l’éclat de leur inintelligence due à leur ignorance du sujet religieux. J’en ai relevé la preuve éblouissante sur les ondes « radio ». Un musulman pacifique s’insurgeait contre son rattachement à l’islam guerrier, parce qu’il se réclamait du Coran. Ni l’animateur, ni son invité, un philosophe, n’ont trouvé la réponse qu’il convenait de lui présenter. C’était consternant, parce que la réponse était simple. Il leur suffisait de faire remarquer au jeune musulman que le jugement du Coran repose sur le témoignage historique des œuvres accomplies par son auteur : Mahomet et son sabre convertisseur ; qui n’a fait que précéder l’épée des conversions effectuées par Charlemagne pour la gloire de la papauté romaine. Où est donc cette religion d’amour que ce jeune impute au Coran ? Pas dans son texte, ni chez son auteur, l’histoire en témoigne. Cet exemple met en lumière la conséquence du mépris du sujet religieux par la population française originelle gagnée, progressivement, par l’agnostisme et l’athéisme. Car là où Dieu n’existe plus, le mot religion perd son sens. Et quand ils sont confrontés au retour religieux, les intellectuels athées deviennent, subitement, muets comme des carpes. Pour eux, la religion était devenue et reste cet « opium du peuple » auquel, selon eux, certains humains sont devenus dépendants. Et les incroyants, les supportent, comme ils supportent et légitiment l’usage des vraies drogues qui, elles, tuent plus que la religion, en temps de paix. En fait, on ne peut que le déplorer, mais la représentation officielle de la religion a toujours été usurpée et trompeuse. En première, la religion juive source et modèle de base a perdu son accréditation divine au profit du christianisme apostolique naissant. Ordonné par l’empereur romain Constantin 1er, l’abandon du sabbat, le 7 Mars 321, a conduit Dieu à placer, en 538, cette foi chrétienne sous la domination dure et despotique des papes romains, dont la nature diabolique est révélée par la Réforme suscitée par Dieu à partir de 1170 et confirmée par les prophéties bibliques de Daniel et Apocalypse. En 1863, l’adventisme du septième jour dénonce la malédiction du dimanche romain et donc, en conséquence, celle des protestants qui le pratiquent en héritage de l’église catholique romaine ; cette malédiction résulte de l’entrée en application du décret de Daniel 8:14, au printemps 1843. Mais ce n’est pas fini, car testée entre 1991 et 1994 par les lumières prophétiques disponibles à l’époque, et expliquées dans cet ouvrage, l’église adventiste du septième jour a été « vomie » par Jésus-Christ. On mesure alors l’importance de la révélation prophétique, préparée par Dieu, pour éclairer ses élus, jusqu’à la fin du monde. Sans elle, il devient impossible de répondre positivement à ses exigences et ses attentes spécifiques en chaque époque. Aussi, je souhaite rappeler ici ces versets que l’Esprit a adressés à tous ses serviteurs ; ceux de la première et jusqu’à la dernière époque de la vie chrétienne, dans 2 Pierre 1:19 à 21 : « Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs ; sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »

« La prophétie est pour les croyants », a dit Paul, dans 1 Cor.14:22. Elle est donc pour une minorité très réduite dispersée parmi les multitudes humaines. En Occident, les humains devenus incrédules ou incroyants acceptent la religion tant qu’elle ne persécute pas les gens. C’est ainsi que les religions maudites par Dieu restent légitimées par les hommes qui ne comprennent pas que la malédiction divine vient sur les croyants et les religions qui lui font du tort, en désobéissant à ses lois. Et se réclamant de lui dans cette désobéissance, ils déforment sa nature aimante parfaitement juste et lui imputent leur modèle d’injustice. Les persécutions passées ou futures sont des conséquences, et non la cause, de la malédiction divine. Aussi, nous pouvons comprendre que, bien qu’elle ne persécute plus, l’église catholique papale romaine est restée dans son statut maudit par Dieu, depuis son instauration en 538. Remarque-le, cette église idolâtre n’a pas choisi, volontairement, de cesser de persécuter. L’arrêt de ses persécutions lui a été imposé par les Révolutionnaires français depuis 1792. Depuis ce temps, les diverses déclarations de repentance et les demandes publiques de pardon effectuées par les derniers papes sont sans valeurs pour Dieu, et n’ont pour but que celui de séduire et tromper l’humanité occidentale devenue uniquement « humaniste ». Relève aussi que son alliance œcuménique la réconcilie avec ses ennemis et adversaires religieux du passé : les Protestants. Mais cette réconciliation officielle trompeuse et fourbe vise uniquement à les étouffer, les asservir, et à relever son prestige personnel. De plus, ce rassemblement n’est devenu possible que depuis 1843, date où la foi protestante a été, à son tour, rejetée et condamnée par Dieu. Et après les Protestants, à leur tour, en 1995, les Adventistes du septième jour, ont rejoint le rassemblement œcuménique apostat, confirmant ainsi leur vomissement par Jésus-Christ, après l’épreuve de foi suscitée par l’Esprit entre 1991 et 1994 en France, à Valence sur Rhône. Il y a donc un temps pour produire, volontairement, le vrai fruit de repentance ; après ce temps favorable, il est trop tard pour se réclamer, collectivement, de la grâce de Dieu ; individuellement, l’offre ne cessera qu’avec la fin du temps de la grâce collective et individuelle. Ainsi, depuis les apôtres jusqu’au retour glorieux du Christ, la vraie foi chrétienne n’aura jamais cessé d’être ce « chemin étroit », que « peu trouvent », présenté par Jésus-Christ à ses Elus rachetés par son sang, pour qu’ils le suivent après et derrière lui.

Dans la progression de ses conquêtes des âmes humaines, après avoir dressé les religions, les royaumes, les nations, les peuples et les hommes, les uns contre les autres, le péché de l’orgueil et de l’égoïsme a fini par dresser les ligues féminines contre les humains du sexe mâle. Nul ne peut nier que les femmes ont subi des violences injustes de la part de l’humanité mâle dominatrice qui a imposé aux femmes, par sa force physique supérieure, sa volonté et ses idées. Mais reconnaissant bien cette faute imputable aux mâles, fallait-il y ajouter, une rébellion féminine, dont le fruit brise le principe du vivre ensemble de l’homme et de la femme ? A qui convient-il d’imputer cette rébellion ? A des femmes libres de tout devoir envers Dieu. En sorte que cette contestation féminine n’est que le dernier fruit créé par le péché humain. Et ses conséquences sont dévastatrices, car pour Dieu, elles marquent la nécessité de l’arrêt du prolongement de la vie sur la terre. Le couple humain n’ayant été créé par Dieu qu’à cette seule fin que constitue la procréation de l’espèce, six mille ans ou presque avant notre époque.

Les erreurs commises n’apparaissent pour ce qu’elles sont qu’avec la progression du temps qui favorise le développement de leurs conséquences. Ainsi, la situation établie en 1962 n’est plus celle de 2021. Les combattants algériens ou « harkis », accueillis avec réserve par le peuple français, qui n’a vu que les inconvénients de la guerre d’Algérie, ne posaient, au commencement, pas de problèmes immédiats. Beaucoup d’entre eux n’aspiraient qu’à être assimillés et être reconnus comme fils de la France installée en Algérie depuis 1830. Cependant, personne n’avait relevé qu’en Algérie déjà, la religion faisait cohabiter la foi chrétienne et la foi musulmane sans qu’elle se mélange, l’une d’un côté, l’autre de l’autre côté. Les populations des campagnes vivaient la présence française comme une occupation illégitime de 128 ans à l’époque du début des hostilités conduites par le groupe FLN ; le Front de Libération National. La vraie faute des Français envers la France fut d’accueillir sur le sol de France, après 1962, date des accords signés à Evian par la France et le FLN, des ressortissants algériens encore pleins de haine envers la France qui émigraient uniquement en raison de l’échec économique du nouvel Etat de l’Algérie libre et indépendante. La conséquence est apparue en 1995 avec les attentats du GIA, le Groupe Islamique Algérien, perpétrés sur la terre de France. Depuis des vocations favorables à la guerre sainte, le Djihad, ont été à l’origine des groupes Al-Qaïda et Daesh. Par son désintérêt et son mépris pour le sujet religieux, la France est devenue le berceau du réveil musulman soulevé en Iran par l’Ayatollah Khomeini qui l’avait préparé, sur le sol de France, depuis Neauphle-le-Château où il résidait. La France est donc encore ce terreau révolutionnaire universel fidèle à son image et son expérience révolutionnaire qui l’a conduite vers l’athéisme national en 1792. Pour elle, vient l’heure de payer, très chèrement, le prix de ses erreurs de jugements. La lueur de lucidité d’une minorité intelligente ne me semble pas capable d’obtenir un soutien des masses ignorantes. Et ceci explique pourquoi la France va subir le triste sort que Dieu lui prépare et qu’il prophétise en désignant,  dans Apo.11:8, sa capitale Paris par le nom symbolique « Sodome » dont la Bible révèle la terrible fin, frappée par Dieu par une pluie de pierres de soufre enflammées.

L’acceptation aveugle et stupide de la bi-nationalité, par la République coupée de Dieu, place le dirigeant de la France dans une situation insoluble. Il doit tenir, aujourd’hui, un discours contre l’islam d’Etat opposé à la France, alors que des représentants de cette ennemie originelle sont devenus ses citoyens reconnus par leur présence sur son propre sol. Le problème posé au président de la France est le suivant : comment répondre à une menace de guerre avant que celle-ci soit déclarée et concrètement engagée ? Et la question est présentée à un homme qui privilégie l’humanisme. Le pacifisme ne sait changer que lorsqu’il est contraint à le faire par la situation qui s’impose à lui. C’est alors que l’humain « humaniste » se transforme en fauve sanguinaire pour rendre coup pour coup à l’agresseur.

Dans la vie animale, le moindre des insectes sait identifier une menace qui va enlever sa vie ; ceci au nom de son instinct de conservation. Je constate que dans l’espèce humaine cet instinct de conservation ne fonctionne plus ; l’homme est devenu plus aveugle et inconscient qu’un insecte. Devenu incapable d’identifier le danger qui le menace, il ne peut que succomber devant lui.

 

L’Homme et la Femme

 

Le mépris de l’ordre divin concernant ce sujet est responsable des grandes déviations constatables dans ce temps électoral. Car, depuis les « suffragettes » anglaises des années 1900 jusqu’à 2021, et bientôt 2022 en ce mois d’Octobre, proche de la fête juive du « jour des expiations », le féminisme est devenu une force contestataire politique et sociale, dans son expression extrême et dans la même époque, la pensée longtemps contrôlée des ligues LGBT, dans son nouveau sens de la perversion mentale, veut piétiner la domination des mâles, pour la surpasser et instaurer l’ère du choix des genres. La grande Guerre et sa destruction massive mettra promptement un terme à ces outrances, mais nous assistons à la démonstration du fruit de l’insatiable liberté pour lequel Dieu a offert à l’homme moderne, le temps de paix universelle le plus long de toute l’histoire humaine.

Pour ceux qui postulent une place auprès de Jésus-Christ, dans son royaume, céleste dans un premier temps, un retour vers les fondamentaux bibliques prescrits par Dieu s’impose. Aussi, dois-je le rappeler, en premier, Dieu a créé l’Humain dans sa version « mâle » de l’Homme. Ensuite, dans un double but, prophétique et prolifique, il a créé à partir de l’homme, une femme, afin de lui donner une « aide ». Déjà, ce terme « aide » la place en second. Après qu’Eve a désobéi à l’ordre de Dieu de ne pas manger du fruit du seul arbre interdit, et qu’Adam par amour pour Eve, en a mangé à son tour, Dieu a rendu son verdict et il a prononcé ces paroles dans Gen.3:16 : « Il dit à la femme : J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. » Ce statut féminin est gravé dans le marbre de la perpétuité de l’espèce humaine sur la terre. Mais avant de hurler contre ce statut d’infériorité, ô femme, entends le sens que Dieu donne à ce dominateur. Car, le statut proclamé n’a de sens que pour ceux qui lui appartiennent soit, des êtres nés de nouveau sur le modèle de Jésus-Christ. C’est pourquoi, inspiré par l’Esprit, Paul a développé ce sujet dans Eph.5:32, et il compare l’homme à Jésus-Christ, et la femme à l’Eglise, l’Elue de son cœur.

« Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur ; »

« car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. »

« Or, de même que l'Église est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses. »

« Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Église, et s'est livré lui-même pour elle, »

« afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, »

« afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible. »

« C'est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. »

« Car jamais personne n'a haï sa propre chair ; mais il la nourrit et en prend soin, comme Christ le fait pour l'Église, »

« parce que nous sommes membres de son corps. »

« C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. »

« Ce mystère est grand ; je dis cela par rapport à Christ et à l'Église. »

« Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari. »

Celui qui a parlé dans la Genèse dans toute sa puissance divine a placé ses explications dans la pensée de l’apôtre Paul pour nous révéler ce qu’implique la domination donnée au mâle. Mais je le redis, il s’agit là d’un idéal divin offert à l’humanité. Car pour accomplir et réussir ce magnifique projet, il faut un homme à l’image de Jésus-Christ et une femme, à celle de son Elue. L’amour évoqué est celui qui aime jusqu’à la mort ; l’offre de sa vie pour l’être aimé.

Qu’en est-il des couples terrestres ? Les raisons qui conduisent au mariage sont multiples, et quand bien-même l’amour y joue un rôle, faut-il encore qu’il soit égalitairement partagé. Beaucoup de gens se précipitent vers le mariage par peur de rester seuls ; en vieux garçons ou vieilles filles. D’autres, reposent sur des intérêts bien terrestres ; l’argent, les affaires, la notoriété. Pour toutes ces raisons et celles que j’oublie, le mariage réussi est un produit devenu rare comme l’or ou le pétrole. Que peut faire l’enfant de Dieu dans le cas d’une cohabitation qui échoue ? Le conjoint qui se comporte mal, agit sous le regard de Dieu, mâle ou femelle, il en rendra compte à son Créateur. Paul n’oublie pas ce risque, puisqu’il dit, dans 1 Cor.7:28 : « Si tu t'es marié, tu n'as point péché ; et si la vierge s'est mariée, elle n'a point péché ; mais ces personnes auront des tribulations dans la chair, et je voudrais vous les épargner. » A entendre Paul, le problème n’est pas nouveau, mais aussi vieux que le monde. Toutefois, Dieu a une priorité sur tout, et sur ce sujet de domination il passe en premier. Chaque créature a pour priorité le devoir de plaire au Dieu créateur. L’opposition, voire l’oppression imposée par un mari violent vaut les persécutions d’un régime religieux ou anti-religieux. La vraie foi sera toujours objet des attaques du diable et des démons qui prennent l’apparence d’un mari, d’un juge, ou d’un prêtre chrétien ou autre. La vraie paix terrestre n’existe que pour le célibataire (choix idéal selon Paul) qui vit caché ignoré par tous. C’est la situation dans laquelle la créature est engagée qui favorise ou défavorise la création des problèmes. Mais le devoir d’obéir à Dieu s’impose en tous types de situation et quand elle a obéit à ce devoir, la créature n’a plus qu’à s’en remettre à son Dieu qui voit tout, entend tout, et enregistre tout.

Cette réflexion me conduit à rappeler les termes cités dans la prière royale enseignée par Jésus-Christ : « que ta volonté soit faite sur la terre et dans le ciel ». Aussi tu peux demander à Dieu tout ce que tu veux, mais n’oublie pas que seule sa volonté sera faite quoi que tu lui ais demandé. Dans sa prière à Gethsémané, Jésus avait demandé à Dieu de retirer la coupe qu’il devait boire mais il dit aussitôt, « toutefois non pas ma volonté, mais ta volonté ». De même que pour sauver ses Elus, Jésus devait boire la coupe présentée par le Père, certains Elus doivent subir les tribulations d’un mari méchant ou d’une épouse méchante, car la méchanceté n’est pas sexuée.

Dans le monde sans Dieu, la liberté reconnue conquise par les femmes agresse l’agresseur mâle qui a souvent profité de sa force physique supérieure pour maltraiter son épouse. Ces actes, révoltants et souvent profondément injustes reçoivent aujourd’hui la réponse que méritaient ces exactions. Dans le mariage comme dans la religion, le plus fort impose sa loi au plus faible, et c’est ce qui donne aux humains leur image de « bêtes » que Dieu leur attribue dans ses prophéties bibliques. En notre temps de préparation de la fin du monde, les deux chemins proposés par Dieu produisent par le choix du bien des hommes à l’image du Christ et par le chemin du mal, des « bêtes » à l’image du diable. Et le destin de chacun se construit au niveau de l’enfance par l’instruction que les sociétés sans Dieu apportent à leurs jeunes enfants. Ceci m’a conduit à te proposer cette réflexion qui concerne tous les enfants nés depuis 2018. Selon Dieu, l’enfant entre dans l’âge adulte quand il a 12 ans. C’est l’âge où en adulte, selon Dieu, il devient responsable de ses choix et de ses actions ; c’est l’âge requis pour rejeter le mal et choisir le bien. Or, au retour du Christ, au printemps 2030, l’enfant né en 2018 n’aura pas 12 ans mais seulement 11 années de vie soit, pas assez pour faire le choix du bien, et être sauvé en Elu. Depuis 2018, les enfants qui naissent ne seraient-ils pas déjà la génération inutile sacrifiée ? L’importance de cette date du printemps 2018 vient du choix de Dieu, car c’est lui qui a décidé souverainement de me donner un flot ininterrompu de lumière depuis ce moment ; le printemps 2018 soit, 12 années avant le printemps 2030.

 

 

Dieu et la science

 

Le lundi 4 Octobre, invité par la chaîne info C-News, le polémiste E.Z. a choqué la faune médiatique en comparant les interventions transgenres pratiquées aux USA sur des enfants de 3 ou 4 ans aux expériences conduites par le docteur nazi Josef Mengele dans les camps d’extermination au temps de la seconde Guerre Mondiale. E.Z. reproche au ministre de l’éducation de vouloir favoriser en France ce genre de société, suite à une directive adressée aux enseignants français qui semble soutenir cette pensée. Pour une fois, c’est l’homme de la droite républicaine qui évoque le spectre hideux du nazisme. A-t-il tort ?

Je crois qu’il soulève là un sujet de réflexion qui va nous mener loin.

Il semble même que l’on puisse dire que la science appliquée dans la santé ait eu pour conséquence de déposséder Dieu de ses prérogatives divines, que l’on peut résumer par le pouvoir de faire naître et celui de faire mourir. Mais dès l’origine, un troisième pouvoir appartient uniquement à Dieu, c’est le pouvoir de guérir ses créatures. Et pour ses élus, il reste encore, aujourd’hui, l’unique et exclusif médecin des corps et des esprits malades.

Aujourd’hui, les enfants sont conçus dans les éprouvettes de la science ou par des mères porteuses afin de permettre à toute femme stérile ou pas d’obtenir un enfant. Quelle peut être l’opinion de Dieu sur une telle situation, lui qui fait naître stérile ou pas les femmes ?

Pendant des millénaires, le recours aux plantes de la nature était la seule médecine pratiquée par l’humanité. Des chirurgiens ont, en tout temps, recousu la chair des plaies provoquées par des armes tranchantes. Les balafres et les cicatrices témoignaient de la bravoure des combattants. Mais la science ne permettait pas de faire mieux.

Voici ce que Dieu déclare au sujet des corps morts dans Nom.19:11 à 13 (la lecture complète jusqu’au verset 22 est recommandée) : « Celui qui touchera un mort, un corps humain quelconque, sera impur pendant sept jours. Il se purifiera avec cette eau le troisième jour et le septième jour, et il sera pur ; mais, s'il ne se purifie pas le troisième jour et le septième jour, il ne sera pas pur. Celui qui touchera un mort, le corps d'un homme qui sera mort, et qui ne se purifiera pas, souille le tabernacle de YaHWéH ; celui-là sera retranché d'Israël. Comme l'eau de purification n'a pas été répandue sur lui, il est impur, et son impureté est encore sur lui. »

« Le tabernacle de YaHWéH » est, à titre individuel, le corps de la créature, et au titre collectif, le peuple rassemblé. Le corps des morts souillent l’un et l’autre de ces tabernacles.

Ces ordonnances ont été prescrites pour Israël pour une durée perpétuelle, comme l’indique ce verset 21 : « Ce sera pour eux une loi perpétuelle. Celui qui fera l'aspersion de l'eau de purification lavera ses vêtements, et celui qui touchera l'eau de purification sera impur jusqu'au soir. » Ces précautions sanitaires étaient déjà ordonnées par le grand Dieu médecin, car il voulait éviter la contamination des microbes, des toxines et des bactéries mortelles que le corps mort produit en grandes quantités. La solution était le lavage des vêtements et du corps de celui qui a touché ou s’est approché d’un mort. Le processus de sa décomposition exige l’ensevelissement du corps mort le plus tôt possible, pour protéger les vivants. Dans la nature, Dieu a créé des espèces ailées ou dentées spécialisées pour faire disparaître la chair en décomposition des animaux morts. Mais les corps humains morts doivent disparaître selon des règles fixées par Dieu, par l’action humaine, par l’ensevelissement le plus souvent ou l’incinération. Et si ce n’est pas possible, dans la mer et sur la terre, les animaux nettoyeurs se chargent de les faire disparaître.

Vers le 13ème siècle, les premiers chirurgiens médecins ont entrepris des études du corps humain et les dissections des corps morts ont permis à Ambroise Paré d’éditer, en 1562, un ouvrage intitulé : « Anatomie universelle du corps humain ». Cette connaissance fut acquise en transgressant un interdit divin. Mais qui s’en est soucié ? Personne, et au contraire, l’humanité s’est appuyée sur cette connaissance, pour légitimer les recherches et toutes les avancées de la médecine jusqu’à notre époque du temps de la fin. Et l’humanité incrédule ou incroyante ignore la norme de la pensée du Dieu Tout-Puissant qui ne change pas. C’est pourquoi, en méprisant l’enseignement donné par Dieu, les médecins tuaient les patients qu’ils voulaient guérir. On se souvient de leurs remèdes, la saignée qui anémie le malade et l’arsenic qui l’empoisonne. Et surtout une absence d’hygiène fondamentale enlevait toute possibilité de guérison. En premier, Louis Pasteur et le docteur allemand Robert Koch prirent conscience du mal microbien et de la nécessité, pour le praticien, de se laver souvent et abondamment les mains. On mourut donc un peu moins, grâce à cette action purement sanitaire, déjà enseignée par Dieu. Mais parallèlement à cette avancée, les connaissances physiques et chimiques ont fait entrer la chimie dans la composition des médicaments avec des conséquences irréversibles pour l’immunité protectrice naturelle des corps humains. La chimie devient une drogue dont l’accoutumance crée le cycle infernal de la dépendance au produit. Quand l’action naturelle du corps est remplacée par un expédient chimique, la nature abandonne pour toujours son combat. Et la chimie a envahi tous les secteurs, agricoles, alimentaires, et médicaux, qui construisent le corps de l’homme moderne.

En plus de cette dégénérescence physique et chimique, s’ajoute celle qui est due aux perversions mentales sexuelles. Et pour couronner le tout, signes de décadence morale, des USA sortent les idées « fumeuses » selon E.Z., de la légitimité « transgenre » qui y construit son autorité. Au nom de la liberté, aux USA, tout est permis, tout est possible. Et le modèle américain s’exporte dans tous les pays occidentaux. Nous avons vu que la science transgresse les interdits fixés par Dieu ; disons qu’elle l’ignore. La science moderne qui s’interdit toute limite est elle différente du Joseph Mengele de l’Allemagne Nazie ? Les USA n’ont pas encore décrété « la solution finale », mais ils le feront, ce n’est qu’une question de « timing » du programme fixé par Dieu. A la fin de la Seconde Guerre Mondiale, les USA ont recueilli les savants allemands nazis pour exploiter à leur compte leurs connaissances. Le fruit de cet esprit dominateur illimité trouvé dans l’Allemagne d’Adolf Hitler, se retrouve maintenant dans la pensée de l’Amérique moderne. Et sa science repousse toutes les limites morales comme Joseph Mengele sut le faire, en profitant du contexte des camps d’exterminations dans lesquels il trouvait les cobayes humains morts ou vivants, pour tester les limites du possible. Les deux choses comparées n’en sont pas encore au même degré d’horreur, mais la démarche est commune : on repousse la limite du possible ; jusqu’où ? Sous l’aspect humaniste du chemin de l’enfer couvert de bonnes intentions, jusqu’où la science peut-elle nous entraîner ?

Dieu n’est ni sourd ni aveugle, et les diverses maladies modernes, Cancer, Sida, Alzheimer, Covid, sont les châtiments de la science arrogante et despote. S’il est vrai que les scientifiques manipulent les seringues et les éprouvettes, et maintenant, les génomes, c’est Dieu qui donne vie et efficacité aux tumeurs et aux virus qui apparaissent. « Arrive-t-il un malheur dans une ville sans que YaHWéH en soit l’auteur » (Amos 3:6). « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes, » (Ezéchiel 14:21).

 

La compatibilité de la République avec les religions

 

Les exigences soulevées par la religion musulmane, installée depuis 1962 sur le sol de la métropole française, provoquent des frictions avec son régime républicain. Pourquoi des problèmes apparaissent-ils uniquement avec cette religion ? Pour comprendre les problèmes nouveaux soulevés, il nous faut comprendre déjà pourquoi les religions précédentes n’ont pas créé ces problèmes. La République est un régime jeune construit sur l’écrasement du régime coalisé du papisme catholique romain et de la monarchie depuis 1792. Dans un premier temps, faisant table rase du passé, les révolutionnaires adoptèrent un calendrier qui remettait en cause l’héritage catholique. Des mois de 30 jours composés de trois semaines de dix jours remplaçaient la semaine de sept jours héritée du judaïsme. Mais le calendrier révolutionnaire fut abandonné et les Républiques successives se sont construites sur le temps du calendrier catholique. Ceci, explique la parfaite compatibilité du catholicisme avec le régime républicain puisqu’en prenant son calendrier, c’est la République qui s’est adaptée à la norme religieuse d’origine divine. Sans que nul n’en souffre, en 1981, le dimanche est passé de la première à la septième position des jours de la semaine. Mais ce changement n’entraîne aucune conséquence, ni pour les catholiques, ni pour les protestants, ni pour les républicains agnostiques ; ni d’ailleurs pour les « fils de Dieu » pour lesquels le dimanche reste le premier jour dans leur pensée, et le sabbat reste, également, le septième jour sanctifié par Dieu dès la fondation du monde. Lorsque Napoléon 1er a instauré son régime du Concordat, la norme du temps catholique a été reconnue comme norme officielle. Le catholicisme fut autorisé à pratiquer son ministère religieux et rien que lui. Le pouvoir civil lui imposa ses limites. Le protestantisme était très faible, et presque inexistant en France, où il était soumis aux mêmes droits et limites que la foi catholique. L’organisation du temps était imposée et acceptée par tous les courants religieux. Les minorités juives se fondaient dans cet ensemble, libres d’organiser leur temps religieux comme elles le voulaient. Individuellement et en communautés, elles pouvaient pratiquer le « shabbat » chaque septième jour et personne ne les en empêchait. Alors pourquoi ce qui a si bien marché avec toutes les religions monothéistes chrétiennes et juives ne fonctionne t-il pas avec l’islam ? Une seule raison s’impose, parce que Dieu en a décidé autrement.

L’islam a démontré son aptitude à se fondre dans la République française pendant 33 ans, entre 1962 et 1995, date du premier attentat djihadiste algérien sur son sol. Dans cette période de 33 ans, l’islam est resté une religion vécue en privé qui ne posait pas de problème. Mais cette religion créée par Dieu pour la dispute n’avait pas vocation à rester silencieuse et à l’heure choisie par lui, elle est sortie de son silence et a commencé son programme agressif de conquête en multipliant ses gestes de provocation. Soudainement, les femmes musulmanes sont apparues portant le foulard, le tchador, la burqa de l’extrémisme musulman pakistanais, ceci au moment où leur nombre avait considérablement augmenté. Tout observateur peut reconnaître l’apparence d’un piège qui se referme sur le peuple français, cible du Dieu créateur depuis toujours, et encore plus, depuis son adoption de l’idéologie républicaine. Traumatisée par le racisme du régime de l’Allemagne nazie, la France républicaine s’est efforcée de convaincre l’humanité de son parfait humanisme. Par crainte de passer pour un pays raciste, ses dirigeants n’ont pas su, punir en toute justice, les exactions commises par la jeunesse immigrée d’origine du Maghreb. L’indiscipline fut ainsi encouragée et elle s’est développée au point de transformer des zones de France en zones incontrôlées, et à ce jour, incontrôlable ; ceci parce qu’à l’opposition nationale et religieuse s’est ajouté l’enrichissement par le commerce illicite de la drogue. Avec de tels intérêts mis en jeu, la jeunesse d’origine étrangère délinquante se transforme en groupes factieux qui n’hésitent plus à tirer sur les policiers. Les permanences de la police nationale qui étaient installées dans ces zones furent attaquées et incendiées. Et là encore, de peur d’être jugés racistes, les dirigeants ont préféré abandonner la gestion de ces territoires perdus pour la République.

Faute de connaître le plan arrêté par Dieu, les dirigeants laïques n’ont pas pu tirer leçon des mauvaises expériences des cohabitations de la France républicaine avec les pays musulmans. Et après ces échecs de cohabitation subits, successivement, avec la Tunisie, le Maroc et l’Algérie, dans un aveuglement incroyable, ses dirigeants politiques, cédant à des intérêts particuliers des membres de leur parti, ont accueilli l’islam sur la terre de France, sans se préoccuper du risque encouru. Le passé nous a dit ce que sera l’avenir. L’arme du châtiment sera une fois de plus, et la dernière, inévitable et terriblement efficace. Le pacifisme du peuple français le prépare mal à réagir face à une agression guerrière massive, surtout quand l’ennemi se trouve en grande multitude déjà sur son sol, en réelle cohabitation et déjà dans un face à face. Mais le danger extrême repose sur l’intervention externe des peuples musulmans les plus belliqueux, haineux et rancuniers, parce que longtemps humiliés par la France. Le pire nous a été annoncé dans Dan.11:40 où Dieu prophétise l’ajout de l’agression de la puissante Russie, « le roi du septentrion », aux attaques musulmanes, « le roi du midi ». Alors que dire ? Celui qui vivra verra, car l’accomplissement doit se produire de façon imminente, entre 2022 et bien avant 2030.

Je rappelle que prétendre que l’islam est une religion d’amour consiste à remettre Jésus sur une croix, revient à lui arracher le bénéfice des souffrances que sa mort volontaire l’a conduit à endurer. Et de toute façon, comme tout pouvoir lui a été donné sur la terre et dans les cieux, toute attaque portée contre son œuvre sera expiée devant sa face.

 

 

 

 

Le piège de FATIMA

 

L’année 1917 fut marquée par des apparitions de la « Vierge » à Fatima au Portugal. Elle est apparue à trois très jeunes bergers ; âgés de 7 à 10 ans. Aujourd’hui, en Octobre 2021, cette vieille semence va porter son fruit, car dans les salles des cinémas, cet efficace instrument de propagande, un film relatant les faits va être projeté. Les élus sont protégés contre ce genre de séduction, mais il n’en est pas de même des masses humaines incultes et ignorantes. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, en 1945, jusqu’à ce jour, la foi a décliné et parallèlement, la richesse matérielle a grandi, mais avec la crise provoquée par le commerce mondial, l’humanité perd ses repères et ses certitudes. Une multitude risque donc de devenir sensible aux miracles attestés et reconnus par les autorités catholiques. Au cours de plusieurs rencontres, chaque fois le 13 du mois, la « Vierge » a apporté son secret. Ses messages principaux se résument en ceci : l’enfer est une réalité montrée en vision aux enfants ; Dieu veut que le cœur immaculé de Marie soit objet de la dévotion par tous ; l’église doit convertir les pays communistes et elle aura encore des martyrs. Mais à la fin, avec Marie, elle triomphera. En 1917, le communisme s’installe en Russie. Pour expliquer, le succès de ce message, il y a un miracle auquel ont assisté, au même moment, 17 000 personnes rassemblées. Je résume les faits : Deux coups de tonnerre, un éclair et un nuage est descendu vers le sol s’arrêtant sur le sommet d’un arbre qui s’est courbé sur un côté. Ensuite, le soleil a dansé, s’approchant et grossissant et se retirant en diminuant ; ceci plusieurs fois. Ce jour-là, Marie n’a pas été visible, les enfants visionnaires étant détenus. Nul doute que ce témoignage renouvelé en film, va avoir un effet certain. Le vide des esprits a besoin d’être comblé.

J’ai constaté que cette séduction est très ressemblante à la séduction d’Eve par le serpent. Chaque fois, le diable nomme des choses vraies, mais il les déforme. L’enfer est bien prophétisé mais pas sous ce nom et surtout, l’enfer n’est pas mais il sera. Quand à l’adoration de la « Vierge », seule la connaissance de la Bible nous en protège, et pour les ignorants, ce qui est visible est obligatoirement vrai. La vérité est beaucoup plus subtile car les apparences sont trompeuses. Satan utilise des enfants parce que les catholiques les tiennent pour innocents. Cependant dans l’affaire judiciaire d’Outreau, des enfants ont collectivement accusé faussement des gens d’actes de pédophilie ; alors, innocents les enfants ? Les faits le prouvent, leurs esprits sont manipulables par le diable et ses démons, tout comme ceux des adultes non protégés par Jésus-Christ.

Selon Dieu, ceux qui n’ont pas d’amour pour sa vérité, reçoivent une puissance d’égarement pour qu’ils croient au mensonge. Ces mystifications séductrices sont donc réalisées par le diable, mais avec l’accord de Dieu. Le film « Fatima » va donc séduire des foules de gens incrédules pour les culpabiliser entièrement ; avant que la mort ne les frappe.

 

Dans la semaine du 17 au 23 Octobre 2021, maudite par Dieu, la France républicaine est victime de ses choix et de ses erreurs de jugement. Dans des relations de plus en plus tendues et hostiles, le président algérien vient de rappeler à ses ressortissants qui vivent en France que leur devoir est d’y œuvrer pour défendre les intérêts de l’Algérie. Ainsi la défense du principe de la double nationalité se retourne contre le pays de France qui l’a adopté et défendu. La présence et l’organisation d’une « cinquième colonne » sur la terre de France prennent ainsi une forme vivante et réelle. Jésus avait raison de mettre en garde ses saints en leur disant : « Nul ne peut servir deux maîtres… ». La France a été trompée par le comportement docile et conciliant de la fausse religion chrétienne qui trahit depuis des siècles la foi du Christ. L’islam lui rappelle que Dieu est grand et prioritaire sur toute chose, avec sa brutalité de religion nationale contrainte et forcée qui caractérisait la religion catholique, quand elle avait le soutien du bras armé de la monarchie ou du dictateur en poste. La naissance du prophète Mahomet sur la fin du 6ème siècle, après l’instauration du régime papal en 538, avait bien, pour Dieu, le but de faire la guerre à la fausse foi chrétienne qu’il tient pour coupable. Et la chose va être confirmée dans le grand affrontement de la « sixième trompette » de l’Apocalypse soit, la « Troisième Guerre Mondiale » imminente.

 

Dans le passé, une fois déchu, le roi Saül eut recours aux prédictions d’une voyante, chose interdite par Dieu. Cependant, celle-ci ne put lui annoncer que des vérités inspirées par Dieu lui-même, bien que son œuvre était diabolique. A l’image de cet exemple, nous trouvons au 16ème siècle, le prophète Nostradamus d’une famille juive rebaptisée pour échapper à la haine des Juifs de l’époque. Ce prophète était apprécié pour ses talents d’alchimiste et d’astrologue par la reine mère Catherine de Médicis. Parmi ses « Centuries », nom donné aux chapitres de nombreux quatrains prophétiques qu’il a reçus en inspiration et portés par écrits, nous trouvons ce 18ème  quatrain de la 1ère Centurie : « Par la discorde Négligence Gauloise, sera passage à Mahommet ouvert, de sang trempé la terre et mer Senoise, le port Phocéen de voiles et nefs couvert. » On ne saurait mieux dire. Le prophète impute aux Français, les anciens gaulois, un esprit de discorde et un comportement négligent qui vont favoriser l’installation de l’islam en France. Il évoque une invasion massive de cette religion arrivée dans des bateaux qui couvrent la surface du port de Marseille et ensanglante cette région sud du pays. Cette prophétie confirme celle de Dan.11:40-45 où l’islam est désigné comme « roi du midi ». En 2021, le développement des moyens d’information prend l’aspect de multiples chaînes « infos » sur lesquelles, entre les coupures publicitaires, tournent en boucle des plateaux composés de politiques ou d’essayistes d’opinions opposées. Les paroles du prophète sont ainsi confirmées ; c’est un flot incessant de paroles contradictoires qui n’aboutissent à aucun résultat ; l’inertie de la France prise entre des intérêts contradictoires est ainsi constatable et donc démontrée. Les conséquences seront donc désastreuses et meurtrières et les Français réaliseront, trop tard, que « gouverner c’est prévoir » comme l’enseigne un vieux dicton.

La France est changée par les situations auxquelles elle est confrontée. En 2017, l’élection de son jeune président, due au rejet du Front National diabolisé par le peuple conditionné par ses élites politiques, a créé un précédent dont personne n’a relevé les conséquences. Jusque-là, les candidats élus représentaient des partis politiques soutenus par de nombreux membres adhérents. Pour la première fois, le jeune président élu n’avait aucun parti officiel derrière lui et ce n’est qu’une fois élu et vainqueur, qu’il a recruté son assemblée législative. En sorte que ceux qui le rejoignaient profitaient de sa victoire pour entrer dans le camp politique victorieux. Jusqu’à ce moment, les députés étaient choisis et élus pour leurs choix politiques et économiques. Dans ce nouveau cas, il n’en est rien, seule l’ambition personnelle a été le mobile de l’engagement. Le président a ainsi disposé d’un soutien docile, prêt à obéir au doigt et à l’œil à son chef ; ce que l’on nomme une représentation de députés « godillots » qui devait favoriser le dirigisme accentué de cette nouvelle présidence, jeune, ambitieuse, et sans expérience comme le candidat l’avait lui-même revendiqué et reconnu.

En adoptant les avancées technologiques inventées par les USA, les peuples de la terre tombent dans les pièges que ces prodiges séducteurs constituent. Regardés comme des inventions géniales au début de leur apparition, internet et ses réseaux sociaux apparaissent comme des instruments qui favorisent le contact, l’endoctrinement, le regroupement sous de nombreuses formes d’êtres humains rebelles envers toute autorité. Et ayant fondé toute l’organisation des pays sur ces moyens techniques, les autorités nationales se trouvent face à des problèmes insolubles. Les rebelles de tous ordres trouvent dans internet l’instrument de propagande et de désinformation idéal ; de quoi satisfaire le plus exigeant des anarchistes. La malédiction prophétisée des USA est ainsi confirmée et par les réseaux sociaux d’internet, elle se répand sur toute la terre. Ces exemples confirment, également, l’exceptionnel développement du comportement « rebelle » des jeunes gens de la dernière époque, caractère « rebelle » hérité de leurs parents, tel que l’apôtre Paul l’a annoncé à son jeune frère en Christ appelé Timothée : 2 Tim.1:1-2 Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là.»

Un documentaire télévisé me conduit à te mettre en garde contre les tentatives de personnes scientifiques qui détruisent le témoignage biblique soit, la foi aux déclarations du Dieu vivant transmises dans les Ecritures saintes. Le documentaire présenté proposait d’apporter des explications au sujet du déluge vécu au temps de Noé. A la fin des argumentations, une femme anthropologue annonçait fièrement que sa démonstration avait démystifié le sujet du déluge. J’ai assisté à une remise en cause entière du récit biblique révélé par Dieu. Selon les documentalistes, le récit du déluge aurait son origine dans la découverte du témoignage cunéiforme gravé sur des tablettes d’argile dans l’époque de Gilgamesh personnage ayant vécu après le déluge. De plus, le recouvrement des plus hautes montagnes révélé dans la Bible est nié parce que considéré par ces incrédules comme physiquement impossible ; le déluge n’est plus qu’une inondation de la région de la mer noire. Voilà le résultat obtenu, quand des personnes impies s’accaparent des sujets bibliques dans lesquels, la toute puissance infinie du Dieu créateur, pour qui rien n’est impossible, est en action, alors qu’elles ne croient pas à son existence. Je profite de l’occasion pour dire que loin d’être inutile, la découverte du témoignage de Gilgamesh renforce et confirme l’accomplissement du déluge de la Bible. Il nous donne donc de bonnes raisons de croire à l’inspiration divine révélée à Moïse vers 1500 avant Jésus-Christ.

 

 

La santé des hommes

 

J’aborde là un sujet éminemment religieux, car les premières déclarations, faites par Dieu après sa création de l’homme, ont concerné son alimentation. Il te faut comprendre que la santé de l’homme va dépendre principalement de la qualité de tout ce qui entre dans son corps, par sa bouche. Ce n’est pas un hasard si la bouche permet, d’émettre des sons, ceux de son langage, et l’entrée de son alimentation. Sur le plan spirituel, ces deux choses sont intimement liées. En prenant la parole de Dieu pour nourriture, l’homme va parler comme Dieu. Et cette parole divine constitue la perfection de l’enseignement recevable. Pour reproduire une approche de cette perfection, l’homme doit apprendre à filtrer les enseignements disponibles et ne laisser entrer en lui que le bon et le bien établis par le jugement de Dieu. Il en est de même, pour sa santé. Entre tous les choix d’aliments qui s’offrent à lui, il doit de manière responsable, filtrer et retenir uniquement ceux qui vont avoir, dans son corps et toute sa vie, les effets positifs du bien et du bon. Le bon parfait fut fixé en Eden mais une autre norme du bon et du bien fut, elle, fixée après le déluge et révélée à Moïse qui la présente et la développe dans Lév.11. Avec toute sa norme juive « casher » (viande lavée dans l’eau pour éliminer le sang), la consommation des viandes pures fut autorisée.

Hélas, que voit-on aujourd’hui ? Les effets désastreux d’une humanité qui s’est elle-même, par ses propres choix, émancipée et séparée de Dieu. Dès le début de l’année 2020, la punition du Covid-19 a été sa réponse adressée à l’impiété grandissante et dominatrice. Et il est édifiant de relever que ce premier châtiment collectif a pris pour cible l’humanité qui refuse de tenir compte des ordonnances alimentaires prescrites par lui, dès la fondation du monde, pour le bonheur et la santé du premier couple humain, Adam et Eve. En s’appuyant sur une pratique médicinale réelle du temps apostolique, dans Apo.22:2, Jésus-Christ image « la guérison » du péché des élus qu’il sauve : « Au milieu de la place de la ville et sur les deux bords du fleuve, il y avait un arbre de vie, produisant douze fois des fruits, rendant son fruit chaque mois, et dont les feuilles servaient à la guérison des nations ». Conformément à ce verset, les innombrables variétés de feuilles d’arbres et d’arbustes, les plantes, les légumes et les fruits sont les médicaments que Dieu a placés devant l’homme pour qu’ils le soignent tout en le nourrissant. La gloire de Dieu repose sur la perfection de sa création terrestre où l’homme et la nature sont dépendants l’un de l’autre. Autre image parlante, la nature est la branche sur laquelle l’homme est assis. En conséquence, si l’homme fragilise la nature, c’est lui qui chute et en paie le prix. Et c’est là que la science apparaît néfaste et tueuse, malgré son attribution au progrès. Il y a bien une progression, mais c’est celle du mal. Relève déjà que Dieu n’a pas donné un microscope à Adam après l’avoir créé. Le bonheur de l’homme et sa bonne santé ne dépendait pas de sa découverte de l’immensément petit invisible à l’œil nu humain, mais uniquement de son respect pour les règles fixées par Dieu qui a dit des végétaux : « Ce sera votre nourriture ». Aussi quand l’heure est venue pour Dieu de préparer l’extinction de la présence humaine sur la terre, au terme de six mille années, deux siècles de réveils et de domination scientifique ont pris le contre-pied de ses normes divines. Sur six mille ans au total, deux siècles seulement ont favorisé la mort au détriment de la vie. Notre normalité contemporaine est l’anormalité de l’ordre divin.  La médecine moderne est né au temps de Louis Pasteur, le premier homme qui oppose aux lois divines une méthode de soins scientifiques qui détruit le virus de la maladie et soigne le patient. Relève que maladie et malédiction sont de la même racine, c’est pourquoi Dieu s’était glorifié de ce que, pendant les quarante années du séjour des Hébreux au désert, sous sa domination, la maladie n’avait touché personne. Par contre, des hommes rebelles avaient été tués, éliminés du milieu du peuple, par son jugement destructeur du péché et des pécheurs. Pendant ces quarante ans, la nourriture exclusive du peuple était la manne créée spécialement par Dieu pour nourrir ceux qui dépendaient de lui. Avec l’eau des sources qu’il faisait jaillir au désert, la manne, qui avait le goût d’un gâteau au miel, ne pouvait pas les rendre malades. Or l’absence de maladie est dans la vie de l’homme le premier bienfait et l’objectif n’est pas hors d’atteinte, puisque tout repose sur ses choix. Il n’est pas de choix qui soit sans importance, car le choix humain d’aujourd’hui prépare son devenir futur. Dans Apo.10:8 à 10, l’Esprit du divin Christ prophétise une conséquence du choix de l’amour de sa vérité prophétique, agréable à recevoir, comme ayant le goût du miel, la lumière prophétique fait de l’élu, une cible détestée et haïe par les derniers rebelles qui voudront le faire mourir. Pour lui, en ce jour, le goût du miel du début prendra forme de « douleurs » « aux entrailles », tant l’épreuve le plongera dans « l’amertume ». Mais, ne vaut-il pas mieux souffrir pour notre appartenance au Dieu créateur, que souffrir en étant frappé par lui au titre de son ennemi ? Tous les choix sont libres et ils auront leurs inévitables conséquences. Dans notre vie contemporaine, les choix positifs du commencement se sont inversés. La vie dans les villes avait favorisé des progrès dans la propreté, la salubrité, choses qui faisaient éviter des maladies, et en conséquence, l’âge de la vieillesse s’est élevé. Mais paradoxalement, ce gain a été perdu, par l’accoutumance aux médicaments chimiques, aux énormes concentrations humaines dans les grandes villes et les moyennes où l’eau de bonne qualité devient rare et dans lesquelles les pollutions de tous ordres se concentrent. Ceci, en sorte que l’habitant des campagnes devient l’être humain privilégié quoique soumis à un environnement défavorable et meurtrier causé par les pesticides et les engrais chimiques utilisés par les agriculteurs et les arboriculteurs locaux.

La chimie tue, la médecine chimique qui prétend soigner, tue elle aussi, les corps des esprits humains et la conséquence de ces tueries, c’est la mort du système immunitaire dont chaque être humain est doté dès sa naissance, sauf cas exceptionnel accidentel hors norme. Cette défense immunitaire était l’arme que Dieu avait donnée à ses créatures terrestres ; chose qui révèle son amour pour elles. C’est pourquoi, considérant que l’âme rachetée par Jésus-Christ lui appartient, corps et esprit soit, âme entière, j’ai choisi de témoigner de mon amour pour Dieu, en adoptant le régime alimentaire qu’il a prescrit pour ses enfants terriens dès la fondation du monde. Je dois à cette norme, une bonne santé, 55 kilogrammes pour 1,68 mètre, norme conservée depuis mes trente ans jusqu’à mes 77 ans actuels. J’ai appris à réduire mes repas (un principal par jour) et conserve ainsi la sveltesse et la souplesse qui favorisent le bien-être et l’activité. Le résultat obtenu témoigne ainsi du bienfait des ordonnances du Dieu amour qui ne souhaite que conduire ses élus au bonheur suprême pour l’éternité obtenue par Jésus-Christ de manière exclusive. Dieu ayant bu du lait devant Abraham, je ne me refuse pas ce précieux produit que j’apprécie beaucoup pour son goût et sa valeur nutritive quel que soit l’avis des spécialistes.

A l’opposé de cette démarche, de ce choix personnel, se trouve l’humanité séduite par le « serpent » diable qui lui dit encore après l’avoir dit à Eve « Vous serez comme Dieu ». A son tour, à la gloire du « serpent », symbole de la médecine moderne, repoussant toujours plus loin les limites, le chercheur scientifique veut créer la vie et détruire la mort, mais il trouve, sans le savoir, en face de lui, le Dieu Tout-puissant qui fait retourner contre lui ses découvertes, comme ce virus du Covid-19, né dans un laboratoire chinois, dans le pays adorateur officiel du « dragon » que Jésus identifie au « diable » dans Apo.12:9. Une fois de plus, le privilège est confirmé : « l’homme spirituel juge de tout et il n’est lui-même jugé par personne ». La nature a le droit et la possibilité de créer par erreur des croisements anormaux exceptionnels dont les effets se dissolvent dans la masse vivante. Mais la création de nouvelles molécules reproduites industriellement par la physique et la chimie appliquées portent des conséquences irréversibles. La nature est agressée dans l’air, dans l’eau et dans les profondeurs de la terre qui empoisonne la nourriture de l’homme ; elle est soumise à la domination de l’homme rebelle et méchant. Elle attend, elle-aussi, le jour de sa délivrance qui ne viendra jamais plus, jusqu’au renouveau créé par Dieu à l’aube d’un huitième millénaire éternel. Par la bouche de Paul, Dieu avait dit dans Rom.8:20-21 : « Car la création a été soumise à la vanité, non de son gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise, avec l'espérance qu'elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu ».

Dans la situation désespérée où nous nous trouvons, Dieu n’exige pas l’impossible de la part de ses élus, mais, uniquement, le choix sage dans ce qui reste possible.

 

La foi fruit du bon sens

 

Telle qu’elle nous apparaît la créature humaine constitue une expression de la perfection. Or, la perfection ne s’obtient pas sans la volonté d’une intelligence. Les proportions du corps humain lui offrent en plus d’un aspect agréable, des capacités d’actions multiples qui permettent à l’être humain de toucher, de saisir, de serrer des objets, d’entendre des sons, de sentir des odeurs, de goûter des arômes ; toutes choses qui exigent des constructions mentales intelligentes. Nous avons une preuve de la perfection divine représentée dans ses créatures humaines. Quand l’homme veut inventer une nouvelle créature, il ne peut que créer des déformations des choses réelles qui existent déjà parce que Dieu les a créées. Et toutes ces choses conçues par l’esprit de l’homme prennent des aspects monstrueux. Dans l’imagination des Grecs, on trouve le « cyclope » de l’île de Crète du poète Homère. Son géant n’est doté que d’un seul œil placé au milieu du front. Mais le Dieu créateur n’a pas commis, lui, cette erreur en créant la vie sur la terre. Ses créatures sont toutes équipées de deux yeux car c’est la condition indispensable pour gérer la situation dans l’espace. Un seul œil ne permet pas d’apprécier les distances correctement. De même, les inventeurs du monde de la fiction moderne prennent la vie qui existe et se contentent de la déformer en augmentant, exagérément, les oreilles, les yeux et toute autre partie des choses existantes. Assurément, en créant le premier homme, Dieu a réalisé un vrai chef-d’œuvre qui lui vaut toute notre adoration en paroles et en actions.

 

Les élections de France de 2022 et la malédiction divine

 

La semaine du 13 au 20 Novembre 2021, je suis arrivé à la quasi-certitude que le jeune président actuel sera reconduit dans les prochaines élections ; ceci pour les raisons suivantes : en 2017, les Français ont élu le président que Dieu leur a imposé, en créant une situation favorable. A cette fin, le candidat pressenti pour la victoire a été exclu de la course. Votant contre le « Front National » présenté pendant des décennies comme un épouvantail diabolique, les Français ont involontairement élu le jeune homme sans expérience, déjà connu comme étant arrogant et ambitieux. Sachant que la malédiction divine est la cause de la victoire de ce jeune homme élu, Dieu n’a pas de raison de l’enlever du pouvoir. Par la maladresse du jeune chef d’Etat mal inspiré, la malédiction divine doit conduire le pays jusqu’à sa ruine et sa partielle destruction que ses ennemis internes et externes vont accomplir dans le contexte imminent de la « sixième trompette » ou « Troisième Guerre Mondiale ». Il est trop tard, pour que la France change ses options. Son président vise une domination européenne qui le porte à soutenir et encourager les mélanges ethniques de la France et des autres pays européens. De plus, subissant les conséquences de la situation de la « Deuxième Guerre Mondiale », les Français cultivent un sentiment de plusieurs culpabilités. Le soutien du régime de Vichy collaborateur avec l’Allemagne est le premier. Le second est le passé colonialiste de la France. Les remords et les regrets ont tué l’esprit patriote du peuple. La crainte d’être considérés comme des gens racistes pousse les Français à accueillir sans regimber la misère de toute la terre. Et pour envenimer encore plus les choses, les minorités soutenues expriment maintenant des exigences sur de multiples sujets en sorte que la culture française et toutes ses normes sont attaquées par des idées venues des USA ou du Canada. La France et ses valeurs traditionnelles s’écroulent ensemble. L’esprit « Babel » produit son fruit de confusion et de séparation, au sein même du peuple de France de plus en plus férocement divisé.

Je rappelle le parcours suivi par la malédiction divine qui concerna en premiers les Juifs de l’ancienne alliance, comme le jugement divin exprimé par l’apôtre Paul l’a prouvé : dans Rom.11 : « les branches retranchées (ou coupées) du tronc » ; dans Rom.2:9 : « Tribulation et angoisse sur toute âme d'homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec ! ». Ce jugement est plus tard confirmé par Jésus-Christ qui nomme les Juifs « synagogue de Satan » dans Apo.2:9 et 3:9. Ce jugement divin porté contre son peuple fait apparaître qu’être le dépositaire exclusif de la sainte parole de Dieu écrite ne suffit pas pour rester dans son approbation. Bien au contraire, leurs écritures prophétiques ayant témoigné et annoncé aux Juifs la venue du Messie Jésus, la parole de Dieu écrite se retourne contre eux et condamne leur nation juive ; elles les jugent et les tuent ; choses accomplies littéralement par les Romains en l’an 70. Dans l’ère chrétienne, après l’abandon du sabbat remplacé par le « dimanche » établi comme « jour du soleil » par Constantin 1er, à partir de 538 la malédiction s’incarne par la religion catholique romaine qui, soutenue militairement par la France, va longtemps dominer sur le continent européen. Ses persécutions dirigées contre les Réformateurs du 16ème siècle vont forcer ces derniers à s’exiler vers des pays plus accueillants et parmi ces pays, la terre américaine nouvellement découverte ou redécouverte. Le roi français, Louis XVI, offre son soutien aux nationaux américains entrés en révolte contre le dominateur anglais. Les USA gagnent en premier la liberté et la majorité étant protestante, ce pays donne à la Bible une grande importance dans sa constitution jusqu’à notre époque. La liberté américaine est suivie par la liberté du régime révolutionnaire français imposé à tout le peuple de France. La liberté s’étend à d’autres peuples par les victoires militaires de l’empereur Napoléon 1er. La religion devient libre par son « Concordat », mais elle concerne, à cette époque, que les religions chrétiennes et juive, déjà très affaiblies par la libre pensée athée qui gagne les esprits humains. En 1843, aux USA, à cause de l’entrée en application du décret de Dan.8:14, le jugement de Dieu condamne la foi protestante et le fruit de la malédiction prend la forme de l’accueil des populations hispaniques catholiques. Comme vont en témoigner les films modernes du cinéma américain, les prêtres catholiques vont remplacer les révérends et pasteurs protestants. La réconciliation des deux religions ennemies a été ainsi confirmée, et l’Amérique porte alors l’aspect que Dieu va lui donner dans son rôle prophétique de « la bête qui monte de la terre » dans Apo.13:11 : « une bête comme un agneau qui avait deux cornes » ; « Deux cornes » soit, la foi protestante et la foi catholique. La malédiction juive ayant été clairement révélée par l’histoire, la prophétie évoque et révèle uniquement les malédictions protestante et catholique ignorées des masses humaines. Les deux religions chrétiennes étant frappées de la malédiction de Dieu, c’est l’athéisme qui est venu en premier combler le vide religieux laissé libre. La situation se gâte récemment à cause de l’entrée en scène de la religion de l’islam. Car celle-ci s’est développée dans les pays du Moyen-Orient en toute liberté, séparée du monde occidental. Sa caractéristique particulière est de ne point avoir de chef religieux et sa puissance repose sur l’adhésion et l’obligation héréditaires exclusives de ses membres. L’islam est une conception de religion où la vie de l’homme est entièrement placée sous la règle religieuse sans distinction de profane et de sacré ; ce qui correspond d’ailleurs au modèle donné par Jésus-Christ et ses apôtres. C’est bien ce que Dieu demande quand il dit aux Hébreux et aux Chrétiens dans Deu.6:5, 11:1, 30:6 et Mat.22:37, Mar.12:30 et Luc.10:27 : « Il répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée ; et ton prochain comme toi-même.». Le problème de l’islam est que l’amour exigé par Dieu repose sur la reconnaissance de son sacrifice mortel volontaire accompli dans la personne humaine et divine de Jésus-Christ ; ce à quoi l’islam ne souscrit pas. Le choc de deux civilisations, l’islam hyper-religieux et l’occident faussement chrétien, et clairement agnostique, va produire, et produit déjà, des agressions guerrières meurtrières orchestrées par le grand Dieu créateur qui punit ainsi l’abandon du zèle chrétien et l’infidélité des faux chrétiens occidentaux. La religion va ainsi conduire les peuples du monde dans des conflits terribles, car c’est par elle que le jugement de Dieu, qui les condamne toutes, s’exécute. En signe précurseur, en opposant les religions concurrentes, orthodoxe serbe au catholicisme croate et à l’islam de la Bosnie, la « Guerre des Balkans » a rappelé à l’Europe occidentale et à l’Europe orientale leur redoutable et tragique destin.

Dans le projet divin de la dernière épreuve de foi, les USA vont tenir le premier rôle ; celui du dominateur universel qui impose sa volonté, selon son avis, pour le bien de tous. Dans l’Apocalypse, cette entité américaine n’apparaît que dans Apo.13:11 sous l’image de « l’agneau à deux cornes » qui, représentant la foi protestante et la foi catholique coalisées, constitueront ensemble « la bête qui monte de la terre ». Les USA se sont construits à partir de 1776 sur une terre ignorée des hommes jusqu’au 16ème siècle. C’est ce qui justifie qu’elle ne soit pas mentionnée en tant que nation dans le livre de Daniel dont il nous faut comprendre sa particularité spécifique. Dans ce livre, le peuple de référence est l’Israël de l’ancienne alliance, le peuple de Daniel. Et tout particulièrement, Daniel 8 nous donne des précisions géographiques conformes aux situations des entités ciblées par la prophétie, et ceci, toujours par rapport au Moyen-Orient où se tient Israël. C’est pourquoi, dans Dan.11:40, la Russie y apparaît comme le « roi du septentrion (ou nord) », le « nord » par rapport à Israël. De même l’islam de l’Arabie est nommé « roi du midi (ou sud) », ce qui reste encore conforme avec la position d’Israël. Et parce qu’à l’époque du prophète Daniel, l’existence du continent américain est ignorée, Dieu ne la mentionne pas comme « roi », son existence est gardée secrète, mais il prophétise son action nucléaire punitive contre la Russie dont le « roi » et la domination vont cesser, détruits sur les montagnes d’Israël, après avoir, dans une grande colère désespérée, ensanglanté principalement l’Europe occidentale envahie et ciblée par la prophétie. En fait, pour Dieu et la vérité historique, l’Amérique n’est qu’une excroissance tardive des « dix cornes » ou « rois » européens concernés par la pratique du dimanche hérité de Constantin 1er. Et ceci concerne également le grand territoire de l’Australie et celui de l’Amérique du sud. Car en effet, dans Daniel 8, Dieu prophétise une domination venue de l’occident d’Israël ; celle de Rome. Le centre religieux de référence passe ainsi du Moyen-Orient à l’Occident. Et c’est depuis cet Occident « chrétien » que des peuples commenceront à peupler les deux continents américains ; dont celui du nord qui domine déjà toute la terre et colonise commercialement et culturellement toutes les nations séduites et exploitées, mais converties volontairement à son modèle de vie.

 

Semaine du 28/11 au 04/12/2021

 

L’actualité est centrée sur deux sujets principaux qui terrorisent les médias et le vieux peuple français. Il s’agit du virus Covid et du virus nommé nationalisme. Car, à en juger par les réactions haineuses des médias et de ceux qu’ils ont manipulés, pendant plus de cinquante ans, ces choses semblent être les deux cibles visées par leur colère. Eric Zemmour a osé dénoncer le risque d’un « grand remplacement » et sa seule erreur est de ne pas dire que ce « remplacement » est déjà accompli. Il est sûr qu’il peut encore s’amplifier dans une guerre civile ou la Guerre Mondiale qui vient, mais l’essentiel est déjà réalisé. Le remplacement est celui des idées et des normes de la pensée publique civile et politique. Comparons les situations opposées du début et du temps actuel de la 5ème République.

En 1958, au temps du général de Gaulle, la France libérée se compose principalement de deux partis politiques qui sont la droite catholique républicaine qui soutient le Chef d’Etat et en face d’elle une forte représentation des travailleurs français rassemblés sous l’égide du parti communiste d’inspiration russe et soviétique. L’esprit nationaliste règne dans les deux camps et le programme d’affranchissement envers les USA envahisseurs est soutenu par tous. Il faut donc avoir vécu en cette époque pour relever le changement, l’authentique renversement de ces valeurs comparativement à celles qui sont soutenues aujourd’hui par le plus grand nombre. En 2021, l’esprit national est diabolisé, parce que les vivants d’aujourd’hui n’ont, en France et en Europe, jamais connu un contexte de guerre dans leur propre pays. Favorisée par Dieu, la longue paix a produit un projet d’entente universelle qui prend son origine dans le dessein de la construction de la « tour de Babel » né dans la pensée du roi Nimrod. Pour l’opinion humaine, cette conception de la vie qui vise à établir une paix sûre entre les humains est noble et inattaquable. Pour l’enfant de Dieu, elle l’est tout autant, puisque c’est là, le modèle que Dieu va offrir éternellement à ses élus vainqueurs. C’est là que la Bible apparaît précieuse, pour comprendre ce que nous vivons, et ce qui fait toute la différence de la vision finale des deux camps, selon que Salomon, cette sagesse divine incarnée dans l’homme, déclare dans Ecc.1:9-10 : «Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. S'il est une chose dont on dise : Vois ceci, c'est nouveau ! Cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés ». Après Nimrod, au cours de l’histoire terrestre, cette tentative d’établir une paix universelle s’est renouvelée. Elle était le mobile des conquêtes des grands dominateurs de l’histoire, et parmi eux, il nous faut relever le résultat obtenu par le grand roi chaldéen Nébucadnetsar, dont le royaume obtint la paix, parce qu’il fut, personnellement, soumis et converti au vrai Dieu créateur de tout notre univers terrestre. Ce que les agnostiques incroyants ou incrédules ignorent, c’est que l’obtention de la paix, si précieuse et recherchée par tous, est impossible et uniquement obtenue par le bon vouloir de Dieu. Or, en Jésus-Christ, il n’a pas annoncé la paix, mais « l’épée » et des « guerres » en successions perpétuelles ; Matt.10:34 : « Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée » ; Matt.24:6 : « Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres : gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin ». Ainsi, Dieu seul réussira à créer un contexte de vie de paix universelle éternelle, parce qu’afin d’obtenir ce résultat, il aura préalablement sélectionné, trié et retenu, parmi les représentants de l’espèce humaine, les rares créatures trouvées conformes aux normes qui conditionnent la possibilité de cette paix gagnée, exclusivement, par Jésus-Christ, l’unique Sauveur universel. Il ne faut donc pas se tromper sur le sens des 76 années de paix données à ce jour à l’Europe occidentale, depuis la fin de la « Seconde Guerre Mondiale ». La métamorphose des esprits humains obtenue au cours de cette période apporte la démonstration attendue par Dieu. Ni la guerre, ni la paix n’ont permis aux humains rebelles l’établissement du bonheur partagé et la paix durable. Les illusions créées laissent place à la réalité : les différences raciales, ethniques ou religieuses, ne favorisent, ni la richesse, ni la paix, mais au contraire, l’opposition et la guerre. L’immigration se transforme en malédiction avec sa croissance au fil du temps. Tout n’est que question de proportion. Quand la minorité devient égalité, les exigences nouvelles apparaissent et s’imposent, et elles créent des problèmes insupportés par les Français de sang qui souhaitent jouir prioritairement de leur privilège national ; ce qui révèle la malédiction du choix républicain qui donne, même à ses ennemis, la nationalité par la naissance sur le sol de la France ou de ses territoires d’outre-mer ; quand elle n’est pas accordée pour de simples raisons de complaisance, personnelle ou pas, par les dirigeants politiques. Le résultat est explosif ; une querelle, plus forte que les autres, embrasera les camps remplis de haines mutuelles. La guerre civile rendra l’Europe fragile et disponible à l’invasion russe prophétisée par Dieu dans Dan.11:40. Une prophétie de l’obscur Nostradamus dit : « Romain pontife, garde-toi d’approcher la ville que deux fleuves arrosent ; ton sang viendra cracher là, toi et les tiens, quand fleurira la rose ». Ainsi, agressé en Italie par l’islam guerrier, le pape romain actuel cherchera sous peu refuge et protection en terre de France, à Lyon ; ville arrosée par le fleuve Rhône et la rivière Saône. Le prophète indique deux grands cours d’eaux d’aspect identique. Dans cette ville de Lyon consacrée au culte de Marie, un massacre des Chrétiens catholiques (= les tiens) et du pape est annoncé « quand fleurira la rose ». Cette rose fut prise comme emblème politique par le président socialiste François Mitterrand en 1981. Elle représente donc le passage de la France sous la pensée philosophique de centre-gauche du socialisme formé et grossi au détriment du parti communiste. Les successions historiques des gouvernances françaises, ont conservé ce caractère social ; qu’elles aient été de droite ou de gauche. La rose est donc encore, en 2021, en activité, puisqu’elle apporte son soutien aux immigrations musulmanes qui préparent sa perte. La rose est le symbole fleural de cet amour qui caractérise l’humanisme aveugle que Dieu s’apprête à détruire. Mais, Jésus lui-même, n’a-t-il pas dit : « Aimez vos ennemis ! » Oui, il a dit ces choses, mais c’est uniquement à ses élus fidèles que ses propos s’adressent ; pas aux humanistes incrédules et rebelles. Et ne l’oublions pas, cet ordre de Jésus a pour but, de renforcer la culpabilité de leurs ennemis, en plaçant de la sorte, des fagots de bois de plus sur leur tête, pour le jour où Dieu les jugera et les exterminera. Le but recherché par cet amour martyr n’est donc pas l’amour, mais la justice divine.

Je m’achemine progressivement vers l’âge qui fera de moi un octogénaire. Et aussi loin que je regarde en arrière, dès mon enfance, je me souviens avoir été enthousiasmé par la pensée de l’amitié fraternelle qui devrait unir les cœurs de tous les êtres humains. Mon âme vibrait en entendant les paroles de ce chant devenues le titre d’un film, paroles qui disaient : « Si tous les gars du monde devenaient de bons copains et marchaient la main dans la main, le bonheur serait pour demain ». J’ai donc appris par Jésus-Christ, qu’en lui seul, ce rêve magnifique universel s’accomplira. Car sur la terre actuelle du péché, Dieu ne le permet pas. Et pour l’empêcher, le diable et ses suppôts œuvrent efficacement. Ils inspirent aux humains des pensées haineuses qui les conduisent à mal interpréter celles des autres. Dans mon esprit humaniste, je me suis toujours comporté amicalement envers les étrangers auxquels j’ai spontanément su rendre service. Parallèlement, j’ai découvert la facilité de leur retournement et du réveil de leur haine ressentie envers leur pays d’accueil. Pour comprendre leur état d’esprit, nous devons réaliser que dans leur fierté naturelle, ils ressentent l’humiliation d’être revenus dans le pays colon pour y prospérer. Et cette fierté les conduit à mépriser encore plus les Occidentaux soumis aux compromis imposés par leur régime républicain de longue date. Car autant les débuts de la République française furent meurtriers et belliqueux, autant dans sa fin, elle apparaît faible et méprisable. Aussi, cette faiblesse bien réelle l’expose au mépris de ses ennemis et de ses concurrents européens qui profitent et s’enrichissent de sa ruine. J’ai longtemps été victime de faits désagréables que j’imputais à tort à un immigré algérien venu habiter dans mon immeuble. Dans l’intimité, il ne cachait pas qu’il éprouvait une forte haine envers la France et les Français. Ce n’est qu’en 2021, que l’installation de caméras vidéos m’ont permis de découvrir le vrai coupable des méfaits accomplis et constatés. Je l’avais placé hors de tout soupçon, en raison d’un comportement débile mais ouvertement amical. J’ai ainsi découvert que ce voisin, bien français, gravement dyspepsique et  partiellement boiteux dont je ne parviens que difficilement à comprendre les sons qui sortent de sa bouche était réellement envers moi, en premier, menteur, voleur, dissimulateur, et incendiaire. Ces personnes débiles mentales sont jugées par les psychiatres, aptes à vivre au milieu des gens normaux. En vérité, ce sont des êtres sans défense, incapables de résister aux inspirations des démons qui font des actions méchantes à travers elles. En son temps, Jésus aurait dit à ces personnes débiles : « Démon, quel est ton nom ? » Aujourd’hui, la science humaine tente de réduire, par ses drogues, leur réaction violente quand c’est le cas, et quand ce n’est pas le cas, les démons continuent d’agir en toute tranquillité. Cet exemple montre la nocivité du jugement purement scientifique qui contribue, par son aveuglement, à intensifier les maux qui frappent l’humanité globale, croyante, incroyante ou incrédule. Avec raison, Paul a déclaré dans Eph.6:12 : « Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes ». Protégés par leur invisibilité, seule l’analyse d’une foi éclairée permet de les identifier comme véritables auteurs des méfaits commis. La France n’a eu à souffrir des conséquences de l’immigration qu’à cause des choix politiques et économiques faits par ses dirigeants présidentiels successifs. Ils ont ruiné leur pays en le livrant à la concurrence étrangère ; dans un premier temps, européenne, et ensuite, pour l’achever, par les délocalisations faites au profit de la Chine. C’est dans ce contexte de ruine que la présence étrangère est devenue une charge insupportable et le bouc émissaire de la pauvreté constatée. Et la cause islamiste n’a eu qu’à enfourcher une situation défavorable pour justifier ses exactions envers la France et le monde chrétien occidental global.

Dans le contexte très dur de l’après-guerre qui succédera à la Troisième Guerre Mondiale qui vient, les survivants rebelles penseront pouvoir, enfin, instaurer les conditions d’un gouvernement universel unique, qui permettra d’obtenir ce que Babel n’avait pas réussi à conserver. Le grand remplacement redouté et annoncé par Eric Zemmour, le candidat officiel pour la présidentielle de 2022, a déjà été signalé et prophétisé par Dieu dans Apo.18:2-3, en ces termes : « Il cria d'une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l'impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe ». L’aspect multi-cultuel de la France et des pays européens est souligné par le terme « impur » cité deux fois. Après la recherche de la pureté raciale du gouvernement nazi hitlérien, l’Europe entière, catholique et protestante, a pris le contre-pied absolu de cette démarche condamnée en se lançant dans une politique d’accueil qui a conduit au désastre qui apparaît aujourd’hui. Si la concurrence économique peut porter de graves conséquences financières, l’autre concurrence, elle, religieuse, est encore plus dommageable. Car elle conduit Dieu à intervenir personnellement dans l’histoire et la vie humaine pour punir les coupables. Les virus mortels et la guerre mondiale qui vient en sont les expressions visibles douloureuses concrètes. Et les vrais scientifiques et leur soutien composé d’innombrables perroquets propagandistes sont devenus les nouveaux prêtres des sociétés et des peuples occidentaux déchristianisés, gravement ramollis, décadents et soumis, bien que restant rebelles à la vérité profane ou religieuse. Le dictat de la communauté scientifique a remplacé le dictat religieux de la monarchie catholique romaine pour la prolongation du malheur des peuples concernés. Ce nouveau dictat est favorisé par l’accroissement de la puissance des dirigeants des grandes nations contemporaines. Ceci est révélé dans Apo. 9 :17, en message symbolique : « Et ainsi je vis les chevaux dans la vision, et ceux qui les montaient, ayant des cuirasses couleur de feu, d'hyacinthe, et de soufre. Les têtes des chevaux étaient comme des têtes de lions ; et de leurs bouches il sortait du feu, de la fumée, et du soufre ». Partout sur la terre, dans les pays qui la possèdent, la décision de l’usage de l’arme nucléaire est confiée à une seule personne. Et cette situation, aux conséquences destructrices épouvantables, est digne d’être relevée et révélée par le Dieu créateur des vies qui vont massivement être détruites, par ces moyens modernes terrifiants. Dans le verset cité, le mot « tête » désigne, selon Esa.9:14, le « magistrat » soit, dans Apocalypse 9, les chefs d’Etat ou présidents des nations. Et le mot « lion » leur impute la force, selon Juges 14:18, dans ce cas, nucléaire, suggérée par les termes « feu, fumée et soufre ». La chose est confirmée et appuyée dans le verset qui suit. Dieu impute aux paroles soit, aux « bouches » des magistrats, la décision de l’emploi de l’arme atomique : « Le tiers des hommes fut tué par ces trois fléaux, par le feu, par la fumée, et par le soufre, qui sortaient de leurs bouches ». En donnant aux actions nucléaires le nom de « fléaux », Dieu révèle sa responsabilité dans les actions destructrices et il les présente comme des conséquences de son divin jugement qui concerne tous les êtres humains qui vivent sur la terre, en quelques lieux qu’ils se trouvent et quelles que soient les religions qu’ils professent et confessent. Son unique projet salvateur basé sur Jésus-Christ, qu’ils méprisent, rejettent ou sous-estiment, les condamne tous à souffrir et à mourir à terme, uniformément. Cependant, parce que leur infidélité aura nui à la cause même du salut offert par Dieu en Jésus-Christ, tenus pour plus gravement coupables, les faux chrétiens subiront un sort plus dur, selon Apo.19:20-21 où ils sont désignés sous les symboles de la « bête » catholique et du « faux prophète » protestant. La différence révélée dans le verset 21 avec les autres peuples non chrétiens, apparaîtra à l’heure de leur destruction finale pour leur extermination définitive dans « l’étang de feu » qui donne la « seconde mort », selon Apo.20:14. Mais ceci, pas avant la fin du « septième millénaire » qui va commencer au printemps 2030.

 

Quand Satan chasse Satan

 

Pour étonnante que la chose paraisse, ce type d’action est une réalité. Chacun doit, en premier, se poser cette question et y répondre : Pourquoi Satan se priverait-il de ce type de ruse, lui qui n’a plus rien à perdre, ayant déjà perdu la vie éternelle dont il avait naturellement hérité au titre de premier ange céleste créé par Dieu ? Dans l’antichambre de la mort promise, Dieu ne lui a-t-il pas laissé la possibilité d’agir à sa guise jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ ?

Pour te convaincre que Satan chasse bien Satan, voici des arguments basés sur des déductions logiques qui s’imposent après avoir reçu la connaissance du message prophétique appelé « Apocalypse de Jésus-Christ » soit, « Révélation de Jésus-Christ ». Car c’est dans Daniel et Apocalypse, qu’en Jésus, Dieu révèle le véritable jugement qu’il porte sur l’église catholique romaine et ses papes successifs. Jamais sous son identité réelle, mais par des symboles, maudite par Dieu depuis son début en 538 et jusqu’à sa fin en 2030, l’église romaine y apparaît comme étant la cible principale de ses châtiments et de ses condamnations. Chez elle, Satan est chez lui. Dans Apo.13:3, lui, Satan, qui sous l’image du « dragon » d’Apo.12:3 avait ensanglanté les arènes romaines du sang chrétien par ses agents, les empereurs de Rome, donne à l’église dite « chrétienne » romaine et papale, je cite : « son autorité, sa puissance, et son trône ». La conversion de Rome au christianisme papal reconduit Rome dans une nouvelle forme de domination, cette fois uniquement religieuse, en sorte que cette succession est une forme de relais trompeur diabolique.

Dès lors, le piège doit rester ignoré par les peuples humains, aussi, l’église va devoir, en apparence, apparaître comme luttant contre le diable, l’ennemi vaincu par Jésus-Christ. C’est ainsi que l’organisation du diable instaure ces tribunaux inquisiteurs, censés lutter contre le diable et ses suppôts. Les cibles sont officiellement, les sorciers et les sorcières qui pratiquent des sciences occultes, précisément accusés d’avoir commerce avec le diable, mais en dehors de ces cibles justifiées, l’église persécute les vrais serviteurs et servantes de Dieu en Christ, ceci au nom de l’hérésie qui caractérise tout ce qui s’oppose à la norme de l’enseignement catholique romain officiel défini par le pape de l’heure.

Les multitudes humaines sont de la sorte trompées ; ces chasses aux démons masquent son identité diabolique. En apparence, elle prolonge les actions de Jésus qui, lui-même, chassait les démons pendant son ministère terrestre. Et aujourd’hui, comme à son époque, ceux qui bénéficient de ses délivrances par les prêtres exorcistes sont ses premiers et efficaces témoins. Ils ont constaté et ressenti dans leur chair et leur esprit, le changement qui explique leur nouvel état. Il est donc difficile, pour ces personnes d’accepter l’idée qu’elles ont été délivrées du diable ou de ses démons par le diable lui-même ou l’un de ses démons. Comme le « serpent » en Eden, le prêtre exorciste, n’est qu’un instrument intermédiaire soit, un médium, qui revendique un pouvoir donné par Jésus-Christ. Il est facile de comprendre que Jésus ne peut pas donner un quelconque pouvoir à un représentant de l’église ennemie à laquelle ses messages sont toujours adressés à la troisième personne, car il ne s’adresse jamais à elle par la deuxième personne du singulier ; la formule « tu » n’est appliquée que pour s’adresser à ses vrais serviteurs ; même si leur reconnaissance par lui n’est que provisoire. Ceci apparaît dans Apo.3:1 où ce « tu » concerne la foi protestante condamnée par Jésus en 1843. Dans l’époque qui précède, nommée Thyatire, le message du « tu » concerne également les protestants du 16ème siècle dont la bénédiction n’était que provisoire dans l’attente d’un « nouveau » « fardeau » qui désigne l’achèvement de la Réforme avec la restauration du sabbat sanctifié par Dieu depuis sa création de notre monde. Son exigence à partir de 1843 va justifier celui de Sardes où il lui dit « Tu passes pour être vivant et tu es mort ». Au 16ème siècle, les vrais serviteurs de Jésus-Christ étaient les cibles de la haine des ligues catholiques au service de la « fausse prophétesse » nommée symboliquement « Jézabel » par comparaison avec la reine des Juifs, l’épouse étrangère phénicienne adoratrice des Baals prise pour femme par le roi Achab. Elle avait, elle aussi, porté sa haine meurtrière sur les vrais prophètes de YaHWéH et en avait fait tuer 400. Ces choses sont expliquées en détail dans ce livre, aussi, je me contente de rappeler ici la façon dont Jésus refuse de s’adresser directement à cette dénomination religieuse catholique ni à aucun de ses représentants. Le cas du catholicisme étant révélé, à partir de 1843, « les ténèbres » prises pour « la lumière » vont s’intensifier en concernant cette fois la foi protestante sous ses multiples formes et dénominations. Aux USA, après cette date de 1843, les fruits de la malédiction divine apparaissent : la guerre civile interne dite de « sécession » ; la pratique intense de l’occultisme et du spiritisme. Et de nouveau, comme chez les Catholiques avant eux, dans les églises protestantes, les pasteurs abandonnés par l’Esprit du Dieu vivant exorcisent : « Satan chasse encore Satan ».

La leçon de l’histoire révélée est de comprendre que ne chasse pas vraiment Satan qui veut, mais seulement qui le peut, selon que Dieu le confesse pour son enfant et lui accorde ce pouvoir. Mais, faut-il pour cela, que l’exorciste soit lui-même trouvé « digne » par Dieu d’une telle action. Et dans Apocalypse  seuls les « premiers adventistes » triés et sélectionnés par l’épreuve de 1843 sont reconnus comme étant « dignes de marcher avec Jésus revêtus de blanc » selon Apo.3:4. Hélas pour eux, l’histoire ne s’est pas arrêtée là car la même malédiction a frappé, cette fois l’adventisme officiel et depuis 1994, ses prières se joignent à celles des autres déchus qui l’ont précédé. Depuis, Satan n’est plus réellement chassé par personne, ce qui justifie l’extension de sa puissante influence malfaisante sur l’ensemble des peuples de la terre, dont l’occident faussement chrétien puisque selon Jésus-Christ, à Rome se trouve son « trône » selon Apo.2:13 : « Je sais où tu demeures, je sais que là est le trône de Satan. Tu retiens mon nom, et tu n'as pas renié ma foi, même aux jours d'Antipas, mon témoin fidèle, qui a été mis à mort chez vous, là où Satan a sa demeure ». Le tutoiement de ce message est justifié parce que Jésus trouve dans Rome ses disciples fidèles depuis que Paul et Pierre sont venus y apporter l’Evangile du salut. Mais en 538, date rattachée à ce message, le nouveau catholicisme romain est désigné et dénoncé comme porteur de la « doctrine de Balaam » dans le verset 14 qui suit : « Mais j'ai quelque chose contre toi, c'est que tu as là des gens attachés à la doctrine de Balaam, qui enseignait à Balak à mettre une pierre d'achoppement devant les fils d'Israël, pour qu'ils mangeassent des viandes sacrifiées aux idoles et qu'ils se livrassent à l'impudicité. ». Pour mieux la séparer de ses serviteurs dans le verset 15 il dit à son sujet : « De même, toi aussi, tu as des gens attachés pareillement à la doctrine des Nicolaïtes ». C’est donc sous le nom de « doctrine des Nicolaïtes » que Jésus désigne le régime papal naissant. Le nom Nicolaïtes est construit sur les mots grecs Niké et laos qui signifient peuple victorieux, ce qui désigne clairement pour l’époque la domination des derniers empereurs romains victorieux avant la chute et l’effondrement de l’empire. En 538, Vigile 1er est un personnage intrigant qui profite d’une relation intime avec Théodora la prostituée épousée par Justinien 1er, pour, en premier, s’asseoir sur « le trône de Satan » au palais du Latran à Rome. Ce couple impérial qui instaure la malédiction dans la foi chrétienne ressemble curieusement au couple également maudit par Dieu, Jézabel et Achab de l’ancienne alliance. Et ce n’est pas sans raison que le nom de « Jézabel » va désigner l’église romaine persécutrice du 16ème siècle dans le message nommé Thyatire qui signifie « porc en rut, et donner la mort avec souffrance » soit, l’heure de l’apogée de « l’abomination de la désolation » prophétisée dans Dan.9:27 : « ... le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur. » ; Souvent, parce que la traduction littérale propose un message qu’ils ne comprennent pas, les traducteurs de la Bible transforme et déforme le texte hébreu original. C’est le cas de ce verset mal traduit dont voici la traduction littérale : « Et sur une aile seront des abominations de la désolation et jusqu’à une extermination (ou une entière destruction) et elle sera brisée, [selon] ce qui a été décrété, sur la [terre] désolée ». Ce mot « aile » fut incompris et donc supprimé par Louis Segond dans sa traduction. Or, les ailes sont symboliques du caractère céleste et donc de la religion. Par ce symbole « aile », l’Esprit désigne la foi catholique dominatrice sur la France et sur l’Europe organisée elle-même sur le traité de Rome signé en 1957 et confirmé en 2004. Il est donc annoncé que la séduction du catholicisme papal romain, blessé à mort provisoirement par les Révolutionnaires français entre 1792 et 1798, devait être guérie par le Concordat de Napoléon 1er. Elle devait ainsi prolonger sa séduction fatale jusqu’au puissant retour glorieux de Jésus-Christ qui la démasquera et la détruira ainsi que tous ses partisans et soutiens rebelles, tous faussement chrétiens.

Evidemment, dès lors que son comportement envers ses concurrents religieux a entièrement changé, ne persécutant plus, parce que n’étant plus soutenue par le bras armé royaliste français, sa véritable nature est encore plus difficilement découvrable. Un amour humaniste trompeur la caractérise, mais le défaut de cet amour est précisément de ne le partager qu’avec des hommes, alors que seul l’amour manifesté pour Dieu en Christ désigne la vraie foi. Dans ses commandements cités dans Matt.22 :37-38, l’amour pour Dieu est désigné comme étant prioritaire : « Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C'est le premier et le plus grand commandement ». Puis il ajoute : « Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Et ce reproche adressé aux Juifs de son temps concerne aujourd’hui, depuis 1843, toutes les religions qui honorent et pratiquent religieusement le repos du dimanche de l’héritage catholique romain adopté depuis le 7 Mars 321, date où l’empereur Constantin 1er l’a imposé dans tout l’empire romain. Ce dimanche est devenu depuis 1843, le signe de l’adoration involontaire du diable. Les élus de Jésus ne peuvent qu’apprécier le fait que l’identification du chrétien maudit par Dieu soit devenue aussi facile et simple. Mais attention, une pratique uniquement traditionnelle du vrai sabbat ne suffit pas pour être béni et sauvé par le sacrifice de Jésus-Christ. Dans le cœur des humains, Dieu détecte et identifie le véritable amour de sa vérité et de sa personne, en pensée et en action ; ce sont là, les seules critères qui font, d’un appelé, son élu. Nous lisons dans Matt.15:3 : « Il leur répondit : Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition ? » Car les reproches adressés par Jésus  conservent leur valeur jusqu’à la fin du monde. C’est d’ailleurs la raison de l’écriture du témoignage de l’ancienne alliance juive. Il a été relevé par écrit pour éviter aux chrétiens de la nouvelle alliance de commettre à leur tour les mêmes erreurs et les mêmes péchés.  Hélas ! Ce reproche concernant toutes les organisations religieuses de la terre, cette autre déclaration de Jésus citée dans Luc 18:7-8   peut être déjà aujourdhui tragiquement constatée : « Et Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tardera-t-il à leur égard ? Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » Cette question posée par Jésus, pour le moins inquiétante, devrait inciter à la prudence et la méfiance tout lecteur ou lectrice de sa parole et lui permettre au moins de comprendre que les grandes organisations religieuses ne le représentent pas, contrairement à leur prétention revendiquée. Les véritables élus sont, eux, cachés dans l’anonymat et c’est uniquement dans une sorte de clandestinité que le message de vérité de Dieu arrive dans les esprits humains qu’il en juge dignes.

En réalité, le seul moyen de chasser Satan, c’est de lui donner tort en acceptant de se soumettre au Dieu créateur et à ses lois parfaitement honorées par Jésus-Christ avant tous les hommes. C’est seulement dans ce cas, que lui, Jésus, nous offrant son aide, peut, en grand prêtre exorciste, expulser Satan et ses démons de notre vie, et ceci de manière strictement individuelle et sous condition de ne pas spéculer sur la grâce obtenue. Car, un retour vers le péché peut rendre l’obtention du pardon encore plus difficile et à terme, impossible.

Cependant pour être convaincu par ces leçons déduites qui s’enchaînent et se succèdent, il faut impérativement partager avec Dieu, son jugement révélé par Jésus-Christ. C’est ici, que les prophéties apparaissent comme incontournables et indispensables pour que l’appelé s’adapte aux exigences de Dieu de son époque, afin d’obtenir, en Jésus-Christ, le statut d’élu qui garantit son salut. Seule l’obéissance aux lois et principes divins, vécue dans un esprit critique, dans la crainte de déplaire au Dieu qui juge nos actions et nos pensées, apporte dans notre esprit le témoignage qu’il nous reçoit et qu’il est disposé à nous bénir ; ce que confirme ce verset de Rom.14:22 : « Cette foi que tu as, garde-la pour toi devant Dieu. Heureux celui qui ne se condamne pas lui-même dans ce qu'il approuve ! » Faut-il encore ne pas se tromper soi-même, en se jugeant d’une manière trop complaisante. Car Jésus est miséricordieux, exigeant, mais jamais complaisant.

 

Jésus-Christ candidat pour l’élection du dominateur des cœurs universels

 

Son programme

Il se résume par un seul verset : « Rendez à Dieu ce qui appartient à Dieu et à César ce qui appartient à César ». Adapté à la réalité de notre époque, ce texte devient « et à Rome ce qui appartient à Rome ». Dès lors, nous n’avons plus qu’à énumérer la longue liste des choses qui lui sont dues.

1-                  L’abandon du repos sabbatique hebdomadaire du véritable « septième jour » sanctifié par Dieu au repos de Dieu et de l’homme ; ceci dès la création du monde. Dans l’énumération des fêtes de YaHWéH, dans Lév.23, l’observation du sabbat hebdomadaire vient en tête des autres fêtes qui ont trouvé en la première venue du Christ leur accomplissement. Ce n’est pas le cas du sabbat dont l’accomplissement prophétisé ne s’accomplira qu’en 2030 par l’entrée dans le septième millénaire que le sabbat hebdomadaire sanctifié annonce. Son abandon par les chrétiens, pour obéir au changement de jour imposé par un décret de l’empereur romain Constantin daté du 7 Mars 321, est le premier péché duquel vont résulter beaucoup d’autres péchés contre la loi divine. Il est à ce titre à la base de toutes les formes de la malédiction de Dieu qu’Apo.8 et 9 présentent sous le nom symbolique de « trompettes ». Il y en aura « sept » et la « septième » s’accomplira par l’intervention en gloire de Jésus-Christ.

2-                  L’adoption du dimanche. A l’origine, appelé « Jour du Soleil Invaincu » par les païens de l’empire romain, il fut imposé par le faux converti impérial, Constantin 1er le grand, par un décret daté du 7 Mars 321. Dans une confusion d’esprit, le diable lui inspira l’idée que son dieu solaire et Jésus-Christ, le nouveau « Dieu » des chrétiens, n’étaient qu’une seule et même personne divine. Il est donc à l’origine de cette nouvelle doctrine chrétienne qu’Apo.2:13 nomme « doctrine des Nicolaïtes » soit, après traduction : « doctrine chrétienne du peuple romain vainqueur ». En opposition directe absolue au Sabbat, le « sceau du Dieu vivant », le dimanche romain, ex-jour du Soleil rebaptisé par la suite pour mieux séduire et cacher le piège satanique « Jour du Seigneur », va être présenté par Dieu au titre révélateur de « marque de la bête », dans Apo.13:16 ; 14:9-10 ; 16:2 ; 19:20 ; 20:4. Par leur acceptation de cette transgression du quatrième commandement de Dieu, la foi chrétienne s’est rendue coupable de pécher contre lui, et cette action est venue rompre l’alliance nouvelle actée sur le rachat des péchés effectué par Jésus-Christ. Ce péché pratiqué contre le texte biblique portait le caractère du péché volontaire qui annule le bénéfice de la grâce divine offerte dans la nouvelle alliance. Cette lourde faute va être suivie de « sept » sanctions punitives graduelles qu’Apo.8 et 9 nomment « trompettes ». Les « six premières » ayant un rôle d’avertissement,  « la septième » mettra fin à la vie humaine sur la terre. Le fait de changer le nom « Jour du Soleil » par « Jour du Seigneur » constitue en lui-même un sacrilège arrogant supplémentaire contre le Seigneur Jésus-Christ. Il convient de relever que ce changement de nom n’a eu lieu que dans des pays de l’Europe latine dont l’Italie où siègent les papes. L’imputation du jour souillé par le culte solaire, au Seigneur Jésus-Christ, est donc une initiative purement romaine. Mais à son tour, en 1981, l’agnostisme français a fait adopter en Europe le fait que ce « Jour du Seigneur » romain soit considéré comme étant le « septième jour » de nos semaines. Une nouvelle attaque fut ainsi portée, contre l’ordre du calendrier établi par le Dieu créateur.

3-                  Le changement du texte du décalogue de Dieu. Dans Dan.7:25, Dieu l’avait prophétisé en ces termes : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps ». Les masses populaires étaient incultes et la lecture religieuse était exclusivement celle des prêtres et elle était lue uniquement en latin, la langue romaine. Les peuples assistaient donc à des séances de magie et d’enchantements séduisants mais dont ils ne comprenaient pas le sens. Ils ne retenaient que les noms des personnages bibliques, Marie, Joseph, Jésus, Saint-Pierre présenté par Rome comme le fondateur de l’église romaine, Saint-Paul, Saint-Jacques et une multitude d’autres saints réels ou fictifs. Aussi, sous prétexte d’en facilité la mémorisation, le texte des dix commandements de Dieu d’Exode 20 fut remanié par la curie romaine et son chef papal. Dans cette version, le deuxième commandement de Dieu fut supprimé pour que les ouailles et les prêtres puissent sans opposition et en toute légalité transgresser le commandement de Dieu initial en se prosternant devant les idoles déclarées saintes par l’épiscopat et le Saint-Siège. Pour masquer son arrogant forfait, l’impie romaine dédoubla le commandement concernant l’adultère, donnant ainsi à sa conception des dix commandements de Dieu, une apparente démarche de lutte contre le seul péché de la chair. Or,  c’est déjà au péché de chair, l’acte sexuel, qu’elle rattacha la notion du péché originel ; ce n’était qu’un mensonge de plus, car le péché originel fut un péché contre l’Esprit étant eu pour cause le choix de la désobéissance d’Eve et Adam ; tous deux ayant été préalablement dûment avertis par Dieu des conséquences de leur désobéissance.

Si le dimanche est venu de Rome, par contre l’offre d’un jour de repos que Dieu a originellement rattaché et fixé exclusivement sur le « septième jour », est uniquement divine. C’est à la bonté de Dieu que nous devons un jour de repos hebdomadaire bien apprécié par tous les travailleurs. Et le paradoxe est que Dieu a permis au diable de faire de ce repos apprécié un sujet de malédiction et le support d’un test d’épreuve de la foi humaine. Aussi, le choix est des plus simple : rends à Dieu la gloire d’honorer son sabbat qui prophétise la vraie délivrance de la chair, et laisse le dimanche aux rebelles qu’il a déjà jugés et condamnés en attendant leur entière destruction.

4-                  Le culte rendu à Marie. Une fois coupés de Dieu, les esprits humains sont livrés par Dieu au diable. Dès lors, séduits par des visions spirites, les démons célestes se sont présentés à eux comme des envoyés de Dieu. Le subterfuge a bien fonctionné et pour couronner cette mystification, le diable a fait adopter par tous le dogme grec de Platon de l’immortalité de l’âme, par lequel l’apparition des morts allait être rendue logique et acceptable. Et qui apparaît ? Marie, la mère porteuse de l’enfant Jésus. Dans les cultures passées des autres ethnies, ce personnage était déjà omniprésent sous les noms « Sémiramis, Isis, Astarté, Diane, Artémise, Tanit, Vénus, et Aphrodite », toutes désignant la déesse païenne de la fécondité : la femme qui enfante et tient son enfant dans ses bras. Les démons peuvent encore rire de la stupidité humaine en voyant que la chose réussit à chaque fois.

Cependant, pour l’homme le sujet ne prête pas à rire mais à pleurer. Car croire à ce sophisme simulé par le diable constitue un acte d’idolâtrie puni de mort par Dieu. Aussi, repousse et ignore tout messager contredit par ce message d’Esaïe 8:20 : « A la loi, et au témoignage ; si l’on ne parle pas ainsi, point d’aurore pour le peuple ». Ce texte se traduit ainsi : La vérité approuvée par Dieu n’est proposée que dans la Bible de A à Z. Dans la loi qui est son témoignage exclusif jusqu’à la fin du monde. Et ceux qui ne suivent pas ce chemin purement chrétien ne bénéficieront pas de la délivrance que Christ apportera à ses élus. Je rappelle qu’à l’époque d’Esaïe, la loi désigne les cinq premiers livres de la Bible écrits par Moïse sous la dictée de Dieu. Quant au témoignage, il désigne les deux tables de sa loi des dix commandements dont le texte original fut proclamé par Dieu publiquement au peuple juif rassemblé, puis dicté à Moïse dans sa rédaction du livre Exode.

5-                     Les enchantements des messes catholiques. Tenues en haute sainteté dans ses dogmes, les messes catoliques sont dénoncées par Jésus-Christ par ce terme « enchantements » dans Apo.18:23-24 : « la lumière de la lampe ne brillera plus chez toi, et la voix de l'époux et de l'épouse ne sera plus entendue chez toi, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce que toutes les nations ont été séduites par tes enchantements, et parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre ». Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, en Croatie, un personnage nommé Pavelic illustre à lui seul le message de ce verset. Ce prêtre catholique romain chef d’un camp de prisonniers serbes mettait personnellement la main à l’ouvrage au point qu’après avoir torturés à mort des serbes orthodoxes, il est apparu pour célébrer la messe catholique dans une soutane rougie du sang de ses victimes. Mais ce n’est là qu’une tardive confirmation des actions que Dieu impute à l’église catholique, depuis Daniel jusque dans Apocalypse, et que ce verset d’Apo.18:24 rappelle et résume. Les messes catholiques ne rapprochent pas mais éloignent les pécheurs de Dieu. Non seulement inutiles, elles sont également néfastes, car elles glorifient le diable son réel inspirateur. Dans cette impiété, il sabote l’acte rédempteur du Christ en lui donnant un caractère magique renouvelé dans chaque messe selon ce qu’enseigne son dogme de la « transsubstantiation ». En vérité, le pécheur n’a aucun besoin de prêtres ni aucun intermédiaire humain, puisque sa prière sincère peut être accueilli directement par Christ, l’intercesseur doctrinal céleste entre le pécheur et Dieu. Si sa repentance est sincère, il lui suffit de produire devant Dieu, en œuvres, les fruits dignes de la repentance. La désobéissance est remplacée par l’obéissance ; l’ignorance est remplacée par la connaissance de sa divine révélation biblique.

6-                  Les fêtes religieuses catholiques : Noël ; Pâques ; Pentecôte ; l’Assomption ; la fête des morts.

L’adhésion aux fêtes religieuses ou civiles est significative, car c’est l’heure où ceux qui se ressemblent s’assemblent pour célébrer et confirmer dans la joie festive leur totale adhésion au sujet fêté. Dieu observe ces comportements humains ; il les juge et il les condamne. Les fêtes sont les leurres avec lesquelles les dominateurs capturent le soutien des masses populaires. Ils leur offrent ce qu’elles désirent.

a-      Noël signifie naissance de Dieu, mais originellement, le 24 Décembre était dédié au dieu païen Tammuz représenté par le disque solaire adoré ensuite sous le nom Ré chez les Egyptiens. Sous prétexte de célébrer la naissance du Christ, les peuples trompés donnent gloire à ce dieu solaire païen en plus des honneurs qu’ils lui rendent chaque dimanche depuis le 7 Mars 321. En vérité, Dieu ne demande pas aux hommes de fêter la naissance de Jésus-Christ car il n’a laissé aucune demande qui aille dans ce sens, mais il exige des élus qu’ils reconnaissent sa mort expiatrice et la raison de son acceptation de mourir torturé, afin d’obtenir de leur part une réelle conversion qui entraîne des changements charnels et spirituels concrets.

b-     Pâques. La vraie Pâque du projet de Dieu a trouvé son accomplissement le 3 Avril 30 de notre ère. Depuis cette date, la fête est devenue caduque et inutile. La foi en Christ, la véritable, porteuse du fruit attendu par Dieu, suffit pour porter le message de la Pâque et du « Jour des expiations », les deux fêtes s’étant accomplies à l’heure de la mort de Jésus-Christ.

c-      Pentecôte. Cette fête fut ponctuelle et son accomplissement était prévu pour s’accomplir 40 jours après la mort du Christ. Sa prolongation chaque année est injustifiée.

d-     L’Assomption. Cette fête purement et exclusivement catholique romaine célèbre la remontée de la vierge immaculée, tout comme les musulmans célèbrent la montée au ciel de Mahomet sur son cheval depuis l’esplanade de Jérusalem. Les mensonges ont la vie dure et ils sont soutenus par les multitudes que le sang du Christ ne sauvera pas. Les honneurs rendus à la vierge Marie sont injustifiés. L’adoration est exclusivement réservée pour Dieu. On prie et se prosterne devant Jésus-Christ dont la divinité a été vérifiée et affirmée par les témoins de sa résurrection. Mais l’adoration de tout autre créature, même angélique, est condamnée par le deuxième des dix commandements de Dieu. Pour sa part, Marie, née uniquement humaine, est héritière du péché originel ; lui attribuer la blancheur immaculée est donc injustifiable. Comme l’ange Gabriel l’a déclaré successivement, à sa cousine et à Marie elle-même, selon Luc 1:25-28-30, « une grâce » leur a été faite ; Pour Elizabeth celle d’enfanter Jean le précurseur annonciateur du Christ, et pour Marie, celle d’être la mère porteuse du Christ de Dieu. De plus, dans la religion catholique, la hiérarchie céleste est inversée ; le rôle principal est donné à la mère et le rôle secondaire à l’enfant Jésus, son fils. Les victimes de ces choses seront désagréablement surprises quand, dans toute sa gloire divine, le Dieu Tout-Puissant apparaîtra sous l’aspect du Christ, si longtemps méprisé et frustré. Lui qui a déclaré « Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre ». Où est le rôle de Marie ? La vraie Marie a connu bibliquement son époux Joseph  selon Matt.1:25 : « Mais il ne la connut point jusqu'à ce qu'elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus ». Marie a porté après Jésus, les fils de Joseph selon Matt.12 :47 : « Quelqu'un lui dit: Voici, ta mère et tes frères sont dehors, et ils cherchent à te parler ». Marie n’était donc plus vierge après ces enfantements.

e-      La fête des morts. Elle découle directement de l’adoption du dogme de l’immortalité de l’âme et ses conséquences sont énormes. Il rend les humains soucieux du regard des disparus et afin de ne pas les froisser, ils doivent les honorer en fleurissant leur tombe qu’il convient d’orner le mieux possible suivant les moyens de chacun. Et ce dogme est très favorable aux « marchands de la terre » que Jésus-Christ mentionne dans son dernier appel, dans Apo.18:11, avant la punition de « Babylone la Grande », l’église catholique qu’il illustre par l’image d’une « prostituée ». Pour les êtres humains, le dogme de l’immortalité les rend esclaves et victimes d’une élévation du coût de la vie parfaitement vaine et inutile. En vérité, les morts ne savent rien et leur mémoire est oubliée selon ce que Dieu a enseigné par la bouche du roi Salomon et que chacun peut lire dans Ecc.9:5-6. Ceci n’est pas l’opinion humaine de Salomon, mais une authentique affirmation que Dieu lui a inspirée : « Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront ; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri ; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil ».

7-                  La foi catholique et le péché. Le moins que l’on puisse dire c’est que sa vision sur le sujet est très imprécise et très personnelle. Sa conception du rachat des péchés à prix d’argent lui enlève tout lien avec l’authentique foi chrétienne. La vente de « ses indulgences » par le moine Tetzel ouvrit l’esprit du moine enseignant Martin Luther. Il fut le premier catholique engagé qui a découvert et dénoncé la nature diabolique de l’organisation papale romaine. Mais la chose ne s’arrête pas là, car selon elle, le péché peut être expié par le coupable par des punitions corporelles que le pécheur s’inflige lui-même. Dans ce cas, pourquoi Jésus est-il venu donner volontairement sa vie ? La loi changée, nous l’avons vu précédemment, la norme de l’expiation changée…que reste-t-il de la foi des apôtres ? Rien, sinon leurs noms exploités pour l’action idolâtre condamnée par Dieu. Ceux qu’elle appelle les « sept péchés capitaux » n’ont rien de capital auprès de Dieu qui fustige et punit uniquement la désobéissance envers ses ordonnances. Et nous l’avons également vu, elle stigmatise le péché de chair, elle, que Dieu condamne pour ses péchés accomplis contre son Esprit. Exploitant un verset biblique, elle a tiré profit du principe de la confession des péchés à ses prêtres par les pécheurs. Celui qui se confesse ainsi se place sous la dépendance spirituelle du prêtre et de l’église qui recueillent ainsi la connaissance de ses faiblesses. Cet ascendant sur les âmes explique la docilité des victimes séduites trompées. En vérité que dit la Bible à ce sujet dans Jac.5:6 : « Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace ». Dans ce texte, il n’est pas question de confesser les péchés à un clergé, mais de le faire égalitairement entre chrétiens, de disciple à disciple. Car le meilleur moyen d’éviter les disputes souvent dues à l’incompréhension des uns par les autres, consiste à régler les différents en exposant clairement les griefs soulevés ; ceci, d’homme à homme. Dans l’ancienne alliance la confession était adressée directement à Dieu selon Esd.10:11 : « Confessez maintenant votre faute à YaHWéH, le Dieu de vos pères, et faites sa volonté! Séparez-vous des peuples du pays et des femmes étrangères ».

 

Les USA

 

Les sujets que je viens de présenter concernaient Rome, mais en notre temps de la fin, l’humanité subit l’influence néfaste des pensées qui arrivent sur l’Europe depuis les USA et le Canada. Et là encore, il convient de « rendre à Dieu ce qui lui appartient, et au nouveau César américain, ce qui vient de lui ». Car dans ce « monde nouveau » où le président s’engage officiellement la main sur la Bible, sa constitution privilégie la liberté, érigée en déesse dans la baie de New-York. La liberté individuelle prime sur le droit biblique, au point que la science y est reconnue comme une religion ; ce que prouve l’existence de la puissante « scientologie ». C’est aussi, depuis les USA qu’est venue la norme des sociétés multi-éthniques, dont la première forme fut la tentative lancée par le roi Nimrod en élevant sa « tour de Babel ». Dieu suggère le lien entre les deux choses en caractérisant New-York comme la ville où sont apparues les premières « tour de Babel » modernes, les « Gratte-ciel ». Ce nom lui-même est révélateur de la pensée divine, et de celle du diable qui incite l’homme à irriter ou gratter Dieu. Et l’influence de ce « monde nouveau » est visible sur toute la terre, et partout, le challenge, ou défit, consiste à ériger la tour la plus haute, même au Moyen-Orient musulman et en Asie. La domination culturelle des USA n’est plus à démontrer et les œuvres de cette nation consistent de plus en plus à saboter les valeurs religieuses et civiles établies par le Dieu créateur ; tout cela, au nom de la sacro-sainte liberté des droits de l’homme d’origine française, de même que la statue nommée « Liberté ». Il n’y a pas de doute, par l’offre de cette statue aux USA, la France a bien passé le relais aux USA pour reprendre son combat contre celui que Voltaire nommait « l’infâme », lequel désignait le Christ et sa religion. Il faut reconnaître que l’aspect que la foi catholique lui avait donné, ne lui donnait pas entièrement tort. Mais, la vraie foi était dans la norme écrite dans la Bible et là, Voltaire n’avait aucune légitimité pour justifier son choix antireligieux. Car le véritable Christ et ses vrais disciples ne sont qu’amour et service pour leur prochain ; ils n’ont rien de « l’infâme », dans tous les temps et époques de l’ère chrétienne.

L’actualité moderne nous montre comment la science développée aux USA les enrichit et construit leur ascendant sur tous les peuples de la terre. Elle a proposé, en un temps record suspect, un vaccin « ARN messager » d’un nouveau genre, vendu à coups de milliards de Dollars aux pays riches occidentaux. La future « bête de la terre » « plume » ses victimes avant de les dominer, quand la guerre qui vient les aura terrassés et ruinés. Nos dirigeant mondiaux ont oublié que l’Amérique s’est peuplée à partir d’aventuriers cupides venus de toute la terre pour l’or de la Californie et des montagnes rocheuses, qu’ils ont inventé le jeu du « Poker menteur », et qu’avant le « Scrabble », leur jeu familial préféré était le « Monopoly ». Depuis, ce nouveau « trône de Satan », des pensées abominables naissent et visent à éradiquer de la culture traditionnelle européenne multiséculaire tous ses principes fondateurs. On lui donne le nom de « Wokisme ». Dans cette nouvelle pensée libertaire, l’homme n’est plus un homme et la femme n’est plus une femme ; l’aspect sexuel binaire fondé par Dieu est contesté et doit disparaître. Grâce aux transformations effectuées par les bistouris de la science chirurgicale, le choix du sexe devient individuel. A la bisexualité s’ajoute la transsexualité. Après les choix religieux présentés sur l’étalage d’un supermarché, c’est le choix de l’appartenance sexuelle qui profite de cette offre marchande. Depuis la légalisation de l’homosexualité, l’humanité se laisse emporter dans un flot délirant de revendications plus folles et contestataires les unes que les autres. Ce bouillonnement culturel dresse les esprits humains les uns contre les autres et il vient nourrir les causes qui séparent et conduisent l’humanité aux affrontements civils et religieux. Car pour les USA, le « Wokisme » a tout les droits accordés à l’engagement religieux ; puisque c’est l’homme qui décide individuellement de ce qui est religieux ou ne l’est pas. On croyait avoir tout vu, mais non, il restait encore d’impensables surprises à découvrir. Mais « fils ou fille de Dieu », futur ange céleste asexué, réjouis-toi, car l’extension de la pensée perverse confirme l’imminence du châtiment nucléaire prophétisé. Il va frapper le refuge de la fausseté et de la perversité qui depuis l’occident se répand sur toute la terre. Comme Dieu l’a dit au prophète Habakuk : « La prophétie ne mentira pas, elle s’accomplira, elle s’accomplira certainement », soit, de manière absolument certaine.

 

 


La nature et la science

 

Ces deux sujets sont fondamentalement en opposition parce que la nature est divine, alors que la science est humaine. La nature relève et dépend du Dieu vivant, elle évolue et se trouve constamment en changement. A l’opposé, la science repose sur des bases fixées et encore limitées,  et son évolution est lente, peu encline à se remettre en question.

A l’origine de notre dégénérescence et de notre sensibilité aux maladies, il y a l’abandon du régime alimentaire prescrit par Dieu au premier couple humain ; le végétalisme, pour eux et tous les animaux. On peut relever la complémentarité parfaite de la vie animale qui respire l’oxygène de l’air et relâche du gaz carbonique indispensable pour la nourriture des végétaux qui, à leur tour, produisent l’oxygène nécessaire pour la vie des hommes et des animaux. Dans cet échange permanent, la vie sur terre pouvait se prolonger. Avec la maladie, l’homme a cherché à comprendre son propre fonctionnement afin de trouver des remèdes pour se guérir lui-même le plus rapidement possible. Et dans les temps modernes, les médicaments ont été créés, par des combinaisons de produits naturels dans un premier temps, puis par des molécules construites par des procédés chimiques aux effets secondaires plus ou moins fréquents et plus ou moins graves.  Le Dieu créateur mérite plus que les scientifiques d’être glorifié car il est injuste pour l’homme, sa créature, de s’extasier sur ses propres créations techniques, alors que les êtres vivants représentent par eux-mêmes des machines animées extraordinaires. Dieu a naturellement doté ses créatures de systèmes de défenses immunitaires complexes et performants. L’homme ne l’a pas encore égalé et il ne l’égalera jamais. Mais, l’immunité naturelle est en réalité extrêmement fragile et elle peut être détruite très facilement. Notre cerveau fonctionne  dès notre naissance comme un ordinateur, il a été programmé pour remplir des fonctions avec la recherche de la très haute précision. Prenons le cas de l’œil, il est programmé pour s’adapter à ce qu’il regarde avec la meilleure mise au point possible et sauf défaut dû à l’hérédité parentale, il y parvient aussi longtemps que ce qu’il regarde est défini par des lignes stables et précises. Mais que se passe t-il quand l’œil regarde une image floue aux lignes imprécises ? Il tente vainement d’obtenir sa mise au point, puis n’y parvenant pas, il abandonne le combat et la gestion de l’œil par le cerveau est déprogrammée. C’est alors que notre œil a recours à un verre correcteur fourni par la science des opticiens. La mise au point de l’œil est alors définitivement perdue, les muscles des yeux se relâchent et ne répondent plus aux actions nécessaires. La correction des verres va s’amplifier au cours du temps, et la mise au point naturelle est définitivement perdue. Le principe est identique pour l’ouïe. L’emploi des prothèses auditives enlève toute possibilité de retrouver une ouïe normale naturelle. La déprogrammation des fonctions normales du cerveau se fait chaque fois que l’homme lui impose une situation anormale à laquelle il ne parvient pas à s’adapter. Me suis-je éloigné du sujet religieux ? Pas du tout, car comprendre ces choses, c’est comprendre la vie que Dieu a créée. Savoir combien elle est fragile est nécessaire pour favoriser sa prolongation. Notre vie est un cadeau de Dieu notre véritable Père céleste et il est sensible à la manière dont nous le traitons, son cadeau. Le bonheur qui dépend d’une bonne santé découle de cette prise de conscience. Le respect de notre corps physique est une authentique œuvre de foi. Paul dit de notre corps qu’il est le « temple du Saint-Esprit ». As-tu remarqué la sainteté que les Juifs attribuaient au « saint temple » de Jérusalem. La même sainteté caractérisa le corps du Christ et celui de ses disciples que son sang sanctifie. Or l’actualité médicale révèle un paradoxe dangereux. Le masque couvrant le nez et la bouche a longtemps été imposé par les autorités médicales pour freiner la contagion du virus Covid-19. Le port du masque réduit la qualité de la respiration et favorise l’aspiration du gaz carbonique rejeté. L’oxygène indispensable pour purifier le sang dans les poumons est donc réduit. N’est-ce pas un paradoxe pour lutter contre une maladie qui attaque la capacité de la respiration des patients atteints. Il faut en effet être très patient pour supporter de pareilles directives inconséquentes. Et le pire est encore à craindre car c’est des USA que le vaccin des laboratoires Pfizer est venu, après le DDT qui a empoisonné les sols européens au sortir de la dernière guerre mondiale, ainsi que les semences OGM des productions Monsanto qui vise rien de moins que le monopole de la vente de la semence alimentaire, en allant jusqu’à attaquer en justice, les riverains de ses clients parce que des semences Monsanto ont débordé et poussé sur leurs terres limitrophes. Ce pays mérite bien l’expression « marchands de la terre » par laquelle Dieu le désigne dans Apo.18:11. Il ne faut donc pas nous étonner que Dieu prophétise sa domination de la dernière coalition universelle qui s’opposera à son sabbat sanctifié. La cupidité et l’amour de l’argent sont les racines de tous les maux. A son retour glorieux, Jésus le détruira.

Ce dont la science ne tient pas compte c’est que, bien qu’apparemment semblables et ressemblants, la composition des hommes est différente, car chaque créature est réellement unique. A l’heure où nous vivons, la science médicale agit non sur le cas personnel, mais sur le cas généralisé d’un grand nombre de personnes  qui sont, en réalité, toutes différentes par leur héritage génétique. Et en fonction de ce génome hérité, ce qui peut guérir une personne peut en tuer une autre. La science est mise en difficulté, parce qu’elle court derrière les créations du Dieu créateur qui peut continuellement produire, par des actions humaines ou suscitées directement par lui, des virus, des cataclysmes, et toutes sortes de phénomènes naturels ou surnaturels. Disons donc que ses combats sont perdus d’avance. L’image est celle du choc du pot de terre contre le pot de fer. Dans les laboratoires, des chercheurs s’évertuent à découvrir, par tâtonnements, l’élément et le mode de guérison, sans tenir compte des effets dus au conditionnement individuel. Même dans la nature, on trouve des herbes et des plantes qui guérissent ou tuent selon les proportions utilisées. A dose légère, la tisane de tilleul favorise le sommeil, mais à forte dose, elle excite et empêche de dormir. La nature enseigne la difficulté de la pratique médicale. En tant que Chrétien, à l’écoute de Dieu, je constate que l’humanité s’est passée de la science physique et chimique pendant environ 5800 ans. Des hommes ont vécu sur la terre dans des conditions plus ou moins saines liées à des choix alimentaires plus ou moins nocifs et destructeurs, et ils en ont assumé les conséquences, en mourant, parfois, plus jeune que la normalité. Mais pendant ces 5800 ans, la nature n’a pas souffert de leur part. La science moderne est apparue comme un cadeau diabolique empoisonné, et son poison s’est répandu dans et sur toute la terre. Il faut être honnête et relever les dégâts accomplis. Ils portent des conséquences qui remettent, pour la première fois, la prolongation de la vie sur la terre en question. Ce simple constat ne justifie-t-il pas le remord ou le regret d’avoir ainsi laissé la science compromettre le bien-être et la vie. Loin d’être mise en accusation, la science domine religieusement les esprits des dirigeants politiques, et elle impose sa façon de voir. Dans l’actualité depuis l’année 2020, elle est à l’origine de la paralysie complète des nations européennes et occidentales. Car ses décisions sont obéies par les chefs d’Etats eux-mêmes. La malédiction de l’abandon de Dieu et de ses normes se paie très cher, et ce n’est là que le prélude, les arrhes de la facture du prix qu’il reste à payer.

A la même époque, vers 1843, on peut constater deux changements aux énormes conséquences. D’une part, un test de foi basé sur l’intérêt pour la parole prophétique divine met la foi chrétienne protestante des USA à l’épreuve. D’autre part, suite au résultat observé par Dieu, peu glorieux voire désastreux, les mêmes USA et l’Europe vont se lancer dans le développement de la science physique et chimique industrielle. En France, on voit la première voiture à vapeur ; en Angleterre, apparaissent les premiers trains à vapeur, les rails sillonnent les pays chrétiens et les pays colonisés. Puis, c’est au tour du pétrole qui alimente les moteurs à essence. Aux USA, les derricks pétroliers s’élèvent en nombre dans des zones hostiles restées longtemps désertes. A la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, la mise au point de la première bombe atomique, américaine, va être suivie par plus de 2000 explosions pour des essais jusqu’à notre époque. Faut-il chercher ailleurs la cause d’un réchauffement climatique ? Que représentent, en comparaison, les rejets du gaz carbonique des véhicules motorisés de notre temps, sachant de plus que le gaz carbonique est l’aliment du monde végétal ? Homme, tu récoltes aujourd’hui ce que pendant des générations, dans l’inconscience et l’insouciance, la science des hommes a semé. Le sujet des essais atomiques n’a fait l’intérêt des masses populaires que lorsque ces essais ont eu lieu près des lieux de vies humaines. Avec le temps, ces essais étaient réalisés dans des zones désertiques ou souterraines, voire au sein des mers. Aussi, l’humanité a sous-estimé leurs graves conséquences, car la terre est un vase clos, immense, mais tout de même limité. J’ai découvert sur internet, une vidéo qui présente en animation accélérée les successions de 2100 essais de bombes atomiques de diverses puissances. La chose est impressionnante et très révélatrice des conséquences portées pour l’atmosphère terrestre et pour le sol de zones irradiées, condamnées parce que rendu invivables pour des millénaires. La Tsar bomba russe détruit dans un cercle de feu toute vie animale ou végétale, sur un diamètre de 500 kilomètres et elle sera utilisée dans la Troisième Guerre Mondiale qui vient avant 2030. Dieu se soucie t-il aujourd’hui de l’état de sa planète ? Non, car il a connu dès le commencement sa fin. Elle est liée au sort de l’homme et n’a existé que pour le porter jusqu’à la destruction de son espèce au terme de 6000 années. Pour comprendre cette résignation de Dieu à une destruction qu’il a lui-même programmée, sache qu’entre 533, date du décret de Justinien qui instaure le régime papal romain, et 538, date de son installation effective à Rome, en 535 et 536, successivement, deux énormes volcans ont craché leurs poussières et leur gaz toxiques dans l’atmosphère, chacun aux antipodes l’un de l’autre ; l’un en Amérique centrale, l’autre en Indonésie. Sur toute la terre, la poussière s’est répandue dans les deux hémisphères, et le royaume impérial de l’empereur Justinien, couvert constamment de ténèbres, a été frappé par la famine et la peste faisant des milliers de morts. Ce fut la manière dont Dieu a voulu marquer l’heure de l’installation du régime papal ténébreux. Il n’a pas cherché à épargner sa planète. Dans nos temps modernes, l’homme a longtemps utilisé la mer et la terre pour recycler ses déchets. Mais en créant le plastique, par sa science, il a donné aux poissons et aux crustacés une nourriture qu’ils n’assimilent pas et qui les tue. Considère donc que cette chose ne fait que confirmer la fin du monde pour 2030. Car les erreurs accumulées et les dégâts, qui vont résulter d’une guerre nucléaire, ne laissent aucune chance de survie de long terme à l’espèce humaine créée, à l’origine, à l’image de Dieu. Avant cette destruction, va se présenter le problème de l’eau saine, buvable sans provoquer de maladie. Car, l’usage des pesticides et des engrais chimiques depuis leur première production aux USA, a souillé les terres agricoles et les nappes phréatiques souterraines, au point que l’eau buvable commence à manquer. Mais la science n’est pas seule en cause, car l’accroissement des populations dans les villes atteint aujourd’hui des tailles où surgissent des problèmes en chaînes. Quand ils vivaient dans la campagne, les hommes ne concentraient pas leurs déchets et ils tiraient de la terre chacun leur nourriture. Et la nature ne souffrait pas de leur présence. Le sol se régénérait naturellement année après année. L’abandon de ce type de vie marquait l’entrée dans un cycle infernal qui devait conduire à terme à l’impossibilité de survivre sur la terre.

 

La fausse piété

 

Comme cette expression l’indique, cette piété repose sur une « fausse » conception de l’amour. Ceux qui sont concernés vivent l’amour à sens unique. Leur satisfaction est centrée sur eux-mêmes ; ces personnes aiment Dieu et l’idée qu’elles se font de Dieu, et cela leur suffit. Cette conception de l’amour est fausse car l’amour se construit par une rencontre dont le but est l’échange et le partage d’un plaisir commun. Pour un croyant, il est important et indispensable de se soucier de la manière dont Dieu le juge, afin de ne pas se tromper lui-même sur la nature de sa relation établie ou pas avec Dieu. Jésus a dit à ses disciples fidèles : «Je vous donne ma paix ». Il ne s’agit pas d’une paix miraculeuse, mais simplement de la conséquence naturelle du repos de l’âme des élus, repos obtenu quand leur conscience ne les culpabilise pas ou plus. Et ce repos est donc le fruit naturel de l’obéissance aux ordonnances du projet salvateur défini et accompli par Dieu en Jésus-Christ. C’est alors que les mots de la Bible nécessitent d’être bien traduits. Contrairement à ce que certaines versions disent, Paul n’a pas dit « Tout ce qui n’est pas conviction est péché » mais, « Tout ce qui n’est pas la foi est péché ». La « conviction » peut concerner quelque chose de faux ; au contraire, « la foi » concerne la parole écrite de Dieu qui ne peut pas être fausse, spécifiquement, dans ses textes originaux « hébreu et grec ». Tu peux ainsi le comprendre, la vraie piétée et la fausse s’identifient et se démarquent l’une de l’autre, par la conception que chaque créature humaine donne à l’Ecriture biblique.

Sous l’inspiration des démons, l’aspect religieux peut prendre de multiples formes au gré de leurs inventions ; formes que la vie religieuse universelle révèle partout sur la terre. C’est pourquoi, dans sa sagesse, Dieu a gravé un chemin unique pour conduire le pécheur repentant vers son offre de salut qui repose exclusivement sur la mort de son Christ. Pour que ce moyen soit présenté aux hommes jusqu’à la fin du monde, il a fait écrire son projet dans la Bible. C’est pourquoi, le salut repose sur la vraie connaissance de ces saintes Ecritures, depuis les premières paroles écrites par Moïse sous la dictée de Dieu, jusqu’aux dernières, écrites par l’apôtre Jean, dont l’esprit fut ravi par Dieu, pour lui présenter les visions de sa Révélation appelée Apocalypse.

L’homme doit apprendre à se méfier de ses propres pensées, car il est incapable de distinguer parmi elles, celles qui viennent de lui-même, celles qui viennent de Dieu ou de l’un de ses anges, et celles qui viennent des démons diaboliques. Notre cerveau est « piraté » et dans cette situation, seule la Bible et ses enseignements nous offrent une garantie divine. En exemple, dès le début de son ministère terrestre, nous voyons Jésus repousser les tentations du diable en citant les Ecritures. Cet exemple nous est donné afin que nous l’imitions et que nous comprenions bien que la vraie piété ne peut reposer que sur l’accord parfait avec les normes de la sainteté fixées et révélées par la Bible entière. Souviens-toi de ce signe de ralliement qui caractérisait la foi protestante au 16ème siècle : « Sola scriptura »  formule latine qui signifie « l’Ecriture seule ». Elle a gardé au fil du temps écoulé toute sa valeur et fait encore dans la dernière attente du retour glorieux de Jésus-Christ toute la différence entre la vraie et la fausse piété.

 

L’homosexualité

 

Ce sujet exige beaucoup d’attention. Dans le droit fil du thème précédent, la connaissance du « piratage » de notre cerveau est primordiale. Celui qui n’a pas cette connaissance attribue à la nature et à son fonctionnement tout ce qu’il ressent, et logiquement, normalise. Je lis dans Pro.29:18 : « Quand il n'y a pas de révélation, le peuple est sans frein ; Heureux s'il observe la loi ! ». Sans la foi et sa révélation, l’homme moderne occidental est incapable d’imaginer que, ce qui se passe en lui, peut être provoqué par une entité étrangère à sa personne. Comme Thomas, s’ils ne voient pas, ils ne croient pas. Et c’est là que se tient le problème, les pensées et ressentis de notre cerveau ne sont pas visibles. Mais, le ressenti reste individuellement indéniable. De la même manière que des pensées meurtrières sont inspirées par des démons à des tueurs, des incitations à se croire femme pour un homme ou l’inverse, homme pour une femme, se produisent et expliquent l’homosexualité et toutes sortes de perversions encore plus abominables. Le terme est lâché : « abomination ». C’est celui que Dieu donne dans la Bible aux pratiques qu’il juge et condamne. Dans l’ancienne alliance, le verdict divin était accompli par le peuple qui lapidait à mort, les humains coupables de ces « abominations ». Dans la nouvelle alliance, Jésus a pris en charge, personnellement, la rétribution méritée pour les fautes commises contre Dieu. « A moi la vengeance, à moi la rétribution » dit-il. Pour autant, le jugement de Dieu sur ces choses n’a pas changé et sa condamnation des abominations se prolonge jusqu’à la fin du monde, puisqu’il déclare dans Apo.21:27 : « Il n'entrera chez elle rien de souillé, ni personne qui se livre à l'abomination et au mensonge ; il n'entrera que ceux qui sont écrits dans le livre de vie de l'agneau. »

Dans l’ignorance, toute créature terrestre peut être trompée par les démons invisibles,  mais cette excuse cesse parce que les interdits de Dieu sont révélés et portés à la connaissance des hommes, par les Ecrits de sa sainte Bible. C’est pourquoi, l’homosexualité et ses perversions constituent des maladies de l’âme humaine que le Tout-Puissant Jésus-Christ peut guérir, quand la victime est prête à se convertir et à obéir à toutes ses ordonnances. Il s’agit pour elle, de changer totalement de maître. L’être humain est, soit sous la dépendance de Dieu, soit sous celle du diable ou de ses démons. Il n’a que le choix entre la liberté dans l’obéissance à Dieu ou l’esclavage dans la soumission aux démons avec la mort pour destin.

Dans la nouvelle alliance, seul, ce texte de Paul, de Rom.1:26 à 32, rappelle la condamnation des déviations sexuelles par Dieu : « C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l'usage naturel en celui qui est contre nature ; et de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement . Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé, pour commettre des choses indignes, étant remplis de toute espèce d'injustice, de méchanceté, de cupidité, de malice ; pleins d'envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de malignité; rapporteurs, médisants, impies, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, dépourvus d'intelligence, de loyauté, d'affection naturelle, de miséricorde. Et, bien qu'ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais ils approuvent ceux qui les font ». Le comble de ces « abominations » est atteint aujourd’hui par le fait que des homosexuels au statut légalisé par les lois humaines se revendiquent publiquement du salut offert par Jésus-Christ. Les sociétés humaines modernes, qui, après avoir condamné ces choses, aujourd’hui les légalisent et les « approuvent », attirent sur elles la juste colère de Dieu. L’approbation porte donc de graves et terribles conséquences même pour ceux qui ne les pratiquent pas eux-mêmes. Tous vont connaître, sous peu de temps, la norme de sa juste colère. Mais ce type d’« abominations » n’est pas la cible principale du jugement divin révélé dans son Apocalypse, dans laquelle, ce terme « abomination » concerne les fausses religions chrétiennes qui justifient, par la pratique du dimanche, la glorification du jour païen consacré à la gloire du dieu Soleil. Ce type d’abomination idolâtre est rattaché, dans Apo.21:27, au terme « mensonge » soit, au contraire absolu de sa « vérité » qui désigne les normes de ses lois et la forme unique de son projet salvateur.

 

 

 

Dieu et le plaisir

 

Ce point est à relever, le plaisir a été créé par Dieu, pour encourager des actions rendues nécessaires dans son projet de vie sur la terre. Dans l’acte sexuel, le plaisir encourage la reproduction des espèces. C’est vrai pour l’homme et les animaux. Le plaisir gustatif existe pour encourager l’alimentation et la reproduction de nos cellules vivantes. La notion de plaisir permet à l’homme de dresser des animaux qui rattachent l’exécution d’une action au plaisir obtenu sous la forme d’une offre de nourriture agréable. Dieu agit de même avec ses élus auxquels il a déclaré en Jésus, dans Matt.7:7 : « Demandez, et l'on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l'on vous ouvrira ». « Chercher » constitue un effort, et « trouver » est sa récompense. Cette loi du plaisir qui s’applique dans tous les domaines démontre l’existence du Dieu créateur rempli d’amour pour ses créatures. Le hasard seul ne pourrait pas se soucier d’offrir du plaisir aux êtres qui vivent sur la terre.  Ils méritent donc d’être appelés : créatures terrestres du Dieu vivant, et à ce titre, ils lui doivent, au minimum, respect, honneurs et gloire. L’adoration et l’amour de sa personne restent le supplément apporté par ses seuls élus. Comme Daniel, selon Dan.10:12, Ceux qui « cherchent à comprendre » les mystères proposés sous formes de révélations divines sont récompensés, en obtenant des réponses de la part de Dieu. L’effort de l’étude a pour récompense la connaissance qui transforme notre personnalité. Ce qui est vrai pour la nourriture physique l’est tout autant pour la nourriture spirituelle. C’est pourquoi, nous lisons dans Matt.4:4 : « Jésus répondit : Il est écrit : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu ».

Mais le plaisir est lié à une appréciation individuelle strictement personnelle. Le plaisir de l’un n’est pas forcément le plaisir de l’autre. Aussi, faut-il le comprendre, le plaisir justifié par Dieu ne se trouve que dans la norme de vie qu’il approuve. Le plaisir des élus n’est pas celui des déchus. La vie offre des plaisirs innocents mais, fruits de la perversion, d’autres types de plaisirs sont interdits et condamnés par Dieu. Ce sont ceux que les démons favorisent et encouragent dans les esprits des personnes rebelles ; les plus nombreuses, représentées en multitudes.

 

La France divisée et fracturée

 

Cette situation reconnue et constatée en fin 2021 aurait pu être évitée, si ses dirigeants avaient su tirer profit des leçons historiques rapportées dans la Bible.

La première leçon du témoignage de Dieu révèle la malédiction des mélanges humains incompatibles. Genèse 6 relate comment les mariages unissant des personnes du camp fidèle, les « fils de Dieu », aux « filles des hommes », le camp infidèle idolâtre, eurent pour conséquence la généralisation du mal et pour châtiment, la destruction entière par les eaux du déluge.

La deuxième leçon nous conduit à l’époque où la famille de Jacob soit, Israël, s’installa en Egypte auprès de Joseph devenu grand vizir du pharaon. Environ deux siècles plus tard, rassemblés à Gosen dans la région fertile du Nil, les Hébreux commençaient à être très nombreux ; plus d’un million d’hommes, les femmes et les enfants en plus. Cette croissance inquiéta, à juste raison, le nouveau pharaon, dont il nous faut saluer la prudence. Cette croissance pouvait d’un jour à l’autre susciter dans son pays d’Egypte une guerre interne. Ce pharaon va se montrer rebelle envers Dieu mais il n’était pas stupide. Il se souciait de l’intérêt de son peuple. La cohabitation des Hébreux et des Egyptiens avait atteint sa limite et elle prit la forme d’une terrible malédiction pour le peuple égyptien accueillant.

Un peu plus tard, après les dissuasives dix plaies de Dieu, le peuple devait errer dans le désert pendant quarante années au bout desquelles Israël entreprit de conquérir Canaan le pays des géants, les Amoréens, dont l’iniquité avait atteint son comble, 400 ans après l’annonce faite par Dieu à Abraham dans Gen.15:16 : «A la quatrième génération, ils reviendront ici ; car l'iniquité des Amoréens n'est pas encore à son comble ». Et là, afin d’assurer à Israël, son peuple, une tranquillité durable, Dieu entreprit d’exterminer les habitants du pays devant l’avancée des Hébreux. Il envoya sur les géants des frelons et des mouches venimeuses qui décimèrent leur population. L’ordre de Dieu qui fut donné à Israël était de ne jamais laissé survivre leurs ennemis. Aussi terrible que cet ordre peut paraître aux âmes sensibles et humanistes, il procède de la sagesse divine absolue du grand Dieu créateur. Laisser vivre un ennemi préparerait de manière certaine de l’hostilité chez ses descendants. Et Dieu voulait éviter à son peuple de connaître cette tragique situation. Israël a désobéi à cet ordre divin et finalement il en a subi douloureusement les conséquences. Après la faute des antédiluviens, tu peux comprendre, que Dieu essaie d’éviter de nouveaux mélanges humains pour préserver son peuple Israël des pratiques religieuses idolâtres des autres peuples entièrement païens.

La mise en garde de Dieu ne servit à rien, des mariages avec les étrangers attirèrent la colère de Dieu sur un Israël qui a sombré, finalement, dans l’apostasie et l’idolâtrie. Et la dernière leçon, nous la trouvons à Jérusalem après le retour de la déportation du peuple hébreu à Babylone en Chaldée, dans une action imputée au sacrificateur Esdras ; dans Esd.9:1 : « Après que cela fut terminé, les chefs s'approchèrent de moi, en disant : Le peuple d'Israël, les sacrificateurs et les Lévites ne se sont point séparés des peuples de ces pays, et ils imitent leurs abominations, celles des Cananéens, des Héthiens, des Phéréziens, des Jébusiens, des Ammonites, des Moabites, des Égyptiens et des Amoréens. Car ils ont pris de leurs filles pour eux et pour leurs fils, et ont mêlé la race sainte avec les peuples de ces pays ; et les chefs et les magistrats ont été les premiers à commettre ce péché ». Pour retrouver l’approbation de Dieu, une décision fut prise ; Esd.10 :3 : « Faisons maintenant une alliance avec notre Dieu pour le renvoi de toutes ces femmes et de leurs enfants, selon l'avis de mon seigneur et de ceux qui tremblent devant les commandements de notre Dieu. Et que l'on agisse d'après la loi. ». Et la chose fut accomplie ; Esd.10:17 : « Le premier jour du premier mois, ils en finirent avec tous les hommes qui s'étaient alliés à des femmes étrangères ».

En son temps, le prophète Balaam révéla au roi Balak comment en mariant les filles de son peuple aux fils d’Israël il pourrait le corrompre et le priver du soutien de Dieu. Au cours de l’ère chrétienne cette action s’est reproduite à une échelle plus grande et spirituelle. Dieu reprend symboliquement l’action de Balaam pour illustrer l’entrée du paganisme dans la religion chrétienne dans Apo.2 :14 : « Mais j'ai quelque chose contre toi, c'est que tu as des gens attachés à la doctrine de Balaam, qui enseignait à Balak à mettre une pierre d'achoppement devant les fils d'Israël, pour qu'ils mangeassent des viandes sacrifiées aux idoles et qu'ils se livrassent à l'impudicité. »  Le lieu concerné est Rome, «  là ou es le trône de Satan » comme le précise le verset 13 précédent ; ceci en la date de l’an 538. Le tutoiement employé par l’Esprit se justifie par le fait qu’à Rome, il y a encore des vrais serviteurs de Jésus-Christ. Après Jérusalem, Rome est devenue le lieu à partir duquel l’occident a été christianisé plus qu’évangélisé. Car l’action a été conduite par les gens de « la doctrine de Balaam » et c’est la religion catholique romaine qui s’est répandue et non la véritable foi chrétienne.

Bien sûr, la France n’est pas Israël, mais en donnant ses leçons par l’expérience de ce peuple hébreu, Dieu les propose à tout homme intelligent pour qu’il en tire avantage, quel que soit son peuple et son origine natale.

On ne peut que relever combien il est dommageable pour les peuples de ne pas bénéficier d’une bonne relation avec Dieu. Car les conséquences finales sont la mort et la destruction.

La leçon que nous venons de voir repose sur les dangers des mélanges ethniques, et c’est principalement le cas de deux pays : les USA et la France. La France se distingue par le droit du sol qui donne automatiquement la nationalité française à tout enfant qui naît sur son territoire et ses possessions d’outre-mer. Le tragique destin de cette nation s’est construit sur des décisions quasi suicidaires : l’accueil de ses ennemis, mais aussi l’interdiction de relever les statistiques de la composition de sa population. Le problème, que redoutait Pharaon pour son Egypte, va s’abattre sur la France et entraîner sa ruine meurtrière. Dans Apo.11:8, le nom « Egypte » donné symboliquement à sa capitale Paris est donc bien justifié. En regardant son histoire, ce pays a été frappé par des malédictions en chaînes. Depuis Clovis le premier roi de France qui séduit par Rome est devenu le soutien de ses papes ; puis, au 16ème siècle, Paris marqua son attachement au catholicisme en luttant contre la foi réformée protestante. Ensuite, après sa Révolution et la République, elle est devenue une puissance coloniale. Et ce fut là que se prépara son malheur final. Elle a fini par perdre ses colonies asiatiques et celles du Maghreb. La décolonisation a marqué le début de son abaissement, mais le mondialisme et les médias ont conduit les populations africaines et nord-africaines à immigrer vers la France si ouverte et si accueillante pour profiter de son régime de liberté et de ses largesses sociales. Mais parmi ses arrivants se trouvent des musulmans pleins de rancœur envers l’ancien colon, et l’affrontement qui chassa la France de leur pays va se reproduire cette fois, sur la terre de la France que Dieu va leur livrer. Ainsi, l’Europe des « dix cornes » de Daniel 7:7-24 va être châtiée par une Troisième Guerre Mondiale à l’image de Juda qui fut frappée par Dieu trois fois, par le roi Nébucadnetsar, selon 2 Chr.36:5 à 21.

La cohabitation de plusieurs religions monothéistes au sein d’une même nation crée des problèmes en raison de la frustration des compromis rendus nécessaires pour obéir aux normes établies par cette nation qui accueille. Le jour de repos hebdomadaire crée à lui seul, des difficultés d’organisation du travail, sachant que le jour du repos observé par les chrétiens est le premier jour, celui des Musulmans est le sixième, et celui des Juifs et des élus chrétiens est le septième. Tôt ou tard, le Musulman vient exiger le respect de son jour de repos, le sixième ; le Juif fait de même pour obéir à l’ordre impératif de son Dieu ; le pays où le premier jour est la norme refuse ces exigences et c’est le clash et l’affrontement religieux. Car la soumission à une norme opposée à celle de la religion pratiquée crée un sentiment de frustration chez l’adepte insatisfait. En fait, la paix obtenue jusqu’à notre époque reposait sur l’absence de prise de conscience de cette frustration. La religion n’était pas le premier souci des immigrés venus du Maghreb, c’était le travail et l’argent pour vivre qui les ont contraints à traverser la Mer Méditerranée pour s’établir en France. Mais aujourd’hui, installés, nationalisés et en plus grand nombre, les Musulmans ressentent de plus en plus la frustration et leurs exigences se font de plus en plus pressantes.

Dans les populations accueillies par la France, on trouve des Noirs qui remplissent les églises adventistes de Paris et Lyon. Les populations noires ont mieux résisté à l’influence du courant laïc athée des Blancs occidentaux. Souvent animistes à leur origine, les Noirs ont toujours eu conscience de l’existence des esprits désincarnés et ils entretenaient avec eux des relations marquées par des manifestations visibles ; aussi, le surnaturel leur est naturel, contrairement aux Blancs sceptiques ou incrédules. L’approche vers le Dieu de vérité leur est ainsi facilitée.

 

Noël

 

Cette fête, dite chrétienne, est marquée par des critères qui ne peuvent que la faire haïr par le Dieu de vérité. Reposant sur le cumul du mensonge et de l’idolâtrie, tu peux comprendre que je n’exagère pas en portant ce jugement.

En premier, relève que cette fête n’a pas été organisée par la volonté de Dieu ; la Bible ne donne aucune précision pour fixer une date pour la naissance de Jésus, le Christ de Dieu. La raison de ce silence est que Dieu donne de l’importance à la mort de Jésus, pas à sa naissance. En organisant cette fête censée célébrer la naissance de Jésus, la religion catholique consolide et justifie sa représentation du Christ dans l’état de bébé tenu dans les bras de Marie, sa mère qui est, elle, objet de l’adoration principale.

La date choisie par Rome, le 25 Décembre, est originellement celle de la naissance du dieu humain Tammuz, fils de la déesse humaine Sémiramis, épouse du roi de Babel, le célèbre Nimrod, bien humain lui aussi. Tammuz était représenté par l’image d’un disque solaire. Le mot « Noël » vient du latin « dies natalis » qui signifie jour de naissance ; celle de ce Tammuz du paganisme. Chez les Romains, cette période était consacrée aux fêtes Saturnales marquées par des pratiques orgiaques. Pour plaire aux peuples qui aiment festoyer et voulaient conserver leur fête, le catholicisme a changé son motif. C’est ainsi que la naissance de Jésus a remplacé celle de Tammuz ou celle des Saturnales. Le lien entre Tammuz et Jésus était le disque solaire puisque, pour la Rome papale, le Christ est le dieu Soleil fêté et adoré le 25 Décembre et le premier jour de la semaine de l’ordre divin devenu, subitement, par la décision humaine, le « septième jour » depuis 1981, dans le dictionnaire Larousse ; cette nouvelle norme ayant été imposée par la décision ISO 8601de l’Organisation Internationale de Normalisation.

Les USA, mercantiles, et « marchands de la terre » dans Apo.18:11, ont créé le personnage mythique du père Noël. Ils lui ont donné son aspect et ses couleurs, blanche et rouge, qui caractérisaient déjà leur soda « Coca-Cola ». Les USA ont donné à cette fête son aspect et son but commercial, en renouvelant le principe de l’offre de cadeaux aux enfants, comme les païens le faisaient pour Tammuz. Ainsi, la fête qui enchante parents et enfants dans toutes les nations occidentales n’est qu’un concentré d’actions abominables aptes, uniquement, à irriter le Dieu de vérité, Jésus-Christ. Connaissant ces choses, ses élus feront bien de s’abstenir d’y participer.

La Bible témoigne de la « glorieuse liberté des enfants de Dieu ». Il ne faut pas se tromper sur le sens de ce mot « liberté », car il n’a de sens pour Dieu et ses élus qu’en opposition à « l’esclavage du péché ». En clair et précis, la créature obéit à Dieu ou au diable. L’obéissance à Dieu consiste à appliquer les normes de ses lois, et l’obéissance au diable consiste à désobéir à Dieu et entrer en contestation avec lui. Si la Bible souligne néanmoins l’apparition de cette « liberté des enfants de Dieu » c’est parce qu’en Jésus-Christ, hormis la célébration hebdomadaire du sabbat sanctifié, toutes les autres fêtes religieuses de l’ancienne alliance disparaissent. La vie religieuse est ainsi simplifiée à l’extrême et les « élus du Christ » jouissent d’une liberté concrète et bien réelle. Nul besoin d’intermédiaire terrestre, la vie continuelle de chacun devient un culte et la norme à suivre est écrite dans la Bible qui constitue selon Apo.11:3, les « deux témoins » du Dieu vivant. Et surtout, la relation maintenue avec Dieu, offre l’aide et le conseil de Jésus-Christ qu’il apporte en Esprit Saint à ceux qui lui appartiennent réellement ; et ceci, jusqu’à la fin du monde, selon sa promesse qui sera fidèlement tenue et honorée.

A l’image du Noël mensonger, l’usage répété du nom « Dimanche » consiste à justifier son caractère de « Jour du Seigneur » alors qu’il n’est en fait que le « jour du diable », et plus fortement depuis 1981, date où on lui a imputé la norme de « septième jour » de nos semaines. Au titre de « premier jour », l’appellation « Jour du Seigneur » pouvait être justifiée historiquement comme étant le jour où Jésus est apparu vivant et ressuscité à ses disciples. Mais cette résurrection ne justifiait pas pour autant d’être célébrée par un repos hebdomadaire au dépend du « Sabbat » sanctifié par Dieu. Afin de témoigner de notre attachement à la vérité établie par Dieu, avec mes frères et sœurs en Christ, nous avons débaptisé le « Dimanche » romain pour le rebaptiser « Soldi » ce qui le rend conforme au nom donné en langue anglaise « Sunday », et en langue allemande, « Sonntag ». En nommant ce jour « Soldi », la curiosité des interlocuteurs peut être éveillée et offrir l’occasion d’une explication salutaire. Il faut le relever, le nom « Jour du Seigneur », soit, « Dimanche » traduit du latin « Dies Domenica », ne s’est imposé qu’en France, « la fille aînée » et soutien armé historique de l’église catholique, en Espagne, au Portugal, et en Italie, où il porte le nom « Domenica », qui signifie « Seigneur » ; en Italie où se trouve le Saint-Siège papal, « le trône de Satan », lui-même, son inspirateur. Le comble de l’arrogance du catholicisme est qu’en italien, le mot « Sabato » désigne le saint sabbat de Dieu que Rome place en sixième position des jours de la semaine. Dans la norme française, cette action passe inaperçue parce que le mot « sabbat » et sa racine ont été remplacés par le nom « Samedi », dans lequel le remplacement du « b » par le « m » fait ignorer le nom « Sabbat ». Sous ce nom obscur « Samedi » il peut être confondu avec le « Saturday »  anglais qui célèbre la gloire du dieu romain « Saturne ».

Les élus du Christ, Dieu de vérité, doivent donc, en connaissance, reconsidérer ces normes établies par le diable et construire leur relation avec Dieu, en adoptant, dans leur esprit et leur témoignage, sa norme du temps et celle de son calendrier hebdomadaire dans lequel, le premier jour de la semaine est un jour profane et même profané soit, souillé, par le paganisme romain comme les autres jours de la semaine, tous consacrés aux divinités astrales romaines. Selon Dieu, la semaine commence donc par le « Soldi », ou « faux Dimanche », et elle s’achève au septième jour, par « le Sabbat sanctifié », par son autorité suprême, pour le repos, dès le commencement de sa création du monde ; le repos éternel du septième millénaire prophétisé à la fin de chaque semaine et dans lequel les seuls « élus du Christ Jésus » vont entrer au printemps 2030 qui vient ; la date qui sera marquée par son glorieux retour.

Je rappelle la forme initiale de la semaine créée et instaurée par Dieu : Jour un, jour deux, jour trois, jour quatre, jour cinq, jour six, et jour sept sanctifié au repos et appelé Sabbat.

Victime d’une accumulation d’outrages, Dieu a déclaré sa guerre à l’humanité rebelle. Au début de l’année 2020, le président Emmanuel Macron a annoncé au peuple français, sur un ton grave, en le martelant, « Nous sommes en guerre ». Il a imputé l’agression au coronavirus apparu en Chine. Mais il n’a pas compris que cette action était mise en route par Jésus-Christ, le Dieu tout-puissant. Or il est essentiel de comprendre ceci : avec ce châtiment, Jésus dit aux hommes : « La paix sur terre, c’est fini, définitivement fini ». Et quand il conduit les hommes à créer un virus mortel, c’est parce qu’il veut obtenir la mort dans les rangs du camp rebelle. Aussi, faut-il le comprendre, quelle que soit l’efficacité technique des médicaments et vaccins conçus par la science humaine, ces moyens humains sont utilisés pour entraver et réduire les effets d’un châtiment divin. C’est pourquoi, Dieu multiplie les formes de ses attaques contre les coupables, comme l’indique ce verset cité dans Ezé.14:21-22-23 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes, il y aura néanmoins un reste qui échappera, qui en sortira, des fils et des filles. Voici, ils arriveront auprès de vous ; vous verrez leur conduite et leurs actions, et vous vous consolerez du malheur que je fais venir sur Jérusalem, de tout ce que je fais venir sur elle. Ils vous consoleront, quand vous verrez leur conduite et leurs actions ; et vous reconnaîtrez que ce n'est pas sans raison que je fais tout ce que je lui fais, dit le Seigneur, YaHWéH ». Relève que dans ce message terrifiant qui annonce une extermination, Dieu rappelle son projet salvateur qui est de sélectionner et préserver les humains restés les plus fidèles envers lui. Après « Jérusalem », en son temps, en l’an 70, c’est aujourd’hui aux peuples occidentaux chrétiens infidèles d’être visés par les armes redoutables utilisées par Dieu. Il conduira jusqu’à la fin son funeste projet et mettra en œuvre les moyens pour l’accomplir. A l’échelle mondiale, les habitants de la terre seront à terme exterminés. Après les virus, la famine, et la guerre civile, la guerre universelle nucléaire réduira encore le nombre des humains survivants. Ensuite, dans le contexte des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » décrits dans Apo.16, les derniers survivants seront soumis à la dernière épreuve de foi qui opposera le « Sabbat » et le « Jour du Soleil », le faux « dimanche » romain. La menace de mort qui ciblera les élus du Christ se retournera contre ses ordonnateurs, quand le Dieu qui sauve interviendra pour sauver ceux qui l’aiment dans la parfaite fidélité.

 

En marche vers le ciel

 

J’ai été baptisé en 1980 et j’ai donc atteint 40 ans de service pour Jésus-Christ en 2020. Or, un flot de lumière, incessant, est venu sous forme d’inspiration nourrir ma connaissance sur le sens des événements vécus. Dans la Bible, ce temps de 40 ans a particulièrement caractérisé l’expérience de Moïse. Il s’enfuit hors d’Egypte âgé de 40 ans et revint 40 ans plus tard pour guider l’exil de son peuple hébreu. En 2020, un temps de foi éprouvée a pris fin, puisqu’après des décennies de paix et de prospérité données aux peuples chrétiens occidentaux dominateurs, Dieu est entré en action, de manière identifiable pour ses élus. Le blocage économique provoqué par les effets surestimés du Coronavirus Covid-19 constitue la preuve visible de ce changement de comportement du grand Dieu créateur offensé, rejeté, et par tous les hommes ou presque, méprisé. Détail historique à relever, le virus Covid-19 est apparu en Chine 6 jours après que ses dirigeants aient pris la décision de modifier les écrits de la Bible, pour en expurger les citations non-conformes « à la vision du parti communiste chinois et de son chef ». Une telle agression contre la sainte Parole écrite de Dieu ne pouvait rester sans réponse de sa part. Le Covid-19 l’a exprimée.

Après la sortie d’Egypte, une longue marche dans le désert attendait le peuple hébreu. Pour nous aussi, depuis 2020, une dernière marche s’est engagée dans un contexte relationnel humain qui se dégrade et va se dégrader de plus en plus. L’heure est à la division, de manière analogue à ce que Dieu dit et fit, selon Zac.11:14 : « Puis je brisai ma seconde houlette Union, pour rompre la fraternité entre Juda et Israël. ». La référence à « Juda et Israël » n’est pas exclusive, car ces deux noms servent de support aux messages que Dieu adresse à ses serviteurs jusqu’à la fin du monde. Cette « seconde houlette » révèle la dernière conséquence de l’heure du jugement des nations par Dieu : la séparation ou désunion des peuples qui conduit à l’agression guerrière meurtrière. Or, cette « houlette » est précédée par la brisure d’une première « houlette » nommée « Grâce » selon Zac.11 : « Je pris ma houlette Grâce, et je la brisai, pour rompre mon alliance que j'avais traitée avec tous les peuples. » Ce verset révèle que dès le commencement de son projet créationniste, Dieu avait conçu son rôle de Messie qui devait sauver ses élus par le principe de la « Grâce » offerte et proposée à « tous les peuples ». Mais victime de l’indifférence et du mépris humain universel, qui lui donne comme le clergé juif la valeur de « trente sicles d’argent » cités dans le verset 12, dans son projet, Dieu finit par rompre cette « houlette », mettant ainsi fin à son offre de « Grâce ». Zac.11:12 : « Je leur dis : Si vous le trouvez bon, donnez-moi mon salaire ; sinon, ne le donnez pas. Et ils pesèrent pour mon salaire trente sicles d'argent. » En dehors de son application pour le temps de la fin, le principe de la succession de la rupture des houlettes « grâce et Union » s’accomplit individuellement pour les victimes qui meurent dans les temps marqués par « les trompettes » et les « fléaux de Dieu ». Dans une mise à jour du sabbat 18 Décembre 2021, j’ai expliqué l’importance du mot « derniers » dans l’expression « les sept derniers fléaux de la colère de Dieu ». Car cette précision suggère le versement d’autres fléaux dans l’époque qui précède la fin collective du temps de grâce. Et je le rappelle, pendant plus de 70 années de paix et de prospérité, des « fléaux » divins ont constamment frappé l’humanité sous formes de maladies modernes plus ou moins guérissables : le Cancer, le Sida, Alzheimer, et autres ; ce à quoi s’ajoutent, les morts victimes du tabagisme, de l’alcool, et des drogues chimiques ou naturelles qui déciment la jeunesse, des accidents de la route, des victimes des inondations, des éboulements de neige, des incendies, des catastrophes sismiques telluriques et volcaniques, des tsunamis, sans oublier les cyclones et les tornades qui ciblent particulièrement l’Amérique, etc… ; toutes choses qui résultent de l’inobservance des normes enseignées dans les lois divines. On se souvient comment pour répondre à la demande de viande du peuple hébreu, dans le désert, Dieu fit venir des cailles. Ils en mangèrent tant et si abusivement que des milliers en moururent. Les mauvaises habitudes alimentaires non conformes aux normes établies par Dieu font encore de nos jours des morts et des malades. Appliquées à l’échelle mondiale, ces normes alimentaires tueuses peuvent être considérées comme des « fléaux » punitifs conçus par l’unique Dieu créateur ; la maladie étant la conséquence inévitable des transgressions des lois naturelles établies dans sa création terrestre.

Dans l’anonymat et la séparation, les élus de Jésus-Christ se sont engagés depuis 2020, dans la dernière marche, en route vers le ciel qui s’ouvrira pour eux au printemps 2030. Et tous ces écrits que je présente et rassemble dans cet ouvrage, constituent, concrètement, cette nourriture spirituelle indispensable pour édifier et construire l’homme spirituel que doivent devenir tous ses élus. Comprendre le jugement de Dieu afin de l’approuver et de le partager avec lui est le but de cette alimentation spirituelle. C’est dans l’approbation et l’appréciation réciproque que se construit la communion entre Dieu et ses élus ; ceci, par le moyen exclusif de la « Grâce » obtenue par la foi active, basée sur le nom et les seuls mérites de Jésus-Christ.

Ce point est fondamental à retenir. Les vrais élus de Jésus-Christ ne sont pas visés par les fléaux de Dieu, et leur protection repose sur leur obéissance à ses lois. Dieu s’est engagé à faire apparaître la différence du traitement de ses élus et celui des êtres rebelles. Mais, logiquement, quand le soleil surchauffe, ses élus exposés en ressentent les brûlures comme les rebelles. Le traitement des élus se différencie essentiellement sur la nourriture de leur esprit quand les choix alimentaires du corps physique ont été approuvés par Dieu. La vie est un tout indissociable, Dieu ayant créé pareillement, le corps physique, l’esprit qui prend vie en lui, et l’aliment végétal, l’idéal de la Genèse, qui construit les cellules physiques qui composent son corps. Le respect de ces principes protège les élus contre la maladie parce que leur immunité naturelle en est renforcée. Dans la vraie foi, on ne se moque pas de Dieu, en désobéissant à ses lois et en réclamant son secours et son aide comme le font les faux religieux. Le chemin tracé par Jésus-Christ est celui de la vérité, toujours logique, simple et juste. Au bout de ce chemin béni par Jésus, après la traversée des dernières épreuves terrestres, notre marche aboutira dans le royaume céleste de Dieu où il nous a préparé une place selon Jean 14:1 à 4 : « Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin ». En vérité !

 

Les phases de la sanctification

 

Ce texte cité par Paul dans Héb.12:14 révèle l’aspect salutaire de son importance : « Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur ».

Qu’est-ce que la sanctification ? Paul nous le dit dans 1 Thes.4:17 : « Car Dieu ne nous a pas appelés à l'impureté, mais à la sanctification ». La « sanctification » est le contraire absolu de « l’impureté » donc, la pureté.

A lui seul, ce terme sanctification résume le programme salvateur divin qui se construit sur plusieurs étapes ou phases. Mais déjà pour saisir son sens et son but, nous devons prendre en compte le premier sens que Dieu lui donne dans Gen.2:3 où cette sanctification est rattachée au « septième jour » de sa création : « Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. » Ce verset est fondamental, car c’est sur cette déclaration divine que nous pouvons rattacher ensemble, le sabbat sanctifié par Dieu, et le chiffre « 7 » qui va, numériquement, désigner sa « sanctification » dans toute sa révélation. A ce titre, le sabbat sanctifié devient « le sceau du Dieu vivant » dans Apo.7:2 soit, le signe de sa personnalité divine. Jusqu’à ce jour, du « soldi » matin du 19 Décembre 2021, reprenant une interprétation héritée, je lui avais attribué le sens de chiffre de la plénitude. Or, ce terme n’apparaît pas dans ce texte de la Genèse, contrairement au verbe « sanctifia ». Aussi, même si cette plénitude peut être conservée pour un sens secondaire, le sens de sanctification a priorité sur lui. Aussi, ai-je aussitôt apporté cette modification dans tout cet ouvrage. Et je me dois de le faire, dans tous mes documents, car le message divin en est considérablement changé et enrichi. L’analyse de Dan.8:14 devient lumineuse et extrêmement logique et facile à comprendre. Sa traduction correcte, que l’Esprit du Christ m’a conduit à découvrir et rétablir, est : « Jusqu’à 2300 soir matin et sera justifiée la sainteté ». L’heure de l’entrée en application de ce décret prophétique est le printemps 1843. A cette époque, la foi chrétienne est représentée principalement en Europe par la foi papale romaine dont la « blessure mortelle » (Apo.13:3) portée par l’athéisme révolutionnaire français a été ensuite « guérie » par le concordat de Napoléon Bonaparte. Sous son nouvel aspect humble et soumis, la foi catholique reprend ses béatifications qui multiplient la canonisation de ses « saints » qu’elle offre pour être adorés à ses adeptes. Pour le vrai Dieu, cette action est idolâtre et donc abominable. C’est pourquoi, voulant « remettre les pendules à l’heure » soit, restaurer la norme de la véritable sainteté, Dieu proclame ce décret prophétique de Dan.8:14, dans lequel les mots « justice et sainteté » apparaissent. La possibilité d’attribuer « la justice » du Christ et le statut de « saint » n’appartient qu’à lui seul. Son message vient donc contester « l’arrogance » papale dénoncée dans Dan.7:8-20 et Apo.13:5. Ainsi, depuis le printemps 1843, le divin Christ a repris son autorité suprême abandonnée pendant des siècles de ténèbres au pouvoir religieux papal romain. Mais ce rétablissement n’apparaît qu’à ses élus qu’il éclaire individuellement selon leur amour pour sa vérité. La restauration de toutes ses vérités se réalise alors dans le secret de leurs cœurs et de leurs esprits. Le monde ignore tout de l’existence de ces liens qui rétablissent le dialogue avec le Dieu suprême. La fausse sainteté, établie en premier sur les papes, trompe les foules. Car n’est pas saint quiconque le prétend, mais, uniquement, celui que Jésus-Christ, le grand Juge divin, désigne comme tel parce qu’il le trouve digne de ce statut. Pour répondre à cette norme, en premier, la pratique du sabbat, image et sceau divin de la sanctification, doit être adoptée et fidèlement observée par les vrais élus chrétiens. C’est cette adoption qui conduit Jésus à bénir, particulièrement, en 1873, la foi adventiste du « septième jour » dans le message adressé à « Philadelphie », l’Elue de l’époque caractérisée par un réel « amour fraternel » signifié par ce nom grec, dans Apo.3:7 ; et ces chiffres signifient : 3 = la perfection ; 7 = la sanctification.

Dans 1 Cor.1:30, les mots « justice et sanctification » sont regroupés et attribués au seul Christ de Dieu : « Or, c'est par lui que vous êtes en Jésus Christ, lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse, justice et sanctification et rédemption, ». Lui seul peut donc attribuer et faire bénéficier ses élus de « sa justice » et de « sa sanctification » soit, sa pureté. Et c’est encore lui, Jésus, qui attribue ces choses sous l’image du Saint « Esprit » selon 2 Thes.2:13 : « Pour nous, frères bien-aimés du Seigneur, nous devons à votre sujet rendre continuellement grâces à Dieu, parce que Dieu vous a choisis dès le commencement pour le salut, par la sanctification de l'Esprit et par la foi en la vérité ».

Une première définition consiste à dire que la sanctification caractérise la pureté parfaite du Dieu Esprit lui-même, ce que confirme 1 Pierre 1:16 : « Vous serez saints parce que je suis saint ». Pour ses créatures déformées par le péché, la sanctification va consister à retrouver et reproduire l’image de Dieu dans l’esprit de leur corps terrestre. Car au commencement, dans son état de parfaite innocence et pureté, l’Adam (l’homme) fut créé à l’image de Dieu, selon Gen.1:26-27 : « Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme ».

En fait, la sanctification est un processus conçu par Dieu pour obtenir, à partir d’un pécheur repentant, un élu, « témoin fidèle et véritable ». Cette explication repose sur la compréhension du sens que Dieu donne aux descriptions par lesquelles il se présente dans les 7 époques successives évoquées par les noms des « sept églises » dans Apo.2 et 3. L’autre nouveauté, que j’apporte au nom de Jésus-Christ dans ce nouveau message, consiste à comprendre que ces différentes descriptions révèlent la norme du serviteur que chaque époque concernée doit produire pour sa gloire. Ceci était déjà partiellement compris, mais aujourd’hui ce principe est indispensable et prioritaire, pour comprendre le projet divin de la sanctification qui obtient le salut éternel. Au début de cet alinéa, l’expression « témoin fidèle et véritable » révèle et désigne le serviteur que Jésus vient mettre à part, donc sanctifier, à l’époque appelée « Laodicée ». Cette époque désigne sous la date 1994, l’heure de mettre à l’épreuve la foi de l’Adventisme officiel institutionnel. Jésus a fixé cette date en laquelle il a voulu tester son amour pour la vérité révélée par la parole prophétique, parce que sa sanctification originelle fut obtenue par ce type de test au temps des pionniers adventistes. Etait-elle encore digne d’être bénie par lui ? Dans son message, Dieu a prophétisé ce qui s’est réellement accompli à cette date. Trouvant, depuis des décennies, le peuple et ses dirigeants tièdes et formalistes, il les a « vomis » après 1994. Mais dans son message, il annonçait que sa grâce et son soutien allaient être individuellement conservés par ceux qui, témoignant d’amour pour sa vérité et son message prophétique, deviendraient pour lui et sa cause, ses « témoins fidèles et véritables ». C’est à ce titre, que depuis 1994, dans la dissidence, libéré de la tutelle institutionnelle après une radiation officielle en 1991, je reçois et communique la nourriture spirituelle qu’il continue fidèlement à offrir généreusement à ses élus ; ceux et celles qu’il aime. Les preuves ne se discutent pas, cette nourriture que je reçois et présente est le dernier « témoignage de Jésus » qui est encore et toujours « l’esprit de la prophétie », selon Apo.19:10. Cette nourriture vient en moi, et l’église institutionnelle, non seulement ne reçoit plus rien de Jésus, mais elle l’outrage, en faisant alliance avec ceux que ses prophéties désignent comme étant ses ennemis ; les serviteurs d’un faux christianisme utilisé par le diable pour tromper et perdre les âmes séduites.

Les phases successives de la sanctification nous sont révélées dans le montage de son Apocalypse. Ces phases sont, successivement, celles de la sélection et de la purification. En application historique, celle de la sélection est évoquée dans Apo.3:1, par l’époque nommée « Sardes ». Que vient faire Jésus à cette époque ? Il nous le dit en ces termes : « Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. ». En appliquant aux chiffres « sept » son sens premier de sanctification, Jésus nous dit qu’en cette époque nommée « Sardes » soit, depuis le printemps 1843 jusqu’à l’automne 1844,  il vient pour sanctifier, par son Esprit divin, ses messagers qui constituent et construisent dans le temps son Elue perpétuelle qui deviendra, à terme, éternelle. Mais logiquement, l’épreuve fait apparaître des gagnants, et des perdants auxquels, retirant sa sanctification, Jésus dit : « Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort ». C’est lui, le grand et seul Juge qui le dit. La contestation de son jugement sera totalement vaine et sans aucun effet. Les tests de l’amour de la vérité, bâtis sur l’attente du retour de Jésus-Christ en 1843 et 1844, ont produit des effets aux conséquences définitives définies par de nouvelle normes d’obéissance aux lois divines abandonnées, dont en premier, le repos du sabbat du « septième jour » dont l’adoption constitue la seconde phase de la sanctification ; seconde phase qui est celle de la purification du péché. L’abandon du « soldi » au profit du « sabbat » est donc celle de cette purification sans laquelle le programme de la sanctification est interrompu. Il est donc impératif de comprendre le caractère progressif de l’œuvre de la sanctification car, sélectionnés pour leur démonstration d’amour pour l’annonce du retour du Christ, les chrétiens concernés pratiquaient traditionnellement le culte religieux catholique et protestant du « soldi », le « Jour du Soleil Invaincu » de Constantin 1er. A partir de cette sélection, ils devaient, individuellement, être purifiés de ce péché, en renonçant à ce culte au profit du culte du sabbat vers lequel la lumière de l’Esprit allait les diriger entre 1844 et 1863. Ceci, afin de répondre à l’exigence du décret de Dan.8:14, où correctement traduit, solennellement et de manière péremptoire conforme à sa suprême autorité, Dieu déclare : « Jusqu’à 2300 soir matin et la sainteté sera justifiée ». Ce message annonçait donc la nécessité d’accomplir une œuvre de sanctification rendue nécessaire à cause de l’abandon du sabbat depuis le 7 Mars 321, date où l’empereur Constantin l’a fait abandonner et remplacer, par son « Jour du Soleil Invaincu » païen souillé. Selon Dan.8:14, en 1843, date du terme des 2300 années suggérées, « la sainteté » nécessitait d’être « justifiée ». Ce qui signifie que, pour les disciples du Christ, les protestants les plus pacifiques, cette justice obtenue auparavant était remise en cause et à reconquérir à partir de cette date 1843.  Cette mention de la justification rappelle l’importance du jugement que Dieu porte sur chaque candidat qui souhaite bénéficier de son offre de salut. Et cette justification est la réponse que Jésus-Christ donne aux efforts de purification manifestés par l’être appelé. Car après la justice du Christ imputée au pécheur repentant, vient le combat de la foi qui consiste pour lui, à obtenir la justice impartie soit, l’abandon total de la pratique du péché, afin de ressembler à Jésus-Christ que Dieu présente comme le modèle type, parfait, à imiter. Retenons donc l’association de la purification et de la justification intimement liées : sans purification, pas de justification. J’insiste sur ce point, la valeur donnée à la foi de chacun n’appartient qu’au Christ et à lui seul, mais par sa révélation, il a donné à ses disciples la possibilité de comprendre ce qu’il attend d’eux ; et donc, la possibilité de connaître quand ils sont réellement bénéficiaires de sa justice.

Avec le message de « Philadelphie » présenté dans Apo.3:7, les élus purifiés se sont regroupés sous une forme institutionnelle strictement américaine entre 1863 et 1873 où, bénis officiellement et lancés dans une mission universelle, ils sont entrés dans la phase d’une première sanctification que le verset « 7 » d’Apo.3 confirme. Je rappelle que cette date 1873 a été établie dans Dan.12:12. Là, Jésus adresse une béatitude aux Chrétiens qui attendront encore son retour, à cette date produite par le calcul qu’il propose de faire, à partir de cette durée prophétique de « 1335 jours ». Commençant en 538, date de l’instauration historique du régime papal romain qui mit « fin au perpétuel » sacerdoce de Jésus-Christ, cette durée s’acheva bien, « 1335 » années plus tard, en 1873, date où le Sabbat avait déjà été adopté, en signe de leur sanctification par Jésus.

En 1873, Dieu a sanctifié et béni, l’adventisme du septième jour, expression qui résume les deux vérités inséparables que sont le retour de Jésus-Christ et le sabbat sanctifié qui prophétise le gain de sa victoire sur le péché. Mais ce n’était là qu’une première étape de l’histoire adventiste ; celle de « son début, son commencement, son alpha », comme le suggère fortement Jésus dans Apo.1:8 où il dit : « Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant ». C’est pourquoi dans Apo.3:14, sous le nom « Laodicée » dont la signification précise est « peuple jugé », Jésus évoque la phase finale, la phase « oméga » des « cinq mois » ou 150 années d’activités institutionnelles programmées dans Apo.9:5-10. Que signifie le chiffre 14 de ce verset, sinon un redoublement du chiffre « 7 » ?  Ce redoublement vient refermer en phase finale « oméga » le temps d’approbation de 150 années que Jésus a prophétisé dans son Apocalypse. L’arrêt de cette approbation divine fut justifié par une démonstration d’absence d’amour pour la vérité prophétique quand, inspiré par Dieu, je lui ai présenté entre 1982 et 1991, la possibilité du retour de Jésus-Christ pour 1994, date obtenue au terme des 150 années, ou « cinq mois » prophétisés dans Apo.9:5-10.

L’histoire adventiste ne s’est pas arrêté en 1994, car après cette date, moi, l’adventiste méprisé et radié officiellement par l’institution dès 1991, j’ai reçu du ciel les explications qui m’ont permis de comprendre pourquoi Jésus n’était pas revenu en 1994. Une fois de plus mais, la dernière, Jésus venait de lancer une fausse annonce pour tester la foi adventiste dans son premier fief historique français de la ville de Valence en Drôme (26). L’expérience vécue a eu valeur d’échantillon de la situation de l’adventisme universel. Partout sur la terre où il est représenté, Jésus n’y a vu que formalisme et tradition, lui qui exige le « zèle bouillant » et l’amour pour sa personne au-dessus de tout. Avec le temps, cette apostasie généralisée a été confirmée dès 1995, par le regroupement de l’adventisme institutionnel avec les observateurs traditionnels du « soldi » souillé romain. L’adventisme officiel est entré dans l’alliance œcuménique.

Cette analyse vient de donner un sens aux chiffres 1 ; 7 ; 14. 1 = sélection ; 7 = première sanctification ; 14 = deuxième sanctification. Et il faut ajouter à ces chiffres, le chiffre 21 qui, représentant 3 fois 7, désigne la perfection de la sanctification qui obtient alors le statut de la glorification. En effet, le chapitre 21 de l’Apocalypse a pour contexte celui de l’installation des élus devenus célestes, sur la nouvelle terre régénérée et glorifiée par Jésus-Christ, notre grand et tout-puissant Dieu créateur ; l’expression même du « Dieu Tout-Puissant ». Ce n’est pas sans raison qu’il est désigné comme le Dieu « trois fois saint » en raison de ce verset d’Esa.6:3 : « Ils criaient l'un à l'autre, et disaient : Saint, saint, saint est YaHWéH des armées ! Toute la terre est pleine de sa gloire! ». L’image et son message sont repris dans Apo.4:8 : « Les quatre êtres vivants ont chacun six ailes, et ils sont remplis d'yeux tout autour et au dedans. Ils ne cessent de dire jour et nuit : Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu, le Tout Puissant, qui était, qui est, et qui vient ! ». Cette triple sainteté, Dieu va, finalement, la faire partager par ses élus, triés et sélectionnés par son jugement, juste, parfait, et infaillible. Car le chiffre « 3 » symbolise la perfection, ce que confirme le dicton populaire : jamais deux sans trois. Et la chose se confirme de multiples fois dans l’accomplissement du programme prophétisé par Dieu : 3 déportations successives vers Babylone, 3 décrets royaux pour en revenir ; 3 fois 2000 ans pour le temps du péché terrestre ; 3 rôles divins pour sauver les pécheurs, Dieu étant successivement Père, Fils, et Saint-Esprit ; et 3 expériences adventistes successives en 1843-1844, en 1873, et en 1994 jusqu’en 2030, date de la fin de l’épreuve terrestre.

Les chiffres 1, 7, 14, et 21 ont maintenant pour toi une signification spirituelle qui est dans l’ordre croissant : la sélection et la purification qui obtiennent la justification ; la première sanctification ; la deuxième sanctification ; et la troisième sanctification ou la glorification. Or, cette sanctification est à la base de l’organisation de la première Pâque de l’histoire humaine, telle qu’elle s’est accomplie pour la délivrance du peuple hébreu mis en esclavage par les Egyptiens. Retrouvons donc ce contexte et la forme sous laquelle Dieu annonce aux Hébreux l’organisation de cette Pâque qui désigne l’heure où Dieu « passe » pour juger entre son peuple et ses ennemis. Ce passage divin s’accomplira pleinement par l’incarnation terrestre de notre Sauveur, Jésus-Christ. Qui sont ses ennemis et qui est son peuple ? La réponse est simple et tranchante. Son peuple l’écoute et lui obéit ; ses ennemis ne l’écoutent pas et lui désobéissent. Entre ces deux options certaines personnes errent sans pouvoir s’engager parce qu’elles ont réduit l’entière divinité de Jésus-Christ qui ne peut pas contredire le Dieu de l’ancienne alliance qu’il était en personne déjà lui-même.

Nous lisons dans Exode 12:1-2 : « YaHWéH dit à Moïse et à Aaron dans le pays d'Égypte : Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l'année ». Il est vital et salutaire de comprendre que ce « vous » ne se limite pas aux Hébreux de cette sortie d’Egypte. Ce « vous » concerne tous les élus de l’ancienne, et de la nouvelle alliance qui s’achève depuis 1843, par l’œuvre adventiste du septième jour, portée par ses derniers représentants dissidents, après 1994. Les élus du temps de la fin ont d’autant plus de raison d’adhérer de toute leur âme à cette idée, que ce verset leur apporte une précision qui va déterminer le temps du vrai retour de Jésus-Christ. Au moment de l’équinoxe du printemps, gravé dans la nature de manière perpétuelle, Dieu déclare à Moïse, que le printemps marque le début des mois de l’année de son calendrier et de son programme. Et il insiste en répétant : « il sera pour vous le premier des mois de l'année ». Dieu a donc choisi, le jour du printemps pour commencer et finir le temps de son projet salvateur terrestre. Ce choix de Dieu est prioritaire car il concerne sa vision et son ordre du temps. Et ce choix est conforme à l’ordre qu’il a établi à l’heure de sa création de notre monde terrestre. Car avant le péché d’Adam et Eve, sans inclinaison, la terre tournait sur son axe vertical et en conséquence, les jours et les nuits avaient le même nombre d’heures ; 12 heures de nuit suivies de 12 heures de jour ; ce qui correspond à la norme de l’équinoxe du printemps actuel. Au jour du péché originel, la terre fut inclinée et le temps de 6000 ans débuta sur un printemps, suivi par le premier été, puis par le premier automne et le premier hiver. Le cycle engagé devait se reproduire 6000 fois. C’est pourquoi, Jésus-Christ ne peut revenir qu’au début du printemps 2030. Nous pouvons fixer et dater son retour pour le Mercredi 20 Mars 2030.

Revenons sur le texte d’Exode 12 ; cette fois, sur le verset 3 dans lequel Dieu lance l’organisation de la première Pâque : « Parlez à toute l'assemblée d'Israël, et dites : Le dixième jour de ce mois, on prendra un agneau pour chaque famille, un agneau pour chaque maison ». Cette fête se construit sur le processus de la sanctification que nous avons vue. Cette phase est la première, celle de la sélection.

Nous lisons ensuite le verset 4 : « Ce sera un agneau sans défaut, mâle, âgé d'un an ; vous pourrez prendre un agneau ou un chevreau. » Cette exigence divine de pureté est justifiée parce que l’agneau ou le chevreau choisi va symboliser la perfection de Jésus-Christ, l’agneau de Dieu sans tache ni aucun péché. Nous retrouvons dans cette exigence les critères de la sélection du processus de la sanctification.

Verset 5 : « Vous le garderez jusqu'au quatorzième jour de ce mois ; et toute l'assemblée d'Israël l'immolera entre les deux soirs ». Cette action accomplira la phase purification de la sanctification engagée. Dieu la rattache au chiffre 14 qui nous l’avons vu, désigne la double sanctification. L’enseignement porté par cette première Pâque va concerner deux alliances successivement sanctifiées. De plus, placé entre le chiffre 7 et le chiffre 21, cette Pâque liée au chiffre 14 prophétise son accomplissement en Christ qui viendra entre la création où le sabbat sanctifié est rattaché au chiffre 7 et la fin du monde que l’on peut définir comme l’heure de la perfection de la sanctification ou celle de la glorification représentée par le chiffre 21. Pour répondre à une question qui m’a été posée au sujet de ce choix de Dieu de faire sa première Pâque au 14ème jour plutôt qu’au 7ème, la réponse apparaît dans cette étude, ce choix est guidé pour des raisons spirituelles qui ont conduit Dieu à attribuer au chiffre 7 la signification de la sanctification du sabbat. Dès lors ce chiffre ne peut pas recevoir en même temps une autre signification. Mais le rapport étroit entre le 7 du sabbat et le 14 de la Pâque existe ; le sabbat prophétisant le repos éternel gagné par l’agneau du 14. Ces chiffres témoignent subtilement du caractère inséparable du Christ et du sabbat. Spécifiquement depuis 1843, ce lien a été confirmé par Jésus-Christ, par son exigence de la pratique du sabbat de la part de ses élus. De plus dans l’ère chrétienne, la séparation du sabbat de Jésus-Christ a et va encore porter de terribles conséquences accomplies sous la forme des « six premières trompettes » de l’Apocalypse soit, des malédictions meurtrières successives. Les chiffres continuent de parler puisque lorsque nous additionnons le 7 et le 14 nous obtenons le chiffre 21 de la perfection de la sanctification ; ce qui se traduit par le message suivant : l’obéissance au sabbat (7) jointe à la grâce obtenue par la mort (14) du Christ, sa Pâque, offre aux élus concernés le statut de la perfection de la sanctification que Jésus va glorifier (21) à l’heure de son retour.

Dans la Pâque juive originelle, Exode 12 :7 évoque la phase de la sanctification par l’aspersion du sang de l’agneau sur les poteaux des habitations : « On prendra de son sang, et on en mettra sur les deux poteaux et sur le linteau de la porte des maisons où on le mangera ». Dieu propose aux Hébreux de manifester individuellement la possibilité d’obtenir sa protection. Le choix dépend de chaque créature laissée libre d’obéir ou pas à l’ordre donné. C’est par la réponse apportée librement par chaque personne que la phase de la sanctification va devenir possible ou pas. C’est là, la caractéristique spécifique de la sanctification : elle repose sur le choix individuel des êtres humains laissés libre jusqu’à la fin du monde de la rechercher et de l’obtenir. Celui qui n’aspergeait pas les poteaux de sa maison ne serait pas protégé à l’heure où la mort divine allait passer pour tuer les premiers nés des désobéissants hébreux ou égyptiens. Dans cette leçon, Dieu résume le plan salvateur conçu pour toute l’humanité devant laquelle, deux choix soit, deux chemins, sont placés ; l’obéissance et la vie ou la désobéissance et la mort. C’est pourquoi, même en Jésus-Christ, la condition de la réconciliation avec Dieu passe obligatoirement par l’obéissance et la production du fruit de repentance soit, le changement de la conduite des hommes et des femmes qui veulent bénéficier de sa grâce salvatrice.

La signification de la Pâque est révélée dans les versets 12 et 13 : « Cette nuit-là, je passerai dans le pays d'Égypte, et je frapperai tous les premiers-nés du pays d'Égypte, depuis les hommes jusqu'aux animaux, et j'exercerai des jugements contre tous les dieux de l'Égypte. Je suis YaHWéH. Le sang vous servira de signe sur les maisons où vous serez ; je verrai le sang, et je passerai par-dessus vous, et il n'y aura point de plaie qui vous détruise, quand je frapperai le pays d'Égypte ». Dans cette explication, Dieu applique le principe de la justification par la foi. Là où il verra le signe de l’obéissance, il offrira le bénéfice de la justice éternelle de l’agneau sans tache Jésus-Christ. Mais là où le signe de l’obéissance, l’acte de foi, sera absent, lui qui s’offrira un jour au titre de « premier-né » du projet du salut, tuera les « premiers-nés » des familles rebelles. Et les premières victimes furent les familles égyptiennes de l’heure de la première Pâque.

Dans Exode 12:18, le chiffre 21 apparaît : « Le premier mois, le quatorzième jour du mois, au soir, vous mangerez des pains sans levain jusqu'au soir du vingt et unième jour ». Dans le projet du salut historique, cette fête des pains sans levain représente la sanctification des élus depuis la mort du Christ (chiffre 14) jusqu’au temps de la fin où les élus atteindront la perfection de la sanctification (chiffre 21). Le pain lève par un processus de fermentation image de la souillure et du péché. L’interdiction du pain levé signifiait donc l’interdiction de cette souillure et du péché dans la vie des Hébreux fidèles et des vrais saints de Jésus-Christ.

Dans Dan.9:27, l’heure de la vraie Pâque est marquée par « une alliance pendant une semaine avec plusieurs ». Cette semaine se compte en années et en jours réels. En année, elle commence au baptême de Jésus, en l’automne 26 et s’achève avec la mort du diacre Etienne à l’automne 33, action reçue par Dieu comme un refus national définitif du Messie Jésus par le peuple hébreu. Jésus qui s’est présenté au peuple qui a demandé et obtenu du procurateur romain Ponce Pilate, sa mort par la crucifixion. Au milieu de la semaine soit le 3 Avril 30, par sa mort expiatrice, Jésus a fait cesser « le sacrifice et l’offrande » d’animaux qui le symbolisaient jusqu’à lui. Ce Mercredi 3 Avril 30, la Pâque de la mort (chiffre 14) du Messie fut accomplie, donnant au printemps de cette année 30 sa base de commencement des dernières 2000 années qui conduisent au terme des 6000 rotations de la terre autour du soleil, programmées par Dieu pour sélectionner et finalement sauver ses élus en Christ.

Comptée en jours réels, cette « semaine » de Dan.9:27 commença le 10ème jour du premier mois et s’acheva au 17ème jour. Au milieu réel de cette semaine, soit le Mercredi 3 Avril 30 et 14ème jour du même premier mois, Jésus offrit sa vie et mourut pour le rachat des péchés de ses seuls élus ; ceux qu’il juge dignes de bénéficier de son offre de grâce et qu’il justifie en les couvrant par sa parfaite justice personnelle.  Dans cet enseignement apparaissent les chiffres 10, 14, et 17 porteurs d’un sens déjà vu pour le 10 et le 14. Mais le 17, apporte un message conforme à la situation concernée. Le chiffre 17 symbolise le jugement dans Apo.17. Dans cette semaine Dieu jugea le péché et il l’expia pour ses élus. Le 6 Avril 30, 17ème jour du mois, jour du sabbat, la semaine prophétisée s’acheva. Le lendemain, au matin du « soldi » 7 Avril, ressuscité, Jésus est apparu à ses élus. Cette résurrection renforçait la culpabilité du peuple hébreu incrédule, mais un sursis lui fut accordé jusqu’à l’automne 33, comme la leçon précédente l’a fait apparaître. Nous venons de voir l’utilité des chiffres 10, 14, 17, et 21 qui sont tous porteurs de leçons, mais ils n’ont pas priorité pour construire le calendrier de l’ordre du temps défini par Dieu. Celui-ci repose exclusivement sur sa déclaration d’Exode 12:2 vue au début de cette étude : « Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l'année ». Ainsi, dans la continuité de l’œuvre adventiste, poursuivant les efforts pour conserver la sanctification et la justification exigées par Christ, les derniers élus seront changés et glorifiés pour entrer le Mercredi 20 Mars 2030, dans la sainteté céleste du royaume de Dieu.

 

Paul et le repos prophétisé

 

Cette réflexion se fonde sur ce verset d’Héb.3:11 : « Je jurai donc dans ma colère : Ils n'entreront pas dans mon repos ! ». Guidé par l’Esprit, Paul comprit que le repos dont il était question concernait le repos obtenu par la paix du Christ. Ce raisonnement s’imposait parce que ceux qui étaient concernés par l’imprécation divine, les pères, connaissaient le repos du sabbat et le pratiquaient plus ou moins fidèlement. Il était clair que Dieu faisait allusion à un repos spirituel que l’élu chrétien trouve dans le pardon obtenu en Jésus-Christ. La logique de cet argument était indiscutable et elle était de nature à convaincre un Juif de se convertir à la foi du Christ.

Cependant, à son époque vers 4000 ans depuis Adam, Dieu ne lui a pas fait connaître le caractère prophétique de nos semaines de sept jours. Il ne vit donc pas le lien qui réunissait le sabbat hebdomadaire à la victoire du Christ sur le péché. Cette connaissance est notre tardif privilège car avant notre époque, elle aurait été cause de découragement pour ses serviteurs. Dieu a toujours voulu laisser ses serviteurs espérer vivre le retour du Christ à leur époque.

Héb.4:1 : « Craignons donc, tandis que la promesse d'entrer dans son repos subsiste encore, qu'aucun de vous ne paraisse être venu trop tard »

Deux mille ans après l’époque de Paul, ce verset conserve toute sa valeur, ceci d’autant plus que, cette fois, le temps accordé pour s’engager pour profiter de l’offre du Seigneur est aujourd’hui, réellement, court.

 

Les « Mille ans » célestes perdus à Milan

 

C’est en effet dans la ville italienne de Milan que s’est construite la trahison de la foi chrétienne qui l’a conduite à subir les châtiments des « sept trompettes » de l’Apocalypse. Ce message concerne l’époque « Smyrne » en laquelle pendant « dix ans » sous les persécutions terribles de l’empereur Dioclétien, les élus du Christ ont témoigné avec courage et abnégation pour la dernière fois de leur attachement à la pure vérité de la doctrine du salut en Christ. En pointant du doigt, cette terrible épreuve, l’Esprit du Christ, dirige notre attention sur les circonstances historiques qui lui ont mis fin.

Au bout de « dix ans » pendant lesquels Dioclétien a partagé son pouvoir avec un, puis deux autres empereurs associés, créant ainsi le régime de la « tétrarchie », Constantin 1er, le fils de l’un d’eux, les a combattus et vaincus. A l’occasion de sa victoire, dans la ville de Milan, il a mis fin officiellement par un décret daté de l’an 313, aux persécutions des Chrétiens, et ceci dans tout l’empire romain. C’est ainsi que nous pouvons retrouver dans l’histoire, la présence de cette dernière persécution de « dix ans », entre 303 et 313. Dans son message nommé « Smyrne », Jésus impute cette persécution au diable, Satan, confirmant ainsi son rattachement aux empereurs romains, les auteurs réels des faits. La paix obtenue fut appréciée par les pauvres gens martyrisés, mais cette paix allait bientôt porter des conséquences tragiques pour la foi chrétienne.

En 321 soit, huit ans plus tard, le 7 Mars, depuis sa ville de Milan, le même empereur Constantin 1er a promulgué un nouveau décret rendant le repos hebdomadaire du premier jour obligatoire. Que s’est-il passé entre ces deux dates ? Le diable a fait remarquer à l’empereur combien les choix individuels du jour du repos étaient dommageables et néfastes pour la prospérité de l’empire. Les Chrétiens se reposaient le septième jour pour le sabbat sanctifié par Dieu à cet usage, et les adorateurs du dieu astral païen romain honoraient le « Sol Invictus » romain soit, le jour du « Soleil Invaincu », le premier jour de la semaine divine observé par l’empereur païen lui-même. Dans tous les temps, ce problème resurgit, et les contraintes des dominateurs nivèlent ces différences en adoptant nationalement un jour de repos, religieux ou pas, unique. Dans l’histoire religieuse, ce fait est passé inaperçu, car l’arrêt des persécutions a eu pour conséquence la multiplication des fausses conversions dans la foi chrétienne. Et quand le nombre des faux Chrétiens est devenu majoritaire, la norme constantinienne est devenue le modèle dominateur à imposer.

En 538, par un décret impérial, Justinien 1er a donné au premier pape en titre, l’intriguant Vigile, la domination du christianisme universel, en même temps, Evêque de Rome. L’évêque de Rome élu légitimement par le peuple fut à cette occasion exilé et remplacé. Mais je le rappelle, le titre d’évêque n’était que celui de la reconnaissance d’un savoir et d’une connaissance religieuse réelle, qui ne lui donnait pas les pouvoirs d’un chef. Avec Vigile la norme change et celui qui siège à Rome devient le chef des autres évêques et des croyants de l’empire. C’est ainsi qu’avec le temps, la fausse foi chrétienne romaine est devenue la norme, donnant une fausse légitimité au jour du « Soleil Invaincu », rebaptisé depuis, jour du « Seigneur » soit, en latin,  dies « Domenica » et en français « Dimanche ».

L’illégitimité du « Dimanche » romain est rendu visible par la pratique du sabbat conservée et observée, traditionnellement, en tout temps et toutes circonstances, par les Juifs dispersés dans les nations de la terre.

Comprends-tu, pourquoi devant cette usurpation religieuse, Dieu a multiplié ses châtiments sur les humains coupables ? Ce que l’histoire n’a pas relevé, Jésus le souligne et le révèle dans ses prophéties de Daniel et Apocalypse. Car la normalité religieuse chrétienne actuelle n’est pour Dieu que fausseté. Et l’humanité continue d’en payer le prix, et particulièrement depuis 2020 où la colère du Très-Haut a ciblé, la région de « Milan » ; là-même où le décret du 7 Mars 321 a été rédigé, faisant perdre à beaucoup d’appelés le droit de « juger les morts » pendant « mille ans », dans le royaume de Dieu où on n’entre que par le chemin de vérité enseigné par Jésus-Christ. Le 14 Mars 2020, le fléau divin nommé Covid-19 a frappé la ville de Bergame située au nord-est de Milan, exterminant les communautés religieuses des cloitres de la région, et faisant 6000 morts dans cette seule zone. Les habitants de la contrée ont demandé pourquoi un tel drame les a frappés. La réponse est dans les dates, le 14 Mars 2020 fut la réponse de Dieu à l’outrage du 7 Mars 321. Et pour les habitants concernés, l’heure est venue d’appliquer ce sage conseil de Dieu transmis par Salomon, dans Ecc.7:14 : « Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, réfléchis : Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que l'homme ne découvre en rien ce qui sera après lui ». La réflexion encouragée doit conduire les victimes à réaliser que, pour sa part, Dieu ne se résigne pas à accepter les outrages qui lui sont faits. Et au temps choisi par lui, il réagit et exprime sa juste colère. Bien que mortelles, les conséquences de ses fléaux constituent des signaux avertisseurs précieux qu’il adresse aux pécheurs, mais aussi, à ses élus eux-mêmes. Avec le fléau de la Covid-19, Dieu signale son entrée en action. Il sort d’un silence qui a permis aux humains occidentaux d’oublier jusqu’à son existence. Aussi, son « réveil » est marqué par de puissants effets. Mais bien que mortel, le fléau Covid-19 n’a pas vocation à exterminer les hommes. Il vient surtout confirmer aux élus l’approche des événements prophétisés pour le « temps de la fin ». Et des leçons précieuses se dégagent dans cette expérience d’épidémie mondiale. Epouvantés par le risque mortel, les hommes s’accusent les uns les autres, et on tient pour responsables ceux qui ne veulent pas être vaccinés pour diverses raisons personnelles. Deux positions parfaitement logiques s’opposent de manière irréconciliable. Et relevons le, cette opposition est celle de la foi religieuse contre la science sanitaire laïque athée humaniste. Dieu nous propose de voir en ces comportements, le type même des réactions que les derniers rebelles auront envers les fidèles observateurs du sabbat, réfractaires et opposés à l’obéissance du repos romain du « premier jour » imposé mondialement aux survivants du dernier conflit terrestre nucléaire. L’intérêt individuel devra s’effacer devant l’intérêt collectif. Et dans ce contexte final, les réfractaires seront punis de mort. Mais par son retour glorieux, Jésus retournera la mort contre ceux qui voulaient la donner. En Vérité ! Et là, en 2030, faute de fossoyeurs, les corps des derniers morts ne seront pas ensevelis, ils seront laissés en pâture aux oiseaux du ciel, les rapaces, parmi lesquels, en Europe, se trouvent les « milans » noirs ; ce terme « milan » trouve là un troisième rôle « macabre » qui contraste bien avec les « mille ans » du jugement qui sont, à partir de ce printemps 2030, la part des élus qui ont pu échapper aux conséquences mortelles du décret signé en 321 à « Milan » par l’empereur faussement converti, Constantin 1er, dit le Grand par tous ceux que Dieu juge, trop petits, eux-mêmes, pour entrer dans son éternité.

 

 

« Les travaux d’Hercule »

 

J’évoque sous cette expression la pharaonique difficulté que Dieu rencontre en notre temps moderne pour regagner les cœurs des êtres humains. Ils ont oublié son existence, ne se fondant que sur leur vue, ils vivent très bien sans lui. Il est vrai qu’à tout problème on peut attribuer des causes et les spécialistes sont là pour les expliquer. En fait, l’humanité du Noël 2021 se trouve dans l’état où les antédiluviens se trouvaient juste avant le déluge d’eaux. Déjà en 1992, huit personnes s’était présentées pour une seconde conférence que j’avais donnée dans un hôtel, avec pour sujet : « la Révélation de la Septième Heure ». En effet, huit personnes seulement embarquèrent dans l’arche salvatrice de Noé. La proclamation de la lumière divine qui venait expliquer clairement les prophéties n’intéressait plus personne, ni dans l’assemblée adventiste ni à l’extérieur d’elle. Depuis, cette lumière n’a fait que croître et en parallèle, dans le monde, l’iniquité a également cru. Au point que toutes les valeurs anciennes sont remises en cause. Sous la pression psychique des attaques virales, le peuple français, si fier de ses droits de l’homme, est devenu docile et manipulable, obéissant aux nouveaux devoirs que ses dirigeants lui imposent. Mais là encore, il y a une explication, de l’ancienne France, il ne reste que le sol, d’ailleurs lui-même souillé par l’usage immodéré des engrais et pesticides chimiques. Bien trop tard, des tentatives biologiques s’organisent, mais comme le temps perdu, les erreurs commises ne se rattrapent jamais. Un abîme s’est creusé entre les peuples occidentaux d’origines chrétiennes et le Dieu créateur. Pour renouer le dialogue et la relation, il suffit de s’intéresser de près à lui, car il n’attend du pécheur qu’une seule chose ; c’est qu’il le cherche. Dieu se laisse trouver par tous ceux qui le cherchent. Or, que constatons-nous ? Après deux années consécutives vécues dans la peur de la maladie et de la mort, nous n’entendons aucun cri de douleur monter vers Dieu ; l’espérance entière repose sur la science médicale. Les églises n’imputent pas au Tout-Puissant qu’elles sont censées représenter, ces fléaux viraux qui frappent les êtres humains sur toute la terre. Et c’est bien là la preuve que le mal est beaucoup plus faible que les dirigeants aveuglés les conçoivent. Si des millions d’hommes, de femmes, et d’enfants se mettaient subitement à mourir, le ciel serait assiégé de prières et d’implorations. Le mal n’est donc en réalité pas assez grand, pour réveiller la foi endormie ou absente.

L’inertie phénoménale du comportement des peuples explique pourquoi Dieu a fait allonger sur plusieurs siècles, la restauration des vérités dogmatiques chrétiennes qui étaient à reconstruire après le long règne ténébreux du faux christianisme catholique papal. Il s’est produit, pendant de longs siècles, un « lavage des cerveaux humains » dans le monde occidental. Aussi, l’impression graphique de la vérité biblique ne pouvait regagner les esprits humains qu’au fil de l’allongement du temps. La Bible coûtait cher et elle était rare. Les multitudes n’y avaient pas accès. Et l’œuvre de la Réforme a reposé sur des personnes riches et instruites. Le cas de Pierre Valdo en 1170 confirme la chose. Son cas mis à part, le savoir était entre les mains de ces gens riches, possiblement, cupides, cruels et corrompus comme Jean Calvin. Le petit peuple devait se contenter des miettes des choses qu’il entendait. Dès le début, après les actions du moine Martin Luther, le message essentiel retenu concernait le salut par grâce, opposé au salut par les œuvres inutiles, enseigné par l’église papale. La comparaison de l’écriture des « dix commandements de Dieu », de la Bible et de la forme réduite enseignée par les prêtres catholiques, permit de découvrir la suppression du second commandement par Rome. Il prescrit l’interdiction d’adorer et de se prosterner devant les créatures ; cette forme d’adoration n’étant due qu’à Dieu et lui seul. Ces deux vérités furent à la base de la foi Réformée. Mais l’inertie créée par la pratique séculaire du jour du repos romain empêcha les Réformateurs de découvrir la transgression du sabbat divin et surtout, son importance. Ils ignorèrent ainsi que cette transgression du jour sanctifié par Dieu était la cause du durcissement religieux qui les faisait souffrir jusqu’à les faire mettre à mort. Pour des gens incultes et ignorants, les jours qui se suivent se ressemblent tous et ce n’est que sur la base d’une habitude traditionnelle que le dimanche romain était pratiqué au titre de « jour du Seigneur ». Et il faut le remarquer, l’inculte et l’ignorance ne caractérisent pas le monde contemporains. Pourtant, dans cette société instruite, on réagit avec la même indifférence, mais avec une culpabilité intensifiée. Il faut vraiment être inspiré par Dieu pour découvrir l’importance du sabbat. Avant de devenir « adventiste », pratiquant protestant non baptisé, et après avoir lu entièrement la Bible, j’étais étonné du fait que la religion chrétienne n’ait pas conservé le sabbat juif pour son jour de repos hebdomadaire. Cet étonnement fut à la base de ma réelle conversion pour Jésus-Christ. La rencontre avec des Adventistes m’a dirigé vers le sabbat et le baptême. La cause de l’étonnement disparut ainsi grâce à la lumière adventiste. L’étude des prophéties et les réponses que Dieu en Christ m’a données m’ont qualifié pour l’action que je mène aujourd’hui pour lui. Un juste étonnement est à l’origine de cette métamorphose spirituelle. Il suffit de peu de chose, ce que Jésus appelle la foi et qu’il image par un grain de sénevé, pour que notre vie entière bénéficie de sa pleine lumière, fruit de sa grâce salvatrice. Au 16ème siècle, l’amour pour le Christ mort pour nos péchés suffisait pour obtenir sa grâce. A cette époque, Jésus n’exigeait pas d’autre « fardeau » comme il le dit dans Apo.2:24 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau  ». Il fallait l’aimer plus que notre propre vie et savoir identifier le camp du diable, son ennemi et le nôtre. Ces exigences divines demeurent encore en notre temps final, mais nous n’avons plus l’excuse de l’ignorance ; depuis 1843, et surtout 2018, des explications pour toutes ses révélations et les situations du monde actuel sont disponibles et parfaitement expliquées.

 

 

QUEL EST TON NOM ?

 

Juges 13:17-18 : « Et Manoach dit à l'ange de YaHWéH : Quel est ton nom, afin que nous te rendions gloire, quand ta parole s'accomplira ? L'ange de YaHWéH lui répondit : Pourquoi demandes-tu mon nom ? Il est merveilleux »

Le père du futur Samson n’obtint rien de plus, mais la réponse à cette question fut donnée à Moïse par le Dieu qui lui est apparu sous la forme d’un buisson ardent qui brûlait mais ne se consumait pas. L’expérience est relatée dans Exode 3. J’ai déjà souvent fait l’étude de ce sujet mais l’Esprit du Seigneur m’a fait découvrir aujourd’hui, le Vendredi 31 Décembre 2021, un aspect très important de ce récit. Cette nouvelle lumière repose sur la valeur chiffrée du nom de Dieu que les hommes devaient désigner selon son ordre par le tétragramme «יְהוָ֣ה » composé de quatre lettres de l’alphabet hébreu qui sont de droite à gauche, successivement, le « yod » dont la valeur numérique est 10 parce qu’il occupe la 10ème place dans cet alphabet ; puis vient un premier «  » dont la valeur est 5 pour les mêmes raisons et qui est le chiffre symbolique de l’homme ; puis le « wav » dont la valeur est 6 et chiffre symbolique de l’ange soit du diable ; et le nom s’achève par un second «  », ce qui porte le nombre total de l’addition de ces quatre lettres à 26 ; soit, 10 + 5 + 6 + 5. Je le précise, 26 est le nombre de lettres de l’alphabet français, c’est aussi le numéro du département français dans lequel Dieu m’a fait naître et vivre. Mais c’est également dans la ville où je vis qu’il instaura sa première église adventiste après la Suisse, pour propager sa lumière.

Quand il crée, le grand Dieu créateur ne se limite pas à la matière qu’il fait sortir du néant. Il est aussi d’une manière illimitée à l’origine des sciences mathématiques qui passionnent aujourd’hui des spécialistes qui n’hésitent pas à déclarer que la vie entière s’analyse et se construit sur des formules mathématiques. Je ne suis pas un spécialiste de cette science, mais je les approuve pleinement. Je regrette simplement, qu’ils n’attribuent pas cette science à son génial inventeur, le Dieu suprême. Mon approche des chiffres est uniquement spirituelle et c’est dans l’étude de sa « Révélation » que j’ai pu découvrir les messages cachés dans des chiffres et des nombres. Dieu a construit « Sa Révélation », et il la présente à ses élus. Sa compréhension repose sur celles des images, des lettres, et des chiffres qui la composent. Ce sont là, trois directions de pensées complémentaires qui forment ensemble une perfection harmonieuse uniquement divine et d’un concept tridimensionnel.

Dans ce contexte de fin d’année chez les humains de tradition romaine, les télévisions projettent sur le petit écran, des films qui accrochent le public enfantin et adulte. Et dans ce cadre, comme chaque année, le film des « Dix Commandements », tourné avec un énorme budget largement remboursé depuis sa première projection, vient d’être une fois de plus offert à nos regards ébahis. Car ce n’est pas le souci de glorifier la vérité qui fut la cause de sa création. Les producteurs américains ont compris l’intérêt d’exploiter à prix d’argent ce récit où le surnaturel est constant ; le cinéma permettant, par trucages habiles, de reproduire des scènes époustouflantes et impressionnantes comme l’ouverture de la mer rouge devant le peuple Hébreu acculé sur le rivage face à cette mer. Le film permet de passer un bon moment, mais j’invite ceux qui le visionnent à vite oublier la forme présentée pour retrouver, dans la Bible, le récit textuel de l’accomplissement réel de cette extraordinaire expérience. Depuis Adam et Eve et après Noé, jamais, Dieu ne s’est autant manifesté au côté d’un homme, Moïse, avec autant de puissance, d’effets, de résultats qui donnent à l’humanité le témoignage de sa réalité. Je reviendrai sur ce sujet, mais en premier, je reviens sur ce nom de Dieu que Moïse va découvrir sans avoir à lui demander : « Quel est ton nom ? ». Pour comprendre le comportement de Moïse, nous devons retenir du texte biblique le fait qu’il reçut dans son esprit l’influence opposée de deux cultures, celle de l’Egypte et celle des Hébreux auxquels il a toujours su appartenir contrairement au scénario du film. Aucun mystère sur son origine, la fille du Pharaon est en contact avec Myriam la sœur aînée de Moïse dès qu’il est découvert dans son panier flottant sur le Nil. Mieux, elle accepte de confier l’enfant à sa vraie mère, pour qu’elle l’allaite et le fasse grandir. Moïse a donc toujours su qu’il était hébreu et que les Hébreux étaient « ses frères ». Cependant devenu grand, selon le pacte établi avec la mère adoptive égyptienne, la vraie mère redonne Moïse à la fille de Pharaon qui le garde et l’élève « comme un fils » ; soit, avec tout l’amour et l’abnégation dont elle avait su faire preuve en le confiant provisoirement à sa vraie famille. C’est précisément, parce qu’il connaît son origine personnelle, qu’à quarante ans, il en vient à tuer un égyptien qui voulait tuer un de « ses frères hébreux ». Moïse est ainsi écartelé entre ses sentiments d’amour pour ses deux liens inconciliables ; une mère égyptienne digne de son amour et une mère du sang hébreu qui coule dans ses veines, tout autant digne de son amour. Et c’est justement le versement du sang qui l’oblige à  privilégier l’origine de son propre sang. Dans son instruction, Moïse a reçu des Hébreux et des Egyptiens. Toutes ces croyances contradictoires ont besoin d’être triées et sélectionnées. Aussi, réfugié à Madian, Moïse, devenu gardien des troupeaux de son beau-père Jéthro, le Madianite, descendant du dernier mariage d’Abraham, découvre au Sinaï, Dieu qui se manifeste sous l’apparence d’un buisson enflammé. J’en profite pour tordre le cou à un mensonge public qui situe ce Sinaï au sud de la presqu’île égyptienne, alors que le vrai Sinaï se trouve à proximité de Madian à l’orient du bras oriental de la mer rouge, en Arabie, dans un lieu réellement désertique montagneux ; ce que confirme Gal.4:25 : « car Agar, c'est le mont Sinaï en Arabie, et elle correspond à la Jérusalem actuelle, qui est dans la servitude avec ses enfants ». Détail important, le crime commis par Moïse fut découvert et il lui fut attribué par le Pharaon. C’est donc pour échapper à cette colère égyptienne qu’il s’enfuit hors de l’Egypte. L’action le portait à s’appuyer sur ses origines hébraïques et le préparait ainsi à rencontrer réellement le Dieu de ses pères. Dans son esprit, Moïse se posait beaucoup de questions au sujet de ce Dieu invisible et déroutant. La question « Quel est ton nom ? » résume toute ses interrogations mentales non formulées. Elle prend alors plusieurs sens. En Egypte, le peuple de sa mère adoptive honorait de nombreuses divinités sinon inefficaces, pour le moins, invisibles. Mais le Dieu de ses frères l’était tout autant. De plus, s’appuyer sur lui, alors que ses enfants étaient livrés à la servitude de l’esclavage dur et meurtrier ne parlait pas en sa faveur. Les questions qu’il se posait étaient celles que se pose un homme en recherche de compréhension, tant la situation religieuse était déconcertante. « Comment le vrai Dieu peut-il livrer son peuple à la haine égyptienne ? »

Relève dans ses réponses comment Dieu démontre qu’il connaît et sonde les pensées secrètes des êtres vivants angéliques ou humains.

Dès le premier contact vocal, Dieu tranquillise Moïse qu’il nomme par son nom et il se présente à lui selon sa formule, au titre de « Dieu de ses pères, d’Abraham, d’Isaac, et de Jacob ». Sa croyance est ainsi légitimée. Tout de suite après cette présentation, Dieu évoque la situation de souffrance de son peuple mis en esclavage. Exo.3:7 : « YaHWéH dit : J'ai vu la souffrance de mon peuple qui est en Égypte, et j'ai entendu les cris que lui font pousser ses oppresseurs, car je connais ses douleurs. » Moïse peut encore là être rassuré, l’inaction de Dieu jusqu’à ce moment avait donc un sens. Et un but, que le verset suivant révèle : «Je suis descendu pour le délivrer de la main des Égyptiens, et pour le faire monter de ce pays dans un bon et vaste pays, dans un pays où coulent le lait et le miel, dans les lieux qu'habitent les Cananéens, les Héthiens, les Amoréens, les Phéréziens, les Héviens et les Jébusiens. » En dernier dans cette liste Dieu nomme les Jébusiens, la ville de Jébus deviendra sous le roi David la capitale du peuple hébreu nommée Jérusalem. La zone restera une enclave Jébusienne jusqu’à son règne.

Le programme de Dieu est ainsi clairement révélé à Moïse qui apprend alors qu’il va lui-même conduire son peuple dans sa marche vers la liberté divine.

Le verset suivant dit : « Moïse dit à Dieu : J'irai donc vers les enfants d'Israël, et je leur dirai : Le Dieu de vos pères m'envoie vers vous. Mais, s'ils me demandent quel est son nom, que leur répondrai-je ? » Ce verset nous conduit à réaliser que depuis son installation en Egypte, la famille de Jacob avait gardé un caractère tribal avant tout et que cette nature caractérisait encore plus les Hébreux réduits à l’esclavage. Un esclave n’a aucun droit si ce n’est celui d’obéir aux maîtres pour survivre. Dans ce contexte, l’engagement religieux collectif n’est plus possible et le peuple esclave devra tout réapprendre ; tout ce qu’Abraham a laissé en témoignage pour sa descendance et ce que Dieu viendra y rajouter. Moïse n’a pas reçu lui-même la connaissance du nom du Dieu de ses pères et sa formation intellectuelle le conduit à demander sous « quel nom » il va devoir l’annoncer à ses frères hébreux. Jusque-là, Dieu ne s’est jamais désigné par un nom. Sa réponse vient dans le verset 14 : « Dieu dit à Moïse : Je suis celui qui suis. Et il ajouta : C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël : Celui qui s'appelle 'je suis' m'a envoyé vers vous. » En fait pour correspondre au texte hébreu, la réponse de Dieu est encore plus télégraphique : « Je suis qui Je suis ». Mais même cette traduction traditionnelle ne permet pas de rendre de manière précise la réponse réelle de Dieu. En premier, relevons que cette expression suggère un certain énervement en Dieu quand ce sujet est abordé. En se donnant un nom, Dieu accepte d’être mis en comparaison avec d’autres divinités inventées par le diable et les hommes, des divinités qui n’existent pas en dehors de lui. Son agacement est donc justifié. Cependant, décidé à se placer au niveau des possibilités humaines de son peuple, il consent à se donner un nom « imprononçable » par toute autre personne que lui-même. Pour comprendre ce message, la lecture du texte hébreu est indispensable. Voici le verset hébreu d’Exode 3:14 : «וַיֹּ֤אמֶר אֱלֹהִים֙ אֶל־מֹשֶׁ֔ה אֶֽהְיֶ֖ה אֲשֶׁ֣ר אֶֽהְיֶ֑ה וַיֹּ֗אמֶר כֹּ֤ה תֹאמַר֙ לִבְנֵ֣י יִשְׂרָאֵ֔ל אֶֽהְיֶ֖ה שְׁלָחַ֥נִי אֲלֵיכֶֽם׃ ». Explications : les trois mots soulignés sont « Je suis qui Je suis ». Dans ces trois apparitions, le nom de Dieu commence par la lettre « aleph » ; « א ». Et cette lettre représente dans la conjugaison de l’hébreu, la première personne du singulier soit, en français « Je ». Ce pronom personnel, « Je », ne peut être revendiqué que par Dieu seulement, c’est pourquoi le nom que ses créatures vont prononcer va devenir sur son ordre, « YaHWéH » soit, « יְהוָ֣ה ». Le « aleph » du début du verbe est remplacé par le « yod » qui désigne la troisième personne du singulier dans la conjugaison des verbes hébreux soit, le pronom personnel « il ». C’est donc en connaissance de tous ces détails que vient maintenant la grande lumière promise pour cette étude.

Elle repose sur la valeur des nombres. Le nom de Dieu que les hommes peuvent prononcer, et qui débute par le « yod », avait pour valeur entière le nombre 26.  Mais celui que Dieu seul peut prononcer, et qui débute par un  « aleph » dont la valeur numérique est « 1 », a pour valeur entière, 1 + 5 + 6 + 5 soit, 17, le chiffre symbolique du jugement dans son Apocalypse. Ceci signifie que derrière le chiffre 26 qui lui est attribué quand son nom est évoqué par les hommes, se trouve le chiffre 17 par lequel Dieu se désigne lui-même confirmant son caractère de grand Juge universel. En fait, Dieu ne cesse pas de juger, le déroulement de son existence est une scène de jugement permanent collectif et individuel de toutes ses créatures. Il a gravé cette vérité dans son saint nom. Et ce nom imprononçable par l’homme l’est pour plusieurs raisons, et parmi elles, l’incompatibilité des règles grammaticales de l’Hébreu avec nos langues d’origines gréco-latines. Dans les temps des conjugaisons de l’hébreu le temps « présent » n’existe pas. Sa conjugaison repose sur le découpage principal binaire du parfait et de l’imparfait soit, l’action passée et l’action future. Mais apportant sa révélation en langue grecque, Dieu peut évoquer son nom en utilisant les trois temps du passé, du présent, et du futur, proposés dans cette langue. C’est ainsi que le grand Juge divin révèle son nom, en disant d’une manière adaptée à notre langue française d’origine gréco-latine, dans Apo.1:4 : « Jean aux sept Églises qui sont en Asie : que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était, et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône, ». « Celui qui est, qui était, et qui vient », la formule est renouvelée dans Apo.1:8 : « Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant. ». Le nom prononçable, mais intraduisible, est ainsi traduit et bien rendu, quant au nom imprononçable, tu en partages avec moi, aujourd’hui le secret caché : Dieu est le seul « Juge » que les hommes doivent craindre et apprendre à aimer. Car tout le projet qu’il a mis en route vise à « juger » entre pécheurs rebelles et élus fidèles, afin d’obtenir à la fin ce qu’il a voulu obtenir : l’amour librement éprouvés par ses élus fidèles. Le grand voyage éternel pourra alors se prolonger sans l’ombre d’un problème. Il cessera de juger et de condamner.

Et puisque sans son « yod », mais avec le « Aleph », le saint nom révèle Dieu comme le « Juge suprême », il n’est pas étonnant que le livre de Daniel, nom qui signifie « Dieu est mon Juge », ait été écrit pour préparer la découverte du « jugement » divin révélé en détails dans son Apocalypse, sa très sainte « Révélation ». Car c’est dans cette « Révélation » que Dieu révèle les clés de tous ses codes basés sur des images, des mots, et des chiffres. Le sujet porté dans chaque chapitre est en harmonie avec le chiffre qu’il porte selon sa signification dans le code chiffré de Dieu. Celui qui apparaît en premier est, bien sûr, le chiffre 7 qui désigne la sanctification divine, et par extension, le lien religieux établi, ou pas, avec lui. Ainsi, opposé au camp du « 7 » divin, nous trouvons le camp romain et ses « 7 têtes » d’Apo.12:3, 13:1 et 17:3. De la sorte, dans Apo.13, la véritable sanctification est remplacée momentanément par la fausse sanctification du régime papal romain entre 538 et 1798 et pour tous ceux que Dieu livre à ses ténèbres, jusqu’en 2030.

Dans le nom de Dieu, YaHWéH, la succession des trois dernières lettres conservées dans les deux formes du saint nom, les lettres HWH soit, 5 + 6 + 5, résument le programme conçu par Dieu, car le thème d’Apo.5 concerne « Jésus-Christ, le fils de l’homme ». Entre les deux « 5 » qui le concernent, le chiffre 6 de la lettre « wav » image la victoire apparente provisoire du diable longtemps dominateur des peuples terrestres. Mais destiné à la défaite et la mort, le diable a déjà été et sera finalement vaincu par Jésus-Christ. C’est ce qu’annonce le dernier « 5 », par lequel le saint nom de Dieu s’achève. Toutes les démonstrations nécessaires ayant été faites, la victoire divine annoncée sera complète.

Dans l’hébreu, la lettre « aleph » est la première de l’alphabet et le premier mot formé par cette lettre est « ab » qui signifie père. Le chiffre 1 qui la caractérise est donc symbolique de l’unité parfaite du Dieu créateur, l’Esprit du Père de toute forme de vie. Sans aucune surprise pour lui, les problèmes ne sont apparus que par la création des vies libres de ses créatures. Mais la solution du problème de la liberté était, elle aussi, déjà prête et programmée, elle aurait un nom : Jésus-Christ. Et la succession des chiffres 1 + 5 + 6 + 5 proclame la venue sur terre du Père (1) parti « en vainqueur (5) et pour vaincre (5) » le diable (6) et ses péchés. En vérité !

 

Le chemin, la vérité et la vie

 

Jésus nous a laissé cette déclaration célèbre connue par des multitudes de Chrétiens, dans Jean 14:6 : « Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. »  Dans ce verset, Jésus nous résume tout le plan du salut qu’il a conçu en Père, créateur de toute vie. Il le fait reposer sur trois étapes qui sont successivement 1- le moyen ; 2- la norme ; 3- le but final.

Le chemin est-il le but principal ? Non, cependant il reste le moyen incontournable pour quiconque veut atteindre le but final qui est la vie éternelle.

La vérité est-elle le but ? Non, pas plus que le chemin, cependant entrer dans sa norme, sa conformité, est indispensable pour quiconque veut obtenir le but final qu’est la vie éternelle. La compréhension de ce mot vérité devient donc salutaire. Sans entrer dans des détails qui compliquent les choses au grand plaisir du diable, comprends que la vérité c’est la norme que Dieu donne à la vie dans tous ses aspects. La vérité c’est sa conception des conditions qui offrent la possibilité du bonheur partagé. Et quiconque conteste ses conceptions de la vie se rend pécheur et inadapté pour vivre sous son regard pendant l’éternité. C’est en agissant ainsi que le premier vis-à-vis de Dieu s’est disqualifié pour vivre éternellement dans sa présence. Jésus a dit aussi dans Jean 8:32 : « vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira.». Il voulait dire qu’avec son aide, en obéissant à la loi divine, les pécheurs allaient trouver dans l’obéissance à Dieu, la liberté à l’égard de l’esclavage du « péché » qui est « la transgression de la loi » selon 1 Jean 3:4. C’est pourquoi, le sens de ce mot liberté doit être bien compris, car pour Dieu la vraie liberté n’existe que dans l’obéissance à ses concepts de vie. Il n’existe pas de troisième chemin pour l’homme pécheur par hérédité. Selon Deu.30:19, Dieu a mis en face de lui, deux uniques chemins dont l’un est l’unique, qui conduit à la vie, et l’autre, l’inique, qui conduit de manières multiples à la perdition et la mort éternelle soit, définitive ; l’être entier, corps et esprit étant définitivement anéanti.

Nous retrouvons dans cette triple association du « chemin », de la « vérité » et de « la vie », les trois phases du projet sanctificateur établi par Dieu. La sanctification de l’appelé par le moyen du sang versé par Jésus, sa sanctification par la norme de l’obéissance aux lois et principes approuvés par Dieu, et en dernier en salaire ou récompense finale, la sanctification de la glorification de l’appelé qui, accédant au statut d’élu, peut entrer dans la vie éternelle.

 

La justification par la foi oubliée

 

Jésus-Christ a, lui-même, tenu ces propos, en partie, inquiétants, dans Luc 18:7-8 : « Et Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tardera-t-il à leur égard ? Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »

Je ne doute pas un instant que Jésus trouvera la foi sur la terre quand il viendra, et ceci, parce que dans ce verset 7, il prophétise l’injustice qui persécutera ses derniers élus. Cependant la question qui se pose est la suivante : en quelle qualité et en quelle quantité ? Car il en est de la foi comme il en est du vin produit par la terre ; beaucoup de vignes et de vignerons, mais de quelles qualités ? Les bons vins sont rares et chers, et la vraie foi l’est tout autant et donc extrêmement appréciée par Jésus-Christ le Dieu Tout-Puissant, son Consommateur. Je reprends ici un sujet maintes fois abordé, celui de la « justification par la foi » et afin de le rendre encore plus compréhensible, je vais lui donner en parallèle une autre définition : « la justification par la sagesse », la forme religieuse de l’intelligence ; ceci en toute légitimité puisque Dieu déclare dans Dan.12:3 : « Et les sages brilleront comme la splendeur de l'étendue, et ceux qui ont enseigné la justice à la multitude, comme les étoiles, à toujours et à perpétuité.»  Car il se trouve que dans ce mot « foi » chacun met tout ce qui constitue ses convictions personnelles ; ce qui caractérise, précisément, la fausse foi, bien aidée en cela par les mauvaises traductions des textes grecs originaux de la Bible. Rom.14:23 en est un exemple trouvé dans la version de Louis Segond : « Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu'il mange est condamné, parce qu'il n'agit pas par conviction. Tout ce qui n'est pas le produit d'une conviction est péché.» La bonne traduction nous est proposée dans la version J.N.Darby sous la forme : « mais celui qui hésite, s'il mange, est condamné, parce qu' il n'agit pas sur un principe de foi. Or tout ce qui n'est pas sur le principe de la foi est péché. » Or la foi, est un principe uniquement défini par Dieu pour exprimer ses convictions divines personnelles sur ce que doit être le comportement idéal de ses créatures. Et dans le cas de ce verset, la foi prescrit ce qui est consommable ou ne l’est pas dans Lév.11, mais déjà l’idéal fut prescrit par Dieu dès la fondation du monde, dans Gen.1:29 : « Et Dieu dit : Voici, je vous ai donné toute plante portant semence, qui est sur la face de toute la terre, et tout arbre dans lequel il y a un fruit d'arbre, portant semence; cela vous sera pour nourriture. »;  Je ne saurai dire à quel point mon choix d’obéir à cet ordre me comble de joie et de satisfaction. Et ma santé physique et mentale en est la première bénéficiaire. La vraie foi s’empare de toutes les valeurs que Dieu approuve et bénit. Mais pour agir ainsi, l’être humain doit apprendre à la connaître et pour atteindre ce but, il ne faut pas se tromper au sujet du moyen. Car au titre d’Ecritures saintes, plusieurs choix sont proposés ; ceux des différentes versions des Bibles et celui du Coran. Le choix de l’intelligence soit, celui de la vraie foi, est en faveur de la Bible des Juifs que Dieu a créée en la faisant écrire au fil du temps pour en faire la dépositaire de ses oracles. Les preuves de ce choix se trouvent dans les récits bibliques eux-mêmes. Les « deux témoins » bibliques, l’ancien et le nouveau, se rendent mutuellement témoignage. Ils sont historiquement à l’origine de la foi du Dieu unique. Il ne s’agit donc pas de croire « à » mais de croire « en » ce Dieu qui possède seul l’immortalité ; ce qui signifie croire en la vérité portée et incarnée dans la personne divino-humaine de Jésus-Christ. Car la croyance « à » son existence n’est que la conséquence de la véritable intelligence donnée aux hommes élevés au-dessus des bêtes, les animaux qui n’ont, eux, reçu de Dieu que l’instinct de conservation dont l’homme profite également. Cependant le développement de son intelligence peut selon son caractère moral, de manière paradoxale, le priver du bénéfice de cet instinct de conservation. Le choix opéré par le diable et l’entêtement de sa rébellion contre Dieu en a donné la preuve. A la différence de l’animal, l’homme raisonne, il calcule, il déduit et tire des leçons des expériences. Et toutes ses facultés intellectuelles devraient, normalement, le conduire à comprendre qu’il ne peut exister d’intelligence sans un être intelligent qui l’ait créée. Le hazard peut-il créer le bon goût ? S’est-il soucier d’offrir d’agréables odeurs pour les nez humains ? Le penseur Pascal l’avait dit en prenant l’image d’un tableau qui a obligatoirement à son origine l’œuvre d’un peintre. En dehors de ce raisonnement simple et logique, la pensée humaine et diabolique peut imaginer des multitudes de concepts philosophiques aussi faux et mensongers que nuisibles.

L’annonce inquiétante faite par Jésus est aujourd’hui entièrement confirmée. Et la chose est remarquable, toutes les dernières lumières reçues du ciel aboutissent dans l’esprit d’un homme qui vit au milieu d’un pays où l’athéisme domine : la France républicaine détournée de Dieu par les écrits de ses maitres penseurs rebelles, « ses lumières » humanistes. En sorte que les dernières vérités, restaurées ou nouvelles, offertes  par Jésus-Christ fleurissent dans un désert spirituel, dans lequel, côte à côte, deux départements en forme de poumons portent les chiffres religieux symboliques « 07 » et « 26 ». Les deux profitent de l’arrosage du fleuve Rhône qui circule entre eux du nord vers le sud. La région produit les fruits de ses nombreux vergers, et à l’emplacement du cœur se trouve la ville de Valence, premier fief historique adventiste français, où j’ai reçu le baptême en totale immersion à l’âge de 36 ans. La sainteté ne se trouve que là où Dieu la place, et ce fut son choix de faire mourir le pape Pie VI prisonnier dans cette ville en 1799, pour accomplir ce fait prophétisé dans Apo.13:3 : « Et je vis l'une de ses têtes comme frappée à mort ; et sa plaie mortelle avait été guérie ; et la terre tout entière était dans l'admiration de la bête. ». Et ce fut encore son choix d’y faire séjourner le futur empereur français Napoléon 1er, pendant sa formation d’officier artilleur ; Napoléon 1er, « l’aigle » d’Apo.8:13 : « Et je vis: et j'entendis un aigle qui volait par le milieu du ciel, disant à haute voix: Malheur, malheur, malheur, à ceux qui habitent sur la terre, à cause des autres voix de la trompette des trois anges qui vont sonner de la trompette ! » Qui peut dire que le chiffre « 26 », nombre du nom de Dieu « YaHWéH » (YHWH=10+5+6+5) prononcé par l’homme et numéro du département de la Drôme, ne représente rien à ses yeux ? Mais hélas, pour abattre « la bête qui monte de la mer » dans Apo.13:1, « bête » qui désigne la coalition de la papauté romaine avec la monarchie française son soutien armé principal depuis son premier roi Clovis 1er, Dieu a fait appel à la « bête qui monte de l’abîme », dans Apo.11:7 » ; laquelle désigne la Révolution française et son athéisme sanglant des années « Terreurs » 1793-1794.  Comme Apo.13:4 l’avait prédit, « la plaie mortelle » de « la bête » allait être « guérie », et la foi catholique, cette fausse foi chrétienne, a pu se développer et multiplier ses adeptes avec d’autant plus de facilité qu’elle les enrôle dans leur berceau, en les baptisant à l’état de « bébés » tout de suite après leur naissance. Je remercie Dieu de m’avoir épargné cette expérience pratiquée dans la fausse foi catholique et la fausse foi protestante. Car, beaucoup de créatures sont piégées en donnant à ce baptême, pourtant non choisi, une valeur réelle. Je leur rappelle que, seules, celles qui croiront et qui seront baptisées seront sauvées. Et la foi est une affaire d’adulte et un fruit de sagesse, comme Daniel l’a enseigné ; le « bébé » n’est donc pas qualifié pour la démontrer. De plus, en en faisant le fruit d’un choix adulte, Dieu fait du baptême un choix qui engage et responsabilise, le baptisé. Car s’engager pour Dieu n’est pas sans risque et je le rappelle après Jésus et Jacques, les croyants seront « plus sévèrement jugés » que les incroyants. Matt.23:14 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous dévorez les maisons des veuves, et que vous faites pour l'apparence de longues prières; à cause de cela, vous serez jugés plus sévèrement.»  Jac.3:1 : « Mes frères, qu'il n'y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se mettent à enseigner, car vous savez que nous serons jugés plus sévèrement. »

Ainsi, dans un désert d’irréligiosité, depuis 2018, l’Islam zélé est venu bousculer la norme athée du peuple français. Le concordat signé par Napoléon n’avait pas prévu les difficultés conséquentes de ce nouveau cas de figure. Car à l’époque de Napoléon, le concordat visait à établir des règles républicaines acceptables et adaptées pour les seules religions chrétiennes catholiques, et les protestantes en faible représentation en France. Un heurt imprévu, tel celui du Titanic en 1912 contre un iceberg, est venu dresser la foi fanatisée de l’islam contre l’athéisme. Ces deux représentations extrêmes étant l’une et l’autre coupées du grand Dieu créateur Jésus-Christ, le grand Juge des univers prépare la destruction de multitudes d’âmes dont les vies ne sont pas dignes d’être prolongées. Les « vases de terre » inutiles vont être impitoyablement « brisés ». Mais au milieu de ce carnage, il saura préserver l’intégrité des « vases d’honneur » qui lui appartiennent, parce qu’ils lui sont précieux, et parce qu’ils représentent sa gloire. Et la gloire de Dieu c’est la vraie foi de ses élus soit, leur parfaite adaptation au modèle idéal de sa conception divine et humaine.

Nul ne peut dire à quelle hauteur, individuellement, Dieu place, dans son jugement, le niveau de son exigence, mais nous sommes tous confrontés à son témoignage biblique dans lequel nous pouvons tous découvrir ce qui est à ses yeux, agréable, bon et parfait. Qui va déployer son zèle, pour devenir le champion de l’obéissance, et le « chouchou » du divin Maître de la fidélité dans l’amour ? C’est le combat de la foi, la vraie, dans lequel les apôtres du Christ se sont engagés et nous ont précédés jusqu’à ce jour du 3 Janvier 2022.

« La justification par la foi », ou « justification par la sagesse », permet d’identifier les cibles visées par les plaies divines. Ce sont tous ceux et celles qui méprisent ou exploitent faussement les enseignements de la Bible qui est représentée par ses « deux témoins » de l’ancienne et la nouvelle alliance, comme l’indique Apo.11:3 ; les deux ayant construit, de manière complémentaire, le message prophétique apporté aux Bienheureux élus de Jésus-Christ, les derniers dissidents adventistes du septième jour trouvés zélés et fidèles qui attendent son glorieux retour pour le printemps 2030.

 

« AUX LARMES CITOYENS ! »

 

Le temps de l’insouciance et des rires est terminé. Les ripailles et les somptueux festins étaient d’un autre temps. Et pour obtenir ce changement, le grand Dieu créateur n’a eu qu’à exploiter les séductions des nouveaux serpents appelés « science » et « culture », pour punir la société incrédule et ingrate ou incroyante séduite par ses prodiges et ses prouesses. Dans l’Occident dominé par le capitalisme froid et cynique, le plaisir de la consommation effrénée occupait les pensées des peuples. Mais voici que, depuis le début de l’année 2020, tout a été changé. Après le « Sida » tueur, l’apparition du coronavirus contagieux, le Covid-19, a fait cesser la norme habituelle de la vie jusque là faite de sorties et de chaudes rencontres amicales ou amoureuses. La distanciation est maintenant imposée et après avoir subi les conséquences des multiples adultères et les innombrables divorces dus à l’égoïsme, la cellule familiale des êtres humains éclate en morceaux qui s’éloignent les uns des autres à l’image de l’explosion d’une étoile dans le cosmos. Cependant, en France, un tel changement ne pouvait s’accomplir que par l’arrivée au pouvoir d’un jeune président, né sous la cinquième République et ce détail est lourd de conséquences. En 1958, l’adoption de cette Constitution proposée par le général De Gaulle fut dénoncée comme une dictature déguisée, par toute l’opposition politique de l’époque. C’était bien une dictature, finement organisée, le dictat étant obtenu par le soutien d’une majorité législative au service du nouveau prince élu. Malgré la résistance des vrais républicains de la quatrième République, la constitution de la cinquième fut adoptée. Pendant longtemps, dans le temps de sa prospérité, la France n’en a pas souffert. Elle ne posa pas de problème, mais alors que la pensée des Français était absorbée dans les diverses formes de la consommation, les présidents successifs ont engagé le pays dans des décisions et des directions funestes sur le long terme. Et celui-ci concerne notre époque, en laquelle, la nécessité de s’accorder avec les autres nations de l’Europe prive le président de la France de la possibilité de prendre des mesures pour favoriser son pays. Dans l’Europe unie, et ouverte à de nombreuses sources d’immigrations, les difficultés du monde viennent s’implanter et alourdir la charge des peuples déjà ruinés par la destruction des emplois suite aux délocalisations intra et extra-européennes. Et dans ce contexte où tous les peuples se fournissent en Chine, d’où il est également sorti, le virus Covid-19 provoque des effets secondaires imprévus : la désunion entre ceux qui se font vacciner et ceux qui ne veulent pas l’être. Comme si le sujet religieux et la politique ne suffisaient pas, voilà que le vaccin vient encore fractionner la société française. Elle avait bien besoin de ça !

Chacun trouve des raisons de justifier sa position. Le plus grand nombre, que j’appelle « les moutons », ignore ce verset de la Bible cité dans Jér.17:5 : «Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son cœur  de YaHWéH ! ». Tous ceux-là sont convaincus par les arguments présentés par les scientifiques et les scientistes de la santé. Pourtant, ils ont tort car ils ne tiennent pas compte de l’existence de Dieu et se trompent en toute chose sur les vraies valeurs de la vie. Je sais par expérience qu’avec la plus grande volonté et toute la prudence nécessaire, j’ai souvent détruit des choses que je voulais réparer. Ce même risque s’applique à la santé des hommes. Et injecter dans le corps des molécules qu’il ne fabrique pas lui-même est loin d’être anodin et peut avoir les effets du poison à plus ou moins long terme. Victime des brimades imposées par la gouvernance scientifique et politique, les vaccinés imputent leur privation de liberté à ceux qui refusent le vaccin. Ils oublient que la situation est créée par les décisions des dirigeants. Mais ne pouvant ou ne voulant rien reprocher à ce dictat politique sanitaire, évitant de contredire les autorités, ils préfèrent diriger leurs ressentiments contre ceux qui ne partagent pas leur avis. Les moutons sont aussi des lâches et avant tout des esprits manipulables.

Dans l’autre conception, celle de ceux qui analysent et réfléchissent par eux-mêmes, le problème est vu différemment. Le vaccin ne sert plus qu’à obtenir le droit de vivre plus librement. Il ne protège pas à 100% du Covid, il n’empêche pas sa contamination, mais il réduit le risque des cas aggravés par la morbidité de l’âge et des maladies engendrées par les mauvaises habitudes apparues dans la vie moderne (tabac, alcool, drogues, …). Malgré 90% de gens vaccinés, des non-vaccinés entrent en hôpital et y meurent. Cette situation me fait penser à la méthode adoptée dans la culture biologique. Sur une parcelle entière semée, l’immense majorité de la surface est très légèrement traitée par des insecticides biologiques, et une petite partie de l’ensemble n’est absolument pas traitée ; elle est abandonnée aux insectes. Et le principe fonctionne parfaitement bien car entre la zone légèrement traitée et la zone non traitée, les insectes ne s’y trompent pas. Ils délaissent la zone traitée et se ruent pour se rassasier sur la zone non traitée. Notre Covid-19 fait de même. Il envahit le corps non-vacciné, ne trouvant que rarement la défense immunitaire naturelle capable de le neutraliser. Car l’humanité actuelle vit sous la loi chimique inventée par les USA depuis l’année 1945 jusqu’à aujourd’hui. Pour l’heure, le corps non-vacciné l’attire, mais il se peut que cette attirance soit amplifiée par son adaptation progressive aux anticorps créés chez les gens vaccinés. Le principe a été constaté pour les médicaments antibiotiques dont l’efficacité s’est affaiblie, et dans certains cas, n’a plus aucun effet. Dans un entêtement humaniste, le président Macron pense que la vaccination de tout son peuple peut mettre fin à la vie du virus. Sans me tromper, j’affirme que c’est une illusion et ceci pour plusieurs raisons. En supposant que tout le peuple soit vacciné, que fait le Covid ? Il mute et s’adapte aux anticorps qui le combattent, et reprend le combat sous une nouvelle forme encore plus agressive et contagieuse. Dans cette guerre qui lui est menée, le jeune président subit la puissance destructrice du grand Dieu créateur qui seul, est en mesure de faire cesser son fléau du moment. Mais ayant connu son projet, je sais qu’il n’a pas l’intention de le faire. Car déjà, dans l’anonymat de son invisibilité, il prépare les châtiments suivants. La majorité des êtres humains est incapable d’accepter l’idée d’être entrée dans une phase de destruction progressive de toutes les vies humaines dispersées sur la terre. Le Covid-19, et sa faible mortalité, n’est que le signe du commencement de cette hécatombe universelle programmée. Où sont les droits de l’homme ? Où sont les cris qui s’élèvent contre le génocide organisé par Dieu ? Réalises-tu combien notre époque ressemble à cette confrontation entre Pharaon et ses magiciens, et Moïse, Aaron et le Dieu Tout-Puissant ?

Parmi ceux qui refusent le vaccin, beaucoup font confiance à leur état de santé physique, car ils ignorent que c’est Dieu qui utilise le virus qui tue et bouleverse la situation économique, sociale et politique de l’humanité entière. Il se trouve que ni l’immunité naturelle, ni le meilleur état physique, ni les vaccins ne protègent pas contre le jugement de Dieu. La mort va frapper quiconque n’est pas réellement protégé par le sang expiateur de Jésus-Christ. Après le temps des rires, va succéder, maintenant, le temps des larmes, et déjà partout sur la terre des familles endeuillées pleurent leurs morts disparus soudainement. Au temps de Pharaon, les familles égyptiennes firent de même et à leur tour, les Hébreux ont pleuré leurs morts tombés dans le pèlerinage du désert pendant 40 ans, et chaque fois que Dieu l’a ensuite châtié pour ses péchés. C’est ici que je dois revenir sur ce critère qui est si fondamental pour comprendre ce que nous vivons. Tous nos gouvernants sont jeunes et ont grandi dans la 5ème République, qu’aucun parmi tous les hommes politiques qui se sont succédés n’ont jamais remise en question. Cette dictature déguisée en démocratie était et est encore regardée comme un modèle exemplaire de démocratie pour la seule et unique raison que nos monarques successifs ont laissé au peuple le droit de jouir de sa liberté, dans les plaisirs et la débauche. Dans ce climat d’insouciance, les riches pouvaient s’enrichir encore plus et les pauvres tenter leur chance au Loto et au PMU. La jeunesse « macronienne » (quasi-anagramme = ma connerie) est donc incapable de considérer le pouvoir autrement que dans sa forme absolue de cette 5ème République. Pour Dieu, le chiffre 5 est celui de l’homme. Il marque l’apogée de cette gouvernance humaniste de la France républicaine et dans l’indifférence générale, il a replacé le peuple français dans les conditions de l’ancien régime royaliste ou celui de l’empire, autoritaire, mais ouvert et accueillant. Le président Chirac fut à l’origine de cette expression : la pensée unique. Ce fut le cas pendant environ 70 années après la Seconde Guerre Mondiale. Le peuple brisé par l’Allemagne nazie est resté servile et docile dans tous les domaines, politiques et économiques, jusqu’à nos derniers jours, où le jeune chef d’Etat est confronté à des problèmes incessants et insolubles qui le rendent irritable et de plus en plus agressif ; aujourd’hui plus qu’hier mais moins que demain, jusqu’à être, lui-même, brisé et détruit, quand Dieu trouvera bon de le faire. Et de même, pour le peuple de France et ceux du monde, le pire est encore à venir. Les larmes n’ont donc pas fini de couler. « Aux larmes Citoyens ! » Car le comportement orgueilleux de la jeunesse dirigeante rend la remise en cause des décisions qu’ils ont prises, impossibles. Aussi longtemps qu’elle ne prend pas conscience de l’action conduite par Dieu, elle ne peut raisonner que sur ses bases et connaissances scientifiques. L’opposition entre vaccinés et non-vaccinés a donc une cause religieuse ignorée dans les deux camps. Le Créateur donne ainsi une cause à son œuvre séparatrice et désunificatrice. Les peuples pour lesquels « la lumière n’est que ténèbres et les ténèbres, leur lumière », sont soumis à un faux diagnostic en raison de leur total aveuglement causé par leur impiété et leur mépris de Dieu et ses puissantes révélations.

Nous lisons dans Amos 3:6 : « Sonne-t-on de la trompette dans une ville, Sans que le peuple soit dans l'épouvante ? Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ? » Ce verset désigne deux choses qui concernent doublement notre actualité. La première concerne la « trompette » qui va sonner sous peu pour la « sixième » fois dans le projet révélé par Dieu dans son Apocalypse, dans Apo.9:13. Elle va sonner, cette fois, non « dans une ville », mais sur l’Europe entière et sur toute la terre. Cette explosion de colère du Christ crucifié méprisé, universellement, est illustrée par les « quatre cornes de l’autel d’or qui est devant Dieu ». En réponse à ce mépris, il libère les mauvais anges, les démons, retenus selon Apo.7:1 à 3, depuis 1798, et encore en 1843. Car il faut le comprendre, Dieu cible la guerre religieuse qui n’est pas la cause principale des deux premières Guerres Mondiales. Pour la troisième, le texte dit : « et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. » Cette libération est cependant, et pour la troisième fois, encore très partielle, car les trois Guerres Mondiales se succèdent avec une puissance destructrice progressive. Ceci parce qu’elles sont toutes des avertissements adressés par Dieu aux pécheurs terrestres avant leur extermination qui viendra seulement après la fin du temps de grâce. Le nombre des victimes est donc réduit au « tiers » des êtres humains : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » La seconde partie du verset d’Amos 3:6 disait : « Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ?  » Dieu n’est pas obligé de conduire l’action lui-même puisqu’il lui suffit de libérer les mauvais anges pour que le mal soit fait aux hommes que sa colère cible. Mais relève avec moi, qu’il revendique pleinement la responsabilité des maux qui frappent selon sa justice, les humains qui pèchent contre ses lois, ses ordonnances et le témoignage de son amour démontré et magnifié en Jésus-Christ.

Comparativement aux maux qui vont venir sur l’humanité avec cette « sixième trompette », les petits ravages dus au Covid-19 sont peu de choses. Cependant, il sonne et confirme le changement du comportement du Dieu Tout-Puissant dont les terribles ravages vont s’intensifier, progressivement, jusqu’à l’extermination finale annoncée à ses élus pour le printemps 2030. Comprends-le bien, ni l’homme, ni les démons n’ont le pouvoir de créer la vie. Mais avec l’aide des démons, la science humaine a appris comment la vie peut subir des modifications, en intervenant dans le génome du vivant. Les apprentis sorciers modernes ont appliqué cette pratique aux cultures des aliments avant de les appliquer à l’homme. Le succès obtenu avec les végétaux les ont encouragés à avancer plus loin, et dans un délire démentiel, ils ont produit dans leurs laboratoires le monstre qui les tue aujourd’hui. Les responsables du fléau sont-ils les mieux placés pour en délivrer l’humanité ? Il semble que la réponse soit, oui, selon les choix faits par les gouvernants aveugles et terrorisés de la planète entière. Mais Dieu et ses élus sont d’un tout autre avis et c’est le seul qui prévaudra et s’imposera, finalement, sur tous les autres.

Ne doutons pas un instant de l’authentique conviction qui anime et motive la jeune garde présidentielle car c’est là que se tient le problème. Comme le dicton le rappelle « l’enfer est pavé de bonnes intentions » et il faut retenir de l’histoire, qu’animé des meilleures et sociales motivations, pour favoriser la vie des pauvres, le président François Mitterrand a sacrifié l’avenir de la France pour régler un problème immédiat. Après le secteur du textile abandonné au profit de l’Asie, il a aussi sacrifié le secteur de la sidérurgie de l’Est privant ainsi la France de son indépendance, et créant du coup, un énorme chômage dans le Nord et tout l’Est du pays. Tout le monde peut se tromper mais quand celui qui se trompe est un chef d’Etat au pouvoir quasi-absolu, les conséquences pour le peuple conduit sont terribles et irrattrapables. C’est pourquoi, la sélection des chefs d’Etats qui arrivent au pouvoir, choisis par Dieu, éclaire ses élus sur l’avenir qu’il projette sur les peuples de la terre et surtout ceux de l’Occident infidèlement chrétien, sa cible principale qu’il désigne sous le nom symbolique « Euphrate » par ce qu’elle est placée sous la malédiction de son héritage catholique romain qu’il appelle dans la même image, « Babylone la Grande », l’institution officielle héritière de Constantin 1er le Grand, instaurée dans l’année 538. Mais sans le soutien armé des rois de la France et sa ville Paris que Dieu nomme symboliquement « Sodome et Egypte » dans Apo.11:7, cette domination ne se serait pas prolongée jusqu’à nos jours. C’est pourquoi, Rome, Paris, et l’Europe, sont devenues les cibles privilégiées de la colère du Dieu créateur Tout-Puissant, conformément à l’itinéraire chronologique de la progression du Covid-19. Mais les autres nations, chrétiennes ou pas, n’en sont pas moins coupables et elles partagent déjà avec elles le Covid-19 et auront leur part dans la destruction qui vient.

 

Une révélation numérique aux implications inattendues

 

Nous avons la preuve que dans ce qu’il construit, Dieu ne laisse que peu de place au hasard ; la Bible entière reposant sur des figures numériques révélées et démontrées par le mathématicien russe Yvan Panin. Dans mon inspiration de ce jour, le 7 Janvier 2022, l’Esprit m’a dirigé vers une meilleure compréhension des événements de la Genèse ; ceci en m’appuyant sur le code chiffré révélé dans les numéros des chapitres qui composent l’Apocalypse (explication complète dans « Explique-moi Daniel et Apocalypse » pages 156-157). Ainsi, en réduisant d’une unité la date 1656 retenue jusque là comme étant celle de l’année du déluge d’eaux, nous obtenons la date 1655 dont le nombre total est 17 soit, le chiffre symbolique du jugement divin. Et le déluge fut, effectivement, le premier grand jugement accompli par Dieu dans toute l’histoire humaine. Mais cette réduction d’une année sur les dates construites par les généalogies citées dans la Genèse entraîne d’autres révélations sur le déroulement du début de la vie d’Adam et Eve. Cette réduction d’une année implique les faits suivants. Adam et Eve ont vécu une année entière soit, 12 mois, dans leur état d’innocence et de parfaite pureté. Au cours de cette année, Eve a porté et mis au monde son premier fils Caïn, et elle l’a enfanté, sans douleur excessive. Ceci explique le sens des paroles que Dieu lui adresse dans Gen.3:16, après son péché : « Il dit à la femme : J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. »  Ce n’est qu’après le péché que, cette fois dans la douleur, Eve a enfanté Abel, et il était lui-même héritier du péché comme le seront, Christ, de par sa volonté rédemptrice, et ses disciples. Dans ce cas de figure, Caïn est à l’image du premier vis-à-vis créé par Dieu, le premier ange créé parfait appelé « Astre ou étoile du matin » dans Esa.14:12 : « Comment es-tu tombée des cieux, Etoile du matin, fille de l'aube du jour ? Toi qui foulais les nations, tu es abattue jusques en terre. » Cette version « Martin » atteste de ce nom « Etoile du matin ». En le comparant au « soleil » de notre système Dieu témoigne que la création de ce premier ange lui avait apporté de la joie. Je précise que seules les versions Martin et Jérusalem respectent le nom du texte hébreu. Les autres ont adopté la forme « Astre brillant » qui a donné au diable le nom « Lucifer » dans la tradition catholique et protestante.

Caïn est donc prophétiquement l’image du diable qui va tuer son frère, Jésus, imagé par Abel. Et après lui, sa haine meurtrière se portera sur ses héritiers spirituels soit, tous les élus de Jésus-Christ. Dans son enseignement, Jésus a dit du diable dans Jean 8:44 : « il est menteur et meurtrier dès le commencement » : «Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond ; car il est menteur et le père du mensonge. » Or, le premier meurtre de l’histoire humaine fut commis par Caïn ; ce qui confirme son image du diable. Et à cause de ce rôle prophétique qui image le diable, nous pouvons mieux comprendre pourquoi, après qu’il ait tué son frère Abel, Dieu met un signe sur Caïn, afin que personne ne le tue. L’image du diable va jusque là, car en effet, le diable ne devait pas non plus mourir avant la fin du monde, comme Caïn, il jouit d’une protection spéciale parce qu’il porte en lui-même un rôle révélateur qui fait de lui le chef du camp rebellé contre l’autorité de Dieu. Ainsi, de même que la prolongation de la vie du diable a permis le regroupement des démons et des humains qui le rejoignent en l’imitant, la survie de Caïn engendra des imitations comme celle de Lémec, l’odieux moqueur et railleur, que cite Gen.4:23 : « Lémec dit à ses femmes : Ada et Tsilla, écoutez ma voix ! Femmes de Lémec, écoutez ma parole ! J'ai tué un homme pour ma blessure, et un jeune homme pour ma meurtrissure.» Car après s’être vanté de ces crimes, se moquant ouvertement de Dieu, il ajoute, au verset 24 : « Caïn sera vengé sept fois, et Lémec soixante-dix-sept fois ». Lémec n’était pas qu’un criminel, il était aussi fornicateur et adultère, ayant pris deux femmes contrairement à l’ordre donné par Dieu dans Gen.2:24 : «C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. »

Dans ce chapitre 4 de la Genèse, la signification du chiffre 4 étant le caractère de l’universalité, Dieu projette en image la progression du mal sur la terre, qui prenant forme en Caïn, s’achèvera, au temps du retour en gloire de Jésus-Christ, par sa confrontation avec des multitudes de peuples qui présenteront les critères du premier « Lémec ». Dans sa description, nous retrouvons déjà l’image des êtres humains qui vivent en notre époque. Même s’ils ne portent pas le nom « Lémec », on retrouve en eux la même impiété, le même mépris pour la gloire divine, et le même goût pour le sarcasme et la moquerie. A ces choses, il faut ajouter que, pour Dieu, les derniers rebelles seront coupables d’avoir mis en projet l’extermination des derniers élus. Les rebelles les auront condamnés finalement à mourir pour leur refus du dimanche catholique romain et leur entêtement à observer fidèlement le repos du sabbat sanctifié par Dieu ; ce qui confirme encore leur lien avec le « Lémec » meurtrier des deux hommes. Dans Genèse 4, Dieu continue de prophétiser l’avenir de l’humanité.

Dans ce nouveau regard sur les débuts de la vie terrestre, il apparaît que le péché originel commis, en première par Eve et en second par Adam, le fut après un an de vie parfaite. Et le péché accompli, le temps des 6000 ans, réservé au péché dans le projet de Dieu, a commencé. Une année après la création d’Adam et Eve, basculant sur son axe, la terre a été soumise aux changements des quatre saisons, au cours desquelles le processus de la vie et celui de la mort s’alternent perpétuellement.

La réduction d’une année, des calculs établis jusque là, concerne aussi l’année 1948 attribuée à la naissance d’Abraham. Raccourcie d’une année, elle devient 1947, et cette fois, le nombre de l’année totalise le nombre 21 soit, 3 fois 7, ce qui désigne la perfection de la sanctification. Ce chiffre est plus conforme à la symbolique divine pour marquer la naissance du fondateur des alliances passées entre Dieu et ses créatures. Car dans son image symbolique, dans Romains 11, « la racine de l’olivier franc », décrit par l’apôtre Paul, c’est lui, Abraham, le père des vrais croyants auxquels Dieu « impute », véritablement, sa justice en Christ selon Gen.15:6 : « Abram eut confiance en YaHWéH, qui le lui imputa à justice ».

Cette réduction d’une année sur les calculs établis dans la Genèse est sans incidence sur la date finale du printemps 2030 qui reste le début de la 2001ème année depuis la mort du Christ dans la Pâque de l’an 30. L’explication est très simple à comprendre. Les calculs des généalogies de la Genèse sont de forme ascendante et nous donnent la possibilité de créer des dates en cumulant des données chiffrées. La construction est logique et assez sûre, mais cette construction ne peut pas être poursuivie jusqu’à la fin du monde par absence de données chiffrées bibliques. Dans le sens inverse, marquant le début de l’an 4001, la mort du Christ est établie sur la base de notre faux calendrier dans son année 30 et il n’est pas possible d’utiliser ce faux calendrier pour établir la jonction avec le calcul ascendant offert dans la Genèse. Dans ce faux calcul, établi sur la fausse date de la naissance de Jésus-Christ, des dates ascendantes et descendantes ont été présentées mais aucune ne tient compte du temps réel compté par Dieu depuis le péché originel. Aussi, sa mort en Christ le 3 Avril 30, solidement établie dans notre faux calendrier, constitue le point d’appui du dernier tiers des six mille ans réservés au péché et à la sélection des élus trouvés par Dieu au milieu des pécheurs sur toute la terre.

 

 

La loi du grand Juge

 

Il est évident que tout jugement doit porter sur des textes de lois qui doivent, pour être légitimés, connus et reconnus par les personnes exposées au jugement. Les hommes ont bien compris la chose et pour ne pas être victimes de ce critère, ils ont décrété que nul n’est censé ignorer la loi. Dans nos civilisations occidentales, les lois civiles ont priorité sur les lois religieuses ; et tombées dans l’apostasie, les grandes institutions chrétiennes européennes ont accepté ce fait-accompli, et approuvé la règle laïque imposée par Napoléon 1er et les dirigeants venus après lui. Or, chacun peut le comprendre, placer la loi du Dieu créateur en-dessous des lois humaines est un choix suicidaire ou le choix inconscient fait par des incroyants. L’histoire du temps passé témoigne de ce que la France a hérité de l’athéisme révolutionnaire qui domine encore largement les esprits de son peuple. Son indifférence, voire son mépris pour la religion et son expérience, ont contaminé beaucoup de peuples sur la terre. Cependant, l’athéisme ne peut convenir qu’aux êtres humains qui refusent la réflexion et souhaitent passer à côté des questions dérangeantes. Ayant fait le choix contraire, j’ai souhaité et obtenu de Dieu, toutes les réponses aux diverses questions qui s’imposaient à moi. Aussi dans cet article, je vais présenter les étapes successives qui permettent à un vase vide d’être rempli d’huile sainte par l’Esprit de Dieu. Mais cette action divine s’appuie sur du concret, contrairement aux fausses religions païennes dans lesquelles les divinités imposaient, arbitrairement, leurs décisions transmises par les sorciers médiums inspirés par le diable et ses démons associés.

Le vrai Dieu se distingue en ce qu’il ne s’autorise pas lui-même à transgresser ses lois et ses principes. Il ne fait jamais d’exception pour personne. Sous son autorité, la loi est systématiquement appliquée. Mais, comme vu plus haut, pour être appliquée, elle doit être préalablement publiée. C’est le rôle de la sainte Bible qui constitue, de Genèse à Apocalypse, la loi divine. Les religions ont tort de réduire la loi divine à ses dix commandements. Car, aussi précieux et importants qu’ils soient réellement, ils ne représentent pas à eux seuls la loi divine. Jésus a bien dit au diable dans Mat.4:4 : « Il est écrit : L’homme ne vivra pas de pain seulement mais de toute parole sortie de la bouche de Dieu ». Ce fut la réponse qu’il opposa au diable qui l’incitait à créer du pain. Et cette « parole » divine est à l’origine de toutes les saintes Ecritures de l’ancienne et de la nouvelle alliance. Les figures numériques qu’elles comportent de manière exclusive attestent de cette ultra haute sainteté. Les cinq premiers livres, Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, et Deutéronome, ont été écrits par Moïse, sous la dictée de Dieu, dans la tente d’Assignation. Ce sont donc, uniquement, des « paroles sorties de la bouche de Dieu ». Et le code numérique qui les sanctifie est infalsifiable. Les circonstances dans lesquelles les autres livres furent écrits sont différentes, mais présent ou absent, l’Esprit inspirateur de Dieu est à leur origine, car elles sont aussi sanctifiées par son code numérique. Pour comprendre que les Ecritures de la nouvelle alliance ont autant de valeur que celles de l’ancienne, Jésus a dit dans Jean 12:48 : « Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au dernier jour.». Ainsi, la loi divine s’est allongée par les Ecrits des Evangiles et les différents Epîtres des écrivains bibliques, Paul, Pierre, Jacques, Jude, et Jean. Et dans leurs versions originales grecques, le code numérique divin est encore présent.

Dans tous ces textes, Dieu a parlé, il a exprimé son jugement, il ne reste plus à l’homme qu’à se montrer obéissant pour lui plaire. Dans 1 Cor.4:9, Paul a dit : « Car Dieu, ce me semble, a fait de nous, apôtres, les derniers des hommes, des condamnés à mort en quelque sorte, puisque nous avons été en spectacle au monde, aux anges et aux hommes ». Que font ces multitudes d’yeux invisibles qui nous regardent ? Ils jugent nos œuvres et notre témoignage. Et ils constituent des témoins pour Dieu qui nous observe et nous juge lui-même pendant tout notre parcours de vie sur la terre. Et chaque fois que la chose devient possible, une relation est établie entre la créature et son Créateur. Là encore, c’est la loi qui fixe la condition de ce possible, et dans les deux alliances successives, le lien commun est l’obéissance. Celle-ci dépend de la lumière reçue par les humains. Nous ignorons la forme sous laquelle Dieu avait présenté sa loi aux antédiluviens, mais la norme « du bien et du mal » était connue, puisque le jugement de Dieu a remarqué, en premier, la fidélité de son serviteur Enoch ; une fidélité prolongée sur trois cent ans. Dieu ne put résister et il enleva vers lui, vivant, ce fidèle ami.  Dans l’ancienne alliance, les lois divines sont clairement établies. Quiconque les transgresse devient coupable et mérite la seconde mort. Mais déjà, la mort expiatrice future du Christ peut bénéficier au pécheur, par l’offrande d’un sacrifice animalier qui anticipe et préfigure soit, prophétise, cette mort offerte pour les péchés des élus. Dans la nouvelle alliance, le sacrifice animalier a été remplacé par la mort volontaire du Christ et le pardon des péchés est obtenu directement par la prière du pécheur baptisé ; sous condition que celui-ci soit sincèrement désolé et contrit par sa faute contre la loi divine. Nous voyons que le moyen d’obtenir le pardon évolue dans le temps, mais le besoin du pardon est constant, parce que la loi d’accusation est perpétuellement active. Son rôle ne cessera pas avant la fin collective et individuelle du temps de grâce, qui précède, de peu, le moment du retour en gloire de Jésus-Christ.

Quiconque entend parler de ce Dieu unique et souhaite entrer dans son obéissance sera conduit par son Esprit vers lui. Quelles que soient ses origines, sa race, sa religion héritée, Dieu peut le détourner d’un funeste destin. Et s’il ne le fait pas c’est que la créature concernée n’en est pas digne. Son jugement infaillible détecte l’intensité de la sincérité humaine, en sorte qu’il n’est pas possible de le tromper. Ne tenant pas compte de ce pouvoir qui n’appartient qu’à Dieu, des humains le jugent injuste sans réaliser qu’il lui est impossible de pratiquer l’injustice ; la justice est la norme de sa nature divine.

Pour éduquer et former sa norme dans la vie de ses élus, Dieu les conduit vers sa parole écrite, sa sainte Bible. Sainte parce qu’il est lui-même saint dans la perfection de la norme. Alors que beaucoup entendent les paroles de Jésus-Christ et apprennent que le salut passe par lui, peu de gens comprennent la nécessité de lire entièrement la Bible depuis Genèse jusqu’à Apocalypse. La conséquence pour eux est de ne pas comprendre qui est réellement Dieu. L’idée qu’ils se font de lui est fausse parce qu’incomplète. Aussi dois-je faire remarquer, la manière dont les premiers chrétiens d’origine païenne furent instruits par les premiers disciples juifs de Jésus-Christ. La leçon nous est donnée dans Actes 15. Un concile fut réuni à Jérusalem à cause du rite de la circoncision que certains jugeaient obligatoire pour être sauvé. Relevons déjà que la tendance de l’époque n’était pas minimaliste. Et que, pour ces personnes, le sabbat était dans la norme enseignée, puisqu’il ne faisait pas l’objet de contestation par aucun des participants de cette assemblée. Ceci dit, les témoignages de Paul ont convaincu de l’inutilité de cette circoncision, mais le plus intéressant se trouve dans le compte-rendu prononcé par Jacques, dans les versets 13 à 21 que voici :

Verset 13 : « Lorsqu'ils eurent cessé de parler, Jacques prit la parole, et dit : Hommes frères, écoutez-moi ! »

Où est Pierre, le fondateur de l’Eglise du Christ selon l’église catholique romaine ? Ce mensonge papal est ici clairement apparent puisque Pierre est accusé de dissimulation et d’hypocrisie par Paul dans Galates 2:11 à 14, et que dans ce chapitre c’est l’apôtre Jacques qui présente le résultat des échanges du concile.

Verset 14 : « Simon a raconté comment Dieu a d'abord jeté les regards sur les nations pour choisir du milieu d'elles un peuple qui portât son nom. »

Le choix fut porté sur Ur en Chaldée où vivait Abram.

Verset 15 : « Et avec cela s'accordent les paroles des prophètes, selon qu'il est écrit : »

La foi des premiers chrétiens était construite sur la parole de Dieu qui reste cohérente du début à la fin. L’expression « il est écrit » utilisée par Jésus pour résister aux tentations du diable reste, dans tous les temps, la norme et la base de la foi véritable soit, de la vérité divine.

Verset 16 : « Après cela, je reviendrai, et je relèverai de sa chute la tente de David, j'en réparerai les ruines, et je la redresserai, »

Dieu prophétise les deux échecs successifs de la sainte ancienne alliance. Le premier a conduit Israël en déportation à Babylone, en Chaldée d’où il avait fait sortir Abram. Le second a placé Israël sous la domination de l’occupation romaine. C’est donc en Christ que Dieu va réparer les ruines et redresser son Israël qui sera dès lors spirituel ; la nation étant détruite par les Romains en 70, conformément à l’annonce prophétique divine de Daniel 9:26.

Verset 17 : « Afin que le reste des hommes cherche le Seigneur, ainsi que toutes les nations sur lesquelles mon nom est invoqué, dit le Seigneur, qui fait ces choses, »

Avec la grâce du Christ, les autres hommes peuvent entrer dans l’alliance nouvelle proposée par Dieu. Ce verset évoque « des nations sur lesquelles son nom est invoqué ». Au Moyen-Orient, autour d’Israël, la foi au Dieu unique s’était déjà répandue et l’exemple des Samaritains qui l’adoraient sur le mont Garizim le prouve. Les nations voisines subissaient elles-aussi l’influence religieuse de ce premier peuple conduit par le Dieu unique. Mais à l’inverse, les relations de proximité favorisaient également l’adoption de rites païens par certains juifs.

Verset 18 : « Et à qui elles sont connues de toute éternité ».

Ce verset concerne les « choses » que Dieu fait. C’est lui qui les « connaît de toute éternité ». Il les a programmées, les a prophétisées, et les fait accomplir.

Verset 19 : « C'est pourquoi je suis d'avis qu'on ne crée pas des difficultés à ceux des païens qui se convertissent à Dieu, »

La conversion des païens étant reconnue comme programmée par Dieu, le rite de la circoncision qui donnait aux Juifs un signe d’appartenance au Dieu créateur, spécifique, n’a pas de raison d’être imposé au reste de l’humanité qui peut, si elle le veut, entrer dans l’alliance de Dieu. Paul renforcera cette idée en disant dans Galates 3:28-29 : « Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus Christ. Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d'Abraham, héritiers selon la promesse.»

Verset 20 : « mais qu'on leur écrive de s'abstenir des souillures des idoles, de l'impudicité, des animaux étouffés et du sang ».

Le choix de ces trois critères est judicieux car dans l’histoire d’Israël, Dieu a puni sévèrement ces trois types de fautes. La souillure des « idoles » rappelle le veau d’or construit par Aaron, « l’impudicité » suivit cette abomination idolâtre et la consommation des « animaux étouffés et du sang » rend l’aliment indigeste, et en fait des poisons lents qui favorisent la mort de ceux qui les consomment.

Verset 21 : « Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu'on le lit tous les jours de sabbat dans les synagogues ».

C’est ce verset qui apporte la précision la plus importante. Il confirme la nécessité d’étudier Moïse même pour un converti d’origine païenne. Et étudier Moïse consiste à entreprendre la lecture de la Bible dès son commencement, par le livre de la Genèse. De plus, ce verset confirme la légitimité perpétuelle du saint sabbat de Dieu puisque les premiers païens convertis était invités à découvrir les Ecritures de Moïse dans les synagogues où il était lu chaque sabbat.

Je t’invite à réaliser ta chance d’avoir à ta disposition très facilement la sainte Bible, cette parole divine que les premiers païens convertis venaient « picorer » dans les synagogues juives. Car, on peut se demander, comment ils étaient reçus par certains juifs jaloux de leur privilège. Mais ils n’avaient pas le choix, les rouleaux sur lesquels la parole divine était écrite n’étaient que là. Et selon Matthieu 15:27, c’est bien comme des « petits chiens qui mangent les miettes du pain tombées de la table », que ces premiers chrétiens zélés devaient nourrir leur foi et leur insatiable désir de comprendre.

En notre époque d’apostasie généralisée, la nourriture spirituelle est disponible, mais elle est délaissée et les plats pleins ne se vident plus. Les humains se nourrissent de choses inutiles et gaspillent le temps de patience que Dieu leur accorde. Ce constat devrait te permettre de comprendre l’intense colère qui vient bientôt sur le monde ingrat et stupide.

 

En suivant la consigne donnée par Jacques, l’Esprit du Dieu vivant te conduit vers le premier livre de Moïse : la Genèse. Au commencement, c’est une page noire comme l’encre et les ténèbres du néant. Car avant qu’il crée la terre, notre dimension est ce néant d’obscurité totale que seuls les aveugles connaissent. Et à partir de ce rien, comme un magicien, sous les regards admirateurs de ses anges, Dieu présente un spectacle d’une gloire indescriptible. Sur son ordre, dans ces ténèbres, Dieu ordonne l’apparition de la terre et elle apparaît sous la forme d’une énorme boule d’eau.

Le premier chapitre de la Genèse est un monologue du Dieu créateur. Nul autre que lui s’exprime. Par ses paroles, Dieu construit la loi qu’il va donner et imposer à la matière, aux animaux, et qu’il présente aux êtres humains pour règles de leur vie. Il prononce les premiers mots qui écrivent sa sainte loi destinées à séparer en deux camps, les élus qui vont vivre éternellement et les déchus qui n’auront pas su profiter de l’offre de grâce et devront, finalement, disparaître pour toujours dans le néant à partir duquel Dieu les a tirés et créés.

 

Dieu le Père Pédagogue des nouveau-nés spirituels

 

L’idéal requis par Dieu est la perfection parce qu’il est lui-même parfait dans tous les angles sous lesquels on l’examine et le juge ; parfait en amour et parfait en justice. A ses yeux, nous, ses créatures, quels que soient nos âges, nous n’apparaissons que comme des « bébés » qui ont tout à apprendre. C’est pourquoi sa révélation biblique est construite sur la base pédagogique de la vie d’un « bébé ».

Dès sa conception, à l’approche de sa naissance, le « bébé » ne connaît pas le sens des mots qu’il entend depuis le ventre de sa mère, mais il fait déjà la différence entre la voix douce et la voix dure. Enfanté, ses yeux s’ouvrent et il découvre les images de la vie, et tout de suite, les questions qui se présentent à lui, dans son esprit, sont : « Où suis-je ? Quel sens porte ce que je vois ? ». C’est pourquoi, aux « bébés » adultes que sont ceux qui cherchent en lui les réponses, Dieu répond par Genèse 1. « Tu es sur la terre que j’ai créée en six jours ; et tu es un descendant de ma créature humaine créée le sixième jour ». C’est sur ce mode d’information, que Dieu a voulu construire la nouvelle naissance de ses élus qui, comme les bébés, ont besoin de recevoir de lui toutes les explications qui donnent du sens à l’existence du bien agréable et du mal qui fait souffrir. Dans une récente étude, j’ai démontré comment le nom de Dieu prononcé par lui-même portait numériquement la signification de Juge. Or, dans Gen.1, Dieu juge ses propres œuvres au fur et à mesure des jours qui se succèdent. Son premier jugement concerne, dans le verset 4, « la lumière » qu’il juge « bonne » en comparaison des « ténèbres » qui la précèdent. Il exprime encore son jugement dans les versets 10-12-18-21-25-31, en ces termes : « Dieu vit que cela était bon ». Il formule ce jugement à partir du moment où il a séparé « la terre, le sec », de « la mer », les grandes eaux. Dans toute sa révélation faite dans Gen.1, Dieu révèle son souci de pureté, en établissant des séparations entre les éléments et les espèces vivantes créées. Les mélanges entre espèces sont interdits et jugés par lui « impurs ». Ce qui rend cette séparation « bonne » révèle son futur jugement sur la foi protestante, la « terre » symbolique, séparée de son ennemie mortelle, la foi catholique, la « mer » symbolique ; l’une et l’autre étant cependant destinées à représenter, successivement dans le temps chronologique, deux « bêtes » agressives irrespectueuses de la liberté de conscience offerte à l’homme par Dieu. Elles constituent les deux thèmes d’Apo.13. Dans le début de son existence, la « terre » protestante a bénéficié de la bénédiction de Dieu jusqu’en 1843, ce qui n’a jamais été le cas pour la « mer » catholique, que Dieu n’a jamais reconnue pour sienne. Le jugement « bon » exprimé par Dieu repose sur le fait que la terre sèche va porter l’homme pour lequel la création terrestre est réalisée. En ce troisième jour, chiffre de la perfection, ce premier lien avec le futur Adam fait, de la « terre », la chambre et le berceau dans lequel la créature parfaite, l’homme, va être créée au-dessus de tous les animaux, parce que « créé à l’image de Dieu ».

Le troisième jugement « bon » émis par Dieu dans le verset 12 concerne la création des aliments végétaux qui seront, également, la nourriture parfaitement adaptée pour l’homme.

Le quatrième jugement « bon » concerne, dans le verset 18, la création des astres lumineux au quatrième jour. Dieu savoure, dès cette création, l’appréciation future de la chaleur et la lumière solaire par l’homme. Il sait d’avance combien il va l’apprécier quand, après le péché, le froid des hivers l’agressera. Et il profite de la création de ces astres pour en faire des symboles porteurs de messages précieux à connaître. La science a fini par gagner son combat contre l’obscurantisme religieux catholique, en prouvant que la terre tourne autour du soleil, contrairement à ce qu’enseignait l’église ténébreuse papale romaine diabolique mensongère, persécutrice et meurtrière. Et cette vérité illustre le principe, qu’à l’image du soleil, Dieu est au centre de toute chose, entouré par ses créatures comme le soleil est entouré des cinq planètes principales qui tournent autour de lui dans des orbites très différentes, dans notre système solaire, des noms attribués aux jours de la semaine romaine. A l’image du mal et des ténèbres, Dieu a aussi créé la « lune » qui, vue de la terre, prend la même taille que le cercle solaire. Cette fausse égalité prophétise la fausse puissance apparente du camp du mal qui va combattre Dieu et le bien pendant 6000 années durant lesquelles les jours vont succéder aux nuits. La science permet aujourd’hui de découvrir le véritable rapport des forces qui s’opposent ; le « soleil » image symbolique de Dieu étant, réellement, brûlant, consumant, et 400 fois plus gros que la « lune », l’image symbolique de ses ennemis religieux que Jésus nommait et dénonçait comme « puissances des ténèbres » sur lesquelles le diable règne souverainement. La « lune » ne tourne pas sur elle-même, et quand l’occasion se présente, cas de l’éclipse solaire, elle va jusqu’à masquer et recouvrir le « soleil » pour le regard de l’homme qui vit sur la « terre ». C’est précisément ce que le diable tente de faire par ses agents terrestres religieux. Les fausses religions s’activent pour cacher la vérité divine aux pécheurs, afin que les rayons de sa lumière ne leur parviennent pas, et qu’ils périssent d’anémie spirituelle. Mais elles ne sont pas conscientes d’être activées par les démons et le diable contre lesquels, toutes prétendent, faussement, lutter. Et cette intoxication qui aveugle accomplit ces paroles de Jésus citées dans Matt.6:23 : « mais si ton œil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes ces ténèbres ! » Des multitudes de gens séduits et trompés prennent la fausse lumière, proposée par le diable, pour une authentique lumière divine. Ignorant l’intensité de la vraie lumière divine, ils sont satisfaits par l’enseignement religieux qui leur a été donné. Et si l’amour de la vérité ne les réveille pas, ils vont périr dans leur inconsciente ignorance. L’image est parlante, « la lune » cache aux humains, qui vivent sur la terre, l’arrière de son aspect, car ne tournant pas sur son axe, elle montre toujours aux hommes sa même face. Les entités auxquelles Dieu va la rattacher ont donc, religieusement, une nature mystérieuse diabolique qu’elles cachent aux êtres humains. En suivant ce symbole lunaire, les élus découvrent le jugement divin et l’identité de leurs ennemis communs. Dans Apo.6:12, « la lune entière » symbolise la coalition diabolique de la papauté et la monarchie française : « Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau ; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, » C’est aussi le cas dans Apo.8:12 : « Le quatrième ange sonna de la trompette. Et le tiers du soleil fut frappé, et le tiers de la lune, et le tiers des étoiles, afin que le tiers en fût obscurci, et que le jour perdît un tiers de sa clarté, et la nuit de même ». Ces deux actions qui versent « le sang » des ennemis de Dieu sont celles des deux « Terreurs » successives accomplies par les révolutionnaires français, en 1793 et 1794, d’un été à l’autre. Les élus savent que la foi chrétienne est un chemin unique et exclusif, c’est pourquoi, le symbole de la « lune entière » est rattaché à la fausse foi chrétienne et non à l’islam symbolisé par « un croissant de lune » dont l’illégitimité est logiquement et clairement comprise et admise par eux.

Parmi les astres, se trouvent aussi les « étoiles » qui sont des soleils ou des planètes. Les unes scintillent, les autres pas, et elles sont toutes différentes en aspect et en intensité lumineuse. Elles sont à l’image des élus du Christ, eux aussi chargés du rôle « d’éclairer la terre » selon Gen.1:15, et selon leur aptitude individuelle donnée par Dieu à chacun d’eux et d’elles. Les élus sont tous différents mais complémentaires, comme les « étoiles », ils brillent au milieu des ténèbres ambiantes qui dominent la vie des peuples. Et Dieu confirme ce symbolisme dans Dan.12:3 : « Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité » ; et dans Apo.12:1 : « Un grand signe parut dans le ciel : une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête ». La « couronne » confirme l’Elue du Christ victorieuse. Mais attention, « sauvé un jour ne signifie pas sauvé toujours ». Le jugement de Dieu, le Juge perpétuel de nos œuvres, abandonne au diable les appelés qui ne persévèrent pas dans sa vérité. L’exemple est donné dans Apo.12:4 : « Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre. Le dragon se tint devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer son enfant, lorsqu'elle aurait enfanté ». Cet « enfant » désigne la nouvelle naissance qui fait des appelés du Christ ses véritables élus. Ce résultat qui glorifie Jésus et son sacrifice est la cible principale du diable qui s’active pour empêcher la victoire des élus. Et dans ce verset, Dieu prophétise que le tiers des chrétiens va être « entraîné » par le diable pour partager sa perte finale. L’Esprit cible la conséquence de l’abandon du sabbat ordonné par l’empereur Constantin 1er, depuis le 7 Mars 321. La malédiction qui en a résulté a pris la forme de l’instauration du papisme en 538. Le papisme incarne la « queue » symbolique du dragon qui désigne le diable agissant sous l’autorité des empereurs romains. Ici la « queue », qui désigne « le prophète qui enseigne le mensonge » dans Esa.9:14, est rattachée au « dragon » diabolique impérial de même qu’Apo.13:2, le confirme, en disant : « La bête que je vis était semblable à un léopard ; ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité. » La succession historique maudite de l’empire romain et du régime papal est ainsi confirmée.

En avançant dans les jours de la création, Dieu déclare encore « bon » ce qu’il créée le cinquième jour. Les poissons et tous les animaux marins ainsi que les oiseaux du ciel sont créés et concernés. Là encore, la sagesse de Dieu apparaît dans cette création d’espèces différentes mais complémentaires, car elles constituent les maillons d’une chaîne qui les relie les unes aux autres, chacune d’entre elles ayant un rôle spécifique à remplir dans le temps du péché terrestre. Cette chaîne sera alimentaire, mais aussi fonctionnelle, car certaines de ces espèces auront la charge de nettoyer la mer et les eaux des impuretés que toutes les espèces vivantes produisent. Toutes celles que Dieu va interdire à l’homme, pour s’en nourrir, ont part à ce rôle de filtres nettoyeurs. Les coquillages, les crustacés et les mollusques sont ces agents nettoyeurs dont la consommation met en péril la vie des humains. Et grâce à leur complémentarité active, les mers resteront des milieux pleins de vies animales et végétales jusqu’à la fin du monde où, par sa densité démographique et ses excès technologiques chimiques, l’homme mettra en péril la survie de la faune marine ; ce qui se prépare et apparaît déjà aujourd’hui. Les coraux perdent leur couleur et disparaissent dans les fonds des mers.

Dans ce même 5ème jour, Dieu juge encore « bon » d’avoir créé sur la terre des animaux aussi complémentaires que ceux des mers. Les uns comme les porcs, les sangliers, les grenouilles et les oiseaux carnassiers rapaces sont également des nettoyeurs chargés de recycler les déchets produits par d’autres espèces. Avec toute raison, Dieu va en interdire la consommation par l’homme devenu pécheur. Dans l’innombrable variété de ces espèces animales, Dieu va choisir parmi elles, certaines qui vont porter un message symbolique tel que la docilité de l’agneau, image de la justice, la puanteur du bouc, qui devient l’image du péché, la servitude du bœuf,  la force du lion, la puissance de l’ours, la rapidité du léopard autre image du péché symbolisé par ses taches, tous ces symboles vont être utilisés par Dieu dans ses messages prophétiques dans Dan.7 et 8 et Apo.13:2.

Enfin, le 6ème jour, après avoir créé l’homme et la femme et après avoir prescrit leur alimentation et celle des animaux, le jugement de Dieu s’élève pour définir, cette fois, « très bon », l’ensemble de l’œuvre accomplie selon Gen.1:31 : « Dieu vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour ».

Ainsi, à son nouveau-né spirituel, Dieu a expliqué successivement où il se trouve et ce qui va l’accompagner dans sa vie sur la terre. Ces explications suffisent pour vivre mais elles ne répondent pas à une autre question : « Pourquoi, et dans quel but tu m’as créé ? »

Sa réponse, Dieu va la donner dans Genèse 2, en mettant à part dans ce chapitre 2, le message de la sanctification du « septième jour ». Verset 1 : « Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée ». Par ce verset Dieu confirme l’achèvement de la partie matérielle de sa création qui concernait les six premiers jours. En désignant par le mot « armée » les espèces vivantes, Dieu rappelle sa domination en Chef militaire qui les dirige et conduit. Le verset 2 dit ensuite : « Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu'il avait faite : et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu'il avait faite. » Cette double répétition marque une insistance sur une valeur à laquelle Dieu rattache toute sa gloire. La création est « l’œuvre qu’il a faite » et il ne se laissera pas enlever durablement cette action glorieuse, fruit de sa puissance créatrice. Le « repos » observé par Dieu était réel et parfait à ce moment de sa création terrestre. Mais il n’allait pas durer très longtemps, une année tout au plus, avant qu’Eve et Adam ne pèchent à leur tour contre lui. Et ce repos était relatif à cette seule création terrestre que Dieu a créée pour régler le problème du péché universel pratiqué auparavant par le diable et ses supporters angéliques ; le péché qui empêchait Dieu d’éprouver un véritable et authentique parfait « repos ». Le « repos » du moment était donc provisoire et en réalité bien imparfait. C’est pourquoi, en « sanctifiant le septième jour », Dieu évoque prophétiquement, le « repos » parfait qu’il obtiendra pour lui-même et ses élus quand leur sélection prendra fin au terme des 6000 années préfigurées par les six premiers jours de la semaine instaurée par Dieu. Au début du septième millénaire, il reviendra en Christ glorifié, pour mettre fin à la rébellion angélique et humaine. Ils seront tous exterminés et le diable seul leur survivra pendant le septième millénaire, isolé sur la terre transformée en désert ; la terre devenue sa prison pendant « mille ans » selon Apo.20:2-3.

Gen.2:3 : « Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. »

Cet enseignement est le verset clé de tout le projet programmé par Dieu. Dieu y rappelle qu’il « bénit et sanctifie le septième jour » à cause de « l’œuvre qu’il a créée en la faisant ». Pour obtenir ce « repos » parfait bien mérité, il va devoir, en personne, construire le moyen légal qui va lui permettre d’éliminer la rébellion universelle, ce sera « son œuvre ». Une « œuvre » qui va reposer sur son « expiation du péché » et sa démonstration d’une parfaite obéissance dans une chair identique à celle de ses créatures ; choses que Dan.9:24 enseigne. Pendant son ministère terrestre, jour après jour, jusqu’à sa mort sur la croix, Jésus-Christ a « œuvré » pour vaincre le péché, pour le condamner à disparaître définitivement dans la vie éternelle programmée pour accueillir ses bienaimés élus. On comprend mieux pourquoi, dans ce verset, Dieu insiste tellement sur « l’œuvre qu’il fait », car celle qui va racheter ses élus sera particulièrement atroce et difficile à subir. Et c’est uniquement en assumant ce devoir jusqu’à sa mort, qu’il obtiendra la victoire qui permettra le vrai « repos » spirituel final de l’Esprit de Dieu et de ses élus rachetés par son sang.

Pour Dieu les mots ont un sens précis. Celui de la « sanctification » est signe de vie éternelle pour les élus sélectionnés par lui, l’unique Juge, l’unique Victime expiatoire, l’unique Avocat de ses élus ; mais aussi, l’unique Exterminateur des empêcheurs du bonheur divin.

Le « septième jour » de sa création, Dieu rattacha à sa « sanctification du septième jour », « les œuvres » qu’il allait accomplir en Christ, car ce sont ces « œuvres » victorieuse contre le péché qui rendront possible « le repos » éternel sanctifié et prophétisé chaque fin de semaine, pendant 6000 années, par ses élus fidèles. Relève donc le fait que le quatrième des dix commandements de Dieu ne vise qu’à rappeler « la sanctification du septième jour » instaurée depuis sa création du monde. Le sabbat fut instauré, non pour les seuls juifs de l’ancienne alliance qui n’existaient encore pas, mais pour tous les élus sélectionnés au cours des 6000 ans programmés dans ce but, depuis Adam, jusqu’au dernier élu adventiste, des dernières heures de l’humanité.

 

La Covid-19 et le péché

 

Ce titre pourrait-être celui d’une fable de Jean Lafontaine mais ce n’est pas le cas. Cependant, comme les fables de ce célèbre conteur français, ce titre est celui d’une leçon morale que le grand Dieu créateur adresse à l’humanité des 10 dernières années dont le compte à rebours a commencé depuis le printemps 2020.

En voici donc l’explication : la Covid est une maladie qui en cas extrême conduit à la mort ceux et celles qui en sont atteints. Or, le premier point commun que nous pouvons relever entre le péché et la Covid, c’est la mort puisque il est écrit dans Rom.6:23 : « Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur. »

Deuxième point commun : les porteurs saints. Les humains porteurs de ce virus ne ressentent aucun effet, et se côtoyant avec leurs semblables, ils se contaminent et transmettent inconsciemment ce virus invisible silencieux. Pour sa part, le péché se transmet lui-aussi par contamination, par l’influence que les uns ont sur les autres. C’est aussi, notons-le, valable pour la vérité du royaume des cieux, mais Jésus mettait en garde ses élus contre « le  levain des Pharisiens » ; « un levain d’hypocrisie » selon Luc 12:1 ; le péché qui « fait lever toute la pâte » selon Paul dans 1 Cor.5:6 : « C'est bien à tort que vous vous glorifiez. Ne savez-vous pas qu'un peu de levain fait lever toute la pâte ? » Ce qui signifie, qu’il contamine toute l’humanité. L’exemple du péché de Caïn qui conduit à ceux de Lémec confirme, dans Gen.4, cette contamination et cette transmission héréditaire.

Le troisième point commun est plus subtil mais pas moins criant de vérité. Le péché et la Covid concerne le souffle de l’homme. Nous savons que les décès dus au Covid meurent par ce qu’ils ne parviennent plus à respirer ; ils meurent donc étouffés. Et la science tente, quand la chose est possible, de pallier à ce manque en faisant appel à des respirateurs artificiels. Or, le droit de respirer fut la première chose que Dieu donna à l’être humain pour qu’il devienne un être vivant. La respiration est donc un sujet sur lequel Dieu règne souverainement et ce texte de Gen.2:7 nous le confirme : « YaHWéH Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant ».

Dans Psaumes 39:5, par la bouche de David, Dieu nous rappelle cette importante vérité : « Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main, Et ma vie est comme un rien devant toi. Oui, tout homme debout n'est qu'un souffle. -Pause. » La consigne de marquer une « pause » après ces paroles nous invite à méditer sur le sujet.

Et dans cette réflexion, nous devons réaliser que toute la création a été faite sur un modèle pédagogique qui délivre une leçon. Elle révèle la cause de l’existence du système terrestre ; toute sa dimension terrestre et céleste. Le but que Dieu se fixe est de résoudre le problème du « péché » créé par le principe de la liberté donnée à ses créatures. La dimension céleste du royaume de Dieu est contaminée par « le péché » et toutes ses créations devaient en être « purifiées ». Et ce projet de purification, Dieu l’a écrit dans sa création de l’homme, dans lequel la purification du sang qui circule en lui se fait par la respiration de ses poumons. Notre vie dépend de cette purification qui s’effectue à chaque respiration construite sur ses deux cycles fondamentaux successifs répétés continuellement de manière perpétuelle : l’aspiration de l’oxygène de l’air qui purifie le sang suivie par l’expulsion du gaz carbonique qui porte la souillure. A terme, après la victoire du Christ sur « le péché », la vie éternelle de tous les survivants, anges et hommes, sera parfaitement pure et donc exempte de tout « péché ». Il nous faut donc relever, l’importance fondamentale de cette purification qui est, du début et jusqu’à la fin, au centre de son projet de vie universelle. Tu peux comprendre ainsi, la juste exigence de Jésus-Christ de voir ses élus rompre avec la pratique du « péché », vu qu’il a donné sa vie parfaite en « expiation » pour ceux qu’il sauve réellement, parce qu’ils répondent positivement à son exigence. Ainsi, que l’être humain en soit conscient ou pas, Dieu lui dit à chacune de ses respirations : « Sois pur ! Rejette le mal ! Sois pur ! Rejette le mal ! Sois pur ! Rejette le mal ». Pendant son ministère terrestre, Jésus a multiplié les occasions d’enseigner cette vérité. Aux malades qu’il guérissait miraculeusement, il disait, selon Mat.8:2-3 : « Je le veux, sois pur » : « Et voici, un lépreux s'étant approché se prosterna devant lui, et dit : Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. Jésus étendit la main, le toucha, et dit : Je le veux, sois pur. Aussitôt il fut purifié de sa lèpre. » La « lèpre » est un symbole de l’impureté mais ce n’est pas un cas unique. Toute maladie résulte du péché, soit par hérédité, soit par conséquences de la transgression des bons principes de vie définis par Dieu. Car la maladie parle : le mal a dit. Et le mal qualifie le péché qui apparaît sous la forme des « comorbidités » comme les agents de la santé les nomment.

En dirigeant son premier fléau contre la respiration des hommes et des femmes, les hommes étant plus concernés parce qu’ils « dominent » sur la femme et endossent, à ce titre, la responsabilité du péché, Dieu donne à la Covid un caractère de châtiment final qui précède d’autres châtiments plus importants, mais qui sont, en opposition extrême, inversés au principe de la création du monde.

Du début jusqu’à sa fin fatale, la maladie Covid cible la respiration humaine. En premier, les victimes mortelles atteintes ne parvenaient plus à respirer, mais en second, les autres humains sont contraints de porter un masque qui réduit la qualité de leur respiration. Car, pour les directions sanitaires, le masque idéal, c’est celui qui est le plus hermétique et le plus étanche. Le problème est que pour se protéger de l’extérieur, l’individu affaiblit la purification de son propre sang. Le masque idéal ne doit donc pas coller au visage, afin de laisser le nez expulser librement le gaz carbonique exhalé, et de favoriser l’aspiration de l’air oxygéné inhalé. Par ce fléau, Dieu nous confirme que, cette fois, sa cible est bien la vie humaine entière ; celle des sociétés abominables qui ont atteint le niveau de l’immoralité et de l’impiété des antédiluviens de l’époque de Noé.

A en juger par le désarroi sincère des virologues les plus honnêtes, qui reconnaissent qu’ils ne comprennent pas le fonctionnement de ce virus qui ne fait que changer de nature et de comportement, le Dieu créateur est bien entré en action, lui qui contrôle, crée, et fait mourir ou vivre, tout ce qui vit. Nous sommes prévenus des conséquences de l’absence de la foi ; les multitudes vont ignorer cette explication, irrecevable, également, par les dirigeants politiques pleins d’orgueil et de suffisance. Il suffit donc à Jésus-Christ, notre Dieu tout-puissant, de laisser agir les humains livrés à leur aveuglement volontaire pour que, croyant soigner leurs maux, ils les favorisent jusqu’au pire. C’est ce que Dieu fait en disant dans Psa.7:15 à17 (ou 14 à 16) qu’il « fait retomber le mal du méchant sur sa tête » : « Voici, le méchant prépare le mal, il conçoit l'iniquité, et il enfante le néant. Il ouvre une fosse, il la creuse, et il tombe dans la fosse qu'il a faite. Son iniquité retombe sur sa tête, et sa violence redescend sur son front. » Ainsi, la punition du péché s’exprime par le retrait du souffle que Dieu a donné à l’homme pour qu’il vive. Et les révélations divines contenues dans Daniel et Apocalypse m’ont permis de démontrer que ce péché puni concerne la transgression de son sabbat que toute la terre, en dehors de l’Israël national sans Christ, transgresse en honorant, à sa place, le premier jour adopté sous son nom païen de « jour du soleil invaincu » sur l’ordre de l’empereur Constantin 1er le Grand. Cette grandeur humaine a osé faire abandonner la pratique du sabbat sanctifié par Dieu depuis sa création du monde. Alors, que celui qui lit ce message comprenne que ce premier châtiment du Covid n’est que le premier d’une série qui s’achèvera par une extermination complète de l’humanité sur la terre. « Le Covid et le péché » nous rappellent la relation que Dieu suggère entre le temps « alpha » et le temps « Oméga », « le début et la fin », qu’il cite dans le prologue de son Apocalypse dans Apo.1:8 : « Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant. ». Il insiste encore plus fortement dans l’épilogue, dans Apo.22:13 : « Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. ». Au temps « Alpha », Dieu donne le souffle de vie, au temps « Oméga », il le retire. Ceci, parce qu’au temps « Alpha », les êtres humains pèchent et la mort les frappe jusqu’au temps « Oméga » où les péchés concernent, à part les élus, toute l’humanité. A ce niveau intolérable, Dieu la frappe collectivement par la mort pour l’anéantir.

La respiration, fonction vitale de l’être humain est paradoxalement traitée  avec indifférence par l’humanité du péché. Comment, l’homme peut-il justifier l’encrassement volontaire de ses poumons dû à son habitude de fumer, le tabac, le cannabis ou d’autres drogues, comme l’opium encore plus mortel ? Le corps humain est une enveloppe fragile dans laquelle vit un esprit humain que Dieu tient pour responsable de toutes ses actions. C’est pourquoi, au terme de l’histoire humaine, Dieu demande des comptes aux esprits humains corrompus par le mal en multitudes, comme il l’a déjà fait à de multiples reprises, mais déjà, en condamnant la vie globale avec la destruction universelle du déluge d’eaux au temps de Noé, l’an 1656 depuis le péché d’Eve et d’Adam. Dans cette date, le code numérique de la gématrie divine désigne le chiffre 17 du jugement divin. Et je le rappelle, depuis le 7 Mars 321, 17 siècles se sont écoulés jusqu’au printemps 2020 du calendrier de Dieu, où le fléau divin Covid-19 est apparu, créé dans les laboratoires humains en Chine, d’où il s’est répandu pour frapper l’humanité coupable entière. La Chine est officiellement le peuple adorateur du « dragon » qui désigne « le diable » dans Apo.12:9 : « Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. » Le diable est le premier pécheur et la première créature suscitée par Dieu. Il se trouve que par un choix fait par notre Créateur, à l’origine dans Gen.10:17, la Chine porte le nom « Sin » et dans la langue anglaise qui domine, en force, en autorité et en puissance commerciale, la dernière humanité du péché, ce mot « sin » signifie précisément, « péché ». Il en résulte que la punition du « péché » est sortie du pays type du « péché », adorateur du « dragon », « le diable ». Mais le dernier mot humain restera aux USA, l’expression puissante de cette langue anglaise. Ils incarneront l’ultime culpabilité du « péché », en tentant d’imposer aux derniers survivants humains, le repos du premier jour hérité de Rome. Ainsi, visiblement, le fruit de l’apostasie protestante, dans laquelle ce pays est tombé depuis 1843, apparaîtra et il incarnera le rôle du dernier Pharaon rebelle de l’histoire humaine. Il subira à son tour, la loi du Dieu créateur tout-puissant qui lui imposera ainsi qu’à Rome, les « sept derniers fléaux de sa colère », dont le premier est, curieusement lui-aussi, « un ulcère malin douloureux » et tueur selon Apo.16:2 : « Le premier alla, et il versa sa coupe sur la terre. Et un ulcère malin et douloureux frappa les hommes qui avaient la marque de la bête et qui adoraient son image. » ; et le dernier, le septième, s’achève par une pluie de pierres de grêle d’un talent (environ 42 kg) selon Apo.16:21 : « Et une grosse grêle, dont les grêlons pesaient un talent, tomba du ciel sur les hommes ; et les hommes blasphémèrent Dieu, à cause du fléau de la grêle, parce que ce fléau était très grand. ». Le caractère progressif de l’action destructrice entreprise par Dieu apparaît clairement dans la comparaison du virus Covid-19 invisible et actif ou pas, avec « l’ulcère malin douloureux », visible et réellement mortel dans son contexte de fin du temps de grâce et de fin du monde. Le dernier mot de ce chapitre 16 consacré au thème des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » est l’adjectif « grand ». Il représente à lui seul, Dieu, le plus grand et plus puissant qui finit par avoir le dernier mot, sur tous ses ennemis, et particulièrement, sur ceux qui l’ont défié au nom d’une « grandeur » humaine prétendue ; le « dimanche » catholique, ex-jour du soleil étant dû à Constantin 1er « le Grand » en 321, et à Justinien 1er « le Grand », qui instaura par Vigile 1er, en 538, le régime papal de Rome dont les chefs revendiquent de manière « impudente » (Dan.8:23 : « A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux. ») le titre de « très-saint-père » (Mat.23:9 : « Et n'appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux »). Sache que les Italiens bien placés pour le juger surnomment ce régime religieux « la Saccra Mafia ». Ainsi, le « très-saint père » est en réalité le « très-saint-parrain » d’une mafia religieuse. Et ce n’est pas le modèle du pape Alexandre VI Borgia (16ème siècle), assassin notoire qui démentira cette affirmation.

Dans cette ultime épreuve de foi, la sanctification originelle du sabbat va, pour la dernière fois, séparer les humains, pour sanctifier et faire survivre les élus et conduire à la mort les déchus partisans du dimanche romain, « la marque de la bête » ; soit, « la marque » de son autorité humaine héritée de Constantin 1er, et du pape Vigile 1er et ses successeurs jusqu’au dernier pape en poste.

 

La loi du talion

 

Le mot talion a pour racine le mot latin « talis » qui signifie : tel, donc le sens de la réciprocité.

La loi du talion n’a pas disparue dans la nouvelle alliance car les paroles du Christ ont été incomprises. Dieu tient à cette loi et il n’entend pas s’en priver, car c’est sur la base de ce principe qu’il pourra légalement détruire et anéantir tous ses ennemis. Cette loi doit s’appliquer pendant les sept mille ans réservés au traitement du péché universel.

Voici comment nous pouvons comprendre que le rachat des élus se fonde sur le principe de la loi du talion : « tu donneras vie pour vie,  œil pour œil, dent pour dent». Au commencement, la vie terrestre est si parfaite qu’elle était capable de se prolonger éternellement. Dans leur pureté originelle, Adam et Eve bénéficiaient de cette possibilité de vivre éternellement, parce que dans cet état de pureté, ils étaient tous deux « à l’image de Dieu ». C’est l’apparition du péché qui change la situation de la création entière dans laquelle l’homme perd son « image de Dieu ». L’homme étant devenu pécheur, Dieu le soumet à la Loi du Talion applicable aux animaux et aux autres hommes. Dans l’ancienne alliance, la loi sacrificielle prophétise le pardon du Christ, sans pour autant enlever le péché qui pèse encore virtuellement sur la tête du pécheur coupable. Dans l’ancienne alliance, le pécheur reste pécheur en dépit des rites religieux organisés par Dieu. L’homme ne peut pas retrouver « l’image de Dieu » dans cette situation et son statut est à peine au-dessus de l’animal. Quand il assassine, il mérite la mort prévue par le 6ème commandement du décalogue qui dit : « tu n’assassineras pas ». Quand il tue accidentellement, il doit dédommager l’offensé par la restitution d’un bien égal à celui qui est perdu, selon le principe de la loi du talion « vie pour vie,  œil pour œil, dent pour dent,». En voici le texte exact cité dans Exode 21:23 à 25 : « Mais s'il y a un accident, tu donneras vie pour vie, œil  pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, brûlure pour brûlure, blessure pour blessure, meurtrissure pour meurtrissure.»

Regardons cette loi du talion sous le statut de la grâce divine apportée par Jésus-Christ. Dieu est l’offensé parce que l’homme pécheur lui désobéit. La loi du Talion l’autorise à faire mourir le coupable, puisque le salaire du péché, c’est la mort. Sauf que, Dieu propose à l’homme de se substituer à lui, pour subir son châtiment à sa place. C’est ainsi qu’il offre la vie de son Fils unique nommé Jésus-Christ. Et à qui cette mort va-t-elle être imputée ? A ceux qui vont en bénéficier : ses élus. L’élu est donc le véritable meurtrier de Jésus-Christ, parce que son péché a exigé cette mort expiatrice. Dans sa démarche, Dieu perd son Fils premier-né offert en sacrifice, mais spirituellement, tué par ses élus. Cette mort exige réparation et remplacement du Fils disparu. C’est alors que l’élu bénéficiaire et coupable de cette mort s’offre à Dieu pour compenser la perte de son Fils aîné. Cette démarche enlève à l’élu sauvé ses droits légaux donnés à l’homme animal et il devient, volontairement, l’esclave soumis à la volonté de celui qui le rachète. C’est donc, dans ce renoncement à ses droits humains, que l’élu retrouve en lui « l’image de Dieu » perdue depuis le péché d’Adam et Eve. Il est intéressant de relever le fait que dans Exode 21, le statut de l’esclave volontaire est cité avant la norme de la loi du talion. Nous venons de voir le lien qui unit ces deux sujets.

L’enseignement du Christ visait donc à enseigner qu’en passant sous le statut de sa grâce, le pécheur pardonné n’aurait plus le droit d’exercer les principes de la loi du talion contrairement aux autres êtres humains restés dans leurs péchés. Mais, pour Dieu, cette interdiction ne s’applique pas non plus, et c’est au nom de cette Loi que ses élus jugeront les méchants morts, pendant le septième millénaire, dans le royaume de Dieu. Car la loi du talion représente un principe de justice qui ne peut pas disparaître, parce qu’il est gravé dans le caractère même du Dieu créateur, législateur, rédempteur, régénérateur, juste et bon dans la perfection.

Dans les ténèbres qui les aveuglent, les hommes séparés de Dieu ont pensé pouvoir se montrer plus « bons » que lui en renonçant à la peine de mort contre les êtres humains. Ils ont renoncé de la sorte à rendre la vraie justice, car pour sa part, la venue du Christ ne l’a pas fait renoncer à exiger la mort des coupables. La transgression de sa loi provoquera jusqu’à la fin du monde, « le péché dont le salaire est la mort » selon Rom.6:23. Et l’unique moyen d’échapper à cette condamnation est d’entrer dans la grâce du Christ. Mais là, pour éviter la mort, Dieu exige un changement complet de vie ; le péché doit impérativement disparaître ; chose que les lois humaines n’exigent et n’obtiennent pas. Le rebelle assassin survivant peut donc librement retourner à sa méchanceté jusqu’à sa prochaine condamnation par les juges humains. La conséquence de cette fausse justice est qu’elle favorise le développement du mal au lieu de le réduire. C’est pourquoi, en maintenant sa condamnation du péché qu’il punit de mort, Dieu démontre toute sa sagesse que le vieux français nommait de manière spécifique sa « sapience », uniquement divine. Il offre aux élus la promesse d’un bonheur éternel qu’il pourra réellement leur offrir parce qu’il aura su sagement organiser les conditions qui rendent ce bonheur possible. Et pour mettre en place ces conditions, son projet se sera construit pendant les sept mille années prophétisées par nos semaines de sept jours. En entrant dans le 8ème millénaire, au renouvellement de toute chose, sur la nouvelle terre, les élus partageront unanimement cette pensée divine citée par le roi Salomon, dans Ecc.7:8 : « Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. »

En résumé, la Loi du Talion prophétise le plan du salut qui conduit les élus à renoncer à leur droit humain animal au profit de Dieu qui les prend en charge et se substitue lui-même à eux pour leur rendre justice, selon qu’il est écrit, dans Deu.32:35: « A moi la vengeance et la rétribution, quand leur pied chancellera ! Car le jour de leur malheur est proche, et ce qui les attend ne tardera pas. » et dans Héb.10 :30 : « Car nous connaissons celui qui a dit: A moi la vengeance, à moi la rétribution ! Et encore : Le Seigneur jugera son peuple. ».

En effet, l’esclave volontaire n’a aucun droit mais il a le devoir d’obéir à son Maître en toute chose. Et Jésus l’a clairement dit à l’attention de ceux qui veulent le suivre, en précisant à chacun d’eux : « qu’il renonce à lui-même ». Le verset complet est cité dans Mat.16:24 : « Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive. »

 

Quelques précisions utiles

 

L’histoire de l’ancienne alliance a été écrite pour permettre aux serviteurs de Dieu de la nouvelle alliance en Christ de décrypter le sens des images, des symboles et des durées chiffrées que l’Esprit utilise pour coder ses prophéties concernant, dans l’ère chrétienne, la période particulièrement ténébreuse comprise entre 538 et 1798. Sa dénonciation de la nature diabolique du plus puissant pouvoir terrestre fondé sur la coalition du régime religieux papal et la monarchie française qui l’a soutenu par les armes et l’autorité royale, depuis Clovis 1er son premier roi, exigeait l’utilisation d’un codage qui masque cette accusation. Les clés principales étant dans cette ancienne alliance, le décrypteur doit lire, et se laisser pénétrer par le style et le mode des expressions divines révélées dans ces anciens et ces nouveaux textes. Toutefois, il est important de comprendre que les clés spirituelles les plus importantes ont été cachées aux hommes par des erreurs commises par les traducteurs de ces saintes Ecritures. Mais Dieu connaît l’existence de ces erreurs, et de même qu’il favorisa la divulgation de la Bible pour éclairer la foi réformée protestante au 16ème siècle, en 1991, il me permit de découvrir de nombreuses erreurs présentes dans les traductions du livre de Daniel.

Et Dieu donna à l’année prophétique la forme de 12 mois de 30 jours. Cette norme n’est pas conforme à l’exactitude du temps solaire qui est de quelques 365 jours imprécis. Mais nous devons tenir compte qu’Israël utilisait ce calendrier lunaire de 12 mois de 30 jours. Lorsque la situation s’imposait, les Hébreux ajoutaient un 13ème mois pour rattraper le décalage pris sur le temps solaire. L’année de 360 jours est donc un format déjà connu des Juifs. Et le christianisme étant le prolongement de cette ancienne alliance, les codes divins utilisés dans les deux alliances sont les mêmes. Dieu donne ainsi à toute sa révélation écrite une norme unitaire parfaite, logique et cohérente. Les vrais pièges tendus aux hommes par le diable vont reposer sur les mensonges religieux publiquement et largement enseignés.

La prophétie et l’histoire sont les deux faces d’une même pièce. La prophétie annonce l’histoire par des images et des symboles, et en retour, par ses accomplissements relevés par de multiples historiens successifs, par ces témoins plus ou moins anonymes, l’histoire confirme l’interprétation donnée à la prophétie. Les deux sources des témoignages religieux et civils se recouvrent et se confirment mutuellement parfaitement, quand l’œuvre d’interprétation est dirigée par Dieu. Et la chose devient possible uniquement si les clés d’interprétation sont bien prises dans le texte biblique inspiré d’un bout à l’autre par l’unique Dieu créateur qui nous a visités sous l’aspect du Christ, baptisé sous le nom Jésus.

La clé du code selon lequel « un jour prophétique équivaut à un an réel » se trouve dans Nombres 14:34 et Ezéchiel 4:5-6. Nous lisons dans le premier : «De même que vous avez mis quarante jours à explorer le pays, vous porterez la peine de vos iniquités quarante années, une année pour chaque jour ; et vous saurez ce que c'est que d'être privé de ma présence. » Cet exemple révèle et confirme le choix de Dieu pour ce code auquel il rattache cet important message : « et vous saurez ce que c'est que d'être privé de ma présence ». Ceci signifie que le rôle des messages prophétiques reste l’unique lien avec Dieu quand il se retire et reste silencieux. Ce fut le cas pour Israël quand il fut déporté à Babylone et ce fut de nouveau ce qui lui arriva après son refus du Messie Jésus. Mais dans l’ère chrétienne, l’abandon du sabbat, le 7 Mars 321, a eu les mêmes conséquences pour les chrétiens infidèles. Dieu les a alors placés sous la domination tyrannique du régime papal despote et cruel instauré à partir de 538. Et, ceci, pour une durée de « 1260 » jour-année qui finirent en 1798. La norme lunaire de cette durée est ainsi utilisée pour désigner un nombre d’années solaires réelles. Pour te convaincre de la valeur des deux dates extrêmes obtenues soit, 538 et 1798, il suffit de savoir qu’en 538, un pouvoir civil, celui de l’empereur byzantin Justinien 1er, a installé le premier pape porteur du titre de chef universel de l’Eglise chrétienne, et qu’à l’opposé, en 1798, un autre pouvoir civil, cette fois républicain et français appelé « Directoire », a envoyé son représentant militaire, le général Berthier, à Rome, pour désinstaller le pape Pie VI de son siège papal, l’officier l’a conduit ensuite dans la prison de la Citadelle, à Valence dans la Drôme (26) où il est mort de maladie en 1799. Dans cette ville se trouve son fief adventiste historique français, Dieu m’a fait baptiser en 1980. La synthèse des enseignements des chapitres 7 et 8 du livre Daniel révèle pourquoi les chrétiens furent ainsi livrés au despotisme romain. Dieu dit dans Dan.8:12 : « L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. » « L’armée » spirituelle chrétienne étant « livrée » en 538 au papisme romain, le « péché » imputé et dénoncé par Dieu devait être pratiqué avant cette date 538. Ce raisonnement nous conduit vers la date du 7 Mars 321, en laquelle le repos du sabbat sanctifié par Dieu doublement, dès la création et dans le quatrième de ses dix commandements, fut transgressé sur l’ordre de l’empereur Constantin 1er. En révélant ces choses, Dieu nous fait partager la connaissance de son jugement sur une action humaine, injuste, outrageante et méprisante envers sa légitime gloire. Il permet ainsi à ceux qu’il aime d’identifier la cause de sa continuelle colère qui prend, dans l’ère chrétienne depuis 321, la forme des « sept trompettes » consécutives de l’Apocalypse.

La clé de tous les malheurs qui vont succéder à cet odieux méfait tient dans cet abandon du sabbat originellement sanctifié et ordonné par Dieu. Ce n’est que récemment que la raison de l’importance que Dieu lui donne m’a été révélée. Pour la plupart des êtres humains, le jour du repos hebdomadaire est une simple affaire de choix laissé aux hommes. Mais parce que la nouvelle alliance vient prolonger l’ancienne alliance divine juive, ses adeptes chrétiens ne peuvent pas partager ce point de vue. Les vrais disciples de Jésus-Christ savent que leur foi est construite sur les déclarations révélées dans toute la Bible, selon que Jésus a tenu à préciser dans Jean 4:22 : « Vous adorez ce que vous ne connaissez pas; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs ». Il ne leur reste alors qu’à accorder leurs œuvres avec les choses que Dieu enseigne et sanctifie par sa parole. La sainteté est dans le sabbat et en Jésus-Christ ; le sabbat ne faisant que prophétiser le grand repos éternel dans lequel, ses seuls élus, criblés par l’épreuve de vérité, entreront, finalement.

 

Marie, l’appât pour les idolâtres

 

J’ai déjà dénoncé le piège que constituent les apparitions de la Vierge, mais je viens aujourd’hui renforcer mes arguments.

Déjà, le nom Marie traduit de l’hébreu Myriam signifie : amertume ; tout un programme de malédictions imposées par Dieu. Pour Marie, elle-même, dans son annonce, l’ange lui dit, dans Luc 2:35 : « une épée te transpercera l’âme », prophétisant ainsi l’effet de la mort de Jésus, son fils crucifié. Mais la malédiction du rejet du fils de Marie sera aussi la cause d’une malédiction définitive pour le faux Israël national que Dieu fait détruire par les Romains en l’an 70. La troisième malédiction sera pour la religion catholique romaine idolâtre qui va tomber dans le piège de Satan qui apparaît à ses adeptes sous l’aspect et le nom de la « Vierge Marie ». Dans l’attente de sa résurrection, dans la poussière de la terre, la vraie Marie n’est pour rien dans cette escroquerie religieuse faite sur son nom.

Pour la religion catholique, Jésus est le fils de Marie. Cette vérité historique fut reconnue par l’église romaine byzantine qui adopta au concile d’Ephèse, le culte idolâtre rendu à Marie, en 431 soit, entre 321 et 538. Ephèse est le lieu présumé de la tombe de la « Vierge Marie », qui contredit ainsi le dogme mensonger de l’Assomption (ascension céleste de la Vierge Marie), adopté en 1954 par le pape Pie XII. Les vrais élus ont remarqué, eux, la distance que Jésus a voulu bien marquer, à plusieurs reprises, entre sa personne divine et sa famille terrestre d’adoption. Les Juifs croyants, eux-mêmes, accueillant Jésus comme leur roi, l’ont désigné comme « fils de David ». Et c’est là, l’unique raison du choix divin porté sur Marie, encore vierge et Joseph qu’elle devait épouser. Tous deux étaient des descendants de la lignée du roi David auquel Dieu avait révélé son projet qui allait s’accomplir en Jésus-Christ. La virginité de la vraie Marie n’avait pas pour but d’opérer un miracle qui devait en réalité être connu uniquement de Marie elle-même. Pour les voisins de la famille choisie, la naissance de Jésus n’a été qu’une naissance de plus, celle d’un enfant juif au milieu des autres. Mais pour Dieu et ses élus, ce détail révèle l’accomplissement d’un projet de salut global. Etant vierge, Marie ne peut mettre au monde qu’un enfant conçu par Dieu sans le moindre lien génétique avec sa mère, héritière du péché d’Eve et d’Adam comme toute leur descendance humaine. En effet pour rattraper la faute commise par le premier Adam, Jésus, venant au titre de « nouvel ou dernier Adam » selon 1 Corinthiens 15:45, doit s’engager dans l’épreuve terrestre avec toute la même pureté qui caractérisait le premier Adam avant son péché. Ainsi, Jésus a conservé cette pureté parfaite depuis sa conception jusqu’à sa mort. Ses luttes bien réelles étaient celles du Dieu créateur fermement décidé à vaincre le péché au prix de grandes souffrances qu’il a lui-même prophétisées dans sa sainte Bible. Il a lutté et il a finalement vaincu, en résistant aux tentations incessantes d’abandonner son projet salvateur élaboré pour sauver ses élus. Les raisons de se décourager ne manquaient pas ; l’apostasie du peuple était immense, les hommes moqueurs et railleurs comme aujourd’hui, et de plus, ses apôtres qu’il avait choisis, eux-mêmes n’entendaient pas ses enseignements. Heureusement pour nous, pauvres pécheurs, sa détermination à vaincre fut la plus forte et il a vaincu le péché, la mort et le diable, son premier adversaire.

Dès l’âge de 12 ans, entrant dans l’âge adulte, Jésus marque la distance entre lui et sa famille adoptive terrestre. Jésus étant resté seul au Temple de Jérusalem pendant trois jours, Marie lui adresse un reproche, évoquant son inquiétude à son sujet. La réponse de Jésus « remet les pendules à l’heure », car il lui répond : « Ne savez-vous pas que je dois m’occuper des affaires de mon Père  En fait, la réponse divine est cinglante mais bien justifiée, car cette famille humaine n’est utile que pour donner au Sauveur des hommes, justifiés et sanctifiés, une norme humaine, sans laquelle il ne pourrait, légalement, sauver personne. Cette apparente dureté était nécessaire pour confirmer la divinité de Jésus qui, en dehors de cette expérience, était un enfant exemplaire, obéissant et affectueux envers ses « parents » terrestres. Pendant les trois ans et six mois de son ministère, Jésus a encore voulu marquer sa distance divine envers Marie, sa mère adoptive, et ses frères. Ce point est important, il est écrit dans Mat.12:46 à 48 :

Verset 46 : « Comme Jésus s'adressait encore à la foule, voici, sa mère et ses frères, qui étaient dehors, cherchèrent à lui parler. »

Il s’agit bien de sa famille terrestre, et de plus, en citant « ses frères », ce verset confirme la fin de la virginité de Marie après la naissance de Jésus.

Verset 47 : « Quelqu'un lui dit : Voici, ta mère et tes frères sont dehors, et ils cherchent à te parler. »

Verset 48 : « Mais Jésus répondit à celui qui le lui disait : Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? »

Dans cette question, Jésus rompt et se sépare de tous ses liens familiaux terrestres. Il révèle en cela, sa vraie nature divine porteuse d’un projet de salut qu’il va proposer à toute l’humanité dispersée sur la terre.

Verset 49 : « Puis, étendant la main sur ses disciples, il dit : Voici ma mère et mes frères. »

Ce geste de Jésus évite toute incompréhension du récit. Il met bien en comparaison, sa famille terrestre et sa famille spirituelle que constituent ses disciples.

Verset 50 : « Car, quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère. »

La leçon est dure pour sa famille terrestre, mais Jésus n’est pas dans la sensiblerie, ses paroles enseignent des principes de vie et de mort. Indiquant le chemin de la vie, il le définit en disant : « quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux ». Et ce qui est sûr et démontré par la Bible entière, c’est que le choix idolâtre de l’adoration de la trompeuse et séductrice vierge Marie, est fermement condamné par Dieu dans le deuxième de ses dix commandements qui, bien qu’ayant été supprimé par Rome dans l’enseignement catholique entre 321 et 538, est resté écrit dans toute les versions de la sainte Bible. Chacun peut ainsi comprendre les causes de ses guerres religieuses menées dans le passé contre la Bible de Dieu et ses partisans fidèles, dans les temps qui lui étaient favorables ; ceux où le bras séculier de la monarchie française et des rois étrangers la soutenait. Car, il ne faut surtout pas sous-estimer ce détail, son pouvoir despote lui a été enlevé par la force militaire civile et elle n’a, à cette époque et jusqu’à la notre, jamais manifesté la volonté d’un quelconque regret au sujet de ses criminelles exactions commises envers Dieu et ses serviteurs humains. C’est alors que le moyen indiqué par Jésus pour identifier et juger la nature spirituelle des entités religieuses doit être appliqué. Il a dit dans Matthieu 7 :

Verset 15 : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. »

Les « faux-prophètes » ont, dans Esa.9:13-14-15, deux symboles : « la queue », et dans des conditions spéciales, « le roseau » : « Aussi YaHWéH arrachera d'Israël la tête et la queue, la branche de palmier et le roseau, En un seul jour. L'ancien et le magistrat, c'est la tête, Et le prophète qui enseigne le mensonge, c'est la queue. Ceux qui conduisent ce peuple l'égarent, Et ceux qui se laissent conduire se perdent.» Venant vers les disciples du Christ, « en vêtements de brebis », ils rejoignent l’Elue du Christ et prennent, en apparence seulement, l’aspect extérieur de gens religieux chrétiens. Ceci, afin d’agir en « loups ravisseurs », le « loup » étant le prédateur qui tue et dévore « les brebis ». Dans cette image parabolique, Jésus annonce les fausses conversions chrétiennes des agents qui servent inconsciemment le diable. Car il suffit qu’il ne soit pas dans l’amour de la vérité, pour que Dieu les laisse tomber sous la domination de Satan et ses démons angéliques rebelles. Jésus résume la future domination papale sur le christianisme universel que les rois terrestres vont reconnaître, en disant : «Ceux qui conduisent ce peuple l'égarent, et ceux qui se laissent conduire se perdent. » Ce jugement divin concernait déjà le clergé juif de son époque, mais le principe devait se reproduire dans la foi chrétienne qu’il est venu bâtir et dont il était la « pierre principale angulaire » de son fondement. Historiquement, nous savons qu’au début de son combat contre la foi chrétienne, le diable a agi en la persécutant, en guerre ouverte, ceci pendant les temps de domination impériale de Rome qu’Apo.12:3 symbolise par l’image du « dragon ». Mais ensuite, le diable a changé de tactique et il a appliqué celle de la « ruse » que Dan.8:25 impute à Rome : « A cause de sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l'arrogance dans le cœur, il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement, et il s'élèvera contre le chef des chefs ; mais il sera brisé, sans l'effort d'aucune main. » La stratégie de la « ruse » succède sous l’image de « la queue » à celle du « dragon » d’Apo.12:3. Et les symboles de la « ruse » sont rattachés au « dragon, le serpent ancien » « rusé » de Gen.3:1, qui est le « diable et Satan » selon Apo.12:9. Entrer dans l’Eglise du Christ pour la détruire de l’intérieur consiste à reproduire la tactique qui permit aux Grecs de s’emparer de la ville ennemie, Troie. Les Troyens avaient fait entrer eux-mêmes dans leur ville, alors qu’il était habité par des soldats grecs, le cheval abandonné sur la plage par l’armée grecque après son départ. Ce message est doublement confirmé dans Apo.2:12 par le nom « Pergame » qui désigne le lieu de la Troie historique et dont la signification désigne l’acte « adultère » qui fut aussi la cause de la guerre engagée entre les Grecs et les Troyens. Et derrière l’image de ces références historiques, Dieu désigne son ennemie de l’ère chrétienne, la Rome papale catholique et son clergé composé de cardinaux, d’évêques, de prêtres, de moines, et de « bonnes sœurs » soit, selon Jésus-Christ, les diverses formes apparentes des « loups ravisseurs » du diable, dont les chefs furent successivement installés au Palais du Latran, puis à St-Pierre de Rome dans la cité du Vatican.

Verset 16 : « Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? »

Les « fruits » sont aux arbres ce que les œuvres sont aux hommes. Jésus désigne les « fruits » « raisins » qui sont ceux de « la vigne » entretenue par Dieu, le « Maître de la vigne », selon Mat.20:8: « Quand le soir fut venu, le maître de la vigne dit à son intendant : Appelle les ouvriers, et paie-leur le salaire, en allant des derniers aux premiers. » ; et 21:40 : « Maintenant, lorsque le maître de la vigne viendra, que fera-t-il à ces vignerons ? » Les bonnes œuvres portées par les vrais serviteurs de Dieu sont dues à l’action qu’il accomplit en eux. Et à l’image de celles que Jésus a montrées dans son ministère, ces œuvres divines se caractérisent par la douceur, la bonté, mais aussi dans une grande fervente fidélité envers tous les aspects de sa vérité qui exprime et résume sa volonté que le verset 21 de cette étude va rappeler. Les « épines et les chardons » ont été créés par Dieu à cause du péché originel selon Gen.3:17-18 : « Il dit à l'homme : Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l'arbre au sujet duquel je t'avais donné cet ordre : Tu n'en mangeras point ! Le sol sera maudit à cause de toi. C'est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l'herbe des champs.» Le péché a apporté à la création de grandes modifications. Avant lui, la terre ne produisait rien de nuisible, pas le moindre poison. La dernière expression, « et tu mangeras de l'herbe des champs » révèle le changement de statut de l’homme. Créé à l’image de Dieu, il devient l’homme animal dans l’état duquel se retrouvera le roi Nébucadnetsar abêti par Dieu, selon Dan.4:25 : « On te chassera du milieu des hommes, tu auras ta demeure avec les bêtes des champs, et l'on te donnera comme aux bœufs de l'herbe à manger ; tu seras trempé de la rosée du ciel, et sept temps passeront sur toi, jusqu'à ce que tu saches que le Très Haut domine sur le règne des hommes et qu'il le donne à qui il lui plaît. » Ce châtiment eu pour cause l’orgueil qui caractérise « les épines, les chardons, et les scorpions rebelles », tous symboles des « fruits » portés par les serviteurs du diable.

Verset 17 : « Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. »

Jésus nous propose d’appliquer ce principe parfaitement logique pour juger la nature spirituelle de ceux qui se revendiquent de lui.

Verset 18 : « Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. »

Les « fruits » soit, les œuvres portées par l’homme ou une institution religieuse, révèlent sa véritable nature, ceci, sans possibilité de se tromper. Car les « fruits » obtenus par Dieu sont clairement établis dans les révélations de ses lois divines écrites dans la sainte Bible. Tout homme sera contraint de reconnaître ce fait quand il sera confronté au jugement de Dieu. Mais, la tromperie actuelle du diable repose sur l’interprétation que les hommes donnent à ce que Dieu juge « bon ». En fin psychologue, le diable offre aux hommes rebelles la définition du mot « bon » qu’ils aiment et préfèrent à celle que Dieu lui donne dans sa Bible. Et ce qu’ils apprécient concerne « l’amitié des peuples qui évite les guerres destructrices des biens et des hommes ». Le « bon » est pour des multitudes dans les normes établies par l’humanisme universel. C’est pourquoi dans sa dernière apparence de « serpent » trompeur, la religion catholique défend ces valeurs humanistes, en affichant un mépris total pour la norme de la vérité biblique établie par Dieu dans sa sainte Bible. Aussi, pour échapper à cette confusion, le principe indiqué par Jésus signifie que, là où est son saint sabbat et ses continuelles révélations, se trouve le camp de ses vrais saints élus. Mais à l’opposé, là où se trouve le dimanche romain hérité successivement de l’empereur Constantin 1er  en 321, et du pape Vigile en 538, se tient le camp du diable, son ennemi et celui de ses élus. Le « bon fruit » est l’obéissance à la volonté de Dieu ; le « mauvais fruit », la désobéissance à cette volonté divine révélée et écrite dans sa sainte Bible.

Verset 19 : « Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. »

La séduction des hommes rebelles par le diable ne dure qu’un temps. Car dès son retour en gloire, Jésus va sauver ses élus qu’il va arracher à la mort que le camp rebelle allait lui donner. La mystification religieuse va ainsi prendre fin brutalement pour le camp diabolique que le Dieu tout-puissant Jésus-Christ détruit par son souffle. Mais cette destruction n’est pas la dernière, car le projet divin consiste à les ressusciter à la fin du « septième » millénaire, pour le jugement dernier. Ils seront alors jetés vivants dans « l’étang de feu » pour y être détruit dans un temps déterminé pour chacun d’eux par le jugement effectué pendant « mille ans » par Christ et ses élus.

Verset 20 : « C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. »

Le message du Christ est simple et tranchant. Ses vrais serviteurs s’identifieront eux-mêmes par les œuvres qu’ils accompliront. Et ceux du diable, le feront, eux-mêmes, également, en dépit de toutes leurs prétentions et revendications de servir Dieu.

Jusque là, nous avons ciblé, les mauvais fruits portés par le clergé juif et la foi catholique papale romaine. Mais à partir de 1843, à cause du décret de Dan.8:14 qui entre en application à cette date, la malédiction divine tombe sur l’intégralité des groupes religieux protestants. Et pour nous qui vivons les dernières années de l’expérience du péché terrestre, cette malédiction universelle prend de multiples formes. Les versets qui suivent vont confirmer la nature diabolique de certains faux disciples du Christ, catholiques ou protestants, et même, en dernier depuis 1994, adventistes du septième jour.

Verset 21 : « Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! N'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. »

En leur imputant le fait qu’ils l’invoquent en le nommant, « Seigneur, Seigneur ! », Jésus désigne bien des gens qui se réclament de son salut et prétendent le servir. La double répétition du mot « Seigneur » suggère que ce service se résume par cette seule forme religieuse. Jésus est reconnu comme « Seigneur », mais les œuvres de l’obéissance à la « volonté du Père » sont ignorées et absentes. En rappelant la nécessité de faire la « volonté du Père », Jésus confirme l’utilité de la Bible dans laquelle cette « volonté » divine est révélée de manière exclusive et infalsifiable, depuis Genèse jusqu’à Apocalypse dans ses versions originales en hébreu et en grec. Entre les sauvés et les perdus, la Bible va donc faire toute la différence. Et dans nos dernières années, la compréhension des messages prophétiques codés de cette Bible, resserre encore plus « le chemin » que Jésus avait dit « étroit ».

Verset 22 : « Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé par ton nom ? N'avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? Et n'avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? »

Ces serviteurs étonnés auront cependant disent-ils, « prophétisé, chassé des démons et fait beaucoup de miracles, par ton nom », celui de Jésus.

Verset 23 : « Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité. »

Je souligne ici l’importance du mot « jamais » dans la réponse de Jésus qui nous porte vers cette interrogation légitime : Mais alors, qui a fait les miracles et toutes ces choses ? Le diable et ses démons qui en ont la possibilité et peuvent tout se permettre avec l’accord de Dieu. Ce que Jésus appelle ici « l’iniquité » consiste à mépriser et à déformer la volonté de Dieu clairement définie dans sa sainte Bible et ses prophéties préparées pour notre temps et son épreuve de foi finale.

A propos de ces prophéties, j’admire la sapience de Dieu, cette sagesse divine élevée suprêmement au-dessus de tout ce que nous nommons intelligence. Car il a construit ses révélations codées en leur donnant un aspect suffisamment flou pour que chacun puisse les interpréter d’une manière qui lui convienne individuellement, selon son option religieuse. C’est par ce moyen, qu’il a pu protéger ses prophéties destinées à éclairer ses derniers serviteurs dans un contexte de liberté religieuse favorable. Un message trop évident et trop clair aurait été détruit par les fausses religions. La suppression, pure et simple, par le papisme romain, du deuxième des dix commandements de Dieu qui condamnait son culte idolâtre, en a donné une preuve exemplaire. Et par son flou et ses adaptations apparentes, la prophétie a permis à l’église catholique romaine de s’y donner le rôle de « l’Elue ». Affirmant, à qui veut l’entendre, son message « en dehors de l’église, point de salut », elle se présente comme l’unique assemblée bénie par Dieu. Dans l’Apocalypse, elle trouve dans Apo.12:1, l’occasion de se donner le rôle principal en donnant à la « femme porteuse de 12 étoiles sur sa tête » l’image de la Vierge Marie qu’elle sert et adore. Dieu a même facilité la chose en citant l’enfant mâle qu’elle a mis au monde en l’enfantant dans la douleur ; Marie et son Fils Jésus sont ainsi apparemment évoqués par Dieu au bénéfice de la foi catholique. Mais les apparences sont trompeuses car, dans son code prophétique, Dieu donne à la femme son sens « d’Epouse du Christ » déjà prophétisé dans Genèse 2:18 par la femme formée à partir de l’homme, en ces termes : « YaHWéH Dieu dit : Il n'est pas bon que l'homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui. » Selon le projet de Dieu, la femme, son Elue, devra être semblable au Christ auquel elle apportera son aide pour glorifier l’obéissance à la volonté divine révélée. Dans ce comportement la femme est vraiment l’Elue du Christ et cette femme victorieuse qu’Apo.12:1 nous présente. Et l’enfant qui va venir au monde dans les douleurs de son enfantement désigne le fruit d’obéissance porté par les élus dans leur renaissance en Christ. Car, l’enseignement de Jésus est formel, la réconciliation avec Dieu passe uniquement par la nouvelle naissance obtenue successivement et conjointement par l’eau et l’Esprit de Dieu, selon Jean 3:3-5 : « Jésus lui répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu…. Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. » « L’eau » désigne le baptême de repentance qui donne un sens à l’engagement chrétien et image la mort du vieil homme pécheur. Ensuite, « l’Esprit » désigne l’action divine qui va s’accomplir dans la vie du nouveau converti. Et c’est là que les fruits portés par les baptisés vont partager en deux camps tous les convertis de la religion chrétienne aux multiples formes. Les « fruits » portés par « l’Esprit » seront l’obéissance à la « volonté du Père », et ceux du diable conduiront à obéir au « très-saint-père » papal, et à travers lui, à l’empereur Constantin 1er, et en tête de toute la rébellion, au diable lui-même, en personne.

Le baptême est devenu trompeur, car peu de gens baptisés se montrent soucieux d’analyser leurs œuvres, pour y trouver la conformité avec celle de l’Esprit du Dieu vivant. De ce fait, l’action de l’Esprit divin est sous-estimée et elle prend une valeur uniquement théorique. Il ne reste donc plus dans ce cas que le seul baptême d’eau, et même lui, la fausse foi l’a dévalorisé en remplaçant l’immersion complète du corps du baptisé par l’aspersion de quelques gouttes d’eau sur sa tête. Ainsi, toute la cérémonie de la conversion est rendue vaine et morte.

L’image attendrissante d’une femme portant son enfant dans ses bras est strictement humaniste et elle repose sur la sensibilité, ou plus précisément dans ce cas, sur la sensiblerie des êtres humains non respectueux des principes divins. Car il faut bien relever qu’en Jésus-Christ, dans la chair identique à la nôtre, Dieu n’a témoigné ni de sensiblerie, ni de désobéissance à ses principes divins. Il était sensible aux souffrances humaines, et les a souvent soulagées en faisant des miracles, mais son obéissance à ses lois a été constante, jusqu’à sa crucifixion rendue nécessaire pour expier les péchés confessés par ses élus.

L’adoration de la « Vierge Marie » témoigne contre l’église catholique qu’elle n’a de chrétien que sa prétention à l’être. Elle n’est en vérité que l’héritière de Constantin 1er, l’empereur idolâtre fondateur du péché dû à sa confusion entre Christ, et le Soleil, sa créature. On a évoqué, à son sujet, une conversion tardive à la religion chrétienne. Celle-ci fut d’autant plus facilitée, qu’il lui avait donné lui-même la forme idolâtre de son origine païenne, puisqu’avec sa mère, il était adorateur du « Sol Invictus » le dieu Soleil Invaincu. Le repos du septième jour sanctifié par Dieu fut la victime prioritaire de la guerre engagée entre Jésus-Christ et Satan. En réaction à l’abandon de son saint sabbat, Dieu a réagi et il a suscité et suscitera encore des représailles plus évidentes que les rares apparitions de la fausse « Vierge Marie ». Mais l’humanité n’a pas identifié les châtiments divins et des foules de gens sont séduits par les messages et les apparitions de la « Vierge ». Dans ce comportement, cette humanité démontre la justesse du jugement révélé par Jésus-Christ, qui a donné au chemin qui conduit au salut l’aspect d’une « porte étroite », parce qu’il passe par les exigences divines bibliques, et à celui de l’idolâtrie qui conduit à la mort éternelle qui prend, lui, l’aspect d’une « porte « large et d’un chemin spacieux ». Mat.7:13 : « Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. »

Il me reste à t’expliquer pourquoi un aussi grand nombre d’être humains sont séduits par l’image de la Vierge Marie. L’explication prend sa source dans la norme que Dieu a donnée à sa création de la vie sur la terre. Il a doté l’homme d’une force physique supérieure à celle de la femme et il peut ainsi dominer physiquement sur elle. Mais en retour, il est fasciné et dominé par la femme, psychiquement, parce que sa descendance dépend d’elle. Et ce principe concerne tous les êtres humains quelque soit leur religion, leur race, leur peuple ou leur tribu, qu’ils soient éclairés par Dieu ou pas. Il est facile de comprendre que, séparés de Dieu, l’homme et la femme vont être poussés à diviniser les sujets qu’ils affectionnent le plus. L’homme va diviniser la force et aussi l’image de la femme qui porte l’enfant qui lui donne une succession, une descendance et bien sûr, l’enfant mâle, héritier de la force, sera privilégié par le mâle. Cette priorité de l’enfant mâle a conduit le roi Henri VIII d’Angleterre à faire décapiter deux de ses six femmes rendues, par Dieu, incapables de lui donner un héritier mâle pour assurer sa succession sur le trône, sauf un enfant (Edouard VI), mort à 15 ans. Henri VIII ignorait que le problème venait de lui et non de ses épouses. Détestant Martin Luther, ce fondateur maudit de la religion anglicane est mort, finalement, sans avoir obtenu de Dieu cette satisfaction. Mais partout sur la terre, l’absence de l’héritier mâle a provoqué des drames. La deuxième étape de la déification de la femme qui enfante remonte à l’époque de la tour de Babel, après le déluge d’eaux destructeur des vies impies terrestres. Dans un premier temps, les survivants se sont dispersés et regroupés en familles, puis en tribus, jusqu’à ce que Nimrod, le roi d’une tribu, lance une idée révolutionnaire. Sur le principe, l’union fait la force, il convainquit les humains de se rassembler dans un même lieu ; leur langue commune favorisant le règlement des problèmes relationnels. Dieu a réagi lorsque ce rassemblement a pris la forme d’un défi fondé sur l’élévation d’une tour pour atteindre le ciel. A cette époque, le roi Nimrod, sa femme Sémiramis, et leur fils mâle Tammuz, jouissaient d’un prestige élevé, reconnu et glorifié, par tous les habitants de Babel. De même que le dictateur romain Jules César voulut être déifié à cause de la quasi-adoration d’un grand nombre de Romains, la même pensée idolâtre est apparue auparavant chez les adorateurs du roi Nimrod et des membres de sa famille. En intervenant pour les séparer par des langues différentes donc, étrangères, Dieu dispersa ces populations sur la terre, mais elles emportaient avec elles, leurs pratiques idolâtres d’adoration des fausses divinités au premier rang desquelles se trouvaient Nimrod, Sémiramis et Tammuz. Sémiramis et Tammuz étaient représentés par l’image d’une femme portant dans ses bras son fils mâle et elle était la déesse de la fécondité, le sujet de l’affection principale des couples humains. La force et la fécondité sont restées partout sur la terre des sujets divinisés sous des noms différents, selon les peuples et leur langue tribale ou nationale. Depuis Babel, ce culte païen, s’est répandu partout sur la terre et sur le nord du continent africain où régnait en force la ville païenne Carthage (actuelle Tunis), l’ennemie continuelle des Romains. Avant d’être convertis à l’islam, les peuples de l’Afrique du nord étaient, comme ceux du continent européen entier, adorateurs des divinités héritées depuis Babel. Au fil du temps, les ressemblances entre ces divinités ont favorisé des assimilations et l’adoration de la force et de la fécondité a pu se prolonger sous de multiples noms. Cet héritage païen va nous permettre de comprendre comment le culte de la Vierge Marie a séduit les peuples faussement chrétiens européens et les peuples musulmans. Car les chrétiens et les musulmans retrouvent en la Vierge Marie, l’image de la fécondité qui les a séduits dans tous les temps. A la fin du sixième siècle de notre ère, le prophète Mahomet reconnut le Dieu unique base des religions monothéistes, par le moyen de l’enseignement du catholicisme romain que Dieu avait condamné depuis le 7 Mars 321. Suscité par Dieu pour châtier la foi catholique, Mahomet s’est séparé de l’influence chrétienne byzantine et il a fondé, à coups de sabre, sa religion appelée l’islam, nom qui signifie : soumission. La question qui vient ensuite est : soumis, oui, mais à qui ? La connaissance du projet divin donne la réponse que chacun peut trouver.

Le syncrétisme religieux des divinités païennes est donc à l’origine des confusions et des mélanges religieux. Chez les Grecs, la force divine est imputée au dieu des dieux qu’ils nomment Zeus, et que les Romains nomment Jupiter.

Citation trouvée sur Internet au sujet des déesses de la fécondité : Dans la religion grecque, aux époques archaïque et classique, c’est Déméter qui représente par excellence la déesse de la Terre mère mais encore Isis en Egypte, Cybèle abandonné pour Diane en Asie mineure, Astarté en Syrie, Astarté en Phénicie, Tanit à Carthage. Sous tous ces noms, nous retrouvons l’exacte représentation de la « Vierge Marie » portant son enfant Jésus.

Dans la Bible, Dieu révèle sa condamnation de ces cultes idolâtres, et cette condamnation s’applique pour l’adoration de la Vierge Marie qui n’est que la forme chrétienne, de ces anciennes divinités de la fécondité ; la forme adaptée pour les adeptes de la religion catholique, mais aussi ceux de l’islam. Dans les religions païennes, on n’oppose pas le dieu du mal au Dieu du bien comme la Bible l’enseigne. La fausse religion ne fait que transférer dans une vie divine inventée, les valeurs privilégiées par les humains eux-mêmes. C’est pourquoi, toutes adorent le dieu de la force et celui de la fécondité au-dessus de tous les autres.

En réalité, la force et la fécondité appartiennent au Dieu créateur unique, Père de tout ce qui vit. Mais étant créateur de la vie par sa seule parole, son rôle n’est pas celui d’une mère. Car ce terme mère a été inventé par lui, pour le seul temps des 6000 ans de la procréation des créatures humaines invitées, sur la terre, à se rattacher au seul vrai Dieu. Et son pouvoir créateur illimité divin lui a permis de naître dans le ventre d’une jeune fille vierge utilisée en mère porteuse. L’enfant Jésus conçu par elle n’appartenait pas à Marie et elle ne s’y trompa pas en considérant, elle-même, que Dieu lui avait accordé une « grâce » soit, l’honneur d’avoir été choisie ; la cause de ce choix étant, uniquement, sa descendance du roi David, afin que les divines promesses écrites faites à ce roi soient accomplies et honorées.

 

L’humilité est notre force et notre salut

 

Le grand Dieu créateur a déclaré dans Jac.4:6 et 1 Pierre 5:5, qu’il « résiste aux orgueilleux et fait grâce aux humbles ». L’humilité commence lorsque l’homme réalise combien grande est sa faiblesse. Aussi longtemps qu’il ne prend pas conscience de l’existence du Dieu créateur, à la puissance et aux pouvoirs illimités, il ne peut pas réaliser combien il est faible par sa nature humaine. Mais tout change, quand il obtient des preuves de sa réalité vivante. Encore, faut-il que cette prise de conscience soit forte et dominante dans son analyse de la vie. L’humilité conduit la créature humaine à comprendre qu’elle n’est qu’un vase de terre que Dieu doit remplir ; ce qui exige de sa part, une docilité du type du bœuf, sur le cou duquel Dieu pose son joug en vue de lui confier une tache. Cet état d’esprit n’est pas glorifié par le monde sans Dieu, mais précisément, parce que ses conceptions des valeurs de la vie sont en opposition absolue aux siennes. En apparence, extrêmement faibles, les élus de Dieu sont rendus forts par sa force divine, selon qu’il leur donne tout ce qui leur manque. Résister au diable et à ses agents humains exige la force de Jésus-Christ. Les preuves de sa victoire sont maintenant derrière nous. Nul n’a le droit d’en douter, parce que les martyrs de la vraie foi ont donné leur vie pour t’en convaincre en suivant fidèlement l’exemple du grand Maître de la foi, le Christ Sauveur. Il lui fallut une force de caractère hors du commun pour aller jusqu’au bout de sa mission. Et en dépit des apparences trompeuses, c’est en offrant sa vie à la mort qu’il glorifia et sanctifia son nom pour l’éternité. En croyant le punir, les Juifs rebelles et les Romains l’ont élevé à une gloire suprême. Pour moderniser l’image, l’élu est une « boite à lettres » vivante dans laquelle l’Esprit du Christ dépose de temps en temps ses lettres d’amour que constituent ses avertissements des dangers, et sa lumière qui éclaire ses secrets révélés dans sa parole biblique.

Pour imager ses élus, Jésus a choisi de donner en exemple les enfants. Pas les enfants rebelles de notre époque qui sont les fruits de l’esprit républicain souillé et pécheur sans limite, mais des enfants sages, obéissants, et très attentifs, parce qu’ils sont en recherche du meilleur modèle possible. Les pères de l’humanisme sont décevants, et très tôt, leurs enfants relèvent et jugent leur égoïsme et leur méchanceté héritée du diable, mais ils ignorent encore cette cause. L’enfant questionne beaucoup parce qu’il a tout à apprendre ; il veut trouver des réponses à ses questions. Jésus-Christ, notre Créateur, n’en attend pas moins de la part de ceux qu’il veut et peut sauver. La Bible entière contient encore suffisamment de point mystérieux pour occuper notre temps jusqu’à son retour au printemps 2030, et parce que l’idée avait traversé mon esprit, Jésus-Christ, m’a pris au mot, et il m’apporte chaque semaine des sujets d’étude auxquels il donne ses réponses qui intensifient sa lumière.

Seuls les êtres célestes voient la chose, mais au moment où le monde coupé de Dieu s’angoisse devant les risques mortels des Coronavirus et des tensions internationales qui font craindre la guerre, dans la paix du salut du Christ, ses bien-aimés se nourrissent goulûment de son enseignement spirituel céleste. Et cette fontaine là, source de l’eau vive, ne se tarira pas. Elle peut néanmoins s’interrompre, mais seulement quand elle n’est plus appréciée. Mais aussi longtemps qu’elle est appréciée par celui qui la reçoit, elle peut se prolonger. L’exemple est trop beau pour que je n’en témoigne pas. En fin du sabbat du 22 Janvier 2022, alors que nous nous apprêtions à clôturer par la prière le saint jour de Dieu, un dernier échange avec Joël, mon frère en Christ, au sujet de la tension des relations du monde occidental et la Russie, m’a conduit à évoquer la prophétie de Daniel 11:40-45 qui décrit la stratégie générale de la Troisième Guerre Mondiale attendue. Mon esprit a alors été traversé par une idée lumineuse grâce à laquelle mon interprétation présentée dans Daniel 11, dans le document « Explique-moi Daniel et Apocalypse », est prouvée et devient indiscutable. Je résume ici le sujet pour comprendre le sens de cette petite perle. Daniel 11 met en scène deux « rois » principaux qui sont le « roi du septentrion » et le « roi du midi ». Dans une première partie du chapitre, ces deux « rois » désignent les dynasties lagides égyptiennes et séleucides syriennes de l’antiquité. A partir du verset 21, Dieu cible le « roi du septentrion » séleucide Antiochos IV persécuteur des Juifs en – 168. Ensuite à partir du verset 36, il prend pour cible et pour contexte, l’ère chrétienne et le papisme persécuteur des Chrétiens, objet de ses dénonciations principales dans Daniel 7:7 et 8:10 à 12. Le changement de contexte nous oblige à redistribuer les rôles soit, réinterpréter les identités des nouveaux « rois du septentrion et du midi » cités jusqu’à la fin du chapitre. Au verset 40, l’Esprit met en scène des agressions militaires qui concernent, non pas deux, mais trois « rois » qui désignent : depuis le verset 36, l’Europe catholique papale, organisée sous l’égide du traité de Rome, la cible de Dieu victime des attaques finales, puis le nouveau « roi du midi » soit, l’islam guerrier sorti de la Mecque depuis 632, et le nouveau « roi du nord », la Russie orthodoxe actuelle. Ce rappel nécessaire étant fait, voici en quoi consiste la nouvelle perle du sabbat du 22 Janvier 2022. La prophétie présente, en la nommant clairement cette fois, « l’Egypte », passée dans le camp occidental depuis les accords de Camp David signés en 1979. Elle se trouve frappée par le nouveau « roi du midi » islamiste guerrier allié du nouveau « roi du septentrion » russe. Etant elle-même concernée comme « roi du midi » dans le début de Daniel 11, dans le dernier conflit mondial « l’Egypte » se trouve frappée par ce nouveau « roi du midi » qui frappe premièrement l’Europe papale chrétienne. La preuve du changement de contexte est ainsi démontrée. « L’Egypte » ne peut pas être « le roi du midi » qui frappe l’occident chrétien puisqu’elle est devenue son alliée et qu’elle est elle-même dépouillée par « les Libyens et les Ethiopiens » musulmans qui se présentent après le pillage du « roi du septentrion » russe.

La prophétie divine est une forteresse imprenable, on n’y pénètre qu’en y étant invité et guidé par l’Esprit de Dieu. Petit souffle humain, tu n’es pas capable de voir autre chose que ce que Dieu te laisse voir. Il pose sa main et un voile aveugle nos intelligences. L’exemple que je viens de donner montre qu’il lève le voile quand il le souhaite et le trouve bon. La compréhension des révélations divines est toujours extrêmement simple et logique, mais même dans ces conditions favorables, les intelligences des hommes ne perçoivent pas les plus simples de ses subtilités. Réaliser ces choses, conduit l’homme à la véritable humilité et à l’acceptation de reconnaître que son rôle est vraiment celui d’une simple « boite à lettres » qui se met à la disposition de Dieu en Jésus-Christ. Cependant, dans cette humilité et dans la démonstration de l’appréciation de ses révélations, elle lui devient précieuse au point que, pour la justifier, il a offert sa vie pour racheter ses péchés. Et ainsi, à son retour en gloire, il pourra lui offrir la vie éternelle, selon la parfaite justice de son projet salvateur. La « boite à lettres » ou « serviteur inutile » deviendra alors un ange qui verra et parlera directement avec le Christ rendu visible. Car selon Luc 17:10, il n’y a pour celui qui obéit, et ne fait ainsi que son devoir, aucune gloire à tirer, selon que Jésus a dit : « Vous de même, quand vous avez fait tout ce qui vous a été ordonné, dites : Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons fait ce que nous devions faire. »

L’humilité se cultive et doit être protégée, car l’orgueil qui peut la remplacer peut apparaître en situation de succès et d’admiration de l’entourage. Etant méprisés et ignorés, les élus du Christ peuvent facilement conserver une humble attitude, mais au moindre succès, le danger d’orgueil est réel. C’est pourquoi, il est vital pour eux de rester humble envers ceux qu’ils instruisent. Car Dieu veille et surveille l’apparition de l’orgueil qui vaut au diable et ses démons leur condamnation à mort finale. Et parce qu’ils en paient chèrement le prix, les anges du mal connaissent l’efficacité de l’orgueil pour perdre une âme humaine, et ils font tout ce qu’ils peuvent pour exacerber la tendance orgueilleuse dans leurs esprits. Car c’est encore là, une autre raison de justifier l’humilité. Contrairement à ce qu’ils croient, les gens orgueilleux sont des êtres manipulés. Peut-être qu’ils parviennent à ne pas se faire manipuler par des êtres humains, encore que j’en doute, mais ils sont, de manière certaine, manipulés par les esprits invisibles de Dieu ou de Satan, et ses frères angéliques. En comparant notre cerveau à un ordinateur informatique, nous sommes victimes des « pirates » spirituels. A distance, nous sommes manipulés, soit par Dieu pour notre bien et la vie, soit par les démons, pour notre mal et la mort qui l’accompagne, dès cette vie terrestre à tous âges, et au pire, au jugement final, éternellement. L’orgueil apparaît dans le moi intérieur où il pousse progressivement comme une mauvaise plante semée par les démons ou, simplement, comme un fruit de l’entière liberté que Dieu nous a donnée. La créature humaine peut obtenir de Dieu qu’il éclaire son intelligence, mais aussi, cas des orgueilleux, qu’il la rende spirituellement aveugle. Déjà, quand il se coupe de Dieu, l’homme se prive de l’avantage de pouvoir identifier les causes réelles des événements qui s’accomplissent dans son époque ou dans les autres ; des causes cachées parce que spirituelles. C’est là, un aveuglement minimal naturel déjà fatal. Mais l’aveuglement des esprits peut prendre des formes extrêmes, comme celle de voir des ennemis en ses meilleurs amis ; dans le combat, il peut combattre contre son propre camp, croyant avoir affaire à des ennemis. De cette manière, Dieu a donné la victoire à son peuple Hébreu devenu son Israël. Ses ennemis s’entretuaient sans qu’Israël ait à intervenir. Alors, dans un tel statut humain, soyons vraiment humbles !

Dépourvue de cette précieuse humilité, l’humanité coupée de Dieu s’appuie sur ses scientifiques, ses grands, ses savants, qui se targuent de pouvoir expliquer la vie. Elle a pour tous ses différents domaines et sujets, des spécialistes auxquels elle se réfère. Tous ont bénéficiés, pensent-ils, des progrès de la science et de la connaissance. Mais ils ignorent que cette croissance technique n’est que la conséquence d’une malédiction généralisée qui a frappé l’humanité entière en 1843, date construite par la prophétie « adventiste » de Daniel 8:14. Vécues aux USA, principalement, les épreuves adventistes ont marqué en 1843 et 1844 ce pays qui n’a fait que croître en puissance et auquel on doit la croissance technologique actuelle. Tour à tour, s’y sont succédé, la voie ferrée, l’exploitation du pétrole et l’automobile à moteur à explosion, la lampe à incandescence de Mr. Edison, le cinéma, l’aviation civile et militaire, la bombe atomique, les fusées spatiales, l’ordinateur, Internet et notre « smartphone » ultra HD actuel. Ce n’est pas de cette « connaissance » que Dieu parle dans Dan.12:4, car cette « connaissance » technique ne fait que permettre à homme de construire les engins destructeurs qui le détruiront. A l’opposé, pour favoriser la vie de ses élus, Dieu propose « la connaissance » de son projet révélé par ses prophéties : « Toi, Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu'au temps de la fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera. »

Nous voyons bien dans ce verset l’intention de Dieu de laisser la foi chrétienne stagner jusqu’au « temps de la fin ». Nous arrivons dans ce « temps de la fin » et, comme Dieu l’a prophétisé à Daniel, « la connaissance » a réellement beaucoup « augmenté » depuis 1843, encore davantage entre 1980 et 1994, et d’une manière inattendue depuis 2018. Il ne lui reste plus qu’à être partagée par les élus dispersés parmi les peuples sur toute la terre ; et parmi tous les êtres humains, ils sont les plus humbles, conformément au modèle du Maître, Jésus le Messie.

Il y a aussi, une fausse humilité religieuse trompeuse qui repose sur le fait que des gens reconnaissent que Dieu existe. Mais cette humilité est fausse parce qu’ils ne tiennent pas compte de son existence, en ne se soumettant pas à sa volonté, dont ils n’ont que faire. Les élus qui portent l’humilité réelle ne commettent pas cette erreur de comportement illogique. Si Dieu existe, vu qu’il est aussi, le Tout-Puissant, il est vital de savoir comment il juge les hommes et leurs actions. Dans cette connaissance, le rôle qu’il donne aux faits est révélé et compris. Car le cerveau de l’homme discerne et analyse humainement les événements avec beaucoup de précision, la science l’aide en cela mais elle ne peut rien faire de plus. Nous avons vu combien le rôle principal du Dieu vivant est de juger continuellement ses créatures et leurs œuvres. Il est donc vital de comprendre le sens qu’il donne aux faits-divers qui s’accomplissent jour après jour. Des peuples, des familles, sont endeuillés par des accidents qui frappent continuellement toute l’humanité coupable et pécheresse. Ces accidents peuvent être provoqués par l’absence de prudence des victimes mais ce qui est sûr, c’est que tous ceux qui meurent autrement que par la vieillesse, meurent parce que Dieu ne les a pas protégés. Et s’il ne l’a pas fait, c’est parce que ces gens ne se sont pas humiliés devant sa glorieuse réalité. Parmi eux, les croyants ont voulu ignorer ce qu’il pensait et ce qu’était son jugement. Dieu est le Dieu des vivants, pas celui des morts, et c’est donc bien pendant que nous vivons que nous devons apprendre à le connaître. Dans Daniel et Apocalypse, principalement, Dieu révèle à ses serviteurs les plus humbles, le sens qu’il a donné aux grands drames qui ont marqué l’histoire de l’ère chrétienne. Apocalypse les résume par les « sept trompettes » et les « sept derniers fléaux » qui expriment la juste « colère de Dieu ». Ainsi, concernant la « première trompette », là où les historiens laïques n’ont relevé que des invasions barbares qui ont mis à feu et à sang l’Europe actuelle entre 321 et 538, l’élu discerne un premier jugement infligé par le Dieu créateur offensé, en 321, par l’abandon de son sabbat sanctifié. Et les six autres « trompettes » et les « sept derniers fléaux » viennent, successivement, punir le même péché. Apo.15:4 confirme leur sens de « jugements » divins en disant au sujet des « sept derniers fléaux » : « Qui ne craindrait, Seigneur, et ne glorifierait ton nom ? Car seul tu es saint. Et toutes les nations viendront, et se prosterneront devant toi, parce que tes jugements ont été manifestés. » Dans ce verset, l’expression « Car seul tu es saint » est dirigée contre la fausse sainteté religieuse catholique papale romaine et protestante que ses « jugements » ciblent et frappent. L’absence de « la crainte de Dieu » est en cause, et elle est due à l’orgueil et la fausse humilité humaine rebelle. En effet, depuis 1843, après les siècles ténébreux du règne papal, dans Apo.14:7, le message du premier ange invite les élus à se démarquer de la fausse religion par une attitude humble qui conduit à « la crainte de Dieu » : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. » Celui qui invite les appelés à le « craindre » se nomme Jésus-Christ, le Dieu Tout-puissant, le Créateur de tout ce qui vit et existe, visible ou invisible. Le véritable jugement de Dieu est redoutable, et à l’opposé des conceptions agréables aux hommes, car il partage l’humanité en deux camps seulement, celui de ses humbles élus que le sang de Jésus sauve, et tout le reste de l’humanité qu’il détruit, et anéantira, à terme, définitivement, à cause de l’orgueil ou de la fausse humilité des riches et des pauvres, tous rebelles et entêtés, comme le Pharaon égyptien qui endurcit son cœur jusqu’à la mort que Dieu lui donna dans les eaux de la Mer Rouge.

Mais l’appréciation de l’humilité et de l’orgueil ne peut être perçue que par un vis-à-vis, et le seul avis qui compte, c’est bien sûr, celui du grand Juge universel. Il est à craindre qu’en se jugeant soi-même, on fasse preuve d’une trop grande complaisance. N’oublions donc pas que Dieu n’est, ni indulgent, ni complaisant, mais seulement juste, exigeant mais plein de compassion pour ceux qui font réellement tous leurs efforts pour lui plaire.

Jésus nous donne un exemple d’humilité à observer par quiconque veut le suivre sur son chemin de vérité. A vue humaine, ce chemin est très encombré, car très nombreux sont ceux qui s’y engagent. Et s’ils sont si nombreux c’est parce que la norme chrétienne qu’ils appliquent n’est pas conforme aux règles de l’humilité bénie par Dieu. De nombreux faux chrétiens se distinguent par leur volonté farouche de faire quelque chose pour Jésus-Christ ou pour Dieu. Ces gens rivalisent en zèle, vainement, parce que c’est l’orgueil qui les pousse. C’est pour dénoncer ce genre de faux serviteurs que Jésus précise dans Luc 14:8 à 11 : « (8) Lorsque tu seras invité par quelqu'un à des noces, ne te mets pas à la première place, de peur qu'il n'y ait parmi les invités une personne plus considérable que toi, (9) et que celui qui vous a invités l'un et l'autre ne vienne te dire : Cède la place à cette personne-là. Tu aurais alors la honte d'aller occuper la dernière place. (10) Mais, lorsque tu seras invité, va te mettre à la dernière place, afin que, quand celui qui t'a invité viendra, il te dise : Mon ami, monte plus haut. Alors cela te fera honneur devant tous ceux qui seront à table avec toi. (11) Car quiconque s'élève sera abaissé, et quiconque s'abaisse sera élevé. »

C’est par cette simple déclaration que Jésus-Christ peut condamner le monde civil et religieux coupé de lui. En fait, dans cette parabole, Jésus nous révèle les bases de son jugement : l’humilité qui rend possible la vie éternelle avec Dieu et ses saints anges. L’exemple des « noces » désigne « le repas des noces de l’Agneau » ; l’invité c’est l’élu racheté par son sang ; celui qui invite, c’est le Dieu Jésus-Christ. Dieu prophétise que le faux zèle sera démasqué et humilié.

Dans son expérience, le roi Nébucadnetsar adresse aux élus, lui-aussi, un message d’humilité. Après avoir été abêti par Dieu pendant « sept ans » à cause de son « orgueil », brisé et humilié, il prit conscience de son indignité. Il ne réclama pas lui-même son retour sur le trône des Chaldéens, car il nous dit dans Dan.4:36-37 : « En ce temps, la raison me revint ; la gloire de mon royaume, ma magnificence et ma splendeur me furent rendues ; mes conseillers et mes grands me redemandèrent ; je fus rétabli dans mon royaume, et ma puissance ne fit que s'accroître. Maintenant, moi, Nebucadnetsar, je loue, j'exalte et je glorifie le roi des cieux, dont toutes les œuvres sont vraies et les voies justes, et qui peut abaisser ceux qui marchent avec orgueil. »

Si les êtres humains étaient plus attentifs au message délivré par Jésus-Christ, en paroles et en actes, beaucoup comprendraient que les normes de la vie céleste ne sont pas adaptées pour eux : ils glorifient l’orgueil et méprisent l’humilité ; pas de chance pour eux car Dieu glorifie l’humilité et il détruit l’orgueil. Tout son projet se résume par ce but : trier les hommes, rejeter les orgueilleux et sanctifier les humbles pour l’éternité. Chacun peut ainsi admirer la sagesse du grand Dieu créateur qui sait qu’après ce tri, le bonheur éternel sera possible et acquis.

Mélanges mortels

 

A 30 ans, victime du chômage, en proie à une grande détresse et perte d’activité professionnelle, je me suis tourné vers la Bible que j’ai lue entièrement du début à la fin soit, de Genèse 1 à Apocalypse 22. Cette lecture m’a permis de découvrir que sur tout ce que je souhaitais voir s’accomplir et que j’appelais bien, Dieu portait un avis très différent, et le nommait mal. Avant cette lecture biblique, j’étais humaniste et désirais voir supprimer les frontières établies entre les êtres humains ; ces frontières raciales et nationales qui séparent et empêchent les relations fraternelles. Or, dès Genèse 1, j’ai découvert que, dans son œuvre créative, le vrai Dieu s’applique à établir et fixer des normes de séparation. J’avais tout faux et il avait tout vrai. Et l’humanité paie continuellement la conséquence de ne pas tenir compte de son sage et parfait jugement. Car tenir compte de son opinion consiste à s’appuyer sur celui qui ne peut jamais se tromper dans son jugement sur les choses et les vies. En écrivant ces choses, je réalise combien Israël fut béni en étant guidé et conduit par Dieu, depuis sa sortie d’Egypte. La sainte nuée l’accompagnait pendant ses déplacements dans le désert de l’Arabie, mais cette nuée ne protégeait que leurs corps mortels ; le plus précieux était pour le seul Moïse avec lequel le Dieu Esprit s’entretenait dans la tente d’assignation. Oui, il n’est pas nécessaire de voir Dieu pour croire en lui, car la sagesse démontrée dans toute sa révélation biblique témoigne de sa vivante réalité.

Une fois de plus, dans ce message, je vais témoigner de l’importance de cette première déclaration divine qui est le sujet de Genèse 1, un livre auquel j’aurai bien donné, personnellement, le nom, « séparation » tant il est le thème de tout le livre. Pour comprendre l’importance que Dieu donne à cette séparation, nous devons tenir compte que ses premières créatures, les anges, ont hérité d’une vie immortelle parce qu’elles reflètent le but fondamental que Dieu veut obtenir pour l’éternité. Le droit de vivre et de mourir appartient au seul Dieu créateur et il peut l’appliquer sur les anges et sur les humains ; ce qu’il fera en son temps. La liberté entière donnée à ses créatures rend toutes choses possibles : le bien comme le mal. Dieu le savait avant de créer son premier vis-à-vis libre, son premier ange. Et la perspective de créer des vies rebelles ne l’a pas fait abandonner son projet. Bon, il y aura des rebelles et des fidèles, il n’aura donc qu’à trier et sélectionner les créatures capables de s’adapter à sa conception de vie. Et ce programme concerne les anges et les humains. En réalisant ceci, Dieu nous fait entrer en esprit dans son monde spirituel ; il nous fait prendre conscience de l’existence d’une autre réalité qui reste pour nous, les terrestres, complètement invisible pour nos yeux ; mais pas pour nos esprits. Tout ce qu’il a fait, fait, et fera, repose sur sa suprême intelligence. Il a réfléchi, analysé, composé, et réalisé tout son programme qui vise à anéantir, légalement, le mal et ses partisans afin d’offrir à ses fidèles, une vie éternelle parfaite de paix et de bonheur continuels. Sous ce regard spirituel, la mort, qui épouvante l’humanité rebelle actuelle et en tous temps, devient l’alliée nécessaire, indispensable, pour que les élus obtiennent la vie paisible et éternelle que Dieu veut leur offrir. La mort est donc plus qu’utile, elle est, dis-je, indispensable. Elle apporte la « séparation » définitive, car le défunt ou la défunte ne pourront plus jamais retrouver la chance de modifier leur destin. L’humain meurt en Christ, pour la vie éternelle, ou il meurt en diable, pour son anéantissement définitif en fin du programme divin. Le choix est uniquement binaire, à l’image des deux chemins que Dieu place devant les pas des humains mais aussi avant eux devant les anges célestes. Et la mort du Christ victorieux a déjà eu, pour ces anges célestes, des conséquences tragiques pour les mauvais qui ont perdu leur place au ciel, mais merveilleuses pour les bons qui ont été libérés de leurs mauvaises influences ; c’est là, tout l’enseignement d’Apo.12:9 à 12.  Cette première purge céleste sera suivie en son temps d’une purge finale terrestre. Alors, le plan salvateur conçu par Dieu sera parfaitement accompli. Pour Dieu et ses élus d’origines célestes ou terrestres, le repos de l’esprit sera devenu possible.

C’est donc là, la cause de toutes ces séparations qu’il ordonne dans Genèse 1 ; le but final étant la séparation « du bien et du mal » comme l’enseigne ce verset cité dans Esa.7:15 où il est dit au sujet du Christ : « Il mangera de la crème et du miel, jusqu'à ce qu'il sache rejeter le mal et choisir le bien. » Ce qui valut pour Christ vaut pour tous les humains ; anges et hommes ont tous eu à choisir entre le bien et le mal. Et c’est parce qu’il condamne chez ses créatures le mélange du bien et du mal que Dieu démontre son souci de séparer ces deux options de vie. Dans la Genèse, il sépare en premier les lieux de la vie céleste de ceux de la vie terrestre. Il fixe ainsi les limites qui empêcheront les hommes de voir la vie céleste angélique. La terre doit être séparée du ciel et de ses habitants. Ensuite, dans notre création terrestre, le mal prend le nom de ténèbres et correspond à la nuit. Il est ainsi séparé du bien qui est représenté par la lumière du jour. Déjà dans ces actions, Dieu révèle que toute la forme qu’il donne à sa création délivre un message spirituel qui prophétise son but de séparer le bien du mal. La dimension terrestre créée reçoit ainsi sa signification de champ de bataille offert en démonstration aux anges et au monde, car une guerre entre Dieu et Satan va s’y dérouler. Genèse 1 nous enseigne que ce que Dieu sépare ne doit pas être réuni, sous peine de mort éternelle. Le ciel et son atmosphère ont été donnés aux oiseaux, pas aux humains, mais poussés par le péché, l’humain rebelle a voulu conquérir le pouvoir de voler. Il a réussi, mais à quel prix ? Celui de tomber dans l’esclavage économique qui l’a conduit à la dépendance énergétique polluante et mortelle pour son espèce et toutes les espèces qui vivent sur la terre et dans les mers. Car les avions du tourisme sont consommateurs d’énorme quantité de kérosène transportés sur des pétroliers géants qui dégazent en mer et parfois font naufrage, causant ainsi d’importantes marées noires sur les plages où vivent les hommes, les femmes, et leurs enfants. La séparation établie par Dieu a été transgressée et elle porte maintenant ses conséquences mortelles. De nouveaux « Icare » se tuent au cours de vols sur des ailes volantes ou des parachutes sophistiqués de très haute technicité. On ne transgresse pas impunément les règles établies par Dieu. Ces prises de risques ne sont pas compatibles avec la prudence extrême à laquelle Jésus nous exhorte. Elles restent donc les fruits de l’humanité rebelle. Dans la prolongation de son message de séparation, logiquement, Dieu a voulu appliquer ce principe pour protéger son peuple Hébreu ; ce qui l’a conduit à lui interdire les mariages avec les étrangers païens. Son bonheur en dépendait, car par le mariage, l’étranger apporte dans l’Israël sanctifié par Dieu, sa culture, sa religion, toute sa norme de vie. Et comme le levain fait lever toute la pâte du pain, sa présence dans l’Israël de Dieu met la vie du peuple entier en danger de mort ; ce qu’il veut éviter à ceux qu’il aime.

Depuis la mort du Christ et l’offre de sa grâce à l’univers terrestre entier, les chrétiens ont pensé à tort que cette séparation des ethnies était révolue. Car l’ignorance ou le mépris pour ce principe reste encore porteur de ses malheureuses conséquences pour toutes les nations modernes qui renouvèlent l’expérience de « Babel ». Et il faut le relever, la réunification de ceux que Dieu a séparé par des langues, est favorisée par le long temps de paix que Dieu a accordé à l’Europe depuis 1945, année de la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Plus longtemps cette paix dure, plus graves en sont et seront les conséquences. Et à en juger par le fruit porté, le jugement établi par Dieu est entièrement justifié. Notre monde est devenu exactement ce que Dieu voulait éviter à son Israël national ; un lieu de débauche, de recherche de plaisirs, de faux amours, de haines, de vols et de meurtres, auxquels s’ajoutent les dissensions religieuses concurrentes qui ont justifié les guerres anticolonialistes et la guerre de « Bosnie » dans les Balkans. Car les humains coupés de Dieu s’entêtent à ignorer les causes religieuses de ces cohabitations rendues impossibles parce qu’elles ne sont pas acceptées par les êtres humains. Et si le fruit de ces cohabitations est à ce point insupporté par eux, c’est à cause de la malédiction que Dieu rattache à la transgression de ses séparations. Depuis Babel, les langues différentes créées par Dieu devaient séparer les peuples, mais aujourd’hui, la terre entière est devenue un petit village où l’information circule en temps réel. Mais la technique la plus développée ne soustrait pas la vie humaine au pouvoir du Dieu immortel. Et la réunion de ceux que Dieu avait séparés va, une nouvelle fois, avoir pour conséquence d’embraser la terre et ses habitants. Ce qui me conduit à dire : Qui trop s’embrasse, s’embrase. La nouvelle alliance avait pour but de répandre la bonne nouvelle du salut dans tous les peuples de la terre, mais pas de réunir les peuples que Dieu a séparé par des langues. C’est pourquoi l’expérience tragique que le monde s’apprête à vivre, et qu’il vit déjà sous une forme bénigne avec la contagion des Coronavirus, est entièrement due à son mépris pour la leçon perpétuelle que Dieu a voulu donner à l’humanité par l’expérience de la « tour de Babel ». Le mépris manifesté envers Dieu se trouvait déjà dans la personne du diable qui ignorait ce que signifie le verbe « mourir ». Il a cru pouvoir vaincre le Dieu qui l’a créé jusqu’à la mort du Christ resté, lui, sans péché. Après avoir provoqué la mort de multitudes d’êtres humains, il a appris du Christ que son tour de mourir était programmé par Dieu. L’impudente ignorance des leçons divines portera ainsi ses conséquences pour tous les anges et les êtres humains rebelles.

En son temps, le roi Ezéchias commit l’erreur de montrer à ses visiteurs chaldéens les richesses de son temple. En conséquence, mais après lui, ils revinrent pour s’emparer de ces choses et de toute la nation. Le monde occidental commet à son tour la même erreur. Par la télévision et Internet, l’opulence de la vie occidentale est étalée sous les regards envieux des peuples qui vivent encore dans la pauvreté et la misère. Comment ne pas comprendre, dans ce cas, leur désir de venir profiter, eux-aussi, de cette vie riche affichée ? La conséquence de cette technicité moderne est de provoquer des vagues d’immigrations qui bousculent les équilibres des gestions sociales des peuples de cet Occident riche et développé. Mais quel que soit le niveau de cette richesse, les charges que représentent les nouveaux arrivants sont financées aux dépens des habitants d’origine. C’est alors que l’immigration non supportée devient, à son tour, cause de conflits et d’affrontements entre ceux qui approuvent, et ceux qui contestent ce type d’accueil. La houlette « union » est brisée, et le mélange ethnique et religieux devient mortel. En ce qui la concerne en première, la France républicaine voit détruire sa devise : liberté, égalité, fraternité. On n’y trouve plus que la soumission de l’esclave envers son maître, l’inégalité sociale, et l’adversité qui pousse à s’affronter ceux qui ne partagent pas les mêmes idées. Mais, les autres nations qui se sont construites sur son modèle sont, elles-aussi, condamnées à vivre les mêmes douloureuses expériences. Et finalement, le proverbe sera confirmé : la raison du plus fort est toujours la meilleure. Et ce « plus fort », c’est le Dieu créateur qui organise la malédiction pour ceux qu’il ne peut pas bénir.

La séparation opérée par Dieu vise à sélectionner la foi obéissante, car l’obéissance est l’expression de la confiance que l’élu donne au Dieu qui ordonne et organise sa vie. La mort du Christ a donné aux chrétiens une raison de plus de se montrer envers lui fidèles et obéissants, et en aucun cas, le droit de mépriser ses ordonnances et ses commandements.

La pensée du Seigneur m’a été révélée au matin du lundi 31 Janvier 2022. Le sujet révélé concerne encore le « mélange mortel ». Dans Genèse 1, l’ordre de la création rattachée à chaque jour suit une logique construite sur la pensée « ténèbres et lumière » qui traduisent le message « mort et vie ». On peut ainsi le relever, Dieu crée la vie végétale le troisième jour avant de créer la lumière solaire et lunaire, le quatrième jour. Cette lumière va concerner la vie animale créée le cinquième jour. Spirituellement, le statut animal est pour Dieu sans valeur, puisqu’il crée les animaux uniquement pour être dominés par l’homme qu’il va créer, cette fois, « à son image », le sixième jour. Gen.1:26 : « Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. » Je précise que Dieu dit « à notre image » parce qu’il est assisté dans sa création terrestre par ses anges qui partagent déjà avec lui « son image ». Il dit ainsi « faisons » parce qu’il les associe à son œuvre. Ce terme pluriel n’est donc pas justifié par une sainte trinité, mais simplement par une association du Dieu Esprit Amour avec ses anges fidèles bien-aimés. Relève que dans ce verset, Dieu donne à l’homme le pouvoir de « dominer » « les reptiles qui rampent sur la terre », comme « le serpent », qui va néanmoins prendre le pouvoir dominateur sur lui, quand il va se laisser « dominer » par lui en désobéissant à Dieu, sur son conseil diabolique.

Le « cinquième jour », Dieu crée la vie animale marine. Or, le chiffre « cinq » est symboliquement le nombre de l’homme. La vie créée dans « la mer » va ainsi devenir symbolique de l’homme animal qu’il deviendra, quand il aura perdu sa ressemblance avec « l’image de Dieu », après le péché, jusqu’à ce qu’il couvre sa nudité d’un vêtement de peau qui prophétise l’offre divine de la grâce de Jésus-Christ.

Le « sixième jour », Dieu crée l’homme « à son image » sur la terre asséchée sortie de la mer. Le chiffre « six » est, lui, le nombre de l’ange soit, le messager céleste ou terrestre. Ici il désigne la norme de la vie céleste qui sera obtenue finalement par les rachetés du Christ sélectionnés sur la terre. Les paroles exprimées par Dieu confirment cette idée puisqu’il dit en parlant à ses anges « faisons l’homme à notre image » ; l’homme créé « à l’image de Dieu » est donc également à l’image de l’ange céleste. Jésus a confirmé également cette norme angélique réservée pour ses élus en disant dans Mat.22:30 : « Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. » Dans sa pureté originelle, Adam était donc comme les anges de Dieu, excepté le fait qu’il ne lui était pas permis de les voir ; Dieu avait fixé pour l’homme cette limitation. A l’opposé de la mer, la terre est porteuse de la vie créée à l’image de Dieu. Et ceci prépare le rôle que ces deux mots antinomiques vont recevoir dans la prophétie de l’Apocalypse que Dieu va donner à l’apôtre Jean. Je précise : pour « la mer », la vie de l’homme animal, et pour « la terre », la vie de l’homme fait à l’image de Dieu soit, l’image que Jésus-Christ vient reconstruire chez ses élus qu’il sauve de la condamnation mortelle du péché. Ceux qu’il sauve doivent passer par le baptême dont le modèle prophétique était pratiqué par les sacrificateurs Hébreux. Avant d’entrer dans le temple, ils devaient être lavés dans la grande cuve d’eau appelée la « mer ». Dans le baptême, l’immersion du corps entier symbolise la mort de l’homme animal qui renaît en Christ, à l’image de Dieu. La « mer » reçoit ainsi clairement la signification de la mort.

En conséquence, la mer désigne la mort et la terre représente la vie. Cependant, l’homme animal vit lui aussi sur la terre qui porte ainsi elle-même la vie et la mort après le péché. Dans la prophétie, la terre maudite par Dieu va ainsi être porteuse de ces deux caractéristiques que sont la mort et la vie. En confirmation, la surface de la terre va comporter des déserts (images de la mort), et des forêts luxuriantes (images de la vie). Mais ce n’est pas le cas de la « mer » qui symbolise uniquement la vie de l’homme animal destiné uniquement à mourir. Dans Gen.2:9, « la vie et la mort » sont désignées par « deux arbres » : «YaHWéH Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. » Dans ce verset, le mot « mort » est remplacé par « la connaissance du bien et du mal » ; une expression qui convient parfaitement pour définir « la terre » ambigüe porteuse « de vie et de mort ».

Sachant que pour Dieu, connaître signifie expérimenter, cette expression caractérise particulièrement bien, la foi protestante, en partie bénie et en partie maudite par Dieu, dès son apparition. Les bénis subissaient la méchanceté comme l’agneau de Dieu, et les maudits rendaient par les armes, coup pour coup, aux ligues catholiques papales romaines qui les attaquaient. Les premiers témoignaient d’une foi « vivante », les seconds, d’une foi « morte ». Les messages « vie et mort » sont fondamentaux dans Apocalypse. Dieu nous en donne la preuve dans Apo.3:1 : « Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. » Dieu justifie ce message en imputant au protestantisme éprouvé entre 1831 et 1844, une « connaissance du bien et du mal ». Béni soit, « vivant », avant 1843, après cette date, il est frappé de malédiction par Dieu et son état spirituel est celui de la « mort ». Ce changement de statut spirituel de la foi protestante dû à l’activation du décret divin de Daniel 8:14, a pour conséquence que les symboles « mer » et « terre » partagent la signification de « la mort ». A partir de 1843, « la foi vivante » est portée par les seuls et peu nombreux élus sélectionnés par Jésus-Christ dans les deux épreuves adventistes de 1843 et 1844, et dans un premier temps uniquement aux USA. Dans les autres nations, des élus seront sélectionnés, mais uniquement après 1873, conformément aux annonces parallèles faites dans Daniel 12:12 et Apo.3:7. C’est ainsi qu’à côté des symboles « mer et terre », cette foi vivante adventiste va être représentée par « le reste de la femme » dans Apo.12:17 : « Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s'en alla faire la guerre au reste de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage de Jésus. »

Depuis 1843, « le dragon » soit, « le diable », s’irrite contre la foi vivante adventiste, qui est caractérisée par deux critères inséparables et indispensables : «ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage de Jésus ». Or, depuis 1995, l’adventisme institutionnel n’est plus le dépositaire du « témoignage de Jésus ». L’épreuve de foi de 1994 basée sur le message de la « cinquième trompette » lui a été fatale. Le dernier « témoignage de Jésus », je l’écris chaque semaine dans cet ouvrage, en apportant des explications complémentaires sur les sujets qu’il choisi d’éclairer. Et précisément, cette condamnation de l’adventisme officiel par Christ est confirmée par son alliance contre nature avec le camp de la « foi morte », qui « passe pour être vivante », précisément, depuis 1995. Nous retrouvons ainsi, le thème de cet article qui concerne le « mélange mortel ». En dernier, l’adventisme officiel a commis ce « mélange mortel » et depuis 1843, la foi morte protestante l’a, elle aussi, commise, en faisant alliance avec l’ennemie de Dieu, la foi catholique papale romaine. La confirmation de ces choses va apparaître dans Apo.13:11 à 18, dans la description de « la bête qui monte de la terre » qui reçoit la domination en présence de « la bête qui monte de la mer ». En témoignage de cette prophétie, en 2022, les USA sont devenus majoritairement catholiques ; en sorte que s’étant formés sous le symbole de « l’Agneau » Jésus-Christ, ils vont finir leur temps sur la terre en parlant dans les derniers jours comme « le dragon » diabolique catholique romain. Constitués d’un protestantisme « mort » et d’un catholicisme « mort », l’ordre de mettre à « mort » soit de « tuer » les derniers élus, action prophétisée dans Apo.13:15, apparaît comme un fruit naturel logique du faux christianisme : « Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. »

Ce dernier « mélange mortel » de l’histoire humaine est en opposition complète avec le soin et l’importance que Dieu donne aux séparations révélées dans le livre entier de la Genèse. Et depuis le commencement jusqu’à la fin, Dieu sépare ceux qui héritent de « la vie » de ceux qui héritent de « la mort », les aboutissements finals des « deux chemins » qu’il a placés devant le choix des êtres humains. L’importance de la séparation projetée par Dieu apparaît encore dans ce verset d’Héb.4:12, au sujet de sa Parole écrite : « Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. » Jésus dit aussi dans Mat.25:32 : « Toutes les nations seront assemblées devant lui. Il séparera les uns d'avec les autres, comme le berger sépare les brebis d'avec les boucs ; » « les brebis » fidèles, pour « la vie », et « les boucs » rebelles, pour « la mort ».

 

La vie donne toutes les « raisons » de croire en Dieu

 

La raison et la foi

 

Les évidences de l’existence de Dieu sont si nombreuses que je crains de n’en pouvoir citer que quelques unes. Car, pour tout homme, la vie est une sorte de miracle, depuis sa naissance jusqu’à sa mort, légitimement, il est logiquement conduit à s’interroger sur le sens que porte sa vie. C’est pourquoi, les peuples des nations païennes se sont appuyés sur des divinités dont les cultes se sont prolongés par les héritages traditionnels religieux. La tradition est bonne quand elle permet d’entretenir la vraie religion, mais elle devient mortelle, quand elle consiste à prolonger les fausses religions.

Dans l’Europe occidentale, la tradition a dominé les esprits humains sous l’aspect de la « raison » érigée  en totem religieux par Maximilien Robespierre le chef du comité du salut public qui fut formé au cours de la Révolution Française après la décapitation du roi Louis XVI. Son prénom Maximilien en fait une sorte de pape « Maximus », et son nom image l’aspect papal qui porte la « robe de Saint-Pierre ». Sous sa direction, la France a vécu une année entière de « Terreur » entre le 27 Juillet 1793 et le 27 juillet 1794. « Un an », jour pour jour, qui prophétisait la norme athée « maxi millième » d’un nouveau « millénaire » « maximus » soit, grand, très grand. La durée de vie de cet « antéchrist », mort le 28 Juillet 1794, à 35 ans, est identique à celle de Jésus-Christ. Détail significatif, sa bouche profanatrice fut ciblée par Dieu, puisque frappée au « maximilaire »,  par une balle tirée par le gendarme « Merda ». Le « tyran » est mort guillotiné en proie à d’atroces souffrances. Son sinistre ministère terrestre s’est achevé le 9 « Thermidor » du calendrier révolutionnaire en vigueur à l’époque et jusqu’en 1806. Ces ressemblances au Christ et au pape nous enseignent que son action était un châtiment organisé par Dieu, le grand Juge des humains et des anges.  Cette prophétie du nom et du prénom de ce chef du culte de la « raison » s’est accomplie puisqu’elle domine encore, cette « raison », aujourd’hui les esprits humains dans toute l’Europe et ses excroissances des USA et de l’Australie. « La raison » a été beaucoup aidée par le développement technologique qui a lui aussi, parallèlement, gagné et conquis les pensées humaines. En Jésus-Christ, Dieu avait annoncé ces ravages dus à l’avancée de la civilisation occidentale, en disant dans Matt.24:24 : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus. ». Cependant, je dois être honnête, Jésus n’a ciblé dans ce verset que des actions spirituelles dues aux faux Christs et aux faux prophètes. Et ceci pour une raison simple : pour Dieu, le progrès scientifique n’est pas une excuse valable pour justifier l’incrédulité manifestée envers lui. Car quel que soit le niveau atteint, la connaissance scientifique restera incapable de prouver que Dieu n’existe pas. Et à l’inverse, pour qui veut les obtenir de lui, les preuves de son existence sont abondantes.

Puisque les humains placent la « raison » au-dessus de la religion, cette raison devrait produire des pensées « raisonnables ». Or, ce n’est pas le cas, le « raisonnable » disparaît dès lors qu’il faut l’appliquer à la religion du vrai Dieu. Chacun peut remarquer, la somme d’efforts que les incrédules peuvent déployer pour chercher scientifiquement des explications sur d’innombrables choses. On creuse la terre, éventre des tombes, pour découvrir des témoignages du passé. On traverse les océans et les mers pour découvrir les traces d’une civilisation ou d’une espèce animale disparue. On envoie même des fusées dans l’espace, dans l’espoir de trouver des traces de vie sur la Lune, sur Mars et ailleurs si possible. Et ceux qui sont capables de tant d’efforts, pour obtenir des réponses, négligent celles que Dieu leur a préparées dans les révélations de sa sainte Bible. Ils ne comprennent pas que leur zèle devient cause d’une plus grande culpabilité envers lui. « La raison » devrait produire l’intelligence, mais peut-on qualifier d’intelligents ceux qui ne donnent pas la priorité au destin éternel de leur propre vie ? Leur raison est aussi morte que leur foi, car la mort est entrée en eux ; elle a été acceptée en tant que norme de la vie humaine et ils se sont résignés à ce principe.

Pourtant, il y aura deux mille ans en 2030, un homme est mort sur une croix et trois jours après, il est apparu vivant à ses fidèles témoins ; ceci pour leur apprendre que la mort a été vaincue par celui qui donne la vie éternelle. Jésus-Christ est venu reconstruire la pensée humaine pour lui donner le sens de l’éternité. L’avantage des élus est immense, parce que la mort a perdu son caractère irrémédiable accepté par l’incrédule. Et en plongeant notre regard dans la sainte Bible, nous apprenons comment la mort est apparue après le péché ; elle a donc une cause accidentelle et une durée perpétuelle, et donc non éternelle. Notre regard sur la vie et le sens qu’elle porte est donc changé, entièrement changé ; nous passons ainsi dans toute notre âme « de la mort à la vie ». La prise de conscience de la réalité de Dieu nous « sépare » des incrédules, car nous sommes maintenant convaincus, qu’en toutes circonstances, la mort ne frappe que là où Dieu le permet. Cette pensée chrétienne a conduit l’apôtre Paul à comparer la première mort, dite naturelle, à un sommeil. « Ceux qui dorment », dit-il dans 1 Thes.4:13, et Dan.12:2 dit des morts qu’ils « se réveilleront » pour la première ou la deuxième résurrection selon Apo.20. Nous qui croyons en Dieu, nous savons comme les incrédules que le corps physique des morts se décomposent ; ceux des élus, comme ceux des incrédules et des incroyants athées. Mais ce que la Bible et Jésus-Christ nous ont appris, c’est que Dieu est Esprit et que la vraie vie éternelle est, elle-aussi, esprit. Jésus-Christ l’a déclaré par l’apôtre Paul dans 1 Cor.15:50 : « Ce que je dis, frères, c'est que la chair et le sang ne peuvent hériter le royaume de Dieu, et que la corruption n'hérite pas l'incorruptibilité. ». Mais qu’est-ce que « la chair » ? Ce n’est que la forme provisoire de l’enveloppe dans laquelle, sur notre terre, l’esprit humain naît et se construit par les expériences de la vie. De deux bébés qui naissent sur la terre, jumeaux ou pas, l’un pourra vivre éternellement par sa foi vivante, l’autre ne le pourra pas, à cause de son incrédulité. Dans 1 Cor.15:29, Paul précise encore : « Autrement, que feraient ceux qui se font baptiser pour les morts ? Si les morts ne ressuscitent absolument pas, pourquoi se font-ils baptiser pour eux ? » Malgré l’unanimité du choix des traducteurs, je précise que la forme « pour les morts » a le sens de : « à cause des morts » ; de même que l’imperméable ou le parapluie sont faits « pour » la pluie, mais pas « à son bénéfice » soit, « à cause de » et « contre » la pluie. Dans le texte grec, le mot traduit par « pour » est « upper » et il possède la double signification de « pour » et « à cause de ». Le bon sens seul guide le choix soit, l’Esprit du Seigneur Jésus éclaire ou n’éclaire pas l’esprit du traducteur. Tant pis pour les « Mormons » qui sont tombés dans ce piège, mais l’intelligence du Seigneur veut que le baptême prend son sens « à cause de la mort » et non « pour son bénéfice ». Ce point est très important, parce que le moment du baptême marque précisément pour un élu son passage « de la mort à la vie ». En prolongement du sujet précédent, il passe de la nourriture de l’arbre de « mort » de « la connaissance du bien et du mal », au fruit du seul « bien » parfaitement pur et saint de « l’arbre de vie » Jésus-Christ. La foi en la résurrection des morts est fondamentalement une base de la vraie foi. C’est cette croyance qui détruit le spectre hideux de « la mort » et qui ne profitera qu’aux seuls élus sélectionnés par Jésus-Christ, le Dieu vivant céleste. Celui qui a soif de comprendre le vrai sens que Dieu donne aux choses trouve en lui les réponses à toutes ses questions. C’est pourquoi, il est désolant, de voir des hommes s’épuiser pour des recherches vaines et stériles qui n’ont aucun pouvoir pour leur faire gagner l’éternité. Dieu a longtemps laissé les incrédules bâtir leurs espoirs sur les progrès de la science, mais parvenu à presque 8 ans de son grand et définitif retour glorieux, il leur impose ses châtiments dont le but principal est de les appeler pour la dernière fois à la repentance. Une repentance bien justifiée puisqu’ils se sont rendus coupables envers lui d’un odieux mépris. De plus, en refusant de croire à ses déclarations, ils font du Dieu de vérité l’auteur du « mensonge » qu’il attribue au « diable » et à son camp. La repentance est donc nécessaire et reste encore individuellement possible. Individuellement, seulement, parce que, collectivement, il est déjà trop tard ; les groupes rebelles sont formés et se sont fortifiés depuis 1843 et pour l’adventisme officiel rebelle, depuis 1994. Le Dieu vivant reste vivant et actif auprès de ses seuls élus qui obtiennent en plus du pain quotidien, la nourriture spirituelle qui « émane » de sa sainte parole prophétique écrite dans sa sainte Bible. Jésus a dit à ses apôtres « Voici, je vous ai tout dit d’avance ». Je témoigne de l’authenticité de ses propos, car toutes les lumières nouvelles, que je reçois de lui, viennent éclairer ces textes écrits dans la sainte Bible. L’histoire de la foi y est intégralement écrite, constituée d’innombrables témoignages qui concernent les 6000 années de la sélection divine des élus terrestres. Les propos du Christ ne concernaient que la vie spirituelle, car sa norme évolue dans le temps, selon son programme prophétisé, mais elle reste à ses yeux le seul sujet digne de son intérêt, en dépit des « progrès » civilisationnels apparus dans le temps de la fin. En fait de « progrès », les peuples de la « raison » n’ont réussi à progresser que dans les excès dans tous les domaines et l’humanité soumise en paie déjà et va encore devoir payer chèrement le prix. Un excès d’asepsie porte paradoxalement deux conséquences contraires : la vie est prolongée, mais elle est rendue plus fragile et devient la victime des maladies où le rôle des défenses immunitaires est essentiel. De même qu’une armée tenue au repos perd sa capacité combative, l’immunité naturelle doit se confronter constamment à des agresseurs viraux et bactériens. Après être tombée dans l’esclavage technologique, l’humanité est victime de l’esclavage numérique qui régit son organisation de vie. Le bon sens est en notre Dieu vivant Jésus-Christ. Mais pourquoi Dieu devrait-il protéger ceux qui le méprisent ? Son extrême compassion ne va pas jusque là, et il reste le juge parfait « qui rend à chacun selon ce qu’est son œuvre », comme il l’a annoncé dans Apo.22:12 : « Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son œuvre. » Et parce qu’il sonde leurs cœurs et leurs reins, Jésus-Christ ne peut pas se tromper dans son jugement des êtres humains. Devant son jugement, les fausses revendications du droit à sa justice s’écroulent.

Voici donc maintenant l’énumération de certaines réalités qui prouvent l’existence du Dieu qui se rend, selon sa volonté, visible ou invisible, qui bénit ou maudit, selon la norme qu’il a fixée pour sa sélection d’élus terrestres.

Aussi importante qu’elle soit, la Bible et ses écrits ne viennent pas en premiers, car à titre de preuves l’homme exige des actions. Aussi, les faits historiques incontestables comme l’existence du peuple juif appelé Israël vient en tête de cette liste. L’existence du peuple juif est si importante que Dieu se sert de lui pour attirer l’attention des êtres humains sur sa personne divine. A cette fin, il a fait de l’Israël national déchu à cause de son rejet du Christ, un sujet de malédiction pour tous les peuples de la terre. Cette malédiction s’est construite sur le retour des Juifs sur leur sol national en 1947 après la mort de 6 millions de Juifs dans les fours crématoires des camps de l’Allemagne nazie. Ils avaient dit à Pilate au sujet du Christ appelé Jésus de Nazareth : « Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ». Dieu leur avait inspiré les paroles de cette annonce de leur continuelle future malédiction dont la « shoah », la « solution finale » décrétée par Adolf Hitler le führer nazi, fut un dernier avertissement adressé par Dieu aux peuples chrétiens ou juifs infidèles dispersés sur toute la terre. Après cette leçon, Dieu a donné à l’humanité occidentale un long temps de paix, favorable au commerce et à l’enrichissement matériel des USA, de l’Europe et ses excroissances mondiales. Ceci, dans un contexte larvé de menaces terroristes internationales, successivement, palestiniennes, puis, musulmanes dites « islamiques ». Car l’injustice subie par les Palestiniens musulmans a soulevé et réveillé la colère des peuples musulmans contre les anciens « croisés » occidentaux. C’est donc un vrai cri, voire un hurlement, que Dieu pousse à travers ces fruits de malédictions dus au peuple Juif à cause de son retour sur sa terre nationale historique. Les peuples qui prétendent s’appuyer sur la « raison » devraient comprendre le lien qui relie la malédiction subie par la terre entière, au peuple juif, auteur et responsable de sa cause. Mais dans le domaine religieux, comme dans le domaine profane, la raison fait obstacle aux preuves apportées. Des vérités circulent, mais elles ne sont jamais amplifiées. Dans nos derniers jours, il apparaît de plus en plus, que la norme de la pensée unique s’oppose à toute idée de remise en cause. Toute reconsidération d’un sujet est interprétée comme un retour en arrière inacceptable par les élites politiques, économiques, sanitaires et bien sûr, religieuses. Aussi, paradoxalement, ce comportement international des dirigeants témoignent que Dieu les prépare pour subir ses châtiments qui seront progressifs, et jusqu’à l’extermination de l’espèce humaine sur la terre, au retour du Christ Sauveur et Vengeur. Mais bien sûr, cette preuve là n’est qu’à la portée de ses élus, éclairés par son infaillible parole prophétique.

En remontant dans le temps soit, du fruit vers le tronc et la racine, nous avons le témoignage historique de presque 2000 ans de foi chrétienne. Bien que terriblement marquée par un aspect ténébreux, cette période porte le témoignage de l’œuvre et de l’existence de Jésus-Christ. Mais peu importe ce témoignage, la « raison » n’attend pas plus des preuves qu’au temps de la loi des suspects de la Révolution française. Devient suspect quiconque contredit la position prise par les dirigeants nationaux, et les masses populaires incultes et incrédules se soumettent neutralisées par la peur. Nous arrivons au stade final de l’endurcissement du cœur du Pharaon égyptien que Dieu s’apprêtait à faire mourir, parce qu’avant le roi Belschatsar chaldéen, Dieu l’avait, lui aussi, pesé et trouvé trop léger dans la balance de sa justice.

Avant Jésus-Christ, nous trouvons la sortie du pays d’Egypte et la formation, par Dieu, de l’Israël national juif. Jour après jour, les expériences vécues par ce peuple ont été rédigées par écrits ; ce qui devrait être tenu pour preuve de l’existence du Dieu libérateur par tout esprit dit « raisonnable ». Ce témoignage écrit révèle un souci d’intelligence supérieure que le peuple juif a été le premier à démontrer. La continuité observée pour la rédaction de ces écritures pendant environ 15 siècles distingue encore davantage l’expérience de ce peuple par rapport aux autres peuples terrestres. Un détail est à relever : Dieu a contraint son peuple à témoigner des châtiments qu’il lui a imposés. Aucun autre peuple ne l’a fait, car coupés de Dieu, les peuples sont livrés à l’orgueil humain qui les pousse à entretenir une image glorieuse de leur expérience. Une preuve de ce comportement a été donnée en Egypte, puisque le nom, et tout souvenir du gouvernement béni de Joseph, à titre de grand vizir, a été effacé par le pharaon hostile au peuple hébreu dans le témoignage historique culturel égyptien. Et au cours des siècles de l’ère chrétienne, les témoignages légués par les monarques ont souvent été embellis au profit du sujet impliqué. A l’opposé, la Bible rend un témoignage de vérité qui confirme la bénédiction comme la malédiction ; ce qui la rend digne de la foi des élus réellement « raisonnables ».

La beauté de la création témoigne du souci du bon goût qui est révélé par les choses visibles. Les fleurs, leur aspect et leurs parfums d’agréables odeurs témoignent encore de la délicatesse du Dieu créateur. En particulier, le printemps, image du temps de l’Eden sans péché, donne à la nature son aspect luxuriant de vies et d’activités florales, végétales et animales. Ces choses sont faites pour être appréciées par une créature adaptée pour cette appréciation. L’intelligence humaine n’est que la conséquence de celle du Dieu qui l’a créée. Et c’est à ce niveau de réflexion que l’homme animal se sépare de l’homme spirituel. L’homme animal voit les choses, mais il ne les relie pas au Dieu créateur, son niveau d’intelligence refuse cette évidence, par manque d’intelligence, ou par le libre choix d’une volonté rebelle, parce qu’il ne veut ni Dieu ni Maître, pour lui obéir, et ceci particulièrement en France, depuis mai 1968, où cette expression était reprise en slogan par la jeunesse entrée en rébellion contre l’ancien modèle de société.

La Bible témoigne encore d’innombrables choses parmi lesquelles se trouve le récit du déluge qui s’est produit sur notre terre il y a seulement 4337 années. C’est peu quand on sait que sur ces 4337 années il y a les quelques 2000 ans de l’ère chrétienne. Les trois périodes de 2000 ans ont été ainsi marquées par ces trois expériences successives : le déluge, la formation d’Israël, l’expérience chrétienne ; et chaque étape est porteuse d’une leçon divine ; les deux premières enseignent la mort et la vie. La troisième vient en Christ qui sépare par la foi en son sacrifice volontaire, les morts des vivants.

C’est clair, aujourd’hui en 2022, les preuves données n’ont plus d’effets sur les esprits humains. Les 76 années de paix vécues depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale soit, depuis 1945, ont lavé les cerveaux humains. La prise du pouvoir par la jeunesse américaine et européenne a produit une société rebelle dont le destin est d’atteindre la norme de Sodome et Gomorrhe. En Occident, la pensée religieuse est aussi rejetée que les efforts de Lot pour changer les mauvais comportements des habitants de Sodome. Au cours de ces 76 ans, de génération en génération, la tendance rebelle s’est fortifiée et amplifiée. Vivre sans Dieu ne pose plus aucun problème dans les consciences de gens qui sont nés dans ce climat dominé par l’athéisme. Leur vie est remplie, comblée d’activités multiples qui motivent leurs projets et leurs espérances. Bref, nés sans Dieu, ils n’éprouvent aucun besoin de lui. Remplis d’orgueil et de suffisance à cause de leur haute connaissance technologique et scientifique, ils méprisent l’esprit religieux qu’ils considèrent comme un « dinosaure » du temps passé. En face de ce type d’esprit, les élus ne peuvent plus rien faire ; toute démonstration de vérité devient inutile et vaine. C’est pourquoi, les élus du temps de la fin ne seront jamais une multitude que personne ne peut compter comme Dieu l’avait annoncé à Abraham, mais ils seront toujours ce « petit troupeau » cher et précieux pour le cœur du Dieu vivant fidèle.

Et à ceux qui pourraient encore croire que la raison pourrait protéger l’humanité, je rappelle que Dieu a la capacité de la soumettre à une puissance d’aveuglement ou d’égarement comme l’enseigne 2 Thess.2:10 à 12 : « et avec toutes les séductions de l'iniquité pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés. Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés ».

 

Le salut de l’homme a un prix

 

Ce sujet de réflexion va nous permettre de comprendre pourquoi le chemin qui conduit à la vie éternelle est, selon Jésus, « étroit, resserré » et peu emprunté. Pour compliquer la compréhension de son projet salvateur, Dieu l’a fait construire sur une succession de deux alliances passées entre lui et les humains. Aussi devons-nous le comprendre, sans acceptation de la nouvelle alliance en Christ, la foi religieuse juive de l’ancienne alliance est comme une symphonie inachevée. Plus tard, dans l’ère chrétienne, ce sera également le cas pour la foi protestante qui, n’acceptant pas la restauration du sabbat et de toute vérité restaurée par Dieu, est restée elle-aussi une symphonie inachevée, après le dépassement des dates du printemps 1843 et de l’automne 1844 ; ceci parce que le décret divin cité dans Daniel 8:14 est entré en vigueur avec toutes ses conséquences bonnes pour les élus et terribles pour les déchus : convenablement traduit : « Et il me dit : Jusqu’à soir matin, 2300, et sera justifiée, sainteté ». L’aspect terrible consiste dans la remise en cause des conditions de l’offre de la « justice » divine accordée au pécheur, au terme de la durée citée soit, 1843.

C’est précisément dans Daniel 10:12 que Dieu nous présente l’image de l’élu ; ceci, en faisant dire par son ange à Daniel : « Il me dit : Daniel, ne crains rien ; car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre, et de t'humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues, et c'est à cause de tes paroles que je viens. » C’est à la lecture d’un tel verset que l’être humain apprend ce que Dieu attend de lui. Dieu est bien sûr invisible, mais il n’est pas muet, ni sourd, ni aveugle. Son intention est de révéler qui il est à ses élus, et ceci, uniquement au sujet de son caractère, puisqu’il reste l’Esprit invisible. Relève ce qui enlève la raison de le « craindre » : « car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre, et de t'humilier devant ton Dieu ». Ce verset permet de comprendre pourquoi Dieu adresse aux hommes en 1843, le message du premier ange d’Apo.14:7 : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. » Paradoxalement, Dieu exhorte ses élus à le « craindre » afin que par la restauration des vérités exigées, ils n’aient, comme Daniel, plus de raison de le « craindre ». Le message annoncé par ce premier ange est adressé en 1843, au moment où, précisément, le décret de Daniel 8:14 exige des élus de reproduire l’image du comportement de Daniel. Le temps est alors placé sous le signe de la prophétie et la différence entre élus et déchus repose sur ce critère perpétuel : « car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre, et de t'humilier devant ton Dieu ». L’exigence de la restauration de la pratique du sabbat est visible dans l’annonce faite par l’ange qui dit aux chrétiens héritiers du dimanche catholique romain : « et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. » ; « celui qui a fait » soit, le Dieu créateur de Genèse 2:1-2 : « Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu'il avait faite : et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu'il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. » Et le texte du 4ème des 10 commandements de Dieu rappelle aux hommes ce devoir qu’il exige d’eux après les siècles ténébreux du christianisme romain. Nous lisons dans Exode 20:11 : « Car en six jours YaHWéH a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour : c'est pourquoi YaHWéH a béni le jour du repos et l'a sanctifié.» Ainsi, en reproduisant le comportement de Daniel que Dieu approuve et bénit, depuis 1843, tous les vrais élus se distinguent des déchus qui ne répondent pas, eux, à cette norme de caractère. Et qui sont ces déchus ? Dans Apo.14:8, dans le message du second ange, Dieu apporte la réponse en pointant du doigt « Babylone la Grande » qu’il dit être « tombée ». Ce nom désigne l’église catholique papale romaine, mais quand est-elle « tombée » ? Pas en 1843, mais au 16ème siècle, quand elle a fait le choix de combattre le message de la Réforme protestante. Et dans ce comportement d’orgueil et de mépris pour la vérité divine, elle est l’exemple de l’opposé absolu de l’humble Daniel. En retrouvant, une totale approbation de Dieu, ses élus obéissants et intelligents n’ont plus rien à craindre de sa part parce qu’il les aime et les protège. Dans ce comportement, les élus retrouvent l’image de Dieu perdue par le péché originel. La mort qui était son salaire et la crainte envers Dieu ont été payées par Dieu lui-même en Jésus-Christ : la dette est réglée, mais quelqu’un devait impérativement le faire, au nom du principe exigé par la loi divine et que Paul nous rappelle en disant dans Rom.6:23 : « Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur. » Que signifie ce « don gratuit de Dieu » ? Ceci est très important à relever, l’offre de salut est une initiative divine qui reste indépendante des réponses que les humains lui donnent. En mourant sur la croix, Jésus place devant les pécheurs humains le choix de faire alliance avec lui par le moyen du sang versé qui a réglé la dette due à la justice divine offensée. L’offre est ainsi présentée devant le pécheur, mais cette offre n’est pas sans condition, et c’est là que se justifient les paroles tenues par Jésus dans Apo.3:18 : « je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. » Le salut présenté comme « gratuit » est donc en réalité, « payant ». Mais pas avec de l’argent, le prix à payer est : le changement du comportement de l’appelé qui obtiendra, par la conformité aux exigences divines, le statut d’élu qui n’a plus à craindre Dieu, mais qui n’a plus qu’à l’aimer chaque jour davantage jusqu’à son dernier souffle, ou son enlèvement, vivant, pour le ciel, au temps du retour du Christ soit, au printemps 2030. Jésus précise ensuite dans Apo.3:19 : «Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. » Ce zèle et son fruit de repentance consistent à reproduire l’image de Daniel 10:12 : « Daniel, ne crains rien ; car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre, et de t'humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues, et c'est à cause de tes paroles que je viens.  »

En disant : « Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime », Jésus confirme son alliance passée avec la foi adventiste depuis 1843 et 1873 où le temps « Philadelphie » la concerne spécifiquement. Mais c’est bien parce que cette institution officielle est sienne qu’il juge son comportement devenu avec le temps froid et formaliste, en « Laodicée », une religion qui se transmet par l’esprit de la tradition comme ce fut le cas de l’ancienne alliance juive et du protestantisme entre le 16ème siècle et 1843.

Le prix du salut est un sujet à ce point important, qu’il met à l’épreuve de l’authenticité, toutes les fausses religions. Et sans sa bonne interprétation, toutes sont à l’image de la symphonie inachevée soit, à l’image des contes mensongers que les parents enseignent à leurs enfants. Les fausses religions promettent toutes à leurs adeptes, le « paradis » soit, l’«Eden », de Dieu. Et ces adeptes seront terriblement déçus parce qu’ils n’ont pas compris que l’accès au « paradis » à un prix qu’aucun être humain n’aurait pu payer parce que le péché est hérité par tous dans toute l’histoire terrestre humaine. Que peut présenter un juif de l’ancienne alliance à Dieu pour obtenir le « paradis » depuis que Jésus est mort en donnant sa vie en sacrifice expiatoire ? Sans le sang du Christ, il ne peut que présenter des sacrifices d’animaux, au sujet desquels Hébreux 10:4 précise : « car il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés. » ; donc pas d’accès au « paradis » sans le sang humain du divin Christ. A son tour, pendant 16 siècles, la foi catholique a déformé le sens du prix du salut. Au 16ème siècle, elle a vendu le « paradis » à prix d’argent ; ce qui a permis au moine enseignant Martin Luther de découvrir sa nature diabolique. Elle a même fait disparaître l’offre gratuite de Dieu en ordonnant à ses adeptes de se punir eux-mêmes par des châtiments corporels aussi injustifiés qu’inutiles, flagellations du corps, marches sur les genoux … etc. L’offre de la grâce fut ainsi supprimée. Puis vint le cas de la foi protestante qui restaura le principe de la grâce et celui de la seule autorité de la Bible, la sainte parole de Dieu. Cependant, dans la pratique, cette foi réformée ne l’était qu’à moitié, d’où sa ressemblance à la symphonie inachevée. Car, tout en condamnant les mensonges catholiques, les protestants honoraient encore le faux jour du repos instauré par l’empereur romain Constantin 1er depuis le 7 Mars 321. En exigeant la restauration du vrai sabbat dans le vrai septième jour qui est le samedi, la porte du « paradis » se ferme devant les protestants qui n’obéissent pas à cette exigence divine décrétée par lui dans Daniel 8:14. Enfin vient le tour de l’adventisme officiel auquel Jésus rappelle le prix du salut. Vu le prix énorme qu’il a personnellement payé pour offrir l’entrée dans son « paradis », Il est en droit d’exiger des adventistes qui veulent bénéficier de son offre, le prix payé par tous ses vrais élus dans tous les temps ; ce prix étant le comportement trouvé dans Daniel : « car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre, et de t'humilier devant ton Dieu  ». C’était tout le sens que Dieu a voulu donner à l’épreuve de foi de 1994 ; une épreuve de foi basée sur la démonstration de l’intérêt pour la parole prophétique qui annonçait aux adventistes le retour du Christ pour 1994 ; ceci selon l’interprétation inspirée que Jésus-Christ m’a donnée afin d’organiser cette épreuve. La foi démontrée ayant été non conforme aux témoignages de ses pères fondateurs éprouvés et sélectionnés en 1843 et 1844 par les fausses annonces lancées par William Miller, la foi adventiste officielle et institutionnelle voit la porte du « paradis » se fermer devant elle et ses membres, dont la foi est une symphonie inachevée révélée par le désintérêt et l’incrédulité ; un comportement indigne du salut. Enfin vient le tour de l’islam qui prétend elle-aussi, au « paradis » de Dieu. Là encore, le prix du salut donné par Dieu n’étant pas reconnu, la porte du « paradis » restera close et inaccessible. Avec l’islam, Dieu n’est plus qu’un roi de l’univers despote, arbitraire et tyrannique. Le sens donné au péché est imprécis puisque la loi divine biblique est remplacée, par la foi au Coran qui ne présente pas les dix commandements de Dieu, et concerne exclusivement, la foi en son chef de guerre, Mahomet. Mais déjà, la foi de l’islam ne représente un danger que pour les chrétiens incrédules qui lui donne une valeur auprès de Dieu. Parce que la religion de l’islam ne repose pas sur la mort volontaire du Messie Jésus, les vrais élus savent que l’accès au salut est impossible pour les musulmans. Avec l’islam se referme les divers aspects des religions qui se réclament du Dieu unique qui s’est cependant révélé uniquement par le peuple Juif.

Le prix du salut repose sur l’apparition du Messie qui reçoit pour nom : « Jésus », nom qui signifie : YaHWéH sauve. Ce nom donne tout son sens à la nouvelle alliance que Dieu va instaurer sur le sang du Christ crucifié. En effet jusqu’à son apparition, les Hébreux ne connaissaient Dieu que sous son nom YaHWéH par lequel il affirme son existence éternelle. Mais sans Jésus-Christ, dont le nom est porteur de l’annonce du salut, la relation avec Dieu était incomplète et uniquement provisoire. C’est donc, en reconnaissant le Messie Jésus-Christ que la foi juive provisoire peut se prolonger et obtenir l’approbation et les bénédictions rattachées à la foi au Messie annoncé par Dieu, dans Dan.9:24 à 27.

En résumé, les juifs, les catholiques, les orthodoxes, les anglicans, les protestants, les adventistes, et les musulmans se perdent tous parce qu’ils se trompent sur le sujet du « prix du salut », tant sur celui que Dieu a payé en Christ que sur celui que l’élu doit payer pour obtenir sa grâce. C’est ce comportement qu’ils partagent qui leur donnent à tous cette image d’une « symphonie inachevée ». Et ce reproche du non achèvement de la norme de la vérité est confirmé dans Apocalypse 6:13 par le symbole des « figues vertes » de ce verset : « et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu'un figuier secoué par un vent violent jette ses figues vertes » ; « vertes » soit, avant d’atteindre la maturité de son mûrissement. Et se tromper sur le prix du salut est très grave, parce que cela enlève au Dieu créateur, le bénéfice d’une puissante démonstration d’amour qu’il adresse à toutes ses créatures qui vivent dans le ciel et sur la terre ; les anges célestes comme les êtres humains terrestres. Sans conséquence pour les êtres célestes dont le partage et le jugement ont été réalisés par Jésus après sa résurrection, la perte de la démonstration d’amour de Dieu se traduit sur la terre par le prolongement de l’incrédulité qui conduit les humains mal enseignés à la mort éternelle soit, définitive. Or, le terme alliance implique la mention de clauses et de devoirs réciproques des contractants. Comme dans l’acte du mariage, des engagements de fidélités réciproques sont pris par les époux, dans l’alliance conclue avec Dieu en Christ, les engagements doivent être tenus et honorés fidèlement. Et là encore, en cas de transgression des clauses, le divorce sépare pour toujours les conjoints désunis. Et Dieu fait de même avec les humains qui se réclament de son salut et ne tiennent pas compte de ses clauses spécifiées par lui en Jésus-Christ.

 

 

Les leçons divines romaines

 

Dans toute sa révélation prophétique, Dieu a donné à Rome un rôle de premier plan. La raison de cette omniprésence de Rome repose sur le rôle qu’elle va tenir dans son projet pour réduire et écraser la puissance du peuple juif dans l’époque du ministère terrestre de Jésus-Christ. En effet, sans l’occupation romaine de Jérusalem et de toute la Judée, le ministère de Jésus n’aurait pas pu s’accomplir en toute liberté. Pendant les trois ans et six mois de son activité publique, le clergé juif fut muselé et empêché de lui nuire. Mais quand l’heure d’accomplir la dernière « Pâque » et le dernier « jour des expiations » fut venu, le protecteur romain devint le bourreau exécuteur du châtiment du péché jugé et condamné par Dieu. Dans cet autre rôle, Rome ne fit que ce que Dieu lui donna à faire.

Dans Apo.17:10, l’ange dit à Jean au sujet des « sept têtes de la bête » : «Ce sont aussi sept rois : cinq sont tombés, un existe, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps. » Ces « sept rois » représentent sept types de gouvernances successives expérimentées par Rome au cours de son histoire. Je rappelle que selon Esa.9:14 : « la tête c’est le magistrat ou l’ancien et la queue c’est le prophète qui enseigne le mensonge ». Dans le cas de la Rome païenne, « la tête et la queue » étaient représentées par une seule et même personne qui dirigeait le peuple. Les sept gouvernances romaines furent successivement, la monarchie, la république, le consulat, la dictature, le triumvirat, l’empire, la tétrarchie (quatre têtes dirigeantes impériales associées). Ayant expérimenté ces divers types de gouvernances, le modèle romain a déjà prouvé que le problème des peuples ne repose pas sur la forme de leur gouvernance mais uniquement sur leur séparation d’avec le Dieu créateur suprême. Car aucun des modèles expérimentés n’a produit le résultat recherché par le peuple de Rome. C’est normal puisque ce qui fait problème, c’est l’homme quand il est séparé de Dieu. Aucun des types de régimes adoptés n’a réussi à éviter des affrontements sanglants entre des partisans opposés. Et lorsque Dieu a voulu mettre à l’épreuve la foi chrétienne naissante, c’est encore à Rome et à son plus cruel et dément impérial représentant, Néron, qu’il a fait appel. Le regard sur ce passé de Rome prophétise le destin historique du peuple français. Quand lassé par les exactions cruelles et injustes des monarques et du clergé catholique romain le peuple de France est entré en Révolution, il a cru s’être définitivement débarrassé d’un monstre sanguinaire. Mais, dès 1793, un contexte bouillonnant et le risque de voir se relever la monarchie a conduit les révolutionnaires à se livrer à un génocide de la classe des aristocrates. Le monstre sanglant n’était plus la monarchie et son catholicisme romain mais l’action révolutionnaire elle-même. De toute son histoire, le fleuve parisien appelé, la Seine, n’a reçu autant de sang humain. Paris offrit alors une « scène » de tuerie systématique aux spectateurs de la terre et du ciel.

Le témoignage des historiens est très utile, mais ne pouvant pas juger les faits sous le prisme spirituel, leurs explications n’ont que peu d’importance. Pour arriver à ses fins, Dieu manipule les hommes du plus petit jusqu’au plus grand et ces petits ruisseaux finissent par former de grandes rivières, puis de grands fleuves, qui finissent leur chemin en se jetant dans la mer. Avant de s’installer durablement, la république a connu des rechutes et de brefs retours vers la monarchie et l’empire, tous pareillement marqués par le versement du sang humain. Et en regardant l’histoire de la France, nous retrouvons bien après 1789 la succession des régimes expérimentés par Rome, la première république a succédé à la monarchie. Puis un dictateur nommé Maximilien Robespierre, évoqué il y a peu dans un article, a pris le pouvoir pour ensanglanter la France pendant un an, jour pour jour. Robespierre guillotiné, le directoire républicain a confié le pouvoir à un jeune consul corse, Napoléon Bonaparte. Contre son peuple corse livré à la France depuis peu de temps, il a pris le parti de la France et a gagné aux combats ses galons d’officier artilleur. Il fit ainsi préemption de la « bonne part » sur laquelle il allait bientôt régner en Empereur, en maître absolu. Ainsi seuls le triumvirat et la tétrarchie sont restés des exclusivités romaines. Mais là n’est pas l’essentiel qui concerne, pour Rome comme pour la France, la recherche de la gouvernance idéale ; ce qui n’aboutit jamais au résultat recherché.

Si dans l’ère chrétienne, les expériences des gouvernances françaises ont tenu un rôle de premier plan dans ses relations avec la Rome papale, pour autant, la France n’a rien expérimenté de plus que Rome, si ce n’est que son passage en république fut marquée par un rejet systématique de toute sorte de religion. Rome ne l’avait pas fait, et sa république n’empêchait pas les cultes idolâtres aux formes multiples que le peuple romain pratiquait. En France, l’esprit de l’athéisme est une réelle nouveauté. Mais relève bien que cet athéisme national n’apparaît qu’après que la foi apostolique modèle de perfection, puis la fausse foi catholique et la vraie et la fausse foi protestante ont rendu, l’une après l’autre, leur témoignage historique. Après le témoignage de la France athée le cycle se referme. Les leçons ayant toutes été données, Dieu a offert à l’humanité un long temps de paix religieuse dont nous bénéficions encore aujourd’hui. Ce long temps de paix était aussi nécessaire que celui des trois ans et six mois du ministère de Jésus-Christ. Il devait favoriser la construction du message adventiste du septième jour et sa proclamation sur toute la terre. Ainsi dans la paix religieuse, l’adventisme s’est répandu dans tous les pays où cela était possible, même s’il y est représenté par très peu de personnes. A son tour, en 1994, l’adventisme officiel a été vomi par Jésus-Christ mais, radié par l’organisme, j’ai reçu ensuite les lumières adventistes données par Jésus-Christ et dans la paix religieuse qui se prolongeait, j’ai composé des chants, rédigé des écrits et des explications et je continue de le faire dans cet article. Cependant je sais que, maintenant, au cours des 8 années qui nous séparent du retour de Jésus-Christ, la paix va cesser et une ruine va s’abattre sur la terre et emporter dans la mort des multitudes de gens non éclairés, parce que Dieu n’aura pas trouvé l’amour de sa vérité en eux. Leur indifférence envers sa vérité les aura même conduits à favoriser l’installation de l’islam, la religion qui concurrence la foi exclusive chrétienne, dans leur pays. C’est pourquoi, Dieu va les livrer aux atrocités perpétrées par les musulmans fanatiques. Et comme ce châtiment ne suffira pas, il en appellera à la puissante Russie orthodoxe, à ses chars, ses navires, ses sous-marins, ses avions supersoniques, ses missiles hypersoniques à têtes nucléaires (dernière nouveauté) conformément à sa prophétie présentée dans Daniel 11:40 à 45. Le monde va découvrir ce que « colère de Dieu » veut dire. La mort du « tiers des hommes » de ce conflit, selon Apo.9:15, ne sera que le dernier avertissement avant l’extermination finale que Jésus-Christ mettra en œuvre lors de son retour glorieux ; ceci, après avoir soumis les derniers rebelles aux tourments de ses « sept derniers fléaux » décrits dans Apo.16.

Dans Apo.17, l’Esprit dit au sujet des « sept rois »  de Rome : « Ce sont aussi sept rois : cinq sont tombés, un existe, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps. » « Cinq sont tombés » : la monarchie, la république, le consulat, la dictature, et le triumvirat (Crassus, Pompée, César) ; « un existe » : l’empire, depuis l’empereur Octave dit Auguste. C’est sous son règne que Jésus est né, selon Luc 2:1 : « En ce temps-là parut un édit de César Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre. » Le septième roi désigne la tétrarchie formée par l’association de Quatre empereurs et plus précisément de deux empereurs principaux nommés Dioclétien et Maxence auxquels sont joints deux autres empereurs nommés Constance Chlore et Galère. Dieu dit de ce gouvernement à 4 qu’il doit « rester peu de temps ». Il se trouve que la longueur de ce temps est révélée dans Apo.2:10 et sa durée est de « dix jours » prophétiques soit, dix années réelles. Elles méritent d’être soulignées par l’Esprit ces « dix années », car ce furent les dernières atroces persécutions que la Rome impériale païenne fit subir aux chrétiens de l’empire. Mais la paix religieuse allait constituer une malédiction aux conséquences perpétuelles jusqu’au retour en gloire de Jésus-Christ, car obtenue en 313, dès 321, cette paix permit à Constantin 1er de faire abandonner par les faux chrétiens, devenus nombreux dans l’empire, la pratique du vrai sabbat sanctifié par Dieu. En entrant dans la paix, la foi chrétienne tomba donc dans la malédiction divine et justifia ainsi les châtiments successifs des « sept trompettes » décrites dans Apo.8, 9, et 11:15. En notre époque actuelle, nous avons vu, l’état d’esprit de la société occidentale se transformer en quelques années de paix, du tout au tout : elle condamne ce qu’elle justifiait et justifie ce qu’elle condamnait. La faute de Constantin va donc devoir être châtiée par Dieu, cette fois, en premier, par la « 6ème trompette »,  puis après la fin du temps de grâce, par les « sept derniers fléaux » et la « septième trompette » qui exterminera l’humanité rebelle coupable au printemps 2030.

La prophétie précise au sujet de « la bête » dans Apo.17:11 : « Et la bête qui était, et qui n'est plus, est elle-même un huitième roi, et elle est du nombre des sept, et elle va à la perdition. »  Ici encore pour bien comprendre ce mystère concernant « la bête qui monte de la mer » au début du chapitre 13, Dieu prend pour référence la norme religieuse de la Rome païenne définie par ses « sept rois » soit, sept gouvernances. Le huitième régime expérimenté par Rome est sa gouvernance papale ; une gouvernance qui est placée sous l’autorité suprême du pape romain nommé « Souverain Pontife » soit, en latin, « Pontifex Maximus ». Et ce titre a toujours existé tout au long de l’histoire de la Rome païenne depuis la monarchie jusqu’à la tétrarchie. L’entité religieuse de « la bête » est ainsi trouvée dans l’histoire païenne de Rome, mais la papauté ne constitue pas à elle seule « la bête ». Car « la bête » est produite par la coalition du pouvoir religieux et celui du peuple de l’empire qui la soutient et la protège par ses chefs royaux et leurs armées. Or, depuis Daniel 7:7, Dieu nous a illustré « la bête » et révélé sa double composition : son identité romaine dans Dan.8:9, où la Rome païenne est désignée par le symbole de la « petite corne » et le peuple du soutien imagé par les « dix cornes » que la Rome païenne a dominées jusqu’à la seconde apparition de la « petite corne », cette fois papale romaine en 538, dans Dan.7:8. En suivant les données citées dans Dan.7:24, les « dix cornes » qui soutiennent le régime papal du huitième roi étaient déjà présentes dans le quatrième animal qui désigne l’empire romain dans Dan.7:7. C’est donc en faisant référence aux images et aux données citées dans Daniel 7 que Dieu établit son énigme d’Apo.17:11. Nous trouvons là une merveilleuse démonstration divine du rôle complémentaire que Dieu donne aux prophéties de Daniel et Apocalypse.

Dans Apo.17:11, l’énigme proposée, « la bête était et elle n’est plus », s’analyse dans le contexte défini dans Apo.17:3 : « Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. » Ce contexte est celui d’une épreuve de foi symbolisée par le mot « désert ». Ce contexte historique est celui du temps de la fin en lequel « la bête » a perdu sa domination puisqu’on remarque l’absence des diadèmes ou couronnes sur les « sept têtes » romaines et les « dix cornes » des peuples occidentaux. Le contexte historique la présente dans l’attente de sa dernière punition qui sous le nom symbolique de la « vendange » d’Apo.14:18 à 20, va frapper les responsables religieux qui ont trompé les humains par leurs faux enseignements. La clé de cette interprétation est donnée dans Apo.18:6 où Dieu dit aux victimes des séducteurs diaboliques : « Payez-la comme elle a payé, et rendez-lui au double selon ses œuvres. Dans la coupe où elle a versé, versez-lui au double. » Cette ultime punition s’accomplit après la venue glorieuse de Jésus-Christ. C’est son retour qui permet aux victimes des faux enseignements de découvrir la véritable nature spirituelle de leurs enseignants religieux, aussi leur juste colère se retourne contre les coupables comme Apo.16:19 le prophétise: « Et la grande ville fut divisée en trois parties, et les villes des nations tombèrent, et Dieu, se souvint de Babylone la grande, pour lui donner la coupe du vin de son ardente colère ».

Dans la coalition qui constitue « la bête », l’élément peuple porte une grande culpabilité envers Dieu. Et à ce titre, il faut retenir le soutien permanent du peuple de Paris à la foi catholique, son refus du roi protestant Henri IV contraint et forcé pour accéder au trône de France de se convertir à la foi catholique romaine du peuple parisien. Ajoutons aussi, son aide apportée aux ligues catholiques du Duc de Guise pour massacrer les protestants le jour de la sinistre Saint-Barthélemy, en 1572. C’est pourquoi, les familles nobles et riches, liées à la monarchie de l’heure seront victimes de la guillotine des révolutionnaires parisiens. Pour accomplir cette tâche prophétisée dans Apo.2:22-23, Dieu a retourné le petit peuple parisien contre la classe des aristocrates, catholiques, comme leur roi Louis XVI et son épouse qui sont morts selon Dieu uniquement parce qu’ils ont hérité de cette religion catholique qu’il compare à une « prostituée » dans ce verset et dans Apo.17 : « Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu'ils ne se repentent de ses œuvres. Je ferai mourir de mort ses enfants ; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres.» Dans l’original grec, il s’agit bien de « ses œuvres », et non de « leurs œuvres ». A la lumière de ces versets, le génocide réalisé par la guillotine des révolutionnaires a accompli une volonté divine puisque Dieu dit : « Je ferai mourir de mort ses enfants ». L’expression, « mourir de mort » écarte toute interprétation symbolique du mot « mort » dans l’action punitive évoquée. Et c’est par elle que Dieu « blesse mortellement » « la bête » dont « la blessure mortelle » devait être « guérie » selon Apo.13:3 : « Et je vis l'une de ses têtes comme blessée à mort ; mais sa blessure mortelle fut guérie. Et toute la terre était dans l'admiration derrière la bête. » Dans ce verset, par l’attitude attribuée à « la terre », Dieu prophétise le soutien admiratif que la foi protestante déchue et infidèle va apporter à la foi catholique romaine, après son abandon par Dieu, après 1843.

Pour Dieu et ses élus, dans l’ère chrétienne, la France a remplacé le peuple romain païen, et son alliance et son soutien apportés à la cause du catholicisme papal ont permis à la « bête » de prendre forme et de dominer avec « arrogance » les peuples de la terre, souvent convertis à la foi catholique par la force et la menace de mort. Trois illustres personnages célèbres ont pratiqué ces crimes en leur règne : Charlemagne, Philippe le Bel et François 1er. Le premier convertit la Germanie par l’épée et le second brûla sur ses bûchers, les Templiers et leur chef Jacques de Molay. Quant au troisième, François 1er, il ouvrit les hostilités contre la foi réformée, les premiers protestants. Depuis son premier roi, Clovis, elle a permis la reproduction du modèle expérimenté par la Rome païenne. Aussi Dieu peut-il dire que « la bête est du nombre des sept rois », tout en étant apparue en forme chrétienne, après les « sept » gouvernances romaines.

Le verset d’Apo.17:7  permet de mieux comprendre ce qu’est la « bête » : « Et l'ange me dit : Pourquoi t'étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes. » L’Esprit sépare « la femme » qui désigne Rome en tant que ville. Ce sera confirmé dans le verset 18 : «Et la femme que tu as vue, c'est la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre. » Dans le passé, il avait déjà comparé Jérusalem à une prostituée en raison de son infidélité envers lui. Exemple, dans Esaïe 1:21 : « Quoi donc ! La cité fidèle est devenue une prostituée ! Elle était remplie d'équité, la justice y habitait, Et maintenant il y a des assassins ! ». La ville de Rome est portée vers la domination occidentale par le soutien de « la bête » qui est elle-même formée d’une association de la monarchie, et ses dix royaumes symbolisés par les « dix cornes », avec la religion catholique romaine qui est, elle, imagée par les « sept têtes ». Depuis peu de temps, m’appuyant sur le sens que Dieu lui donne dans Gen.2:2, je donne au chiffre « sept » la signification de la « sanctification », aussi l’expression « sept têtes » signifie : sainte magistrature, puisque le mot « tête » symbolise « le magistrat ou l’ancien » dans Esa.9:14. Et sous ce vocable, l’erreur d’interprétation n’est plus possible, elle désigne clairement la « sainte magistrature » prétendue du régime papal qui a toujours siégé à Rome si ce n’est momentanément en France en Avignon ; dans un premier temps à Rome, au palais du Latran, puis dans la cité du Vatican, dans la basilique de Saint-Pierre de Rome. L’identification papale repose sur l’identification du lieu géographique où elle siège soit, Rome en Italie. Aussi, Dieu attire t-il notre attention sur des symboles qui permettent l’identification de cette ville ; le détail  donné dans le verset 9 est décisif : « C'est ici l'intelligence qui a de la sagesse. Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. » Il ne s’agit pas de sept hautes montagnes mais de sept petits monts sur lesquels la ville de Rome fut construite. Ils ont reçu des noms : le Capitole, le Palatin, le Caelius, l’Aventin, le Viminal, l’Esquilin, et le Quirinal. Derrière ces noms se cache la prophétie de toute la prétention romaine païenne puis papale.

Le Capitole : vient du latin « caput » qui signifie « tête ».

Le Palatin : signifie : le palais, la voûte.

Le Caelius : signifie : le ciel. Là, s’élève le palais du Latran où les papes siégèrent avant le Vatican. A côté du palais s’élève le plus grand obélisque égyptien en réponse au désir de Constantin 1er le Grand. L’adoration du dieu « Soleil invaincu » est ainsi confirmée et solidement rattachée au culte papal.

L’Aventin : signifie : Salutation ; du latin « avé ». Rome adressera ces « avé » à Marie, la nouvelle Astarté de l’ère chrétienne.

Le Viminal : signifie : qui produit du vin …de débauche ou d’impudicité, selon Apo.17:2 : « C'est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à l'impudicité, et c'est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés. »; mais aussi, 2:20-21 : « Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu'ils se livrent à l'impudicité et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. Je lui ai donné du temps, afin qu'elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. » C’est dans ce comportement de refus de repentance que « Babylone la Grande est tombée » selon Apo.14:8 et 18:2, entre 1170 et le 16ème siècle, soit depuis le témoignage de Pierre Valdo (ou Pierre Vaudés) jusqu’à celui de Martin Luther, le moine enseignant catholique, fondateur officiel de la Réforme protestante.

L’Esquilin : signifie : qui est servi sur des tables. Un signe de richesse et d’opulence, mais aussi une allusion à la table du Seigneur que la papauté prétend servir.

Le Quirinal : c’est le nom d’une pique ou une lance. C’est l’arme qui équipe les gardes suisses du Vatican. Jusqu’à la perte du soutien monarchique et du peuple français, le régime papal va s’imposer par les piques et les lances, tuant sans problème de conscience les vrais serviteurs du Dieu vivant. Tout comme, en son temps, Jérusalem tua les prophètes que Dieu lui envoyait. En dernier, en Christ, Dieu fut traité de la même manière.

Au sommet de ces « sept collines » le paganisme romain éleva ses temples qui déjà souillèrent la ville de Rome. Mais c’est sous son règne papal que ces noms deviennent pour Dieu des « blasphèmes » mensongers, comme il le dit dans Apo.17:3 et 13:1-5-6.

Contrairement à l’opinion des hommes trompés par son apparente conversion à la religion chrétienne, pour Dieu, Rome est restée dans son même statut spirituel païen. C’est le message qui ressort depuis Daniel où le même symbole « petite corne » désigne la Rome païenne républicaine conquérante dans Daniel 8:9, et la Rome papale, dans Daniel 7:8. Les deux statuts sont identifiés selon que la « petite corne » agit dans un contexte situé avant ou après que les « dix cornes » de l’empire romain soient entrées en possession de leur royaume soit, à partir de 395, dans notre ère, date du début de la chute de l’empire romain qui est aussi le début de la formation de « dix royaumes » indépendants dans l’Europe occidentale. Ce repère est si important qu’il apparaît dans Daniel 7:24 et Apo.17:12 : « Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête. » J’apporte sur ce verset des précisions importantes. Dieu s’adresse à Jean et c’est seulement dans son époque que les « dix cornes » n’avaient pas encore reçu leur royaume. Ensuite, la seconde partie du verset cible le temps de la fin du monde fixé dans Apo.17:3 , selon Apo.16:13 à 17, dans le contexte du 6ème des « 7 derniers fléaux de Dieu », les peuples occidentaux engagent leur funeste destin en se soumettant, pour la dernière fois, au signe de l’autorité papale, le dimanche rendu obligatoire, jusqu’au décret de mort final, qui ciblera les élus restés fidèles au sabbat sanctifié par Dieu, depuis le septième jour de sa création de la terre et de toute sa dimension terrestre et céleste. Mais Apo.13:11 place toute cette action persécutrice finale sous l’autorité du protestantisme américain déchu mais réconcilié et lié par une alliance avec la foi catholique romaine. La supercherie est maintenant clairement démontrée et ne resteront prisonnières de cette séduction apparente trompeuse que les âmes humaines qui méprisent la vérité divine contenue dans ses révélations prophétiques.

Cette situation finale replacera les survivants de la Troisième Guerre Mondiale dans la situation où Eve puis Adam se sont trouvés face aux propos séducteurs tenus par le serpent habité, inspiré, et utilisé comme médium, par le diable. Comme dans la Genèse dans l’Eden de Dieu, le choix des « deux arbres », « l’arbre de la vie », image de l’obéissance en Christ, et « l’arbre de la connaissance du bien et du mal », image de la désobéissance rebelle du diable, portera des conséquences éternelles et définitives de vie ou de mort.

Dans l’ultime combat spirituel terrestre appelé dans Apo.16:16, « Harmaguédon », mot hébreu qui signifie : montagne précieuse, l’obéissance au sabbat représentera « l’arbre de vie » et l’obéissance au dimanche souillé dès son origine, parce que dédié au dieu solaire païen, représentera « l’arbre de la connaissance du bien et du mal » dont le fruit conduit à la mort éternelle.

Ainsi jusqu’au retour du Christ qui rendra claire la situation religieuse des êtres humains, la malédiction, apportée par la religion catholique, va porter ses fruits mortels sur toute l’humanité chrétienne rebelle. Elle ne les quittera pas, jusqu’à leur destruction par le souffle du Dieu créateur appelé de plusieurs noms mais, principalement, celui de « Jésus-Christ » qui révèle son aspect de Sauveur exclusif des pécheurs repentants et contrits. Il est aussi devenu, depuis sa victoire contre le diable et le péché, le détenteur unique du jugement universel des êtres humains et des anges célestes. Gloire à son nom ! En vérité !

S’ils avaient été sages et inspirés par Dieu, les dirigeants des peuples terrestres auraient pu tirer profit du témoignage des expériences vécues par la ville de Rome. Ils ne se seraient pas alors lancés dans cette folle aventure du rassemblement de l’Europe unie condamné à terme, à l’échec. Car, ils auraient appris comment Rome a perdu son unité après avoir été envahie par des populations qu’elle avait conquises. Le mélange ethnique est une bombe explosive dont l’explosion est retardée, mais en aucun cas, évitée ; le Tout-Puissant Dieu Jésus-Christ y veille et il se charge lui-même de déclencher l’explosion au temps qu’il choisit pour le faire.

J’attire ton attention maintenant sur le nom « Babylone la Grande » par lequel, l’Esprit désigne la ville de Rome parce qu’il ne peut pas mentionner son nom clairement. Selon Apo.17:5, ce nom cache « un mystère » : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. » Nous pouvons déjà relever le fait que ce nom est écrit « sur son front » qui désigne le centre de sa volonté et donc le signe de sa personnalité. En comparaison, dans Apo.14:1, dans le camp du Christ ses élus portent « sur leurs fronts le nom de Jésus et le nom de son Père » : « Je regardai, et voici, l'agneau se tenait sur la montagne de Sion, et avec lui cent quarante-quatre mille personnes, qui avaient son nom et le nom de son Père écrits sur leurs fronts. » Le nom de Jésus est rattaché à celui de son Père parce que la restauration des vérités divines entreprise depuis 1843 fait des élus adventistes du septième jour les seuls chrétiens qui répondent réellement au critère défini dans Apo.14:12 : « C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus. » Sans le respect de la pratique du sabbat exigée depuis 1843, cette définition ne peut pas s’appliquer. Ainsi les œuvres produites par la foi sanctifient concrètement les vrais derniers élus de Jésus-Christ jusqu’à son retour final divinement glorifié.

En quoi le nom « Babylone la Grande » est-il mystérieux ? La raison est simple à comprendre : parce que la ville qui portait ce nom dans la Chaldée du roi Nébucadnetsar n’existe plus, car à l’époque où Jean reçoit de Dieu sa vision, elle a déjà été entièrement détruite et sur la place où elle était il ne restait que des ruines, des monceaux de briques. Ceci signifie que le nom « Babylone la Grande » est attribué par Dieu à Rome pour une cause symbolique. Déjà, depuis Rome, Pierre avait établi une comparaison entre la grande ville romaine et la « Babylone » de l’antiquité comme le prouve ce verset cité dans 1 Pierre 5:13 : « L'Église des élus qui est à Babylone vous salue, ainsi que Marc, mon fils »

La deuxième question qui s’impose est donc : pourquoi ce nom est-il attribué à Rome ? La réponse est encore très simple : parce que la Rome impériale reproduit en puissance celle de la ville du roi Nébucadnetsar. A l’époque de Jean, Rome attirait vers elle d’innombrables familles qui venaient chercher dans cette capitale la prospérité pour avoir une part puisée dans son énorme richesse. De nos jours actuels, pareillement, les grandes capitales attirent des populations pour les mêmes raisons. On peut donc le dire, en notre époque, les « Babylone » se multiplient. Mais à l’époque de Jean, Rome, seule, domine avec orgueil tout son empire romain qui couvre l’Europe actuelle entière sauf l’Allemagne, ainsi que l’Asie occidentale et toute l’Afrique du nord. Le nom « Babylone » fut choisi par le roi Nébucadnetsar avant sa conversion et sa reconnaissance de la gloire du Dieu de Daniel. C’est précisément parce qu’il exprima en paroles publiques son orgueil dominateur et créateur de cette incroyablement belle cité, qu’il fut abêti par Dieu pendant « sept ans » selon Dan.4 ; détail important à relever, Dieu prophétisa au roi son futur châtiment par une vision donnée un an avant que sa bouche exprime son orgueil. Le nom « Babylone » est donc tout spécialement rattaché à ce verset de Dan.4:30 : « le roi prit la parole et dit : N'est-ce pas ici Babylone la grande, que j'ai bâtie, comme résidence royale, par la puissance de ma force et pour la gloire de ma magnificence ? » Les empereurs romains furent tous soucieux eux-aussi d’embellir leur capitale «, leur résidence royale,  par la puissance de leur force et pour la gloire de leur magnificence ». Et le choix du nom fait par Nébucadnetsar fut justifié par le nom de la ville appelée « Babel » en laquelle, dans ce même lieu, le roi Nimrod éleva une haute « tour » en son temps, après le déluge d’eaux dévastateur. En type prophétique de nos capitales, « Babel » a eu pour caractère spécifique d’avoir été le premier lieu de rassemblement de l’humanité postdiluvienne. Et le nom « Babel », qui signifie confusion, porte en lui-même l’annonce de l’échec de ces rassemblements unitaires de l’humanité. Dieu veille à ce que le résultat final soit la confusion, que ce soit par la création des langues, dans le cas de la première « Babel », ou que ce soit par les affrontements des guerres civiles comme ce fut le cas pour la capitale romaine après 395.

Si le nom « Babylone la Grande » concerne la ville de Rome, elle-même, par contre, le reste du nom écrit « sur son front », « la mère des impudiques et des abominations de la terre », concerne l’institution religieuse catholique papale qui y a installé son siège dominateur. Notons tout de même que la Rome païenne de toutes les époques mérite de partager ces critères et c’est bien là, l’idée que Dieu veut nous faire partager, car pour lui, Rome est restée dans ses deux phases, païenne puis chrétienne, une continuité de pratiques religieuses païennes abominables. Pour être convaincu de ce juste regard divin, il suffit de comparer les œuvres produites dans ses deux aspects. Dans les deux, se trouvent, la violence, la persécution, la mise à mort de l’opposant auquel le papisme et son tribunal de l’inquisition donne le nom « hérétique ». L’hérésie consiste à contredire les propos et les jugements de Dieu ? Non ! Pas ceux de Dieu, ceux du pape et de son clergé religieux que le juste Jésus-Christ ne partage pas, et qu’il a toujours condamnés, depuis son adoption du repos du premier jour consacré à la gloire du « soleil invaincu » romain imposé par Constantin 1er le 7 Mars 321 ; seulement 8 ans après le décret de paix religieuse signé par lui à Milan en 313. C’est pourquoi déjà dans Daniel 8:12, « le péché » cité, imputé à Rome, concernait déjà l’abandon du sabbat du septième jour au profit du repos solaire du premier jour. Cette infidélité fut la cause de l’instauration du régime papal mis en place, à Rome, à partir de 538. On peut facilement comprendre le comportement du Dieu créateur rédempteur. Puisque ses saints préfèrent obéir à Rome plutôt qu’à lui, il les livre, pour les punir au régime papal cruel et persécuteur, instauré précisément à partir de 538. Dans Daniel 7:25 et Apo.11:2-3, 12:6-14, et 13:5 il annonce en valeur prophétique, d’année, de mois, et de jours, le temps de 1260 années pendant lequel le pouvoir tyrannique papal va dominer sur eux. Au terme de cette durée soit, en 1798, la papauté perd son autorité officielle, le pape Pie VI étant prisonnier et détenu à Valence en Drôme où il est mort toujours détenu l’année suivante, en 1799. Pour autant la malédiction catholique va se prolonger mais la domination et le soutien de son « jour du soleil » passe sous l’autorité de l’Amérique protestante qui se développe de manière traditionnelle et reste ainsi attachée à son « faux » « jour du Seigneur » hérité du catholicisme papal. Abandonné par Dieu à partir de l’année 1843, ce protestantisme qui « passe pour être vivant et qui est mort », selon le juste jugement du Christ révélé dans Apo.3:1, dominera le gouvernement universel formé par les survivants de la Troisième Guerre Mondiale. Subissant les derniers fléaux de Dieu, ils finiront par décider d’exterminer les chrétiens restés fidèles au sabbat sanctifié de Dieu, mais Jésus attend ce moment pour intervenir en faveur des siens contre les derniers rebelles. C’est ainsi que les juges assassins deviendront les cadavres abandonnés sur la terre aux derniers oiseaux de proies. Ils auront de la nourriture pour « mille ans » pendant lesquels la terre sera désolée et privée de toute vie humaine. Car de leur côté, les élus restés fidèles au sabbat sanctifié par Dieu entreront dans le repos sabbatique du septième millénaire, pour vivre dans la sécurité céleste du royaume de Dieu. Là, ils s’emploieront à juger les méchants morts et à prononcer un verdict pour chaque cas examiné. Le temps de souffrance subi pendant « la seconde mort » sera ainsi fixé pour chacun de manière strictement individuelle. Dans le même temps, « le diable, Satan », sera retenu prisonnier sur la terre jusqu’à la fin des « mille ans », avec tous les rebelles ressuscités, il périra dans le feu de « la seconde mort » du jugement dernier évoqué dans Apo.20:11 à 15. Le rôle et les fruits de Rome disparaîtront ainsi, anéantis pour l’éternité. Rome aura fidèlement accompli son destin prophétisé par ses fondateurs Romulus et Remus, le premier meurtrier du second, à l’image du Caïn diabolique qui tua son frère Abel. La tradition leur attribue d’avoir été allaités par une « louve », sous son aspect de « loup ravisseur », Rome a encore honoré son nom. Précisons encore que le mot latin « lupa », traduit par « louve », désigne également une « prostituée ».

Les leçons divines romaines peuvent encore actuellement changer le destin des êtres humains, mais le temps se raccourcit et huit années, ou plus précisément sept années avant la fin du temps de grâce collective et individuelle, sont disponibles pour fixer leur choix. Et ce temps est encore plus court pour ceux qui vont mourir dans la Guerre Mondiale qui vient ; comme Dieu l’a fait connaître à ses élus, par Daniel 11:40 à 45 et Apo.9:15. En vérité !

 

Les sept mensonges capitaux

 

Je prends ici le contrepied de la célèbre expression héritée en dogme du catholicisme « les sept péchés capitaux » soit, selon Rome : l’orgueil, la gourmandise, la paresse, la luxure, l’avarice, la colère et l’envie. S’il est vrai que ces défauts de caractère sont condamnables et condamnés par Dieu lui-même, les présenter comme capitaux n’est pas justifié. Le terme « capitaux » affaiblit les autres sortes de péchés que Dieu a placés, lui, en première importance. Et dans sa priorité, selon Jésus-Christ, le péché capital est le blasphème soit, le mensonge, contre le Saint-Esprit de Dieu. Pour bien comprendre son importance, tu dois déjà savoir ce qui constitue ce péché : il s’agit d’attribuer au diable, l’œuvre accompli par Jésus-Christ. Avec cette explication tout devient compréhensible. La mort expiatoire de Jésus-Christ étant offerte aux pécheurs terrestres comme l’unique moyen d’échapper à la mort éternelle, pour obtenir auprès de Dieu la vie éternelle, attribuer ce principe au diable, revient à supprimer l’unique porte du salut proposée par Dieu. L’être humain qui commet ce péché se prive lui-même de toute possibilité d’être sauvé de la juste condamnation divine qui pèse sur lui.

Qu’en est-il alors des autres péchés ? Disons déjà que, selon Dieu et les tables de ces dix commandements gravés de son doigt sur des tables de pierre, pour marquer leur priorité sur toutes les autres ordonnances, le nombre des péchés capitaux est dix, et non pas sept, comme l’enseigne la tradition romaine. Car le péché résulte de la transgression de ces dix commandements prioritaires, donc réellement, eux « capitaux », mot tiré du latin « caput » qui signifie : la tête. Et lier ensemble les dix commandements de Dieu avec la « tête » humaine est une réalité car dans la tête de l’homme se trouve son cerveau, le support de ses pensées et de sa volonté personnelle. Jacques a comparé, très divinement, la loi divine à un miroir, dans Jacques 1:23 : « Car, si quelqu'un écoute la parole et ne la met pas en pratique, il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir son visage naturel ». Cette loi des dix commandements définit la norme de la vie éternelle dans sa phase encore terrestre. Car dans l’éternité, il n’y aura plus ni père, ni mère à honorer. Cette loi fixe une norme parfaite qu’aucun homme terrestre n’a jamais satisfait depuis le péché originel d’Eve et d’Adam. Il a fallu attendre la venue sur terre de Dieu en Jésus-Christ pour satisfaire à cette exigence. C’est pourquoi, l’offrande de sa vie, parfaitement juste, pour payer les péchés de ses seuls fidèles élus, possède une parfaite efficacité. Les péchés des élus sont donc expiés par Jésus-Christ, mais ceux des autres humains restent sur leurs têtes, et sans l’obtention de sa grâce, la mort éternelle, soit l’anéantissement définitif, leur est réservée.

Dans un premier temps, la loi condamne à mort le pécheur qui la transgresse et sans repentance et fruit de repentance, les choses en restent là. Dans le cas des élus, les choses se passent différemment. Comme le précédent, l’élu découvre sa condamnation par Dieu, mais il voit dans la loi divine une forme parfaite à laquelle il aspire de réussir à se conformer. Dieu qui le sonde connaît son désir, et en Jésus-Christ, il le prend en charge, pour l’aider à changer, afin de ressembler le plus possible à son modèle : le Dieu fait homme Jésus.

La Loi des dix commandements nous conduit donc bien vers Jésus-Christ mais dans le but d’obtenir de lui l’aide indispensable pour atteindre la norme parfaite de la loi. Et cette aide indispensable, sous tout le ciel et sur toute la terre, il n’y a qu’en Jésus-Christ qu’elle est disponible.

Au premier regard, la loi semble hors de nos possibilités humaines. Cependant, vu qu’en Christ, l’élu entre dans un statut d’esclave, la loi devient réalisable. Car, en répondant à l’ordre donné par Jésus de « renoncer à lui-même » la possibilité de pécher contre cette loi disparaît. En effet, celui qui meurt spirituellement n’éprouve plus aucun désir égoïste personnel. Il peut ainsi honorer les « six » derniers commandements qui concernent ses devoirs envers son prochain, et davantage encore, les quatre premiers. Car concernant des devoirs envers Dieu, conduit par l’amour éprouvé pour lui, l’élu n’a dans son âme pas le moindre désir de lui désobéir et de le faire souffrir.

Si je dénonce aujourd’hui cette expression des « sept péchés capitaux », c’est parce qu’elle a envahie l’humanité occidentale. Elle est entrée dans les esprits et empêche les pécheurs de voir les dix commandements par lesquels Dieu les condamne à mourir, non pas une fois, mais deux fois. La religion catholique romaine qui est à l’origine de ce dogme attire l’attention sur ses « sept péchés capitaux » afin de faire ignorer ses propres attaques portées contre le texte des dix commandements formulé par Dieu. Les attaques du diable ciblent l’élément principal de la sanctification divine. Après l’abandon du sabbat du 7 Mars 321, dans la version catholique, le quatrième commandement divin devenu le troisième ordonne le repos du « dimanche » et pour adapter les dix commandements à la norme de sa pratique, le « deuxième commandement » qui interdit et condamne ses cultes des images taillées, elle l’a tout simplement et de manière « impudente et arrogante » dénoncée par Dieu dans Dan.7:8 et Apo.13:5, supprimé. Mais afin de masquer son forfait, elle a créé le commandement sur « l’œuvre de chair », afin de leur conserver le nombre de « dix ». Mais qui se soucie des changements apportés dans la loi divine par une autorité humaine ? Les élus du Christ et eux-seuls.

Pour en finir avec ce sujet, je rappelle donc que le sang du Christ est efficace pour laver toute forme de péché, sous condition que le coupable soit repentant, et qu’il démontre sa sincérité, par un changement de conduite que Dieu appelle « le fruit de repentance ». C’est ce « fruit de repentance » exigé par Dieu qui enlève au salut chrétien l’aspect « étiquette » que le faux christianisme lui a donné partout où il est représenté sur la terre.

 

Paix mortelles et trahisons

 

IMPORTANT     -      IMPORTANT     -    IMPORTANT

 

J’aborde ici un sujet de réflexion extrêmement grave de conséquences.

 

Dans tous les pays, en tant de guerre, principalement, la trahison est punie de mort. Pour le gouvernement du ciel, c’est encore plus vrai et systématiquement appliqué. En premier, Judas l’Iscariote, l’un des douze apôtres engagés par Jésus-Christ le trahit en le livrant aux gardes du temple dans la soirée du mardi du 3 Avril 30. Judas voulut tout simplement contraindre Jésus à s’emparer du pouvoir pour régner au titre de roi des juifs. Au début de la semaine pascale, le peuple juif l’avait accueilli, en lui rendant gloire, à ce titre. Le problème était qu’aucun homme n’avait à ce moment-là une juste compréhension du rôle du Messie prophétisé et attendu. Dieu seul avait cette connaissance. En proie à un remord très fort, et ne voyant pas d’issu pour ses espérances contredites par les faits, Judas résolut de se pendre. Après le ministère terrestre de Jésus il fut ainsi le premier traître et se donna lui-même la mort que méritait sa traitrise.

Après Judas, Jésus fut victime d’une trahison nationale du peuple juif entier ou presque. On préféra, César à Jésus, et le brigand assassin Barabbas au doux et divin Messie. La trahison nationale reçut en 70 son châtiment divin par le moyen des armées romaines comme Dan.9:26 l’avait annoncé d’avance.

En l’an 321, le 7 Mars, en Occident la foi chrétienne a trahi Jésus-Christ en obéissant à l’empereur Constantin au détriment du Dieu créateur venu s’incarner en la chair de Jésus-Christ. Cette trahison a été châtiée déjà par les cinq premières trompettes révélées dans Apo.8 et 9. Tous ces châtiments apporte à l’humanité la mort, punition des traîtres.

A l’heure de la Réforme protestante, la trahison envers Christ repose essentiellement sur l’ignorance du temps. Les plus fidèles gardent la foi jusqu’à la prison, les galères ou la mort. Dieu tient compte de ce temps d’ignorance, car les ténèbres religieuses ont dominé sur tout l’occident chrétien depuis 321 jusqu’au 12ème et au 16ème siècle, successivement marqués par deux proclamateurs de lumière divine, Pierre Valdo et Martin Luther. La majorité des autres protestants de cette Réforme, notamment les Huguenots dans les Cévennes, ont réagi un peu comme Judas et leur esprit très charnel les poussait à prendre les armes et combattre le camp du mal avec ses propres armes. Ils ont simplement négligé de tenir compte des consignes données par Jésus-Christ qui a interdit à ses apôtres de faire usage des armes qu’il leur avait demander de prendre avec eux ; ceci, à l’heure même de son arrestation. Bien que très zélés et courageux ceux qui agissaient ainsi n’était pas dans la conformité de la norme de la foi enseignée par Jésus-Christ. Le temps des dragonnades de Louis XIV étant passé, les persécutions faiblirent et la foi protestante chassée de la France et de tous les pays dominés par la foi catholique, la religion catholique papale romaine était sans concurrence. C’est alors que Dieu suscita la Révolution Française de 1789 pour châtier cette religion et son soutien monarchique qui est restée sourde et rebelle aux invitations de repentance représentées par le message de la foi réformée. Que la chose soit bien comprise. La religion catholique fut suscitée par Dieu pour châtier l’abandon du sabbat du 7 Mars 321. Des siècles de ténèbres se succèdent alors jusqu’au temps des messages de la Réforme. Et ces messages offrent aux héritiers de la foi catholique l’opportunité de se convertir réellement à la vraie religion chrétienne, sinon dans la perfection de 1844, au moins sur les bases protestantes qui donne au salut par grâce et à la Bible la place fondamentale dans leur crédo.

Une autre trahison vient ensuite, la trahison adventiste. Mais relevons l’importance du changement de contexte. Les trahisons précédentes étaient réalisées dans un temps de guerres religieuses permanentes, plus ou moins intensifiées. Et en entrant dans un temps de paix religieuse établie sur tous les peuples chrétiens occidentaux, comme le révèle Apo.7:1, le rôle de la paix va prendre le caractère d’une malédiction pour la foi en général. Après les épreuves de foi vécues aux USA, le petit groupe adventiste sélectionné est rempli de zèle pour le sabbat progressivement adopté jusqu’en 1873 où Jésus lance son œuvre de conversion universelle à la foi adventiste du septième jour. Aussi longtemps que le message est délivré sans être atténué, des conversions sont obtenues. Car je souligne ici une message important. Dans quel but Jésus nous sauve-t-il ? Ou plus clairement encore, qu’attend Jésus de ceux qu’il sauve ? Beaucoup ne l’ont peut-être pas encore compris, mais l’élu sauvé devient un soldat du Christ. Un soldat d’un type spécial, puisque son équipement est le casque du salut, la cuirasse de la justice, la ceinture de la vérité, l’épée de l’Esprit, et pour chaussures, le zèle de l’Evangile. Hors comme tous les soldats, ceux du Christ sont engagés pour combattre l’ennemi de Dieu avec les armes de Dieu. La ceinture de la vérité suggère une aptitude à présenter publiquement la vérité divine. Le combat rapproché avec l’ennemi est la défense et dès que la possibilité se présente, l’attaque. La passivité dans la guerre n’est utile à personne. Il en est de même pour celle que Jésus mène contre le camp terrestre du diable. Chacun de ceux qui entendent et répondent à son appel en grâce doivent être convaincus qu’aussi faibles qu’ils soient, les hommes et les femmes sauvés par Jésus doivent se placer sous sa domination et être disponibles pour être utilisés par lui selon ses besoins du moment. Ces exigences furent honorées par les pères fondateurs de l’adventisme. Mais en peu de temps, l’institution adventiste s’est fonctionnarisée, le zèle pour la vérité s’est affaiblit par les successions de l’héritage religieux et déjà de son vivant, la messagère du Seigneur, Ellen Gould-White dénonçait l’apostasie de l’Eglise. Analysons ce qui s’est passé. Les pères fondateurs ont été sélectionnés suite à l’épreuve de leur foi, mais les héritiers entrent dans l’œuvre sans que leur foi soit éprouvée par Dieu. L’œuvre entière passe ainsi sous la domination de gens non convertis, mais plus simplement convaincus que la religion de leur père est la meilleure. L’amour de la vérité n’entre pas ici en cause, la réaction se fonde sur une évidence apparente donc justifiée. Le fruit obtenu par Dieu est minimum à l’image de la tiédeur de Laodicée. Et à ce niveau de foi la possibilité de la trahison est très proche. Là où le zèle pour la vérité n’est pas bouillant, la trahison se présente immanquablement. C’est là qu’entre en jeu l’intérêt pour la paix entre les hommes. Et cette paix est d’autant plus appréciée que Dieu l’a instaurée dans tous les peuples occidentaux chrétiens. La paix favorise les relations internationales, ce qui favorise les échanges commerciaux et les voyages internationaux, et l’église fonctionnaire du Christ n’échappe pas à cet attrait séduisant et plaisant. La paix devient du coup le but de la foi chrétienne. La trahison est à ce moment-là complète, parce que pour sa part, Jésus le Sauveur de ses élus a dit : « Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre, je suis venu non pour apporter la paix mais l’épée ». Réalise alors, le décalage entre ses paroles du Christ et cette conception de paix de la foi fonctionnarisée. L’institution a quitté la route et fait une embardée elle se retrouve sur la voie large qui conduit par la paix à la perdition éternelle. Car sur le chemin de vérité tracé par Jésus, ses vrais élus combattent avec l’épée de l’Esprit, les mensonges répandus par les faux christs et les divers aspects de la fausse foi.

Pour expliquer concrètement cette dérive vers la trahison, il faut comprendre ceci : Dans un premier temps béni l’adventisme proclame l’attente du retour du Christ mais n’a plus de date pour le fixer, elle enseigne l’obéissance au sabbat et dénonce l’origine diabolique du dimanche. L’action porte du fruit parce qu’elle donne à ceux qui entendent ces messages de bonnes et salutaires raisons de répondre à ses invitations qui consistent à remettre en cause les héritages religieux transmis par la tradition. Puis dans un second temps, l’intérêt pour la paix prend le dessus. Que fait-on alors ? On enseigne encore le sabbat mais on évite de critiquer le choix opposé fait par la religion adverse. C’est fini ; Christ est trahi, il n’y aura plus que quelques conversions passagères, épisodiques et vraiment partielles. L’interlocuteur n’entend plus le message qui le contraignait à remettre en cause sa position religieuse héritée.

C’est pourquoi, qui que tu sois, et quelle que soit ta faiblesse, souviens-toi que la conversion au sabbat divin du vrai « septième jour », qui est le « samedi », est obtenue de la part de ton prochain uniquement si tu accompagnes sa présentation au titre de « sceau du Dieu vivant », de son opposé, « la marque de la bête », que tu peux attribuer au « dimanche » du catholicisme papal hérité de l’empereur Constantin 1er, sous le nom du « Soleil Invaincu » ; action qui a souillé le premier jour de la semaine et l’a rendu perpétuellement indigne pour présenter au Dieu créateur un culte quelconque. La mort que Dieu rattache au repos du premier jour justifie pleinement la nécessité de cette précise identification. Ce jugement divin a trop longtemps été ignoré par les hommes. Il ne nous reste que quelques années pour leur faire découvrir ces salutaires vérités, car la guerre menée par Jésus-Christ ne s’achèvera qu’à son retour, par sa victoire totale sur tous ses ennemis. Mais dans cette guerre, ses soldats, c’est nous. Nous qui sommes ses disciples appelés pour obtenir de sa part l’élection bien élevée en valeur au-dessus des croix de guerre ou des croix de la légion d’honneur des hommes. Notre récompense sera bien plus grande et éternelle.

Rappel utile, dans son Apocalypse, Jésus fustige et conspue les « lâches » et nous venons de voir combien l’intérêt pour la paix les caractérise.

 

Dieu donne le bien et les maux

 

Ce sujet d’étude s’impose en notre temps pour deux raisons : la foi et l’intérêt pour la vraie religion sont devenus rares d’une part, et d’autre part, la pensée religieuse asiatique a pénétré les esprits d’un grand nombre d’occidentaux. Pour les Chinois, la vie oppose le bien et le mal, « le Ying » et le « Yang », deux conceptions opposées dans l’absolu, mais de puissance égale. Sans inspiration divine, cette pensée reste néanmoins logique puisque sur la terre toute chose a en face d’elle, son contraire absolu. Et beaucoup de religions païennes reproduisent ce modèle où des dieux s’affrontent et se combattent reproduisant les défauts des caractères humains.

Contrastant avec ce modèle, la religion du Dieu unique révélée par l’expérience vécue par le peuple Hébreu, nous apprend que toute chose, toute vie et forme de vie, doit son existence à ce Dieu unique, illimité dans tous les domaines imaginables. En face de ce « Tout-puissant » « Ying », il ne se trouve pas un « Tout-puissant » « Yang », car les deux sont en lui. Cependant, nous vivons encore dans un contexte où le mal a encore sa raison d’être. Avant que le problème du mal soit entièrement réglé par la destruction et l’anéantissement de tous les ennemis de Dieu, parce qu’ils ont choisi de suivre la voie du mal, le Dieu créateur, en grand juge universel fait subir aux hommes désobéissants des maux en organisant les conditions des châtiments sur la terre. Nul ne peut lui imposer sa volonté et le camp du « Yang » céleste ou terrestre ne peut pas l’empêcher de mener à leur terme ses sentences punitives. C’est ainsi que grâce à la Bible écrite sur sa dictée et sous son inspiration, la foi au vrai Dieu protège les vrais croyants des mensonges païens et du charlatanisme qui les exploite. Car dans la conception païenne, l’être humain tente à prix d’argent de favoriser son sort vis-à-vis des divinités hostiles et méchantes. Le vrai Dieu, lui, ne se laisse pas acheter, car il n’a aucun besoin qu’il ne puisse satisfaire lui-même. Non seulement, on ne l’achète pas, mais en plus, c’est lui qui rachète les âmes de ses élus. Et pour les obtenir, il est venu sur terre, pour expier dans la douleur et l’agonie lente leurs péchés à leur place. Il fut ainsi crucifié au pied du mont Golgotha. Et je le rappelle car c’est pour lui le sujet de sa gloire, il a donné, volontairement, sa vie en sacrifice d’expiation. Il a tenu à prévenir ses apôtres, leur disant dans Amos 3:6 : « Sonne-t-on de la trompette dans une ville, sans que le peuple soit dans l'épouvante ? Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ? ». Cette interrogation est en fait la réponse affirmative de Dieu qui s’exprime par la bouche du prophète Amos.

Une telle abnégation a donné à Jésus-Christ, tout pouvoir dans le ciel et sur la terre selon Matt.28:18 : « Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. ». Ressuscité, c’est en nature du Dieu Tout-puissant masqué par une apparence humaine qu’il a ainsi annoncé ces choses à ses apôtres et ses disciples bienaimés.  La parfaite divinité du Christ n’est plus à démontrer, mais à affirmer à tous ses opposants jaloux et méchants. Le vrai croyant trouve des preuves parce qu’il les cherche là où Dieu les a placées : dans sa sainte Bible et elle seule. Car que valent les témoignages humains en comparaison avec ceux que Dieu a fait rassembler dans sa sainte parole écrite de la Bible, mais uniquement de la Bible ? Car, toute autre écriture religieuse doit être compatible avec ses divines déclarations dictées ou inspirées. Dieu l’a organisée pour constituer la norme de toutes ses révélations jusqu’au retour glorieux du Christ. C’est pourquoi, toutes mes études présentées dans cet ouvrage, et dans d’autres déjà réalisés, reposent sur des clés données par la Bible.

En Jésus-Christ, il est vrai, Dieu a révélé son grand amour pour ses élus et toutes ses créatures qu’il appellera encore par divers moyens jusqu’au temps de la fin de la grâce, qui s’approche et se trouve, en ce printemps 2022, à sept ans devant nous. Mais ce débordement d’amour ne doit pas voiler à nos yeux que Jésus-Christ est aussi capable de punir sévèrement et sans miséricorde l’humanité égoïste, rebelle, cruelle et meurtrière, parce qu’il est lui-même à l’opposé absolu de ces critères de caractère. Ces défauts ne se trouvent sur la terre que chez les êtres humains et ils sont tenus par Dieu pour d’autant plus responsables qu’il leur a donné une capacité d’intelligence. Le plus souvent, les animaux tuent pour se nourrir, mais l’homme, lui, peut tuer pour le plaisir qu’il en retire. Sa méchanceté construit ses malheurs et les souffrances qu’ils provoquent. Pour le Dieu amour, assister à ces choses est une chose pénible qu’il supporte en attendant l’heure bénie où le mal sera anéanti par lui. Ce temps vient et se rapproche, mais devant nous « sept années » d’enchaînement de choses horribles doivent encore s’écouler au rythme régulier, des heures, des jours, des mois et des années.

Quand il punit, Dieu peut le faire directement lui-même et même s’il envoie des anges, celui qui frappe, c’est lui. Car la source de la puissance est en lui seul ; que ce soit pour créer ou pour détruire. Tout ce qui vit et existe reste sous son contrôle permanent. Rien ne lui échappe et sa mémoire divine est illimitée. C’est uniquement par amour pour ceux qui lui restent fidèles que Dieu leur fait partager ses actions : anges célestes et messagers terrestres ne sont que des « serviteurs inutiles » auxquels il confie des actions à accomplir, car il pourrait tout faire tout seul. Or, il existe deux sortes de maux : ceux qui sont le fruit de la méchanceté du diable et ceux que le Dieu bon et juste inflige aux infidèles et à ceux qui le méprisent. Dieu contrôle la nature et aucun volcan n’entre en éruption sans que Dieu l’autorise à le faire. A l’échelle de la planète et de la plus petite localité, il dirige les vents, crée les tempêtes, les tornades ravageuses et les cyclones avaleurs qui mettent en action des puissances impressionnantes sur lesquelles l’homme ne peut agir. Mais à côté de ces actions directes personnelles, Dieu soumet aussi l’humanité rebelle aux malédictions que le diable lui inflige continuellement. Satan et ses démons deviennent ainsi les auxiliaires qui répandent les maux à sa place. Mais leurs actions méchantes inspirées aux hommes méchants qui les mettent en œuvres sont dues à la décision du Dieu créateur suprême qui reste donc bien, l’unique auteur revendiqué qui donne « le bien et les maux ».

 

 

Aimer Dieu et son prochain : l’amour en couple

 

Cette nouvelle étude va examiner les différentes situations et les conséquences humaines de l’amour pour Dieu.

Dans sa divine sagesse, Dieu a su trouver les mots qui définissent parfaitement le problème soulevé, disant par Jésus-Christ, dans Matt.22:36 à 40 : « Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ? Jésus lui répondit: Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C'est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. »

Cette parfaite définition divine de l’amour va néanmoins poser des problèmes dans ses applications dans diverses situations. Dans ce tableau idéal, il manque une entité dont le rôle néfaste va changer bien des choses : celle du diable ou de ses collègues rebelles. Pour un célibataire, comme moi, trois entités entrent « en scène » : Dieu, le diable et l’être humain. Sa situation spirituelle dépend uniquement de son propre choix : il écoute Dieu ou écoute le diable. S’il aime Dieu, selon le commandement de Jésus, il n’écoute plus le diable et prend garde à ne pas obéir à ses propositions. Le problème est alors facilement réglé. Mais dans le cas d’un couple, ce n’est plus trois, mais quatre entités, qui sont dans l’action : Dieu, le diable, l’homme et la femme.

Dans le meilleur cas, extrêmement rare, les deux conjoints humains sont du même niveau spirituel ; les deux aiment Dieu, au-dessus de tout, et dans cet accord, l’amour et l’entente sont parfaits. Mais, je l’ai précisé, ce cas est très, très, rare et Jésus partage aussi cette pensée, puisqu’il a lui-même déclaré, dans Luc 17:34 : « Je vous le dis, en cette nuit-là, de deux personnes qui seront dans un même lit, l'une sera prise et l'autre laissée; ». Relève avec intérêt, le fait que la séparation entre la personne élue et la personne déchue ne doit s’accomplir qu’au retour du Christ glorieux. Ce qui signifie qu’elles peuvent et doivent dans la mesure du possible rester ensemble pendant leur séjour sur la terre. Mais je dis bien : dans la mesure du possible, car il existe des cas où la chose devient impossible.

Le deuxième cas qui se présente le plus est celui où les deux conjoints servent sans le savoir ou le vouloir, donc inconsciemment, le diable. Paradoxalement, là encore, la vie du couple peut prendre une forme apparente réussie. L’entente est possible, car unis dans l’amour réciproque ou unis dans l’égoïsme accepté, les deux conjoints peuvent s’accorder. Des problèmes dus à ces égoïsmes peuvent néanmoins apparaître, mais sans gravité, car les démons vont chercher à favoriser la réussite de ce type de couple, pour mieux contrarier Dieu. Et dans le pire des cas, des disputes peuvent conduire au meurtre. Car la chose est possible pour une relation non protégée par Dieu. Le jugement révélé par Dieu me permet de donner en exemple le couple formé par un conjoint protestant avec un conjoint catholique ou juif, orthodoxe, musulman ou adventiste de tradition. Soumis au même statut spirituel, et sans engagement fanatique religieux, l’entente du couple reste possible et paisible.

Le troisième cas est le couple formé d’un conjoint élu et d’un conjoint agnostique. Pour l’élu, l’avantage du conjoint agnostique est qu’il n’est pas engagé pour une idée précise. Il est donc transformable. Faut-il encore que cet agnosticisme ne prenne pas la forme d’un athéisme revendiqué militant qui correspondrait alors à la quatrième situation évoquée dans cette étude. Là encore, sans fanatisme des deux conjoints, l’entente reste possible mais la cohabitation entre deux esprits aussi opposés que celui de Dieu et celui du diable va rendre les choses difficiles. Toutefois, je rappelle ici, que l’homme a toute possibilité de résister au diable et de le rejeter comme il est écrit dans Jac.4:7 : « Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous. ». Or, l’agnostique ne croît pas plus à l’existence du diable que celle de Dieu. Il sera donc difficile et même impossible de lui résister sans l’aide de Dieu. Tout va ainsi reposer sur le conjoint spirituel qui est, lui, conscient de la situation. Il va donc devoir rien changer et accroître son attention et ses marques d’amour pour son conjoint non spirituel. En sorte que, loin de lui reprocher son amour pour ce Dieu invisible, le conjoint incrédule apprécie son nouvel engagement religieux. Et dans cette appréciation son cœur et son esprit disponibles peuvent être gagnés par l’amour de Dieu. Mais même si ce n’est pas le cas, le couple peut subsister et se prolonger jusqu’au retour du Christ où Dieu les séparera définitivement.

Le quatrième cas est celui du couple formé par un conjoint élu et un conjoint déchu engagé spirituellement. Dans ce type de couple, l’affrontement entre Dieu et le diable est permanent. Dans ce combat rapproché, la haine inspirée au conjoint soumis au statut du diable va rendre tout rapprochement des conjoints impossible. Dans ce cas, les efforts de l’élu seront vains et inutiles. Nous avons là, la forme des relations annoncées par Jésus-Christ dans Matt.10:34-35-36 : « Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée. Car je suis venu mettre la division entre l'homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère ; et l'homme aura pour ennemis les gens de sa maison.» Et il ajoute après ces paroles dans le verset 37 : « Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n'est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de moi ; »

Il nous faut relever le fait que dans ses propos, Jésus-Christ ne mentionne pas la femme. Et la raison de ne pas la mentionner est que Dieu a fait du couple « une seule chair » qui doit lutter pour son salut. Ensemble, les deux conjoints doivent résister et restés unis contre les diverses adversités extérieures que représentent le père, la mère, et les enfants eux-mêmes, également, car ce sont des individus à part entière qui sont, avant toute chose pour leurs deux parents, des créatures créées par Dieu par le principe de la chair. A l’époque de Jésus, le couple des conjoints reposait sur la domination du mâle, l’homme, et la femme n’avait aucunement le droit de contester cette autorité légitimée par Dieu et son peuple. C’est pourquoi, la femme ayant devoir de suivre son époux, le choix religieux de celui-ci s’imposait à sa femme. Dans un couple juif, la foi au Christ ne rendait pas impossible la coexistence avec le conjoint non converti. Je le rappelle, la relation avec le Dieu vivant Jésus-Christ est de nature spirituelle. Elle est vécue par le conjoint converti dans le secret de son cœur ou plus précisément dans ses pensées intimes. Les premiers chrétiens observaient le sabbat et les principes religieux juifs hérités de leurs pères. Leur seule différence était qu’ils ne pratiquaient plus les rites relatifs au « sacrifice et aux offrandes » ; ceci conformément au projet divin rattaché à la nouvelle alliance en Christ, tel qu’il est révélé dans Dan.9:27 : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur. »

Nous voyons qu’en dehors de cette particularité,  l’union du couple formé d’un converti au Christ et d’un non converti juif non fanatique pouvait leur permettre de vivre ensemble. L’amour pour Dieu ne s’oppose pas à l’amour terrestre et charnel des conjoints unis dans une réciproque fidélité qui seule constitue le vrai mariage. Dieu exalte et élève au-dessus de tout ce principe de fidélité, on comprend alors qu’il ne justifie pas facilement la séparation d’un couple alors que dès la Genèse, son activité consiste précisément à séparer les choses créées. Le statut du couple est celui de ne « former qu’une seule chair », donc, en principe, inséparable. Et quand elle se produit, la séparation ne doit pas venir du choix du conjoint spirituel uni à Dieu, mais de celui qui est soumis au diable, inconsciemment. Il doit être le premier à se lasser d’une vie commune conflictuelle. Car le couple a vocation à vivre ensemble pour partager un amour réciproque. Dans la vie moderne, la légalité de l’égalité du couple a rendu la vie des couples encore plus problématiques. N’étant plus contrainte à suivre les choix de son mari, la femme entre en conflit avec celui-ci. Les chances de rester ensemble jusqu’au retour du Christ s’affaiblissent jusqu’à disparaître. Car l’opposition de deux individus est sans solution ; c’est pourquoi dans la symbolique divine le chiffre « deux » est le symbole de l’imperfection. Le couple idéal est dirigé par un « chef » qui doit être lui-même à l’image du « Christ » selon  Eph.5:23 : « car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. »  Ce verset souligne l’immense responsabilité de l’homme, car sa domination exige de lui une contrepartie : il doit se comporter envers sa femme comme Christ envers l’Eglise, son Elue. Et s’il ne répond pas à cette exigence, la soumission de sa femme envers lui n’a plus de sens sous le jugement de Dieu.

Dans son jugement, Dieu exige toujours davantage de celui qui est éclairé par lui. Sa connaissance supérieure le rend encore plus responsable envers ceux qui n’ont pas sa connaissance. C’est pourquoi, dans le cas, d’une union conflictuelle religieuse, le conjoint éclairé ne doit se résoudre à la séparation des corps que contraint et forcé, par la situation créée par le choix du conjoint non éclairé. Les élus de Jésus-Christ ne doivent pas mettre en opposition leur amour pour Dieu avec l’amour terrestre voué à leur conjoint. Ces deux types d’amour sont parfaitement compatibles et complémentaires, car si le ciel a ses exigences, la vie charnelle a aussi les siennes. Et ayant pour origine le même Dieu créateur, ces deux amours sont aussi légitimes l’un que l’autre. Ceci signifie que les devoirs spirituels ne doivent pas nuire aux devoirs charnels et réciproquement.

Dès le commencement, dans Gen.2:24, Dieu a prophétisé sur la nécessité pour le couple de s’isoler, en se séparant de leurs parents : « C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. »  Sur la terre, ce modèle choisi par Dieu devait favoriser la protection du couple formé. Mais, en réalité, en disant ces choses, Dieu prophétisait le projet de son alliance en Christ avec son « Epouse » constituée par l’assemblée de ses élus rachetés de la vie sur la terre. Hélas, dans son application humaine, cet idéal parfait ne sera que rarement obtenu. Les grands élus de la Bible, tels que Noé, Abraham, Isaac, Moïse et Job, semblent avoir réussi leur vie de couple, favorisée il est vrai, par la vie patriarcale de leur temps. Mais le succès obtenu fut avant tout le fait que leurs épouses avaient été choisies pour eux par Dieu, avant qu’ils les rencontrent. Ce fut là, la raison de leurs rares réussites et le cas d’Isaac et Rébecca est particulièrement révélateur.

Face aux diverses adversités, la survie du couple va dépendre de l’amour qui rassemble deux êtres. Et à ce sujet, quand la chose est possible, il doit utiliser toutes les armes dont il dispose et, particulièrement, celle du plaisir charnel que les conjoints s’apportent mutuellement. Paul a enseigné sur ce sujet dans 1 Cor.7:1 à 7. Au verset 1, il évoque le cas idéal du vrai célibat, disant : « Pour ce qui concerne les choses dont vous m'avez écrit, je pense qu'il est bon pour l'homme de ne point toucher de femme. » Mais il précise ensuite et dit : «Toutefois, pour éviter l'impudicité, que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari ». Dieu ne peut qu’approuver cette idée et donc désapprouver la polygamie. Et Paul précise encore : « Que le mari rende à sa femme ce qu'il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari. » Il justifie ensuite ses propos : « La femme n'a pas autorité sur son propre corps, mais c'est le mari ; et pareillement, le mari n'a pas autorité sur son propre corps, mais c'est la femme. ». J’apporte ici une explication supplémentaire : le plaisir solitaire est prohibé parce qu’il déforme le projet salvateur conçu par Dieu : L’Elue, « Epouse » du Christ, ne doit obtenir son plaisir qu’en son « Epoux », Jésus-Christ. En transgressant ce principe charnel, l’être humain déforme le projet de Dieu, chose qu’il punit sévèrement à l’exemple de Moïse qui avait frappé le rocher d’Horeb deux fois alors que, prophétisant la mort du Christ, il devait le frapper qu’une seule fois. En comprenant la raison des exigences de Dieu, l’élu trouve une motivation pour en tenir compte. Pour le Dieu créateur, vie spirituelle et vie charnelle ne font qu’un. Ce qu’il exige de manière spirituelle est aussi exigé sous sa forme charnelle terrestre. Paul dit ensuite dans le verset 5 : « Ne vous privez point l'un de l'autre, si ce n'est d'un commun accord pour un temps, afin de vaquer à la prière ; puis retournez ensemble, de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence. » Mais il précise ensuite : « Je dis cela par condescendance, je n'en fais pas un ordre. » Il ne s’agit pas d’un ordre, mais d’un sage conseil éclairé. Car l’argument a du poids, parce que les besoins physiques et psychiques non assouvis dans le couple seront recherchés par certains en dehors du couple, dans l’adultère condamné par Dieu. Les relations charnelles du couple n’ont pas pour but la seule procréation. Elles sont aussi utiles pour favoriser le lien qui unit les deux conjoints.

A la lumière de ces enseignements, on peut comprendre que par zèle pour Dieu, des appelés du Christ commettent de graves erreurs de comportement en frustrant, par choix personnel, les besoins charnels de leur conjoint. Mariés, l’homme et la femme n’ont pas vocation à se conduire comme un célibataire. Dieu ne l’exige d’aucun conjoint terrestre. Et la seule chose qu’il exige de ses élus mariés, c’est leur fidélité envers leur conjoint. Dieu l’a dit, il a horreur de l’adultère et le condamne charnellement et spirituellement. Ainsi sans le commettre lui-même, l’élu qui frustre son conjoint favorise un possible futur adultère. Dieu ne peut donc que désapprouver la frustration qui provoque cet adultère. Comme Paul l’a enseigné, l’abstinence du couple doit être décidé d’un commun accord par les deux conjoints ; jamais par un seul des deux.

Ces choses étant dites, la vie humaine est sujette a une grande faiblesse et élus comme déchus commettent tous des erreurs de comportement. Ces fautes accomplies par les élus sont pardonnées en Christ qui a porté et expié leurs péchés. Mais le salut, n’est plus ici en cause, ce qui vient après, c’est le souci de réussir le mieux possible notre parcours de vie sur la terre dans le but de glorifier ce Dieu que nous aimons de tout notre cœur. Et ce noble et pieux désir ne peut être atteint qu’en comprenant « ce qui est bon, et agréable à Dieu » comme l’enseigne Eph.5:10, 1 Tim.2:3, et encore 1 Jean 3:22 : « Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. » Paul résume très bien ce sujet en disant dans Rom.12:1-2 : « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait. ».

Plus que tout autre, l’élu du Christ est poussé par sa nature à faire des choix égoïstes, puisque son salut dépend de son indépendance d’idée. De là, à imposer ses choix avec détermination au conjoint qui les reçoit en forme de brutalité, il n’y a qu’un pas facilement franchi. Et ce type de comportement résulte d’un manque de considération pour le conjoint partenaire. Ce qui manque dans ce type de couple, c’est la connaissance du caractère du conjoint. Les couples se forment par l’attirance physique ou la passion tient le rôle principal. Il ne faut pas ignorer, que cette passion ressentie peut-être uniquement due au diable, un maître absolu en la matière, car il a ce pouvoir sur tous les esprits humains non protégés par Dieu. J’ai expérimenté la chose. Après avoir obtenu l’alliance du couple, Satan retire la passion inspirée et il ne reste alors que deux conjoints qui vont réaliser qu’ils ne se connaissent pas. La surprise est grande et peut conduire à des séparations rapides. L’échec dû à cette méconnaissance explique pourquoi, ne voulant pas subir cet échec, en Christ, Dieu met ses élus à l’épreuve pendant tout le temps de leur vie sur la terre. A l’issue de cette épreuve, la connaissance réciproque de Dieu et de son élu atteint la perfection requise. Devant cet exemple, déjà sur la terre, tu peux comprendre combien la connaissance approfondie des conjoints est déterminante pour la survie de leur couple. La chose est sous-estimée mais le couple qui s’unit va devoir traverser des épreuves qui vont tester sa résistance, c’est pourquoi une connaissance approfondie du futur conjoint est vitale et nécessaire. Mais cette sagesse ne se découvre qu’en Dieu, et les couples formés, quand ils sont insuffisamment éclairés, subissent les conséquences de leur impréparation. Et le résultat apparaît publiquement dans la société moderne. Les couples se forment, se séparent, s’invectivent et parfois se déchirent. On se remarie une seconde, voire une troisième fois et plus encore, mais l’idéal de fidélité voulu par Dieu a disparu sur toute la terre. Car, en plus, elle n’a de valeur cette fidélité, qu’en lui, soit, dans la vraie foi en Jésus-Christ, aussi rare que les mariages réussis.

La connaissance requise est à l’image de la pénétration sexuelle puisque c’est le sens que Dieu donne au verbe « connaître » dans Gen.4:1 : « Adam connut Eve, sa femme ; elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit : J'ai formé un homme avec l'aide de YaHWéH. »  Ce sens que Dieu donne au verbe « connaître » se rattache donc à l’idée de l’expérience dont le but est de devenir un. Si l’acte sexuel le réalise physiquement, le couple formant dans l’acte « une seule chair », c’est la relation finale de l’élu au Christ qui en est l’application spirituelle prophétisée, précisément, par l’acte charnel. L’orgasme qui accompagne cet acte sexuel est lui-même un témoignage de l’état d’extase dans laquelle l’élu va se trouver dans la présence du Dieu de son salut au début du septième millénaire. Mais au lieu de durer un court et bref instant comme c’est le cas sur la terre, cet état d’extase sera prolongé dans la présence du Dieu saint. Et si cette présence est éternelle, l’extase le sera également. Je peux témoigner avec assurance sur cette extase car je l’ai expérimentée lors d’une vision divine reçue au printemps 1975. Contrairement au rêve, la vision est vécue dans un état d’éveil de tous nos sens, et dans mon cas, la vue et l’ouïe ont tenu le rôle principal. Le niveau de l’extase s’intensifiait en même temps qu’un son maintenu comparable au son de l’orgue s’emparait de mon corps entier qui semblait entrer en vibration. La vision est donc vécue comme la vie réelle sauf que le contexte et les images qui la constituent sont choisis et construits par Dieu dans notre esprit soit, dans notre cerveau ; dans la vision Dieu prend le contrôle entier de notre cerveau qui se trouve alors déconnecté de nos organes physiques charnels.

Dans Jean 17:19 à 23, Jésus a prié pour obtenir cette parfaite unité pour ses élus, apôtres et disciples que son sang, qui allait être versé, devait racheter : « Et je me sanctifie moi-même pour eux, afin qu'eux aussi soient sanctifiés par la vérité. Je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, afin qu'ils soient un comme nous sommes un, afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu'eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m'as envoyé. Je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, afin qu'ils soient un comme nous sommes un, moi en eux, et toi en moi, afin qu'ils soient parfaitement un, et que le monde connaisse que tu m'as envoyé et que tu les as aimés comme tu m'as aimé. » Ce terme « un » est cité « sept » fois dans ces quatre versets. Dieu rattache la pensée de l’unité au chiffre « sept » dont la signification symbolique est la sanctification, précisément, citée dans le verset 19. Cette unité désigne la fusion des esprits des élus dans l’Esprit de Dieu. Puisque la vie réelle est une vie d’esprits, Dieu a mis dans la vie terrestre, l’image de la situation de l’esprit humain qui fut séparé de l’Esprit de Dieu par le péché d’Adam et Eve. En Jésus-Christ crucifié pour expier les péchés des élus, la réconciliation avec Dieu de ces élus rachetés est obtenue et accomplie. L’unité pour laquelle Jésus a prié est entièrement réalisée et accomplie. Et cette unité réalise concrètement le but de la sanctification. L’acte sexuel qui prophétisait ce projet est bien plus grand spirituellement que l’être humain pouvait l’imaginer.

De tout mon cœur, je souhaite que ce témoignage vécue dans ma chair et mon esprit, encourage l’élu qui le lira.

Quand l’enfant paraît

L’amour en couple subit des transformations suite à la naissance d’un enfant. Les deux regards qui se croisaient se portent sur une troisième entité, l’enfant. Dans la majorité des cas, l’époux ressort de l’expérience frustré car l’attention de son épouse se porte maintenant, essentiellement, sur l’enfant. Et beaucoup de mères exagérément possessives affaiblissent, involontairement, leur relation avec leur mari. Le regard spirituel sur la vie peut éviter ce problème. Il suffit aux deux parents de considérer le fait que l’enfant mis au monde ne leur appartient qu’en petite partie seulement ; le vrai propriétaire prioritaire de cette nouvelle vie c’est le Dieu créateur. Les parents ne sont que les instruments physiques par lesquels il fait entrer dans la vie terrestre de nouvelles existences futures candidates pour l’éternité offerte en Jésus-Christ. Nous venons de voir que Jésus, « l’Epoux » spirituel a dit : « celui qui aime ses enfants plus que moi n’est pas digne de moi ». L’époux terrestre frustré d’amour et d’attention, par la mère de l’enfant qui naît, est en droit de tenir ces mêmes propos. Pour le couple, l’enfant n’a pas la priorité. Cette priorité actuelle résulte de la perversion des esprits modernes. Dans les anciens temps, la mortalité touchait énormément les naissances, et les parents se résignaient à prévoir le pire, le lien avec l’enfant était ainsi naturellement réduit.

Dans Apo.12, Dieu utilise la symbolique de « l’enfant » que fut Jésus-Christ pour illustrer la « nouvelle naissance » que ses élus doivent expérimenter pendant qu’ils sont sur la terre. Une nouvelle naissance qui naît « d’eau et d’Esprit ». Dans cette image, « l’enfant entre dans le ciel » et cette entrée dans le royaume de Dieu ne s’accomplira qu’à la fin du monde, au retour glorieux de Jésus-Christ. Dans cette symbolique, « l’enfant » est présenté comme le but final à atteindre. Mais ce qui est vrai sur le plan du symbole ne s’applique pas sur le plan charnel. L’enfant ne doit en aucun cas sonner le glas de l’amour du couple. Avec ou sans enfant, unis dans l’amour et la fidélité, le couple glorifie Dieu, et le couple stérile fidèle le glorifie autant que le couple procréateur. La procréation et la stérilité sont décidées par le Dieu créateur, même si des explications scientifiques permettent d’éclairer en notre époque la cause de cette stérilité. Rachel, l’épouse choisie par Jacob, était stérile, et Dieu lui permit cependant d’enfanter deux fils. Comprendre et tenir compte du fait que tous les aspects de la vie sont organisés selon le bon vouloir du Dieu créateur tout-puissant permet d’éviter des problèmes et beaucoup de souffrances mentales inutiles. L’image donnée dans Apo.12 révèle le vrai projet salvateur du Dieu vivant. La vie du Christ est parfaite de sa naissance à sa mort ; il n’a jamais péché. Cette vie offerte pour expier les péchés des seuls élus rachetés vient du ciel où elle portait le nom « Micaël, l’un des chefs principaux » a dit l’ange Gabriel à Daniel. La mort de Jésus n’était pas le seul but de sa venue sur la terre. Car le but principal pour Dieu est d’obtenir la transformation soit, la véritable conversion qui fait, d’un pécheur, un élu. Cette élection est obtenue quand le modèle présenté en Jésus est reproduit dans la vie du disciple appelé pour l’élection. La prise en compte de cette exigence divine est réservée à la seule et véritable sainteté. Ainsi, s’il ne recherche pas cette norme de sanctification « personne ne verra le Seigneur » comme l’a dit en toute vérité l’apôtre Paul dans Héb.12:14. Car seul l’élu sanctifié développe par sa conversion, en lui-même, « l’enfant » que Dieu « élèvera vers son trône » selon l’image d’Apo.12, et cette « enfant » doit reproduire le caractère et toute la perfection du Christ. Est-ce impossible ? Nullement. Jésus a affirmé que ses élus feraient et imiteraient ses œuvres et qu’ils en feraient même « de plus grandes ». Jésus nous a appris et montré que le cœur gagné par l’amour de Dieu ne peut plus pécher contre lui, parce qu’il devient incapable de faire du mal à celui qu’il aime « de tout son cœur, de toute son âme, de toute sa force et de toute sa pensée » soit, selon la norme qu’il a fixée. Dans cet état d’esprit, la loi des dix commandements ne condamne plus, elle justifie.

Dans cette illustration symbolique, Dieu ne fait que reprendre le sens prophétique qu’il a donné à « la femme » et « l’enfant » de sa création terrestre. Il s’agit d’une création expérimentale unique créée à l’image de son projet salvateur. Et il est toujours utile de le rappeler, la dimension terrestre fut créée pour permettre au diable et à tous les rebelles célestes et terrestres de révéler les conséquences de leur méchanceté que sont, la souffrance, l’inquiétude, la peur, la maladie et la mort. Sur la terre, l’amour en couple est confronté à ces attaques mentales et physiques. Et il est vraiment souhaitable que le conjoint élu qui vit en couple se souvienne qu’il ne forme avec son conjoint de sexe opposé qu’une seule chair qui doit être protégée contre cette adversité visible ou invisible ; faut-il encore que ce conjoint se laisse convaincre.

C’est après avoir été victime du « péché » que « la femme » se vit condamnée par Dieu à voir « les douleurs de ses enfantements augmenter ». Ces « souffrances » vont devenir au cours de l’histoire de l’église chrétienne, l’image symbolique des persécutions infligées aux élus du Christ, par la fausse religion chrétienne sous l’inspiration diabolique, et son bras séculier civil. C’est pourquoi, inspiré par l’Esprit du Père, Jésus déclare, dans Jean 16:21 à 23 : « La femme, lorsqu'elle enfante, éprouve de la tristesse, parce que son heure est venue ; mais, lorsqu'elle a donné le jour à l'enfant, elle ne se souvient plus de la souffrance, à cause de la joie qu'elle a de ce qu'un homme est né dans le monde. »  Après avoir présenté cette image, il donne son explication dans le verset qui suit : « Vous donc aussi, vous êtes maintenant dans la tristesse ; mais je vous reverrai, et votre cœur se réjouira, et nul ne vous ravira votre joie. » Jésus met ainsi en comparaison, « les souffrances et la tristesse » de la vie terrestre avec « le bonheur, la joie parfaite » que ses élus obtiendront en entrant dans la vie éternelle céleste. Aussi, ses élus devenus, dans ce contexte, semblables à lui, il peut leur dire ensuite : « En ce jour-là, vous ne m'interrogerez plus sur rien. En vérité, en vérité, je vous le dis, ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom. » Depuis que Jésus a prononcé ces paroles, des multitudes de chrétiens demandent au Père, en « son nom » toutes sortes de choses que Dieu ne leur donne pas obligatoirement. La cause nous est donnée dans Matt.7:21 où Jésus dit : « Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! N'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. » Et après que ces faux chrétiens aient revendiqué leurs œuvres en réalité dues au diable, ils ont « prophétisé, chassé des démons, fait des miracles », toutes choses qu’ils disent avoir fait en « son nom », il précise la cause de son jugement négatif : « Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité ». « L’iniquité » est le contraire absolu de l’équité qui désigne un jugement juste. Jésus reproche donc à ces faux chrétiens d’avoir mal jugé l’offre du salut divin et d’en avoir retenu qu’une fausse interprétation. Pour être plus clair encore, disons qu’ils n’ont pas abandonné la pratique du péché, tout en se réclamant de la grâce offerte en « son nom », Jésus, le seul « nom » qui sauve sous tous les cieux, selon Actes 4:12 : « Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. »

Cette dernière citation biblique a pu confirmer le lien qui relie l’obtention du salut, proposé par Dieu au nom de Jésus-Christ, et les conditions dans lesquelles, sous l’image de « l’enfant » de sa renaissance en la vérité du Christ et dans son caractère, l’élu doit se retrouver pour répondre à la juste exigence du Dieu créateur, rédempteur et régénérateur ; ce nouvel état étant celui de la « sanctification » dans laquelle le pécheur ne pèche plus par amour pour Dieu en Christ. Et pour justifier de ne pas atteindre cette sanctification, l’être humain n’a aucune excuse parce que précisément en Dieu créateur, en Jésus-Christ, Dieu a racheté les péchés de ses élus et que, dans le rôle du Saint-Esprit, Jésus-Christ met à la disposition de ses élus toute son aide basée sur son expérience terrestre.

 

 

Voies divines et voies humaines

 

Dieu a déclaré dans Esaie 55:3 à 11 : « Prêtez l'oreille, et venez à moi, écoutez, et votre âme vivra : je traiterai avec vous une alliance éternelle, pour rendre durables mes faveurs envers David. Voici, je l'ai établi comme témoin auprès des peuples, comme chef et dominateur des peuples. »

Dieu adresse ce message à ses serviteurs de « l’alliance éternelle » dirigée par le « Fils de David » qui allait recevoir le nom  « Jésus », dès sa naissance miraculeuse, dans la lignée de David qui concernait Joseph et Marie, ses parents officiels, selon la chair, comme le confirme Luc 2:4 : « Joseph aussi monta de la Galilée, de la ville de Nazareth, pour se rendre en Judée, dans la ville de David, appelée Bethléhem, parce qu'il était de la maison et de la famille de David, »

« Voici, tu appelleras des nations que tu ne connais pas, et les nations qui ne te connaissent pas accourront vers toi, à cause de YaHWéH, ton Dieu, du Saint d'Israël, qui te glorifie. »

L’offre du salut aux peuples dispersés sur la terre était prophétisée par Dieu et elle ne devait s’accomplir qu’après la mort et la résurrection de Jésus-Christ. Mais l’offre divine devait être acceptée et reçue par certains peuples, et les autres ont conservé leurs héritages religieux séculaires païens. De plus, hélas, tous les peuples chrétiens qui revendiquent cette religion ont été gagnés par le mensonge et le formalisme religieux, en sorte que la foi reste uniquement offerte à titre individuel.

« Cherchez YaHWéH pendant qu'il se trouve ; invoquez-le, tandis qu'il est près. Que le méchant abandonne sa voie, et l'homme d'iniquité ses pensées ; qu'il retourne à YaHWéH, qui aura pitié de lui, à notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner ».

Aujourd’hui, alors que les plus terribles événements vont frapper l’humanité, ce type de message prend une divine actualité. Dans ce verset, l’évocation du Dieu qui « pardonne » confirme l’idée qu’il est adressé aux bénéficiaires de la justice du Christ dont la mort volontaire a obtenu le « pardon » des péchés prophétisé par la fête du « Yom Kippur » ou « Jour des Expiations », et je précise encore que ces bénéficiaires sont exclusivement ses rachetés, élus et choisis par lui.

« Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit YaHWéH. Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées. »

C’est ce verset qui évoque le sujet de cette étude : « Voies divines et voies humaines ».

« Comme la pluie et la neige descendent des cieux, et n'y retournent pas sans avoir arrosé, fécondé la terre, et fait germer les plantes, sans avoir donné de la semence au semeur et du pain à celui qui mange, ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche : elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins. »

Déjà, selon les paroles exprimées dans ce verset, les voies de Dieu sont conduites jusqu’au terme de leur accomplissement. D’autant plus qu’aucune puissance ou volonté autre que la sienne ne peut l’en empêcher. Dans les images présentées, Dieu compare le passage sur terre du Messie Jésus aux œuvres accomplies par « la pluie et la neige », en sorte que Jésus est : le germe, la semence, le pain, et la Parole de Dieu. Ce verset prépare les paraboles que Jésus enseignera pendant son ministère terrestre. Il va témoigner en présentant la vie parfaite puis va mourir pour faire l’expiation des péchés. Par ces deux choses, il a mis en place l’offre divine du salut et va accomplir ainsi le dessein salvateur du projet de Dieu. C’est pourquoi, il a pu dire sur la croix « Tout est accompli » ; en conformité avec la « volonté » du Dieu créateur tout-puissant. Sa première venue sur la terre a porté tous ses effets.

 

On entend souvent les humains dire : « les voies de Dieu sont impénétrables ». Et cette pensée console ceux qui sont convaincus de cette situation. Deux versets « semblent » justifier cette pensée : Psa.139:17 : « Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables ! Que le nombre en est grand ! » Le second est Pro.25:2-3 : « La gloire de Dieu, c'est de cacher les choses ; la gloire des rois, c'est de sonder les choses. Les cieux dans leur hauteur, la terre dans sa profondeur, et le cœur des rois, sont impénétrables ».

Si le second verset désigne des choses réellement impénétrables, le premier qui concerne les pensées de Dieu, précise qu’elles « semblent impénétrables ». Au premier regard, celui qui n’entre pas en relation avec lui, ignore tout de ses pensées. Mais il n’en est pas ainsi de celui qui est entré dans son alliance. Les pensées dites « impénétrables » deviennent compréhensibles. Car la véritable relation avec Dieu se traduit par un partage de ses pensées avec ses serviteurs, selon qu’il est écrit dans Amos 3:7 : « Car le Seigneur, YaHWéH, ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes. » A la lumière de ce verset, il paraît clair, qu’étant révélée à ses serviteurs les prophètes, la pensée de Dieu n’est pas « impénétrable ». Cependant reste « pénétrable » que ce qui est révélé selon Deut.29:29 : « Les choses cachées sont à YaHWéH, notre Dieu ; les choses révélées sont à nous et à nos enfants, à perpétuité, afin que nous mettions en pratique toutes les paroles de cette loi. »

Ayant reçu de Dieu des explications claires sur les lumières prophétiques qui devaient éclairer notre compréhension du jugement de Dieu, je peux te proposer un moyen très simple pour savoir ce que Dieu pense sur tel ou tel sujet. Il suffit d’entendre l’opinion que ses ennemis ont de la chose ; en règle générale, l’opinion de Dieu sera l’exact contraire, diamétralement opposé.

Dieu est contre tout ce qu’ils approuvent ; le système est donc très simple à appliquer. Aussi, est-il absolument nécessaire d’identifier ces ennemis de Dieu. Et c’est précisément ce qu’il nous présente dans ses prophéties de Daniel et Apocalypse et beaucoup d’autres livres de la Bible citant des prophéties.

Qu’est-ce qu’une prophétie ? C’est la révélation anticipée du jugement de Dieu sur des actions, ou des entités qui apparaissent au cours des siècles de l’histoire humaine. Quand le contexte étudié est identifié, la pensée secrète du jugement de Dieu nous est révélée, sur les entités concernées, dans l’époque ciblée.

A la base des prophéties consacrées au temps de la fin, il y a le livre de Daniel, nom qui signifie, précisément, « mon Juge est Dieu ». Or, depuis ce premier livre, Dieu a construit la révélation de son jugement au sujet de Rome dans toute son histoire et sa fausse conversion à la foi chrétienne. L’ennemie préférée de Dieu est donc identifiée : la foi catholique. Et depuis 1843, sa seconde ennemie privilégiée est la foi protestante, qui légitime son héritage du dimanche romain souillé par sa dédicace au « divin » « Soleil » des païens romains et autres. Nous savons que pour lever une malédiction, Dieu exige l’abandon du péché et le fruit de repentance. Ainsi, ne répondant pas à cette exigence, nous savons que la religion juive est pour Jésus, une « synagogue de Satan » selon Apo.2:9 : « Je connais ta tribulation et ta pauvreté (bien que tu sois riche), et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan. » Ce jugement du Christ est révélé clairement, car à l’époque de Jean, le refus national du Christ appelé Jésus de Nazareth est reconnu officiellement. Les symboles favorisant le mystère vont être utilisés par Dieu pour désigner les traîtres de la religion chrétienne, parce que les malédictions divines qui les concernent vont s’allongeaient sur environ mille sept cent années d’histoire qui commence en l’année fatidique maudite 321. Relève que ces chiffres semblent ordonner le départ d’une course, en fait, le départ d’une épreuve de foi douloureuse perpétuelle.  Au cours de ce temps, sept malédictions meurtrières frappent l’humanité coupable, Apo.8, 9, et 11 les présentent, sous l’image de « sept trompettes » qui révèlent leur rôle d’avertissements successifs suscités par la volonté du Dieu offensé.

En ce moment de l’approche du printemps 2022, soit , 8 ans avant le retour glorieux du Christ et environ 7 ans avant la fin du temps de grâce, les organisations religieuses frappées par la malédiction de Dieu ne se sont pas repenties et elle conservent donc un statut spirituel maudit par Dieu.

L’actualité du 24 Février 2022 a été marquée par l’attaque du territoire de l’Ukraine par les troupes Russes. Et alors que les observateurs de ces faits n’évoquent que le sujet et le mobile nationaliste de l’affrontement, j’apporte mon analyse du sujet en relevant que les deux belligérants sont, principalement à la base, opposés par des choix religieux traditionnels hérités depuis des siècles. En fait, la haine qui dresse ces deux camps l’un contre l’autre est la conséquence d’une opposition séculaire entre la foi catholique et la foi orthodoxe. Mais dans le camp de l’Ukraine, il faut ajouter la foi juive, puisque depuis 2019 le nouveau président de l’Ukraine est Volodymyr Zélensky de religion juive. Ainsi, selon le jugement de Jésus-Christ révélé dans Apo.2:10 et 3:9, « la synagogue de Satan » est impliquée dans le conflit et dirige le camp catholique et juif. J’ai déjà révélé la malédiction qu’a été pour le monde le retour des Juifs en Palestine depuis 1947. L’élément  principal de la dispute est dans la catholicité de l’Ukraine, et sa judaïté mal acceptée par les Russes, les deux composantes étant entrées en révolte contre la domination russe orthodoxe. Il s’agit là d’une généralité car des cas particuliers existent dans toutes les formes parmi lesquels les choix des agnostiques. Depuis longtemps, ce pays ukrainien est constitué par des ressortissants russes du côté Est, et des gens rattachés à la Pologne catholique du côté Ouest. Restée depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale sous la botte russe, la Pologne devenue indépendante a rejoint le camp européen occidental et lui a donné un pape prestigieux, Jean-Paul 2 dont le nom civil était Karol Wojtyla. Et beaucoup de Juifs polonais persécutés en Pologne par les « nazis » ont trouvé refuge dans l’ouest de l’Ukraine. Cette Pologne a été le « cheval de Troie » que les européens ont fait entrer dans leur alliance. La Pologne recréée entre les deux premières guerres mondiales fut responsable de l’attaque allemande contre elle, parce qu’elle maltraitait les Allemands vivant sur son territoire ; ce qui marqua le début de la Seconde Guerre Mondiale. Comme toutes les cohabitations conflictuelles, des longues périodes de paix favorisent le mélange des trois choix religieux et leur dispersion dans tout le territoire. Mais au jour choisi par Dieu, la dispute éclate et la situation dégénère et devient conflictuelle jusqu’à se combattre pour tuer l’adversaire. Le vainqueur entend contrôler le territoire dans son intégralité. La sagesse de l’acceptation du compromis et du partage du pays en deux zones est fanatiquement refusée par le camp Ukrainien polonais. Aussi, n’ayant plus le choix, la Russie est intervenue avec toute sa force militaire pour soutenir la cause des Ukrainiens russophones.

A l’origine des problèmes, il y a l’expansionnisme des USA organisateur du camp de l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord). Après la Guerre de 1939-1945, Russes, Américains et leurs alliés, acceptèrent les conditions proposées par la Russie soviétique dirigée par Staline. Le territoire Allemand du peuple vaincu fut partagé et devint la limite entre le bloc de l’Est et le bloc de l’Ouest. Le combat entre ces deux blocs fut permanent. Les USA luttant pour arracher à la Russie des pays de son camp. Ils sont arrivés à leur fin, en favorisant la ruine économique et politique de l’URSS ; allant jusqu’à refuser de vendre du blé à la Russie ruinée et affamée. Profitant de cette ruine et d’un changement de politique en Russie, les pays Baltes et la Pologne et leur haine de la Russie retrouvèrent leur indépendance, d’autres pays suivirent, parmi lesquels la Roumanie. Sous le nom historique de « Guerre des Balkans », la Yougoslavie, pays allié des Russes, unifiée par le dictateur Tito, éclate en guerre nationaliste après sa mort,  entre les Serbes orthodoxes, la Bosnie musulmane, et la Croatie catholique romaine. Et là encore, le motif de la colère Serbe contre les Albanais qui maltraitaient des ressortissants serbes au Kosovo (comme les Polonais maltraitaient les Allemands) ne fut pas reconnu par le camp occidental des USA et de l’Europe. L’aviation américaine a répandu sur le camp serbe des milliers de bombes et imposé la partition de ce Kosovo précieux pour les Serbes, parce que là, se trouve le berceau natal de leur peuple. Injustement, le Kosovo leur fut enlevé et donné à l’immigration albanaise. Les Serbes étaient les alliés des Russes, affaiblis dans cette époque. Dans cette expérience, l’Europe a pris parti et jugement contre la Serbie. Ses tribunaux ont arrêté le dirigeant serbe Slobodan Milosévic et il est mort dans sa prison, avec soupçon d’empoisonnement. Toutes ces exactions entreprises par les USA et l’Europe ont été enregistrées par la Russie incapable de défendre ses alliés. Mais la vengeance est un plat qui se mange froid dit le dicton, et l’actuel chef très puissant de l’actuelle puissante et forte Russie a gardé de toutes ses injustices un souvenir amer et une rancœur qui se transforme, avec le temps, en haine profonde de l’Occident. Cette haine est attisée par son jugement du type de société que représente l’Occident qui s’est délivré de tous les tabous religieux et se glorifie de toutes ses dérives et ses débordements moraux et sexuels. Ce jugement personnel de Vladimir Poutine va tenir un grand rôle quand il devra se lancer dans l’invasion des terres occidentales, en écrasant la faible résistance armée qui lui sera opposée. L’expérience de l’Ukraine dont le nom signifie frontière, va donner au camp européen occidental une illustration du sort qu’il leur réserve. Ce nom de « frontière » prophétise le rôle de ce territoire dont le désir de son attachement au camp de l’OTAN constitue le franchissement de la limite du supportable pour les Russes. L’appétit insatiable du camp de l’OTAN, sera puni et écrasé par les armées russes. La frontière sera récupérée, et les Russes déborderont et envahiront tout l’occident européen et jusqu’en Israël. La chose est prophétisée dans Dan.11:40 à 45 où la Russie est désignée comme « roi du septentrion » et les forces musulmanes comme « roi du midi ». Le territoire envahi est l’Europe ciblée dans la prophétie au titre de sa lignée romaine papale. Dans Apo.18:24, Dieu dit au sujet de Rome appelée « Babylone la Grande » : « … et parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre. ». Dieu impute à Rome la responsabilité des massacres qui ont ensanglanté la vie occidentale. Et il est très édifiant de réaliser son rôle dans la guerre qui oppose l’Europe catholique et athée actuelle, née sous deux « traités de Rome », à la Russie redevenue purement orthodoxe mais plus communiste. Sous les incitations diaboliques des visions de la Vierge, les peuples catholiques sont poussés à convertir les peuples orthodoxes de l’Est. Et le rôle de cette foi catholique papale romaine est fondamental dans l’explication des initiatives prises par le camp occidental comme ce fut le cas dans la guerre des Balkans où USA et Europe ont pris parti pour le camp croate catholique papal romain contre la Serbie orthodoxe. La sainteté réelle n’est pas plus dans l’orthodoxie que dans le catholicisme ou le protestantisme, pas plus que dans l’islam, mais les injustices commises permettent à Dieu de faire retomber sur les têtes des coupables sa colère destructrice. A l’heure où nous sommes, cette colère divine va prendre des formes jamais vues par l’humanité, comme le chef russe vient de l’exprimer. Des armes destructrices redoutables ont été mises au point pour accomplir, sans que leurs utilisateurs le sachent, le dessein destructeur du Dieu créateur qui donne vie ou mort selon sa parfaite et incorruptible justice.

Dans l’échelle des culpabilités religieuses chrétiennes, nous avons à la base l’abandon du sabbat, et l’adoption du dimanche romain dans la foi catholique romaine de 321, jusqu’en 1843 et au-delà, également dans la foi orthodoxe héritière du dimanche catholique, mais aussi dans la foi protestante émigrée au USA depuis cette date, 1843, qui l’a aussi conservé.

Dans l’ignorance du jugement de Dieu, les autorités européennes s’engagent à l’unanimité pour porter secours et aide au camp de l’Ukraine catholique. Habitués à leur arrogante domination économique, ces peuples prennent des initiatives que le peuple russe et son chef peuvent, légitimement,  recevoir comme un pris parti de guerre, tenant compte comme Dieu des œuvres et non des paroles. Dans une incroyable inconscience, ils multiplient des mesures de grandes hostilités visant à ruiner la Russie, donnent des armes à son ennemi ukrainien. Ils préparent ainsi, une colère russe d’autant plus forte que Dieu la suscite pour les frapper, comme Dan.11:40 à 45 et Ezéchiel 38 le prouvent et le révèlent. Si ces gens si agressifs connaissaient le programme préparé par Dieu, ils seraient terrorisés en découvrant le sort qu’ils se seront eux-mêmes préparé. Dans la prophétie d’Ezéchiel 38, la Russie actuelle est appelé « Gog » et Dieu situe l’une de ses villes, « Togarma », « à l’extrémité du septentrion », ce qui confirme son nom de « roi du septentrion » dans Dan.11:40. On trouve dans Ezé.38:4 cette déclaration de Dieu : « Je t'entraînerai, et je mettrai une boucle à tes mâchoires; je te ferai sortir, toi et toute ton armée, chevaux et cavaliers, tous vêtus magnifiquement, troupe nombreuse portant le grand et le petit bouclier, tous maniant l'épée ; » Si l’armement décrit est anachronique, le principe guerrier reste le même ; les balles des fusils mitrailleurs remplacent les épées et les chars d’assauts remplacent les boucliers. Ce qu’il convient de relever, c’est l’expression « je t’entraînerai, et je mettrai une boucle à tes mâchoires ». Cette contrainte divine contraste avec l’idée que les observateurs occidentaux actuels imputent au chef russe. La nécessité d’être contraint par Dieu à entrer en guerre décrit un chef russe qui favorise la paix et la tranquillité pour son peuple. Et cette précision confirme que V.Poutine s’est trouvé contraint à agir par la force, par la détermination fanatique du camp ukrainien à se libérer totalement de sa tutelle politique. V.Poutine ne se résout pas à accepter de perdre « sa frontière » reconnue par le camp occidental depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. Or, les faits confirment la cause de cette contrainte. L’Ukraine est entrée en rébellion contre la Russie, en 2014, en renversant illégalement son président russe élu légalement et légitimement par l’ensemble du peuple ukrainien. Avant et après cette action plusieurs présidences ont été renversées pour cause de corruption. Et la décision finale de rejoindre le camp de l’OTAN a été la mesure de trop, celle qui a arraché V.Poutine à sa tranquille gestion de son pays. Entre l’Occident et l’Est, le dialogue est impossible tant les mentalités sont différentes. L’Occident pour lequel seuls l’argent et la liberté comptent au prix de l’insécurité publique ne peut pas comprendre l’esprit russe très conservateur et respectueux des vieilles valeurs humaines privilégiant la sécurité et l’ordre soit, des valeurs opposées dans l’absolu à celles de la société occidentale. Relève que pour châtier le plus coupable, Dieu fait appel au moins coupable. De la même manière, Dieu fit appel au roi Nébucadnetsar païen pour châtier l’infidélité de son peuple Israël tombé dans une apostasie totale. Et de même, l’immorale Europe sera frappée par la Russie vertueuse et très morale. Les démocraties paient en insécurité la conséquence de la liberté qu’elle donne à tous les courants de pensées civils et religieux. Le laxisme de ce type de société favorise le développement du mal. Et la liberté offerte à tous permet aux riches de profiter de cette liberté pour s’enrichir encore plus, par la corruption et les magouilles politiques. En France, ce laxisme a atteint un tel niveau que la possibilité du vivre ensemble est compromise. Les mélanges ethniques et religieux ont préparé une situation explosive au point que l’entrée dans la Troisième Guerre Mondiale va mettre fin à une situation devenue insupportable. A ce niveau, la guerre résout tous les problèmes et elle rappelle aux êtres humains les vraies valeurs spirituelles. Car la démonstration est faite que seule l’entrée en Guerre mondiale sera capable de réveiller les consciences de certains européens récupérables par le Dieu de vérité. Les injustices subies par la Russie ont laissé froids les européens occidentaux égoïstes, orgueilleux, et rebelles. Ils ont ainsi témoigné de la même indifférence pour les sujets civils et religieux montrant ainsi que le mal est profond et bien enraciné dans leurs âmes.

La fin de l’expérience va éliminer en première cette Russie que Dieu va premièrement utiliser pour écraser par sa domination l’Europe catholique et athée, libertine et libertaire. Elle ne devrait apparemment pas utiliser l’arme nucléaire en première. Sa puissance militaire conventionnelle lui permet d’écraser l’Europe faible parce que désarmée. Mais au pinacle de sa domination sur l’ensemble de l’Europe, « de l’Atlantique à l’Oural » selon son vieux projet, l’attaque nucléaire de son territoire par les USA changera la situation de la guerre. Mais dans la situation du désespoir, de terribles massacres de populations et d’armées vont réduire l’humanité « d’un tiers » symbolique qui peut réellement produire facilement beaucoup plus de victimes. Les humains ont ignoré que l’usage de l’arme nucléaire ne dépendait pas d’une décision humaine mais d’une décision divine. C’est pourquoi, cette arme nucléaire sera utilisée lorsque Dieu voudra préparer l’extinction de l’humanité sur la terre.

La dernière épreuve de foi concernera les survivants d’une effroyable hécatombe. Et selon Apo.9:20-21, leur état moral sera identique à celui des rebelles antédiluviens dont la nature était entièrement gagnée par le mal : « Les autres hommes qui ne furent pas tués par ces fléaux ne se repentirent pas des œuvres de leurs mains, de manière à ne point adorer les démons, et les idoles d'or, d'argent, d'airain, de pierre et de bois, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni marcher; et ils ne se repentirent pas de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité ni de leurs vols. » Au même moment, les élus du Christ restés vivants devront en opposition incarner la nature et le comportement de Jésus-Christ et celui de ses apôtres. « Les voies de Dieu » révélées annoncent une menace de mort contre les derniers observateurs du sabbat. Cette ultime attaque contre le sabbat de Dieu révèle l’identité de l’incitateur et instigateur en chef, caché dans l’invisibilité de sa nature angélique céleste : Satan, celui qui incita Eve à manger de l’arbre interdit par Dieu. C’est pourquoi, dans une dernière épreuve de foi, Dieu veut infliger à Satan une dernière magistrale défaite. La gloire divine éclatera par la fidélité de ses derniers élus. Condamnés à mourir s’ils refusent d’abandonner leur pratique du sabbat pour honorer le dimanche romain, ils devront rattraper la faute commise par Eve. Et pour les aider à tenir ferme devant cette condamnation à mort, la foi individuelle va faire la différence, car la prophétie a révélé l’intervention de Jésus en leur faveur, avant l’exécution mortelle. Ainsi les derniers élus seront d’authentiques témoins de la foi placée dans la révélation prophétique divine donnée au nom de Jésus-Christ. Le conseil éclairé et inspiré de l’apôtre Pierre va ainsi prendre une importance capitale : 2 Pierre 1:19 : « Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs ; sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »

Les voies divines prophétisent la victoire de Dieu et de ses derniers élus et sur la terre, les derniers représentants de l’humanité rebelle, sont détruits en se livrant à des règlements de compte sanglants. Le mensonge des enseignants est alors expié par le massacre des religieux séducteurs, par leurs nombreuses victimes qui savent maintenant, que le salut est pour eux définitivement perdu.

 J’ai relevé dans les réactions des Occidentaux, suite au conflit qui oppose la Russie et l’Ukraine polonaise, un comportement qui prouve un aveuglement des esprits par Dieu. En effet, la réaction unanime, de punir la Russie par des sanctions financières, économiques et des livraisons d’armes, était justifiée dans le but d’affaiblir la Russie dans l’espoir que le peuple russe victime de cet appauvrissement se soulève contre son chef. Mais, étonnamment, sur le plan humain, personne, ni parmi les politiques, ni parmi les journalistes, n’a évoqué l’idée que le résultat de ces sanctions pouvait aboutir à des effets contraires. Les Russes victimes des sanctions occidentales peuvent trouver là une raison de se regrouper derrière leur chef national et préparer dans la haine un désir de vengeance qui les conduira à envahir cet occident, pour punir les auteurs de ces sanctions qui les ont tous ruinés.

Connaissant par la prophétie, le but poursuivi par Dieu, je peux analyser la trame de la construction des faits et les rôles des entités concernées.

Le but est la destruction de l’Europe infidèle arrogante. Le moyen de cette destruction est la colère de la Russie. La cause de cette colère russe, est l’intransigeance nationaliste du gouvernement ukrainien polonais qui a agressé sur son territoire de l’Est, le Donbass, pris pour camp par les ukrainiens pro-russes. Ce regroupement des pro-russes s’est accompli suite au renversement illégal du président russe de l’Ukraine. La raison de la guerre civile ukrainienne est religieuse ; l’Ouest polonais catholique contre l’Est russe orthodoxe. Et finalement, l’invasion de l’Europe par les Russes aura été motivée par son soutien et son parti pris pour l’Ukraine.

J’ai relevé également un paramètre qui explique pourquoi l’événement évoqué tourne à la catastrophe. Il s’agit de la jeunesse et donc de l’inexpérience des agents gouvernementaux. Je relève particulièrement combien leur jugement est à géométrie variable. Pour les séduire, il suffit de dire qu’on veut rejoindre l’Europe. L’Europe a déjà beaucoup accueilli et son aspect cosmopolite, à l’image des USA, lui a déjà apporté plus de problèmes que de solutions. Mais je souligne, particulièrement, que l’Europe, où la règle est le compromis, veut accueillir avec enthousiasme cette « démocratie » ukrainienne, qui combat et veut imposer à ses compatriotes et frères pro-russes, sa domination exclusive sur tout le territoire ukrainien. Ceci d’autant plus, que la Russie de V.Poutine réagit de la même manière, en voulant récupérer le berceau de son peuple situé à Kiev. Mais cest là, le comportement illogique normal d’une Europe jugée et ciblée par Dieu et sa grande colère. A ceux qui s’étonnent de voir des peuples entrer en guerre civile, je rappelle que la France a connu ce genre de chose à plusieurs reprises. Et n’oublie pas non plus, la guerre fratricide des USA appelée « Guerre de Sécession ».

 

Au « temps de la fin » cité dans Dan.11:40, les religions monothéistes sont toutes frappées par la malédiction de Dieu. Mais le degré de culpabilité croît avec le temps, parce que les preuves de la malédiction divine culpabilisent davantage encore ceux qui ne tiennent pas compte du témoignage rendu par l’histoire avant eux. Ainsi, le judaïsme refusa le Messie Jésus ; après lui la foi catholique a déformé les commandements de Dieu et fait de la foi chrétienne une simple « étiquette » qui, selon elle, ouvre « les portes » du ciel. Dès sa naissance, la vraie foi protestante a dénoncé ces péchés catholiques, mais avec le temps qui passe, elle s’est transformée à son tour en « étiquette », reproduisant les péchés du catholicisme et en conséquence, sa culpabilité est encore plus grande. Vient après, le cas de l’adventisme du septième jour qui a derrière lui, les exemples catholiques et protestants avec lesquels il a noué une alliance fraternelle, officiellement, en 1995. Après les enseignements révélés par Jésus-Christ à ses pionniers au sujet de la foi catholique, son cas est encore plus condamnable par le Dieu Saint révélateur.

L’affrontement entre la Russie et l’Ukraine n’aurait pas existé, si les ex- pays de l’Est, libérés dans l’effondrement économique et politique de la Russie, n’avaient pas placé leur espoir dans un soutien militaire actif des USA. Ces USA ont façonné à leur guise, l’Europe, ramassée en lambeaux après la Deuxième Guerre Mondiale, et ils ont fait d’elle, depuis l’Allemagne, le territoire stratégique de leur combat contre la Russie soviétique. Ajoutons la réussite matérialiste du camp de l’OTAN, et on peut comprendre le désir, des peuples rattachés à la Russie appauvrie, de rejoindre ce camp séducteur matériellement enviable. Mais ces peuples se sont trompés en mettant leur espoir sur la protection armée des USA. Personne, parmi les gens non éclairés par Dieu par la prophétie de Dan.11:40 à 45 ne pouvait savoir que les USA refuseraient de s’engager militairement dans un combat direct contre la Russie. Et dans notre actualité, depuis le président Trump ce retrait militaire des USA est devenu une preuve constatée. Les USA, laissent l’Europe, ce « tigre de papier », assumer les conséquences de l’accès à l’OTAN. Et c’est ainsi que l’Europe attire sur elle la colère d’une Russie puissante et déterminée à retrouver la domination soviétique glorieuse du temps passé. Mais, ce que le monde ignore, c’est que ce conflit s’engage huit années avant la fin du monde, et que pour cette raison, l’usage des armes nucléaires est prévu par Dieu. C’est justement, l’envoi de bombes nucléaires sur la Russie par les USA restés momentanément en retrait, qui conduit cette Russie, le « roi du septentrion » de Dan.11:44, à « exterminer », à son tour, « des multitudes » dominées jusqu’à ce moment : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. » Et ce sont ces exterminations qui vont provoquer la mort du « tiers » symbolique de l’humanité, dans ce conflit qui va mobiliser « 200 millions » de combattants, selon les enseignements donnés dans la « sixième trompette » d’Apo.9:11 à 21.

La Russie a relevé la présence de groupes « nazis » dans le camp de l’Ukraine. Elle n’est pas la seule à les avoir remarqués, puisqu’au moment du « putsch » populaire qui a renversé le président Russe ukrainien, en 2014, tous les observateurs européens médiatiques ont dénoncé eux-aussi cette présence « nazie ». Mais qu’est-ce que le « nazisme » ? Les européens l’ont rattaché au désir d’exterminer les Juifs en s’appuyant sur le témoignage historique accompli décidé en Juillet 1942, précisément un « 9 Av » redouté par les juifs, parce que déjà marqué pour eux par de multiples malédictions. Mais avant d’opter pour « la solution finale » qui visait effectivement l’extermination des Juifs, l’idéologie « nazie » était le national socialisme. Ces deux mots sont séducteurs mais dans l’application du « nazisme », ils se caractérisent par l’extrémisme le plus poussé qui n’accepte aucun compromis et tue quiconque ne partage pas le point de vue du parti. En Allemagne, le nazisme, le parti d’Adolf Hitler, s’est révélé dans la « nuit des longs couteaux », moment où les « nazis » déjà « SS » ont exécuté les phalanges des « SA » moins fanatiques. N’y a-t-il pas une certaine ressemblance avec le combat acharné destructeur de l’Ukraine de l’Ouest contre les Ukrainiens du Donbass, bombardé chaque jour depuis 2014 ?

La véritable définition du « nazisme » est donc à reconsidérer.

 

 

La société des monstres

 

Cette société des monstres est le dernier fruit porté par le « monde nouveau ».  Elle a été rendue possible par l’association de deux paramètres : le temps et la science. Un long temps de paix depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale a favorisé à la fois l’extension de l’esprit de liberté et les avancées technologiques de la science et de la médecine.

C’est paradoxalement, mais ceci est très révélateur de leur état spirituel, des USA, et donc, depuis l’extrême Occident, que sont nées les pensées abominables et monstrueuses. L’aspect paradoxal repose sur le fait que le président des USA pose sa main sur la Bible quand il fait serment de servir son pays. Et pourtant dans ce pays si religieux, les droits de la sacro sainte liberté sont privilégiés au point de laisser à chacun le droit d’exprimer et d’enseigner toutes sortes de pensées abominables pour le Dieu créateur. Or, dans nos derniers jours, les idées sont lancées sur les réseaux internet qui ne respectent aucune frontière et aucune limitation. Les idées les plus folles et démoniaques atteignent ainsi des multitudes de gens influencés et convertis. J’ai depuis longtemps redouté avec raison les conséquences du développement de cette arme de propagande offerte au monde par les USA. Nos sociétés modernes reproduisent les péchés des antédiluviens, ceux de Sodome et Gomorrhe, mais elles y ajoutent ceux de notre époque libertaire. L’athéisme, ou plus simplement, la rupture établie entre Dieu et les chrétiens infidèles produit une remise en cause des choses que Dieu a créées et sanctifiées dès sa création du monde. Ainsi, au 6ème jour, Dieu témoigne de ce qu’il a créé le mâle, l’homme, et qu’il a formé de l’une de ses côtes, sa version femelle, la femme. L’être humain est donc physiquement et psychiquement un homme ou une femme. La possibilité est donc binaire. Mais en notre époque, la science a obtenu le moyen de modifier la nature sexuelle par des traitements hormonaux et ces méthodes chimiques favorisent des changements physiques du corps humain. Dans le même temps, dans certains cerveaux humains non protégés par Dieu, les démons ont inspiré la pensée que leur sexualité réelle n’était pas celle que présente leur aspect physique. De là, est sortie la pensée de la possibilité de choisir son sexe. Avant cette forme extrême, des déviances dues aux mêmes démons conduisaient des êtres humains à transformer leur apparence. Ces gens dits « travestis », entraient dans le rôle du sexe opposé au leur. Mais avec la science chirurgicale, de nouvelles possibilités leur ont été données. Ainsi avec l’usage des hormones le changement physique complet peut être obtenu. Cependant, ces changements physiques ne concernent pas l’esprit de l’être ainsi changé. Car dans la réalité, il reste fondamentalement ce qu’ils étaient à leur naissance. Et pour peu que les démons se retirent ou changent leur incitation, la marionnette humaine « trans-formée » peut se retrouver dans un état d’esprit qui perd tous ses repères. Le monstre est né.

Pour mieux comprendre encore les attirances vers ces nouveautés mentales, il faut réaliser la conséquence de la quasi domestication de l’esprit humain, par la technique audio-visuelle et les relations virtuelles établies sur les réseaux d’internet. La grande coupable de nos drames mentaux est l’informatique apparue successivement après l’électricité et l’électronique. Pour les esprits humains, le double esclavage de cette informatique envahissante et celui de l’inspiration constante à l’imagination très poussée des démons célestes invisibles, la situation est tragique et sans remède. Où peut s’arrêter la pensée des créatures de Dieu ? Je n’ai pas la réponse, mais le temps fixé par lui, maintenant limité à huit années, la stoppera à coup sûr.

 

 

 

 

 

 

De la « solution finale » à la « solution finale »

 

Jusqu’à ce jour du 16 Mars 2022, l’expression « solution finale » désigne pour tous les historiens, la tentative des « nazis » allemands d’exterminer, à partir de 1942, tous les Juifs d’Europe. Mais je vais apporter dans ce document à cette expression un message prophétique secondaire.

Sur toute la terre, des êtres humains cherchent les causes des conflits qui se développent, mais ils cherchent des causes humaines. Les analyses que je présente expriment le jugement du Dieu vivant créateur de tout ce qui existe. Aussi, faut-il le comprendre, les causes de nos drames actuels se trouvent dans le passé, bien loin de notre époque. La Bible nous permet de découvrir ce que Dieu a pensé au cours des 6000 années prévues pour le péché terrestre. Les prophéties de Daniel et Apocalypse éclairent de manière complémentaire le jugement de Dieu sur environ 26 siècles soit, de – 605 jusqu’au retour du Christ, au printemps 2030. Alors que les hommes examinent et retiennent les explications charnelles terrestres, Dieu  nous présente son point de vue qui révèle des causes spirituelles. Entre les deux conceptions, l’abîme se creuse. L’humanité n’a jamais cessé d’expier dans les malheurs le mépris qu’elle a manifesté envers la souveraine volonté révélée de Dieu. Mais la vie des hommes est limitée contrairement à celle du Dieu éternel, et les hommes meurent et se succèdent. Les soixante-dix ou quatre-vingt ans de leur courte vie ne suffisent pas à eux-seuls pour comprendre la colère de Dieu.  Les uns après les autres, les hommes héritent de la malédiction divine, et leurs fils héritiers reproduisent les fautes de leurs pères. C’est donc dans le passé, quand Dieu a parlé et fait écrire ses lois, ses ordonnances, ses commandements, et ses annonces prophétiques, que ses élus, d’aujourd’hui, peuvent découvrir les motivations de son perpétuel jugement. Il en est ainsi pour « la solution finale » qui a frappé les Juifs en 1942. Et par cette action, Dieu a fait accomplir, puissamment, la réponse qu’il a voulu donner aux paroles proférées par les Juifs rebelles animés par le clergé Juif rempli de haine envers Jésus-Christ décidé à le voir mourir crucifié plutôt que l’assassin Zélote, Barabbas. Selon Matt.27:25, ils ont crié à Ponce Pilate, le Procurateur romain : « Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! ». Tout au long des siècles, les « pères » ont été persécutés et leurs enfants après eux. Ils ont été ainsi exaucés au-delà de leur espérance. En 1942, les enfants de l’époque ont été frappés avec leurs parents par la même colère divine allumée par l’outrage historique de leurs pères et par l’endurcissement des fils au cours des siècles.

En effet, cet événement qui a bouleversé les sociétés occidentales va se reproduire, au retour du Christ, puisque selon Apo.13:15, une tentative d’extermination des derniers élus restés fidèles au sabbat divin est prophétisée : «Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. » Ceci signifie que les survivants rebelles organisateurs de cette seconde « solution finale » seront dans le même état d’esprit que les « nazis » allemands de 1942. Un troisième message est délivré par cette expression « solution finale ». Il révèle un projet préparé par Dieu qui a prophétisé des châtiments contre les transgresseurs de ses alliances. Ce projet apparaît dans ce verset de Rom.2:9 : « Tribulation et angoisse sur toute âme d'homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec ! » Dans ce verset, les mots « Juif » et « Grec » désignent les deux alliances successives, l’ancienne, passée avec le peuple Hébreu, et la nouvelle, dans laquelle le païen « Grec » ou de toute autre origine, est autorisé à entrer par sa reconnaissance du sacrifice expiatoire accompli par Jésus-Christ. Pour n’avoir pas reconnu son Messie envoyé par Dieu, « le Juif » a subi les « tribulations » perpétuelles infligées par Dieu, par diverses persécutions humaines. En prenant les « Juifs » pour cible principale de sa colère en 1942, Dieu a voulu adresser à toute l’humanité un solennel et très sérieux avertissement, car pour son infidélité, le faux-chrétien, « le  Grec », va devoir à son tour lui rendre des comptes. C’est le sens que nous devons donner à la « Troisième Guerre Mondiale » ou « sixième trompette » d’Apo.9:13 que nous voyons s’engager dans l’actualité depuis le 24 Février 2022, à partir de l’affrontement qui oppose la Russie et l’Ukraine. Car dans ce dernier conflit, le feu nucléaire va remplacer les fours crématoires nazis. L’hostilité massive manifestée par des prises de sanctions contre la Russie ne sera pas oubliée, et nous trouvons dans ce comportement insensé le motif qui conduira bientôt la Russie à mettre momentanément l’Europe entière sous sa domination.

En France, le jeune président ambitieux mais inexpérimenté, réagit en homme d’honneur qui se porte au secours de son prochain qu’il voit attaqué. Ces réactions se justifient par la surestimation de la valeur que l’Europe donne au mot démocratie. Ce terme, d’origine grecque, signifie « ville Etat » dont l’organisation appartient au choix de ses habitants. Selon, les formes choisies par les peuples, la démocratie peut donc prendre des formes très différentes. C’est pourquoi, derrière ce mot, nous trouvons des organisations où les pouvoirs sont délégués à la direction d’un commissariat comme c’est le cas pour l’Europe Unie. Les choix des peuples y sont ignorés et les décisions prises sont adoptées et reconnues par les élus locaux qui servent d’alibi au terme « démocratie ». A l’origine de ce rassemblement, il y a le choix personnel des dirigeants nationaux qui ont imposé aux peuples européens leur décision. Dans ces démocraties, l’opinion du peuple ne compte plus, car des intérêts financiers économiques sont en jeu. Parce que la situation leur a été favorable économiquement, les dirigeants de l’UE ont éprouvé un sentiment de force et de supériorité, et ils ont méprisé la Russie, son échec et sa ruine en 1992. Depuis cette date, la Russie a subi de nombreuses humiliations jusqu’à voir, dans la guerre des Balkans, son alliée, la Serbie, être bombardée par l’aviation des USA et combattue par les forces françaises et anglaises. A cette époque, triomphant, l’occident a pu imposer sa loi selon le principe qui donne la victoire au plus fort : « la raison du plus fort est toujours la meilleure », dit la fable de Jean de la Fontaine.

En Février 2022, s’étant relevée, la Russie a reconstruit sa force et sa puissance militaire. Et à son tour, elle montre aux occidentaux qu’elle a appris de leur comportement. Tous ces événements visaient à aboutir à la situation actuelle. C’est pourquoi la tentative de l’Ukraine de rompre son lien avec la Russie constitue la cause que Dieu image par l’action de « mettre une boucle aux mâchoires » du chef russe dans Ezé.38:4 : « Je t'entraînerai, et je mettrai une boucle à tes mâchoires ; Je te ferai sortir, toi et toute ton armée, chevaux et cavaliers, tous vêtus magnifiquement, troupe nombreuse portant le grand et le petit bouclier, tous maniant l'épée ; » Et les réactions hostiles concrétisées par des mesures et des sanctions ruineuses pour la Russie vont attirer la colère russe sur tous les peuples des dirigeants européens unanimes dans les prises de ces sanctions, excepté dernièrement le chef de la Hongrie.

Le sort de l’Europe est-il si enviable ? Jusqu’au début de l’année 2020, sa réussite économique pouvait la rendre séduisante, mais après le blocage économique dû aux décisions prises pour lutter contre la « pandémie » du virus Covid-19 pendant deux ans, l’Europe n’était plus dans le même état. De plus, ce blocage imposé momentanément a masqué une ruine réelle du pays France victime de ses délocalisations et de ses importations depuis la Chine qui est devenue son unique fournisseur. C’est de plus dans la ville de Wuhan, en Chine, qu’est apparu pour la première fois officiellement, le virus Covid-19 ; la Chine, le pays du « dragon » soit, du diable selon Apo.12:9 : « Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. ».

Les européens ont pu se rassembler en profitant d’un long temps de paix accordé par Dieu. Mais qu’ont-ils fait de ce temps de paix ? Ils ont tenté, une fois de plus, de se regrouper pour être plus fort comme l’avaient fait en leur temps les gens de la Babel du roi Nimrod. Et le résultat a été le même, cette union a produit un fruit d’injustice constant contre les peuples et les ennemis de l’Europe. Ne pouvant plus séparer les humains par des langues, Dieu va livrer les coupables à la guerre et à la mort, mélangeant ainsi leur sang.

L’ultime « solution finale » prendra deux sens et accomplissements car si l’extermination décidée par les rebelles aura pour cible les élus fidèles au sabbat divin, pour Dieu, sa « solution finale » consistera à exterminer tous les rebelles terrestres et célestes, si ce n’est Satan qui restera seul sur la terre désolée pendant les « mille ans » du septième millénaire.

Ainsi, le génocide des Juifs organisé par les nazis allemands s’est accompli pour prévenir les humains du sort que Dieu leur réserve au jour de sa juste colère.

La solution finale a attiré la sympathie et la compassion humaine envers le peuple Juif regardé comme martyr, victime de la folie meurtrière humaine. Ce comportement dû à leur inconscience et leur ignorance spirituelle cache à leurs yeux la menace divine qui les concerne personnellement.

Pour comprendre les faits des derniers jours, nous devons tirer leçon de l’expérience de l’Allemagne « nazie » de 1930 à 1944.  Dans cette exemple, nous voyons comment « un peu de levain fait lever toute la pâte », comme Paul l’a enseigné, dans 1 Cor.5:6 et Gal.5:9, après Jésus-Christ, selon Matt.16:6 : « Jésus leur dit : Gardez-vous avec soin du levain des pharisiens et des sadducéens. » Jésus a comparé au « levain » les pensées qui séduisent les populations. Une petite minorité peut, par ce moyen, séduire et finir par dominer tout un peuple, et c’est ce qui est arrivé dans l’Allemagne de 1930. Le succès populaire du parti nazi a été obtenu successivement par des mesures sociales favorables, un succès économique, l’Allemagne s’est redressée, et des victoires guerrières. Et ces trois causes ont également fait le succès des USA sortis vainqueurs de la Deuxième Guerre Mondiale. L’Europe les a admirés et enviés, et finalement a voulu les imiter. Mais là, Dieu intervient et bloque le rêve en plein vol et développement. Depuis le président Trump, les USA se retirent de l’Europe qu’ils laissent seule face aux problèmes de l’affrontement russo-ukrainien. De la sorte, bientôt détruite par les forces russes, l’Europe ne sortira de ses problèmes que ruinée et dévastée. Ensuite, après l’élimination de la Russie et de ses forces par les armes nucléaires des USA, le chemin leur sera ouvert, et ils domineront le régime universel formé par tous les survivants de la terre. Le rôle final des USA dans l’ultime « solution finale » nous invite à porter sur ce puissant pays une attention particulière. Le pouvoir américain n’est pas tendre et il est beaucoup moins humaniste que l’Europe. Partout où ses intérêts financiers sont en jeu, il se montre dur, tranchant, guerrier et meurtrier. L’argent est son dieu et la réussite commerciale sa déesse. Ces divinités là sont moins visibles que sa grandiose déesse de la « Liberté » qui s’élève dans la baie de New-York. Quand l’Amérique veut éviter un engagement militaire, elle fait appel au principe du boycott, et le président russe vient d’établir une comparaison entre les sanctions occidentales aux pogroms nazis infligés aux Juifs. Il est vrai qu’avant 1942, la haine des nazis contre les Juifs consistait à les priver de leurs droits de citoyens, ils furent « eux-aussi » empêchés « d’acheter et de vendre » comme les derniers « nazis » le feront envers les derniers élus de Jésus-Christ restés fidèles au sabbat sanctifié par Dieu, selon Apo.13:17 : « et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom ». Ce fruit de méchanceté est le résultat final de la chute spirituelle de la foi protestante qui a rejoint au printemps 1843, dans la malédiction de Dieu, la religion catholique romaine dont l’ordre des « Jésuites » fut le modèle pris pour constituer les sections « SS » du camp « nazi » d’Adolf Hitler, groupe créé sous l’instigation de l’ambassadeur (auprès du Vatican) et ministre des affaires étrangères allemand Von Papen (qui signifie : « du Pape »). Aussi ne faut-il pas s’étonner de trouver, gravés sur la lame de leurs « longs couteaux » les mots allemands « Gott mit uns » ce qui signifie : Dieu avec nous. Et c’est donc cette alliance de deux religions condamnées par Dieu qui reproduira le modèle « nazi » de l’Allemagne de 1930 et 1942. La domination universelle des USA a été préparée entre 1945 et notre époque et elle a su profiter de longues années de paix pour favoriser la gestion « mondialiste » de l’économie. Rendues esclaves de la technologie « internet » créée par les USA, les nations sont devenues économiquement et politiquement dépendantes des jugements américains. Et cette domination commerciale leur permet de soumettre à son boycott, ses sanctions d’interdits, tous les peuples qui sont dépendants d’elle. Elle règne donc déjà sur tout le monde occidental et le reste lui sera soumis par le moyen des destructions nucléaires de la Troisième Guerre Mondiale.

Elu de Jésus-Christ, tu t’apprêtes à devoir revivre l’expérience des prophètes Jérémie, Daniel et Ezéchiel, contemporains du châtiment des péchés de l’Israël juif hébreu. Le nouveau Nébucadnetsar a pour nom Vladimir Poutine et il est russe. Comme le roi chaldéen du temps de Jérémie, Dieu l’a missionné pour détruire l’impiété occidentale unifiée par son adoration et sa vénération pour la société « libertaire » produite à leur origine par les USA et la France. Le conflit engagé entre la Russie et l’Ukraine n’a qu’une seule cause : l’adoration de ce modèle condamné, par Dieu, par le nouveau président ukrainien Volodymyr Zélensky. C’est cette fascination du modèle de la société occidentale qui l’a conduit à vouloir la rejoindre. Or, l’aveuglement des esprits des occidentaux est tel qu’ils se glorifient de valeurs que Dieu condamne, telle cette « fierté de l’homosexuel » ou en anglais « gay pride » qui attire la colère de Dieu mieux que la confiture attire les mouches. Mais pour agir de manière punitive, Dieu a attendu le temps qu’il s’est fixé pour le faire soit, 7 années avant la fin du temps de grâce collective et individuelle. Convaincus d’avoir instauré le meilleur type de société, les occidentaux se sont enflammés d’orgueil et d’arrogance, et ils méprisent les peuples qui ne partagent pas leur conception sociétale. Cependant c’est de la bouche même de leurs opposants que Dieu fait entendre ses reproches. Par la bouche des musulmans, il dénonce l’impiété et l’infidélité, les nommant « mécréants ». Par la bouche du président russe et celle de son peuple, il dénonce leur société qu’il nomme « décadente » ; la décadence étant le fruit de la perversion des sens et des esprits qui se traduisent par des déviations sexuelles et psychiques des mœurs, la dépravation progressive, déjà manifestée parmi les Révolutionnaires français entre 1789 et 1798, dont la France actuelle a hérité au point que Dieu a nommé symboliquement sa capitale, Paris, « Sodome et Egypte » dans Apo.11:8 ; l’expression même du péché et de la rébellion humaine contre Dieu et ses valeurs. Par un jeu de comparaison subtile, Dieu relie dans son Apocalypse la Révolution française et la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale. Que signifie ce lien ? Il révèle aux vrais élus que laction commune de ces faits est de punir l’impiété chrétienne, catholique pour la première, et multi religieuse pour la seconde, car toutes les formes de la religion monothéiste y sont représentées et sont concernées et principalement ciblées. En 1917, la religion orthodoxe fut également visée par la révolution bolchevique et son athéisme. Tous ces événements ont eu pour Dieu un sens et un rôle précis que ses vrais élus doivent connaître et partager avec lui. Le privilège de comprendre ces choses est immense et constitue une preuve de reconnaissance de la part de Jésus-Christ. C’est de cette manière que sa révélation prophétique mérite son nom de « témoignage de Jésus » cité dans Apo.1:9, 12:17 et 19:10. La culpabilité de toutes les églises chrétiennes repose sur leur désintérêt pour cette parole prophétique proposée depuis 1831, date de la première annonce adventiste effectuée par le prophète William Miller aux USA. Depuis cette date, les révélations divines successives ont conduit les vrais chrétiens à restaurer la pratique du sabbat sanctifié par Dieu depuis le septième jour de sa création terrestre. Le mépris pour la parole prophétique a donc conduit toutes les religions chrétiennes à frustrer Dieu de son droit légitime à être honoré par l’obéissance de ses créatures. Aussi, les ayant jugées et condamnées comme des vases ratés, le maître potier va les briser et les anéantir. Bien qu’elle pratique par héritage religieux, soit de manière traditionnelle, le repos du sabbat dans le bon jour, le samedi, la foi adventiste est tombée sous le jugement de Dieu pour ce même désintérêt pour les révélations prophétiques divines entre 1873 et définitivement en 1995. En effet, son alliance avec le camp catholique et protestant depuis 1995, témoigne contre elle de son mépris pour le jugement divin qui lui a révélé sa condamnation du dimanche romain que ces deux groupes chrétiens et les orthodoxes honorent traditionnellement. Mais la transgression du saint sabbat divin n’est que la partie émergée de l’iceberg du péché de ses religions car comme l’enseigne Jacques 2:10, « la transgression d’un seul commandement rend coupable de tous » : « Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. » Peu d’hommes le réalisent mais en effet, la transgression du sabbat du quatrième commandement crée la transgression du premier commandement : « Tu n’auras pas d’autre dieu devant ma face ». Or la désobéissance à Dieu est la conséquence d’une obéissance au diable le prince des ténèbres, Satan. Il va de soi, que dans ce cas le troisième commandement va être également transgressé : « Tu ne prendras point le nom de YaHWéH, ton Dieu, en vain ; car YaHWéH ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain. » Les six derniers commandements dont l’obéissance est obtenue par l’aide directe de l’esprit de Jésus-Christ ne seront pas plus respectés que les précédents. Le catholicisme et l’orthodoxie se distinguent par leur transgression commune du second commandement car leur idolâtrie les conduisent à adorer des images taillées ou peintes par les hommes en opposition à l’interdiction de Dieu de le faire : « Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. » Cette transgression est d’autant plus grave que le même commandement précise et prophétise les conséquences de sa transgression : « Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, YaHWéH, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, » Mais pour ses élus fidèles, Dieu prophétise ses bénédictions éternelles : « et qui fais miséricorde jusqu'en mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements. »

Dans le temps actuel, pour ses élus, Dieu fait briller sa lumière à son Zénith, et pour ceux qu’il a condamnés, les ténèbres maximales les caractérisent et les enveloppent. Ainsi chacun reçoit déjà de lui selon ce qu’il mérite.

Dans un discours vibrant et élogieux, le président de l’Ukraine a dit au président américain Joe Biden, je cite : « j’aimerai que vous dominiez le monde pour imposer la paix ».  Comme tout le camp occidental, Joe Biden est très sensible aux flatteries et paraphrasant la fable du corbeau et du renard du génial et subtil Jean de la Fontaine, je traduis la situation en ces termes : « à ces mots ne se sentant plus de joie, le Joe Biden ouvre sa bourse et laisse tomber » un milliard de Dollars offert au chef ukrainien pour soutenir sa résistance contre la Russie. Jean de la Fontaine terminait sa fable en disant : « Tout flatteur vit au dépens de celui qui l’écoute ». C’est pourquoi le donateur flatté doit être très riche. L’Amérique n’est pas l’exemple type de la générosité et quand elle se montre généreuse c’est dans l’espoir de tirer un énorme profit de son geste. Or nous savons qu’elle est animée d’une haine chronique envers la Russie, sa puissante concurrente de l’Est. Son but est d’obtenir le monopole de la domination économique de la terre. Déjà elle a obtenu des nations que toutes les monnaies terrestres soient indexées sur son Dollar après l’abandon de l’étalon-or. En fait, la Troisième Guerre Mondiale lui permettra d’anéantir la Russie et d’atteindre son but. Joe Biden est après John Kennedy lui-aussi catholique et pour cette raison, il ne peut que favoriser le camp polonais, également catholique, et l’Ukraine révoltée en grande partie catholique dans sa partie occidentale. Ainsi les nations catholiques se retrouvent regroupées sous la bannière américaine des forces de l’OTAN avec pour adversaire commun la Russie orthodoxe. La flatterie séduit le régime papal dans la prophétie de Dan.11:39 : « C'est avec le dieu étranger qu'il agira contre les lieux fortifiés ; et il comblera d'honneurs ceux qui le reconnaîtront, il les fera dominer sur plusieurs, il leur distribuera des terres pour récompense. » C’est là un comportement typique du camp maudit par Dieu qui révèle la présence de l’orgueil, ce péché imputé au diable lui-même, depuis sa chute.

La cause de la guerre qui se met en route étant spirituelle et voulue par Dieu au titre de châtiment de l’abandon du sabbat depuis le 7 Mars 321, il est facile de comprendre pourquoi Dieu a déclaré dans Dan.12:10 : « Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. » L’Esprit divin a confirmé ce principe en disant dans Apo.17:8 : « La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. ». Dans l’actualité, nous assistons à cet « étonnement » des journalistes, des hommes politiques, et des peuples incrédules et incroyants, ainsi que tous les clergés religieux, pour lesquels une guerre en Europe était devenue impossible. Je précise que par l’inspiration divine, j’attends ce conflit depuis 1982, date de ma première compréhension du message révélé par l’Apocalypse de Jésus-Christ. Enfin quoique les humains en pensent, le grand Dieu créateur et législateur instaure le commencement de sa « solution finale » dans laquelle déjà des multitudes d’êtres humains civils et militaires ont péri et vont encore périr par ses « quatre châtiments terribles » cités dans Ezéchiel 14:21 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes, » ; ceci jusqu’à ce que la terre soit désolée, dévastée et sans aucun habitant humain vivant. Devenus des anges, les derniers humains vivants seront pendant « mille ans » en activité de « jugement des morts », dans le royaume céleste de Dieu, auprès de Jésus-Christ, conformément à l’annonce d’Apo.11:18 : « Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre  ».

Après ce jugement, viendra le temps du jugement dernier, l’ultime « solution finale » dans laquelle, ressuscités pour subir « la seconde mort » dans « l’étang de feu », selon l’aspect pris par la terre recouverte par le feu souterrain, les plus coupables soit, les persécuteurs, juifs, « chrétiens » catholiques, orthodoxes et protestants ou adventistes rebelles, seront détruits et anéantis définitivement.

EXCLUSIF

J’ai relevé sur une chaîne info, ce discours de V.Poutine qui m’a permis de comprendre et d’expliquer pourquoi il rattache les sociétés occidentales à l’idéologie « nazie ». Je rappelle que sur tous les plateaux des médias, des gens s’interrogent sur les raisons pour lesquelles, Vladimir Poutine dénonce une Ukraine « nazie » et donc le besoin pour lui de « dénazifier » ce pays.

Nazi = race supérieure – Discours de V.Poutine concernant les oligarques russes installés en occident dans le luxe et la richesse. Les oligarques lui doivent leur richesse, ils lui doivent tout : « Je ne juge pas du tout ceux qui ont une villa à Miami ou sur la Côte d’Azur, qui ne peuvent se passer de foie gras, d’huîtres ou de soi-disant libertés de genre. Ce n’est absolument pas le problème. Le problème est que ces gens sont mentalement là-bas et pas ici, avec notre peuple, avec la Russie. Selon eux c’est un signe d’appartenance à une caste supérieure, à une race supérieure ». V.Poutine compare l’arrogance occidentale à celle des « nazis » allemands de 1933. Et les faits lui donnent raison, car l’un des buts de l’idéologie « nazie » fut celui de former « une race humaine supérieure » nommée aryenne. Il a retrouvé dans l’expansion capitaliste des USA cet état d’esprit qui écrase et méprise ceux qui ne partagent pas cette conception d’existence. Ensuite il a relevé comment se sentant protégés par la puissance militaire des USA par le pacte de l’OTAN, les nations européennes se sont montrées arrogantes et injustes envers la Russie et ses alliés de l’Est, et particulièrement, la Serbie bombardée dans la guerre des Balkans. Il a vu les pays du pacte de Varsovie quitter la Russie affaiblie pour rejoindre le camp Ouest. En dernier, il a relevé le renversement du président russe de l’Ukraine en 2014, et depuis cette date, les bombardements incessants des ukrainiens pro-russes concentrés dans la région du Donbass, par l’armée ukrainienne ; ceci dans un désir apparent de les contraindre ou de les exterminer. Il compare cette agressivité destructrice à celle qui porta les « nazis » d’Adolf Hitler au pouvoir après la nuit des « longs couteaux » où ils ont tué les chefs des « SA », comme je l’ai expliqué plus haut. Pour Vladimir Poutine, comme pour Dieu, l’arbre est jugé selon son fruit. Et s’il ne viendrait pas dans la pensée d’un occidental que sa nation se conduise comme les « nazis », il n’en est pas de même dans le camp qui souffre jour et nuit ces injustices. Ce discours de V.Poutine m’a été offert par Dieu comme une « perle » révélatrice. Et ce dernier document télévisé est venu confirmer mes précédentes analyses et explications. Pour tout homme intelligent, le nazisme est avant tout un état d’esprit qui est manifesté par des œuvres. Et les sociétés capitalistes occidentales ont prouvé que la vie humaine avait peu de valeur quand les intérêts financiers sont les enjeux. J’ajoute à ces choses que l’utilisation de la science chirurgicale et médicale pour transformer le genre sexuel de l’être humain peut apparaître comme un prolongement des expériences réalisées par le docteur nazi Joseph Mengélé qui profitait, lui, des corps des prisonniers des camps d’extermination nazis pour se livrer à des expériences abominables et cruelles.

De même que la majorité du peuple allemand n’était pas nazie mais qu’elle soutint l’arrivée au pouvoir du nazisme, en occident, les peuples, majoritairement, très humanistes ont soutenu des pouvoirs injustes, cyniques, et intransigeants, dans les Balkans et le traitement de la Lybie. Les décisions prises et imposées par le commissariat européen aux nations européennes est de ce type. Le tribunal de la Haye s’est donné le droit de juger et condamner les actions des dirigeants de l’Est qui ne reconnaissent pas la norme occidentale. C’est pourquoi, le grand Juge céleste va livrer les juges iniques aux mains de leurs victimes. L’arrogance occidentale va être châtiée en subissant l’invasion de la Russie vengeresse mais aussi les massacres perpétrés par les anciens colonisés du sol africain et des orientaux. L’Europe occidentale arrogante qui exaspère Dieu sera mise à genoux devant ses ennemis, dévastée et ruinée. Le changement de la situation viendra avec l’intervention nucléaire des USA contre la Russie. Et les survivants devront accepter les dernières normes « nazies » proposées et imposées par les vainqueurs de l’heure : les USA.

Désireux d’échapper à l’influence dominatrice des USA, le général de Gaulle a remboursé sa dette de guerre et il a fait cesser l’installation des camps militaires américains sur tout le sol français. Mais il est tombé dans le piège que représentait et représente encore l’Allemagne vaincue. La présence des USA s’y est maintenue et son influence n’a fait que croître jusqu’à dominer financièrement l’union européenne. Dans son engagement européen, la France a perdu son indépendance envers les USA en reprenant sa place dans l’alliance de l’OTAN. On peut comprendre ainsi, que l’Europe Unie est une image de la société américaine, favorisée par les USA en conquête du pouvoir mondial.

 

INFORMATION – DESINFORMATION

 

Deux jours après la diffusion du discours de V.Poutine au sujet des oligarques russes, la même chaîne info rappelant ce discours l’a affiché cette fois sous la forme d’une ligne déroulante. Et ô surprise, j’ai bien retrouvé le discours précédent sauf que la dernière phrase qui disait, « selon  eux c’est un signe d’appartenance à une caste supérieure, une race supérieure », a été enlevée. Le journaliste citait ce discours pour souligner l’esprit nationaliste du président russe, mais il fallait cacher aux téléspectateurs son accusation de nazisme qu’il impute au camp européen de l’OTAN.

 

La situation de la guerre engagée entre la Russie et l’Ukraine porte déjà des conséquences qui me permettent de confirmer la prophétie de Daniel 11:40 à 45. En effet, la conséquence principale du train de sanctions imposées à la Russie, mais aussi le blocage économique de l’Ukraine important exportateur de blé vers de nombreux pays dont l’Egypte, va produire une crise alimentaire mondiale particulièrement dramatique pour les pays peu développés. La famine va ainsi pousser à la révolte ces populations africaines et provoquer des vagues d’immigration vers l’Europe. La faim ajoutée à la haine civile et religieuse musulmane contre l’ancienne Europe coloniale va donner forme et motivation pour l’agression du « roi du midi » cité dans Dan.11:40. La révolte ukrainienne n’aura réellement été que le déclenchement de la haine qui va conduire la Russie à envahir l’Europe occidentale au moment favorable. Mais il est déjà possible de comprendre que contrairement à ce qui fut longtemps présenté comme consolation de la ruine économique de la France et sa perte d’indépendance, à savoir, « la formation de l’Europe pour éviter la guerre entre ses nations », la ruine prochaine qui vient aura été causée par l’admission de la Pologne au sein de l’Europe. Comme je l’ai déjà dit, l’opposition religieuse est l’arme utilisée par Dieu pour punir l’infidélité de l’Europe chrétienne. La Pologne restée sous l’occupation russe depuis 1945 est entrée en indépendance en 1990, porteuse d’un désir de vengeance contre la Russie. Ce peuple polonais était installé de part et d’autre de la frontière de l’Ukraine. Aussi, de même que l’Allemagne de l’Ouest a retrouvé l’Allemagne de l’Est au moment de la ruine du camp soviétique, la Pologne  catholique romaine européenne a voulu ramener dans le camp occidental la partie ukrainienne de son peuple. Cette situation stratégique se justifie d’autant plus que les peuples sont traditionnellement définis et unis par la religion héritée et transmise de pères en fils. La France est sortie de ce cas en adoptant son caractère laïc républicain, mais c’est une exception et ce choix a préparé sa dernière malédiction car sur son sol se sont développées de nombreuses religions potentiellement opposées et ennemies. De manière sous-jacente, les USA catholiques et protestants dont le chef actuel est lui-même catholique ont exploité le catholicisme de la Pologne pour arracher à la Russie orthodoxe ses terrains d’influence. Là où le pape trouve un motif religieux, les USA trouvent un motif politique de leader mondial économique et politique. Et pour Dieu, sa motivation est la punition collective d’une humanité composée de peuples soumis à tous vents de doctrines religieuses plus coupables les unes que les autres.

Les noms des grands personnages qui tiennent un rôle important pour diriger le destin du monde nous délivrent des messages cachés très instructifs. Les présidents, russe et ukrainien, portent le même prénom en russe et en polonais, respectivement, Vladimir et Volodymyr qui signifient « prince du monde ». Il se trouve que derrière ces deux peuples russe et polonais se trouve une lutte séculaire où s’opposent la foi orthodoxe russe et la foi catholique romaine polonaise. Elles se combattent depuis longtemps pour représenter la foi chrétienne sur la terre, donc pour dominer le monde religieusement. Les deux, frappées par la malédiction de Dieu, sont dirigées par Satan « le prince de ce monde », selon Jésus-Christ. Ensuite, pour sa part, le nom d’origine polonaise du président de l’Ukraine, « Zelensky » ne signifie pas qu’il est un skieur zélé, mais l’adjectif « vert », la couleur de « la mort » dans Apo.6:8 : « Je regardai, et voici, parut un cheval d'une couleur verdâtre. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l'accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l'épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre. »

De ce fait, nous pouvons comprendre que cet homme courageux jusqu’à la témérité est utilisé par Dieu comme appât pour attirer par son évidente séduction, les autorités occidentales dans sa guerre. Il y a longtemps que les prises de sanctions contre la Russie ont rendu ces sociétés cobelligérantes de l’adversaire ukrainien. Mais redoutant les conséquences futures possibles, ignorant qu’elles sont prophétisées dans Dan.11:40-45, ces autorités feignent de croire à des arrangements futurs souhaitables avec la Russie. Nous assistons ainsi à la construction d’une situation internationale dramatique qui aura pour conséquence finale la destruction des nations et en grandes parties, celle de leurs populations.

Ne cherche pas sur la terre une nation bénie par Dieu ; il n’y en a pas ou plus. Mais tu peux trouver parmi toutes celles qui existent, des moins maudites, mais maudites tout de même.

 

SAVOIR ECOUTER

 

De la bonne écoute dépend la qualité de notre compréhension. Dans un discours, l’homme sage ne retient que les mots qu’il entend, sans extrapoler ou sur-interpréter le message délivré. L’actualité me permet de confirmer cette leçon. Concernant la Guerre engagée entre la Russie et l’Ukraine, un général russe a fait une déclaration sur un ton laconique et il a annoncé un retrait des troupes russes de la région de Kiev, la capitale de l’Ukraine. Le monde médiatique s’est saisi de ce message et en quelques jours, celui-ci est étonnamment devenu une promesse de V.Poutine de laisser en paix cette région. Or, aux dires du général russe, aucun message de paix n’a été présenté, et je dirai qu’au contraire ce message laconique révélait un retrait de troupes sur le terrain, ce qui pouvait laisser craindre un emploi massif des bombardements aériens. Car les Russes ne bombardent pas le lieu où se tiennent leurs propres combattants. Comme on pouvait le craindre, en effet, quelques jours plus tard, les bombardements aériens intensifs ont repris. Et sur les chaînes des médias, V.Poutine est accusé de menteur, d’être l’homme qui ne tient jamais ses promesses. Mais quand V.Poutine a-t-il fait cette promesse ? Jamais, car cette promesse s’est construite uniquement dans la tête des journalistes et des spécialistes qui les accompagnent dans leur inspiration optimiste. Ils souhaitent tous si fort que cette guerre prenne fin que leur optimisme prévaut sur les mots et les paroles proclamés entendus. Ce faisant, les informateurs se montrent indignes de leur profession car les foules qui les écoutent sont désinformées au lieu d’être informées. J’ai déjà dit que selon moi et l’évidence des choses, V.Poutine adapte sa stratégie selon le comportement du camp ennemi. Contraint par la résistance acharnée des ukrainiens, le camp russe se heurte aux franc-tireurs cachés dans les étages des immeubles délabrés et éventrés, prêts à s’écrouler. De la sorte, la conquête des villes devient très difficile et s’obtient au prix de trop de soldats morts. Dans la guerre des Balkans, les USA se contentèrent de bombarder « Belgrade », la capitale Serbe, à dix mille mètres d’altitude soit, sans risque pour leurs avions bombardiers et leurs équipages. Et pendant la seconde guerre mondiale, les Russes eux-mêmes réussirent à empêcher les troupes allemandes de s’emparer de la ville de Stalingrad. Entre les murs et les ruines, l’avancée des troupes était coûteuse en vies humaines et l’armée allemande a connu-là le début de ses défaites. Avec une telle expérience historique, l’armée russe devait s’attendre à cette difficulté et ceci prouve bien que ce camp russe s’est laissé entraîner dans la surenchère, redécouvrant sur le terrain la résistance efficace des Ukrainiens dans les villes. De plus, l’usage de la lunette d’approche réservée autrefois aux seuls tireurs d’élite est généralisé sur les armes à répétitions modernes. Et la conséquence, est une efficacité terriblement mortelle pour les deux camps.

Il est bien connu que l’être humain séparé de Dieu n’entend que ce qu’il veut entendre. Car il construit son jugement sur ses sentiments personnels. Aussi, ce jugement personnel prévaut sur le discours entendu. Dans la pensée de cet homme, les mots reçoivent une interprétation péjorative qui discrédite les paroles entendues. Je vois des journalistes afficher leur haine du personnage V.Poutine et leur opinion est invariablement la même. Et les foules des auditeurs et des téléspectateurs sont nourries continuellement de cette haine occidentale. Cette haine démesurée conduit à justifier des prises de sanctions qui seront punies bientôt par la Russie vengeresse.

La « mauvaise écoute » déforme les messages transmis, autant civils que religieux. Il n’est donc pas étonnant que ceux qui en sont responsables soient parallèlement, incapables, de comprendre clairement les exigences religieuses divines authentiquement formulées par l’Esprit de Dieu dans toute sa sainte Bible.

 

Les fautes de l’Occident

 

Dans la continuité de la leçon précédente, ceux qui ne savent pas écouter, ne savent pas non plus, se juger eux-mêmes, avec rigueur et honnêteté. C’est ainsi, qu’entendant les reproches formulés par V.Poutine sur le type de la société occidentale qu’il décrit pour Dieu, « décadente », et qui dénonce avec insistance ses transformations mentales et le renversement de ses valeurs séculaires anciennes, ils nient ces évidences et retournent contre lui ses propos, allant jusqu’à lui attribuer de la folie. Cependant, nul ne peut contester que depuis quelques années, l’homosexualité, longtemps considérée comme honteuse et condamnée, est aujourd’hui, légalisée, légitimée et pénalement défendue. Ecoutons ce que Dieu a déclaré sur ce sujet.

La première leçon apparaît dans l’expérience de la destruction de « Sodome et Gomorrhe », suite à la visite de deux anges que « Lot », le neveu « d’Abraham » a conduit dans son domicile. Pratiquant l’homosexualité et la brutalité, les habitants pervers voulurent soumettre les deux visiteurs à leur odieuse pratique sexuelle, et pour échapper à la foule déchaînée, les deux anges la frappèrent d’aveuglement. Ils ne virent pas le feu qui tomba du ciel en pierres de soufre enflammé qui les consumât, eux, avec les deux méchantes villes de la vallée prospère. Nous trouvons ce récit dans Gen.19:1 à 29.

Le second message divin est donné aux Hébreux formant le peuple de Dieu dans Lév.20:13 : « Si un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable ; ils seront punis de mort : leur sang retombera sur eux. » Mais ce cas n’est qu’un interdit parmi d’autres qui sont évoqués dans Lév.20:1 à 27. Et je précise que toutes ces ordonnances conservent leur valeur dans la nouvelle alliance. En conséquence, l’Occident est jugé coupable par Dieu de pratiquer de nombreuses abominations qu’il punit de mort. La mortalité qui frappe l’humanité dans notre époque, par virus, maladies, famines ou par les guerres, accomplit donc sa juste sentence. Dans l’ancienne alliance, ce jugement prit déjà la forme décrite dans Ezé.9:4 à 7 :

« YaHWéH lui dit : Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque sur le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s'y commettent. Et, à mes oreilles, il dit aux autres : Passez après lui dans la ville, et frappez ; que votre œil soit sans pitié, et n'ayez point de miséricorde ! Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes ; mais n'approchez pas de quiconque aura sur lui la marque ; et commencez par mon sanctuaire ! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. Il leur dit : Souillez la maison, et remplissez de morts les parvis !... Sortez !... Ils sortirent, et ils frappèrent dans la ville. »

Les versets 8 à 10 révèlent la pensée de Dieu qui justifie cette colère meurtrière, qui n’a que la sainteté de Dieu pour différence avec celle du roi Hérode qui ordonna le massacre des enfants de Bethléem. L’accomplissement de cette destruction en – 586 fut suivi en + 70 par celui qui fut effectué par les Romains, avec la même détermination meurtrière et destructrice pour la ville de Jérusalem, ses habitants et leur saint temple confirmant la prophétie de Dan.9:26.

Versets 8 à 10

« Comme ils frappaient, et que je restais encore, je tombai sur ma face, et je m'écriai : Ah ! Seigneur YaHWéH, détruiras-tu tout ce qui reste d'Israël, en répandant ta fureur sur Jérusalem ? Il me répondit : L'iniquité de la maison d'Israël et de Juda est grande, excessive ; le pays est rempli de meurtres, la ville est pleine d'injustice, car ils disent : YaHWéH a abandonné le pays, YaHWéH ne voit rien. Moi aussi, je serai sans pitié, et je n'aurai point de miséricorde ; je ferai retomber leurs œuvres sur leur tête. »

En précisant que l’iniquité d’Israël est « excessive », Dieu le confirme, sa patience est limitée et l’offre de son pardon est mesurée.

Ô combien, l’invisibilité du Dieu vivant est préjudiciable et redoutable, dans ses conséquences. Le dicton populaire dit : « Quand le chat n’est pas là, les souris dansent ». Les souris humaines sont trompées par leurs yeux, car bien qu’invisible, le grand « Chat » est bien là, et c’est donc sous son regard qu’elles dansent. Celui qui ne dort jamais, mais qui veille sur toutes ses créations de manière permanente, a même connu d’avance, le haut niveau des impiétés et des abominations qui allaient caractériser la dernière humanité, et il a pu ainsi prophétiser ses dernières punitions. Après les deux châtiments précédents cités, celui de la « sixième trompette » va s’accomplir avec la même fureur et une force destructrice amplifiée.

Puis nous allons retrouver la condamnation de l’abominable homosexualité dans les propos tenus par Paul, le témoin fidèle de Jésus-Christ, dans Rom.1:24 à 32.

« C'est pourquoi Dieu les a livrés à l'impureté, selon les convoitises de leurs cœurs ; en sorte qu'ils déshonorent eux-mêmes leurs propres corps ; eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen ! C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l'usage naturel en celui qui est contre nature ; et de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé, pour commettre des choses indignes, étant remplis de toute espèce d'injustice, de méchanceté, de cupidité, de malice; pleins d'envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de malignité ; rapporteurs, médisants, impies, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, dépourvus d'intelligence, de loyauté, d'affection naturelle, de miséricorde. Et, bien qu'ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais ils approuvent ceux qui les font. »

Dès le début de cette citation, le mot impureté désigne ces déviations sexuelles et nous allons le retrouver dans les choses que Jacques, le frère de Jésus, prescrit au nom des « douze apôtres », aux nouveaux convertis venus du paganisme. Cet enseignement apparaît dans Actes 15:19 à 21.

« C'est pourquoi je suis d'avis qu'on ne crée pas des difficultés à ceux des païens qui se convertissent à Dieu, » Les « difficultés » évoquées concernaient la pratique de « la circoncision » de la chair qui est donc non imposée aux nouveaux chrétiens d’origine païenne.

« mais qu'on leur écrive de s'abstenir des souillures des idoles, de l'impudicité, des animaux étouffés et du sang. » « L’impudicité » citée dans ce verset désigne « l’impureté » des propos précédents tenus par Paul. Note que Jacques cite également l’interdiction de consommer « des animaux étouffés et du sang », choses qui sont des ordonnances de l’ancienne alliance et qui sont présentées dans le livre Lévitique, le troisième livre écrit par Moïse. Par ce nom, le lien est établi avec le verset qui suit, et ce lien confirme la continuité de l’alliance divine qui n’a de différence pour l’ancienne que sa fondation sur le sang animal et pour la nouvelle, sa fondation sur le sang humain de Jésus-Christ.

« Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu'on le lit tous les jours de sabbat dans les synagogues. »

La démonstration est ainsi faite que les conditions de l’alliance passée entre Dieu et ses élus est perpétuelle depuis son commencement jusqu’à sa fin. Sauf qu’au deux tiers des six mille années du temps de proposition du salut, le sang humain versé volontairement par Jésus-Christ est venu valider les sacrifices animaliers qui l’ont symbolisé jusqu’à lui. Par son ministère terrestre, le symbolisme des anciens rites est devenu compréhensible et l’humanité a apprise que son Créateur lui offre la possibilité de bénéficier de son salut offert par sa « grâce ». Si le terme « grâce » apparaît soudainement en Christ, par contre, son application a été perpétuelle depuis Adam jusqu’au dernier élu sauvé au retour du Christ mais avant la fin du temps de « grâce » qui le précède.

Le salut par grâce a été injustement mis en opposition avec le salut offert sous l’ancienne alliance. Le projet de Dieu a été ainsi déformé et le péché a été rétabli, porteur et cause des malédictions qui le punissent. Il n’est pas dans la Bible une ordonnance sortie de la bouche de Dieu qu’il soit légitime de mépriser. Dieu parle à ses élus, des êtres dotés d’intelligence, qui analysent toute chose et retiennent ce qui est bon et juste. Les lois des fêtes prophétiques ont cessé avec l’accomplissement de ce qu’elles prophétisaient ; et le sang de Jésus a remplacé le sang animal, mais tout le reste conserve sa valeur et reste digne d’être observé et respecté par la mise en pratique. C’est de cette manière, qu’en restaurant la vraie norme de la foi, ses derniers élus glorifient leur Père céleste, en Jésus-Christ qui revient.

 

La séduction de la liberté

 

Cette séduction de la liberté est à la base du conflit actuel qui oppose l’Ukraine à la Russie. Et le vrai responsable de cette situation, c’est ce vieux pays appelé France. L’attrait de la liberté s’est développé au fil du temps depuis son expérience révolutionnaire accomplie entre 1789 et 1798, mais aussi dans le prolongement de son histoire jusqu’à notre époque actuelle. Et le point capital de l’instauration de cette liberté républicaine a été de conduire la France à s’affranchir de l’obéissance envers Dieu, ses ordonnances et ses préceptes. Ce sujet est si important que Dieu l’a prophétisé dans Apo.11:10 : « Et à cause d'eux les habitants de la terre se réjouiront et seront dans l'allégresse, et ils s'enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre. » Les « deux prophètes » sont les écrits bibliques des deux alliances successives dans lesquelles Dieu révèle ses jugements portés sur l’humanité. La prophétie évoque les autodafés où ces écrits religieux furent brûlés en tas sur la place de la liberté, l’actuelle place de la Concorde de Paris. Notre société occidentale entière s’est construite sur la « réjouissance et l’allégresse » citée dans ce verset. Et Dieu peut d’autant plus s’irriter que cette joie repose sur sa mise à l’écart. L’accès à la complète liberté a fait, de ces nations modernes, des régimes du péché que Dieu condamne à la peine de mort. Au fil du temps, Dieu a tissé la trame du destin des peuples. La France a évolué de République en République jusqu’à sa 5ème où le président national a retrouvé un pouvoir quasi monarchique. Mais sur le plan moral, elle est descendue de plus en plus bas. Dans les dernières années de notre époque, elle a perdu son influence et se trouve dépassée et influencée par les idées farfelues qui apparaissent aux USA et au Canada ; deux autres importants régimes du péché devant YaHWéH.

Dans l’Ukraine devenue indépendante, le modèle de la liberté occidentale apparue en France, a suscité dans la population mi-polonaise mi-russe, le désir de se réjouir à leur tour en imitant la France qui a rejeté les tabous religieux et fixe elle-même les limites de ses lois. Ainsi, nous apprenons que depuis 2014, sous ses gouvernements successifs, l’Ukraine a vécu des jours heureux ; un bonheur désapprouvé par Dieu. Et ignorant le jugement de Dieu, le jeune président Zelensky reproduit sous nos yeux cette appétence pour la vie occidentale libre de tous ses tabous. L’histoire ne fait que se reproduire, en confirmation de cette déclaration du roi Salomon citée dans Ecc.1:9 : « Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil ».

Dans l’Europe, l’opposition entre l’Orient et l’Occident remonte à des siècles d’histoire et déjà principalement elle repose sur leur séparation religieuse ; l’Orient ayant rejeté la domination papale romaine depuis le 11ème siècle. Dans l’ancienne alliance, la séparation des peuples est restée l’arme punitive utilisée par Dieu contre le peuple de son alliance quand il s’est montré infidèle. Les Philistins tinrent ce rôle pour Dieu pendant le temps des Juges et des rois d’Israël et de Juda. Sous Daniel, ce rôle fut donné au roi Chaldéen Nébucadnetsar. Puis au temps du Christ, il fut confié aux Romains. Et à notre époque du temps de la fin, le rôle punisseur est donné à la puissante Russie. Ce peuple russe aurait pu, lui aussi, être séduit par la liberté occidentale et en réalité, la jeunesse en particulier ferait bien ce choix. Mais Dieu a placé le peuple sous la direction d’un homme autoritaire et la Russie a retrouvé, en V.Poutine, le président « père du peuple » que fut en son temps, Joseph Staline ». Dieu a placé dans cet homme originellement corrompu comme la majorité des êtres humains séparés de lui, son jugement sur la société occidentale ainsi que le désir de la combattre. Dans un premier temps, il s’est fixé pour but de protéger sa Russie, mais sa Russie entière, car il n’a jamais accepté l’idée de perdre définitivement les territoires russes qui ont pris leur indépendance au moment de l’écroulement du régime soviétique. Avec beaucoup d’insouciance, l’Europe occidentale a multiplié de manière arrogante ses humiliations pour la Russie en échec. Cet exemple va éclairer ta compréhension : en visite en France, un haut dignitaire du régime russe nommé Vladimir Jirinovski, particulièrement agressif envers l’Occident, fut bombardé d’œufs par des journalistes. Et du côté russe, ce genre de fait-divers ne s’oublie pas. Il en est de même des bombardements américains contre son allié Serbe dans la guerre des Balkans ; sujet déjà évoqué. La Russie a donc de multiples raisons de vouloir venger son honneur bafoué et méprisé par l’Occident rendu arrogant parce que trop confiant dans la protection du bouclier nucléaire des USA, principalement.

En fait, les Européens sont tombés dans le piège que Dieu a tendu devant eux. Au lieu d’éteindre le feu allumé par la résistance ukrainienne, ils ont mis de l’huile sur ce feu, en décidant de frapper les intérêts financiers et économiques russes ; en cela incités par Joe Biden, le chef des USA. Alors que la Russie aurait pu se contenter de récupérer ses anciens territoires, sa rancœur contre l’Occident qui la persécute lui donne maintenant des raisons de le combattre directement. Et c’est par ces causes terrestres que Dieu fait accomplir son dessein spirituel soit, son jugement prophétisé parallèlement et de manière complémentaire, qui fait de l’Europe papale et d’Israël les deux cibles visées par sa colère, dans Daniel 11:40 à 45 ; Ezéchiel 38 et 39 ; Zacharie 14:2 ; et Apo.9:13 à 21. Il est important de comprendre que, pour diviser les hommes et les conduire à se combattre, Dieu dispose des séparations dues aux options religieuses, mais aussi, à celles qui résultent de toutes les conceptions que l’esprit humain peut donner à une organisation de société. Sur toute la terre, ces divisions mentales sont confirmées dans la création des partis politiques, dont les deux opposés absolus furent précisément le capitalisme anglais des USA et le communisme né dans la Révolution d’Octobre 1917 dans la Russie orthodoxe et tsariste. Avec V.Poutine, la Russie n’est plus communiste mais elle est restée la concurrente haïe par les USA depuis la fin de la seconde Guerre Mondiale. En 1945, pour achever l’Allemagne nazie, voyant les troupes russes sur le point d’atteindre Berlin, les USA s’étaient engagés dans une course pour arriver à Berlin en même temps qu’elles. Et dès les accords de Yalta en 1945, le général américain George Smith Patton proclamait en termes orduriers, que je ne reproduis pas ici, la nécessité de combattre la Russie communiste pour détruire son idéologie collectiviste marxiste qu’il haïssait. Mais en plus de ces causes de séparations, Dieu utilise le remplacement des générations, car la jeunesse arrogante et inexpérimentée mise au pouvoir rend les fautes du passé renouvelables à souhait et autorise alors les actions agressives extrêmes.

 

Le péché et la vraie foi redéfinis

 

La référence biblique d’1 Jean 3:4 présente pour le péché la définition suivante : « Car le péché c’est la transgression de la loi ». Et « la loi » désigne tout l’enseignement contenu dans la Bible entière. Cette définition est vraie mais elle n’est plus adaptée pour les esprits raisonneurs de notre époque très intellectuelle. Aussi, je vais la redéfinir en tenant compte du grand projet éternel que Dieu a préparé pour ses élus. Le péché résume tout ce qui sépare l’homme ou l’ange de Dieu. Et ce qui sépare ses créatures de lui se trouve dans la libre conception de la norme de la vie que chacun approuve, soit, dans la volonté de chacune de ses créatures. En sorte que, finalement, le péché consiste à ne pas approuver les choix fixés par Dieu.

J’ai rencontré un jour une personne qui semblait aimer mes explications prophétiques et elle avait témoigné avec force de sa foi au retour du Christ pour l’année 1994 que je lui avais donnée. Cependant, en dépit de ce témoignage à la gloire de Dieu, elle n’acceptait pas mon annonce de la troisième guerre mondiale symbolisée par la « sixième trompette » d’Apo.9. En conséquence, une fois la date 1994 passée, elle a abandonné la foi adventiste. Cette expérience montre combien Dieu ne donne pas aux humains le droit de trier dans ses révélations entre ce qui nous plait ou nous plait pas. Le tri entraîne une rupture inévitable car tout esprit raisonnable peut le comprendre, Dieu ne va pas faire entrer un esprit rebelle dans son éternité après qu’il ait supporté le péché et ses conséquences pendant 6000 ans sur la terre, ceci pour l’éliminer définitivement.

Cette approbation absolue des œuvres et des lois divines explique pourquoi le nombre des élus est imagé dans la Bible par un « petit troupeau », « un reste » selon Apo.12:17.

Une telle exigence divine est logiquement incompréhensible pour les esprits modernes occidentaux nourris par les pensées républicaines démocrates. Pour l’humain occidental normal, la loi est adoptée par un vote soumis à la règle de la majorité. Il n’y a rien de tel dans la forme de la vie divine où c’est Dieu qui fixe la norme du bien soit, ce qu’il approuve et bénit, et celle du mal soit, ce qu’il désapprouve et condamne à mourir, soit, à ne pas survivre. Un chanteur populaire a bien relevé le fait qu’on ne peut pas faire d’arrangement avec Dieu comme on peut le faire avec le diable. C’est donc en connaissance de cause qu’il le rejette et son cas est partagé, par tous ceux qui lisent la Bible, ou se réclament d’elle, ou se réclament de Dieu lui-même, sans tenir compte de la révélation de ses projets.

Aussi, ce n’est pas sans raison que Dieu révèle ce qu’il fait à ses vrais élus car ses révélations leurs sont exclusivement réservées. En découvrant ses projets, ses élus les approuvent et les apprécient. A l’inverse, ceux qui ne lui appartiennent pas ne les aimeront pas et ils se disqualifient ainsi eux-mêmes pour l’éternité qu’il offre en Jésus-Christ. L’autorisation de comprendre ses mystères révélés de manière cryptée constitue le plus beau trésor qu’un être humain puisse obtenir dans son passage dans la vie terrestre. Et je vais te donner une bonne raison de t’abandonner avec foi soit, parfaite confiance, à notre Dieu créateur de toute forme de vies et de choses. Cette raison est imparable et incontestable : il est parfait. Or, par définition, la perfection n’est pas perfectible, il représente le degré suprême dans tous les domaines ; parfait dans l’amour, parfait dans la justice, parfait dans les châtiments, et parfait dans les récompenses. Le seul obstacle devant cette perfection, c’est l’imperfection humaine qui conduit l’homme naturel charnel à aimer faire ce que Dieu appelle le mal. Dans un tel cas, il ne reste à l’homme qu’à accepter son inadaptation aux valeurs célestes éternelles et, à ce titre, il doit accepter le destin de mourir dans son insatisfaction. Car il n’y aura pas de place dans l’éternité pour un parti d’opposition. Aussi, pour les sélectionner, Dieu juge avec une parfaite équité chacun de ses élus ; il ne fait exception pour personne et ne se rend coupable d’aucun favoritisme. Avec une telle droiture, il peut rassasier de justice, uniquement, ceux qui aiment passionnément la vraie justice ; la sienne.

L’actuelle guerre engagée entre la Russie et l’Ukraine nous conduit à prendre position sous le regard du Juge suprême qui est aussi l’Ordonnateur des massacres humains qui l’accompagnent. Or, pour approuver ces terribles choses, il faut approuver et partager le jugement de Dieu et la culpabilité qu’il impute aux deux belligérants principaux. C’est à ce niveau que tu dois comprendre sa condamnation des religions catholiques et orthodoxes impliquées dans ces combats. Il n’y a pas de cause juste pour des êtres humains que Dieu juge injustes. Comme je l’ai expliqué précédemment, la guerre actuelle a, pour Dieu, pour seul but, d’impliquer les peuples occidentaux européens dans l’action. Prenant parti pour le camp ukrainien contre la Russie, ils se positionnent en ennemis de cette dernière. En fait, la guerre actuelle oblige les peuples à se positionner en prévision du grand affrontement européen et mondial que Dieu a prophétisé, par Daniel dans Dan.11:40 à 45, et par Jean dans Apo.9:13 à 21. Nous assistons à la formation et au regroupement des deux camps opposés principaux. Ces deux références les plus utiles et importantes donnent à cette guerre le motif du châtiment de l’abandon du sabbat remplacé par le dimanche romain depuis le 7 Mars 321. Il faudra pourtant attendre de constater l’ampleur que ce conflit va atteindre pour découvrir la très haute culpabilité que le divin Seigneur Jésus-Christ donne à cette transgression de son saint sabbat. Car celui-ci prophétisait le repos céleste du septième millénaire gagné, pour ses élus et par sa seule victoire qu’il a obtenue sur le péché et sur la mort, par son incarnation terrestre. La transgression du sabbat constitue une attaque portée contre le combat âpre et douloureux qu’il a mené pendant son ministère terrestre pour sauver ses élus ; combattre le Sabbat revient à combattre la récompense de son combat salvateur dont il est sorti victorieux. C’est le message qu’il délivre à ses élus par les images symbolique de ce verset d’Apo.9:13 où il est écrit : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, ». Cette « voix » vient de la puissance (cornes) universelle (quatre) de la croix symbolisée par « l’autel » ; il s’agit donc de la « voix » de Jésus-Christ. La colère du divin Christ nous est révélée par l’ordre terrible que sa bouche exprime dans les versets 14 et 15 qui suivent : « et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » Dans le verset 14, « le grand fleuve d’Euphrate » désigne l’Europe où la guerre éclate aujourd’hui. Il faut relever, déjà, la ressemblance entre les mots Euphrate et Europe dont les deux premières voyelles sont conformes au sigle « E.U. » qui désigne du côté occidental, l’Europe Unie actuelle. Ne pense pas pouvoir imputer ce détail au hasard, ce n’est là qu’une subtile allusion conçue par l’esprit inventif et créateur du Dieu Tout-Puissant. Mais en plus de cette allusion, ce nom « Euphrate » désigne l’Europe dominée religieusement par le régime papal romain catholique symbolisé par « la prostituée » « Babylone la grande » qui est assise sur ce « fleuve » désigné par « les grandes eaux » dans Apo.17:1 : « Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m'adressa la parole, en disant : Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. »  Son nom est révélé dans le verset 5 : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. »

Cette comparaison avec la ville chaldéenne « Babylone » du roi Nébucadnetsar révèle le rôle punisseur que Dieu a donné à la Rome papale après avoir donné le même rôle au roi Nébucadnetsar. Ses actions sont venues châtier en trois étapes l’Israël juif coupable et condamné par Dieu dans les messages du prophète Jérémie. A l’époque du Christ, la Rome impériale a tenu également ce rôle punisseur, et après elle, ce rôle a été donné à Rome, sous son aspect chrétien catholique papal. Dans Dan.8:12, Dieu confirme cet abandon de la foi chrétienne devenue infidèle à la domination cruelle papale, ceci à cause de son abandon du sabbat du 7 Mars 321 ; moment où l’autorité de l’empereur Constantin a été obéie au détriment du grand Dieu créateur ordonnateur du sabbat du samedi, le seul et unique véritable « septième jour » qu’il a sanctifié au repos de Dieu et de l’homme depuis le début de sa création terrestre. Plus clairement, l’obéissance à la Rome impériale a conduit la foi chrétienne à la soumission à l’ordre injuste et persécuteur de la Rome papale entre 538 et 1798 selon la durée prophétisée dans Dan.7:25, et Apo.12:6-14 ; 11:5 ; 13:2-3. Ainsi s’est accompli ce verset de Daniel 8:12 : « L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises ». Depuis 1798, la Rome papale a perdu la capacité de persécuter ses adversaires et ses concurrents, ayant perdu le soutien monarchique français principalement. Mais pour autant, ses dogmes mensongers et idolâtres sont restés ce qu’ils étaient quand elle était soutenue par le bras séculier civil des rois. Ce que Dieu maudit un jour reste maudit toujours. Et depuis 1843, sa condamnation s’est étendue à la foi protestante par l’entrée en fonction de son décret cité et révélé dans Dan.8:14, dûment rectifié : « Et il me dit : Soir matin deux mille trois cents ; puis sera justifiée la sainteté ». Le fait qu’une immense majorité de l’humanité chrétienne ignore ce fait n’empêche pas Dieu de lui appliquer son jugement. C’est pourquoi, l’aspect religieux du monde occidental est devenu particulièrement trompeur, et des foules de gens se rendent chaque dimanche dans les églises ou les temples en vain. Parce que seul le diable apprécie leurs cultes, car Dieu ne les écoute plus. Or s’il ne les écoute plus, il ne risque pas de répondre à leurs prières et chacun va pouvoir le constater, alors qu’ils prient tous pour la paix, Dieu les livre à la Guerre la plus terrible de l’histoire humaine. Dans l’attitude et la situation spirituelle où ils se trouvent, ils ne peuvent pas approuver l’accomplissement de son projet destructeur. Et nous voyons ainsi, concrètement, la conséquence d’ignorer les révélations de ses prophéties et donc, l’impossibilité d’approuver son juste jugement. Ne prends donc pas le risque de trier dans sa Bible par laquelle Jésus-Christ te juge, les ordonnances et les avis de Dieu qui te conviennent en rejetant ceux qui ne te conviennent pas. La Bible est un tout, à prendre ou à laisser, et les apparentes contradictions qu’on peut y relever résultent toujours de la faiblesse de notre compréhension. Car Dieu a inventé la subtilité avant les hommes et sans son Esprit, elle est totalement ignorée et incomprise par l’esprit humain. C’est pourquoi dans ses expressions, Dieu joint toujours la « sagesse » au mot « intelligence » qui caractérise pour sa part l’être humain naturel et normal vis-à-vis de l’animal.

Le dimanche romain a été adopté par tous les peuples chrétiens qui composent ensemble l’Europe Unie actuelle, mais chacun de ses peuples lui a apporté ses problèmes particuliers. La Guerre Mondiale qui va éclater après la Guerre russo-ukrainienne sera directement la conséquence de ses expériences regroupées. Ainsi, les séparations religieuses des peuples se transforment en terribles malédictions quand elles se regroupent au sein d’une même organisation et quand Dieu le veut. La Guerre russo-ukrainienne prend sa source dans l’adhésion à l’Europe des peuples restés longtemps entre 1945 et 1990 sous la tutelle de l’Union soviétique russe. Pendant la domination du communisme athée, les pratiques religieuses de ces pays dominés ont été étouffées. Aussi, dès la chute du régime soviétique, ces pays et leur religion ont retrouvé une indépendance totale mais ils ont voulu rejoindre, dans l’Europe Unie, l’OTAN et sa protection du bouclier nucléaire des USA. En entrant dans l’Europe Unie, ils ont apporté leur rancœur envers la Russie dominatrice à laquelle ils ont été soumis contre leur volonté derrière une frontière longtemps appelée « le rideau de fer ». La haine pour la Russie est entrée dans leur caractère et cette dureté de cœur accomplit en partie l’image du « colosse » « aux pieds d’argile et de fer » de Daniel 2. Aujourd’hui, au sein de l’Europe Unie, ce « fer » entraîne toute l’Europe dans une escalade guerrière en soutenant fortement les prises de sanctions qui ruinent la Russie. Dans l’actualité de la première semaine du mois d’Avril, le rôle de la « Tchéquie » et de la « Slovaquie » est exemplaire. Ces ex pays de l’Est ont pris l’initiative personnelle de donner, la première, ses chars de guerre à l’Ukraine, et la seconde, une arme de haute technicité : le système de défense anti-aérien S-300, engageant ainsi par leurs actions individuelles tous les peuples de l’Europe. L’Angleterre déclare vouloir agir de même et on assiste à une disparition progressive de la crainte du peuple russe. Cette erreur sera fatale pour toute l’Europe que les USA abandonneront aux Russes pendant une durée de temps connue de Dieu seulement mais le retour du Christ prévu pour le printemps 2030 fixe des limites. L’esprit de la tradition héritée s’applique aux religions et il reste la cause des châtiments infligés par Dieu. Il fut fatal pour le peuple juif et le sera tout autant pour la fausse foi chrétienne marquée dès le 7 Mars 321 par la malédiction du dimanche romain, premier jour de la semaine selon Dieu, que l’empereur Constantin 1er, et non Dieu, a fait consacrer au repos hebdomadaire dit « dominical ». Les séparations effectuées après cette date ont donné naissance aux voies religieuses chrétiennes, catholique, orthodoxe, anglicane et protestante, mais toutes sont héritières de cette même malédiction. Le papisme priait Dieu pour la conversion au catholicisme de la puissante Russie soviétique, mais la fin du régime soviétique n’a fait que ranimer la foi orthodoxe qui n’ignore rien des tentatives romaines pour l’anéantir et la remplacer. En conséquence, elle nourrit aujourd’hui, dans la Russie de V. Poutine une haine envers la foi catholique contre laquelle elle a déjà combattu pendant sa domination de la Pologne. Le mensonge religieux caractérise toutes ses religions que Dieu dresse les unes contre les autres car seule sa vérité peut unir les êtres humains. Mais comme au temps du déluge, les esprits humains font le mal jour et nuit. Aussi, honorant sa promesse de ne plus les noyer par les eaux du déluge, il les livre partiellement (le tiers des hommes selon Apo.9:15) à la destruction par la Grande Guerre qui s’engage et qui prendra véritablement toute sa puissance après que l’adoption des populations musulmanes les ait mis en situation de guerre interne. Car le sage tire des leçons du passé, selon qu’il est écrit dans Ecc.1:9 : « Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil.». Et le dicton confirme disant : « les mêmes causes engendrent toujours les mêmes effets ». L’expérience très douloureuse de la colonisation des pays musulmans a démontré l’impossibilité de faire durablement cohabiter les religions chrétiennes et musulmanes. En serviteur de Dieu, je ne peux qu’approuver le châtiment mérité des peuples qui se montrent infidèles et peu soucieux d’honorer la sainte et unique révélation divine proposée à tous les êtres humains dispersés sur la terre entière pour qu’ils soient, individuellement, sauvés. Pour finir l’étude de ce thème, je te propose ce verset d’Ecc.9:18 qui est particulièrement adapté à notre actuelle situation : « La sagesse vaut mieux que les instruments de guerre ; mais un seul pécheur détruit beaucoup de bien. » Ceux qui donnent des armes à l’Ukraine rebelle sont donc tous des « pécheurs » rebelles autant que ceux qui l’agressent.

Et pour donner une authenticité biblique à cet enseignement concernant l’approbation des œuvres divines par les élus, je te présente ce verset d’Apo.15:3 : « Et ils chantent le cantique de Moïse, le serviteur de Dieu, et le cantique de l'agneau, en disant : Tes œuvres sont grandes et admirables, Seigneur Dieu tout puissant ! Tes voies sont justes et véritables, roi des nations ! »

Mais pour tempérer et présenter ce thème qui concerne les châtiments infligés par Dieu, je dois préciser que jusqu’à la fin du temps de grâce collective et individuelle, ces châtiments sont justifiés par la miséricorde de notre Créateur. En effet, de même que la souffrance ressentie par un corps malade a pour but d’inciter le patient à remédier au problème révélé, les châtiments donnés par Dieu invitent les pécheurs à la repentance afin qu’en changeant de conduite, ils deviennent agréables à Dieu et puissent prolonger leur vie sur la terre, et après elle, dans le ciel éternel, si leur préparation atteint la norme requise par Dieu. Bien sûr, cette offre concerne les survivants puisque le châtiment mortel engendré par la maladie ou la guerre prend un caractère définitif pour ceux et celles qui sont frappés par cette mort. Mais Dieu qui est le Dieu des vivants et non celui des morts, ne se lasse pas d’offrir son pardon, encore en notre époque frappée par les virus, la guerre, et bientôt, la famine créée par le désordre économique mondial provoqué par les sanctions occidentales imposées à la Russie.

A l’attention de ceux qui pensent à tort que leur ignorance des lois divines et leur désobéissance atténuent leur culpabilité, Dieu a fait écrire dans sa loi, dans Lev.5:17 : « Lorsque quelqu'un péchera en faisant, sans le savoir, contre l'un des commandements de YaHWéH, des choses qui ne doivent point se faire, il se rendra coupable et sera chargé de sa faute. » C’est sur ce principe que, selon Dan.8:14, depuis le printemps 1843, la transgression du sabbat du septième jour est imputée à tous les chrétiens observateurs du dimanche romain du premier jour ; ceci, en dépit de leur ignorance de l’application de ce décret promulgué quelques 25 siècles avant la date fixée. Car pour les lois divines et les lois humaines, « nul n’est censé ignorer la loi », comme le prescrit le régime républicain de notre démocratie française.

Après avoir redéfini le péché, il est facile de comprendre ce qu’est la vraie foi, puisque c’est l’application du comportement contraire, dans l’absolu, du péché. Mais attention ! Le mot « foi » est galvaudé. Hors de la vraie religion, son usage est injustifié et néfaste. Car ce mot désigne exclusivement l’application de la norme définie par Dieu dans les saints écrits de sa Bible. Dans la traduction biblique effectuée par Hugues Oltramare, reprise par Louis Segond,  le mot « foi » a été injustement remplacé par le mot conviction dans ce message de l’apôtre Paul dans Rom.14:23 : « Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu'il mange est condamné, parce qu'il n'agit pas par conviction la foi. Tout ce qui n'est pas le produit d'une conviction de la foi est péché. » Ainsi rectifié, ce message de Paul retrouve son authenticité car il dit ailleurs, au sujet de « la foi », dans Rom.10:17 : « Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ ». Le terme « foi » est donc destiné à un usage restreint pour définir uniquement cette norme « du bien et du mal » révélée dans la Bible et uniquement en elle. En dehors de cette stricte application, pour la fausse « foi » ou fausse religion, il faut utiliser le mot « croyance ». Par ailleurs, pour les usages profanes comme les défis sportifs ou aventuriers, le mot « conviction » convient parfaitement. L’apôtre Jacques nous dit, dans Jac.2:17, au sujet de « la foi », qu’elle peut être « vivante ou morte » ; « vivante » quand elle est conforme à l’attente révélée de Dieu et « morte » quand elle ne l’est pas. La foi vivante est construite sur la réciprocité de l’amour partagé avec Dieu, en Jésus-Christ exclusivement. Ce point est essentiel, car beaucoup vont perdre le salut pour n’avoir pas rendu à Dieu l’amour reçu de lui. « La foi » nécessite de la sensibilité, mais en aucun cas de la sensiblerie. Aimer Dieu et sa vérité repose uniquement et simplement sur une attitude obéissante. De cette relation avec Dieu, il ne faut pas attendre des sensations paranormales, car « la paix » donnée par Jésus-Christ crée simplement dans nos esprits une paisible sérénité qui se construit par le sentiment du devoir accompli. Elle n’est donc obtenue que lorsque ce devoir est réellement accompli. Les « paroles » sont trompeuses, aussi Dieu attend de ses élus des « œuvres » concrètes démontrées, selon que Jean, « l’apôtre que Jésus aimait » plus particulièrement, nous dit dans 1 Jean 3:18 : « Petits enfants, n'aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité. »

CONVAINCRE par tous les moyens légitimes

 

En cette semaine 4 depuis le printemps 2022, la guerre russo-ukrainienne se poursuit dans une dangereuse escalade qui ne fait que confirmer l’issue majeure dramatique prophétisée par Dieu. L’Amérique de Joe Biden s’implique encore davantage en fournissant à l’Ukraine des armes d’artillerie lourde. L’Ukraine vient de couler le vaisseau amiral russe appelé « Moskva » soit, « Moscou » ; ceci le 14 Avril, date où le célèbre « Titanic », coula après avoir heurté un iceberg en 1912. Le « Moscou » était un navire de très haute technicité, équipé de lanceurs d’engins de gros calibre. La preuve est apportée que l’usage des drones et des missiles dirigés avec précision sur leurs cibles changent considérablement les conditions de la guerre. Par ailleurs, après le premier tour du vote du 10 Avril, en France, la sélection du jeune président Macron et de la présidente du Rassemblement National, Marine le Pen, confirme le fait que c’est bien Dieu qui sélectionne les vainqueurs. Il impose aux Français, le même scénario qu’en 2017, et je pense que le résultat du second tour maintiendra le jeune président ambitieux et inexpérimenté dans son rôle néfaste destructeur pour la nation entière.

L’Esprit de Dieu a attiré mon attention sur un sujet spirituel nouveau. Il s’agit de réfléchir sur les moyens de convaincre. Nous allons voir que nous nous privons à tort de certains de ces moyens. En serviteur zélé, moi comme d’autres, nous présentons la vérité divine en citant des versets pris dans la Bible et, à ce titre, irréfutables. Pourtant, devant ces preuves réellement irréfutables, des êtres humains se bloquent et refusent nos explications. Aussi, devant ce comportement, nous pensons que cette personne aussi insensible à la vérité est perdue pour Dieu. Ce raisonnement hâtif n’est pas justifiable car il repose sur notre grande ignorance des mécanismes de la vie. Aussi, devons-nous faire entrer dans notre réflexion des paramètres sur lesquels nous n’avons aucune prise, car Dieu seul les connaît et les maîtrise. La vie des êtres humains s’organise par des enchaînements de réactions causées par des actions, ainsi comme dans la mécanique, des rouages et des leviers servent de transmetteurs d’ordres et d’actions. Appliqué aux relations humaines, ce principe organise les accords et les désaccords. Entre deux paroles échangées, le paramètre du caractère des deux interlocuteurs joue un rôle de premier plan. Et sans encore le nommer « orgueil », le caractère de la fierté peut constituer un obstacle momentané. Tous les êtres humains normaux font preuve de fierté quand ils réussissent dans leur projet. La fierté est le fruit direct d’une satisfaction de notre conscience. Celui qui aspire à servir Dieu droitement est naturellement fier de le servir. A un degré un peu plus élevé, la fierté devient néfaste si la véritable humilité ne la compense pas. Ainsi, entendant la vérité, un être va pouvoir refuser ce qui lui vient de quelqu’un d’autre, et ceci d’autant plus s’il éprouve du mépris pour celui qui lui parle. Ce type de comportement est très répandu et à vue humaine, la situation semble insoluble. C’est alors que la stratégie de la ruse peut réussir là où l’affrontement verbal direct échoue.

La ruse jouit d’une mauvaise réputation depuis que Dieu l’a imputée au « serpent » de l’Eden utilisé lui-même par le diable. Mais précisément, ce que la ruse a eu de condamnable en Eden, c’était uniquement le but poursuivi par Satan soit, perdre l’humanité créée par Dieu. En fait, Dieu a dit du « serpent » qu’il était « le plus rusé des animaux », mais en ce domaine, il avait un Maître : Dieu lui-même. Car il nous faut réaliser que tout son combat préparé pour vaincre Satan et le péché a reposé sur la stratégie de la ruse. Le diable a été pris dans le piège que Dieu a dressé devant lui et pour lui. Ce piège, c’est notre dimension terrestre et les vies humaines. Sûr de son fait et de sa future victoire en Christ, Dieu l’a prophétisée dès le commencement : « la postérité de l’homme brisera la tête du serpent ». Dans sa méchanceté naturelle, Satan a poussé les hommes vers le meurtre, la dureté et la violence en tous genres. Pour sa part, Dieu a caché au diable et aux humains, la stratégie rusée par laquelle il allait le vaincre. 4000 ans après le péché, sa ruse divine a pris sublimement forme par l’offrande de sa vie humaine en Christ pour l’expiation des péchés de ses élus, exclusivement ceux de ses élus sauvés par son sang parfaitement innocent et juste.

La ruse divine prend le nom de « sapience » qui désigne sa très haute sagesse. La ruse est un fruit de la sagesse et Dieu a construit son projet salvateur sur ces deux mots : sagesse et ruse. La ruse divine repose sur le calcul mental qui anticipe le résultat qu’une action va produire. L’exemple type de cette stratégie apparaît dans l’expérience du roi Salomon qui, prévoyant la réaction de la vraie mère de l’enfant disputé, n’hésite pas à ordonner que le corps de l’enfant soit coupé en deux. La vraie mère préfère, dans ce cas, renoncer à son enfant, plutôt qu’il meurt. Après cet exemple donné aux hommes, Dieu agit de la même manière en s’incarnant en Jésus. Sauf que cette fois, l’enfant est tué, mais sa mort injuste va recevoir la plus impensable des explications : il a donné sa vie pour ses élus. Le résultat calculé à l’avance par Dieu apparaît alors, les âmes des élus découvrent l’immense amour de leur Dieu créateur et veulent à leur tour lui appartenir et le servir. Ainsi, par la démonstration de son amour, Dieu obtient ce que le diable ne réussit pas à obtenir par sa violence et sa méchanceté.

Dieu fait encore appel à la ruse, dans la stratégie des fausses attentes du retour du Christ qu’il organise successivement au printemps 1843, à l’automne 1844 et en 1994. Dans chacune de ces expériences, Dieu a fait le calcul de conduire les êtres humains à révéler publiquement la nature profonde et cachée de leur foi. Sa stratégie de la ruse a ainsi pour double résultat de mettre en évidence ceux qui sont dignes de son salut et ceux qui n’en sont pas dignes.

La vie naturelle nous offre des exemples comme la ruse du « coucou » qui place son œuf dans le nid d’une autre espèce pour le faire couver et nourrir par une autre race d’oiseau. Cette démarche nous apprend, une leçon qu’il est souhaitable d’appliquer. En effet, l’homme fier regimbe contre les idées qui lui sont proposées, la solution est donc de le conduire à faire ces idées siennes, comme venant de lui, sur sa propre décision. Dans cette démarche, nous avons besoin de la collaboration de Dieu car son intervention est ici indispensable. Lui seul peut œuvrer au niveau de la conscience humaine et réussir quand la chose est encore possible. Pour celui qui refuse résolument l’idée même de devoir obéir à Dieu ou même aux hommes, les chances de succès sont nulles ou presque. Mais pour ceux qui aiment le Seigneur et le servent d’une manière non conforme à la norme exigée par lui, le temps, et les circonstances permettent de garder l’espoir d’une complète réussite.

A côté des versets bibliques, il y a le témoignage historique qui peut avoir une grande efficacité pour convaincre les croyants quelque peu récalcitrants. Prenant le cas d’une personne adepte de la foi catholique, lui faire découvrir que le dimanche, est devenu le jour du repos par l’ordonnance de l’empereur Constantin 1er dit « le grand » depuis le 7 Mars 321, peut avoir un heureux résultat. Car après que cette connaissance est entrée dans l’esprit de cette personne, Dieu va tourmenter sa conscience à ce sujet. Et selon la nature profonde de l’individu concerné, il recherchera la paix avec Dieu ou s’enfermera dans son refus absolu. Une chose est sûre, c’est que les serviteurs de Dieu doivent positiver l’espérance contre toute espérance et se montrer patients sachant que ce qui est rejeté aujourd’hui pourra, peut-être, être accepté demain. Car Dieu dispose encore de beaucoup d’armes et de moyens que ses serviteurs humains ne maîtrisent pas.

Avec le recul du temps, je mesure les conséquences de nos limitations humaines. La qualité des relations humaines est à entretenir et à privilégier, sachant que l’affection tient un rôle fondamental sur les réactions et les comportements des êtres humains. Comme Dieu l’a démontré en Christ, l’amour peut convaincre mieux que la dureté des froides paroles échangées. Chacun peut, selon son cas, trouver la méthode pour convaincre son prochain qu’il est bien le décideur de ses décisions ; une brochure laissée en évidence, un ouvrage ouvert sur une page, sont des moyens qui donnent à l’être humain, la possibilité de se trouver seul face à sa conscience, sous le jugement de Dieu.

Jésus-Christ a lui-même appliqué ce principe pendant son ministère terrestre. Ce n’est qu’en particulier, que Jésus fut reconnu par l’apôtre Pierre, l’un de ses douze apôtres. Et il le fit en ces termes : « Simon Pierre répondit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. » Il a ensuite interdit à ses apôtres de dire qu’il était le « Christ » selon Luc 9:21 : « Jésus leur recommanda sévèrement de ne le dire à personne. » et Marc 8:30 : « Jésus leur recommanda sévèrement de ne dire cela de lui à personne. » Mais aux personnes qu’il guérissait, il ordonnait d’allait témoigner au temple de leur miraculeuse guérison selon Matt.1:44 : « et lui dit : Garde-toi de rien dire à personne ; mais va te montrer au sacrificateur, et offre pour ta purification ce que Moïse a prescrit, afin que cela leur serve de témoignage. ». Le choix était ainsi laissé à celles et ceux qui entendaient ces témoignages de tirer, eux-mêmes, les conclusions logiques qui s’imposaient à eux. Selon le principe cité dans Matt.25:29, «… Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a. », Jésus donne à son élu qu’il a lui-même choisi, le privilège de confirmer par le Saint Esprit de Dieu, son authentique messianité. La sélection par la foi exigeait le silence sur son rôle de Messie. Pour le souverain sacrificateur jusqu’au plus humble et pauvre hébreu, seules les œuvres de Jésus devaient rendre témoignage. C’est pourquoi, les incrédules firent le choix ignorant et agressif des incrédules et les croyants agirent en croyants, recevant par la bouche de Jésus, les paroles divines du Dieu créateur.

Pour préparer l’accomplissement des prophéties concernant le temps de la fin, Dieu a livré la France à la gouvernance d’un jeune président, sûr de lui, cynique et  hautain. Il incarne à lui seul, le résultat de l’accumulation des diplômes décernés par les humains. Ce grand discoureur a le don de présenter ses défauts en qualités et ses échecs successifs en réussites, ses longs monologues soutenus par les médias en « grand débats ». En sorte qu’il représente un modèle du chef séducteur et il réussit ainsi à séduire une grande quantité d’hommes et de femmes d’origines étrangères, et de doubles voire triples nationalités, principalement, ainsi que les élites riches du pays. On a dit de lui avec raison qu’il est « le président des riches », chose logique pour un ancien serviteur des plus riches banquiers.

L’expérience de Rome a montré et témoigné comment se passe l’évolution du type gouvernemental. Après la république et les consuls dictateurs, les plus riches finissent par soumettre le peuple à l’impérialisme, et ce n’est pas sans raison qu’après avoir donné à l’humanité ses leçons, Rome est passé au régime impérial depuis Octave César Auguste, juste avant la venue sur terre de Jésus-Christ. Après ces leçons, Rome devait encore tenir un dernier rôle encore plus dommageable et néfaste pour l’humanité entière mais principalement pour les peuples occidentaux. Ce nouveau type de séduction et de domination devait être religieux et faussement chrétien, et il s’est accompli par le régime papal romain établi en domination despote et cruelle entre 538 et 1798, conformément aux annonces prophétiques citées dans Daniel 7:25 et Apo.11, 12, et 13 sous les formes « un temps des temps et la moitié d’un temps, quarante-deux mois, mille deux-cent soixante jours » de valeur prophétique fixée par Dieu dans Ezé.4:5-6 et Nombres 14:34. Le principe donne au « jour » prophétisé la valeur d’une « année » réelle.

 

 

 

 

 

La démocratie théâtrale

 

Dire que le développement de l’humanité se construit comme une grande « tartufferie » sur l’échelle mondiale est une vérité déjà suggérée par le titre « la Tragédie des siècles » donné par la messagère adventiste de Dieu, Ellen.Gould- White, à son célèbre ouvrage.

Les démocraties modernes reposent toutes sur le modèle originel grec de la ville d’Athènes. Je rappelle que ce mot démocratie est construit sur deux racines grecques : « Démos » qui signifie,  ville, et « cratos » qui signifie, état. L’origine de la démocratie repose sur la prise d’indépendance d’une ville nommée Athènes dans la nation grecque composée à l’époque de plusieurs villes dont Sparte qui la combattit. On peut donc déjà relever que la démocratie est née en provoquant une guerre. Il faut relever la trahison courante qui est faite aujourd’hui de ce mot démocratie qui représente selon ce qui se dit, le gouvernement « du peuple par le peuple ». Or, le terme grec « laos » qui signifie « peuple » n’entre pas du tout dans la composition du mot démocratie. La deuxième chose à relever est que nos démocraties modernes sont représentées par des nations et non des villes. Ce mot est devenu l’alibi d’une énorme escroquerie qui piège, principalement, les peuples occidentaux d’origine chrétienne.

Dans notre système républicain français, tout est organisé pour faire croire à chaque citoyen qu’il choisit la forme de la gouvernance de son pays, Le corps médiatique se nourrit de ce système tout particulièrement car les règles et les formes du jeu démocratique les occupent et les intéressent principalement de même que les hommes et les femmes politiques eux-mêmes. Le jeu des élections les met en évidence et leur donne une raison de vivre et d’apparaître indispensables alors qu’il n’en est rien.

La vie moderne fait de plus en plus place aux sociétés commerciales qui organisent des sondages d’opinion. Les résultats présentés sont de plus en plus précis, et ils pourraient ainsi facilement remplacer le vote organisé à grands frais par la nation. En fait, le principe de l’échantillonnage, utilisé dans une expérience, a été inventé par Dieu lui-même, bien avant que les hommes le découvrent. Et l’application de ce principe explique pourquoi les adventistes dispersés sur la terre entière ont ignoré les choses qui se sont accomplies en France, en région sud et à Valence sur Rhône plus particulièrement, entre 1980 et 1994. Dans l’histoire de l’ancienne alliance, à partir du roi David, la ville de Jérusalem, l’ancienne Jébus, prend sur toute autre ville un rôle dominateur. Sous Salomon, Dieu y fait construire son temple qui vient remplacer l’ancien tabernacle. La ville est dès lors sanctifiée et va le rester jusqu’au ministère terrestre du Christ. A elle seule, la ville de Jérusalem devient un échantillon du peuple juif entier. L’épreuve de foi la concerne en priorité sur tout autre lieu terrestre. La condamnation du rejet du Christ à Jérusalem suffira à elle seule, pour Dieu, pour qu’il applique son jugement à la nation juive entière. C’est déjà là, l’application de l’échantillonnage d’une minorité soumise à une expérience, parce qu’elle est représentative de l’ensemble du peuple concerné.

Entre 1980 et 1994, le même Dieu créateur a suscité dans l’église adventiste du septième jour de Valence sur Rhône, l’espérance du retour du Christ pour l’année 1994. A l’origine de cette attente, il y a eu l’ouverture par Dieu des secrets cachés dans les révélations prophétiques des livres de Daniel et Apocalypse, seulement partiellement compris par l’organisation jusqu’à cette date de l’année 1980. Après mon baptême du 14 Juin 1980, conduit par l’Esprit, je me suis lancé dans une étude approfondie de l’Apocalypse de Jésus-Christ en recherchant la signification des symboles dans l’ensemble de la Bible, et sous la conduite invisible de Dieu, le message a pris forme ; la prophétie était décryptée dans l’harmonie avec les dates historiques confirmées par les durées de temps prophétisées. A l’époque, la date 1994 me semblait devoir marquer le terme des expériences terrestres religieuses. Les arguments en faveur de cette interprétation existaient et ils étaient si nombreux que Dieu a pu condamner l’organisation adventiste locale et la région sud de la France qui l’a officiellement rejeté en me radiant en Novembre 1991 ; soit, 3 années avant le constat du non retour de Jésus. Fidèle à son principe, Dieu a apporté sa lumière dans la plus ancienne communauté adventiste créée en France. C’est pourquoi on trouvait à l’époque, exceptionnellement, environ 150 membres adventistes dans cette petite ville de moins de 70 000 habitants. Comme Jérusalem en son temps, Valence a servi à Dieu d’échantillon du peuple adventiste mondial, et l’épreuve de foi qui s’y est accomplie a porté des conséquences que Dieu applique à l’adventisme international global. La conséquence première de son juste jugement est l’entrée de l’adventisme officiel dans l’alliance œcuménique où elle a rejoint les religions catholiques et protestantes de l’Europe occidentale déjà condamnées par Dieu ; le catholicisme depuis son instauration, et la foi protestante depuis 1843, date d’entrée en application du décret de Dan.8:14 : « Jusqu’à soir-matin, 2300, et sera justifiée la sainteté ». Pour la foi protestante éprouvée entre 1831 et 1844, 1843 a marqué la fin de sa justification par Jésus-Christ. En 1994, la même sentence divine a concerné la foi adventiste de l’institution officielle.

L’échantillon reflète la nature et le caractère de la société globale qu’il représente. C’est pourquoi, entre 1980 et 1994, Dieu n’a pas eu besoin de soumettre l’intégralité du peuple adventiste à l’épreuve de la foi prophétique. Partout, le même endormissement, le même manque d’amour et de zèle pour la vérité divine révélée caractérisent les héritiers de l’adventisme originel. La religion adventiste est devenue formaliste et ceux qui la représentent sont peu soucieux de comprendre les prophéties présentées par Dieu ; ce qu’il image dans Apo.3:15 par l’expression, « ni froid, ni bouillant, mais tiède » ; ce qui le conduit à la « vomir » à cette date 1994 qui leur a été présentée comme un piège dans lequel ils ont été pris.

Dans notre actualité électorale, les candidats multiplient en vain leurs efforts pour tenter de changer les résultats annoncés par les sondages. Car dans les sondages sérieux se trouve l’échantillon de la représentation du peuple entier et tous les discours ne sauraient le changer. Individuellement, chaque électeur choisit ou rejette les candidats en fonction de données invariables, établies sur des préférences et des affinités. Mais l’illusion démocratique apparaît encore davantage quand on sait que Dieu intervient personnellement dans les sélections et l’élection du candidat vainqueur. Ce texte de Dan.10:13 nous révèle l’importance fondamentale du rôle des acteurs invisibles dans ces scènes humaines : « Le chef du royaume de Perse m'a résisté vingt et un jours ; mais voici, Micaël, l'un des principaux chefs, est venu à mon secours, et je suis demeuré là auprès des rois de Perse. » Ainsi dans nos luttes politiques humaines, Dieu et le diable opposent leur influence, et bien sûr, Dieu remporte la bataille. Mais il ne s’oppose pas systématiquement au diable auquel il livre les âmes qu’il condamne. Et dans le cas des pays maudits, Dieu favorise la victoire du chef le plus malfaisant pour sa nation. Or, les pays formés sur la terre sont tous uniformément frappés par sa malédiction. C’est pourquoi, Dieu et le diable œuvrent de concert contre la cause rebelle humaine mondiale. Et tous les dirigeants du monde favorisent par leurs choix et leurs décisions l’affrontement guerrier voulu et décrété par le grand Dieu créateur ignoré et méprisé. Les choses prennent forme et déjà on entend dire par certains que la Troisième Guerre Mondiale a déjà commencé en Ukraine parce que derrière elle, les USA combattent la Russie. Aussi, quand les armes conventionnelles auront permis à la Russie de dominer sur toute l’Europe occidentale ruinée et écrasée, les USA, en premiers, frapperont par l’arme atomique le territoire de la Russie. C’est alors que son chef, « le roi du septentrion » de Dan.11:44, sera soumis à cette terrible nouvelle : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. »

Ces dirigeants qui jouissent des honneurs rendus par leur peuple ne peuvent pas imaginer qu’ils ne sont en réalité que des pantins articulés manipulés par Dieu et Satan. Les élections populaires allument des espérances qui ne seront jamais satisfaites, parce que Dieu a décidé de priver les peuples de toute réussite. Les ruines de l’Ukraine ne seront pas relevées et ne font que précéder celles qui caractériseront bientôt toutes les nations terrestres frappées en divers lieux par de monstrueuses destructions nucléaires.

Que vaut le choix de l’homme s’il n’est pas approuvé par Dieu ? Dans le camp occidental, les humains ont fait de la liberté l’égide et le signe de leur type de société. Ce goût pour la liberté repose sur la libération des mœurs qui prennent des formes jamais imaginées. Dans ses excès et ses extravagances, la société occidentale s’attaque à toutes les normes établies par Dieu ; en sorte que sa décision de les livrer massivement à la destruction s’explique et trouve une biblique justification.

J’ai déjà évoqué ce sujet mais je le rappelle, la représentation complète d’une population ne peut pas être systématiquement profitable à une société humaine. Jésus-Christ a rappelé que, sur la terre, il y aura toujours, jusqu’à la fin du monde, des pauvres et des riches dont les intérêts sont diamétralement opposés comme le jour et la nuit ; ce qui justifie les guerres civiles ou internationales. En Europe occidentale, des normes ont été finalement adoptées et imposées, ce qui conduit les gouvernements élus successivement à appliquer sensiblement les mêmes mesures. En conséquence, l’intérêt pour les élections disparaît et le nombre des abstentions ne fait que croître avec le temps. Les véritables croyants trouvent en Dieu une raison de ne plus donner de l’importance à ces expériences, sachant qu’il conduit toute chose.  Car la puissance divine s’impose dans toutes les formes gouvernementales des peuples, depuis la monarchie jusqu’à la république, chrétienne, musulmane, ou athée.

Les élections ne constituent donc pour les peuples qu’une manière théâtrale trompeuse visant à leur faire croire qu’ils maîtrisent ou peuvent maîtriser leur destin. Elles ne sont donc en réalité que la conséquence de leur séparation d’avec le Dieu créateur et législateur pour lequel elles affichent un mépris total jusqu’à ne pas croire à son existence. Pourtant, bien qu’en minorité presque invisible, le camp des élus de Dieu sortira vainqueur sur tous ses ennemis et Dieu aura contre eux le dernier mot.

L’incapacité des humains à obtenir un type de gouvernement apte à satisfaire tout le monde repose sur le fait que des foules de personnes votent sans connaissance particulière du sujet politique et des enjeux économiques. Certains ne votent qu’en fonction de l’aspect physique du candidat, d’autres pour son aspect mental ou ses diplômes. La somme de toutes ses expressions électorales ne peut qu’être défavorable pour le pays entier. Comprendre cette impossibilité et cette limite humaine permet de placer toute notre espérance dans la venue glorieuse du grand Dieu dominateur qui a pour nom salvateur Jésus-Christ. Ceci s’impose d’autant plus que les phases préparatoires de la Troisième Guerre Mondiale ont débuté le jeudi 24 Février 2022 en Ukraine. Les réactions belliqueuses des peuples occidentaux permettront bientôt l’accomplissement du conflit décrit dans Daniel 11:40 à 45. La stratégie de cette guerre débute par une confrontation de l’islam guerrier contre l’occident agnostique ou faussement chrétien. Le moment favorisera alors l’intervention vengeresse de la Russie humiliée et combattue économiquement par l’Europe occidentale regroupée sous le sigle E.U. qui prend avec les USA des sanctions contre elle, et offre des armes à son adversaire, l’Ukraine. Les peuples européens, remplis d’un orgueil construit sur 75 années de paix et de réussites industrielles et commerciales, sont brutalement confrontés à une situation qu’ils n’envisageaient plus possible. Ce comportement résulte directement de leur désintérêt pour Dieu et ses messages prophétisés. A l’inverse d’eux, j’attends l’accomplissement de ce conflit depuis l’année 1982 en laquelle une menace lourde de confrontation entre l’Europe et la Russie a été évoquée et ressentie par tous les vivants de l’époque. Ma découverte du conflit de Daniel 11:40 à 45 coïncidait avec l’annonce basée sur les prophéties de Michel Nostradamus, selon une interprétation proposée par Mr. Jean de Fontbrune. Le temps et les épreuves de foi ont passé et le temps est venu pour ce drame terrifiant de s’accomplir conformément au désir révélé de Dieu.

Dans l’immédiate actualité de cette semaine 5 du temps fixé par Dieu, la Russie vient de procéder au lancement réussi d’un super missile de 200 tonnes porteur de 10 bombes nucléaires d’une puissance deux mille fois plus grande que celle qui fut utilisée à Hiroshima contre le Japon par les USA. Il se déplace à la vitesse de 7 km par seconde et peut changer sa trajectoire pendant son vol. Parti de Moscou il atteindrait Paris en 6 mn. Il atteint sa cible avec une précision de 10 mètres. La Russie n’utilisera pas pour autant en première cette terrible arme nommée « Sarmat 28 » mais surnommée de façon bien vue, « Satan 2 ». Elle ne le fera qu’après avoir été frappée par les USA par l’arme nucléaire. Mais cette annonce préfigure bien de l’avenir réservé aux habitants de la terre entière.

Les positions des pays étant de plus en plus affermies, la confrontation meurtrière programmée ne peut que s’accomplir.  Les menaces russes se précisent verbalement sur les ondes radio et télévisées. Pour certains Russes, la Troisième Guerre Mondiale a déjà commencé, opposant la norme occidentale à la norme orientale de la Russie et des pays de l’Est. Principalement, la foi catholique et la foi protestante se heurtent aux religions orthodoxes et musulmanes liguées contre l’ennemi occidental commun. Mais en dépit de ces menaces, beaucoup d’occidentaux ne croient pas à leur utilisation, convaincus qu’aucun peuple ne peut utiliser ces armes sans risquer d’être lui-même frappé par les mêmes armes. Mais ce raisonnement ne tient pas parce qu’il ne tient pas compte de l’existence de Dieu et de son jugement destructeur annoncé et programmé comme une certitude prophétisée.

Et pour en finir avec ce sujet, il faut réaliser que le « grand remplacement » dénoncé par le candidat Eric Zemmour a déjà été accompli par l’accueil incessant des réfugiés de toutes origines pendant plus de cinquante années, en sorte que la cause nationaliste n’est plus majoritairement soutenable dans le pays France. Ceci explique l’impossibilité pour son parti nationaliste nommé successivement « Front National », puis « Rassemblement National », de remporter la victoire par la voie électorale légale.

 

 

Dieu organise le grand remplacement

 

Ce grand remplacement n’est pas seulement la cause des ennuis subis par la France, il est également le moyen employé par Dieu pour l’affaiblir.

Mon analyse du sujet est confirmée, le camp européiste a gagné l’élection présidentielle ; le jeune président Emmanuel Macron est reconduit dans sa fonction de Président des Français. Mais sa victoire est plus faible que la précédente. Il a relevé ce fait et triomphe un peu plus modestement, cherchant visiblement à rassurer les électeurs déçus par sa réélection. Pour ma part, il n’y a aucune déception puisque j’étais certain au sujet de ce résultat. Cependant, je relève quelque chose d’injustifiable à propos des chiffres donnés par les instituts de sondage. Comment les mêmes méthodes peuvent-elles leur permettre d’attribuer environ 46% au camp nationaliste la veille du vote, et seulement 41,5% immédiatement après lui, avant la publication des chiffres officiels ? N’y aurait-il pas eu une surestimation volontaire favorable à entretenir le risque afin d’encourager le vote pour le président sortant ? La démocratie favorise dans la liberté tant d’actions corrompues et pourquoi pas, la fraude électorale déjà pratiquée au USA … Quelles qu’en soient les causes, la situation actuelle est telle que Dieu l’a voulue. Et selon son projet funeste, on ne change pas une équipe qui perd … la France et son peuple.

Le grand changement est organisé par Dieu, et ce n’est pas la première fois qu’il exploite cette méthode. Tout s’explique dans l’expérience du séjour des Hébreux en Egypte. Nous trouvons dans cette expérience égyptienne un facteur éclairant : Dieu favorisa la fécondité des femmes du peuple hébreu, selon Exo.1:7 : « Les enfants d'Israël furent féconds et multiplièrent, ils s'accrurent et devinrent de plus en plus puissants. Et le pays en fut rempli. » Pour la France, ce facteur a aussi tenu un rôle fondamental. Pendant que les familles immigrées maghrébines accueillies depuis la loi du regroupement familial de 1976 multipliaient, par principe religieux, au même moment, la science a offert aux femmes de France la pilule contraceptive, et la natalité des Français autochtones n’a fait que se réduire et dans le même temps, celle des immigrés, s’intensifier. Ainsi, comme en Egypte, Dieu préparait pour la France un grave problème de remplacement dû à la fécondité. Nous lisons encore dans Exode 1:8 : « Il s'éleva sur l'Égypte un nouveau roi, qui n'avait point connu Joseph. » Là est encore l’explication des problèmes arrivés aux Hébreux : le changement du chef porteur du pouvoir soit, le remplacement de la gouvernance et donc l’arrivée d’un jeune pharaon inexpérimenté, qui n’avait pas personnellement vécu et apprécié la gouvernance bénie par Dieu de Joseph. En paraphrasant ce verset, je dis aujourd’hui : « il s’éleva sur la France, un président qui n’avait point connu la gloire de la France indépendante du général de Gaulle ». Car l’explication de la victoire du camp européiste repose sur cette inexpérience du passé vécu. La jeunesse mise au pouvoir depuis 2017 est née sous le régime européen soit, sous le symbole « Euphrate » que Dieu lui donne dans Apo.9:14 : « et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. » Ce symbole vient donc compléter celui des « dix cornes » sans « diadèmes » ni sur « les cornes », ni sur « les sept têtes » romaines, dans Apo.17:3. Or, nous trouvant précisément dans les derniers jours-années du séjour terrestre, nous trouvons, dans 2 Timothée 3, une description détaillée du jugement que Dieu donne de cette dernière génération humaine, par le jugement spirituel éclairé de l’apôtre Paul, son fidèle serviteur et témoin.

« 2Tm 3:1  Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles.

2Tm 3:2  Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux,

2Tm 3:3  insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien,

2Tm 3:4  traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu,

2Tm 3:5  ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là.

2Tm 3:6  Il en est parmi eux qui s'introduisent dans les maisons, et qui captivent des femmes d'un esprit faible et borné, chargées de péchés, agitées par des passions de toute espèce,

2Tm 3:7  apprenant toujours et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité.

2Tm 3:8  De même que Jannès et Jambrès s'opposèrent à Moïse, de même ces hommes s'opposent à la vérité, étant corrompus d'entendement, réprouvés en ce qui concerne la foi.

2Tm 3:9  Mais ils ne feront pas de plus grands progrès ; car leur folie sera manifeste pour tous, comme le fut celle de ces deux hommes. » / …

« 2Tm 3:12  Or, tous ceux qui veulent vivre pieusement en Jésus Christ seront persécutés. 

2Tm 3:13  Mais les hommes méchants et imposteurs avanceront toujours plus dans le mal, égarant les autres et égarés eux-mêmes. »

 

Cette génération est apparue en Mai 1968, lançant ses slogans, « Ni Dieu, ni maître » ; « il est interdit d’interdire ». Les générations apparues ensuite ont été élevées dans cet état d’esprit, il n’est donc pas étonnant qu’elles aient « avancé toujours plus dans le mal » comme Dieu l’a prophétisé. Mais aujourd’hui, est venue l’heure du dernier châtiment d’avertissement avant l’entière extermination de l’espèce humaine sur la terre du péché.

Le grand remplacement évoqué en premier par le candidat Eric Zemmour ne concerne donc pas uniquement l’accueil des étrangers immigrés, il s’accomplit principalement par le remplacement des anciens par les jeunes. Et pour confirmer ce fait, Dieu a favorisé la mort des anciens, dans l’épidémie du Covid-19, intensifiant de la sorte, ce remplacement.

D’une manière générale, j’ai compris que les êtres humains n’aiment pas le changement qui représente l’inconnu et ses risques. Il en est ainsi, sur le plan religieux comme sur le plan civil. Les hommes recherchent avant tout la sécurité qu’ils rattachent à ce qu’ils maîtrisent parce qu’ils le connaissent, l’ayant vécu. Tout changement représente à leurs yeux un danger. Aussi, naturellement, ils deviennent conservateurs et soutiennent contre leur intérêt réel, l’immobilisme faussement sécurisant. Quel serviteur adventiste du Christ n’a pas entendu cette phrase, « Je suis né catholique et je mourrai catholique » ? Qu’ils soient rassurés ! Ils seront exaucés ; ils mourront catholiques, porteurs de la culpabilité de leurs péchés, et de ceux de la Rome papale qu’ils ont soutenue.

Une autre raison explique le soutien de la jeunesse à la pensée européiste. Ils sont nés européens et on leur a présenté l’Europe comme cause de la paix instaurée sur ses territoires. Le lavage de cerveau qu’ils ont subi les a rendus hostiles aux pensées nationalistes qui selon les mêmes enseignants furent les causes des guerres européennes. Le serviteur éclairé de Dieu sait qu’il n’en est rien. Les guerres sont la conséquence de la malédiction de Dieu ; elles résultent uniquement du mépris qui lui est témoigné. La preuve fut donnée au cours de la vie du roi Salomon. La vie d’Israël fut marquée par la paix et une abondante prospérité, ceci, à cause du choix de la sagesse effectué par le sage Salomon quand Dieu lui a présenté plusieurs choix possibles, dont celui de la richesse qu’il écarta. Ce prétexte de faveur pour la paix a caché à cette jeunesse le rôle néfaste de l’E.U. (Europe Unie) ou U.E. (Union Européenne), dont les commissaires non élus passent leur temps à œuvrer pour détruire les nations, réduisant sans cesse leur liberté d’action, affaiblissant les pays riches pour mieux enrichir, en les exploitant, les plus pauvres ; les derniers entrés. Les jeunes n’ont pas connu, la France qui était la 4ème puissance du monde ; ils n’ont connu que celle que l’Europe Unie a conduite, en pouvoir d’achat, au 15ème rang sur 42 nations européennes. Ils n’ont pas connu, non plus, le plein emploi de la France indépendante, mais seulement les 10% du chômage créé par les délocalisations encouragées par l’Europe, vers l’orient, successivement, le Japon, la Corée et la Chine, mais aussi, dans l’Europe elle-même, et dans des pays amis privilégiés comme le Maroc. En réalité, les Français ont été trahis par leurs élites politiques qui ont livré leur pays aux décisions des technocrates européens européistes. A l’intérieur de cette Europe, les mêmes règles sont imposées depuis Bruxelles et la Haye. En sorte que les changements des gouvernements de gauche et de droite se traduisent par l’immobilisme d’une « pensée unique » évoquée par le président Jacques Chirac, pendant son mandat présidentiel. En conséquence, l’intérêt pour les élections internes décline et le seul parti qui progresse est celui des abstentionnistes composé d’anarchistes utopistes, et peut-être, de gens perspicaces qui ont compris, avant les autres, les escroqueries démocratiques de la cinquième République livrée à l’Europe.

La vie des « sans-Dieu » se construit sur de fausses explications, mais il faut bien que l’esprit humain trouve des explications pour justifier ses problèmes. Dans la dernière épreuve, quand les rebelles seront frappés par les derniers fléaux de Dieu, l’esprit du diable les convaincra que les responsables de leurs douleurs sont ceux qui gardent et honorent, injustement, le sabbat des Juifs. Cette pensée étant soutenue et confirmée par les représentants des religions chrétiennes réprouvées par Dieu, les masses humaines survivantes après la Troisième Guerre Mondiale approuveront la persécution des « derniers élus » de Jésus-Christ ; ceci, jusqu’à les juger dignes d’être mis à mort.

Le diable a déjà su habilement exploiter le désastre causé par la Seconde Guerre Mondiale. En réaction, la haine de la pensée nationaliste s’est développée, et en Mai 1968, une pensée universaliste a pris forme. La jeunesse de l’époque avait ses regards portés sur la jeunesse américaine, débordante d’enthousiasme et exubérante à souhait. En premiers, les USA ont favorisé le jeunisme, car leur goût pour la musique agressive moderne favorisait le commerce par la vente des disques vinyles pressés en multitudes. La culture américaine a donc nourri la jeunesse européenne qui l’a prise pour modèle. Et aux USA, se trouve la ville de « New-York » qui, composée d’immigrés venus de tous les pays du monde, a représenté particulièrement le modèle « Babel » renouvelé aux derniers jours. Et cette « Babel » a favorisé le développement de l’idolâtrie en donnant aux jeunes des chanteurs, idoles modernes, mais pas moins nocives que les anciennes des peuples païens de l’antiquité ou de l’extrême orient actuel.

En religion, comme dans le sujet civil, il est très difficile d’arracher l’esprit humain aux pensées qu’il soutient. Cependant, des exceptions existent, heureusement pour la cause divine, et même dans le sujet profane, des jeunes se distinguent en appréciant les leçons données par le passé. Mais ils sont minoritaires et le gros du troupeau se comporte en moutons suiveurs, alors qu’ils sont conduits vers la boucherie. Mais déjà, l’actualité de la guerre ouverte en Ukraine, offre, aux plus perspicaces, la possibilité de réaliser qu’on leur a longuement menti, en rattachant la paix à la formation de l’Europe Unie. Car le soutien militaire apporté à la belliqueuse Ukraine, qu’elle arme avec les USA contre la Russie, témoigne qu’elle encourage et favorise hypocritement une guerre sur son sol. Et cette action l’entraînera à s’engager toujours plus, jusqu’à ce qu’elle devienne, la cible et la proie du peuple russe auquel Dieu va la livrer, pour la châtier.

La paix offerte par Dieu aux européens, entre 1945 et 2022, n’était pas le fruit d’une bénédiction divine, ni celui de l’instauration des accords européens, mais un cadeau « empoisonné » du grand Juge divin. Car, dans cette paix, les hommes et les ethnies se sont mélangés, préparant pour la fin une situation de cohabitation insupportée, tant les coutumes et les religions séparent, à terme, les esprits humains. Et pour intensifier ces oppositions, on a vu la foi musulmane se réveiller et imposer dans ses pratiques, aux femmes, le port du voile hérité des coutumes des peuples orientaux, et aux hommes, le port de la djellaba, le burnous de l’islam traditionnel ; ceci, afin de se distinguer plus clairement, pour rappeler avec arrogance, aux Français de souche, que l’islam est maintenant aussi français qu’eux.

Voilà, le jeune président est reconduit dans sa fonction, mais que peut-il faire, sinon accomplir les œuvres funestes que Dieu lui-même lui inspire ?

Un nouveau quinquennat, mais le dernier, s’engage, mais il n’ira pas à son terme, car en cours de route, le drame de l’intervention russe va le stopper. La nation France s’apprête à vivre les deux ou trois dernières années de son existence. Et après l’écrasement russe, viendra le temps du dernier gouvernement universel que Dieu va organiser pour l’épreuve de foi des derniers survivants de la terre. Elle s’achèvera au printemps 2030, avec le retour glorieux de notre divin Sauveur Jésus-Christ. En vérité !

Le grand projet de Dieu s’accomplit et nous pouvons déjà relever les enchaînements de ses phases constructives. En 1843, en suscitant l’épreuve de foi adventiste, Dieu a rappelé aux hommes la norme de la foi parfaite, qui exige le retour de la pratique du sabbat qui concerne le vrai septième jour, le samedi et non le dimanche. Ensuite en 1914 et en 1939, deux guerres mondiales sont venues préparer la haine du nationalisme qui conduit, en 2022, l’Occident à s’opposer à la Russie. Cependant, la haine aveugle car, relève le paradoxe, cette opposition contre la Russie jugée « nationaliste » est justifiée par le soutien donné à la cause « nationaliste » de l’Ukraine. Il est vrai que la première est religieusement orthodoxe, tandis que la seconde est manipulée par la Pologne catholique, romaine, comme l’Europe du traité de Rome. La cause, du soutien donné à l’Ukraine, apparaît ainsi clairement comme le désir occidental des USA et de l’Europe, d’intensifier le modèle de leur société, en vue de le faire triompher sur tous les peuples de la terre. Sauf que, la Russie ne l’entend pas de cette oreille et qu’elle a bien saisi les visées des pensées occidentales ; ce qui justifie son réveil agressif armé.

Je rappelle que ce projet de Dieu ne fait que renouveler celui qui s’est accompli pour le peuple Juif de l’ancienne alliance, entre – 605 et – 586. Trois déportations successives aboutirent à la destruction de la nation Israël. Vers la fin de l’ère chrétienne, trois guerres mondiales doivent aboutir au même résultat et pour la même cause, pour l’Europe Unie et l’Europe de l’Est : le péché commis contre Dieu.

J’ai relevé deux symboles révélateurs qui ont accompagné les deux victoires successives du jeune président Emmanuel Macron. Au soir du début de son premier mandat, il a choisi le Louvre pour se présenter aux Français ; ce qui  suggérait une allusion à un quinquennat d’aspect monarchique. Au soir de sa seconde présidence, son choix s’est porté sur le « Champ de Mars », Mars étant le dieu grec de la guerre. Ce deuxième quinquennat le fera chef de guerre, et pas de la moindre, puisqu’il va devoir gérer, la situation de la Troisième Guerre Mondiale, que ses sanctions prises, contre la Russie, auront déclenchées avec les USA et les autres pays européens. Ainsi, sa victoire présidentielle apparaît spirituellement juste, puisqu’il est normal que celui qui déclenche la guerre assume ensuite, les conséquences portées par lui-même et son peuple qui l’a soutenu.

Dans l’actualité du début de cette semaine 6 du printemps 2022, les rencontres diplomatiques s’intensifient pour tenter d’éteindre le feu allumé en Ukraine. Le secrétaire de l’O.N.U. vient rencontrer le chef russe et le chef ukrainien. Mais peut-on éteindre le feu que Dieu allume ?

Ce lundi 26 Avril 2022, est un jour à retenir. En Allemagne, s’est tenu en présence du chef de l’O.T.A.N, un rassemblement de 30 pays membres. A l’issu de la rencontre, décision a été prise de fournir à l’Ukraine tout l’armement nécessaire  afin « d’affaiblir » durablement la Russie. La peur primitive de ses réactions disparaît. L’Allemagne elle-même va fournir une trentaine de chars d’assaut et les autres pays, divers autres équipements dont de puissants canons nommés « Caesar » proposés par la France. Dans le même jour les menaces de Troisième Guerre Mondiale sont évoquées par la Russie. Je cite un témoignage entendu : « la Troisième Guerre Mondiale a commencé en Ukraine ». Je constate donc qu’en donnant leurs armes à l’Ukraine, les pays de l’OTAN s’affaiblissent dans la perspective d’un affrontement direct avec la Russie. Ainsi, l’OTAN s’affaiblit en voulant affaiblir la Russie et ses initiatives vont à terme se retourner contre ses pays.  L’Europe sera de la sorte encore plus facilement offerte à ses envahisseurs musulmans et russes.

Dans le camp occidental, on se fonde sur la règle appliquée jusque-là, qui veut que la culpabilité du « cobelligérant » commence avec l’envoi de soldats sur le terrain du conflit. Le dictionnaire Larousse lui donne la définition suivante : se dit d’un pays qui est en guerre en même temps qu’un autre contre un ennemi commun ». Ce qui trompe nos contemporains est cette expression « qui est en guerre », car jusqu’à cette dernière guerre, l’entrée en guerre reposait sur une déclaration officielle. Celle-ci est aujourd’hui remplacée par les déclarations publiques médiatiques. La vente d’armements militaires a toujours existé mais elle était plus ou moins masquée. Au contraire, dans le cas de l’Ukraine, l’information des médias favorisant la chose, les pays de l’OTAN annonce officiellement les types d’armes qu’ils vont fournir et fournissent déjà à l’Ukraine. Aucun d’eux ne semble prendre au sérieux, maintenant, les menaces russes car ils ignorent tous le projet funeste que Dieu a conçu pour eux. Mais cette escalade des mots et des actions va bien conduire au pire affrontement de l’histoire humaine ; car pour V.Poutine, le statut de cobelligérant commence avec le soutien donné officiellement à l’Ukraine, et les peuples occidentaux l’apprendront à leurs dépens. L’Ukraine et la Russie ne sont que les détonateurs de cette « sixième trompette » de l’Apocalypse de Jésus-Christ, ou pour les profanes, « Troisième Guerre Mondiale », au demeurant, la dernière, avant l’anéantissement total accompli pour le retour glorieux du Christ, quand sonnera la « septième trompette » soit, au printemps 2030.

Mais, en ce mardi 27 Avril, la Russie vient de prendre une sanction contre la Pologne et la Bulgarie, en coupant leur alimentation en gaz russe. Le sanctionné aujourd’hui sanctionne, et malgré les réactions fanfaronnes de la commission européenne, cette décision va porter un coup fatal aux entreprises qui ont délocalisé leurs productions vers ces deux pays, mais surtout vers la Bulgarie dont le service gaz dépend à 75% du gaz russe. En réaction, tous les pays de l’Europe occidentale vont voir les prix s’envoler à la hausse. C’est alors que les peuples mécontents et irrités vont reprocher à leurs élites les sanctions prises contre la Russie. Cette irritation va apparaître aussi dans les pays du Maghreb et de l’Afrique où des famines vont frapper les populations. Car « le tiers » de la production du blé et d’autres céréales mais aussi de l’huile de tournesol était jusque-là, produit par l’Ukraine. La « famine » est l’un des « quatre châtiments terribles » de Dieu selon Ezé.14:20 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes, », et Apo.6:5-6 : « Quand il ouvrit le troisième sceau, j'entendis le troisième être vivant qui disait : Viens. Je regardai, et voici, parut un cheval noir. Celui qui le montait tenait une balance dans sa main. Et j'entendis au milieu des quatre êtres vivants une voix qui disait : Une mesure de blé pour un denier, et trois mesures d'orge pour un denier ; mais ne fais point de mal à l'huile et au vin ».

La guerre en Ukraine a déclenché la fureur des USA et le repli momentané, sur elle, est remplacé par un engagement international ; ceci parce que ses intérêts supérieurs sont touchés. Ce n’est pas sans raison que Dieu désigne ce pays et ses alliés par l’expression « les marchands de la terre », au titre de successeurs des « marchands » enrichis par la religion catholique, dans Apo.18:3 : « … parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l'impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. » Et c’est afin de confirmer ce jugement que Dieu a fait frapper par l’islam extrémiste les deux tours jumelles du « World Trade Center » soit, « le Centre du Commerce Mondial », en 2001 à New-York. La Russie a osé casser le projet de l’impérialisme capitaliste qui vise à faire adopter, sur toute la terre, son principe de la loi du marché qui ne peut se développer qu’en abattant les frontières ou en faisant entrer dans son clan soit, l’OTAN, de nouveaux membres tels : la Pologne, les pays Baltes, la Tchéquie, la Roumanie, déjà entrés et depuis 2013, la nouvelle postulante, l’Ukraine. Mais le commerce ne fonctionne bien que sous le contexte de la paix. Et la guerre déclenchée ne peut que ruiner la Russie, l’Europe, les USA eux-mêmes et le reste du monde entièrement déstabilisé. C’est pourquoi, leur richesse étant en jeu, les USA redeviennent interventionnistes dans cette guerre en Ukraine. Et d’escalade en escalade, le statut de cobelligérant des Ukrainiens se renforce et se précise pour les pays européens qui l’assistent et la soutiennent ouvertement, en paroles et en actions ; ceci, en dépit des menaces russes, qui deviennent, elles aussi, de plus en plus précises.

La longue acceptation des règles quasi-monarchiques de la 5ème République qui régit la France depuis 1958, repose sur le traumatisme engendré par la Seconde Guerre Mondiale. Cette période vécue par les Français a laissé dans les esprits des choses contradictoires, le souvenir de l’amour de la liberté et l’amertume de la résignation de la soumission envers l’Allemagne nazie. Après cette expérience douloureuse, le peuple français était apte à tout accepter et la guerre d’Algérie insoluble a favorisé l’élection du Général de Gaulle et sa Constitution nationale de la 5ème République. Mais aujourd’hui, ces traumatismes n’existent plus dans la jeunesse, car la majorité des dirigeants actuels sont tous nés après cette Seconde Guerre Mondiale et les derniers sont nés dans la norme européenne instaurée. En conséquence, le régime autoritaire monarchique est mal supporté et les aspects pervers de cette 5ème République apparaissent de plus en plus. Les élections ne servent plus qu’à éliminer le plus détesté des candidats présidentiels ou législatifs. Le système électoral à deux tours est ainsi résumé : au premier, on choisit, au deuxième, on élimine. L’électeur se retrouve ainsi placé sous l’autorité d’un chef qu’il n’aime pas voire déteste. Et les décisions prises par ce personnage détesté engagent toute la nation. L’instinct de survie des plus perspicaces les poussent à souhaiter d’impérieux changements de cette Constitution. Elle fut dès ses débuts dénoncée comme une dictature et dans notre époque, elle se révèle être, effectivement, une forme républicaine de la dictature. Quand les conséquences imminentes des sanctions prises contre la Russie frapperont fortement les moyens de vivre des Français, on peut s’attendre à des troubles et des irritations, voire des soulèvements populaires. Et il est clair que le facteur principal de ces changements de réaction est le remplacement des générations humaines.

Le fléau de Dieu précédent, nommé Covid-19, a déjà privé de liberté les peuples occidentaux dont la France, mais les sanctions prises contre la Russie vont remettre en cause leur pouvoir d’achat, avant qu’ils voient sur leur terre s’étendre les dévastations dues à la guerre.

Je dois insister sur ce fait. La Troisième Guerre Mondiale ne peut pas être comparée aux guerres qui l’ont précédée. La différence entre elles est énorme parce que contrairement aux autres, elle est l’objet d’une prophétie divine, révélée dans Apo.9:13 à 21, sous le signe symbolique de la « sixième trompette », que Dieu fait sonner. Aussi, faut-il le comprendre, dans cette guerre-là, le civil est autant la cible de Dieu que le militaire et ce principe est déjà confirmé dans la guerre activée sur le sol de l’Ukraine. Au terme d’une longue paix due à sa longue patience, Dieu redemande des comptes aux peuples chrétiens en priorité. Mais les autres peuples seront à leur tour entraînés dans des affrontements destructeurs ; « la femme, le vieillard et l’enfant » ne seront pas épargnés par ces destructions comme Dieu l’a enseigné dans Ezéchiel 9:5-6-7, en donnant l’exemple appliqué contre Israël en – 586 : « Et, à mes oreilles, il dit aux autres : Passez après lui dans la ville, et frappez ; que votre œil soit sans pitié, et n'ayez point de miséricorde ! Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes ; mais n'approchez pas de quiconque aura sur lui la marque ; et commencez par mon sanctuaire ! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. Il leur dit : Souillez la maison, et remplissez de morts les parvis !... Sortez !... Ils sortirent, et ils frappèrent dans la ville.»

 

 

La « sixième trompette » et le « sixième » des « sept derniers fléaux de Dieu » : « Harmagueddon »

 

Ces deux conflits successifs dans le temps présentent de nombreuses similarités qui peuvent provoquer des confusions, aussi je rappelle que la première, la « sixième trompette », désigne la Troisième Guerre Mondiale qui vient de débuter sur la terre ukrainienne et qui oppose, pour la dernière fois, les nations terrestres. La seconde, « le sixième des sept derniers fléaux de Dieu », qui lui succède, désigne le combat mené contre Jésus-Christ et ses derniers saints élus par les derniers rebelles. Au commencement, avant le retour glorieux du Messie, les rebelles rendent responsables les observateurs du sabbat, des fléaux divins qui les frappent, et ils ne sont pas conscients de persécuter les vrais serviteurs de Jésus-Christ. Ils ne découvriront leur erreur de jugement qu’au moment de son retour glorieux, universellement céleste, et donc à ce titre, inimitable, en étant frappés par sa divine colère, selon Apo.6:15 à 17 : « Les rois de la terre, les grands, les chefs militaires, les riches, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres, se cachèrent dans les cavernes et dans les rochers des montagnes. Et ils disaient aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l'agneau ; car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister ? ». En réalité, ils n’auront pas à demander « qui peut subsister ?», car ils auront instantanément la réponse, en voyant Jésus sauver et enlever au ciel ceux-là mêmes qu’ils persécutaient et s’apprêtaient à anéantir en les mettant à mort, selon Apo.13:15 : « Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués». Cette question, « et qui peut subsister ? », n’a d’intérêt que pour comprendre le mystère de la prophétie et Dieu a donné sa réponse dans Apo.7 où il désigne les symboliques « 144 000 » scellés par le « sceau du Dieu vivant » soit, son approbation pour le réel amour de sa vérité qui est manifesté concrètement par la pratique du vrai sabbat, le « sceau » actif de Dieu, le samedi, et l’amour de ses révélations prophétiques soit, son « sceau » spirituel. Je profite de cette définition pour te rappeler que « la sixième trompette », aujourd’hui engagée depuis le 24 Février 2022, constitue un jugement divin qui châtie la transgression du sabbat exigé par Dieu depuis le printemps 1843 soit, au terme de la durée des « 2300 jours » années du décret de Dan.8:14, dans lequel Dieu dit, en véritable et bonne traduction : « Jusqu’à soir-matin, 2300, et sera justifié la sainteté ». Depuis cette date, 1843, les nations occidentales se sont développées sous la malédiction de Dieu et il ne faut pas prendre leur domination et leur prospérité pour des bénédictions divines. Au contraire, cette postérité est venue encourager le détachement d’avec Dieu, au point que l’Occident se caractérise par l’amour des richesses et du bien-être. Ainsi comblées, les masses humaines n’éprouvent plus le besoin du Dieu sauveur et perdant de vue sa juste condamnation de leurs péchés, elles se développent comme les autres espèces animales qui vivent sur la terre : sans conscience culpabilisée et sans devoirs à accomplir envers lui et leur prochain.

La confusion entre « la sixième trompette » et « le sixième des sept derniers fléaux de Dieu » qui précède le retour du Christ vengeur et justicier étant levée, il nous faut réaliser et relever les nombreuses similarités de ces deux actions prophétisées dans l’Apocalypse de Jésus-Christ. Pour Dieu, la raison principale est de suggérer à ses élus que les entités engagées et concernées dans les deux événements soit, les protagonistes, sont les mêmes. La seconde est que la cause est également la même : Dieu punit l’abandon du vrai sabbat. La similarité concerne aussi, de manière évidente, la stratégie du développement des actions décrites.

Je prends pour base, cette description du « sixième fléau » citée dans Apo.16:13-14 : « Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à des grenouilles. Car ce sont des esprits de démons, qui font des prodiges, et qui vont vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout puissant. » Ce « sixième fléau » décrit un « rassemblement » réalisé pour une cause spirituelle qui associe, « le dragon » soit, le diable, « la bête » soit, la religion catholique, et « le faux prophète » soit, la religion protestante réprouvée par Dieu depuis 1843. L’image est donc celle d’une grande universelle concertation, qui a pour but d’exclure et d’éradiquer, définitivement, les honneurs rendus au sabbat qui doit cesser et disparaître, ainsi que ses fidèles observateurs, par l’imposition du dimanche romain exigé par le camp rebelle.

Cet aspect général de concertation se retrouve dans notre actualité, dans le camp occidental, dans lequel, dans le rôle du diable, les USA regroupent, pour leur combat, les pays de l’OTAN. Le but de ce rassemblement est d’anéantir la Russie, cette insupportable concurrente du régime des Etats-Unis américains. A terme, l’anéantissement de la Russie leur offrira la domination universelle terrestre à laquelle ils aspirent. Ce combat sera donc, pour eux aussi, celui du « grand jour » de leur victoire universelle. La concertation est propagée, principalement, par le jeune chef de l’Etat ukrainien, Volodymyr Zelensky, dont les appels sont largement diffusés et soutenus par les télévisions spécialisées dans l’information continue. Il harangue et culpabilise les dirigeants européens, afin de les entraîner dans sa guerre contre la Russie, de même que le diable, par ses démons, inspirera ses projets contre les élus, dans l’esprit des derniers rebelles.

Mais derrière ce conflit, qui oppose des puissances humaines, se trouve pour cause spirituelle, le mépris témoigné envers le sabbat, ce « grand jour » sanctifié par Dieu depuis sa création du monde terrestre.

Un autre point typiquement américain reste à relever, commun aux deux situations. Nous le trouvons au sujet du contexte des « sept derniers fléaux de Dieu » dans les actions attribuées à « la bête qui monte de la terre », dans Apo.13:15 à 17 : « Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. » Ce dernier verset révèle l’authentique caractéristique de ce nouveau monde américain pour lequel, le commerce est une arme fondamentale puisqu’il favorise ou non la richesse qui est sa seule valeur. Mieux que tous les autres pays, l’Amérique a découvert, après « l’or des Rocheuses », que le commerce peut être utilisé, comme une arme dissuasive, pour contraindre les pays à sa domination économique tyrannique. Dans un premier temps, elle a massacré les vrais amérindiens, puis à la faveur de sa victoire dans la Seconde Guerre Mondiale, elle a instauré ses règles commerciales, en faisant déjà adopter le Dollar, sa monnaie nationale pour étalon monétaire international à la place de l’étalon or. Dans la suite du temps, elle a organisé le commerce mondial, en créant le groupe OMC. Pendant la guerre iraquienne, elle a mis en action son boycott commercial contre l’Iraq, son ennemie. Elle a appliqué son embargo commercial contre la Russie soviétique contribuant ainsi à sa ruine. Au temps choisi par elle, elle a autorisé l’entrée de la Chine dans cette OMC, afin de bénéficier, en première, des délocalisations de ses productions dans ce pays où elle s’est enrichie du travail d’une main d’œuvre exploitée au statut comparable à celui de l’esclave. Derrière elle, les pays européens et en premiers les Anglais et les Allemands ont agi de même. Les énormes profits réalisés ont complètement déstabilisé la situation économique de l’Europe et la France en a été ruinée et a perdu son rang de 4ème puissance du monde, pour se retrouver aujourd’hui en pouvoir d’achat à la 15ème place de 42 pays européens.

Actuellement, c’est encore par le boycott commercial, qu’elle a commencé sa guerre, contre la Russie, son ennemie héréditaire. Et comme cette mesure semble inefficace dans ce contexte, elle arme de manière de plus en plus puissante, l’Ukraine qui combat en vérité pour elle. La vie de ses soldats n’est plus menacée, les Ukrainiens meurent à leur place, pour la gloire et l’enrichissement espéré de son régime capitaliste libéral et libertaire, mais surtout, cupidement insatiable.  C’est pourquoi la Russie vient d’adresser au monde un message sans équivoque. Le mercredi 27 Avril, le président de l’ONU, Antonio Guterres a rencontré Vladimir Poutine, et le jeudi 28, il s’est rendu à Kiev, pour rencontrer le jeune président de l’Ukraine. Le soir de cette visite à Kiev, deux missiles russes ont été envoyés sur cette ville, alors que le chef de l’ONU était encore sur place en visite. Un missile a été intercepté par la défense ukrainienne, mais le second a explosé, éventrant un immeuble et propageant le feu  à un autre ; ceci à 3 km du lieu où se tenait le chef de l’ONU. Vladimir Poutine adresse donc un message de mépris et de haine pour cette organisation dans laquelle il a le droit de véto. Il prend ainsi la tête des pays hostiles à l’Occident soumis aux USA qui, en ce même jour, à la demande du président Joe Biden, s’apprêtent à débloquer 33 Milliards de Dollars pour aider l’Ukraine à vaincre la Russie. Ils vont lui livrer des armes lourdes et encouragent publiquement la prolongation du conflit.

En dernier, j’ai relevé dans les témoignages médiatiques comment la confiance s’autoalimente. A qui veut l’entendre, les Ukrainiens et surtout les Ukrainiennes qui s’expriment dans les médias français sont convaincus de vaincre la Russie. Voyant cette conviction, les USA sont à leur tour convaincus que l’Ukraine peut vaincre. Et à leur tour, voyant la confiance des USA, les Ukrainiens affermissent leur conviction de pouvoir vaincre la Russie. Ce principe est illusoire et tous ces gens qui « croient au père Noël » feraient beaucoup mieux de croire en Dieu ; parce qu’il est seul digne de confiance et que contrairement à ceux qui se confient dans la chair, ceux qui se confient en lui ne seront pas déçus. Les USA accusent V.Poutine de « dépravation ». Quel culot ! Eux qui légitiment et légalisent les dépravations mentales et les perversions sexuelles au nom de la liberté. V.Poutine, lui, combat et condamne ces pratiques déviantes de la société occidentale qu’il juge « décadente ». Ils l’accusent aussi de « cruauté » oubliant que leurs bombes incendiaires au napalm enflammaient les forêts de la Corée et du Vietnam, détruisant avec elles, les populations civiles ou militaires. Ils ont également oublié leurs bombardements de la Serbie dans la guerre des Balkans, où ils ne filmaient ni ne comptaient pas les morts qu’ils tuaient sur le sol. Ensuite, beaucoup de gens sont étonnés par les difficultés que la Russie rencontre pour vaincre les combattants ukrainiens. Il faut réaliser trois choses. La première est que l’affrontement entre deux armées équipées par les mêmes armes conventionnelles ne s’est pas présenté depuis la Seconde Guerre Mondiale. La seconde est l’emploi d’armes nouvelles sophistiquées de grande précision qui rendent terriblement vulnérables les chars d’assauts blindés eux-mêmes, ainsi que les navires et les avions. Et Voici la troisième raison : pendant les huit années de la guerre du Donbass, les troupes ukrainiennes ont creusé des tranchées et des abris souterrains qui favorisent la défense, la protection des soldats ukrainiens, et la destruction de l’adversaire qui se présente en face de lui en terrain découvert. Cette situation est semblable à la guerre des tranchées de 1914-1918 où déjà la victoire militaire par l’un des deux camps opposés semblait impossible à obtenir. Les Allemands se sont lassés en premiers donnant l’avantage au camp Français et ses alliés. Mais en Ukraine, quel camp pourrait se lasser de combattre ? Ils sont aussi déterminés à vaincre l’un que l’autre, et ce n’est pas étonnant, car dans ce comportement, l’Ukraine confirme ses origines russes. Au début de cette guerre, il faut aussi le comprendre, le chef russe a éprouvé de la répugnance à détruire le peuple frère et son beau et nourrissant pays. Il espérait une victoire plus facile basée sur la simple menace militaire, mais Dieu, le Tout-Puissant Créateur, avait un autre projet.

D’un autre côté, le comportement des nations occidentales, quasi unanimes pour prendre des sanctions contre la Russie et pour donner des armes efficaces à son adversaire, reflète parfaitement l’esprit rebelle porté à un très haut niveau qui a été prophétisé par Dieu pour les derniers jours. Et à ce sujet, il faut relever que tous les pays restés, pour un temps sous la dictature, se sont vautrés dans la fange, la perversion et l’immoralité en entrant dans la liberté. L’exemple de l’Espagne est typique de ce comportement. Après la mort du général Franco, son dictateur, elle s’est libérée de tous les tabous et les meurs sexuelles de ses habitants ont surpassé le niveau des autres nations européennes. La découverte de la liberté occidentale par l’Ukraine a produit le même résultat. Aussi, ce droit de vivre comme on veut s’est transformé en zèle guerrier nationaliste aussitôt que la Russie a voulu l’empêcher de rejoindre le camp européen et l’alliance militaire de l’OTAN.

 

 

 

Le christianisme est juif ou il n’est pas

 

Oui, le christianisme est juif ou il n’est pas. Cette courte phrase résume à elle seule, la cause des malédictions qui frappent maintenant, uniformément, tous les aspects officiels de la religion chrétienne. L’histoire de ce christianisme est une succession de transformations aux conséquences funestes mortelles. C’est pourquoi, ce sujet doit être bien compris par tous les élus de Jésus-Christ. Car le fait de ne pas comprendre ces choses fait de l’appelé, un déchu piégé par le diable.

Dans Jean 4:20 à 22, l’échange entre Jésus et la femme samaritaine nous permet de comprendre la priorité que Dieu donne à la religion juive dans son projet salvateur : « Nos pères ont adoré sur cette montagne ; et vous dites, vous, que le lieu où il faut adorer est à Jérusalem. Femme, lui dit Jésus, crois-moi, l'heure vient où ce ne sera ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père. Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs.»

Le témoignage de la Bible confirme le choix de Dieu de se faire bâtir une maison par le roi Salomon à Jérusalem. Mais en dehors de ce lieu, aucun autre lieu terrestre n’a vocation à le remplacer. Or, les postulants sont nombreux dans les religions monothéistes ; successivement, Rome, la Mecque, Constantinople, Moscou. Et toutes ces villes sont illégitimes quand elles revendiquent le siège de la représentation du Dieu créateur. Lui, il a choisi Jérusalem et après elle, plus rien, nulle part sur toute la surface de la terre. Quand il a dit, « car le salut vient des Juifs », Jésus a fixé une base doctrinale fondamentale. Car aujourd’hui, toutes ces villes religieuses et leurs religions sont dans la même situation que la femme samaritaine, à laquelle il a dit : « Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons ». Dans ce verbe connaître, Dieu suggère la connaissance expérimentale qui ne se réalise que dans une alliance acceptée par Dieu, lui-même, et par les hommes. Si Dieu ne l’a pas organisée et acceptée, celle-ci n’est qu’une vaine revendication humaine qui ne conduit personne au salut. Les fausses religions profitent de l’invisibilité de Dieu pour prétendre le servir alors qu’elles le trahissent toutes. Car c’est d’une manière très claire que Dieu a construit et révélé sa norme de la vérité qui conduit au salut éternel. A cette fin, il a fait alliance avec Abraham et toute sa postérité ; ce qui ne signifie pas qu’il suffisait d’être juif pour être sauvé. Mais c’est néanmoins par toute la lignée de sa descendance que l’espérance du salut a été transmise de génération en génération. Après les témoignages successifs présentés dans les vies des patriarches Isaac et Jacob, c’est avec ce dernier, Jacob qui devient Israël, après avoir combattu et résisté contre YaHWéH pendant la nuit, que la grande démonstration de la sainte alliance va être réalisée. La sortie d’Egypte est choisie par Dieu pour confirmer l’authenticité de son alliance passée avec Moïse, l’Hébreu devenu pour un temps, prince de l’Egypte. La connaissance évoquée par Jésus s’est alors construite par une expérience terrestre unique : Dieu sur la terre au milieu de son peuple. Et ce privilège lui a souvent coûté cher parce que Dieu est parfaitement pur et saint et l’homme parfaitement impur et souillé. Ainsi, là où Dieu se trouve réellement, le péché est puni sévèrement. Mais le péché a pour définition la transgression de la loi divine entière qui est répartie dans les cinq livres écris par Moïse sous la dictée de Dieu. Cette base scripturaire est fondamentale et toute revendication religieuse, du Dieu unique, doit être confrontée et trouvée compatible et conforme à cette unique norme donnée, par Dieu, aux humains dispersés sur toute la surface de la terre.

La reconnaissance de la loi de Moïse constitue donc le premier palier de la vraie religion qui veut honorer le Dieu créateur. Cette nécessité constitue le premier crible qui va écarter toutes les fausses revendications des religions que Dieu nomme païennes en dépit de leurs prétentions.

En racontant à Moïse, l’histoire de l’humanité depuis ses origines, ses premiers représentants étant Adam et Eve, Dieu ne cherche pas à satisfaire sa curiosité. Il lui présente les bases de son projet et lui révèle, sans qu’il le comprenne, comment son projet salvateur finira. Et la fin heureuse de ce projet sera pour lui et ses élus, le gain d’un véritable repos des esprits libérés du péché, parce que ses élus auront été sélectionnés et sanctifiés, par son jugement infaillible. Et ce repos éternel était annoncé par le repos du septième jour qu’il a sanctifié, selon Gen.2:3 : « Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. »  Mais bien sûr, ce repos allait devoir être gagné, par Dieu lui-même au prix de terribles souffrances vécues dans la chair de Jésus-Christ. Mais, il était trop tôt pour nommer Jésus-Christ, dont le ministère et l’action salvatrice devaient, pendant toute l’ancienne alliance, n’être présentés que sous la forme de rites symboliques, Jésus lui-même n’étant principalement symbolisé que par l’image de l’agneau pascal, le jeune bélier fourni par Dieu à Abram afin qu’il soit immolé à la place de son fils Isaac, né de Sara sa femme légitime. L’islam prétend que ce fils était Ismaël, mais l’Ecriture biblique dénie la chose, et chacun peut comprendre que le fils légitime Isaac avait priorité sur le fils né de la servante égyptienne Agar. Entre les deux récits proposés, la logique privilégie celui que Moïse a écrit sous la dictée de Dieu après qu’il ait délivré son peuple de l’esclavage de l’Egypte image symbolique de l’esclavage du péché.

Le sabbat est pour les Juifs le signe même de leur appartenance à Dieu, ce que confirme Ezé.20:12-20, aussi peut-on comprendre qu’ils lui soient particulièrement attachés : « Je leur donnai aussi mes sabbats comme un signe entre moi et eux, pour qu'ils connussent que je suis YaHWéH qui les sanctifie. ... / … Sanctifiez mes sabbats, et qu'ils soient entre moi et vous un signe auquel on connaisse que je suis YaHWéH, votre Dieu. »  Pourtant, dans le projet de Dieu, le sabbat n’avait de valeur que dans la perspective de la victoire obtenue plus tard par Jésus-Christ. C’est pourquoi, la bénédiction divine attribuée héréditairement au peuple juif dépendait de leur reconnaissance de son ministère prophétisé de multiples manières dans toute l’Ecriture sainte, en langages prophétiques mais aussi et surtout dans le symbolisme de leurs fêtes et leurs rites religieux. Le projet religieux de Dieu est intelligent et cohérent. Cette intelligence et cette cohérence ne peuvent apparaître que dans l’Ecriture biblique qui à juste titre est appelée : la parole de Dieu. En refusant de reconnaître Jésus-Christ, au titre de Messie envoyé par Dieu, le peuple juif a enlevé à sa pratique du sabbat son sens prophétique qui annonçait leur récompense pour la foi démontrée. Mais, ils ont précisément péché contre Dieu, par manque de foi, en refusant de le reconnaître, et selon le principe enseigné par Jésus dans Matt.25:29, «… Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a », les Juifs se sont vus ainsi retirer la bénédiction de Dieu et même leur pratique fidèle du sabbat n’a plus de valeur pour lui.

C’est ici qu’il te faut bien réaliser la chose. Les Juifs sont tombés, non à cause du sabbat, mais à cause de leur refus du Christ, en sorte que le sabbat n’est en rien responsable de leur perte. Il reste pour ceux qui ne manquent pas de foi, le signe de cette appartenance à Dieu qu’Ezéchiel 20:12-20 confirme. Et dans son projet salvateur, Dieu ne change pas sa norme religieuse ; le modèle de l’élu reste le Juif fidèle et observateur obéissant envers ses préceptes, ses lois, ses ordonnances, ses commandements ; toutes choses qu’Abraham a observé en premier pour sa bénédiction, selon Gen.26:5. Cependant, l’accomplissement du rachat des péchés des élus, par Jésus-Christ, a offert à Dieu la possibilité d’étendre la proposition du salut à tous les êtres humains qui vivent sur la terre. Il s’agit bien d’une proposition et non d’une imposition. Le salut est proposé par Dieu sous des conditions précises incontournables. Le rachat des péchés a pour but l’éradication du péché dans la vie du bénéficiaire de ce rachat. Car, tu peux le comprendre, le salut a été payé par Jésus au prix d’atroces souffrances qui exigent l’abandon total de l’être racheté. Le vrai salut est aux antipodes de la fausse foi réduite au principe de l’étiquette. Il est écrit dans Matt.16:24 : « Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive. » Le renoncement à soi-même n’est pas une étiquette, c’est le fruit d’une lutte intérieure et extérieure obtenu par l’esprit du sacrifice, le renoncement à tout ce qui constitue un obstacle sur le chemin sanctifié de la vérité divine, sur lequel, en modèle, Jésus a marché en premier.

Sous le prétexte fallacieux de déjudaïser la foi chrétienne, l’empereur Constantin 1er, dit « le grand », a fait abandonner la pratique du vrai sabbat sanctifié par Dieu, en le remplaçant par le repos du premier jour de l’ordre divin que sa religion romaine consacrait au dieu païen le « soleil invaincu », en latin « SOL INVICTUS ». Il n’y avait pour Dieu aucune raison de déjudaïser la religion chrétienne, puisque tout l’enseignement construit sur 16 siècles d’histoire juive, depuis – 1500 jusqu’à l’an 30, présentait la norme juive comme norme exigée par Dieu. Le vrai résultat de cette transformation doctrinale est, que c’est la foi chrétienne qui est devenue romaine et païenne soit, l’inverse de la conversion exigée par Dieu. Dans l’ancienne alliance, il avait condamné sévèrement les transgressions de son sabbat hebdomadaire, il a multiplié les reproches contre les Juifs à ce sujet, aussi dans la nouvelle alliance, responsabilisée par le témoignage juif qui l’a précédé, il a lancé des actions punitives, pour avertir les croyants que sa malédiction pesait lourdement sur eux. Cependant, la Bible n’était pas encore connue de tous. Elle était gardée et reproduite en secret par les moines du catholicisme. L’humanité subissait donc des châtiments dont elle ne pouvait pas comprendre la cause réelle. Ces châtiments multiples ne devaient recevoir une explication que dans les derniers jours, quand les textes des prophéties de Daniel et Apocalypse seraient clairement expliqués. C’est notre privilège, aujourd’hui, puisque Dieu me fait la grâce de présenter pour lui et pour toi, toutes ces précieuses révélations. Dans son Apocalypse, il a nommé « trompettes » ces châtiments qui ont eu pour rôle d’avertir et attirer l’attention des chrétiens sur la malédiction de l’abandon de son saint sabbat. Dans Dan.8:12, Il présente sa transgression soit, le « péché », comme étant « la cause » de l’abandon de la foi chrétienne au régime papal romain trompeur et persécuteur : « L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. » Dans cette initiative, Dieu témoigne de sa parfaite logique cohérente qui rend admirable sa parfaite justice. Puisque les chrétiens préfèrent obéir à l’empereur de Rome en 321, qu’ils soient livrés à la Rome papale instaurée en 538. Dieu voulait les bénir et leur donner sa paix ; elle sera pour eux malédiction et les persécutera en son nom.

Il faut le relever, dans Daniel, Dieu ne fait pas apparaître le rôle de la réforme protestante. Il ne présente dans ce livre que les deux phases principales de la foi chrétienne, pur et authentique jusqu’au 7 Mars 321, et souillée ensuite par le péché jusqu’au printemps 1843, où son décret cité dans Dan.8 :14 entre en application. Cette date est fixée prophétiquement par Dieu pour lever le mystère concernant l’église catholique romaine et dénoncer sa terrible culpabilité dans les souffrances subies par les chrétiens châtiés. A cette date, la malédiction du dimanche « jour du soleil » est révélée, la déjudaïsation entreprise par Constantin éclaire la cause des châtiments des « sept trompettes » citées dans l’Apocalypse. En même temps, la malédiction du dimanche éclaire le sort subi par les protestants fidèles ou infidèles, car la doctrine reconnue était imparfaite. Et cette imperfection conservée et héritée de la religion catholique était suggérée dans cette expression de ce verset d’Apo.2:25-26 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne.» En langage clair, ce verset traduit une situation d’exception en raison d’un temps d’ignorance. Car Dieu ne fait exception pour personne en particulier parce que son exigence est la même pour tous les humains. Mais ici, il n’est pas question d’exception de faveur individuelle, il s’agit d’une exception collective exprimée par l’adverbe « seulement ». Le manque de lumière au sujet du vrai sabbat justifie cette exception collective qui bénéficie aux plus fidèles des protestants concernés aux 16ème, 17ème, et 18ème siècles. Connaissant bien l’état d’esprit que la foi protestante manifestera envers son exigence du sabbat appliquée en 1843, Dieu le compare à un « fardeau ». Et je dois dire que moi qui l’aime et l’apprécie, je trouve ce « fardeau » doux et léger. Car le sabbat est « fardeau » pour les uns, les rebelles, et ailes célestes pour les autres, les élus fidèles.

Ainsi, la foi chrétienne est bien juive ou elle n’est pas, et cet enseignement est confirmé par l’apôtre Paul dans Rom.2:28-29 : « Le Juif, ce n'est pas celui qui en a les dehors ; et la circoncision, ce n'est pas celle qui est visible dans la chair. Mais le Juif, c'est celui qui l'est intérieurement; et la circoncision, c'est celle du cœur, selon l'esprit et non selon la lettre. La louange de ce Juif ne vient pas des hommes, mais de Dieu. » Non circoncis, je me réclame pleinement de cette judaïté là. Et il faut que tu le comprennes, Dieu ne sauvera que des Juifs de cette sorte, conformes à ce modèle que l’apôtre Paul a décrit. Les élus peuvent venir de toute origine, mais en Dieu, ils sont soumis aux mêmes exigences et bénéficient des mêmes bénédictions divines. La couleur de la peau n’a aucune importance, car sous cette peau coule un sang rouge qui caractérise l’Adam type, puisque ce nom hébreu a pour racine le mot « Edom » qui signifie rouge. Quant à l’esprit intérieur, il n’a pas de couleur et celui des hommes, des femmes, que Dieu sélectionnent sont ressemblants et conformes à la pensée trouvée en Jésus ; ce que Jésus symbolisait par « l’habit de Noces » dans sa parabole.

En 2022, parler d’obéissance est à contre-courant de la pensée humaine généralisée. Mais c’est surtout le cas dans la société occidentale amoureuse de sa liberté, car d’autres peuples, non chrétiens, sont restés sensibles et soumis aux devoirs religieux. Leur conversion pour la vraie foi chrétienne est possible sans être automatique et générale. Mais il faut bien le comprendre, la qualité de l’âme fait seule la différence entre sauvés et perdus. Le découpage en religions multiples est provisoire et Dieu prendra parmi tous les peuples de la terre, après les avoir convertis à sa norme de la vérité du Christ, tous ceux qui l’aiment pour ce qu’il est et a fait pour gagner leur salut. Les héritages religieux sont sans valeur. La foi agréable à Dieu se construit sur la connaissance obtenue par l’étude de son projet salvateur révélé dans la Bible entière. Elle éclaire le sens de 6000 années d’existence de vies humaines sur la terre. Et dans cette Bible, l’élu des derniers jours trouve les précieux textes prophétiques dans lesquels Dieu démasque et révèle la forme des pièges tendus sous l’aspect des fausses religions. Quand le projet divin est complètement compris et maîtrisé, une part importante fondamentale du salut est gagnée. C’est la partie intellectuelle de ce salut qui nécessite après elle, la fidélité envers Dieu chaque jour, et jusqu’au dernier jour.

Paul nous a encore donné en image la compréhension du statut du chrétien d’origine païenne soit, la majorité des élus. Dans Rom.11, il met en comparaison les juifs de race et les juifs spirituels d’adoption en Christ, par l’image de deux types de branches d’olivier, l’olivier franc pour le juif de race, et l’olivier sauvage pour le chrétien d’origine païenne. Deux messages principaux sont à retenir : le premier, est la greffe des branches de l’olivier sauvage au tronc et à la racine de l’olivier franc ; ce qui confirme le fait que c’est bien le païen qui doit judaïser et non l’inverse. Le second met en garde le païen converti contre le fait de se glorifier, en se donnant le droit de pécher contre Dieu. Aux versets 20 à 22, Paul se fait précis et parlant des Juifs incrédules, il dit : « Cela est vrai ; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas à l'orgueil, mais crains ; car si Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus. Considère donc la bonté et la sévérité de Dieu : sévérité envers ceux qui sont tombés, et bonté de Dieu envers toi, si tu demeures ferme dans cette bonté ; autrement, tu seras aussi retranché. » Or, il se trouve que la foi protestante, et la foi catholique avant elle, se sont toutes deux orgueilleusement glorifiées, se réclamant de Dieu, alors que leurs doctrines étaient marquées par « le péché » du repos du premier jour, le « jour du soleil » adopté en 321. Aussi, depuis 2020, les châtiments divins frappent et se succèdent, après la Covid-19, dans l’actualité et depuis le 24 Février 2022, l’humanité qui ne doit « pas être épargnée » construit, en escalades, les phases successives de la Troisième Guerre Mondiale qui va constituer, au titre de « sixième trompette », la sixième fois, que la malédiction divine frappe les peuples chrétiens, qui transgressent le saint sabbat du septième jour, sanctifié par Dieu depuis la première semaine de sa création terrestre.

Tout lecteur de la Bible peut constater que la pratique du sabbat est une valeur fixée par Dieu dans la doctrine de sa vérité que le peuple juif de l’ancienne alliance devait honorer. De même, l’humanité contemporaine est contrainte à constater l’abandon de cette pratique par les églises chrétiennes les plus représentatives telles, les catholiques, orthodoxes, et protestantes. Cette disparition du vrai sabbat originel ne peut pas être acceptée durablement par le grand Dieu créateur et législateur. Le décret de Dan.8:14 préparé à l’avance par Dieu a fixé l’heure historique de l’exigence du retour à cette pratique. Face à toutes ces données, la dernière épreuve de foi consiste à témoigner, individuellement, de l’importance que nous donnons à cet ordre anticipé, rédigé par le prophète Daniel qui a reçu de Dieu par l’ange Gabriel, par vision, cet enseignement, au cours du 6ème siècle avant Jésus-Christ.

La doctrine de la foi chrétienne tient la bible pour la parole de Dieu. Elle constitue pour Dieu et les hommes, l’unique moyen de faire connaître sa pensée, son jugement et ses projets. Pour ses élus, l’ordre donné par Dieu, il y a presque six mille ans au sujet du sabbat, ou celui de sa restauration rédigé au sixième siècle avant Jésus, conserve toute sa valeur et exige l’obéissance de sa créature, et toi, qu’en penses-tu ?

Le statut du protestantisme a changé au cours du temps qui est derrière nous soit, à partir du printemps 1843 où Dieu l’a soumis à l’épreuve de la foi qui concerne l’amour des révélations prophétiques. Aussi, vais-je recenser et compiler tous les textes de Daniel et Apocalypse qui le concernent et le décrivent pour mettre en évidence ce changement de son statut spirituel.

Dans Daniel, les protestants fidèles pacifiques et martyrs persécutés par les monarchies catholiques sont uniformément nommés « les saints ». Le sang du Christ les justifie et les « sanctifie » jusqu’au printemps 1843. Le protestantisme étant apparu au 16ème siècle, seuls les textes concernant cette époque et les époques qui lui succèdent seront retenus.

Dan.7:21 : « Je vis cette corne faire la guerre aux saints, et l'emporter sur eux, » La papauté persécute les protestants.

Dan.7:25 : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps». La papauté domine pendant 1260 années sur des catholiques, puis sur des protestants.

Dan.8:13 : « J'entendis parler un saint ; et un autre saint dit à celui qui parlait : Pendant combien de temps s'accomplira la vision sur le sacrifice perpétuel et sur le péché dévastateur ? Jusques à quand le sanctuaire la sainteté et l'armée seront-ils foulés ? »

Dan.8:14 : « Et il me dit : Deux mille trois cents soirs et matins ; puis le sanctuaire sera purifié. » ; « Et il me dit jusqu’à soir matin, deux mille trois cent et sera justifiée la sainteté ». Ceci est la traduction littérale du texte hébreu que Dieu m’a fait découvrir en premier un peu avant 1991. Je la certifie exacte et digne de foi.

Dan.8:24 : « Sa puissance s'accroîtra, mais non par sa propre force ; il fera d'incroyables ravages, il réussira dans ses entreprises, il détruira les puissants et le peuple des saints. »

Dan.11 :33 : « et les plus sages parmi eux donneront instruction à la multitude. Il en est qui succomberont pour un temps à l'épée et à la flamme, à la captivité et au pillage. »

Dan.11:34 : « Dans le temps où ils succomberont, ils seront un peu secourus, et plusieurs se joindront à eux par hypocrisie. » Qui sont ces « saints » « hypocrites » ? Les protestants qui ont confondu la vraie foi et l’engagement politique, en prenant les armes, avant les Révolutionnaires de 1789, pour défendre leur vie. Cette accusation d’hypocrisie va concerner la foi établie par Jean Calvin le Genevois froid et cruel dont la doctrine va s’étendre au nouveau monde des USA. Ce jugement de Dieu, qui dénonce « l’hypocrisie », est justifié par le non respect de ce verset : « Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. ». Ce principe est si important que trois Evangiles le citent : Matt.16:25 ; Marc 8:35 ; Luc 9:24. Et l’interdiction de combattre, par les armes, fut enseignée par Jésus à ses apôtres, à l’heure de son arrestation au jardin de Gethsémané, selon Matt.26:51-52 : « Et voici, un de ceux qui étaient avec Jésus étendit la main, et tira son épée ; il frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l'oreille. Alors Jésus lui dit : Remets ton épée à sa place ; car tous ceux qui prendront l'épée périront par l'épée. » ; voir aussi Jean 18:10-11. C’est à l’usage de ces armes interdites par les chrétiens « hypocrites » et désobéissants, que les vrais élus furent, au temps des dragonnades de Louis XIV, « un peu secourus », comme le précise ce verset. Ainsi, Dieu n’a pas apprécié, les luttes armées des Huguenots et des Camisards dans les Cévennes vers Anduze, pas plus que la représentation protestante assassinée au massacre de la St-Barthélémy en 1572, alors que le protestantisme déchu en a fait ses héros.

Dan.11:35 : « Quelques-uns des hommes sages succomberont, afin qu'ils soient épurés, purifiés et blanchis, jusqu'au temps de la fin, car elle n'arrivera qu'au temps marqué. »

Apo.2:19 : Epoque dite « Thyatire » des 16ème, 17ème, et 18ème siècles : « Je connais tes œuvres, ton amour, ta foi, ton fidèle service, ta constance, et tes dernières œuvres plus nombreuses que les premières. » La vraie foi pacifique protestante qui accepte le martyre et se soumet sans regimber, aux persécutions catholiques, est bénie par Jésus-Christ. Un détail subtil est à relever dans ce verset : le mot « constance », car Marie Durand, témoin pacifique exemplaire de la vraie foi pour cette époque, fut précisément parmi quelques autres, enfermée pendant 38 ans au sommet de la « Tour de Constance », à Aigues-Mortes (Eaux mortes), située dans le sud de la France au bord du canal du Rhône. A Saint-Jean du Gard, « le musée de la foi » conserve et présente une pierre sur laquelle elle avait gravé le mot « résister ». Après 38 années de résistance pacifique, elle fut libérée et conserva sa vie. L’obéissance au Christ est donc bien, rémunérée. Dans Apo.13:10, l’Esprit rappelle ce principe ordonné par Jésus-Christ : « Si quelqu'un mène en captivité, il ira en captivité ; si quelqu'un tue par l'épée, il faut qu'il soit tué par l'épée. C'est ici la persévérance et la foi des saints. »

Ce verset mérite des explications. Dans son action persécutrice, la foi catholique monarchique mène en captivité les saints de Jésus et en tue d’autres par l’épée. La justice de Dieu va la livrer à son tour pour être mise en captivité et être tuée par la guillotine des Révolutionnaires français ; le cas du roi Louis XVI. La guillotine tient le rôle de « l’épée qui venge l’alliance de Dieu », en troisième châtiment, dans Lév.26:25 : « Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi. »

Apo.2:24 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; » Les protestants fidèles dénoncent les mensonges du catholicisme qu’ils appellent « profondeurs de Satan ». Il faut relever que dans l’histoire de l’ère chrétienne, la foi catholique n’a pas été dénoncée comme étant « satanique » avant le 12ème siècle par Pierre Valdo, puis par Jean Wicleff au 14ème siècle. Mais elle ne prend une forme officielle organisée qu’à partir du 16ème siècle avec les affichages de Martin Luther sur les portes de la cathédrale d’Ausburg en 1517. C’est à cette dénonciation publique que l’œuvre protestante doit son nom. Dieu fait ici, subtilement, allusion à sa future exigence du sabbat à partir du printemps 1843 ; le sabbat que la foi protestante déchue, jugée par Dieu « hypocrite », selon Dan.11:34, va considérer comme un « fardeau » qu’elle va refuser de porter.

Apo.3:2 : Epoque dite symboliquement « Sardes » couvrant les deux expériences adventistes américaines accomplies au printemps 1843 et à l’automne 1844 ; la foi prophétique des « saints » est testée et mise deux fois à l’épreuve : « Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. »

Apo.3:2 : « Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir ; car je n'ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu. » Jésus fait ici référence aux œuvres exigées par le Dieu Père au nom duquel il a souffert sa mort expiatoire. Dans ce terme « œuvres » au pluriel, il dénonce le désintérêt pour ses révélations prophétiques, pour son retour annoncé pour 1843 et 1844, et pour le sabbat du septième jour que la foi protestante a méprisé en héritant la pratique du dimanche catholique romain. Il faut relever ici l’exigence du Christ des « œuvres parfaites » causée par le changement provoqué par l’entrée en application du décret de Dan.8:14 ; ceci en opposition logique avec le message précédent concerné du 16ème au 18ème siècle : « Je ne mets pas sur toi d’autre fardeau ». A l’époque « Sardes », le « fardeau » du sabbat est exigé au titre de « sainteté justifiée » selon Dan.8:14.

Apo.6:9 : Sous le thème des « sceaux », les « saints » persécutés sont désignés par le « 5ème sceau » : « Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu'ils avaient rendu. » La mention du mot « témoignage », en grec « marturia », confirme leur mort en martyrs de la foi.

Apo.6:10 : « Ils crièrent d'une voix forte, en disant : Jusques à quand, Maître saint et véritable, tardes-tu à juger, et à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre ? » Ces saints-là ont accepté la mort en attendant la « vengeance » du Dieu qui a dit dans Deu.32:35 : « A moi la vengeance et la rétribution ».

Apo.6:11 : « Une robe blanche fut donnée à chacun d'eux ; et il leur fut dit de se tenir en repos quelque temps encore, jusqu'à ce que fût complet le nombre de leurs compagnons de service et de leurs frères qui devaient être mis à mort comme eux. » Ces martyrs de la foi caractérisent les premiers chrétiens cités dans l’époque dite « Smyrne » qui désigne les « dix jours » années de persécution de l’empereur Dioclétien et de la tétrarchie impériale entre 303 et 313. Après cette terrible persécution infligée par la Rome impériale, l’Esprit prophétise le martyre futur qui va être imposé aux « saints » protestants par la Rome papale.

Apo.6:13 : « et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu'un figuier secoué par un vent violent jette ses figues vertes. » Cette image évoque la foi protestante déchue parce que, méprisant les révélations prophétiques divines, elle n’a pas obéi au changement imposé en 1843, en sorte, qu’en image de fruit du figuier, elle est restée « verte », sans atteindre le stade du mûrissement exigé par Dieu, depuis cette très sainte date du printemps 1843, qu’il a fixée souverainement. L’époque 1843 concernée est identifiée, parce qu’elle succède à l’image symbolique qui désigne les actions accomplies par la Révolution Française illustrée par les symboles du « soleil noir comme un sac de crin » et de « la lune sang ». Ces symboles concernent dans l’ordre, la mort de la Bible, les « deux témoins » divins d’Apo.11:3 ; et les exécutions des coupables, monarchistes et prêtres catholiques, accomplies par la guillotine des Révolutionnaires, en accomplissement du message cité dans Apo.2:22-23 : «Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu'ils ne se repentent de ses œuvres. Je ferai mourir de mort ses enfants ; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres. »  Le statut des protestants déchus ne changera plus, collectivement, jusqu’au moment du retour glorieux du divin Christ où ils se comporteront selon la description du verset qui suit.

Apo.6:16-17 : « Et ils disaient aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l'agneau ; car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister ?» La cause de cette terreur est donnée dans Psa.50:6 : « Et les cieux publieront sa justice, car c'est Dieu qui est juge. » Apo.11:19 confirme la chose en précisant : « Et le temple de Dieu dans le ciel fut ouvert, et l'arche de son alliance apparut dans son temple. Et il y eut des éclairs, des voix, des tonnerres, un tremblement de terre, et une forte grêle. » Et dans cette arche se trouve le commandement du sabbat gravé par le doigt de Dieu sur des tables de pierre. Leur attaque contre le sabbat et ses observateurs les condamne sans appel. La réponse à la question « qui peut résister » est donnée dans la construction du livre, dans le chapitre 7 qui vient : Pourront résister, les seuls « saints scellés » par le sabbat et l’amour de la vérité prophétique. Le « sceau de Dieu » est apposé sur « la main » soit, l’action et sur « le front » soit, l’esprit mental. Ils témoignent de manière complémentaire de l’approbation divine et reçoivent spirituellement « le sceau du Dieu vivant ».

Après ces évocations partielles, l’Esprit consacre le thème entier de la « 5ème trompette » d’Apo.9:1 à 12 pour illustrer le protestantisme déchu depuis le printemps 1843. Le verset 11 révèle son usage « destructeur » de la Bible : « Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. » L’ordre cité est conforme à celui de la construction de la Bible : 1er, le texte « hébreu », 2ème, le texte « grec ». Les mots « Abbadon et Apollyon » signifient tous deux, Destructeur ; ce nom caractérise l’usage biblique du « diable », « l’ange » qui sera retenu prisonnier pendant « mille ans » sur « l’abîme » soit, la terre désolée sans habitant humain, dans Apo.20:3. Il inspire et pousse les humains à la désobéissance qui « détruit » la possibilité du salut proposé par Dieu.

Ce sont là toutes les révélations proposées par Dieu à ses élus, afin qu’ils connaissent son jugement sur la religion protestante et ne pactisent pas ainsi avec les ennemis de Dieu, successivement, juifs, catholiques, orthodoxes, protestants, et en derniers depuis 1994, adventistes, précisément entrés dans l’alliance œcuménique des ennemis de Jésus-Christ depuis 1995.

La norme bénie par Dieu est celle de l’adventisme qui reste fidèle aux premières révélations divines qui partageaient nettement la foi chrétienne en deux camps opposés : le camp fidèle au sabbat divin et celui des idolâtres qui honorent le dimanche d’origine païenne romaine. Ces deux choix sont aussi opposés entre eux que le sont la bénédiction et la malédiction, divines, le jour et la nuit, la lumière et les ténèbres, la vie et la mort. Et entre ces deux choix, tu dois choisir selon que Dieu t’y invite dans Deu.30:19 : « J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité ». 

La judaïté de la vraie foi est confirmée par l’image des « douze tribus », symbolique par laquelle il présente les seuls vrais élus adventistes du septième jour bénis depuis le printemps 1843 jusqu’au retour du Christ au printemps 2030. Je signale que l’abandon de la pratique du vrai sabbat a fermé aux Juifs de race la porte de l’accès à la grâce chrétienne depuis le 7 Mars 321. A l’inverse, sa restauration effectuée depuis le printemps 1843 a favorisé leur conversion et leur entrée dans la foi adventiste du septième jour. Cet enseignement  est révélé dans Apo.3:9 en ces termes : « Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t'ai aimé. »

 

 

Le partage des rôles

 

Il n’est pas facile de séparer nettement les œuvres divines et celles du diable. Ce qui est plus facile c’est d’attribuer au Dieu créateur la volonté de sauver les pécheurs et au diable les tentatives les plus extrêmes pour les perdre. En tant que Créateur de toute vie et chose, dans ses actions, Dieu n’a pour limite que celles qu’il s’impose lui-même en raison de son respect pour la règle de la parfaite justice. Dans le camp du diable, la limite est celle que Dieu impose. Aussi faut-il bien comprendre le principe sur lequel Dieu laisse agir le diable librement sans le retenir. Le diable peut agir et persécuter jusqu’à faire mourir individuellement toutes les créatures qui ne sont pas protégées par le sang de Jésus-Christ. Ainsi s’expliquent les morts accidentelles et les assassinats, et en partie seulement les morts par les maladies. Pour sa part, Dieu garde le droit de limiter ces morts parce que la vie s’organise sur son projet en sorte que le diable n’est qu’un pion qu’il utilise selon sa volonté suprême. L’expérience de « Job » éclaire assez bien la situation et nous présente la rencontre entre Dieu et Satan au sujet de Job qui représente un adorateur fidèle de Dieu. Bien que Tout-puissant, Dieu a perdu ses droits divins sur ses créatures humaines depuis le péché d’Adam et Eve ; elles ont préféré croire aux paroles mensongères du « serpent » diabolique et depuis, c’est le diable qui est devenu le prince dominateur sur la terre. Le but de Dieu est donc d’arracher au diable et sa domination, quelques créatures qui vont représenter ses élus. Mais pour que la chose soit rendue possible, l’élu doit donner par lui-même, les preuves concrètes de son désir d’appartenir à Dieu. C’est la démonstration que Dieu va présenter au diable. A cette fin, Job va être frappé dans sa chair dans le but de le pousser à en rendre Dieu responsable et ainsi d’aller jusqu’à le maudire. Mais ce but n’est que celui que poursuit le diable, car Dieu connaît le fond de la pensée du cœur de Job et il est sûr de son fait : Job est pour lui inconditionnellement. Aussi Dieu se prépare-t-il à infliger au diable une cuisante défaite. Mais pour atteindre ce but, sur la terre, le pauvre « Job » malgré son immense richesse va devoir renoncer à tout ; ses richesses et ses enfants. Et pour couronner l’expérience, un ulcère malin va dévorer sa chair et le faire atrocement souffrir. Je profite de ce thème pour rappeler que dans ce récit sur Job dans son intervention son épouse l’invite à bénir Dieu et à mettre fin à ses jours et non à le maudire. L’erreur de traduction est due à une transformation perverse du verbe hébreu  « barek » qui signifiant bénir, est devenu dans le temps son extrême opposé soit, maudire sous la forme hébreu « bérék ». D’ailleurs, la réponse que lui présente Job montre bien qu’elle lui conseille seulement de mettre fin à sa vie après avoir béni Dieu pour une vie comblée jusque-là. Dans sa réponse il ne répond qu’à la proposition de se suicider et dit dans Job 2:10 : « Mais Job lui répondit : Tu parles comme une femme insensée. Quoi ! Nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal ! En tout cela Job ne pécha point par ses lèvres. » Note-le, l’invitation à maudire Dieu aurait fait de sa femme, non pas une femme insensée mais une femme impie. Job ne sait pas que le diable fait du mal aux humains, et dans son ignorance, il ne connaît que Dieu auquel il impute le pouvoir de faire du bien et celui de faire du mal. En cela, il a raison et la Bible confirme ce point de vue en disant, dans Amos 3:6 : « Sonne-t-on de la trompette dans une ville, sans que le peuple soit dans l'épouvante? Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ? » Cependant dans sa logique, Job pensait que Dieu ne pouvait faire du mal qu’à ceux qui le méprisent et lui désobéissent. Ignorant qu’il est le sujet d’une démonstration de foi dans le duel où Dieu et le diable s’opposent, il ne pouvait qu’être troublé dans son incompréhension. Mais même sans réponse, il choisit de rester intègre et conserve son amour pour son grand Dieu créateur. Job n’était pas seul à penser que Dieu ne frappe que ceux qui le méritent à cause de leur péché. C’est pourquoi les échanges entre Job et ses visiteurs restent dans l’incompréhension mutuelle. Pour ses amis qui compatissent à ses souffrances, Job a forcément des fautes qui l’ont rendu coupable envers Dieu, autrement il ne le frapperait pas ainsi. Et pourtant, ils se trompent à son sujet. Il leur était difficile de comprendre qu’un serviteur puisse être frappé avec l’autorisation de Dieu justement, parce qu’il était « juste et intègre » selon le jugement de Dieu lui-même. Le temps passant, le mort du juste Jésus-Christ est venue appliquer ce principe et après lui celle de ses fidèles disciples et apôtres. Mais la leçon donnée par l’expérience de Job a rendu la nation juive particulièrement coupable de ne pas comprendre pourquoi le juste et parfait Jésus devait mourir crucifié. Avant lui, l’expérience de Job avait prouvé que le juste peut être frappé pour la gloire de Dieu. Et relève-le, à leur tour, les Juifs ont réagi comme les compagnons de Job, et Dieu l’avait prophétisé en disant dans Esa.53:5 : « Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » Le cas de Jésus est néanmoins un peu différent de celui de Job, car Jésus meurt non seulement pour démontrer la parfaite fidélité envers Dieu, mais aussi pour mourir à la place de ses rachetés passés tels les juifs fidèles et ceux du futur qui seront appelés chrétiens qu’ils soient d’origine juive ou païenne. Après la mort et la résurrection du Christ Sauveur, l’expérience de Job sera appliquée avec les chrétiens, mais cette fois, Dieu autorisera leur mort parce qu’après la résurrection de Jésus, la mort ne doit plus faire peur aux vrais serviteurs du Dieu vivant. Il n’a pas été déçu dans son attente, car en multitudes ses rachetés ont témoigné courageusement en livrant leur vie dans les arènes romaines avant que la colère de Dieu ne tombe sur Jérusalem et ses habitants incrédules en 70.

Dans le partage des rôles, Dieu construit son projet historique et le diable entre dans son rôle pour le faire accomplir. Le grand projet prophétisé est l’œuvre exclusive de Dieu. C’est pourquoi, ce projet est construit avec une profondeur d’intelligence qui rend admiratif celui qui le découvre. Alors qu’il est presque universellement ignoré par les êtres humains, Dieu continue à diriger l’humanité qui fait accomplir les étapes de son projet. Mêmes les gens rebelles et incroyants ou incrédules participent à l’accomplissement de ses desseins. Celui qui selon Apo. Est parti en vainqueur et pour vaincre, savoure déjà sa victoire finale. Tel un champion du jeu d’échec, il peut sacrifier des pions, mais finira sa partie par un échec et mat imposé au camp diabolique. Chaque semaine, le septième jour sanctifié au repos, le samedi, prophétise l’acquis de cette victoire programmée. Ses serviteurs fidèles trouvent dans la Bible entière des prophéties et les clés de leurs explications. Le temps de la fin qui nous concerne est surtout le thème des prophéties de Daniel et Apocalypse. Mais pour ceux qui méprisent la foi et la Bible, Dieu apporte ses prophéties sur leur terrain. Pour comprendre cette démarche il nous faut relever les exemples donnés par le roi Saül qui n’obtient d’une voyante que la vérité que Dieu veut lui faire entendre ; autre exemple, celui du prophète corrompu « Balaam » qui délivre au roi païen Barak uniquement les messages que Dieu veut lui adresser. Et au 16ème siècle de notre ère, au milieu des profondes ténèbres qui dominaient les esprits, le prophète Michel Nostradamus a reçu des visions qu’il a transmises sous forme de quatrains et autres parmi lesquels de grands événements ont visiblement été accomplis. Les autres le seront au fil du temps et certaines de ces annonces concernent des actions pour nos derniers jours.

Je rappelle à ce sujet qu’en 1982, l’interprétation de Mr. Jean de Fontbrune annonça la Troisième Guerre Mondiale pour l’année 1983. La description de la stratégie du déroulement de ses actions était semblable à celles que Dan.11:40 à 45 présentait dans mon analyse. Ces deux prophéties annonçant le même événement, la conséquence s’imposait, le même esprit était à son origine et dans ce cas il s’agissait de l’Esprit du Dieu créateur.

Pour la plupart des gens, les œuvres divines et les œuvres du diable ne se mélangent pas : Dieu fait le bien, et le diable fait le mal. Ce jugement « à l’emporte pièce » ne tient pas compte de la réalité qui n’est pas aussi simple. Prophétiser, est-ce faire le mal ou le bien ? Le but des prophéties est de réveiller la crainte de l’homme envers Dieu. Est-ce là faire le mal, ou le bien ? Dans ses paraboles, Jésus nous a appris qu’il est venu chercher la brebis perdue.  Où se trouve cette brebis, parmi les gens du bien ou ceux du mal ? Si elle est dite « perdue », c’est donc parmi les gens du mal, les pécheurs, les publicains et certains parmi eux sont les futurs élus du Christ Sauveur.

C’est donc dans un style très différent de celui de la Bible, que Dieu a fait prophétiser l’avenir par cet homme loin d’être exemplaire que fut Michel Nostradamus. Il fabriquait des élixirs d’amour des préparations aphrodisiaques qui le faisait apprécier par la noblesse de l’époque. De plus au titre d’astrologue, il sut gagner l’amitié et l’admiration de la reine mère Catherine de Médicis, fervente adepte de l’astrologie et de la religion catholique, comme ses origines italiennes le justifient. Alors que la Bible était combattue depuis la Cour royale, les événements détaillés de l’histoire humaine furent élaborés et écrits et placés sous les yeux des humains. Environ mille quatrains difficilement interprétables vont fasciner au fil du temps des gens. Mais je suis persuadé maintenant que ces prophéties concernent des actions qui vont s’accomplir pendant la Troisième Guerre Mondiale, en divers lieux de la France et de l’Europe. Reçues en France à Saint-Rémy de Provence, par Nostradamus, la France est tout particulièrement visée par ces mille annonces. L’actualité nous a rappelé que la France est maintenant la seule vraie puissance militaire européenne et pourtant elle est très faible face au potentiel dont dispose son ennemie, la Russie. Ajoutons à cette faiblesse, le fait qu’elle va devoir faire face à l’attaque russe au nord et aux invasions barbares musulmanes et africaines au sud. Et cette stratégie guerrière est entièrement confirmée dans Dan.11:40 à 45. J’ai relevé le fait que les gens qui critiquent l’intérêt des prophéties de Nostradamus méprisent de la même manière les prophéties de Dan.11:40 à 45 données par Dieu dans sa Bible. Aussi puis-je dire que leurs critiques sont à la hauteur de leur ignorance, voire incrédulité, spirituelle.

En ce qui me concerne, en 1982, les prophéties interprétées par Jean de Fontbrune m’ont rendu service, en confirmant mon interprétation de Dan.11:40 à 45. En fait, l’interprétation était bonne et juste, mais l’époque prévue pour son accomplissement était et est encore à l’heure présente pas encore venue ; mais chaque jour qui passe prépare cet accomplissement. Il m’a été en effet très utile d’entendre annoncer un affrontement avec l’islam largement accueilli et installé sur le sol de France. Le livre Michel Nostradamus devint en 1982 le « meilleur vendu », et beaucoup de gens furent convaincus de l’imminence du drame redouté, annoncé pour 1983. La situation s’étant aggravée, j’ai pensé voir cet accomplissement en 1993 ce qui rendait la venue du Christ en 1994 logique, cette date désignant l’an 2000 de la vraie naissance du Christ. Et finalement, Dieu a prévu ce terrible drame pour les années 2022 à 2029, et son retour glorieux pour le printemps 2030.

La Bible révèle le jugement spirituel de Dieu et ses prophéties de Daniel et Apocalypse  éclaire ce jugement en évoquant les séparations religieuses. Daniel 11:40-45 met nettement en scène la foi catholique européenne, la foi musulmane, et la foi orthodoxe. Au contraire, les prophéties de Nostradamus gardent un aspect civil, évoquant des actions mais ne portant aucun jugement de valeur, les trois religions sont bien présentes dans certains quatrains de ses annonces, mais elles sont désignées par des noms et des mots obscurs. Nostradamus prophétise de nombreux massacres et dévastations dans des lieux facilement identifiés. La mort d’Henri 2 tués dans une joute cavalière avait été prophétisée par Michel Nostradamus avant les faits. Cette annonce lui donna une grande renommée. Et à travers cet homme, Dieu rappelait tout simplement qu’il existait et avait déjà formé un plan pour l’histoire de l’humanité. Dans cette action, il venait interpeller l’homme incrédule qui suivait aveuglément une tradition religieuse héritée persécutrice. Car, sa démonstration d’annonce de l’avenir devait à terme diriger l’âme sensible vers sa Bible, puisque c’est en elle qu’il a placé toute sa révélation spirituelle. Le Pêcheur d’hommes lança ainsi un filet en eaux impures pour tenter de sauver ce qui pouvait l’être. En fait, la ressemblance entre Nostradamus et Balaam est troublante, mais Balaam était officiellement un prophète hébreu de Dieu ; ce qui n’était pas le cas de Nostradamus. Mais les deux se sont montrés incapables de dire des mensonges à leurs interlocuteurs. Et en ce qui le concerne, Nostradamus a annoncé les châtiments divins qui allaient au fil du temps frapper les monarques catholiques. Il annonça vers 1555, pour Dieu, dans un quatrain, le massacre de la Saint-Bartélémy qui allait s’accomplir en 1572. Son rôle fut d’annoncer aux héritiers de la rébellion catholique les drames qui devaient les frapper jusqu’à notre époque. Mais il ne présentait ces drames que d’une manière civile sans y faire figurer le moindre jugement. Ainsi, son rôle civil était complémentaire de la Bible qui révèle, elle, le jugement spirituel de la pensée du Dieu créateur. Mais pour sa part, Nostradamus prophétise une multitude d’actions que la Bible ne présente pas. Aussi, Dieu semble dire à ses élus fidèles qui prennent au sérieux ces prophéties de l’avenir : Ici s’arrête le rôle de la Bible et pour les détails des actions, vous les trouverez dans les quatrains de Nostradamus. Car la Bible et les prophéties de Nostradamus révèlent le futur que Dieu seul connaît, prophétise, et fait accomplir.

Quel est donc le rôle prophétique du diable ? Il est réduit, car le diable ne peut que subir le grand projet de Dieu. Il agit en chef du camp du mal mais ne peut rien faire de plus que ce que Dieu l’autorise à faire. Il peut prophétiser l’avenir individuelle des personnes que Dieu ne protège pas et ceci explique la multiplication des « diseuses de bonnes aventures », des médiums annonceurs d’avenir, des marabouts africains, tous étant plus ou moins capables d’annoncer des expériences futures que les démons peuvent organiser et faire accomplir. Car il faut réaliser combien leur vie sans cesse prolongée facilite leur connaissance et la maîtrise de l’organisation des vies humaines. Tant que Dieu ne s’y oppose pas, ils peuvent agir et faire accomplir les prédictions. Des gens sont captivés et deviennent dépendants de cette annonce de l’avenir mais ils sont souvent dans une confusion de genre, attribuant au pouvoir divin des actions purement démoniaques. Depuis les magiciens de Pharaon agissant devant Moïse, la magie noire du diable et la magie blanche de Dieu se sont toujours affrontées, et hélas pour eux, beaucoup les confondent. D’une manière générale, les actions magiques sont de nature diabolique car Dieu ne fait que rarement usage de sa magie. A la différence du diable, il ne cherche pas à séduire ses créatures et s’attache qu’à celles qui le cherchent avec amour, et reconnaissance pour son sacrifice en Christ.

Les catholiques lisent maintenant eux-aussi la Bible et lorsqu’ils lisent les textes prophétiques, le diable et le clergé leur donne leurs interprétations. Pour les catholiques, « la bête » c’est la Russie. Quand elle était soviétique et athée, l’accusation était facilement acceptée, mais elle n’est plus athée et elle a même retrouvé un zèle pour sa religion orthodoxe. Par les visions qu’il a données en apparaissant sous l’image de « la Vierge », Satan a suscité un intérêt pour le mystère des prophéties apportées au Portugal, à « Fatima ». Le troisième message exigeait de convertir la Russie soviétique à l’adoration de « la Vierge » et au catholicisme. Aujourd’hui convertie et orthodoxe, le troisième message donné n’a plus de raison d’être. Mais la Russie orthodoxe fait concurrence à la Rome catholique, aussi la haine romaine multiplie ses intrigues pour l’affaiblir, et dans l’actualité, les USA protestants et capitalistes la soutiennent dans son combat. La papauté supporte mal la concurrence de cette foi chrétienne orientale qui a son propre pape qui prend le nom de pope. A l’origine le pope siégeait à Constantinople qui rivalisait avec Rome mais ensuite le siège orthodoxe a été installé à Moscou. Aussi la haine romaine s’est portée contre cette capitale russe.

Le diable connaît-il le projet prophétisé par Dieu ? S’il a pu, au début de sa rébellion contre Dieu, croire qu’il pouvait remporter la victoire et faire triompher ses idées, par contre sa défaite devant Jésus-Christ lui a enlevé en une heure douloureuse pour Jésus, toutes ses illusions et ses espérances. De plus, une précision est révélée à son sujet et selon Apo.12:12, il « sait qu’il a peu de temps » pour agir contre le projet salvateur de Dieu : « C'est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps  ». Sa colère est la conséquence de sa condamnation à mort par Dieu qui l’a vaincu en Jésus-Christ. Et sa colère a pour cible « la terre et la mer » qui désigne à la fois, la planète sur laquelle nous vivons mais aussi en symbole spirituels, la foi protestante et la foi catholique qui se comportent en « bêtes » agressives envers les vrais élus de Jésus-Christ, chacune en son temps. Le diable a vu le Christ intervenir à la fin des 4000 premières années de l’histoire terrestre. Il a pu alors saisir le sens que Dieu a voulu donner à la semaine de sept jours, unité symbolique des sept mille années du temps global. Le sabbat prophétisait sa défaite et le repos final obtenu par Dieu et ses élus ; il ne lui restait donc plus que deux millénaires pour assouvir sa vengeance contre Dieu et ses élus. Et quand Jean a reçu la Révélation Apocalypse, Satan a été le premier qui a su la décrypter, mais il ne gagnait rien à faire partager sa découverte aux êtres humains. Il préféra les laisser dans leurs illusions et les laissa croire que l’éternité était devant eux. Néanmoins, sachant que deux mille ans lui étaient donnés pour agir, il a pu organiser ses projets de guerres basés sur la prolifération des mensonges séducteurs aux conséquences doublement mortelles. Les peuples barbares dont nous étions ne donnaient que peu d’importance à l’instruction, à l’opposé du peuple hébreu dont les enfants apprenaient très tôt à lire et à écrire. Cette éducation leur permettait d’identifier les ordres divins et les ordres humains. En occident, l’ignorance et l’incapacité à lire les Ecrits bibliques authentiques ont rendues facile pour le diable, l’endoctrinement mensonger propagé depuis Rome après Constantin 1er dit le grand (le grand piège, le grand menteur). La liberté de conscience et de culte, qu’il accorda par son décret de Milan promulgué en 313, favorisa les fausses conversions chrétiennes et les débats contestataires qui suivirent. La doctrine de la vérité fut ainsi noyée dans un flot de pensées libertaires dont l’Evêque de Rome se fit dépositaire. Ainsi naquit la foi catholique romaine qui allait devenir papale et imposée par la monarchie par le décret de Justinien, signé en 533 mais mis en œuvre seulement en 538 ; car jusqu’à cette date, Rome était occupée par les Ostrogoths. En 538, le général Bélisaire les en chassa et l’intrigant Vigile put entrer dans son service papal. Une prophétie inspirée par le diable, connue sous le nom de « prophéties de Saint-Malachie », a annoncé la succession de 120 papes sur le siège de Rome. C’est un exemple de la capacité du diable qui peut lui aussi par les faux saints catholiques et la « Vierge » censée être Marie, mère de Jésus, transmettre ses prophéties à ceux qui restent sous sa mortelle domination.

 

 

Les privilèges de la vraie foi

 

Ils sont très nombreux et en réalité, ils découlent tous d’un seul ; celui de bénéficier de l’intelligence donnée par Dieu.

Dans la vie des élus, le premier privilège est de savoir que la vie quotidienne est terriblement trompeuse. Pour mieux comprendre cette tromperie, il te faut réaliser combien les sociétés occidentales modernes sont à l’écoute des informations : les relations humaines sont principalement basées sur les médias, internet, télévision et radios. Dans tous ces médias des avis de gens spécialisés sont diffusés de manière continue. Et l’homme moderne doit trier dans des multitudes d’avis contraires qui s’opposent les uns aux autres. Le choix devenant pour les plus simples de plus en plus difficile à effectuer, les esprits de ces personnes passent d’une idée à l’autre sans arriver à se fixer.

Les élus du Christ ne tombent pas dans le piège des illusions construites sur des alliances aussi fourbes et hypocrites que fragiles et momentanées. Avec toute la puissance médiatique, des accords, des traités, sont signés par des agents politiques. Puis à la faveur d’un changement du dirigeant, ces engagements sont remis en question et abandonnés. Et quand on observe l’histoire de l’humanité on réalise qu’elle s’est construite sur des remises en cause continuelles des accords et des traités. Les élus ne s’étonnent pas de ces choses car ils savent que la terre a été créée par Dieu pour offrir au diable un domaine dans lequel il est autorisé à combattre contre Dieu et son camp fidèle. La paix recherchée par les dirigeants politiques est toujours illusoire et vaine. Car le naturel de la terre c’est la guerre entre les humains, entre les anges, et entre Dieu et Satan. Dans l’actualité,, la guerre en Ukraine donne un dramatique exemple de l’incompréhension de l’événement. Les humains savent expliquer les enchaînements des actions qui ont conduit ce pays dans la guerre. Mais dans leurs explications, il manque le paramètre principal : Dieu. Car c’est sous son jugement que se tiennent les véritables causes des guerres. Et celle qui s’est engagée est particulièrement redoutable car c’est la dernière. Des multitudes d’hommes, de femmes, de vieillards, et d’enfants, vont périr et disparaître dans cette tempête destructrice. Mais ignorant Dieu et son projet, les hommes se trompent dans leurs raisonnements qui ne se construisent en réalité que sur leurs fausses espérances. N’a-t-on pas chanté « ça ira mieux demain »  sur nos ondes ? Et ce message illustre l’incroyable attachement à l’espoir qui selon le dicton « fait vivre ». L’espoir existe également chez les élus, mais au contraire des foules coupées de Dieu, leur espérance n’est pas illusoire, car le Dieu sur qui il place leurs espoirs est le Dieu Tout-puissant qui peut conduire son projet à son terme et obtenir la victoire glorieuse qu’il a prophétisée. Ignorant Dieu et son projet destructeur imminent, les commentateurs sous estiment les menaces de l’utilisation de l’arme nucléaire venant des Russes. Se fondant sur le long temps de paix qui s’est écoulé depuis la fin de la seconde guerre mondiale, ils veulent se convaincre que personne n’est assez fou sur la terre pour utiliser cette arme qui conduirait à une destruction de la vie sur la terre, à cause des ripostes des pays équipés de cette arme. Ils en sont arrivés à penser que l’existence de cette arme atomique n’a qu’un but dissuasif. Et ainsi, les menaces russes ne sont prises au sérieux et les dirigeants européens et américains s’enhardissent et s’engagent dans une escalade d’actions fatales. Il est vrai que les menaces russes sont surtout dissuasives car la Russie aime encore la vie puisqu’elle cherche à protéger les territoires qui, regroupés sous sa domination, ont fait sa richesse et sa puissance. Tel était la région de l’Ukraine, son « grenier à blé ». Elle ne souhaite donc pas disparaître. Et pourtant, elle va bien disparaître, car les USA eux n’auront pas les mêmes scrupules et la même retenue. Tous ceux qui méprisent les menaces russes ignorent que le vrai danger pour les nations est américain. En analysant leur comportement actuel, on peut déjà comprendre pourquoi au temps favorable, ils n’hésiteront pas à vitrifier le territoire de la Russie, quitte à voir quelques villes américaines également désintégrées par la riposte russe. Et les capitales de l’Europe seront également frappées par la Russie mise en déroute militaire. En effet, les Américains ne veulent plus s’engager sur le terrain des combats. Ils ont tiré des leçons basées sur leurs interventions internationales dans lesquelles ils ont eu beaucoup de soldats morts ; c’est fini, ils ne veulent plus exposer leurs soldats. En fait, la guerre en Ukraine leur donne bien raison, car sur le terrain le soldat a de moins en moins de chances de survivre. Les armes modernes, extrêmement précises et l’usage des drones tueurs expliquent le résultat constaté : le char d’assaut bien que fortement blindé est vulnérable et nul combattant n’est en sureté, ni sur la terre, ni dans les airs, ni sur les mers ou sous les mers. L’armement occidental sophistiqué prouve en Ukraine son efficacité contre les armées russes. Mais attention, cet armement ruine les pays, car il est terriblement couteux. La guerre réelle prend l’aspect d’un jeu vidéo. Le point commun entre les deux est la technologie informatique. Les missiles s’envolent et frappent leur cible mais qui gagne à la fin, celui qui peut continuer à se battre contre celui qui a épuisé ses missiles d’attaque ou de défense. Je songe à ce sujet comment dans la seconde guerre mondiale, dans la bataille des Ardennes, le chef américain prit la décision de sacrifier ses petits chars « Sherman » pour retenir les chars allemands le plus longtemps possible sur le terrain du combat et cette décision s’avéra payante, car ayant épuisé leur carburant, les équipages allemands abandonnèrent sur place leurs puissants chars « Tigre » et prirent à pieds le chemin vers l’Allemagne. Ainsi tomba la dernière défense blindée allemande ; la route vers Berlin était ouverte pour les Américains et leurs alliés.

Cette énorme consommation d’armes destructives modernes me conduit à mieux comprendre le rôle de cette guerre de l’Ukraine qui n’apparaît pas dans la prophétie de Dan.11 :40 à 45. Elle a pour but d’assécher les ressources des nations européennes et va les priver de la possibilité de se défendre efficacement lorsque la Russie les envahira comme Daniel 11:40 le prophétise : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. » Dans cette phase du conflit, les armées russes du « roi du septentrion » vont écraser les faibles résistances qui lui seront opposées. Et cette faible résistance a son explication dans l’appauvrissement général des nations de l’E.U. suite à la déstabilisation économique généralisée provoquée par les sanctions prises contre la Russie. Ces décisions défendues par la commission européenne vont coûter très cher aux populations européennes frappées par la ruine.

A cette heure, une incertitude demeure encore au sujet du « roi du midi » que j’identifie à l’islam vengeur et guerrier. L’action qui le concerne dans ce verset est-elle déjà accomplie ou va-t-elle s’accomplir avant l’invasion russe ? La ruine des européens due au désastre ukrainien peut être l’explication des attaques musulmanes. Car une fois ruinée, l’Europe va perdre son prestige et ses ennemis naturels vont cesser de la craindre. Déjà vulnérable à cause de ses valeurs humanistes et son accueil facile, elle le sera encore davantage une fois ruinée. Et derrière Al Quaïda et Daesh, une mobilisation générale musulmane va pouvoir combattre l’Europe du sud, soit, l’Italie du pape, l’Espagne et le Portugal très catholiques, ainsi que la France, « la fille aînée de l’église » cible des haines religieuses.

Les privilèges des élus de Jésus-Christ concernent également le jugement porté sur tout ce que l’humanité nomme « progrès ». Etymologiquement, l’humanité ne fait que progresser mais progresse-t-elle vers le bien ou vers le mal ? Le progrès est-il aussi positif qu’on le prétend ? L’élu éclairé peut clairement dire que les peuples progressent vers un niveau d’immoralité jamais atteint. Mais qu’en est-il des progrès techniques dont nous sommes devenus très dépendants en Occident ? Je vais apporter des explications qui montrent que ces progrès techniques tuent nos yeux, nos oreilles, nos corps et nos esprits.

Le progrès tue nos yeux

La fixation du regard sur un écran télévisé ou un ordinateur réduit l’exercice physique des muscles des yeux. Le cerveau abandonne sa programmation originelle dès que sa mise au point est remplacée par des verres correcteurs fabriqués par les opticiens. Le progrès, c’est aussi la publication de multitudes de livres, de romans, dont la lecture favorise également la fixation du regard mais le danger est moindre que l’image informatique car contrairement à la télé, le livre est une image précise alors que la télé crée une image imprécise artificiellement construite en complète opposition au principe naturel de la vie. Notre cerveau n’est capable que de s’adapter aux images naturelles de la vie et il travaille en très haute résolution naturellement tant qu’il n’est pas endommagé et attaqué par les images virtuelles artificielles. A une époque du passé, la télévision sur tube cathodique a été particulièrement destructrice pour nos yeux, l’image entièrement floue diffusée rendait notre cerveau fou parce qu’il s’efforçait vainement de faire le point de la netteté. Mais invisible et beaucoup plus dangereux étaient les rayons projetés par ces canons à particules. En pleine paix, nos yeux étaient bombardés, par des projectiles qui détruisaient nos rétines.

Le progrès tue nos oreilles

Les sons naturels de la vie du temps passé n’avaient rien d’agressif. Le plus grand danger était de se trouver dans un lieu où se produisait une explosion de poudre, ce qui était le cas des canonniers. Conscients du risque ils savaient protéger leurs oreilles. Le fracas de la foudre était également capable de rendre sourd un être humain, mais ces cas étaient exceptionnels. Avec le développement de l’électricité est venu le temps de l’électronique et la capacité d’amplifier la puissance du son. On utilisa en premier, des lampes qui chauffaient beaucoup et restituaient le son avec une compression naturelle. Puis est venu le temps du transistor, tout petit et consommateur de peu d’énergie. Et la radio, les magnétophones, puis les magnétoscopes se développèrent dans la technologie dite « analogique ». Celle-ci conservait un rabotage qui limitait la dynamique sonore obtenue. Cependant, des puissances très fortes reproduites par de puissants haut-parleurs pouvaient déjà assourdir progressivement une personne exposée trop près d’un haut-parleur dans les discothèques ou les bals publics. Le drame est arrivé avec la diffusion généralisée de la technologie numérique qui présente l’avantage et l’inconvénient de restituer en bout de chaîne la dynamique exacte du son enregistré. Ce que je veux dire, c’est que les diffusions réalisées sur le principe numérique constituent des canons à bruits. Le son n’est plus compressé et la dynamique restitue les pointes les plus élevées du spectre sonore. Dans les diffusions télévisées, des pics sonores agressent nos tympans, sans que nous ressentions l’effet subi. Il ne s’agit pas de puissance générale du son, mais de pointes qui agressent notre ouï, parce que le son n’est plus compressé. Pour mieux comprendre ce que je dis, tu peux écouter le son des vieux films et le comparer avec les effets des sons numériques modernes. Dans les vieux films, le son était audible et régulier, mais ce n’est plus le cas, avec le numérique, on passe d’un murmure à peine audible à une pointe qui agresse l’oreille. La preuve visuelle de ce que je dis se trouve dans l’augmentation constante du recours à des prothèses auditives, vendues à prix d’or ou du platine, d’une manière injuste, cupide et scandaleuse. Mais, comme le train, le progrès avance, et si on ne le prend pas, on reste seul sur le quai de la gare. Conscient du problème provoqué par les casques d’écoute, les spécialistes ont changé la norme de l’impédance des transducteurs. La norme de la résistance de la bobine intérieure de 8 Ohms a été abandonnée pour la norme 32 ohms, ce qui réduit la puissance sonore du casque. Or le problème n’était qu’en partie seulement la puissance, le vrai facteur agressif étant la dynamique non limitée.

Nos sociétés occidentales sont aujourd’hui contraintes d’avoir recours aux instruments électroniques, puisque les états européens ont basé leurs services nationaux sur l’usage d’internet, sur téléphone portable ou sur ordinateur. Ce choix fait que les humains occidentaux sont livrés aux prothèses visuelles et auditives pour enrichir les spécialistes.

Le progrès tue nos corps

Le travail des villes a remplacé le travail des campagnes. La sédentarisation des emplois favorise l’obésité, les corps ne faisant plus d’exercice, se trouvant en milieu fermé ou dans la climatisation, dans des attitudes nocives, en position assise ou en position debout, toute chose qui n’offre plus au corps humain l’exercice physique au grand air que l’ancienne vie offrait aux humains. De plus, soumis aux contraintes horaires, les humains négligent la qualité de leur nutrition. Le sandwich a remplacé le repas complet. Il est plus avalé que consommé et la santé humaine en paie le prix. Le progrès c’est aussi la concentration urbaine et la vie stressante qui en résulte. Dans les villes, cette concentration s’accompagne de l’insécurité, et les corps physiques eux-mêmes sont agressés. Paradoxalement, les corps physiques sont également victimes de l’utilisation abusive des médicaments de toutes sortes créés par les laboratoires scientifiques. Car en Occident, l’usage des médicaments est abusif : on prend un médicament pour dormir, un autre pour se réveiller et dans la journée les tasses de café noir se succèdent pour faire face au stress professionnel. Le progrès tue les corps par les changements apportés aux aliments. L’industrie les raffine et les rend moins digestes pour l’organisme. Le blé entier est remplacé par la fleur de Farine et le riz entier perd sa couverture. La chimie empoisonne la terre dont le fruit va être consommé par l’homme.

Le progrès tue nos esprits

Un vieil adage disait : « un esprit sain dans un corps sain ». Alors comment l’esprit peut-il être sain si le corps est souillé et attaqué comme je viens de le dire ? Le corps physique étant maltraité, l’esprit humain ne fonctionne plus correctement. L’emprise mentale des médias qui envahit les pensées humaines le transforme en robot, incapable de penser par lui-même, car les médias le saturent d’explications. La manière dont l’homme moderne est devenu esclave de son téléphone portable ou de son ordinateur est un exemple de sa robotisation. Et là encore, dans cet abus, il trouve le stress qui absorbe et détruit l’aptitude de la réflexion ; en sorte que l’être humain privilégie son besoin immédiat et ne peut plus donner du temps à la méditation et la réflexion sur le sens qu’il doit donner à sa vie. L’urgence fait la priorité et tout s’accélère ; y compris le débit de ses paroles. L’esprit humain vagabonde, passant d’une situation à une autre, toujours dans la précipitation, et je dois ici en témoigner, je dois ma bénédiction spirituelle à ma recherche de Dieu qui fut favorisée par un contexte de chômage professionnel. Cet arrêt imposé par la situation m’a été bénéfique au plus haut point. Mais la vie occidentale n’encourage pas le chômage et c’est logique, car la vie citadine a son prix, et les charges à payer restent les mêmes au chômage, et en activité professionnelle. Les valeurs défendues par les Occidentaux sont en opposition directe avec les valeurs encouragées par Dieu. La réussite professionnelle est pour les incrédules le but à atteindre pour réussir sa vie. Mais en se concentrant uniquement sur cet objectif, les humains méprisent l’offre de vie éternelle que Dieu présente en Jésus-Christ. Le progrès pousse à l’enrichissement et le modèle type de cette norme est américain. On l’appelle « le rêve américain » et il consiste à faire fortune et certains ont si bien réussi dans ce « rêve » qu’ils possèdent à eux-seuls plus de richesse que des nations entières. Un tel excès signale l’imminence d’un grand jugement divin. Car ces sommes d’argent sont utilisées pour rendre l’être humain toujours plus esclave des biens de consommation. L’argent achète tout, les biens, l’amour, et même la mort des ennemis.

Nous devons aussi au progrès, ce qu’on appelle les maladies de la civilisation. Elles sont toutes dues aux inventions humaines, l’homme étant devenu capable, par la science chimique, de composer les molécules de matières nouvelles obtenues par les composants dérivés du pétrole. Les matières plastiques sont nées et ont inondé la vie civilisée. Les maladies de la civilisation sont sournoises et longtemps ignorées. Car leur nocivité n’apparaît qu’après une longue période d’exposition. Ainsi, après la dernière guerre mondiale, les ustensiles ménagers moulés dans l’aluminium fondu très apprécié ont été à l’origine de multiples types de cancers. Il en, est de même pour l’usage abusif de l’amiante et en premiers, ceux qui la fabriquaient, les employés, ont payé le prix fort. C’est aussi le cas de l’exposition au plomb, qui provoque la maladie du saturnisme. Notre créateur ne nous a pas donné les molécules de ces matériaux nocifs. Et aujourd’hui, nous sommes obligés de reconnaître que les seuls matériaux sains sont le bois, la pierre, la terre cuite, et tout de même, l’acier rendu par l’homme, inoxydable.

Dans le passé, avant le développement technique, la pauvreté tuaient beaucoup de gens par manque de nourriture, excès de travail et de fatigue, ou par manque de chauffage et exposition à une trop grande humidité. Mais ces causes faisaient mourir rapidement. Le développement de la technologie a remplacé ces causes par des maladies lentes et progressives indécelables dans le cours terme. Mais en quelques générations elles ont pris une forme chronique que les individus se transmettent par l’hérédité. Le génome de l’être humain est ainsi pour des multitudes, attaqué, transformé et déformé. De plus en plus tôt, les enfants naissent avec des troubles visuels et doivent porter des lunettes et c’est encore cela, le progrès. Les enfants qui naissent héritent des tares de leurs géniteurs et n’ont plus droit à la santé parfaite auquel l’innocent avait droit avant les modifications apportées par la science des humains. De manière paradoxale, la civilisation subit les maladies de ses excès dans les soins aseptiques. Les produits d’entretien censés protéger provoquent des maladies lentes, par leurs odeurs et leur composition artificielle chimique insupportée par les cellules du corps humain. Les cellules de notre peau sont naturellement protégées et entretenues par le phénomène naturel qui la tient graissée. Et ce graissage naturel est indispensable pour qu’elle conserve sa souplesse. Mais l’eau des villes est chargée de nitrates et de résidus calcaires agressifs. Dieu n’a pas donné à l’homme ces produits qu’on ne trouve pas dans les sources des montagnes. L’eau est une victime des maladies de la civilisation et notre corps humain est composé de 75% d’eau ; c’est dire si le mal qui attaque l’humain est grave, avancé et irréversible ! L’eau censée donner la vie est empoisonnée au niveau de ses nappes phréatiques souterraines et ses poisons ont été produits par l’homme, pas par Dieu.

Compare et réalise ce que l’homme a perdu. Avant la civilisation et la vie citadine, chacun satisfaisait son besoin d’eau en l’obtenant gratuitement en creusant un puits sur sa propriété. Aujourd’hui, l’eau doit être payée et de plus en plus cher, alors que sa qualité se dégrade de jours en jours. Dans la vie campagnarde, la terre travaillée nourrissait les familles locales, encore gratuitement. Aujourd’hui, la nourriture industrielle, traitée chimiquement, est vendue de plus en plus cher, à cause de l’accumulation des intermédiaires qui s’insèrent dans le marché entre le producteur et le consommateur. Ces intermédiaires stockent la nourriture sur laquelle ils spéculent, car ils la retiennent en attendant d’en tirer le meilleur prix. Ces deux exemples montrent comment  la civilisation a coupé l’homme de ses racines terrestres. La vie simple et naturelle organisée au contact de la nature créée par Dieu a été abandonnée par l’homme qui a lui-même, dans cette démarche, abandonné son lien avec Dieu son créateur, dont la parole est une nourriture spirituelle indispensable pour construire et entretenir la vie. Son issue est donc fatale, il a fait le choix de mourir.

 

 

Nazis ! Ou nouveaux Romains ?

 

Dans les survivants actuels, les vrais témoins oculaires de la Seconde Guerre Mondiale sont devenus rares. Et moi-même, je suis né sur la fin de cette guerre, et je n’en ai donc aucun souvenir vécu. Cependant, l’Esprit de Dieu m’a donné de l’intérêt pour les leçons de l’histoire, en vue du ministère prophétique que j’accompli pour lui et ses élus, depuis 1980. En dehors des historiens professionnels, qui peut dire aujourd’hui, ce que fut le nazisme ? La jeunesse n’a sur ce sujet que ce que la rumeur publique a longtemps et constamment rappelé : le nazisme c’est la haine des Juifs qu’ils ont voulu éradiquer de la terre. Ce que les Juifs appellent la « Shoa ». Mais cette définition est loin d’être complète, même si elle est justifiée. Car l’idéologie nazie anti-juive est née dans l’esprit d’Adolph Hitler et ce fut là sa particularité dans les années 30 de la fin du 20ème siècle. En premier, nous devons tenir compte du fait que le peuple juif a été maudit par Dieu et la Bible le confirme, selon que Paul dit dans Gal.3:10 : « Car tous ceux qui s'attachent aux œuvres de la loi sont sous la malédiction ; car il est écrit : Maudit est quiconque n'observe pas tout ce qui est écrit dans le livre de la loi, et ne le met pas en pratique. » Paul dénonce ainsi ceux qui s’attachent aux œuvres de la loi au point de refuser la foi en Christ. C’est pourquoi, à l’heure du refus, ils ont publiquement crié « Que son sang retombe sur nous et nos enfants ! », selon Matt.27:25.  Faut-il s’étonner dès lors que Dieu les prenne au mot, afin de donner une sévère leçon aux dernières générations de l’humanité ? Car cette pensée et cette haine nazie envers les Juifs fut inspirée par Dieu à Hitler, de la même manière qu’il appela les Philistins contre Israël au temps des Juges, le roi Nébucadnetsar en – 605, - 597, et – 586,  ainsi que les Romains en l’an 70. Le châtiment des Juifs incrédules et rebelles est une prérogative divine et aucune puissance humaine ne saurait l’empêcher quand Dieu le fait accomplir. Peu importe les instruments humains auxquels il confie ce rôle justicier car ce que nous devons retenir dans ces châtiments, c’est l’application du juste jugement de Dieu. Dans les exemples que je viens de présenter, nous pouvons déjà établir un lien entre le nazisme hitlérien et les troupes de l’impérialisme romain puisque l’histoire témoigne qu’en leur temps, les deux ont frappé les Juifs.

La ressemblance ne s’arrête pas là. Chez ces deux entités allemande et américaine, nous retrouvons l’emblème symbolique impérial que représente « l’aigle ». Les deux ont eu pour projet de contraindre, par la force, les autres peuples de la terre à adopter leurs règles et leurs normes de vie. Et à ce niveau de la comparaison, on peut ajouter à ces deux entités, le régime républicain impérial de Napoléon 1er, que la France imposa dans le sang aux peuples européens. Et ce n’est pas sans raison qu’Adolf Hitler l’admirait. Tous ces régimes impériaux ont imposé leurs lois et leur force parce qu’ils étaient profondément convaincus de détenir la norme de la société humaine idéale. Et c’est là que se trouve la véritable base de la pensée « nazie ». Ceci, jusqu’à définir en terme racial, la norme de l’homme parfait : pour Hitler il était Aryen, devait être blond, aux yeux bleus, et la forme de son crâne fut également établie par les scientifiques nazis. Cette norme définissait donc déjà pour Hitler, « une caste supérieure, une race supérieure », selon les propos tenus par V. Poutine ; mots par lesquels il définit la société Occidentale actuelle, dans le message adressé aux oligarques russes établis en Occident. Longtemps séparé de cette société occidentale, V. Poutine l’a observée et jugée avec son regard critique qui manque chez les européens. Je relève sur les plateaux des médias, les preuves mêmes de ce que dénonce V.Poutine : l’orgueil, la suffisance, le mépris, et surtout une ignorance dangereuse et coupable envers le peuple qui va être victime de gens qui les auront trompés, en voulant le tranquilliser au sujet des menaces russes. Car un sondage révèle qu’à 72%, les Français redoutent et prennent au sérieux les menaces nucléaires russes et les conséquences d’une Troisième Guerre Mondiale. En opposition à 72 % de gens du peuple, des généraux, des journalistes spécialisés, témoignent qu’ils doutent de ces possibilités. Cette situation reproduit celles de 1914 et 1939, époques en lesquelles les chefs militaires, très sûrs de leur puissance, de leurs équipements, et de leur efficacité, pensaient vaincre l’Allemagne en quelques jours ou semaines. Et l’histoire confirme combien ils s’étaient trompés en surestimant leur force et surtout, en sous-estimant celle de l’ennemi ; soit, ce qu’ils font de nouveau en 2022 au sujet de la Russie.

Une fois de plus, l’actualité prouve jusqu’à quel niveau l’orgueil peut aveugler l’intelligence et la perspicacité humaine. Et puisque les nazis et les Romains avaient les mêmes idées et les mêmes comportements, nous pouvons considérer que l’Occident arrogant et conquérant est une nouvelle forme de l’impérialisme « romain » de l’histoire. Mais sous cette image, le peuple américain des USA tient un rôle dominateur fondamental. Car la nouvelle Europe de l’Union Européenne s’est construite sur son image. Et, l’Amérique ne cache plus depuis longtemps ses ambitions et son projet de gouverner le monde. Sa victoire dans la Seconde Guerre Mondiale l’a élevée au-dessus de tous les peuples. La Deuxième Guerre Mondiale a permis aux Américains de réaliser combien ils étaient puissants. Et dans un premier temps, l’Amérique a fait intervenir ses combattants, les G.I., pour assurer son influence dans les pays asiatiques, puis en orient, successivement, en Iraq et en Afghanistan. Puissante dans l’air, sur la mer, et sur la terre, elle a subi néanmoins des revers et s’est finalement repliée sur elle. Mais depuis ce temps, d’autres nations comme la Chine, en dernière, ont pris de l’importance et lui font concurrence. La Russie, l’adversaire détestée de toujours, s’est aussi relevée de sa chute et elle est entrée donc, elle-aussi, en concurrence avec elle. La domination américaine est avant toute autre chose économique ; elle ne s’intéresse qu’au marché et aux profits qu’il peut rapporter. Elle n’envahit militairement aucun pays pour le coloniser et s’y installer. Et c’est ce comportement pacifique qui a conduit les peuples à ne pas remarquer le danger qu’elle représentait et représente encore pour eux. Car comme l’ancienne Rome impériale conquérante, elle entraîne les peuples de l’OTAN dans sa guerre contre son ennemie héréditaire, la Russie. Mais pourquoi est-elle devenue son ennemie ? A cause de leurs conceptions économiques diamétralement opposées. Le capitalisme qui enrichit l’homme par son exploitation de l’homme pour les USA, et le communisme qui interdit cette pratique, pour la Russie du type soviétique. Depuis cette époque soviétique, la Russie n’est plus, officiellement, communiste mais sa gestion nationale en a gardé des aspects.

Pour comprendre la cause de l’engagement armé de la Russie contre l’Ukraine, nous devons relever, tout ce que l’OTAN a arraché à la Russie depuis le partage de Yalta. Au fil du temps, la frontière entre l’Ouest et l’Est, qui passait par Berlin, était sur le point de se retrouver au niveau de la Biélorussie et la Russie. La Russie a accepté que l’Allemagne de l’Est, la Pologne, Les pays Baltes, la Tchéquie, la Slovaquie, la Roumanie, aussi l’Ukraine devait rester indépendante et ne pas rejoindre le camp de l’OTAN. Evidemment, dans le camp occidental, cette crainte de l’OTAN est incomprise puisque sa société y est considérée comme un modèle idéal. L’Occident ne peut pas faire preuve d’objectivité, et il se montre incapable d’une salutaire autocritique. La comparaison avec la société romaine républicaine et impériale permet de comprendre ce que nous vivons en Occident. Le peuple romain envoyait ses légions qui imposaient par la force écrasante de ses armées, la soumission à des peuples, jusque-là, libres et indépendants. Au cours des 77 années qui se sont écoulées depuis le partage de Yalta, l’Amérique et ses alliés européens ont eu recours aux mêmes pressions militaires pour gagner en puissance et en influence sur toute la terre. Derrière sa frontière, V. Poutine a relevé ces faits, et il dénonce ce qu’il considère comme un nouvel aspect historique du modèle nazi allemand. Les brigades « SS » nazies étaient très ressemblantes aux légions de Rome, et depuis, aux armées des G.I. américains. La discipline de fer faisait la force de toutes. Dans le cas des légions romaines, ceux qui s’étaient comportés en lâches pendant le combat était impitoyablement jetés dans le vide depuis des hauteurs. V. Poutine a retenu de l’histoire, les choix effectués par la Pologne et la France de collaborer avec l’Allemagne nazie avant la défaite allemande de 1945. Il n’a pas oublié non plus, comment l’Ukraine a combattu la Russie aux côtés des armées allemandes. 

Alors quel aspect a pris encore ce comportement impérial romain néo-nazi ? Nous le retrouvons dans les conquêtes colonialistes européennes mais surtout en première, anglaises. La France a agi de même en colonisant à son tour l’Afrique du nord et du centre ainsi que les pays asiatiques du Cambodge et du Vietnam ; tous conquis par la force des armes, comme le firent les Romains.

 

 

 

Le 9 Mai 1945, le 9 Mai 1950, et le 9 Mai 2022

 

Cette date du 9 Mai 2022 va probablement marquer notre histoire terrestre. En premier, je retiens que cette date commémore le 77ème anniversaire de l’écrasement des nazis allemands par la Russie. Or, cette commémoration va être réalisée dans un contexte où la Russie s’est engagée de nouveau dans une opération militaire qui vise à dénazifier cette fois l’Ukraine. Mais V.Poutine vient de découvrir par le soutien donné à l’Ukraine que l’Union Européenne se place contre lui dans ce conflit. Il est donc en droit de considérer que cette U.E. constitue elle-aussi une cause nazie. Se trompe-t-il dans ce jugement ? Pour répondre à cette question, il faut adopter un point de vue réellement objectif, sans parti-pris. Ce qui ne facilite pas la compréhension des choses, c’est que l’Europe et l’Ukraine ne revendiquent pas l’idéologie nazie, publiquement et de manière assumée comme le firent les nazis hitlériens allemands. Au contraire, le camp occidental a constamment dénoncé ce nazisme nationaliste allemand et jusqu’à notre époque, il a condamné le génocide des Juifs. Qu’en est-il de l’Ukraine ? La liberté dans laquelle elle est entrée en 1995 a favorisé la formation des groupes trouvés dans ce rassemblement, et parmi ces groupes, il y a le groupe néo-nazi revendiqué du bataillon Azov. L’Ukraine n’est pas nazie dans son intégralité mais un groupe admirateur de la pensée nazie y est officiellement représenté, et dans un premier temps, cette présence nazie revendiquée a nui à la cause ukrainienne dans sa relation avec l’Europe. En 2014, la cause ukrainienne renverse avec l’aide du groupe nazi le président pro-russe élu par le peuple. Curieusement, ce renversement brutal illégitime est alors soutenu par la commission européenne et les nations de l’Europe approuvent ce putsch national. Comme dans toute révolution, celle de l’Ukraine a des soutiens et des opposants : les Ukrainiens catholiques d’origine polonaise et ceux d’origine russe s’opposent aux Ukrainiens pro-russe du camp renversé. Ces derniers se replient dans le Donbass où la guerre commence pour résister à l’autre camp décidé à ne plus rester dans l’alliance russe. Au bout de huit ans de guerre ininterrompue contre les pro-russes du Donbass, le jeune président manifeste son souhait de rejoindre le camp européen et sa défense militaire du traité de l’OTAN. Dans le camp russe, cette déclaration est reçue comme une lettre de divorce. Et la séparation va placer avec l’Ukraine libre la représentation des forces de l’OTAN dans la proximité de la Russie soit au niveau du Donbass. Le sas de sécurité qu’était l’Ukraine pour la Russie disparaissant, Celle-ci se sent en danger, la prochaine cible des conquêtes de l’OTAN sera cette fois la Russie elle-même. V. Poutine réagit alors prêt à tout pour empêcher que l’Ukraine rejoigne l’OTAN et le seul moyen qui lui reste c’est la confrontation armée.

Je reviens maintenant sur ce regroupement de l’Europe avec l’Ukraine défendue entre autres par un groupe nazi revendiqué. Il est difficile pour V.Poutine de ne pas relever une assimilation d’idéologie dans ce regroupement. C’est ici que les détails de l’histoire prennent toute leur importance. En 1944, à la défaite allemande, un grand nombre de criminels de guerre de l’Allemagne nazi ont bénéficié de l’aide de l’organisation sanitaire de la Croix-Rouge pour être exfiltrés de l’Allemagne et ils ont trouvé refuge en Amérique du sud, au Chili et en Argentine. La Croix-Rouge était une organisation purement catholique placée au service du pape de l’époque. Les nazis allemands étaient tous de fervents catholiques fidèles à l’église du pape et organisés selon la norme des Jésuites catholiques romains. Dans l’Europe qui s’est reconstruite après 1945, des nazis ont repris des postes politiques et dès 1944, les USA ont accueilli les cerveaux géniaux des nazis allemands. Alors le nazisme est-il vraiment mort en 1945 ? N’a t-t-il pas au contraire bénéficier de la puissance des USA pour renaître de ses cendres tel un « phœnix » nom d’une ville américaine. Je crois que mes questions sont  en réalité des réponses affirmatives. Mais aussi longtemps qu’il soutiendra la cause des Juifs, personne ne l’identifiera comme tel.

Il se trouve que la date du 9 Mai 1950 est devenue la date de la fête de la création de l’Europe suite à la déclaration de Robert Schuman qui décida d’unir les productions d’acier et de charbon dans une alliance commune. Cette décision fut retenue comme date de la fondation de l’organisation de l’Europe en 1985 dans une rencontre située à Milan. Un nom difficile à oublier, puisque là, furent promulgués les traités de Constantin 1er le grand, en 313, celui qui accorde la paix et la liberté religieuse, et en 321, celui qui ordonne l’adoption du premier jour et l’abandon du septième sanctifié par Dieu.

Cette date du 9 Mai porte une valeur pour les deux camps potentiellement opposés. Que va-t-il donc arriver en cette date si particulière ? Une déclaration de guerre officielle adressée à l’OTAN ou plus modestement à l’U.E. ? Il me tarde d’entendre les réponses dans l’actualité. Mais logiquement, l’Europe catholique papale romaine, devrait être particulièrement concernée étant, dans Dan.11:40, le « roi » agressé successivement par le « roi du midi » et le « roi du septentrion ». Déjà, le chef russe pourrait désigner à son peuple les pays qui, par leur adhésion à la cause de l’Ukraine qu’il dit « nazie », et leur participation à détruire les armées russes en lui donnant leurs armes, sont destinés à être punis et frappés par sa colère.

La légitimité des deux pays qui s’opposent n’est pas la cause principale du conflit engagé. La véritable cause n’est pas relevée par les observateurs des médias et des gens politiques, car elle est spirituelle : l’Ukraine est sur la ligne où s’opposent la foi catholique, côté Ouest, et la foi orthodoxe, côté Est. L’Ukraine n’est pour Dieu que le support d’un prétexte à dispute dont le but est à terme de frapper l’Europe catholique et de détruire la Russie orthodoxe. Dans l’histoire, l’Ukraine s’est trouvée sous domination polonaise, puis sous domination russe, en sorte qu’elle fut constamment tiraillée entre les deux camps. Dans l’histoire d’Israël au temps du juge Samson, une énigme proposée par Samson aux Philistins fut à l’origine de la guerre par laquelle Dieu les expulsa du pays hébreu.

Dans la Bible, dans le livre de Daniel, Dieu révèle à ses serviteurs, sa condamnation de la foi catholique romaine, mais il révèle également dans Ezéchiel 38-39, son projet d’utiliser la Russie désignée sous le nom « Gog », pour frapper Israël, « le plus beau des pays », selon Dan.11:41, et cette prophétie s’accomplit, « au temps de la fin » (v.40), quand la Russie se réclame de lui en christianisme orthodoxe, hélas pour lui, aussi maudit que la Rome papale dont il a hérité le repos hebdomadaire du premier jour instauré par Constantin 1er le grand. Une fois de plus, Dieu avait séparé les choix catholiques et orthodoxes pour les confronter l’un à l’autre à l’heure du dernier châtiment d’avertissement qui vient châtier le mépris rendu à son saint sabbat du septième jour. Il est prophétisé sous l’image symbolique de la « sixième trompette » dans Apo.9:13 à 21.

 

 

 

 

 

Le temps de la fin

 

Cette expression prend une grande importance pour les derniers serviteurs de Jésus. A cette époque, la prophétie les éclaire sur le projet prophétisé de Dieu, et ils bénéficient de l’avancée historique pour mieux interpréter le sens des événements vécus. Sachant que les expériences de l’ancienne et de la nouvelle alliance ont été construites de manière analogue, il me semble logique de considérer que « le temps de la fin » de l’ancienne alliance a commencé par le châtiment des trois déportations consécutives à Babylone ; soit, en – 605, en – 597, et en – 586. Ensuite, l’histoire du peuple juif s’est prolongée pendant plus de six siècles en vue de l’accueil réservé au Messie annoncé par Daniel 9:24 à 27.

Pour la nouvelle alliance, « le temps de la fin » commence donc en 1914 par la première Guerre Mondiale qui s’achevant en 1918, fut suivie par la Seconde en 1939, pour finir à son tour, officiellement, le 8 ou 9 mai 1945.

Dans cette date 1914, la cible de la colère de Dieu est nettement identifiée comme étant l’Europe occidentale. Car la première Guerre Mondiale éclate sur son sol. Le fruit maudit du catholicisme romain est à la base de l’orgueil des cours européennes et donc du comportement de l’empereur allemand Guillaume 2. Un assassinat est à l’origine d’un enchaînement de réactions des nations concernées. Et à cette époque les deux nations France et Allemagne qui s’affrontent favorisent toutes deux la foi catholique romaine ; l’Europe occidentale étant, avant tout autre continent, le siège de son représentant papal situé en Italie dans la cité du Vatican. Vaincue le 11 Novembre 1918, par la France et ses alliés anglais et américains, l’Allemagne veut sa revanche. Et en 1939, puissamment armée, elle relance le confit par des actions non supportées par la France et ses alliés qui lui déclarent la Guerre. La supériorité de l’équipement allemand va faire durer le conflit jusqu’en 1944 où le sort de l’Allemagne bascule. La Russie et les Américains s’emparent de Berlin où Adolf Hitler le « führer » s’est suicidé. Vaincue dès le début du conflit, la France accepte le régime de la collaboration avec l’Allemagne nazie et elle prend part aux exterminations des Juifs. Cela lui sera reproché. Mais réfugié en Angleterre, le Général de Gaulle représente l’autre facette de la France ; celle qui ne se résigne pas à la défaite et a voulu poursuivre le combat. Toutefois, cette seconde guerre mondiale porte un coup fatal à son autorité. La France colonialiste y a perdu tout son prestige auprès des peuples colonisés. C’est ainsi que les uns après les autres, les colonies asiatiques, africaines, et maghrébines vont entrer en contestation et certaines vont se libérer par les armes. La France ne fait plus peur ; on peut la combattre et être victorieux. Cette conséquence de la Seconde Guerre Mondiale est à l’origine de l’agressivité du « roi du midi » cité dans Dan.11:40. La Bible ne cite pas ailleurs, pour ce contexte du « temps de la fin » ce nom « roi du midi », mais le « midi » étant à la fois celui de l’Europe et d’Israël, le continent africain est visiblement désigné. Le « roi » papal du verset 36 étant un roi religieux, le catholicisme, le « roi du midi » l’est également, et il désigne l’islam ; religion des pays Nord-africains colonisés par la France.  

 

 

 

Daniel 11:40 : la préparation de la Troisième Guerre Mondiale

 

Une nouvelle compréhension sur ce sujet me conduit à rectifier mes interprétations présentées jusque-là.

Verset 40 : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires ; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera.»

Au « temps de la fin », en l’année 1945, la Deuxième Guerre Mondiale s’achève, l’Allemagne nazie est vaincue et les deux camps victorieux, russe et américain, se partagent l’Europe sur la ligne de Berlin. Un soutien russe permet à la France ambigüe d’être du camp des vainqueurs. L’accord est signé à Yalta en Crimée russe. Dès cette date, l’Europe meurtrie est coupée en deux camps ouvertement hostiles l’un envers l’autre. L’économie est en cause ; le capitalisme américain contre le communisme russe, et les pays européens sont placés sous l’une ou l’autre de ces deux conceptions économiques et politiques. Mais la religion l’est également ; le protestantisme et le catholicisme américains contre l’orthodoxie russe. C’est alors qu’écrasés pour un temps par l’Allemagne, les pays coloniaux, dont la France, perdent leur prestige et les pays colonisés se révoltent les uns après les autres. En réparation des souffrances subies par les Juifs, l’Amérique qui en compte un grand nombre dans son pays, organise par vote, le retour des Juifs sur leur sol historique devenu après leur départ, la Palestine. L’Europe est en paix, ou presque, mais la guerre oppose maintenant l’Etat Juif aux Palestiniens. C’est à ce moment de l’histoire que « le roi du midi » de ce verset se lève. Les heurts prophétisés contre l’occident chrétien vont prendre, en premier, la forme des détournements des avions touristiques occidentaux de lignes. La Palestine, de religion musulmane, lutte par le piratage, s’attaquant au commerce touristique occidental. Ces heurts vont se prolonger ensuite par les luttes des Fronts Libérateurs Nationaux colonisés ; Indochine, Afrique, et surtout Maghreb de religion « musulmane », ce qui en fait un partenaire du camp du « roi du midi ». Ce heurt-là concerne tout particulièrement la France qui n’a pas su régler efficacement sa relation avec l’islam. Mais avec les accords d’Evian, elle a préparé de nouveaux problèmes relationnels pour plus tard, en favorisant le développement de cette religion sur son territoire européen. Sa position laïque l’a empêchée de comprendre le danger que l’islam constitue pour un pays chrétien, même sous une forme agnostique laïque.

L’Esprit résume les grandes phases de la Troisième Guerre Mondiale, car le dicton populaire « jamais deux sans trois » est aussi, un principe appliqué par Dieu, premièrement, au sujet des Juifs, en 605, en – 597,  et en 586, les dates des trois déportations successives du peuple à Babylone. Pour Dieu, les châtiments des péchés de l’ancienne et de la nouvelle alliance doivent être les mêmes et l’organisation de ces châtiments, identique. Depuis le verset 36, l’Esprit cible l’entité papale romaine, déjà dénoncée dans les chapitres 7 et 8, principalement. La cible de sa colère et des attaques citées est donc l’Italie où la papauté a son Etat du Vatican. Dans Apo.18:24, Dieu déclare à son sujet : « et parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre. »  C’est pourquoi elle occupe la place principale à l’heure du châtiment. Bien qu’elle cible la religion catholique européenne, il faut tenir compte de ce que la prophétie est donnée aux Juifs ; ce qu’était Daniel lui-même. Ceci d’autant plus que, dans ce châtiment final, l’Etat juif restauré est aussi concerné. Ainsi, les précisions « midi et septentrion » doivent être identifiées à partir de cet Etat juif. Et qui trouvons-nous au Sud d’Israël ? L’Arabie et la Mecque lieu d’origine de l’apparition de l’islam. Qui trouvons-nous au Nord d’Israël ? L’immense territoire du pays russe. Ces données nous ont permis d’identifier les trois « rois » mis en scène dans ce verset. Et l’Esprit les identifie par leurs identités religieuses soit, dans l’ordre de présentation, le catholicisme romain, l’islam arabe, et l’orthodoxie russe. Ce verset 40 présente un résumé des actions qui conduisent à l’accomplissement de cette Troisième Guerre Mondiale, ou « sixième trompette » dApo.9:13 à 21. Les frictions entre l’Occident et l’islam guerrier revanchard n’ont pas cessé, mais depuis le 24 Février 2022, un début des agressions commises par la Russie a commencé par son intervention contre l’Ukraine.

La première intervention de l’année 2014, délivre un message important, puisque, dans un premier temps, la Russie annexe la Crimée ; une action qui fait référence au traité de Yalta, maltraité après 1945 par le camp occidental dominé par l’Amérique. Les avancées successives de l’OTAN vers le sol de la Russie sont les causes de l’entrée en guerre de cette Russie qui se sentait de plus en plus menacée par cet OTAN conquérant. La soif de puissance de l’Amérique révélée dans Apo.13:11 à 18 ne lui donne pas tort. Au partage de Yalta, la Russie a pris sous sa domination, la Pologne et les Ukrainiens catholiques de l’ouest qui l’avaient combattue aux côtés des armées allemandes nazies. Ces deux pays ont été ainsi exploités par la Russie et privés d’une réelle autonomie. Ils en ont conservé de la haine et de la rancœur. C’est pourquoi, la Pologne libérée de cette tutelle à la faveur de la chute du soviétisme a aussitôt voulu rejoindre le camp de l’OTAN, en se plaçant sous la protection de l’Amérique. Entrée dans l’OTAN, son comportement a incité l’Ukraine à vouloir faire de même. Mais la Russie ne pouvait pas accepter que son territoire devienne directement frontalier de l’OTAN.

Dans le verset 40, la prophétie évoque le moment où « le roi du septentrion », la Russie orthodoxe, va ouvertement attaquer les pays européens ; ce qui sera la conséquence des sanctions unanimes, ou presque, prises par les dirigeants de l’Europe et ses chefs nationaux. Et il faut tenir compte du fait que l’Europe s’est construite sur les traités de « Rome », en sorte que les nations de l’U.E. partagent la culpabilité catholique romaine avec le régime papal romain. Si bien que toute attaque contre l’Europe est aussi une attaque contre la foi catholique italienne et romaine. L’agression russe contre l’Europe est encore devant nous, mais elle n’est plus très loin, car la fourniture d’armes puissantes aux Ukrainiens tue des soldats russes et détruit leur armement, aussi, quitte à subir momentanément un échec militaire, la Russie menacée de ruine s’en prendra bientôt directement aux fournisseurs. C’est seulement à ce moment-là que s’accomplira cette seconde partie du verset : « Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera ». La Russie se lance alors, dans une grande reconquête qui concerne Israël et l’Egypte.

Verset 41 : « Il entrera dans le plus beau des pays, et plusieurs succomberont ; mais Édom, Moab, et les principaux des enfants d'Ammon seront délivrés de sa main.  »,

Après avoir évoqué son agression contre l’Europe occidentale, l’Esprit annonce l’intervention russe contre Israël, « le plus beau des pays». L’alliance des américains avec les Juifs, justifie la logique de cette agression. Remettant en cause leur alliance avec l’occident et Israël, « Édom, Moab, et les principaux des enfants d'Ammon », qui représentent l’actuelle Jordanie, voisine musulmane d’Israël, sont épargnés par les russes.

Verset 42 : « Il étendra sa main sur divers pays, et le pays d'Égypte n'échappera point. »

Le fait de trouver « l’Egypte » envahie par la Russie est conforme à l’alliance qu’elle a passée avec Israël en 1979. Ce choix opportuniste est suggéré par le fait que Dieu lui impute une tentative « d’échapper », en rejoignant leur camp, aux colères des puissances occidentales dominantes à cette époque.

Verset 43 : « Il se rendra maître des trésors d'or et d'argent, et de toutes les choses précieuses de l'Égypte ; les Libyens et les Éthiopiens seront à sa suite. »

Ce pillage imputé aux russes trouve une justification depuis l’attaque russe contre l’Ukraine. La forte résistance que les Ukrainiens lui opposent, consume ses équipements militaires, navires, chars d’assaut, avions, et les combattants eux-mêmes. De plus, depuis le début de ce conflit, les sanctions économiques prises par le camp occidental, contre elle, ont commencé à réduire sa richesse avec le but assumé de la ruiner. Le pillage des richesses du camp occidental sera donc sa réponse pour compenser les pertes subies. Je relève aujourd’hui seulement, l’importance de cette précision : « les Libyens et les Éthiopiens seront à sa suite ». Les « Libyens » sont les peuples musulmans du nord de l’Afrique, tandis que les « Ethiopiens » représentent les peuples noirs du reste de l’Afrique, en grande majorité maintenant, également musulmans. La précision, « seront à sa suite », nous permet de reconstituer l’ordre chronologique des actions prophétisées. Les peuples musulmans s’engagent dans la guerre, seulement, après l’attaque russe portée contre les nations européennes et Israël. Très logiquement et opportunément, ils profitent du désarroi des nations du sud de l’U.E. contraintes à combattre deux agressions simultanées. Dans cette attaque de l’Afrique musulmane, la France, ancien pays colonial, est particulièrement visée par les peuples qu’elle a colonisés. Ses régions sud vont être pillées et ses populations seront, partiellement massacrées en divers lieux prophétisés par Michel Nostradamus. Comme le verset 40 l’a dit, le « roi du septentrion » russe envahit toute l’Europe et se livre au pillage. Conformément à sa décision actuelle, dans un premier temps, l’Amérique n’intervient pas pour empêcher cette invasion, et elle laisse la Russie se répandre sur les terres des nations européennes. Jusqu’à ce moment, les combattants n’utilisent que des armes du type conventionnel. Et les pays vaincus sont soumis au pillage. La Russie est dotée de puissantes armes nucléaires terrifiantes, mais elle ne souhaite pas les utiliser, sachant que cet emploi conduirait à un génocide terrestre. Mais dans le camp américain, on n’a pas ces scrupules, et pour anéantir l’ennemi russe de toujours, ils vont atomiser son pays, en premier.

Verset 44 : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. »

Pour l’Europe, envahie par les Russes, la Russie est située à son « orient », et pour Israël, elle se situe à son « septentrion ». Ainsi l’envahisseur russe apprend qu’un terrible drame vient de frapper la Russie sur son territoire qui est, par ces directions cardinales, subtilement indiqué. La Russie étant atomisée, les combattants russes entrent dans une colère meurtrière folle. Il ne s’agit plus de piller, mais de « détruire et exterminer des multitudes », et pour ce faire, ils utilisent, à leur tour, leur terrifiant potentiel nucléaire contre les américains et contre les nations européennes. C’est ainsi que s’accomplit la mort du « tiers des hommes » prophétisée et ordonnée par Jésus-Christ, dans le message de la « sixième trompette » dans Apo.9:13-14 : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. ». Le verset 16 de ce thème précise encore l’implication de 200 millions de combattants dans cette ultime guerre universelle. Nous lisons : « Le nombre des cavaliers de l'armée était de deux myriades de myriades : j'en entendis le nombre. » Les ordres de destructions nucléaires ordonnés par les dirigeants, des Etats, des nations et des peuples, sont prophétisés par cette expression du verset 18 : « Le tiers des hommes fut tué par ces trois fléaux, par le feu, par la fumée, et par le soufre, qui sortaient de leurs bouches. » Les affrontements religieux sont désignés par le mot « fumée » qui symbolise les prières dans Apo.8:4 : « La fumée des parfums monta, avec les prières des saints, de la main de l'ange devant Dieu. » La fin des capitales occidentales est donc proche, imminente. En particulier, ciblée par la colère de Dieu qui l’a nommée « Sodome et Egypte » dans Apo.11:7, Paris sera frappée et détruite par le feu nucléaire russe.

Verset 45 : « Il dressera les tentes de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide. »

Cette fois, c’est dans Ezé.38:22, que nous trouvons la confirmation de cette destruction des troupes russes sur le sol d’Israël : « J'exercerai mes jugements contre lui par la peste et par le sang, par une pluie violente et par des pierres de grêle ; je ferai pleuvoir le feu et le soufre sur lui et sur ses troupes, et sur les peuples nombreux qui seront avec lui. » Ainsi poursuivies jusqu’en Israël par les armées américaines et les survivants européens, les troupes russes y sont anéanties avec les peuples musulmans qui les ont soutenues.

Ici s’achève la révélation donnée par Dieu dans Daniel 11 : la Russie est anéantie. Mais après cette action, Daniel 12:1 commence en disant : « En ce temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton peuple ; et ce sera une époque de détresse, telle qu'il n'y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu'à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. » Or, entre le temps de ce glorieux retour et l’anéantissement de la Russie qui l’a précédé, Dieu organise sur la terre la dernière épreuve de foi qui a pour but de séparer, pour la dernière fois, les élus des déchus. A ce moment, les élus seront tous devenus « adventistes » dans le sens où ils attendent le retour du Christ pour le printemps 2030, mais ils doivent aussi témoigner qu’ils sont « du septième jour ». A cette fin, leur foi doit être éprouvée et démontrée en honorant le sabbat, y compris et surtout quand ils sont menacés de mort pour cette obéissance envers Dieu. Cette épreuve est prophétisée par Dieu et révélée dans Apo.3:10, en ces termes : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. »

Le « temps de la fin » prophétisé concerne « le temps des nations » qui sont détruites par les attaques successives divines, des virus tueurs, des famines dues aux blocages économiques provoqués par les guerres, et par les armes de ces guerres. Comme Jésus l’a déclaré, « entendre parler de guerres et de bruits de guerres » ne définit pas la fin du monde, mais seulement « la fin du temps des nations ». Cette « fin des nations » est donc provoquée par une diminution considérable de la représentation de la vie humaine sur la terre. Terriblement décimés, les peuples auront perdu toute forme de puissance et d’organisation. C’est pourquoi, les survivants de ce dernier conflit atomique, sont contrains par la situation à renoncer à leur identité nationale et à former une alliance universelle chapeautée par l’Amérique restée forte.

L’Amérique va enfin réaliser son rêve dominateur universel, et son régime de « bête qui monte de la terre », cité dans Apo.13:11, va entrer en action pour très peu de temps : « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. » La loi rendant obligatoire le repos du dimanche romain, les élus fidèles au sabbat divin seront persécutés et victimes du boycott commercial typiquement américain, selon le verset 17 ; à noter que ce comportement est déjà appliqué contre la Russie et les russes par le camp occidental y compris la France dite démocrate et républicaine ; depuis le 24 Février 2022 : « et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. » ; ceci avant de se voir condamnés à être tués, selon le verset 15 : « Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués ». Apo.9:20-21 décrit la norme des survivants du génocide terrestre : « Les autres hommes qui ne furent pas tués par ces fléaux ne se repentirent pas des œuvres de leurs mains, de manière à ne point adorer les démons, et les idoles d'or, d'argent, d'airain, de pierre et de bois, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni marcher ; et ils ne se repentirent pas de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité ni de leurs vols.»

Le retour glorieux du Christ mettra fin aux fausses espérances et fausses analyses du sujet religieux. Les élus enlevés au ciel, les déchus sont sur la terre exterminés en se massacrant les uns les autres et en se rejetant la responsabilité de la perte commune.

Parvenu à la fin de ces explications je dois ajouter cette dernière idée.

Sans remettre en cause la valeur de la date 1945, le « temps de la fin » peut avoir commencé dès le printemps 1843, parce que sur les trois religions concernées dans Dan.11:40, les deux religions chrétiennes se sont rendues coupables de fautes très graves car ces péchés sont imputées au service de Jésus-Christ, et elles subissent un châtiment en relation avec ces fautes. Tout semble reposer sur ce principe de la justice divine de la loi du talion que Dieu modifie dans son application contre la Rome papale dans Apo.18:6 : « Payez-la comme elle a payé, et rendez-lui au double selon ses œuvres. Dans la coupe où elle a versé, versez-lui au double. ». Ce n’est plus œil pour œil, dent pour dent, mais deux yeux pour un œil et deux dents pour une dent. Dans sa parfaite justice Dieu veille à ce que les châtiments s’appliquent selon le principe de la réciprocité.

En première, à partir de 1830, la France, devenue plus tard fondatrice de l’union européenne, a pris possession de territoires peuplés de musulmans ; suite à cette action, l’Esprit prophétise la réaction du peuple colonisé : une agressivité envers l’ancien colon et des massacres jusqu’à obtenir l’indépendance exigée : « le roi du midi se heurte contre lui ». Car la colonisation est une sorte de mise en « captivité » de tout un peuple pour s’approprier son territoire. Je rappelle que lorsque Dieu a voulu donner à son peuple Israël, la terre de Canaan, pour lui éviter des problèmes futurs, il a pris soin de faire mourir tous ses habitants, organisant l’extermination, par les piqûres des frelons, et les frappes, par l’épée des armées juives. Il ne devait rester vivant aucun habitant qui puisse chercher à venger ce génocide. Mais cette dureté exigée pour cette situation fait frémir d’horreur les esprits humains trop humanistes.

De même, du sein de l’OTAN, l’Europe a bien exploité l’affaiblissement passager de la Russie soviétique pour amplifier son marché et ruiner la Russie. Cette mauvaise action reçoit, en réponse, la réaction armée de la Russie relevée. Avec toutes ses forces armées « le roi du septentrion fondra sur lui et l’inondera comme une tempête ».

A son tour, la Russie a voulu profiter de sa victoire contre le camp nazi pour assujettir les peuples polonais et ukrainien. Et en retour, en réaction, elle subie la colère de la haine vengeresse de ces pays...et de l’Amérique qui sera châtiée en dernière, et exterminée par Dieu lui-même.

Une troisième raison fait du printemps 1843, le commencement du « temps de la fin », également spirituelle, puisque cette date est choisie par Dieu pour rétablir les vérités déformées par l’église catholique romaine. Daniel 8 :14, la construit mais Daniel 12 :11-12 en relève l’importance. Et selon Apocalypse 3:2, à cette époque, Dieu exige des œuvres de foi « parfaites » ; ce qui est conforme à une exigence rattachée au « temps de la fin ».

Une quatrième justification repose sur l’évident éveil du développement technologique, qui va être cause de pollution jusqu’à la fin du monde, en sorte qu’il prépare lui-aussi la destruction de l’humanité.

 

 

 

 

 

La parabole du « fils prodigue »…inversée

 

Cette parabole du « fils prodigue » enseignée par Jésus-Christ est si connue en occident qu’elle est devenue une expression symbolique courante. Je vais donc reprendre cette parabole dont le début image parfaitement la situation qui vient de concerner la Russie et l’Ukraine engagés dans une guerre fratricide à cause du désir d’émancipation de cette jeune république des pays de l’Est.

La parabole originelle est présentée dans Luc 15 :11 à 32, mais aussi étonnant que la chose soit, le mot « prodigue » n’y apparaît pas.

Verset 11 : « Il dit encore : Un homme avait deux fils. »

Verset 12 : « Le plus jeune dit à son père : Mon père, donne-moi la part de bien qui doit me revenir. Et le père leur partagea son bien. »

Verset 13 : « Peu de jours après, le plus jeune fils, ayant tout ramassé, partit pour un pays éloigné, où il dissipa son bien en vivant dans la débauche. »

Ici, s’arrête la comparaison avec la parabole originelle, car cette parabole donnée par Jésus-Christ voulait enseigner la bénédiction divine de la « repentance » comme l’indique le verset 10 : « De même, je vous le dis, il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent. ». Or, le fils ukrainien de notre réalité a découvert les joies de la liberté totale, l’oubli des tabous religieux soit, la vie liberticide déjà développée dans les sociétés du monde occidental. Il s’est tellement attaché à cette liberté que contrairement au fils de la vraie parabole, il s’est retourné contre son père, la Russie dans laquelle l’Ukraine tenait un rôle favorisé très important.

La vie réelle actuelle met en scène des sociétés amorales, aux cœurs endurcis, devenus réellement incapables de repentance. Et cette situation reproduit celle qui prévalait juste avant le déluge d’eaux suscité par Dieu au temps de Noé. Dans l’énervement dû aux contrariétés continuelles que constituent les attaques virales et les conflits jamais gagnés, les pensées occidentales prennent des aspects fascisants très inquiétants. Mais pourquoi s’en étonner ? Les mêmes causes ne finissent-elles pas par produire les mêmes effets ? Et ceci, avec d’autant plus de facilité, qu’avec le temps, les dirigeants sont remplacés par de jeunes hommes et de jeunes femmes qui n’ont pas été marqués par les expériences douloureuses du passé. Dans le camp rebelle occidental, on ne trouve maintenant que des jeunes d’environ trente ans, tous nés dans un temps de paix prospère. Et tous, privés de la sagesse de Dieu, se comportent de manières arrogantes et comme des dictateurs, ils imposent à leurs peuples, leurs dangereuses opinions. Nous voyons chaque jour, sous nos yeux et à grand soutien médiatique, s’organiser le conflit le plus terrible de toute l’histoire de l’humanité. Pour les anciens, dont je suis, la chose était pensée impossible, mais c’était sans compter sur le renouvellement des générations dirigeantes. Et les dernières constituent dans la norme ce qu’il y a de pire. Le mépris témoigné envers le grand Dieu créateur invisible finit par coûter à l’humanité le prix de son anéantissement progressif mais, néanmoins, prophétisé et certain.

Connaissant la cause de la rupture du peuple Ukrainien avec la Russie, nous pouvons comprendre ce que Dieu reproche à nos sociétés occidentales qui soutienne le choix ukrainien. Le jeune président Zelensky avait déclaré publiquement aux peuples de l’U.E. : « Nous sommes comme vous ». Et ce cri sorti de son cœur est, tristement, la confirmation et l’expression d’une véritable condamnation divine. Car ces choix confirment le bon sens de cet enseignement de Pro.29:18 : « Quand il n'y a pas de révélation, le peuple est sans frein ; Heureux s'il observe la loi ! » Dans ce verset, le mot est « révélation ou vision ». Je pense qu’il est généralement incompris car l’auteur divin met en opposition la « vision » et « la loi ». Dans ce cas la « vision » désigne la direction divine visuelle telle qu’elle était quand Dieu devisait avec Moïse. Ce que Dieu dit c’est donc que même sans sa présence visible, le peuple sera béni s’il se montre obéissant envers ses lois. Ce verset exalte donc la foi de celui qui obéit à la loi divine dans toutes les époques. Il nous permet de comprendre la cause de l’avancée de la corruption et des perversions morales de nos sociétés occidentales considérées par les peuples de la terre comme « chrétiennes » mais jugées par Dieu, faussement, « chrétiennes ». En Europe, la foi chrétienne n’a pas été nourrie par la vérité donnée par Jésus-Christ dont l’œuvre fut empêchée par la présence visible d’un chef terrestre papal à partir de 538. Aujourd’hui, chacun peut le constater, « le peuple est sans frein » dans toute l’U.E. mais, uniquement, sur le plan moral, car la liberté individuelle de ses habitants ne fait en réalité que se réduire, pour répondre à des impératifs financiers économiques et politiques. La quasi imposition du système « internet », par lequel s’effectuent les paiements des achats, remplace progressivement, l’utilisation des billets de banques. En sorte que la direction économique américaine prend le contrôle absolu du sujet et peux, déjà, autoriser ou pas « d’acheter et de vendre », selon son bon vouloir et son jugement. Déjà, en réponse à la demande des USA, les banques européennes imposent à leurs clients la déclaration soussignée d’une attestation fiscale individuelle. En cas de refus, les paiements ne seront plus effectués. L’invention du réseau de communication « Internet », d’usage militaire à son origine, a été utilisée par l’Amérique, comme un filet qui a attrapé tous les habitants de la terre. Maintenant, placés sous cette dépendance, elle peut obtenir d’eux tout ce qu’elle veut. Mais aujourd’hui cette dépendance ne concerne que les peuples de l’U.E. car les USA ne dominent pas encore l’ensemble de la planète Terre. Et on assiste à des séparations et des regroupements des camps que la Guerre Mondiale va bientôt opposer avec violences et terribles conséquences. Le consommateur est donc déjà devenu l’esclave des organismes financiers, et il ne peut plus leur résister. La nouvelle Atlantide organise ses principes et ses lois ; on obéit ou on crève.

Ainsi, le « fils prodigue » ukrainien de 2022, a été séduit à son tour par la norme américaine de la liberté, après les européens, premiers séduits, après la Seconde Guerre Mondiale. Dans la baie de New-York, la présence de la statue de ce nom, « Liberté », confirme son destin et sa vocation. Les uns après les autres, tous ceux qui se ressemblent finissent par se rassembler, non pas pour le meilleur, mais pour le pire affrontement final qui doit diminuer d’un « tiers » symbolique leur nombre, selon Apo.9:15.

En France, aux élections présidentielles, Dieu a trouvé bon de replacer la nation sous la présidence du jeune Emmanuel Macron élu, contre le choix français, pour une seconde fois parce que le choix opposé concernait, pour la deuxième fois, le « Front National » encore plus détesté, rebaptisé entre temps « Rassemblement National ». En fin de cette journée du 16 Mai 2022, le réputé arrogant, orgueilleux et ambitieux jeune homme, qui voit en chaque homme « un gaulois réfractaire », s’est assuré de ne pas être dominé, en choisissant, cette fois, pour premier ministre, une femme parmi les plus fidèles et inconditionnelles de son parti nommé « La République en Marche ». Avec ce parti politique, l’humanité est bien en marche, mais pas vers la réussite et le bonheur espérés.

Mais puisque le titre de cet article est la parabole du « fils prodigue », profitons de celle-ci pour relever les belles leçons données par Jésus-Christ. A cette fin, poursuivons l’étude des versets 14 et suivants.

Verset 14 : « Lorsqu'il eut tout dépensé, une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. »

Verset 15 : « Il alla se mettre au service d'un des habitants du pays, qui l'envoya dans ses champs garder les pourceaux.»

Verset 16 : « Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait. »

Verset 17 : « Étant rentré en lui-même, il se dit : Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! »

Dans cet exemple proposé par Jésus-Christ, la réflexion du fils prodigue est quelque peu opportuniste. C’est pourquoi nous devons donner au « pain » qui lui manque un sens purement spirituel selon que « l’homme doit vivre de toute parole sortie de la bouche de Dieu ».

Verset 18 : « Je me lèverai, j'irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, »

Le péché commis contre le père est, en premier, un péché commis contre le ciel.

Verset 19 : « je ne suis plus digne d'être appelé ton fils ; traite-moi comme l'un de tes mercenaires. »

Dieu nous donne un exemple de vraie repentance. Le fils reconnaît non seulement sa culpabilité mais aussi la légitimité de perdre ses droits de fils.

Verset 20 : « Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa. »

Dans le comportement de ce père, Dieu révèle son propre comportement envers le pécheur repentant. Son amour est aussi fort et grand que sa justice. Et sa longue patience envers les pécheurs témoigne de son exceptionnelle compassion.

Verset 21 : « Le fils lui dit : Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre toi, je ne suis plus digne d'être appelé ton fils. »

Verset 22 : « Mais le père dit à ses serviteurs : Apportez vite la plus belle robe, et l'en revêtez ; mettez-lui un anneau au doigt, et des souliers aux pieds. »

Pour le fils prodigue, la surprise est grande car voici que son père ne lui adresse aucun des reproches qu’il s’était adressé lui-même. En guise de reproche, il l’honore plus qu’un fils resté fidèle et digne.

Verset 23 : « Amenez le veau gras, et tuez-le. Mangeons et réjouissons-nous ; »

L’organisation d’un festin trouve son explication dans ces deux verbes « mangeons et réjouissons-nous ». La leçon sera exprimée à la fin du récit mais déjà ce verbe « réjouissons-nous » témoigne de la réjouissance éprouvée par le Père céleste ; une réjouissance causée par la repentance de ce fils qui semblait avoir été perdu.

Verset 24 : « car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir. »

Le principe est confirmé : retrouver ce qui était perdu, suscite une joie encore plus grande que ce qui est conservé de manière prolongée. Ceci nous apprend qu’une blessure guérie peut procurer plus de bonheur que le fait d’être bien portant.

Verset 25 : « Or, le fils aîné était dans les champs. Lorsqu'il revint et approcha de la maison, il entendit la musique et les danses. »

Verset 26 : « Il appela un des serviteurs, et lui demanda ce que c'était. »

Verset 27 : « Ce serviteur lui dit : Ton frère est de retour, et, parce qu'il l'a retrouvé en bonne santé, ton père a tué le veau gras. »

Verset 28 : « Il se mit en colère, et ne voulut pas entrer. Son père sortit, et le pria d'entrer. »

Verset 29 : « Mais il répondit à son père : Voici, il y a tant d'années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m'as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis. »

Verset 30 : « Et quand ton fils est arrivé, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées, c'est pour lui que tu as tué le veau gras ! »

Verset 31 : « Mon enfant, lui dit le père, tu es toujours avec moi, et tout ce que j'ai est à toi ; »

Verset 32 : « mais il fallait bien s'égayer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort et qu'il est revenu à la vie, parce qu'il était perdu et qu'il est retrouvé. »

Dans cette parabole, le comportement et le raisonnement du fils resté fidèle dans la maison du père n’a rien d’anormal et il ne peut qu’être étonné de voir tant d’honneurs donnés à celui qui s’était comporté de manière indigne. Dans cette leçon, Dieu nous fait découvrir le poids que l’amour a dans son jugement sur les humains. Cette leçon était particulièrement adaptée pour ouvrir les cœurs des juifs formés par la lettre de la loi. L’Ancienne alliance ne fonctionnait que sous la règle de la justice basée sur les ordonnances divines ; l’amour et la compassion n’y apparaissaient pas. Cette parabole préparait les cœurs des juifs pour la démonstration de l’amour incommensurable de Dieu pour ses créatures dont il connaît toute la faiblesse et l’attirance naturelle vers le péché. En Jésus-Christ, Dieu va pouvoir faire bénéficier du pardon et des honneurs, tous les pécheurs véritablement repentants ; ceci conformément à l’enseignement de cette parabole.

Dans le rôle du fils resté fidèle, Dieu désigne les Juifs de l’ancienne alliance enseignés par la loi depuis la sortie d’Egypte. Leur statut de fils aîné leur donne jusqu’à Jésus-Christ une priorité sur tous les autres hommes. C’est pourquoi, le Messie s’est présenté à Jérusalem qui l’a entendu parler et témoigner et néanmoins a fini par le faire crucifier sur la demande du clergé juif. Dans cette scène l’indignation du fils aîné va caractériser les juifs de l’ancienne alliance qui vont éprouver de la haine envers les élus de la nouvelle alliance sélectionnés parmi les païens. Car, pour ces juifs-là, cette revendication des païens de servir leur Dieu est intolérable et inacceptable. Ce que ne dit pas la parabole, c’est que cette incompréhension de la compassion divine accomplie en Jésus-Christ va leur coûter la perte de la vie éternelle que leur obéissance devait leur faire obtenir. Mais, le message a été donné tout de même, et Jésus l’a fait prophétiser par la bouche des juifs auxquels il a présenté sa parabole du « maître de la vigne et des vignerons » selon qu’il est écrit dans Matt.21:41: « Ils lui répondirent : Il fera périr misérablement ces misérables, et il affermera la vigne à d'autres vignerons, qui lui en donneront le produit au temps de la récolte. »

 

 

Liberté, Egalité, Fraternité … le mythe républicain

 

Aujourd’hui, le soldat du Christ que je suis, porte le fer contre ce mythe de l’utopie républicaine qui constitue l’antidote de la vraie foi.

Il est trompeur en ce sens qu’il allume la fausse espérance. Il crée l’illusion de l’image du bonheur, aussi je viens démonter et démontrer en quoi il constitue une véritable escroquerie qui séduit une majorité dans toute l’espèce humaine.

Il est vrai qu’ainsi rassemblées, ces trois qualités réunies peuvent faire rêver. Et si le résultat était obtenu, l’homme atteindrait un grand bonheur. Hélas comme toutes les idéologies conçues par les hommes pécheurs, celle-ci n’a pour fruit que le contraire de ce qu’elle prétendait offrir. La liberté se change en chaînes ; l’égalité en écarts abyssaux ; et la fraternité en luttes perpétuelles.

 

La liberté.

Avec la diversité qui crée de nombreux problèmes de coexistence, la liberté se rétrécie de plus en plus. Egalement, la liberté est une illusion trompeuse car la Bible nous dit dans 2 Pierre 2:19 : « ils leur promettent la liberté, quand ils sont eux-mêmes esclaves de la corruption, car chacun est esclave de ce qui a triomphé de lui. » Et à ce sujet, tout homme, séparé par son péché de Dieu, est esclave de son péché. La liberté qu’il utilise pour pécher masque une terrible condamnation divine ; c’est pourquoi, cette liberté est réellement trompeuse. Mais le pécheur impénitent se satisfait de cette condition et il utilise égoïstement sa liberté pour exploiter à son profit celle de son prochain. Et cette exploitation constitue une escroquerie pour les victimes du système. La liberté est encore très restreinte par les conditions de la vie moderne économique. La nourriture ne s’obtient qu’à prix d’argent, de même que le vêtement et l’habitation, ce toit indispensable pour trouver sur la terre un minimum de protection. Le développement des villes au détriment des campagnes a intensifié le problème. Le travail de la terre nourrissait beaucoup de gens qui dépendent aujourd’hui uniquement d’un salaire et de grands magasins pour satisfaire à leurs impérieux besoins. La liberté est encore illusoire en ce sens que chaque être humain obéit à sa nature héritée. Chacun est porteur de gènes hérités de ses familles ancestrales, et le blond aux yeux bleus ne sera jamais le brun aux yeux noirs. Et là se présente le problème des critères de beauté, celui des goûts et des couleurs dont chacun a sa propre conception, des choses qui ne se discutent pas. Or si elles ne se discutent pas, par contre, elles peuvent facilement engendrer des disputes et des conflits meurtriers.

L’égalité

La nature nous donne dès notre naissance une inégalité physique, et psychique. Mais bien sûr l’idéologie républicaine laisse à la science et la médecine chirurgicale le soin de pallier à ces choses. Elle prétend offrir aux hommes des droits égaux et s’efforce de combattre le fossé créé entre le riche et le pauvre, le bien portant et l’infirme. Louons ces efforts car ils sont défendables mais en dehors d’un principe idéal, quel est le résultat obtenu ? Le riche favorise son enrichissement et le pauvre traîne toujours son inséparable pauvreté. Ici, je relève une première incompatibilité entre les mots  « liberté » et « égalité », car c’est précisément à cause de la liberté que l’égalité est rendue impossible. Jésus n’a donné aux humains aucune fausse illusion car il a dit lui-même dans Matt.26:11 : « car vous avez toujours des pauvres avec vous, mais vous ne m'avez pas toujours » De même prophétisant les derniers jours, l’Esprit déclare dans Apo.13:16 : « Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, » Relève dans ce verset la présence de gens « libres » et de gens « esclaves » pour ces derniers jours de l’histoire terrestre humaine qui concernent notre époque et les huit années qui restent à s’accomplir. Il est clair que l’égalité restera pour tous un mythe, et ceci d’autant plus que la méchanceté des cœurs humains ne fait que croître dans le temps qui passe.

L’égalité des droits est encore un mirage présent dans le désert républicain car chacun peut constater que le riche achète le pouvoir, l’avocat performant très coûteux, et l’assentiment des juges corrompus. Aussi, est-ce pas sans raison que Jésus a déclaré, dans Luc 6:24 : « Mais, malheur à vous, riches, car vous avez votre consolation ! » Et Jac.5:1 confirme, disant : « A vous maintenant, riches ! Pleurez et gémissez, à cause des malheurs qui viendront sur vous. » L’égalité en matière de justice n’est donc pas obtenue mais la République offre à tous des chances égales, dit-elle. Mais les cerveaux sont-ils égaux pour obtenir les mêmes choses par les mêmes moyens ? Non, bien évidemment. Et le problème de la République est qu’elle a fait le choix de favoriser, parmi toutes les activités possibles et utiles, les êtres les plus instruits. Le diplôme fait toute la différence et la richesse qui, elle-même, achète le pouvoir. Ainsi la boucle infernale se referme et dans la démocratie républicaine s’installe une société dirigeante supérieure composée de gens riches et  hautement diplômés. Avec les années qui passent, cette situation reproduit la société des privilèges que la démocratie républicaine avait pour but de détruire. En France, la 5ème République a reproduit une société de privilège organisé sur un principe très ressemblant à celui de l’ancienne monarchie. Mais le critère de l’accès au pouvoir c’est maintenant, le savoir, le diplôme obtenu dans les hautes écoles formatrices de la nation. Ainsi, les gens politiques poussent leurs enfants dans cette voie politique et de père en fils, la nouvelle noblesse étatique se relaie aux commandes du pouvoir.

Le jeune Octave, neveu du dictateur César avait, comme son oncle, compris l’importance d’obtenir le soutien du peuple, la plèbe romaine. Or, pour obtenir le soutien populaire, la méthode est restée la même, il faut lui offrir la possibilité de s’amuser, de se distraire, et de repousser les limites des causes de plaisir individuels et collectifs. Le calme et la longue paix de 77 ans qui ont prévalu jusqu’à notre époque ont été obtenus par ces mêmes moyens. C’est dans la consommation des produits créés et continuellement renouvelés que les sociétés occidentales sont devenues pacifiques et dociles à souhait pour les classes dirigeantes. Pendant que les pauvres s’abrutissent devant les chaînes télévisées et dans les stades sportifs, ces classes dirigeantes organisent et créent leur enrichissement individuel et collectif. Depuis 1976, l’accueil des populations d’origine africaine, nord et sud, a placé en cohabitation des gens d’une totale inégalité. Les aspirations des uns ne sont pas partagées par les autres, mais tous ont en commun, le désir de s’enrichir. Car mis en contact direct avec les riches, les pauvres découvrent l’ampleur de leur pauvreté et certains sont prêts à tout pour obtenir la richesse convoitée. Ainsi, l’inégalité prépare les affrontements des gens inégaux dans la République française.

 

La fraternité

Il est difficile, pour ne pas dire, impossible, d’atteindre ce troisième but républicain, déjà à cause de l’échec des deux qualités étudiées précédemment. La fraternité dont la République parle, c’est celle de l’humanité globale. Or, il est bon de se souvenir que dès les premiers enfants d’Adam et Eve, l’aîné Caïn a tué par jalousie son jeune frère Abel. Et ce témoignage dit à lui seul que le rêve de la fraternité universelle restera perpétuellement un mythe irréalisable. Le mot fraternité rappelle que nous sommes frères mais les frères se disputent même s’ils ne se tuent pas toujours. Et lorsqu’en plus des héritages raciaux s’ajoutent les différences religieuses, la possibilité de l’entente fraternelle espérée disparaît complètement. Ce que certains tiennent pour sacré, d’autres l’estiment profane et sans justification. Et quand le sacré est attaqué par l’incrédule, la profanation devient cause d’affrontements guerriers mortels. L’incrédule ne peut pas comprendre l’indignation ressentie par le croyant. Le mélange ethnique consiste à mêler des produits hautement explosifs. Jésus-Christ avait dit dans Matt.28:19-20 : « Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. » L’ordre était bien de « faire des disciples de toutes les nations » mais pas de les mettre en esclavage, ni de les coloniser. Les premiers missionnaires apportèrent ainsi l’Evangile du salut mais derrière eux, les armées sont venues injustement soumettre les peuples restés jusque là libres. La colonisation a remplacé les missionnaires et les peuples libres ont été soumis à l’esclavage des conditions économiques occidentales. Même après la fin de la colonisation, ces peuples sont restés les esclaves de leurs nouveaux chefs d’Etats africains qui ont égoïstement gardé pour eux seuls les richesses exploitées par les anciens colons. En sorte que ces pays subissant les lois économiques ne pouvaient pas s’enrichir ni même faire participer les peuples aux produits de leur terre.  La négritude a été douloureusement marquée par le comble de l’inégalité : l’esclavage. Des files de noirs enchaînés étaient dirigées par les négriers musulmans du Niger vers leurs pays. Dans un second temps, les Portugais puis plus tard d’autres peuples européens ont fait de même et ils conduisaient les colonnes d’esclaves noirs vers les embarcadères des ports africains, parmi lesquels Ouidah au Bénin, où ils étaient chargés, comme du bétail, dans les cales des navires qui alimentaient le Brésil en travailleurs pour exploiter les champs des cannes à sucre, et plus tard, pour ramasser le coton dans le sud des Etats-Unis de l’Amérique du Nord.  Les noirs ont été ainsi marqués par deux expériences différentes selon qu’ils ont été conduits en esclavage en Occident ou qu’ils sont restés dans leur pays sous la colonisation. Mais, dans notre époque moderne, les prises de conscience favorisées par l’action médiatique ont créé le mélange de ces deux expériences et les noirs en retirent une leçon identique : le mal a été apporté par les blancs. Ce sont toutes ces injustices pratiquées devant Dieu et les hommes que Jésus-Christ exploite en notre temps de la fin, pour provoquer la haine et la guerre. Et elles ont toutes pour cause, une criante exploitation de l’inégalité naturelle qui caractérise l’humanité, selon la volonté de Dieu, depuis le commencement de son histoire. Si bien qu’à la fin la devise républicaine, liberté égalité fraternité s’applique à une société d’esclaves, inégaux, inamicaux et adversaires. Le pire est qu’avec l’union qui fait la force, cette force prend la forme d’une société dirigeante autoritaire proche du fascisme. Le droit de la pensée et de l’opinion individuelle est aujourd’hui combattu et poursuivi par les lois républicaines. Et de même que la capacité à supporter l’opposition s’affaiblira avec la frappe des fléaux de Dieu dans les derniers jours, la capacité à accepter les opinions individuelles diminue à cause des conflits et des menaces qui pèsent depuis le 24 Février 2022 sur les peuples de l’OTAN. Le fascisme est de retour et il a encore quelques beaux jours devant lui. Il semble que la fraternité ne soit reconnue qu’à ceux qui acceptent et légitiment les normes établies par ce nouveau fascisme collectif américain et européen ; le maître et son valet.

 

 

Entre les mains du Dieu Tout-Puissant

 

Quelque soit notre statut spirituel, nous, les êtres humains, sommes tous entre les mains du Dieu Tout-Puissant. Que nous soyons bénis par lui ou maudit par son jugement parfaitement juste et équitable, nous ne pouvons que subir l’accomplissement de sa volonté suprême inévitable et indestructible. Et cette situation concerne également tous les anges célestes, les bons restés fidèles et les méchants qui ont suivi Satan dans sa rébellion contre le Dieu créateur unique et Souverain.

Pendant longtemps et jusqu’à nos temps modernes, l’existence de Dieu était facilement admise par l’être humain normal ; ceci, jusqu’au point, qu’inspirés par les démons, ils ont servi des faux dieux ou les ont inventés eux-mêmes, car la vie témoigne de tant d’intelligence dans ses aspects visuels et ses fonctionnements que l’homme, témoin récepteur et bénéficiaire de ces choses, savait qu’il n’était pas lui-même l’auteur de cette création ; en conséquence de quoi, des intelligences cachées, plus puissantes que lui, devaient être à l’origine de ces constructions. Aussi, faut-il le relever, malgré leur ignorance du vrai Dieu créateur, ils faisaient preuves de plus d’intelligence que les humains agnostiques ou athées actuels qui se contentent, eux, d’imputer des constructions extrêmement complexes au hasard et à ce qu’ils appellent « la nature ». Ayant constaté que la hauteur du sol s’élevait avec le temps qui passe, ils en tirent la conclusion qu’il est possible de donner à la terre une existence de millions ou milliards d’années. Aussi, je pose cette question, d’où sont venues les couches de terres et de pierres qui recouvrent le noyau embrasé central de la Terre ? Et ce noyau, comment s’est-il formé ? Quel était le niveau du sol de la naissance de la terre ?

Heureusement pour nous qui avons la vraie foi, nous n’avons pas à attendre des hommes qu’ils apportent les réponses à ces légitimes questions. Les humains des temps modernes ont inventé la fiction, terme qui désigne ce qui est faux et uniquement imaginé par l’homme. Mais dans toute leur capacité imaginative, ils sont restés bien en deçà de la réalité ; car l’imagination humaine est limitée, alors que la vie créée par Dieu ne l’est que provisoirement dans sa forme actuelle. Au-dessus de toute fiction, Dieu est réellement illimité, et il lui suffit d’ordonner pour créer la vie ou la matière. Et après la fin de l’histoire terrestre, quand cessera le septième millénaire céleste, au renouvellement de toute chose, les élus rachetés par Jésus-Christ assisteront émerveillés à la puissance de leur Dieu créateur qui transformera, subitement, sur son ordre, la vieille terre chaotique en jardin d’Eden idyllique éternel.

Il est vrai qu’avec le temps et les intempéries, les pluies et les orages violents transportent des masses de terres et de boue qui viennent recouvrir des lieux déserts ou habités. Et il te faut comprendre que devant de tels fléaux, les humains baissaient les bras et ils s’adaptaient à la nouvelle situation imposée par l’impérieuse puissance des phénomènes naturels. Aujourd’hui, l’homme moderne dispose de puissants engins comme les bulldozers capables d’arracher patiemment une montagne entière. Ce n’était pas le cas autrefois, et les coulées de boue changeaient définitivement l’aspect du terrain. Le recouvrement de quelques mètres a donc une explication naturelle, mais les couches multiples de la terre n’en ont pas. Et les prétentieuses fausses théories enseignées par les scientifiques qui attribuent à la Terre une existence de milliards d’années ne sont apparues que pour détourner les êtres humains de la crainte due au Dieu créateur révélé par la Bible écrite elle-même par les témoins du peuple hébreu juif.

Pose-toi cette question : pourquoi ces scientifiques n’appliquent-ils pas leur intelligence pour chercher à comprendre les troublants et étonnants témoignages présentés dans la Bible ? Il y a pourtant dans ces révélations des choses interpellantes ; et déjà, l’existence de ce peuple Juif ? Leur intelligence est donc sélective, et seule, leur volonté individuelle et collective est en cause : ils font le choix de la science contre Dieu.

Ayant fait depuis ma naissance le choix contraire, car j’ai eu la chance bénie par Dieu, de naître dans une atmosphère religieuse due au zèle de mon oncle et ma tante du côté paternel, d’obédience protestante darbyste. Je n’ai jamais douté de l’existence de Dieu tout au long de ma vie, bien qu’ignorant pendant longtemps la forme réelle de sa vérité doctrinale. Je savais que la source de sa révélation était la Bible et rien que la Bible. Aussi, quand Dieu l’a trouvé bon, après des expériences terrestres cuisantes, à l’âge adulte j’ai lu et étudié entièrement la Bible, cette parole du Dieu vivant écrite pour ses élus.

Dirigé ensuite vers la foi adventiste, j’ai découvert les réponses aux incohérences que j’avais relevées dans la fausse foi chrétienne. Le rôle du sabbat fut déterminant et les bases des explications prophétiques m’ont totalement convaincu. Aussi, je suis maintenant consterné en voyant dans ce monde tant d’intelligence dévoyée, détournée du Dieu vivant, et mise au service de Satan et ses démons. Parallèlement, je mesure et apprécie chaque jour, et de plus en plus, la hauteur de mon privilège qui me conduit à comprendre la pensée cachée, bien que révélée, du Dieu créateur rédempteur. C’est vrai ! Jésus sauve ses élus par le sang versé sur la croix sur laquelle il s’est offert, volontairement, en sacrifice expiatoire, et cette action est l’unique base du salut proposé par Dieu. Mais pourquoi a-t-il fait preuve d’autant de générosité et de compassion ? Qui peut dire qu’il l’a fait pour que celui qu’il sauve soit autorisé à continuer de pécher, volontairement, contre les commandements et les ordonnances de Dieu ? Personne n’a bien sûr ce toupet arrogant, et pourtant, sans rien dire, c’est exactement ce que la fausse foi légitime et légalise par ses œuvres. Ainsi sa culpabilité concerne les témoignages de la nouvelle alliance, car c’est Paul qui déclare, dans Rom.6:1-2-12-15 : « Que dirons-nous donc ? Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde ? Loin de là ! Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché ? …/ … Que le péché ne règne donc point dans votre corps mortel, et n'obéissez pas à ses convoitises. …/…Quoi donc ! Pécherions-nous, parce que nous sommes, non sous la loi, mais sous la grâce ? Loin de là ! » Et au verset 23, Paul nous donne une bonne raison de ne plus pécher volontairement : « Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur. » Et cette « mort » sera d’autant plus méritée par les rebelles désobéissants, qu’en se réclamant de sa justice et de son salut, ils font de Jésus-Christ, lui-même, selon Gal.2:17, « le ministre du péché » soit, ils commettent de la sorte le pire affront qui puisse lui être fait : « Mais, tandis que nous cherchons à être justifié par Christ, si nous étions aussi nous-mêmes trouvés pécheurs, Christ serait-il un ministre du péché ? Loin de là ! ».

Il est très intéressant de relever que ce sujet du « péché », contre lequel Paul met en garde les élus du Christ, apparaît principalement dans la lettre qu’il adresse aux Romains. Car notre Occident chrétien actuel est la descendance de ces peuples soumis aux Romains qui composent aujourd’hui l’Union Européenne et ses extensions anglaises des USA et de l’Australie, mais aussi, la foi orthodoxe des pays de l’Est. En fait, ces mises en gardes de Paul les condamnent tous, puisqu’ils honorent tous l’odieux faux « jour du Seigneur » venu, le premier jour, remplacer le septième, sanctifié par Dieu depuis sa création du monde ; son saint sabbat. La colère divine qui vient contre ces nations rebelles n’est-elle pas ainsi justifiée ?

Depuis le premier jour de sa création par Dieu, l’homme, initialement façonné dans l’argile par les mains du Créateur, se trouve entre ses mains. Avant de lui donner l’aspect chair et os, Dieu l’a formé initialement comme le potier forme un vase d’argile sur un tour. Cette seule révélation fixe les limites du statut de l’homme envers le Dieu qui crée tout, construit tout, et projette le plan des choses qu’il va faire accomplir en leur temps. Je dois ici témoigner combien l’étude approfondie de ses prophéties bibliques a nourri ma foi et m’a fait découvrir le vrai repos de l’âme. Car le secret du vrai repos tient dans le fait d’obtenir des réponses sur le sens des choses et des événements que nous voyons se mettre en place, jour après jour, dans notre vie contemporaine. Alors que les savants cherchent les réponses dans leur époque, les élus du Christ, trouvent celles qui les éclairent, efficacement, dans l’étude du temps passé ; choses révélées dans les prophéties qui laissent froid et indifférent l’adepte de la fausse foi. Celle-ci a résumé la foi chrétienne à sa plus simple expression, en reprenant la réponse citée dans ces versets bibliques d’Actes 16:30-31 : « il les fit sortir, et dit : Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé ? Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille. » Mais pour comprendre cette courte réponse, nous devons porter toute notre attention sur les versets qui suivent et déjà le verset 32 : « Et ils lui annoncèrent la parole du Seigneur, ainsi qu'à tous ceux qui étaient dans sa maison. » Pour cette famille païenne qui vivait à Philippes en Macédoine, la conversion était réelle et sincère, et il ne lui fallut qu’entendre « la parole du Seigneur », pour être jugée digne du baptême administré ensuite. Mais cette conversion faisait d’elle des gens nouveaux dont la vie allait être changée et transformée par les valeurs divines auxquelles ils allaient désormais obéir. « La parole du Seigneur » leur a fait découvrir les commandements et les interdictions enseignés par Dieu. C’était la condition pour que le salut du Christ leur soit attribué. Et il en fut de même dans tous les temps, et jusqu’à notre époque.

La parole prophétique donne le repos de l’âme car elle nous offre la certitude qu’en dépit des apparences trompeuses, le monde entier reste cette argile que Dieu façonne pour sauver ou pour perdre. Dans ses prophéties, il n’a pas cessé de proclamer sa victoire finale sur tous ses ennemis, notamment, dans Esa.45:23 : « Je le jure par moi-même, la vérité sort de ma bouche et ma parole ne sera point révoquée : tout genou fléchira devant moi, toute langue jurera par moi. » Paul reprend ce verset dans Rom.14:11. Mais Dieu ne se contente pas d’annoncer sa victoire, car pour que ses élus soient aussi victorieux, dans ses révélations prophétiques, il leur révèle en portrait robot, par des symboles, l’identité de ses et de leurs ennemis. Et pour sortir vainqueur du combat de la foi cette condition est indispensable. A titre de principe, qui peut vaincre l’ennemi non identifié ? Personne, ni sur la terre, ni dans le ciel.

C’est pourquoi, connaître l’histoire complète de la foi chrétienne est aujourd’hui indispensable, pour comprendre la situation religieuse mondiale. Avant d’entrer dans la foi adventiste, j’avais demandé à un pasteur protestant des documents racontant l’histoire de la foi chrétienne. C’est ainsi que j’ai appris l’histoire des luttes opposant les catholiques aux protestants. Ensuite, par la foi adventiste, j’ai découvert le décret de Daniel 8:14, et j’ai ainsi pu comprendre que la foi protestante a été rejetée à son tour par Dieu, depuis le Printemps 1843. La parole prophétique m’a éclairé, façonné, en donnant à ma foi, des certitudes inespérées. Dans cette expérience, je comprends la justification de ces versets d’1 Cor.2:14 à 16 : « Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne. Car qui a connu la pensée du Seigneur, pour l'instruire ? Or nous, nous avons la pensée de Christ. »

Dans sa construction progressive de ses prophéties, Dieu a sagement permis à tous, l’interprétation de la base de cette construction. Les symboles sont facilement identifiés par des explications formulées clairement par le prophète Daniel. Il en est ainsi de la succession des empires païens dominateurs dans Daniel 2, Daniel 7 et Daniel 8. Mais les révélations concernant les temps chrétiens font appel à beaucoup plus de subtilité de sa part. Le secret de l’exceptionnelle compréhension de ces mystères qui m’a été donnée repose sur l’analyse de synthèse que j’ai faite en mettant en parallèle les enseignements entièrement décryptés qui concernaient, dans chaque chapitre, les mêmes périodes prophétisées sous des symboles différents. En rassemblant les enseignements jusque-là séparés, les portraits-robots furent réalisés par cette méthode basée sur la complémentarité des détails dispersés. C’est ainsi que l’identification romaine de la « petite corne » de Daniel 7 et celle de Daniel 8 a pu être obtenue de manière convaincante et confondante pour la foi catholique papale romaine. L’aspect initial mystérieux de cette construction prophétique devait permettre à la foi catholique d’accomplir son œuvre maléfique sans être confondue par une identification trop précise et irréfutable. De plus, l’Esprit divin a choisi l’époque de paix religieuse qui a succédé à la Révolution française pour diriger l’esprit de ses élus vers l’étude de ces prophéties spécialisées sur les temps chrétiens jusqu'au « temps de la fin ». Et son premier instrument humain fut l’Américain, William Miller. La construction du livre Apocalypse, qui signifie clairement Révélation, est construite sur les bases définies par le livre de Daniel, et parce que cette Apocalypse révèle encore plus de détails sur toute l’ère chrétienne, les subtilités divines y sont encore plus nombreuses, en sorte que le livre est apparemment incompréhensible ; ce qui écarte et décourage ainsi, avantageusement, les curieux mal inspirés et mal intentionnés.

Mon esprit a aujourd’hui été saisi par cette image du Dieu créateur qui tient toute chose entre ses mains. Et il continue perpétuellement à façonner les événements de la vie des hommes, en leur donnant la forme qui les a annoncés dans ses prophéties. Ces prophéties ne révèlent que l’essentiel, car ses élus découvrent au fil des jours des événements non prophétisés. Cependant, ils sont encore façonnés par le Dieu Tout-Puissant qui décide de leur accomplissement. Je vis en France, dans ce pays qui peut encore offrir aujourd’hui, le meilleur, que Dieu lui a apporté à Valence sur Rhône sous la forme de ses révélations prophétiques décryptées, et le pire, l’arrogance LGBT des pervers sexuels qui méprisent Dieu et la religion, ou la pratiquent sous ses plus odieuses et abominables formes. C’est là, le fruit final de l’héritage de l’athéisme national et des libres penseurs de ses cinq Républiques successives. Et logiquement, la dernière forme est la plus excessive et la plus endurcie. Mes cheveux gris et blancs témoignent d’une expérience attentive continuelle de l’histoire de France comprise entre la fin de la Deuxième Guerre Mondiale et notre époque. L’ouverture de mon esprit par les prophéties m’a permis de mieux comprendre comment Dieu a préparé les drames que nous subissons aujourd’hui. Car les desseins de Dieu se construisent sur des siècles et globalement sur sept millénaires. Aussi, celui qui méprise l’histoire passée n’a aucune chance de comprendre ce qui s’accomplit en son temps. Reprenant l’image du potier, la préparation du vase qui va être modelé et tourné commence par le ramassage de l’argile dans la nature. Il est ensuite travaillé, assoupli, et placé sur le tour. De la même manière, il a fallu les agressions des croisades chrétiennes contre les musulmans installés à Jérusalem pour obtenir une haine durable de l’islam contre le christianisme rebelle. Et cette haine réveillée et amplifiée prend la forme des agressions des musulmans intégristes guerriers contre les pays chrétiens occidentaux et contre les pays païens asiatiques. La religion est l’arme suprême que Dieu manie aux temps choisis par lui pour punir l’humanité rebelle. Le fanatisme religieux est beaucoup plus dangereux que l’esprit dominateur territorial qui a caractérisé les deux premières Guerres Mondiales. C’est pourquoi, ce fanatisme religieux va tenir dans cette Troisième Guerre Mondiale qui commence en Ukraine un rôle principal et il va être terriblement dévastateur et destructeur de vies humaines militaires et civiles. Dans ce conflit ukrainien, les quatre religions rejetées par Dieu prennent déjà part aux combats. Le protestantisme des USA, associé au catholicisme romain, européen, polonais et ukrainien, sans oublier les juifs, s’oppose à la Russie orthodoxe assistée par les tchétchènes musulmans. Et dans l’élargissement à venir de ce conflit, les alliés religieux viendront soutenir leurs coreligionnaires, en ouvrant ailleurs qu’en Ukraine des conflits locaux multiples. Mais la religion monothéiste ne sera pas seule à être concernée par cette guerre. En orient, l’Inde hindouiste affrontera le Pakistan musulman, la Chine combattra contre le Japon et l’Inde. La vision de cet avenir est facile à déterminer, car chacun de ces pays a son ennemi héréditaire potentiel identifié depuis la Deuxième Guerre Mondiale. Et pour hâter la destruction finale qui précède et prépare la fin du monde, Dieu réveille toutes ces vieilles haines et rancunes momentanément endormies.

Tu peux ainsi comprendre que, tous étant entre les mains de Dieu, le sort de ses ennemis est une cause désespérée. Mais ces mêmes mains divines protègent, jour après jour, ses élus, jusqu’à l’heure de leur enlèvement vers son royaume céleste où, selon sa promesse, Jésus leur a préparé une place pour une durée provisoire de « mille ans ». Ensuite, l’éternité sera vécue sur la terre régénérée, la « nouvelle terre ».

Celui qui façonne la vie de ses créatures a choisi de rester invisible. Et en cela, il révèle son exceptionnelle et unique sagesse que les anciens nommaient sapience. En effet, Dieu a pour but de sélectionner des élus pour l’accompagner dans l’éternité. Cette sélection exige une mise à l’épreuve de chacun de ces élus. C’est pourquoi, dans un premier temps, Dieu laisse ses créatures errer et commettre des péchés parce qu’il attend leur réaction et le résultat de leur expérience. Dans la pratique du péché, l’élu retire une souffrance qui le conduit à redouter le péché et le pousse vers la bonne conduite ; la voie de la repentance. A l’opposé, l’indigne du salut, trouve dans la pratique du péché une satisfaction. Il adopte alors le péché qui devient la norme de sa vie. Dans l’état de souffrance qu’il doit au péché, l’élu est mûr pour la conversion. Dieu peut alors se présenter dans sa vie et lui faire découvrir ses vérités salutaires. Tu peux relever le fait que dans ses enseignements en paraboles, Jésus a insisté sur le principe des effets dus au pardon de Dieu. Le pécheur repentant est le parfait modèle de l’élu aimé par le Tout-Puissant. Et Jésus a résumé cet enseignement en disant dans Luc 7:47, à propos de la femme adultère : « C'est pourquoi, je te le dis, ses nombreux péchés ont été pardonnés : car elle a beaucoup aimé. Mais celui à qui on pardonne peu aime peu. ». Et il a bien précisé : « Mais celui à qui on pardonne peu aime peu ». Et cette précision révèle la cause de son invisibilité, car si Dieu était visible, peu nombreux seraient ceux qui oseraient le défier et le contredire comme Satan a osé le faire, lui qui voyait et servait Dieu au commencement de son existence. Dieu s’est imposé six mille ans pour sélectionner les anges et les humains dignes de son éternité. Et six mille ans pour obtenir ce résultat, c’est déjà, même pour lui, très long. Car, pour sauver quelques millions d’âmes, il a dû supporter les exactions coupables insupportables de milliards d’autres qui se sont succédées sur la terre, ou se sont activées dans le ciel. La patience de Dieu est à la norme de son éternité, c'est-à-dire, énorme, mais pas infinie.

J’ai apporté là, une réponse à cette question souvent posée : « pourquoi Dieu se cache t-il, s’il existe ? ». Et je reprends cette image qui résume sa réponse : « parce que c’est quand le chat n’est pas là que les souris dansent ». Et rassurées par son invisibilité, les souris humaines ont bel et bien dansé de multiples manières se vautrant à souhait dans les péchés de chair et d’esprit, en sorte que Dieu peut, maintenant, décider de leur donner la mort, en leur appliquant, après la nation juive en l’an 70, le châtiment cité dans Ezé.14:21 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes,».

Le Maître potier forme les vases d’honneurs mais aussi, les vases créés pour la perdition. Les deux ont un rôle à remplir. Pour conduire les nations à leur perte ; dans nos derniers temps, il a placé au pouvoir beaucoup de jeunes hommes et de femmes qui séduisent et plaisent beaucoup aux populations. Celle-ci sont inconscientes du danger porté par ce choix, car bien qu’apparemment intelligentes et instruites, bardées de diplômes et formées dans de Hautes écoles, elles ont toutes en commun leur jeunesse et son inconvénient principal ignoré. Et la chose est d’une importance capitale que je souligne avec force et insistance : le jeune est inexpérimenté en sorte que tout lui semble possible, y compris ce qui est impossible. Car seule l’expérience de la vie forme chez l’homme l’aptitude à identifier le possible et l’impossible. C’est à cause de ce principe que dans la Bible, Dieu présente « les cheveux blancs comme étant une couronne d’honneur » à condition que ces « cheveux » aient « blanchi » en marchant dans « le chemin de justice » tracé par Jésus-Christ selon Pro.16:31 : « Les cheveux blancs sont une couronne d'honneur ; C'est dans le chemin de la justice qu'on la trouve. ». Et il faut comprendre, cette leçon donnée dans Job 32:7 à 9 : « Je disais en moi-même : les jours parleront, le grand nombre des années enseignera la sagesse. Mais en réalité, dans l'homme, c'est l'esprit, le souffle du Tout Puissant, qui donne l'intelligence ; ce n'est pas l'âge qui procure la sagesse, ce n'est pas la vieillesse qui rend capable de juger. » Aussi, confirmant cet avis inspiré par Dieu, nous voyons des vieillards aux cheveux blancs être séduits par une jeunesse arrogante et maladroite à laquelle toutes les fautes et les mauvais choix sont pardonnés. Ces cheveux blancs là manquent, visiblement, de la sagesse divine car ils soutiennent ceux qui préparent leur commune destruction. Mais ici, je dois apporter une explication pour ceux qui pourraient voir une injustice divine dans le fait que Dieu donne l’intelligence aux uns et pas aux autres. Dieu agit selon ces paroles de Jésus-Christ : « car on donnera à celui qui a et on ôtera ce qu’il a à celui qui n’a pas ». La chose donnée est l’intelligence de la sagesse. Les hommes sont, dès leur naissance, porteurs des mêmes possibilités de choix, mais c’est leur libre arbitre qui fixe leur choix selon leur personnalité. Ainsi, celui qui a déjà en lui, apprécié la sagesse, peut voir augmenter cette sagesse par Dieu. A l’opposé, celui qui méprise la sagesse, Dieu va réduire son intelligence et le priver de toute forme de sagesse. Et par cet apport ou ce retrait de sagesse et d’intelligence, Dieu montre qu’il façonne ses créatures comme le potier façonne l’argile sur son tour.

 

 

La « Tête à claques »

 

Cette expression désigne l’enfant désobéissant qui exaspère et rend « dingues » ses parents. Ils ne savent plus que faire, car ils ont tout essayé : la douceur, la réprimande, et finalement la correction charnelle. Et l’enfant braque son regard rebelle vers ses parents et leur décoche un : « même pas peur ! » Les parents s’interrogent : « Comment en est-on arrivé là ? » Mais aucune réponse ne vient, et ils ont l’impression d’avoir mis au monde un diable totalement insensible et indomptable. Cette expérience, c’est celle de milliers ou millions de couples qui vivent en Occident, principalement. Et la cause de ce problème, nous pouvons la trouver dans une succession d’événements qui se sont accomplis depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. J’ai déjà eu l’occasion de le dire, mais le commencement de cette dérive s’est produit aux USA. C’est là que le jeunisme est apparu dans une atmosphère de lutte raciale où se battaient les groupes claniques des communautés blanches, noires, et hispaniques, et particulièrement, les Portoricains. Cette violence urbaine prit la forme de films qui séduisirent la jeunesse européenne comme « la fureur de vivre ». A son tour, l’Europe vit sa jeunesse entrer dans la violence, le costume calqué sur le modèle américain était le blouson de cuir noir, les boots aux pieds ; le Jean pour pantalon, et la ceinture à clous pour le tenir. Les plus violents ajoutaient pour le combat, la chaîne à vélo, le coup de poing métallique américain et l’incontournable, couteau à cran d’arrêt à ouverture automatique. On a peine à croire que cette jeunesse des années 60 (1960) venait d’échapper au désastre de la Deuxième Guerre Mondiale avec ses 60 millions de morts. Mais l’aspect mental de cette jeunesse était prophétique car elle affichait l’image du temps de la fin, en lequel cette violence précède et favorise le développement de la Troisième Guerre Mondiale. Cette violence de 1960 se développait en parallèle avec la musique du Rock’n Roll (Balancer et rouler), une version brutale binaire du style Jazz créé par les noirs. Le succès remporté par ces nouveautés fut bien sûr dû à une intense activité démoniaque, mais aussi, aux inventions de cet instrument que je connais bien, la guitare, électrifiée et amplifiée à l’aide d’amplificateurs de plus en plus puissants. Le rythme et la puissance sonore formaient un cocktail explosif qui saisissait les foules et les faisait entrer en transes individuelles et collectives. L’usage des drogues est venu faciliter et renforcer les effets et c’est ainsi qu’un nouveau mal est venu depuis le monde nouveau s’étendre dans toute l’Europe.

Elu président en 1958, en France, le Général de Gaulle se heurta en 1968 à un soulèvement des jeunes étudiants. Une soif de liberté totale quasi anarchique est apparue dans la jeunesse et ils entrèrent en révolution, arrachant les pavés des rues et élevant des barricades, ils s’opposaient violemment aux CRS les groupes de sécurité républicains, protecteur de l’ordre et de l’Etat, en proclamant et affichant leurs slogans : « Il est interdit d’interdire », « Ni Dieu ni maître ». Dans les années 60, la jeunesse bénéficia du développement de la radio. Des radios privées diffusaient leur musique, leurs débats, répandaient leurs idées et de la sorte le fossé entre cette jeunesse et leurs aînés se creusa de plus en plus ; on parla alors « du mal des jeunes », « de la nouvelle vague », et les parents de plus en plus absorbés par les soucis professionnels baissèrent les bras et se laissèrent envahir et dominer par cette vague déferlante. Les jeunes ont profité du fait que plus que leurs parents, ils étaient séduits par les nouveautés créées par la technique. Et le système profitant de ces nouveaux clients très fidèles, le jeunisme a été de plus en plus privilégié.

Dans ces années 60 il s’est produit quelque chose de fondamental : l’esprit de contestation. Jusque là, la jeunesse était restée dans l’attachement à la famille, mais ensuite, la jeunesse s’est mise à contester toutes les valeurs familiales traditionnellement héritées. Les jeunes ne cherchaient que la compagnie d’autres jeunes et le fossé avec la famille se creusait toujours plus, au grand désespoir des parents. En France, les guerres coloniales engageaient des jeunes de plus en plus hostiles à la démarche. Dans leur soif de liberté, la colonisation n’était pas concevable. Aussi, après la guerre livrée à l’Algérie, les jeunes français firent bon accueil aux jeunes immigrés algériens, puis tunisiens et marocains. La génération « touche pas mon pote » se développait sous la présidence de Giscard d’Estaing et celle de François Mitterrand. Car une chose essentielle accompagna cette conquête de la jeunesse : le rejet de Dieu et de toute religion.

Dans ce changement de norme, les psys en tous genres ont tenu un rôle amplificateur extrêmement important, parce que déjà à cette époque, la science et ses gens diplômés faisaient autorité. Et ils ne trouvèrent rien de mieux à faire que de justifier les exigences de la jeunesse. Ils lui donnaient raison en toutes occasions. L’un d’eux, d’origine maghrébine, justifia leur violence en disant que c’était un signe de bonne santé… Mais d’autres attaquèrent le droit des parents à corriger charnellement l’enfant désobéissant, obtenant même son interdiction par la loi. De la part d’une société sans Dieu, il n’y a rien d’étonnant à la chose, mais contredire un conseil divin ne pouvait que produire à terme une situation ingérable. Car pour sa part, Dieu déclare, dans Pro.22:15 : « La folie est attachée au cœur de l'enfant ; la verge de la correction l'éloignera de lui. », dans Pro.23:13: « N'épargne pas la correction à l'enfant ; si tu le frappes de la verge, il ne mourra point. », et dans Pro.29:15 : « La verge et la correction donnent la sagesse, mais l'enfant livré à lui-même fait honte à sa mère. »

Aujourd’hui, le 24 Mai 2022, les enfants rebelles de 1968 sont écartés du pouvoir, remplacés par une nouvelle génération encore plus rebelle qu’eux. Les deux partis politiques principaux qui sous divers noms ont formé la France actuelle ont fini par être rejetés par le vote du peuple. Mais il n’a pas trouvé le remplaçant idéal n’ayant le choix qu’entre deux candidats détestés par la moitié de la nation. En fait, le problème, c’est moins les dirigeants que le peuple lui-même, car il est divisé en de multiples courants de pensées civiles et religieuses, universalistes et européistes ou nationalistes. En sorte qu’aucune majorité ne peut réussir à unifier la nation. Les choix purement politiques sont remplacés par des choix idéologiques beaucoup plus agressifs et incompatibles. Dans son jugement révélé sur Israël, avant de livrer Jérusalem à la destruction des armées du roi Nébucadnetsar, Dieu  avait pris l’image d’une houlette nommée « union » et il dit à son sujet dans Zac.11:14, qu’il la brisait : « Puis je brisai ma seconde houlette Union, pour rompre la fraternité entre Juda et Israël. » La même malédiction frappe aujourd’hui le peuple français et la discorde gauloise en témoigne.

En 2022, « la tête à claques » est partout, depuis la présidence jusqu’à l’électeur de base, indécis et perpétuel insatisfait. C’est le développement logique de l’humanité, qui veut que le mal non soigné finit par corrompre le corps entier, qui explique ce désolant constat. Hélas pour l’humanité, la loi interdit « les claques », un électeur a voulu en appliquer une au président Macron qui le lui a fait payer cher. Cependant, beaucoup de gens en ont éprouvé une secrète satisfaction, car l’arrogance ne favorise pas le soutien ni l’appréciation. Et comment ne recevrait-il pas le bâton quand sa conception du verbe gouverner consiste à, je cite ses propos qui visent ses contradicteurs, « des Gaulois réfractaires » : « je vais les emmerder ». La politique des derniers jours a bien changé, et les dialogues échangés sont durs et insolents, et même, orduriers. La communication sur les réseaux sociaux y est pour quelque chose. Car c’est sur le « Net » que, dans l’anonymat, des contacts séducteurs et menteurs ont été établis. Les escrocs en raffolent, et les âmes esseulées viennent y chercher l’âme sœur. Mais les paroles s’affichent et se répandent avec toutes les conséquences bonnes et mauvaises qu’elles peuvent porter. Après les normes de la vie, la parole à son tour s’est libérée. Et la pire conséquence a été portée, le 7 Janvier 2015, par les dessinateurs humoristes de « Charlie Hebdo » dont l’humour sacrilège n’a pas été supporté par les musulmans intégristes guerriers. Après ce massacre, voulant justifier des images dont l’une était pour le moins scabreuse, le professeur d’histoire Samuel Paty s’est fait décapité, en pleine rue, dès sa sortie du collège où il enseignait. Une leçon devrait en être tirée, celle de ce dicton : « la parole est d’argent, mais le silence est d’or ». Mais les dictons et les proverbes n’enseignent que les sages, pas les « têtes à claques ». Les défenseurs de l’islam ont prouvé et prouveront encore que les têtes de leurs ennemis ne reçoivent pas des claques…elles tombent. Et c’est là que l’enfant du Seigneur Jésus-Christ doit comprendre que, faute de repentance de la part des pécheurs occidentaux, c’est lui, l’amour et la justice incarnés, qui ordonne les actions et les massacres accomplis par ces adorateurs belliqueux de Mahomet.

Le grand Dieu séparateur exploite les séparations, et leurs causes sont si nombreuses, qu’il ne manque pas de choix, sur toute la terre, pour quelques années encore, habitée.

L’actualité américaine du 24 Mai 2022 nous offre un exemple type de sa version de la « tête à claques ». Âgé de 18 ans, Salvador Ramos armé et traqué par la police, entre dans une école et tue 19 enfants et deux adultes. Et une fois de plus cet événement survenu à Uvalde dans l’Etat du Texas soulève le problème de l’autorisation donnée au peuple de détenir des armes. Ce fait nous renvoie à l’origine de l’installation des blancs européens sur des terres hostiles peuplées par les vrais et authentiques « américains » faussement appelés les Indiens. Ce peuple envahisseur venu d’Europe, principalement, était composé de gens sans scrupule, avides de richesses et d’autres venaient simplement trouver une terre nourricière. Dès le début, la violence a caractérisé ce pays. De plus en plus nombreux, les blancs ont décimé les « peaux-rouges », et les bandits dévalisaient les voyageurs, disparaissant après leurs forfaits dans l’immense « Far West », (Lointain Ouest). L’invention de l’arme à feu a facilité le moyen de donner la mort. Le tir à distance est plus facile que le combat rapproché. L’Amérique s’est dotée de lois et de tribunaux et la société populaire a été ainsi un peu épargnée. Mais ce pays mérite bien son nom car il porte en lui « l’amertume ». Il bat tous les records mondiaux sur le plan de l’insécurité et sur les statistiques des meurtres crapuleux. Accuser la possession des armes est le plus facile, mais les censeurs n’ont pas d’autre choix. En fait, ils ignorent tous que leur pays est frappé par la malédiction de Dieu d’une manière spécifique depuis le printemps 1843. Les jeunes tueurs d’enfants sont considérés comme les victimes de maladies psychiques et mentales ; alors qu’il s’agit simplement des fruits portés par des gens possédés par les démons que Dieu libère progressivement. Les psychiatres s’entêtent à ignorer cette existence des esprits célestes séparés de Dieu, et à défaut, ils imputent les actions constatées à des maladies. Le problème n’est pas l’arme mais bien « la tête à claques » qui la possède et l’utilise, pour faire le plus de mal possible. Or, cette volonté de faire du mal aux êtres humains est dans la pensée des démons haineux qui ont Satan pour chef. Comme l’indique Apo.12:12, depuis la victoire de Jésus-Christ, ils savent qu’ils ont « peu de temps », étant à terme, condamnés à mourir. Ce fruit qui crée la souffrance et la tristesse témoigne combien le mépris pour Dieu et ses valeurs est dommageable. Mais, l’élu éclairé, n’est pas trompé par les interprétations des sans Dieu. Car, la prophétie l’a prévenu au sujet du destin funeste et maléfique des USA séducteurs. La prochaine destruction de la puissante Russie et ses alliés lui permettra d’accomplir, contre Dieu et ses élus fidèles, son dernier combat spirituel universel qu’Apo.16:16 nomme « Harmaguéddon ». Elle l’accomplira au titre de « la bête qui monte de la terre », citée et développée dans Apo.13:11 à 18.

Ainsi, faute d’avoir reçu au temps favorable les « claques » ou les « coups de verges » mérités, « la tête à claques », modèle américain et plus rarement européen, termine sa vie, en abominable tueur d’enfants et d’adultes. Mais d’autres versions de « têtes à claques » existent dans tous les pays de la terre. Elles sont les fruits de la malédiction divine universelle ; armées ou pas. Dans les pays où l’accès aux armes à feu est prohibé ou rendu difficile, le couteau les remplace. Et on y meurt, également, à cause de la méchanceté et de l’esprit violent répandus sur toute la Terre.

C’est la technologie américaine qui diffuse sur toute la terre son savoir qui est à l’origine du développement énorme des jeux vidéo. Des êtres humains de tous âges, passent des heures sur ces jeux où ils se livrent à des combats virtuels. Le but est de « tuer », faire « exploser » les cibles humaines adversaires. Ces jeux prennent tant les esprits de ces joueurs qu’ils prennent possession de leurs esprits en sorte qu’au final, se crée en eux une confusion entre le réel et le virtuel… Danger…Danger…Danger…pour ces joueurs et la société humaine entière.  Car cette Amérique a été prise pour modèle par toutes les nations occidentales et on retrouve chez elles ces mêmes valeurs pour la réussite, le défit, la bagarre et le goût pour les jeux d’argent de hasard. Souviens-toi qu’au Texas et dans tout le « Far West », de nombreux hommes sont morts, simplement pour défier un tireur réputé très rapide. Aujourd’hui les défis se prolongent dans les tribunaux, et ils opposent de puissants intérêts financiers. Les défis armés restent une spécialité du petit peuple toujours en lutte pour s’opposer à une autre communauté. En fait, le temps a passé, les voitures ont remplacé les chevaux, mais rien a changé aux USA, l’état d’esprit des hommes est resté le même.

 

 

Nier l’existence de Dieu à tout prix

 

Voulant rester dans son image de société tolérante idéale, la République ne persécute pas les religions. Officiellement, tout européen peut librement pratiquer la religion héritée par ses origines. La République ne fait aucune différence entre les religions monothéistes et les polythéistes. Elle gère le pays de France d’une manière strictement laïque. Cependant sa préférence va à l’agnosticisme et l’athéisme. Cette apparente tolérance cache en fait une farouche lutte qui a pour but de détruire la croyance en Dieu. Les émissions religieuses autorisées ne présentent que les témoignages des cinq pensées religieuses principales : en tête, dans la matinée du faux « jour du Seigneur », la foi catholique romaine, la foi protestante, la foi orthodoxe, et la religion juive, et le dernier arrivé, l’islam. Ils disposent ainsi d’un petit moment favorisant leur propagande chaque « dimanche » matin. Mais, le reste du temps est dévoué aux raisonnements tumultueux des sans Dieu, politiques, médiatiques. En France, on parle beaucoup, en vérité, pour rien dire, mais ces discussions donnent à certains l’illusion de leur utilité ; les ambitieux et les orgueilleux sont flattés et honorés. Les Musulmans exceptés, dans sa presque totalité, le peuple de France d’origine chrétienne ne parle pas de Dieu, ni ne pense à lui. Et tout est fait pour qu’il en soit ainsi.

L’exemple de la « Guerre des Balkans » démontre ce fait efficacement. Dans l’ex-Yougoslavie, après la mort du Maréchal Tito qui l’avait unifiée, des conflits ont séparé les ethnies qui la composaient. Il y avait la Serbie orthodoxe, la Croatie catholique, et la Bosnie musulmane. Or en dépit de ces religions différentes concernées, les commentateurs politiques et médiatiques ne voulaient pas entendre parler de conflits religieux. De vieilles haines, strictement religieuses, qui avaient déjà fait se combattre les Oustachis (Soldats) Croates catholiques contre les Serbes orthodoxes pendant la Seconde Guerre Mondiale, se sont renouvelées après avoir cohabité, en tant que Yougoslaves, dans la paix. Mais, non ! Pour les politiques et les journalistes, le problème n’était pas religieux. Une telle négation de l’évidence a forcément une justification. Et oui ! Il y a bien une explication que je présente ici : La laïcité ne peut fonctionner que si le peuple reste laïc. Et pour qu’il reste laïc, il faut l’empêcher de croire à l’existence de Dieu. Or, reconnaître le caractère religieux d’une guerre peut favoriser le regard vers le Dieu invisible, car pour lui, le but des guerres est précisément de plonger l’homme dans la détresse, afin que dans le malheur, il se mette à réfléchir sur les causes des drames qui le frappent. Il est écrit dans Ecc.7:14 : « au temps du bonheur, réjouis-toi, au temps du malheur, réfléchis ». Dieu sait très bien que quand le sol se dérobe sous ses pieds, l’être humain se met soudain à croire à l’existence de Dieu, et souvent, même en vain, dans sa situation désespérée, il en appel à lui. Voici donc pourquoi, la République redoute d’avoir à évoquer le sujet religieux. Et il n’y a pas que dans le cas des guerres qu’elle agit ainsi. Elle fait de même pour chaque attentat terroriste perpétré par l’islam guerrier. Les premiers commentateurs suggèrent quand c’est possible, l’action d’un déséquilibré, un fou, un fanatique. La responsabilité religieuse est ainsi souvent écartée. A Toulouse, pour la même raison, un attentat porté contre l’usine AZF a été interprété par décision du président et du gouvernement transmise par le préfet du lieu comme un accident imputé à la direction de l’usine. Ceci en dépit du témoignage des RG, les Renseignements Généraux dissouts plus tard par le président Sarkozy. Le soutien de la laïcité nécessite le mensonge d’Etat et la désinformation médiatique de manière permanente.

La Guerre ouverte en Ukraine est encore un exemple. Les médias ne voient principalement que l’affrontement des deux nationalismes ukrainien et russe. Des témoins ont néanmoins confirmé que les deux belligérants avaient des pratiques religieuses différentes. Mais ils n’ont pas présenté ces choix religieux comme causes principales de l’affrontement. Et c’est bien dommage, parce que les choix religieux sont la cause de l’empêchement de l’unité. Dans le cas de l’Ukraine, c’est bien un choix religieux qui explique pourquoi les Russes ukrainiens s’opposent  aux Russes de Moscou. Ils ont fait sécession et ont cessé de reconnaître pour chef spirituel le pope Kirill de Moscou ; ainsi la cause de l’adversité est fondamentalement religieuse. De plus, à l’Ouest de l’Ukraine se trouvent des Ukrainiens, de religion catholique, apparentés à la Pologne catholique frontalière et il y a aussi des communautés juives dispersées dans toute l’Ukraine.

Pour survivre aux querelles religieuses, la laïcité est contrainte de mentir aux populations. Mais tout n’est pas mensonge, car il est facile de diriger les pensées humaines vers les éléments non religieux, comme le caractère du président russe que Dieu manipule comme il l’a révélé dans Ezé.38.

Je n’entends sur les plateaux des télévisions spécialisées dans l’information continue que de la désinformation. D’anciens généraux y vont de leurs commentaires mais leurs vieilles expériences sont complètement dépassées par la situation de cette Guerre contemporaine. De minuscules « drones » favorisent la destruction, des navires, des hélicoptères, des chars et des canons, si bien que l’image donnée est celle de David avec sa fronde qui tua net d’une seule pierre le géant philistin Goliath. Sauf que, dans cette guerre, il n’y a, ni David, ni Goliath, mais deux pays décidés à vaincre l’adversaire, et Dieu ne bénit pas plus l’un que l’autre, et bien qu’ignoré par les commentateurs, c’est lui qui a construit les causes de cet affrontement. Mais je le rappelle, son projet destructeur vise l’Europe, cette vieille ennemie qui a honoré le catholicisme, religion mensongère qui a persécuté ses prophètes et ses élus : comme avant elle, la nation juive coupable et rebelle l’avait fait en son temps.

Les yeux des hommes leurs sont un piège et la cause divine invisible est bien défavorisée. Pourtant, Dieu ne va pas changer cette situation car pour lui, il n’est pas question de « contraindre » des rebelles à reconnaître son existence. Ce que le simple bon sens devait créer lui suffit. Qu’il croie en Dieu ou pas, peu lui importe, l’homme insensé meurt tout comme le faux croyant. Aux yeux de Dieu, seuls ses élus rachetés par la vraie foi comptent. Les sentiments et les jugements de ceux qui le méprisent finissent par retomber sur leurs propres têtes.

Ces explications te permettent de mieux comprendre pourquoi les politiciens républicains évitent d’évoquer le thème de la religion, et jusqu’à leur dernier souffle, ils persévèreront dans cette démarche. Pour eux, moins on parle de Dieu, mieux la laïcité se porte.

 

Ce facteur « temps » qui change tout

 

Le temps présente un problème pour l’humanité parce qu’il engendre des conséquences progressives qui grossissent si lentement qu’elles passent inaperçues. Les scientifiques ont néanmoins bien conscience de ce principe depuis qu’ils se sont livrés à l’expérience de la grenouille plongée dans un bain progressivement chauffé jusqu’à bouillir : elle meurt sans réagir à la chaleur parce que celle-ci augmente de manière progressive. Comme le montre le sort final de cette grenouille, ce principe porte des conséquences mortelles. Dans le domaine de l’économie, les humains savent faire des calculs sur la projection dans le temps. Hélas pour eux, cette précaution devient vaine, en raison des brusques changements apportés par les crises et les guerres. L’actualité mondiale témoigne chaque jour des bouleversements qui remettent en cause, les projets de paix et de prospérité des peuples, des royaumes, et des nations.

On a dit de l’or, qu’il était la valeur refuge et ceci à cause de la stabilité qu’il offrait aux économistes mondiaux. Le choix de « l’or » était d’autant plus judicieux qu’il symbolise pour Dieu, « la foi purifiée par l’épreuve », dans 1 Pierre 1:7 : « afin que l'épreuve de votre foi, plus précieuse que l'or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l'honneur, lorsque Jésus Christ apparaîtra, »  Le Dollar américain qui l’a remplacé est, à l’opposé de l’or, le gage de l’instabilité. Et ce remplacement constitue un signe révélateur du statut spirituel de l’Amérique qui place son Dollar, le nouveau Mammon, à la place de la vraie foi qu’elle ne produit plus. Et il constitue le gage de l’instabilité, tout simplement, parce que sa valeur réelle dépend de la bonne santé de l’économie américaine. Quand ce pays diminue en richesse, son Dollar est surévalué. Et il suffit alors d’une panique boursière pour que toutes les valeurs monétaires s’écroulent et se mettent à fluctuer. L’Amérique tire sa richesse de l’exploitation de son sous-sol, de ses grandes entreprises, et des placements financiers mondiaux dont les fameux « fonds de pensions » qui, prêtés à taux d’usure, financent les retraites des ouvriers et des employés américains, les retraites de tous ses travailleurs. Ainsi, avec le temps qui passe, les changements de situation provoquent des crises et les fluctuations monétaires depuis le Dollar lui-même. Mais étant l’étalon monétaire, il est protégé et on n’y touche pas ; malgré ses inconvénients.

En comparaison, la foi en Christ, la vraie, est une valeur sûre qui ne fluctue pas dans le temps. Celui qui l’évalue est éternel et il a fixé sa valeur dès la fondation du monde ; les livres de la Bible en témoignent. La foi catholique romaine, instaurée en 538 et reposant sur la base doctrinale imposée par l’empereur païen romain Constantin 1er, n’a jamais eu de valeur pour Dieu et la grande et longue histoire de cette première forme de la foi chrétienne, qui a concerné la France, n’a donc été pour Dieu qu’une longue mise en scène trompeuse dirigée par le diable. Son travail était facilité par l’indisponibilité des écrits bibliques, gardés par les moines scribes dans les monastères. Après l’église catholique, la foi protestante est l’image type d’une valeur monétaire provisoire dont la bonne évaluation devait cesser à partir de 1843, date où l’exigence doctrinale parfaite par Dieu lui a retiré sa valeur qui ne concerna plus que la foi adventiste. Ce petit et rapide survol du temps témoigne ainsi que pure et parfaite aux temps des apôtres, avec le temps, successivement, la foi perdit sa valeur, puis la retrouva en partie, et en entier en 1843. Mais le constat ainsi relevé montre que le nombre des vrais élus de Jésus-Christ, est tout le long de l’histoire, la norme d’un petit « reste ».

Dans l’histoire de France accomplie depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, le facteur temps a encore eu de graves conséquences. L’histoire de la 5ème République est celle de notre « grenouille », cet animal impur, de couleur verte, auquel le théâtre humoristique politique satyrique télévisé du « Bébête Show » avait attaché le président de la France, François Mitterrand. C’est en effet, l’arrivée au pouvoir de ce président socialiste en 1981 qui apporta à la France un énorme changement. Il instaura une norme humaniste arborant l’image de « la rose », ce symbole floral de l’amour. Il répondit ainsi aux souhaits et exigences de la jeunesse entrée en effervescence. Un vieux « sage » donna ainsi pouvoir et autorité aux jeunes « fous ». Il n’imaginait pas où cette démarche allait conduire le pays tout entier. Car le jeunisme dévore la main tendue, puis le bras et jusqu’au corps tout entier, ensuite il se dévore lui-même.

Le facteur temps a agi contre la France depuis 1976 où elle a autorisé le regroupement des familles de ses travailleurs immigrés venus, principalement, d’Algérie, de la Tunisie, et du Maroc. En 1976, en petite minorité, cette immigration, c’est l’eau froide dans laquelle notre « grenouille » française est placée. Mais cette minorité va croître et s’accroître au point de devenir une composante exigeante du peuple français. Ici, la comparaison avec la « grenouille » atteint sa forme finale, car l’eau froide est devenue bouillante, et elle brûle et tue la « grenouille » française. Entre le commencement et la fin de l’immigration rattachée à notre année 2022, 66 années se sont écoulées, au cours desquelles, des heurts fréquents permettaient de prévoir la situation finale.

Le parti socialiste a voulu incarner un humanisme parfait, irréprochable, parce que le passé colonialiste de la France pesait sur les consciences. C’est pourquoi, pour racheter cette faute, il a fait preuve d’une grande indulgence envers les méfaits accomplis par des ressortissants de cette immigration. Il a, lui-même, favorisé la lutte contre la haine raciale, jusqu’à ce que cette lutte se renverse et change de camp. Mais, quand les derniers fruits apparaissent, il est déjà trop tard. Trop tard, pour des dirigeants orgueilleux pour reconnaître leurs erreurs, trop tard pour retirer à SOS Racisme les droits qui lui ont été donnés. Car incontestablement, le socialisme coupé de Dieu a voulu gagner l’amour des étrangers en pratiquant l’injustice. Car l’indulgence démontrée envers eux n’affichait qu’une faiblesse incitant à obtenir encore plus. Le bon comportement envers l’étranger est d’appliquer envers lui, les lois qui punissent et récompensent les citoyens originaires du pays, ni plus, ni moins. Et les premiers signes de rébellion et de mauvais comportement auraient dû être punis sévèrement, et de manière connue, afin de donner un exemple dissuasif adressés à tous les étrangers accueillis sur le sol de la France.

La leçon à retenir est la suivante : l’islam minoritaire se fait discret et docile, mais quand il devient majoritaire, il change et devient agressif, exigeant, et contraignant, et finit par exiger l’application de la « charia », les règles établies dans le Coran et l’héritage coutumier. En Europe, la pratique du prosélytisme religieux est interdite, et jusque là, les faux chrétiens ont respecté cette interdiction. Mais l’islam, comme la foi chrétienne, a une vocation à faire des prosélytes et à convertir l’infidèle à la religion de Mahomet, et ils ont déjà prouvé que les décisions des infidèles n’avaient aucun effet sur eux. C’est pourquoi le combat de la laïcité gagné sur les chrétiens est remis en cause avec l’islam, beaucoup moins docile et terriblement plus belliqueux.

Cette expérience vécue par notre pays condamne la vie sans Dieu et elle exalte la gloire de sa parfaite justice. Car, Dieu ne change pas son jugement. Il ne l’adapte pas en fonction du sujet jugé. La même loi, les mêmes règles, sont imposés à tous, élus et déchus.

Sur les chaines télévisées françaises « Tf1 et LCI », une interview exclusive, accordée par le ministre russe Sergueï LAVROV, a été présentée. Il a exprimé tout ce que la Russie a retenu du comportement du camp occidental de l’OTAN depuis 1945. Il a dénoncé, les constantes et successives violations des accords passés à cette époque. Je ne suis pas russe, mais j’ai moi-même relevé ces mêmes violations et entreprises arrogantes réalisées par le camp occidental placé sous l’influence américaine. Je les avais constatées et condamnées, chacune en son temps. Je n’ai entendu sortir de la bouche du représentant russe que l’évocation de faits confirmés par l’histoire. Ainsi, avec le facteur temps, l’eau froide russe du début est devenue chaude prête à bouillir. Mais les auteurs de ces forfaits confessant quelques fois en partie la vérité historique, accusent néanmoins la Russie de mentir. Ils montrent ainsi combien, entre eux et le sens de la vérité, s’est constitué un abîme infranchissable. Et le dicton est encore confirmé : « Qui veut tuer son chien l’accuse de la rage ». En bons et insensés humanistes, ils croient que leur devoir est de soutenir le plus faible contre le plus fort, le pauvre contre le riche, mais même dans cette démarche, ils sont dans une entière incohérence, parce qu’ils soutiennent au sujet de l’Ukraine, toutes les valeurs nationalistes et autres, qu’ils condamnent et contre lesquelles ils luttent en France et dans les pays européens. Le pauvre est-il défendu contre le riche, en Europe et aux USA, ce fief du capitalisme et du Commerce Mondial ? Selon ces personnes, V.Poutine fait du chantage, mais les sanctions européennes et américaines et la fourniture d’armes aux Ukrainiens, que sont-elles, sinon du chantage économique et militaire fait à la Russie ? La pauvre n’a pas forcément raison contre le riche et Dieu peut justifier un riche et condamner un pauvre s’il le mérite. La justice, la vraie, ne repose pas sur des postulats ou des aprioris.  Elle condamne les mauvaises actions et justifie les bonnes. Les bouleversements créés par des réveils nationalistes tumultueux ont souvent été à l’origine de guerres effroyables. Notre Europe s’est construite sur des choses semblables et notre France y a tenu un rôle très important. Mais l’unification de la France est un acquis très superficiel. La France actuelle est le produit d’un rassemblement de régions originairement indépendantes. Comment justifier, « en même temps », selon la formule macronienne, le soutien au nationalisme ukrainien et le refus du nationalisme aux Corses ?

Le méchant a tendu lui-même les filets dans lesquels il finit par être pris. C’est la conséquence des comportements injustes qui, voulant être plus justes que Dieu, sombrent dans la contradiction et la confusion dont « Babel » fut le signe précurseur prophétique.

Maintenant que ces vérités sont dites, n’oublions pas cette exhortation de Jésus-Christ qui nous dit, dans Rom.12:18, par la bouche de Paul : « S'il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. » Nous ne pouvons pas obliger les insensés à nous aimer et à approuver ce que nous approuvons. Aussi profitons des sages conseils écris par le roi Salomon dont ceux de Pro.23:9 : « Ne parle pas aux oreilles de l'insensé, car il méprise la sagesse de tes discours. » Et il y a aussi ces deux versets, d’apparence seulement, contradictoires, de Pro.26:4-5 : « Ne réponds pas à l'insensé selon sa folie, de peur que tu ne lui ressembles toi-même. Réponds à l'insensé selon sa folie, afin qu'il ne se regarde pas comme sage. » En fait, ce que l’Esprit nous dit, c’est de témoigner de ce qui est vrai, mais de ne pas insister, inutilement, avec celui ou celle qui ne partage pas notre avis. La vérité ne s’impose pas aux insensés, et notre connaissance du projet divin ne nous a pas été donnée pour renverser la situation spirituelle établie par les nations de la terre. Les méchants incrédules et incroyants ont construit, eux-mêmes, par leur impiété, la situation dramatique qui vient retomber, aujourd’hui et jusqu’au printemps 2030, sur leurs têtes, sous diverses formes.

Le facteur temps réserve aux peuples de la terre encore beaucoup de surprises désagréables. Et en France, ce samedi 28 Mai, dans le temple païen du stade de France installé à Saint-Denis, s’est produit un fiasco terrible pour la France. En raison de l’utilisation de faux billets imprimés, les possesseurs de billets authentiques ont été privés du match de la saison. Ce problème souligne l’extrême cupidité qui caractérise le développement du football dans l’Europe Occidentale. Les malversations et escroqueries mises en cause résultent du prix atteint dans la vente des billets, 70 € à 690 € par place mais revendus sur les bourses d’échanges spécialisées et au marché noir jusqu’à 5000€. L’escroquerie en cause révèle une iniquité qui passait jusque là inaperçue. Mais combien est scandaleux pour ceux qui dans le monde peinent à se nourrir pour vivre, ce comble de l’opulence outrancière ! C’est le fruit d’une idolâtrie qui condamne devant Dieu toute cette société. Dans le tumulte et le désordre créés, la police de sécurité est intervenue et le pire a été ainsi évité. Mais profitant de la situation, des voyous ou racailles ont agressé les supporters anglais et les ont dévalisés. Et cette action montre jusqu’où la cupidité peut conduire l’humanité soit, au pillage. Celui-ci conduit par l’immigration étrangère indomptée et indomptable, et des visiteurs étrangers, s’accomplit juste après l’élection du président Macron. Mais juste avant les élections législatives, or ces actions de pillage viennent confirmer les risques dénoncés par les partis nationalistes de la Droite française. Nous assistons ainsi à un nouveau degré d’élévation de l’expression de la haine éprouvée envers la France, par les immigrés venus de l’Afrique entière. Et cette haine ne fera que croître avec le facteur temps. La France s’est ainsi couverte de honte devant les téléspectateurs du monde entier ; un discrédit porté par son jeune président momentanément placé comme chef de l’Europe.

Le facteur temps est vu très différemment selon que la foi est présente ou pas dans l’être humain qui l’analyse. Pour l’humain sans foi, ce que le passé a construit est un acquis. Et il donne à cet acquis la possibilité de se prolonger dans le temps qui vient. C’est par ce principe, que les peuples occidentaux bénéficiaires de 77 années de paix, ont pensé avoir atteint un niveau de culture et d’expérience qui pouvait garantir la prolongation de cette paix. Mais, tout au contraire, l’homme de foi sait que la paix ne peut être que provisoire, quand elle règne sur une société que Dieu désapprouve et condamne. Mais pour comprendre ce jugement divin, faut-il encore le découvrir par l’étude de ses révélations bibliques. Aussi, la sagesse héritée de Dieu, permet à l’homme éclairé de dire : Jusque là, la paix a régné. Mais après elle, aussi longue soit-elle, les vents des colères des guerres humaines vont de nouveau souffler et ils ne sont que l’aspect visuel terrestre de la colère du Dieu Tout-Puissant céleste et invisible soit, les preuves concrètes de sa malédiction.

 

 

 

 

 

Ce qui a été, c’est ce qui sera

 

Le titre de cet article est pris dans Ecc.1:9 : « Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. » Il justifie à lui seul, l’intérêt de notre lecture de la Bible qui est, pour les vrais croyants, la parole de Dieu écrite par des hommes, sous dictée ou inspiration. Dans cette révélation biblique, Dieu a voulu favoriser la compréhension de ses élus fidèles, en organisant les faits historiques, pour qu’ils reproduisent, en accomplissement, les mêmes apparences de manière évidente pour les deux alliances, successivement instaurées par lui avec ses serviteurs. Cette démarche présente un double intérêt. Le premier est celui de prouver que les faits accomplis ne sont pas le produit du hasard, mais celui d’une intelligence construite divine. Le second, est qu’en lisant l’expérience de l’ancienne alliance, l’élu fidèle du Christ saisisse clairement le sens des messages délivrés par des images analogues concernant des faits accomplis dans la nouvelle alliance.

Pour vérifier cette explication, tu peux relever, comme moi, ces ressemblances du destin accompli dans les deux alliances.

Les deux alliances commencent leur expérience dans l’unité nationale ou l’unité religieuse ; Les 12 tribus d’Israël, pour l’ancienne ; les 12 apôtres juifs de Jésus-Christ, pour la nouvelle. Au cours de leur histoire, un schisme religieux se produit ; les dix tribus d’Israël se séparent des tribus de Juda et des Lévites au temps de Roboam, fils du roi Salomon. Dans la nouvelle alliance, dans le faux christianisme infidèle, à partir du 12ème siècle, la foi réformée se sépare de la foi catholique romaine. Et dans les deux alliances, ces séparations ne favorisent pas la vérité divine, ni pour les dix tribus d’Israël qui choisissent la rupture, ni pour la foi protestante. Je sais que présenter ainsi l’histoire religieuse peut étonner, mais cet étonnement repose uniquement sur la méconnaissance du jugement porté par Dieu sur ce protestantisme, majoritairement considéré par lui « hypocrite ». Car, dans cette époque, les vrais élus ne brillent pas par des faits guerriers glorieux ; ils acceptent tout simplement de subir, sans laisser leur nom à la postérité, le sort de martyrs que Dieu leur propose. Et ceci explique pourquoi l’humanité ne retient de l’histoire que les groupes religieux les plus séparés de Jésus-Christ : la foi catholique romaine et le protestantisme calviniste ; et ceci, uniquement dans la zone occidentale de l’Europe désignée dans Daniel et Apocalypse, par le symbole des « dix cornes ». En marge de ces deux religions, à l’Est, l’orthodoxie, qui s’est séparé du catholicisme, en emportant avec elle le « dimanche » maudit de Constantin 1er, est, logiquement, également frappée par la malédiction de Dieu depuis 1843, date où la restauration du saint sabbat a été prophétiquement exigée par le décret divin anticipé de Daniel 8:14.

Après le commencement et la séparation, la fin des deux alliances  s’accomplit sur trois guerres punitives successives ; trois déportations à Babylone, pour l’ancienne alliance, en – 605, en – 597, et en – 586 ; trois guerres mondiales successives pour l’Europe catholique romaine de la nouvelle alliance, en 1914, en 1939, et en 2022. Je rappelle que la guerre actuelle de l’Ukraine n’a pour but que celui d’impliquer dans ce conflit, les nations de l’U.E. qui restent les cibles de la colère de Jésus-Christ. Il n’existe pas de prophéties bibliques qui annoncent spécifiquement les deux premières guerres mondiales. Mais c’est précisément là que l’annonce des trois déportations à Babylone de l’ancienne alliance nous éclaire et nous permet de comprendre le rôle que les deux premières guerres mondiales prennent dans le projet de Dieu. Comme pour l’ancienne Alliance, elles ont averti ses élus, du « temps de la fin », de sa préparation d’une Troisième Guerre Mondiale, dont le rôle destructeur est si important que Dieu la prophétise, elle, de plusieurs manières, dans Daniel 11:40 à 45, Apocalypse 9:13 à 21, et Ezéchiel 38 et 39. Cette triple succession de guerres mondiales confirme la signification symbolique, du chiffre « trois » qui désigne, pour Dieu et ses élus éclairés, la perfection. L’identification de la Troisième Guerre Mondiale repose sur la mise en parallèle des enseignements de Lévitique 26 avec le thème des « sept trompettes » d’Apocalypse 8 et 9. Dans les deux alliances, Dieu inflige des châtiments successifs pour punir le mépris manifesté envers « ses lois et ses commandements », selon Lev.26:14-15-16 : « Mais si vous ne m'écoutez point et ne mettez point en pratique tous ces commandements, si vous méprisez mes lois, et si votre âme a en horreur mes ordonnances, en sorte que vous ne pratiquiez point tous mes commandements et que vous rompiez mon alliance, voici alors ce que je vous ferai. J'enverrai sur vous la terreur, la consomption et la fièvre, qui rendront vos yeux languissants et votre âme souffrante ; et vous sèmerez en vain vos semences : vos ennemis les dévoreront. », ce qui concerne dans l’actualité le blé de l’Ukraine volé par les Russes. Dans Lévitique 26, les châtiments se succèdent jusqu’à la fin du chapitre. Et il en est de même pour les « sept trompettes » dans Apocalypse ; même réaction divine envers les croyants infidèles dans les deux alliances. Dieu confirme ainsi sa déclaration de Mal.3:6 : « Car je suis YaHWéH, je ne change pas ; et vous, enfants de Jacob, vous n'avez pas été consumés. »

Une autre leçon est adressée par Dieu à ses serviteurs du temps final : les expériences des deux alliances sont construites sur des formes identiques, très ressemblantes, parce que la norme du salut est aussi la même ; toujours basée sur l’obéissance parfaite à la volonté de Dieu ; mêmes lois sanitaires, mêmes lois morales et mêmes commandements, avant Christ et après lui ; seules les fêtes religieuses accomplies en Christ cessent et disparaissent. Et toutes ces révélations calquées l’une sur l’autre n’ont qu’un seul but pour Dieu ; celui de convaincre ses élus et tous les hommes dignes de ce terme, qu’il est bien l’organisateur de la vie et de ses épreuves ; celles des derniers jours étant particulièrement dures et terribles, pour les humains, les animaux et la nature entière.

Les trois dernières guerres mondiales ont aussi en commun, avec les trois déportations de l’ancien Israël, l’état d’esprit rebelle et cruel de leurs contemporains respectifs. Cet état d’esprit a été particulièrement identifié par le mot « nazi » dans la deuxième guerre mondiale, mais ce terme ne terrifie que ceux qui ont été marqués durablement par cette guerre centrée sur l’Europe. Prends conscience du fait que pour la nouvelle génération placée au pouvoir des peuples actuels, le « nazi » n’est que le fantasme qui terrorisait leurs pères, la peur ancestrale du « papa ». Par le renouvellement des personnes, les expériences du passé sont rendues vaines et nulles. Et les nouveaux dirigeants sont prêts pour renouveler les fautes et les erreurs du passé. Aujourd’hui, la jeunesse ukrainienne défend farouchement le droit de son nationalisme guerrier cruel et impitoyable, de la même manière que le peuple allemand entier ou presque soutenait les guerres entreprises par son « Führer ». Et en France et dans les autres nations européennes, la Hongrie exceptée, le même soutien est donné à la cause ukrainienne. Les régiments « SS » sont remplacés par le groupe Azov qui supervise l’armée ukrainienne officielle, comme les « SS » d’Adolf Hitler supervisaient les officiers de la « Wehrmacht » ; l’armée allemande régulière. Mais ne sois pas étonné que dans toutes les grandes guerres, des hommes se distinguent par des comportements extrémistes effrayants. Il en fut de même dans toutes les époques dramatiques. Menacés par l’invasion des armées du roi Nébucadnetsar, les Juifs persécutaient à mort, ceux qui, tel Jérémie, étaient considérés comme défaitistes et donc nuisibles pour la nation entière. Avec la même détermination et pour les mêmes raisons, dans « la nuit des longs couteaux », les groupes armés « nazis » assassinèrent les chefs des groupes « S.A. » jugés trop pacifiques et immoraux. Et à la réflexion, ces comportements extrémistes assumés sont préférables, parce qu’ils ne prêtent pas à confusion. Jésus, lui-même,  n’accepte pas la demi-mesure, puisqu’il demande à l’Adventiste des derniers temps de se montrer « froid ou bouillant », dans Apo.3:15-16. Mais nos journalistes et nos hommes et femmes politiques n’identifient pas ce nationalisme extrémiste au nazisme, parce que qu’il ne prend pas publiquement la cause juive pour cible ; et l’identification nazie est rendue encore plus difficile par le fait que le président ukrainien est lui-même juif. De plus, pour la jeunesse arrivée au pouvoir, le nazisme est ignoré et ne représente rien d’autre que le souvenir d’un temps de guerre passé et dépassé. Le nouveau nazisme a donc un bel avenir puisqu’il est légitimé par les peuples dits démocrates. Le nazisme a été et il est de nouveau, confirmant ainsi le verset de la Bible, « ce qui a été c’est ce qui sera ».

La jeune nation Ukrainienne nous permet de relever toutes les conséquences du renouvellement des générations. Elle a voulu se libérer des règles de vie strictes protégées par la Russie au caractère très conservateur, de plus, redevenue religieuse. Et dans son indépendance, elle a expérimenté, comme la France l’a fait en son temps révolutionnaire, les difficultés de concilier et faire vivre ensemble des gens qui ont chacun leur propre conception de la liberté. Et parmi sa jeunesse, s’est trouvé, comme partout, des personnes qui admirent la violence, la force et la puissance qui caractérisait, en 1939, les groupes nazis allemands. Mais inutile de regarder si loin en arrière, car c’est ce même goût du plaisir de dominer et de pouvoir légitimement tuer et égorger leurs ennemis qui est à l’origine des conversions à l’islam radical extrémiste de jeunes blancs occidentaux. Et c’est bien en France que s’est formé l’embryon du groupe Daesh, dont les plus célèbres exécuteurs étaient français. Chaque fois qu’ils deviennent indépendants, les peuples découvrent les mêmes conséquences de la liberté, et reproduisent à leur tour, les expériences violentes déjà découvertes par d’autres peuples avant eux. Et il faut bien le constater, l’expérience des autres n’est jamais prise pour modèle. En entrant dans la vie, tout homme réinvente sa propre expérience et ce qui est vrai pour la Bible méprisée l’est tout autant pour les expériences des autres. C’est ce qui explique que, malgré sa longue expérience de la liberté, la France ne fait pas exception et subit elle-aussi la conséquence du renouvellement de sa population jeune. Soyons bien conscients que tout ce qui est nouveau présente un risque de danger, car la nouveauté c’est encore l’inconnu. Et ceci explique pourquoi, en prenant de l’âge, les humains deviennent très conservateurs. Et cette crainte de la nouveauté est sans aucun doute la cause qui explique la survie de l’humanité jusqu’à notre temps final. Aujourd’hui, parce que le pouvoir politique est passé entre les mains d’une jeunesse ambitieuse, orgueilleuse et inexpérimentée, dans des pays où le mélange ethnique et religieux est la norme, les affrontements humains sont redevenus, non pas, possibles, mais inévitables. La sympathie des européens envers l’Ukraine repose sur le fait qu’elle est victime d’une attaque militaire russe. Mais ce que ces européens ignorent, c’est que dans cette jeune Ukraine libérée, il se passe des choses qui scandaliseraient ces mêmes européens. Des témoignages vidéo et photographique circulent néanmoins sur internet montrant des pratiques moyenâgeuses de punitions publiques appliquées contre des opposants ou des membres jugés pas suffisamment zélés pour la cause de l’Ukraine. Un témoin oculaire a même dénoncé des pratiques typiquement nazies envers les soldats russes faits prisonniers. Mais c’est la guerre qui favorise ce développement de haine absolue et ses exactions cruelles. Pour encourager la violence humaine, le diable met à sa disposition, dans les étalages de son supermarché, de nombreux choix ou motivations ; causes religieuses, causes idéologiques multiples parmi lesquelles celle du nationalisme extrémiste souvent légitimée mais combien meurtrière. Il y a aussi, celle des anarchistes qui ne veulent « ni Dieu, ni maître » mais exigent une liberté totale pour chacun et chacune.

Coupée de Dieu, l’humanité animale vit selon la loi des animaux qui donne raison au plus fort. Le faible est donc tenu de se soumettre à son vainqueur, ou de mourir, ou de s’expatrier loin de l’adversaire. Bien conscient de la chose, Jean de la Fontaine, contemporain de Louis XIV, a écrit : « la raison du plus fort est toujours la meilleure » ; et appliquée pour Dieu, « le plus fort », cette devise ne peut qu’être approuvée par tous ses vrais élus. Dans la position intermédiaire, se trouvent les indécis, les hésitants, troubles et hypocrites, incapables d’assumer clairement leur position sur différents sujets. C’est chez eux que se révèlent d’énormes jugements incohérents, masquant leurs pensées profondes sous des apparences humanistes. En vérité, ils sont lâches et n’assument pas pleinement les conséquences de leurs opinions.

 

En entrant un peu plus profondément dans les révélations de la Bible, nous trouvons d’autres sujets ressemblant dans les deux alliances. Notamment, le nom de la « femme Jézabel » dont le modèle original fut l’épouse païenne du roi Achab. En lisant le récit qui la concerne dans 1 Rois 16:31 et jusqu’à 2 Rois 9:37, nous pouvons comprendre en quoi elle devient le symbole de l’église papale catholique romaine dans l’ère chrétienne. Les deux « Jézabel » ont en commun, un combat diabolique dirigé contre les vrais serviteurs de Dieu qu’elles cherchent à anéantir. Et c’est cette action persécutrice qui a permis aux premiers Protestants de nommer « profondeurs de Satan » sa doctrine romaine faussement chrétienne et réellement païenne. De plus, le nom « Jézabel » signifiant « là où est bel (ou Baal) », Dieu accuse subtilement l’église papale d’être en réalité une adoratrice du diable désigné par le nom « Baal » ou « Bel ». Par ce lien logique, il va pouvoir également lui donner le nom de « Babylone la grande » puisque qu’en nouvelle « Babel » animatrice de confusion religieuse, elle manifeste « l’orgueil et l’arrogance » punies chez le roi Nébucadnetsar, constructeur et embellisseur de la ville antique porteuse de ce nom. Mais en la nommant, « Babylone la grande », Dieu dénonce aussi la religion catholique comme une puissance païenne, car c’était le cas de la ville antique bâtie par le roi Nébucadnetsar qui fut, ensuite, seul à se convertir au Dieu de Daniel. En offrant la possibilité à ses adeptes d’adorer de multiples « saints », la religion catholique prend un aspect semblable aux religions polythéistes païennes.

Une autre image reproduite concerne l’adventisme instauré à partir de 1843, mais institutionnalisé aux USA seulement, en 1863. Dans Apo.7, Dieu lui donne l’aspect de « douze tribus » qui, concernant des chrétiens d’origine païenne de la nouvelle alliance basée sur les 12 apôtres, n’ont pas de lien charnel réel avec les 12 tribus juives d’origine. Mais en prenant cette image, Dieu nous dit qu’il retrouve après 1843, dans ses élus adventistes triés et sélectionnés par deux épreuves de foi successives, au printemps 1843 et à l’automne 1844, l’Israël spirituel que son amour exigeait. Ainsi, après la désobéissance totale catholique et la désobéissance partielle protestante, Dieu exigeait, par Dan.8:14, la restauration de toutes ses vérités doctrinales et les générations adventistes, trouvées dignes par lui, ont reçu et restauré, au fil du temps, toutes ces vérités rappelées. Car Dieu aime très fort ses élus qui aiment très fortement sa personne, sa rédemption et ses lois. Et son projet éternel est uniquement de partager cet immense amour avec ceux qui l’aiment. Mais cet amour n’est pas uniquement théorique et spirituel, car il est, logiquement, très exigeant et en relation directe avec la forme exceptionnelle que sa propre démonstration d’amour a prise. Son incarnation en Jésus-Christ nécessite une capacité d’abnégation hors norme. C’est pourquoi, la reconnaissance de ses élus passe par la cérémonie du baptême, dans lequel l’homme pécheur est censé mourir, pour ressusciter en Christ et vivre dans le statut d’esclave pour Lui. Dieu témoigne qu’il trouve son Elue dans la foi adventiste, par le fait qu’il donne à cette dernière institution fondée en 1863 aux USA, le nom « Adventiste du Septième Jour ». On retrouve dans ce nom, le mot « adventiste » qui confirme l’épreuve de l’attente du retour du Christ qui est à l’origine de sa sélection ; une attente ou « adventus » latine, deux fois prophétisées, en 1843 et 1844. Ensuite, deuxième cause de sa sanctification, la mention du « septième jour » confirme la restauration du saint sabbat divin instauré dès la fin de la première semaine de jours de la création terrestre par le Dieu créateur, le Tout-Puissant. L’affront, qu’a constitué le repos du premier jour imposé par l’empereur romain païen Constantin 1er « le Grand » depuis le 7 Mars 321, fut ainsi, enlevé dès l’automne 1844, mais dans le seul camp des « Adventistes » qui allaient en 1863 se regrouper officiellement sous le nom institutionnel d’église « Adventiste du Septième Jour ». Une autre expression choisie par Dieu présente cette norme de foi restaurée sous ces termes dans Apo.14:12 : « C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus. » Face à cette définition, l’imposture n’est pas possible, car les honneurs rendus au « dimanche » romain constituent une transgression du quatrième commandement relatif au sabbat du septième jour. De ce fait, ceux qui honorent ce dimanche ne répondent pas à ce critère fixé par Dieu. Et lorsqu’il dit « qui gardent les commandements de Dieu », il évoque le respect des dix ; pas celui des neuf, ou des huit. La restauration du sabbat exigé à partir de 1843, avait précisément pour but d’obtenir ce respect pour ce commandement encore transgressé par les chrétiens catholiques, orthodoxes et protestants, déchus. Mais, le pire pour eux est que depuis 1843, cette seule transgression rend vaine et inutile la revendication des neuf autres commandements de Dieu. C’est ce que Jacques nous enseigne en disant, dans Jac.2:10 : « Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. » Cette affirmation nécessite une explication. Celui qui transgresse le commandement du repos du véritable septième jour ne peut pas prétendre qu’il honore Dieu et lui obéit exclusivement, comme le premier commandement l’exige, en disant à l’être humain : « Tu n’auras pas d’autre dieu devant ma face ». En effet, si le vrai Dieu créateur exige le respect du repos du septième jour, l’obéissance au repos du premier jour est donc faite au bénéfice d’un autre dieu que lui, en l’occurrence, Satan, le chef du camp rebelle. Et après la transgression du premier commandement, c’est le respect des dix qui s’écroule et la revendication d’obéissance perd alors toute légitimité. Car en symbolisant sa dernière église par le symbole des « douze tribus », chacun peut le comprendre, les devoirs de ce dernier Israël spirituel ne sont pas inférieurs à ceux du premier. Depuis que Dieu est venu mourir pour les péchés en Christ, ses exigences envers les pécheurs graciés ne se sont pas réduites, elles ont augmenté selon Mat.5:21-22 : « Vous avez entendu qu'il a été dit aux anciens : Tu ne tueras point ; celui qui tuera mérite d'être puni par les juges. Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère mérite d'être puni par les juges; que celui qui dira à son frère: Raca! mérite d'être puni par le sanhédrin; et que celui qui lui dira: Insensé! mérite d'être puni par le feu de la géhenne. »

Le principe « ce qui a été c’est ce qui sera » concerne également l’apparition de dirigeants dominateurs marqués par la passion du théâtre et de la scène. Ces personnes se transforment en despotes capables de grandes cruautés ; tel Néron, le fils de Messaline qu’elle porta au pouvoir en assassinant par empoisonnement l’empereur Claude et son héritier légitime Britannicus. Le danger de ce goût pour le théâtre repose sur le fait que ces personnages ne font plus de différence entre la vie normale et la scène. Ils jouent constamment un rôle et sont uniquement soucieux de séduire et de plaire à leur entourage. Les artistes sont des gens perfectionnistes qui se sentent contraints d’aller jusqu’au bout dans tout ce qu’ils entreprennent. Et ce besoin impérieux fit de Néron, ce sinistre et célèbre Boucher sanguinaire matricide, digne de sa mère. Après lui, nous trouvons dans l’histoire, en France, l’enfant devenu roi à cinq ans, non moins sinistre, Louis XIV. On retrouve chez lui, tout ce qui caractérisa Néron, la démence en moins. Mais son désir de plaire et de séduire son entourage était le même. Il joua sa vie qui devint sa scène. Et son orgueil diabolique le poussa à se comparer au « soleil », le symbole de Dieu pour les hommes qu’il sauve. En conséquence, Dieu plaça son long règne sous des conditions ténébreuses et hivernales exceptionnellement froides qui témoignent de son indignation et de sa colère car il persécuta la Bible et ses défenseurs plus que tout autre roi de France ; allant jusqu’à créer le corps punitif des « Dragons » pour pourchasser les protestants jusque dans les montagnes isolées et les campagnes du pays. Sitôt mort, le temps reprit son aspect normal. Et beaucoup plus tard, en ouvrant son cercueil, son corps apparut en bon état mais uniformément noir ; le comble pour le « roi soleil ». Et cette couleur noire le relie au sinistre Néron dont le nom original, « Nero », signifie noir en latin et en italien. Ces deux personnages ont persécuté les serviteurs du Dieu de vérité, étant eux-mêmes au service du mensonge ténébreux établi par le diable. En notre temps moderne, aux USA, le président Ronald Reagan passa lui-aussi de la scène de la vie artistique à la présidence du pays. Il fut remarqué, lui aussi, pour son caractère autoritaire et sa haine envers la Russie, soviétique à cette époque. Puis nous arrivons à notre époque en laquelle vient d’apparaître en Ukraine le jeune président Volodymyr Zelensky. Il est passé lui aussi de la scène au pouvoir. Et en notre époque de grande et publique information, cette venue au pouvoir a été précédée par un rôle présidentiel dans une fiction télévisée qui a pour nom « serviteur du peuple ». Petit détail prophétique important à relever ; à la fin de cette série, le président abat tous ses collaborateurs politiques utilisant deux pistolets mitrailleurs. Comme Néron et Louis XIV, le jeune président, désireux de plaire et de séduire joue dans la vie son rôle comme il le faisait en scène, déjà « jusqu’au-boutiste » sur le plan licencieux. Pour défendre la liberté nationale de son pays, il s’est transformé en chef de guerre et sa diabolique séduction opère si bien, que tous les chefs d’états ou presque de l’OTAN sont séduits par son courage et ses incessants discours et appels. Il ne dérogera pas de son rôle et le tiendra jusqu’au bout soit, jusqu’à sa mort. Sa nature artistique l’exige et l’y contraint. Et une fois de plus, l’artiste provoque par son autorité et sa séduction, la mort de milliers de soldats, de civils et la dévastation de son pays, écrasé sous les bombes et les missiles russes. En France, depuis 2017, un jeune homme passionné par la vie artistique qui a suivi des cours dans l’art théâtral, Emmanuel Macron, est devenu le président des Français ayant « revendiqué » lui-même, avant son élection, et selon ses paroles, « son inexpérience et son immaturité ». Paradoxalement, sa conception autoritaire et autocrate du pouvoir a abouti à une crise provoquant les manifestations hostiles et exigeantes des « gilets jaunes ». Ce gilet a, à l’origine, le rôle de favoriser la vue des automobilistes en panne sur les voies de circulation ainsi que les conducteurs des deux roues. Cette partie des Français victimes des choix économiques faits par les dirigeants, était bien laissée « sur le bord de la route » et leur « gilet jaune » les a fait découvrir par le peuple entier. Après ces problèmes, Dieu est entré en Guerre avec les nations de la terre, et il les a soumises à la peur de la maladie pandémique par ce qui n’a été qu’une épidémie mondiale due au virus Covid-19. L’économie fut ainsi bloquée pendant deux années, par décision du jeune président « immature » paniqué. Et à peine sortie de cette crise ruineuse, le conflit entre l’Ukraine et la Russie a éclaté. Au même moment, notre jeune président a assuré la présidence tournante de l’U.E. Et sous son autorité et la décision du commissariat européen, l’Europe a pris cause et parti pour l’Ukraine contre la Russie, fournissant à son ennemie des armes qui tuent des Russes militaires et civils. Car ce conflit est parti d’une guerre civile, dans laquelle le pouvoir est passé aux mains du camp catholique ukrainien de l’Ouest de l’Ukraine placé sous l’influence de ses liens avec la Pologne catholique romaine, traditionnellement hostile à la religion orthodoxe russe. Constamment alimenté par les armes offertes, généreusement, mais pas sans intérêt, par les USA et les européens, le conflit gagne en intensité meurtrière et l’aspect hideux que prend l’Ukraine dévastée ne fait que présenter l’aspect futur de l’Europe entière ravagée et détruite à son tour par la Russie irritée par cette aide militaire et les sanctions économiques adoptées contre elle. Oui, les artistes, gens du spectacle, sont bien des gens terriblement dangereux auxquels le pouvoir politique n’aurait jamais dû être confié. Ils sont naturellement doués pour séduire les foules qui deviennent des spectateurs hypnotisés manipulés et ils maîtrisent redoutablement l’art de la parole et des discours publics. Mais contrairement à ce qu’ils pensent et prétendent, ils n’ont pour leur peuple qu’une influence néfaste qui les conduit à la destruction.  Dans la parabole non biblique du « coche et la mouche », ils incarnent parfaitement le rôle tenue par la mouche. Alors que les chevaux peinent à tirer un lourd carrosse très chargés dans une côte, une mouche les harcèle et les pique. Parvenus au sommet de la côte, les chevaux épuisés par l’effort entendent la mouche harceleuse nuisible dire : « Heureusement que j’étais là ». Telles étaient les leçons de l’histoire que l’humanité pécheresse n’a pas su ni voulu retenir, ni tenir compte. Elle est donc conduite à revivre les mêmes drames destructeurs et déjà, jour après jour, en Ukraine, la tragique dernière « escalade » est engagée et a commencé. Et pourtant Dieu avait bien fait écrire dans sa Bible : « ce qui a été c’est ce qui sera ». Aussi, ses élus qui croient en sa parole ne sont pas étonnés, ni surpris, par les réapparitions des monstres tueurs. Ils sont les témoins du Dieu qui les éclaire et ne fait rien sans avertir ses serviteurs les prophètes comme l’enseigne Amos 3:7 : « Car le Seigneur, YaHWéH, ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes. » Et ainsi prévenus, rien ne peut les séduire, selon Matt.24:24 : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus ».

 

 

L’amour, selon Dieu

 

Quand l’amour se fait un devoir d’être, aussi, parfaitement juste, la situation prend une forme compliquée que seule la sagesse divine pouvait résoudre.

Lorsque l’être humain tente de remplir cette condition, il se heurte à un problème naturel qui est celui de sa partialité. En effet, toute créature a un point de vue personnel sur toute chose qui le rend partial. Les psychologues glosent sur l’objectivité et la subjectivité des personnes, mais l’objectivité réelle absolue n’existe pas, parce que nos opinions sont conditionnées par notre nature individuelle entièrement libre. Ainsi, celui ou celle qui a la foi est conditionné par ce critère. Et il est alors incapable de justifier le raisonnement de celui qui n’a pas la foi. C’est ce critère fondamental qui fait que sous le regard de Dieu, nous sommes à l’image de graines semées en terre, dont les unes germeront et produiront un bon plan, et d’autres sècheront et ne germeront jamais, ou donnerons un plan chétif maladif. Notre nature humaine, totalement subjective, nous porte à favoriser l’un des deux choix au détriment de l’autre, dès lors qu’ils semblent être en complète opposition ; ce qui caractérise l’amour et la justice. Mais faut-il encore que nous comprenions bien ce que veut dire le mot justice, car contrairement au mot amour, le mot justice porte deux sens puisque son application consiste à punir ou gracier. Dans la pensée humaine, le mot justice n’est ressenti que dans le sens du châtiment ; celui qui conduit le voleur ou l’assassin devant les juges pour être conduit en prison. Cette seule conception masque l’autre aspect très positif de la justice qui permet à Dieu d’honorer et bénir ses élus obéissants. La personnalité individuelle de chaque créature rend impossible la gouvernance collective humaine. Les dirigeants humains sont trop imparfaits pour pouvoir satisfaire les masses humaines composées de gens très différents. Et cette impossibilité est traduite par des remises en causes politiques perpétuelles ; la contestation étant la norme de la nature humaine rebelle et capricieuse. L’unité parfaite n’est donc possible qu’après une sélection et un tri des âmes humaines, dans lequel Dieu retiendra ceux et celles qu’il a trouvés moralement conformes à son modèle idéal qu’il a présenté dans la personne de Jésus-Christ. Sans cette conformité, la vie éternelle n’est pas possible.

Dans Apo.3:19, Jésus-Christ, « le Témoin Fidèle », dit : « Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. » Jésus donne à l’humanité entière une leçon qui contredit les philosophes et les psychiatres modernes. Selon son divin avis, l’amour consiste à châtier les coupables. Mais tous ne sont pas châtiés par amour et Dieu lui-même fait une distinction très nette entre ceux qui l’aiment et ceux qui ne l’aiment pas suffisamment. Dans ce verset, il s’adresse aux chrétiens baptisés dans sa dernière institution de l’histoire humaine : l’église adventiste du septième jour. On entre dans cette église pour différentes raisons : héréditaires, hasards de la vie, ou choix de conviction personnel après avoir étudié le sujet. Et même dans ce dernier cas, l’étude va porter des fruits très différents selon la nature individuelle du postulant ; l’étude peut être superficielle ou au contraire extrêmement approfondie. C’est pourquoi, les paroles d’exhortation du Christ s’adressent à tous mais n’auront d’effets que sur ses vrais élus. Car, pour bénéficier de cette exhortation, il faut savoir en quoi consistent, concrètement, les reproches adressés par le divin Jésus-Christ. A l’époque où j’étais membre de cette église officielle, j’ai entendu et vu un homme pleurer dans sa prédication et sa prière. Il évoquait ce manque d’amour que Jésus reproche à sa dernière institution. Mais il se trompait au sujet de cet amour absent car il l’interprétait comme étant l’amour fraternel, alors que Dieu lui donne le sens d’amour de la vérité. Et la transmission permanente des interprétations prophétiques héritées depuis les théories élaborées par les pionniers de l’œuvre, sans que leurs erreurs soient corrigées, en est encore aujourd’hui, l’explication et la justification. Avec le temps, Dieu a attendu un réveil spirituel qui n’est pas venu et c’est ainsi que mon ministère a trouvé sa raison d’être. Entré dans l’église, j’ai étudié les prophéties pour Jésus-Christ, ses élus et moi-même. La lumière m’a été donnée et la prophétie a parlé de manière claire et intelligible. Malgré cette clarté, l’annonce du retour du Christ pour 1994 a été rejetée avec l’ensemble du message ; selon l’image profane : « le bébé est parti avec l’eau du bain ». Et ce manque de sagesse qui consistait à trier avant de jeter lui a été fatal. Car cette révélation que j’ai reçue du Christ depuis 1982 représentait la forme contemporaine de son amour incommensurable. Et l’alliance de la déchue avec les déchus précédents n’a, depuis 1995, que confirmé son « vomissement » par l’unique Sauveur et Seigneur.

L’amour divin est incomparable car il est au dessus de tout et à l’origine de tout. Songeons à ce qu’a coûté au Dieu créateur le projet de satisfaire son besoin d’amour. Depuis l’éternité, il vivait seul, et il pouvait créer tout ce qu’il voulait en aspect visuel comme l’homme peut aujourd’hui partiellement le faire de manière virtuelle sur un écran d’ordinateur ; cependant, avec beaucoup de travail contrairement à Dieu qui obtient instantanément et sans fatigue ce qu’il crée. Dans son essence d’amour, Dieu ne se contenta plus de ses créations statiques, il éprouva le besoin d’un retour d’amour que les choses ne rendent pas. La solitude, quand elle est totale, finit par apparaître comme une prison et Dieu se mit à ne plus pouvoir la supporter. C’est alors que son Esprit illimité a conçu son projet de créer des vies libres en face de lui. Mais en permettant le retour d’amour de la part de certaines de ces vies libres, cette liberté allait avoir l’inconvénient de permettre aussi l’indifférence, voire l’hostilité, de la part de beaucoup d’autres. Et déjà cette conséquence explique les causes de la coexistence des gens du bien et de ceux du mal. Le bien et le mal devaient coexister pour un temps dont nous ignorons la valeur totale. Mais pendant ce temps Dieu allait pouvoir sélectionner des élus éprouvés parmi les anges célestes et ensuite, après eux, parmi les créatures terrestres. C’est ainsi que Dieu donna la vie au premier ange dont il loue la perfection originelle dans Ezé.28:12 : « Fils de l'homme, Prononce une complainte sur le roi de Tyr ! Tu lui diras : Ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Tu mettais le sceau à la perfection, Tu étais plein de sagesse, parfait en beauté. »  Dieu compare son premier ange au roi de Tyr dont il fait un antitype analogue. Relevons cette précision : « Tu mettais le sceau à la perfection, Tu étais plein de sagesse, parfait en beauté. ». Comment aurait-il pu en être autrement ? Dans ce prototype de la créature, Dieu a placé tout son amour, il l’a créé parfait et ce n’est que par choix personnel, entièrement libre, que cet ange parfait est devenu plus tard l’ennemi de Dieu, le diable, son adversaire nommé Satan. Cette phase est également prophétisée par Dieu qui dit ensuite au verset 15 : « Tu as été intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus créé jusqu'à celui où l'iniquité a été trouvée chez toi. » L’iniquité trouvée, ensuite, chez Satan était dans la liberté totale dont il jouissait comme toutes les créatures de Dieu après lui. Et il est donc très important pour Dieu que, lorsque des incrédules ou des candidats au salut nous questionnent  en disant : Pourquoi le mal existe ? Nous puissions répondre : « Parce que Dieu a donné à toutes ses créatures une entière liberté. Ceci parce que c’est la condition pour que le choix du bien ou du mal par chacune d’elles soit rendu possible et visible ». Je rappelle que les normes du bien et du mal sont exclusivement définies par Dieu et révélées aux Terriens par sa sainte Bible et ses deux alliances ou deux témoignages.

Vu sa nature divine parfaitement illimitée, Dieu a connu d’avance tous les futurs développements de la vie libre créée par lui. Il a su, avant même de le créer, que son premier ange parfait finirait en diable. Et qu’en conséquence, la mort finale lui serait réservée et imposée. Mais il a gardé en lui cette connaissance et s’est comporté envers lui selon son comportement du moment ; multipliant les marques de son amour pour lui au temps de sa perfection. Mais l’expérience du diable confirme le principe du jugement de Dieu des pécheurs, tel que le révèle Ezé.18:24 (juste avant d’évoquer le cas de Satan dans Ezé.19:15) : « Si le juste se détourne de sa justice et commet l'iniquité, s'il imite toutes les abominations du méchant, vivra-t-il ? Toute sa justice sera oubliée, parce qu'il s'est livré à l'iniquité et au péché ; à cause de cela, il mourra. » La justice de Dieu s’applique donc de la même manière aux anges et aux hommes. Et c’est précisément pour expliquer la situation qui s’est appliquée au diable que cette explication nous est donnée.

Un autre verset révèle un principe divin dans 1 Pierre 4:17 : « Car c'est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu. Or, si c'est par nous qu'il commence, quelle sera la fin de ceux qui n'obéissent pas à l'Évangile de Dieu ? » A l’échelle de son entière création de la vie libre, la première « maison de Dieu » est angélique et céleste. C’est donc elle qui va être jugée en première. Dieu garde en secret son œuvre de rédemption qui reste entièrement ignorée par ses anges. Aussi, est-ce en toute liberté que les clans se forment car des anges célestes approuvent les contestations présentées par le séducteur chef des anges. Les camps étant établis, Dieu crée la dimension terrestre et il y crée l’homme et sa descendance maudite à cause du péché de désobéissance résultant de l’épreuve de foi basée sur l’interdiction de manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal ; lui-même image symbolique et support historique de la personne du diable révolté. Cette fois, par l’instauration de la semaine de sept jours, Dieu fixe la limite du temps qui conduit à la fin du temps d’épreuve global soit, au terme de sept mille ans. En créant la terre et ses habitants, les hommes et les femmes, Dieu va révéler de manières symboliques multipliées sa future incarnation humaine et son rachat des péchés obtenu par l’offrande à la mort expiatoire de sa vie parfaitement juste. Mais ce message reste ignoré des anges et des hommes. Ces derniers ne voient dans les rites divins que des choses exigées par le Dieu terrible et autoritaire auquel il est préférable d’obéir. Mais d’autres, s’engagent dans la voie du diable et choisissent de lui désobéir. Pendant les deux premiers millénaires l’humanité entière prophétise et confirme la nature rebelle naturelle de la créature de Dieu. Aussi, prophétisant, à son tour, le jugement de ces rebelles, Dieu a fait périr toute l’humanité dans les eaux du déluge en 1655 depuis le péché d’Adam. Mais conformément à son projet global, « un reste » sélectionné pour sa foi obéissante a été épargné et sauvé dans l’arche construite par Noé et ses fils.

Cet exemple du déluge témoigne des valeurs amour et justice de Dieu. Ce n’est pas sa première démonstration, mais celle-ci prend un caractère officiel et universel que les fossiles marins, trouvés encore aujourd’hui sur la terre sèche jusque sur les plus hautes montagnes, prouvent de manière incontestable.

Après cette leçon universelle, vient la seconde encore plus importante sur la fin de l’an 4000 depuis le péché d’Adam. C’est l’heure où Dieu découvre son jeu contre son ennemi le diable. Il vient en Christ relever le défi et vient prouver que l’obéissance parfaite sauve le pécheur qui a la vraie foi. Dieu n’a plus rien à prouver au diable dont il connaît l’endurcissement depuis sa création. Mais sa victoire obtenue par son acceptation de la mort lui permet de sauver les pécheurs repentants parce que l’exigence de mort de la transgression de la loi est satisfaite par sa mort volontaire. Pour sauver des multitudes de vies humaines, une vie normale humaine n’aurait pu suffire. Mais le Christ crucifié n’était pas qu’un homme ; il était aussi Dieu, le Tout-Puissant Créateur en lequel se forment et s’animent toutes les vies.

La mort de Jésus-Christ démontre d’une manière sublime comment Dieu réussit à respecter l’exigence de sa justice tout en démontrant la force impensable de son amour. Mais, si pour les hommes de foi, commence une nouvelle alliance, à l’opposé, pour les anges rebelles et Satan leur chef, le jugement commence par leur expulsion du ciel, la première « maison de Dieu » ; ceci en attendant la mort désormais inévitable. Ils sont jetés sur la terre et donc perdent la possibilité d’entrer en contact avec les anges restés dans le royaume des cieux à cause de leur libre choix de rester fidèles à Dieu. Il va de soi que, confinés sur la terre des humains et se sachant condamnés à mort, leurs comportements et les œuvres de méchanceté vont s’amplifier et atteindre des niveaux d’horreurs encore plus grands qu’avant la victoire de Jésus-Christ. Il n’est rien de pire que des condamnés à mort autorisés à agir librement. Cet enseignement est révélé dans Apo.12:7 à 12 : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. Et j'entendis dans le ciel une voix forte qui disait : Maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de notre Dieu, et l'autorité de son Christ; car il a été précipité, l'accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit. Ils l'ont vaincu à cause du sang de l'agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n'ont pas aimé leur vie jusqu'à craindre la mort. C'est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. » C’est donc cette situation qui s’applique à l’humanité entière après la victoire de Jésus-Christ. Toutefois, cette liberté restera sous le contrôle et la limite imposés par Dieu comme en témoigne Apo.7:3 : « Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. ».

C’est ainsi que « la maison de Dieu » céleste a été, en première, jugée et que le temps de grâce accordé aux anges a pris fin. Celui des hommes ne devra s’achever qu’en 2029, avant le retour du Christ fixé au printemps 2030 en lequel les six mille premières des sept mille années du projet divin prendront fin. Ainsi, avec raison, Jésus-Christ, redevenu « Micaël » pour ses anges fidèles, peut encourager leur réjouissance et leur allégresse. Pour eux, le risque de se perdre a pris fin. La victoire du Christ a donc eu pour eux des conséquences énormes, mais jamais sa mort expiatoire n’a justifié leur sélection. C’est uniquement par leur libre choix qu’ils ont décidés de rester fidèles au Dieu qu’ils côtoyaient sans mystère, ni invisibilité, contrairement aux êtres humains. Sur la terre, la foi au Christ tient le rôle principal pour la sélection des élus, à cause de cette invisibilité du Dieu créateur. Qui peut expliquer pourquoi des hommes sont crédules et d’autres ne croient que ce qu’ils voient, comme l’apôtre Thomas ? Les mêmes données présentées à ces deux sortes d’êtres humains obtiennent des résultats différents ; ce qui prouve que le facteur agissant est bien la nature individuelle libre de chacun d’eux. Et s’ajoute à ces deux cas, celui du diable et de ses démons qui ont vu Dieu et ont néanmoins choisi la voie de la rébellion. Vue sous cet angle, combien la liberté donnée par Dieu nous apparaît belle et sage ! Avant les scientifiques modernes, Dieu a créé le principe de l’expérience et de l’observation. Et dans son cas, les choses auraient pu être rendues plus simples puisque connaissant d’avance les fruits portés par ses créatures, Dieu aurait pu choisir de créer uniquement ses futurs élus en nature uniquement angélique. Mais ce choix aurait pris une forme arbitraire non conforme à son amour. Ne voulant en rien apparaître comme tel, il a pris, sur lui, la conséquence mortelle de son choix. Et en acceptant lui-même de mourir pour sauver ses élus, il s’est donné le droit légitime d’éliminer, par la mort, les créatures rebelles déchues angéliques et humaines. C’est pour obtenir l’adhésion et l’approbation de ces anges que Dieu contraint toutes ses créatures à révéler concrètement la nature de leur personnalité individuelle. Chaque âme est unique et mérite les mêmes chances que les autres d’être sauvée. Encore faut-il qu’elle ait bénéficié du bon enseignement religieux et qu’elle ait fait choix d’obéir à Dieu. Et quand ce n’est pas le cas, la cause est perdue d’avance ou presque.

Sur la terre habitée, maintenant, par des mauvais anges, la nouvelle alliance commence dans un temps de persécutions pratiquées, en premier, par les Juifs rebelles, puis par les Romains, auxquels ils avaient déjà fait appel pour crucifier leur Messie. A ses fidèles martyrs, ses témoins, frappés par le bâton, Jésus-Christ offre la « carotte » de l’attente de son retour glorieux. Ils n’ont aucune connaissance du temps fixé pour son retour, mais ils espèrent tous qu’il va s’accomplir pendant qu’ils sont encore en vie. Ce genre de précision est gardé pour les élus du « temps de la fin ». Après les terribles persécutions imposées aux élus chrétiens par Néron, le diable fait homme, empereur des Romains, en fin du premier siècle Jésus présente en vision à l’apôtre Jean sa Révélation prophétique connue sous le nom Apocalypse. Les Anglais la nomme « Revelation » soit, par sa traduction, mais les peuples latins ont conservé sa forme obscure originelle grecque « Apocalypse ». Ces deux choix sont révélateurs de deux expériences spirituelles historiques. Dans le projet de Dieu, l’intérêt et l’étude de cette prophétie s’accomplira en premier aux USA protestants et de langue anglaise. C’est à eux que la Révélation de Jésus-Christ commencera à parler sous l’aspect de la foi adventiste à partir de 1816 ; William Miller étant son premier messager. Dans les pays latins européens marqués par la foi catholique romaine, la Révélation de Jésus-Christ n’est restée que « l’Apocalypse » redoutée pour ses annonces de catastrophes. Ainsi, ces deux conceptions humaines témoignent d’un jugement divin qui approuve l’un et condamne l’autre. C’est encore là, une différence qui concerne l’amour de Dieu et sa justice.

Dans cette « Révélation » suprêmement importante, Jésus présente dans son prologue, le thème de son glorieux retour : la « carotte » est de nouveau présentée pour une durée perpétuelle. Et il ne faut pas s’en étonner, parce que l’intérêt et l’aspiration à vivre ce retour est une preuve constante de l’amour de l’homme pour le Dieu Jésus-Christ. Attendre ce retour glorieux et entrer dans la paix éternelle est l’espérance de tous les vrais élus. Et ceux qui sous-estiment la valeur de ce sujet, rendent vaine leur foi, parce que Jésus a précisément accepté la mort pour offrir ce retour glorieux à ceux qui l’aiment vraiment. Pendant toute l’ère chrétienne, à la fin de la Bible, ce livre, même non décrypté, a présenté cette « carotte » proposée à la vraie foi, aussi rare que l’or d’Ophir. Mais depuis 1843, ses révélations n’ont fait que croître ; car depuis 1983, et dans la dissidence depuis 1991, je l’ai entièrement décrypté et présenté aux appelés adventistes que j’ai pu rencontrer, je l’ai rendu disponible aussi sur des sites internet. Et en connaissance du sujet, je peux te le présenter comme une forme concrète de l’amour et la justice du Dieu Très-Haut unique ; une preuve d’amour proposée et reçue par ceux qu’il aime. Seul, l’amour de la vérité concrétise l’amour éprouvé pour le Sauveur et Seigneur Jésus-Christ. Ceux qui méprisent cette divine « Révélation » aiment Dieu en paroles seulement, et il ne s’en contente pas.

Le châtiment peut prendre plusieurs significations. Venant d’un homme incroyant, il peut être causé par le désir de venger une irritation et n’être que le fruit dû à la seule colère. A la fin du monde et au cours de ses châtiments d’avertissements symbolisés par les six premières « trompettes » d’Apo.8 et 9, Dieu exprime également sa divine colère contre les peuples rebelles. Mais quand il dit dans Apo.3:16, « Moi je reprends et je châtie tous ceux que j’aime », son châtiment prend la forme du témoignage de son amour soit, la preuve de son intérêt pour la personne châtiée. C’est là, la seule forme positive du châtiment qui n’est alors pas que colère, mais surtout expression d’un désir de changement de conduite de la part du sujet châtié. Les élus et les enfants intelligents apprennent à faire la différence entre la réaction guidée par la colère et celle qui résulte de la simple indignation justifiée. Les châtiments infligés par des parents attentionnés et pleins d’amour sont acceptés et approuvés par les enfants qui les subissent. Et quand ils ne les comprennent pas enfants, ils les comprennent en mûrissant, en prenant de l’âge. Comparé avec l’amour de Dieu exempt de toute méchanceté, l’amour humain est hélas souvent porteur, lui, de méchanceté, et encore hélas, l’administration des châtiments reste trop souvent une réaction colérique. C’est pourquoi, les êtres humains ont beaucoup à apprendre et à recevoir du Dieu parfait Tout-Puissant et invisible, mais invisible uniquement pour nos yeux ; car notre esprit est tout à fait capable de le concevoir et de partager des pensées avec lui, d’autant plus qu’il les connaît avant nous ; ceci dans l’attente de sa venue où nous le verrons de nos yeux, tel qu’il est, dans toute sa puissance et sa gloire divine.

Dieu est tellement amour que donner la souffrance lui est très désagréable et c’est pourquoi, ce genre d’action est confiée à des créatures sans scrupule et sans retenue : les mauvais anges. Faire du mal aux humains et à la nature est leur unique plaisir. Ils s’avèrent ainsi, très utiles pour Dieu, pour rendre très désagréable la vie de ceux qui le méprisent. Et cette utilité justifie leur maintien en vie jusqu’au retour du Christ, au printemps 2030. Ils pourront alors mourir et disparaître avec les autres rebelles humains, dans l’attente du jugement dernier. Mais le chef des anges rebelles, lui, ne mourra pas au retour du Christ. Dieu lui a réservé une vie de solitude absolue sur la terre désolée pendant « mille ans ». Tout le temps pendant lequel les élus au ciel vont juger les anges et les hommes rebelles condamnés à la « seconde mort », selon Apo.20:2 à 4 : « Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans. Il le jeta dans l'abîme, ferma et scella l'entrée au-dessus de lui, afin qu'il ne séduisît plus les nations, jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. Après cela, il faut qu'il soit délié pour un peu de temps. Et je vis des trônes ; et à ceux qui s'y assirent fut donné le pouvoir de juger. Et je vis les âmes de ceux qui avaient été décapités à cause du témoignage de Jésus et à cause de la parole de Dieu, et de ceux qui n'avaient pas adoré la bête ni son image, et qui n'avaient pas reçu la marque sur leur front et sur leur main. Ils revinrent à la vie, et ils régnèrent avec Christ pendant mille ans. ». Dans ce verset, les « nations » désignent les élus rachetés par Jésus-Christ et sous le nom « abîme », Dieu désigne la terre désolée, privée de toute vie, redevenue chaotique comme avant la création de la vie terrestre, selon Gen.1:2 : « La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. »

L’amour parfait de Dieu sera encore finalement confirmé par une action de justice également parfaite. Des preuves relevées par les bons anges seront présentées aux saints juges et les méchants seront tous parfaitement jugés ; Dieu conduisant et supervisant, lui-même, les examens de chaque cas. Il n’y aura dans ce jugement, ni erreur procédurière, ni vice de forme quelconque ; le jugement sera sûr et divinement juste. Les bases légales de ce jugement sont toutes décrites et écrites dans la sainte Bible, la parole écrite du Dieu vivant. C’est pourquoi Jésus a déclaré, dans Jean 12:48 : « Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au dernier jour ».

 

 

La vérité : une norme strictement divine

 

On a beaucoup dit et écrit au sujet de « la vérité », mais le sujet est si grand qu’il n’a pas été épuisé. Pour le faire, il faut être Dieu dont l’Esprit est illimité et dans ce cas, le sens qu’il donne au mot « vérité » l’est probablement également. Mais pour notre petit esprit humain charnel terrestre, il est important de comprendre, ce qui est resté à notre portée. On se souvient de cette question du procurateur romain Ponce Pilate et de son court échange avec Jésus, qu’il allait faire crucifier.

Pour Ponce Pilate, tout commença lorsque les Juifs en colère lui présentèrent le cas de Jésus-Christ, selon Jean 18:28 : « Ils conduisirent Jésus de chez Caïphe au prétoire : c'était le matin. Ils n'entrèrent point eux-mêmes dans le prétoire, afin de ne pas se souiller, et de pouvoir manger la Pâque. » L’Esprit inspirateur de ce récit, montre ici l’hypocrisie de ce clergé religieux juif. Selon la lettre de la loi, ils ne se souillent pas, mais en livrant le juste comme s’il était coupable, ils font pire que transgresser la loi et révèlent les noirs sentiments de leurs âmes. Ici commence le premier contact entre Ponce Pilate, le procurateur romain posté à Jérusalem par l’empereur de Rome, et Jésus-Christ. Jean 18:29 : «Pilate sortit donc pour aller à eux, et il dit : Quelle accusation portez-vous contre cet homme ? » Païen, c’est sûr, mais Pilate représente la civilisation avancée de l’époque et chaque cas de malfaiteur doit être jugé, et défendu par un avocat. La réponse des Juifs vient dans le verset 30 qui suit : « Ils lui répondirent : Si ce n'était pas un malfaiteur, nous ne te l'aurions pas livré. » Depuis l’arrivée des Romains, les Juifs n’avaient plus le droit de tuer par lapidation les malfaiteurs arrêtés, et ceci explique le verset 30 : « Sur quoi Pilate leur dit : Prenez-le vous-mêmes, et jugez-le selon votre loi. Les Juifs lui dirent : Il ne nous est pas permis de mettre personne à mort. » Ce verset révèle l’horrible méchanceté des Juifs rebelles car la lapidation leur semblait trop douce pour celui qu’ils haïssaient de toute leur force. Ce qu’ils venaient réclamer auprès de Pilate c’était la crucifixion que seuls les Romains pratiquaient légalement dans l’empire entier. Ce cas est très intéressant à relever, car ces Juifs se montrent soucieux « de ne pas se souiller » dans le verset 28. Or, la faute dont ils accusent Jésus est une faute religieuse qui, selon la loi juive, peut être punie de la mort infligée par lapidation par le peuple juif. Cet appel au procurateur romain n’est donc ni légal, ni légitimé, par la loi divine écrite. Sa cause est donc uniquement la méchanceté hypocrite de gens qui utilisent la religion, non pour la gloire de Dieu, mais pour assouvir leur désir de dominer des créatures humaines en profitant de leur titre religieux. Les Juifs nous présentent là, le modèle que la Rome catholique papale reproduira pendant « 1260 » années de règne despotique persécuteur, entre 538 et 1798. Verset 31 : «C'était afin que s'accomplît la parole que Jésus avait dite, lorsqu'il indiqua de quelle mort il devait mourir. » Cette précision confirme le fait que, s’il avait été un imposteur, Jésus méritait selon l’interprétation de la loi la mort par lapidation. Mais Dieu exploite la méchanceté juive rebelle pour s’imposer en Messie rédempteur, le type de mort le plus horrible de cette époque : la crucifixion, dans laquelle, le corps du supplicié, suspendu par trois clous se vide lentement de son sang, et s’asphyxie progressivement dans une lente et douloureuse agonie. Grâce aux révélations apportées par les découvertes de Ron Wyatt en 1982, nous savons que le lieu de cette crucifixion surplombait l’arche de l’alliance cachée dans une grotte souterraine quelques mètres en dessous de la croix. Une fissure, dans le sol provoquée par le tremblement de terre, a permis que son sang descende sur le propitiatoire de l’arche. C’est ainsi que le symbolisme du rite du « Jour des expiations » qui ordonnait cette chose fut littéralement accompli. Pour révéler son jugement porté contre le péché, Dieu s’est imposé la plus horrible des mises à mort. Ce fut le moyen qu’il trouva pour apprendre à ses élus à haïr le péché comme lui-même.

Jean 18:33-34 : « Pilate rentra dans le prétoire, appela Jésus, et lui dit : Es-tu le roi des Juifs ? Jésus répondit : Est-ce de toi-même que tu dis cela, ou d'autres te l'ont-ils dit de moi ? » Ici nous devons nous souvenir qu’au début de la semaine, Jésus fut accueilli glorieusement par la foule des juifs qui le proclamaient « roi des Juifs ». Une semaine avant, Jésus avait ressuscité Lazare et la foule pensa que son Messie annoncé était parmi elle et elle le glorifia au titre de « Roi des juifs ». Et Jésus ne les avait pas contredits. Jean 12:12 : « Le lendemain, une foule nombreuse de gens venus à la fête ayant entendu dire que Jésus se rendait à Jérusalem, prirent des branches de palmiers, et allèrent au-devant de lui, en criant : Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, le roi d'Israël ! » Cette foule voyait en Jésus un nouveau roi David qui allait jeter les Romains hors de la terre d’Israël. Et les souffrances endurées à cause de l’occupant romain justifiaient leur enthousiasme et leur allégresse. C’est ainsi qu’à la fin des trois ans et demi de son ministère terrestre, le Messie annoncé par Daniel 9:24 à 27 fut pendant un court moment reconnu par une partie du peuple juif. Mais cette reconnaissance ne fut pas du goût des chefs religieux dont le peuple allait se détourner. C’est ainsi qu’ils trouvèrent dans la loi écrite par Moïse sous la dictée de Dieu, le moyen de l’accuser de blasphème, soit de mensonge, parce qu’il prétendait être « le roi des Juifs », alors qu’il ne présentait qu’une simple apparence humaine. Il y avait bien en sa faveur de nombreux miracles mais ils choisirent de les imputer à la puissance du diable qu’ils nommaient « Bel-Zebul ». Et là, leur cas était sans aucun remède, leur condamnation par Dieu était définitive. Jésus dit donc à Pilate dans Jean 18:34 : « Est-ce de toi-même que tu dis cela, ou d'autres te l'ont-ils dit de moi ? » Remarque comme Jésus répond à Pilate par une question qui contient sa réponse. En effet, en tant que juge chargé de juger Jésus, les témoignages répandus à son sujet sont d’une importance majeure, dont il a le devoir de tenir compte. Cette sagesse divine est admirable et le puissant procurateur est décontenancé et troublé par cette tactique divine, puisque finement, la question posée par Jésus est une accusation portée contre lui, contre son manque de probité et sa démarche superficielle. Si le peuple le tient pour roi, c’est le peuple que Pilate doit questionner et non Jésus. La situation l’agace mais l’homme qui se tient devant lui, fait preuve de tant d’intelligence mystérieuse que le dur et inflexible Pilate s’intéresse à lui, comme le prouve le verset 35 qui vient : « Pilate répondit : Moi, suis-je Juif ? Ta nation et les principaux sacrificateurs t'ont livré à moi : qu'as-tu fait ? » Jésus aurait pu répondre, « j’ai guéri, j’ai soigné, j’ai aimé, j’ai ressuscité des morts et maintenant je vais sauver mes élus ». Mais au lieu de cela, il lui dit cette étonnante vérité : «Mon royaume n'est pas de ce monde, répondit Jésus. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne fusse pas livré aux Juifs ; mais maintenant mon royaume n'est point d'ici-bas. » En disant  « mon « royaume n’est pas de ce monde », Jésus confirme sa royauté mais il lui retire toutes ses formes terrestres et un dialogue impossible s’engage entre l’homme de chair et le Dieu Esprit céleste et créateur de toute forme de vie. Dans le témoignage de sa vie, Jésus a démontré qu’il condamne les formes données aux diverses royautés terrestres construites, dès leur origine, sur un modèle diabolique païen que les Juifs avaient envié et voulu pour remplacer la présence de Dieu. Dans son explication, Jésus précise « maintenant mon royaume n’est point d’ici-bas ». Et cette précision « maintenant » contient l’annonce d’un royaume chrétien qui sera un jour installé sur cette terre, « d’ici-bas ». Dieu a bien formé le projet de s’installer sur la terre régénérée et glorifiée, selon Apo.21:3 : « Et j'entendis du trône une forte voix qui disait : Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. », et Apo.22. Mais sans la mort expiatoire du Messie rien ne sera possible. C’est pourquoi, Jésus ne fait pas appel à ses anges très puissants pour le délivrer des mains romaines. Pour lui, l’heure n’est pas venue de revendiquer un royaume terrestre qui est géré provisoirement par le diable, « le prince de ce monde ». C’est pourquoi, dans ses propos, Jésus nomme ses élus « citoyens du royaume des cieux », pas « de la terre ». Les « rois de la terre » n’avaient à ce moment de son arrestation rien à craindre de sa part, mais là encore, dans le temps, la situation changera et il les jugera et les détruira aux jours prévus pour cela. Jean 18:36 : « Pilate lui dit : Tu es donc roi ? Jésus répondit : Tu le dis, je suis roi. Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité. Quiconque est de la vérité écoute ma voix ». Jésus témoigne d’un grand respect envers le Romain Pilate parce qu’il n’est pas Juif. L’idée d’un Dieu unique Esprit, lui est étrangère et Jésus lui parle en toute franchise de choses célestes réelles conformes à la vérité de la situation de la vie universelle céleste et terrestre. Cette vérité qu’il lui fait partager est la chance de sa vie ou la cause de sa mort éternelle. Pilate aurait dû chercher à comprendre plus profondément le sens des paroles prononcées par Jésus, et ceci d’autant plus, qu’il ne trouvait point en lui de motif qui le rende digne de mort, comme le vol, ou le meurtre. Le verset qui vient nous révèle sa nature superficielle. Jean 18:38 : « Pilate lui dit : Qu'est-ce que la vérité ? Après avoir dit cela, il sortit de nouveau pour aller vers les Juifs, et il leur dit : Je ne trouve aucun crime en lui. » Pilate commet là l’erreur de sa vie. Après avoir dit, « qu’est-ce que la vérité ? », il aurait dû attendre de Jésus une réponse, mais non, sa propre réponse lui suffit et le sujet le laisse perplexe car il est incapable de lui donner un sens précis. Nous reviendrons sur cette « vérité » à laquelle Jésus est « venu rendre témoignage » selon ses propres paroles.

C’est alors la fin du premier échange entre Pilate et Jésus. Et Pilate habitué à faire mourir sans pitié les ennemis de Rome, ne voit pas en Jésus un tel ennemi. Voyant même que les accusations portées contre lui sont visiblement sans fondement, il va tenter de lui sauver la vie. Et c’est là que les Juifs rebelles mettent le comble à leur iniquité ; leur ignominie atteint un sommet d’horreur. Jean 18:39-40 : « Mais, comme c'est parmi vous une coutume que je vous relâche quelqu'un à la fête de Pâque, voulez-vous que je vous relâche le roi des Juifs? Alors de nouveau tous s'écrièrent : Non pas lui, mais Barabbas. Or, Barabbas était un brigand. » Relève bien que Pilate désigne Jésus comme « roi des Juifs ». En ce qui concerne le pouvoir romain, Pilate a compris que ce titre spirituel ne représentait aucun danger pour Rome et son empire. Aussi, sous l’inspiration divine, il va conserver cette expression pour le désigner jusque sur sa croix où ce titre sera écrit sur un écriteau dans les trois langues du lieu et de l’époque, l’hébreu, le grec et le latin. Ce sera également dans ces trois langues que plus tard, le témoignage divin sera enseigné au nom de Jésus-Christ. Fallait-il que les esprits humains soient enténébrés pour préférer sauver un brigand assassin plutôt que le doux et serviable Jésus. Mais c’est paradoxalement ces excès qui constituent le plus puissant témoignage en faveur de l’authenticité de son divin ministère. Songe que c’était un homme parfait, irréprochable, parce que divin, qui a été ainsi condamné et préféré à un assassin pour subir la mort de la crucifixion ; ce qui en fait un cas unique dans toute l’histoire de la vie terrestre. Un tel déferlement de haine populaire sans cause ne se reproduira jamais plus sinon contre des élus du Christ, pécheurs graciés par son sang.

Jean 19:1 : « Alors Pilate prit Jésus, et le fit battre de verges. » Pilate cède à la demande du peuple, mais il pense encore pouvoir calmer sa fureur contre Jésus en le soumettant au fouet dont les trois lanières de cuir portent à leur extrémités des os ou des morceaux de fer qui déchirent la chair du supplicié. La pratique autorisait un grand nombre de coup de fouet et le corps du Christ reproduit sur le linceul de Turin atteste de la marque de 120 impacts sanguins provoqués par les extrémités métalliques du fouet utilisé. Pilate commet là, sa première erreur, car sa haute position lui donnait toute légitimité de préserver la vie innocente de Jésus. Mais n’ayant pas la foi, il craignait la colère du peuple plus que celle du vrai Dieu avec lequel sans le comprendre il avait parlé. En tant que procurateur romain, il avait des comptes à rendre au puissant empereur romain entre les mains duquel se trouvait sa vie. Ayant peur d’être tenu pour responsable de troubles et séditions organisés en Israël, il fit le choix de répondre aux Juifs en leur accordant progressivement la mort du divin Messie.

Jean 19:2 : « Les soldats tressèrent une couronne d'épines qu'ils posèrent sur sa tête, et ils le revêtirent d'un manteau de pourpre ; puis, s'approchant de lui, » Ses hommes rudes et cruels habitués à verser le sang ne se doutèrent pas de ce que leurs actions étaient voulues et inspirées par Dieu lui-même. Car en posant sur sa tête cette « couronne d’épine », Jésus a gagné et mérité son titre de roi des Juifs et le manteau de pourpre dont ils l’ont revêtu portait une signification spirituelle des plus importante : il recevait par ce manteau de pourpre les péchés de ses élus passés et futurs, accomplissant ainsi littéralement et symboliquement ce que le rite du « Jour des Expiations » prophétisait, par l’imposition des péchés sur la tête du bouc choisi pour emporter les péchés au désert, où il allait périr. « La pourpre » et « le cramoisi » sont les couleurs symboliques du « péché », selon Esa.1:18 : « Venez et plaidons ! dit YaHWéH. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s'ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. » Il en est de même de « l’écarlate » selon Apo.17:4 : « Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution. » La couleur rouge est celle du sang humain qui doit être versé pour expier le péché, c’est pourquoi, le péché est rattaché symboliquement à cette couleur rouge. Ainsi, un drapeau qui contient cette couleur rouge revendique sans le savoir le lien du peuple auquel il appartient avec le péché. Et chacun peut remarquer aujourd’hui que ce rouge apparait dans un grand nombre de pays sur la terre.

Rien ne fut épargné à notre Sauveur comme en témoigne Jean 19:3 : « ils disaient : Salut, roi des Juifs ! Et ils lui donnaient des soufflets. » Ces hommes charnels sans lien avec le vrai Dieu ni connaissance de ses lois trouvaient en Jésus un sujet d’amusement cruel. Pour comprendre cette méchanceté gratuite, il  nous faut réaliser l’enjeu du combat dans lequel Jésus est engagé. Il est exposé à tout ce qui pourrait le faire renoncer à aller jusqu’au bout du projet expiatoire qu’il incarne à cette heure sur la terre du péché. Le diable se prend encore à espérer que Jésus va dire : « c’est trop dur, j’arrête, et je saisis ma divine puissance pour sortir de cette terrible et insupportable situation ». Mais Jésus supporte l’injustice apparente qui le frappe et résiste sans rien dire. Il sait que porteur des péchés, la violence qui l’accable punit le péché mais pas sa parfaite justice qui va lui permettre de se ressusciter après sa crucifixion. Il doit tenir pour pouvoir sauver par cette expiation qu’il subit à leur place, la vie de ses élus qui vont l’accompagner pendant l’éternité. Et en suivant ce récit, tu peux comprendre que la foi chrétienne ne peut en aucun cas se restreindre à une simple étiquette et pourquoi Jésus demande à ses élus de renoncer à eux-mêmes et à devenir divinement obéissants.

Jean 19:4 : « Pilate sortit de nouveau, et dit aux Juifs : Voici, je vous l'amène dehors, afin que vous sachiez que je ne trouve en lui aucun crime. » A ce moment, Pilate espère encore que le châtiment du fouet va suffire pour calmer la colère de la foule juive rassemblée. Mais il profite de ce moment pour exprimer clairement son propre jugement au sujet de Jésus : « Je ne trouve en lui aucun crime ». Il atteste ainsi de la parfaite innocence de celui dont on réclame donc injustement, la mort. Cette reconnaissance officielle du procurateur romain place donc toute la responsabilité de l’injustice à venir sur le peuple Juif et ses chefs religieux. Cependant en témoignant de l’innocence de Jésus, Pilate va se charger lui-même d’un péché d’injustice en acceptant la crucifixion du Messie. Bien que plus petit que celui des Juifs, le péché d’injustice sera imputé au procurateur comme Jésus va le lui suggérer dans le verset 11.

Jean 19:5 : « Jésus sortit donc, portant la couronne d'épines et le manteau de pourpre. Et Pilate leur dit : Voici l'homme. » Cette scène est d’une très grande importance. Le Messie qui se présente est sanguinolent, du sang macule son visage à cause des épines de la couronne enfoncée sur son crâne, et il a peine à se tenir debout. Pilate présente au peuple Juif son Messie sous un aspect qu’Esaie 53 décrit avec une grande précision :

Esa.53:1 : « Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de YaHWéH ? »

Esa.53:2 : « Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée ; il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n'avait rien pour nous plaire. »

Esa.53:3 : « Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas. »

Esa.53:4 : « Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; et nous l'avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. »

En cette veille de la Pâque juive, le destin de la nation s’est joué. Ce jour-là, son incrédulité a été démasquée par Dieu, parce que, prévenus par la description citée dans Esaïe 53, la nation et son clergé religieux se sont rendus coupables d’un terrible mépris pour la parole prophétique. Et Israël fut, en premier, victime de ce mépris prophétique, retrouvé ensuite, en 1843 pour la foi protestante installée aux USA principalement.

La présentation de Jésus à la foule constitue un moment clé du projet salvateur préparé par Dieu. Les blessures, qui font déjà couler son sang, sont déjà les signes du châtiment des péchés qu’il porte à la place de ses seuls élus. Jésus est ainsi présenté à la foi des hommes, présente ou absente. Le sens de ses blessures est clairement notifié dans Esa.53:4 : « Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; et nous l'avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. ». Si ce texte n’existait pas, Israël serait excusé sur sa méprise également prophétisée dans ce verset. Mais ce n’est pas le cas, et ce verset témoigne contre la nation juive, car il existe et donne des explications offertes par Dieu au sujet de la mission préparée pour le Messie juif.

Esa.53:6 : « Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie ; et YaHWéH a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous. » Esaïe nous montre le Messie sous l’image de « l’agneau qui ôte le péché du monde », mais également le « bon Berger » qui « donne sa vie pour ses brebis » selon Jean 10:14-15 : « Je connais mes brebis, et elles me connaissent, comme le Père me connaît et comme je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. » Mais les versets qui suivent complètent ce projet : Verset 16 : « J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie ; celles-là, il faut que je les amène ; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger. » Ce verset prouve que le salut allait être présenté aux nations païennes et la chose s’est accomplie par les conditions établies par la nouvelle alliance basée sur le sang expiatoire du Messie ou Christ, nommé Jésus ; nom qui signifie : YaHWéH sauve. Note ce qu’implique la précision : « il faut que je les amène ». Elle prouve que le projet de Dieu consiste à amener les païens à rejoindre l’Israël juif ; et non l’inverse. Les versets 17 et 18 ajoutent : « Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. » Les apparences étaient terriblement trompeuses ; qui aurait pu penser que cet homme meurtri et défiguré, avait en lui « le pouvoir de donner sa vie et de la reprendre ? »  Un lecteur de la Bible connaissant le projet de Dieu, et comme il n’existait pas ce genre de personnage, c’est Jésus lui-même qui expliquera ces choses à ses disciples et ses apôtres après s’être ressuscité.

Au moment de cette présentation de Jésus, Pilate le présente en disant : « Voici l’homme ! ». Le moment est solennel, dans son aspect pitoyable, Jésus porte et représente le sort de l’humanité jugée digne de son éternité. Il s’apprête à donner sa vie dans la douleur extrême, afin de payer la faute d’Adam et Eve ; le péché qui fit perdre le droit de vivre éternellement. Et la valeur unique de sa vie personnelle, exempte de tout péché soit, parfaitement juste, lui donne la possibilité de sauver, non pas une âme, mais la multitude des âmes de ses élus. La vie obtenue par ce rachat concerne les deux vies successives, la vie terrestre et la vie céleste qui se prolongera éternellement. Spirituellement, l’homme qui est présenté à la foule juive est le nouvel Adam qui vient réussir là où Adam et Eve avaient échoué. La cause de leur échec fut la désobéissance à l’interdiction de Dieu « de manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal ». Cette fois le compétiteur connaît son ennemi auquel il a su toujours résister. Depuis sa naissance, Jésus sait qu’il est venu combattre le diable et ses instruments humains et angéliques. Au début de son ministère, quand il fut tenté en vision, il n’a pas cédé devant lui, a résisté et a remporté victorieusement sa bataille. Celle qu’il doit remporter maintenant est beaucoup plus dure, la mort qui l’attend est des plus atroces sur le plan douleur. Mais depuis la veille au soir, dans le jardin de Géthsémané, il a finalement pris sa décision et ira jusqu’au bout pour sauver ses élus. Regardons encore cette description du Christ présenté à la foule juive : «Jésus sortit donc, portant la couronne d'épines et le manteau de pourpre. Et Pilate leur dit : Voici l'homme. »  Le manteau de pourpre n’est pas sa propre chair ; ce n’est qu’un vêtement jeté sur ses épaules qui lui donne l’aspect d’un roi mais en même temps qui symbolise tous les péchés de ses élus confessés sur sa personne. Dans cet aspect, Jésus représente le contraire absolu de ce que la royauté représente dans la vie des pécheurs. Et le plus étonnant pour la pensée terrestre c’est que Jésus s’est volontairement livré pour cette humiliation et cette dégradation de sa personne. Quel roi terrestre serait prêt à faire de même ? Pendant tout son ministère, Jésus s’est efforcé de faire découvrir les valeurs célestes à ses élus. En dernier, la veille, au soir de cette journée, il a lavé les pieds de ses apôtres, renversant de la sorte, toutes les valeurs des mœurs en vigueur sur la terre des humains rebelles séparés de Dieu. Par la bouche de Pilate, Dieu désigne le Christ obéissant jusqu’à la mort pour le présenter comme le modèle parfait de l’homme selon son cœur et toutes ses valeurs.

 

Le deuxième échange

Jean 19:7-8 : « Les Juifs lui répondirent : Nous avons une loi ; et, selon notre loi, il doit mourir, parce qu'il s'est fait Fils de Dieu. Quand Pilate entendit cette parole, sa frayeur augmenta. »  Cette frayeur s’explique par le fait que Jésus a déjà confirmé son titre de « roi des Juifs » et de plus, Pilate apprend qu’il revendique être le « Fils de Dieu ». Or, contrairement aux Juifs qui ne croient qu’au seul Dieu créateur unique, Ponce Pilate est un homme païen habitué aux rites dédiés à d’innombrables divinités que les peuples païens servent et craignent. L’idée même qu’une de ces divinités se présente sur sa route avait de quoi « l’effrayer ». Car dans cette affaire, les incrédules étaient du côté juif, pas du côté romain. Simplement, ces Romains n’avaient pas été enseignés d’une manière juive, et leur religiosité consistait à servir des divinités spécialisées, comme Bacchus le dieu de la vigne, ou Esculape le dieu serpent ; on divinisait toutes sortes de qualités, de défauts, et cette opposition constatée chez l’homme prenait ainsi une origine chez les dieux invisibles, car les images n’étaient pour ces païens que des supports visuels représentant les vraies divinités cachées.

Pris de panique, cette fois, c’est Pilate qui se presse pour questionner Jésus. Jean 19:9 : « Il rentra dans le prétoire, et il dit à Jésus : D'où es-tu ? Mais Jésus ne lui donna point de réponse. » L’inquiétude de Pilate se lit dans la question qu’il pose à Jésus, « d’où es-tu ? » et non, « qui es-tu ? » Il s’attendait à une réponse du genre, « de l’Olympe où je vivais parmi les dieux », mais Jésus se tait et ne répond pas. Plutôt rassuré par ce silence, l’énervement remplace chez Pilate la frayeur, et nous lisons, dans Jean 19:10 : « Pilate lui dit : Est-ce à moi que tu ne parles pas ? Ne sais-tu pas que j'ai le pouvoir de te crucifier, et que j'ai le pouvoir de te relâcher ? » Ce sont ces paroles qui vont condamner Ponce Pilate devant Dieu puisqu’il reconnaît avoir toute autorité pour « le crucifier ou le relâcher ». Ces paroles avaient de quoi épouvanter n’importe quel homme normal. Et devant cette menace, Pilate avait toujours vu chez ceux qui les entendaient des comportements de terreur ou à l’opposé, plus rares, d’arrogance. Mais Jésus le déconcerte car il ne réagit ni par la terreur ni par l’arrogance et de sa voix calme et paisible, il lui dit la vérité : Jean 19:11  : « Jésus répondit : Tu n'aurais sur moi aucun pouvoir, s'il ne t'avait été donné d'en haut. C'est pourquoi celui qui me livre à toi commet un plus grand péché. » Sa réponse n’a rien d’arrogant, elle est tout simplement logique et de plus, en évoquant « le pouvoir donné d’en haut », Jésus montre qu’il croit lui aussi au pouvoir invisible divin ; chose que le païen adorateur de fausses divinités partage. Mais les paroles de Jésus confirment la condamnation de Pilate qui commet, lui aussi, « un péché », en livrant à la mort un innocent. La culpabilité des Juifs organisateurs et demandeurs de cette mort est cependant bien supérieure, leur péché est bien « plus grand ». Le péché est beaucoup « plus grand » et cette faute sera payée par la mort de la nation juive ; la mort de sa population et la dispersion de ses survivants sur toute la terre habitée à partir de l’an 70 et jusqu’en 1948.

Intrigué par le comportement noble et paisible de Jésus, Pilate ne voit dans ses réponses que de la sagesse et une logique de vérité déconcertante et désarmante. Pour la première fois de sa vie, il voit de ses yeux un homme parfaitement innocent que les Juifs lui demandent de crucifier. Et Jean 19:12 témoigne de son jugement : « Dès ce moment, Pilate cherchait à le relâcher. Mais les Juifs criaient : Si tu le relâches, tu n'es pas ami de César. Quiconque se fait roi se déclare contre César. » La crainte de ce César romain va définitivement conduire Pilate à obéir en tout point à la demande des Juifs et Jésus sera conduit au pied du Mont Golgotha pour y être crucifié.

De cet échange si important entre Jésus et Pilate, il faut retenir l’extrême franchise des deux interlocuteurs. Et dans un temps où il parlait aux juifs en paraboles souvent incomprises, Jésus s’est exprimé en langage parfaitement clair dans ses propos tenus à Pilate. Ceci, alors qu’il savait que ses explications ne changeraient rien à son destin mortel qu’il avait accepté. Et son caractère, entier et droit marque encore là son exceptionnelle divine personnalité. Il reste franc et droit en toute situation et témoigne de la sorte qu’il est réellement l’expression visible de la vérité divine.

Il est temps de revenir sur cette déclaration de Jésus disant à Pilate : « Je suis né et je suis venu sur terre pour rendre témoignage à la vérité ». La Bible cite souvent ce mot « vérité » toujours rattaché à Dieu lui-même, sa loi, ses commandements et ici sous la forme de l’accomplissement de son projet salvateur. Ce mot mérite d’être placé en opposition absolue du mensonge qui caractérise le diable et ses valeurs, ses manigances et ses tromperies. Mais pour comprendre le sens réel de ce mot, nous devons découvrir le fonctionnement de l’Esprit de Dieu en lequel le mot mensonge est totalement exclu. Sa pensée et sa parole sont créatrices et ce que crée cette pensée ou cette parole est dans une conformité parfaite avec ce qu’elle devait être. Dieu ne supporte pas l’incohérence parce qu’il est de nature uniquement cohérent. C’est pourquoi, devant sa face, ses projets doivent s’accomplir en parfaite conformité avec ce qu’ils devaient être dans sa pensée. Cette déformation de son projet fut payée officiellement et publiquement cher par Moïse condamné par Dieu à ne pas entrer dans la terre de Canaan. Ceci, parce qu’il frappa deux fois le rocher d’Horeb, alors que la seconde fois, l’ordre donné par Dieu était simplement de lui parler pour obtenir la précieuse eau sans laquelle toute chair meurt déshydratée. Pour Dieu, la vérité a cette exigence et le comprenant, ses élus veillent à respecter ce principe. Dieu apprécie notre respect du détail quand ce respect n’a que le but de lui plaire. Ses élus se préparent pour vivre l’éternité en sa compagnie, et cette préparation consiste à savoir ce qui lui plait, ce qui fait sa joie et son bonheur. Et du début jusqu’à sa fin, la Bible témoigne que Dieu identifie l’amour de ses élus à leur obéissance. Il est ce Père divin auquel ses enfants doivent légitimement et logiquement obéir sans déformer ni trahir son attente. La vérité exige des enfants de Dieu qu’ils se comportent comme le doivent des enfants de Dieu dans toute la logique de leur divin Père. Dieu a déclaré, « autant mes voies sont opposées à vos voies ». L’origine de Dieu est la pureté parfaite mais les humains qu’il rachète sur la terre sont nés pécheurs et donc souillés par le péché. Nous pouvons alors prendre conscience des énormes transformations que nos natures terrestres doivent subir. Et cette transformation de nos méchantes natures est rendue difficile par le fait que nous vivons dans une ambiance collective détestable marquée par le péché. L’humanité veut toujours plus de liberté et elle produit toujours plus de maux et de souffrances. Les religions chrétiennes officielles se retrouvent dans la situation de Ponce Pilate qui ne savait pas qu’il parlait avec Dieu. Sans l’obéissance et le désir de lui obéir, la foi chrétienne ne vaut pas plus que le pire du paganisme romain ou autre, et de plus cette base de connaissance la rend encore plus coupable. De tout temps, la vraie foi, a reposé sur un lien individuel tissé avec ce Dieu révélateur, très exigeant au nom de sa perfection. Son projet éternel repose entièrement sur la mise en œuvre de cette perfection. Connaissant ses exigences, le candidat pour la vie éternelle doit s’adapter ou renoncer à elle.

Dans sa révélation, Dieu symbolise « la vérité » vécue par ses élus d’origine céleste et terrestre par l’image d’une « mer de verre transparente comme du cristal », dans Apo.4:6. Mieux que toute parole, cette image révèle le lien qui relie « la vérité et la pureté parfaite » qui sont deux qualités indissociables pour Dieu. Dans Jean 13, sous le nom « charité » ou « charisme », Jésus nous donne une description des qualités de « la vérité » vécue selon Dieu. Et ces qualités déterminent la possibilité du bonheur collectif dont seuls les élus profiteront parce qu’avec leur collaboration, Jésus les aura transformés à son image, celle de son divin caractère.

Dieu est Esprit et un esprit pensant illimité. A l’opposé de lui, l’homme dépend de ses yeux et de ses cinq sens ; Les pensées des autres hommes sont gardées secrètes et mystérieuses, car elles ne sont pas visibles par l’œil humain. Mais si la chose est impossible aux hommes, elle ne l’est pas pour Dieu pour lequel la connaissance commence au niveau de la pensée et même avant qu’elle se forme dans l’esprit de ses créatures. C’est cette situation qui conduit Jésus à nous apprendre que le péché commence à partir de l’apparition de son idée dans leur esprit. Dans Matt.5:27-28, Jésus nous donne cet exemple : « Vous avez appris qu'il a été dit : Tu ne commettras point d'adultère. Mais moi, je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur. » La chose peut étonner les hommes mais pour Dieu, la pensée de ses créatures est déjà une expression de leur vie. C’est pourquoi contrairement à la pratique humaine, il ne fait aucune différence entre la pensée mauvaise formée dans l’esprit et son accomplissement en fait réel soit, le passage à l’action. Jésus a révélé cette notion et il exhorte ses élus à purifier leurs pensées. La vérité selon Dieu concerne la pureté de la pensée bien plus que la pureté de la chair à laquelle les êtres humains accordent la plus grande importance. Mais dans Matt.15:20, Jésus a enseigné le contraire justifiant ses apôtres qui ne se lavaient pas les mains avant de manger comme le leur reprochaient les pharisiens hypocrites, eux-mêmes étant souillés par les paroles sorties de leurs cœurs. La pureté qui compte pour Dieu est un tout, à la fois charnel et spirituel. Dans ses reproches, Jésus désigne le fait de laver le plat extérieurement mais de négliger son état intérieur. C’est encore là, une conséquence de la pureté de la vérité mise en pratique. Pour Dieu l’état mental vaut autant que l’état physique dont les soins passent par le respect des règles alimentaires et sanitaires qu’il a fait écrire par Moïse. La mise en pratique de ces choses constitue encore une forme de la vérité vécue exigée par Dieu et ainsi, on peut le comprendre, sa conception de la vérité englobe tous les aspects de la vie. Créée libre, la vie de ses créatures prend facilement des libertés avec cette norme divine de la vérité, car la vie libre s’engage dans des chemins dangereux pour l’âme et ne bénéficie pas de la sécurité d’une voie forcée comme les rails d’un train. C’est pourquoi, Jésus invite ses élus à veiller et faire preuve de prudence car la route est glissante et la sortie de route est aisée et facile.

La vérité selon Dieu est aussi dans son choix de séparation des espèces. Dès le début de sa création, Dieu a créé des espèces animales avant de former l’homme à son image. Les espèces animales ne connaissent pas le comportement pervers ; elles se reproduisent au sein de leur espèce et ne font pas le mal. La perversion est un défaut strictement humain car elle est la conséquence de l’intelligence humaine qui se pervertit dès lors que celle-ci enfante des pensées mauvaises, contre nature et contre les règles établies par Dieu. Les déviations sexuelles changent la vérité vécue en mensonge vécu ; selon l’image, le train est sorti des rails qui assuraient sa sécurité. L’âme victime de ce fruit créé par la liberté devient un astre errant qui se déplace sans savoir où il va. Jésus est venu pour arracher des âmes aux différents pièges tendus par la liberté individuelle des hommes. Il nous a présenté la norme divine de sa vérité et depuis ce jour, ceux qui entendent et répondent à son appel « renaissent dans la vérité », mais dans un statut choisi d’esclave de Dieu. Cette expression très spirituelle signifie qu’ils se considèrent comme morts pour les normes de la vie du péché et reconstruisent avec Dieu leur vie sur les valeurs divines révélées par Jésus-Christ. Mais ces valeurs ne sont pas nouvelles, les textes de l’ancienne alliance les ont déjà exprimées par la lettre de la Bible, la lettre de la loi écrite par Moïse. Ce qui manquait à ces témoignages écrits, c’était un modèle parfait de leur application ; et Jésus est venu l’incarner. Ainsi, « la vérité » a pris une forme humaine concrète visible et elle a aussi gagné une efficacité pour conquérir les cœurs des élus sélectionnés par Dieu, par l’unique nom de Jésus et son sang versé à Golgotha. Jésus a lui-même résumé ce principe en disant de lui : « Je suis le chemin, la vérité et la vie ; nul ne vient au Père que par moi ». Cet enseignement l’a précédé puisque, dans l’ancienne alliance, la vérité divine était déjà enseignée, et la personne du Christ crucifié était également présente, prophétiquement, sous l’aspect de l’agneau offert en holocauste tous les jours, et deux fois par jour de 24 heures, le soir et le matin. Cette offrande était « perpétuelle » et elle ne devait cesser que remplacée par Jésus-Christ dont la mort a accompli l’ultime offrande « perpétuelle ». En lui, Dieu a condamné le péché, et après lui, le sacrifice animalier est devenu entièrement inutile. Sa prolongation ne constituait plus qu’une preuve de refus de reconnaissance du plan salvateur conçu et accompli par Dieu. Après Jésus-Christ, l’offrande de sacrifices animaliers devint cause de condamnation par Dieu et sa malédiction a ainsi frappé la nation juive rebelle entière, détruite en 70 par les troupes romaines, conformément à l’annonce prophétique citée dans Dan.9:26 : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. »

Le mépris manifesté envers « la vérité » de Dieu a toujours été payé très cher par les peuples, et jusque dans notre époque où un châtiment collectif vient de s’engager en commençant en Ukraine. Dès lors, l’Occident infidèlement chrétien se retrouve dans la situation du peuple juif, dans le contexte de sa destruction progressive dirigée par le roi Nébucadnetsar, le V.Poutine de l’époque.

Jérémie 8:14-15 : « Pourquoi restons-nous assis ? Rassemblez-vous, et allons dans les villes fortes, pour y périr ! Car YaHWéH, notre Dieu, nous destine à la mort, il nous fait boire des eaux empoisonnées, parce que nous avons péché contre YaHWéH. Nous espérions la paix, et il n'arrive rien d'heureux ; un temps de guérison, et voici la terreur ! »

 

Ce sujet de la vérité est vaste et la rupture faite avec Dieu porte des conséquences immenses. Alors que Dieu exalte la pureté, la transparence, le caractère droit et entier, les populations séparées de lui se développent dans des caractères opposés dans l’absolu. Les êtres humains sont devenus faux, sournois, trompeurs, ils feignent d’être quelqu’un d’autre queux mêmes, vivent leur vie comme un rôle pour ressembler au modèle admiré de l’époque. La conséquence de cette fausseté basique généralisée est l’intensification des divorces et des ruptures des couples qui vivent ensemble sans être mariés officiellement. La raison est simple : ils épousent ou cohabitent avec une personne jusqu’au jour où ils découvrent que cette personne n’est plus la même. C’est la conséquence inévitable de jouer sa vie comme un rôle, au lieu d’accepter simplement notre nature et notre personnalité réelle. Dans la déception rencontrée, des réactions de violences sont générées. Les relations humaines modernes basées sur l’utilisation des réseaux « internet » ont énormément favorisé cette mascarade qui cache la personnalité. Et trop souvent déçus par leurs relations, les humains se replient sur eux-mêmes dans une aigreur communicative. C’est alors, qu’il leur faut réaliser que ce fruit détestable de leur société est uniquement dû à leur mépris du Dieu de vérité, qui constitue un puits de sagesse sans fond et connaît, seul, les règles qui favorisent le bonheur. Dans la Bible, tous les hommes que Dieu a aimés avaient cette droiture naturelle et cette simplicité qui les rendent aimables. Jésus n’a-t-il pas dit : « Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » ? Et là, je dois rappeler que la pureté exaltée par Dieu est premièrement morale et secondement charnelle. Je rectifie ici l’ordre enseigné par la fausse foi catholique qui n’a jamais cessé de tromper les chrétiens en favorisant l’attention sur le péché de chair. A l’origine, elle a commencé à répandre dans les esprits humains l’idée que le péché originel était de caractère sexuel imagé par l’expression devenue populaire « croquer la pomme ». Et je rappelle que cette démarche a été confirmée par le dédoublement du péché charnel dans sa version transformée des dix commandements de Dieu. Ceci, puisque sa suppression pure et simple du deuxième commandement l’a contrainte à en inventer un, pour le remplacer. Elle a ainsi pris le sujet de la sexualité, pour en faire le péché charnel par excellence. Cependant, tu dois comprendre que sa pratique de l’agenouillement, devant des faux saints devenus esprits célestes qui ne sont en réalité que des mauvais anges, constitue bien un péché de chair et d’esprit ; puisqu’il concerne une attitude physique et mentale idolâtre condamnée par Dieu dans ce deuxième commandement qui n’a pas disparu dans les écritures de la Bible et dans la pensée de Dieu ; Exo.20:4 à 6 : « Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, YaHWéH, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu'en mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements. » On a peine à croire que l’être humain ait osé supprimer un texte écrit à l’origine du doigt de Dieu sur les tables de pierre, mais c’est ce que le pouvoir papal a fait. Cependant, cette tromperie ne change rien et Dieu impute le péché et la mort qui l’accompagne aux transgresseurs de ses commandements. C’est alors qu’il nous faut réaliser, que le triste état de nos sociétés occidentales est dû aux faux enseignements de nos fausses religions chrétiennes qui, avant les humains, ont pris une fausse apparence de sainteté que Jésus-Christ dénonce avec beaucoup d’insistance dans sa Révélation. En effet, dans Apo.9: 1 à 11, où Jésus présente le thème de la « cinquième trompette » qui concerne la foi protestante rejetée et livrée au diable depuis le printemps 1843, on relève l’emploi du terme « comme » 9 fois en 11 versets ; exemple le verset 8 : « Elles avaient des cheveux comme des cheveux de femmes, et leurs dents étaient comme des dents de lions. » Décrypté, ce message dit : « elles avaient une apparence extérieure (cheveux) d’églises (femmes) mais étaient, paradoxalement, féroces (dents) et fortes (lions) ». Cette insistance dénonce une fausse apparence trompeuse que Jésus exprime clairement dans Apo.3:2, en disant : « Tu passes pour être vivant et tu es mort ». Mais il faut également relever que dans Apo.8:8, l’instauration papale en 538 de la « deuxième trompette » comporte également le terme « comme » : « Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer; et le tiers de la mer devint du sang, » Et la mention de ce terme « comme » est d’autant plus justifiée que la foi catholique papale romaine a été la première forme de l’usurpation trompeuse et fausse de l’Elue, l’Eglise ou Assemblée du Christ, de toute l’histoire du christianisme. Pour finir, il nous faut bien retenir le fait que ce fruit de fausseté trompeuse n’apparaît dans l’institution concernée qu’après avoir été rejetée par Christ pour être abandonnée au diable. Aussi, dois-je le rappeler, ce triste sort a concerné en dernière l’institution officielle de la foi « adventiste du septième jour » depuis l’année 1994 déterminée par les « cinq mois » prophétiques ou 150 années d’Apo.9:5-10. Ayant rejoint l’alliance œcuménique maudite par Dieu en 1995, elle présente donc, à son tour, cette fausse apparence dénoncée par Jésus-Christ, le Dieu de Vérité et de la transparence.

 

 

Mon commentaire sur l’actualité du 15 Juin 2022

 

Les fourberies du Scapin français

Les élections présidentielles ont replacé E.Macron pour cinq ans à la direction de la France. Dans ce pays prophétiquement maudit par Dieu, pour son goût pour la liberté outrancière, le choix humain n’est que le reflet extérieur d’une volonté divine que chacun peut relever, par le fait que, par deux fois consécutives, E.Macron a été élu, par défaut, face au Front National représenté par Marine Le Pen. Pour ce jeune homme arrogant, arriviste et présomptueux, peu importe le nombre des Français qui le soutiennent ; seul le résultat compte, il est élu. Il avait déjà révélé sa nature injuste, en prouvant qu’il se souciait peu de l’inégalité de la mesure qu’il proposa aux entreprises. Selon ses paroles, celles « qui le pouvaient » devaient donner à titre d’aide cent euros à leurs travailleurs pauvres, au temps des « gilets jaunes » victimes de la crise économique. Tant pis pour ceux qui ne la reçurent pas.  Nous avons là un bien bel exemple d’absence d’équité chez ce personnage. Il a même cru, pendant son premier mandat, que les voix votées pour lui, par rejet de Marine Le Pen, lui étaient favorables. Et de nouveau élu, il a pensé que tout était gagné d’avance. Et voilà qu’à l’occasion des élections législatives, il découvre qu’une grande quantité de Français et Françaises souhaitent ne pas donner à son parti LREM la majorité absolue. Jusqu’ici, il a su tromper et manipuler les opinions du peuple en organisant des séances télévisées qui lui sont toujours favorables, comme la mascarade de ses « grands débats » où plutôt « grands monologues ». Malin comme un singe ou un Satan, il fuit les situations inconfortables et tente de détourner l’attention du peuple français comme le démontrent les faits accomplis au cours de cette semaine située entre les deux tours de nos élections législatives. L’opinion du public sondé, ayant révélé une position hostile, le jeune président, a découvert qu’une partie importante majoritaire du peuple ne l’aime pas, voire le déteste. Aussi que fait-il ? Il fuit la situation désagréable et organise en Roumanie un déplacement pour rencontrer les soldats français basés, dans ce pays, dans une base de l’OTAN. En langage militaire, il pratique la stratégie de la diversion et sachant que tous les médias centrent leur attention sur lui, il les utilise pour convaincre les Français, qu’en chef de guerre, leur soutien partiellement perdu est nécessaire.  Dit aussi plus simplement, il « boude » les Français et part chercher chez les étrangers, l’adoration et les marques d’honneurs dont il raffole. Le pouvoir décisionnaire est grisant et « l’appétit vient en mangeant » dit le dicton populaire. Car c’est pour obtenir cette déférence respectueuse et soumise qu’il a voulu être le président des Français ; bien qu’il ait reconnu et revendiqué lui-même, « son inexpérience et son immaturité ». Le résultat obtenu par ses compétences atteste ses propos. Pendant les deux ans de l’attaque du virus Covid-19, il a bloqué le fonctionnement économique de la France docile et soumise qu’il a ruinée, se mettant à l’abri en se retranchant derrière les décisions d’une junte sanitaire. Quand la guerre de l’Ukraine a éclaté, après qu’elle ait excité le géant russe, selon son célèbre principe du « en même temps », il a ouvertement pris parti pour l’Ukraine, suivant ainsi la position prise par la commission européenne. Les nations ayant suivi en presque totalité, des armes ont été données pour tuer du russe. Mais ceci ne l’a pas empêché de croire qu’il pouvait « en même temps » sauvegarder sa neutralité en parlant au chef russe par téléphone. Dans cet aveuglement général, qui relève, avant tout, d’une puissance d’égarement imposée par Dieu, il  nous reste à constater qu’en armant son adversaire, la France et ses « partenaires », ou plutôt « concurrents », européens, ont réussi à faire de la puissante Russie leur ennemie mortelle. Le futur très proche confirmera cette terrible vision des choses déjà prophétisée par Dieu. Ceci d’autant plus, qu’en ce jour, chacun peut déjà constater l’affaiblissement des forces ukrainiennes et l’avance conquérante, lente mais réelle, des forces russes.

La vie réserve pour chaque jour d’étonnantes surprises. J’apprends que dans une déclaration publique, interrogé à propos de la guerre en Ukraine, le pape François partage les torts entre l’OTAN et la Russie. Cette étonnante analyse juste trouve sans doute son explication dans le fait que ce pape a des origines sud américaines ; ce n’est pas un pape d’origine européenne ou mieux, italienne comme la majorité de ses prédécesseurs. Mais ce qu’il faut relever, c’est que le pape ne partage pas le point de vue de la Pologne très catholique et soutien inconditionnel de son « frère siamois » ukrainien. Pour autant, il est encore loin de savoir et reconnaître que la cause du drame, qui s’intensifie, vient châtier son repos du « dimanche » pratiqué sur le premier jour de la semaine de l’ordre du temps établi par Dieu. Ceci, au détriment de son vrai sabbat ordonné par son quatrième commandement. Mais son jugement équilibré prouve son intelligence personnelle ; ce qui le rend encore plus coupable devant Dieu.

J’entends continuellement sur les médias des journalistes, des hommes politiques et des soi-disant « spécialistes » appelés des « consultants » répéter inlassablement que la France et l’Europe ne sont pas en guerre avec la Russie. Quelle abominable hypocrisie ! Ces gens savent que lorsque nos canons, nos tanks, toutes nos armes tuent des soldats russes, nous prenons part à la guerre, mais il faut tranquilliser les peuples pour conserver leur approbation. Et la meilleure preuve est que ce soutien armé vise à faire capituler faute de pouvoir la détruire, la Russie, trop puissante pour être anéantie. Et l’acharnement à soutenir le combat mené contre elle a pour cause la peur d’être un jour détruit par elle.

L’incrédulité et l’arrogance de la société de consommation créée en Occident, se sont traduites par une conséquence qui n’apparaît que maintenant. Longtemps convaincue que la création de l’U.E. avait écarté le risque d’une grande guerre en Europe, la France a mis fin au service militaire généralisé et tous les dirigeants politiques et militaires français étaient convaincus que les armes conventionnelles n’allaient plus être utilisées, sinon dans de petites opérations dans des territoires extérieurs à l’Europe. La conséquence de cette trompeuse illusion est qu’aujourd’hui, l’Europe et les USA ne disposent plus assez de ce type d’équipement, alors que préparée par Dieu dans ce but, la Russie a fabriqué un arsenal de milliers d’anciennes armes et de nouvelles plus efficaces et plus terribles. C’est pourquoi, sa victoire contre les nations européennes est certaine et déjà prophétisée par Dieu. De manière évidente, les puissances occidentales l’ont sous-estimée et cette erreur leur sera fatale.

Nous n’entendons pas ce que pense individuellement chaque européen et chaque Français. Mais des divergences d’opinion au sujet de la guerre en Ukraine commencent à apparaître. Sur les plateaux des médias, se succèdent des gens victimes du principe selon lequel « l’union fait la force ». Mais en ce qui concerne l’Europe, sa force et sa puissance sont illusoires. L’argent qui fait la richesse du monde occidental est sans effet contre les bombes et les balles. Et déjà, notre Europe entière présente l’aspect de ce « colosse aux pieds d’argile et de fer », que Dieu a présenté au prophète Daniel pour prophétiser la réelle faiblesse du monde riche occidental de notre époque qui précède de 8 années ce qu’il convient d’appeler « la fin du monde ».

Ces « pieds » composés en partie « d’argile » et en partie « de fer » prophétisent des caractères binaires opposés que nous retrouvons dans les compositions politiques des pays occidentaux, dont le cas le plus typique est celui des USA où la politique est partagée entre le camp « dur » des Républicains et le camp « mou » soit, plus social, des Démocrates. En France, le même phénomène oppose la Droite et la Gauche et ceci caractérise plus ou moins toutes les démocraties occidentales. La règle de la majorité s’applique mais lorsque les deux camps sont presque égaux, comme c’est le cas aux USA, la règle devient plus difficile à accepter et la démocratie elle-même est menacée ; le risque d’affrontements violents s’accroît dangereusement. (La chose se confirme par l’abrogation de la loi fédérale autorisant l’avortement aux USA, en date du 24 juin 2022.)

Il se trouve que l’Europe se divise à cause de l’Ukraine soutenue par la Pologne, catholique dont le symbole est « le fer », et le camp pour la paix, représenté par l’Italie et l’Allemagne, est digne, lui, dans ce cas, du symbole « de l’argile ». Où placer la France d’E.Macron ? Selon son principe séducteur de « caméléon » qui le rend inclassable, la France de Monsieur « en même temps » est dans les deux camps. Depuis que j’écoute ses discours, j’ai relevé sa capacité à dire à tous, ce qu’ils souhaitent entendre. Il parle, parle, invente et dit n’importe quoi, mais tout passe et finalement, il réussit à séduire ses interlocuteurs, mais pas tous. De toute façon, il sait éviter la confrontation avec ses adversaires les plus compétents. En fait, il n’agit pas seulement en « caméléon », il est aussi, autant insaisissable qu’une « anguille ». L’actualité de ce 15 Juin, nous donne un bel exemple de cette description. Dans son discours officiel présenté en Roumanie, évoquant le problème de l’Ukraine, le président Macron ne voit que deux possibilités : celle de soutenir par des fournitures d’armes l’Ukraine jusqu’à sa victoire et en seconde, celle de trouver un accord diplomatique avec la Russie. Incroyablement, ce jeune homme exclut une troisième possibilité ; celle que la Russie remporte la victoire contre l’Ukraine, dans ce conflit. Et tous ignorent encore plus, Russie comprise, qu’elle doit aussi vaincre et écraser l’Europe entière dont la France d’E.Macron. Jamais son prénom « Emmanuel », qui signifie « Dieu avec nous », n’a été aussi mal porté, car il est évident que Dieu n’est pas avec lui. Mais le titre présidentiel et son respect de la part des Français aveuglés lui permet tout, tu peux comprendre pourquoi, dès son arrivée au pouvoir, je lui avais donné pour nom : « Fossoyeur » de la France ; le dernier chef national de son histoire de quelques 1600 ans qui va ainsi prendre fin, au temps de la « fin des nations » prophétisé par Dieu. Sa vision binaire est maudite et il ignore que, pour Dieu et ses élus, le chiffre deux symbolise l’imperfection et le chiffre trois, le symbole de la perfection.

Pendant des décennies, après la Deuxième Guerre Mondiale, l’Europe s’est divisée en deux camps et à l’Est, la Russie soviétique s’est repliée et refermée derrière son « rideau de fer ». Longtemps exploitée et dominée par elle, la Pologne lui a voué une haine qui ressort aujourd’hui dans la guerre de l’Ukraine. Son image symbolique « du fer » et sa dureté actuelle ont leur source dans l’époque où elle était derrière ce « rideau de fer ». L’extension de l’U.E. va donc faire payer aux européens l’adhésion des anciennes nations conquises par les Russes. Car en rejoignant l’Europe, elles lui ont apporté leur haine de la Russie et leur désir de vengeance. Le temps qui vient finira néanmoins par donner raison à la position jusqu’au-boutiste défendue par les jeunes ukrainiens. Puisqu’à terme, les USA détruiront la Russie par une attaque nucléaire de son territoire. Et en fait, ces Ukrainiens ont encore raison en reprochant aux nations européennes de renouveler la faute de « Munich » de la Seconde Guerre Mondiale, car une fois de plus, la peur et la lâcheté des nations riches occidentales favorisent l’expansion du nouveau conquérant ; cette fois russe. Toutefois, cette peur n’est pas cette fois illégitime, car elle est motivée par la menace russe qui repose sur sa détention de terribles armes nucléaires. Et le comble, c’est qu’elle sera détruite en première par l’arme nucléaire. Mais en fait, s’agit-il bien de peur et de lâcheté ? Et bien non parce que la cause réelle, c’est que les nations ne sont pas unies malgré leur prétention à l’être (ONU). En fait, c’est Dieu qui les a séparées par des langues et des intérêts personnels individuels. Et c’est à cause de ces intérêts particuliers que l’engagement collectif spontané est rendu impossible, en dépit des alliances et des accords passés. Il faut le relever, c’est la dernière fois que la séparation des nations empêche leur engagement commun dans une action guerrière car celle qui s’engage va toutes les détruire. Après elle, viendra le temps du dernier gouvernement universel formé par les rescapés survivants à la guerre nucléaire.

Depuis 1958, la France est passée sous le régime de la 5ème République. Et ce régime a préparé sa destruction. L’instrument de cette destruction a été la création de l’Union Européenne. Car, les uns après les autres, les présidents de la France ont privilégié les relations avec leurs homologues européens, et ils ont négligés de protéger les intérêts du peuple français. La France a ainsi payé par sa ruine économique et financière son zèle idéologique humaniste universaliste. Elle a voulu accueillir « toute la misère du monde » et finit aujourd’hui par partager cette misère qui ne peut désormais que s’intensifier. Elle n’a plus ou peu d’industries, dépend des importations chinoises et asiatiques, et ruinée financièrement, vit sur son endettement colossal. De plus, elle n’est pas suffisamment armée et devient ainsi très vulnérable aux attaques de ses ennemis, bien plus nombreux qu’elle a voulu, ou feint, de le croire.

La guerre engagée en Ukraine interpelle toutes les nations de la terre et leurs dirigeants et chacun peut avoir sur ce sujet sa réponse. Mais, une fois de plus, Dieu a organisé les choses de manière telle que la situation semble sans solution, de manière identique à celle qu’il a créée en ramenant les Juifs sur la terre de la Palestine en 1948. Mais en prenant pour modèle, l’enseignement de Dieu donné au prophète Jérémie, lequel disait « que ta vie soit ton butin » et qui exhortait le peuple à ne pas résister devant le conquérant Nébucadnetsar, je n’aurai personnellement que cette question à poser au peuple ukrainien : Le désir d’indépendance vis-à-vis de la Russie, valait-il le prix déjà payé par le peuple ukrainien ; un désastre de destruction, de morts et de souffrances qui va encore augmenter ? Et plus simplement encore, la liberté, mérite-t-elle que l’on meurt encore pour elle ? Répondre oui, c’est la placer au niveau du martyr pour Christ ; ce qui ne saurait lui plaire. Combien de temps faudra t-il encore à tous ces dirigeants sensés être « intelligents » pour admettre que la Russie est imbattable par les armes conventionnelles dont elle dispose en plus grande quantité que tout autre peuple sur la terre ? Quant à sa détermination à vaincre, elle est du même niveau que celle de l’Ukraine. Nous allons donc assister à pas mal de gesticulations politiques et militaires jusqu’à l’affrontement global inévitable. Et au sujet de la France et de son destin, je salue et rends gloire à Jésus-Christ l’inspirateur du nom donné par E.Macron à son parti politique présidentiel : « La République En Marche » ; simplement il ne lui a pas dit que c’était vers « l’abîme » soit, la déshumanisation de son pays et à terme, de la terre entière. Et ceux qui se réjouissent en vue des jugements des crimes de guerre apprendront à leurs dépens que seule la justice du vainqueur s’impose.

En fait, en Occident, le problème de notre génération est qu’elle est devenue incapable de se résigner face à une grande difficulté insoluble. C’est le résultat de 77 années de paix et de conquêtes de libertés égoïstes des sociétés dites « libérales » construites sur le modèle américain. L’enfant rebelle, « la tête à claques » qui n’en reçoit plus, devient capricieux et entêté. Mais le pot de terre finit par se briser quand il se heurte à un pot de fer.

Des symboles d’animaux ont été autrefois attribués aux pays principaux du monde occidental, déjà par Michel Nostradamus. Pour la France, le coq ; pour l’Allemagne, le loup ; pour l’Angleterre, le lion ; pour l’Amérique, l’aigle ; mais surtout, pour la Russie, l’ours. Or, cet ours ne risque pas d’être vaincu par aucun des autres animaux, même par une attaque groupée.

En dernière nouvelle, ce Jeudi 16 Juin, les chefs d’Etat de la France, de l’Allemagne, de l’Italie, et de la Roumanie se sont rendus à Kiev afin de rencontrer le président Zélensky. Des promesses impossibles à tenir sur la durée du temps ont été faites, relançant la guerre, et la fausse espérance d’une victoire ukrainienne. Car pour l’Europe, son temps est compté, et son destructeur est encore plein de force et de puissance, car Dieu l’a préparé pour cette œuvre destructrice. Dans un message très hostile et menaçant adressé aux dirigeants et aux européens qu’il tient selon ses mots pour « dégénérés », l’ex-président russe Medvedev (traduction : Ours) a conclu ses propos par ces mots : « l’horloge tourne … » ; Dieu ne dirait pas mieux, mais en fait, c’est bien lui qui parle et qui inspire cette avertissement. Il y aura pour l’Ukraine de nouvelles livraisons d’armes et la promesse vaine d’une candidature européenne acceptée et soutenue … etc

 

 

Les ordonnances de Dieu : les vraies et les fausses

 

Les vraies ordonnances de Dieu sont sorties de sa bouche, quand il les a dictées à Moïse l’Hébreu. Après lui, toutes ses révélations ont été inspirées à ses serviteurs, les prophètes, et Dieu a, lui-même, organisé leur regroupement au sein de sa sainte Bible, dont la première alliance fut rédigée, à l’origine, en langue hébraïque et la seconde ou nouvelle alliance, en langue grecque.

Contrairement à ce que la fausse foi démontre en action, toutes les ordonnances de Dieu sont à prendre en considération. Mêmes lorsqu’elles sont devenues caduques à cause des normes établies par le contexte universel de la nouvelle alliance. Découvrir le projet entier rédigé par la volonté de Dieu, ce n’est pas perdre son temps, c’est nourrir sa foi. En effet, la foi se nourrit de certitude, pas du doute. Et cette certitude se construit par la connaissance du sujet religieux. Ce n’est que par ce moyen que l’élu peut se distinguer de l’appelé qui, aux dires de Jésus, sont eux, très nombreux, mais en vain. Sans approfondir l’étude des deux alliances, l’ancienne et la nouvelle alliance prennent l’aspect de deux religions concurrentes. Mais dans le jugement de Dieu, cette vision des choses est fausse, parce que la nouvelle est venue remplacer l’ancienne qui a donc perdu toute légitimité, et ne peut plus sauver quiconque à elle seule. Mais dans l’autre sens, le ministère de Jésus-Christ et le salut qu’il est venu offrir et accomplir ne prennent de sens que dans les annonces de ce projet sous les formes symboliques qu’il a pris dans l’ancienne alliance.

L’Evangile enseigne que Jésus-Christ est le Sauveur,  mais sauver de quoi et pourquoi ? La nouvelle alliance dit que c’est du péché, mais qu’est-ce que le péché ? 1 Jean 3:4  donne cette réponse : « Car le péché c’est la transgression de la loi ». Bien, mais qu’est-ce que la loi ? Pour les Juifs, ce sont les cinq textes sacrés écris par Moïse et les livres des prophètes, les livres historiques, les Psaumes et le livre des Proverbes écrit par Salomon. Hélas, pour ces gens, la loi de Dieu ne s’est pas arrêtée là, car après ces textes, Dieu exige le respect et l’observation de tout ce qui est écrit dans la nouvelle alliance. Et parmi ces textes se trouve, dans Marc 16:16, ce verset où Jésus dit : « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. ». Pour un Juif déjà bien enseigné, comme l’étaient les apôtres sélectionnés par Jésus, « croire » consistait simplement à reconnaître en la mort de Jésus-Christ, l’accomplissement parfait du « sacrifice perpétuel » ou « holocauste perpétuel » au cours duquel, préfigurant « l’agneau qui ôte les péchés du monde » un « agneau » était offert en sacrifice perpétuellement, tous les jours, soir et matin soit, au coucher et au lever du soleil. Par ce rite, Dieu montrait que la justice obtenue plus tard par Jésus venait perpétuellement proposer le salut pour ses élus et eux seuls. J’insiste sur ce point, car la fausse foi, comme une fable agréable, a trompé des multitudes de gens qui pensent qu’ils seront sauvés, puisque leurs pasteurs et leurs prêtres le leurs ont dit. Des multitudes font confiance au baptême pour être sauvés. Mais ils n’ont pas bien lu ce que dit le texte et n’ont pas compris ce que Dieu entend par « celui qui croira ». Je vais essayer d’être le plus clair possible, pour Dieu « croire » consiste à obéir. Mais à obéir à toute la loi divine écrite, ancienne et nouvelle alliance. Ce qui signifie que pour être « celui qui croira », il faut avoir lu et compris, toute cette loi écrite. Les mystères cachés dans les rites ordonnés par Dieu, donnaient à la norme de l’ancienne alliance une image semblable à « la nuit » et son « obscurité ». Et quand Jésus-Christ a commencé son ministère, l’aube d’une journée ensoleillée s’est mise à poindre. Puis, Jésus-Christ est mort crucifié s’étant lui-même offert en sacrifice, et trois jours et trois nuits plus tard, s’étant lui-même ressuscité, il est apparu à ses disciples. Le plein « jour » est alors venu car le Tout-Puissant « soleil » spirituel leur a expliqué, comment sa mort était nécessaire pour les sauver, parce qu’elle avait, seule, le pouvoir de valider, tous les péchés des vrais élus de Dieu sélectionnés depuis Adam et Eve. A « la nuit » de l’ancienne alliance, vint ainsi succéder « le jour » ensoleillé de la nouvelle. Ce projet divin du salut était écrit des le premier jour de 24 heures de la création, dans son aspect de succession ; premièrement, « nuit » ; deuxièmement, « jour ». Cette journée symbolique couvre les 6000 ans du projet salvateur de Dieu sur la base de la proportion 2/3 de nuit et 1/3 de jour, selon la durée de 4000 ans qui conduit au Christ et au fondement de sa nouvelle alliance. Mais cette proportion, c’est celle d’un jour du plein Hiver qui est appelé la saison morte. De la sorte les 6000 ans de sélection des élus du projet de Dieu sont entièrement placés sous le signe de la mort, et donc lié au temps du péché qui en a été la cause. Au commencement de son Evangile, Jean évoque « la lumière venue dans les ténèbres » soit, la norme du salut de la nouvelle alliance qui vient éclairer l’ancienne alliance aux rites « obscurs ». Cette « nuit » avait commencé dès le péché commis par Adam et Eve lorsqu’ils ont découvert qu’ils étaient nus. Et dans la nuit spirituelle qui tombait alors sur l’humanité, un rayon d’espérance fut donné au coupe pécheur quand Dieu immola la première vie animale pour faire de sa peau des vêtements pour couvrir leur nudité ; ce fut-là le premier signe donné aux humains de l’offre du salut qui viendra en Christ. Après cette expérience hautement symbolique, est venue une seconde de même importance, dans les premiers temps de la création avec la mystérieuse préférence de Dieu pour le sacrifice d’Abel ; celui de son frère Caïn ayant été méprisé par Dieu. La raison de cette préférence est révélée uniquement quand sur l’ordre de Dieu, Abram consent à offrir son fils légitime unique en sacrifice. Au dernier moment, son fils Isaac est remplacé par un jeune bélier que Dieu donne à Abram pour être immolé. C’est cette action qui éclaire la préférence de Dieu pour le sacrifice animal présenté par Abel, car ce sacrifice où le sang animal fut versé prophétisait la mort du Christ, « l’agneau de Dieu », ainsi triplement préfiguré par les expériences successives d’Adam et Eve, puis d’Abel et d’Abram dont, sans hasard possible, les deux noms débutent par l’hébreu « ab » qui signifie père. Abel signifie : Père est Dieu ; et Abram : père d’un peuple. Après avoir mis sa foi et son obéissance à l’épreuve, Dieu changera son nom en Abraham : père d’une multitude. Le mystère de ces trois expériences va donc être développé mais non éclairci dans l’enseignement de l’ancienne alliance. Seule l’expérience terrestre accomplie par Jésus-Christ est venue donner l’explication et le sens de ces anciennes choses. Les fruits de la terre présentés par Caïn ne symbolisaient rien pour Dieu ; rien d’autre que le fruit du travail de la terre. Au contraire, l’animal immolé offert par Abel était symbolique du projet salvateur que Dieu avait déjà prévu d’accomplir en Christ, à l’heure choisie par lui, pour le faire. En résumé, l’offre du salut apporté par Jésus-Christ fut elle-même l’image d’une journée ensoleillée hivernale, parce que le ministère de la mort se prolonge après lui, pour les habitants de la terre, jusqu’à son retour glorieux. Cette mort donne explication à notre besoin de dormir. Des gens ont appelé le sommeil, « petite mort ». Et ils furent bien inspirés, car le besoin de dormir est causé par la fatigue apparue après le péché. Et c’est Dieu lui-même qui a comparé « la mort » au sommeil en disant à Daniel par la bouche de son ange Gabriel, dans Dan.12:2 : « Plusieurs de ceux qui dorment dans la poussière de la terre se réveilleront, les uns pour la vie éternelle, et les autres pour l'opprobre, pour la honte éternelle. » Ensuite reprenant cette pensée, l’apôtre Paul a écrit à son tour, dans 1 Thes.4:13 : « Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l'ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n'ont point d'espérance. » Mais la comparaison de « la mort » avec le sommeil a sa limite, car l’âme morte, privée de conscience parce que retournée au néant, n’a plus la possibilité de rêver. « Sa mémoire est oubliée » dit Salomon dans Eccl.9:5-6 : « Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront ; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri ; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil. » Si cette dernière vérité était prise en compte par l’humanité occidentale, on ne verrait plus des gens parler, stupidement et vainement, à leurs morts devenus poussières devant les tombeaux dans les cimetières ; et ils ne leur apporteraient plus, ni fleur, ni couronnes, ni somptueuses couvertures de marbres. Quant aux croix placées sur ces tombes, elles ne constituent que la preuve d’une fausse revendication de salut que Jésus contredira au jour du « jugement dernier », en les réveillant pour subir la « seconde mort », ultime salaire du péché, dont ils sont restés porteurs.

La foi ne se construit pas sur celle d’une autre personne, si ce n’est sous son aspect « étiquette » qui la tue. Ce que Dieu entend par le mot « foi », est un engagement complet, intégral de l’âme de ses élus, composée d’un corps de chair et d’un esprit pensant. Le corps et l’esprit appartiennent tous deux au Dieu créateur et les deux ont besoin de leur nourriture spécifique. Et c’est encore Dieu qui a pourvu à l’un et à l’autre. Contrairement à la fausse foi, la vraie croit que « l’homme ne vivra pas de pain seulement mais de toute parole sortie de la bouche de Dieu » Mat.4:4. Tu entends bien ! « De toute parole » soit, tout ce que contient la Bible, ancienne et nouvelle alliance auxquelles il faut rajouter, celles des messagers qu’il continue d’éclairer et inspirer pour les utiliser jusqu’à la fin du monde. Et depuis 1994, cet ouvrage que tu lis est de ce nombre. Mes écrits ont été précédés entre 1843 et 1994 par les écrits d’Ellen G.White. Les deux ont bénéficiés de la même inspiration révélatrice de notre divin Seigneur Jésus-Christ.

J’avais 36 ans quand, enfin, j’ai trouvé, dans la foi adventiste du septième jour, une raison pour me faire baptiser au nom de Jésus-Christ. Je n’ai, à la gloire de Dieu, pas été baptisé enfant et je ne m’étais jamais auparavant décidé à le faire, parce que la foi manifestée, par les chrétiens de mon époque, me semblait bien au-dessous du niveau que Dieu était en droit d’exiger de la part de ceux qu’il sauve. Son propre sacrifice était tellement au-dessus de tout. Petite précision nécessaire, j’étudiais déjà l’Apocalypse avant d’entrer dans l’église adventiste mais je ne comprenais pas ses messages. En me faisant découvrir, son exigence du sabbat, toutes choses prirent un sens ; le mauvais fruit avait bien son explication : le mépris pour sa loi. Un ami chanteur qui m’avait déjà initié au végétarisme se convertit à l’adventisme en premier et me le fit découvrir à travers le livre phare d’Ellen Gould White : « la Tragédie Des Siècles ». Cette nourriture spirituelle m’apporta les bases et mon désir de comprendre m’a poussé ensuite à étudier, beaucoup plus profondément, l’Apocalypse et le livre de Daniel, car, curieusement, c’est bien dans cet ordre que la chose s’est accomplie. Et j’en comprends aujourd’hui le sens ; la lumière, c’est l’Apocalypse et Daniel, c’était encore beaucoup, l’obscurité. En 1982, les deux livres étaient décryptés et le message de la « cinquième trompette » d’Apo.9 proposait la date 1994. Elle était obtenue en prenant les « cinq mois » prophétisés dans Apo.9:5-10, désignant 150 années réelles additionnées à la date 1844 (à l’époque ; 1843 après correction). Cette addition était logique puisque le découpage des thèmes de l’Apocalypse est établi sur cette date construite dans Dan.8:14. Dans ce thème des « trompettes », la date 1843, maintenant définie, sépare Apo.8 d’Apo.9 ; et ces deux chapitres couvrent en continuité toute l’ère chrétienne, depuis l’an 321 où le « péché », cité dans Dan.8:12, fut établi par l’empereur Constantin 1er. Il est écrit dans Apo.10:6-7 : « et jura par celui qui vit aux siècles des siècles, qui a créé le ciel et les choses qui y sont, la terre et les choses qui y sont, et la mer et les choses qui y sont, qu'il n'y aurait plus de temps, mais qu'aux jours de la voix du septième ange, quand il sonnerait de la trompette, le mystère de Dieu s'accomplirait, comme il l'a annoncé à ses serviteurs, les prophètes. » Avec de telles données et l’affirmation de Dieu « qu'il n'y aurait plus de temps », il fut facile au Seigneur de me convaincre, que les « 150 années », citées, constituaient un délai d’attente du vrai retour de Jésus-Christ. Et cet argument masqua dans mon esprit, la précision qui ne permettait cependant pas de rattacher 1994 au retour du Christ. C’est donc aveuglé partiellement par Dieu que j’ai présenté selon sa volonté à qui voulait l’entendre que Jésus s’apprêtait à revenir en 1994. Ce fut la cause de ma radiation de l’Eglise officielle de Valence sur Rhône, en France, dans l’automne 1991. Cependant la date 1994, avait été présentée, officiellement, à l’organisation qui devenait du coup responsable, puis coupable, de son rejet méprisant d’une lumière authentiquement divine. Le refus s’étant prolongé jusqu’en 1994, le jugement de Dieu est tombé sur elle ; non pour le refus de croire au retour du Christ, encore que … mais surtout pour avoir méprisé la date en laquelle Dieu est venu prophétiquement l’éprouver et qui est devenue ainsi celle de son rejet et selon Apo.3:16, de son « vomissement » par Jésus-Christ : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. » Note qu’on ne vomit que ce qui est déjà en soi ; ce qui confirme la succession de l’identité adventiste depuis le début du chapitre 3 : Dans « Sardes » : « quelques hommes qui n’ont pas souillé leurs vêtements » ; ensuite, « Philadelphie », puis, « Laodicée ». Note également que la déclaration du Christ ne prends pas une forme conditionnelle mais une forme affirmative, celle qui résulte d’un constat sur une situation qui ne changera pas, la condamnation est donc arrêtée et définitive.

Entre 1982 et 1991, je me suis heurté à la froideur dénoncée par Jésus dans ce verset, et je n’ai rencontré que quelques personnes qui ont reçu à l’époque ce message. En 1991, j’ai été rejoint par trois frères, nous avons organisé des conférences, et là encore, le monde incrédule de Noé m’est apparu dans sa triste réalité ; dans l’année 1992, cinq conférences pour montrer la sublime explication des prophéties divines et cinq désolants échecs. A l’approche de 1994, la Troisième Guerre Mondiale ou « sixième trompette » ne s’étant pas accomplie, j’ai compris que Jésus ne viendrait pas en 1994. Et la date étant passée, l’Esprit m’a permis de saisir le but divin de cette « erreur » d’interprétation. Par pur respect de la vérité, il faut bien comprendre que cette interprétation n’était pas une « erreur », puisque Dieu la désirait dans ce temps précis sous cette forme. En fait, 150 années après William Miller, j’ai porté et annoncé pour Dieu le retour de Jésus-Christ pour la même raison qu’il l’avait fait avant moi. Sa prédication avait permis de cribler et mettre à l’épreuve la foi des diverses églises protestantes de son époque. Après lui, entre 1982 et 1991, ma prédication avait pour cible, la foi adventiste, prioritaire pour recevoir la lumière du Christ, et l’expérience s’est accomplie dans le plus vieux fief adventiste de la France ; dans la toute première église officielle instaurée dans ce pays. Dans la dissidence, au fil du temps, de constantes améliorations ont été apportées à ce dernier message adventiste. Mais c’est au printemps 2018 que le Seigneur m’a éclairé afin de me faire connaître l’explication qui justifie l’annonce de son vrai retour pour le printemps 2030. C’est depuis cette date, un trésor que j’ai plaisir à partager avec quelques frères et sœurs. Ce qui semblait désespéré de connaître est arrivé, au temps choisi par le Tout-Puissant au nom de Jésus-Christ. Mais ce n’est pas sans raison qu’il nous a offert ce divin cadeau. Il a vu dans nos comportements, le fruit de la vraie foi nourrie par l’étude de toute sa sainte Bible et ses mystérieuses et extraordinaires prophéties. Dans mon esprit, malgré son invisibilité, Dieu a en moi une consistance réelle, que l’on ne peut pas toucher mais uniquement imaginer. Notre relation repose sur ce principe : je pense et il pense et dirige mes pensées comme le gouvernail dirige un navire. Les idées viennent de YaHWeH (nombre de son nom = 26) comme toutes ses explications restées inexpliquées depuis l’époque de Daniel soit, le 6ème siècle avant Jésus-Christ, c'est-à-dire 26 siècles avant notre époque et dans le département de la Drôme dont le numéro est 26.

En ce qui concerne l’alimentation du corps, Dieu a défini et établi sa sélection de ce qui est consommable dans Lévitique 11 : ce qui est pur est consommable, ce qui est impur ne l’est pas. Mais ce régime proposé aux Juifs était justifié pour deux raisons. La première, parce que depuis la fin du déluge, Dieu a autorisé l’homme à consommer de la chair animale si elle est classée pure. La seconde est que cette autorisation fut donnée afin de permettre aux Juifs de manger, entre autres, la chair d’animaux qui, sacrifiés, symbolisaient le futur « corps » physique et spirituel du Messie Jésus. Des agneaux, des béliers, préfiguraient ainsi symboliquement le principe de la sainte Cène de la nouvelle alliance ; chose ordonnée par Jésus. Le pain symbole de son corps et le jus du raisin symbole de son sang sont consommés en assemblée solennelle par les vrais chrétiens depuis la veille de la Pâque où Christ l’a instaurée. Mais seuls, les adventistes font précéder ce repas spirituel par la cérémonie du lavement des pieds qui rappelle l’exigence de Dieu d’une parfaite humilité qu’il va trouver uniquement dans le caractère et la nature de ses élus, mais pas de tous les appelés. Les faux semblants existent mais Dieu juge les pensées et les cœurs. Selon le principe, le corps est fait de ce dont il se nourrit. Manger le corps du Christ symboliquement signifie donc que la personnalité de Jésus doit s’inscrire en nous pour apparaître dans notre existence. Notre personnalité et notre caractère doivent devenir conformes au sien. Ces leçons cachées ne seront profitables, bien sûr, qu’aux vrais fidèles appelés, jugés par Dieu dignes de l’élection finale ; ce qui n’apparaîtra qu’à la fin, à l’issue de la dernière épreuve de foi universelle. Car, pour être digne du salut, l’homme animal pécheur, qu’est tout être humain par hérédité dès sa naissance, doit reconstruire et retrouver en lui l’image du caractère de Dieu ; chose impossible sans l’aide de Jésus-Christ.

Cependant, depuis 1843, Dieu a intensifié ses exigences envers ses élus. Les plus intelligents discernent ce qui est bon et préférable, même quand Dieu n’en fait pas un ordre. Or, la lecture de la Bible entière commence dans Genèse 1 et 2. Et là, nous voyons, qu’après avoir été formé par Dieu, l’homme ne devait manger que des aliments végétaliens que la nature lui offrait généreusement sans fatigue. Ce type d’alimentation était donc idéalement conçu pour l’homme, la femme, et leur descendance. L’idéal selon Dieu favorisant la qualité de la vie entière, corps et esprit, ce choix alimentaire devient un acte de foi authentique, et sois sûr que Dieu ne s’y trompe pas. Honorer ce qu’il a déclaré « bon » ne peut qu’être apprécié et béni par lui. Et si le corps reçoit une nourriture idéale, alors l’esprit, si précieux pour discerner la lumière divine, sera, lui-même, le premier bénéficiaire. J’ai évoqué les seules obligations que Dieu impose comme critères de foi aux élus de la nouvelle alliance. En Jésus-Christ, après le baptême par immersion totale du corps, les rites se restreignent au repos du sabbat du samedi et au rite passager aléatoire de la sainte Cène. Christ a bien, réellement, affranchi ses disciples des pesanteurs des rites de l’ancienne alliance et il leur a donné l’accès à la véritable liberté.

 

Après cet exemple de vraie foi que Dieu a manifestement et concrètement bénie, je vais aborder le sujet de la fausse foi qui enseigne de fausses ordonnances imputées au Dieu créateur.

 

Inutile de le préciser, cette fausse foi est entièrement maudite par Dieu. Mais comprends bien déjà ce qu’implique cette malédiction. Des gens pleurent sur leurs péchés et demandent dans d’ardentes prières à Dieu de les pardonner. C’est émouvant n’est-ce pas ! Mais ces mêmes personnes n’acceptent pas d’entendre des explications qui identifient, de manière précise, les péchés que Dieu leurs impute. Peut-on imaginer chose plus terrible, pour celui ou celle qui attend le salut de Dieu, que de recevoir sa colère à sa place ? L’idée d’être sauvé est agréable pour quiconque croit à l’existence d’un jugement divin. Et pendant longtemps, la fausse foi a fait le faux bonheur de multitudes de gens non instruits mais crédules. La curie romaine en a bien profité et en profite encore. Au cours de notre ère, la foi chrétienne a été, premièrement, persécutée au temps des apôtres par la Rome païenne impériale, puis, secondement, encore persécutée, mais cette fois, par la Rome papale catholique, jusqu’à ce qu’elle soit frappée, elle-même, par les sanguinaires Révolutionnaires français et leur athéisme en 1793-1794. Ces événements nous conduisent vers le printemps 1843. En cette époque, la fausse foi catholique est rejointe par la fausse foi protestante et le camp de la fausse foi ne fait que croître en force et puissance ; leurs doctrines sont condamnées définitivement par Dieu, car éprouvées par l’annonce du retour du Christ pour 1843 et 1844, les deux ont méprisé le prophète, son message, et Dieu qui l’a  missionné. Cependant la liberté de conscience instaurée et reconnue dans le monde occidental va favoriser le mélange entre la fausse foi chrétienne et l’athéisme des libres penseurs révolutionnaires. En 1994, l’adventisme officiel éprouvé et « vomi » les rejoint à son tour, et dans le même temps, la société occidentale change ses mœurs et ses valeurs ; la libre sexualité est revendiquée après la mini-révolution de Mai 1968, en France. Mise en scène et au théâtre, l’homosexualité fait rire et devient peu à peu la norme acceptée. En 2013, le mariage homosexuel est légalisé et protégé par la loi française après de nombreux autres pays occidentaux. Entre 2013 et 2022, la protection des LGBT (Lesbiennes, Gays, Bi-sexuels et Trans) des Occidentaux déclenche un mépris de la part du peuple russe et de son chef V.Poutine. L’Occident désormais jugé « dégénéré » et dépravé ressemble de plus en plus à la ville de Sodome détruite par le feu du ciel tombé sous la forme de pierres de soufre enflammé, selon le témoignage biblique de Gen.19:24 et 28 : « Alors YaHWéH fit pleuvoir du ciel sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu, de par YaHWéH… Il porta ses regards du côté de Sodome et de Gomorrhe, et sur tout le territoire de la plaine ; et voici, il vit s'élever de la terre une fumée, comme la fumée d'une fournaise. » Cette expression mise en gras est reprise par Dieu au début du thème de la « cinquième trompette » d’Apo.9. Dieu a pour cela plusieurs raisons. Ce feu venu du ciel vient détruire l’humanité totalement corrompue et ce niveau de corruption est retrouvé à la fin du monde en Occident, à cause des rejets successifs de Dieu par les religions protestante et catholique livrées au diable depuis la date 1843, qui est ainsi encore confirmée comme base du commencement de la « cinquième trompette ». Et de la sorte, la date 1994 est à son tour confirmée et légitimée ; le camp abominable reçoit l’adventisme infidèle rejeté par Dieu pour partager son sort funeste.

Quel fruit, autre que celui de Sodome, la fausse foi aurait-elle pu porter ? Les mêmes péchés impliquent une même punition dans le jugement de Dieu. Et précisément, l’Amérique fut le premier pays qui a pu reproduire par la maîtrise de l’arme nucléaire, en 1945, et contre le Japon, les effets destructeurs du « feu du ciel » jeté par Dieu. Or, cette Amérique est l’entité nationale concernée par la foi protestante ciblée dans la « cinquième trompette ». Le message divin devient clair : à son tour, elle subira le feu du ciel comme l’enseigne Apo.20:9 : « Et ils montèrent sur la surface de la terre, et ils investirent le camp des saints et la ville bien-aimée. Mais un feu descendit du ciel, et les dévora. »   Et elle prendra, à son tour, l’aspect de la vallée où s’élevaient les deux villes méchantes de Sodome et Gomorrhe. Dans son cas, il ne s’agira pas d’un « feu comme une fournaise » mais selon la norme universelle de l’action, d’un « feu comme une grande fournaise ». A retenir : le relâchement des mœurs et les changements en faveur de la perversité morale associée à l’égoïsme économique, constituent les preuves les plus évidentes de la nature diabolique des peuples issus de la foi chrétienne. Ils finissent par copier, et même dépasser, l’immoralité des peuples restés païens. Dans son Apocalypse, Jésus-Christ souligne la succession de la « cinquième trompette » qui vient ainsi, derrière la Révolution française et son athéisme de la « quatrième trompette ». Il suggère, de cette manière, l’influence de l’athéisme sur la foi protestante américaine rejetée en 1843. Il a ainsi confirmé et prophétisé l’odieux mélange de foi religieuse formaliste et d’incrédulité qui porte aujourd’hui son fruit final désastreux pour la foi, et que l’on retrouve chez elle, sous l’étiquette de la franc-maçonnerie, qui, comme l’alliance œcuménique formée par le catholicisme après elle, rassemble dans une alliance des points de vue religieux différents et personnels ; un supermarché religieux favorable aux affaires. Et pour confirmer la chose, les symboles de cette franc-maçonnerie se retrouvent imprimés sur le Dollar, la monnaie américaine.

La fausse foi ou fausse religion monothéiste ne tient pas compte des volontés exprimées par Dieu dans son unique livre saint, la Bible, mais à la place, elles inventent des rites qu’il est utile d’identifier. Les fausses religions se distinguent par leurs fêtes religieuses. La fête rassemble et réjouit les adeptes. Les liens fraternels établis entre gens égoïstes sont ainsi renforcés dans cette seule occasion. Car sitôt la fête finie, chacun retourne vers sa vie personnelle méchante et vers ses péchés. Dans la religion monothéiste, tous les adeptes sont encouragés à prier le Dieu unique. Mais à en juger par les différences qui les caractérisent et les séparent, ce Dieu unique ne semble pas être aussi unique que le prétendent ces gens « iniques ». Car « l’iniquité » est précisément la faute que Jésus-Christ reproche et reprochera aux chrétiens infidèles lors de son glorieux retour, comme il l’a lui-même enseigné, dans Matt.7:23 : « Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité. » Et c’est quoi « l’iniquité » ? Jésus nous donne l’exemple du juge inique qui rend justice au justiciable, non parce qu’il le mérite par son innocence, mais pour se débarrasser rapidement d’une charge désagréable, d’un devoir professionnel mal supporté et ressenti pénible. En fait, il lui donne justice pour se débarrasser de lui, afin que cessent ses appels insistants. Visiblement, ce juge n’est pas digne de sa charge et les prêtres et les pasteurs qui trahissent Dieu, ses lois, ses normes et toutes ses valeurs sont aussi indignes de leur charge professionnelle que ce mauvais juge. Quand ils transgressent la loi divine en désobéissant à ses commandements, ils commettent « l’iniquité » qui consiste donc à pratiquer le péché, suite à une faute de compréhension de la demande exigée par Dieu. Le prétexte utilisé pour légitimer la désobéissance est le plus souvent la cause de la pratique traditionnelle héritée. Mais, Dieu a condamné la foi juive pour avoir, en première, préféré ses rites traditionnels à la norme de leurs accomplissements en Christ. Ils sont donc inexcusables. Plus les humains sont instruits, plus ils sont doués pour compliquer ce qui est simple. Dans le service des armées nationales, l’ordre exige une obéissance de tous les instants et personne n’ose remettre en question ce principe. Mais profitant de l’invisibilité de Dieu, les fausses religions s’autorisent toutes les formes de mépris envers lui. Les prières qui lui sont adressées restent ainsi non écoutées et jamais exaucées. Mais, à l’écoute, les démons tentent de réaliser des exaucements qui vont ainsi conforter et légitimer la religion mensongère ; car la fausse foi exige aussi sa nourriture ; et faute de lumière divine, les miraculeux exaucements les remplacent. Et c’est ainsi que les réponses données par le diable et ses démons se substituent à la réponse de Dieu. Tromper les humains est leur seule activité et c’est afin qu’ils agissent ainsi, envers les infidèles, que Dieu les a laissés survivre jusqu’à sa venue glorieuse.

J’aborde ici la pratique du jeûne auquel la fausse foi donne beaucoup de valeur. Je signale en premier que Dieu a ordonné ce rite à son seul peuple hébreu et qu’il n’a jamais ordonné aux autres humains de jeûner. La pratique du jeûne prend sa logique dans la pensée humaine. L’homme peut prouver au Dieu créateur l’intensité d’une demande exprimée par le fait qu’il est capable de se priver de nourriture jusqu’à en mourir, si nécessaire … Ecoute ce que Dieu pense du jeune ; Esa.58:3 : « Que nous sert de jeûner, si tu ne le vois pas ? De mortifier notre âme, si tu n'y as point égard ? Voici, le jour de votre jeûne, vous vous livrez à vos penchants, et vous traitez durement tous vos mercenaires. 4 : Voici, vous jeûnez pour disputer et vous quereller, pour frapper méchamment du poing ; vous ne jeûnez pas comme le veut ce jour, pour que votre voix soit entendue en haut. 5 : Est-ce là le jeûne auquel je prends plaisir, un jour où l'homme humilie son âme ? Courber la tête comme un jonc, et se coucher sur le sac et la cendre, est-ce là ce que tu appelleras un jeûne, un jour agréable à YaHWéH ? 6 : Voici le jeûne auquel je prends plaisir : Détache les chaînes de la méchanceté, dénoue les liens de la servitude, renvoie libres les opprimés, et que l'on rompe toute espèce de joug ; 7 : partage ton pain avec celui qui a faim, et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile ; si tu vois un homme nu, couvre-le, et ne te détourne pas de ton semblable. 8 : Alors ta lumière poindra comme l'aurore, et ta guérison germera promptement ; ta justice marchera devant toi, et la gloire de YaHWéH t'accompagnera. » En son heure, Jésus-Christ accomplira dans sa perfection la norme de ce jeûne. Il sera alors imité par ses plus fidèles disciples. Cependant, il faut se méfier de la lecture littérale de ce texte, car Dieu ne parle pas ici d’indigents aux comportements manifestement rebelles, qui méritent donc leur sort. De plus, en langage symbolique hautement spirituel, la nudité désigne l’absence de la grâce du Christ, et la nourriture concerne la vérité biblique.

Ce que Dieu nous dit là, c’est que le jeûne est un plus, que l’élu agréable peut pratiquer, pour montrer à Dieu que la nourriture de son esprit est supérieure à celle qu’exige son corps. Il va de soi, qu’en dehors de ce cas, le jeûne religieux n’a plus de sens. Dieu peut l’approuver uniquement si celui qui le fait l’honore déjà par son obéissance et son amour. Et en dehors de ce cas, le jeûne n’est plus que l’alibi d’une trompeuse et fausse attitude religieuse. Dans cet autre cas, les croyants infidèles jeûnent en vain, comme Dieu l’impute, dans Esaïe 58, aux Juifs « méchants et querelleurs ». Et c’est ce que l’homme occidental chrétien ou pas est devenu. Toutefois, sur le plan sanitaire, le jeûne a des effets guérisseurs puisqu’il favorise le repos des organes digestifs et répare ainsi des erreurs alimentaires en évitant de graves maladies difficiles voire impossibles à soigner.

La foi catholique a établi ses fêtes religieuses sur des dates de fêtes de son ancienne religion romaine païenne. En sorte que les honorer ne réconcilie pas le pécheur avec le Dieu créateur offensé en premier par son repos dominical hérité de l’empereur païen Constantin 1er, depuis le 7 Mars 321. Son adoration de la fausse « Vierge » donne lieu à de nouvelles fêtes et ce sont tous ces rites qui lui donnent artificiellement un prestige religieux universel important. Notons que, dans son Apocalypse, Dieu compare ses messes à des « enchantements », dans Apo.18:23 : « la lumière de la lampe ne brillera plus chez toi, et la voix de l'époux et de l'épouse ne sera plus entendue chez toi, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce que toutes les nations ont été séduites par tes enchantements, »

Pour achever ce thème des ordonnances, j’attire ton attention sur ce point. Admire la supériorité du Dieu créateur qui a su composer des textes de loi qui gardent perpétuellement leur valeur et leur efficacité. En face de lui, les députés de nos Républiques créent continuellement de nouvelles lois, abrogeant d’anciens textes pour les remplacer par ceux qui conviennent à la nouvelle majorité présidentielle. Ils croient que des textes de lois peuvent régler tous les problèmes et ils sont bien les seuls qui continuent à le croire ; les seuls, en face de Dieu, car en ce qui le concerne, il n’y a jamais cru, et il l’a prouvé, en déclarant dans 2 Cor.3:6, par la bouche de Paul : « Il nous a aussi rendus capables d'être ministres d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'esprit ; car la lettre tue, mais l'esprit vivifie. Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d'Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère, combien le ministère de l'esprit ne sera-t-il pas plus glorieux ! »

Dieu nous dit que la lettre tue. Et de quelle lettre parle-t-il ? De celles qui forment le texte de ses dix commandements originellement gravés de son divin doigt sur des tables de pierre qu’il a lui-même remises à Moïse. Il te faut comprendre le contexte de l’ancienne alliance sous laquelle la mort domine. Comme les païens, l’Hébreu a hérité du péché originel qui le rend digne de la mort. Dans son alliance, Dieu présente aux Hébreux sa loi dont chaque commandement est une condamnation à mort parce que l’homme normal la transgressé et va encore le transgresser, même après en avoir eu connaissance. Ce point est essentiel pour comprendre l’impératif besoin d’un Sauveur, car la rencontre de Dieu par l’homme lui fait découvrir qu’il est né pour mourir. Et ce Sauveur indispensable viendra en Jésus-Christ, mais il est déjà, dans l’ancienne alliance, présent à travers l’agneau du « sacrifice perpétuel » comme je l’ai déjà rappelé. Si la mort est révélée, la possibilité du pardon du grand Juge divin est déjà également présentée au pécheur contrit et navré de déshonorer son Dieu. Tout est prévu, pour obtenir le pardon, sans qu’il le sache, au nom de la justice du Christ qui viendra en Jésus, il doit offrir une vie animale en sacrifice, et s’il est pauvre, une offrande moins coûteuse ; une vie animale parfaitement innocente comme le sera la vie parfaite, sans aucun péché, de Jésus-Christ. Tu peux ainsi comprendre que tous les rituels de l’ancienne alliance n’avaient une valeur que dans la perspective de la mort de Jésus, base de la nouvelle alliance. Aussi, très logiquement, après la mort de Jésus, tous ces anciens rites religieux disparaissent abandonnés, sinon oubliés. C’est pourquoi, le sang du Christ a sauvé tous les pécheurs qu’il a reconnu pour ses élus, depuis Adam et Eve.

Après avoir été abandonnés et livrés aux Romains, les Juifs ont constaté que Dieu ne les éclairait plus ; ils ont donc décidé de régler leurs problèmes tous seuls. Et le problème principal à régler était de parvenir à ne plus pécher contre la loi divine. C’est ainsi que d’éminents rabbins et des scribes ont créé le livre du Talmud ; un ouvrage dans lequel ils ont tenté de recenser toutes les possibilités de transgresser la loi, prévoyant des situations absurdes. Ainsi, par exemple type, pour augmenter le nombre de pas autorisés à faire dans le jour du sabbat, le voyage devait s’accomplir les pieds dans une bassine d’eau… J’arrête là. Nous avons là une conséquence de leur rejet du Christ qui les a privés de la sage inspiration de l’Esprit divin donné au nom de ce seul Christ. Car pour régler tous ses problèmes, l’homme devait trouver les solutions dans l’Esprit de sagesse du Dieu créateur prêt à guider, conduire, et inspirer ses seuls bien-aimés élus. C’est une certitude, cette loi du Talmud est bien 100% humaine et elle attire le déshonneur sur Dieu. Ce qui justifie ces reproches cités dans Ezé.22:26 et 36:22 : « Ses sacrificateurs violent ma loi et profanent mes sanctuaires, ils ne distinguent pas ce qui est saint de ce qui est profane, ils ne font pas connaître la différence entre ce qui est impur et ce qui est pur, ils détournent les yeux de mes sabbats, et je suis profané au milieu d'eux  …/… C'est pourquoi dis à la maison d'Israël : Ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Ce n'est pas à cause de vous que j'agis de la sorte, maison d'Israël ; c'est à cause de mon saint nom, que vous avez profané parmi les nations où vous êtes allés. »

Ici, je relève, la faute principale du dogme du catholicisme romain. En pleine nouvelle alliance, il a recréé des rites copiés sur l’ancienne alliance, rendant ainsi, nulle, sa prétention de servir Dieu au nom de Jésus-Christ. Pour exemple, je propose ce cas. L’enfant, ou l’adulte, vient confesser ses péchés au prêtre qui le reçoit dans le confessionnal. En punition, il lui impose de réciter des « Avé » et des « pater noster ». L’idée même d’une punition, rend caduque la mort expiatoire du Christ. De plus, certaines de ces punitions sont corporelles et douloureuses, donc encore moins légitimes. De même le principe catholique de la confession, renouvèle et met aussi en pratique le rite de l’ancienne alliance ; alors que depuis Jésus-Christ, la confession et le pardon des péchés sont uniquement à lui, car il a seul, le pouvoir de pardonner les péchés. Aucun homme n’est assez juste et parfait pour accorder le pardon au nom de Dieu. Par sa victoire sur le péché et la mort, Jésus a mérité ce droit exclusif parce qu’il est Dieu. Pendant longtemps, les adeptes du catholicisme ont ignoré les enseignements des textes bibliques des Evangiles, ce qui en faisait des victimes faciles pour se soumettre à l’autorité prétendue des prêtres et des papes. De plus, par la confession des péchés, le prêtre prenait autorité sur le confessé. Les confessions d’actions honteuses le plaçaient sous la dépendance des prêtres et de tout le clergé romain. Cette accusation contre l’église catholique romaine, Dieu l’a présentée en premier, en disant dans Apo.13:6 : « Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. » ; « blasphémer » soit, mentir en insultant « son tabernacle ». Où est le mensonge ? Dans le fait de recréer ce à quoi Dieu a mis fin. Où est l’insulte ? En attribuant à Dieu la paternité de ses cultes idolâtres que son second commandement condamne particulièrement ; mais en fait, ils sont tous transgressés. Concernant « ceux qui habitent dans le ciel », il ne se trouve dans le ciel, auprès de Dieu, que ses anges restés fidèles et parmi eux, le vieil Enoch, Moïse, Elie, et depuis la mort du Christ, quelques saints anonymes, mais c’est tout. Car tous les autres disciples et apôtres morts réellement dans le Seigneur dorment et attendent, dans le néant, d’être ressuscités par Jésus-Christ, lors de son glorieux retour ; comme l’avait si clairement exprimé Marie, sœur de Lazare. C’est pourquoi, pour Dieu, l’adoration des saints qu’elle canonise constitue un énorme mensonge, et là encore, une insulte, en raison des normes romaines idolâtres exigées pour la canonisation ; parmi eux, des assassins, véritables monstres.

L’initiative catholique de rétablir sur la terre, les rites religieux du clergé juif a constitué, à la fois, un outrage envers Dieu, et un piège séducteur redoutablement efficace pour piéger les hommes superficiels et idolâtres. Ce n’est pas sans raison, qu’en l’an 70 soit, après 40 années symboliques de l’épreuve de foi, accordée aux Juifs de l’ancienne alliance pour entrer dans la nouvelle alliance, elle-même instaurée en l’an 30 par la mort et la résurrection du Christ, Dieu a fait détruire, par les Romains, la ville et son infidèle et caduque sainteté ; infidèle, en ce qui concerne le clergé, et caduque en ce qui concerne le Temple et ses rites religieux. Ces rites devaient cesser sur la terre car leur rôle prophétique était accompli. Les regards et les relations avec Dieu passaient maintenant individuellement vers le divin dominateur et vainqueur redevenu céleste : Jésus-Christ, l’unique intercesseur céleste, seul capable et digne de pouvoir pardonner les péchés de ses élus qu’il sélectionne et choisit lui-même, selon les bases de son unique divin jugement. 

L’instruction ne rend pas les gens plus intelligents ; elle les rend seulement plus instruits ; mais plus instruits par quoi ? Uniquement, par des choses utiles pour des taches professionnelles de la vie profane. Car sur le plan religieux, l’homme n’a pas évolué, il a même beaucoup régressé. En 2022, il est le même qu’à l’époque de Noé. Je rappelle que cette expérience du déluge est un témoignage donné par Dieu, afin que ceux, qui croient à ce récit biblique, croient également à son projet de destruction globale de l’humanité des derniers jours. Donc, comme au temps de Noé, l’homme se laisse toujours séduire par les fables trompeuses d’inspiration païenne diabolique. Sa croyance en l’immortalité de l’âme, en fait une victime facile pour les esprits démoniaques confinés sur notre terre et notre dimension terrestre. Ils apparaissent en « saints » puis en « Vierge » et séduisent les croyants sans connaissance biblique. Les vieux pièges du paganisme ancien fonctionnent encore aussi bien avec les hommes instruits de notre époque. L’instruction n’a donc rien changé. Si, en notre époque, il y a encore davantage d’incrédules athées. Mais athées pour combien de temps ? Le temps que les drames destructeurs ramènent les regards des esprits humains vers le ciel. Mais là encore, ceux qui n’ont pas en eux l’amour de la vérité pour être sauvés par Jésus-Christ, seront séduits par des ruses sataniques redoutables et rejoindront les nombreux camps de la fausse foi.

 

 

La malédiction divine prouvée

 

Ses preuves sont multiples, mais l’humanité séparée de Dieu ne peut pas les identifier comme telles, parce que ses analyses de la vie restent uniquement civiles et profanes. Les formes religieuses existent encore, mais elles sont d’aucune utilité, puisque le jugement de Dieu est ignoré même par les institutions chrétiennes ; la voie chrétienne étant la seule qui est sensée pouvoir révéler les oracles divins. Et c’est bien ainsi que les choses se passent, mais la voix qui parle en son nom se tient dans la dissidence de l’adventisme du septième jour, ignorée et méprisée par la majorité de ceux qui découvrent son existence et ses messages. Et puisque j’ai le privilège de les connaître et de les partager avec un embryon de l’Elue du Christ, je vais ici les citer, en commençant par les preuves récentes prises dans l’actualité de notre vie française.

Depuis 1958, les Français ont adopté la constitution de la 5ème République à cause des difficultés rencontrées par la 4ème pour régler le problème de la colonisation de l’Algérie par la France. Une guerre se prolongeait depuis 8 ans entre le FLN algérien et l’armée régulière française. Au bout de 130 années environ de colonisation, l’assimilation et la fonte des deux origines n’avait toujours pas été obtenue et ce qu’ignoraient les autorités françaises, c’est qu’elle était simplement impossible ; ceci, en raison de leur religion musulmane traditionnellement héritée ce qui en fait une sorte de nationalité qui veut protéger sa pratique religieuse. Cet échec n’a fait que prophétiser celui que nous constatons aujourd’hui, après l’accueil des musulmans sur le sol de la France métropolitaine. La réunion de deux sociétés maudites par Dieu a pour fruit, la guerre, ce fruit visible de sa malédiction divine. Mais la malédiction de la 5ème République ne s’arrête pas à cette guerre là. Car la Constitution de la 4ème République avait l’avantage sur la 5ème de limiter le pouvoir décisionnaire du gouvernement exécutif. Pour obtenir le soutien des députés, les mesures et les lois proposées devaient être raisonnables et obtenir le consensus d’une majorité de voix. Dans la 5ème République, le peuple français a un grand rendez-vous, d’abord tous les sept ans puis tous les cinq ans depuis Jacques Chirac, pour élire son président. Il ne fait pas que présider, désormais, il gouverne et fait appliquer ses décisions personnelles par une majorité présidentielle, de députés « godillots » qui n’existent que dans ce but. De sorte que l’aspect démocrate républicain soit présent et visible. Entre 1958 et 2017, l’usage de l’article 49-3 permettait de passer une mesure en force autant de fois que nécessaire. Depuis 2017, ce droit est autorisé une seule fois par année. La conséquence de cette 5ème Constitution est que la France a été livrée aux seules décisions prises par huit présidents consécutifs. Huit hommes sur lesquels reposent le déclin et le désastre économique et politique constatables aujourd’hui dans ce pays, et ceci, malgré les relais des groupes politiques de « droite » et de « gauche ». La cause de ce désastre est la recherche de la richesse à tout prix et pour l’obtenir, les relations internationales ont été privilégiées afin de favoriser les échanges commerciaux. Hélas, l’échange a progressivement changé et la France a exporté de moins en moins et importé de plus en plus, jusqu’à devenir entièrement dépendante de ses importations chinoises et asiatiques. Et son énergie est entièrement également importée, dernièrement, le gaz russe, et depuis plus longtemps, celui de l’Algérie. Pour sa part, la droite a tenté de faire croire à sa nouveauté en changeant plusieurs fois de nom, ce que le dernier président et l’ex-Front National ont également fait. Mais changer le nom du bocal ne change pas son contenu qui reste perpétuellement le même.

En 2017 et 2022, Dieu a donné à ses élus, l’occasion de relever une preuve de sa malédiction qui frappe la France depuis son origine. Voici, que dans ces deux dates, le jeune président Emmanuel Macron s’est retrouvé au second tour des élections présidentielles face à Marine le Pen candidate du FN (Front National) devenu entre temps le RN (Rassemblement National). Le même scénario à cinq ans d’intervalle ; il y a tout de même là quelque chose à relever. Quelque chose qui devrait pousser les êtres humains à s’interroger sur ce curieux, selon eux, hasard. Mais je sais bien que le hasard n’est pas en cause, et que seule la malédiction divine justifie ces faits. En fait, que se passe-t-il ? Entre 1958 et 2022, certains Français, progressivement de plus en plus nombreux, ont remarqué que les changements présidentiels et leurs alternances politiques ne changeaient pas leur sort. De plus, la création de l’Union Européenne les a placés sous ses directives supérieures à celles de leur nation. Diabolisant pendant longtemps la pensée nationaliste et son parti officiel, les partis de « droite et de gauche » ont confisqué successivement le pouvoir, en restant soumis aux décisions des commissaires et des députés de l’U.E. Puisque tout changement semblait et semble encore impossible à obtenir, pourquoi voter ? C’est ainsi que 52% d’électeurs pour la présidentielle de 2022, et ensuite, 54% pour l’élection législative des députés ont décidé de « zapper » le droit de vote et se sont abstenus de voter. La maison France est ainsi laissée à l’abandon, livrée aux requins politiques qui « en même temps » clament leur désir d’enrichir la France et la livre aux concurrences européennes et mondiales qui la détruisent. L’élévation constante du taux d’abstention a aussi une autre cause. La disparition des valeurs religieuses conduit les peuples, dont la France, à croire que le temps de la paix universelle est arrivé, et que grâce aux accords internationaux, le pire n’est plus à redouter. Il est vrai que la « Troisième Guerre Mondiale » vient de commencer en Ukraine, le 24 Février 2022. Mais qui croit à cette interprétation de ce qui reste encore pour beaucoup, une guerre qui ne regarde que les Ukrainiens et la Russie. Ne leur répète t’on pas à longueur de journée sur les ondes radio et télévisées que, selon l’avis éclairé des hommes politiques, le fait de fournir des armes à l’Ukraine n’est pas une action d’engagement dans ce conflit ? Par ce réel mensonge basé sur une espérance seulement de ces gens politiques et des journalistes qui les répandent, les peuples reçoivent une vision déformée de la situation de leurs pays. Il ne s’agit bien que d’une espérance car nul ne sait jusqu’où la patience du chef russe Vladimir Poutine peut aller. Et derrière l’affichage d’une attitude désinvolte, ce sujet les tourmente et les inquiète. Ces gens trompeurs jouent avec le feu, et pas n’importe quel feu ; celui que Dieu va allumer pour les consumer, eux et leurs œuvres. Mais la malédiction de Dieu n’est pas uniquement sur les chefs et les médias, elle est avant tout sur les peuples eux-mêmes et ils obtiennent de Dieu les chefs maudits qu’ils méritent, collectivement et individuellement.

En plus du taux d’abstention de 54% des électeurs, le résultat final du deuxième tour des Législatives est amer et douloureux pour le camp présidentiel qui perd sa majorité absolue. Dieu nous donne encore là, une preuve de sa malédiction qui frappe la France et son destin. Il brise le gouvernail, au moment où le navire France subit la tempête des problèmes internes et de ceux qui sont provoqués par des grands changements conflictuels internationaux dans le monde ; visiblement pour l’envoyer par le fond. Ainsi, la France si facile à diriger jusque-là, ne le sera plus autant. Au moment même où la gravité de la situation nationale et internationale s’élève, la possibilité de diriger la France s’abaisse. Et sans disparaître complètement, cette possibilité va devenir pour le moins très difficile, car les opinions des groupes représentés sont très divergentes et opposées parfois dans l’absolu. En découvrant ce résultat du vote, sur les médias, les journalistes et les gens politiques ont élaboré plein de scénarios pour la réaction du jeune président, visiblement rejeté et détesté par beaucoup des électeurs. Ils ont relevé, son arrogance et le nomme parfois « Jupiter » ; ce qui n’est pas démérité, et ceci après avoir nommé « dieu » François Mitterrand pendant ses deux mandats présidentiels qui constituent un autre lien entre ces deux personnes. Et bien, ils se sont trompés en pensant que le jeune « arrogant » allait donner des signes d’humiliation en disant que leur vote sanction était entendu et reçu. Allons donc ! « Jupiter » ne peut s’abaisser à se reconnaître puni par son peuple ! Après une absence très remarquée, dans un discours de huit minutes, bien droit dans ses bottes et sûr de son jugement infaillible, « Jupiter » a reporté, sur le peuple, la responsabilité du résultat obtenu. C’est sa faute, parce qu’il n’a pas compris les intérêts et les enjeux de la France liées, pour le meilleur et le pire, au destin de l’Europe. Pour lui, ce second mandat est le dernier possible et il n’a plus rien à perdre, mais il espère encore pouvoir tout gagner. Dans le quiproquo de cette relation, la France va vivre ses dernières joutes politiques exacerbées par les nouveaux problèmes qui vont s’imposer, sur son territoire, dans l’Europe, et dans le monde entier.

A propos des journalistes politiques, je dois faire remarquer leur utilisation fréquentes de l’expression « les Français ceci, les Français cela ». Concernant le taux d’abstention, c’est seulement mais majoritairement, 54 % de tous les Français qui ont fait ce choix ; et encore chacun pour une cause personnelle. Les députés reprennent également cette expression totalement fausse, parce que le résultat obtenu par le vote n’est pas le fruit d’une concertation de tous les Français, mais seulement le résultat de divers choix personnels. Et je le rappelle, le résultat obtenu est celui que Dieu a favorisé par son action sur les esprits des hommes, sachant qu’aucun d’entre eux ne peut s’y soustraire. C’est ainsi que doit se comprendre le dicton : « les peuples ont les dirigeants qu’ils méritent ». De plus, signe d’une extrême malédiction, l’Europe et la France sont gouvernées par des femmes entrées massivement en fonction politique ; Ursula Von Der Leyen, présidente de la commission européenne, et Elizabeth Borne, première ministre en France et beaucoup d’autres dans la majorité présidentielle et les autres partis politiques dont le R.N. Ainsi celle qui, selon Dieu, dans Gen.3:16, devait être « soumise et dominée » par son mari, domine l’Europe et les nations européennes occidentales : « Il dit à la femme : J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. » Selon Gen.2:18, elle n’était qu’une « aide » mais elle est devenu dirigeante et domine aujourd’hui sur l’homme : « YaHWéH Dieu dit : Il n'est pas bon que l'homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui. » Il se trouve que cette norme fait de l’Europe, une cible de la colère musulmane universelle car les musulmans ne l’acceptent pas. Et, au nom de l’amour, peu de chrétiens le comprennent, mais dans la Bible, ces normes instaurées par Dieu au début de la création sont perpétuelles. Elles ne sont ni facultatives ni sujettes à un choix personnel comme celui d’un repas à la carte.

L’origine de la malédiction de la France repose sur son appartenance à l’Europe Occidentale placée depuis 538 sous l’influence religieuse maudite de la Rome papale. En effet, la France, ancienne Gaule, est dans Daniel 7, l’une des « dix cornes » placées, dans un premier temps, sous la domination impériale de Rome représentée par le symbole « petite corne » dans Dan.8:9. Et dans Daniel 7, elle reste sous la malédiction de Rome, mais cette fois, sous son aspect religieux chrétien papal symbolisé également par la formule « petite corne » dans Dan.7:8 : « Je considérai les cornes, et voici, une autre petite corne sortit du milieu d'elles, et trois des premières cornes furent arrachées devant cette corne ; et voici, elle avait des yeux comme des yeux d'homme, et une bouche, qui parlait avec arrogance. » L’Esprit précise bien, « une autre », parce que l’Italie figure déjà dans les « dix cornes », et cette nouvelle « petite corne » est donc une onzième « corne ». Le régime papal romain est en effet indépendant envers l’Italie. Il constitue un Etat libre et indépendant placé près de Rome et porte le nom de cité du Vatican.

La malédiction de la France remonte donc à son origine, à la conversion au catholicisme papal romain de son premier roi sorti du peuple des Francs, nommé Clovis 1er. C’est cette première soumission monarchique et nationale au régime papal qui a valu à la France le titre de « fille aînée de l’église ». Et ce soutien de « la fille aînée » ne lui manquera que rarement dans toute l’histoire de la France. Ignorant le jugement de Dieu, les gens de ce peuple ont légitimé les successions monarchiques. Pourtant, des signes de malédictions étaient donnés par Dieu. Et déjà le plus important et le plus visible était le comportement, la nature injuste et cruelle des chefs religieux et des monarques héritiers de cette religion dite « chrétienne ». Car, tout de même, comment imputer cette religion féroce au doux et aimant Jésus, qui achève sa vie en l’offrant volontairement en sacrifice expiatoire ? Car l’amour du Christ n’était pas caché, de multiples croix rappelaient son sacrifice, mais sa vie n’était pas imitée. Celle des chefs était même à l’opposé absolue de celle du Christ. N’était-ce pas là, une preuve de malédiction évidente ? C’en était bien une, mais la religion était imposée à des gens qui ne la choisissaient pas. C’est pourquoi, cette sorte de christianisme portait et porte encore aujourd’hui, les fruits de la vie des païens. Dans Jean 10, Jésus a insisté sur ce point, « le berger appelle ses brebis », mais parmi toutes, seules celles qui « connaissent » sa « voix » viennent à lui pour le suivre.

La persécution des « Templiers » a donné encore des preuves de la malédiction de la France catholique. Son roi, Philippe le bel, n’était pas dévot mais son besoin de richesse l’a conduit à faire alliance avec la papauté pour condamner à mort l’ordre du « Temple » et ses adeptes, dont leur chef, Jacques de Molay et quelques autres, furent brûlés sur des bûchers ; ceci, pour deux causes bien différentes ; pour l’église papale, l’élimination d’une concurrence dangereuse pour elle ; et pour le roi de France, le pillage et la confiscation des richesses possédées par l’ordre et ses adeptes. Que dire ? Dans ce temps encore très ténébreux, l’ordre du « Temple » était loin d’être parfait, mais ce qui est sûr, c’est qu’il n’était pas ciblé, lui, par la colère de Dieu, dans sa prophétie de Daniel et Apocalypse, contrairement à l’église papale romaine, complice du bras séculier royal. Il est même permis de penser que Dieu a trouvé cette terrible action fortement injuste au point qu’il lui a plu d’exaucer la malédiction prononcée par Jacques de Molay du haut de son bûcher ; avant de mourir et de rendre son esprit à Dieu. Dans ses paroles, il prophétisa que Dieu vengerait leur mort sur ceux qui en portaient la responsabilité. Ce n’est qu’au 16ème siècle que lui fut imputée l’annonce pour l’année en cours, de la mort de Philippe le Bel, du pape complice Clément V, et Guillaume de Nogaret, l’accusateur du roi. Et la malédiction annoncée par Jacques de Molay fut accomplie, sur Philippe le bel et ses trois fils, car les faits se sont prolongés sur la famille du roi dont deux belles-filles furent les héroïnes de deux scandales sexuels adultères qui conduisirent leurs deux amants à subir les pires atrocités imaginées à l’époque, pour les mettre à mort. La chose est si connue en France que le cinéma de la télévision s’est emparé du sujet et en a fait une série télévisée qui porte le nom significatif « Les rois maudits ». En fait, la malédiction prit pour forme l’extinction de l’héritage de Philippe le Bel, ses successeurs périssant tous jusqu’au dernier. Ainsi se sont succédées, sous la même malédiction, toutes les dynasties successives des rois, mérovingiens, carolingiens, capétiens (le dernier étant Philippe le bel), valois, et de nouveau, capétiens ; le dernier roi ayant été Charles X.

Au moment de la Réforme protestante persécutée en premier par le roi François 1er, d’autres signes de malédiction ont frappé la monarchie catholique de la France particulièrement liée par mariage à la famille italienne des Médicis. C’est ainsi, que Catherine de Médicis, a vu mourir les uns après les autres, ses trois fils héritiers, voyant ainsi s’accomplir une prophétie que Michel Nostradamus lui avait présentée. Ajoutons à ces malédictions, les épidémies des pestes terriblement mortelles et dévastatrices et le recensement des malédictions divines est déjà très évident et parlant.

Il faut relever que dans sa Révélation prophétique assez détaillée dans Apocalypse, Dieu ne retient que quatre signes principaux de la malédiction venue frapper l’Europe occidentale depuis l’adultère spirituel commis le 7 Mars 321 soit, l’abandon de son saint sabbat au profit du « jour du soleil » païen. Il a révélé sous le symbolisme des « quatre » premières « trompettes » successives : les invasions barbares venues du nord de l’Europe ; l’instauration du régime papal de Rome en 538, les guerres des religions catholiques et protestantes commencées dès le 12ème siècle contre les Vaudois du Piémont italien ; la fin du pouvoir persécuteur de la papauté frappée, par l’intolérance irréligieuse de l’athéisme libre-penseur des Révolutionnaires français, à partir de 1793.

L’histoire vécue jusqu’à nos jours témoigne de ce que sans la connaissance apportée par les prophéties de Daniel et Apocalypse, les malédictions divines ne sont pas identifiées pour ce qu’elles sont. Et ses signes ne pourraient prendre fin que par une prise de conscience des peuples qui devraient encore, changer de conduite, et présenter à Dieu, le véritable fruit digne et révélateur de la vraie repentance. Mais ces signes de malédictions ne sont vus que par ses élus, et les autres ? Par leur incrédulité, ils ne font que renouveler le comportement des incrédules que la terre a portés depuis le commencement ; du genre Caïn et encore plus de Lémec, le meurtrier moqueur « arrogant », lui aussi, comme la papauté de Dan.7:8 et plus près de nous, le jeune président de la France actuelle.

C’est encore cette ignorance du jugement divin révélé dans ses prophéties qui permit à Louis XIV de devenir pour son peuple, le célèbre « roi soleil ». En France comme ailleurs, la monarchie ayant été trompeusement regardée comme un droit divin, les gens du peuple ont soutenu les volontés royales, même dans les persécutions imposées aux Huguenots et autres réformateurs ; certains l’ont fait, par devoir religieux, d’autres, par plaisir de tuer. Car Jésus-Christ avait prophétisé ces choses en disant dans Jean 16:1-2-3 : « Je vous ai dit ces choses, afin qu'elles ne soient pas pour vous une occasion de chute. Ils vous excluront des synagogues; et même l'heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu. Et ils agiront ainsi, parce qu'ils n'ont connu ni le Père ni moi. » C’est ainsi que les élus invités à abjurer leur foi protestante ont été brûlés sur les bûchers de l’inquisition. Aux côtés de leurs bourreaux, des moines religieux brandissaient une croix devant leur yeux pour les inciter, jusqu’à leur dernier souffle, à rejoindre leur camp qui revendique l’unique représentation du Christ et son autorité. Ce que Dieu contredit et dément clairement, en faisant de Rome, dans ses prophéties, la cible de sa colère perpétuelle.

En opposé absolue, à ses élus fidèles, Jésus offre sa paix. Que signifie cette paix ? Déjà, Jésus dit à ceux qui l’aiment et qu’il aime et approuve : Je ne vous fais pas la guerre. Car Dieu est en guerre continuelle depuis la rébellion du chef des anges et ses ennemis sont très nombreux ; le désir de liberté a fait des ravages dans le ciel premièrement et sur la terre ; la dernière victime de l’actualité, c’est l’Ukraine. La paix donnée par Jésus n’a rien de miraculeux, elle n’est que la conséquence de la tranquillité obtenue par la confiance absolue en celui qui nous juge. La paix donnée par Jésus, c’est la garantie d’un statut d’approbation. Il offre sa paix à tous comme il offre son amour mais comme le lanceur de balle, il faut que celui à qui la proposition est faite s’en saisisse. Il donne sa paix car étant amour dans toute sa nature, il offre ce qu’il est. En agissant ainsi, aucune responsabilité du refus ou rejet de la part de son vis à vis ne peut lui être imputé à charge. Amour il est, Amour il reste. Et ceux qui ne répondent pas à cet Amour sont les seuls responsables de la perte de leur âme. En créant des vis-à-vis libres, ce Dieu Amour a fait entrer dans sa vie, la méchanceté et la haine. Après avoir sélectionné des élus rendus conformes à sa nature Amour et détruit le péché et les pécheurs, tous ceux qui ont été marqués par la méchanceté, Dieu retrouvera la paix parfaite et la pureté de son Amour originel pour l’éternité, cette fois, partagée avec ses seuls élus, triés et sélectionnés.

 

 

Ukraine : l’image d’une parabole biblique

 

Tous les regards des peuples de la terre se portent actuellement sur le conflit engagé entre l’Ukraine et la Russie. Pourquoi cet intérêt collectif ? Parce que ce conflit porte des conséquences qui concernent tous ceux qui vivent sur la terre entière.

Les Occidentaux européens et américains se sont crus bien inspirés d’apporter une aide à l’Ukraine pour lui fournir des armes. Fièrement, voire orgueilleusement, ils ont voulu soutenir la cause de ce grand pays, par sa surface, parce qu’il était attaqué par un pays, russe détesté par l’Occident, encore beaucoup plus grand et vaste que lui. L’exemple biblique du Juif David tuant avec sa fronde le géant philistin Goliath a fait espérer un nouveau miracle. Mais hélas pour ceux qui se sont appuyés sur cette espérance, les belligérants qui s’affrontent ne sont ni David, ni Goliath mais deux nations placées sous la malédiction de Dieu. David, lui, avait réellement Dieu avec lui, ce qui n’est pas le cas, même pour les nombreux « Emmanuel », dont le nom signifie : Dieu avec nous. En l’absence de miracle, le résultat final est prévisible : le plus fort détruira le plus faible, conformément à la règle produite et suivie dans la société animale humaine.

Dans l’opposition des deux peuples, chacun fait état de sa puissance, et de jour en jour, celle de la Russie se révèle énormément supérieure. Les Occidentaux l’avaient oubliée car ils n’avaient conservé d’elle que l’image de ce pays ruiné dans l’époque du leader Gorbatchev et du président russe Eltsine. Mais ils n’ont pas relevé le fait que, bien que ruinée et en lambeaux sur le plan économique et politique, cette Russie n’a jamais cessé de produire des armes pour se défendre contre une attaque constamment redoutée venant de l’Occident ; en fait, des USA. Ramassée en lambeaux, dans un triste état de corruption du genre « Western » ou « Chicago », le jeune président Vladimir Poutine a remis de l’ordre dans une situation mafieuse. L’autorité sévère a produit ses effets, les oligarques russes ont été soumis de gré ou de force au nouveau régime national dans lequel la liberté contrôlée a remplacé le modèle communiste de l’époque soviétique. Mais ce qui n’a pas changé chez les Russes, c’est leur attachement à leur nation qu’ils placent au-dessus de tout. Et pendant que la Russie s’est reconstruite sur cette valeur nationale, que se passait-il du côté occidental ? Tout le contraire. Sous l’influence américaine, le monde a été soumis à « l’économie de marché ». S’agit-il d’une nouveauté ? A première vue on pourrait dire, non, car jusqu’à ce moment, les échanges internationaux existaient déjà, mais ils s’effectuaient en toute liberté et sur des bases de marchandages individuels, entre le fournisseur et l’acheteur. Avec le régime américain mis en place, les échanges réalisés reposent sur des contrats et des alliances qui lient les peuples et les contraignent à des obligations. Le meilleur exemple à donner est celui des accords du « GATT » (Accord Général sur les Tarifs douaniers et le Commerce) signé par les européens et l’Amérique. Dans ces accords, la France était tenue d’acheter une certaine quantité de céréales à l’Amérique, ceci au prix de devoir réduire les surfaces exploitées de sa propre production ; ce qui s’appelle mettre la terre en jachères. Ainsi, sur toute la terre, se sont organisés des échanges entre des nations qui se sont spécialisées dans quelques spécialités de production, ce qui les ont rendues dépendantes d’autres pays pour les choses qu’elles ne produisaient plus elles-mêmes. Pour exemple, après avoir sabordé volontairement son industrie textile au bénéfice de l’Asie, la France a laissé détruire son potentiel sidérurgique (production d’acier de l’Est). Puis, en raison des délocalisations intra-européennes et vers la Chine, son tissu économique s’est réduit à sa plus simple expression ; celle d’un peuple devenu entièrement dépendant de ses importations chinoises. Alors le réveil est dur et tranchant ; la ruine apparaît de plus en plus clairement et concrètement, masquée cependant par un endettement colossal. Bien sûr, de nouveaux emplois ont été créés dans cette adaptation, mais de quels types d’emplois s’agit-il ? D’emplois nécessaires pour faire vivre la France, mais pas pour l’enrichir pour rembourser ses énormes dettes. La vie locale nécessite des emplois qui ont une utilité certaine pour le fonctionnement de la vie du peuple, mais qui ne font pas pour autant augmenter la richesse nationale que seule l’exportation apporte à un pays. Et ce fut la cause du désastre économique qui frappe la France et d’autres pays qui importent plus qu’ils exportent. La balance économique devient ainsi déficitaire et le pays ne vit plus alors que sur les prêts et l’endettement.

Livrer des armes à l’Ukraine portait déjà une conséquence très grave. Car en agissant ainsi, les pays européens se sont clairement positionnés en ennemis de la Russie, et cette erreur de jugement sera payée très cher dans le temps qui vient. Mais, en premiers maux ressentis, se trouvent les conséquences des sanctions économiques et financières prises contre la Russie. Car, la terre entière étant entrée dans l’économie de marché fixée par les USA, la déstabilisation, créée par ces sanctions, détruit les équilibres commerciaux obtenus avec difficulté et beaucoup de duplicité de la part des chefs d’état du monde, de l’Europe et de la France. Pour obéir à cette règle commerciale, ces présidents et rois ont dû renoncer à leur liberté et ont livré leurs pays à une dictature commerciale américaine. Aujourd’hui, à cause des sanctions prises contre la Russie, le déséquilibre commercial entraîne la ruine et provoque le désarroi dans de nombreuses nations terrestres devenues entièrement dépendantes du bon état de la prospérité des nations occidentales européennes et américaines. Les nations européennes sont représentées sous le symbole des « dix cornes » maudites par Dieu dans Apo.17:3 : « Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. » Dieu cible les peuples sur lesquels son nom est évoqué en la personne de Jésus-Christ. C’est pourquoi, dans ce verset, sous l’image de la « femme assise », il désigne l’église de la religion catholique romaine qui déforme la norme de sa vérité. Elle est « assise » sur l’Europe rassemblée par ses efforts diplomatiques internationaux. Car les accords de ce rassemblement portent le nom de « traités de Rome ». Et dans ces symboles, la ville de Rome est illustrée par le symbole des « sept têtes », ce qui est confirmé par l’expression « ville aux sept collines » qui lui fut attribuée depuis longtemps.

Suite aux sanctions, le château de cartes construit à grand peine et dommages, s’écroule. Pour l’Europe et sa richesse le temps prend fin. La crise provoquée par cette perte de repère vient étrangler les peuples européens habitués à la vie tranquille et prospère. Les marchés s’affolent et le prix des choses ne fait qu’augmenter. Le déséquilibre de la situation concerne les vendeurs comme les acheteurs, nul n’est épargné. Et dans ce désastre, s’ajoute la conséquence du choix porté sur l’exploitation de l’informatique, devenue fondamentale dans la gestion économique, politique et sociale des nations riches. Les valeurs chutent en cascade. Des entreprises du style « start-up », entrées en parasite dans l’économie interne des nations, font faillite et cessent leur activité. Le désarroi est donc généralisé dans tous les pays qui ont dominé par leur richesse les autres peuples de la terre. Et si la crise est douloureusement ressentie par ces pays riches, elle l’est encore plus et immensément porteuse de conséquences mortelles dans les pays pauvres qui dépendaient de ces pays occidentaux. Les miettes recueillies jusque là disparaissent et pour ces pays dépendants, la ruine est mortelle.

Mais dans une telle situation, les victimes cherchent à identifier les responsables qui ont provoqué le désastre. Les Occidentaux accusent la Russie, mais la Russie rappelle que ce sont les occidentaux qui ont créé les déséquilibres mondiaux en prenant des sanctions contre elle. Et en effet, ce sont bien les Occidentaux qui ont sabordé les équilibres commerciaux en décidant de ne plus acheter à la Russie son gaz et son pétrole acheminés vers l’Europe par de coûteuses constructions de gazoducs et d’oléoducs. C’est bien là qu’est le problème, dans notre Europe dirigée par des technocrates, des techniciens sans sagesse aux jugements courts et textuels. Ils viennent de démontrer leur capacité à prendre des décisions sans en prévoir les conséquences pour l’Europe elle-même et les pays pauvres répandus sur toute la terre. Pour créer une telle situation, il faut que ces responsables européens soient dépourvus de toute sagesse. Mais la chose est inévitable quand on les sait placés sous la malédiction de Dieu. Sur quoi a reposé le choix de sanctionner la Russie ? Sur la nécessité de défendre le droit international à la liberté, un droit agressé par la Russie en Ukraine. Une telle décision est étonnante de la part de dirigeants qui se sont laissés eux-mêmes enchaînés par des obligations multiples et réciproques imposées au sein de l’U.E. Et conscients de leur faiblesse militaire, ces peuples se regroupent, pensant ainsi faire peur à la Russie. Les chiens comme les loups aboient et hurlent en meutes. Mais l’argent si utile en temps de paix ne fait pas la force dans le combat ; il ne remplace pas les fusées et les missiles destructeurs que la Russie possède en très grand nombre. A l’opposé des nations européennes, les populations des pays pauvres ne sont pas des technocrates et elles raisonnent simplement en fonction des faits constatés. Leur colère et leur haine vont se tourner contre les peuples occidentaux qu’elles vont tenir pour responsables de leur malheur, de leur ruine, et de leur faim.

De même qu’en France, la faim conduisit le peuple en colère dans le palais du roi Louis XVI, le sol européen va voir venir sur lui, la colère africaine désignée dans Dan.11:43 par « la Libye et l’Ethiopie » : « Il se rendra maître des trésors d'or et d'argent, et de toutes les choses précieuses de l'Égypte ; les Libyens et les Éthiopiens seront à sa suite. ». La chose s’accomplira, au moment où l’Europe subira l’occupation russe venue piller les richesses occidentales pour se rembourser des dommages subis par les sanctions européennes.

L’accomplissement des faits actuels éclaire de plus en plus ce programme prophétisé par Dieu. En effet, les sanctions prises contre la Russie lui ont fait perdre beaucoup d’argent et de valeurs confisquées par les pays occidentaux. Quoi de plus logique et naturel, qu’après avoir imposé sa puissance à l’Ukraine, elle vienne en Occident punir et piller les populations pour se rembourser des torts subis ? Tout est devenu logique et l’accomplissement de ces choses est maintenant immédiatement devant nous, entre aujourd’hui et l’an 2028, parce que 2029 sera l’heure de la fin du temps de grâce et le printemps 2030, l’heure où Jésus-Christ viendra enlever de terre ses élus et détruire l’humanité entière. L’imminente colère africaine reçoit dans l’actualité son explication dans l’arrêt de fourniture du blé cultivé et produit par l’Ukraine qui, pour protéger son port commercial d’Odessa des navires russes, a placé des mines explosives marines dans les eaux de la « mer Noire ». En conséquence de quoi, le blé ne peut plus être livré aux pays pauvres acheteurs qui vont connaître, inévitablement, la famine. C’est alors qu’il te faut te souvenir que la « famine » est l’un des « quatre châtiments terribles » de YaHWéH, le Dieu Tout-Puissant, selon Ezé.14:21 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes, ». Autre coïncidence qui ne relève pas non plus du hasard, dans les Lamentations de Jérémie la couleur « noire » est rattachée à la « famine ». Nous lisons dans Lam.4:8-9 : « Leur aspect est plus sombre que le noir ; on ne les reconnaît pas dans les rues ; Ils ont la peau collée sur les os, sèche comme du bois. Ceux qui périssent par l'épée sont plus heureux que ceux qui périssent par la faim, qui tombent exténués, privés du fruit des champs. » La « mer noire » nous livre donc le secret caché dans son nom. Il prophétisait le moment où elle devait devenir la cause d’une terrible mortalité due à la « famine ». Conjointement aux morts tués par « l’épée » destructrice de la Troisième Guerre Mondiale ou « sixième trompette » de Dieu qui, comme la « quatrième trompette », vient, selon Lév.26:25-26, telle une « épée », « venger l’alliance » de Dieu : « Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi. Lorsque je vous briserai le bâton du pain, dix femmes cuiront votre pain dans un seul four et rapporteront votre pain au poids ; vous mangerez, et vous ne serez point rassasiés. » Relevons encore dans ce verset, la mention de trois des quatre châtiments terribles de Dieu, mais dans l’ordre : « épée, peste, bâton du pain brisé soit, famine ». Je rappelle que Dieu nous suggère un lien entre la « quatrième et la sixième trompette », en nommant « second malheur » la « quatrième » dans Apo.11:14 : « Le second malheur est passé. Voici, le troisième malheur vient bientôt. ». Ceci, bien que cette expression concerne la « sixième », selon Apo.9:12-13 : « Le premier malheur est passé. Voici il vient encore deux malheurs après cela. Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, » De plus, en plaçant le thème de la Révolution française, trompeusement appelé « second malheur » juste avant de citer pour « troisième malheur » la « septième trompette », l’Esprit subtil de Dieu confirme encore le lien qu’il établit entre la Révolution française et la Troisième Guerre Mondiale. Accomplies dans des contextes historiques très différents, celui de la France pour la Révolution et celui de l’Europe et du monde entier pour la Troisième Guerre Mondiale, ces deux actions viennent venger l’alliance de Dieu. Chacune intervient pour châtier l’humanité infidèle envers Jésus-Christ à la fin des deux époques prophétiques séparées par la date 1843 ; la Révolution est venue punir la foi catholique et la Troisième Guerre Mondiale vient pour punir les infidélités individuelles ou partagées des religions, catholique, orthodoxe, protestante, anglicane, et adventiste.

Pour achever l’étude de ce sujet qui concerne la Troisième Guerre Mondiale commencée sur le territoire disputé entre l’Ukraine et la Russie, nous allons porter notre attention sur le récit de la parabole qui concerne la « fin du monde » dans Matt.13:40-41 : « Or, comme on arrache l'ivraie et qu'on la jette au feu, il en sera de même à la fin du monde. »

Je trouve extrêmement intéressant, le fait que le chef russe Vladimir Poutine ait engagé une guerre dans le but de « dénazifier » l’Ukraine, car cette motivation est semblable à l’idée « d’arracher l’ivraie », ukrainienne, dans notre cas actuel. Le président russe agit en fonction du jugement qu’il porte sur l’esprit nazi, de même que Dieu juge l’ivraie pour son mauvais fruit spirituel. La Russie a publiquement prononcé son jugement des sociétés occidentales qu’elle juge dégénérées et corrompus ; et Dieu juge l’ivraie spirituelle pour les mêmes causes. Ceci, en sorte que le camp occidental prend le rôle de l’ivraie de la parabole ; ce qui n’a rien d’étonnant en soi. Et ces autres versets renforcent encore cette comparaison : verset 28-29-30 : « Il leur répondit : C'est un ennemi qui a fait cela. Et les serviteurs lui dirent : Veux-tu que nous allions l'arracher ? Non, dit-il, de peur qu'en arrachant l'ivraie, vous ne déraciniez en même temps le blé. Laissez croître ensemble l'un et l'autre jusqu'à la moisson, et, à l'époque de la moisson, je dirai aux moissonneurs : Arrachez d'abord l'ivraie, et liez-la en gerbes pour la brûler, mais amassez le blé dans mon grenier. »

Cette crainte de « détruire le blé en arrachant l’ivraie » existe également chez le président russe, parce qu’il attaque l’Ukraine, afin de préserver, au-milieu d’elle, les gens qui souhaitent la victoire de la Russie pour être soustraits aux mauvaises influences venues de l’occident soit, pour être délivrés des pensées et des mœurs de « l’ivraie ». J’ose cette comparaison, en agissant comme il le fait, Vladimir Poutine vient chercher en Ukraine ce qui est à ses yeux et dans son jugement « la brebis perdue », comme Jésus le fait, pour les mêmes raisons ; celles de larracher à l’immoralité ambiante du lieu où elle vit. Et cette motivation du président Poutine échappe aux raisonnements des Occidentaux qui ne se regardent pas comme des dégénérés, et en conséquence de cela, ils interprètent comme une faiblesse russe, la lenteur de la conquête de l’Ukraine. Ils n’ont pas compris que sans cette motivation, l’Ukraine aurait été conquise dès les premiers jours du conflit. La lenteur prise résulte, uniquement, du souci du chef russe, d’épargner « le bon grain » qui vit au milieu de « l’ivraie ». Si cela n’avait pas été le cas, nous aurions assisté à un génocide en Ukraine. En fait, la fin de l’Ukraine est une image qui prophétise et annonce la venue de la « fin du monde ». Comme Dieu, V.Poutine a patienté depuis le putsch populaire ukrainien de la « place Maidan » qui a renversé entre 2013 et 2014, par la force et les armes, le président russe légitimement élu et établi sur l’Ukraine. C’est dans cette action que le désordre et l’hostilité des Ukrainiens envers la Russie ont commencé. En 2014, indigné, le président russe est venu libérer de l’Ukraine la population majoritairement russe de la Crimée. C’était déjà un avertissement adressé à la fougueuse Ukraine et à son jeune chef, Volodymyr Zélensky. Mais aussi obstinés et entêtés que « l’ivraie », les deux restèrent sourds aux menaces russes. C’est ainsi que le 24 Février 2022, les appels vers l’Occident, qu’ils voulaient rejoindre en entrant dans l’OTAN, furent la mesure de trop ; celle qui a contraint la Russie à engager la guerre sur le sol de l’Ukraine. Pour V.Poutine, le 24 Février fut la date du commencement de sa « moisson » et comme Dieu à la fin du monde, il a pour tâche « d’arracher l’ivraie pour la brûler » ; afin que ses partisans russes retrouvent leur liberté et les valeurs de leur ancienne nation russe. Tel « le bon grain », ils retrouvent dans la Russie, le « grenier » de leur souhait et de leur espérance.

Mais dans ce contexte guerrier, « le blé », si important dans la parabole, vient tenir un rôle extrêmement important pour le monde entier dans notre époque. Alors que les hommes se disputent des stocks de blé pour le revendre, ce blé se trouve bloqué et non transporté, si ce n’est en faible quantité. Ce qui échappe encore aux êtres humains dégénérés ou pas, c’est que le seul propriétaire de ce blé n’est ni l’Ukraine, ni la Russie, ni l’Occident, mais uniquement et souverainement, Dieu. C’est lui, le Glorieux, ignoré et méprisé par tous les peuples de la terre qui a décidé, maintenant, d’affamer l’humanité, en organisant des situations inextricables et insolubles qui piègent toute l’humanité. Si la Troisième Guerre Mondiale ne constitue pas à elle seule, « la fin du monde », ce qui est sûr, c’est qu’elle la prépare, en détruisant les nations et leurs alliances. Car selon Apo.9:13-14-15, « la moisson du monde » est accomplie lorsque la colère et l’indignation de Jésus-Christ sont à leur comble : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. »

Dans ces symboles, la colère de Jésus-Christ, sorti du « temple » céleste, image de son rôle d’intercesseur pour son peuple, s’identifie par la mesure mortelle qu’il ordonne : « afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » Il restera donc après cette hécatombe, très peu de survivants pour vivre la dernière épreuve universelle de la foi en Jésus-Christ. Il ne s’agit pas de savoir s’il a existé mais de prouver dans l’action que toutes ses leçons auront bien été apprises et mises en pratique dans la norme du chemin de sa vérité. Alors ceux qui seront sélectionnés entreront, mais eux seuls, dans l’éternité placée au bout du chemin nommé Christ.

 

 

 

 

 

 

Du rêve à la vérité

 

Je suis né pendant la fin de la Seconde Guerre Mondiale dont je ne garde aucun souvenir sinon, les ruines causées par les bombardements américains encore sinistrement restés quelques années visibles après cette guerre. J’ai eu en moi, dès ma naissance, l’amour de la paix qu’il me semblait souhaitable entre tous les hommes. Car en cette fin de guerre, des films, montrant le comportement brutal des armées allemandes et de la terrible « gestapo » (la police de l’Allemagne nazie) envers des adultes et même des enfants, étaient projetés sur des draps blancs tendus dans des réunions publiques. Ainsi sans les avoir vécues, les horreurs de la guerre m’étaient révélées. Mon besoin de paix était donc immense pour compenser cette terrible influence. La foi Darbyste de la famille de mon père m’a appris l’histoire de Jésus-Christ, révélée dans les quatre Evangiles. Les magnifiques paraboles enseignées par Jésus exaltaient la douceur, et cette paix dont mon esprit avait le plus grand besoin. Il est vrai, qu’enfant, on ne s’intéresse réellement qu’à ce que l’on cherche et souhaite. Je ne retenais de ces Evangiles que cet immense amour qui se dégageait de Jésus-Christ, le « Fils de Dieu ». En grandissant, m’écartant temporairement du texte biblique, cet idéal de paix est resté en moi, et c’est alors que je me suis pris à « rêver » d’une entente internationale entre les hommes de toutes les couleurs et de toutes les races ; ceci, par-dessus, leurs différences religieuses, pensant que l’amour pouvait surmonter et vaincre ces obstacles. J’étais donc, adolescent, un parfait humaniste, mais j’étais aussi, un vrai croyant. Ensuite, les problèmes professionnels contrariés m’ont alors conduit à retrouver, dans la lecture de la Bible, le réconfort dont mon âme avait grand besoin. Et j’ai donc entrepris cette lecture, en commençant par le début de la Bible, le livre de la Genèse. Et cette lecture personnelle, sans influence extérieure, a favorisé chez moi la prise de conscience de l’importance du péché originel commis par Eve, puis Adam. Cependant à l’heure de rendre des comptes pour ce péché de désobéissance, c’est bien Adam que Dieu interroge en premier, en raison de la domination du mâle sur l’humain femelle. Car Adam fut créé en premier et Eve fut formée de l’une de ses « côtes », ce qui signifiait pour Dieu qu’elle serait une « aide » placée à son « côté » ; une « aide », mais pas une égale sur le plan charnel.  Si l’égalité avait été le choix de Dieu, l’homme aurait eu pour compagnie un autre homme créé par Dieu comme il l’a fait pour les anges célestes. C’est pourquoi, l’égalité entre homme et femme réclamée par les groupes féministes est un péché commis contre l’ordre instauré par Dieu, dès sa création terrestre. Je sais bien que ce choix de Dieu reposa avant toute autre raison, sur son projet prophétique qui faisait d’Adam l’image prophétique de Jésus-Christ et d’Eve, celle de son Elue, son Assemblée d’âmes élues pour vivre éternellement dans sa compagnie. La femme a cependant les mêmes droits que l’homme au niveau spirituel, le même destin éternel lui est proposé en Jésus-Christ. Elle ne se distingue de l’homme que par sa féminité sexuelle et à l’image de l’Elue du Christ, elle porte, enfante et nourrit les enfants de l’homme image de Jésus-Christ.

Le fait, que Dieu révèle la création de l’homme, en prenant pour image l’action de le « former » à partir de l’argile de la terre, « la poussière de la terre », était porteur d’un double message ; l’un funeste et sinistre, et l’autre, l’espérance d’une possibilité de reformation. Car ce que Dieu forme, il peut le déformer et le détruire, et c’est tragiquement le sort qui va lui arriver après son péché ; pour la première fois depuis qu’il crée des vis-à-vis libre, Dieu tue sa créature, la mort apparaît en opposition absolue à la vie. Tu n’étais rien, tu naquis et vis, et tu redeviens rien ; tout cela sous le regard et le jugement de Dieu. Mais à l’inverse, rien n’étant impossible à Dieu, l’argile travaillée peut être rectifiée par lui pour enlever ses défauts. Ce qui me semblait si logique n’était cependant pas partagé par tous. Car étonnamment, les chrétiens de mon époque croyaient à l’immortalité de l’âme enseignée par ce païen de philosophe grec nommé Platon ; chose que la Bible contredit formellement et sans appel. La pensée humaine et diabolique de ce philosophe n’a pas sa place dans la vérité religieuse du projet de Dieu. Ce christianisme avait donc de gros problèmes de relation avec le grand Dieu créateur. Et déjà le rôle néfaste de la religion catholique prit pour moi un sens logique, de plus, il avait refusé la norme présentée par les protestants réformateurs. Le problème n’était malgré tout pas réglé, parce que les protestants croient eux-aussi à cette immortalité de l’âme.

C’est ainsi qu’après le rêve de la paix universelle, ma lecture de la Bible, livre de la vérité divine, m’a permis de découvrir la réalité et ses conséquences. Car la mort et la méchanceté avait une cause : un jugement divin. Pour l’homme, tout n’était donc pas possible, et ses rêves de paix étaient irréalisables sans Dieu. Telle était la triste réalité. Et j’ai poursuivi, chapitre après chapitre, et livre après livre, ma lecture de toute la Bible, découvrant ainsi, dans un survol des siècles et des millénaires, le sublime projet de Dieu. Tout me semblait clair, sauf que, les prophéties me semblaient hermétiques, malgré mes efforts pour réussir à en saisir le sens. Je peux maintenant, et depuis 1980, expliquer la cause de ce blocage : l’ignorance de l’importance de l’abandon du vrai sabbat. Comme beaucoup je savais que les Juifs se reposaient le samedi et que les chrétiens honoraient leur repos hebdomadaire, le premier jour, appelé « dimanche ». Comme pour les autres chrétiens, le dimanche hérité ne soulevait pour moi aucun problème, cependant, je me souviens avoir témoigné à ma mère de mon étonnement, je cite : comment justifier ce jour de repos différent alors que la foi chrétienne est une extension héritée de la foi juive ? Ma mère n’avait pas la réponse, mais Dieu l’avait, c’est pourquoi, il me fit découvrir la foi adventiste dans l’année 1979. Le Dieu de vérité m’a fait découvrir que la connaissance de la réalité nous qualifie pour sa vérité ; la dernière étape de la construction de la vie éternelle.

Je peux maintenant témoigner que toute chose à une explication que chacun peut découvrir dans les valeurs et les normes instaurées par Dieu. Le méchant peut tramer ses complots sans que je le sache jusqu’au jour où Dieu décide de me le faire savoir. Car, il veille, et lui, il n’ignore rien de tout ce qui se passe dans tous ses univers, ses dimensions célestes, dont celle de notre terre où les complots et la corruption se multiplient à l’extrême.  Il est reposant pour l’âme d’un disciple bien-aimé de savoir que toute méchanceté sur terre est identifiée, consignée en attente du jugement dernier.

Débarrassé de mes illusions de paix et de bonheur universel, j’étais prêt pour découvrir l’aspect justice du grand Dieu créateur offensé par les esprits rebelles, depuis Satan jusqu’au dernier pécheur humain. Car pour beaucoup, et pour leur malheur, des chrétiens ont de Dieu l’image qu’il souhaite et non, son image réelle. Le Dieu que la Bible révèle est autant amour que justice. Mais sa première alliance était charnelle, son peuple était composé de gens croyants, d’incrédules et d’indifférents égoïstes  soit, un échantillon de l’humanité globale. Avec ce type de société, Dieu s’est efforcé de montrer autant son amour que sa justice punitive. Et il faut bien le reconnaître, dans cette ancienne alliance, au cours de laquelle, quelques rois seulement l’ont honoré, Dieu a surtout dû résumer le passage sur terre de ces nombreux rois de Juda et d’Israël, en disant de chacun d’eux : « il fit entièrement le mal comme l’avait fait avant lui son père, et il mourut ». Ceci explique pourquoi, le témoignage de l’ancienne alliance est peu apprécié par de nombreux chrétiens qui préfèrent de loin les paroles agréables sorties de la bouche de Jésus-Christ. Mais là encore, ils se trompent, car Jésus-Christ a destiné ses propos à l’attention de ses seuls vrais serviteurs, ou pour être plus précis, ses seuls vrais esclaves. Ainsi, doivent être comprises les paroles de ses béatitudes  déclarées solennellement dans Mattieu 5 dont nous allons faire l’étude détaillée de chacune d’entre elles. Mais avant cela, je veux démontrer l’importance de lire la Bible entière depuis son début et jusqu’à sa fin. Seules les révélations contenues dans les textes de l’ancienne alliance montrent Dieu dans des actions destructrices, donnant ordre de « tuer », « hommes, femmes, vieillards et enfants ». C’est le cas, en premier, pour l’humanité du déluge, puis après Moïse au temps de Josué, ce sera le cas des populations qui vivaient en Canaan. Pour Dieu, selon ses paroles dites à Abraham, « l’iniquité des Amoréens était arrivée à son comble ». Ils devaient tous être exterminés pour que leur terre devienne l’Israël de Dieu. Et en dernier, selon Ezéchiel 9, ce furent « les hommes, les femmes, les vieillards, et les enfants » d’Israël qui furent frappés par l’épée chaldéenne à la troisième intervention du roi Nébucadnetsar soit, en – 586. Il est absolument nécessaire de connaître ces faits pour ne pas tomber dans le piège de l’unique bonté divine démontrée en Jésus-Christ. Et c’est d’autant plus nécessaire, que le Dieu ordonnateur de ces massacres était le même Esprit incarné dans le doux Jésus-Christ. Jésus ayant lui-même déclaré dans Jean 17:3 : « Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ.». Sans la connaissance des œuvres ordonnées par Dieu dans l’ancienne alliance, cette connaissance, du « seul vrai Dieu et de Jésus-Christ », qui fait la « vie éternelle », est rendue nulle et inexistante. Ainsi, les deux alliances successivement établies par Dieu sont les deux plateaux de la balance de son jugement ; elles se complètent mais ne s’opposent pas, car ensemble, elles révèlent le caractère complet du Dieu créateur. Relève, cependant, que Dieu s’y faisant mettre à mort lui-même en Christ pour payer la rançon du péché, la nouvelle alliance est autant justice qu’amour et bonté. Tout son enseignement culmine sur le versement du sang le plus précieux pour Dieu ; celui de Jésus-Christ le Juste. Ces choses étant dites et comprises, je peux aborder l’étude de ces magnifiques neuf béatitudes dédiées, par Jésus, à ses seuls Bienheureux et saints fidèles esclaves, ses vrais élus, dans Matthieu 5. J’ai remplacé le terme « Heureux » par celui de « Bienheureux » qui porte une signification plus spirituelle justifiée dans ce cas et qui désigne une authentique sainteté.

Verset 3 : « Bienheureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux ! »   Des gens totalement coupés de Dieu ont osé interpréter ces paroles en disant : Bienheureux les fous. Mais que dit Jésus réellement ? « Bienheureux » ceux qui ressentent en eux le manque de l’Esprit divin. Nous ne voyons plus beaucoup de gens qui donnent l’impression de se soucier d’un tel manque. Personnellement, je les cherche et ne les trouve pas ou que très rarement. Donc, actuellement, les bénéficiaires de cette béatitude sont aussi rares que l’or caché dans l’eau des rivières aurifères ou des veines minières des montagnes. Celui qui éprouve le manque dont parle Jésus, s’efforce de tout faire pour l’obtenir et la première chose à faire est de découvrir ce qui empêche cette communion avec le Dieu Esprit. Pour moi, en 1979, j’ai découvert que c’était mon infidélité envers son sabbat, car j’avais ignoré jusqu’à cette époque, que Dieu avait exigé sa restauration depuis l’année 1844 à l’époque (mais 1843 après rectification). Et cette expérience qui fut la mienne, révèle le jugement de Dieu, tel qu’il s’est appliqué à l’intégralité des gens qui forment le christianisme. A tous, Dieu impute cette transgression de son saint sabbat, renouvelé aux Juifs après la création, dans le quatrième de ses dix commandements ; et donc, logiquement et légitimement rappelé ensuite depuis 1843 à ses fidèles élus par son décret de Dan.8:14 : « la sainteté justifiée ».

Verset 4 : « Bienheureux les affligés, car ils seront consolés ! » Là encore, les lecteurs privés de l’Esprit voient dans ses affligés ceux qui sont victimes de la méchanceté humaine et seulement eux. Mais que dit Jésus ? Heureux ceux qui se désolent de ne pas parvenir à répondre aux exigences de sainteté présentées par Dieu. Cette impossibilité est la cause de leur sincère affliction ; ce qui justifie dans l’exemple qu’il enseigna dans Luc 18:13-14, la préférence du Christ pour le pécheur contrit pardonné contrairement au propre juste pharisien. Prévoyant l’aide que sa mort allait lui permettre de leur apporter, Jésus annonce à ses seuls élus, son imminente consolation ; qui se prolongera après son retour au ciel, par son ministère céleste de « Consolateur » appelé le « Saint-Esprit ».

Verset 5 : « Bienheureux les débonnaires, car ils hériteront la terre ! » Les « débonnaires » sont, selon le dictionnaire Larousse, ceux qui sont bons jusqu’à la « faiblesse ». Je ne pense pas que Jésus soit d’accord avec cette définition. Car l’élection ne fait pas appel à la « faiblesse » mais à une grande force d’âme capable de résister au diable et ses subtiles tentations. Pour Jésus, le « débonnaire » est naturellement bon, d’une bonté comparable à celle de Dieu qui est tout, sauf « faiblesse ». C’est cette ressemblance et parfaite compatibilité entre les deux bontés divine et humaine qui permettra aux seuls élus du Christ « d’hériter la terre ». Mais étant soumise à la justice, la bonté ne peut pas rester faible et son application est donc réduite et dépendante de l’intelligence. Je précise que la bonté naturelle humaine est perfectible, contrairement à celle de Dieu qui est naturellement parfaite.

Verset 6 : « Bienheureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés ! » Les tribunaux humains sont, par nature, incapables de répondre à cette « faim » et cette « soif de justice » ; ce n’est donc pas à eux que les paroles de Jésus font allusion. Jésus annonce l’obtention de la « justice » divine souhaitable et désirable parce qu’elle est parfaite ; apte à « rassasier » l’âme affamée ou assoiffée. Mais en plus de cet aspect général de la « justice », le pécheur est menacé de mort par sa pratique et son héritage du « péché ». Jésus annonce ainsi que ce problème va être réglé, par sa mort expiatoire prochaine. Un échange va avoir lieu, Jésus va porter les « péchés » de ses élus, mais je précise encore, de ses seuls élus, auxquels il va imputer sa « justice » parfaite, sans aucune tache. Le besoin de « justice » de ses élus sera ainsi, parfaitement, satisfait et ils seront, pleinement, « rassasiés ».

Verset 7 : « Bienheureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde ! » Ce mot miséricorde suggère un témoignage de cordialité dans une situation de misère. Les rois, les puissants, et la majorité des riches sont incapables de pratiquer la miséricorde. L’histoire humaine en témoigne, les riches honorent les riches et laissent derrière eux les pauvres se débrouiller avec leur pauvreté. La miséricorde est une qualité uniquement divine, mais grâce à la réconciliation des élus et Dieu, que par sa mort expiatoire Jésus va rendre possible, la miséricorde divine va être implantée en eux. Et reconstruit à l’image du Christ, ses élus pourront faire preuve de miséricorde parce qu’ils auront apprécié à sa juste valeur cette qualité de Dieu. Il donne à ses élus, pour preuve de sa « miséricorde » envers eux, la mort volontaire de Jésus-Christ, « l’agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde ». Qui est plus miséreux que le pécheur condamné à mort pour son péché ? Qui a plus besoin de la miséricorde divine que lui ? Une fois de plus, cette béatitude promet et annonce que le problème va être réglé.

Verset 8 : « Bienheureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu ! » Déjà, qui d’autre que Dieu peut juger la qualité d’un cœur et l’estimer pur ? Personne. Les fausses prétentions humaines à répondre à ce critère sont donc vaines, sans aucune valeur. Dieu seul a la possibilité de juger la pureté des sentiments de ses créatures, parce que son Esprit les « scanne » mieux qu’un rayon laser. Pour Dieu, un cœur pur est un cœur dont il reconnaît la pureté soit, la réelle sincérité. Là encore, il ne s’agit pas de la sincérité revendiquée par l’être humain mais bien de celle que Dieu authentifie. Et pour lui, la chose est rendue facilement démontrable : le cœur pur obéit à ses commandements dès qu’il  découvre leur existence. Le cœur pur obéit à sa conscience et à ce que son intelligence lui commande de faire. Un tel état permettra aux seuls élus de pouvoir « voir Dieu » quand il reviendra en Christ les chercher pour les faire entrer dans son éternité, dans un premier temps, pendant « mille ans » dans le ciel pour juger les méchants morts anéantis, puis sur la terre régénérée, pendant l’éternité.

Verset 9 : « Bienheureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu ! » Ici, il ne faut pas se tromper au sujet de ce mot paix, car Jésus déclare aussi à ses disciples : « je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée Mat.10:34 » La « paix » dont il parle dans sa béatitude est donc spéciale et de nature divine. Ce terme « paix » a pour contraire absolu le mot « guerre ». Et c’est un point vital de son message, Jésus nous apprend que notre état pécheur nous lie au diable contre lequel Dieu est en « guerre ». En tant que créature humaine chacun de nous doit librement choisir son camp, en sachant qu’il n’y a choix qu’entre deux camps ; celui de Dieu et celui de Satan. Pour que Dieu cesse de nous faire la guerre, nous devons obligatoirement répondre à ses exigences, en entrant dans son camp, puisque la mort de Jésus-Christ a rendu cette entrée possible. Mais là encore, attention aux fausses conversions, car après le ministère de Jésus, le diable a changé les tactiques de ses stratégies, et après l’attaque persécutrice ouverte du « dragon », il est entré, en « serpent » séducteur, dans les églises à travers lesquelles il séduit et trompe des gens qui pensent se convertir à la foi chrétienne, mais ne sont pas reconnus par Dieu. Un vieux dicton plein de sagesse dit  « qu’on ne peut donner que ce qu’on a reçu ». Aussi, mis en pratique, seuls ceux qui reçoivent réellement la paix de Dieu peuvent à leur tour la transmettre à d’autres appelés. Et là encore, la sélection est effectuée par Dieu qui donne sa paix, uniquement, aux chrétiens qui obéissent à ses ordonnances et toutes ses volontés révélées. Or cette norme est celle de Jésus-Christ, le premier « Fils de Dieu ». Aussi, ses élus qui le laissent reformer en eux son image au niveau de son caractère, deviennent à leur tour, par adoption divine, des « fils de Dieu ». Le Père est seul apte à reconnaître la filialité de ses fils.

Verset 10 : « Bienheureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux ! » Par ce verset, Jésus a voulu donner à ses élus une motivation pour qu’ils acceptent et supportent les persécutions du diable et de ses agents terrestres qui combattent le projet salvateur dirigé et organisé par Dieu. Jésus exalte le modèle qu’il va lui-même, en premier, incarner avant ses élus qui vont l’imiter pour le suivre sur le chemin de vérité qu’il a tracé pour eux. Les élus du Christ sont bien conscients de se trouver sur la terre placée sous la domination provisoire du diable et de ses démons. Ils savent que, comme contre Jésus, la loi des méchants s’applique et domine. Le royaume des cieux qui leur est attribué est un droit sur le futur victorieux du camp de Dieu. Il ne s’apprécie que par la vraie foi et Paul a raison de nous rappeler dans Rom.8:24 que « c’est en espérance seulement que nous sommes sauvés ». C’est donc également en espérance que « le royaume de Dieu appartiendra à ceux et celles qui sont persécutés pour la justice » enseignée par Dieu, dans sa sainte Bible entière. Relève que dans ce verset, le bénéficiaire de la béatitude ne doit pas rendre les coups qui lui sont portés, mais supporter avec patience et résignation, ceux qui lui sont, injustement, infligés. On ne saurait estimer à sa juste valeur l’action de toute forme de violence qui identifie le « mauvais arbre et son fruit ».

Verset 11 : « Bienheureux serez-vous, lorsqu'on vous outragera, qu'on vous persécutera et qu'on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi. » Là encore, le premier homme « Bienheureux » sera Jésus lui-même puisqu’en premier, il sera l’objet d’accusation de toute sorte de mal de la part des Juifs à cause de son appartenance à Dieu. Il fut persécuté et accusé de blasphème envers Dieu par les Juifs et crucifié par les Romains. Mais dans ce verset, Jésus prévient ses fidèles élus que leur fidélité leur vaudra d’être traités de la même manière par le camp du diable. Jésus précise : « et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal ». La béatitude ne bénéficiera qu’aux chrétiens accusés « faussement », car le mal, pris pour une persécution, peut aussi venir de Dieu lui-même et n’être qu’un juste châtiment mérité par celui qui le subit. C’est le sort qui frappe ses ennemis qui se présentent sous l’étiquette chrétienne. Dans notre époque de grande confusion religieuse, les faux martyrs sont très nombreux et ils donnent une fausse légitimité à des mouvements religieux qui n’en sont pas dignes. La fausse accusation ne sera souvent identifiée que par Dieu, tant les apparences sont trompeuses pour les êtres humains. Mais c’est bien son seul jugement qui importe, car il est impossible de le tromper. Au jour de sa victoire finale, il pourra ainsi attribuer ses béatitudes à des élus qui en auront été réellement dignes au cours des six mille années de la vie terrestre.

Ces neuf béatitudes déclarées par Jésus définissent parfaitement ce qu’il a souvent appelé la vérité. Il a mis en pratique lui-même tous ces critères qu’il est donc en droit d’exiger de ceux qu’il sauve. Elles constituent la norme du salut proposé universellement à tous les êtres humains ; imagées par l’habit de noces de la parabole.

Il existe sur la terre, des formes trompeuses de ces béatitudes lues uniquement de manière superficielle charnelle et intellectuelle. Toutes les valeurs divines sont interprétées de manière terrestre et c’est ainsi que naissent les ordres religieux catholiques de bienfaisance. L’église qui persécuta longtemps la vérité se drape aujourd’hui dans une apparence d’exercice de charité professionnelle pour masquer sa haute culpabilité envers Dieu. Cette démarche trompe certainement les hommes, mais elle ne trompe pas le Dieu créateur qui la juge.

Dans Jean 17:17 : Jésus a dit en s’adressant au Père : « Sanctifie-les par ta vérité : ta parole est la vérité. » C’est uniquement le respect de cette vérité ou parole de Dieu révélée qui lui permet ensuite de prier pour l’unité de ses frères dans le verset 21 : « afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu'eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m'as envoyé. » Il est donc facile et logique de comprendre que cette unité sera réalisable, uniquement, dans le petit troupeau que forment les vrais élus. Mais le monde est aujourd’hui trompé par les fausses alliances réalisées par les églises déchues qui se regroupent dans l’alliance œcuménique organisée par l’initiative de la foi catholique romaine : la principale ennemie de Dieu ciblée dans sa prophétie, dans Daniel et Apocalypse. Sous toutes ses formes et ses courants de pensées, la religion protestante est tombée, après 1843, dans son piège ainsi, qu’en dernière, la foi adventiste, elle, depuis 1994.

 

 

Les raisons de la colère

 

La colère de Dieu est loin d’être injustifiée et pour mieux la comprendre, il suffit d’en découvrir les causes. A titre d’exemple du châtiment prévu pour les rebelles humains, Dieu a laissé dans sa sainte Bible, le témoignage terrible du déluge d’eaux qui a emporté dans la mort toute l’humanité qui vivait alors sur la terre, ne gardant en vie que huit personnes : Noé, sa femme, ses trois fils et leurs femmes. L’humanité fut détruite parce que l’esprit des hommes était selon Gen.6:5 « continuellement tourné vers le mal » ; ce qui suppose que le bien défini par Dieu était connu et enseigné, et la preuve se trouve dans le comportement fidèle et obéissant de Noé. Mais à l’époque, le salut basé sur la mort de Jésus-Christ n’était même pas imaginé. La désobéissance existait déjà et malgré les appels à des changements de conduite réitérés par Hénoc, puis par Noé, l’endurcissement des esprits humains était à son comble, sans remède, et sans espoir. Notre grand Dieu créateur créa depuis le néant tout le volume d’eau nécessaire pour recouvrir sur la terre entière, les plus hautes montagnes dont la plus haute crête était couverte par 15 pieds d’eau. C’est là le grand pouvoir du Dieu créateur qui crée à partir de rien (voir Psa.33:9 : « Car il dit, et la chose arrive ; Il ordonne, et elle existe ») et donne apparence à ce qu’il ordonne d’être. Notre terre fut créée par lui de la même manière, à partir du néant.

A l’heure du grand retour de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, attendu depuis 2018 pour le printemps 2030, l’humanité rebelle sera, elle, énormément plus coupable que les antédiluviens de Noé, parce qu’elle aura refusé de tenir compte de toute la lumière venue et révélée en et par Jésus-Christ ; Evangile déformé, prophéties méprisées, avertissements divins ignorés, toutes ces fautes pratiquées par les enseignants religieux attirent sur eux une colère divine spécifique. Car plus la lumière donnée par Dieu est grande, plus son mépris des hommes les rend dignes d’un plus grand châtiment. Et ce châtiment spécial s’appelle dans Apo.14, la « vendange » car ceux que Jésus va « fouler aux pieds » sont pour lui « les raisins de sa colère ». Il ne s’agit plus de mort douce mais de massacres sanglants. Cette « vendange » s’accomplit après que les élus restés vivants et ceux qui seront ressuscités aient quitté la terre pour entrer dans le royaume céleste de Dieu. Jésus leur épargnera ce spectacle sanglant. Mais pourquoi autant de sang versé ? Parce que ceux qui le font couler ont été victimes des mensonges religieux qui leur ont été présentés par ses faux bergers. Que n’ont-ils pas entendu cet avertissement de l’apôtre Jacques cité dans Jac.3:1 : « Mes frères, qu'il n'y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se mettent à enseigner, car vous savez que nous serons jugés plus sévèrement. » Un tel avertissement aurait pu changer leur destin, mais les esprits rebelles n’entendent jamais les appels que Dieu leur lance par la bouche de ses serviteurs fidèles. Non seulement ils ne les écoutent pas, mais de plus, ils se retournent contre eux et les persécutent. Aussi, quelque soit l’intensité de leur futur châtiment, il sera amplement justifié. Le thème de cette « vendange » a été développé dans le livre prophétique de l’ancienne alliance, dans Esaïe 63 où Jésus déclare :

Verset 1 : « Qui est celui-ci qui vient d'Édom, de Botsra, en vêtements rouges, en habits éclatants, et se redressant avec fierté dans la plénitude de sa force ? C'est moi qui ai promis le salut, qui ait le pouvoir de délivrer. »

« Edom » : De manière symbolique, Dieu place l’action de la « vendange » sous le signe « d’Edom », à l’origine pays d’Esaü, l’homme qui méprisa son droit spirituel d’aînesse et le troqua contre un plat de « roux soit, de lentilles » préparé par son frère Jacob. Relevons que le nom « Edom », qui signifie rouge, a le même sens que celui de l’Adam créé par Dieu. Cette couleur rouge ou « roux » caractérise Esaü totalement : ses cheveux et ses poils dont son corps était couvert étaient eux-aussi « roux » ; et dans Apocalypse, ce « roux » est rattaché au diable et aux agents terrestres qu’il domine et utilise pour combattre Dieu et sa vérité salvatrice ; le « cheval roux » du « 2ème sceau » d’Apo.6:2 ; le « dragon roux », dans Apo.12:3. La cause du châtiment est ainsi identifiée : le mépris humain envers le sujet spirituel, soit le projet salvateur conçu par Dieu.

« Botsra » : Nous lisons dans Jér.49:13 : « Car je le jure par moi-même, dit YaHWéH, Botsra sera un objet de désolation, d'opprobre, de dévastation et de malédiction, et toutes ses villes deviendront des ruines éternelles. » Cette ville « d’Edom » devient donc un symbole de la malédiction de Dieu ; une malédiction qui résulte du comportement rebelle idolâtre de ses habitants également comparés à ceux de « Sodome et Gomorrhe » dans Jér.49:18, où Dieu dit au sujet « d’Edom » : « Comme Sodome et Gomorrhe et les villes voisines, qui furent détruites, dit YaHWéH, il ne sera plus habité, il ne sera le séjour d'aucun homme. ».

  Ensuite, l’Esprit fixe et définit le thème de base de ce chapitre soit, le thème du sujet spirituel méprisé : le salut apporté de manière exclusive par Jésus-Christ qui dit : « C'est moi qui ai promis le salut, qui ai le pouvoir de délivrer ». Il prend l’apparence de l’exécuteur d’une sentence divine étant Dieu lui-même. Dans le contexte de ce châtiment, ceux qui doutaient pour le moins de son existence voient Jésus-Christ « fier et dans la plénitude de sa force ». Il n’est plus question d’amour ni de miséricorde, l’heure est à la « force » contraignante et contre laquelle nulle chair ni esprit céleste ne peuvent résister.

Verset 2 : « Pourquoi tes habits sont-ils rouges, et tes vêtements comme les vêtements de celui qui foule dans la cuve ? » C’est cette question qui révèle et confirme ici le développement du thème de la « vendange » évoqué dans Apo.14:18 à 20. Je relève que dans Apo.14:15 à 20, dans les deux thèmes successifs présentés, « la moisson » ou l’enlèvement au ciel des élus, et « la vendange », le châtiment des faux bergers, l’ange exécuteur utilise une « faucille », la seconde étant précisée « tranchante ». L’image de la faucille donne à l’action un caractère définitif qui correspond parfaitement à la fin du monde marquée par le retour glorieux de Jésus-Christ. « L’ange » exécuteur de ces deux thèmes est identifié à Jésus-Christ dans Esaïe 63:1. Les « habits rouges » viennent après le mot « Edom », confirmer la cible de la colère divine : le sang humain qui doit être versé pour expier ses péchés que Jésus n’a pas expiés à sa place.

Verset 3 : « J'ai été seul à fouler au pressoir, et nul homme d'entre les peuples n'était avec moi ; je les ai foulés dans ma colère, je les ai écrasés dans ma fureur ; leur sang a jailli sur mes vêtements, et j'ai souillé tous mes habits. »

Ce que Jésus dit dans ce verset, c’est qu’il est l’organisateur et l’ordonnateur divin de ce massacre qui prend pour cible principale les faux bergers, « raisins de la colère ». En réalité, l’action est accomplie par les autres hommes qui ont été victimes de leurs mensonges religieux. Le retour du Christ et l’enlèvement de ses élus de la « moisson » ont fait tomber les masques et la cruelle réalité s’est imposée à toutes ces victimes trompées, mais perdues tout de même. Car la parole de Dieu, sa sainte Bible était partout disponible, et ceux qui se perdent, le feront en toute responsabilité.

Dans l’expression, « J’ai été seul à fouler au pressoir », je distingue deux messages. Le premier : Jésus a « seul » porté la croix qui lui a donné la victoire et le droit de détruire les incrédules rebelles faussement religieux. Le second : Après l’enlèvement au ciel des élus, les «  seuls » vrais hommes recréés à l’image de Dieu ; sur la terre, Jésus ne voit plus des hommes, mais des animaux qui marchent sur leurs deux pieds. Dans ce dernier châtiment qui marque la fin de six mille ans de rébellions humaines terrestres, Jésus-Christ « venge » le mépris témoigné envers la sublime démonstration de son amour qui fait place maintenant à « sa colère et sa fureur ».

Verset 4 : « Car un jour de vengeance était dans mon cœur, et l'année de mes rachetés est venue. » La motivation de la « vengeance » de la part du Christ méprisé et trahi est ainsi confirmée. Mais son attente principale était de faire entrer ses bienheureux « rachetés » dans son éternité. Et « l’année » tant attendue viendra en 2030. C’est ce besoin de « vengeance » qui s’exprime contre l’humanité coupable par « sa colère et sa fureur ».

Verset 5 : « Je regardais, et personne pour m'aider ; j'étais étonné, et personne pour me soutenir ; alors mon bras m'a été en aide, et ma fureur m'a servi d'appui. »

Dans ce verset, Dieu évoque sa solitude bien réelle face à toutes ses créatures ; il s’exprime en tant que Dieu, le Père, mais en évoquant son « bras », il fait allusion à son incarnation en « Fils » de Dieu, dans la chair humaine de Jésus-Christ. Ce même terme « bras » désigne Christ dans Esa.53:1 où le Père dit : «Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de YaHWéH ? » Il prophétise les questions que se poseront un jour, les Hébreux incrédules de l’Israël de l’ancienne alliance.

Nous allons retrouver les causes de cette fureur dans la doctrine religieuse du catholicisme papal romain qui les concentre toutes ; les religions protestantes n’ayant conservé par héritage que certains de ses péchés, mais déjà fatals.

J’ai déjà eu l’occasion de dénoncer, sa reproduction des rites hérités des Juifs de l’ancienne alliance ; chose qu’elle partage avec le clergé orthodoxe, tout autant idolâtre qu’elle, ainsi que celui de la religion anglicane. Le sujet principal de mon étude est aujourd’hui « ses messes ». La « messe » catholique est pour cette religion le moment le plus fort, le plus solennel de ses rites. Son nom est d’origine latine, « missa » qui signifie : renvoyer. A l’origine, les rassemblements religieux s’achevaient par l’expression latine : « ite, est missa », qui signifie : « allez, c’est le renvoi ». Ce mot « missa » a donné le mot mission. Personnellement, je le trouve très ressemblant au mot « messie » que ce rite attaque particulièrement. Déjà parce que dans la sainte Cène, instaurée par Jésus, le rôle du sang symbolisé par le vin, que tous les adeptes chrétiens doivent boire, est fondamental, puisqu’il est l’élément de  base de la nouvelle « alliance » selon l’enseignement de Jésus décrit dans Mat.26:27-28 : « Il prit ensuite une coupe ; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, en disant : Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés. » Ce même terme « plusieurs » concerne les bénéficiaires de l’alliance du Christ cités dans Dan.9:27. Or, dans la messe, seul le prêtre boit le vin qui est de plus, comme chez les protestants, alcoolisé soit, toxique et nocif. Toujours est-il que la messe a pour but de célébrer, par l’eucharistie, la gloire de la résurrection du Christ, et là, déjà, je relève cette contradiction avec ces paroles de Jésus qui dit par la bouche de Paul, dans 1 Cor.11:26 : « Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne. » Il est évident que Jésus place sa sainte Cène sous la glorification de « sa mort » et non sous celle de sa résurrection. De plus la résurrection de Jésus disparaît au profit de sa promesse de revenir ; il prépare ainsi le thème adventiste des derniers jours. De cet irrespect fondamental va découler la glorification du « dimanche », mot qui signifie « jour du Seigneur » ; celui de sa résurrection mais pas de « sa mort ». La relation avec Dieu devient déjà impossible, mais la doctrine catholique ne s’arrête pas là ; il y a pire. En s’attribuant les pouvoirs de Dieu, elle proclame son dogme de la transsubstantiation par lequel la substance de l’ostie devient miraculeusement le vrai corps du Christ. Jésus n’y avait pas pensé, mais pourquoi ne pas renouveler le plaisir de mourir pour le péché ? Car c’est ce que prétend accomplir l’eucharistie de la messe. Ceci en opposition avec ce texte d’Héb.9:27-28 : « Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seul fois, après quoi vient le jugement, de même Christ, qui s'est offert une seul fois pour porter les péchés de plusieurs, apparaîtra sans péché une seconde fois à ceux qui l'attendent pour leur salut. » Face à ce constat, il faut nous rappeler comment la même erreur, dans un moment où les réclamations d’eau du peuple l’avait excédé, Moïse retourna vers le rocher d’Horeb, et au lieu de lui parler comme Dieu lui avait dit de le faire pour cette seconde demande, il a frappé le rocher, une deuxième fois. Par cette erreur, Moïse venait de déformer le futur rôle salvateur de Jésus-Christ symbolisé par le « rocher » frappé. Aussi, pour laisser après lui, une sévère leçon à titre d’avertissement, Dieu l’a puni devant tout son peuple en l’empêchant d’entrer avec lui dans la terre promise, la terre de Canaan. En ce qui concerne la foi catholique, ce n’est pas deux fois qu’elle a frappé le « rocher », mais des millions de fois, puisque la chose est répétée dans toutes ses messes depuis « mille six cent » années d’activités,  auxquelles Dieu fait allusion dans sa « vendange » en disant, dans Apo.14:20 : « Et la cuve fut foulée hors de la ville ; et du sang sortit de la cuve, jusqu'aux mors des chevaux, sur une étendue de mille six cents stades. » Je rappelle que l’expression « les mors des chevaux » désigne les bergers religieux conducteurs des peuples dans Jac.3:3 : « Si nous mettons le mors dans la bouche des chevaux pour qu'ils nous obéissent, nous dirigeons aussi leur corps tout entier. » Les cibles de la colère divine, ou « raisins de la colère », sont donc bien ceux qui « dirigent » les groupes religieux qui leur « obéissent ». Mais après cette obéissance viendra leur colère meurtrière.

La vraie religion, celle qui autorise la relation entre le pécheur humain et Dieu, son créateur et Juge, repose uniquement sur l’état de son esprit, sur sa sincérité que Dieu reconnaît réelle ou pas. Les fausses religions recherchent une légitimité dans les pratiques des rites auxquels leurs adeptes obéissent sans pour autant être réconciliés avec Dieu. C’est pourquoi, leur désillusion finale prendra la forme d’une juste colère qui exprimera celle de Jésus-Christ, le seul vrai Dieu. En fait, la religion catholique a rétabli l’esclavage d’un formalisme rituel qui veut masquer le maintien dans l’esclavage du péché duquel Jésus veut, lui, soustraire ses rachetés pour les faire bénéficier de sa glorieuse liberté, obtenue uniquement dans son obéissance reproduite par chacun d’eux. Le modèle de sa vie terrestre doit être le modèle reproduit par ses élus rachetés. Et l’amour de toutes ses vérités se suffit à lui-même, pour reconstruire avec son aide miséricordieuse, l’âme qui deviendra digne de son salut éternel.

Dans Apo.18, où elle subit le châtiment de la « vendange » finale, Dieu dit d’elle au verset 5 : « Car ses péchés se sont accumulés jusqu'au ciel, et Dieu s'est souvenu de ses iniquités. » Ils sont donc si nombreux que je ne peux citer que les plus évidents. Mais en lui attribuant l’image d’une tour constituée de péchés qui s’élèvent jusqu’au ciel, Dieu lui donne la nature d’une nouvelle tour de Babel. La première, comme elle, avait pour but de rassembler l’humanité dispersée ; la religion catholique fait de même en cherchant à réunir, sous sa domination, les diverses formes de la religion chrétienne. A Babel, le rassemblement visait à soustraire l’humanité aux punitions divines. Pour la Rome catholique, l’espérance illusoire est identique ; elle compte sur l’union pour vaincre par la force du groupe rassemblé ; mais elle ne redoute pas les châtiments de Dieu, puisqu’elle pense qu’il l’approuve et l’inspire. Dans Apo.13:2, l’Esprit contredit sa prétention en disant : « …Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité » Dans le rôle du « dragon » se tient « le diable », selon Apo.12:9, mais aussi le régime impérial romain qui l’a précédé, selon Apo.12:3. Il lui a effectivement « donné » en relais de succession, « son trône » ; et en plus son titre : Souverain pontife, ou en latin : Pontifex maximus.

Cet autre péché, dirigé contre Dieu, mérite d’être rappelé. Jésus déclare dans Mat.23:9-10 : « Et n'appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux. Ne vous faites pas appeler directeurs ; car un seul est votre Directeur, le Christ. » C’est ainsi qu’afin d’irriter Dieu, le diable fait appeler le pape catholique « très saint père » et ses assistants du clergé « pères ». Ils prétendent également au titre de « directeurs de conscience » et désignent le Pape sous le titre de « Sa sainteté », chose contredite dans Apo.15:4 : « Qui ne craindrait, Seigneur, et ne glorifierait ton nom ? Car seul tu es saint ».  Ce mépris pour les ordres donnés par Jésus révèle à lui seul la nature diabolique de cette religion.

 

 

Un culte agréable à Dieu

 

Chacun de nous a sa propre conception de ce qu’il juge agréable et notre Créateur n’échappe pas à ce principe. Dans sa sainte Bible il nous a révélé ce qui lui est agréable en lui donnant le qualificatif de « bien ». Et logiquement, à l’inverse absolu, ce qui lui est désagréable est appelé « mal ». Toute sa divine révélation consiste à nous présenter des exemples de ce « bien » et de ce « mal ». Le bien lui procure de la joie, tandis que le mal lui impose de la souffrance. Nous pouvons aisément comprendre ce qu’il ressent parce qu’il nous a créés, nous les êtres humains après les anges célestes, à son image. Notre ressemblance avec Dieu se limite à ces fonctionnalités de principe, car il est Tout-puissant, omniscient, omniprésent et illimité et nous ses créatures terrestres, nous sommes tout le contraire de ces choses. Une rencontre physique avec Dieu n’est donc pas utile puisqu’il nous a fait savoir ce qu’il attend de nous au cours de ses deux alliances successives. Dans la forme de la première alliance, Dieu a posé et exposé les normes de ses règles qui composent sa loi et place ainsi l’être humain dans une épreuve d’obéissance. Obéir, ne nécessite pas de comprendre, et la douloureuse mais bénie, épreuve de foi d’Abraham est le meilleur exemple qui lui vaut bien le titre de père des croyants. Cette expérience d’Abraham est vraiment révélatrice de la norme du comportement que Dieu exige et recherche parmi ses créatures. Il n’a donné aucune explication à Abraham, il lui a seulement donné un ordre. Et aussi terrible qu’était cet ordre, Abraham a obéi à Dieu sans comprendre comment Dieu pouvait lui demander une chose aussi terrible que celle d’offrir en sacrifice Isaac son unique fils légitime. Mis au monde, alors qu’il avait cent ans, la naissance de cet enfant avait été un cadeau miraculeux de Dieu, ceci d’autant plus que Sara, son épouse légitime, était, jusque là, stérile. Il fut donc le premier à réagir comme Job qui, après avoir été frappé par Satan sans qu’il sache pourquoi, dit, dans Job.1:21 : « Je suis sorti nu du sein de ma mère, et nu je retournerai dans le sein de la terre. YaHWéH a donné, et YaHWéH a ôté ; que le nom de YaHWéH soit béni ! » A l’époque d’Abraham, la terre porte des multitudes de vies humaines incapables de raisonner et agir comme lui. La différence de ces comportements repose sur deux choses : la nature personnelle de Noé et l’expérience de vie pratique qu’il a vécue en écoutant et en obéissant toujours à ses ordres. Comprends bien que Dieu a choisi Abram parmi tous ses contemporains en raison de son caractère docile, soumis et fidèle exceptionnel à son époque. Abraham a vite découvert l’amour que Dieu lui témoignait et une réelle amitié a pu être réciproquement échangée. Pour Dieu, l’obéissance d’Abraham et celle de Job étaient deux exemples de cultes qui lui étaient agréables. Et plus tard, en Jésus-Christ, Dieu est venu montrer le culte agréable parfait ; le modèle par excellence. Pendant son ministère terrestre, en Jésus, Dieu se fait tellement serviteur de Dieu, qu’il parvient à masquer sa divinité. En effet, dans toutes ses paroles et ses actions, l’homme de chair appelé Jésus dirige les regards de ses contemporains vers le Dieu céleste, Père de toute vie. Il vit son ministère dans une parfaite et totale abnégation. Cependant sa divinité se devine dans la forme de ses propos dans lesquels il parle toujours de lui à la « troisième personne »…le fils de l’homme fait ceci, le fils de l’homme fait cela ; il disparaît totalement derrière ce « fils de l’homme » qui est aussi réellement « le Fils de Dieu ». Jésus a tout résumé son ministère terrestre en disant, dans Matt.20:28 : «C'est ainsi que le Fils de l'homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs. »

« Servir et non être servi et prêt à donner sa vie » ; telle est la définition d’un élu dont la vie va prendre, pour Dieu, un caractère agréable et devenir un culte agréable. Le mot culte prend ici toute sa valeur, car le vrai culte est vécu dans la continuité de la vie qui cesse chez l’homme uniquement quand il dort. Car même pendant son sommeil, Dieu veille sur lui. Il n’ignore rien de ses rêves et parfois les organise. Et dès son réveil, le culte rendu à Dieu commence car c’est cette fois en pleine conscience qu’il dirige son existence dans le chemin du bien ou celui du mal. Dans le culte rendu par Jésus-Christ, il n’y eut jamais de pas marché dans le chemin du mal et c’est à cette exceptionnelle qualité de culte que nous devons la possibilité d’être sauvés par lui.

En découvrant la perfection et la norme du modèle Jésus-Christ, nous pouvons identifier facilement les cultes que Dieu tient pour désagréables. L’égo, le moi, y est omniprésent. Et ils sont innombrables les humains qui prétendent faire plaisir à leur prochain mais recherchent en réalité uniquement leur propre plaisir. C’est d’ailleurs ce principe qui explique les échecs des vies en couples. Il en est de même des relations entre les parents et les enfants et la fête romaine de Noël est un bel exemple. L’enfant est victime d’un « merveilleux » mensonges, mais les parents tirent tant de plaisir de voir les réactions des enfants trompés. Qu’en résulte-t-il ? Des enfants capricieux auxquels tout est dû, sauf que dans la vie d’après, ils découvrent que rien n’est gratuit, ni obtenu miraculeusement. Les parents leur ont fait croire au « père Noël » mais la vie leur impose sa dure réalité. En conséquence de cette tromperie, ils vont devenir méfiants et incrédules. Et leurs âmes seront perdues pour Dieu. Car la foi exige ce dont ils ne sont plus capables : la crédulité. Car l’explication de la réalité de la vie dépasse tous les contes inventés par la pensée humaine et celles des démons. Et pour la saisir, l’homme adulte doit pouvoir agir comme l’enfant auquel on fait croire au « père Noël ». Car les preuves d’une vie céleste sont cachées et perceptibles uniquement en esprit et en réflexion mentale.

Par la désobéissance du péché, Adam et Eve ont pratiqué la première forme terrestre du culte désagréable pour Dieu. Et la sentence divine prononcée fut la mort précédée par une vie de souffrance. En sorte que Dieu faisait découvrir à l’homme ce que son péché avait provoqué chez lui ; une souffrance qui devait allait jusqu’à sa mort en Jésus-Christ. La vie du pécheur devint ainsi l’école de la vie divine ; il apprend dans sa propre vie ce qu’il impose à son Père céleste.

Les sacrifices offerts par Abel et Caïn témoignent en premiers des deux sortes de cultes rendus à Dieu : l’agréable et le désagréable. Or, sans le ministère de Jésus-Christ le jugement porté par Dieu sur ces deux sacrifices est impossible à comprendre. Au pire, sans cette lumière, son jugement prend une forme injuste. En effet, seul la connaissance du projet salvateur accompli en Jésus-Christ, « l’agneau qui ôte les péchés du monde », permet de comprendre pourquoi l’offrande d’un agneau ou une brebis par Abel fut reçue comme un culte agréable par Dieu, pour lequel les fruits de la terre offerts par Caïn ne représentaient rien. Cette situation était comparable à celle de Job, soit inexplicable pour les deux pécheurs, mais Dieu avait sa raison pour justifier sa préférence pour le sang versé par l’animal offert par Abel.

Aujourd’hui en Juillet 2022, Dieu établit encore sa préférence pour le culte qui lui est agréable et il dédaigne du même coup, toutes les multiples formes de cultes dont les normes ne lui sont pas agréables. C’est pourquoi le leçon donnée par Abel et Caïn a porté et portera jusqu’au dernier jour de grâce, un enseignement permanent et perpétuel sur son jugement de la foi religieuse humaine. En bâtissant son Eglise, son Assemblée d’élus, sur les enseignements compris par ses apôtres, Dieu a fixé la norme du culte qui lui est agréable. Mais au fil du temps, sous la domination romaine successivement impériale et papale le péché a été réinstallé dans la religion chrétienne depuis le 7 Mars 321 par l’indigne empereur païen, Constantin 1er le grand, mais uniquement sur la terre des hommes pécheurs. Depuis l’instauration papale romaine accomplie à Rome en 538, pendant 1260 longues années Dieu a laissé la religion catholique enseigner le péché sous l’étiquette religieuse chrétienne. Et en 1798, par la Révolution française il a mis fin à son pouvoir despotique persécuteur. Il a jugé l’expérience protestante du 12ème au 18ème siècle si imparfaite qu’il ne fait qu’une petite allusion à elle dans Dan.11 :33-34 : « et les plus sages parmi eux donneront instruction à la multitude. Il en est qui succomberont pour un temps à l'épée et à la flamme, à la captivité et au pillage. Dans le temps où ils succomberont, ils seront un peu secourus, et plusieurs se joindront à eux par hypocrisie. »  J’ai souligné en « gras » ces deux précisions qui sont à l’origine du grand culte désagréable rendus à Dieu par les protestants encore aujourd’hui. Il nous faut réunir dans ce verset les mots « un peu secourus » et « hypocrisie ». Pourquoi les réunir ? Parce que les premiers expliquent le dernier. Dans le programme de Dieu, il n’est pas prévu de secours pour les vrais martyrs de la foi. C’est ce qu’il révèle dans le message qu’il adresse à ses élus de l’époque des persécutions imposées par Dioclétien et sa tétrarchie entre 3030 et 313, car il leur dit, dans Apo.2:10 : «Ne crains pas ce que tu vas souffrir. Voici, le diable jettera quelques-uns de vous en prison, afin que vous soyez éprouvés, et vous aurez une tribulation de dix jours. Sois fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la couronne de vie. » On ne voit aucun secours de prévu par Dieu en cette époque. Mais dans Apo.12 :16, le secours des hypocrites apparaît : « Et la terre secourut la femme, et la terre ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa bouche. » « La terre » de ce verset représente la foi protestante jugée par Dieu « hypocrite » en raison de l’usage des armes et des tueries des combattants catholiques. Dans la « guerre des Religions » engagée, Dieu distingue trois camps séparés qui sont donc ; « la terre » soit la religion protestante hypocrite ; « la femme » soit, la religion protestante fidèle ; et « le fleuve » soit, les ligues catholiques royales. Et l’histoire témoigne que ces guerres de religions se sont prolongées et accomplies entre 1200 et 1798. Un deuxième « secours » est venu ensuite en 1793-1794 sous la forme de la guillotine de l’athéisme révolutionnaire français. En frappant à mort la monarchie et la religion catholique, comme annoncée dans Apo.2:20, Dieu donne une preuve de ce qu’il juge la foi catholique extrêmement désagréable et celui des protestants dits « hypocrites » de même : « Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu'ils ne se repentent de ses œuvres. Je ferai mourir de mort ses enfants ; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres. » Or cette action vient frapper la religion fausse et hypocrite puisque dans Lév.26, en analogie avec la « quatrième trompette » d’Apo.8:12, Dieu donne à cette action la norme de « l’épée qui vient venger son alliance » soit, répondre à la demande symbolique de « vengeance » des saints d’Apo.6:9-10 : « Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu'ils avaient rendu. Ils crièrent d'une voix forte, en disant : Jusques à quand, Maître saint et véritable, tardes-tu à juger, et à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre ? »

J’insiste sur ce point, car la logique du plan prophétisé par Dieu devient  claire et évidente. Dieu prophétise 1260 années pour le règne persécuteur de la Rome papale. Mais, qui applique la sentence religieuse ? La monarchie. C’est pourquoi, la « vengeance », réclamée par les injustes mises à mort de ses saints, va frapper en première cette monarchie, par la guillotine des Révolutionnaires français entre 1793 et 1794 principalement. La tête de Louis XVI roi de France est tombée pour cause de trahison, pour les hommes, mais pour cause « d’adultère » spirituel, pour Dieu. L’action est prophétisée par « la grande tribulation » dans Apo.2:22 : « Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu'ils ne se repentent de ses œuvres. Je ferai mourir de mort ses enfants ; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres. » L’expression « mourir de mort » peut étonner, mais elle a son explication. Dieu veut dire que cette « mort » prophétisée fait couler le sang humain, car il s’agit de la première « mort » et non de la « seconde », celle du jugement dernier, à laquelle il fait allusion, en disant, cette fois, aux mêmes protestants, après le printemps 1843, l’époque « Sardes », dans Apo.3:2 : « …Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. » Ainsi, tu peux le constater, ce châtiment arrive juste avant la date 1798, en laquelle le temps persécuteur de Rome s’achève, avec pour preuve, l’arrestation du pape Pie VI qui est mort l’année suivante, en 1799, en prison à Valence sur Rhône, où je vis. Et c’est également sous le nom de « la bête qui monte de l’abîme » que cette révolution française est désignée dans Apo.11:7 : « Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera. » La cible de cette « guerre », c’est la sainte Bible divine, appelée « mes deux témoins », dans Apo.11:3 : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. »

En règle générale, le culte désagréable pour Dieu est celui qui ne repose pas sur l’étude et la mise en pratique de ce qu’il a déclaré lui être agréable. Et sous l’étiquette chrétienne ou pas, ce type de religion est rejeté et condamné par lui. Et parce que  Dieu a ses préférences et que son salut passe uniquement sur Jésus-Christ qui a clairement dit « Nul ne vient au Père que par moi », sa révélation prophétique cible uniquement la religion chrétienne ; la vraie et les fausses, car selon Apo.17:5, la religion catholique symbolisée par le nom « Babylone la grande » est « mère » d’autres religions dites également « impudiques » : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. » Et bien sûr, ces « impudiques » sont les diverses religions chrétiennes dont les identités protestantes que Dieu juge « hypocrites ».

Cette religion chrétienne caractérise le camp occidental qui s’oppose actuellement à la puissante Russie dont les menaces contre l’Occident deviennent de plus en plus fréquentes et précises. Cette semaine, Vladimir Poutine défie les Occidentaux : « s’il veulent faire la guerre à la Russie qu’ils essaient ! » Et je dois à un journaliste qui a relevé la chose, la confirmation que le camp occidental représente le « tiers » de la population humaine de la terre, et que les « deux tiers » restant lui sont opposé et plus ou moins hostiles. Ceci donne au « tiers  des hommes » ciblé pour être « tué » dans Apo.9:15, l’identité chrétienne occidentale infidèle : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » En fait, ce camp occidental est composé des « dix cornes » européennes, mais aussi de leurs immenses excroissances que sont les USA, l’Amérique du sud et l’Australie. Ce « tiers » n’est donc pas que symbolique, il cible, réellement, les peuples chrétiens qui, en raison de leur impiété et de leurs cultes particulièrement désagréables, devront être impérativement détruits par le jugement de colère de Jésus-Christ. Les autres nations de la terre n’apparaissent pas dans la révélation donnée par Jésus-Christ qui les ignore totalement ; ce qui ne les empêchera pas de se détruire également les unes par les autres. Mais la cible de sa colère reste la religion chrétienne déformée, c’est pourquoi le déclenchement de la Troisième Guerre Mondiale ou « sixième trompette » de l’Apocalypse de Jésus-Christ devait se produire en Europe comme les deux guerres mondiales précédentes. La Troisième Guerre Mondiale n’anéantira pas pour autant la population de ce camp occidental. Mais ses survivants ne lui survivront que le temps de vivre l’expérience de la dernière épreuve de foi et ils disparaîtront quand Jésus viendra sauver, de leurs méchantes mains, ses derniers élus survivants, au printemps 2030.

Le culte qui est agréable à Dieu repose donc sur la simplicité d’une relation d’amour où les prévenances sont réciproques, vécues dans la parfaite humilité et la fidélité démontrée par Jésus. Le lien qui se tisse entre Dieu et son élu est invisible et personnel comme celui qui liait Dieu et Abraham. L’abnégation totale est également requise, car celui qui sert Dieu ne le fait pas pour être admiré par les hommes parce que, pour lui, seule l’opinion du divin Père compte. De plus, sa fidélité en fait la cible de la haine du diable et des pécheurs humains rebelles. L’anonymat est donc grandement préférable à la notoriété.  Selon le dicton populaire : « pour vivre heureux vivons cachés ».

Le culte des chrétiens est devenu subitement désagréable pour Dieu depuis le 7 Mars 321, jour où par décret impérial, Constantin 1er a officialisé le remplacement du repos du sabbat du septième jour par le premier jour consacré dans sa propre religion romaine païenne à l’adoration du SOL INVICTUS, le dieu solaire hérité des égyptiens. Le culte du dieu solaire s’est répandu dans tout l’orient ; au Japon, l’empire du « soleil levant », l’empereur était divinisé comme un fils du dieu solaire appelé « Banzaï ». Le soleil offre aux hommes tant de bienfaits qu’il est facile pour le diable et ses démons de pousser les humains à l’adorer au titre de divinité. Et sachant combien cette action déplait au Dieu créateur qui l’a condamné à mort, officiellement, depuis la victoire de Jésus-Christ, Satan a implanté cette odieuse adoration païenne dans la religion chrétienne, dès lors réprouvée par Dieu. Mais le problème du sabbat transgressé est masqué par le rôle fondamental qui est donné à Jésus-Christ dans la quasi-totalité des confessions chrétiennes. L’amour divin manifesté par lui fait oublier l’exigence de sa parfaite justice car l’homme ne retient de son œuvre que ce qu’il veut retenir : son offre de salut. Or, la cause de la malédiction et donc l’accusation portée par Dieu contre le christianisme infidèle n’apparaît que dans ses révélations prophétiques présentées de manière subtile et obscure.  C’est là que les chrétiens commettent collectivement et individuellement leur première erreur : ils sous-estiment l’importance des textes prophétiques dont ils ne saisissent pas le sens. Aussi, prévoyant ce comportement, Jésus-Christ a inspiré à l’apôtre Pierre ce solennel avertissement cité dans 2 Pierre 1:19-20-21 : « Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs ; sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »

Ce texte est admirablement conçu par Dieu, car il exhorte les disciples de Jésus-Christ à donner aux prophéties toute l’importance qu’elles méritent, mais de plus, il nous dit clairement par quelle méthode elles peuvent être décryptées : ces prophéties conçues par l’Esprit divin utilisent un langage parabolique employé par ce même Esprit dans la rédaction de la très sainte Bible entière, appelée à juste titre : la parole de Dieu. Et cette parole de Dieu exprime la pensée de son Esprit.

Relève l’importance de cet avertissement cité dans un témoignage de la nouvelle alliance. Il n’est pas caché dans les livres de l’ancienne alliance, mais présenté clairement à tous ceux qui se réclament de la nouvelle alliance : leur sous-estimation de ce solennel avertissement les rend donc hautement coupables envers Dieu le Père et Dieu le Fils au nom duquel il est présenté. Or, un autre verset cité par Paul dans 1 Thes.5:19-20-21 et 22, est également ignoré et méprisé par eux : « car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. Ne méprisez pas les prophéties. Mais examinez toutes choses; retenez ce qui est bon ; abstenez-vous de toute espèce de mal. » Dans sa divine sagesse, Dieu a voulu suggérer la relation du thème prophétique les deux citations de Pierre et Paul, en attribuant dans chaque cas, les mêmes chiffres des versets 19-20-21. Et de plus, l’importance de la « prophétie » est rappelée dans Apo.19:10, en ces termes : «…car le témoignage de Jésus est l’esprit de la prophétie ». La compréhension de la prophétie permet ensuite dans Apo.20 d’évoquer leur jugement des méchants dont ils seront chargés pendant « mille ans » ; soit, pendant le grand sabbat du septième millénaire céleste. Et dans Apo.21, ils sont désignés par l’image symbolique de « douze perles », tant ils sont précieux aux yeux de Dieu en Jésus-Christ. Nous constatons ainsi, que l’Esprit de Dieu s’exprime autant par les chiffres, que par les mots et les images comparatives. L’apôtre Pierre nous a donc clairement informés sur le fait que le décryptage des prophéties bibliques ne pouvait être réalisé qu’à partir des saintes Ecritures. Et depuis 1982, date en laquelle j’ai présenté les premiers résultats de mes travaux à mes frères adventistes du septième jour, la démonstration de l’authenticité de cette méthode a été confirmée. C’est pourquoi, la prise en compte des avertissements donnés par Dieu dans sa Bible entière constitue une partie importante du culte rendu à Dieu, qui lui est, dans ce cas, agréable. Cette condition remplie et honorée les sanctifie. Car la véritable sainteté repose sur des œuvres exigées par Dieu. C’est pourquoi, dans ses jugements des saints des sept époques, dans Apo.2 et 3, Jésus leur dit : « Je connais tes œuvres ». Il confirme ainsi les propos tenus par Jacques, dans Jac.2:17 : « Il en est ainsi de la foi : si elle n'a pas les œuvres, elle est morte en elle-même. »

La mort expiatoire de Jésus-Christ a ouvert et instauré les bases de la nouvelle alliance au début de laquelle l’Esprit divin du Christ a inspiré les saintes Ecritures à ses nouveaux témoins. De la sorte, la loi divine a été augmentée par l’ajout de ces nouveaux témoignages littéraires. Or, réconciliés avec Dieu par Jésus-Christ, les rachetés ont logiquement le devoir de mettre en pratique toute la loi divine comme avant eux Jésus l’avait parfaitement fait au titre de modèle de l’homme parfait, agréable à Dieu. Et c’est pour justifier cette logique que l’apôtre Paul a écrit dans Rom.8:7 : « car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas. » Il est donc facile de comprendre, qu’à l’inverse, l’obéissance « à la loi de Dieu » entière rendue possible en Christ, constitue le seul fruit de la vraie « foi » reçue agréablement par Dieu.

Dans Rom.12:1, Paul nous dit : « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. » Le culte agréable à Dieu n’est donc qu’un culte dit raisonnable soit, un fruit porté par une analyse simple, logique par la raison humaine.

Dans Rom.12:2, Paul dit encore : « Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait. » Combien ce verset est important ! Il nous exhorte à faire preuve d’intelligence en nous montrant capables de nous adapter aux changements de stratégie du diable et de ses démons. Car, toutes les Ecritures bibliques de la nouvelle alliance ont été inspirées et écrites dans un contexte où le diable combattait ouvertement la foi chrétienne par ses agents humains juifs et romains. Aussi, certaines de ces citations ont perdu leur légitimité lorsque le diable a changé la forme de son combat en combattant la foi chrétienne en agissant à l’intérieur de l’assemblée chrétienne soit, ce que Dieu révèle dans sa prophétie de Dan.7 et toute son Apocalypse. Ce changement a commencé par l’instauration du régime papal de Rome, en 538. A titre d’exemple de verset ayant perdu sa validité je cite 1 Jean 4 :2 : « Reconnaissez à ceci l'Esprit de Dieu : tout esprit qui confesse Jésus Christ venu en chair est de Dieu ; » C’était vrai à l’époque de Jean ; à notre époque ce n’est plus vrai ; c’est même totalement faux et trompeusement mortel. Car, toutes les religions chrétiennes devenues coupables par leur transgression du sabbat depuis 1843, confessent toutes « Jésus Christ venu en chair ». De même, avant 1843, la foi protestante non armée, mais pacifique et soumise, était agréée provisoirement par Dieu comme l’enseigne Apo.2 :24-25 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne.» Mais l’entrée en application du décret de Dan.8:14, en 1843, a changé la norme de cet agrément divin, et du jour au lendemain, au printemps 1843, leur situation spirituelle a été changée ; un nouveau « fardeau », le sabbat sanctifié depuis la fondation du monde était exigé par Dieu dans la norme de la foi chrétienne ; les institutions ont été collectivement rejetées et abandonnées aux séductions et fruits du diable et des démons qui le suivent et partagent sa mortelle destinée.

Ce terme « fardeau » prouve que Dieu connaît bien la pensée humaine. Présenté comme une obligation, puisque thème du quatrième des dix commandements de Dieu, le sabbat était regardé et considéré par l’homme charnel comme un « fardeau » ; car l’homme supporte très mal l’idée même de devoir obéir, autant à Dieu qu’aux autres hommes. Or, Jésus-Christ a voulu donner à ses élus rachetés une autre signification à ce terme « fardeau », car l’obéissance n’est pas désagréable pour ceux qui obéissent pour répondre à l’amour de Dieu. Il a dit dans Matt.11:28-29-30 : « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger  ». Ce qui rend ce « fardeau », « léger », c’est uniquement l’état d’esprit de celui qui le juge.

Relève, dans ce verset, le lien qui relie l’offre du « repos » à l’acceptation de porter « le fardeau » de l’obéissance à ses instructions divines. Jésus annonçait ainsi, comment la foi en sa personne obtiendrait le grand « repos » sabbatique du septième millénaire prophétisé, jusqu’à sa seconde venue en 2030, par « le sabbat » hebdomadaire de sa sainte loi. C’est pourquoi, contrairement aux autres fêtes établies dans l’ancienne alliance, la pratique du « sabbat » hebdomadaire conserve en Jésus-Christ toute sa légitimité devant Dieu, les hommes et les anges célestes. Et dans cette unique compréhension mise en pratique, le culte du racheté devient réellement agréable pour le Dieu créateur auquel il le présente, puisqu’il retrouve la norme pratiquée par Jésus-Christ lui-même.

Je rappelle que cette compréhension fut celle des apôtres de Jésus pour lesquels la pratique du sabbat n’était en rien contestée ni remise en question. Au printemps 1843, Dieu n’a fait qu’exiger la restauration de cette pratique abandonnée injustement par les chrétiens, qui préférèrent honorer depuis le 7 Mars 321 l’empereur Constantin 1er, plutôt que le grand Dieu créateur de toute chose et de toute vie. Les malédictions des « sept trompettes » de son Apocalypse sont ses réponses à cet odieux et injuste choix. Et après la « sixième », les « sept derniers fléaux » d’Apo.16 viendront frapper les derniers rebelles restés vivants après la Troisième Guerre Mondiale de cette « sixième trompette ».

Pourquoi l’humanité prend-elle autant de risque envers le Dieu créateur ? Tout simplement parce qu’il reste invisible pour leurs yeux. Et en l’absence de réponses visibles de sa part, les esprits rebelles humains l’ignorent ou feignent de l’ignorer. Ils n’agissent pas de cette manière envers l’homme qu’ils voient et qui est cependant très loin d’être autant redoutable. Et ce choix de comportement révèle rien moins que leur manque d’intelligence. Si bien que, paradoxalement, les masses humaines sont conduites et dirigées par des êtres humains dépourvus de la véritable intelligence qui seraient profitables à tous. Et le paradoxe repose sur le fait que ces dirigeants sont élus parce qu’ils sont censés être les plus intelligents des êtres humains et déjà, au moins, les plus instruits. C’est donc à juste raison que Dieu prend l’image du « sable de la mer » pour désigner l’humanité appelée au salut mais soumise au diable dans Apo.12:17 : « et il se tint sur le sable de la mer ». Et dans ce cas précis, il s’agit de « sables » mouvants dans lesquels l’humanité elle-même va disparaître à cause du diable qui domine sur elle. Dans le domaine profane comme dans le domaine spirituel, les hommes placent leur confiance sur d’autres hommes et c’est ainsi que toute l’humanité se prépare à sombrer dans un grand naufrage universel, parce qu’elle n’aura pas connu ou tenu compte de ce verset cité dans Jér.17:5-6 : « Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son cœur de YaHWéH ! Il est comme un misérable dans le désert, et il ne voit point arriver le bonheur ; il habite les lieux brûlés du désert, une terre salée et sans habitants.» « L’appui » qu’il devait prendre était, uniquement, la sainte Bible entière, l’unique parole écrite du Dieu vivant, l’unique norme de sa vérité. Cet autre sort, décrit dans les versets 7 et 8, n’est-il pas préférable ? : « Béni soit l'homme qui se confie dans YaHWéH, et dont YaHWéH est l'espérance ! Il est comme un arbre planté près des eaux, et qui étend ses racines vers le courant ; il n'aperçoit point la chaleur quand elle vient, et son feuillage reste vert ; dans l'année de la sécheresse, il n'a point de crainte, et il ne cesse de porter du fruit. »

L’actualité me conduit à déclarer que l’optimisme humain est la pire des choses. Car l’optimiste ne tient pas compte de la réalité de la situation qui se présente en face de lui, contrairement au réaliste qui lui tient compte de cette réalité. L’optimiste exprime ce qu’il souhaite, tandis que le réaliste exprime ce qui va s’accomplir ; il a donc réagi de manière logique et intelligente. La guerre qui oppose, par Ukraine interposée, le camp occidental de l’OTAN à la Russie, nous donne une démonstration de ces deux comportements. Les optimistes espèrent la victoire ukrainienne ; les réalistes savent que la Russie va vaincre l’Ukraine, et les élus éclairés par Dieu savent que cette Russie va envahir et écraser les puissances européennes comme Dieu l’a prophétisé dans Dan.11:40 à 45.

 

 

« L’enfant-roi » au pouvoir

 

Ce nouveau thème m’est inspiré par la vision de l’assemblée des députés ukrainiens lors de la visite appréciée du président du Sénat français, Mr. Gérard Larcher. J’ai été saisi par l’immense représentation de jeunes gens et ceci explique, parfaitement et logiquement, le comportement et les décisions prises par les autorités ukrainiennes.

En France, « l’enfant-roi » est une expression sortie par les médias des années 70 qui ont relevé, à juste titre, le comportement capricieux des enfants et parallèlement, le relâchement de l’autorité parentale. Dans la même époque, les psychiatres et les psychologues se sont mis à justifier la liberté et les droits de l’enfant, condamnant dès lors, les châtiments corporels infligés par les parents qui, en conséquence, ont perdu toute autorité sur leurs propres enfants. Les parents maghrébins qui ont toujours de manière séculaire su obtenir la soumission de leurs enfants ont été contraints par la loi de renoncer à leur méthode dure mais efficace. La ceinture du père faisait souvent office de fouet.

Il a fallu que s’écoulent pas mal d’années avant que les conséquences irrattrapables de ces décisions des élites françaises apparaissent clairement sous l’aspect d’une jeunesse, délinquante, rebelle et ennemie, car le fanatisme religieux s’ajoutant, les groupes religieux islamistes se sont formés et sont entrés en action, tuant et décapitant leurs ennemis.

En 1981, la gouvernance socialiste a voulu plaire aux jeunes et elle leur a accordé la liberté sexuelle qu’ils réclamaient. La jeunesse ainsi satisfaite s’est engagée en politique pour soutenir la gouvernance de ce président Mitterrand si compréhensif.

En 2012, la jeunesse turbulente, révolutionnaire et libertaire de Mai 68 est arrivée au pouvoir avec le jeune président Nicolas Sarkozy. Tout de suite, le style de la présidence a changé et les harangues populaires grossières sont apparues, ne choquant que les personnes écartées du pouvoir par l’âge avancé. Il faut dire qu’avec le développement d’internet et des réseaux sociaux, ce genre d’échange vocal brutal est devenu une norme habituelle à laquelle les « vieux » ne s’habituent pas ; car les bons vieux principes de correction restent attachés à leur nature. Mais ces vieux sont écartés et disparaissent dans les sphères gouvernementales. Plus le temps avance, plus la jeunesse prend les rennes du pouvoir. Et l’influence de cette jeunesse prend une importance qui explique les événements tragiques que nous avons commencés à découvrir depuis l’année 2017.

Aux élections présidentielles de 2017, les vieux partis politiques traditionnels, responsables en relais des échecs économiques et politiques du pays France, se sont mutuellement détruits dans le jugement populaire du pays. Les haines et les rancœurs éprouvées contre le parti nationaliste français, le plus ancien, le Front National, ont suscité des alliances réalisées dans le seul but d’écarter « ce diable » du pouvoir. Mais Jésus-Christ, organisateur de toute la vie humaine, a imposé aux Français maudits par lui, le jeune président E.Macron, encore plus jeune que le président N.Sarkozy, et surtout, beaucoup plus dangereux pour le pays que le parti FN détesté et écarté. Se retrouvant face au Front National haï par tous les autres hommes et femmes politiques, le jeune homme arrogant et sans expérience a été préféré et porté au pouvoir ; paradoxalement, bien élu, mais non choisi. En fait, ce n’est plus le peuple qui choisit son chef, c’est Dieu qui lui impose son choix. Selon le dicton bien connu : « les peuples ont les chefs qu’ils méritent ».

Ici, vient la nécessité de définir ce qu’est la jeunesse. Relève déjà, comme je viens de le dire, l’absence d’expérience en tout domaine, réseaux sociaux et internet exceptés. Car la jeunesse a tout à découvrir, et les personnes âgées peuvent témoigner qu’elles apprennent jusqu’au terme de leur vie ; c’est dire ce qu’est le manque chez un jeune homme ou une jeune femme. La société qualifie cette jeunesse par les diplômes que les jeunes ont obtenus. Mais que contient leur instruction ? Uniquement des choses théoriques bien difficiles à mettre en œuvre dans la vie pratique réelle, régie par les exigences des grandes fortunes industrielles, commerciales et financières, imposées par la Commission européenne. C’est là, le grand avantage des gens moyennement âgés : ils ont déjà concrètement découvert la limite des choses et sont aptes à prendre des décisions raisonnables. Hélas, avec les jeunes, ce n’est pas le cas ; surtout dans nos dernières années où ils sont devenus particulièrement rebelles et arrogants, vaniteux et pleins d’eux-mêmes. Avec ce type de caractère, il n’est plus possible de reconnaître des torts. Et plutôt que d’accepter de s’humilier et de reconnaître ses erreurs, le jeune dirigeant caractériel avance plus profondément dans son erreur, jusqu’à provoquer le naufrage national de tout son pays. Dans sa confrontation avec les faits réels, le jeune prend ses désirs pour des réalités ; il ne sait pas reconnaître les limites qu’il doit donner à ses décisions ; tout lui semble possible et il ne sait pas identifier les conséquences de ses décisions. Et quand elles apparaissent, il est déjà trop tard pour revenir en arrière, ce qui est d’ailleurs par nature, exclu. Le jeune fonctionne comme une automobile dotée de cinq vitesses mais où la marche arrière n’existe pas. Faute de pouvoir reculer, il doit avancer jusqu’à s’écraser contre un mur ; le mur de l’inévitable réalité. C’est pourquoi, j’ose l’affirmer, le pouvoir remis à la jeunesse n’est que le fruit d’une terrible malédiction de Dieu en Jésus-Christ ; ce que confirme Ecc.10:16 : « Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant, et dont les princes mangent dès le matin ! ». C’est pour lui, le moyen de conduire la France dans un désastre qui va la détruire ; elle, et les autres nations européennes ciblées par sa divine colère.

Depuis 1945, il a fallu pour Dieu 77 années pour que les fils et les filles de la génération rebelle de l’après-guerre parviennent au pouvoir dans tout le monde occidental et que les générations âgées, qui ont connu la Deuxième Guerre Mondiale, aient disparu dans le sommeil de la mort. C’est vrai pour la France, c’est vrai pour l’Europe, mais aussi pour tous les autres peuples de la terre qui n’ont pas connu, eux, cette révolution de leur jeunesse restée ainsi soumise et respectueuse de leurs traditions. Le changement de comportement constaté en Occident n’existe pas dans le reste du monde où le droit patriarcal a été conservé. Les mentalités y sont donc très différentes et les valeurs morales les séparent très fortement de l’Occident. Comment s’étonner dans ce cas d’un choc des civilisations ? Il était en préparation et il était inévitable. Cependant, ce qui l’a rendu possible, c’est la nature jeune des dirigeants arrivés partout au pouvoir.

J’évoquais au début de ce message, l’assemblée des députés ukrainiens. Il est visible que le désir de liberté nationale de ce peuple a atteint un niveau d’exigence maximum, à cause de la jeunesse prête à tout pour obtenir ce qu’elle veut. Le carcan politique russe ne lui convenait plus et poussés par les démons qui n’attendaient que ça, ils ont exigé successivement, le renversement du président russe légitime de l’Ukraine, et son rattachement à l’Europe et l’OTAN dominé par les USA. En Russie, derrière son « rideau de fer » virtuel, le président Vladimir Poutine a observé les événements et les dérives des valeurs morales occidentales. Pour lui, l’Ukraine pouvait rester indépendante, mais uniquement au sein de l’alliance russe. Or, en réclamant son rattachement à l’OTAN, l’Ukraine allait trahir le pacte moral qui relie les républiques des pays de l’Est. Bien qu’officiellement en situation de paix, l’Est et l’Ouest sont en opposition politique et économique depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, en 1945. En fait, avec l’Ukraine et sous soutien armé de l’OTAN, l’ancienne « guerre froide » se réchauffe jusqu’à l’inflammation générale de la Troisième Guerre Mondiale.

Je retrouve chez le jeune président ukrainien Volodymyr Zélensky tous les traits caractériels de la jeunesse, et surtout cette détermination absolue et cette confiance imperturbable en la possibilité de vaincre la Russie. Ce jugement est typiquement dû à sa jeunesse, car il n’a pas connu la Russie en guerre. La Russie qu’il a connue s’est lentement, mais sûrement, relevée d’une humiliante ruine politique et économique. Et c’est dans cette époque, que l’Occident et ses valeurs ont excité des convoitises de libertés dans les peuples de l’Est unifiés par l’héritage des traditions séculaires. Dans son désastre, la Russie a laissé les Pays Baltes et la Pologne reprendre leur indépendance et ils ont rejoint l’OTAN pour se placer sous le bouclier protecteur des USA. Mais à cette époque, la demande de l’Ukraine fut refusée par le camp occidental. Elle est donc restée au sein du pacte des pays de l’Est unis à la Russie. En 2013, en Ukraine, une révolution populaire renverse son président russe et après plusieurs échecs de présidences, le jeune artiste V.Zélensky est élu président en 2019. Sa jeunesse va justifier tout son comportement. Il prend ses désirs pour des réalités et il désire rejoindre l’OTAN et l’Union Européenne, quel qu’en soit le prix. Les menaces des troupes russes rassemblées, près de la frontière de l’Ukraine, en Biélorussie, ne changent rien à sa détermination. Et cet entêtement aux conséquences terribles me fait penser à l’endurcissement du cœur du Pharaon de l’exode de l’Egypte des Hébreux. Et c’est Dieu qui endurcit alors son cœur après trois refus de laisser partir son peuple d’esclaves. Cet entêtement absolu avait un but précis ; Dieu préparait la ruine de l’Egypte. De même, l’entêtement du président Zélensky a préparé la ruine du camp européen occidental qu’il veut rejoindre et qui le soutient dans sa guerre contre la Russie. La jeunesse au pouvoir est très déterminée à faire respecter ses décisions, même si elles portent des conséquences désastreuses. Tous les jeunes dirigeants européens ou presque ont le même comportement. Se sentant honorés par la demande de l’Ukraine qui veut les rejoindre, ils mettent en jeu leur propre sécurité en donnant des armes destinées à tuer des soldats russes, et imaginent sottement ne rien avoir à redouter de la Russie dont ils se font une ennemie. Quelle inconséquence ! Je ne vois dans cette unanimité de comportement, ou presque, qu’une explication : la folie d’une jeunesse, de plus, aveuglée par l’Esprit de Jésus-Christ qu’elle méprise et ignore totalement. Et ceci, toujours dans le but de provoquer leur destruction, comme pour pharaon.

La comparaison, entre l’exode des Hébreux et notre époque, est à ce point ressemblante, que la première expérience nous donne toutes les clés, pour comprendre la seconde. Je relève ces points communs : le jeune pharaon qui arrive au pouvoir n’a pas connu Joseph ; les jeunes, Macron et Zélensky n’ont pas connu la Deuxième Guerre Mondiale et la puissance de l’URSS, la Russie soviétique. Les faits leur ont été rapportés, mais ils ne les ont pas vécus. C’est vrai pour le pharaon comme pour nos jeunes dirigeants actuels. Or, c’est là toute la différence entre la formation par l’instruction et la formation par l’expérience vécue. La première n’est que théorique et sans effet sur l’esprit humain, tandis que la seconde marque profondément l’âme entière d’une personne. Le Pharaon qui avait connu Joseph avait eu personnellement une raison d’apprécier ses services rendus à l’Egypte entière, puisque Pharaon lui avait confié la gouvernance de son pays entier. Les dons que Dieu avait donnés à Joseph l’avait fait apprécier et honorer. Des multitudes de vies dont celles de sa famille hébreu furent sauvées de la famine et ne pouvaient que lui en être reconnaissantes. Sans cette expérience, le jeune nouveau pharaon ne voit en ce peuple hébreu que le danger que son grand nombre représente à son époque pour son pays et sa population. De même, nos jeunes dirigeants actuels ont seulement été informés au sujet de l’ancienne puissance de la Russie soviétique ; mais leur propre expérience ne connaît qu’une Russie méprisée par l’Occident conquérant et triomphant. Pour la jeunesse, le rattachement à un peuple méprisé n’est pas gratifiant et les plus ambitieux ne souhaitent que changer cette situation. Pour eux, la solution est donc de rejoindre le camp occidental riche et libre, mais aussi, pervers et corrompu. Et ces deux dernières mauvaises qualités se sont effectivement retrouvées dans l’Ukraine libérée et devenue indépendante de la nation russe ; ce qui justifie les limogeages des présidences successives. Face à l’arrivée au pouvoir de la jeunesse dans le camp occidental, en Russie, le pouvoir reste longtemps entre les mains d’un homme de l’ancien KGB de la Russie soviétique. Nous avons donc face à face, l’inexpérience et l’expérience vécue. Nous pouvons donc déjà comprendre que les deux camps ne pourront jamais se comprendre, ni partager un même jugement. La Guerre oppose le jeune ambitieux qui prend ses rêves pour des réalités avec l’entêtement de pharaon et il a en face de lui, un vieux sage expérimenté, tout autant déterminé à vaincre que lui. Ce vieux sage ne souhaitait pas la guerre qui détruit toute prospérité et fait de nombreux morts. Mais, relevant la perversion de la société occidentale, il voulait protéger son pays dont l’Ukraine était membre associée depuis son indépendance. Le vieux sage ne pouvait pas imaginer les conséquences du rajeunissement des dirigeants occidentaux. Avec les vieux dirigeants, les causes de rupture totale étaient sagement évitées et il ne pouvait pas un seul instant prévoir que la jeunesse dirigeante européenne serait assez folle pour le défier, en fournissant des armes à son adversaire et nouvelle ennemie, l’Ukraine. Ceci explique le sens de sa démarche initiale, « le bruit des bottes et des chars » à la frontière ukrainienne aurait dû suffire pour calmer les ambitions de ce jeune peuple. Mais le vieux sage ignore le rôle que Dieu lui a préparé pour accomplir son dessein funeste et purificateur. Aussi, se retrouve-t-il embarqué lui-même dans une spirale d’escalades guerrières qu’il n’avait pas préméditée. Il ira jusqu’au bout du projet de Dieu que personne sur la terre ni dans le ciel ne peut empêcher de s’accomplir. Depuis longtemps, j’ai remarqué comment le temps favorise l’acceptation du changement des valeurs morales, mais je n’avais pas réalisé que l’arrivée au pouvoir de la jeunesse dirigeante allait permettre le déclenchement de la Troisième Guerre Mondiale. Aujourd’hui, la démonstration est comprise et faite. Les 77 années de paix devaient s’écouler afin que les derniers témoins de la Deuxième Guerre Mondiale aient disparu ou n’aient plus d’influence sur les décisions prises par la jeunesse dirigeante. Et ceci explique pourquoi, par deux fois consécutives, Dieu a imposé à la France et sa population, le jeune président E. Macron, typiquement, orgueilleux, arrogant, ambitieux et rebelle. Tu peux comprendre ainsi, pourquoi, n’écoutant que son inexpérience, sa nature le pousse à défier la puissante Russie, parce qu’il vit son rêve, un monde où les hommes parviennent toujours à éviter le pire, par des longues mais efficaces négociations. Au cours de sa jeune vie, n’est-ce pas ce que l’histoire accomplie a confirmé ? En écartant Dieu et sa puissante action, l’esprit humain se nourrit des expériences vécues. Et celles des jeunes gens parvenus au pouvoir n’étaient que la paix et les arrangements diplomatiques. Comment ces jeunes gens incrédules nourris uniquement de laïcité pourraient-ils comprendre que le Tout-Puissant, le Dieu invisible, utilise leur faiblesse et leurs défauts pour accomplir son projet destructeur punitif ? Cette compréhension est le privilège donné uniquement à ceux qu’il aime, parce qu’il aime leurs œuvres qui rendent leur foi vivante, donc ; un modèle de foi agréable à Dieu.

Depuis le modèle du jeune nouveau Pharaon, en France, un premier « enfant-roi » s’est présenté à l’âge de cinq ans, sous le nom de Louis XIV. La noirceur morale et religieuse de son règne a été masquée par les fêtes somptueuses qu’il a organisées dans son palais de Versailles. Attirant dans son palais tous les riches nobles pour l’entourer, il est devenu « le roi-soleil » remplaçant à Versailles le vrai soleil que Dieu a rendu rare et peu calorifique pendant tout son long règne de 70 ans. Froidure, gel et glace étaient dans le climat pendant que le roi se pavanait dans l’allée des glaces, dans son palais, entre deux guerres qui furent coûteuses et permanentes, véritables malédictions pour la population française. Dans cette expérience Dieu a adressé à la France un message non reçu et non compris. Mais ce message prend tout son sens en notre époque où le même principe se renouvelle : âgé de trente ans (cas de Zélensky), un dirigeant ne possède ni l’expérience vécue, ni la sagesse des gens âgés, bien que cette sagesse ne soit pas automatique, comme le prouve le fougueux et belliqueux Joe Biden président des USA. Comme quoi, on peut être vieux et enragé, en pays démocrate. La vraie sagesse est un don de Dieu, elle ne peut donc être trouvée que très rarement vu l’impiété généralisée de notre monde. Elle ne peut être donnée à une société incrédule et laïque qui a expulsé Dieu de ses pensées. Mais cela ne l’empêchera pas de lui imposer son programme dans lequel il lui a préparé une triste et terrible fin. « L’enfant-roi » est une histoire qui finit mal ; le rêve impossible s’achève en cauchemar.

J’ai relevé une étonnante similitude dans les événements survenus successivement en France, en 2017, puis en Ukraine en 2019, au sujet des élections de deux jeunes présidents âgés d’environ une quarantaine d’années. Leurs élections ont été marquées par un renouvellement de leurs députés composés également d’une écrasante majorité de jeunes gens qui ont souhaité rejoindre l’homme conforme à leur idéal : jeune, diplômé, moderne et sûr de lui. Dans ce choix, la pensée politique traditionnelle disparaît, la situation repose davantage sur l’image de la groupie qui rejoint son idole. Ces changements ont été favorisés par l’exaspération des peuples due aux échecs électoraux précédents, tant en France qu’en Ukraine.

Autre similitude, les deux présidents se présentent seuls, sans l’aide d’un parti politique préexistant. Et après leur victoire électorale, ils rassemblent leurs fans par le moyen des élections législatives. Pas un seul de ces députés fans n’est prêt à contester l’autorité de son idole. Ils sont comme des clones de leur personnalité. Ils leur donneront raison même s’ils ont tort. La France en 2017, et l’Ukraine en 2019, passent sous un régime mystique mais irréligieux. Dans ces deux dates, le principe politique démocratique occidental traditionnel cesse et disparaît et le pouvoir passe entre les mains d’une jeunesse fanatisée au pouvoir immense sur les deux nations.

J’ai dressé ce portrait robot de nos députés présidentiels français :

Ils sont pour l’Europe et davantage, ils aspirent à une union universelle. Instruits et diplômés, ils parlent au minimum l’anglais couramment et la langue étrangère ne les dérange pas. Gouvernant d’une manière technocratique, les détails sont ignorés cyniquement. Oui, le cynisme les caractérise particulièrement. Dans un précédent message, j’ai évoqué la désinvolture du président Macron à propos de sa proposition de la prime de cent euros versée aux travailleurs, mais uniquement par les entreprises qui acceptaient de la verser ; tant pis pour les autres salariés. Le cynisme de la déclaration est évident. Ce cynisme se manifeste également dans la réaction des jeunes élus. Bien que contestés partiellement, par une grande partie des électeurs et soutenus par moins de 15% du total des électeurs inscrits, puisque les 52% et 54 % d’abstention des présidentielles et des législatives ne sont pas comptés, ils réagissent avec arrogance en revendiquant le taux élevé du deuxième tour des élections, chiffre justifié uniquement pour obtenir le rejet du R.N. détesté. Et cette détestation prouve que la France n’appartient déjà plus aux vrais français ; et ceci, depuis déjà longtemps. L’homme d’âge mûr sait tenir compte des vrais chiffres qui le portent au pouvoir, mais la nouvelle jeunesse, elle, ignore ce critère et se comporte cyniquement en autocrate puissamment soutenu. Seules ses idées et volontés comptent, et la Constitution de la 5ème République favorise cette folie injuste.

Pour masquer leurs lacunes, fiers de leur charge, ils s’expriment de manière rapide, pensant que ce flot de paroles démontre leur parfaite maîtrise des sujets sur lesquels reposent leurs discours. Mais en reprenant au ralenti leur propos, on découvre des erreurs et des mensonges que les journalistes interviewers ne relèvent même pas. En ce jour même, invité sur une télé-chaîne Info, le nouveau rapporteur du gouvernement, Olivier Véran, authentique clone du président Macron, dans son débit rapide de paroles, a voulu tranquilliser les Français au sujet de l’augmentation du prix des loyers de 3,5%, en disant que l’APL (Aide Personnalisée au Logement) allait être, elle aussi, augmentée du même taux. Et dans la même rapidité, il a osé en conclure que la hausse serait de la sorte annulée. Sait-il bien compter cet homme ? Ce serait le cas si l’APL couvrait l’intégralité du prix du loyer ; mais cette aide n’en couvre qu’une partie seulement. Son message était donc faux et trompeur. Mais le caractère superficiel et cynique de ces nouveaux séducteurs publics est ainsi démontré. Les journalistes présents n’ont, bien sûr, rien relevé, ni en sa présence, ni après son départ du plateau… Il faut dire qu’ils ne touchent pas l’APL, leurs appointements élevés les rendent inutiles.

Les jeunes nouveaux députés sont profondément humanistes et leur pensée universaliste les porte à détester le nationalisme qui privilégie le vrai français. La situation est donc paradoxale, car leur rêve universaliste qui incite à l’accueil doit être financé uniquement par leur pays, dont les intérêts financiers ont été, depuis longtemps, détruits par la mondialisation du commerce et ses multiples délocalisations vers la Chine, principalement, mais aussi à l’intérieur, vers les autres nations de l’U.E. Et nos jeunes gens politiques cultivent à plein champ le paradoxe, parce que détestant le nationalisme français, celui de leur pays, ils approuvent les dépenses ruineuses offertes à l’Ukraine pour son combat qui n’est rien d’autre que le nationalisme absolu du pire entêtement manifesté depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. Le paradoxe et l’inconséquence règnent donc sur la France et pour qu’elle échappe à sa destruction, il faudrait un miracle qui ne viendra jamais. Ce qui est sûr, c’est que l’équipe capable de l’achever est bel et bien en place. Et si elle y parvient, ce sera dû à la Constitution de la 5ème République française à laquelle beaucoup de journalistes politiques reprochent déjà son caractère trop monarchique ; mais ces récentes réactions ne font que s’adapter au témoignage populaire des dernières élections peu favorables au parti LREM sortant, qui a été néanmoins reconduit par des alliances électorales de circonstances. La leçon que je retire de ces choses, c’est que depuis 1958, début de la 5ème République, le système démocratique est utilisé par des autocrates, uniquement, pour accéder au pouvoir. Après quoi, particulièrement depuis 2012, « l’enfant-roi » rebelle gouverne et fait appliquer uniquement ses seules volontés. Ceci dit, le type du régime qui gouverne est secondaire ; ce qui est principal, c’est la bénédiction divine qui est sur le dirigeant ; et là, s’expliquent tous les échecs constatés pour tous les régimes, car il n’existe sur toute la terre, aucun dirigeant béni par Dieu, ni aucun peuple qui le soit.

Au pouvoir, la jeunesse veut plaire et séduire le petit peuple. Le taux du soutien dépend de cette réussite. Aussi, son gouvernement se montre agréable en distribuant des chèques d’aides, supprimant des impôts et des taxes comme les gens peuvent jeter du pain aux canards reconnaissants et criards. Mais en même temps, la prise de ses décisions de bloquer l’économie et le pays pendant 2 ans dans le contexte de l’épidémie du Covid-19 a ruiné la France. Aujourd’hui c’est l’aide militaire apportée à l’Ukraine et les sanctions prises contre la Russie qui vont achever la nation France, sans qu’elle ne puisse jamais se relever.

Pour faire accomplir son projet destructeur prophétisé, Dieu a créé sur la terre les situations spéciales favorables ; notamment, l’arrivée soudaine au pouvoir de la jeunesse arrogante et inexpérimentée. Mais, le moyen qui ressort le plus, c’est la séparation des langues qui est à la base de toutes les revendications nationalistes. Il porte ainsi un coup fatal à l’esprit de « Babel » qui a réuni des peuples dans « des alliances humaines ». Et malgré ces « alliances », la séparation et la guerre reviennent et s’imposent. Mais comment ces « alliances » tiendraient-elles ? Quand on sait que Dieu a dit dans Dan.2:43 : « Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. »

La séparation des langues est soulignée dans Apo.10:11 : « Puis on me dit: Il faut que tu prophétises de nouveau sur beaucoup de peuples, de nations, de langues, et de rois. » Ces « langues » séparent les nations entrées dans l’U.E. et elles justifient « l’alliance » superficielle révélée par Dieu. Contrairement à l’U.E., les USA sont unifiés par la « langue » anglaise officielle du pays, mais leur union est déjà menacée par l’extension de la « langue » espagnole. Ainsi, depuis « Babel », Dieu possède cette arme redoutable pour rompre les « alliances humaines » : la « langue » parlée qui est le ciment unificateur de chaque peuple. Et partout en Europe, mais surtout en France, l’accueil massif et contraint des étrangers, qui importent leur « langue », leur culture et leur religion, est venu tuer l’unification, créant des causes de disputes internes supplémentaires, encore plus dangereuses que celles qui opposaient entre eux les Français de terre et de sang.

Les présidents des 3ème et 4ème Républiques étaient tous élus à un âge avancé. Dans la 5ème, c’est encore le cas des deux premiers présidents : le général de brigade Charles de Gaulle et le financier Georges Pompidou. Le troisième Valéry Giscard d’Estaing fut élu beaucoup plus jeune, en 1974. Il avait alors 48 ans et devint le plus jeune président élu en France depuis 1845. Dans le gouvernement précédent, il était ministre de la finance et de l’économie. Les conséquences de sa jeunesse sont relevables et déjà très néfastes pour le pays. En créant avec l’Allemagne les bases de l’U.E., il prive la France de sa véritable indépendance. Il veut plaire et cède aux exigences liberticides de la jeunesse du peuple. Il autorise en France l’installation des familles des travailleurs maghrébins par sa loi du regroupement familial entre 1976 et le 8/12/1978 où elle prend sa forme actuelle. La loi est mise en place par le premier ministre Jacques Chirac en 1976 pour répondre à la demande du puissant groupe de construction d’habitations Francis Bouygues, membre de son parti politique le RPR. Dans ces circonstances, l’islam maghrébin s’installe en nombre en France jusqu’à notre époque. Le quatrième président est un avocat, François Mitterrand. Il est élu à 65 ans en 1981 et ouvre la gouvernance socialiste pour deux septennats complets sous l’égide de la « rose » symbole de l’amour. Homme de culture et très humaniste, il favorise lui aussi les demandes liberticides de la jeunesse. La « rose » va changer les mentalités et favoriser la légitimité des abominations sexuelles. Sous sa gouvernance, les immigrés maghrébins sont plus protégés que jamais, alors que leurs actions délinquantes ne font qu’augmenter ; et apparaît l’expression « touche pas mon pote ». A noter : pour sa prestance et son autorité, il reçoit le surnom « dieu » de la part des journalistes humoristes et le symbole d’une grenouille verte, bien mérité, puisque la grenouille est classée impure par Dieu. Or, c’est sous sa gouvernance que les principes divins sont attaqués. En cinquième président, Jacques Chirac lui succède, âgé de 63 ans, en 1995. C’est un authentique homme politique formé par l’ENA. Fougueux et dur dans sa jeunesse, à 63 ans il veut avant tout plaire à tous. Après lui, le sixième président Nicolas Sarkozy est élu âgé de 52 ans en 2007. Il était avocat d’affaires. Avec lui, la France est gouvernée par un homme d’origine hongroise qui fut dès 1968 un porte-voix de la jeunesse fan du RPR de Jacques Chirac. Son arrivée au pouvoir marque donc le moment où la génération contestataire de Mai 1968 dirige le pays France. Et la malédiction pour la France s’intensifie. Par ses choix politiques, il prive la France de la protection libyenne et favorise les conquêtes islamiques en Libye. Le septième président, François Hollande, cependant bien français, est élu âgé de 58 ans en 2012. Il est lui aussi un pur produit de l’ENA. Avec lui, le parti de la « rose » gouverne de nouveau. Et il apporte à la France, le comble des abominations sexuelles condamnées par Dieu, en légalisant le mariage pour tous, hétérosexuel, homosexuel, bi-sexuel, transexuel …etc. Et le huitième et dernier actuel président de la France est Emmanuel Macron. Il est élu âgé de 39 ans en 2017. Financier dans la banque Rotschild (comme le second président Georges Pompidou), il était conseiller du président Hollande et ensuite ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique. Il devient du coup le plus jeune président depuis 1845. Et il incarne le rêve américain et séduit la jeunesse qu’il représente lui-même. Pour instaurer et développer la société du numérique, il déstabilise l’équilibre sociétal français. Ceci, au moment où les délocalisations vers la Chine privent les français d’emplois. Avec désinvolture et cynisme, il impose des changements inspirés par son esprit européiste et universaliste. Il ruine la France, en la mettant en arrêt d’activité pendant deux années, à cause de l’épidémie due au virus Covid-19. Ensuite, il l’achève, en offrant son soutien armé et financier donné à l’Ukraine. Les sanctions adoptées contre la Russie se retournent contre les Français et les autres concurrents européens. La France est prête pour être livrée à ses ennemis.

Selon Ezéchiel 2, dans lequel sur dix versets le mot « rebelles » apparaît six fois, le temps de la fin des alliances divines est marqué par ce critère de comportement « rebelle ». Mais à l’époque de la fin de Jérusalem qui précéda la dernière déportation à Babylone soit, entre – 605 et – 586, il faut relever l’âge des trois derniers rois au moment où débute leur règne.

Le premier, Jojakim, avait 25 ans selon 2 Rois 23:36-37 : « Jojakim avait vingt-cinq ans lorsqu'il devint roi, et il régna onze ans à Jérusalem. Sa mère s'appelait Zebudda, fille de Pedaja, de Ruma. Il fit ce qui est mal aux yeux de YaHWéH, entièrement comme avaient fait ses pères.»

Le second, Jojakin, avait 18 ans selon 2 Rois 24:8-9 (ou 8 ans selon 2 Chroniques 36:9, cette exceptionnelle divergence a néanmoins été légitimée par Dieu de manière à éprouver la foi) : « Jojakin avait dix-huit ans lorsqu'il devint roi, et il régna trois mois à Jérusalem. Sa mère s'appelait Nehuschtha, fille d'Elnathan, de Jérusalem. Il fit ce qui est mal aux yeux de YaHWéH, entièrement comme avait fait son père. »

Le troisième, Sédécias, avait 21 ans selon 2 Rois 24:18-19-20 : « Sédécias avait vingt et un ans lorsqu'il devint roi, et il régna onze ans à Jérusalem. Sa mère s'appelait Hamuthal, fille de Jérémie, de Libna. Il fit ce qui est mal aux yeux de YaHWéH, entièrement comme avait fait Jojakim. Et cela arriva à cause de la colère de YaHWéH contre Jérusalem et contre Juda, qu'il voulait rejeter de devant sa face. Et Sédécias se révolta contre le roi de Babylone. »

En notre époque, notre « Sédécias » se nomme Emmanuel Macron. Lui aussi s’engage et engage la France dans une « révolte » guerrière contre notre « Nébucadnetsar », Vladimir Poutine ; président de la Russie, première puissance nucléaire de la terre. Comme au temps de Jérémie, de Daniel et Ezéchiel, avec l’U.E., la France « fait » et légalise « le mal », comme l’ancien Israël en son temps et la nature « rebelle » de la jeunesse est chaque fois mise en cause. La fin des nations est identique à la fin de l’ancien Israël du Dieu vivant. Les mêmes causes engendrent les mêmes jugements et châtiments divins.

La leçon à retenir est que l’usage de l’autorité est différent selon l’âge du dirigeant à cause de la construction progressive de l’expérience qui le forme et le moule. Les présidents qui ont connu le régime de la 4ème République ont fait un usage modéré des pouvoirs que la 5ème République leur donnait. Mais le dernier n’a pas vécu cette expérience et, entre ses mains, la Constitution prend la forme concrète et réelle du régime autocrate instauré par le Général de Gaulle ; celle d’une monarchie parlementaire qui porte tous les inconvénients d’un pouvoir absolu, personnel, capricieux et rebelle. Le malheur est pour les peuples ciblés par la juste colère de Dieu : la France laïque républicaine et l’Union Européenne du traité de Rome soit,  la «  bête écarlate » d’Apo.17:3 sur laquelle est « assise » la Rome catholique papale ; Rome, « la ville aux sept collines » : « Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. »

En créant l’Union Européenne, l’union faisant la force, les pays européens sont devenus confiants et arrogants envers les autres nations terrestres. Se sentant protégés par le bouclier de l’OTAN dans laquelle le jeune président Sarkozy a ramené la France, les Européens se sont donnés le droit d’intervenir dans des guerres extérieures et d’y imposer leur justice. C’est encore un fruit imputable à la jeunesse rendue encore plus arrogante quand elle réalise des unions. La construction européenne fut facilité par le choix du plus jeune président de la République française depuis 1845 soit, Valéry Giscard d’Estaing. Mais le dernier président français, Emmanuel Macron, encore plus jeune, est encore plus arrogant et autoritaire. Et ce droit d’intervenir en conflit étranger, qui est devenu une habitude naturelle en Europe, droit appelé « droit d’ingérence humanitaire », explique son soutien actuel et celui des jeunes autorités européennes à l’Ukraine. Hélas pour eux, la puissante Russie nucléaire n’est pas la faible Serbie à laquelle l’OTAN a imposé l’arrachement du Kosovo pour le donner aux Albanais. L’union fait peut-être bien la force, mais il fait aussi dangereusement, l’arrogance qui conduit la souris à attaquer le chat, et dans notre cas, le coq gaulois à irriter l’ours russe.

En résumé, chacun peut constater la cause de « l’arrogance » de la jeunesse ; elle ne fait pas la différence entre « le vouloir » et le « pouvoir » et ne sait pas reconnaître le moment où il faut renoncer et se remettre en cause. Dans Dan.7:8, après l’avoir reproché et condamné au roi Nebucadnetsar dans Dan.5:20, « l’arrogance » est imputée par Dieu au régime papal, et la comparaison avec cette jeunesse actuelle est riche d’enseignements. La papauté agit avec « arrogance », parce qu’elle se croit investie et soutenue par Dieu, alors qu’elle le trahit par ses désobéissances. La jeunesse agit avec « arrogance », parce qu’elle ne croit pas à l’existence de Dieu et ignore ses exigences. Ainsi, la fausse foi et l’athéisme portent le même fruit « d’arrogance » qui est le fruit de l’orgueil humain qui lui-même le sépare de Dieu. Puisqu’il « résiste aux orgueilleux et fait grâce aux humbles » selon 2 Pierre 5:5 dont le message cible, particulièrement, la jeunesse naturellement « arrogante » : « De même, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d'humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles. »

Ici s’achève cette étude placée sous le thème des « enfants-rois » arrogants.

 

 

 

La fin du monde : un test de foi

 

Dans le monde, les religions monothéistes se disputent l’authenticité de leur représentation de Dieu sur la terre. Et s’ajoutent à leur bataille, diverses formes de religions plus ou moins philosophiques. Depuis 1843, la religion protestante a éclaté en de multiples groupes indépendants qui la divisent et créent une confusion néfaste à la cause du Christ. Le maître de la division, c’est le diable, car pour sa part, Jésus bénit dans l’unité parfaite de sa vérité, ses vrais élus. Il a prié sur terre pour cette unité avec grande insistance selon Jean 17 :21-22-23 : « afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu'eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m'as envoyé. Je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, afin qu'ils soient un comme nous sommes un, moi en eux, et toi en moi, afin qu'ils soient parfaitement un, et que le monde connaisse que tu m'as envoyé et que tu les as aimés comme tu m'as aimé. » Relève que c’est uniquement dans cette unité de vérité conforme à son modèle parfait que le monde peut identifier ses vrais élus. Depuis 1843, la religion protestante divisée est à l’opposé de ces critères et dans Apo.9, Jésus dénonce cette intoxication religieuse trompeuse sous le thème de la « cinquième trompette ». Les « trompettes » sont des châtiments divins. En quoi consiste le châtiment de cette « cinquième trompette » ? La réponse est donné dans les versets 5-6 et 11 : « Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois ; et le tourment qu'elles causaient était comme le tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme. » Dieu décrit les conditions de « la seconde mort » déjà évoquée dans le message de « Sardes » d’Apo.3:1 : « tu passes pour être vivant et tu es mort ». Le verset 6 décrit « la seconde mort », disant : « En ces jours-là, les hommes chercheront la mort, et ils ne la trouveront pas ; ils désireront mourir, et la mort fuira loin d'eux. » Et le verset 11 révèle leur abandon au diable : « Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. » Et en plaçant l’œuvre du Destructeur désigné en hébreu et en grec, Dieu dénonce la trahison de la Bible qui vaut aux protestants d’être livrés au diable : le Destructeur en chef. Le résultat de cette destruction de la Bible est donc la multiplication de groupes qui l’interprètent à leur manière. C’est pourquoi, la situation apparente est celle d’une alliance hypocrite, puisque chacun condamne dans sa pensée le choix fait par l’autre. Je livre ici une idée nouvelle exclusive qui m’est inspirée dans le moment. Les mots Abaddon et Apollyon signifient, respectivement en hébreu et en grec, « Destructeur » et « qui fait périr ». Mais ce n’est pas tout, car le mot hébreu « Abbadon » se compose de deux racines hébraïques qui sont : « Ab » signifiant « Père » et « Adon » qui signifie Seigneur ; ensuite le mot grec « Apollyon » est, lui, composé de deux racines grecques qui sont : « Apo » et « Lyon » soit, pour « apo », un adverbe suggérant un éloignement, un départ, ou une séparation, du « Lion, de la tribu de Juda », selon Apo.5:5 : « Et l'un des vieillards me dit : Ne pleure point ; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux. ». Ainsi le témoignage biblique de l’ancienne alliance est placé sous l’égide du Père Seigneur et celui de la nouvelle alliance sous l’égide de la Séparation du Lion de Juda ou le départ, le commencement de son témoignage. Et cette séparation est bien confirmée puisque Dieu a rejeté en première la nation juive à cause de son rejet du Messie Jésus, « le lion de la tribu de Juda » et son témoignage de la nouvelle alliance. Mais ce message concerne, cette fois, la foi protestante qui reconnaissant Jésus méprise l’ancienne alliance, témoignage du « Père Seigneur ». Aussi, logiquement, elle subit, à son tour, le rejet par Dieu. Cette découverte m’a conduit à rechercher la signification profonde du mot « Apocalypse ». Là encore deux racines grecques composent ce mot. Nous retrouvons l’adverbe « apo » associé au verbe « calypto » qui signifie couvrir, cacher. L’adverbe « apo » qui le précède suggère le retrait ou l’éloignement du voile ou couvercle qui cache d’où sa signification globale de : révélation. Ces nouvelles précieuses perles étant déposées, pour le monde observateur et victime, la confusion religieuse est totale, tant les options proposées sont nombreuses et différentes. Dieu nous propose cependant, depuis 1843, un moyen très simple pour écarter le camp de ses ennemis faussement chrétiens : ils le servent et l’adorent le dimanche, le jour du repos établi le 7 Mars 321 par l’homme Constantin 1er empereur des conquêtes romaines.

Pourtant, il existe un moyen de mettre tout le monde d’accord à condition que tous acceptent de tenir compte de certaines évidences. A l’époque de Salomon, la réputation de la sagesse de ce roi des Hébreux, amena, depuis l’Ethiopie, la reine de Séba à venir le rencontrer en personne. La rencontre fut si efficace qu’elle repartit vers son pays adoratrice du vrai Dieu créateur comme en témoignent ses paroles dans ce verset d’1 Rois 10:9 : « Béni soit YaHWéH, ton Dieu, qui t'a accordé la faveur de te placer sur le trône d'Israël ! C'est parce que YaHWéH aime à toujours Israël, qu'il t'a établi roi pour que tu fasses droit et justice. ». Ensuite, à l’époque de Jésus, l’Esprit a conduit Philippe sur une route sur laquelle il a rencontré un eunuque éthiopien qu’il a enseigné et baptisé au nom de Jésus-Christ selon Actes 8:34 à 39 : versets 37-38 : « Philippe dit : Si tu crois de tout ton cœur, cela est possible. L'eunuque répondit : Je crois que Jésus Christ est le Fils de Dieu. Il fit arrêter le char ; Philippe et l'eunuque descendirent tous deux dans l'eau, et Philippe baptisa l'eunuque. ». La Bible n’est pas qu’un simple livre, elle est avant tout, la « parole de Dieu » écrite qu’il utilise directement lui-même, puissamment, par son Esprit pour enseigner ceux qu’il convertit. L’explication du petit nombre de gens éclairés n’est pas dans la limitation de la compréhension de la Bible. Dans notre époque, elle est dans le réel désintérêt des masses humaines pour la vie invisible, c’est surtout, le cas en Occident, et dans l’enracinement des traditions héritées, en Orient et au Maghreb.

Pourtant, il est un message vital dont tout homme a besoin sur cette terre. C’est de savoir que Dieu a prophétisé une fin pour l’expérience de la vie terrestre. En effet, le manque humain principal est l’ignorance de la programmation de cette fin du monde par Dieu. Les incrédules, qui ne croient pas à la lecture littérale du récit de la Genèse, écoutent les scientifiques qui attribuent à notre terre une existence qui remonte à des millions et milliards d’années ; c’est entièrement faux, mais sans la foi en Dieu, ils sont victimes de leurs faux raisonnements. Mais ces personnes n’envisagent aucunement une fin du monde, et année après année, je les entends bâtir des projets pour l’an 2050 et même, dernièrement, pour 2100, alors qu’ils n’ont au maximum plus que huit années de vie devant eux ; et beaucoup moins pour les futures victimes de la Troisième Guerre Mondiale qui vient.

Je considère donc, que l’élément le plus important que Dieu révèle aux hommes est sa programmation d’une fin du monde qui mettra un terme à toute fausse espérance ou fausse interprétation de la vie humaine. En récompense offerte à ses vrais élus rachetés bien-aimés, Dieu va plus loin, puisqu’il avait prévu de leur révéler la date de cette fin du monde. Et pourquoi sont-ils ses bien-aimés ? Parce qu’ils ont cru, en premier à cette fin du monde. Celui qui croit à la fin du monde prouve qu’il croit réellement à l’existence de Dieu qui peut ainsi le bénir en toute légitimité ; c’est la norme de la vraie foi. La suite est une continuité logique : si je crois en Dieu je crois à ce qu’il dit et j’étudie tout ce qu’il a dit. Le plus apparaît dans ses textes prophétiques. Découvrir que des prophéties anciennes ont été parfaitement accomplies en leur temps nourrit la confiance pour celles qui ne le sont pas encore.

La fin du monde apparaît, bien annoncée, dans Daniel 2, dans l’enseignement porté par la statue qui prophétise cinq dominations terrestres jusqu’au retour du Christ. Et l’annonce de la désintégration de la statue entière due à la frappe de la pierre proclame clairement la fin de l’humanité sur la terre. En découvrant cet enseignement, l’homme apprend que le temps ne lui appartient pas. C’est Dieu et lui-seul qui l’a établi sur six mille ans couverts par le récit biblique. La fin du monde est aussi logique que son commencement. Suscitée en un clin d’œil et sortant du néant, la terre est apparue sous la forme d’une simple boule d’eau créée dans un vide absolu. Au fil des six jours qui suivent, toujours sur son ordre, il l’a organisée jusqu’au sixième jour en lequel il a formé l’homme à son image. Et cet homme était superbe, glorieux et parfait ; en aucun cas, un poisson ou un singe. Mais à cause du péché originel, la désobéissance à un ordre de Dieu, cette gloire ne fut qu’éphémère. La mort salaire du péché, selon Rom 6:23, est entrée dans l’homme et dans toute la création terrestre. Un déluge est venu détruisant toute vie gagnée irrémédiablement par le mal mais par Noé et sa famille la connaissance de Dieu et de ses lois morales et physiques a été transmise dans le temps et jusqu’à nous.

Il faut bien être conscient que la vie humaine banale et normale ne permet pas de penser à une fin du monde. Les hommes meurent et d’autres naissent ; à vue humaine le processus semble illimité dans le temps. D’ailleurs au temps de Noé, gagnés par la même conviction que la vie collective n’avait aucune limite, les antédiluviens ne croyaient pas Noé quand il leur annonçait la venue d’un déluge d’eau. Aussi, peut-on imaginer les rires et les sarcasmes de ceux qui le voyaient construire un bâtiment destiné à flotter ; ceci sur une terre parfaitement sèche. Et leur mort a été due à une action miraculeuse de Dieu, car il a créé autant d’eau que nécessaire pour recouvrir les plus hautes montagnes de la terre. La fin du monde qui est devant nous sera due également à un puissant miracle, mais cette fois, Dieu ne fera pas appel à l’eau, ni au feu, il apparaîtra pleinement visible à ses ennemis pour les combattre et les détruire lui-même.

L’annonce d’une fin du monde est une exclusivité biblique divine. En révélant ce projet final, Dieu oblige les hommes et les femmes à reconnaître leur statut de créatures. Il nous dit à tous que notre vie se déroule selon un plan qu’il a programmé. Et ce programme se trouve résumé dans le texte du sabbat du quatrième de ses dix commandements selon Exode 20:8-9 : « Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. » La semaine étant construite sur le modèle des six mille ans du temps humain, à travers ce message, Dieu dit à l’homme : « tu as six mille ans pour agir sur la terre, puis viendra la fin du monde ». Et cette fin du monde marquera l’entrée des seuls élus dans les « mille ans » du septième millénaire terrestre qui constituera le grand repos ou grand sabbat pour Dieu et ses élus rachetés par le sang de Jésus-Christ ; « mille ans » cités dans Apo.20.

L’annonce de la fin du monde représente donc, pour ses seuls élus, l’entrée dans un bonheur inexprimable, mais pour les incrédules, elle est, à l’inverse, détestable et redoutée, car elle marquera la fin de leur vie frivole et cupide, la fin de tous leurs plaisirs charnels terrestres. C’est pourquoi, ce seul sujet de la fin du monde peut servir de test pour identifier les pensées secrètes des cœurs humains.

A mi-chemin entre le croyant et l’incroyant, certains veulent croire à la possibilité de la fin d’un monde soit, la fin d’une norme terrestre qui serait remplacée par une autre norme terrestre. Car dans la fausse foi, des multitudes croient à l’instauration du royaume de Jésus-Christ sur la terre trompés par les textes des citations qui l’annoncent. C’est vrai, mais il faut entrer dans les subtiles révélations d’Apocalypse 20 pour comprendre qu’entre le retour glorieux de Jésus-Christ et l’installation des élus sur la nouvelle terre, il y a l’insertion des « mille ans » de jugement céleste. Les contestataires diront que rien ne précise que ce jugement s’accomplit dans le ciel dans ce chapitre 20. C’est encore vrai, mais cette précision est clairement indiquée dans Apo.4 :1 : « Après cela, je regardai, et voici, une porte était ouverte dans le ciel. La première voix que j'avais entendue, comme le son d'une trompette, et qui me parlait, dit : Monte ici, et je te ferai voir ce qui doit arriver dans la suite. » Suivez le guide : Ce qui précède ce message était la dernière époque terrestre de l’Eglise du Christ, désignée par le nom Laodicée nom qui signifie : jugement du peuple. En dernière, la foi adventiste est mise à l’épreuve en 1994 et la bénédiction de Jésus-Christ se prolonge par la foi adventiste dissidente jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ. En sorte qu’après ce jugement du peuple adventiste vient, après le retour du Christ, le jugement céleste des « mille ans » du septième millénaire. Et dans ce chapitre 4, Dieu insiste lourdement sur l’idée « céleste » : « une porte ouverte dans le ciel » et « monte-ici ». Mais en plus, dans le verset qui suit, ce sont les saints rachetés qui se trouvent, « dans le ciel », « assis sur des trônes » cités également dans Apo.20:4. Ainsi ce sujet du jugement céleste évoqué en symbole dans Apo.4 est développé dans Apo.20:4. Compare donc ces deux versets parfaitement complémentaires :

Apo.4:4 : « Autour du trône je vis vingt-quatre trônes, et sur ces trônes vingt-quatre vieillards assis, revêtus de vêtements blancs, et sur leurs têtes des couronnes d'or. »

Apo.20:4 : « Et je vis des trônes ; et à ceux qui s'y assirent fut donné le pouvoir de juger. Et je vis les âmes de ceux qui avaient été décapités à cause du témoignage de Jésus et à cause de la parole de Dieu, et de ceux qui n'avaient pas adoré la bête ni son image, et qui n'avaient pas reçu la marque sur leur front et sur leur main. Ils revinrent à la vie, et ils régnèrent avec Christ pendant mille ans. » Dans ce verset, nous trouvons l’explication des « vingt-quatre trônes » de l’autre verset et la confirmation du jugement céleste : « le pouvoir de juger ». Pour la période placée avant 1843 : 12 trônes : « Et je vis les âmes de ceux qui avaient été décapités à cause du témoignage de Jésus et à cause de la parole de Dieu ». Pour la période placée après 1843 : 12 trônes : « et de ceux qui n'avaient pas adoré la bête ni son image, et qui n'avaient pas reçu la marque sur leur front et sur leur main. » ; soit, en tout, « 24 trônes ».

Pour comprendre la forme que la fin du monde va prendre, la reconnaissance du jugement « céleste » est donc indispensable, car seule, elle confirme l’arrêt total de toute existence humaine sur la terre, pendant les « mille ans » cités ; ce qui implique une destruction de toute vie humaine au retour glorieux du Christ, au terme des premières six mille années programmées et prophétisées par les successions des six jours profanes de nos semaines de sept jours. Reste une question qui est jugé par les saints élus ? La réponse se trouve dans Apo.11:18 : « Les nations se sont irritées; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. » La réponse est : « et le temps est venu de juger les morts ». Ces « morts » ont été tués au retour du Christ. et selon Apo.20:5 : « Les autres morts ne revinrent point à la vie jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. C'est la première résurrection. » Attention ! Ce verset contient un piège car l’expression, « c'est la première résurrection », est rattachée au verset 6 qui suit. Les morts déchus, eux, participent à la « deuxième » « résurrection », puisque la « première » s’accomplit avant « les mille ans » et la « deuxième » après « les mille ans ».

Il est impossible pour une personne qui ne croit pas à la fin du monde de prendre au sérieux l’annonce de la Troisième Guerre Mondiale. Car sans ce regard objectif du futur, la guerre mondiale est regardée de manière optimiste et l’utilisation des armes nucléaires est jugée pessimiste et excessive. Alors que celle qui croit à la fin du monde accepte logiquement l’annonce de l’utilisation de ces armes terriblement destructrices, capables d’éliminer des millions d’êtres humains avec une seule bombe atomique.

La vraie foi doit accepter et se préparer au pire, puisque Dieu l’a voulu et prophétisé. Et aux chrétiens tu peux rappeler que le premier qui a évoqué « la fin du monde », c’est Jésus-Christ, dans Matt.13:39 : « l'ennemi qui l'a semée, c'est le diable; la moisson, c'est la fin du monde ; les moissonneurs, ce sont les anges. » Et cette moisson est le thème d’Apo.14:15-16 : « Et un autre ange sortit du temple, criant d'une voix forte à celui qui était assis sur la nuée : Lance ta faucille, et moissonne ; car l'heure de moissonner est venue, car la moisson de la terre est mûre. Et celui qui était assis sur la nuée jeta sa faucille sur la terre. Et la terre fut moissonnée. » « L’heure de moissonner », c’est l’heure de « la fin du monde » ; le printemps 2030.

Pour la fin du monde, Dieu avait préparé une « nourriture » spirituelle spéciale adaptée pour ce contexte pour ses derniers élus : sa Révélation prophétique biblique complète. Car, cette Révélation concerne la Bible depuis le récit de la création de Genèse 1 et 2 jusqu’à Daniel et Apocalypse ; des Révélations spécifiques divines que j’ai le privilège et la responsabilité de présenter dans mes ouvrages qui grossissent au fil des jours qui passent. J’ai démontré l’importance vitale de cette Révélation sans laquelle nous serions victimes des subtiles ruses du diable. Et je rappelle que dans Matt.24 :45-46, il prophétise l’existence d’une « nourriture » pour « le temps convenable » de « son arrivée » : « Quel est donc le serviteur fidèle et prudent, que son maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ? Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi ! » Ce verset serait plus clairement compris en disant : «  la nourriture convenable au temps de son arrivée ». Car c’est bien la nourriture qui doit s’adapter au temps et non l’inverse. En fait, la nourriture préparée pour le retour du Christ est une nourriture riche, très efficace, basée sur des révélations divines spécifiques. Ce n’est plus le lait des Evangiles, et ceux qui se sont contentés de ce lait sont restés des bébés spirituels. Et ils en perdent la vraie foi et sa récompense : la vie éternelle.

Dieu a grandement facilité le moyen d’identifier ses vrais serviteurs du temps de la fin. En effet ! Peut-on prétendre appartenir au Seigneur Jésus-Christ sans tenir compte des critères particuliers par lesquels il les définit dans Apo.12 :17 : « Et le dragon fut irrité contre la femme, et s'en alla faire la guerre contre le résidu de la semence de la femme, ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage de Jésus. ». Premièrement, les vrais « saints » reconnus par Jésus-Christ ne sont pas des persécuteurs mais des persécutés. Deuxièmement, « ils retiennent le témoignage de Jésus » que le diable veut leur arracher. Et c’est dans Apo.19:10, que ce « témoignage de Jésus » indispensable vital est identifié à « l’esprit de la prophétie » : « Et je tombai devant ses pieds pour lui rendre hommage. Et il me dit : Garde-toi de le faire ; je suis ton compagnon d'esclavage et celui de tes frères qui ont le témoignage de Jésus : rends hommage à Dieu, car l'esprit de prophétie est le témoignage de Jésus. »  Ici, Dieu nous donne en image ce que ses vrais élus des derniers jours ne doivent en aucun cas faire ; chose qui caractérise justement la grande ennemie de Dieu, la foi catholique papale romaine, car « la prosternation » devant une créature angélique ou autre, est interdite pat le deuxième de ses dix divins commandements ; lequel a été précisément supprimé par l’autorité papale comme l’avait prophétisé le prophète Daniel, dans Dan.7:25 : « ll prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps. » La seule version valable des dix commandements de Dieu est celle que nous présente Exode 20, dans la sainte Bible, exclusivement. Le texte écrit en Hébreu n’a jamais varié et ne doit subir aucun changement comme Jésus l’a prophétisé dans Matt.5:17-18-19 : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. Celui donc qui supprimera l'un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux .». Le Seigneur a tout dit on ne peut plus clairement. Et dans ces versets, il met en garde les chrétiens désobéissants du faux christianisme des temps ténébreux et des derniers jours. Attention ! Ne t’y trompes pas ! Être jugé « petit  dans le royaume des cieux » signifie : trop « petit » pour y entrer.

 

Le jour où le ciel tomba sur les têtes des Gaulois

 

Il suffit d’une crise provoquée par une guerre pour que s’accomplisse ce phénomène redouté par nos ancêtres les Gaulois, qui étaient, à mon avis, déjà un peu prophètes. Car Dieu savait déjà à leur époque le rôle de premier plan que leur territoire jouerait au cours de l’ère chrétienne.

Nous avons vu comment, la crise actuelle est provoquée, en France, par les choix autoritaires faits par le jeune homme qui dirige seul la France depuis 2017. Si l’on écoute ses discours attentivement, on relève une inquiétante confiance en lui-même. Au cours de son premier quinquennat, il a confirmé cette autorité montrant que seul son jugement est juste et digne d’être appliqué. C’est ainsi qu’après « dieu » soit, François Mitterrand, est né « Jupiter » soit, Emmanuel Macron ainsi nommé par les journalistes observateurs de son comportement. Le ciel est tombé sur la tête des Gaulois au début de l’année 2020 en terrorisant les instances dirigeantes par les attaques épidémiques mortelles du Covid-19. Et devant ce fléau contre lequel la science était désarmée, le jeune président a décidé de confiner toute sa nation imitant le comportement du chef d’Israël. Cette décision fut annoncée précédée par un discours présidentiel dans lequel E.Macron dit cette phrase inoubliable : « Nous sommes en guerre ». L’ennemi de l’heure n’était qu’un virus échappé d’un laboratoire chinois dans la ville de Yuhan frappée en première par un grand nombre de morts. Le grand problème de ce jeune président est sa formation professionnelle originelle ; Financier dans la banque Rotschild. Il a été ainsi formaté par la pensée du plus pur capitalisme libéral du modèle américain. En ce cas, que faisait-il dans l’équipe du président socialiste François Hollande ? C’est là, que la situation du socialisme français se révèle trompeuse et paradoxale. A l’époque de François Mitterrand, premier président socialiste, le socialisme  remporta la victoire étant minoritaire dans son alliance avec l’important parti communiste. L’importante représentation communiste est à l’origine des mesures sociales instaurées en France depuis le Général de Gaulle. Mais au cours des deux mandats du président Mitterrand la proportion de l’alliance de gauche s’est inversée, si bien qu’au temps du président Hollande en 2012, le socialisme est devenu très capitaliste et très libéral comme François Mitterrand avocat dans son métier civil. Les journalistes qualifiaient ce socialisme, de « gauche caviar » ; ce qui laisse peu d’appétence pour le social. Quand la gauche est de droite, les jeux électoraux sont brouillés et trompeurs pour les électeurs. Mais relève que dans le même temps les lois autorisent ce qui était considéré jusque-là par toute la société, abominable et interdit. C’est l’heure où le bien est appelé mal et le mal appelé bien ; soit, tout ce que Dieu condamne hautement le plus. Concrètement, au nom du droit de la liberté individuelle, l’homosexualité et le mariage homosexuel, ou mariage pour tous, sont légitimés. Les opposants sont devenus minoritaires et de toute façon, la Constitution de la 5ème République, se moque des opposants, l’article 9-43 autorise de faire passer en force la mesure soutenue par le président. Que dire ? Faut-il s’en désoler ? Même pas, et voici pourquoi. L’avantage de cette totale liberté est de favoriser l’action de chaque créature ; une action fondée sur son libre choix. Le témoignage collectif devient ainsi visible et il va pouvoir responsabiliser individuellement les choix effectués. Souviens-toi que Dieu a créé la terre pour obtenir cette démonstration collective du mal inspiré par le diable et ses démons. Cette entière liberté était donc nécessaire. Et c’est cette fois sur des preuves publiques que Dieu a pu engager sa « guerre » contre l’Occident infidèle et corrompu. Et sa première mesure a pris la forme du Covid-19 avec des millions de morts sur l’ensemble de la terre. Mais ce n’était que le commencement de « sa guerre ». De plus, l’affaiblissement économique provoqué par les blocages économiques dus à ce virus, va jouer un rôle majeur dans sa deuxième attaque. Préparant une guerre mondiale centrée pour la troisième fois sur l’Europe, cet affaiblissement économique va livrer à la Russie, une Europe ruinée et désarmée. La France partage sa malédiction divine avec toutes les autres nations occidentales puisque tout ce camp est maudit par Dieu à cause de ses héritages religieux catholiques romains. Mais « la fille aînée de l’église » papale est restée dans le temps la nation « phare » de la liberté dans l’Europe et le monde. Mais le paradoxe est que ce peuple champion de la liberté n’a jamais été aussi peu libre. Et le contexte dramatique ne va pas favoriser son retour à la liberté.

Aujourd’hui, 14 Juillet, je me suis imposé une heure de souffrance en écoutant attentivement les propos tenus par le jeune président dans un interview tourné dans le parc de l’Elysée. De souffrance, parce que les deux femmes journalistes en présence, bien que pugnaces sur certains sujets l’ont laissé dire des choses indéfendables sans réagir. Je cite cet exemple, E.Macron dit : « Non, V.Poutine ne coupe pas le gaz à cause de nos sanctions. Il se sert du gaz pour nous faire du chantage ». Cet homme a-t-il un cerveau ? Qu’est-ce que ce chantage sinon une sanction russe prise en réponse à nos sanctions européennes ? Cet exemple, constitue une preuve inquiétante qu’il est convaincu par des raisonnements incompréhensibles et injustifiés ; comportement digne d’un dément. Et la démence n’est qu’une forme de la possession diabolique qui n’est là pas à mettre en doute, ni en ce qui le concerne personnellement, ni pour les populations européennes les hommes et femmes politiques, les artistes et tous les journalistes. Il n’est donc pas étonnant qu’aucun d’eux ne relève ses propos absurdes. Le discours est son arme absolue et il l’impose au nom de sa légitimité de président élu par le peuple. Il se montre réellement incapable d’admettre une remise en cause populaire qui le concerne en personne. Feignant d’ignorer cette situation, il avance royal et déterminé, monopolisant le discours par un flot d’explication qui assomme et endort ses interlocuteurs. Attaqué sur des mesures injustes soutenues par lui au sujet de son soutien donné au service taxi numérique UBER, loin de s’amender, il justifie son choix, convaincu en sorte qu’un travailleur esclave vaut mieux qu’un chômeur. Si ce n’est pas du chantage capitaliste c’est quoi ? La banque Rotschild ne peut qu’approuver ce cynique choix. Car à l’origine du social français, envié par beaucoup de peuples, il y a eu de puissantes résistances contre cette idéologie capitaliste. Offrir à Uber la possibilité de s’enrichir sur le travail précaire donné à des chômeurs français, revient à lui donner des esclaves qui vont enrichir les USA où se tient son siège sociétal. Et cette position d’E.Macron confirme son incapacité à raisonner justement. Nous avons réellement à la tête de la France, un robot humain formaté par l’esprit de profit du plus pur capitalisme dont le principe est « l’exploitation de l’homme par l’homme ». Cependant face à la pauvreté qui s’impose dans son pays, il saupoudre des aides ici et là, sans attaquer les causes réelles de cette pauvreté. Car les cause sont structurelles et ont été instaurées bien avant lui par les politiques libéraux qui se désintéressant de la France, n’ont pas hésité à la livrer, ou plus précisément, à la vendre, aux intérêts étrangers. C’était la conséquence de la mondialisation du commerce qui a fait que les pays les plus riches et plus sociaux ont vu leurs emplois se délocaliser vers des pays pauvres, où le capitalisme a fait travailler, pour son profit, ses nouveaux esclaves. Et c’est uniquement au moment où le ciel lui tombe sur la tête que le Gaulois moyen, jusqu’à son président, découvre la ruine due à cette désastreuse politique. Mais il est trop tard, l’esprit du président est incapable de remettre en cause son attachement à l’union collective de l’U.E. La France n’a d’ailleurs pas vocation à se relever, mais au contraire, à boire jusqu’à la lie, la coupe de malédiction que Dieu lui a préparée.

Pour le moment, le ciel tombé sur les Gaulois, n’est pas encore dans sa phase la plus terrible, le pire est à venir et on peut comprendre que la solidarité envers ce malheureux peuple ukrainien attaqué sur son territoire est justifiée. Mais ce soutien sera bientôt discuté quand les vraies conséquences des sanctions imposées aux russes seront ressenties douloureusement par les français et tous les européens eux-mêmes. Pour cela, il faudra attendre encore quelques temps, en fait, seulement quelques mois.  Car la panique sera créée par la hausse brutale du prix de l’énergie et la limitation des quantités disponibles.

La phase suivante sera le désordre et l’insécurité provoqués par la pauvreté mal partagée. Et à terme des luttes internes vont se produire ; les communautés vont se dresser les unes contre les autres.

Le drame suivant sera l’affrontement guerrier contre la Russie qui profitera avantageusement du contexte insurrectionnel établi en France pour l’occuper avec ses armées.

En dernier, le ciel tombera sur la tête des gaulois parisiens sous la forme d’un champignon nucléaire désintégrateur. Pour Paris et sa région, le temps est compté. Celle que Dieu nomme symboliquement « Sodome et Egypte » dans Apo.11:7 finira sous le feu du ciel comme la ville antique de ce nom. Et vraiment ce jour-là, les Gaulois parisiens recevront la colère du Dieu du ciel sur leurs têtes.

Le châtiment infligé par Dieu est terrible mais il est proportionnel aux outrages qu’il a subis de la part des rebelles. Ils ont méprisé la sublime preuve d’amour qui leur a été présenté en la mort expiatoire de Jésus-Christ qui devient dans toute sa divinité leur Juge et leur Bourreau. Ayant étudié ce sujet je sais combien le tort fait au Dieu créateur est énorme et injustifié. C’est pourquoi, l’étude des écrits de l’ancienne alliance est indispensable car c’est dans ce contexte que sont révélées les incessantes et multiples rébellions de l’humanité et de l’Israël charnel alors même que Dieu vivait au milieu de son peuple. Qu’en pouvait-il être, quand il s’est retiré et est devenu invisible ? Notre société actuelle nous renvoie l’image de cet Israël conduit par des rois, plus rebelles les uns que les autres. Visible, Dieu fait peur, mais invisible, il est ignoré et méprisé. Les yeux des hommes se transforment en pierre d’achoppement car ils ne donnent de l’importance qu’à  ce que leur cinq sens peuvent apprécier. Mais Dieu n’est pas visible dans ces cinq sens charnels. Le sixième sens est la pensée humaine et c’est uniquement par cette pensée capable de raisonner, de calculer, de juger qui fait de l’homme un animal au-dessus des autres. Alors lorsque cette faculté donnée par Dieu est mal utilisée, son indignation se transforme en colère justicière. Et le cas désespéré doit être éliminé.

Dans l’ancienne alliance Dieu dit sur Juda dans Zac.11:8 : « J'exterminai les trois pasteurs en un mois ; mon âme était impatiente à leur sujet, et leur âme avait aussi pour moi du dégoût. » A notre époque, l’extermination est beaucoup plus rapide ; à l’heure atomique, elle est instantanée. Mais soyons sûrs que Jésus voit ce même dégoût pour sa personne dans nos sociétés occidentales actuelles. Et parce qu’ils sont majoritaires ceux qui éprouvent ce dégoût gèrent et dirigent les peuples et leurs sociétés nationales. Ceux qui ne partagent pas ce dégoût sont trop minoritaires pour pouvoir influencer les choix réalisés. En France, l’exemple de la loi du mariage pour tous a permis de constater l’existence d’une opposition qui étant trop faible a été méprisée et ignorée. Faut-il que l’outrage soit grand pour que dans Apo.9:13-14-15, mettant fin à son intercession céleste, le Christ ordonne que « le tiers des hommes soit tué ». Et l’arrêt de cette intercession marque le temps de la fin des nations, mais pas encore, celui de l’humanité. Cependant, pour Dieu, le scellage des élus est achevé, et il peut affecter ses saints anges à la protection des élus scellés qui pourront traverser sans être tués le génocide organisé par Dieu sous le symbole de sa « sixième trompette ». La première mort infligée au rebelle ne règle pas leur sort, car après les mille ans de leur jugement par les saints élus, ils seront ressuscités et soumis à la « seconde mort » accomplie ans « l’étang de feu ». C’est à cet « étang de feu » cité dans Apo.20:14 que Pierre compare le déluge des eaux dans 2 Pierre 3:5-6-7 : « Ils veulent ignorer, en effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, de même qu'une terre tirée de l'eau et formée au moyen de l'eau, et que par ces choses le monde d'alors périt, submergé par l'eau, tandis que, par la même parole, les cieux et la terre d'à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies. »

Enfin, pour comprendre la nécessité de cette extermination, il te faut tenir compte de ce que Dieu a créé la terre dans le seul but final qu’elle porte pendant l’éternité le trône de sa puissance et celle de tous ses fidèles rachetés.

J’ai appris sur le banc de l’école que nos ancêtres les Gaulois n’avaient peur que de cette seule chose ; que le ciel tombe sur leur tête. A l’époque, j’en riais. Aujourd’hui, je pense que cette information avait un but prophétique qui annonçait son état d’esprit final du type « Babel ». Car Gaulois ou Français présentent un caractère frondeur, indocile et rebelle. Aussi, sa création du premier athéisme national de l’histoire terrestre a porté la France en tête du combat mené contre la vérité divine. Et à exciter sa colère on ne peut gagner que des fléaux envoyés par le gouvernement divin céleste.

Quels furent les gains de la liberté ? En premier, un bain de sang mémorable, car la liberté de l’un n’est pas celle de l’autre et il a fallu beaucoup de morts avant de trouver un terrain d’acceptation obtenu par les compromis. Mais la liberté n’a jamais su régler le problème du partage des richesses créées par la nation. Rapidement, les plus riches ont repris les commandes de la nation et les cinq Républiques de la France ont été provoquées par ce combat permanent qui a opposé les riches aux pauvres. Car les pauvres ne se sont pas résignés à se laisser exploiter par les riches. Et actuellement, la crise économique, déclenchée par les mesures prises contre la Russie, va aggraver la situation des pauvres dont la juste colère va se réveiller. A la faveur de cette crise, nous découvrons, en France, les conséquences des options politiques suivies pendant des décennies de trompeuse prospérité. Mais qui a profité de ces choix ? Les investisseurs cupides du monde entier. En conséquence, les entreprises françaises ont disparu les unes après les autres. Et il a fallu que la France soit confinée pendant deux ans pour que les hommes politiques découvrent la situation réelle de leur pays. Cette découverte me rappelle comment, dans une émission télévisée, le président Jacques Chirac a dit son étonnement en voyant la jeunesse dans un état d’esprit très pessimiste. Il ne comprenait pas cette réaction. Et ce témoignage prouve combien les élites politiques françaises étaient et restent séparées financièrement et idéologiquement  du peuple français. Après la droite religieuse du général de Gaulle, est venue la droite affairiste, relayée à son tour par le socialisme de François Mitterrand à son tour vite transformé en gauche caviar. Le mal est donc fondamentalement dans l’égoïsme humain qui pousse les riches à vouloir devenir toujours plus riches. Et sans argent, le pouvoir est hors de portée des pauvres. L’injustice est donc le fruit principal de l’accès à la liberté.

La démonstration faite en France, est confirmée par la division du monde en deux camps principaux qui ont été mis en place après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale ; à l’Ouest, le camp des riches vainqueurs de l’OTAN formé par les USA et les nations européennes occidentales ; à l’Est, les pauvres dirigés par le système communiste, les nations placées sous la direction de la Russie soviétique. Cette division binaire a permis à Dieu de démontrer que ni le capitalisme ni le communisme, son opposé absolu, n’étaient en mesure d’offrir le bonheur aux êtres humains. Cette démonstration divine a pris fin avec la chute de l’URSS vers 1992. Après cette chute, la Russie s’est lentement reconstruite depuis la présidence de V.Poutine. Le régime actuel est resté marqué par l’esprit communiste bien que développé sur des bases capitalistes. C’est aussi le cas de la Chine. En sorte que les oppositions ne dressent plus le capitalisme contre le communisme, mais des capitalistes nationalistes les uns contre les autres. Et c’est ce type d’oppositions nationalistes, qui se font concurrence et souhaitent éliminer l’adversaire pour dominer le monde, qui met en place les conditions favorables à une ultime Troisième Guerre Mondiale. Et dans son contexte, riches et pauvres, Gaulois ou autres, vont effectivement avoir l’impression que « le ciel tombe sur leurs têtes » sur toute la terre habitée. Déjà, grande est la surprise des Occidentaux de découvrir que la Russie est capable d’envoyer 50000 bombes par jour sur l’Ukraine. Mais cette capacité est due à une préparation constante de la Russie ; ceci conformément au rôle qu’elle devait jouer dans le projet justicier de Dieu. Mais la Russie ignore le projet de Jésus qui la concerne et son amassement d’armes est dû à sa peur d’une attaque des USA. Finalement, nos Gaulois ne se seront pas tellement trompés, puisqu’au retour du Christ, « le septième des derniers fléaux de Dieu » va s’accomplir par une pluie de « grosses » pierres de « grêle », selon Apo.16:21: « Et une grosse grêle, dont les grêlons pesaient un talent, tomba du ciel sur les hommes ; et les hommes blasphémèrent Dieu, à cause du fléau de la grêle, parce que ce fléau était très grand. »

L’échec humain étant démontré, le modèle parfait conçu par Dieu peut royalement et glorieusement offrir le bonheur parfait aux rachetés élus qui ont eu l’intelligence de comprendre qu’il était seul à pouvoir l’offrir. Mais Jésus nous a mis en garde dans Marc 10:23 : « Jésus, regardant autour de lui, dit à ses disciples : Qu'il sera difficile à ceux qui ont des richesses d'entrer dans le royaume de Dieu ! ». Mais c’est moi qui rajoute après lui que ce chemin n’est pas plus accessible aux pauvres « rebelles ». Car au jugement dernier, parmi les déchus et les élus se trouvent des « grands », les riches et des « petits », les pauvres », selon Apo.20:12 : « Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs œuvres, d'après ce qui était écrit dans ces livres ». Relève que le jugement repose sur les « œuvres », de la foi, que Dieu ne cite même pas. La richesse et la pauvreté sont jugées de la même manière, par la même loi biblique divine, par Jésus-Christ le Juge parfait suprême.

Peux-tu imaginer des conditions de vie plus merveilleuses que celle où le Dieu créateur de l’univers se fait serviteur de ses élus rachetés jusqu’à laver leurs pieds salis par la poussière du sol ? Et où, ce même Dieu offre sa vie humaine, pour racheter les péchés de ceux qui l’aiment et aiment toute sa vérité ? De jour en jour, la vie va devenir plus dure à affronter, pour les justes et les injustes, mais les justes savent, eux, pourquoi ce mal est imposé, contrairement aux injustes qui l’ignorent.

 

 

LA RELIGION : LE MEILLEUR ET LE PIRE

 

La religion constitue la seule action qui témoigne d’un désir de nous relier au Dieu créateur ou, en ce qui concerne le paganisme, de prétendues mais fausses divinités. Elle représente la meilleure des choses quand elle est vraie et permet un lien réel avec l’Esprit du Dieu vivant, mais devient la pire des choses, quand elle relie l’homme au diable et ses démons parce qu’elle pratique des actions interdites et condamnées par le vrai Dieu. Dans ce second cas, sa réponse reste invariablement la même, la vie est frappée par les multiples formes de sa malédiction.

Le meilleur de la religion apparaît très rarement dans la Bible, mais le plus bel exemple est le règne du roi Salomon, particulièrement, en raison de son choix pour la sagesse alors que Dieu lui laissa une entière liberté de choix selon 2 Chr.1:7 à 10 : « Pendant la nuit, Dieu apparut à Salomon et lui dit : Demande ce que tu veux que je te donne. Salomon répondit à Dieu: Tu as traité David, mon père, avec une grande bienveillance, et tu m'as fait régner à sa place. Maintenant, YaHWéH Dieu, que ta promesse à David, mon père, s'accomplisse, puisque tu m'as fait régner sur un peuple nombreux comme la poussière de la terre ! Accorde-moi donc de la sagesse et de l'intelligence, afin que je sache me conduire à la tête de ce peuple ! Car qui pourrait juger ton peuple, ce peuple si grand ? Dieu dit à Salomon: Puisque c'est là ce qui est dans ton cœur, puisque tu ne demandes ni des richesses, ni des biens, ni de la gloire, ni la mort de tes ennemis, ni même une longue vie, et que tu demandes pour toi de la sagesse et de l'intelligence afin de juger mon peuple sur lequel je t'ai fait régner, la sagesse et l'intelligence te sont accordées. Je te donnerai, en outre, des richesses, des biens et de la gloire, comme n'en a jamais eu aucun roi avant toi et comme n'en aura aucun après toi. » Cette expérience vécue par Salomon m’a toujours captivé et ébloui. Et Dieu précise bien que dans toute l’histoire humaine elle est unique et ne se reproduira pas. La sagesse est en effet la plus haute valeur que la vie peut offrir mais seul Dieu peut la donner et nous savons qu’il donne à celui qui a ; ce qui signifie que la sagesse est donnée au vrai sage selon Dieu et non selon les normes humaines. Car l’humanité se donne elle aussi des sages mais ceux-ci sont aussi corrompus que le reste de l’humanité, en sorte que leurs conseils conduisent au pire redouté. En choisissant la sagesse et en l’obtenant de Dieu, Salomon fut pour son peuple, une bénédiction concrétisée par un temps exceptionnel de paix et de prospérité. A travers lui, tous les peuples riverains et frontaliers bénéficièrent de cette paix et de cette prospérité : c’était presque le paradis sur la terre. Il faut réaliser ce que signifie le zèle du roi du Liban qui fournit le bois pour la construction du temple, l’habitation élevée pour Dieu. Toute la terre et ses royaumes semblaient heureux et désireux d’honorer Salomon réputé pour sa divine sagesse. Et tous comme un seul peuple ont participé d’une manière ou d’une autre à l’édification de cette maison du vrai Dieu, sans pour autant, s’être converti à lui. Mais dans cette expérience, Dieu a démontré que la paix peut être rendue possible quand il veut. Ce qui signifie que lorsqu’elle disparaît, remplacée par la guerre, c’est également parce qu’il le veut. Il ne pouvait mieux démontrer sa puissance sur toute vie. Hélas ce tableau idyllique changea avec le Salomon vieillissant et il pécha abondamment contre Dieu comme en témoigne le récit de 1 Rois 11 dont je cite ici les versets 9 à 13 : «YaHWéH fut irrité contre Salomon, parce qu'il avait détourné son cœur de YaHWéH, le Dieu d'Israël, qui lui était apparu deux fois. Il lui avait à cet égard défendu d'aller après d'autres dieux; mais Salomon n'observa point les ordres de YaHWéH. Et YaHWéH dit à Salomon: Puisque tu as agi de la sorte, et que tu n'as point observé mon alliance et mes lois que je t'avais prescrites, je déchirerai le royaume de dessus toi et je le donnerai à ton serviteur. Seulement, je ne le ferai point pendant ta vie, à cause de David, ton père. C'est de la main de ton fils que je l'arracherai. Je n'arracherai cependant pas tout le royaume; je laisserai une tribu à ton fils, à cause de David, mon serviteur, et à cause de Jérusalem, que j'ai choisie. » Après Salomon et sa sagesse, est venue l’heure de la contestation, de la détestation, et finalement, de la rupture entre les tribus d’Israël et celles de Juda sur laquelle régna le roi Roboam. Note que pour accomplir son projet de rupture, Dieu rend le fils de Salomon belliqueux envers les tribus d’Israël auxquelles il dit dans 1 Rois 12:11 : « Maintenant, mon père vous a chargés d'un joug pesant, et moi je vous le rendrai plus pesant ; mon père vous a châtiés avec des fouets, et moi je vous châtierai avec des scorpions. » La vie entière de Salomon est une leçon qui enseigne la bénédiction de la sagesse et de l’obéissance puis la malédiction de la désobéissance. Dans ces témoignages bibliques, il apparaît que sa vie finit très mal et que son vieil âge ne diminue pas pour Dieu l’importance de ses dernières infidélités. Aussi comme l’enseigne Ezé.18:24, sa justice précédente a été oubliée par Dieu et son passage sur terre s’achève dans une condamnation divine mortelle : « Si le juste se détourne de sa justice et commet l'iniquité, s'il imite toutes les abominations du méchant, vivra-t-il ? Toute sa justice sera oubliée, parce qu'il s'est livré à l'iniquité et au péché ; à cause de cela, il mourra. »

Puisque Dieu dirige toute la vie, en respectant les libres choix de ses créatures, chaque situation étudiée doit l’être de manière religieuse. Il est clair que la bonne ou mauvaise nature religieuse conditionne le bon fruit ou le mauvais. Et dans l’histoire de France, les guerres de religions dans lesquelles protestants et catholiques se combattaient et se tuaient férocement, ce fruit engendré par les deux religions adverses était la guerre et la cruauté. La paix du Christ n’était ni sur les uns ni sur les autres de ces combattants. Dans la même époque elle n’était que sur ceux dont la panoplie guerrière n’était que spirituelle et porteuse du fruit de douceur paisible du Christ. Dans l’aveuglement qui les frappe depuis 1843, les protestants restés fidèlement attachés au repos dominical romain n’ont pas relevé la différence entre le soldat spirituel pacifique et celui qui tue et enlève des vies. Mais Jésus-Christ, lui, a relevé ces choses et il connaît ceux qui lui appartiennent parce qu’ils retiennent ses leçons.

C’est donc encore, par la religion que nous pouvons mieux comprendre les situations conflictuelles de notre temps moderne. En fait, pour comprendre en 2022, la situation de l’Ukraine, il nous faut déjà avoir compris la guerre des Balkans accomplie du 31 Mars 1991 jusqu’au 12 Novembre 2001 soit, dix années de guerre, déjà, aux portes de l’Union Européenne. A l’origine du problème, la mort du maréchal Tito, dictateur d’un régime communiste établi sur la Yougoslavie qui était composée de la Serbie orthodoxe, de la Croatie catholique, de la Bosnie-Herzégovine musulmane et de la Slovénie catholique. Cette dernière prit son indépendance reconnue par l’Allemagne, en première, après la mort du maréchal Tito. Mais les oppositions religieuses des autres camps conduisirent à la guerre. Une première leçon à retirer consiste à comprendre que la religion maudite par Dieu engendre la guerre. La paix qui précéda et unifia la Yougoslavie était due au régime communiste qui empêchait les revendications religieuses. Aussi, cette Yougoslavie était semblable à une marmite remplie d’eaux bouillantes retenues par un couvercle représenté par le maréchal Tito. A sa mort, le couvercle saute et le naturel religieux des camps réunis se réveille et dresse les religions les unes contre les autres. Les religions maudites par Dieu retrouvent leur rôle nuisible pour leurs adeptes ; la guerre produit ses nouveaux morts. Mais hélas pour les populations occidentales et leurs armées intervenues en gendarmes de paix en dépit des bombardements américains et français de la Serbie, les observateurs et commentateurs des médias et des Politiques ne voulaient pas voir l’aspect religieux des conflits engagés. En sorte qu’aucune leçon n’en fut retenue. Or en 2022, le 24 Février, la Russie entre avec ses armées et ses chars sur le territoire de l’Ukraine ; aussitôt, tout le monde se réveille et s’affole. Une fois de plus, la guerre produit son effet. Et pour beaucoup cette guerre prend sa source dans cette agression de l’armée russe. Pourtant, cette initiative russe n’est qu’une réaction à d’autres faits qui ont précédés ce moment. C’est pourquoi, je propose une explication qui nous conduit à examiner l’origine de la prise d’indépendance de l’Ukraine suite au démembrement de l’URSS le 25 Décembre 1991. Ce fut sans doute pour les Occidentaux le plus beau cadeau de Noël qu’ils reçurent du ciel. Et le changement du drapeau russe qui s’en suivit est très significatif ; l’étoile, la faucille et le marteau du drapeau rouge du dirigisme prolétaire tombait, remplacé par les deux bandeaux horizontaux de couleur bleu et rouge ; Le bleu des fausses religions et le rouge du péché républicain du peuple pécheur devant Dieu. Plus récemment une petite bande blanche est venue séparer le rouge du bleu. Comparativement, dans le drapeau français, les trois couleurs sont de tailles égales. Et l’imposante partie blanche confirme le goût des français pour la gouvernance de type monarchique qui reste néanmoins encadrée par le bleu religieux et le rouge du péché républicain populaire. Pour les Occidentaux, une page douloureuse et inquiétante était tournée, l’avenir semblait devenir radieux et prospère. Le risque d’une guerre contre la Russie disparaissait ; ce qui leur permit d’intervenir avec arrogance dans la guerre des Balkans débutée au début du printemps de la même année 1991 ; l’année où je fus radié de l’église adventiste soit, une année riche en événements importants. Et pour moi, qui enseignais le retour glorieux de Jésus-Christ pour 1994, cette guerre des Balkans pouvait dériver en guerre mondiale, sauf que l’agent russe était provisoirement neutralisé.

Le fait important à relever est celui-ci. Quand l’Ukraine a pris son indépendance en 1991, des russophones orthodoxes et des ukrainiens catholiques l’habitaient. Là encore, comme pour la Yougoslavie, le couvercle communiste avait étouffé les revendications et appartenances religieuses. Mais en disparaissant, les problèmes anciens ne pouvaient que réapparaître. Et c’est bien ce qui s’est produit. Mais il te faut bien comprendre qu’en 1991, les droits des russophones et des ukrainiens sont égaux et aussi légitimes les uns que les autres. Au début, ces droits sont respectés, mais le temps passant, le camp catholique ukrainien veut dominer les russophones et passant aux actes, en 2014, il renverse le président russophone établi et se met en tête d’imposer en langue unique l’ukrainien. Les russophones s’opposent à ces changements et se regroupent dans l’Est du pays dans la région du Donbass. De quel droit la composante catholique dispose-t-elle pour étouffer et faire disparaître la langue et la culture religieuse de la composante russophone ? N’étaient-ils pas présents et égaux au moment de la prise d’indépendance ? Cette culpabilité de l’Ukraine catholique n’est pas prise en compte par les hommes et femmes politiques et médiatiques de l’Occident. Pourtant, c’est bien à cause de ces actions injustes que vont s’engager, successivement, à partir de 2014, la guerre du Donbass qui conduit la Russie à annexer la Crimée et le 24 février 2022, la guerre ou « opération spéciale » menée contre l’Ukraine putschiste et intolérante par la Russie.

Sans aucun parti-pris pour le camp russe ou ukrainien, je retrouve dans cet accès brutal à la domination des ukrainiens décidés à tuer physiquement la composante russophone, chose confirmée par la guerre du Donbass pendant 8 longues et pénibles années, une ressemblance avec la conquête du pouvoir par les nazis hitlériens de l’Allemagne qui obtinrent ce pouvoir en éliminant physiquement tous leurs opposants. Mais pour relever cette comparaison, il faut s’appeler Vladimir Poutine ou Samuel, l’homme qui discerne les conséquences des actions dues aux fausses religions, selon le don spirituel que Dieu lui a donné.

Pour favoriser la paix religieuse quand il le veut, Dieu suscite des régimes puissants et autoritaires qui musèlent les zèles religieux excessifs, exemples, le régime républicain puis impérial romain qui sut mâter l’agressivité juive, et en son temps, le régime athée révolutionnaire français qui a mis fin au despotisme du catholicisme papal. Mais pour être plus précis le but de Dieu n’était pas d’offrir la paix que l’humanité rebelle et désobéissante ne méritait pas. C’est ainsi que pour faire cesser les exactions commises par la coalition de la papauté et de la monarchie qu’Apo.13 :1 symbolise sous l’aspect de « la bête qui monte de la mer », Dieu a suscité un autre monstre, l’athéisme national français, qu’il désigne dans Apo.11:7 comme « la bête qui monte de l’abîme ». Tu peux comprendre que la clé de l’interprétation est cachée dans ces deux mots « mer et abîme » cité dans Genèse 1, dans l’ordre inverse « abîme » puis « mer » lorsque la « terre » fut créée sortant de la « mer ». Le message est volontairement enfantin, mais plein de subtilité, car Dieu destine sa compréhension à un homme réellement simple et logique ayant gardé ces critères de l’enfance. Et Jésus a prévenu qu’il en était ainsi selon Matt.19:14 : « Et Jésus dit : Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi ; car le royaume des cieux est pour ceux qui leur ressemblent. » C’est donc cette simplicité enfantine qui m’a qualifié pour porter les explications données par l’Esprit de Dieu au nom de Jésus-Christ. Car cette simplicité est absente chez les pasteurs formés dans les écoles des institutions officielles religieuses. Un frère très proche avait même jugé mes explications « simplistes » et ce ne fut pas là sa seule erreur, pour son malheur. Oui, le Dieu créateur aime la simplicité et l’humilité chez ses créatures et il met ses révélations à leur portée. Ceux qui aiment les choses compliquées en seront pour leurs frais, la lumière divine ne sera pas reçue par eux. Ainsi dans la Genèse Dieu présente en image, dans cet ordre, les relations de succession qui relie « l’abîme, la terre et la mer ». Mais dans l’ère chrétienne l’ordre d’apparition est différent : « la mer, l’abîme, et la terre ». Chacun de ces mots prend un sens dans la création. « La mer » est le nom nouveau donné aux eaux appelées jusque là « abîme » et sous ce nom abîme Dieu désignait la terre recouverte d’eau comme dans le déluge, mais une terre sans aucune vie même dans l’eau. L’abîme est donné ainsi comme référence au stade originel de la terre nouvellement créée. Dans la prophétie, spirituellement, l’abîme sera le niveau du néant spirituel, c’est pourquoi, dans Apo.17 :8, Dieu prophétise les successions des trois « bêtes » qui désignent toute trois des régimes intolérants. Il te faut comprendre que ce message est conçu dans la logique de la situation qui prévaudra entre 1980 et 1991, date où cette explication  m’a été donnée. Dieu me dit, à travers l’apôtre Jean : « La bête que tu as vue était », il s’agit de « la bête qui monte de la mer » qui désigne la religion catholique du régime papal romain coalisée avec la monarchie française qui la soutenait particulièrement ; elle « était » entre 538 et 1798 ; « et elle n'est plus » en 1980, quand, baptisé, j’entreprends l’œuvre du décryptage de la prophétie. Elle n’est plus parce que « la bête qui monte de l’abîme » d’Apo.11:7 l’a détruite. La révolution française et son athéisme national ont successivement guillotiné le roi Louis XVI et fait mourir le pape Pie VI dans la prison de la Citadelle de ma ville de Valence sur Rhône en 1799. « Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition ». Cette montée depuis l’abîme image l’influence de l’athéisme intolérant sur la religion protestante sous la domination de laquelle la dernière intolérance religieuse chrétienne reparaîtra. « Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra ». Les trois phases principales sont ainsi résumées à la fin du verset : « elle était, elle n’est plus, et elle reparaîtra » Je résume donc : elle était entre 538 et 1798, elle n’est plus en 1980, elle reparaîtra en 2029, l’année où cette coalition protestante et catholique intolérante sera frappée par « les sept derniers fléaux de la colère de Dieu ». Les deux apparitions des bêtes soit deux intolérance religieuses chrétiennes concernent successivement la foi catholique, puis la foi protestante qu’Apo.13 présente successivement aux versets 1 et 11. Et relève cette impressionnante subtilité : Dans Apo.13, la bête qui monte de la terre prend pour appui le verset 11 ; ce qui la relie à Apo.11 où au verset 7, Dieu présente « la bête qui monte de l’abîme ». Par ce jeu subtil de construction, il confirme encore sa précision « elle doit monter de l’abîme et aller à la perdition ». Mais dans une autre explication, cette expression peut concerner « la bête qui monte de la mer ». Et dans ce cas sa « montée » depuis « l’abîme » a pour but de confirmer le néant spirituel de son action et ses doctrines religieuses. En fait, par cette précision, Dieu place la religion catholique au même niveau spirituel que l’athéisme français. Il est donc normal qu’elle conduise ses adeptes « à la perdition ». Cette interprétation ne manque pas d’intérêt quand on sait que cette religion catholique est la cible principale de la colère divine, puisqu’il déclare à son sujet dans Apo.18 :24 : « ... et parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre. » Nous avons bien là, le PIRE de la RELIGION. Et à la fin du monde, le PIRE de la RELIGION réapparaîtra dominé cette fois par la foi protestante qui « formera une image à la bête » ; ce qui signifie que le principe de l’intolérance sera de nouveau appliqué après la fin de la Troisième Guerre Mondiale par les survivants protestants et catholiques coalisés. Il faut que je rappelle ce qui constitue la « bête ». C’est l’intolérance religieuse rendue possible par l’association du pouvoir civil avec le pouvoir religieux. Les décisions prises par les religieux sont imposées par les autorités civiles et militaires sous diverses formes de contrainte ; la dernière étant la mort. Dans le cas de « la bête qui monte de la terre » protestante, le pouvoir civil n’est pas celui des rois, mais celui des chefs d’Etats, dirigeants laïcs ou religieux. Cette dernière intolérance « bestiale » ne se prolongera pas très longtemps, une année maximum, mais sous la colère divine qui la frappera constamment par ses derniers fléaux, elle atteindra un niveau maximum en finissant par décréter la mort pour les opposants au dimanche romain. Par les contacts ténébreux du spiritisme que Jean nomme « le culte des anges », les démons accuseront les observateurs du sabbat qu’ils présenteront comme responsables des fléaux divins. Il n’en faudra pas davantage pour que leur condamnation à mort soit adoptée et collectivement approuvée. Voici ce que l’apôtre Paul déclare au sujet de ce « culte des anges » dans Col.2:18-19 : «Qu'aucun homme, sous une apparence d'humilité et par un culte des anges, ne vous ravisse à son gré le prix de la course, tandis qu'il s'abandonne à ses visions et qu'il est enflé d'un vain orgueil par ses pensées charnelles, sans s'attacher au chef, dont tout le corps, assisté et solidement assemblé par des jointures et des liens, tire l'accroissement que Dieu donne ». Ce corps du Christ c’est l’Assemblée des Elus. Et dans cet enseignement Paul met les appelés en garde contre les séductions de la PIRE RELIGION séduisante et trompeuse.

Il n’est rien de PIRE à redouter que la fausse RELIGION. Parce qu’elle est capable du pire et parfois pour tromper les apparences du « meilleur » qui plaît aux humanistes. Son mépris pour la vérité révélée par Dieu la place sous les décisions du diable. Et tant que Dieu n’apparaît pas pour dénoncer et démasquer la situation, les masses humaines superficielles lui donnent toute leur confiance.

Et ces masses humaines n’aiment rien autant que la paix.

 

Depuis 1945, Dieu a donné aux européens une paix relative, mais cependant, prolongée pendant 77 années, ce qui est considérable et rare dans l’histoire des peuples. Cette période est prophétisée comme étant le temps où, « la bête n’est plus », comme nous venons de le voir plus haut. Mais cette paix ne fut pas due à la construction de l’U.E. comme on l’a si longtemps entendu dire par les européistes convaincus. Non, cette paix a été donnée par Dieu pour permettre aux rebelles occidentaux d’aller jusqu’au bout des exigences de leur liberté conquises et légitimées, progressivement mais de manière très accélérée, depuis l’année 1994 en laquelle, parallèlement, l’église adventiste du septième jour a été « vomie » par Jésus-Christ. Les fruits maudits par le ciel se sont donc intensifiés.

Selon qu’elle est vraie ou fausse, la religion conduit l’âme humaine au bonheur éternel ou au malheur définitif de l’anéantissement, il est donc juste de lui attribuer : LE MEILLEUR ou LE PIRE.

 

 

Les indignations des incroyants et des incrédules

 

Dans la pensée des incroyants et des incrédules, une norme de l’acceptable s’est installée qui bien évidemment ne tient pas compte de l’opinion du Dieu auquel les plus nombreux ne crient même pas ou plus qu’il existe et ceux qui croient à son existence ne tiennent pas compte de ses volontés révélées. La pensée humaniste domine et malheur à quiconque ne la partage pas. Du point de vue des humanistes c’est forcément un fanatique plus ou moins dangereux mais dangereux quand même.

Aujourd’hui, dimanche 17 Juillet 2022, en France, est commémorée le 50ème anniversaire de la rafle juive du « Vel d’Hiv » nom d’un grand vélodrome couvert de Paris. Obéissant aux allemands, le gouvernement du maréchal Pétain organisa le regroupement de nombreux juifs qui devaient leur être remis. Depuis 1942, la « solution finale » avait commencé et les Juifs étaient massivement exterminés dans les camps « SS » établis en Pologne. De la sorte, la population allemande pouvait ignorer ce drame et la responsabilité était uniquement sur Hitler et son parti nazi. Et pour cette pensée humaniste la chose apparaît monstrueuse et inhumaine.

Ici, je quitte cette pensée humaniste et j’examine ce sujet en regard de la Bible qui exprime toutes les révélations que Dieu donne à l’humanité pour lui permettre de comprendre le sens des choses et des événements qui s’accomplissent. Et la première des choses qui me vient à l’esprit c’est que le peuple juif n’est pas un peuple normal au milieu des autres. C’est le seul peuple qui ait été créé par l’intervention directe de Dieu sur la terre. Il a fixé son choix sur Abraham, son fils Isaac, son fils Jacob devenu Israël et dont il fit un peuple basé sur ses douze fils patriarches de douze tribus. Alors tout ce qui touche ce peuple n’est pas ordinaire. Pour lui offrir une patrie Dieu a exterminé, homme, femmes, vieillards et enfant qui vivaient en Canaan. Ce fut le premier génocide divin depuis le déluge au temps de Noé. Et ce grand sacrifice de vie donne à Dieu des droits particuliers sur les vies de son peuple Israël ; ceci d’autant plus que cet Israël a été organisé pour constituer un modèle dont l’expérience avec Dieu devait servir d’enseignement pour les générations qui allaient se succéder jusqu’à la fin du monde. Il y eut le temps des juges, celui des rois, et tant d’échecs que Dieu a fini par livrer son peuple aux païens chaldéens de Babylone dont le roi Nébucadnetsar s’est converti à Dieu grâce au témoignage du prophète Daniel. Il y eut encore beaucoup de morts chez les Juifs et seuls les survivants furent conduits à Babylone et son immense territoire. Pour les Juifs, la mort donnée par Dieu, n’a rien d’anormal, rien de scandaleux car la mort est le salaire qu’il donne au péché. Et ce peuple pèche abondamment, aussi en conséquence, il est souvent frappé par la mort. A la fin de l’ancienne alliance, en refusant son Messie Jésus-Christ, il rejette la nouvelle alliance proposée par Dieu ; c’est un énorme péché qui condamne cette fois la nation juive entière : elle doit disparaître. En 70, les Romains se chargent de l’affaire ; Jérusalem, son temple, sa sainteté lévite, sont détruits et le peuple en grande partie massacré. Au cours de l’ère chrétienne, ils sont dispersés parmi les nations et particulièrement en Espagne, ils sont pris à parti et grandement persécutés. Jusqu’à la guerre de 1939-1945 où Hitler fait d’eux la cible de sa haine vengeresse. Et là, cette fois, des méthodes modernes sont organisées pour les asphyxier et leurs corps morts sont brûlés dans des incinérateurs, les fours crématoires. On dénombre les morts aux environ de six millions d’âmes. Bien sûr, ce qui choque l’humaniste c’est de voir tuer des civils, car en occident, la guerre ne tue officiellement, selon des conventions, que des soldats, des militaires. C’est là qu’il te faut te rappeler des châtiments précédents qui n’étaient que des punitions divines. Et la dernière en date ne fait pas exception, le génocide organisé par les nazis était réalisé par des hommes mais sous inspiration divine, car Dieu voulait adresser à toute l’humanité un message de rappel exprimant sa justice avant de préparer le temps des dernières épreuves programmées pour la fin du monde.

Et pour qui croît en Dieu, en quoi cette action est-elle plus monstrueuse que le génocide des habitants de Canaan ? Dieu n’avait-il pas prévenu Abraham que « ses descendants recevraient ce pays pour héritage, mais que l’iniquité des Amoréens qui l’habitaient n’était pas encore à son comble » ? Quatre cent ans plus tard, elle l’était, et Dieu les fit tous périr par des frelons venimeux et d’autres maladies mortelles. Je rappelle que cette race humaine avit gardé la taille gigantesque des géants antédiluviens. Dieu avait donc une deuxième raison pour les éliminer. Sans Dieu, les israélites de petite taille n’avaient aucune chance de pouvoir les vaincre, c’est pourquoi Dieu s’est chargé de le faire. En 1942, il a choisi pour instrument de mort, la pensée nazie allemande. Cette histoire nous renvoie à l’épreuve de foi à laquelle Israël fut soumis après sa sortie d’Egypte. Les incrédules parmi eux reculaient devant les limitations humaines tandis que les vrais croyants tels Moïse, Josué et Caleb savaient que pour Dieu rien n’est impossible.

Aujourd’hui, en juillet 2022 et jusqu’au retour du Christ attendu pour le printemps 2030, cette confiance placée dans le Dieu pour qui rien n’est impossible marque encore la vraie foi agréable à Dieu.

Mais le monde sans Dieu s’indigne pour tout ce qui contredit et attaque ses valeurs, ignorant que de son côté Dieu fait de même envers eux. Or en quelques années seulement les valeurs du monde ont beaucoup changé. Comment peut-on expliquer ces énormes et rapides changements ? Une fois de plus les incroyants n’auront pas la vraie réponse mais sans doute ils expliqueront la chose en disant qu’ils sont devenus de plus en plus intelligents. N’était-ce pas ce que Satan avait laissé entendre à Eve, momentanément isolé et séparée de son époux Adam, pour la pousser à désobéir à l’ordre de Dieu : « Tu n’en mangeras pas » ? Et oui, tout ce qui n’a pas d’explication logique humaine a son explication dans la vie céleste invisible des mauvais anges ; invisibles, oui, mais très actifs et très efficaces. Sachant que pour eux comme pour nous, 2030 va marquer la fin de leur vie céleste, il n’est pas difficile de comprendre que le peu de temps qui leur reste les conduit à redoubler leurs efforts pour pervertir l’humanité et surtout quand elle est « faussement » chrétienne ; ce qui est le cas des nations occidentales.

Les perversions sexuelles ont toujours été le critère qui marque la limite du supportable pour Dieu. Ce fut vrai pour le déluge, comme pour la fin des Cananéens, et celle de l’Israël hébreux. Plus près de nous, les nazis massacrèrent les groupes déviants homosexuels des « S.A. » allemands. Et dans notre actualité, les groupes armés tchéchènes se sont donnés avec la Russie la mission d’en faire autant. Leur haine envers ces pratiques, qui placent l’homme au-dessous de l’animal qui ne les fait pas, est animée par l’Esprit du Dieu, saint, pur et parfait. Les premiers signes d’une attaque du ciel contre les habitants de la terre sont devenus visibles avec la panique des dirigeants politiques confrontés à une forte épidémie du Covid-19. Dans leur panique ils l’ont combattue comme une pandémie aux conséquences mortelles immensément plus élevées. Ils ont ruinés leurs économies et affaibli par de longues périodes de confinements étalées sur deux ans, commencés au début de l’année 2020, si bien que leur potentiel financier a fondu comme la neige au soleil. Avant cela, dans une grande insouciance, forme de l’aveuglement, ils ont délocalisé vers la Chine  d’innombrables emplois faisant ainsi croître le chômage qui tue les nations. C’est là qu’il faut relever l’importance de la construction de l’U.E. Avant cette construction, le regard du chef d’Etat était uniquement sur son propre pays et il devait mettre en place les équilibres sociaux et industriels qui enrichissaient dans l’harmonie toute sa nation. En faisant entrer la Chine dans le commerce mondiale, et en délocalisant leur production chez elle, les USA ont en premiers réalisé d’énormes profits financiers qui ont séduit les investisseurs de toute la planète. Les investisseurs européens ont détourné leur investissement de l’Europe qui a donc commencé à décliner et à s’appauvrir. Mais la chose n’était pas visible immédiatement, parce que les profits réalisés étaient en partie consommés en Europe.  En Europe où le principe de la délocalisation s’effectuait de plus en plus en faveur de nouveaux pays membres choisi parmi les plus pauvres afin de disposer d’une main d’œuvre toujours moins chère et moins revendicative sur le plan social. Bref, la cupidité régnait en maîtresse absolue dans tous les gouvernements et les présidences occidentales.

En 2012, la France a élu pour président, François Hollande, un homme de l’ENA, l’Ecole Nationale de l’Administration, qui ne décerne pas un diplôme de moralité car ce président en est totalement dépourvu. Il incarne à lui seul, des tas de personnages scéniques par son cynisme, sa fourberie digne du Scapin de Molière, et infidèles, dans sa vie de couple et envers ses électeurs ; image du traître absolu. Cet homme qui avait dit à ses électeurs « mon ennemi c’est la finance » a fini par favoriser doublement la finance. D’une part, en rendant obligatoire la protection de santé des mutuelles qui sont venues doubler l’action du service nationalisé de la Sécurité Sociale ; doublant ainsi le coût de la gestion sanitaire en France. Et d’autre part, en favorisant la carrière politique du jeune financier Emmanuel Macron devenu président en 2017. Ce président Hollande est tellement remarquable par ses innombrables défauts de caractère que le prophète Michel Nostradamus lui a consacré le quatrain que voici : le quatrain de la centurie 2 numéro 88 :

Le circuit du grand fait ruineux,

Le nom septième du cinquième sera,

D’un tiers plus grand l’étrange belliqueux

Mouton Lutèce Aix ne garantira.

 

Je traduis ainsi ce quatrain :

Le circuit : le processus ou l’itinéraire soutenu avec répétition.

Du grand fait ruineux : de la grande action ruineuse.

Le nom : l’homme, le personnage : François Hollande.

Septième : le septième président en activité

Du cinquième sera : du cinquième régime républicain soit, la 5ème République. François Hollande (le nom) « sera » en activité présidentielle.

D’un tiers: le plus grand sorti du tiers-monde ou du tiers-état soit, du peuple français. Personne étrangère à l’affaire, selon le dictionnaire Larousse. Cette définition convient parfaitement à l’islam installé dans un pays originellement chrétien.

Plus grand : Plus honorable et plus dominateur que la France pervertie.

L’étrange : l’étranger musulman.

Belliqueux : rebelle et hostile

Mouton : mouton égorgé pour l’Aïd de l’islam : soit, celui qui est égorgé par les Musulmans. Egorgements collectifs des victimes de DAESH projetés sur internet.

Lutèce : Paris, siège royal du nord de la France au temps de Nostradamus soit, actuel centre de l’autorité nationale républicaine du Nord.

Aix : Aix en Provence, siège royal du Sud de la France au temps de Nostradamus soit, centre de l’autorité nationale républicaine du Sud.

Ne garantira : ne saura pas protéger. Le président François Hollande (le nom) ne saura pas protéger les victimes françaises.

Le circuit (l’itinéraire historique ou processus suivi) du grand fait (de l’action) ruineux (qui cause la ruine) ; le nom (François Hollande) septième (président) du cinquième (régime républicain), sera (en activité, soit le responsable). Dun tiers (tiers-monde ou tiers-état, ou tierce personne), plus grand (plus honorable parce que religieux et dominateur), l’étranger belliqueux (l’Arabe musulman, soit l’islam guerrier) Mouton (égorgé pour l’Aïd dans l’islam) Lutèce (Paris), ni Aix (ville de l’autorité royale du Sud de la France) ne garantira (Comme des « moutons » livrés à la mort, les populations nordistes et sudistes françaises ne seront pas protégés des attaques lancées par l’islamisme intégriste : attentats islamistes du groupe du Califat DAESH : A Paris, le 7 Janvier 2015, contre les humoristes de Charlie Hebdo : 12 morts ; et le 13 Novembre 2015, contre le stade de France :1 mort ; contre le Dancing le Bataclan et des bars : 130 morts - 413 blessés ; à Nice au Sud, le 14 Juillet 2016 : conduit par un islamiste, un camion fonce sur la foule : 86 morts – 458 blessés). Le mot « mouton », placé devant « Lutèce et Aix », cible par ces deux villes, « ceux qui seront égorgés au Nord et au Sud de la France » ; pour le Nord, la chose est en partie accomplie, mais pour le Sud, les massacres sont encore à venir. La ruine suggère donc, à la fois, la ruine des dévastations guerrières de la nation France, mais aussi sa ruine morale, puisque c’est ce président scabreux qui a imposé la loi du « mariage pour tous », par son soutien législatif majoritaire. Le choix égoïste d’un seul homme a été imposé, comme loi nationale, à l’ensemble du peuple français, bien qu’une grande quantité de citoyens y était fermement opposée. Cette loi qui est venue justifier et légaliser une chose tenue pour abomination par Dieu, a donc bien eu, pour conséquence, de justifier la ruine que Dieu va lui faire subir. Dans ce quatrain, Nostradamus prophétise que la France sera frappée par une grande ruine à cause du septième président de la cinquième République. Le fait est assez exceptionnel et porte des conséquences définitives que Dieu a voulues annoncer d’avance. Cette ruine est aussi prophétisée de manière plus cachée dans Apo.11:7 où désignant Paris sous le nom « Sodome », il prophétise sa destruction par un feu nucléaire, le « feu du ciel » version moderne. Ce quatrain de Nostradamus ne fait que confirmer le rôle du « roi du midi » cité dans la prophétie de Dan.11:40 à 45. De plus concernant le mot « circuit », le prophète suggère l’idée de la répétition et donc l’insistance d’un choix humaniste aveugle et imprudent qui va conduire à la ruine la France entière. Et cette insistance cible directement l’accueil de cet étranger belliqueux sur le territoire de la France ; ceci après qu’il l’ait, lui-même chassée de son pays. Car la France a colonisé, effectivement, le Maghreb dont en dernier l’Algérie, mais aussi l’Afrique, le Liban, et des pays asiatiques dont elle a partout dû se retirer au fil du temps.

Il est donc facile de le comprendre, loin d’adoucir leur sort, les humanistes intensifient leur culpabilité envers Dieu en multipliant leurs indignations qu’il désapprouve. Eux, qui ne sont que des pots de terre, agressent, par leur légalisation du péché, le Dieu créateur qui est un pot de fer. C’est pourquoi, il a multiplié les formes de ses révélations destinées à ses élus, pour leur faire savoir, que sa victoire contre tous ses ennemis est certaine et programmée dans son projet terrestre. Que peuvent-ils contre les enfants de Dieu qui désapprouvent leurs odieuses et puantes initiatives ? Rien que ce que Dieu leur permettra. Et si Dieu l’autorise, alors tout devient acceptable et supportable par ses élus bien-aimés.

Il y a déjà longtemps que le régime républicain impose ses lois au gens religieux chrétiens et juifs. Mais depuis 1962, l’accueil massif de l’islam algérien et plus largement maghrébin, pose à la laïcité des problèmes que la France pensait avoir résolus. Mais les faits prouvent, par eux-mêmes, qu’il n’en est rien. L’islam et ses valeurs incompatibles avec les valeurs républicaines, comme celle du vrai christianisme divin, provoquent un choc de civilisation à l’intérieur même du pays France. L’islam ne se plie pas devant la norme laïque républicaine et pour cause ; le nom islam signifie : soumission ; mais soumission à Dieu, pas à la République de la France. C’est pourquoi, en s’installant en France, les musulmans sont venus installer leurs valeurs et ils ne consentent qu’à « cohabiter » avec les français républicain laïcs ou chrétiens. Car déjà, la cohabitation avec les Juifs est devenue problématique et agressive, parce que les problèmes créés entre Israël et les Palestiniens sont importés en France, où les deux communautés sont présentes. Les réactions des musulmans, devenant vite violentes quand ils sont agressés, profitent à la liberté religieuse du pays ; car les dirigeants politiques redoutent les conséquences sanglantes de mesures contraignantes qui leur seraient imposées. Ils choisissent donc « de botter en touche » comme le font les footballeurs pour calmer le jeu. Car aucun musulman digne de ce nom n’est prêt à légitimer la pratique homosexuelle. Et il ne trouve dans cette loi qui la légalise qu’un sujet de plus pour mépriser davantage ceux qui sont déjà pour eux « les chiens, les infidèles ». Je suis convaincu que, sans leur présence en France, les lois seraient devenues encore plus coercitives et appliquées avec beaucoup plus de force contraignante. Pour nous, les bien-aimés de Jésus-Christ, cette présence est donc protectrice ; c’est du moins le cas jusqu’à aujourd’hui, mais il est bon de le comprendre. Le vrai musulman éprouve du respect pour ceux qui craignent Dieu comme eux. Leur ennemi, c’est l’impie, le sans Dieu, abominable dans ses pensées et ses œuvres. De plus, les vrais élus ont en Jésus-Christ la protection suprême que n’ont pas les musulmans.

Au fil des jours, des mois, des années et des siècles, Dieu a enregistré et accumulé dans sa mémoire illimitée toutes les odieuses indignations proférées par la bouche des impies et c’est ainsi qu’il prend, pour illustrer la situation, l’image d’une « tour » constituée d’accumulation de « péchés », dans Apo.18:5 : « Car ses péchés se sont accumulés jusqu'au ciel, et Dieu s'est souvenu de ses iniquités. » Cette « accumulation » des « péchés » nous rappelle que Dieu ne réagit pas automatiquement chaque fois qu’un « péché » grave est commis, mais dans ce message prophétique, il nous dit qu’aucun d’eux n’est oublié par lui, et que le châtiment viendra à la fin, pour faire rendre compte de tous ceux qui ont été commis au fil du temps. Cela est vrai, collectivement, pour l’église catholique papale romaine visée par ce verset, mais aussi, individuellement, pour chaque créature venue à la vie dans le ciel et sur la terre. Mais cela ne concerne pas les vrais élus, parce que leurs « péchés » involontaires ont été expiés à leur place par Jésus-Christ.

Cette septième présidence de la cinquième République de la France méritait à plusieurs titres d’être relevée, car la ruine a concernée, en premier, le parti socialiste du président Hollande son ancien secrétaire présenté en candidat de remplacement du candidat favori Dominique Strauss-Kahn, écarté à cause d’un scandale sexuel commis dans un hôtel à New-York. Jusqu’en 2012, le parti socialiste s’était vu imputer le nom de « gauche caviar », mais à partir de 2012, il faut lui ajouter « jouisseuse », tant la sexualité a caractérisé le quinquennat de ce septième président français ; depuis ses sorties secrètes en scooter du palais de l’Elysée pour rejoindre sa nouvelle maîtresse, choses filmées par les journalistes, jusqu’à son imposition de la loi du mariage pour tous. Et finalement, ses infidélités, authentiques trahisons électorales, ont tué son parti socialiste qui a définitivement perdu la confiance des électeurs : la ruine a donc bien été constatée sur tous les plans. C’est ainsi que, profitant du désarroi généralisé, des électeurs, qui virent arriver en second le Front National, choisirent, par dépit, d’élire le jeune financier, ex-ministre auprès de François Hollande qui a compris qu’il était inutile pour lui de se représenter à la candidature présidentielle. La ruine morale précède toujours la ruine économique. C’était déjà le cas, en Europe, parmi toutes les nations, la frivolité dominait et la guerre est arrivée causant la ruine par les destructions de ses bombardements. Nous voyons le processus se renouveler ; après la ruine morale « hollandienne », vient la ruine guerrière excitée et provoquée par les initiatives belliqueuses adoptées contre la Russie, par le jeune président Macron et les autorités européennes, après son attaque contre l’Ukraine. Attendons donc la suite …

Pour l’histoire de la France, le rôle du parti socialiste venu au pouvoir aura été particulièrement néfaste pour les vrais Français de souche et de longues lignées familiales. La présidence de François Mitterrand et de son symbole « la rose », a été gagnée par des idées « populistes » poussant l’humanisme à l’extrême. C’est par ce moyen, qu’il a su gagner les voix communistes, alors très nombreuses. Cet animal politique, avocat dans le civil, a connu dans sa vie les engagements politiques les plus opposés et les plus extrêmes : de l’extrême droite à l’extrême gauche. Mais, la religion provoque elle aussi de grandes conversions, et le fait de pouvoir changer d’opinion est naturel chez l’homme. Le drame de sa présidence repose moins sur lui et sa « divine » personnalité, que sur l’arrogance de ses ministres sortis de l’ENA. Dont l’une osa dire aux journalistes qui l’interviewaient sur une chaine info au sujet du vote sur l’immigration réclamé à 80 % par les Français, je cite, mot pour mot : « Les parents savent mieux que les enfants ce qui est bon pour eux ». En 2015, les Français ainsi méprisés ont pleuré leurs centaines de morts tués par les jdihadistes du groupe islamique DAESH.

De même, je n’ai rien contre les Juifs en tant qu’individus, ce sont des hommes comme tous les autres, sauf que religieusement, la Bible nous apprend qu’ils ont été en premiers maudits par Dieu. Et là, mon regard sur eux change. Par la bouche de l’apôtre Paul, authentique Juif lui-même, Dieu nous dit dans Rom.10:1 à 4 : « Frères, le vœu de mon cœur et ma prière à Dieu pour eux, c'est qu'ils soient sauvés. Je leur rends le témoignage qu'ils ont du zèle pour Dieu, mais sans intelligence : ne connaissant pas la justice de Dieu, et cherchant à établir leur propre justice, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu ; car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient » ; ce qui le conduit à dire dans Rom.2:9-10 : « Tribulation et angoisse sur toute âme d'homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec ! Gloire, honneur et paix pour quiconque fait le bien, pour le Juif premièrement, puis pour le Grec ! » Et selon le plan prophétisé par Dieu dans Daniel 9 :24, faire le bien consistait à reconnaître Jésus-Christ pour Messie envoyé par Dieu et faire le mal, le rejeter ; et c’est ce que la nation entière a fait à l’exception des apôtres et des premiers disciples appelés par Jésus-Christ. Si l’homme avait obéi au projet divin, il n’y aurait plus sur la terre de représentation juive particulière comme l’enseigne encore Paul dans Rom.3 :28-29 : « Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus Christ. Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d'Abraham, héritiers selon la promesse. » Parce qu’il était lui-même un authentique juif, Paul avait beaucoup de difficulté pour exprimer la condamnation divine de la nation juive. C’est pourquoi plein d’espérance pour son peuple il cite la chute de « quelques branches » juives dans Rom.11:17-18 : « Mais si quelques-unes des branches ont été retranchées, et si toi, qui était un olivier sauvage, tu as été enté à leur place, et rendu participant de la racine et de la graisse de l'olivier, ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte. » Ensuite, Paul donne de la situation une explication que je remets en cause, car il dit : « Tu diras donc : Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté. » C’est faux ! en effet, ce n’est pas l’incrédulité des juifs qui a permis la conversion des païens ; celle-ci ne fut que le fruit du projet de Dieu. Et mon analyse, reposant sur les révélations des prophéties, rend un verdict divin beaucoup lus tranchant et sévère que celui que Paul exprimait pour sa nation. Il confirme néanmoins, clairement, la condamnation divine des Juifs « pour cause d’incrédulité », disant dans Rom.11:20 à 22 : « Cela est vrai ; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas à l'orgueil, mais crains; car si Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus. Considère donc la bonté et la sévérité de Dieu: sévérité envers ceux qui sont tombés, et bonté de Dieu envers toi, si tu demeures ferme dans cette bonté; autrement, tu seras aussi retranché. » Ensuite relève bien l’importance du « si » dans ce verset 23 : « Eux de même, s'ils ne persistent pas dans l'incrédulité, ils seront entés ; car Dieu est puissant pour les enter de nouveau. ». La puissance de Dieu n’est pas en cause car Dieu n’aveugle pas les hommes sans qu’ils refusent en premiers sa lumière. Leur greffe ne dépendra que de leur foi individuelle, car une conversion collective est impossible. Aussi, dois-je te mettre en garde contre l’optimisme de l’apôtre Paul. Il est vrai qu’aux derniers jours de la dernière épreuve de foi, de manière individuelle, des Juifs sincères finiront par reconnaître Jésus-Christ et l’assemblée de ses vrais élus chrétiens comme le prophétise Apo.3 :9 : « Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t'ai aimé. » Voici, au moins un jugement des Juifs formulé clairement par l’Esprit du Christ. La dernière conversion possible viendra à l’heure où la pratique du sabbat sera passible de mort. La foi réelle sera alors manifestée concrètement par les vrais élus de toute origine religieuse, juive comprise. Dans Jér.26 :6, Dieu avait prophétisé : « alors je traiterai cette maison comme Silo, et je ferai de cette ville un objet de malédiction pour toutes les nations de la terre. » Forme concrète de cette « malédiction », la ville fut détruite par les troupes du roi Nébucadnetsar, après deux ans de siège, en – 586. Le refus du Christ a été payé et confirmé par le même signe, en 70, par l’action des troupes romaines de l’empereur Vespasien, selon Dan.9:26 : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et la sainteté le sanctuaire, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » 

Ce qui crée la confusion religieuse sur notre terre est le maintien de choix religieux que Dieu condamne, successivement, dans la progression de son projet salvateur terrestre. La nouvelle alliance a enlevé toute légitimité à l’ancienne de se prolonger. Ensuite la vérité chrétienne des apôtres aurait dû se prolonger jusqu’au retour du Christ. Mais la domination faussement chrétienne du régime catholique papal romain est venue brouiller ce programme divin. Ceci explique la nécessité d’une Réforme qui débutée vers la fin des 1260 années prophétisées du règne papal, cette Réforme devait s’achever et se compléter par l’œuvre adventiste fondée à partir de 1843. Le programme divin ne reconnaît donc au cours de l’ère chrétienne que quatre statuts religieux successifs officiels : celui des Juifs, des Apôtres, des Protestants, et des Adventistes. Tout maintien, après ces relais est illégitime. Dans Apocalypse, l’adventisme final est ciblé sous son commencement béni, dans Apo.3:7 et sa fin maudite, dans Apo.3:14. C’est pourquoi, au temps de la fin, les vrais élus adventistes peuvent se reconnaître dans les critères révélés dans l’époque « Philadelphie » du commencement de la foi « adventiste du septième jour » bénie par Jésus-Christ qui décrit ainsi les normes des adventistes qu’il pourra sauver à son retour glorieux.

Le statut de malédiction des Juifs étant ainsi bibliquement clairement démontré, il te faut réaliser combien leur action politique peut devenir néfaste pour l’humanité globale et déjà dans tous les pays où des rôles importants leur sont donnés. Aux USA, leur importante représentation et leur richesse ont obtenu la reconstruction de l’Etat Israël sur la terre de leurs ancêtres devenue la Palestine. Et c’est à ce retour que nous devons la colère musulmane qui s’est réveillée et développée contre le monde occidental. En France, sous la gouvernance socialiste, d’autres Juifs ont fait prendre des mesures néfastes, le juge Badinter a fait supprimer la peine de mort, pensant être plus juste que Dieu qui l’a instituée ; conséquence : le mal connaît une croissance exponentielle. Un autre Juif, Bernard Kouchner, médecin dans le civil, a fait adopter le principe de l’ingérence humanitaire qui a justifié ainsi les opérations militaires dans les Balkans. Un autre Juif, Bernard Henri Lévi, a convaincu le président Nicolas Sarkosy de détruire notre défenseur libyen, le Colonel Kadhafi. Et dans l’actualité, en Ukraine, les appels à l’aide du président Zelenski, également juif, enflamme les peuples qu’il conduit à provoquer la Troisième Guerre Mondiale. En fait de malédiction : on ne peut mieux faire. Et cette actualité me ramène au problème actuel que constitue le pouvoir politique de la jeunesse.

Sachant que l’homme est construit par les expériences vécues, peut-on en vouloir à des jeunes gens incapables d’agir autrement que ce que leur courte expérience de la vie a fait d’eux. Le jeunisme auquel nous assistons tant en Ukraine qu’en France est responsable, mais pas coupable. La véritable culpabilité est dans la nature irréligieuse de nos sociétés occidentales. L’explication est aussi dans la fatalité du temps qui fait que les jeunes remplacent les vieux. Et les temps modernes ont favorisé la cassure entre les goûts musicaux des jeunes et ceux des anciens. En 1930, le Be-bop, le charleston, provoquaient déjà l’indignation des anciens habitués à la valse. En Ukraine, le président a l’âge de sa nation depuis qu’elle est devenue libre et indépendante de la Russie. Il s’est construit dans cette pensée d’indépendance, parce qu’il n’a pas vécu l’époque où l’Ukraine n’était qu’un territoire de la puissante Russie soviétique ; chose que Vladimir Poutine, lui, n’a pas oublié ayant vécu douloureusement l’échec de ce pacte soviétique. En France, Emmanuel Macron est né dans l’Europe, il n’a vécu que ce contexte ; ceci justifie son attachement à l’Union Européenne et sa peur d’une France isolée qui fut pourtant son temps de gloire et de puissance. Il ne conçoit la sécurité que dans l’union qui fait la force. C’est vrai si cette union s’applique à des pays forts, mais c’est loin d’être le cas pour une Europe uniquement commerciale.

Ces jeunes gens sont arrivés au pouvoir en temps de paix et ils ignoraient eux-mêmes comment ils se comporteraient en temps de guerre. Et c’est vrai, aussi, pour chacun de nous, car ce n’est qu’en situation établie que nous découvrons notre courage ou notre peur. C’est pourquoi, les beaux discours et témoignages rendus en temps de paix conduisent certains de leurs auteurs à révéler leur lâcheté, uniquement, en temps de guerre. La vie réserve d’énormes surprises dans le meilleur comme dans le pire. Et les indignations des êtres humains n’ont pas fini d’être exprimées, car l’être humain s’indigne contre tout ce qui s’oppose à ses valeurs ; et Dieu et ses élus agissent de même. mais pour leurs valeurs célestes.

J’ai présenté dans ce message un quatrain du prophète Michel Nostradamus. Je sais que certains serviteurs de Dieu peuvent être troublés voire choqués par cette démarche. Aussi me faut-il expliquer ce choix. Il te faut déjà bien comprendre que Dieu est seul capable d’annoncer l’avenir avec la précision qui apparaît de manière évidente dans les prophéties présentées par Michel Nostradamus. L’homme n’était pas un modèle de pureté et de sainteté, mais le prophète Balaam ne l’était pas davantage ; et Dieu les a utilisés l’un et l’autre ; ce qui ne signifie pas qu’il les sauvera. Ces personnages troubles présentaient pour lui, l’avantage d’approcher les rois, les reines, les grands de ce monde, et Catherine de Médicis avait fait de Nostradamus son conseiller et son astrologue qu’elle consultait souvent. De plus à son époque, centrée sur la publication de ses œuvres en 1555, la foi chrétienne était encore très ténébreuse, en particulier, à cause du mépris de beaucoup de protestants calvinistes guerriers, envers les ordres donnés par le Chef céleste des chrétiens, Jésus-Christ. Ces protestants là, défendaient leur vie par les armes, agissant avec la même cruauté que les ligues catholiques. Et dans ce cas, la religion est égale à un engagement politique profane. Il ne faut pas sous-estimer le rôle positif des prophéties de Nostradamus. J’en avais eu connaissance avant de servir Dieu dans la foi adventiste. Et l’intérêt que suscitaient chez moi les prophéties m’a préparé pour ce service pour Dieu. De plus, tout être humain placé devant l’évidence de l’annonce d’un fait confirmé des siècles plus tard est obligé de reconnaître l’existence d’un esprit invisible qui organise les événements. Et dans cette réflexion, se construit la base de ce qui peut produire la vraie foi si celui qui la conduit est aussi obéissant, et non, rebelle.

De plus, cette prophétie est utile pour Dieu sur un plan stratégique. Car il a voulu diriger la pensée humaine sur l’importance donnée à la naissance du Christ et non à sa crucifixion ; ceci afin de réserver pour son élite d’élus du temps de la fin l’exclusivité de connaître le vrai temps de son glorieux retour. Or, précisément, dans la 10ème de ses centuries, Nostradamus présente son 72ème quatrain qui encourage l’importance de la date de la naissance du Christ telle qu’elle a été faussement déterminée par le moine catholique Denys-le petit au 6ème siècle. Voici le texte de ce quatrain :

L’an mille neuf cent nonante neuf sept mois

Du ciel viendra un grand roi d’effrayeur,

Ressusciter le grand roi d’Angoulmois,

Avant après Mars régner par bonheur

Je recompose la structure de ce verset et l’interprète ainsi :

L’an mille neuf cent nonante neuf et sept mois

Ressuscité, le grand roi des anges (latin : angélus),

Le grand roi qui effraye (les pécheurs) viendra du ciel

Régner pour le bonheur (des seuls élus) avant Mars et après la guerre (Mars : dieu de la guerre).

Dans ce quatrain l’an 1999 et 7 mois confirme les 2000 années rattachées traditionnellement à l’ère du Christ ; norme sur laquelle je me suis longtemps appuyé jusqu’en 2018. Tout semble donc vrai, sauf le calendrier romain utilisé. Mais la durée indiquée est conforme au projet divin construit sur 6000 ans pour la sélection des élus. En réalité, ce que cette date 1999 et 7 mois annonce s’accomplira réellement dans l’année 2O29 soit, en 5999, depuis le péché originel. En ce jour de gloire et victoire totale de Jésus-Christ, les indignations des incroyants et des incrédules « effrayés » fuseront pour la dernière fois de leurs menteuses bouches. Je pense même pouvoir dire que les « sept mois » cités marque le commencement des « sept derniers fléaux de la colère » divine du Christ Jésus soit, l’heure de la fin du temps de grâce collective et individuelle. En fait, cette prophétie rattache le retour du Christ aux sept mois qui la précèdent ce qui explique l’énigme « avant Mars ». Le vrai retour du Christ s’accomplira le 20 Mars 2030 au jour du printemps soit, « après Mars ».

Tu peux ainsi apprécier le fait de trouver dans les prophéties de Nostradamus tous les détails historiques que les prophéties de Daniel et Apocalypse ne révèlent pas. Le rôle de ces textes prophétiques bibliques est de révéler le jugement de Dieu comme l’indique la signification du nom Daniel : Dieu est mon Juge. Pour sa part, Nostradamus révèle les drames continuels que les jugements de Dieu font subir aux créatures rebelles qu’il juge. Les deux origines et types de prophéties sont donc complémentaires et ne s’excluent pas mutuellement.

Dans sa position d’astrologue, Nostradamus ne prend aucun parti, ni pour le catholicisme, ni pour le protestantisme. Il se contente de dire ce qu’il reçoit. Et dans sa lettre adressée à Henri roi de France second qui n’est pas Henri II, il ne craint pas néanmoins de lui dire qu’aucun catholique n’entrera au ciel. Je rappelle que sa grande réputation a reposé sur l’annonce de la mort d’Henri II, dans des conditions parfaitement décrites par lui un an avant les faits. Dans une joute amicale, la lance de son adversaire se brisa, glissa et pénétra dans son œil à travers le heaume doré de son casque. Il avait écrit dans la centurie 1 quatrain 35 :

Le lyon jeune le vieux surmontera

En champs bellique par singulier duelle,

Dans cage d’or les yeux lui crèvera

Deux classes une, puis mourir de mort cruelle.

Le lyon jeune était le Comte de Montgomery, un protestant, dont les armes de son écusson familial et personnel étaient un lion d’or. Le vieux désigne Henri II. Dans le tournoi, deux classes ou attaques sont portées, à la troisième ou à la seconde, le drame arrive et Henri II meurt d’une mort cruelle, lente et douloureuse.

Voici encore un drame annoncé qui exprime un jugement divin dans sa rédaction. Il va bientôt s’accomplir et nous concerne donc, particulièrement, en notre époque où le sujet du grand remplacement a bouleversé le sujet des débats des élections présidentielles récentes. Il s’agit du quatrain 18 de la centurie 1 :

Par la discorde négligence Gauloise

Sera passage à Mahomet ouvert,

De sang trempé la terre et mer Sénoise,

Le port Phocéen de voiles et nefs couvert.

 

Ces gaulois sont les Français aux avis très différents qui sont donc souvent dans la discorde comme leurs ancêtres : les Gaulois. Mais s’ajoute, pour les derniers jours, « la négligence ». Un comportement que notre époque révèle très clairement et qui les a conduits à la ruine économique. Et à l’élection des jeunes gens aussi inexpérimentés qu’imprévisibles, orgueilleux et entêtés. Dans l’actualité, pris dans leur rêve universaliste humaniste, cette « négligence » s’applique au danger représenté par l’installation de l’islam en terre de France où donc, le « passage à Mahomet a été ouvert ». L’impossible accord avec cette communauté aura les conséquences annoncées dans ce quatrain, lorsque la France sera attaquée par la Russie, au Sud se présenteront les multitudes arabes armées venues sur des « nefs qui rempliront le port Phocéen soit, Marseille » et les combats menés auront ce résultat : « la terre et la mer Sénoise () seront trempées de sang humain ». La « discorde et la négligence Gauloise » vont donc être payées très cher. Ce lieu, La Seyne sur Mer, a été marqué comme point de départ de la colonisation du Maghreb. Relevons que ce quatrain vient compléter et confirmer celui de la Centurie II quatrain 88 qui évoque « l’étranger belliqueux ».

 

On a beaucoup parlé et écrit, en pour et contre, Nostradamus. Le conseil biblique cité dans 1 Thes.5:2O-21, nous dit : « Ne méprisez pas les prophéties. Mais examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon », dans cet examen, ce que je « retiens de bon » et d’intelligent, c’est que le non accomplissement d’une prophétie ne constitue pas une preuve qu’elle est fausse, car le seul critère qui conduit à la juger est la date pour laquelle l’interprète la rattache. Ce qui ne s’accomplit pas aujourd’hui, ou ne s’est pas encore accompli jusqu’à aujourd’hui, peut encore s’accomplir demain ou plus tard. En ce qui concerne mon œuvre, il m’a fallut attendre 1996 pour comprendre que 1994 ne prophétisait pas le retour du Christ, mais la condamnation de l’institution adventiste qui a refusé, sans justifier son refus, l’annonce de son retour pour cette date ; parce que la foi en ce retour, même erronée, était un acte de foi agréable, attendu et exigé, par le  Seigneur.

 

 

Les maladresses des mal-convertis

 

L’intolérance n’a de légitimité qu’envers soi-même, mais en aucun cas envers autrui. La transgression de ce principe a été souvent, légitimement, à l’origine des réactions brutales par lesquelles débutent les persécutions appliquées systématiquement. La cause d’un retour de violence est souvent due à un comportement brutal des serviteurs de Dieu, parce qu’ils sont mal convertis et appliquent, sans intelligence, ce que des serviteurs zélés de l’ancienne alliance pratiquaient pour la gloire de Dieu. C’est à ce niveau des choses qu’apparaît le besoin vital du « renouvellement de l’intelligence » dont a parlé l’apôtre Paul, dans Rom.12:2 : « Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait ». En effet, les contextes des deux alliances successives sont très différents.

Dans l’ancienne alliance, les serviteurs sont regroupés au sein d’une nation qui appartient à Dieu, parce qu’il l’a créée et instaurée lui-même dans ce but. Israël était sa propriété exclusive, une nation modèle dans laquelle le péché était illégitime, au niveau du principe seulement, parce que la réalité était toute autre. Dans cet Israël, les serviteurs zélés de Dieu avaient le droit de détruire les idoles élevées par les idolâtres du pays. Et les rois d’Israël et de Juda étaient tenus pour coupables et responsables de ces choses jugées « abominables » par Dieu. C’est pourquoi, les livres des Chroniques et ceux des Rois ont été écrits afin que le souvenir de ces comportements infidèles soient conservé et puisse enseigner les serviteurs de Dieu jusqu’à la fin du monde pour qu’ils ne pratiquent pas leurs péchés. Cependant, le contexte de l’ancienne alliance est lié à cet aspect national charnel terrestre de l’Israël de Dieu ; ceci au point de les unir pour les distinguer des autres peuples par le signe de la circoncision de la chair.

Dans la nouvelle alliance, le contexte est entièrement changé. Jésus envoie ses serviteurs « comme des brebis au milieu des loups », selon Matt.10:16 : «Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes ». Ils ne vivent plus au sein de la nation qui appartenait exclusivement à Dieu ; ils vivent au milieu des autres nations païennes ou faussement chrétiennes de la terre. Ils ne doivent alors leur sécurité et leur paix qu’à l’usage intelligent de leur liberté d’action. Dans la nouvelle alliance, l’évangélisation repose sur le comportement modèle des appelés au salut. Ils n’ont aucunement le droit d’imposer, de contraindre, et encore moins, de détruire les idoles païennes. Ils ont, par contre, le devoir de présenter à leur entourage, un modèle le plus ressemblant possible au Christ, au niveau de la seule obéissance. Car le serviteur n’est pas son divin Maître. Sur la terre, Jésus agissait non seulement en homme, mais aussi en divinité. C’est pourquoi, il avait le droit de chasser avec un fouet les animaux des vendeurs du temple, ce que ses disciples n’ont pas le droit de faire. La vraie religion repose sur l’approbation pour soi-même, jamais pour les autres que soi. C’est au pécheur contrit et repentant qu’il revient de détruire ses idoles lui-même et personne d’autre. Selon Matt.22:9, l’évangélisation doit rester uniquement un « appel » : « Allez donc dans les carrefours, et appelez aux noces tous ceux que vous trouverez ». La seule contrainte légitime est celle qui utilise la force de la persuasion que possède l’amour de la vérité. Celui en qui se trouve cet amour de la vérité ne peut pas résister à la nécessité d’obéir aux ordres de Dieu. Les explications qu’il nous donne par ses prophéties constituent une puissante force contraignante chez tous ceux qui y sont sensibles. Et c’est là, la seule contrainte qui puisse être légitimé chez l’appelé en vue de l’élection. La douceur et l’argument biblique sont les seules armes que Dieu donne à ceux qui le servent et veulent dignement le représenter sur la terre des pécheurs.

Dans un passé encore récent, en Iraq, les combattants islamistes ont donné un exemple de ce que les vrais enfants de Dieu en Christ ne doivent pas faire. Ils ont détruit, avec grand zèle religieux, les statues géantes de deux Bouddha. Aux Musulmans intégristes de l’islam cela est permis et Dieu les utilise pour accomplir cette action que ses élus en Christ ne sont pas autorisés à faire.

Pendant les guerres de religions, les protestants mal convertis, se sont crus autorisés à rendre les coups portés par les ligues catholiques. On peut ainsi relever le fait que ces guerres des religions ont pris forme et se sont prolongées à cause de l’escalade entretenue par les réactions guerrières du camp protestant. Dans l’histoire du protestantisme, on peut relever deux époques successives. Et les comportements de trois hommes les illustrent parfaitement : le pacifisme de Pierre Valdo (1190) jusqu’à Martin Luther (1521), et la violence du Genevois Jean Calvin (1541-1564). Ce dernier croyait servir Dieu par un zèle brutal et même cruel. Il avait complètement oublié le modèle de douceur et de paix que Jésus avait présenté comme modèle à reproduire. C’est ce qui conduit Dieu à évoquer dans Dan.11:34, ceux qui « se joindront à eux par hypocrisie » ; « eux », étant les vrais élus pacifiques et doux : « Dans le temps où ils succomberont, ils seront un peu secourus, et plusieurs se joindront à eux par hypocrisie ». L’hypocrite feint d’être ce qu’il n’est pas. Et pour la cause de Dieu, son rôle est dévastateur. Son modèle est reproduit à une grande échelle et il finit par masquer et faire oublier la norme du comportement des vrais élus. Pourtant, la pensée même de la Réforme vise à rétablir les vraies valeurs et dogmes du christianisme apostolique originel. En sorte que je peux définir l’adventisme instauré par Dieu, à partir de 1843, comme étant la dernière forme d’un protestantisme resté protestant, parce que le protestantisme officiel, lui, ne proteste plus depuis longtemps ; et pire, il s’est allié avec son ennemie religieuse, la foi catholique papale romaine restée coupable des péchés commis au temps de la Réforme ; péchés qu’elle a continuer à pratiquer et légitimer, et n’a jamais abandonnés ni condamnés. C’est pourquoi, en rejoignant cette alliance à partir de 1995, l’institution « adventiste du septième jour » officielle a témoigné, inconsciemment, de son « vomissement » par Jésus-Christ, confirmant ainsi les paroles qu’il lui a adressées, dans Apo.3:16 : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche ».

Jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ, ses serviteurs élus zélés savent qu’ils ne sont pas chez eux sur cette terre dominée par les méchants pécheurs. Toute forme de violence leur est interdite car la violence retomberait sur eux. « Brebis au milieu des loups » leur sécurité est dans la « prudence » à laquelle Jésus les a exhortés dans Matt.10:16 : « Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes ». Et cette « prudence » se concrétise par un comportement doux et paisible qui ne s’oppose pas à la diffusion et la proclamation de la vérité révélée. Beaucoup de méchants s’irritent seulement quand leur liberté d’agir est empêchée, mais ils peuvent rester indifférents aux paroles de vérité qui les remettent simplement en cause. C’est particulièrement vrai, dans les périodes de paix religieuse offertes par Dieu. Et ce n’est plus vrai, quand il libère les démons, afin que la paix religieuse cesse. Or, depuis le 24 Février 2022, le contexte de la guerre, commencée en Ukraine, influe sur les esprits des êtres humains qui vont s’irriter de plus en plus et devenir de moins en moins tolérants. Les démons sont relâchés. Les serviteurs zélés de Jésus-Christ vont donc devoir redoubler de prudence dans leur comportement pour ne pas attirer, inutilement, la colère populaire contre eux. Je rappelle ce conseil de l’Esprit enseigné par Paul, dans Rom.12:18 : « S'il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes ». En Vérité !

Un autre type de maladresse repose sur le fait de croire que l’accumulation des arguments de la vérité va obligatoirement permettre de convaincre un interlocuteur. Ce n’est absolument pas le cas car rien repose sur le principe automatique. Dans la vie humaine, il y a énormément de facteurs agissants et principalement la norme du caractère de l’individu qui doit être converti est seule, déterminante. Et Dieu seul possède la connaissance du résultat final ; l’homme qui est à son service, n’a pas cette connaissance ; il n’a que l’espérance de voir celui qu’il enseigne se convertir et accepter la vérité présentée. Il est important de savoir cette chose afin que l’enseignant ne s’impute pas la culpabilité de l’échec constaté. Jésus lui-même, puissant en vérité, ne parvenait pas à convertir tous ceux qui l’entendaient parler ou assistaient à ses miracles. La vie est ainsi faite, la liberté totale, donnée par Dieu à toutes ses créatures, justifie la réussite envers certains et l’échec envers d’autres ; ceci, en leur présentant les mêmes données de la vérité divine. Pour un serviteur de Dieu, le point capital est de savoir discerner la limite de son insistance dans sa présentation de la vérité. En principe, celui ou celle qui est convertissable va rapidement réagir en posant des questions et en demandant des explications ; si ce n’est pas le cas, « parle de la pluie et du beau temps », car ce seront les seuls sujets abordables. Dans toute la Bible, l’aspect binaire du projet divin est constamment rappelé : Dieu et Satan ; « l’arbre de vie et l’arbre de la connaissance du bien et du mal », et ceci jusqu’à la dernière épreuve de foi qui met en lutte opposée, constamment depuis 1843 et au retour du Christ, « le sceau du Dieu vivant », le repos du vrai septième jour, le samedi, ou sabbat sanctifié divin et « la marque de la bête », le repos consacré du premier jour, le dimanche, faux sabbat humain et ex-jour du « Soleil Invaincu », dieu païen romain.

 

 

La volonté : tout le problème

 

On a dit du Dieu créateur qu’il est le « Verbe ». Et cela est juste parce qu’il a créé la vie de toutes ses créatures, la possédant lui-même par sa nature éternelle, et que la vie c’est l’action, le mouvement, dans l’espace et dans le temps. Mais, Seul, il peut dire : « Je veux et j’obtiens ». Ses créatures célestes et terrestres ne peuvent pas en dire autant, car tous leurs désirs sont soumis à sa volonté suprême. Et si son jugement tombait sur ses créatures aussitôt qu’elles fautent contre lui, personne ne pourrait douter de son existence. Mais sa sagesse l’a conduit vers un autre choix ; celui de se cacher pour laisser ses créatures terrestres libre d’agir, comme s’il n’existait pas. De la sorte, sans aucune pression venant de lui-même, il peut juger les œuvres spontanées produites par chacune d’elles. La nature de chacun est ainsi révélée. Chose étonnante pour certains mais la pensée est une œuvre. Dieu suit notre pensée comme il suit nos pas et nos initiatives profanes ou religieuses. Même en fermant notre bouche, nos pensées nous accusent ou nous justifient. Mais, Dieu est seul à les connaître, et comme il n’est pas égoïste mais associe ses anges fidèles à son jugement, il conduit les êtres humains à formuler de manière visible et auditive, les choix de leurs cœurs. Ceci explique, l’importance qu’il donne dans ses révélations prophétiques aux « œuvres » par lesquelles la foi ou l’absence de foi sont révélées. Les œuvres sont exprimées par des « verbes » qui les définissent de manière précise. Ainsi, positivement, dans ses commandements, Dieu dit : « Tu n’auras pas, tu ne te feras pas, tu ne te prosterneras pas, souviens-toi, garde, ». Dans toutes les langues suscitées par Dieu après la rébellion de Babel, les verbes expriment de manière différente les mêmes actions mises en œuvre. C’est le sujet à méditer qui nous rappelle ce point de ressemblance qui nous relie sous le regard de Dieu. C’est pourquoi, dans une phrase, le verbe est l’élément essentiel, les autres termes le complètent et constituent le décor. Si les hommes devenaient subitement muets, plus rien ne les distinguerait les uns des autres en dehors des aspects physiques. Et c’est ce que Dieu ressent envers ses créatures auxquelles il a donné nos différentes langues.

Seul Dieu peut dire : « Je veux et j’obtiens » ; mais, cependant pas de toutes ses créatures, car il exige de leur part une parfaite obéissance qu’il n’obtient que chez ses élus. Les autres créatures lui « désobéissent » et elles devront définitivement « mourir ». Quelques soient les origines et les races, dans le ciel et sur la terre, ces deux verbes « désobéir et mourir » vont s’appliquer à tous les comportements rebelles qui n’accomplissent pas la norme fixée par Dieu. La vérité salvatrice est une, exclusive et indiscutable, parce que Dieu a pris soin de l’exposer clairement dans sa sainte Bible, et dans l’accomplissement de ses prophéties dans lesquelles l’œuvre terrestre expiatoire de son Messie Jésus est prophétisée. Avec toutes ces preuves, la non-conformité à l’attente et l’exigence de Dieu, est inexcusable. En sorte que tous ceux qui « désobéissent » devront « mourir ».

L’homme naturel ne prend pas la mesure de la limitation de ses capacités à appliquer les verbes « vouloir et pouvoir ». « Vouloir » une chose est possible mais « pouvoir » « l’obtenir » ne l’est pas obligatoirement. Seul Dieu, et encore à terme, obtiendra ce qu’il a voulu. L’expérience humaine est très différente car entre le « vouloir » et le « pouvoir », beaucoup de critères entrent en jeu. Mais le « vouloir » est présent dans tous les esprits vivants créés par Dieu et c’est ce qui a pour nom, la « volonté ». Dieu bénit « les hommes de bonne volonté », mais celle qu’il juge « bonne » est uniquement celle qu’il approuve par ce qu’il l’exige. Le qualificatif « bonne » s’applique au verbe « vouloir » de chaque volonté. Avant Jésus-Christ, la situation d’un Juif pieux se traduit ainsi : « je veux » faire de bonnes œuvres agréables à Dieu, mais seul « je ne peux » pas, ou ne le peut suffisamment. L’apôtre Paul a magnifiquement exprimé cette chose disant dans Rom.7 : 14 à : « Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ; mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?... » Dans cette admirable et parfaite construction du raisonnement humain, l’Esprit nous dit par Paul combien la situation du pécheur terrestre est désespérée. Mais la réponse en Christ est évoquée après ce verset : « Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur !... Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché. » Un conflit oppose donc entre eux « la loi de la chair » et « la loi de l’entendement » soit, de la volonté de l’esprit humain. Et c’est pour apporter son aide indispensable que Jésus est venu, d’une part, mourir pour expier les péchés involontairement commis par ses élus, et en premier, le péché originel hérité d’Adam et Eve, d’autre part, en ressuscitant pour les aider à vaincre le péché actif dans leur corps de chair. Cette aide est aussi indispensable que la précédente car elle offre, seule, la possibilité d’atteindre le niveau de la sainteté exigée par Dieu des élus pour qu’ils bénéficient du pardon en Christ et de la vie éternelle qu’il a gagnée pour eux. Pour résumer cet enseignement, je retiens deux verbes « vaincre » et « vivre » éternellement ou ne « pas vaincre » et « mourir » dans un total anéantissement qui est le seul sens de la première et de la seconde mort, selon Dieu.

Sa volonté conduit l’homme orgueilleux à accumuler des richesses pour obtenir le respect et le service des gens humbles soumis ; mais cette appétence pour les choses terrestres lui ferme le ciel et son avenir éternel. Dans cette catégorie de créatures se retrouvent toutes les fausses religions, leurs dirigeants et les gens non spirituels profanes ou laïcs. Ce choix est particulièrement honoré et promu dans nos sociétés occidentales dans lesquelles, de plus en plus, seule la réussite professionnelle est devenue honorable et exaltée. En foules nombreuses, des gens qui se disent « chrétiens » soutiennent ces valeurs mondaines, car ces ils n’ont pas relevé et n’ont pas compris les leçons données par Jésus-Christ. Ils n’ont retenu qu’une chose de son passage sur la terre : il est mort pour porter mon péché, et maintenant, le ciel m’est ouvert. Quelle tragique et terrible méprise ! La mort de Jésus a masqué dans leurs esprits toute l’exigence des changements de valeur qu’il approuve et va appliquer pendant l’éternité. Qui a entendu la leçon du Christ sait que la réussite professionnelle est secondaire et que ce qui prime avant tout, c’est d’offrir à Dieu une soumission exemplaire conforme au modèle représenté par Jésus. A quoi sert un modèle, sinon à être reproduit ? Ce n’est pas la croyance ou les étiquettes religieuses qui séparent les humains de Dieu, c’est la norme de ce qu’ils approuvent et souhaitent mettre en œuvre. Je résume la chose en disant : c’est la norme de leur « volonté » qui est différente de celle de Dieu. Car il faut bien comprendre que pour vivre avec Dieu pendant l’éternité, il faut prioritairement, s’accorder avec lui au niveau de ses valeurs. Qui aime s’élever ne répond pas à ses critères puisqu’en Jésus, Dieu a lavé les pieds poussiéreux de ses apôtres, se faisant ainsi, concrètement et charnellement, le serviteur de ses serviteurs. Il suffit de tenir compte de ce comportement du divin Christ pour comprendre à qui Dieu ferme son ciel et à qui il l’ouvre.

Le « témoignage de Jésus », ou « la foi de Jésus », expressions citées dans l’Apocalypse, n’est pas que « l’esprit de la prophétie » évoqué dans Apo.19:10. Le témoignage de Jésus est aussi le témoignage rendu sur la terre par Jésus-Christ et à ce titre, il constitue le modèle que reproduisent après Jésus, Jean et tous les élus jusqu’à la fin du monde. Il en est de même pour « la foi de Jésus » soit, « la foi » témoignée par Jésus-Christ, par ses œuvres terrestres. Dans son enseignement, Jésus est venu montrer en chair et en esprit ce que les élus doivent devenir, pour pouvoir entrer dans son éternité. C’est pourquoi, la foi chrétienne authentique s’accompagne de grands changements de conduite et de compréhension des choses divines, car il s’agit de mettre en œuvre une authentique préparation dont le but est l’aptitude pour l’éternité céleste. Dans Apo.19:7-8, on lit : « Réjouissons-nous et soyons dans l'allégresse, et donnons-lui gloire ; car les noces de l'agneau sont venues, et son épouse s'est préparée, et il lui a été donné de se revêtir d'un fin lin, éclatant, pur. Car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints. » Dans ses images symboliques, Jésus a donné à cette préparation concrète, le nom « habit des noces » de « l’agneau ». Pour appuyer cette leçon, je prends cette partie de la parabole de Jésus présentée dans Matt.22:11 à 14 : « Le roi entra pour voir ceux qui étaient à table, et il aperçut là un homme qui n'avait pas revêtu un habit de noces. Il lui dit : Mon ami, comment es-tu entré ici sans avoir un habit de noces ? Cet homme eut la bouche fermée. Alors le roi dit aux serviteurs : Liez-lui les pieds et les mains, et jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus. » Dans cet enseignement, « l’habit de noces » identifie les élus et démasque les appelés. Cet homme qui se présente sans « l’habit de noces » se réclame néanmoins du salut du Christ. Ce message confirme l’existence de deux sortes de chrétiens, les uns, les élus, étant  reçus, et les rebelles, les appelés non élus, qui sont rejetés. La différence entre les deux camps repose sur la sensibilité spirituelle des êtres humains, les uns entendant et répondant aux exigences révélées par Dieu dans ses messages prophétiques dont, fondamentalement, la restauration de ses vérités doctrinales depuis 1843, et les autres, ignorant ces exigences prophétisées ou refusant de s’y conformer.

Entre élus et déchus, ce qui fait la différence, c’est la norme de la libre « volonté ». Les élus n’hésitent pas à remettre en cause les héritages spirituels hérités et leurs défauts de caractère, quand la chose devient nécessaire et quand elle est bibliquement et divinement justifiée ; ce qui exige, des études et des examens approfondis. Les déchus, par paresse ou crainte spirituelles injustifiées, préfèrent s’en tenir à l’héritage reçu et pratiqué depuis des siècles ; ils tombent dans le piège du conservatisme. Hélas pour eux, la foi dépend avant tout de « l’intelligence », la plus basique : l’instinct de conservation que Dieu a même donné aux bêtes. C’est encore là un enseignement donné par Jésus dans sa parabole des talents. Le méchant mal jugé cache le talent reçu et il le garde tel qu’il l’a reçu. A l’opposé, l’élu béni le fait fructifier.

Ce sont les anges envoyés par Dieu qui ont annoncé la naissance du messie attendu à des bergers qui veillaient auprès de leurs troupeaux. Ce choix divin était justifié en raison du rôle tenu par le messie, venant lui-même, en tant que Berger fidèle venu pour paître ses brebis humaines. Le message des anges disait dans Luc 2 :14 : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et, sur la terre, paix aux hommes de bonne volonté. » Il s’agit de la version biblique Vigouroux bien traduite du grec. Il y a donc pour Dieu, des hommes de « bonne volonté », ceux qui trouvent « bonnes », sa divine personne et ses lois, et des hommes de « mauvaise volonté », qui ne trouvent rien d’agréable dans le fait de devoir lui obéir. Et rappelle-toi que dans le ciel, cette même situation a déjà partagé les anges célestes en deux camps, l’un pour Dieu, l’autre pour Satan. Je te vois déjà poser cette question : Mais comment expliquer ces choix et comportements si différents ? La réponse est dans le mot « liberté ». Mais pour mieux comprendre, reprenons l’examen de la nature de Dieu. Avant de créer des vis-à-vis libres, il vit seul. Et dans cette solitude éternelle le mot temps n’a aucun sens. Il va prendre un sens uniquement lorsqu’il va créer en face de lui, des créatures vivantes et libres, car destinées à être éprouvées et criblées, le temps va leur être compté, et pour les rebelles, décompté. Ce sera encore plus vrai sur la terre, quand le péché sera puni par la mort des humains : l’image du sablier prend alors tout son sens et son utilité, car cette fois entre naissance et mort, de manière visible et concrète, le temps de la vie s’écoule comme le sable du sablier. Toutes les créatures créées par Dieu sont dotées de l’intelligence qui permet de peser le pour et le contre, face aux problèmes soumis à leur réflexion. L’exemple des anges est révélateur parce qu’ils ne se reproduisent pas et ne peuvent donc pas imputer leur choix à un cadeau héréditaire. C’est donc clairement l’utilisation de leur libre intelligence qui a conduit les uns, vers l’obéissance et l’amour de Dieu, et les autres, vers la rébellion et l’attente d’une extermination autant justifiée que nécessaire, pour la paix éternelle qui suivra le temps de l’épreuve universelle.

Sur la terre, l’héritage génétique concerne principalement des aspects physiques. Des tendances caractérielles peuvent être transmises par les parents, mais l’intelligence humaine reste maîtresse de ses choix. C’est ainsi, que Dieu trouve parfois de la vraie foi chez les enfants d’un couple athée libre penseur. D’où vient cette foi, dans ce cas ? De l’intelligence personnelle de l’enfant chez lequel, l’instinct de conservation et la reconnaissance envers Dieu ou son prochain fonctionnent parfaitement bien. Il suffit en vérité, de découvrir l’amour de Dieu manifesté en la mort expiatoire de Jésus-Christ, pour avoir envie de le suivre et de vivre éternellement en sa compagnie. Bien sûr, la créature qui ne trouve son plaisir qu’à s’élever au-dessus des autres est incapable d’éprouver cette envie des élus, , et cette incapacité la disqualifie pour la vocation céleste ; ce fut le drame du diable et de tous ceux qui l’ont suivi. Le ciel et son bonheur éternel se ferment devant elle, car elle ne porte pas « l’habit de noces », l’esprit de « bonne volonté » qui favorise la soumission aux justes exigences de Dieu.

 

 

Actualité fin Juillet 2022 : d’un choc pétrolier à l’autre

 

Parmi les jeunes arrivés au pouvoir gouvernemental et au pouvoir médiatique trop au service du premier, peu d’entre eux sont assez âgés pour avoir vécu le premier choc pétrolier subi par la France en 1973. Il fut le résultat de la prise du contrôle total de la gestion pétrolière par les pays arabes décolonisés. En un seul mois, le pétrole augmenta de 40%, enrichissant, non seulement les pays arabes, mais aussi l’Amérique des USA, très gros producteur de pétrole. Cette augmentation se répercuta en chaîne sur tout le commerce et l’industrie. Ce fut pour les Français un moment difficile à passer, mais au fil du temps, la difficulté fut avalée et surmontée. Mais cette année a été marquée comme étant la première où le budget de la France a été déficitaire et qu’elle a commencé à emprunter et donc à s’endetter.

Depuis 1973, chaque année, cette dette a augmenté. Les conditions mondiales du commerce imposées par les USA ont été de moins en moins favorable aux pays riches ; la France restant de ce nombre malgré un coût social plus élevé que partout ailleurs. L’économie de marché supprime les taxes établies entre les pays de niveau de richesse différent. La concurrence est alors impitoyable ; quand l’offre est inférieure à la demande, les prix s’envolent car il n’y a pas de frein à la cupidité dans le système établi en Occident. Sa domination soutenue par les USA s’impose sur presque tous les pays du monde, totalement dépendants des règles fixées par le pays vainqueur de la Seconde Guerre Mondiale. Même la Russie communiste finit par accepter cette règle en adoptant le double système extérieur capitaliste et intérieur communiste. Le Japon vaincu se plie à la directive, et la Russie s’écroule en ruine économique vers 1990. Les USA triomphent et la Chine absorbe les productions du monde occidental au détriment des travailleurs des pays occidentaux. C’est l’heureux temps des capitalistes et des investisseurs qui réalisent des profits énormes grâce aux délocalisations des productions vers la Chine, qui devient de plus en plus riche et de plus en plus incontournable et exclusive. Ceci à tel point, qu’aux USA, le marché interne commence à en souffrir de cette concurrence chinoise hors norme. C’est ainsi que les USA ont commencé à redouter la concurrence chinoise qu’il ont eux-mêmes favorisé en soutenant son entrée dans l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce). Les USA lanceurs des idées sont aussi toujours les premiers à découvrir les conséquences néfastes de leurs décisions. L’Europe suit toujours avec un décalage de plus en plus court, les mêmes expériences que celles des USA. L’Europe a été séduite par le régime capitaliste en voyant les fruits de richesses portés en Allemagne restée sous l’influence politique et économique des USA. La France, très fortement communiste après la Guerre Mondiale a glissé à son tour vers le libéralisme capitaliste et là aussi, mandature après mandature, le socialisme libéral a fini par s’imposer au détriment du parti communiste qui n’est en 2022, plus que l’ombre de lui-même. Après plusieurs alternances entre la gauche socialiste libérale et la droite affairiste également libérale, les Français ont fini par rejeter ces deux puissants partis politiques qui ont perdu toute légitimité à leurs yeux ; et pas sans cause. Pendant ces alternances, la France a été vendue, dépecée, et consommée par les investisseurs dispersés sur toute la terre. Nos gouvernants oublient que l’argent prêtée ne rapporte qu’aux prêteurs qui rapatrient leurs profits dans leur propre lieu de résidence soit, vers tous les pays de la terre où ils habitent. D’autres prêts placés à taux d’usure par les fonds de pension américains retirent de somptueux profits qui financent les retraites des travailleurs américains. Et les entreprises qui ont accepté ces prêts ne s’en sont souvent pas relevées. Ruinées, les fonds de pension les ont revendues aux plus offrants, étrangers ou plus rarement, français. Les entreprises sont ainsi devenues de plus en plus étrangères et de moins en moins purement françaises. C’est dans cet état déjà énormément endettée que la France a été placée sous la domination d’un jeune homme qui a profité du fait de se trouver en second tour des élections face au Front National français que les partis libéraux se sont acharnés à diaboliser pendant de longues années. Si bien que, l’électeur d’origine étrangère votant de plus en plus, ce parti nationaliste a perdu toute chance d’obtenir le pouvoir. Et pour que la chose soit bien comprise, le Dieu créateur a reproduit en 2022, la même situation qu’en 2017. Avec ce chiffre 17, l’année était placée sous le signe du jugement divin. Et l’arrivée au pouvoir de ce jeune homme sans réelle expérience de la vie, préparait pour la France, le pire et non le meilleur. Car depuis des siècles, la France est dans le viseur de Dieu ; ses soutiens successifs pour la religion catholique papale romaine puis pour l’athéisme libre penseur, en ont fait sa cible principale, après la ville de Rome où siège la papauté.

Le nouveau jeune président était financier dans la banque Rotschild, c’est dire s’il peut partager les positions européennes entièrement dirigées par le commissariat européen placé lui-même au service des grands financiers européens et mondiaux. Car ne t’y trompe pas, l’Europe n’a pas été créée pour le bonheur des peuples, mais uniquement, pour favoriser les échanges commerciaux et financiers sur l’ensemble des territoires des pays réunis. Les députés européens, comme dans notre 5ème République ne sont là que pour servir d’alibis démocratiques afin de masquer la dictature des grands intérêts financiers qui sont seuls à profiter de cette U.E. Et pour profiter, ils profitent, et ont beaucoup encouragé les délocalisations qui ont détruit en France nos emplois industriels, principalement, car le commerce se satisfait autant de vendre ce qui est importé que ce qui est produit sur place, sur le sol français. C’est ce qui explique le taux actuel du chômage qui après s’être très élevé pendant le confinement dû au Covid-19, s’est réduit avec la reprise. Hélas, ce constat va rapidement être anéanti par la ruine provoquée par les sanctions prises contre la Russie depuis son agression contre l’Ukraine. Dans son domaine, le président russe démontre une intelligence redoutable, calme et réfléchi, il fait ce qu’il annonce, dit ce qu’il va faire, et tire les conséquences des sanctions ; et il annonce que les mesures occidentales prises contre lui vont se retourner contre les peuples de ces pays ; et les faits lui donnent 100% raison. Pris à leur propre piège, les médias occidentaux accusent le président russe de faire du chantage. Mais leurs sanctions ne sont-elles pas du chantage contre la Russie ? Leurs fournitures d’armes à son ennemie, ne sont-elle pas plus meurtrières que le chantage ? Je suis conscient que mon point de vue est inacceptable et même insupportable par des gens qui ont décidés qu’ils avaient raison d’agir comme ils l’ont fait. Mais moi, je sais que ces décisions ont pour seul but, celui de préparer leur châtiment divin dont l’instrument sera les colères meurtrières de la Russie et ses alliés musulmans.

Avant que les pays européens le fassent, les prenant de cours, le chef russe a réduit drastiquement sa livraison de gaz, provoquant la panique parmi eux. Les conséquences annoncées étant catastrophiques, l’Europe compte ses amis parmi les peuples et elle découvre que loin d’être isolée comme elle voulait l’obtenir, la Russie est soutenue par tous les pays de l’Orient, et qu’en fait, c’est l’Europe qui se trouve isolée avec les USA et l’Australie. Elle retrouve contre elle, les anciens pays colonisés africains, les pays musulmans, l’Inde et la Chine ainsi que quelques pays de l’Amérique centrale et du Sud. Entièrement dépendante d’énergies importées, l’Europe découvre son point faible et cherche désespérément des fournisseurs pour remplacer la Russie. Et pour la ruiner, elle se tourne vers des pays producteurs encore moins respectables que la Russie ; elle n’en est pas à sa dernière prise de décision incohérente et paradoxale. Des solutions existent, mais elles seront extrêmement coûteuses et longues à mettre en place. Alors que le temps presse, car la coupure du gaz russe a rapproché brutalement l’heure des problèmes. Des opérations de charmes sont tentées mais les haines anciennes vont les conduire à l’échec et pour les européens d’énormes difficultés financières et économiques vont totalement remettre en cause leurs conditions de vie prospères insouciantes. Visiblement, la malédiction divine s’abat sur l’Europe principalement. Et dans le monde entier on voit se regrouper les partisans des deux camps principaux opposés. Dans le même temps, la menace de l’usage de l’arme nucléaire est agitée par la Russie mais aussi par la Corée du Nord qui ne craint pas de menacer ouvertement l’Amérique. La Chine qui projette de reprendre l’île de Taïwan sous sa domination risque une intervention américaine. Les foyers potentiels s’allument partout.

Et ce réveil n’est que l’expression de la colère justifiée du Tout-Puissant Seigneur Dieu Jésus-Christ momentanément seulement réduit et affaibli pendant son ministère terrestre. Aussi, le temps du Christ crucifié, sanguinolent, cloué sur sa croix, est fini. Depuis ses apôtres l’ont vu, ressuscité et bien vivant et depuis le ciel, il a ensuite assisté ses vrais serviteurs, les a soutenu dans le martyre. Il a donné à l’occident un long temps de paix qui n’a été utilisé que pour intensifier ses valeurs cupides et sensuelles au détriment de la foi en lui. Le mépris dont il est objet justifie sa colère divine, mais à cette heure, ce n’est pas son aspect qui est redoutable, ce sont ses paroles citées dans Apo.9:13 : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » Mais annoncer la guerre et ses multitudes de morts est inutile si l’on ne rattache pas cette annonce à une cause précise. Ceci d’autant plus que les faits sont constatés par de nombreux contemporains pas forcément religieux. L’avantage que j’ai sur eux est de faire remarquer que ce drame qui vient au titre de « sixième trompette » trouve sa justification avant l’accomplissement de la « première » de ces « six trompettes ». Et cette « première trompette » s’est accomplie par les diverses invasions de l’Europe qui l’ont mis dans sa partie nord, à feu et à sang entre 375 et le début du 5ème siècle. Et là, une surprise doit être relevée, les Huns cruels et sanguinaires qui sont venus terroriser les peuples de l’Europe centrale étaient déjà sur la terre de l’Ukraine. Ce qui établit un lien entre la « première » et la « sixième trompette ». Si dans la « première », ils ont agi personnellement contre l’Europe infidèle, dans la « sixième », ils attirent la colère russe sur l’Europe qui la détruira avec encore plus de puissance. La cause de ces fléaux dévastateurs se trouve le 7 Mars 321, date où le saint sabbat divin a été remplacé par notre dimanche actuel, à l’époque sous le nom de « jour du soleil » adoré par l’empereur Constantin 1er, ordonnateur du décret promulguant ce changement. Il s’est installé en 330 à Constantinople à l’Est de l’Europe. Et c’est le Nord de cette zone Est que les Huns sont venus sauvagement dévaster après 375. On a pris pour une conversion chrétienne son association du Christ avec son dieu solaire ; mais ce n’est pas la vérité du Christ qu’il a choisie d’honorer ; son choix s’est porté sur son « dieu » solaire païen appelé le « Sol Invictvs » en latin romain soit, le « Soleil Invaincu » qu’il a fait subtilement adorer par les chrétiens de l’empire, par son décret qui l’a imposé comme jour du repos hebdomadaire. Mais pour Dieu, ce fut le commencement d’une humiliation que les coupables allaient devoir payer par des malédictions qui allaient six fois consécutives, entre le 7 Mars 321 et le 24 Février 2022-2028,  frapper les chrétiens européens souillés par le repos consacré à ce dieu païen. La sixième fois vient de commencer le 22 Février 2022 à partir de l’Ukraine. De plus, dans cette « sixième trompette », selon Dan.11:40 à 45, les peuples arabes, pilleurs par vocation, sont dans l’action à la suite de l’armée russe. De la sorte, la « sixième trompette » apparaît comme un renouvellement de la « première » avec des dégâts nucléaires terriblement plus importants et une participation des anciens Huns. Et ceci est extrêmement important à comprendre : à l’époque des invasions des Huns, le célèbre Attila affirmait qu’il agissait sur l’ordre de Dieu ; ce qui lui valut le surnom « Attila, le fléau de Dieu ». Je rappelle ici sa terrible devise : « Là où mon cheval passe, l’herbe ne repousse pas ». Après la « sixième » et son feu nucléaire, « l’herbe ne repoussera pas non plus ». Depuis mon décryptage des « trompettes » d’Apocalypse soit, vers 1982, j’ai pu démontrer qu’il a été effectivement mandaté par Dieu pour saccager l’Europe au titre mérité de « fléau de Dieu ». Et le parallélisme établi avec la « sixième trompette » fait de celle-ci un « sixième » « fléau de Dieu » qui repose cette fois sur la « barbarie » ukrainienne et russe et sur leurs chefs et leurs alliés. Mais dont les effets sont, cette fois, au niveau de l’Europe entière et du reste du monde.

Il est donc nécessaire d’établir et d’identifier la chaîne des culpabilités qui va conduire les peuples européens au pire ; en « cause » : « le péché », comme Dan.8:12 permet de le comprendre : « L'armée fut livrée avec le sacrifice (sacerdoce céleste du Christ) perpétuel, à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. ». « A cause du péché » de 321, « l’armée des saints » a été livrée au régime papal romain, « la corne », en 538. Tout a commencé le 7 Mars 321, quand par décret, l’empereur Constantin 1er a instauré la transgression du quatrième des dix commandements de Dieu relatif au repos du sabbat du septième jour ; ce qui conduit, aujourd’hui, Jésus-Christ à organiser, après cinq fléaux précédents, le conflit entre l’Ukraine et la Russie dans notre époque finale. Il a organisé, en 1991, l’indépendance de l’Ukraine, et, en 2022, sa demande de rattachement à l’OTAN que la Russie a considérée comme un acte de trahison inacceptable. La guerre a éclaté, la Russie est entrée sur le sol ukrainien. Les appels à l’aide de l’Ukraine aux européens ont fait entrer l’U.E. dans le conflit, et la Russie va finir par dévaster l’Europe aidée par les peuples musulmans de l’Est et les peuples musulmans arabes et africains. Selon Dan.11:44, la Russie est ensuite détruite par le feu nucléaire envoyé par les USA. La terre est alors dévastée par de multiples destructions nucléaires localisées sur les grands centres urbains et les zones militarisées. Conformément à l’annonce du Christ : « le tiers (symbolique, mais probablement beaucoup plus) des hommes » est « tué par le feu et le soufre » des armes atomiques. Non protégées par Dieu, les autres nations païennes se détruisent mutuellement. Les survivants sont prêts pour la dernière épreuve de foi terrestre. Très logiquement, après avoir été la « cause » des châtiments de « six trompettes », elle sera fondée sur la glorification du « saint sabbat de Dieu » dont la gloire repose sur le témoignage de fidélité de ses saints élus ; fidèles jusqu’à accepter le risque de mort qui pèsera sur eux. En dernière extrémité, Jésus-Christ paraîtra pour les délivrer de la mort promulguée par les survivants rebelles. Et après leur enlèvement vers le royaume des cieux, sur la terre, les survivants rebelles s’extermineront dans des règlements de comptes vengeurs. Je dois encore le rappeler : pour Dieu, contrairement aux conventions humaines, la cible de sa colère n’est pas uniquement militaire ; elle est aussi civile, car toutes les créatures humaines vivantes ont à rendre compte de leur comportement envers lui et ses divines saintes lois. C’est ce qui distingue cette Troisième et dernière Guerre Mondiale des précédentes, dans lesquelles les conventions humaines ont prévalu et ont été, plus ou moins, reconnues et respectées.

Très tôt, j’ai relevé le caractère progressif et graduellement intensif des successions des « sept trompettes » de l’Apocalypse ; choses quimoignent de la sagesse de Dieu :

Première trompette : entre 321 et 538, l’Europe chrétienne devenue coupable est agressée par des persécuteurs païens venus de l’extérieur : les Barbares venus de l’Est soit, une stratégie que j’illustre ainsi : Europe « ---

Deuxième trompette : en 538, le régime papal est instauré ; il persécute, pour les convertir, les peuples païens extérieurs : entre 700 et 1200, les Germains et les Musulmans. Illustration : Europe --- »

Troisième trompette : entre le 12ème et le 18ème siècle : Le régime papal persécute les chrétiens réformés européens ; l’agression est tournée vers l’intérieur de l’Europe. Illustration : Europe « --- » Europe.

Quatrième trompette : entre 1789 et 1798 : Dieu détruit la puissance du régime papal catholique romain. Fin de l’agression religieuse chrétienne.

Cinquième trompette : après l’épreuve de foi vécue aux USA en 1843 et 1844, la religion protestante héritière du repos dominical romain est livrée au diable par Jésus-Christ.

Sixième trompette : à partir du 24 Février 2022, L’Europe catholique infidèle toujours coupable est livrée à une destruction partielle ; ses agresseurs viennent de l’Est et du Midi. C’est le dernier « avertissement » donné par Dieu.

Septième trompette : après la fin du temps de grâce individuelle et collective, Jésus-Christ revient sauver ses élus et détruire tous les rebelles terrestres et célestes, Satan excepté, car il doit resté prisonnier pendant « mille ans » sur la terre désolée, avant d’être anéanti avec tous les autres rebelles ressuscités pour subir le châtiment de la « seconde mort » dans « l’étang de feu » ; le feu volcanique ou magma souterrain répandu sur toute la terre.

On peut ainsi suivre le développement de l’agressivité du régime papal catholique romain qui, pas encore identifié diabolique au temps de la « deuxième trompette », agresse des peuples païens étrangers pour les convertir de force ; ce que Dieu n’a jamais ordonné. Ensuite, à l’heure de la « troisième trompette » ; sa nature satanique étant dénoncée officiellement par le moine enseignant allemand Martin Luther, son agression se porte contre ceux qui la démasquent : les réformateurs protestants. Mais parmi ceux-ci, selon Dan.11:34, les plus « hypocrites » s’arment et lui rendent ses coups. Après l’action de la « quatrième trompette », la Révolution française, la parenthèse concernant la foi catholique est refermée.  Au moment de la « cinquième trompette », la nouvelle cible de Dieu va être la foi protestante, dont la Réforme n’a pas été achevée ; elle est restée uniquement partielle et Dieu ne se contente pas de ce qui est seulement partiel ; il exige toujours à terme, la perfection. C’est pourquoi, le criblage basé sur les épreuves adventistes américaines lui permet de livrer au diable les déchus des épreuves et parallèlement, de faire compléter et achever la Réforme par la foi adventiste du septième jour. Car ce nom résume à lui-seul, les deux vérités méprisées par la foi protestante héritière du repos dominical romain : l’intérêt pour l’annonce prophétique du retour glorieux de notre Seigneur Jésus-Christ, et la sanctification mise en pratique pour son saint sabbat du septième jour, qui prophétise le grand repos du septième millénaire qu’il a gagné, par sa mort expiatoire, pour ses seuls fidèles élus.

A l’heure de la « sixième trompette » soit, le 24 Février 2022, pour des raisons différentes ou partagées, les religions catholiques, protestantes et adventistes occidentales ont toutes été rejetées par Dieu et donc livrées au diable et à ses démons. L’imperfection de leur foi étant constatée, il ne reste à Dieu plus qu’à leur adresser un ultime sévère avertissement qui reprend, en plus grand, la forme de la « première trompette » : la Barbarie de toutes les origines revient frapper l’Europe occidentale marquée par le péché commis par Rome ; son jour païen venu remplacer le sabbat sanctifié par le tout-puissant Dieu créateur. La repentance et le fruit de repentance, c’est maintenant ; à l’heure de la « septième trompette », il sera définitivement trop tard.

Caque semaine, la télévision nationale française favorise les cultes religieux pratiqués dans ce que le catholicisme a appelé : « le jour du Seigneur » ce qui est la traduction du mot « dimanche », version française du nom latin : « dies dominica ». Ainsi présenté, qui pourrait soupçonner ce Seigneur d’être le diable ? Car depuis 1843, le vrai Seigneur Dieu, Jésus-Christ, n’agrée que le culte du samedi hérité de la pratique ordonnée aux Juifs. Aussi, je rappelle ici que ce « jour du Seigneur » ne fut que le jour en lequel, pour la première fois après sa mise au tombeau, Jésus est apparu ressuscité à ses apôtres et ses disciples. Un début de semaine pour marquer un début d’alliance, la nouvelle, et rien d’autre. De plus, le premier jour de la semaine de la création terrestre, Dieu a créé la terre et le principe de la « séparation » entre « la lumière et les ténèbres » ; en sorte que ce « premier jour » est rattaché aux « ténèbres », en opposition absolue au sabbat du « septième jour » qui, sanctifié par Dieu, est l’image même de « la lumière » et de la parfaite « sainteté ». La parfaite sanctification des saints est donc rattachée à la sanctification du repos du septième jour dans une parfaite logique du tout aussi parfait projet salvateur conçu par Dieu. Celui qui donne son âme entière à son Créateur ne voit pas de difficulté insurmontable pour adapter sa vie à l’exigence de son Dieu. C’est pourquoi, ceux qui rechignent et refusent cette adaptation témoignent contre eux-mêmes qu’ils refusent de lui appartenir, corps et esprit soit, âme entière.

Ce sujet relevant de la foi, j’aborde ici le problème du climat qui devient de plus en plus chaud. Les païens incrédules ou incroyants ont trouvé leur explication : la pollution produite par l’homme. Sans nier l’existence de cette pollution, je rappelle qu’il y a deux mille ans, sur une barque avec ses apôtres témoins du fait, Jésus a stoppé la tempête qui les menaçait ; sur son ordre, elle s’est calmée, instantanément. Sans oublier cet autre exemple, celui du prophète Elie qui fit revenir la pluie par sa parole quand il plut à Dieu de le faire, selon 1Rois 17:1 : « Élie, le Thischbite, l'un des habitants de Galaad, dit à Achab : L'Éternel est vivant, le Dieu d'Israël, dont je suis le serviteur ! Il n'y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole… » /1Rois 18:44 : « A la septième fois, il dit : Voici un petit nuage qui s'élève de la mer, et qui est comme la paume de la main d'un homme. Élie dit : Monte, et dis à Achab : Attelle et descends, afin que la pluie ne t'arrête pas. » Aussi désagréable qu’il soit, le climat est imposé par Dieu, au titre de fléau qui frappe les peuples qu’il punit et s’apprête à détruire. Dieu n’est-il pas le Créateur de cette nature dans laquelle nous évoluons ?  Cette nature, qu’il contrôle par sa parole et sa pensée, sans lesquelles aucun volcan n’entre en éruption, aucun vent se met à souffler dans une direction ou dans une autre, n’est-elle pas entre ses mains pour qu’il en fasse des armes redoutables ? Qui retient ou envoie la pluie bienfaisante ou dévastatrice sinon lui ? Cherchant ailleurs les causes des phénomènes constatés, les incroyants imputent la situation à un réchauffement climatique progressif provoqué par l’accumulation de la production de gaz carbonique par les êtres humains. Mais à cette théorie, Dieu oppose le témoignage historique passé en lequel, sans la technologie polluante, des époques de grandes chaleurs ont été vécues sur la terre. Et plus près de nous, comment expliquer la soudaine année de sécheresse qui a marqué la seule année 1976 ? Et après elle, le climat est redevenu normal jusqu’à nos années 2020. Et pour faire disparaître tout doute à ce sujet, je rappelle que dans Apo.16:8-9, « le quatrième des sept derniers fléaux de Dieu » va concerner le « soleil » et Dieu nous dit que dans ce contexte il va intensifier sa chaleur. Il ne se contentera pas de chauffer, mais alors, « brûlera » mortellement des chairs : « Le quatrième versa sa coupe sur le soleil. Et il lui fut donné de brûler les hommes par le feu ; et les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a l'autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire. » Relève que dans ce contexte, les rebelles incrédules savent à qui le soleil obéit. Comme les « six trompettes » avant eux, « les sept derniers fléaux de Dieu » sont progressivement intensifs comme ceux qu’il avait prophétisés pour l’ancienne alliance dans Lév.26:18, ou l’expression « sept fois plus » qui sépare les plaies, le prouve, puisqu’on la retrouve dans les versets 21, 24, 28 : « Si, malgré cela, vous ne m'écoutez point, je vous châtierai sept fois plus pour vos péchés. »  En fait, le chiffre « sept » désigne la sanctification de Dieu et donc le repos sabbatique qu’il a rattaché au septième jour parce qu’il prophétise le jour de sa victoire sur tous ses ennemis ; ce septième jour prophétisant le septième millénaire de son grand repos céleste partagé avec ses rachetés, ses élus fidèles. Ainsi derrière ce chiffre « sept » se trouve le Dieu Esprit qui a « sanctifié » son sabbat et qui châtie sa transgression. Et la transgression du saint sabbat divin était déjà en cause dans l’ancien alliance, comme ces versets 34 et 35 de Lév.26 le prouvent : « Alors le pays jouira de ses sabbats, tout le temps qu'il sera dévasté et que vous serez dans le pays de vos ennemis ; alors le pays se reposera, et jouira de ses sabbats. Tout le temps qu'il sera dévasté, il aura le repos qu'il n'avait pas eu dans vos sabbats, tandis que vous l'habitiez. ». Je l’ai déjà dit mais je le répète ici, s’il faut trouver une cause à un réel réchauffement de la température de l’air terrestre, c’est plus dans les 2100 explosions nucléaires réalisées en essai depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale que dans les rejets de gaz carbonique de nos véhicules et nos industries modernes. D’autant plus que le gaz carbonique est transformé en oxygène par les feuilles vertes des arbres qui le consomment et ainsi le transforme pour notre plus grand besoin. Et bien que très diminuées en surface, il reste encore beaucoup de forêts sur la terre.

Au sujet des actions trompeuses, je cite cette intox religieuse qui repose sur le fait de placer une croix sur toutes les tombes des Occidentaux. Aussi dois-je le rappeler, mais selon Ezéchiel 14, les élus sauvés par Jésus-Christ doivent être du niveau de « Noé, Daniel et Job ». Ce message devrait faire cesser des multitudes d’illusions et de fausses espérances ; fausses parce que non fondées et totalement contredites par ce texte d’Ezé.14:13-14 ; 15-16 ; 17-18 : « Fils de l'homme, lorsqu'un pays pécherait contre moi en se livrant à l'infidélité, et que j'étendrais ma main sur lui, si je brisais pour lui le bâton du pain, si je lui envoyais la famine, si j'en exterminais les hommes et les bêtes, et qu'il y eût au milieu de lui ces trois hommes, Noé, Daniel et Job, ils sauveraient leur âme par leur justice, dit le Seigneur, YaHWéH. Si je faisais parcourir le pays par des bêtes féroces qui le dépeupleraient, s'il devenait un désert où personne ne passerait à cause de ces bêtes, et qu'il y eût au milieu de lui ces trois hommes, je suis vivant! dit le Seigneur, YaHWéH, ils ne sauveraient ni fils ni filles, eux seuls seraient sauvés, et le pays deviendrait un désert. Ou si j'amenais l'épée contre ce pays, si je disais : Que l'épée parcoure le pays ! Si j'en exterminais les hommes et les bêtes, et qu'il y eût au milieu de lui ces trois hommes, je suis vivant ! dit le Seigneur, YaHWéH, ils ne sauveraient ni fils ni filles, mais eux seuls seraient sauvés. » Et ce message est répété trois fois, ce qui révèle son importance pour Dieu et ses élus des derniers jours. Car, en effet, les expériences de ces trois hommes sont des critères exigés par Dieu de la part de ses derniers élus :

Noé : fidélité à l’heure de la séparation avant l’extermination de l’humanité.

Daniel : le témoignage de l’esprit de la prophétie.

Job : la victime du témoignage pour Dieu contre Satan.

 

 

La religion orthodoxe

 

Les prophéties bibliques centrées sur le temps de la fin l’ignorent et ne disent rien de spécial sur sa doctrine. Cependant, les leçons révélées au sujet du christianisme lui sont applicables pour plusieurs raisons. Et déjà, parce qu’il s’agit bien d’une religion chrétienne et parce que sa séparation du christianisme occidental s’est effectuée après 321, en sorte qu’elle a appliqué, en Europe orientale le repos du dimanche maudit par Dieu, instauré par l’empereur Constantin 1er. Les différences religieuses par rapport à Rome sont donc minimes et secondaires. Car la malédiction du faux jour de repos s’applique à toutes les religions qui n’honorent pas le septième jour sanctifié par Dieu. En conséquence, son nom « orthodoxe » qui signifie : « opinion droite » est contredit par les faits puisque sa « droiture » est contredite par la vérité biblique.

En 1917, en Russie, une grande révolution populaire a renversé le Tsar et son système monarchique transmis à travers les siècles. Ce qui est arrivé en Russie l’a été pour les mêmes causes que ce qui s’est accompli en France. Pour les observateurs que nous sommes, la leçon divine appliquée est la même. Et je peux même dire que partout où des révolutions se produisent, elles interviennent contre des régimes religieux corrompus non bénis par Dieu. Au Mexique, à Cuba, la cause est toujours la même ; la religion à renverser, c’est encore et toujours la religion catholique. Partout, elle soutient le régime des riches et des puissants injustes et égoïstes. C’est pourquoi, Dieu les fait renverser par des révolutionnaires. Ce dont la prophétie ne parle pas n’est pas dit, parce que Dieu fait appel à notre intelligence. Il nous revient de comprendre que les leçons données par Dieu s’appliquent à tous les hommes, tous les régimes, et toutes les religions. Le portrait robot de la religion parfaite est révélé par le comportement de Jésus-Christ ; c’est celui de la norme exclusive qui ouvre le salut et conduit vers lui.

En Russie, le régime des Tsars était à l’image de nos monarchies occidentales, fort avec les faibles et mielleux avec le clergé, et ceci pour les mêmes raisons qu’avaient les rois occidentaux : la peur de se voir fermer la porte du salut céleste. La faute principale de tous ces régimes royaux a été de faire confiance aux représentants religieux, pour établir un bon rapport avec le Dieu du ciel. Ils ont commis l’erreur de se confier dans l’homme et ont méprisé les avertissements cités dans la Bible, exclusivement : Jér.17:5 : « Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son cœur de YaHWéH ! » Ils auraient tous dû la lire personnellement, par prudence, afin d’être sûrs de ne pas être trompés. Mais ne l’ayant pas fait, ils ont méprisé le Dieu créateur qui l’a inspirée au fil des siècles. Et ce comportement a révélé l’importance qu’il donnait à la religion, bien que paradoxalement, par crainte et superstition, ils ont le plus souvent cherché à éviter de s’opposer aux papes et aux popes. De même qu’étant séparée momentanément d’Adam, Eve fut séduite par les arguments du diable, les hommes qui ne lisent pas la parole de Dieu eux-mêmes, du prince au mendiant, se laissent séduire par les mensonges proférés par les clergés religieux, les prêtres et les pasteurs. La Bible, ces « deux témoins » de Dieu selon Apo.11:3, est notre sauvegarde, la source des arguments qui détruisent les mensonges du diable. Cette arme précieuse est à la disposition de tous ; faut-il encore décider de l’utiliser. Et là, chaque créature devient responsable de son choix avec toutes les conséquences qui en découlent pour elle.

Le régime papal catholique romain a bien vite compris le danger que la Bible représentait pour sa survie, dès que, par sa lecture directe personnelle, les vrais réformateurs appelés par Dieu ont publiquement dénoncé ses mensonges et son usurpation religieuse, et sa nature diabolique. Aussitôt, elle s’est appliquée à persécuter les lecteurs de cette précieuse « parole de Dieu » que ses propres moines scribes reproduisaient dans ses cloîtres et ses monastères. La mort ou la peine des galères étaient les risques encourus par tout possesseur de la sainte Bible. Et grâce à l’invention de l’imprimerie, elle se multipliait répandant, de manière irréversible, la parole de vérité de Dieu.

En Russie, l’extrême pauvreté et le manque d’instruction ont fait que la Bible n’a pas pu éclairer les masses populaires. A défaut, la religion orthodoxe a construit son enseignement sur les images de ses « saintes » icones ; à l’origine, un système éducatif à la portée des gens non instruits, perverti de manière idolâtre par la suite. La Russie et les terres de l’Est européen ont porté le nom d’Esclavonie, parce que le système moyenâgeux y a perduré jusqu’au temps du dernier Tsar Nicolas II tué avec sa famille par les révolutionnaires bolcheviques. Dans cette zone de l’Europe, les paysans sont restés des « serfs » sur lesquels de puissants et riches seigneurs ont dominé, corps et âmes. C’était d’authentiques esclaves d’où le nom donné au lieu d’Esclavonie. Ne sachant ni lire, ni écrire, leur enseignement religieux était oral et ne pouvait être basé que sur des images, des illustrations des scènes historiques témoignées dans la Bible. Ils ne pouvaient compter que sur leur mémoire et ne retenaient que ce que les icônes créées leur présentaient. C’est ce qui explique le succès de l’adoption du communisme et son athéisme national instaurés à la suite de la France. A la chute du régime soviétique, dans la liberté retrouvée, la religion orthodoxe et ses icones ont été rétablies dans la nouvelle Russie relevée par Vladimir Poutine.

Il est important de comprendre le partage religieux de l’Europe de l’Occident et de l’Orient. En 313, fin des dix années des persécutions impériales romaines des chrétiens, à Rome, Constantin légalise la pratique religieuse chrétienne. Résident à Milan, en 321, il établit son décret qui ordonne le changement du jour du repos hebdomadaire. Son forfait commis, il quitte Milan pour résider à Byzance qui rénovée par lui prend le nom Constantinople (renommée plus tard Istanbul après la conquête des Turcs). Cette installation de l’empereur à l’Est loin de Rome, laisse à Rome l’exclusivité de la représentation religieuse chrétienne. Ce n’est pas encore le prestige papal, mais déjà le simple évêque de Rome bénéficie sur ses égaux dispersés dans l’empire du prestige rattaché à Rome, l’ex-ville impériale. Ainsi, l’empereur en titre a quitté Rome pour laisser place au futur empereur papal qui s’y établira en 538 par décret de l’empereur Justinien qui réside lui toujours dans l’Orient de l’Europe. Tu peux ainsi comprendre comment l’autorité papale partage, dès le commencement, sa culpabilité envers Dieu avec la zone orientale de l’Europe chrétienne, jusqu’à ce qu’en 1054, un schisme officiel vient séparer la foi catholique romaine occidentale de la foi orthodoxe de l’Orient ; ceux de l’Orient ayant refusé de se soumettre à l’autorité du pape romain. Dans une totale indépendance, ils ont réorganisé un clergé dirigé par des « popes », mais ceux-ci peuvent se marier et avoir des enfants, contrairement aux papes occidentaux et leurs prêtres ; de plus l’église n’impose pas le célibat à ses serviteurs. C’est pourquoi, cette orthodoxie pratique le « dimanche » ex-jour du soleil invaincu de l’empereur Constantin. Dans son éloignement de Rome, Constantin avait emporté son fruit maudit vers l’Europe orientale et depuis 1843 où Dieu a exigé la restauration de son saint sabbat, ce christianisme partage la faute de le transgresser, exactement comme le fait le christianisme occidental catholique et protestant.

L’Orient a payé très cher, l’instauration papale ordonnée par Justinien. La malédiction de Dieu, qui cependant l’a lui-même voulue, a été manifestée avec puissance, par des épidémies mortelles de pestes, de famines, choses ayant été causées par un climat ténébreux et froid dû à deux puissantes éruptions volcaniques situées sur l’équateur, l’une en Indonésie nommée « Krakatoa », l’autre en Amérique centrale, appelée « Ilopango ». De plus, la zone Est de l’Europe fut soumise à des attaques turques musulmanes et des conquêtes territoriales qui justifient la présence musulmane en Albanie et en Bosnie-Herzégovine, zone devenue explosive au moment de la Guerre des Balkans dans les années 1990 ; une guerre qui semble en voie de se réveiller, selon les dernières nouvelles de l’actualité.

En résumé, le schisme par lequel la foi orthodoxe s’est séparée de la foi catholique romaine, ne lui a pas été profitable et n’a pas changé sa relation avec Dieu, tout comme la séparation des dix tribus d’Israël de Juda, n’avait pas non plus apporté de bénédiction divine à ces dix tribus.

 

 

 

PARIS, ville maudite de tous temps

 

Oui, cette ville a bien été suscitée par Dieu pour un destin funeste calciné. En nos temps modernes, elle est devenue un lieu envié par d’innombrables créatures dispersées sur la terre en raison de sa réputation de capitale du pays de la liberté : la France, pays fondateur des droits de l’homme et du citoyen. Aussi, est-elle devenue une terre de refuge sur laquelle cohabitent des gens aux langues d’origines étrangères ; ce qui lui donne une image ressemblante à la Rome italienne des conquérants romains païens d’avant notre ère et après elle. Rome a beaucoup conquis de peuples mais sa civilisation a aussi beaucoup attiré chez elle les gens qui partageaient ses valeurs marchandes ; ce qui la rendait encore plus riche et attirante.

La meilleure suggestion divine de la tragique fin réservée à la belle ville de Paris repose sur le nom Sodome que Dieu lui impute dans Apo.11:7 : « Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. » La fin du verset est volontairement trompeuse car l’expression semble désigner Jérusalem, la ville où le Seigneur Jésus fut effectivement crucifié le Mercredi 3 Avril de l’an 30 de notre ère. Or, selon Apo.11:3 ; la ville concernée se trouve sur la fin des 1260 jours-années du règne papal romain persécuteur soit, un peu avant 1798 date de la fin de cette période prophétisée par Dieu. En regroupant ces données, la ville de Paris est visée et ciblée et bien désignée comme lieu où le combat porté contre le salut proposé par Jésus-Christ a atteint son plus haut niveau. Pour mieux comprendre l’expression utilisée par Dieu, il faut se souvenir que Jésus a dit un jour à ses auditeurs contemporains, ses apôtres et ses disciples, dans Matt.25:40 : « Et le roi leur répondra : Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous les avez faites. »  Et dans Apo.11:3, Jésus s’identifie à la sainte Bible, sa parole divine qu’il nomme ses « deux témoins ». Et ce sont ces écrits bibliques qui furent brûlés en autodafés sur la place Louis XV, devenue alors place de la Révolution, et depuis Napoléon, place de la Concorde. Les révolutionnaires ne voulaient plus ni du roi, ni du Dieu dont il revendiquait son droit souverain. L’athéisme national établi se plaçait sous le principe de « la raison », bien que ses débuts furent tout, sauf raisonnables. La haine envers l’ancien pouvoir conduisit à un génocide de toute la classe noble ou presque, mais le clergé catholique romain fut sa principale cible. Les révolutionnaires athées républicains régnaient en Maître sur la capitale et dans toute la France, excepté sur le sol vendéen. Et là, on trouva réunis dans le même combat, la classe paysanne et la classe riche des Seigneurs exploitants ; tous unis au nom du « cœur sacré de Jésus » et des prêtres catholiques réfractaires. Car paradoxalement, ce joli monde ne priait que la « sainte Vierge ». Les combats furent atroces dans cette Vendée qui prit alors pour nom « Vengée ». Mais en fait de vengeance, c’est seulement celle de Jésus qui frappait à la fois, les Vendéens pour leur catholicisme et les Républicains pour leur athéisme. Sachant que ce dernier fut suscité par Dieu pour détruire le pouvoir de la coalition persécutrice de la monarchie et du clergé catholique papal romain. Un grand nombre d’âmes furent ainsi guillotinées, noyées, ou percées par les lames et les balles des combattants. Après ces débuts difficiles, entre les empires et les Républiques, la France a fini par trouver sous la quatrième République un état de paix et de liberté de conscience qui a fait sa réputation mondiale.

 

Des origines de Paris

 

Si les œuvres de l’athéisme parisien ont donné à Dieu la justification de comparer Paris à la Sodome antique, il y a de bonnes chances de relever d’autres points de similitude qui relient ces deux villes. Et là, l’histoire nous apprend qu’avant d’être appelée Paris, cette grande ville fut la petite « Lutèce » en latin : « Lutetia », dont la signification révélatrice était : marécage puant. En effet, déjà à l’époque gauloise, la zone du bassin parisien était fortement arrosée par son grand fleuve : la Seine. Et livrée aux caprices saisonniers, son lit débordait et des zones se présentaient sous l’aspect de marécages boueux malodorants, propices aux maladies et aux piqûres redoutées des moustiques. Cette grande quantité d’eaux était due au relief de plaine qui caractérise tout le bassin parisien. Et je relève en cela une seconde ressemblance avec la Sodome antique de la Bible qui s’élevait elle aussi dans une plaine riche et fertile. On se souvient que se partageant le choix, Lot choisit égoïstement la plaine et Abraham privilégia la montagne dans ce témoignage cité dans Gen.13:12-13 : « Abram habita dans le pays de Canaan ; et Lot habita dans les villes de la plaine, et dressa ses tentes jusqu'à Sodome. Les gens de Sodome étaient méchants, et de grands pécheurs contre YaHWéH. » Ce libre choix donné à Lot par Abram, nous permet de découvrir son caractère égoïste et convoiteur. Malgré cela, son attachement à Dieu est sincère mais son choix va lui faire vivre de terribles souffrances, des déceptions, et il finira par fuir ce lieu maudit par Dieu, comme un tison arraché du feu céleste punisseur, sur l’ordre donné par deux saints anges envoyés vers lui.

Nous pouvons facilement comprendre l’intérêt de vivre en plaine plutôt qu’en montagne.  En plaine, les déplacements sont moins fatigants et les champs arrosés assurent la prospérité et la richesse matérielle ; Lot fut attiré par cette perspective. Pour sa part, en choisissant la montagne, Abram préservait sa tranquillité, car la vie y étant plus difficile, peu de gens s’y rendraient pour convoiter ses terres ; il donnait la priorité de son choix à la sécurité pour lui et son peuple composé essentiellement de bergers.

A l’opposé de ce sage choix, la plaine offrait le moyen de satisfaire toutes les convoitises. Et dans la richesse, jusqu’à notre époque, les peuples se pervertissent, cherchant toujours des sensations nouvelles dans tous les domaines, et en premier, au niveau des perversions sexuelles dont Sodome est devenue une norme de pratique sexuelle contre nature, entre femme et homme, femme et femme, et surtout homme et homme. C’est ainsi que dans le Paris libéré des tabous et des interdits bibliques, cet attrait pour la perversion du type Sodome s’est renouvelé et les jugements portés par Dieu contre les habitants de l’antique Sodome se sont alors appliqués pour les habitants de Paris du temps révolutionnaire mais également, de notre époque du temps de la fin. Ceci, parce que subtilement, l’Esprit de Dieu suggère un renouvellement de ce type de situation en plaçant comme « Second malheur », cette situation révolutionnaire déjà symbolisée par la « quatrième trompette » alors que le vrai « second malheur » concerne l’accomplissement de la « sixième trompette » Par cette construction cérébrale suggérée, Dieu relie et dénonce la similitude de la dégradation morale des habitants de ces « quatrième et sixième trompettes ». Il n’y a donc pas que « le diable qui est dans les détails » et ceux, que l’Esprit divin nous suggère de cette manière cachée subtile, sont les plus précieux pour ses élus pour lesquels « le témoignage de Jésus » prend un sens concret inimitable. Dieu désigne Paris par la formule « la grande ville ». Sous cette forme, il désigne par principe les grandes capitales des nations qui s’étendent énormément en mégapoles sur de grandes surfaces de terres habitées.

Une autre « grande ville » est aussi citée dans Apo.17:18 : « Et la femme que tu as vue, c'est la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre. » Cette fois, cette capitale est Rome que Dieu désigne, au verset 5, comme « mère des prostituées et des abominations de la terre ». Ce statut de « mère » cible avec elle ses filles également « prostituées », comme elle. Et il faut relever que l’église catholique tient, officiellement, pour sa « fille ainée », la France, qui en confirmation de ce lien a jumelé à Rome sa capitale Paris ; cette capitale Paris d’où est venu son soutien monarchique, depuis le roi mérovingien Clovis 1er, premier roi des Francs se convertissant à la foi catholique romaine. Il apporte ainsi le premier soutien armé à la cause du pape romain qui lui doit ainsi ses victoires contre ses ennemis locaux, les familles des Lombards. Le royaume Franc sera ainsi progressivement totalement unifié et officiellement converti à la religion chrétienne établie sur la norme papale romaine. C’est alors, que Paris sera définitivement attaché à la catholicité. Or, après avoir vu la traduction du mot Lutèce, voici les origines du nom « Paris ». Une grande tribu celte répondant au nom de « Parisii », signifiant « ceux du chaudron » (confirmant son funeste destin final), est venue s’installer dans Lutèce et leur nom a remplacé celui-ci par celui de Paris. Cette tribu celte était purement païenne et par un jeu de mot en latin, son nom a pris pour sens : « Par Isis », nom de la déesse d’origine égyptienne « Isis » dont ils sont devenus adorateurs ; une divinité féminine puissante, et méchante, que les Ephésiens de la Bible appelaient « Diane ». Ainsi les religions païennes s’étendaient sur toute la terre habitée et pour ce faire, Rome joua un grand rôle. Loin de combattre les divinités de ses ennemis, elle les adoptait et les ajoutait à ceux qu’elle connaissait déjà. La religion n’était donc pas un sujet de dispute et on peut ainsi mieux comprendre pourquoi, Dieu voulait empêcher les humains de vivre regroupés en un seul lieu, pour la première fois, à Babel. C’est pourquoi, à la confusion des divinités multipliées, il répondit par la séparation des langues. Mais au temps du regroupement dans Rome, les langues étrangères cohabitent ensemble sous l’autorité de Rome qui ne s’oppose pas à la chose. Rome, en première, recrute ses soldats légionnaires parmi tous les peuples conquis rattachés à l’empire. Les légionnaires engagés doivent apprendre rapidement les ordres des commandements lancés en latin et le reste est facultatif. Autre point de ressemblance entre Paris et Rome, les deux organisent des légions composées par des étrangers engagés volontairement. La France se distingue par sa prestigieuse « légion étrangère ». Isis, ou Diane, est aussi représentée en mère portant dans ses bras son enfant, et c’est ainsi que sous cette représentation, la « sainte Vierge » du catholicisme va facilement être adoptée par les adorateurs de Diane, Isis. Les Parisis vont pouvoir ainsi facilement adopter la religion proposée par Rome et bientôt imposée par elle et le bras séculier royal. A l’époque de la renaissance, sous François 1er, le réveil évangélique protestant est venu offrir une chance aux habitants de Paris de se convertir à la foi chrétienne romaine réformée. Mais ils lui résistèrent farouchement s’accrochant comme le pendu à sa corde à sa religion catholique idolâtre. L’idolâtrie ne l’a d’ailleurs jamais gêné, ce peuple idolâtre par tradition. Les Parisiens étaient et sont encore des « Par Isis ». Ils ont haï les protestants et ont participé à leur mise à mort au massacre de la Saint-Barthélemy en 1572. Ils ont pleinement approuvé les tueries perpétrées par la famille des Guises dont l’un des membres était Cardinal. « La Bête » révélée dans Apo.13:1 prit alors sa forme prophétisée ; celle d’une religion où le peuple civil et la composante religieuse du clergé soutenaient ensemble le principe de la religion obligatoire par contrainte des corps et des esprits humains. J’ai une proposition pour expliquer le nom Paris raccourci de Parisis. Dieu prend parfois pour appui de ses messages des leçons hérités des enseignements grecs, notamment, la fameuse stratégie du « cheval de Troie » qui consiste à faire entrer ses soldats dans la cité, imprenable par la force, par le moyen de la ruse ; ceci en faisant en sorte que l’ennemi les fasse entrer lui-même sans qu’il s’en doute. Cette leçon concerne la religion chrétienne dans l’époque « Pergame », nom qui désigne l’adultère soit par deux mots grecs, la transgression du mariage. La ruse grecque s’est alors appliquée à la vraie foi chrétienne, laquelle fut victime d’un apparent soutien de la part de l’empereur Constantin 1er en date de l’an 313. C’est cette ruse diabolique qui a préparé la forme de la religion catholique que nous connaissons, héritière du « repos du dimanche » imposé en 321 par cet empereur. Elle a ensuite été placée sous la domination du pouvoir papal, officiellement en 538, par le décret de Justinien 1er, autre empereur romain. Pour Dieu, cette accusation d’adultère spirituel est si importante que le mot est cité clairement dans Apo.2:22 où il est donné pour cause du châtiment de la « grande tribulation » rattachée aux deux accomplissements successifs dans les époques des « quatrième et sixième trompettes ». Ce rôle fondamental de l’acte de l’adultère vient encore plus justifier ce nom Paris, qui était celui du jeune troyen grec fils du roi Priam ; ce Paris ayant séduit et emmené à Troie la belle Hélène, femme du roi grec Agamemnon. Cette action fut à l’origine de la « Guerre de Troie ». Mais l’expérience est finalement punie par la mort des Troyens idolâtres qui firent entrer dans les murs de Troie, le cheval de bois, laissé sur la plage par les Grecs partis. Et dans ce cheval de bois, des soldats grecs cachés attendirent la nuit où les Troyens étaient brisés par la fatigue, l’alcool, et les fêtes ; la ville endormie était sans défense. Sortant alors du cheval, les soldats grecs ouvrirent les portes de la ville aux troupes grecques revenus silencieusement sur le lieu. Ainsi, la famille royale troyenne périt avec tout son peuple, et la ville fut incendiée et mise en ruine par la furie destructrice des soldats grecs. Ce témoignage hérité d’Homère, un talentueux historien et poète grec est très utile pour comprendre le comportement des Français dans leur histoire. Dieu prophétise pour la France et sa capitale Paris, qu’elle fera entrer elle-même ses ennemis dans ses murs après quoi, ils la détruiront comme les Grecs ulcérés du récit d’Homère.

Au titre symbolique de « quatrième trompette », la Révolution Française a puni le premier « adultère » commis par le soutien royal donné à la religion catholique papale romaine. Manquant de pains, les Parisiens reprochèrent au roi Louis XVI de les délaisser, en préférant vivre au palais de Versailles plutôt qu’au Louvre dans Paris ; et la fuite manquée découverte à Varennes le condamna à mort pour trahison. La deuxième punition vient avec la « sixième trompette » soit, la Troisième Guerre Mondiale. Cette fois « l’adultère » condamne toutes les religions chrétiennes, le catholicisme et le protestantisme, l’adventisme officiel et l’orthodoxie, lesquels ne protestent plus du tout, jusqu’à traiter en égale, la religion de l’islam installée sur son territoire. La culpabilité des religions chrétiennes arrive donc à son apogée ou presque, et les génocides nucléaires prophétisés sont donc, pour Dieu et ses élus, parfaitement justifiés ; une fin digne de celle des Troyens et des habitants de Jérusalem.

Au cours de son histoire, Paris s’est fait remarquer par son intolérance et son soutien donné au régime catholique de ses rois successifs. Au temps de la fin de ses cinq Républiques, dans un comportement entièrement opposé au précédent, elle est devenue accueillante et tolérante au-delà du normal et de la prudence. En fait, progressivement, la pensée athée des libres-penseurs est venue remplacer l’adoration religieuse pour le catholicisme romain. Cependant, pour les cérémonies officielles, des honneurs lui sont encore rendus mais par pur héritage traditionnel, rien de plus. Or, pour Dieu, honorer l’athéisme ou le catholicisme revient au même résultat et donc à la même culpabilité envers lui et sa religion véritable. Le développement de l’instruction humaine n’a pas favorisé le retour de la vraie foi ; bien au contraire, le savoir est devenu, à lui seul, une nouvelle divinité à laquelle se consacrent les nouveaux idolâtres du temps final.

Le grand changement de comportement des Parisiens a été provoqué par l’expérience douloureuse de la Deuxième Guerre Mondiale sous laquelle Paris a été occupée par les soldats ennemis allemands. A la même époque, après sa libération, Paris a découvert l’Amérique et ses normes de vie basées sur la réussite matérielle et le succès commercial ; ces choses étant réalisées dans une ambiance de paix favorable à l’optimisme. C’est dans ce contexte que la France a découvert les grands « marchands de la terre » cités dans Apo.18. Et bénéficiant de 77 années de paix « mondiale », le commerce est devenu la valeur à laquelle l’occident a tout sacrifié. Aussi, après ses dernières guerres coloniales, Paris n’a voulu que plaire et attirer des touristes pour l’enrichir. Elle est devenue le phare internationale de la beauté, du luxe et des plaisirs interdits jusqu’à ce qu’elle les justifie tous et les rendent légaux. Et là, la boucle va se refermer en rappelant ses origines, car la Lutèce ou « marécage puant » a conservé en Paris une zone appelée « le Marais » dans laquelle se regroupent et s’agglutinent des artistes en tous genres, mais aussi, des êtres pervers sexuels aux mœurs abominables multiples. S’inspirant de la vie du Moyen-âge, l’écrivain Victor Hugo a créé sa célèbre œuvre « Notre Dame de Paris ». Dans son récit, il mentionne l’existence de la « cour des miracles » composée de truands, d’égorgeurs, de voleurs et de femmes légères. L’image du marécage puant l’a donc continuellement marquée. Reconstruite et embellie par le Baron Haussmann, sous Napoléon III, la ville a gagné sa réputation de plus belle ville du monde, mais sur le plan moral, elle est restée la même, les belles demeures, les beaux immeubles n’ont pas fait disparaître sa noirceur morale condamnée par Dieu.

En 2022, la pensée athée est tellement implantée dans les esprits humains que personne ne pense à chercher en Dieu les causes des malédictions successives constatées qui s’enchaînent l’une après l’autre : Covid-19, Guerre d’Ukraine, inflation record mondiale, crises énergétiques, risques de famines dus aux blocages des exportations de blés et autres céréales mais aussi aux mauvaises conditions climatologiques, sécheresse des sols, et désaccord entre les USA et la Chine. Il est donc encore trop tôt pour que les esprits humains se réveillent et plus précisément, ceux qui doivent se réveiller, car pour d’autres, le réveil ne s’effectuera jamais.

En conclusion, Dieu présente Paris comme la ville rebelle type. Mais cette « fille aînée » de l’église catholique a de nombreuses sœurs qui ont été séduites par sa liberté ; et cette séduction a permis l’organisation de l’U.E. dont le succès a conduit les européens à croire que la prolongation de la paix lui était due. Aussi, amère est leur surprise de voir soudain la guerre éclater de nouveau en Europe, ce qu’ils pensaient devenu impossible. Je relève donc cette comparaison avec les Troyens qui connurent leur châtiment au moment même où ils célébraient dans la fête leur apparente et trompeuse victoire. La chose se reproduit pour l’Europe conquérante et accueillante, passée de six à 27 nations membres en l’été 2022. Et c’est effectivement son succès qui l’a conduite à soutenir l’adhésion européenne de l’Ukraine arrachée à l’alliance russe. Et la Russie courroucée mettra fin à toutes ses arrogantes espérances en détruisant ses peuples, ses soldats et leurs armes. Une dernière fois, l’attitude rebelle de Paris et sa gouvernance sera cause de sa destruction nucléaire finale. Paris, la ville rebelle ne sera plus et ne sera plus jamais. Il ne restera plus d’elle que l’aspect du « chaudron » de la Lutèce originelle, mais cette fois, sans ses habitants.

 

 

L’incroyance et l’incrédulité ne sont pas légitimes

 

Au fil des jours qui passent et présentent des drames, les illusions solidement implantées dans les esprits des Occidentaux commencent à vaciller  parce qu’ils sont confrontés aux faits de l’actualité. Cependant, il ne se produit pas encore, le déclic qui les conduirait à accepter de remettre en cause leurs convictions et leurs opinions. Pourtant, la concentration des échecs subis devrait diriger les esprits incrédules à se poser la question et à chercher l’explication de ce rassemblement de choses en cascades dans le monde invisible des esprits, car c’est là que Dieu les attend.

Beaucoup de gens incrédules s’auto justifient dès lors qu’ils jugent qu’ils ne font de mal à personne ; à personne de visible et charnel, faut-il préciser. Or, c’est là que commence leur erreur de jugement, car en ignorant Dieu et ses ordonnances, ils se font du mal à eux-mêmes et à Dieu qui est ainsi méprisé. Il y a donc déjà dans cette attitude deux victimes : l’incrédule et Dieu. Il est donc important de comprendre que Dieu ne condamne pas seulement la mauvaise action commise mais aussi l’absence de pratique des bonnes œuvres qui devraient être produites. Le jugement de l’individu par lui-même est donc sans aucune valeur, car seule, la norme du jugement de Dieu compte.

Les esprits rebelles se manifestent par leur entêtement, leur obstination irraisonnée, même face aux évidences qui commencent aujourd’hui à abonder. Car après 77 années de paix et de prospérité relatives, l’Occidental est contraint de reconnaître un enchaînement de malheurs successifs qui s’abattent sur lui. Mais fidèle à sa nature rebelle, « même pas peur », il se désole, mais reste au niveau du constat ; il n’est pas question d’aller plus loin. Pourtant, si son intelligence le lui permettait, il réaliserait que la situation qui se présente aujourd’hui n’est que la conséquence de ses multiples et permanents refus de tenir compte des signes avertisseurs qui se sont présentés à lui au fil du temps passé.

Il se trouve que le vendredi 12 Aout, aux USA, à New-York, le célèbre écrivain indo-musulman Salman Rushdie a été frappé de coups de couteau, au cou et à l’abdomen, alors qu’il s’apprêtait à prendre la parole dans une assemblée. L’agresseur est une jeune musulman de 24 ans. Et ainsi, 33 ans après son annonce, la fatwa de l’Ayatollah Khomeini a été mise en action. Au cours de ces 33 ans écoulés, la non application de cette fatwa a favorisé les fausses illusions des incrédules Occidentaux. Pendant toutes ces années, ils se sont persuadés que leurs valeurs humanistes pouvaient vaincre tous les obstacles ; la réussite ne devait être qu’une question de temps. Et le temps qui leur était favorable semblait leur donner raison. La conviction créée était donc devenue très forte et en conséquence, l’espérance prenait la forme arrogante de l’affirmation et de la confiance en la victoire finale. Cette conviction était d’autant plus forte que l’expérience occidentale a offerte un bel exemple de ce succès. La foi chrétienne, ne s’est-elle pas adaptée aux exigences d’une société laïque ? Pourquoi, l’islam ne serait-il pas changeable à l’image des Chrétiens ? La paix religieuse européenne a été obtenue par cette acceptation des règles laïques civiles. Mais, je te fais remarquer que ce raisonnement oublie une chose importantes ; c’est que c’est la société laïque qui s’est construite sur le modèle chrétien, et non l’inverse. La république a été solidement instaurée par les normes du Concordat ordonné par Napoléon 1er, et pour base de sa laïcité, l’empereur a pris celle de la société chrétienne et uniquement elle. Ce christianisme était catholique et protestant et le pouvoir laïc civil a imposé aux deux anciens belligérants la paix et la tolérance. Mais en dehors de cette obligation de paix, les deux religions n’ont eu aucun compromis à passer, leurs dogmes et doctrines restant entièrement libres. C’est ce qui explique que la laïcité n’a posé aucun problème, jusqu’à sa confrontation moderne avec l’islam et surtout depuis sa légalisation des perversions sexuelles dont les auteurs sont autorisés à se marier, hommes avec homme, femme avec femme. La laïcité a donc récemment adopté des changements qui heurtent les valeurs des gens religieux chrétiens ou musulmans. La situation est donc claire : avant ses lois abominables, la laïcité était compatible avec la foi monothéiste ; depuis l’adoption de ces lois, elle ne l’est plus. Le choix laïc est dénoncé par les musulmans seulement et ceci s’explique par l’apostasie chrétienne généralisée qui caractérise les religions catholique et protestante depuis 1844 et l’adventisme institutionnel, depuis 1994.

Dans le camp laïc, on est convaincu que les religions ont vocation à s’adapter aux exigences nouvelles qui apparaissent avec le progrès. Et là encore, parce que les faux chrétiens ont accepté de compromettre leurs valeurs chrétiennes, cette pensée a été légitimée et justifiée. Hélas pour lui, l’islam n’a pas vocation à s’adapter aux règles fixées par les « infidèles » laïcs républicains ; son organisation, sans chef suprême terrestre, rend cette religion indomptable. Dans l’islam qui signifie « soummission », à Dieu seulement, chacun est libre de ses faits dès lors qu’il reconnaît pour prophète Mahomet et pour livre sacré, le Coran. C’est donc uniquement à son mépris pour le sujet religieux que le camp laïc n’a pas vu ni compris que l’islam et lui était incompatible, du fait même de leur principe opposé ; mais c’est aussi vrai pour la vraie foi chrétienne. Cependant la norme de paix enseignée par Jésus a fini par donner aux chrétiens une norme de créatures manipulables et dociles, et dans l’apostasie actuelle, ils le sont devenus encore plus. Les valeurs de pureté enseignées par Dieu sont ainsi totalement ignorées comme si elles n’avaient jamais été enseignées.

C’est ici, que l’islam est utile pour Dieu ; sa nature indomptable en fait l’élément guerrier qui met fin à la paix religieuse des sociétés occidentales. Pour notre Créateur, il y a un temps pour toute chose. Jusqu’à ce que son rôle agressif entre en action, entre 1958 et 1995, l’islam endormi maghrébin s’est installé progressivement en France, et depuis 1945, dans l’Allemagne où s’est installée une grande communauté turque. Et dans ces deux pays, la composante musulmane s’est longtemps adaptée aux règles laïques des pays d’accueil. Cette docilité n’était que provisoire et due à un affaiblissement momentané de la pratique de l’islam. De manière progressive, depuis 1948, le retour des Juifs dans l’Israël devenu entre temps, la Palestine, a provoqué une guerre permanente entre Juifs et Palestiniens. Partout, dans les pays musulmans, ce retour ressenti comme une injustice a réveillé le comportement religieux et les actions guerrières extrémistes qui se sont progressivement exportés dans les nations occidentales. La première nation du péché est donc devenue cause d’une malédiction pour toutes les nations occidentales et orientales. Le projet de Dieu s’est accompli selon son souhait. Toutes les conditions favorables à la guerre sont établies et prêtes à frapper les peuples coupables de divers péchés ; pour l’islam et le judaïsme, leur refus du messie Jésus et pour les peuples chrétiens, leur mépris pour le Christ et son modèle d’obéissance.

La colère de Dieu est donc très grande, même si l’on en voit qu’une petite partie seulement dans les malédictions actuelles. Cette colère est d’autant plus grande, que l’humanité a reçu d’innombrables témoignages rejetés et méprisés. Non, l’homme n’est pas légitime quand il choisit de ne pas croire à l’existence de Dieu, bien qu’il soit laissé libre de faire ce choix. Mais cette liberté ne le protège pas contre les conséquences encourues ; car Dieu condamne à mort le coupable qui ose le mépriser. C’est là que la malédiction divine se distingue par les formes que cette mort va prendre : l’épée ou les balles, les bombes, le feu, la noyade, toutes sortes de morts non naturelles.

Dieu tient pour coupable l’homme moderne qui refuse de tenir compte des témoignages du passé : celui des martyrs de la foi dont les derniers remontent à un peu plus de deux-cents ans seulement. Ils sont tenus pour coupables de croire que ces fidèles serviteurs de Dieu ont fait don de leur vie pour rien ; sans aucune raison d’agir ainsi. Alors qu’à l’origine de cet héroïsme, il y a l’expérience de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ, imités en premiers par ses apôtres, les témoins oculaires de cette mort par crucifixion et de cette résurrection. Dans l’enseignement laïc, les mêmes gens acceptent de croire à bien des choses moins importantes sur des témoignages aussi dignes de leurs doutes.

Le doute n’est légitime qu’au début de la réflexion ; en aucun cas pour sa fin. Car entre le début de la réflexion et sa fin, l’homme peut construire sa foi en tenant compte de nombreuses données que Dieu offre à l’intelligence de ses élus qui le cherchent. C’est ainsi que j’ai pu découvrir dans ma propre expérience, qu’en plus des paramètres révélés par les textes des quatre Evangiles, Dieu pouvait offrir encore plus, dans ses messages prophétiques qui annoncent l’avenir avec une telle précision que les faits prennent la force de la réalité du vécu. Aussi, à cause de l’immense quantité de données favorables à la foi mises à la disposition de l’incrédule, son incrédulité est hautement, et de manière incontournable, injustifiée et condamnée par Dieu.

La vraie foi est mise à la disposition de tout homme réellement honnête envers lui-même et son prochain. La véritable honnêteté est une force contraignante contre laquelle il est impossible de lutter. Ce qui distingue un élu d’un autre homme, c’est cette propension à obéir à sa propre conscience. A l’opposé, l’incrédule résiste à sa conscience qu’il étouffe en choisissant de ne pas tenir compte des arguments de vérité qu’il reçoit. Bien qu’ayant été créés sur un même principe modèle de vie physique et mentale, l’élu se différencie du déchu en ce qu’il ne peut pas résister à ce que sa conscience lui présente en bien ou en mal ; le bien et le mal étant définis uniquement par le jugement de l’Esprit de Dieu. S’il n’existait pas, le bien et le mal ne pourrait pas être définis. Et c’est ce qui se passe, précisément dans nos sociétés occidentales qui se sont entièrement séparées de Dieu. Le fruit direct de cette séparation est cette incapacité à définir le mal. N’ayant plus la limite fixée par Dieu, l’humain peut avancer sans limitation dans ses excès et ses outrances. Et chacun peut relever que le premier signe de cette séparation totale d’avec Dieu a été le choix de légaliser le mariage homosexuel et ses déviances condamnés par la même société jusque-là.

Je frémis d’horreur à la pensée que dans ce processus, la société pourrait allait encore plus loin et finir par légaliser les relations pédophiles comme les peuples asiatiques séparés depuis toujours de Dieu le font déjà. Tout n’est qu’une question de temps donné par Dieu, mais nous savons maintenant que celui-ci s’arrêtera au printemps 2030, sur la terre, pour les bons, les justes, et les méchants.

Dieu a mis dans l’aspect donné à la nature, d’innombrables preuves qu’il l’a créée. Des fossiles marins trouvés sur les plus hautes montagnes témoignent du déluge d’eau révélé par Dieu à Moïse. Mais dans l’incrédulité, cette nature est associée à des fantasmes évolutionnistes depuis Charles Darwin, car jusqu’à lui, la nature était considérée comme une création divine. Coupé de Dieu, l’incrédule est victime de nombreuses fausses théories qui visent à le rassurer. Les scientifiques lui assurent qu’il n’existe pas un Dieu à craindre et que toute vie évolue comme la nature elle-même. On voit que le principe de l’adaptation est l’élément fondamental de cette pensée incrédule et c’est à cause de cette opinion que l’incrédule pense que ce sont les religions qui doivent s’adapter à la science et non l’inverse. Sauf que, dans sa réflexion, la science se prive des conséquences de l’existence du Dieu créateur auquel nous devons le miracle permanent de la vie. Scientifiques et croyants regardent les mêmes choses en leur donnant des explications différentes, et heureusement que Dieu est vivant pour intervenir et mettre fin à cette perpétuelle confrontation, pour le bonheur et le salut de ses fidèles élus. Car, aucune autorité humaine n’est compétente pour le faire à sa place. Ce qui est sûr, c’est que Dieu a pour principe de faire retomber les œuvres du méchant sur sa propre tête, et qu’à cette dernière extrémité, son destin est scellé de manière définitive.

Les incrédules voient leur incrédulité encouragée par les scientifiques qui leur donnent des explications rationnelles sur ce que les yeux voient. Mais que voit-on de cette nature qui nous parle ? Uniquement l’aspect supérieur de sa croûte terrestre, laquelle a subi au fil des 6000 ans terrestres beaucoup de changements dus à des tremblements de terre qui ont formé ou déformé des montagnes, des plaines, dans lesquels, les eaux des neiges fondues se sont créé des torrents, des rivières et des fleuves. La religion ne s’oppose pas au constat des strates superposées qui constituent les montagnes et tous les sols. Mais elle s’oppose aux théories qui donnent à ces choses une existence de millions et milliards d’années, parce que Dieu a affirmé le contraire, en révélant son projet de six mille ans, depuis sa création jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ. Les strates visibles témoignent, au plus, des dernières centaines de successions d’années de ces presque 6000 ans, et rien de plus ; le reste n’est que le fruit de l’esprit humain inspiré par le diable, toujours à l’œuvre pour contredire et détruire les vérités divines. Mais c’est précisément pour cette œuvre trompeuse qui prend au piège l’incrédule que Dieu l’a laissé encore en vie, lui et ses démons rebelles.

A lui seul, le déluge d’eau survenu en l’an 1655 depuis le péché originel a donné au sous-sol terrestre un aspect spécifique vérifiable. Car il faut réaliser ce qu’implique ce déluge d’eau qui a recouvert pendant environ une année le sol de la terre. La première conséquence a été la mort de tout ce qui vivait alors sur la terre. La deuxième conséquence a été le ramollissement du sol et du sous-sol de la terre de cette époque. Des strates anciennes se sont mélangées aux divers coquillages et ossements d’animaux morts terrestres et marins. Il est certain que cette année du déluge a créé une strate de très grosse épaisseur unique en son genre. En France, près de Nîmes, des carrières offrent cet aspect : sur des dizaines de mètres la pierre est constituée d’une compression de coquillages marins plus ou moins brisés mélangés à du sable jaune, cette pierre très spéciale a pour nom « travertin » ; et Nîmes n’est pas en bordure de mer, mais à environ quarante kilomètres de la mer méditerranée. Cette présence de fossiles marins sur les lieux les plus élevés de la terre sèche atteste de la réalité du déluge biblique. Car dans son récit de la Genèse, Dieu révèle les phases de sa création terrestre et au moment où la terre sèche est sortie de la masse d’eau il n’y a de vie ni sur terre ni dans l’eau. Aussi, sans déluge, on ne peut pas justifier la présence de ces fossiles marins créés dans l’eau après cette séparation de la terre sèche. C’est pourquoi chacun de ces fossiles et de ces coquillages marins constitue un témoin visible, qui justifie et confirme l’existence du Dieu Esprit invisible, ou visible sous un aspect charnel terrestre, comme il est apparu en Jésus-Christ avant et après sa résurrection. Dans les montagnes jeunes, telles les Alpes, des pics et des aiguilles témoignent d’un grand chaos organisé par Dieu et les strates des rochers renversés et dispersés confirment la marque des années et des siècles des successions annuelles du temps terrestre. Mais aucune de ces choses n’autorise l’homme à faire Dieu menteur car rien en elle ne vient contredire l’accomplissement de son projet global de six mille ans auxquels succèdera le grand sabbat du septième millénaire ; un temps global bâti sur la norme de la semaine de sept jours. Et cette analogie donne au repos du sabbat hebdomadaire toute sa signification glorieuse de récompense de la victoire obtenue sur le péché, par notre divin et humain Seigneur, Jésus-Christ.

L’incrédule a bien tort de nier l’existence de Dieu, parce que la science et la connaissance technique de la vie et la matière ont avancé. Tout ce que l’homme découvre n’est que ce que Dieu a créé en premier. Si celui qui découvre une chose revendique une gloire, combien plus, celui qui a créé toute chose et toute vie est digne, lui, de la plus haute gloire concevable et démontrable. Et depuis les premières agressions islamiques des GIA en 1995, sur le sol de la France, les dirigeants français ont reçu la preuve du danger que constituait pour eux l’extrémisme ou intégrisme religieux de l’islam. Ayant compris la difficulté de le neutraliser, les uns après les autres, les chefs républicains n’ont su que déplorer et constater la progression du danger. Leur esprit humaniste a été piégé par le double aspect de l’islam ; certains musulmans se montrant pacifiques, les autres étant agressifs et assassins. Ce double visage a conduit les instances dirigeantes à l’immobilité qui a favorisé l’hyper développement des groupes islamistes ; ceci, jusqu’à l’heure de l’affrontement final inévitable qui est, de plus, prophétisé par Dieu. Car Dieu n’a pas voulu cacher aux incrédules français le sort qu’il leur a réservé. Et contrairement aux prophéties bibliques, bibliquement codées, par Michel Nostradamus, il leur a dit dans le 18ème quatrain de la 1ère Centurie :

« Par la discorde négligence Gauloise

Sera passage à Mahomet ouvert,

De sang trempé la terre et mer Sénoise,

Le port Phocéen de voiles et nefs couvert ».

L’intérêt de ce quatrain est double, car non seulement il annonce clairement le drame qui vient, mais en plus, il exprime un jugement divin sur le comportement des Français, auxquels il impute, non sans raison, un esprit de « discorde » et un comportement « négligent » que j’attribue à cet orgueil de l’humanisme conquérant qui les a longtemps, et jusqu’en nos jours actuels, caractérisés. L’avertissement donné était très précieux, car son ignorance est justement la cause de cette négligence évoquée. Il convient aussi de relever que, comme les Gaulois ancêtres, pour les Français actuels, la discorde est la conséquence du désir de liberté que chacun réclame, mais sous une forme et une opinion strictement individuelles. Et la conséquence de ces confrontations d’idées, c’est l’immobilité, l’empêchement de régler efficacement les problèmes soulevés ; les « pour » et les « contre » se neutralisent et à terme, ils détruisent leur nation, facilitant les actions de leurs ennemis mortels.

Le titre de ce message cite des « incrédules » et des « incroyants » dont il faut relever la              différence. Dans la Bible, il n’est question que d’incrédulité, car ce terme désigne l’absence de foi obéissante chez des êtres croyants. Car l’incroyance est une bizarrerie apparue en France au cours du  développement de la Révolution française de 1789. Jusqu’à cette date, les êtres humains étaient tous croyants en un dieu ou plusieurs, mais tous croyaient à des dominations divines cachées ; les images et les statues qui les représentaient n’étaient pour les adorateurs que les supports visibles des esprits des divinités invisibles. C’est d’ailleurs, sur ce point que le culte du vrai Dieu se distingue. Il reste lui-aussi invisible, mais il interdit à ses fidèles d’adorer la moindre image le représentant. La foi en lui est démontrée par la mise en pratique de son enseignement et cela suffit, car le vrai Dieu ne veut sélectionner que des élus rachetés intelligents et obéissants soit, l’exact contraire du diable et de ses démons rebelles condamnés à mort en sursit, en premiers, pour l’exemple. Ainsi, Israël a fait preuve d’incrédulité en refusant de reconnaître Jésus pour Messie ou Christ divin. Mais ce ne fut pas la seule faute commise par la nation et son clergé car Jésus a dénoncé leurs nombreux autres péchés pendant son ministère terrestre. Seulement, le rejet du Messie était le dernier péché qui allait porter une conséquence définitive pour l’existence de la nation juive, détruite en 70 par les troupes romaines afin de confirmer le jugement arrêté par Dieu.

Pour l’homme occidental de notre époque, il est difficile de réaliser que son comportement est une anomalie humaine, parce que la bizarrerie de l’incroyance est devenue la normalité pour la quasi généralité des êtres humains occidentaux de notre temps. Mais j’insiste sur ce point, cela s’applique uniquement au camp occidental héritier des fausses « lumières » enseignées par les libres penseurs incroyants du 18ème siècle. Car à l’opposé, les Orientaux sont restés très religieux et fanatiquement pour certains, voire la majorité d’entre eux. Ainsi, suivant le modèle de l’incroyance des Français, en quelques deux siècles, tout les Occidentaux se sont laissés gagnés progressivement par le rejet du Dieu vivant. En sorte que plus Dieu démontre sa bonté et son amour, plus l’humanité instruite par la science le rejette et le méprise. En Occident en 2022, la bonté et l’amour ne font plus recette. Mais à l’opposé, en Orient et en Afrique, les fausses divinités méchantes et cruelles sont fidèlement honorées et servies. L’incroyance Occidentale s’est considérablement accrue en quelques décennies et plus particulièrement dans la dernière décade en laquelle des enfants ne reçoivent plus aucun enseignement religieux dans les familles européennes et surtout en France où cette incroyance a été nationalisée pour la première fois de toute l’histoire de l’humanité. Mais attention relevons bien que les libres penseurs du 18ème siècle n’ont pas rejeté le Dieu d’amour et de bonté, ils ont rejeté les tribunaux de l’inquisition catholique papale et romaine, injustes et cruels, qui prétendaient le représenter, mais favorisaient le riche noble contre le pauvre. Et c’est ainsi qu’écartant le Dieu créateur ils se sont donnés pour divinité la déesse « raison » alors même qu’ils donnaient par leur comportement l’exemple même de la « déraison ». Car, leur erreur, dont les conséquences se prolongent encore aujourd’hui, fut de ne pas faire la différence entre Jésus-Christ le Dieu des Evangiles et l’odieuse et impure fausse sainteté papale qui revendique faussement son titre de « vicaire ou serviteur du Fils de Dieu ». De plus, à leur époque, la foi protestante des hypocrites armés, qui rendaient coup pour coup aux ligues catholiques, masquait le témoignage des vrais élus, martyrs dociles et pacifiques. Les Guerres des religions effroyables par les horreurs commises dans les deux camps, protestant et catholique, révélaient un Dieu créateur cruel et belliqueux digne de haine. Mais, la Bible et ses Evangiles présentaient pour Dieu le vrai visage du Dieu créateur, en sorte que son rejet par les libres penseurs témoigne de leur nature rebelle et ils ont profité du prétexte justifié des exactions commises par les faux chrétiens pour rejeter Dieu et l’obéissance qui lui est due par toutes ses créatures. De même, aujourd’hui, la science et ses explications techniques ne sont que les prétextes derrière lesquels se trouve le désir de liberté outrancière des humains devenus incroyants par libre choix. Car en plus de la Bible, le témoignage des martyrs écrits avec leur sang est ignoré et méprisé par une société rebelle qui pratique le révisionnisme devant la face de Dieu ; puisqu’ils réécrivent l’histoire, s’efforçant de faire disparaître les références religieuses historiques. Je rappelle, depuis 1981, l’attribution de la place de septième jour au « dimanche » romain, premier jour de la semaine établie par Dieu ; mais aussi, depuis peu de temps, l’élimination du rattachement de notre ère au nom de Jésus-Christ ; chose observée depuis la création du calendrier chrétien établi par le moine catholique Denys le Petit, au VIème siècle. Le nom du Christ doit disparaître pour plaire aux communautés musulmanes, nombreuses maintenant en France, de même que la communauté juive. Le syncrétisme du compromis recherché conduit au crétinisme abject et absolu. Mais, nous sommes, huit ans avant le retour glorieux du Messie ainsi attaqué, et sa colère contre les coupables n’en sera que plus justifiée. L’idiotie dirige les esprits rebelles, puisque les gens instruits osent imputer l’intelligence et ses formes complexes au seul hasard ; l’être humain étant, dans sa composition, par lui-même, un modèle de cette complexité créée par le Dieu créateur éternel, Sage, Intelligent, Suprême et Tout-Puissant.

Selon Pro.22:6, Dieu avait ordonné aux Juifs d’enseigner ses lois à leurs enfants, afin qu’étant vieux ils ne s’en détournent pas : « Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre ; et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas. ». Mais aujourd’hui, devenu vieux, l’enfant non enseigné ne peut que rester enfermé dans son incroyance athée, fruit de son ignorance du sujet religieux. Et ce comportement que Dieu punit de mort est le fruit tardif rebelle de la libertaire révolution des mœurs  accomplies en France en Mai 1968.

 

 

 

 

 

La vie et la mort

 

Dieu présente au jour du jugement deux expériences accomplies successivement dans le ciel et sur la terre. La première apporte le témoignage du comportement des anges ; elle est placée sous le signe de la vie car les anges ne meurent pas et ils ne se reproduisent pas non plus entre eux. Ils ont été créés au nombre voulu par Dieu, une fois pour toutes. Et tous les anges créés par Dieu ont eu la connaissance de Dieu, de ses lois, et de ses ordonnances auxquelles ses créatures doivent obéir pour créer le bonheur partagé. Car le bonheur dépend de l’obéissance à des règles qui s’appliquent à tous. Et bien sûr, cette nécessité s’imposant à des créatures voulues libres de choix par le Créateur, des esprits égoïstes ne pouvaient que contester cette nécessaire obéissance. Et en premier, le premier ange créé est tombé dans le piège de sa liberté. Ce n’est pas faute de ne pas connaître Dieu et sa bonté qui a justifié sa rébellion ; c’est son libre choix, celui qui est le fruit de son caractère et de tout ce qui fait sa personnalité. Nous ignorons, le nombre exact d’anges créés par Dieu, mais l’expérience vécue sur la terre témoigne de ce que le nombre des contestataires est bien plus grand que le nombre des élus, obéissants, soumis dans l’amour de Dieu. Car ce qui est vrai pour la terre l’a été tout autant pour la vie du ciel : « Il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus » ; conformément à ce que Jésus a dit dans Matt.22:14. L’intérêt de cette expérience céleste est de démontrer le fruit naturel porté librement par chaque créature non soumise à la menace de la mort. Ainsi dans le ciel, ceux qui se ressemblent se sont rassemblés et ainsi deux groupes opposés dans l’absolu se sont formés et fait face. Le mal ne pouvait que s’exprimer par des pensées et des idées puisque les corps spirituels étaient protégés contre toute forme de souffrance physique. Mais ces choix faits par des esprits libres ont eu des conséquences finalement mortelles pour le camp des anges rebellés. Et c’est à ce niveau qu’intervient la nécessité de l’expérience terrestre, car c’est seulement sur la terre que la méchanceté rebelle va prendre ses formes les plus terribles ; les humains étant poussés au pire par les inspirations des démons sataniques.

Sur l’ensemble du temps des 6000 ans fixés par Dieu pour sa sélection d’élus terrestres, 4000 ans ont été donnés aux anges pour choisir leur camp. Puisque leur condamnation définitive n’est arrivée qu’au moment de la victoire de Christ sur le péché et sur la mort qui est son salaire. Et bien que restant en vie de manière sursitaire, la « seconde mort » leur a été réservée. Ils ont ainsi appris où conduit l’esprit de rébellion et ressenti dans leur âme combien la mort est redoutable. Mais déjà avant d’être définitivement concernés par la mort, depuis 4000 ans, ils ont vu ce que la mort a été pour les êtres humains et ils ont compris que la mort était une menace divine efficace pour contraindre l’homme à lui obéir. Afin de briser cette efficacité, ils ont inspiré aux humains des fausses croyances qui ont toutes en commun le but de tranquilliser l’humanité au sujet de la mort. La grande civilisation grecque de l’antiquité a enseigné aux hommes, par le philosophe Platon, que l’âme humaine est immortelle. Voilà de quoi tranquilliser la créature qui ne se voit plus comme telle. Et pourtant, cette tranquillité d’esprit ne repose que sur un stupide raisonnement qui veut que ce qui vit un jour vit toujours. Dans la réalité, les choses sont très différentes, puisque Dieu crée une vie à partir du néant et que rien ne l’empêche d’anéantir cette vie, en la renvoyant dans le néant, sans qu’il reste la moindre trace de son existence momentanée.

Sur la terre, Dieu a encore expérimenté plusieurs conditions de vies humaines : les longues vies des géants, avant le déluge, et les courtes vies de leurs successeurs de tailles plus réduites. Dans les deux expériences, la mort a continué de tourmenter l’esprit des êtres humains, ramenant les dociles vers Dieu, et conduisant les rebelles vers les fables mensongères du diable et de ses démons célestes et terrestres humains persécuteurs. 2000 ans après le péché d’Adam et Eve, et après le déluge d’eaux, la postérité d’Abraham a témoigné de son lien avec le Dieu du ciel. Son rôle a été de préparer l’humanité afin qu’elle reconnaisse le Christ qui devait venir pour mettre fin au péché et à sa conséquence, la mort. Seulement, une fois de plus, le diable est entré dans ce projet, pour donner à ce rachat des élus, une application beaucoup plus large que celle que Dieu lui donne, selon son principe : « il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus » ; chose que le diable a réussi à transformé en : « il y a beaucoup d’appelés et tous sont élus ». En présentant la garantie du salut aux personnes qui justifient leur pratique du péché, le diable atteint doublement son but : il mène à la mort des créatures humaines et il sabote l’œuvre rédemptrice de Dieu en Jésus-Christ. Mais pour croire aux fables inventées par le diable, l’être humain doit, soit, ignorer le texte biblique, soit, le sous-estimer. Et dans les deux cas, la situation est la même pour lui, car la Bible n’a d’intérêt que si elle est prise au sérieux par son lecteur et reçue par son esprit, comme une lettre écrite par son Dieu qui la lui adresse personnellement, en toute intimité.

Ainsi, pendant 4000 ans, les esprits célestes rebelles ont soumis les esprits humains rebelles aux caprices et jeux qu’ils leur ont inspirés, conduisant les uns à adorer le Soleil, comme les Egyptiens et toutes autres sortes de fausses divinités ; ajoutant à cela, des relations avec l’esprit des morts derrière lesquels ils se sont eux-mêmes parfois présentés. Et ce faux témoignage a été très efficace pour arracher la peur de la mort dans l’esprit des êtres humains. Qui peut arracher à une âme meurtrie, le plaisir d’entretenir avec son cher disparu une relation qui se prolonge dans la mort après la vie ? Le paganisme permettait à d’innombrables formes religieuses païennes d’entretenir ces séduisantes illusions. Aussi, Jésus est venu, révélant la puissance et les actions dues aux mauvais anges sataniques. Avec cette révélation, on aurait pu espérer que l’humanité échapperait aux sophismes et tromperies des démons, mais non, ce n’est pas ce qui s’est passé ; c’est l’inverse qui s’est produit. La présence rare de l’amour de la vérité qui rend les élus peu nombreux, a été confirmée par l’adoption des normes païennes par les appelés du Christ. Car la religion dominante a su exploiter pour son compte la menace de la mort dans un but opposé à celui de Dieu. En effet, Dieu menace de mort, pour ramener vers son obéissance, les esprits humains naturellement rebelles. Mais la religion catholique menace de mort pour contraindre des êtres humains à obéir à ses dogmes diaboliques qui vont rendre leur salut impossible. La menace de la mort est donc présente dans les deux camps pour des buts évidemment diamétralement opposés. Un long temps d’ignorance totale du contenu de la sainte Bible a pu justifier la réussite de cette tromperie catholique papale romaine. Mais au XVIème siècle, la production de la Bible, par les presses de l’imprimerie, a permis de multiplier la diffusion du texte biblique, apportant aux hommes les vraies paroles tenues par Dieu. Aussi se sentant en danger d’être confondue et rejetée, l’église catholique a redoublé ses attaques et ses persécutions, ne menaçant plus seulement de mort, mais la donnant à des multitudes qui lui résistaient. La encore, l’attitude envers la mort, a permis d’identifier les élus des appelés : peu nombreux, les élus ont supporté le martyre et ses diverses formes, mais les appelés, beaucoup plus nombreux, ont réagi en voulant sauver eux-mêmes leur vie. Et à cette fin, ils ont pris les armes et ont rendu coup pour coup aux armées catholiques qui les attaquaient au nom des rois et des papes. C’est ainsi qu’un christianisme trompeur, composé selon Dieu de gens « hypocrites » selon Dan.11:34, a survécu jusqu’à notre époque où il domine depuis les USA, toutes les nations et les peuples de la terre. Son actuelle « hypocrisie » se révèle dans sa revendication religieuse chrétienne et son adoration réelle pour Mammon le dieu de l’argent qui se nomme chez elle, le Dollar. Et cette religion n’est que l’héritage du calvinisme cruel né et développé dans la ville de Genève au XVIème siècle. Son besoin vital de richesse est à l’origine de sa doctrine capitaliste qui lui donne le droit d’exploiter les hommes et tous les peuples de la terre. Et là encore, la vie humaine de son peuple justifie le sacrifice des vies humaines des autres peuples. Ayant longtemps combattu pour asseoir son pouvoir sur toute la terre, elle n’a finalement recueilli que le soutien de l’Europe occidentale ainsi que quelques autres points d’importance stratégique en Orient jusqu’au Japon et dans l’ancienne île chinoise nommée Formose, devenue depuis Taïwan. Dans l’actualité, une visite d’une femme politique américaine à la dirigeante du pays, vient de provoquer l’irritation de la Chine populaire. Ce fait isole encore plus les USA qui se retrouvent seuls avec l’Europe occidentale et l’Australie, face aux nombreux peuples longtemps qualifiés de « tiers-monde » par ce camp exploiteur dominateur. L’opération militaire  menée par la Russie en Ukraine porte des conséquences énormes, causées par les réactions du camp occidental dont les sanctions prises contre la Russie se retournent contre lui. Les alliés des deux camps se regroupent et de jour en jour l’heure où ils vont s’affronter jusqu’à faire périr le « tiers de l’humanité » selon Apo.9:15, approche. Dans un discours récent, le président Macron, a évoqué « une guerre en Europe » en la rattachant à l’agression russe de l’Ukraine du 24 Février 2022. Ce n’est pas exact, car cette guerre féroce avait commencé dans l’année 2014 sous la forme d’une guerre civile opposant les Ukrainiens anti-russes pro-polonais aux Ukrainiens pro-russes repliés dans la région du Donbass. Cette phase fut complètement ignorée par les Occidentaux mais lorsqu’en 2022 la Russie est entrée sur le territoire ukrainien, ils ont réagi, parce qu’ils se sont sentis eux-mêmes menacés. Ce comportement caractérise tout le camp occidental qui exploite les peuples de la terre, mais égoïstement, tient à préserver ses privilèges. Cette fois, c’est raté, car les Occidentaux ont eux-mêmes donné à l’affaire la forme d’une déstabilisation de toute l’économie du monde. Les conséquences des mesures et sanctions prises contre la Russie pèsent sur toutes les nations de la terre. Et le mal-être ainsi répandu provoque le réveil des vieilles haines étouffées ou retenues, des vieilles rancœurs  éprouvées contre les peuples colonialistes exploiteurs. Dans sa divine sagesse, Dieu finit par faire retomber sur le méchant sa propre méchanceté.

Dans cette situation nouvelle, personne ou peu, n’est conscient que ce chef russe, Vladimir Poutine, subit, lui aussi, les directives du Dieu tout-puissant qui lui dicte ses actions. Selon Ezéchiel 38, Dieu a mis « un anneau à sa mâchoire » pour l’engager dans une guerre préparée et prophétisée d’avance dans Dan.11:40 à 45 soit, 26 siècles avant notre époque. Là où les Occidentaux lui prêtent un projet bien préparé, en réalité, Vladimir Poutine se laisse conduire par les réactions du camp adverse, redoutant lui-même, un embrasement universel ; ce que confirme son désir de donner à son action, uniquement la forme d’une opération spéciale et non d’une guerre.

Face à la mort, les comportements des gens se révèlent dans toutes leurs différences. En Ukraine, le camp présidentiel encourage la guerre à outrance, appelant à l’esprit de sacrifice ses combattants, dont le nombre se réduit au fil du temps. Derrière lui, se trouvent les hypocrites occidentaux américains et européens qui encouragent le combat et ses morts en fournissant de l’argent,  des armes, mais surtout pas, des hommes qui risqueraient de mourir. Pourtant, Dieu a mis aussi à leurs « mâchoires une boucle » et ils se retrouveront engagés physiquement dans le conflit qu’ils auront encouragé matériellement. En premier plan, les USA vise à exploiter le sacrifice des combattants ukrainiens afin d’affaiblir au maximum la Russie, leur ennemie de toujours dont ils ont déjà sciemment provoqué la ruine dans les années 1980. L’impérialisme américain est réel, l’aigle est son symbole. Il apparaît sur ses armoiries et son Dollar. Or cette visée impérialiste ne peut aboutir qu’en détruisant les peuples concurrents par l’économie ou la guerre. Et après avoir vaincu le Japon et en partie seulement l’Allemagne, dans cette concurrence, on retrouve aujourd’hui, la Russie, l’autre vainqueur de l’Allemagne et la Chine ; la Chine que l’Amérique a fait entrer dans l’Organisation du Commerce Mondial pour exploiter sa main d’œuvre esclave. Cette Chine riche et puissante est donc le fruit porté par ses œuvres. Et aujourd’hui, l’esclave rivalise avec son ancien maître, mais surtout fort d’une population d’un milliard quatre-cent millions d’âmes. L’Inde a également profité des investissements étrangers et elle est devenue elle-aussi une grande puissance comme son concurrent religieux musulman, le Pakistan.

La situation universelle nouvelle actuelle nous permet de mieux comprendre le rôle du long temps de paix religieuse que Dieu a donné aux sociétés occidentales. Cette paix de 77 ans a favorisé l’enrichissement et la fortification en puissance militaire et économique des anciens pays colonisateurs. Déjà en 1973, le choc pétrolier avait enrichi les pays arabes musulmans au détriment des puissants gestionnaires européens. Le besoin vital de l’énergie des européens a rempli les caisses de ces pays arabes, car si l’Europe a bien profité de l’eau et de la verdure, par contre, Dieu ne lui a pas donné le pétrole dont elle est devenue, avec le gaz, complètement dépendante. Et cette dépendance est à un tel niveau que la rupture de son approvisionnement ne peut que provoquer sa ruine entière. Ce risque étant réel, les conséquences vont retomber sur les populations habituées au luxe et à la prospérité. Mais, alors qu’il est agréable de s’enrichir, il est très difficilement supporté de s’appauvrir. C’est dans ces conditions que les guerres civiles internes se déclarent et prennent forme. Les affrontements meurtriers se construisent donc jour après jour par de multiples causes. Ceci d’autant plus, qu’imposant aux pays tempérés des températures divinement élevées qui cause la sécheresse, des incendies nombreux se déclarent et consument des milliers d’hectares de forêt et de verdure asséchées. La destruction de la surface de la terre est bel et bien déjà engagée. Mais ces dégâts déjà visibles ne sont rien à côté de ceux que les armes conçues par les hommes vont provoquer.

Dieu a mis devant l’homme deux chemins images de deux choix « la vie et le bien ; la mort et le mal » selon Deut.30:19. Le sort que l’homme subit aujourd’hui témoigne que son choix a été celui de « la mort et du mal ». Car si le choix avait été celui de la vie, le bien dominerait et le mal serait submergé par le bien-être et les bonnes pensées. La vie et la mort auront été très utiles dans le plan de Dieu qui a créé l’une et l’autre. La vie permet de découvrir tout ce qui est appréciable ; la mort a permis à Dieu de réduire le temps d’actions méchantes portées par de méchants rebelles. Et depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale soit, 1945, le choix de faire disparaître les exécutions mortelles dans leur conception de la justice a été extrêmement révélateur des esprits et des pensées humaines. Leur lutte contre Dieu les a conduit à détruire, abolir ou déformer tout ce que Dieu a ordonné dans sa sagesse. Ils ont ainsi construit des sociétés liberticides dans lesquelles le mal selon Dieu ne pouvait que profiter et multiplier. Sur les ondes et les plateaux des télévisions, interviewés, les humains constatent et déplorent, l’aggravation des violences de tous ordres, l’insécurité, les vols et les viols, mais comment en serait-il autrement lorsque la sagesse divine est ignorée et rejetée ?

Les démonstrations divines concernent aussi les expériences politiques différentes proposées au fil du temps par des régimes monarchiques, républicains, des régimes capitalistes ou en contraire absolu, communistes. En sorte que tous les modèles de sociétés imaginables ont été expérimentés, prouvant qu’aucun d’eux n’était en mesure de donner le bonheur à l’homme et la femme. Depuis 1945, les USA et la Russie ont adopté des régimes absolument opposés. A l’égoïsme du capitalisme des USA, la Russie a opposé son modèle communiste où le peuple a partagé, dans l’égalité, sa pauvreté. L’égoïsme n’était plus en cause, mais la nation tombée dans l’athéisme national, après la France, ne pouvait pas porter le fruit béni par Dieu. C’est pourquoi, le partage a été celui de la souffrance et de la « Terreur » comme la France de l’été 1793 jusqu’à l’été 1794. Le guide national Joseph Staline souhaitait faire le bonheur de son peuple, mais étant lui-même coupé de Dieu, qu’il combattait, il en était incapable et il est devenu le monstre sanguinaire froid et impassible qui a fait mourir des millions de gens en Sibérie et ailleurs, déjà aussi en Ukraine. La Chine communiste où le « dragon » est adoré ne peut pas offrir non plus le bonheur à son peuple, pas plus que la Corée du Nord où cependant le jeune nouveau dirigeant Kim Jong-Un a réussi à conquérir le cœur de son peuple tout en l’exposant à la mort d’un engagement guerrier porté contre ses ennemis du camp occidental détesté ; précisons qu’avec son homonyme biblique Koré, ce pays est entièrement opposé à la religion chrétienne, qu’il a toujours combattue.

A tous, au camp occidental qui veut éradiquer la mort et aux orientaux qui aiment la mort, en Jésus-Christ, Dieu annonce une Troisième Guerre Mondiale qui va enlever aux habitants de la terre toute espérance d’y prolonger leur vie durablement. « Le tiers des hommes » symbolique va être « tué » et probablement davantage en chiffres réels. Ce seront là, les derniers morts de l’histoire humaine, mais ils seront assurément très nombreux, puisque le retour en gloire de Jésus-Christ marquera une complète extermination de la vie humaine sur la terre. Les survivants pourront être peu nombreux mais à cause de la fin du temps de grâce, Dieu ne permettra plus la mort d’aucun de ses élus fidèles. C’est pourquoi, dans la dernière épreuve de foi universelle, les derniers élus seront « seulement » menacés de mourir par leurs juges rebelles. Et les derniers « morts » de l’histoire terrestre ce seront eux : leurs juges. Ils subiront ainsi le sort mortel qu’Haman destinait au juif Mardochée au temps de la reine Esther et qu’il a subi lui-même.

 

 

LA REVELATION DE LA SEPTIEME HEURE et les QUATRE « Jean »

 

 

A l’heure où le drame absolu est sur le point de s’accomplir, je te présente ce témoignage qui révèle l’évolution de l’expérience suivie par « le témoignage de Jésus » qui concerne et constitue sa révélation prophétique en écriture et en accomplissement. Car comme le Dieu créateur qui l’a conçu, le projet de Dieu se construit dans une évolution progressive qui est la caractéristique de tout ce qui est vivant. Ce verset de Pro.4:18 le prouve : « Le sentier des justes est comme la lumière resplendissante, dont l'éclat va croissant jusqu'au milieu du jour ».

La « Révélation de la septième heure » est le nom donné à la dernière forme de mes explications prophétiques proposée à l’Eglise adventiste officielle nommée elle-même « adventiste du septième jour ». Ainsi avec la progression du temps, après le jour vient l’heure. Ce nom de « septième heure » est entièrement justifié puisque conforme au sens de septième temps de la révélation divine, précisément rattaché dans Apo.3:14 au message adressé aux adventistes de l’époque dite « Laodicée », nom grec qui signifie : jugement du peuple. L’image d’une horloge marquant une succession de sept heures est suggérée par la présentation de sept messages dans Apo.2 et 3. La couverture de l’ère chrétienne entière de ces « lettres » prophétiques est confirmée par les noms de la première et de la septième et dernière époque ; « Ephèse » et « Laodicée » qui signifient dans l’ordre : Lancement (de l’Eglise) et Jugement du peuple (de l’Eglise).

Cette notion d’heure est extrêmement importante, car c’est déjà sur une erreur de conception d’heure que la nation juive doit sa malédiction au temps du ministère de Jésus. L’erreur juive consistait en ceci : les Juifs croyaient se trouver à l’heure de la « vengeance » de Dieu prophétisée dans Esaïe 61:2 : alors qu’ils n’étaient que dans la première heure du projet divin ; celle de « l’année de grâce » citée qui précède l’heure de la « vengeance » de Dieu dans le texte de cette prophétie : Esaïe 61:1-2 : « L'esprit du Seigneur, YaHWéH, est sur moi, Car YaHWéH m'a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux ; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, Pour proclamer aux captifs la liberté, Et aux prisonniers la délivrance ; Pour publier une année de grâce de YaHWéH, et un jour de vengeance de notre Dieu ; Pour consoler tous les affligés ; » C’est pourquoi, dans sa lecture de ce texte dans la synagogue de Nazareth, Jésus arrêta sa lecture après « l’année de grâce » citée et il referma le rouleau biblique. Plus tard, pour confirmer la malédiction qui allait s’abattre sur la nation entière, Jésus a maudit un « figuier » qualifié de « stérile » parce qu’il ne portait pas de fruit, ce qui était normal puisqu’il est précisé dans le texte que ce n’était pas la saison favorable pour le fruit du figuier. Et pour renforcer et confirmer le juste jugement de Dieu contre cette nation juive, les disciples du Christ ont constaté, qu’à la suite de la malédiction prononcée contre lui, le figuier avait séché et il était mort ; image du funeste destin de la nation juive victime de son attachement irraisonné aux normes de l’ancienne alliance. Au cours du temps et jusqu’à notre époque, l’attachement à la tradition a constamment empêché les croyants de recevoir avec foi, les nouvelles lumières présentées par Dieu.

Cette leçon tragique pour la nation juive s’est renouvelée et accomplie une première fois pour la religion catholique au 16ème siècle et en 1844 pour la religion protestante, puis, en dernier, pour l’adventisme institutionnel officiel en 1994. Entre 1982 et 1991, date de ma radiation officielle (Novembre 1991), j’ai proposé une nouvelle interprétation concernant les dates attribuées aux trois dernières églises d’Apo.3 : « Sardes, Philadelphie, et Laodicée ». Jusque-là, de manière traditionnelle, l’adventisme officiel avait rattaché son existence à la seule époque nommée « Laodicée ». L’institution avait conservé l’interprétation des adventistes qui plaçaient le retour du Christ, soit, la fin du monde, sur l’année 1844. Mon travail a consisté à démontrer que cette interprétation était fausse, parce qu’en toute logique, la prophétie inspirée et écrite couvre le temps jusqu’au vrai et effectif retour de Jésus. En conséquence de quoi, les dates non marquées par son vrai retour concernent les époques de Sardes et Philadelphie et en partie seulement, celle de Laodicée. La lumière, venue éclairer ma compréhension de Daniel, m’a permis de fixer la date de Sardes sur 1844 (1843) et celle de Philadelphie sur 1873. Jusqu’à mon ministère, aucune explication n’a été donnée pour ce chapitre 12 de Daniel dans l’adventisme officiel. En conservant l’interprétation prophétique des pionniers de l’œuvre, cet adventisme officiel s’est privé de la compréhension de trois messages qui le concerne dans les époques « Sardes, Philadelphie et Laodicée ». Il s’est bien ainsi trompé sur les temps du projet de Dieu comme la nation juive avant lui. Et le pire, pour lui, est que cette erreur se paie par le même prix : la malédiction divine et la mort spirituelle.

Entre 1980, date de mon baptême, et 1994, date établie par la fin des « cinq mois » prophétiques soit 150 années réelles du message de la « cinquième trompette » d’Apo.9:5-10, une épreuve de foi est venue éprouver l’adventisme officiel ; un test qui donne tout son sens au message que Jésus lui adresse dans « Laodicée » ; un message qui sanctionne ainsi, le temps de son vomissement de l’institution officielle, mais pas du mouvement adventiste qui allait se prolonger dans la dissidence, en dehors d’elle. Ces choses sont maintenant derrière nous, et il est nécessaire de retirer les leçons données par Dieu par ces expériences.

La première leçon consiste à comprendre que les dates construites sur des chaînes prophétiques établies par Daniel et Apocalypse n’avaient pas mission à fixer de manière précise la date du vrai retour de Jésus-Christ. Par contre, Dieu s’est servi de ce mobile pour tester la foi de ses serviteurs en 1843, 1844 et 1994. C’est seulement après ces trois tests historiques successifs que Jésus a révélé à ceux qu’il aime et qui l’aiment et le servent dans la dissidence, en 2018, la date de son vrai retour, le printemps 2030, qui n’est construite sur aucune chaîne prophétique préalablement établie. Je dois aussi préciser que mon étude des prophéties n’a jamais été motivée par la recherche de la date du retour du Christ. Seul, mon désir de comprendre l’ensemble des mystères révélés était en cause. Et la conséquence de cette étude a été la découverte de ce délai de « cinq mois » prophétiques de la « cinquième trompette » dont l’utilisation, depuis la date 1844, m’a imposé la date 1994. Et comme ce fut le cas pour 1844 pour les protestants, la date 1994 est authentifiée par Dieu et elle porte pour l’adventisme traditionnel une conséquence spirituelle mortelle.

La deuxième leçon concerne les trois dates prophétiques obtenues, 1844 (en réalité : 1843-1844), 1873, et 1994. Construites sur la même chaine de Daniel 9 et 8 et Apo.9:5-10, les dates 1844 et 1994 marquent des fins dramatiques de l’alliance divine concernant, successivement, les chrétiens protestants, puis les chrétiens adventistes. Ces deux dates sont donc marquées par la malédiction divine. Mais construite sur la chaine de Daniel 12:12, la date 1873 marque seule un message de bénédiction totale qui a concerné l’église « adventiste du septième jour » quand, devenue institution américaine depuis 1863, elle est entrée dans une mission de témoignage universel. Ces interprétations permettent de retrouver toute la logique des messages prophétisés. Ainsi, dans l’époque 1843-1844 de « Sardes », Jésus bénit les adventistes persévérants et fidèles, mais il précise : « ils marcheront avec moi en vêtements blancs ». Relève-le, il s’agit du temps futur, car ne pratiquant pas encore le sabbat, mais le dimanche romain hérité, ils ne peuvent pas encore obtenir une pleine sanctification symbolisée par ces « vêtements blancs ». Ce n’est qu’entre 1844 et 1863 que le sabbat est reçu et adopté par ces pionniers de l’œuvre adventiste. Et c’est en adoptant la pratique du saint sabbat de Dieu qu’ils reçoivent ces « vêtements blancs » de la sanctification. En 1873, la sanctification totale et parfaite des « adventistes du septième jour » est exprimée et authentifiée par Dieu par son message adressé à « Philadelphie », dont la signification « amour fraternel » constitue le fruit porté par l’Esprit. C’est pourquoi, ce message ne contient aucune malédiction. Cependant, il contient un message de mise en garde dont l’ignorance va coûter à l’adventisme de l’époque suivante, « Laodicée », en 1994, sa malédiction et son vomissement par Jésus-Christ : « Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. ». Les paroles du Christ ont un caractère paradoxal qu’il faut bien comprendre. En disant « retiens ce que tu as », Jésus ne cible pas les interprétations prophétiques, mais l’attitude de foi et d’intérêt démontrée pour cette parole prophétique par ses pionniers. Et le paradoxe consiste dans le fait que cette intérêt consiste précisément à savoir abandonner une explication héritée devenue caduque et injustifiée, quand une nouvelle explication plus cohérente et justifiée est présentée ; ce qui est le cas qui s’est présenté à l’adventisme officiel entre 1982 et 1994. Par ma radiation officielle en Novembre 1991, l’institution « adventiste du septième jour » a confirmé et authentifié son rejet des dernières lumières que Jésus lui a proposées à travers moi. C’est ainsi que, se trompant d’heure, comme les Juifs avant elle, l’institution adventiste a été victime de son mauvais jugement porté contre la « Révélation de la Septième Heure ». Cette « Septième Heure » était celle de la fin de son alliance avec Dieu en Jésus-Christ.

Fidèle à son engagement, Jésus a prolongé sa bénédiction sur mon travail et la « Révélation de la Septième Heure » a obtenu une plus claire explication de sa part et depuis 2018, s’est ajoutée la connaissance de l’année du vrai retour de Jésus-Christ et cette fois, l’imminent accomplissement de la Guerre mondiale de la « sixième trompette » va confirmer son retour pour la « septième trompette » à la date du printemps 2030.

L’évocation de cette « sixième trompette » me conduit maintenant à expliquer le mystère des « quatre Jean », expression citée dans le titre de ce message.

En 1989, de jeunes adventistes ont été baptisés à Valence, et ils ont été aussitôt intéressés par mon message présenté dans un document intitulé « Daniel et Apocalypse » ; un ouvrage très complet expliquant ces deux livres. Ce lien s’est prolongé après ma radiation officielle en Novembre 1991, et ils ont tenu à témoigner auprès de l’institution du soutien qu’ils m’apportaient et de leur désir d’être radiés à leur tour des registres officiels de l’institution. L’un de ces frères, Jean-Philippe a converti un collègue de travail nommé Jean-François et c’est ainsi qu’avec Jean-Marie, un autre ami de Jean-Philippe, baptisé en 1991, avec moi, mon nom de baptême étant Jean-Claude, nous nous sommes réunis formant les « quatre Jean » évoqués. Un autre frère, le tout jeune Joël (+ Jean) baptisé à 13 ans ce même-jour, a été très intéressé par mon message dans le jour même de son baptême et après diverses expériences et du temps, il m’a rejoint et apporté son soutien et sa fidélité permanente ainsi que ses multiples compétences.  Après son baptême, afin de briser notre relation spirituelle, le pasteur de l’église n’a pas hésité à faire intervenir les autorités policières, mais ceci, en vain, grâce à Dieu. Je rapporte ce témoignage parce qu’il constitue une preuve de l’œuvre directe du Dieu qui parle par des symboles. Pourquoi a-t-il voulu réunir « quatre Jean » ? A cause du symbolisme du chiffre quatre : l’universalité, et à cause de la signification du nom Jean : Dieu a donné. Souviens-toi que la prophétie Apocalypse a déjà été révélée initialement à « l’apôtre Jean ». Ainsi pour porter officiellement son message de la « Septième Heure », « Dieu a donné » sa lumière à quatre serviteurs qui étaient ainsi « quatre apôtres » authentifiés par lui dans ce moment. Ceci, quelques soient leurs comportements dans la suite du temps. Ce sont quatre témoins officiels donnés à son œuvre au moment de son lancement. Deux parmi eux, Jean-Philippe et Jean-François sont de hautes tailles et leurs longues jambes ont servi avec zèle et bonheur le Seigneur, quand nous avons organisé cinq conférences publiques réparties sur l’année 1992. Ils ont, pour chacune, distribué dans les boites aux lettres 5000 prospectus d’invitations et de messages dénonçant la trahison du christianisme officiel catholique et protestant. Ce zèle démontré était le fruit concret de la certitude de notre foi au retour du Christ pour 1994 et nous avions la même conviction qu’en l’année 1993 nous allions voir s’accomplir la dernière ou Troisième Guerre Mondiale. Aucun de nous ne doutait de ces choses. En 1991, au soir du jour où, avant ma radiation, j’ai pu présenter au pasteur ma position assisté de trois témoins adventistes, Mireille, la sœur de Jean-Philippe qui participa à ce témoignage a reçu de Dieu en vision, « une étoile tombant du ciel » verticalement, en regagnant son domicile. La « Révélation de la Septième Heure » a donc encore été authentifiée par Dieu au niveau des conséquences de son rejet officiel par l’institution, et sa présentation assistée par trois témoins, Jean-Marie, Jean-Philippe et sa sœur Mireille, était conforme à la norme établie par Dieu qui a fait écrire que « le témoignage de deux hommes est vrai », comme Jésus l’a dit en ce qui concernait son ministère et son témoignage personnel : Jean 8:17 : « Il est écrit dans votre loi que le témoignage de deux hommes est vrai ; » or, nous étions quatre pour témoigner de la lumière donnée par Jésus-Christ.

Le temps a passé et après 1994, nous ne sommes restés que « quatre » à continuer à croire dans la valeur de nos dates prophétiques, mais c’est seulement en 1996 que l’Esprit m’a conduit à relever la malédiction de l’institution adventiste soit, le vrai sens du message rattaché à la date 1994. Cette date était la dernière qu’il était possible d’établir par les durées prophétisées dans Daniel et Apocalypse. Avec le temps, Jean-Marie s’est écarté en premier, puis l’attente prolongée produisant ses effets, le groupe a éclaté, car mes frères n’acceptaient et ne supportaient plus l’inefficacité de notre mission. Jean-Philippe s’est tourné vers les chrétiens de divers groupes et particulièrement vers les Juifs. Jean-François s’est lancé dans un témoignage personnel et sans rejeter mes explications, il a ajouté une interprétation nouvelle que j’ai rejetée dans un premier temps parce que le texte biblique ne la justifiait pas. Et c’est là que cette expérience devient utile à comprendre. Il a attribué à la « sixième trompette », les « cinq mois » prophétiques de la « cinquième », en prenant pour début, la date 1873 attribuée à l’époque « Philadelphie ». Sur le plan de la construction de la prophétie, cette démarche est totalement injustifiée, puisque 1844 n’est pas 1873. Cependant, ce que ne dit pas la prophétie, c’est que rien n’empêche Dieu de choisir ce même délai de 150 années réelles pour faire accomplir cette « sixième trompette » en 2023. Il récompense, de la sorte, la foi des adventistes héritiers de la bénédiction divine de 1873 qui voient, enfin, s’accomplir le drame prophétisé de la Troisième Guerre Mondiale qu’ils attendaient et par laquelle s’achève le temps des nations, détruites par les armes modernes terriblement destructrices. C’est ainsi que, tout dernièrement, et depuis le début de la guerre en Ukraine, j’ai adopté cette possibilité qui fixe la Guerre Mondiale en l’année 2023. Si la logique textuelle ne la justifie pas, par contre la logique spirituelle peut en effet établir un lien entre la bénédiction divine et l’accomplissement de la « sixième trompette » qui constitue la preuve de l’appartenance au Dieu créateur révélateur, selon qu’Apo.17:8 précise : « La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. » La cause de « l’étonnement » est double : l’ignorance du projet de Dieu mais aussi, l’ignorance de la date de son accomplissement. Et c’est à ce niveau que la connaissance de cette date devient le signe de la bénédiction prophétique divine des vrais adventistes dissidents. Ils sont héritiers des bénédictions de « Philadelphie » la bien-aimée de Jésus, alors qu’ils vivent dans le prolongement de l’époque « Laodicée », la tiède et formaliste rejetée.

Dans Apo.17:8, le terme « abîme » favorise l’identification de la « sixième trompette » qui constitue la seconde forme de « la bête qui monte de l’abîme » ; l’originelle qui concerne la Terreur révolutionnaire française de la « quatrième trompette ». Mais, le contexte du message d’Apo.17:8 cible également le retour de « la bête qui monte de la mer » sous la forme de « la bête qui monte de la terre ». Pour que la chose soit bien comprise, je le rappelle : au titre de « témoignage de Jésus », Dieu révèle, aux élus adventistes, la venue de quatre « bêtes » ou régimes tueurs ; dans l’ordre chronologique, le premier : « la bête qui monte de la mer » (coalition de la papauté et de la monarchie catholique) ; le deuxième : « la bête qui monte de l’abîme » (Terreur française et quatrième trompette) ; le troisième, et cause d’étonnement pour les adventistes déchus : « la bête qui monte de l’abîme » : une deuxième forme et authentique « second malheur » d’Apo.9 (Troisième Guerre Mondiale : second malheur et sixième trompette) ; le quatrième : « la bête qui monte de la terre » (Régime protestant et catholique du gouvernement universel : l’image de la première bête).

Je profite de ce message pour rappeler que le projet révélé par Dieu est sûr et que ses serviteurs ne doivent pas se laisser influencer à cause des revers actuels subis par la Russie dans cette guerre de l’Ukraine. Car, comme les peuples occidentaux avec lesquels elle a noué des liens et des relations commerciales, la Russie s’est habituée à la paix et au commerce, les deux valeurs qui ont été recherchées et favorisées pendant 77 années par l’Occident. Les dernières années vécues avant 2018 étaient caractérisées par une apparente réussite. Ceci explique le relâchement des formations militaires, dans le monde occidental et dans la Russie également. Mais alors que cette Russie est restée sur des armes conventionnelles peu améliorées, préférant développer de puissantes armes destructrices nucléaires en raison même du rôle final que Dieu lui destine, en Occident des progrès techniques ont permis la construction d’armes sophistiquées basée sur l’électronique et les processeurs numériques ; gros avantage en matière de précision, mais armes particulièrement vulnérables aux influences magnétiques de l’environnement. Cette première année de combat entre la Russie et l’Ukraine nous a fait découvrir l’incroyable efficacité des drones observateurs et tueurs qui remettent en question la puissance des tanks, des canons, et des navires. Cette année aura aussi favorisé l’épuisement des stocks d’armement autant en Occident qu’en Russie qui malgré tout dispose d’un stock supérieur. L’achat de drones aux Iraniens par la Russie redresse le déséquilibre qui l’a momentanément affaiblie. Le chef russe compte sur les effets de l’hiver pour voir fléchir les résistances occidentales qui ont résolu de se priver du gaz russe. Mais les Occidentaux obstinés ne fléchiront pas malgré les troubles provoqués parmi les peuples. C’est pourquoi, la Russie contraindra les nations occidentales à s’impliquer directement dans le conflit  dirigé contre elle ; soit en les attaquant, soit en les contraignant à l’attaquer. 2023 sera l’année du grand drame occidental, car d’escalade en escalade, le pire arrivera lorsqu’elle dominera le camp européen, comme Dieu l’a annoncé dans Daniel 11:44, son territoire russe sera détruit par le feu nucléaire des USA. Et c’est dans une action désespérée et condamnée que les forces russes restées répliqueront contre l’ennemi occidental de manière nucléaire par leurs sous-marins et leurs bases cachées restées opérantes. En lui imputant l’action « d’exterminer des multitudes », dans Dan.11:44, Dieu confirme le temps marqué pour « exterminer » l’humanité rebelle : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. »

Contrairement aux propos tenus sur les plateaux des émissions télévisées, la Russie n’a rien programmé d’avance, car depuis la chute de l’URSS et son découpage en républiques démocratiques indépendantes, comme l’Occident, elle a cherché la réussite commerciale favorisée par la paix avec les peuples ; la Russie n’avait aucun intérêt à entrer en guerre contre ses riches clients occidentaux. Depuis 2022, la résistance des armées ukrainiennes, équipées par l’Occident, fait croître progressivement la colère russe. Les échecs et revers subis font croître cette colère ; ce qui confirme les paroles divines qui prophétisent l’absence de sa préparation pour l’agression guerrière puisque, selon l’image présentée dans Ezé.38:4, « une boucle mise à ses mâchoires », Dieu oblige la Russie favorable à la paix à entrer en guerre contre ses cibles occidentales : « Je t'entraînerai, et je mettrai une boucle à tes mâchoires; Je te ferai sortir, toi et toute ton armée, chevaux et cavaliers, tous vêtus magnifiquement, troupe nombreuse portant le grand et le petit bouclier, tous maniant l'épée ; » Et le verset 5 qui suit est confirmé par le regroupement des alliances auquel nous assistons dans l’actualité : « Et avec eux ceux de Perse, d'Éthiopie et de Puth, tous portant le bouclier et le casque; » Pour « la Perse » soit, l’Iran, et « l’Ethiopie » soit, l’Afrique noire, c’est déjà confirmé ; reste l’action de « Puth » soit, l’Afrique du Nord qui va rejoindre le camp russe à cause de son lien religieux avec la Tchétchénie à la fois musulmane et russe engagée aux côtés de la Russie chrétienne orthodoxe.

La foi s’exprime par une attitude de confiance totale que nous plaçons en Dieu et dans ses annonces prophétiques. Et l’apôtre Paul l’a enseigné dans Héb.11:6, « sans la foi il est impossible d’être agréable à Dieu » : « Or sans la foi il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. » Cette foi peut donc nous soustraire aux effets destructeurs des faits constatés dans l’immédiat qui peuvent, momentanément, sembler annoncer le contraire de ce qui est prophétisé. Mais le vécu est organisé par Dieu, selon son projet qui finit, à terme, par s’accomplir dans toute sa précision. Et notre Dieu compte sur la démonstration de notre confiance en lui pour être glorifié en face de ses ennemis qui sont aussi les nôtres. Son projet pour ses élus est magnifique et ses révélations prophétiques sont vitales pour ceux de leur camp qui restent encore vivants.

C’est encore Dieu et lui seul qui choisit le temps où la compréhension de ses révélations prophétisées doivent être comprises ou changées et c’est lui qui rend les esprits de ses élus capables de s’adapter à ces changements. Il est bon de le comprendre car nous restons à tous égards ses humbles et faibles créatures dépendantes de lui en toute chose.

Au temps actuel, les aspects de la vie s’accélèrent : tout va plus vite. L’information se répand sur toute la terre en temps réel. C’est pourquoi, la Troisième Guerre Mondiale ne peut être, elle aussi, que rapide et s’accomplir dans un cours temps de manière extrêmement destructrice. Les débuts sont lents, mais les fins sont rapides et cette rapidité concerne également Dieu pour la fin de ses alliances. Il l’a formulé au sujet de l’ancienne alliance et ce sera le cas également pour la nouvelle, car je le rappelle, la destruction de la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale est, pour la nouvelle alliance, comparable dans ses effets et sa motivation divine, au troisième châtiment qui cause la destruction de la nation juive, par le roi Chaldéen Nébucadnetsar et ses armées, en – 586.

Dans ce conflit, les alliances des religions condamnées par Dieu confirment leur malédiction commune révélée par la Bible. Et par leurs actions qui révèlent et confirment leur statut spirituel, ces religions se démasquent et les élus sont ainsi préparés à ne pas les suivre dans les décisions qu’elles adopteront en contexte de gouvernement universel sur l’extrême fin, en 2029. Mais ce gouvernement universel peut s’organiser dès 2024 où va commencer le regroupement des survivants de l’hécatombe universelle. L’épreuve de foi, la dernière, s’organisera sur la fin des sept années qui sont encore devant nous.

J’attire encore ton attention sur cette erreur commise par l’adventisme officiel institutionnel.  Il a considéré à tort que le dimanche romain prendrait signification de « marque de la bête » uniquement à l’heure de l’épreuve de foi finale. Il a ainsi affaibli la haute culpabilité de cette « marque » rebelle satanique oubliant que ce « dimanche » a déjà été, depuis 321, la cause des châtiments des cinq premières « trompettes » et va rester la cause des châtiments mortels des « sixième et septième trompettes » qui viennent. Et cet oubli lui coûte son vomissement par Jésus-Christ. C’est pourquoi, dès que la nature véritable de ce jour et son origine sont connus d’eux, les appelés du Christ doivent se séparer de sa pratique et adopter celle du vrai sabbat, sans attendre et sans perdre de temps. Car le temps ne changera pas la nature et la condamnation divine qui concerne « le repos du premier jour », depuis son adoption au titre de « Jour du Soleil » païen, décrété le 7 Mars 321 par l’empereur romain Constantin 1er dit « le Grand ». Tu peux ainsi comprendre, la justification de la colère de Jésus-Christ, puisqu’en Dieu créateur et législateur, il a subi l’outrage de ce faux jour du repos depuis cette date et que l’adventisme officiel lui impose de le supporter encore, depuis 1994 jusqu’à son glorieux retour, pour dénoncer sa véritable nature. Car sa pensée s’exprime par ses actions ; depuis 1995, ses bonnes relations et son alliance avec les religions qui honorent cette « marque » maudite par Dieu en témoignent, l’accusent et le condamnent. Mais une fois entré dans cette alliance rebelle, il ne pourra, ni ne voudra, dénoncer la nature diabolique du jour de repos de ses alliés. L’Esprit l’ayant abandonné depuis 1994, il devra subir et partager avec eux la juste colère du Dieu vivant, YaHWéH, Micaël, Emmanuel, Jésus-Christ.

Entre 1983 et 1991, lors d’une réunion générale de la fédération adventiste du Sud tenue à Grenoble, Jésus a tendu la perche à l’adventisme en naufrage par le moyen d’une question qu’il m’a fait poser devant toute l’assemblée au pasteur qui animait la rencontre et le culte. Cette question contenait déjà la réponse et elle était du genre de celle que l’enfant Jésus posait à l’âge de 12 ans aux anciens et aux prêtres juifs de son époque. Je dis donc au pasteur : « Frère, si l’on tient le sabbat pour sceau de Dieu depuis 1844, ne peut-on pas dire alors que le dimanche est depuis cette date la marque de la bête ? » Un instant interloqué, le pasteur répondit quelque chose comme : « De la manière dont vous présentez les choses, il serait difficile de dire le contraire ». Ma question était quelque peu dérangeante et cependant après l’étonnement général, elle ne produisit, hélas, aucun effet salutaire. Pourtant cette question était un reproche adressé à l’adventisme humaniste qui recherchait en premier l’instauration de bonnes relations avec ceux que la prophétie biblique nous révèle être les ennemis de Dieu. Le vomissement de cette sorte d’adventisme par Jésus en 1994 est donc parfaitement justifié.

 

 

Le point sur l’Ukraine au 24/10/2022

 

Alors que le temps avance et que les armes modernes données à l’Ukraine par les Occidentaux de l’OTAN semblent lui donner momentanément avantage contre les Russes, de rares voix rappellent des vérités que peu veulent entendre. En effet, dans le camp occidental, on s’en tient uniquement au fait que l’Ukraine, nation souveraine, a été attaquée sur son sol par la Russie le 24 Février 2022 ; il y a aujourd’hui 8 mois. Mais des voix objectives, et dans ce nombre des témoins ukrainiens eux-mêmes, rappellent que la guerre en Ukraine a commencé en 2014, soit huit années plus tôt, au cours desquelles le camp nationaliste ukrainien a combattu sans cesse le camp ukrainien pro-russe replié sur la région du Donbass située sur l’Est du pays. Or, les USA, l’Allemagne, et la France ont passé un accord avec le gouvernement ukrainien et la Russie, en 2014 ; il s’agit des accords de « Minsk ». Ces pays occidentaux se sont engagés à garantir la sécurité de l’Ukraine, sous condition d’un règlement amiable avec les pro-russes du Donbass. Au lieu d’honorer son engagement, le gouvernement ukrainien a repris en 2015 sa guerre contre ces pro-russes autant ukrainiens qu’eux. Dans ce cas, étaient-ils dignes d’être soutenus par les Occidentaux ? Mr Zélensky a-t-il dit la vérité quand il a déclaré aux Occidentaux : « Nous sommes comme vous ». Sur le plan moral, la chose est évidente, ils sont mêmes pires que nous, mais sur le plan politique, l’Europe exige de ses membres le respect de leurs engagements. Ce sujet a complètement était ignoré par les décideurs occidentaux de l’OTAN. Voici donc un sujet qui rend les positions des uns et des autres irréconciliables, mais les faits sont les faits, c’est Dieu qui est Juge et qui a déjà condamné les uns et les autres pour des raisons spirituelles dont ils n’ont même pas conscience. Alors la mauvaise foi a très justement sa place dans ce scénario qui vient punir, précisément, l’absence de foi de tous les acteurs participants, qu’ils soient actifs ou soutiens belliqueux.

A l’issue de huit mois de guerre, un constat s’impose à tous : la guerre a complètement changé de forme, à cause des progrès techniques basés sur l’informatique ; canons ultra précis et drones téléguidés face auxquels tanks, navires, ne peuvent rien et deviennent des cibles vulnérables. Aussi, pour cette année 2022, tous les scénarios sont possibles, y compris une défaite et un repli des troupes russes, cependant peu probables en raison de leur détermination largement aussi grande que celle des Ukrainiens. Mais quelle qu’en soit l’issue, la colère de la Russie contre les Occidentaux aura été intensifiée à son maximum ; et en conséquence, 2023 sera l’année du châtiment de l’Occident trop conquérant et « arrogant » ; à l’image de la « petite corne » papale romaine de Daniel 7:8 qui est à la base de toutes ses malédictions.

Mon étude de la Bible et de ses prophéties m’a fait découvrir l’importance des noms donnés aux choses par Dieu, et il se trouve que celui de l’Ukraine signifie : frontière. Pour un pays comme la Russie, sa frontière est le sujet le plus sensible ; elle est intouchable et ne peut être déplacée sans soulever une colère nationale entière. C’est ainsi que se sont comportés les nations sur toute la terre de tous temps. Cependant en Occident, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la ruine de la destruction  a profondément changé l’état d’esprit des habitants et le nationalisme responsable de ce drame a été redouté et combattu. C’est ce qui a favorisé le renoncement aux frontières nationales et l’acceptation de la création de l’Union Européenne. De cette manière, les Occidentaux ont perdu de vue ce que le mot « frontière » pouvait encore représenter pour le peuple Russe et ses partenaires orientaux. L’Occident y a renoncé mais l’Orient l’a conservé comme une valeur intouchable, prêt à combattre pour la défendre. L’Occident a changé ses valeurs, se pervertissant de plus en plus, mais l’Orient a conservé intactes les siennes ; elles restent conformes à ce qui a toujours été. Nous sommes donc bien confrontés au-delà de la Guerre en Ukraine à un « choc de civilisation » de plus en plus évoqué sur les plateaux des télévisions. Le progrès technique est entré dans de nombreux pays mais il est incapable d’unir les êtres humains divisés par leurs religions et leurs coutumes. En dépit des apparences, aux USA, modèle du genre, les habitants sont très divisés et racistes. Le commerce semble unir tout le monde mais la violence oppose les blancs protestants aux hispaniques catholiques et avec eux, le groupe des noirs, bien développé, est encore victime ou acteur de violences raciales. Sur toute la terre, le commerce cache de plus en plus mal, le développement des esprits intolérants et fanatiques que les démons libérés par Dieu exacerbent au maximum. La Troisième Guerre Mondiale mise en route depuis le 24/02/2022 apporte la preuve que les intérêts commerciaux sont impuissants pour empêcher la confrontation guerrière des nations qui se disent « les plus civilisées ». Ceci après la Deuxième Guerre Mondiale qui fut le fruit du nationalisme fanatisé. La démonstration est faite que les présidents actuels reproduisent les œuvres des anciens monarques et que l’organisation en nation démocrates ne change rien : « le temps des nations » peut donc officiellement prendre « fin » comme notre Seigneur Jésus-Christ l’a dit et prophétisé dans Matt.24:14 : « Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. » ; mais aussi dans Ezé.30:3 : « Car le jour approche, le jour de YaHWéH approche, jour ténébreux : ce sera le temps des nations. »

Ce sujet est délicat et à contre-courant de la pensée majoritaire du moment, mais derrière l’acteur séduisant Volodymyr Zélensky se cache un personnage beaucoup plus inquiétant. Ce jugement repose sur un fait réel : sa campagne présidentielle a été financée par un oligarque ukrainien qui finance aussi le parti nazi « Azov ». Et dans son programme figurait l’engagement de détruire la résistance pro-russe du Donbass. Le grand Dieu se plait à humilier ses ennemis en les amenant à soutenir une nouvelle cause nazie. Et là encore je le rappelle, dans son origine hitlérienne, le nazisme a réussi à séduire le peuple allemand entier ou presque ; ceci, jusqu’à la découverte des camps d’extermination avec leurs chambres à gaz qui ont fait frémir d’horreur l’Europe entière. Mais il est indispensable de le comprendre : avant d’organiser ces destructions de masses du peuple juif, le nazisme séduisait par la fermeté de ses chefs et dans les moments d’incertitude, les peuples nordiques disciplinés éprouvent ce besoin du chef fort et tranchant. Avant le modèle allemand, le fascisme a été italien mais le peuple ne l’a pas apprécié longtemps. Toutefois, ces fascismes séduisent lorsqu’ils relèvent l’économie et restaurent la prospérité du peuple. Le 24 Février 2022, la présidente de la commission européenne, Ursula Von Der Leyen et Charles Michel président du conseil européen ont pris de court les dirigeants des nations européennes, en prenant immédiatement parti pour l’Ukraine, suivant ainsi, docilement, le choix déjà fait par les USA. Après cette prise de position publique, les autres membres ne pouvaient que se plier à ce choix et le soutenir. L’Occident s’était désintéressé de ce qui se passait en Ukraine, et il faut pourtant tenir compte de ces faits pour comprendre ce qui s’accomplit depuis le 24 Février 2022.

Dans le désordre de la ruine de l’URSS, en 1991, des républiques se sont constituées. La Pologne libérée est venue se placer sous la protection de l’OTAN. La Roumanie et les pays Baltes ont fait de même, l’Ukraine était déjà candidate mais son niveau de corruption rendait son adoption impossible. En fait, elle est née dans un climat anarchique qui explique pourquoi l’Ukraine était le seul pays dans lequel un groupe nazi était officiellement et publiquement revendiqué et représenté : le groupe « Azov ». Depuis longtemps l’Ukraine honorait et honore l’image de Stefan Bandera, ukrainien engagé dans l’armée SS allemande durant la seconde guerre mondiale. Et cette opposition entre ukrainiens catholiques et russes communistes ou orthodoxes est apparue à chaque fois que l’occasion se présentée. La paix provisoire n’était due qu’à la puissance du vainqueur du moment, russe ou polonais. Le comportement de notre humanité actuelle s’explique par le fait qu’elle n’a pas vécu les horreurs nazies de la Deuxième Guerre Mondiale. Et c’est à cause du remplacement des générations que les mêmes pièges fonctionnent dans toutes les époques. Le nazisme commence par son jeu de séduction et les discours persuasifs qui rallient les esprits à sa cause, et à ce titre ceux que tient Zélensky sont parfaitement efficaces. Il ordonne, fait pression sur les dirigeants et les peuples qu’il culpabilise ouvertement pour obtenir leur aide financière et militaire. Et par cette méthode, il les entraîne et les engage dans son combat. En sorte que, les ennemis d’Hitler d’hier soutiennent, en se ruinant, la nouvelle cause nazie de notre temps. Ceci est la conséquence de l’aveuglement des nouvelles générations et même des anciennes qui n’ont pas personnellement vécu le drame de la Seconde Guerre Mondiale. Les esprits des Occidentaux ne se sont intéressés qu’au commerce et à la réussite matérialiste. Ils ont dédaigné les leçons de l’histoire et les dangers des idéologies de la même manière qu’ils ont méprisé les héritages religieux dont les vitales révélations prophétiques, nageant dans le vide de l’athéisme et ne vivant que pour assouvir leurs fantasmes. Aussi, Dieu les a pris dans ses pièges et ils sont maintenant confrontés à un conflit qu’ils ne parviennent plus à arrêter, victimes de leur propre choix hypocrite ayant réellement perdu toute possibilité d’agir librement à cause des « alliances humaines » toutes aussi hypocrites de l’U.E. et de l’OTAN qui les lient pieds et mains. C’est là qu’il faut se souvenir de ces paroles données par Dieu à Daniel pour son explication au roi Nébucadnetsar, car c’était pour notre époque qu’elles furent révélées ; Daniel 2:43 : « Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. »

Ceux qui soutenaient la création de l’U.E. ont longtemps prétendu que cela avait offert et offrirait encore la paix aux Européens. Aujourd’hui, c’est l’Europe qui choisit librement de soutenir et entretenir la guerre. L‘Europe Unie ne l’a pas empêchée, elle l’a provoquée et il faut relever, petit détail important, que la première autorité responsable de ce choix est allemande. La situation défavorable actuelle favorise la révélation de la vérité : le couple franco-allemand n’était que dans la pensée gauloise. Après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, colonisée par les USA capitalistes, l’Allemagne s’est servie de la France pour se redresser politiquement et ses choix vont vers ceux qui lui sont personnellement les plus profitables économiquement. La France recherchait le prestige jusqu’au sacrifice ruineux, l’Allemagne, le profit et l’enrichissement. Pendant un temps, les deux pays ont obtenu ce qu’ils voulaient, jusqu’à notre heure où les deux vont partager la ruine et la destruction. La pénurie des énergies va grandement favoriser les fractions européennes dès cet hiver s’il est très froid. Quant à la guerre en Ukraine, elle va se poursuivre avec ses divers rebondissements et extensions.

En ce qui concerne le pays France, qui aurait pu croire que le président Macron, ennemi du Front ou Rassemblement national français, engagerait l’existence de sa nation pour soutenir le nationalisme forcené ukrainien ? Quel paradoxe révélateur des incohérences dues à la malédiction divine qui frappe la nation et son chef  depuis son premier roi, Clovis 1er ! Il en est réduit à se tourner vers le pape François et ses bons offices pour tenter d’obtenir une paix impossible, en ce jour même. Mais il ignore qu’il s’adresse au chef de la première religion terrestre coupable envers Dieu et « primo » responsable de la malédiction qui justifie la Troisième Guerre Mondiale, le châtiment nommé « sixième trompette » dans Apo.9:13.

Une menace plane sur l’Ukraine et l’Europe à cause des élections des représentants du Congrès et du Sénat américains qui vont avoir lieu le 8 Novembre prochain à l’occasion des élections de mi-mandat nommé « midterms ». En cas de victoire du camp des « Républicains », les aides accordées à l’Ukraine par le camp démocrate présidentiel actuel devraient être interrompues. Et les sondages vont dans le sens de ce funeste scénario pour l’Europe qui va devoir porter seule la charge de l’entretien des besoins militaires de l’Ukraine. C’est là que l’Europe va sans aucun doute se diviser vers les quatre vents des cieux : fin de la belle entente des membres de l’U.E.

Depuis le 24 Février 2022, le monde occidental est la proie d’une séduction satanique dont l’égal remonte aux origines de la terre dans la séduction d’Eve par le serpent utilisé en médium par Satan lui-même. Et cela ne doit pas nous étonner puisque cette séduction incarnée dans Volodimir Zélensky a pour but de mettre en route l’ultime conflit mondial de l’histoire terrestre. Confirmant le titre du livre prestigieux et très précieux écrit par notre sœur en Christ, Ellen Gould-White, sa « Tragédie des siècles », cette tragédie commence son achèvement sur une dramatique tuerie massive mondiale débutée en terre ukrainienne. A son origine, un acteur, authentique comédien qui passe du rôle d’amuseur public à celui de chef de guerre séducteur autoritaire, porté au pouvoir par une cause nazie qui n’émeut plus personne en l’Occident de 2022 et depuis 2014 où cette présence nazie a été signalée par les reporters des médias. La situation universelle internationale passe ainsi de la grande comédie à la grande tragédie meurtrière, du rire aux larmes versées pour la mort des victimes civiles et militaires. Car je le rappelle, ce conflit est avant tout autre chose, un châtiment de Dieu qui punit l’impiété des civils comme celle des militaires. Et ce jugement concerne tous les camps des antagonistes et de leurs soutiens parce qu’ils sont tous devant lui religieusement coupables. Depuis l’extension des moyens d’information, les événements de la vie terrestre sont connus de tous les habitants de la terre où qu’ils se trouvent, en temps réel dans l’immédiateté. Les réactions populaires suscitées réduisent les possibilités d’action des dirigeants des peuples. Le vrai et le faux sont répandus avec la même puissance et se neutralisent mutuellement, en sorte que l’humanité ne bénéficie pas de l’avantage de son aspect transparent. Les dirigeants sont victimes de la pression médiatique et ils prennent à la course leurs décisions politiques et économiques et dans cette accélération imposée, ils commettent des erreurs irréparables. Voilà, résumés, les avantages de ce que les humains appellent, paradoxalement : le progrès.

Mais ce terme « progrès » nous offre la possibilité de comprendre la situation de l’humanité de 2022-2023 car l’état d’esprit des Occidentaux a constamment été en « progression » soit, en changement qui l’a progressivement transformé ; en conséquence de quoi, l’homme de notre temps est très différent de celui de 1945, date ou le partage territorial européen a été organisé par les pays vainqueurs. L’homme de 1945 était attaché en patriote à son pays et son drapeau national. Les deux premières guerres mondiales avaient eu pour cause, l’expansionnisme nationaliste prussien et allemand de l’empereur Guillaume 2 et d’Adolf Hitler. A cette époque, la nation était une valeur défendue par tous, car la menace d’une attaque ennemie contraignait les citoyens à favoriser la protection de leurs frontières derrière lesquelles ils pouvaient vivre en paix et prospérer. Dans la paix qui a suivi, la Seconde Guerre Mondiale, les relations internationales détendues ont rapproché les nations et de là est né un esprit universaliste. En France, particulièrement, cette pensée universaliste a été cause d’une récupération du thème des « droits de l’homme » dont le sens nationaliste français originel est devenu universaliste. Ce point est très important à comprendre car, à son origine, ce dogme des « droits de l’homme » ne visait qu’à rétablir une égalité entre les différentes classes formées en France : les nobles, les magistrats, les commerçants, les roturiers, toutes ses classes ont été soumis aux mêmes droits et mêmes devoirs par la charte des « droits de l’homme et du citoyen », mais elle ne s’appliquait qu’en France et en France colonialiste blanche, encore esclavagiste en cette époque révolutionnaire et même après elle. Avec le temps, l’esclavage a été condamné et c’est seulement après la révolte des étudiants français de Mai 1968 que dans un climat semi-anarchique, les « droits de l’homme » français sont devenus les « droits de l’homme » universel. La gauche politique française a enfourché cette idéologie et la pensée universaliste a dominé et fait détester la pensée nationaliste. L’humanité fonctionne toujours en réaction opposée absolu, suivant l’oscillation d’une balançoire. Autant la pensée nationaliste avait uni la nation, autant fallait-il dès lors la détester et favoriser l’accueil des étrangers sur la terre nationale ; ce brutal changement étant justifié au nom de la charte des « droits de l’homme ». Faut-il s’étonner de ce changement de norme ? Pas du tout, parce que par delà les siècles et les millénaires, la pensée des contemporains du roi Nimrod, qui élevèrent la tour de Babel pour tenter d’échapper aux malédictions divines, ressurgit après 1968. A côté du slogan de la jeunesse « il est interdit d’interdire » se trouvait également cet inquiétant « ni Dieu ni Maître », car c’était l’expression de la pensée des habitants de Babel. C’est pourquoi, l’accueil massif d’immigrants venus de toutes les nations de la terre est devenu en France la norme défendue, bec et ongles contre les opposants nationalistes. Mais attention, en Mai 1968, les étudiants français étaient fortement placés sous l’influence de la vie des Américains où ce mélange ethnique universaliste était déjà visible dans sa prestigieuse ville de la côte Est : New-York. Or qui pourrait croire que Dieu ait puni, Babel par la confusion des langues, sans punir sa nouvelle dernière expression ? La leçon écrite dans la Bible culpabilise les « babélisants » de notre 20ème siècle et cette culpabilité va recevoir son châtiment. Mais cette fois, Dieu ne va pas se contenter de séparer les humains par des langues différentes, cette fois, il va mélanger leur sang versé sur la terre des nouvelles « Babel ».

En 77 années, bénéficiant de la malédiction divine, Satan a réussi à transformer à 180° la société occidentale. Elle soutient aujourd’hui ce qu’elle a combattu hier et condamne maintenant ce qu’elle a soutenu avant son « grand changement », qui en fait est dans les têtes, comme dans les ethnies, les peuples, les mœurs, les couples et les corps. Aussi, avec un tel changement de comportement, il ne faut pas s’étonner de ce que lorsque de nouveaux nazis apparaissent, ils ne soient pas identifiés, ni redoutés, mais aidés et secourus. Heureusement, que le ridicule ne tue pas, car si c’était le cas l’Europe entière serait déjà dépeuplée. En effet la situation actuelle des européens est la suivante : Zélensky leur dit « Donnez-moi des armes, et taisez-vous ! » et que voyons-nous : ils donnent des armes et se taisent ; les choses étant dites en langage correct ; je te laisse imaginer ce que cela donne en langage ordurier.

Dieu a séparé les nations par des langues afin de les juger indépendamment les unes des autres. Pour lui, aucune nation n’a d’obligation envers une autre. Mais toutes les nations sont jugées par lui avec les mêmes exigences de sa part et les mêmes lois, car elles ont toutes des obligations et des devoirs envers lui.

L’actualité me permet de relever un lien qui relie la Troisième Guerre Mondiale ou « sixième trompette » avec la « quatrième trompette ». Je rappelle que dans Apo.11, au verset 14, le terme « second malheur » donné au verset 7 à la « bête qui monte de l’abîme », qui désigne la quatrième trompette ou Révolution française, désigne réellement dans Apo.9, la « sixième trompette ».

Dans les deux « trompettes » que Dieu relie, nous avons un effet « tremblement de terre » cité dans Apo.11 :13 : « A cette heure-là, il y eut un grand tremblement de terre, et la dixième partie de la ville, tomba; sept mille hommes furent tués dans ce tremblement de terre, et les autres furent effrayés et donnèrent gloire au Dieu du ciel. » J’ai déjà donné l’explication de cette image dans « Explique-moi Daniel et Apocalypse » et je la rappelle ici : l’effet « tremblement de terre » consiste à renverser le pouvoir dominateur en sorte qu’il est dominé par ceux qu’il dominait. Or, dans le développement des conséquences de la guerre qui se déroule en Ukraine, nous voyons se former des soutiens pour les deux camps qui s’affrontent. Et parmi eux, les peuples du tiers monde longtemps dominés par l’Occident soutiennent la Russie contre le camp occidental des anciens colons. Ainsi, la « sixième trompette » va prendre la forme de la Révolution Française, mais cette fois à l’échelle internationale. Le soutien du tiers monde va prendre une forme guerrière active qui va surprendre les nations occidentales, car ce tiers monde en désir de vengeance, plein de rancœur, est majoritairement musulman et il concerne les anciens peuples colonisés ; l’action attribuée au « roi du midi » de Daniel 11:40 sera de la sorte confirmée. De même que les « sans-culotte » révolutionnaires renversèrent le roi de France, les peuples maghrébins et africains renverseront pour un temps les anciens colons dominateurs. Et les deux événements partagent en commun, un climat de « terreur » pour le camp occidental ciblé par la colère de Dieu en Jésus-Christ. Et tout cela, parce que les peuples héritiers de la religion chrétienne persistent à honorer le faux jour du repos instauré par Rome en 321 et institutionnellement en 538, méprisant ainsi le saint sabbat du septième jour sanctifié par Dieu depuis sa création du monde il y aura de cela, 6000 ans, le jour du printemps 2030.

Les liens de ressemblance des « 4ème et 6ème trompettes » sont nombreux et très significatifs. Cette subtilité que Dieu a voulu faire partager uniquement à ses derniers « fils de la vérité » est riche d’enseignements. Le parallélisme de la « 4ème trompette » et du « quatrième châtiment » de Lév.26:25 révèle le sens que Dieu donne à son « châtiment » : sa « vengeance » contre ceux qui trahissent son « alliance » : « Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi ». Relève que Dieu juge de la même manière, l’ancienne et la nouvelle « alliance », confirmant ainsi le fait qu’il « ne change pas », comme il le dit dans Mal.3:6. Dans ce message de Lév.26:25, « l’épée » désigne la guerre, le soulèvement armé civil ou militaire, selon le cas. Et il faut relever aussi le caractère de ressemblance de la « sixième trompette » avec la « première » : dans les deux cas, l’invasion de l’Europe par les peuples du Nord-est, l’ancien territoire des célèbres et redoutés Huns conduits par leur chef Attila qui agissait au titre, maintenant confirmé, de « fléau de Dieu ». De même que la dernière leçon adressée par Dieu aux chrétiens infidèles de l’époque qui s’achève en 1844 est venue en 1793-1794 sous la forme de la « Terreur » révolutionnaire française, pour la période qui commence en 1844, le châtiment mortel vient depuis le 24 Février 2022 par la « sixième trompette » qui reprend la forme de la « première », et par cette ressemblance, l’Esprit renouvelle son accusation contre l’abandon injustifiable du saint sabbat de sa divine loi. La « sixième trompette » repose sur deux phases successives : le début qui concerne la guerre en Ukraine, par laquelle l’Europe occidentale devient l’ennemie de la Russie, par son soutien et son armement de l’Ukraine, son ennemie. La deuxième phase sera marquée dès le printemps 2023 par une guerre directement portée par la Russie contre les nations européennes. Dans le même temps, le reste du monde s’enflammera en opposant les soutiens orientaux musulmans ou autres aux pays du camp occidental : les USA, la Corée du Sud, le Japon et Taïwan, contre la Russie, la Chine et la Corée du Nord, l’Inde contre le Pakistan et d’autres antagonismes internationaux.

L’idée de « vengeance » est fondamentale, car elle implique la réponse à une injustice commise. Injustice envers Dieu au sujet du sabbat, mais aussi, injustice envers les peuples du tiers monde, longtemps exploités, mis en esclavage, et colonisés par les puissances occidentales riches et puissamment armées. La paix qui a été imposée ensuite l’a été par le pays occidental vainqueur de la Deuxième Guerre Mondiale : les USA mercantiles et cupides, peu sensibles à la vraie justice divine. Leur capitalisme froid et impassible est devenu la norme et par lui l’exploitation de l’homme s’est prolongée. C’est à cause de ce despotisme politique et économique que les peuples musulmans l’on appelé « le grand Satan ». Et la révélation de Jésus-Christ confirme la justesse de ce jugement, sans pour autant justifier ni légitimer l’islam qui nie la mort volontaire de notre seul et universel Sauveur, le divin Seigneur Jésus-Christ.

Le thème de la liberté relie aussi les « 4ème et 6ème trompettes ». Après l’accès à la liberté des révoltés américains en lutte contre la monarchie anglaise ce sujet a gagné l’Europe à partir de la France et de sa Révolution avant de contaminer et conquérir toute l’Europe occidentale et ceci jusqu’à la Russie en 1917. La liberté a fait couler beaucoup de sang et elle est insatiable. C’est elle qui explique les dérives perverses des mœurs occidentales et c’est encore elle qui est la cause du déclenchement de la Troisième Guerre Mondiale. C’est en effet par désir de liberté extrême que l’Ukraine est sortie de son alliance avec la Russie. Nous apprécions, certes, la liberté, mais nous ne devons pas oublier qu’elle est pour des multitudes une cause de perte ; Dieu l’ayant jugée comme péché par ses excès libertaires et liberticides. A ses yeux, ce thème de la liberté est si important qu’il fait allusion à cette idole érigée en statue offerte par la France aux USA dans ce verset d’Apo.11:10 : « Et à cause d'eux les habitants de la terre se réjouiront et seront dans l'allégresse, et ils s'enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre. »

Officiellement, contrairement aux Français de 1793, les américains n’ont pas rejeté Dieu et sa sainte Bible, ses « deux témoins » ou « deux prophètes », mais leur christianisme de type calviniste n’était pas dans la norme divine. Et en favorisant, selon sa doctrine, le droit à l’enrichissement pris comme signe de la bénédiction divine, il ne pouvait pas être béni par Dieu et ne pouvait favoriser que des dérives libertaires, selon que Dieu déclare par la bouche de l’apôtre Paul dans 1 Tim.6:9-10 : « Mais ceux qui veulent s'enrichir tombent dans la tentation, dans le piège, et dans beaucoup de désirs insensés et pernicieux qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition. Car l'amour de l'argent est une racine de tous les maux ; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments. » En France et partout ailleurs, l’accès à la liberté excessive a tué la foi, car plus l’homme se libère, plus Dieu s’éloigne de lui. En réalité ce n’est pas l’homme qui rejette Dieu ; c’est Dieu qui repousse l’homme rebelle parce qu’il se montre indigne de son amour.

Pour Dieu, la vraie « liberté » de ses créatures se trouve dans leur soumission à ses justes lois et principes comme l’enseigne 2 Cor.3:17 : « Or, le Seigneur c'est l'Esprit ; et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté. » Et encore Gal.5:1 : « C'est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude. » ; Jac.2 :12 : « Parlez et agissez comme devant être jugés par une loi de liberté, » En dehors de cette norme de « liberté », l’homme devient victime d’un principe anarchique qui repousse toujours plus loin ses limites auxquelles seule la mort met une fin.

 

 

Dieu juge les cœurs et les pensées

 

Dieu étant invisible, l’homme incrédule ou incroyant croit que ses pensées sont inviolables ; c’est ainsi qu’il peut facilement tromper ses semblables en leur tenant de faux propos. Il peut mentir mais aussi dire la vérité sans l’approuver, et dans ce cas, la vérité elle-même prend pour lui valeur de mensonge. Le mensonge est le fruit d’une perversion mentale. L’homme idéal selon Dieu ne doit pas être déformé par aucune perversion mentale ou physique. La rectitude exigée est de réagir de manière naturelle et spontanée sans calcul à l’image de l’eau de source qui sort de la montagne et qui suit le chemin le plus facile pour elle en se dirigeant toujours vers le bas : elle ne calcule pas mais obéit à la loi de la pesanteur terrestre incapable de lui résister. C’est ainsi que dans les zones les plus basses, les eaux des sources se rejoignent et forment ensemble, successivement, les rivières et les fleuves. De même que l’eau ne peut remonter vers sa source, l’âme agréable à Dieu est incapable de se rebeller contre lui et ses lois, morales, physiques, chimiques et spirituelles. Dieu connaît les pensées de ses créatures et c’est pourquoi, la vie des élus est chargée et comblée de riches expériences, alors que chez l’incrédule ignoré par Dieu, il ne se passe rien. C’est son Esprit Saint qui fait la différence car Jésus l’a bien dit dans Matt.13:12 : « on donnera à celui qui a » ; mais qui a quoi ? La foi, rien que la foi mais toute la foi. Et ce tout petit mot « foi » représente beaucoup de choses, dont précisément, les réactions logiques et simples face aux vérités révélées par Dieu. Car confrontés aux vérités célestes, l’élu se comporte comme la source d’eau. Il se laisse guider par l’Esprit de Dieu qui inspire et construit ses réflexions et sa compréhension des mystères révélés.

La foi n’est pas liée à la sensiblerie de l’esprit humain, car là où Dieu la trouve, il ouvre l’intelligence. Le fruit de la foi est donc l’ouverture de l’intelligence de l’élu. Mais cette intelligence donnée par Dieu s’ajoute à notre intelligence naturelle. Aussi selon le principe, « on donnera à celui qui a », celui qui fait une bonne utilisation de son intelligence naturelle obtient de Dieu un surcroit d’intelligence pour les sujets spirituels, mais aussi terrestres et charnels. Car celui que Dieu éclaire spirituellement doit être aussi capable de juger les actions accomplies dans son environnement terrestre. L’intelligence est donc le don le plus précieux que Dieu puisse offrir à ceux qu’il aime. Je précise bien, à ceux qu’il aime, parce que seul son jugement importe. Les apparences sont trompeuses car nombreux sont les êtres humains qui prétendent aimer Dieu alors qu’ils ignorent comment il les juge. Comme l’exige la vie d’un couple humain, l’amour doit être réciproque car s’il ne fonctionne qu’à sens unique, l’amour n’est qu’une trompeuse illusion. Les croyants infidèles commettent l’erreur de ne pas rechercher suffisamment la réponse de Dieu à leur amour pour lui. Le Dieu créateur, source de toute intelligence condamne ce manque d’intelligence, car celui qui aime vraiment exige les preuves d’un retour d’amour. La relation qui se construit avec Dieu, est semblable à celle d’un homme et d’une femme appelés à ne « former qu’une seule chair ». Et comme pour le couple humain, le couple spirituel formé de l’élu et de son Dieu créateur s’entretient par leur souci constant de donner des preuves de l’amour donné et de l’amour ressenti.

Avec raison, dans 1 Cor.13, l’Esprit enseigne une définition multiple de l’amour, la charité ou plus précisément du « charisme » soit du « don » de Dieu, le plus excellent, tel qu’il le conçoit. Il décrit ce qu’il est et ce qu’il n’est pas, dénonçant même le faux « don » basé sur la connaissance strictement intellectuelle de la vérité, qui dans ce cas « enfle l’âme » en flattant son orgueil. En opposition à cette réaction, chez le véritable élu, la connaissance de la vérité apporte dans l’âme, la joie, l’allégresse, un grand bonheur reçu en toute humilité.

Au cours des six mille années de la vie sur la terre, Dieu organise des tests successifs qui ont tous pour but d’éprouver les âmes humaines pour leur permettre de révéler leur foi ou leur absence de foi envers lui. Et dans toutes ses épreuves, il démasque les faux croyants et permet aux vrais de se démarquer des autres. Tout son projet est soumis à la pensée collective et les épreuves qu’il suscite offrent des preuves à ses élus célestes et terrestres. Car s’il l’avait voulu, Dieu aurait pu faire vivre uniquement des élus et empêcher les déchus de naître. Mais son projet repose sur la joie du partage et c’est pour obtenir cette joie que notre Père s’est donné des fils, en grande partie devenus rebelles envers lui, ses lois et ses principes. La sélection de ses élus qui repose sur le terrible sacrifice de sa vie en Jésus-Christ nous révèle l’ampleur de ce désir de partager son existence avec des vis-à-vis libres. Cette pensée  est la principale que nous devons retenir car elle est au centre de toutes les épreuves qu’il a organisées au fil du temps.

Au sujet de l’amour, Dieu est extrêmement et sublimement exigeant. Il est prioritaire au-dessus de tout autre être vivant. Et ceci justifie ces paroles du Christ citées dans Matt.10:37 : « Celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ». Pour un homme, aimer sa femme ne constitue pas un obstacle à son amour pour Dieu et c’est aussi vrai à l’inverse pour sa femme. Mais le couple terrestre doit en accord aimer Dieu en premier, au-dessus de leur amour l’un pour l’autre et donc au-dessus de l’amour porté à leurs enfants. Ces deux amours sont complémentaires et non opposés. Mais le problème se présente quand l’un des deux membres du couple frustre Dieu de sa priorité, et hélas, c’est le cas de presque tous les couples formés par les Juifs et les chrétiens sur toute la terre. Les élus sont rares sur la terre entière et les couples d’élus encore plus rares. La relation avec Dieu est si individuelle et si exigeante qu’elle ne trouve son épanouissement plus guère que dans la vie isolée des célibataires ou conjoints séparés. Cependant, la situation n’est pas désespérée, car les dernières heures de l’humanité redeviendront favorables à la vraie foi pour tous les derniers élus mariés ou pas. Jésus a confirmé ce jugement individuel disant dans Luc 17:34 : « de deux personnes se trouvant dans un même lit, l’une sera prise, l’autre laissée ». La foi n’est pas charnellement partagée et le jugement de chaque âme est donc bien strictement individuel.

L’épreuve de foi de 1843-1844 est un modèle du genre ; un modèle véritablement révélateur, car pour la première fois, cette épreuve a été prophétisée par Dieu dans la Bible, révélée au prophète Daniel et en son temps au prophète Jean, à la fin du premier siècle de notre ère chrétienne. Dans ses prophéties, Dieu révèle toutes les conséquences d’une épreuve de foi. Une situation ténébreuse devient lumineuse, car à la lumière de ses révélations, l’élu du moment identifie clairement qui est maudit par Dieu et qui est béni. C’est le privilège de l’élection divine. Mais attention, les épreuves de foi se succèdent et celui qui restera debout à la dernière sera seul réellement un élu du Christ. Au cours de notre vie, le diable dresse des pièges et des embûches pour nous faire tomber et perdre notre élection. C’est vrai au niveau individuel mais c’est aussi vrai au niveau collectif. Historiquement, la foi chrétienne apostolique est devenue collectivement la religion catholique romaine pour son malheur. Sa suprématie et son autorité ont attesté de sa malédiction divine ; sa réussite était prophétisée par Dieu a Daniel comme une mise en garde : Dan.8:24-25 : « Sa puissance s'accroîtra, mais non par sa propre force ; il fera d'incroyables ravages, il réussira dans ses entreprises, il détruira les puissants et le peuple des saints. A cause de sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l'arrogance dans le cœur, il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement, et il s'élèvera contre le chef des chefs ; mais il sera brisé, sans l'effort d'aucune main. ».  Ce régime papal romain est ainsi prophétisé pour un long règne couvrant 16 siècles de notre histoire européenne ; 16 siècles qui s’achèveront au retour glorieux de notre puissant Sauveur et Seigneur, Jésus-Christ, et c’est lui qui, en Dieu Tout-Puissant soit, « sans l’effort d’aucune main » humaine, détruira son chef, son clergé, son peuple et le lieu de son trône : Rome, la cité et l’Etat du Vatican. En Europe, le modèle de la religion chrétienne qui s’est imposé dès 538 fut cette norme catholique dans laquelle le diable a installé les formes anciennes du paganisme romain. Cette dénonciation biblique me permet d’affirmer que cette religion n’a jamais été reconnue par Dieu et que ceux qui s’attachent abusivement à elle, le font au prix de la perte de leur vie éternelle. Pour confirmer ce jugement divin, au 16ème siècle, Dieu a suscité la contestation biblique de l’œuvre de la Réforme. Et loin de se repentir de ses œuvres, la foi catholique de Rome, que Dieu nomme « Babylone la Grande », s’est retournée avec violence contre les Réformateurs, et parmi eux, de vrais prophètes pour Dieu dans cette époque. Les hommes vivent et meurent ; le temps de leur vie est court et pendant leur courte existence, le plus grand nombre ignore et sous-estime les choses accomplies avant lui. C’est ce désintérêt pour le passé historique qui les conduit à ignorer les fautes que Dieu impute à la religion catholique depuis son instauration, en 538. L’avantage de la prophétie inspirée par Dieu est de retrouver dans ses révélations l’identification des fautes accumulées par Rome au fil du temps. En fait, l’instauration du régime papal en 538 n’est que la conséquence soit, le deuxième châtiment que Dieu inflige au peuple chrétien européen pour punir son adoption du « jour du soleil » païen imposé par Constantin 1er pour remplacer le repos du septième jour sanctifié par Dieu depuis sa création du monde. Le commun des mortels contemporains est loin de se soucier de l’origine du jour de repos, transmis de génération en génération depuis le 7 Mars 321, date qu’il ignore totalement. Mais pour le Dieu éternel c’est autre chose, la malédiction reste attachée au « jour du soleil » rebaptisé « dimanche » soit, « Jour du Seigneur » et les conséquences de ce grave péché commis contre lui, sa gloire et son projet salvateur, se prolongent jusqu’à la fin du monde.

Nous avons aujourd’hui, le privilège de bénéficier de la révélation divine prophétique entièrement décodée ou décryptée. Ceci au point que la compréhension de son jugement pour notre temps est aussi claire que possible.

La foi catholique fut dénoncée par les Réformateurs du 16ème siècle puis après la Révolution Française et les dites « lumières », les pensées philosophiques des libres penseurs, la dénonciation du catholicisme a pris fin. Je peux donc dire que la foi protestante s’est dissoute dans la pensée des libres penseurs et dès lors, l’humanisme matérialiste a uni les esprits humains des trois groupes ainsi unis et réconciliés dans une fraternité diabolique. La chose est passée inaperçue, mais en ouvrant mon intelligence sur ces sujets, Dieu m’a permis de confirmer cette analyse en retrouvant ces choses prophétisées dans le livre « Apocalypse » qui mérite bien son nom : « Révélation ». Et c’est ainsi qu’en « Sardes » dans Apo.3:1, j’ai retrouvé la confirmation de la condamnation d’un protestantisme essentiellement américain qui ne protestait plus contre les péchés de Rome en 1843, mais honorait sans honte son dimanche, le signe même de son autorité et de sa malédiction.

La malédiction est tombée sur la foi protestante en 1843 suite à un double jugement de la part de Dieu qui « sonde les reins, les cœurs et les pensées » selon 2 Chr.28 :9 dont voici le texte entier : « Et toi, Salomon, mon fils, connais le Dieu de ton père, et sers-le d'un cœur dévoué et d'une âme bien disposée, car YaHWéH sonde tous les cœurs et pénètre tous les desseins et toutes les pensées. Si tu le cherches, il se laissera trouver par toi ; mais si tu l'abandonnes, il te rejettera pour toujours. » Relève cette précision « tous les desseins » ce qui signifie qu’il connaît un projet qui apparaît dans l’esprit de l’homme avant sa mise en exécution. Chez les protestants, Dieu trouvait les fruits de Rome et déjà cela suffisait pour les maudire tous, cependant pour sauver ce qui pouvait l’être, il a organisé l’épreuve « adventiste » par laquelle, individuellement, des protestants pouvaient manifester leur amour pour Jésus en s’attachant au projet de son retour prophétisé pour le printemps 1843, par William Miller le fermier prédicant américain. Environ 30 000 âmes ont cru momentanément à la possibilité de ce retour du Christ. Mais celui-ci ne venant pas à la date annoncée, la foi est retombée après cette déception. Certains, plus soulagés que déçus, sont retournés vers les affaires terrestres. Mais prétextant d’une erreur, l’Esprit a relancé l’espérance d’un retour de Jésus-Christ pour l’automne 1844. Et là, pour la seconde fois, Jésus ne s’étant pas présenté, le message adventiste a été rejeté par tous les participants ; tous sauf 50 personnes. Ainsi, à l’aide de deux épreuves consécutives, Dieu a pu démasquer la foi hypocrite de 30000 âmes et la foi réelle de 50 âmes a été révélée, sans oublier, les autres protestants et croyants chrétiens qui n’ont pris part à aucun de ses appels et réveils prophétiques.

Dans ces deux attentes adventistes, Dieu a cherché la joie ressentie pour son retour en Christ et sur l’ensemble des chrétiens protestants américains, dont seulement 30000 l’ont attendu pour un temps ; 50 seulement parmi eux avaient en eux l’amour de la vérité et portaient le fruit béni dans 1Cor.13 : « l’amour » ou le « charisme » qui « se réjouit de la vérité ». Et pour être de ce nombre, l’élu doit accepter de Dieu toutes les stratégies, y compris celle du « bluff », car la chose est bien connue et même pratiquée par Dieu dans ces épreuves adventistes : « il faut prêcher le faux pour savoir le vrai ». C’est en agissant ainsi, que le roi Salomon, ordonnant que l’on coupe l’enfant disputé en deux parties pour les remettre aux deux mères prétendantes, devint célèbre et honoré pour la divine sagesse qu’il a reçue de Dieu. Dieu avait déjà dit au sujet d’Israël dans Esaïe 29:13 : « Le Seigneur dit : Quand ce peuple s'approche de moi, il m'honore de la bouche et des lèvres; mais son cœur est éloigné de moi, et la crainte qu'il a de moi n'est qu'un précepte de tradition humaine ». Que signifie ce reproche ? Dieu nous dit que dans cette condition, la religion juive n’a pas plus de valeur que les religions païennes. Ce reproche concerne, à leur tour, tous les chrétiens rejetés après que Dieu ait mis leur foi à l’épreuve au fil du temps. Après les protestants en 1843 et 1844, c’est la foi adventiste du septième jour qui a été à son tour mise à l’épreuve entre 1982 et 1991. En 1994, date du terme de l’attente basée sur mon interprétation d’Apo.9:5-10, le jugement de Dieu est tombé sur l’organisation mondiale officielle : « vomie » par Jésus-Christ, pour les mêmes raisons que les protestants avant eux : l’absence de l’amour de la vérité démontrée par ses œuvres : le rejet de la lumière prophétique.

 

 

Le mépris envers les témoignages de la Bible

 

Alors que les exigences divines établies sur la restauration doctrinale de la vérité religieuse prophétisée dans Daniel 8:14 dirige les esprits des élus vers les véritables normes de la loi divine, le mépris envers la Bible conduit l’incrédule à se charger d’une lourde culpabilité : l’ignorance. Dans le jugement des humains, l’ignorance est considérée comme une cause qui diminue la valeur de la faute commise par le coupable ; mais en ce qui concerne le mépris pour la sainte Bible, pour Dieu, cette culpabilité n’est pas diminuée. L’ignorance est due, soit à l’héritage d’une religion païenne, soit au mépris et au désintérêt des humains qui vivent dans l’héritage du christianisme.

Ce qui culpabilise, en premier, l’incrédule méprisant, c’est son attitude envers des témoignages écrits par des hommes qui ont tenu à léguer à la postérité le témoignage de leur vie religieuse remplie d’expériences fruits de leur rencontre avec Dieu, le Saint invisible. Comment Dieu ne punirait-il pas celui qui ne veut pas savoir, qui ne veut ni connaître ni recevoir les preuves de ses actions ? Car la vue n’est pas indispensable pour justifier la croyance, les actions de Dieu suffisent pour comprendre qu’il existe et agit avec une puissance illimitée.

Parmi ces témoignages bibliques, je retiens celui du roi chaldéen Nébucadnetsar dont la conversion au Dieu créateur est un modèle unique porteur d’une grande autorité. Ce grand roi qui dominait sur tout le Moyen-Orient actuel était l’héritier naturel d’une religion païenne jusqu’à ce qu’il découvre le témoignage des quatre jeunes gens hébreux venus avec de nombreux autres à Babylone en captifs. Sa conversion va prendre du temps, mais dès le début en exigeant de ses sages des preuves de leurs pouvoirs surnaturels, il fait preuve lui-même d’une intelligence rare. Il a déjà un raisonnement logique qui le rendra digne de l’élection divine quand il se convertira complètement au Dieu créateur que Daniel et ses trois compagnons lui révèlent. La vie du roi Nébucadnetsar n’a rien d’ordinaire, elle est même exceptionnelle. Dieu l’a choisi, pour qu’il lui rende le plus puissant témoignage parmi tous les pécheurs humains. Son pouvoir était absolu et sa gouvernance était appréciée par son peuple. Il portait en lui le sens de l’équité et il a montré qu’il était capable de frapper les riches, les sages, comme les pauvres, quand la chose était justifiée par les lois des chaldéens. Les songes que Dieu lui donnait était expliqués par Daniel, et ces témoignages le troublaient mais pas suffisamment pour se convertir. Alors, Dieu a employé la mesure forte, ce qui prouve l’importance qu’il a lui-même donnée à la conversion et au témoignage de ce prestigieux roi héritier du paganisme. Pour le punir et lui faire prendre conscience de son orgueil, Dieu l’a abêti pendant sept années. Dans cet état, où il pensait être un animal et se comportait comme tel, il ne comprenait pas encore la leçon que Dieu lui donnait. Mais à la fin des sept années son esprit d’homme lui a été rendu,  il a alors découvert, par l’étonnement de son entourage, le sort que Dieu venait de lui faire subir. Et la leçon porta son heureux fruit, il se convertit alors totalement au Dieu créateur dont il a expérimenté l’immense puissance. Est-ce à dire qu’il suffirait à Dieu de faire passer tous les humains par la même expérience pour obtenir leur conversion ? Pas du tout, car Dieu a agi de la sorte envers le roi Nébucadnetsar parce que, connaissant la nature de son âme, il l’a jugé digne d’être conduit à lui. Mais ce n’est pas vrai pour tous les hommes, certains sont irrémédiablement rebelles comme l’ange démoniaque Satan et aucune épreuve ne changerait leur nature rebelle.

Jésus n’était pas encore venu sur terre, mais déjà, sa divinité agissait en « bon Berger qui recherche sa brebis égarée », en l’occurrence, dans l’héritage païen. Le roi a confirmé sa dignité pour l’élection divine et au nom du Dieu créateur, il nous a adressé ce magnifique témoignage rapporté par Daniel dans ses écrits : Dan.4:34 à 37 : « Après le temps marqué, moi, Nebucadnetsar, je levai les yeux vers le ciel, et la raison me revint. J'ai béni le Très Haut, j'ai loué et glorifié celui qui vit éternellement, celui dont la domination est une domination éternelle, et dont le règne subsiste de génération en génération. Tous les habitants de la terre ne sont à ses yeux que néant : il agit comme il lui plaît avec l'armée des cieux et avec les habitants de la terre, et il n'y a personne qui résiste à sa main et qui lui dise : Que fais-tu ? En ce temps, la raison me revint ; la gloire de mon royaume, ma magnificence et ma splendeur me furent rendues ; mes conseillers et mes grands me redemandèrent ; je fus rétabli dans mon royaume, et ma puissance ne fit que s'accroître. Maintenant, moi, Nébucadnetsar, je loue, j'exalte et je glorifie le roi des cieux, dont toutes les œuvres  sont vraies et les voies justes, et qui peut abaisser ceux qui marchent avec orgueil. »

Il est donc facile de comprendre, l’importance que Dieu donne à ces paroles qui devraient convaincre tout homme non rebelle vers lui, pour sa conversion et son salut. Il est aussi, tout aussi facile de comprendre la très haute culpabilité de l’oreille qui refuse d’entendre ces paroles qui témoignent de l’existence du grand Dieu invisible. Le refus d’entendre ou de voir constitue le premier niveau de la culpabilité humaine qui condamne à la mort éternelle et définitive tous ceux qui commettent cette erreur de comportement.

Beaucoup trop d’êtres humains pensent se protéger sous prétexte d’ignorance, mais en terre chrétienne où la Bible est répandue et parfois offerte gratuitement, ce prétexte les condamne. Quant aux peuples non chrétiens, ils ont le devoir de rechercher le vrai Dieu et ne sont pas justifiés par l’attachement à leur tradition religieuse. La foi chrétienne présente seule un chemin logique construit sur le témoignage du peuple Hébreu révélateur du Dieu unique et créateur de tout ce qui est et qui vit. Et tout être humain, ayant reçu de Dieu l’intelligence qui l’élève au-dessus de la bête, l’animal, a le devoir de raisonner logiquement. Dans l’histoire de Jéricho, la prostituée Rahab, héritière du paganisme de sa nation, a choisi de l’abandonner pour se rattacher au peuple du vrai Dieu. Ce témoignage culpabilise encore aujourd’hui tous ceux qui n’imitent pas son comportement parmi les peuples de la terre. Car en effet, croire à l’existence de Dieu et reconnaître qu’au titre de créature, tout humain a des comptes à lui rendre est le premier niveau qui conduit vers l’élection. C’est seulement après cette première étape que la créature va découvrir ses lois et ses ordonnances qui règlent la vie entière des élus. La pédagogie spirituelle repose donc sur plusieurs niveaux graduels successifs et dans tous ces niveaux, le mauvais choix se traduit par la culpabilité envers Dieu : le païen méprise la Bible et ses témoignages ; en l’an 30, le Juif traditionnel refuse le projet salvateur prophétisé et accompli par Dieu en Jésus-Christ  et en conséquence, dans sa Révélation l’Apocalypse, Jésus l’identifie à « la synagogue de Satan », dans Apo.2:9 et 3:9 ; en l’an 538, le chrétien catholique romain change la norme religieuse chrétienne et rétablit des normes païennes (choses héritées dans les normes orthodoxe et anglicane) ; en l’an 1843, le protestantisme justifie le dimanche catholique ; en l’an 1994, l’adventisme favorise les rapports humains avec les ennemis de Dieu. Dans toutes ses expériences, les fautifs refusent de tenir compte de la lumière divine apportée dans leur temps. Les autres religions n’ont pas de légitimité dans le projet salvateur préparé par Dieu et prophétisé par ses serviteurs prophètes dans la seule Bible ou dans des écrits qui l’éclairent.

 

 

 

 

 

 

 

 

DIEU : LE PLUS GRAND DES STRATEGES

 

Parce qu’il contrôle tout, organise tout, Dieu est assurément le plus grand des stratèges. Son plan du salut repose sur une stratégie construite sur la réaction de son ou ses vis-à-vis. Dans l’image d’un joueur « d’échecs », il prépare ses jeux sur de multiples successions de choix qui lui permettent de vaincre l’adversaire et de le faire « échec et mat ». Quand l’homme rebelle choisit de désobéir à Dieu ou même de l’ignorer, il ne fait de tort qu’à lui-même. Dieu permet à l’homme de le rejeter, de lui désobéir, de le mépriser pendant tout le temps de sa vie ; en conséquence, il mourra comme un animal peut mourir soit, sans espérance. Oui, Dieu peut supporter longtemps ce comportement hostile, parce qu’il ne s’intéresse réellement qu’à ceux des êtres humains qui se montrent dignes de son élection, dignes de son amour, dignes de la vie éternelle qui se prolongera en sa présence.

Le divin stratège a organisé son plan de salut en conduisant ses élus des ténèbres vers la lumière ; ce qui explique son choix de révéler son amour salvateur seulement après 4000 années de ténèbres. Si la Bible présente la nouvelle alliance comme un temps de liberté, c’est parce que l’ancienne alliance faisait figure d’esclavage doctrinal religieux. Les nombreux rites accomplis par les Lévites dans le sanctuaire construit par les hommes étaient pesants et dangereux pour les fautifs irrespectueux des détails prescrits par Dieu. Et nous devons retenir de cette expérience que Dieu est resté le même, après avoir donné sa vie en rançon pour le salut de ses élus sélectionnés au cours des 6000 ans de son programme prophétisé chaque semaine par ses six premiers jours ; le septième jour ou sabbat, sanctifié par Dieu, ne concernant que les élus et leur entrée victorieuse et glorieuse dans le septième millénaire. Et ce sujet me conduit à te faire remarquer ce point important. Pour Dieu, le plus grave n’est pas l’adoration du « soleil » pratiquée par le culte religieux du « dimanche » romain. Ce qui est grave, c’est l’irrespect du saint jour qu’il a sanctifié depuis la création du monde parce que ce saint jour est placé sur la fin de la semaine en raison même de sa signification prophétique qui est de marquer la fin du grand projet du salut préparé par le grand Dieu créateur. La punition infligée à Moïse nous a enseigné que Dieu n’insupporte rien autant que la déformation de son plan et de ses projets pour la terre et ses habitants. Et prétendre que le jour du soleil est le jour final enlève tout sens prophétique à son organisation de la semaine.

Beaucoup de peuples ont adoré le soleil jusqu’en 321 où Constantin 1er a fait adopter, par les chrétiens de l’empire romain, le premier jour qui le célébrait. Dieu n’a pas détruit l’Egypte à cause de son adoration de «  », son dieu solaire, mais à cause des persécutions imposées à son peuple hébreu. Ces peuples étaient tous païens autant qu’il est possible de l’être soit, sans aucune relation avec Dieu. C’est pourquoi le choix de leur adoration était de peu d’importance pour lui. Mais lorsqu’en 321, le jour du soleil a été adopté par des chrétiens, la situation a été très différente car cette fois la foi chrétienne du peuple engageait le vrai Dieu glorieux, son honneur était attaqué et son nom rattaché au paganisme. Ce verset d’Esaïe 1 :13 nous permet de comprendre la cause de sa colère et des châtiments des « trompettes et des derniers fléaux » qui vont en résulter : « Cessez d'apporter de vaines offrandes : j'ai en horreur l'encens, les nouvelles lunes, les sabbats et les assemblées ; je ne puis voir le crime s'associer aux solennités. » Il s’agit bien sûr d’un verset de l’ancienne alliance et les fautifs diront encore qu’il concernait seulement les juifs, mais ses vrais enfants qui l’aiment savent qu’il n’en est rien. Ce message concerne la nouvelle alliance aussi bien que l’ancienne. Nous savons que « l’encens » des rites du sanctuaire symbolisait la prière d’odeur agréable qui monte vers Dieu au nom du sacrifice de l’agneau Jésus-Christ. Aujourd’hui, en 2022 et depuis 321 mais de manière impérative depuis 1843, les « assemblées » organisées au « jour du soleil » sont « en horreur » au Dieu créateur nommé sur la terre Jésus-Christ. Cette odieuse pratique est à ses yeux un « crime » que des chrétiens rebelles « associent » à son œuvre de salut qui repose sur son sacrifice en Christ. En citant, « les sabbats »,  Dieu cible tous « les sabbats » soit, toutes les fêtes religieuses qu’il a ordonnées ou celles que les humains ont inventées pour les lui dédier. Dieu n’attend pas de l’homme, des offrandes et des jours de fêtes, il n’exige que la simple obéissance à ce qu’il a ordonné en Jésus-Christ. Et il ne reste des anciens préceptes que peu de choses, mais tout ce qui est à ses yeux, l’essentiel ; des normes de vie saines alimentaire et hygiénique, le respect de son ordre concernant le temps, et le devoir de refléter dans l’amour et la compassion la gloire de sa nature divine. Or ces choses ne s’imposent pas, elles sont choisies par ses vrais élus. C’est ce qui permet à ces vrais élus d’être des enfants de la paix car l’amour ne s’obtient pas par la guerre ou la persécution. Le fruit de la méchanceté est porté par le faux christianisme qui utilise des dogmes religieux pour persécuter les êtres faibles et dociles. Et en premiers, les Juifs ont manifesté ce fruit de méchanceté à l’encontre des premiers chrétiens, puis après eux les Romains ont agi de même, jusqu’à la paix sournoise et trompeuse accordée par l’empereur Constantin 1er, le faux converti resté toute sa vie adorateur du « Soleil Invaincu » honoré par ses pères et sa mère qui fut grande prêtresse de cette divinité. C’est depuis cet héritage que le soleil et ses rayons solaires apparaissent dans les images sacrées du culte catholique romain pour symboliser la gloire du Christ.

Dans l’ancienne et la nouvelle alliance les élus sont peu nombreux et rares, Dieu l’a clairement exprimé dans ce verset d’Esaïe que Paul cite dans Rom.9:27 : « Ésaïe, de son côté, s'écrie au sujet d'Israël : Quand le nombre des fils d'Israël serait comme le sable de la mer, un reste seulement sera sauvé.  » L’appartenance au peuple Israël n’offrait donc aucune garantie d’élection divine, et Dieu permettait à ses élus de le savoir d’avance. C’est pourquoi, il a donné en 538 à la Rome papale une domination faussement chrétienne qui regroupait sous son autorité tous les chrétiens frappés par la malédiction du « jour du soleil » de l’empereur Constantin, et ceci depuis le 7 Mars 321. Sous la domination papale ce nom fut changé pour celui de « jour du Seigneur », en latin originel « dies domenica », traduit en français par : dimanche. Cependant dans la langue anglaise utilisée par les USA le nom païen a été conservé. Et ce n’est pas sans raison, car c’est l’Amérique qui va défendre le faux jour du Seigneur dans la dernière épreuve de foi prophétisée par Dieu pour l’heure du retour du Christ glorieux. On peut le comprendre, la présence en clair du nom « jour du soleil » dans son calendrier hebdomadaire, en anglais « Sunday », va lui enlever toute excuse quand Dieu va rappeler son exigence de la pratique de son saint sabbat pour la dernière fois. La langue anglaise témoignera du subterfuge en faveur du saint sabbat et tous ceux qui ne tiendront pas compte de ce fait subiront la juste colère de Dieu et ils seront détruits par lui.

Au fil du temps, parce qu’il sonde les esprits humains Dieu a toujours la possibilité de juger les êtres humains et de savoir qui est réellement chacun d’eux. Sa justice s’applique donc sans possibilité d’erreur pour tous. C’est parce que je croyais en lui et à sa puissance illimitée que j’ai entrepris l’étude de ses prophéties qui m’a fait découvrir l’admirable et Tout-Puissant Stratège qu’il est. Ce mot stratégie convient au mieux pour définir son projet salvateur car il a en opposition contre lui, un seul ennemi : le camp rebelle et ses multitudes de formes. La responsabilité de cette rébellion multiforme est placée sur l’ange déchu appelé aujourd’hui Satan, parce qu’il fut, dans l’histoire de la vie, la première créature coupable de rébellion envers Dieu. Ceux qui parmi les anges l’ont imité et suivi ne sont pas moins coupables, car le choix de se rebeller est venu d’eux en connaissance de l’amour divin. Sur terre, l’ignorance de la vérité biblique confisquée par les moines et le clergé catholiques n’a pas empêché Dieu d’identifier les belles âmes dignes de son amour. Dieu garde le secret sur ce genre de chose, mais la publication de la sainte Bible au 16ème siècle a changé la situation. Le respect des ordonnances prescrites est devenu la norme de l’élection dans cette époque et au milieu d’autres contrefaçons guerrières, la vraie foi protestante pacifique a pu se manifester concrètement en redonnant au Christ son rôle salvateur minoré dans la doctrine catholique.

Après de nombreux massacres parfaitement inutiles, le temps de la Révolution française a fait cesser le despotisme persécuteur du catholicisme papal romain. En épée vengeresse elle a détruit massivement le camp de la catholicité depuis le monarque français Louis XVI jusqu’au pape Pie VI mort à Valence en 1799 prisonnier par ordre du Directoire républicain. La paix religieuse s’est alors imposée sur tout le monde occidental chrétien. Car en opposition, la guerre destructrice a opposé toutes ces nations occidentales européennes au régime impérial français établi par Napoléon 1er Bonaparte. Les guerres de conquêtes territoriales vont s’enchaîner et se succéder mais la religion n’est plus le motif des agressions. C’est dans ce contexte de paix religieuse que Dieu place le thème d’Apo.7, un contexte de paix religieuse occidentale dans lequel en 1844, il fait découvrir à Joseph Bates, un élu de l’épreuve adventiste, la pratique du sabbat, abandonné depuis le 7 Mars 321. Cependant un groupe non adventiste avait restauré et adopté sa pratique, ils se regroupaient au nom de « Baptistes du septième jour ». Dieu s’est donc servi de ce groupe pour présenter le sabbat à l’un de ceux que l’épreuve de foi adventiste avait sélectionné et qui s’est montré ainsi digne d’être sanctifié par ce « sceau » visible du « Dieu vivant » invisible. Cette expérience nous apprend que la pratique du sabbat accompagnée du mépris pour la voix prophétique n’a pour Dieu aucune valeur. Pour son bonheur éternel, Joseph Bates avait en sa faveur les deux sujets, son amour pour la vérité divine était parfaitement démontré. Et il était ainsi digne de bénéficier de l’amour divin et de toutes ses bénédictions. Après lui entre 1844 et 1867, d’autres adventistes ont adopté également la pratique du sabbat, mais relève bien qu’ils étaient tous « adventistes » en premier ce qui signifie qu’ils donnaient un grand intérêt aux révélations prophétiques qui avaient annoncé le retour du Christ successivement pour le printemps 1843 et l’automne 1844. C’est cette leçon qui va terriblement culpabiliser les chrétiens adventistes du septième jour testés à leur tour par mon annonce du retour du Christ pour 1994 ; ne manifestant pas ce même intérêt, Jésus les a vomis et abandonnés aux alliances diaboliques.

La paix religieuse établie vers 1800 va voir s’accomplir des guerres, mais surtout les deux premières Guerres Mondiales, respectivement, de 1914-1918 et de 1939-1945. Or ces deux guerres déjà très mortelles sont les fruits directs de la malédiction de Dieu qui frappent les peuples catholiques et protestants européens. Dieu signifie aux européens qu’ils ne sont pas en règle avec lui, ses principes et ses lois. Et il faut le relever, ces deux guerres très rapprochées sont dans la nouvelle alliance, l’équivalent des deux premières déportations d’Israël à Babylone accomplies successivement, au temps du roi Jojakim en – 605 et au temps du roi Jojakin, son successeur, en – 597. A la troisième déportation, au temps du roi Sédécias, en – 586, Israël n’existe plus en tant que nation, la ville et le temple ont été détruits, le peuple est entièrement déporté et prisonnier dans les terres dominées par le roi Nébucadnetsar. Très logiquement, l’équivalent dans notre ère chrétienne est la Troisième Guerre Mondiale. Dans les deux expériences, Dieu révèle au niveau trois, la limite de sa patience envers les coupables et chaque fois sa colère se révèle par une immense destruction de vies humaines et de biens terrestres. Pour la Troisième Guerre Mondiale qu’il prophétise par le symbole de la « sixième trompette » Jésus lance un ordre meurtrier dans Apo.9:13 à 15 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » Ce verset présente l’intérêt de citer les « les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année » déjà présentés dans Apo.7 où Dieu instaure sa longue paix religieuse : verset 2-3 : « Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant ; il cria d'une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer, et il dit : Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. » En conséquence de quoi, nous pouvons comprendre qu’en libérant ces « quatre anges » démoniaques en 2022 et 2023, l’œuvre du scellage des élus du Christ est achevée ; ce qui signifie que Dieu a sélectionné parmi tous ceux qui vivent actuellement les rares élus dignes de son salut. Il a déjà jugé leurs cœurs et leurs pensées qui n’espèrent qu’en lui et attendent avec patience l’heure glorieuse de sa venue en Jésus-Christ, divinisé et glorifié.

En fait de paix, celle que Dieu a donnée à l’Europe occidentale entre 1945 et 2022 est exceptionnelle et remarquable. Mais quelle stratégie se trouve derrière cette offre si agréable ? Elle est double, ayant un sens béni pour favoriser le partage de la lumière vers ses élus et un sens contraire de malédiction pour les autres, parce que la longue paix va leur permettre d’aller jusqu’au bout dans la voie de la perdition. La paix tue la foi, l’homme finit par croire qu’il l’a obtenue par ses œuvres, Dieu est ignoré, écarté, rayé des pensées humaines qui voient l’avenir éternel leur appartenir. Dans cet état d’esprit, ils peuvent donner libre cours à leur imagination alimentée par les multitudes de démons invisibles, mais très actifs. C’est alors que réapparaissent les fruits déjà portés dans Sodome et Gomorrhe, l’homosexualité et ses dérives multi-genres condamnées par les peuples russes et musulmans. Pour atteindre ce haut niveau d’impiété, il a fallu attendre que les derniers témoins oculaires de la Deuxième Guerre Mondiale aient presque tous disparu d’où ce long temps de paix de 77 années.

Considère donc ton avantage, car je présente en clair la stratégie que Dieu a révélée pour cette terrible Troisième Guerre Mondiale, la dernière que les faux chrétiens identifient tous à la bataille « Harmaguédon » citée dans Apo.16:16. A leur tour, ils se trompent au sujet du temps car « Harmaguédon » est précédé par la « sixième trompette » et ceux, nombreux, qu’elle va tuer ne vivront pas cette dernière épreuve de foi appelée « Harmaguedon ».

J’écoute chaque jour les réflexions et les analyses faites par les commentateurs dits « spécialistes » sur les médias spécialisés dans l’info. Je n’entends que des paroles qui expriment l’espérance de leurs âmes : la victoire de l’Ukraine et la défaite de la Russie.  Relève ton avantage, car à la lumière des révélations divines, tu sais avant que la chose s’accomplisse que la Russie va vaincre ses ennemis occidentaux, qu’elle va envahir Israël et l’Egypte dont elle pillera les richesses archéologiques qui l’ont tant enrichie. Tu sais également qu’après avoir utilisé sa force destructrice contre les nations européennes, Dieu fera détruire la Russie par l’arme nucléaire des USA. Que valent donc les opinions de ceux que Dieu n’éclaire pas et n’inspire pas ? Leur part sera jusqu’à leur fin, la désillusion. Savoure donc avec moi, ta connaissance de la stratégie divine révélée car il a la puissance de faire accomplir tout ce qu’il annonce par la prophétie et ceux qui reçoivent son « sceau » royal ne seront plus jamais sujet à la désillusion, « Car le Seigneur, YaHWéH, ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes », comme l’a proclamé Amos 3:7. La désillusion sera la part de ceux qui découvre le déroulement de la guerre jour après jour et qui tombent dans le piège des situations momentanément favorables parce qu’après elles, des situations inverses vont se présenter. Mais c’est là tout l’intérêt de la stratégie divine : la situation favorable révèle les comportements naturels de l’être humain. La domination ukrainienne apparente pour un temps conduit les hommes à manifester leur soutien et leur approbation pour sa cause. La Russie trouvera donc en cela de bonnes raisons de faire mourir et souffrir ce type de personne. La stratégie divine a justement favorisé, dans le long temps de paix établie depuis 1945, l’écroulement de la Russie soviétique, entre les années 1989 et 1991, mais comprends l’intérêt de cette chute : les USA sont devenus arrogants et dominateurs, révélant leur véritable nature ainsi que celles des nations occidentales alliées qui les ont soutenus. La Russie étant affaiblie, le camp de l’OTAN en a profité pour étendre sa zone d’influence par la guerre des Balkans, le bombardement de la Serbie alliée de la Russie, l’accueil des pays Baltes et de la Pologne, sans oublier la guerre menée contre l’Iraq sous le faux prétexte mensonger d’une préparation de l’arme nucléaire par ce pays. Et les preuves de cette accusation reposaient déjà sur une trompeuse interprétation de photos prises par les satellites américains. C’est ainsi que l’Iraq fut envahie, ses armées détruites, son chef tué, et son pétrole contrôlé par les USA. Si la Russie ne s’était pas écroulée, aucune de ces choses n’aurait eu lieu. Mais grâce à cet écroulement passager, le despotisme du capitalisme américain est apparu, révélant un caractère américain masqué dans ses rapports amicaux avec ses alliés de l’OTAN. Eclairés par les prophéties, les élus du Seigneur savent eux à qui ils ont à faire. Les USA seront les derniers persécuteurs de l’histoire humaine. Quand ils auront détruit entièrement la Russie, leur puissance inégalée leur permettra d’organiser la vie des survivants du dernier conflit mondial. « La bête qui monte de la terre » d’Apo.13:11, accomplira son œuvre menée contre les observateurs du saint sabbat de Dieu et les sanctions prises en 2022 contre la Russie, après l’Iraq et l’Iran, confirment la dureté des mesures qu’ils sont capables de prendre contre leurs opposants religieux. Dieu les a prophétisées dans Apo.13:17 : « et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. » Toutes ces choses sont prophétisées et annoncées par le grand Dieu suprême, au nom de Jésus-Christ, environ vingt siècles avant qu’elles ne s’accomplissent. Aussi, comprends et réalise combien la connaissance de sa stratégie est importante et vitale.

Dans sa sagesse inégalée, Dieu sait combien il est important de tranquilliser ses serviteurs, aussi leur annonce-t-il  toujours comment, à la fin, ils auront avec lui la victoire contre leurs ennemis. Ceci l’a conduit à inspirer ce verset au sage roi Salomon qui l’a écrit dans Ecc.7:8 : « Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. » Et à ces critères, l’élu ajoute sa foi soit, la confiance qu’il place dans les promesses de Dieu. C’est pourquoi, les détails du déroulement des faits ne sont connus que dans leur accomplissement observé jour après jour, en actions concrètes. En d’autres termes un dicton populaire dit : « rira bien qui rira en dernier ».

En fait de stratégie, j’ai relevé plusieurs exemples dans les récits de la Bible, dans lesquels la destruction est précédée par une illusion de joie exubérante. Le premier cas concerne les soldats égyptiens qui se réjouissent du fait que dans leur exode, les Hébreux se sont eux-mêmes piégés en faisant face à la mer. Vu la situation, c’était sûr, ils allaient pouvoir être tous massacrés. Cependant l’imprévisible est arrivé, Dieu a ouvert la mer rouge devant son peuple et quand les Egyptiens se sont engagés à leur tour dans le passage ouvert, la mer s’est refermée sur eux ; et ce sont eux qui sont morts. Au temps de la reine Esther, le gouverneur Aman avait préparé la potence pour le Juif Mardochée, mais c’est lui qui fut pendu. Dans Dan.11 :29-30-31, pour la troisième fois, sûr de sa victoire imminente, le roi grec séleucide Antiochos IV lança une attaque contre l’Egypte en – 168. Mais un légat romain l’empêcha d’agir ce qui le mit fort en colère. C’est alors qu’il apprit qu’une rumeur le disant mort avait donné lieu à des réjouissances publiques chez les Juifs. Une deuxième cause de colère s’ajouta à la précédente et en repassant dans leur pays, il le frappa par une dure et exceptionnelle persécution sanglante. Dieu avait prophétisé cet évènement à Daniel au titre de « grande calamité ». L’infidélité de la nouvelle alliance méritait  elle aussi sa « grande calamité » et Jésus l’annonce en image dans le premier chapitre de sa Révélation. Elle n’est plus grecque mais prend figure du « Soleil » qui devait devenir la cause de la malédiction des chrétiens à partir du 7 Mars 321 où le premier jour qui lui était dédié a remplacé le saint sabbat de Dieu. A l’heure du sixième châtiment de cette arrogante action, la « grande calamité » est particulièrement punie. Nous retrouvons aujourd’hui la succession « illusion » pour 2022, et « punition » pour 2023. Il est donc normal que dans l’heure « illusion » le futur persécuteur russe subisse des revers ; ce qui met en joie publique les commentateurs des médias, mais ne t’y trompe pas, ce qui fait la différence sur le terrain de l’Ukraine, ce n’est pas le soldat, c’est le canon américain ou français de haute précision, mais aussi le regard d’aigle des satellites des pays occidentaux qui permettent d’identifier les cibles russes sur lesquelles les tirs doivent être pointés ; en sorte que le discours russe a raison quand il dit que c’est l’OTAN qui combat contre la Russie. Celui qui domine, le doit à la technique moderne employée et ce sont les canons précis et les drones qui contraignent les Russes à devoir se retirer du champ de bataille, par moments, par endroits, et momentanément, avant qu’ils ne se retournent contre les fournisseurs de cette haute technologie pour le grand assaut et l’invasion des pays de l’Europe occidentale.

Ce 11 Novembre 2022, en Ukraine, par choix stratégique, l’armée russe s’est retirée de la ville Kherson qu’il n’était plus possible de défendre faute de pouvoir acheminer vers elle, les armes et les munitions. Cette ville du bord occidental du fleuve Dniepr retombe donc entre les mains des Ukrainiens qui apparemment n’ont pas tous été déportés par les Russes vers leur camp oriental. En effet, sur la place de Kherson, les habitants favorables à l’Ukraine exulte ; on danse et chante autour d’un feu. Pourtant, la Russie ne renonce pas à cette ville et l’avenir de ses habitants ne sera probablement pas longtemps aussi joyeux. Mais cette démonstration de joie prouve, une fois de plus, que les accusations, portées contre les Russes par les Ukrainiens et leurs alliés occidentaux, ne sont pas justifiées par les faits. Seraient-ils plus méchants que les Russes eux-mêmes ? Ne dit-on pas que celui qui veut tuer son chien l’accuse de la rage ?

En ce 11 Novembre, la République française célèbre l’Armistice de 1918 avec tout son cérémonial traditionnel. Mais qu’en penseraient ces « poilus » morts dans les tranchées de Verdun et ailleurs pour défendre l’indépendance de leur pays, alors qu’après leur mort, les survivants politiques ont renoncé à cette indépendance en se liant les mains, les pieds et la tête, par une alliance européenne qui lui dicte ses devoirs et ses lois ; et ceci, pour de sordides intérêts commerciaux et financiers ? Et le pire c’est qu’aujourd’hui l’Allemagne deux fois vaincue s’est enrichie, et la France, ruinée. Il est vrai que la guerre meurtrière de l’Ukraine rappelle au Français l’intérêt de posséder une armée pour les défendre, ce qui peut justifier le sondage selon lequel 80% d’entre eux aiment leurs armées et la célébration du 11 Novembre. Mais, cette fête ne présente-t-elle pas un caractère corporatif qui la rend appréciable surtout par les hommes politiques et les armées qui paradent fièrement ce jour-là, et par les médias qui trouvent en cette occasion un sujet qui attire l’attention du peuple vers leurs commentaires.

En vérité, la Troisième Guerre Mondiale ne cible que les peuples maudits par Dieu et ses enfants fidèles ne sont pas visés. En cette circonstance, le doux Jésus va laisser parler sa fureur, en livrant les hommes les uns aux mains des autres. Pour expliquer ce comportement furieux, il nous faut réaliser que sa sublime démonstration d’amour est bafouée, méprisée, rejetée ou ignorée par la quasi-totalité de nos contemporains. Cette attitude n’a d’égale que celle du peuple Juif, en – 586 et en 70. C’est pourquoi, les rebelles injustes et méprisants actuels seront livrés à la mort par la même colère divine, la même fureur causée par sa juste indignation.

Pour ces moments terribles, Dieu adresse à ses enfants fidèles ce message d’Esaïe 26:20-21 : « Va, mon peuple, entre dans ta chambre, et ferme la porte derrière toi ; cache-toi pour quelques instants, jusqu'à ce que la colère soit passée. Car voici, YaHWéH sort de sa demeure, pour punir les crimes des habitants de la terre ; et la terre mettra le sang à nu, elle ne couvrira plus les meurtres. » Compare ce verset avec celui d’Apo.9:13 à 15 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette: Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. »

Ces versets, cités dans Psaumes 2:10 à 12, nous présentent un aspect de Jésus-Christ peu connu ni répandu : « Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse ! Juges de la terre, recevez instruction ! Servez YaHWéH avec crainte, et réjouissez-vous avec tremblement. Baisez le fils, de peur qu'il ne s'irrite, et que vous ne périssiez dans votre voie, car sa colère est prompte à s'enflammer. Heureux tous ceux qui se confient en lui ! »

L’expérience de la « solution finale » menée par les nazis hitlériens contre les Juifs constitue de la part de Dieu un message adressé à ses derniers enfants fidèles. Il leur a montré qu’il est parfaitement possible pour un régime humain de décréter l’extermination d’un peuple, d’une race ou d’un groupe particulier ; ce qui sera le cas des derniers observateurs du sabbat dans la dernière épreuve de foi terrestre. Cependant, celle-ci se déroulant dans le contexte de la fin de l’offre de la grâce collective et individuelle, les derniers nazis ne seront pas autorisés par Jésus de mettre leur projet mortel en exécution. C’est son intervention justicière et vengeresse qui fera  des juges et des bourreaux de l’heure, les victimes de sa colère meurtrière. Et les « fils de la fidélité » entreront dans l’éternité du grand sabbat du septième millénaire, au printemps 2030. Tous les autres seront détruits « par l’éclat de son avènement », son « adventus » ; ceci conformément au programme prophétisé dans 2 Thes.2:8 : « Et alors paraîtra l'impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu'il anéantira par l'éclat de son avènement. ».

J’aborde ici, des critères spécifiques de la « sixième trompette » sonnée par Jésus-Christ.

Ce conflit mondial oppose des peuples déjà séparés par leur choix religieux. Ensuite, ignorant le projet révélé par Dieu et l’approche de la fin du monde, les peuples sont convaincus que le moment des négociations qui mettront fin au conflit va arriver tôt ou tard ; bien que sa prolongation commence à les inquiéter de plus en plus. Ce conflit qui s’engage après un long temps de paix, 77 ans, a déjà en Ukraine pour cause un mélange ethnique des origines russes orthodoxes et polonaises catholiques romaines. Imagine ce qu’en France le mélange cosmopolite des ethnies peut produire à l’heure choisie par Dieu ! J’ai déjà comparé ces accueils universalistes à des bombes à retardement.

Sur le plan militaire, nous découvrons en Ukraine, l’importance stratégique des avancées technologiques, non seulement les drones et les satellites de contrôle, mais aussi ce téléphone portable qui équipe l’être humain jusque sur le lieu où il combat et l’utilise. L’usage de leur téléphone a causé la mort de soldats russes, le GPS de leur portable ayant permis au USA et aux Ukrainiens de les localiser et de les tuer par des drones tueurs ou des bombardements très précis. Les habitudes de la vie civile courante doivent être impérieusement abandonnées car ce mode de vie compromet celle du soldat et celle de son unité. En ce temps de guerre, nous découvrons les avantages techniques des USA propriétaires des réseaux téléphoniques du monde entier, tous les peuples de la terre font appel à leur service « internet » et leur service satellitaire dont ils ont seuls le complet contrôle.  La guerre conventionnelle a ses limites. Nous voyons en Ukraine que les puissances militaires se neutralisent car elles disposent dans les deux camps d’armes semblables. A vue humaine la guerre peut donc se prolonger tant que les deux camps disposent de soldats et d’armement. C’est pourquoi, dans sa stratégie, Dieu a prévu une aggravation de la situation, en faisant que, d’escalade en escalade, les peuples occidentaux se retrouvent engagés directement dans cette guerre ; ceci jusqu’à ce que les USA détruisent la Russie et ses alliés par l’arme nucléaire et que les forces russes survivantes dispersées rendent coup pour coup avec leur énorme potentiel atomique, avant de disparaître entièrement. A terme, le juste juge Jésus-Christ aura obtenu le résultat prophétisé : « le tiers des hommes aura été tué ». Car ce tiers d’homme concerne le civil comme le militaire, l’un et l’autre étant jugé par Dieu. C’est pourquoi, l’usage des armes nucléaires est indispensable pour accomplir son funeste projet.

 

 

Ce qui a été, c’est ce qui sera

 

Dieu a inspiré au sage Salomon ce verset cité dans Ecc.1:9 : « Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. » Bien sûr, Salomon ne pouvait pas imaginer le progrès technique développé de manière accélérée à partir du milieu du 19ème siècle. A son époque, la connaissance humaine était très limitée et stable. Mais, il nous faut comprendre aujourd’hui que Dieu ne parle pas des inventions techniques mais de ce qui est réellement permanent soit, le principe de la vie. Car en effet, depuis Adam et Eve, ce principe de vie place la créature qui vient de naître devant ces deux chemins que Dieu mentionne ; deux chemins qui se présentent devant lui : l’obéissance et la vie ; la désobéissance et la mort. La créature est née pour exercer ce libre choix. Mais ce choix ne peut être fait qu’en connaissance de la norme de ces deux chemins ; un temps d’éducation et d’instruction est donc préalablement indispensable. Cet autre verset de Pro.29:18 : « Quand il n'y a pas de révélation, le peuple est sans frein ; Heureux s'il observe la loi ! » Sans connaissance de la révélation divine, l’âme humaine ne place aucune limite à sa liberté. Et ce principe se renouvelle en tous temps et toutes époques, perpétuellement. La chose est particulièrement rendue évidente dans notre société occidentale actuelle qui s’est affranchie elle-même de toute obligation envers Dieu sous le prétexte qu’elle doute ou ne croit plus à son existence.

Cette séduction opérée par le désir de liberté n’est pas nouvelle car elle a pris forme dans la première créature créée par Dieu, l’ange de lumière devenu depuis sa révolte, le diable et Satan. Or le diable fut le premier porteur de la déviance appelée mal en raison de son désir de liberté. Il n’était pas le mal, mais son propagateur. Et après lui, des multitudes de créatures célestes puis terrestres ont fait le même choix de satisfaire leur désir de liberté. C’était donc de cet asservissement au désir de liberté que l’Esprit parlait à travers Salomon. Il lui était facile de prophétiser le renouvellement de sa présence au cours de l’histoire de la vie terrestre. Alors que la liberté nous engage à aller toujours plus loin, à l’opposé, Dieu dit à ses élus : « Freine ! Restreint ta liberté ! » Ce frein prend une forme théorique écrite dans la Bible sous l’aspect de lois et ordonnances que l’élu met en pratique.

Ce choix volontaire de l’élu de restreindre sa liberté est imagé dans la leçon présentée dans Exo.21:5-6 : « Si l'esclave dit : J'aime mon maître, ma femme et mes enfants, je ne veux pas sortir libre, alors son maître le conduira devant Dieu, et le fera approcher de la porte ou du poteau, et son maître lui percera l'oreille avec un poinçon, et l'esclave sera pour toujours à son service. » Retiens déjà ce message : l’élu est « l’esclave » de Dieu en Jésus-Christ par lequel il a été racheté. L’élu choisit librement de devenir « l’esclave du Maître » parce qu’il « l’aime ». A la lumière de cet enseignement, tu peux comprendre pourquoi l’imposition d’une religion par la force n’a aucun sens, et que tous ceux qui pratiquent cette méthode témoignent contre leur religion. Dans cette illustration cérémonielle, Dieu poinçonne « l’oreille » de son élu. Il prend possession de cette « oreille » ; ce qui signifie que l’élu ne doit plus écouter que lui. Et cet intérêt pour « l’oreille » humaine est justifié par le fait que le péché originel a été commis par Eve, parce qu’elle a « écouté » les paroles trompeuses du « serpent » médium, par lequel Satan, l’ange rebelle déchu lui parlait. Lors de la Pâque de la sortie d’Egypte, le sang de l’agneau devait être aspergé contre les linteaux des portes des maisons des Hébreux croyants et obéissants. De même, le sang de l’élu est rattaché par son écoute, à « la porte, le poteau » de la maison de Dieu. On se souvient que Jésus a dit, dans Jean 10:9 : « Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages » ; en d’autres termes, « il trouvera » dans la vie éternelle le vrai bonheur de vivre.

La démonstration pour laquelle la terre a été créée par Dieu va s’achever dans bientôt, sept années. Aussi, trouvons-nous dans cette période un comportement humain rebelle à l’extrême, fruit de 77 années de paix et de liberté religieuses. Après plusieurs générations, en Occident des enfants sont nés et ont grandi entièrement sans l’enseignement de Dieu. Comme des éponges, ils avalent tous les aspects pervers des avancées de la liberté ; toutes choses que le chef de la Russie dénonce et proclame dans ses discours publics. Et ce thème qui dit « ce qui a été c’est ce qui sera » m’a conduit à réaliser ce qui suit. L’humanité a toujours été séduite par le fascisme autoritaire. Ce fut déjà le cas, en France, en 1806, Napoléon 1er  et son autorité faisaient la gloire de la France conquérante. Ensuite, vers 1930, en Italie, ce fut la même chose avec le régime des « chemises noires » instauré par Benito Mussolini. Sa forte personnalité séduisait les Italiens et les Italiennes. De même, après lui, en 1933, les grands discours masquant les crimes, le régime nazi d’Adolf Hitler a séduit les Allemands. Et il faut le relever, en France, déjà, à l’époque, la naissance de ce régime nazi n’a pas soulevé d’inquiétude ; pas plus que le nazisme présent dans l’Ukraine de 2014 ; une présence néanmoins remarquée et révélée dans les médias témoins du « putsch » qui renversait l’ordre présidentiel légitimement établi. Mais qu’est-ce que le nazisme ? Le mot a été inventé par Adolf Hitler pour définir sa norme gouvernementale qui s’appuie exclusivement sur la force et la persuasion. Le nazisme exalte le groupe au détriment de l’individu ; il se vante de défendre une cause nationaliste, il est en recherche de pureté de sa race originelle et de ses caractéristiques physiques et psychiques. Le nouveau nazisme peut comporter des différences avec l’ancien, mais il garde en commun l’appui sur la force et le besoin d’éliminer physiquement les opposants. Je me suis pris à penser que si Adolf Hitler revenait à la vie, il serait abasourdi de voir, en 2022, les descendants de ceux qui l’ont combattu et ont jugé ses compagnons « SS » et ses ministres au tribunal de Nuremberg en 1945 soutenir et défendre avec leurs armes le nouveau nazisme ukrainien. Il faut dire que pour les Occidentaux, le nazisme n’est rattaché qu’à son agression d’un autre pays, ce que fit Hitler envers les Sudètes et la Pologne. Aussi aujourd’hui, pour eux, le nazi est russe. De plus, comment identifier un nazi quand il est de religion juive alors que le nazisme est rattaché principalement à la « Shoah », la tentative de l’extermination des Juifs par l’Allemagne nazie ? Pour moi, est déjà, en premier, nazi, celui qui le revendique ; ce que fait le groupe militarisé « Azov » en Ukraine. Et que le peuple ukrainien tiennent ces nazis pour ses héros n’a rien d’étonnant en soi, puisque les Allemands ont fait de même entre 1933 et 1945. Certes le camp occidental n’est pas dans la revendication du nazisme comme les Ukrainiens d’ « Azov » et les Ukrainiens ne sont pas non plus tous des nazis revendiqués et assumés, mais en situation de guerre, le besoin de combattants zélés et efficaces les fait apprécier par leur peuple. En son temps, le sanguinaire Néron ravissait son peuple en lui offrant des spectacles ensanglantés dans les arènes de Rome et de l’empire. Et le nazisme hitlérien n’était en fait qu’une résurgence de ces régimes qui s’imposent pour un temps par la force et la puissance contraignantes.

Pour l’enfant de Dieu qui observe ces choses, une seule est à retenir : c’est que l’apparition de ces puissances belliqueuses est voulue et organisée par Dieu car il en a besoin pour châtier l’humanité coupable. Quand il voulut libérer Israël de l’occupation des Philistins, Dieu organisa le prétexte à dispute qui conduisit Samson à les combattre jusqu’à les détruire. En 2022, il a fait de même, en exploitant l’attachement des Occidentaux à leurs règles internationales, qu’en tant que vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale, les USA ont fait adoptées en Occident, en tentant de les imposer au reste des nations et des peuples de la terre par le moyen officiel de l’ONU. Et parmi ces règles, celles du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et l’inviolabilité de leur territoire sont devenues la cause d’une ruine progressive pour toutes les nations terrestres.

Alors en résumé, je retiens que « ce qui a été et qui sera » concerne le comportement rebelle humain que Dieu a dû maintes fois châtier et châtiera encore jusqu’au dernier de ses châtiments.

A cette date du 17/11/2022, pour la Russie, la situation n’est pas brillante, car elle ne s’est pas préparée pour un affrontement militaire conventionnel. C’est la raison pour laquelle, contraint par l’accélération des événements soit, la demande de l’Ukraine à rejoindre le camp de l’OTAN, Vladimir Poutine a voulu donner à son intervention le nom d’ « opération spéciale » et pas celui de guerre. Au sol, ses équipements ont été détruits par les drones utilisés par les Ukrainiens et ensuite ses stocks de munitions et de carburant ont été détruits à leur tour par les canons César et Himars ultra précis. Cette guerre tue beaucoup mais surtout par bombardements à distance dans les deux camps. Les avancées ukrainiennes résultent avant tout du retrait des armées russes privées d’armes et de munitions. Les avancées russes étaient elles aussi dues au recul des Ukrainiens. La paix établie trop longtemps a affaibli l’ardeur guerrière de la Russie actuelle. Elle se réveille tel un ours après des mois d’hibernation et découvre que les anciens équipements de guerre sont dépassés. Mais elle a le temps et la démographie soit, le nombre, pour elle. Déjà, son nouvel équipement de drones iraniens vient de lui permettre la destruction d’un canon César français en déplacement à 40 kms à l’intérieur de la zone de l’Ukraine contrôlée par les ukrainiens. Ils seront ainsi bientôt en capacité d’agir, à leur tour comme les Ukrainiens. Mais pour obtenir ce résultat, Vladimir Poutine va devoir répondre aux besoins impérieux exprimés par ses soldats, en matière d’équipement d’hiver, de munitions et d’armes modernes efficaces et de chefs capables d’organiser stratégiquement les actions de ses troupes confrontées à une vraie guerre, pas une simple « opération spéciale ». Car les troupes russes sont victimes de son désir de limiter son action depuis le début de son intervention sur le sol de l’Ukraine. En fait, Dieu a préparé la Russie en vue des grandes interventions contre l’Europe dans lesquelles ses armes spéciales, sur lesquelles elle a construit sa spécialité, seront très efficaces et très meurtrières. Car selon Jésus-Christ, dans l’Europe infidèlement chrétienne, « le tiers des hommes va être tué » ; particulièrement à cause du mépris témoigné par les faux chrétiens pour le saint sabbat du vrai septième jour, le samedi, sanctifié par Dieu dès son instauration originelle, à la fin de la première semaine de la création et objet du quatrième des dix commandements de sa loi royale ; mais aussi, à cause de leur désintérêt manifesté envers ses prophéties bibliques qu’il appelle « témoignage de Jésus » dans Apo.19:10 : « Et je tombai à ses pieds pour l'adorer; mais il me dit : Garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Dieu. Car le témoignage de Jésus est l'esprit de la prophétie ».

 

 

 

 

 

La situation de l’Europe

 

La situation actuelle de l’Europe repose sur les expériences vécues individuellement par les pays qu’elle regroupe depuis 1945 jusqu’à nous.

Nous voyons depuis longtemps l’Allemagne caracoler en tête de cette union européenne. A cela plusieurs explications, et déjà le fait que comme le Japon vaincu par les USA à la Seconde Guerre Mondiale, elle a été prise en charge par ce puissant pays économique et financier au niveau militaire. Elle a bénéficié du protectorat américain et a pu ainsi s’éviter de couteuses charges militaires ; économies investies dans le développement industriel de la nation. Je rappelle qu’à l’heure de la création de l’union européenne, la monnaie allemande, le « mark », était quatre fois supérieure à notre « franc » français. Aussi fit-elle le choix de donner à l’Euro, une valeur encore plus forte soit, environ 6,60 francs. Ce taux de change l’avantageait parce qu’elle était riche, mais il désavantageait un pays moins riche comme la France et les autres nations européennes. Elle s’est engagée à fond dans la mondialisation du commerce et a commencé par exploiter au sein même de l’Europe, le Portugal au moment de son entrée dans l’Europe, le moins riche des six pays réunis au commencement. Les commissaires européens ont encouragé les entrepreneurs à délocaliser le siège de leur entreprise dans les pays européens les moins exigeants en matière de taxes et d’imposition. Le fossé s’est donc accentué au sein même de l’Europe dans laquelle les pays moyennement riches ont vu partir les sources d’enrichissement vers les pays les plus pauvres. En 1990, la richesse de l’Allemagne lui a permis d’assimiler le retour de l’Allemagne de l’Est dont l’exploitation l’a par la suite encore plus enrichie.

Une deuxième raison qui explique la situation économique de la France et de l’Angleterre est à la base, le fait que ces deux pays ont construit leur enrichissement sur la colonisation ; en sorte que la décolonisation les a placés dans une situation redevable envers les peuples colonisés. Ces deux pays se sont sentis obligés d’accueillir toute la misère émigrée de leurs anciennes colonies. Et des deux pays, la France en a subi le plus, des dommages, car ses principes républicains, sa devise « liberté, égalité, fraternité » et sa défense des droits de l’homme, appliquée de manière universelle par les dernières générations, ont fait de cet accueil systématique, une lourde charge qui l’a ruinée. Le chômage des nationaux a augmenté d’autant plus que les hommes et les femmes sont entrés en concurrence dans l’activité professionnelle ; de plus, dans un couple, le plus souvent, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la femme au foyer est devenue rare, préférant ou nécessitant une activité professionnelle. Pour justifier cet accueil, on dit en France que les travailleurs étrangers ne volent pas les emplois des Français parce qu’ils occupent des emplois que les Français refusent de faire. C’est vrai, mais en cédant à cette obligation, c’est la France entière qui en paie le prix. Comment font les nations qui ne veulent pas recevoir l’immigration ? Les moins instruits occupent ces emplois peu gratifiants, et la nation en retire avantage et évite ainsi de graves inconvénients. Mais le fait qu’un travail présente un aspect désagréable ne le rend pas moins indispensable et à ce titre, digne d’être convenablement rémunéré.

Dieu a séparé les peuples par des langues, était-ce sans raison ? L’homme peut-il enfreindre ce principe sans en subir des inconvénients ? En préservant la pureté raciale de son peuple Israël auquel il a interdit les mariages avec les étrangers, Dieu n’a-t-il pas donné aux humains de toute la terre, un modèle à imiter ? Pourquoi le mélange racial et ethnique représente un grand danger ? Tout simplement parce que des multitudes de démons invisibles exploitent cette situation pour en faire un problème. Ils œuvrent et s’activent dans les esprits humains s’efforçant de les convaincre que la différence est insupportable. Dieu les laisse agir librement et les conséquences de leurs activités ne sont que celles du mépris manifesté envers la norme prescrite par Dieu. Le racisme inspiré par les démons est diabolique, mais le racisme inspiré par Dieu ne vise qu’à éviter des problèmes. Ses élus sont sélectionnés parmi tous les peuples, les nations, les langues, les tribus de la terre, ils ne peuvent donc pas être accusés de « racisme » au sens péjoratif du terme. Derrière la couleur de la peau ou de la langue se trouve une âme humaine invité par le Dieu céleste à entrer dans la gloire d’un corps céleste qui le rendra identique aux anges fidèles. C’est pourquoi, pour ses élus, l’aspect physique n’a aucune importance. Il n’en est pas de même au sujet de la religion différente apportée par l’émigré. Elle vient faire concurrence au projet divin, apporte la mort avec elle ; la première et « la seconde mort » encore plus redoutable parce qu’elle porte des conséquences éternelles.

Au sein même de cette Europe composée de nations riches et de nations pauvres, la concurrence règne, car les soi-disant partenaires rivalisent les uns contre les autres. Et la guerre commerciale interne profite au plus riche et moins social soit, une fois de plus, l’Allemagne. Elle occupe dans l’Europe le sommet d’une pyramide de même que les USA au niveau Occidental et même mondial. Les peuples intermédiaires sont exploités et maintenus à un niveau inférieur. Tel est le principe pyramidal. L’Allemagne vaincue a reçu le lait politique des USA et il n’est donc pas étonnant qu’en fer de lance elle reproduise en Europe leur modèle, jusque dans sa forme ; ses « nder » ressemblant aux « Etats » qui composent les USA.

Dans le temps présent, l’engagement de l’Allemagne pour le soutien de la cause ukrainienne a été déterminant ; la présidente actuelle de la commission européenne étant allemande. Regarde, Hitler, ton troisième « Reich » est devenu une quatrième réalité ! Derrière l’Allemagne, les autres nations européennes se sont ralliées à son choix, la Hongrie exceptée. Qui d’autre oserait la contredire ? C’est encore et toujours le plus riche qui impose ses choix.

Chaque peuple est marqué par son expérience. La France est en tête de la norme humaniste depuis sa Révolution mais je le rappelle une fois de plus, à l’origine ses « droits de l’homme » ne concernaient que les hommes français et l’application universelle est récente. Les Français ont assimilé cette norme au point qu’elle leur semble universelle, mais c’est loin d’être le cas. En réalité leur conception de ces droits est une exception française. Pour les USA, ces droits n’empêchent pas de l’exploiter cet homme et ils ne s’en sont pas privés. Le reste des nations reconnaît en partie seulement ces « droits de l’homme » et certains pays orientaux les contestent entièrement. Ceci, en sorte que ce droit devient cause de dispute et d’opposition guerrière. Convaincus de proposer le modèle parfait aux être humains, les Français ont beaucoup de difficulté à accepter le fait que leur choix personnel n’est pas partagé par tous les peuples. Et ce comportement se retrouve au niveau européen et même Occidental, Amérique et Canada compris. Les pays orientaux se réveillent, enrichis et devenus puissants et ils font connaître leur opinion et leur droit à la différence. Et c’est le principe de liberté, si cher aux Occidentaux, qui leur donne ces droits. En sorte, que l’Occident est pris au piège de sa pensée libérale devenue « libertaire » et plus gravement, « liberticide », présentant selon son modèle américain, les taux de criminalité et les formes d’insécurité les plus élevés.

 

 

Les dates fixées par YaHWéH

 

Lorsque le besoin de créer l’humanité terrestre s’est présenté, le grand Dieu créateur YaHWéH a préparé pour ses élus bien-aimés une sorte de jeu de piste spirituel. Les expériences vécues par les humains au fil du temps et depuis le commencement ont été racontées par Dieu à Moïse qui les a écrites et présentées aux générations futures dans ses cinq livres : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, Deutéronome. Ce témoignage, donné par Dieu lui-même, mérite et exige notre confiance. Et notre confiance appelée spirituellement « foi » est récompensée, car ce témoignage constitue la source et le moyen de permettre à nos âmes de traverser le parcours terrestre, en sachant d’où nous venons, où nous sommes, et où nous nous rendons. Ces trois réponses constituent le triptyque du repos de l’âme. Les faits visibles, dûment relevés, sont terriblement trompeurs et la route de la vie éternelle est construite avant tout sur les promesses de ce Dieu invisible, cependant omniprésent et omniscient.

Dans son projet, Dieu s’est rapproché de l’humanité en nature divine puissante, en organisant l’Exode de son peuple Hébreu, choisi pour honorer sa promesse faite à Abraham. Il a donné des preuves de sa toute-puissance, en détruisant l’armée des Egyptiens esclavagistes. Puis ayant mis au repos cette assemblée arrachée à l’esclavage et à la mort, il l’a enseignée et lui a fait connaître ses lois, ses ordonnances, ses préceptes. Ainsi après avoir assisté à la mort des soldats égyptiens, ils ont appris de Dieu l’expérience terrible des antédiluviens tous détruits par les eaux du déluge. Aussi, ces Hébreux avaient une connaissance complète de Dieu : ils avaient reçu une preuve de son amour, sa protection, et sa fidélité constante, par leur délivrance de l’Egypte et ils avaient aussi connaissance de sa capacité à détruire ceux qui lui résistent. Désormais, seule leur nature individuelle allait s’exprimer : les rebelles agissent en rebelles et les élus se comportent en élus. Les mois, les années et les siècles passent au cours desquels, des prophètes reçoivent de Dieu par inspiration des messages qui annoncent en langage plus ou moins clair, l’avenir du peuple hébreu et celui du peuple des élus. Je sépare bien ces deux expressions, car je le rappelle et c’est très important, l’Israël charnel n’est pas le peuple élu mais simplement le peuple qui descend par héritage du patriarche Abraham. Et Dieu a voulu faire pour ses vrais futurs élus, de ce peuple un symbole, une image déformée du vrai peuple élu. Dieu a continuellement reproché à l’Israël uni puis à Juda et aux dix tribus d’Israël leurs fréquentes et permanentes rébellions ; rien qui corresponde au comportement de vrais élus. Et si nous devons retirer une leçon de l’expérience vécue dans l’ancienne alliance, c’est bien que Dieu juge et trie entre les humains qui se réclament de lui, ceux qu’il juge dignes de son élection pour la vie éternelle. Ce regard porté sur l’ancienne alliance, nous pouvons le porter sur la vie en général. Nous sommes nés pour être, soit élus, soit déchus. Et la réponse est dans notre nature individuelle.

En faisant écrire la Bible, Dieu n’a pas cherché à répondre à la curiosité humaine profane. Elle a été rédigée à l’intention de ses vrais élus, car eux-seuls sont guidés par lui, pour en tirer un profit salutaire. Notre époque moderne a favorisé la divulgation de la Bible écrite en de multiples langues répandues sur toute la terre habitée, et malgré cela, sa lecture est pour ces multitudes, inefficace parce que leur nature est rebelle. L’histoire en témoigne, au début de l’ère chrétienne, la Bible est absente et masquée, et déjà, la foi des apôtres est pervertie par le mélange aux traditions païennes. Quand la Bible est répandue au 16ème siècle, elle est tout de suite persécutée avec celui qui la possède et encore, dès ce moment, peu de gens reproduisent le pacifisme démontré par Jésus-Christ pendant son passage sur la terre. Jésus n’a-t-il pas dit dans Matt.22:14 : « il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus » ; ce que je traduis par : il y a beaucoup de lecteurs de la Bible mais peu d’élus qui en tirent et retiennent les leçons données par Dieu.

La Bible est constituée de milliers de pages utiles à connaître parce qu’elles contiennent les réponses aux énigmes qui apparaissent dans les textes prophétiques spirituellement codés. Le décryptage est d’une grande facilité, presque à la portée d’un enfant, seulement il n’a été rendu possible qu’aux élus choisis par Dieu qui les met à part pour cette tâche. Et ses élus ne comprennent que ce qu’il veut qu’ils comprennent en leur temps et leur époque. C’est ainsi que la construction de la révélation de ses prophéties bibliques prend l’aspect d’un jeu de piste dans lequel chaque arrêt est marqué par une vérité contextuelle attachée à son temps. Et comment marquons-nous le temps ? Par des dates qui relient entre elles les époques successives de l’histoire humaine.

Né au milieu du 20ème siècle, j’ai appris des humains occidentaux que notre calcul du temps était basé sur la naissance présumée du Christ. Ce postulat était profondément gravé dans mon esprit et dans celui de tous mes contemporains. Et seul, Dieu pouvait me délivrer, selon sa volonté, de ce raisonnement. Mais il ne l’a pas fait avant l’heure choisie par lui, car je devais ajouter ma pierre sur la construction prophétique établie par le peuple adventiste, mis à part par Dieu dans ce but et cette fonction de révélateur des prophéties bibliques ; ceci après les deux épreuves de foi des attentes du retour du Christ annoncées successivement pour le printemps 1843 et l’automne 1844.

J’ai, enfin, une explication très claire à donner au rôle de ces deux dates authentifiées par deux événements vécus aux Etats-Unis d’Amérique du Nord. La première, 1843, est établie comme terme des « 2300 soir-matin » cités dans Daniel 8:14 où il est écrit en bonne traduction de l’Hébreu : « Jusqu’à 2300 soir-matin et la sainteté sera justifiée ». Selon le verset 13 qui précède, cette « sainteté » désigne le peuple des saints eux-mêmes, et à partir de la date définie, commence une œuvre de restauration de grandes vérités qui concerne le sacerdoce « perpétuel » intransmissible de Jésus-Christ et la révélation de la condamnation du dimanche par Dieu qui restaure à sa place chez ses élus, la pratique de son saint sabbat du septième jour. Mais subtilement, le sabbat n’est pas nommé, il est identifié uniquement à travers son opposé, symbole du péché, que constitue le repos dominical établi par Rome : par l’empereur romain Constantin 1er  le 7 Mars 321 et par le pape Vigile 1er en 538, dans la Rome délivrée des Ostrogoths.

Il ressort de tous ces éléments que le décret de Daniel 8:14 détermine la date du commencement d’une action de restauration des vérités bibliques. Et ce commencement va prendre fin, à la fin de la seconde épreuve vécue le 22 Octobre 1844. Or, j’ai dernièrement évoqué ce verset d’Ecc.7:8 : « Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. » ; ce que je traduis par : mieux vaut 1844 que 1843. C’est ici qu’il faut revoir l’échelle des grandeurs et des priorités. Jésus a lui-même déclaré dans Marc 2:27-28 : « Puis il leur dit : Le sabbat a été fait pour l'homme, et non l'homme pour le sabbat, de sorte que le fils de l'homme est maître même du sabbat ». Il nous dit clairement que dans l’échelle des valeurs, Dieu place l’homme au-dessus du sabbat, mais pas n’importe quel homme ; uniquement celui que Dieu sélectionne pour la vie éternelle. J’en retire la conclusion que Daniel 8:14 attribue le mot « sainteté », en priorité aux saints élus rachetés par Jésus-Christ. Et les faits accomplis aux USA en 1843 et 1844 attestent de cette priorité parce qu’après le 22 Octobre 1844, Dieu donne le sabbat pour signe de son approbation aux adventistes vainqueurs dans l’épreuve ; il ne l’impose pas, il le donne. En fait, il agit avec le sabbat comme il l’a fait avec la grâce obtenue par sa crucifixion. Le sabbat a été fait pour l’homme élu et il n’a de sens que pour lui de même que Jésus a donné sa vie pour racheter la sienne sans lui demander son avis. L’initiative a été prise par Dieu et il attribue ces deux choses inséparables aux seuls élus qu’il en juge dignes comme il le révèle dans Apo.3:3 dans le message délivré à Sardes. En fait, le sabbat ne doit pas cacher et recouvrir l’homme pour qui Jésus est mort et ressuscité. Pendant longtemps, nous avons regardé le sabbat comme un ordre, un commandement parce que c’est bien sous la forme d’un commandement qu’il a été présenté, mais à qui ? A un peuple rebelle qui irritait Dieu chaque jour jusqu’à ce qu’il le détruise par les Romains en 70 de notre ère. L’Israël charnel de l’ancienne alliance n’était qu’un échantillon de l’ensemble de l’humanité dont il portait les traits caractériels principaux. Derrière le commandement, Dieu cachait dans son saint « sceau » le signe de la récompense réservée à ses élus qui l’aiment et n’espèrent qu’en lui, attendant en « adventistes » dignes, son vrai retour dont il leur a finalement fait connaître la date exacte : le printemps 2030.

Dieu savait que ses commandements seraient rejetés et méprisés par tous les êtres rebelles. Aussi, l’existence de ces commandements n’avait pour but que de rendre et organiser de manière légale la juste condamnation à mort des humains désobéissants, parce que leur désobéissance les rend indignes et inadaptés pour la vie éternelle vécue en sa présence. Cependant, subtilement, selon le principe des contraires, les normes des commandements de Dieu plaisent énormément à ses élus car ils révèlent son caractère : amoureux jaloux, époux   fidèle adorable, et notre connaissance du vrai sens de son saint sabbat qui prophétise le repos céleste des élus du septième millénaire est notre cadeau du ciel, notre privilège réservé pour notre temps de la fin.

Ainsi, la leçon de Daniel 8:14 est plus inscrite dans les faits accomplis que dans le texte de Daniel lui-même. 1843 n’est donc que l’heure du commencement d’une restauration progressive des vérités déformées ou abandonnées dans l’enseignement de la religion catholique romaine. Or, ce commencement ne vise pas une condamnation mais l’offre aux élus de se démarquer de la masse des croyants par un comportement approuvé par Dieu. Et en 1843, il n’est pas question, ni du sabbat sanctifié par Dieu, ni du dimanche romain, mais seulement et la chose est digne d’être relevée, que de l’intérêt porté à une annonce prophétique qui fixe une date au retour de Jésus-Christ. Le choix fait par Dieu pour commencer son test des croyants révèle sa priorité : les vrais élus doivent avant tout autre chose, aimer l’idée de son retour glorieux et leur intérêt manifesté révèle, également, en même temps, la foi qu’ils placent dans les écrits de la sainte Bible. La réponse à ces deux critères fait bien de 1843 une épreuve de foi. Mais il ne s’agit que d’une première épreuve qui, suivie de la déception du non-retour de Jésus-Christ, ne condamne pas encore définitivement les concurrents, tous plus ou moins déçus. C’est pourquoi, en rectifiant la date, le prophète de l’heure, William Miller, relance pour Dieu une attente pour le 22 Octobre 1844. Nous savons depuis 2018 que cette date 1844 n’est pas légitime parce que le calcul définit bien le printemps 1843. Mais pour Dieu, ces dates n’ont pas d’importance au niveau de leur exactitude puisqu’elles annoncent toutes deux un événement qui ne se produira pas de toute façon. Elles ne présentent pour lui que l’intérêt de l’effet qu’elles produisent sur les chrétiens interpellés. C’est pourquoi, pour Dieu, 1844 va prendre une valeur spirituelle supérieure à celle de 1843, parce qu’elle va renforcer la valeur de l’épreuve de foi organisée dans ces deux dates et même marquer la fin de l’épreuve prophétique officielle et permettre finalement la sélections des élus dignes. Contrairement à 1843, l’épreuve de 1844 porte des conséquences officielles définitives pour les chrétiens de l’époque. Et c’est en cet automne 1844, que le 22 Octobre Dieu a sanctifiés 50 adventistes sur les 30 000 engagés dans l’espérance du retour du Christ. Il les a sanctifiés soit, les a mis à part pour lui, parce que sa lecture de leur âme lui a permis de connaître la profondeur de leur sincérité. Et cette connaissance qu’il avait seul, il l’a faite partager à ses saints anges par le moyen des deux épreuves de foi successives. Les anges ont donc connu son jugement mais sur terre, les hommes ignoraient ce qu’il se passait dans la vie invisible. Alors, de même que dans sa bonté, Dieu mit un signe sur Caïn, afin de protéger sa vie, il a donné à ses élus adventistes le sabbat comme signe de leur approbation. Le voilà, le véritable rôle du sabbat ; ce n’est pas une ordonnance, c’est une récompense. Dans cette pratique, chaque fin de semaine, Dieu va se rencontrer avec ses vrais enfants qui l’aiment et attendent son retour comme une certitude. Il va ainsi leur offrir l’expérience d’une authentique communion au nom de Jésus-Christ. Son Esprit, le Saint-Esprit annoncé par Jésus, va les instruire, les inspirer, afin que la lumière divine les éclaire et les remplisse de joie et d’allégresse. La construction et la préparation de la vie céleste commencent déjà sur la terre. Dieu est sans aucun doute invisible mais il reste le Dieu vivant, le Tout-Puissant en paroles et en actions.

La mise à part de 1844 va porter ses effets ; en 1863, aux USA, l’église « adventiste du septième jour » a été officiellement instaurée. Mais le projet de Dieu révélé dans Daniel 12:12 porte une norme universelle et c’est ainsi que la date 1873 obtenue par la fin des « 1335 jours » -années de ce verset va définir la dédicace du message adressé aux adventistes de « Philadelphie » dans Apo.3:7. Sous l’éclairage de la plume inspirée d’Ellen Gould White, l’adventisme est enrichi d’une lumière sanctifiée par Dieu en Jésus-Christ. Ses nombreux écrits lèvent le voile sur des expériences passées totalement ignorées des hommes. Partout où la chose est possible, « l’adventisme du septième jour » est représenté, mais rarement en grand nombre ; ce qui est d’ailleurs assez rassurant, puisqu’il y a « beaucoup d’appelés mais peu d’élus ». Hélas, ce nombre officiel est encore trop grand car le nombre des membres augmente par l’héritage au détriment de la vraie foi qui est révélée uniquement quand elle est mise à l’épreuve comme en 1843 et 1844.

C’est alors qu’en 1980, je suis conduit par l’Esprit vers l’église « Adventiste du Septième Jour ». Cinq ans auparavant j’ai été l’objet d’une puissante vision restée sans explication biblique. Je tentais alors de comprendre la prophétie de l’Apocalypse convaincu que ce message bizarre et obscur cachait une authentique lumière divine. Aussi, ma découverte des explications adventistes répondait à ma soif de comprendre. C’est alors que cette fois baptisé, conduit par Dieu, l’Apocalypse prenait pour moi un sens et une explication rendue logique par le message de Daniel 8:14 ; le verset clé de l’expérience adventiste de 1843 et 1844. En construisant des tableaux mettant en parallèle les thèmes des Lettres des Sceaux et des trompettes, l’accomplissement du projet prophétisé par Dieu apparaissait, clair et logique. L’expérience vécue a confirmé le sens de la vision reçue en 1975 ; Dieu m’a sanctifié pour une œuvre prophétique. Les explications données aux prophéties de Daniel et Apocalypse étaient enseignées depuis les théories élaborées par les pionniers de l’œuvre. Beaucoup de temps s’était écoulé et de nombreux grands événements permettaient de donner un sens nouveau aux textes prophétiques. C’est ainsi, que la mise en parallèle des trois thèmes d’Apocalypse m’a conduit à découvrir et établir la date 1994 comme terme des « cinq mois » prophétisés dans Apo.9:5-10. La date 1844 étant dans l’Apocalypse la charnière de deux époques jugées par Dieu, les « cinq mois » ou 150 années réelles finissent en 1994. Et cette date est aussi importante pour l’adventisme en 1994 que 1844 le fut pour les chrétiens protestants, anglicans et catholiques éprouvés à cette époque. En 1994, le test basé sur l’annonce du retour du Christ s’est montré aussi efficace pour démasquer la foi des hypocrites qu’en 1843 et 1844. Ces trois expériences sont successives mais d’importance croissante car, la lumière rejetée et méprisée en 1994 est infiniment supérieure à celle de 1843 et 1844. Avec patience, Dieu a attendu cette date pour offrir à ses élus un éclairage complet de toutes ses prophéties de Daniel et Apocalypse et l’adventisme traditionnel et institutionnel a osé le mépriser et le rejeter, confirmant le refus par la radiation du porteur du message. L’opposition systématique à une date annonçant le retour de Jésus-Christ a eu pour conséquence l’ignorance de toutes les explications qui rendent la prophétie claire, puissante et logique soit, digne de foi. Aussi, Dieu les a-t-il rejetés lui-même et il les a livrés au camp des déchus déjà préalablement testés et jugés. Pour les élus de l’épreuve de foi de 1994, il n’est plus question de prendre la forme d’une institution, la forme officielle rejetée était bien la dernière. Le lien établi avec le Dieu du ciel ne repose pas sur une étiquette, toutes celles qui existent sont trompeuses et menteuses. Le lien, le vrai, repose sur une communion des esprits célestes et terrestres. Et quand cette communion est réelle, le fruit de lumière abonde. C’est ainsi que selon le principe « on donne à celui qui a », en 2018, le Seigneur m’a fait découvrir des merveilles auxquelles je n’avais même pas pensé, concernant les subtilités prophétiques de sa sainte et royale loi des dix commandements, et la date du vrai retour du Christ programmée pour le printemps 2030.

Depuis 1980, j’ai toujours été convaincu que l’histoire terrestre était construite sur six mille années, seulement, en prenant pour base de calcul la date de la naissance de Jésus-Christ et non celle de sa mort, mes calculs ne pouvaient pas aboutir. Ceci en dépit de la rectification de la date de sa vraie naissance qui a eu lieu six années avant la date qui lui est traditionnellement attribuée. Et cette rectification faisait de la date 1994, l’année 2000 de notre ère soit, en théorie, l’année 6000 du programme divin. L’erreur cachée par Dieu concernait le choix de la naissance et non celui de sa mort qu’une bonne lecture des écrits d’Ellen G.White suggérait déjà, car elle a souvent fait mention des « six mille années » mais je n’avais pas relevé l’idée de placer la fin des quatre mille premières années au moment de la mort de Jésus-Christ. Et pour être précis et franc, je rejetais cette idée qui repoussait trop loin le retour espéré et attendu du Christ divin glorifié. Mais les faits sont têtus et le temps a avancé et en 2018, l’idée rejetée a fini par s’imposer à mon esprit. En découvrant la date officielle de la mort de Jésus dans un calendrier juif, la date de son retour a été comprise. Mais là encore, la foi placée sur la bonne interprétation de Daniel 9:27 justifie la découverte et l’authentification de la date du 3 Avril 30. En effet, selon Daniel 9:27, Jésus est mort au milieu d’une « semaine » prophétique de sept années, mais aussi, de sept jours réels. Il nous a suffit avec mon compagnon de service et frère en Christ Joël de retrouver dans ce calendrier juif, la semaine dans laquelle la Pâque juive s’est présentée au milieu de la semaine soit, du mercredi soir au Jeudi soir : le 3 Avril 30 répondait parfaitement à cette configuration. Jésus reviendra donc 2000 années plus tard soit, au printemps 2030, et non pour la Pâque 2030 qui vient 14 jours plus tard ; ce qui donne un sens à ces paroles de Jésus citées dans Matt.24:22 : « Et, si ces jours n'étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. ». Les fêtes sont établies par Dieu sur la base des valeurs chiffrées symboliquement. Le chiffre « 14 » représente deux fois le chiffre « 7 » qui est le « sceau de Dieu ». Mais le calcul global du temps des six mille ans ne repose pas sur ce symbolisme, puisqu’il est l’image prophétisée par les six jours profanes de la semaine. A la lumière de la connaissance de la forme que doit prendre la dernière épreuve de foi basée sur la fidélité au saint sabbat sanctifié par Dieu, l’expression, « mais à cause des élus, ces jours seront abrégés », prend la forme d’une confirmation de la promesse de Jésus d’intervenir pour sauver ses derniers élus, avant que le décret mortel promulgué par les rebelles soit appliqué contre eux. En fait, Dieu a gravé dans la vie terrestre et céleste son programme pour l’humanité, en faisant commencer l’année et les six mille ans par l’équinoxe du printemps qui signifie étymologiquement : premier temps ; celui que Dieu a choisi pour son peuple véritablement élu et racheté par sa mort expiatoire en Jésus-Christ, « l’agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde » duquel il arrache ses élus.

La leçon à retenir, à propos des dates construites par les prophéties sur les chiffres choisis par Dieu, est qu’elles n’ont de valeur qu’au titre qu’elles marquent des événements spirituels aux très graves et importantes conséquences. En 1844, la foi protestante, sous toutes ses dénominations, est condamnée et rejetée par Dieu. Le lien avec lui n’est possible que par le chemin adventiste du septième jour. Mais en 1994, à son tour, la dernière institution est éprouvée et rejetée par Dieu. Et cette fois, le lien avec Dieu ne reste possible que pour les adventistes dissidents qui témoignent par leurs œuvres d’un réel amour pour la vérité révélée par son Esprit. Les fausses revendications religieuses sont devenues totalement inutiles. La prophétie a révélé la norme de ceux que Dieu sauve et celle de ceux qu’il condamne. Celui qui connaît les explications de Daniel et Apocalypse partage avec Dieu la connaissance de son jugement : Daniel ne signifie-t-il pas, « Dieu est mon Juge » ? Et Apocalypse ne signifie-t-il pas, « Révélation » ? Ensemble ces deux livres « révèlent » à ses élus, le vrai « Jugement » que Dieu porte sur l’humanité et les religions de la terre parce qu’elles ne sont pas conformes au modèle exigé révélé.

Je n’ai traité jusque là que des dates construites à partir de 1844, mais avant cette époque de restauration de sa vérité, dans Daniel, Dieu permet à ses élus de découvrir la date de son ministère terrestre par le moyen des « 70 semaines » citées dans Daniel 9:24 : « Soixante-dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier l'iniquité et amener la justice éternelle, pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. » Les précisions permettant le calcul sont données au verset 25 qui suit : « Sache-le donc, et comprends ! Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu'à l'Oint, au Conducteur, il y a sept semaines et soixante-deux semaines, les places et les fossés seront rétablis, mais en des temps fâcheux. »

Si Dieu n’a pas voulu cacher la possibilité d’obtenir la date du ministère terrestre de Jésus soit, la date de sa première venue, c’est pour nous, la meilleure preuve de son intention de révéler, également, mais seulement au temps choisi par lui, la connaissance de la date de son vrai retour glorieux. Aussi si tu es du nombre de ses élus, c’est aussi à toi qu’il dit encore : « Sache-le donc, et comprends ! ». Les explications sont nombreuses et maintenant, solidement édifiées.

Ces choses étant dites, quels sont la valeur, le rôle et la place du sabbat ? Sa valeur est immense pour Dieu et ses élus car il a été sanctifié par Dieu en tant que septième jour le lendemain de la création ou formation divine de l’homme. Jésus avait donc raison en disant que le sabbat a été fait pour l’homme et non l’inverse. Mais précisément si Dieu l’a fait pour l’homme, c’est qu’il tient à ce qu’il soit observé scrupuleusement par ses créatures humaines et le sabbat va être honoré toute l’histoire de la vie par les hommes qui entrent en relation bénie avec lui. Il en est ainsi pour toute la descendance d’Adam qui passe par son troisième fils nommé Seth (comme le sept sanctifié) jusqu’à Noé qui le transmet à son tour à ses descendants. Ensuite, Dieu appelle Abram à le servir et il lui enseigne ses lois, ses statuts et ses commandements dont bien sûr et très logiquement, le sabbat. La connaissance et le respect de l’ordre du temps basé sur la semaine de sept jours en atteste la preuve. A leur tour ses descendants Isaac et Jacob vont prolonger cette pratique des ordonnances divines mais après l’installation du peuple hébreu en Egypte, gagnés par la corruption égyptienne et finalement soumis à l’esclavage égyptien, les Hébreux ont complètement abandonné les règles divines. L’esclave n’avait droit à aucun jour de repos et il était privé du bienfait que constituait le repos du septième jour. Aussitôt libéré du joug égyptien, le peuple Hébreu est conduit par Dieu dans le désert aride et sec jusqu’au mont Sinaï situé en Arabie (Gal.4.25), et non dans le sud de la péninsule égyptienne comme le prétend la tradition humaine, pour lui présenter sa loi des dix commandements et révéler ensuite en rencontres privées les origines de la création à Moïse. Ici, il te faut bien comprendre que dans cette ancienne alliance, Israël est constitué et formé d’un échantillon de l’humanité rebelle, pour lequel obéir est extrêmement désagréable. Sachant à qui il a à faire, Dieu crée pour cette proclamation officielle publique un contexte terrifiant : il transforme le mont Sinaï en fournaise, fait trembler la terre, et fait résonner dans l’air le bruit des coups de tonnerres au milieu des éclairs. Le peuple qui assiste à ces choses est à ce point épouvanté qu’il demande à Moïse que Dieu se taise. Avec le quatrième commandement Dieu ordonne un repos dans le septième jour, mais malgré son caractère bénéfique pour celui qui le pratique, le sabbat est mal reçu par les esprits rebelles parce qu’il est ordonné par Dieu ; ce qui lui donne pour eux l’aspect pesant et lourd d’un « fardeau », terme que Dieu utilise pour le désigner subtilement dans Apo.2:24 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; » De nos jours la même détestation de l’obéissance a donné depuis Mai 1968, en France, ce slogan revendicatif des étudiants en révolte : « il est interdit d’interdire ». Ce ne sont donc pas eux qui vont prendre plaisir à obéir à Dieu, d’autant plus qu’un de leurs autres slogans est : « ni Dieu ni maître ». A l’opposé ses derniers élus qui baignent dans sa merveilleuse lumière céleste aiment obéir à Dieu. Car l’obéissance est le seul moyen dont ils disposent pour rendre une réponse à l’amour témoigné pour eux, par Dieu en Jésus-Christ. L’obéissance constitue donc un « fardeau » pesant pour tous les esprits rebelles, mais « un fardeau doux et léger » pour ceux qui aiment Dieu à l’image du témoignage donné par Jésus-Christ. En sorte que ces commandements divins prennent pour eux l’aspect de sages invitations à s’engager sur le chemin du vrai bonheur partagé.

Dans Daniel 8:13, Dieu cite dans l’ordre, la « cause » et les conséquences « du péché » ce que dit précisément le verset 12 qui le précède : « L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. » En citant « le péché » comme « cause » de la malédiction, l’Esprit révèle l’origine du mal : en 321, l’abandon de la pratique de son saint sabbat thème du quatrième de ses dix commandements dont la transgression constitue précisément, à ses yeux, un très grave « péché » porteur et donc « cause » de graves et terribles conséquences pour les chrétiens coupables de cette transgression. La première de ces conséquences est qu’ils sont livrés en 538, au despotisme persécuteur de la « corne » papale romaine citée dans ce verset. « La vérité jetée par terre » concerne le plan du salut chrétien, les commandements et les ordonnances de Dieu ; actions qui rendent le salut impossible. Dans Apo.8, ce châtiment est précédé par un autre châtiment, le premier du thème des « trompettes » qui est venu frapper l’Occident chrétien coupable sous la forme des invasions barbares venus de l’Est et du Nord.

Dans Daniel 8:13, Dieu nous dit par Daniel : « J'entendis parler un saint ; et un autre saint dit à celui qui parlait : Pendant combien de temps s'accomplira la vision sur le sacrifice perpétuel et sur le péché dévastateur ? Jusques à quand la sainteté et l'armée seront-elles foulées ? » Je rappelle ici que le mot « sacrifice » est barré, rayé, en raison de son absence dans le texte original hébreu. Son ajout fausse le sens du message divin et le rend inexplicable. Dans cette scène, Dieu fait parler deux saints qui réapparaîtront dans Daniel 12:5 en tant qu’hommes : « Et moi, Daniel, je regardai, et voici, deux autres hommes se tenaient debout, l'un en deçà du bord du fleuve, et l'autre au delà du bord du fleuve. » La même interrogation est reprise par ces « deux hommes » au verset 6 : « L'un d'eux dit à l'homme vêtu de lin, qui se tenait au-dessus des eaux du fleuve : Quand sera la fin de ces prodiges ? » Ainsi sous deux images, Dieu illustre le temps de la date charnière 1843-1844, période au cours de laquelle s’accomplit l’épreuve de foi basée sur la restauration de la vérité doctrinale du salut en Christ ; ceci, dans le but de restaurer la compréhension qu’en avaient ses apôtres. Dans Daniel 12:11 et 12, l’Esprit cite des durées de jours-années, 1280 et 1335 qui, débutant en 538, date de l’enlèvement du « perpétuel » à Jésus-Christ par le papisme régnant, construisent les deux dates 1828 et 1873 qui entourent les dates charnières 1843-1844 ; temps qui marquent la transition entre la foi qui pratique le repos dominical et les premiers saints élus qui gardent le sabbat restauré soit, les rôles tenus par les « deux hommes » de la vision de Daniel 12:5. Ils apparaissent séparés par le fleuve tueur, puisque nommé Tigre, traduction du nom « Hiddékel » cité dans Daniel 10:4 : « Le vingt-quatrième jour du premier mois, j'étais au bord du grand fleuve qui est Hiddékel. » Et cette image de Tigre tueur et mangeur d’hommes donné à l’épreuve de foi basée sur Daniel 8 :14 est confirmée par l’image de la chute des étoiles qui l’a prophétisée aux USA en 1833 accomplissant ainsi l’annonce prophétique du « sixième sceau » dans Apo.6:13 : «et les étoiles du ciel tombèrent sur la terre, comme lorsqu'un figuier secoué par un vent violent jette ses figues vertes. »

Le sabbat a été fait pour l’homme et son utilité est provisoire et perpétuelle, rattachée au temps de la sélection des élus humains. Et les figues vertes du verset cité symbolisent les chrétiens qui ont refusé entre autres vérités divines, la pratique du vrai sabbat ; préférant de la sorte honorer le dimanche de la tradition catholique romaine que le vrai septième jour sanctifié par Dieu. Il nous faut distinguer le sabbat du septième jour, provisoire et limité dans le temps avec celui qu’il prophétise : le grand sabbat du septième millénaire que Dieu présente et prophétise comme un septième jour. Le septième millénaire reste cependant encore lié avec le thème du péché puisque les saints seront occupés dans le ciel à juger les pécheurs morts. Il a donc lui-aussi un caractère provisoire. Ce n’est qu’après le « jugement dernier » et l’extermination des déchus dans « l’étang de feu de la seconde mort » que commencera sur la terre renouvelée et glorifiée par Dieu, pour ses élus, le temps éternel où le péché ne restera plus que dans leurs souvenirs ; car le rachat des élus par Jésus-Christ sera conservé pendant toute l’éternité dans les mémoires des bénéficiaires ; et ce sera la meilleure raison de prolonger éternellement leur amour pour sa personne, tant par sa mort expiatoire douloureuse, sa démonstration d’amour pour eux fut sublime, incomparable et inoubliable.

Le décret de Daniel 8:14 établit bien le commencement de la restauration de la vérité déformée par Rome. Et la date obtenue, le printemps 1843, marque la fin de la relation provisoire, jusqu’au nouveau « fardeau », de Dieu avec les différentes formes chrétiennes du protestantisme. En ce printemps 1843, Dieu met fin à ses alliances précédentes et il offre aux chrétiens de toutes les confessions une même chance de prolonger leur relation avec lui. Pour obtenir cet heureux résultat, ils vont devoir répondre à ses nouvelles exigences : le zèle pour sa vérité et l’écoute attentive et passionnée pour ses révélations prophétiques, faute de quoi ils seront rejetés par lui définitivement en 1844. Cette remise en cause de la foi protestante a de quoi étonner des multitudes d’hommes et de femmes, mais elle en était pas moins annoncée et programmée par Dieu, pour le printemps 1843 dans Daniel 8:14. Cette date 1843 a donc été fatale pour le protestantisme remis en question mais à l’opposé, la date 1844 a marqué la fin de l’épreuve et la sélection des premiers adventistes qui ont reçu la pratique du sabbat comme signe de leur appartenance au Dieu créateur, après qu’il ait soumis leur foi à l’épreuve. Mais la même date a également confirmé le rejet collectif définitif des doctrines protestantes qui honorent le dimanche établi par Rome.

 

 

Le regard céleste

 

Le regard céleste est à l’opposé absolu du regard terrestre, et pour appuyer cette vérité, je ne vois rien de mieux que cette déclaration du Dieu vivant citée dans Esaïe 55:8-9 : « Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit YaHWéH. Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées. »

Les différences s’appliquent dans tous les domaines : l’homme est mortel, Dieu est immortel, éternel ; l’homme est faillible, Dieu est infaillible ; l’homme est pervers et corruptible, Dieu est saint et droit, parfaitement incorruptible.

Dans le ciel de Dieu, les anges restés fidèles ne sont qu’un cœur et qu’une âme qui vibrent à l’unisson au rythme donné par le Dieu Esprit éternel. A l’opposé, sur la terre, les hommes constituent des pièges les uns pour les autres. Ils placent stupidement leur confiance dans la loi du nombre et finissent par tomber dans le piège de la force obtenue par l’union. Toute l’histoire terrestre de l’humanité pécheresse repose sur le principe présenté par Jean de la Fontaine dans ses fables si vraies, si pédagogiques : « la raison du plus fort est toujours la meilleure ». Et le titre pourrait être biblique : « Le loup et l’agneau ». Paul nous a mis en garde contre les « loups ravisseurs qui se déguisent en brebis » dans Matt.7:15 : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. » Cette mise en garde est donnée par Dieu, lui qui connaît si bien la réalité des choses. Et si ce conseil avait été plus pris au sérieux, des multitudes humaines auraient pu éviter de tomber dans des pièges séducteurs. Aussi dois-je attirer ton attention sur le piège du sentimentalisme sans pour autant condamner le ressenti des sentiments. Le sentiment d’amour est parfaitement légitime entre le mari et sa femme et entre le couple et leurs enfants ; il est encore plus légitime quand il est éprouvé pour notre Père céleste, le vrai Père de nos vies.

Quand le sentiment tombe-t-il dans le sentimentalisme qui constitue sa forme pervertie ? Quand il rend aveugle et sourd à tout autre argument de vérité qui explique la réalité d’une situation. Cet aveuglement spirituel empêche notre cerveau de raisonner et notre instinct de survie est paralysé. C’est alors que « la brebis est prête à être dévorée par le loup ». Dans cet état, l’âme humaine ne se défend plus, les démons peuvent prendre entièrement son contrôle. Et inutile de dire que, lorsque cette âme humaine fait usage de drogue ou de tranquillisants plus ou moins médicaux, le travail de ces démons est grandement simplifié. Ils deviennent les vrais pilotes de l’âme diaboliquement occupée et habitée. Mais là encore, ces démons ne sont pas obligés de révéler leur présence par des comportements anormaux suspects. Pour beaucoup de gens, les diaboliques ou démoniaques bavent, tremblent ou crient des insanités. Il est vrai que pendant le ministère de Jésus sur la terre, de tels cas se sont présentés et Jésus les a guéris. Mais ces exemples ne sont pas exhaustifs et uniques ; toutes les situations, même les plus calmes et apparemment normales cachent la véritable possession démoniaque. Pour preuve, je cite le cas de Pierre par la bouche duquel, pendant un instant, le diable a parlé au Christ en tenant des propos qui sortaient du cœur de Pierre, plein d’amour pour Jésus : il ne fait que lui dire à propos de sa mort expiatoire qu’il annonce : « A Dieu ne plaise, Seigneur ! Cela ne t’arrivera pas ! » et Jésus lui dit aussitôt ces propos terribles à entendre : « Arrière de moi, Satan ! » ; mais revoyons dans Matt.16:21 à 23, l’enchaînement des faits : « Dès lors Jésus commença à faire connaître à ses disciples qu'il fallait qu'il allât à Jérusalem, qu'il souffrît beaucoup de la part des anciens, des principaux sacrificateurs et des scribes, qu'il fût mis à mort, et qu'il ressuscitât le troisième jour. » Relève bien comment, dans cette expérience, nous retrouvons la stratégie utilisée par le diable avec Eve la première pécheresse de l’histoire humaine. Dans ce verset, Jésus annonce le programme salvateur du projet de Dieu aux disciples réunis qui entendent tous collectivement ses propos. Le verset qui vient maintenant nous donne une précision importante : pour parler à Jésus, Pierre le prend à part : « Pierre, l'ayant pris à part, se mit à le reprendre, et dit : A Dieu ne plaise, Seigneur ! Cela ne t'arrivera pas. » Pierre laisse parler son cœur d’homme parce qu’il aime Jésus et l’idée de le voir mourir l’attriste ; il la rejette. Le diable n’ignore pas ses sentiments, mais il va les utiliser pour tenter Jésus par le moyen sentimental afin de le pousser à renoncer à cette mort qui va attrister ceux qui l’aiment. Il sait que Jésus n’est pas insensible à l’amour que lui témoignent ses disciples. Mais Jésus résiste à ses propres sentiments et il comprend d’où vient cette tentation et réagit promptement : « Mais Jésus, se retournant, dit à Pierre : Arrière de moi, Satan ! Tu m'es en scandale ; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes. » Cette dernière expression soulignée en gras révèle la situation terrestre où se combattent deux camps : celui de Dieu et ses pensées et celui des hommes avec leurs pensées démoniaques. En réalité, Jésus adresse son message au diable qui le tente à travers Pierre qui le regarde et lui parle. Jésus devait plus que tout autre se méfier de ceux qui l’aiment, mais était-ce uniquement son cas ? N’en est-il pas de même pour nous, ses disciples et frères des derniers jours ? Pourquoi le diable nous épargnerait-il ? Son prolongement de vie sur la terre, n’a-t-il pas pour but de faire perdre le salut à tous ses disciples, si possible, et jusqu’à la fin ? Ces questions ne sont que des réponses affirmatives. Oui, le même ennemi rode pour nous dévorer tel le loup qui dévore les brebis, jamais rassasié. Dans notre époque moderne, le sentimentalisme est à la base des pensées et des mouvements humanistes. Je suis adventiste, pas humaniste parce que déiste. Et mon choix est raisonné et raisonnable parce que personne ne veut et n’a autant fait que Dieu pour sauver l’homme et lui proposer un vrai bonheur éternel. L’humanisme place l’homme au-dessus de toutes les valeurs. Désolé pour les humanistes, mais pour moi, le plus grand, le plus haut c’est Dieu dont « les voies sont très élevées au-dessus des voies » humaines. J’aime la conception que Dieu se fait de l’homme et qu’il nous a présenté en Jésus-Christ, l’Homme parfait sensible à l’amour de ceux qui l’aiment et aiment toutes ses valeurs de justice, de compassion et d’abnégation ; le modèle unique et parfait que nous devons imiter.

La maîtrise des sentiments est le sujet principal qui caractérise le camp des élus. Le premier qui fut sur la terre confronté au problème sentimental fut Adam et il ne bénéficiait pas de leçon préalablement vécue et expérimentée. Il aimait Eve d’un amour passionnel et se sentait incapable de vivre sans elle. Le but de Dieu était atteint : dans leur état fusionnel, ils ne faisaient vraiment « qu’une seule chair ». Mais ce résultat qui touche au sublime dans son interprétation prophétique de Jésus-Christ et son Eglise, son Elue, était sur le plan humain désastreux et la première démonstration que la puissance sentimentale pouvait perdre l’être humain. Depuis Adam, des multitudes humaines des deux sexes ont refusé de s’engager sur le chemin du salut à cause des sentiments qui les dominaient. Je crains le sentimentalisme et la sensiblerie comme la peste tant ils sont funestes pour l’âme humaine. Sensible, je le suis au point de verser des larmes dans des situations particulièrement émotives, mais au sujet de la vérité biblique, je suis dur comme un roc et inflexible. J’ai payé pour voir et apprendre, pour agir de la sorte. J’ai vu un frère particulièrement perfectionniste perdre le soutien de Dieu à cause de son caractère très et trop sentimental. L’amour, le véritable, est celui que Jésus démontre : il pleure en voyant la souffrance, mais ne renonce jamais à respecter ses principes de justice. Et c’est là, ce que l’homme ne parvient que très rarement à faire. Aimer, tout en restant en permanence juste, sans l’aide de Dieu en Jésus-Christ, c’est tout simplement impossible. Les démons ont sur les humains un grand avantage : ils ne sont pas charnels et sont asexués. La seule chose qu’ils partagent avec les humains au niveau de leur esprit, c’est le désir de liberté qui les a conduits à se rebeller contre Dieu et sa gouvernance. Les êtres humains agissent donc de même, mais ils sont en plus victimes des lois charnelles, le désir, l’envie, la convoitise, la méchanceté, la cruauté, la violence jusqu’au meurtre, quand il leur semble nécessaire.

Avant de se présenter en Jésus-Christ, Dieu avait fait connaître la norme de son regard céleste quand il a dirigé son Israël depuis le saint tabernacle pendant les 40 années d’épreuves. Il a fait régner la véritable justice, donnant à chacun selon son besoin, mais interdisant le surplus comme le confirme cet exemple trouvé dans Exo.16:18-19-20 : « On mesurait ensuite avec l'omer ; celui qui avait ramassé plus n'avait rien de trop, et celui qui avait ramassé moins n'en manquait pas. Chacun ramassait ce qu'il fallait pour sa nourriture. Moïse leur dit : Que personne n'en laisse jusqu'au matin. Ils n'écoutèrent pas Moïse, et il y eut des gens qui en laissèrent jusqu'au matin ; mais il s'y mit des vers, et cela devint infect. Moïse fut irrité contre ces gens. ». Il a donné ainsi à l’humanité une leçon précieuse sur le plan individuel car, dirigée par le diable, l’humanité est incapable de la mettre en pratique collectivement. Tout le malheur humain tient dans le désir de certains êtres de dominer leurs semblables et d’augmenter continuellement leur richesse ; et ces dominateurs en rêve ou en puissance active se confrontent entre eux, jusqu’à se combattre dans des guerres coûteuses en vies et en matériels. La leçon divine donnée par l’offre de la manne invite l’élu à ne pas se reposer sur son acquis. Il doit apprendre à compter sur Dieu en toute chose, en tous besoins, jour après jour. Celui qui s’enrichit se détourne de Dieu parce qu’il place sa confiance dans ce qu’il possède sur la terre. Ne se sentant plus dépendant de la bonté généreuse de Dieu, il se détourne de lui jusqu’à l’oublier et au pire, il finit par ne plus croire à son existence.

Pendant le règne du roi Salomon, la paix donnée par Dieu favorisa provisoirement la vie du peuple qui respectait la loi divine. Mais après la mort de Salomon, les querelles reprirent jusqu’à la séparation d’Israël en deux camps. La situation vécue sous Salomon ne s’est jamais renouvelée, depuis son époque jusqu’à la nôtre. La séparation est devenue le signe extrême de la malédiction divine. Et à ce titre, il faut relever les innombrables séparations que nous pouvons relever dans notre société humaine occidentale en cette fin de l’année 2022. Je cite, la séparation des blocs politiques devenus bipolaires ; la séparation des familles et des couples, augmentation des divorces et refus du mariage au profit du concubinage ; la séparation des religions, toutes choses dues au droit à la différence et surtout à l’égocentrisme, mais au même moment on assiste à des alliances contrenatures. Homme marié avec homme, femme avec femme, triolisme légalisé, copulation avec des animaux ; nations avec nations pour des alliances qui prennent elles aussi un aspect bipolaire qui s’est construit dès la fin de la Seconde Guerre Mondiale à partir de 1945 ; blocs opposés de l’Est et de l’Ouest. Mais certains de ces mélanges ethniques et religieux préparent de véritables drames, tant ils sont potentiellement explosifs. La France qui exalte les valeurs humanistes, fidèle à ce principe, a accueilli sur son sol, des émigrés venant de toute la terre. Ainsi, cohabitent côte à côte des français individualistes pour qui la famille n’a plus de valeur et qui adoptent tous les mœurs pervers modernes et anciens, et des étrangers conservateurs aux valeurs patriarcales et religieuses traditionnellement héritées de père en fils depuis des siècles et des millénaires.  Depuis 1995, sporadiquement, des événements sanglants perpétrés par les musulmans guerriers sont venus, en échantillons, prévenir le pays du risque final que représente ce mélange incongru. Mais aussi sourd à ces avertissements que le furent les Juifs au cours de leur existence, les Français n’ont pas voulu changer ; mais le pourraient-ils ? N’est-il pas déjà trop tard pour faire marche arrière ? La réponse tient encore dans la connaissance des révélations divines. La question ne se pose pas en ces termes et elle perd même sa raison d’être, car Dieu a résolu sa perte depuis bien longtemps, et ses choix risqués ne font que confirmer son sort final décidé par le Dieu de la justice. Elle a accueilli, hébergé, nourri, vêtu et instruit une partie de ses futurs exécuteurs.

Le regard céleste est opposé au regard terrestre qui est son ennemi. Car même en temps de paix, entre Dieu et les humains, c’est la guerre qui se prolonge continuellement. C’est pourquoi les longues années de paix, religieuse depuis 1798, et civile depuis 1945, ont été trompeuses, au point que la religion est grandement abandonnée et quand elle se manifeste encore, ce n’est que pour tromper les humains au sujet du jugement de Dieu soit, du regard céleste, sur la vie humaine et ses événements. Les faux religieux ne démordent pas d’affirmer que Dieu ne donne que la paix et leur témoignage trompe des multitudes qui ne souhaitent qu’entendre ce type de message. Car ignorant la Bible, ses subtilités divines et ses prophéties obscures, les victimes ne savent pas qu’en 2022, après avoir longtemps « tous les jours, tendus ses bras vers des peuples rebelles », Jésus-Christ a lancé le début de l’élimination de l’espèce humaine. Elle sera progressive jusqu’en 2030 et sera due en partie, à la guerre nucléaire, à la famine, et aux épidémies mortelles et en dernier, à ses sept derniers fléaux. Mais à terme, après le printemps 2030, il ne restera plus sur terre une seule âme humaine qui vive encore. Mais selon ce qui est prophétisé, elle conservera pendant « mille ans » pour unique habitant, Satan, le diable. Elle sera pendant « mille ans » sa prison universelle. Mais relisons ce passage complet d’Esaïe 65: 1 à 5, tant il semble concerner notre époque : « J'ai exaucé ceux qui ne demandaient rien, je me suis laissé trouver par ceux qui ne me cherchaient pas ; j'ai dit : me voici, me voici ! A une nation qui ne s'appelait pas de mon nom. J'ai tendu mes mains tous les jours vers un peuple rebelle, qui marche dans une voie mauvaise, au gré de ses pensées ; vers un peuple qui ne cesse de m'irriter en face, sacrifiant dans les jardins, et brûlant de l'encens sur les briques : qui fait des sépulcres sa demeure, et passe la nuit dans les cavernes, mangeant de la chair de porc, et ayant dans ses vases des mets impurs ; qui dit : Retire-toi, ne m'approche pas, car je suis saint ! ... De pareilles choses, c'est une fumée dans mes narines, c'est un feu qui brûle toujours. Voici ce que j'ai résolu par devers moi : loin de me taire, je leur ferai porter la peine, …»

Aussi, ne te joints pas à ceux qui prient Dieu pour obtenir la paix sur la terre, car plus que jamais, Jésus s’active avec ses anges « pour apporter sur la terre, non pas, la paix, mais l’épée ». Sa justice méprisée exige des multitudes de morts et il les obtiendra. Comment n’agirait-il pas ainsi alors qu’il a dit dans Esaïe 5:20 à 24 : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume ! Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux, et qui se croient intelligents ! Malheur à ceux qui ont de la bravoure pour boire du vin, et de la vaillance pour mêler des liqueurs fortes ; qui justifient le coupable pour un présent, et enlèvent aux innocents leurs droits ! C'est pourquoi, comme une langue de feu dévore le chaume, et comme la flamme consume l'herbe sèche, ainsi leur racine sera comme de la pourriture, et leur fleur se dissipera comme de la poussière ; car ils ont dédaigné la loi de YaHWéH des armées, et ils ont méprisé la parole du Saint d'Israël. »

Au début de ce verset, Dieu reproche la confusion faite entre le « bien et le mal » ; ce qui nous renvoie au début de la création, contexte dans lequel « le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal », interdit par Dieu, a été mangé par Eve, puis par Adam. Ils ont ainsi ouvert la porte à la mort qui finit par emporter toute l’humanité à la fin du monde parce qu’elle a mangé à son tour de ce fruit interdit…, toute l’humanité mérite donc la mort, excepté, les élus sauvés par la grâce accordée par Jésus-Christ. Mais cette grâce ne bénéficie qu’aux appelés qu’il reconnaît pour siens et qui accèdent ainsi au statut spirituel d’élus.

 

 

Jésus-Christ le Médecin des élus

 

En ce Jeudi 1er Décembre 2022, notre divin Seigneur m’a accordé la grâce de donner des explications au sujet des maux physiques qui font souffrir ses enfants. Il nous rappelle de la sorte qu’il est bien le Médecin suprême ; le docteur, dont la connaissance est illimitée dans toutes les sciences. Et il possède seul toutes les réponses concernant la vie et ses principes. Comme le titre de cet ouvrage le rappelle, bien que séparés par des dizaines, des centaines et des milliers de kilomètres, les élus du Christ dispersés sur toute la terre habitée constituent son nouvel Israël qu’il conduit jour après jour vers sa Canaan céleste. Et, de même qu’il tira une grande gloire, en rappelant que pendant ses 40 années d’errance dans le désert de l’Arabie, la maladie n’avait pas touché son peuple, aujourd’hui, mais déjà par les écrits d’Ellen G.White, il nous révèle les causes de nos souffrances.

En 2022, le mal au dos est devenu un mal éprouvé par presque tous les êtres humains et en réalité ce mal spécifique existe depuis la création de l’homme car il résulte de sa constitution. Le corps humain se compose de deux blocs superposés reliés par la colonne vertébrale : la partie inférieure est le bassin, la partie supérieure est la cage thoracique. Entre ces deux éléments se trouvent les vertèbres « lombaires » qui sont les plus concernées dans notre existence de jour comme de nuit. Ce sont elles qui supportent le poids et les mouvements de la cage thoracique qui peut s’incliner horizontalement dans les 360 degrés. Etant très sollicitées, elles sont les premières à subir les conséquences de nos mouvements. Seul exemple parmi tous les mammifères, la position naturelle de l’homme est de vivre debout. Et cette attitude exige un grand contrôle de l’équilibre qui est maintenu par une adaptation permanente de cette colonne vertébrale. Curieusement, l’homme se fait moins de mal au cours de ses journées que dans les nuits lorsqu’il dort allongé sur le sol ou sur un lit. Pour pouvoir remédier à nos maux nous devons absolument bien comprendre ce qui les cause. Pourquoi nos nuits sont-elles ainsi destructrices alors que nous pensions trouver dans le sommeil une bienfaisante réparation ? L’explication est la suivante, elle tient en deux mots : position et renouvellement des cellules. Nous devons au renouvellement des cellules de notre organisme le pire et le meilleur selon que ce renouvellement de nos cellules s’effectue dans une position naturelle positive de notre corps entier ou dans une position négative nocive pour notre corps entier ou une partie spécifique localisée. Que se passe t-il lorsque nous nous couchons pour dormir ? Notre corps réagit en fonction de la loi de la pesanteur terrestre : les zones lourdes s’enfoncent dans le matelas, puis dans le sommeil, nos muscles, nos tendons, se relâchent et par leur propre poids, le bassin et la cage thoracique s’incurvent et les vertèbres lombaires qui les séparent favorisent cet arrondi du dos. En position, couché sur le côté, la partie supérieure de la jonction de deux vertèbres se rétrécit et à l’inverse, la partie inférieure s’écarte. Ce serait sans importance si la position était tenue cinq ou dix minutes, mais nos nuits de repos se prolongent pendant au minimum 6 heures, jusqu’à 8 à 10 heures pour certaines personnes qui en éprouvent le besoin. De plus, si certains changent souvent de position pendant leur nuit, d’autres comme moi, privilégient une habitude de se coucher sur le côté droit ou le côté gauche ; l’un et l’autre étant aussi nocifs quand ils tiennent l’homme en dépendance. Parmi les premiers chants que Dieu m’a inspirés se trouve « les enchaînés » dans lequel je dis ceci : « l’habitude est une loi à laquelle on n’échappe pas ; et quand on croit y arriver, elle nous domine plus que jamais ». C’est pourquoi, nous devons combattre et soustraire notre vie à la dépendance de l’habitude pour de nombreuses raisons. Car notre cerveau transforme en habitude tout ce qui est fréquemment renouvelé. Où est le danger ? Dans le cas du sommeil vécu dans une torsion vertébrale, ce danger repose sur le renouvellement des cellules. Notre organisme renouvelle constamment les cellules qui le composent. Les cellules mortes sont drainées et évacuées par le sang et des cellules neuves se forment pour les remplacer. Cette action permanente qui se déroule sans que nous en ayons conscience rappelle que Dieu continue à nous créer. Il a en premier formé l’homme mais depuis le péché mortel, il assure le renouvellement des cellules qui meurent dans les corps humains. Et ce miracle se reproduit des milliards de fois. Si notre corps est dans une position correcte, ce renouvellement n’est que bénéfique, mais si la position est incorrecte, ses conséquences deviennent désastreuses. Que se passe t-il quand l’articulation de nos vertèbres est déformée ? Entre les vertèbres se trouve le disque vertébral qui amortit les contacts entre deux vertèbres contiguës. Dans la partie supérieure étranglée en position couché sur le côté, le renouvellement des cellules du disque est limité et dans la partie inférieure élargie, le renouvellement des cellules de ce disque est amplifié et le disque expansé, parce qu’il profite d’un espace agrandi. La nuit, le renouvellement des cellules transforme lentement mais sûrement une action bénéfique en action maléfique qui va devenir une authentique cause de souffrance. Car pendant le jour nous subissons le mal qui se construit de manière inconsciente pendant nos nuits. Et il faut relever que cette déformation de l’articulation des vertèbres lombaires vient à terme coincer le nerf sciatique qui sort de la vertèbre par la moelle épinière, ce qui provoque des douleurs au niveau du dos jusque dans les jambes et les pieds. Et le mal est ressenti du côté ou le disque lombaire est écrasé. Quelle est donc la solution ? Il revient à l’homme de prendre des initiatives pour protéger le bon alignement de ses vertèbres. En position debout ou assis, l’appui sur la colonne doit rester bien droit et vertical. Il faut éviter les canapés qui favorisent l’arrondi du dos ou placer au niveau des reins un coussin ferme et résistant. Autrefois, les chaises étaient pourvues d’un haut dossier vertical peu confortable qui contraignait la personne assise à donner à sa colonne vertébrale un alignement vertical bénéfique. Cette pratique a disparue car l’homme a préféré le confort destructeur du relâchement (dans tous les domaines : physique et esprit). Mais pour la nuit, une adaptation devient nécessaire. Nous devons empêcher notre corps de s’arrondir quand nous dormons allongé sur un côté. Je propose plusieurs méthodes qui consistent à adapter le lit ou notre propre corps. Pour le lit : mettre une cale entre le sommier et le matelas au niveau de notre taille, entre les hanches et la cage thoracique afin que le matelas ne s’enfonce pas dans cette zone là. On peut aussi placer sous le drap de dessous  une serviette roulée ou tout autre produit tel un rouleau de mousse mais dans tous les cas, il faut éviter toute sensation de douleur qui est ressentie si la cale est mal située. C’est pourquoi, l’autre méthode consiste à équiper le corps lui-même ; en entourant notre taille de linge serviette éponge ou drap de lit jusqu’à donner à notre taille la dimension de nos hanches et notre bassin. Notre corps étant ainsi renforcé et maintenu, l’arrondi de la colonne vertébrale est évité. C’est alors que le miracle de la vie opère, tu guéris ton mal en dormant, sans médicament, sans aucune drogue, sans aucun kinésithérapeute ou chiropracteur ou plus simplement rebouteux. C’est encore le renouvellement des cellules qui va recharger le disque lombaire dans son juste équilibre sur 360 degrés. Ce renouvellement des cellules se prolonge jusqu’à la fin de la vie humaine, c’est dire à quel point la situation créée par le mal est loin d’être désespérée.

La prise de conscience de l’importance de la position prise pendant le sommeil m’a conduit à réaliser l’existence de beaucoup d’autres conséquences. Songeons que nous dormons entre un quart et un tiers de notre existence et j’en viens à dire : « dis-moi comment tu dors et je te dirai ce que tu es ». On dit que les cellules de notre corps entier sont entièrement renouvelées au bout de sept ans. C’est vers 40 ans qu’apparaissent les toutes premières conséquences des mauvaises habitudes pratiquées depuis la naissance ; et bien sûr, en règle inévitable, et première cause, la position du corps prise pendant le sommeil nocturne. En position couché sur le côté, les disques des lombaires ne sont pas seuls à subir des dommages, il en est de même pour notre visage et nos yeux. Pendant la nuit, la tête s’appuie sur l’un de ses deux côtés sur l’oreiller que je conseille épais et ferme pour rattraper les 10 à 15 centimètres qui séparent le côté du visage du bord extrême de l’épaule ; et ce côté inférieur qui repose sur l’oreiller est écrasé pendant tout le temps du sommeil ; des changements musculaires sont opérés par le principe du renouvellement des cellules ; sur des dizaines d’années, nous changeons d’aspect et de morphologie. Les muscles oculaires subissent, eux-aussi, ces changements et apparaissent les premiers signes concrets de ces changements : la modification de la vue due à la déformation des muscles orbitaux. L’œil bien rond à l’origine s’est plus ou moins ovalisé. Mais ce mal là, n’a pas vraiment de remède et commence alors l’esclavage du port des lunettes qui ne fera qu’empirer au fil du temps. Malgré ses inconvénients, le sommeil couché sur le côté présente un avantage pour le repos musculaire des jambes qui n’est obtenu que par une légère flexion de celles-ci ; ce que le sommeil sur le dos ne permet pas. Mais à l’opposé, dormir sur le dos n’entraîne aucun inconvénient pour les vertèbres lombaires ou les muscles du visage. En règle générale, pour que le sommeil devienne réellement réparateur il faut que le couchage soit adapté à la forme du corps humain sur le principe de l’ergonomie. Notre tête n’a pas besoin d’un oreiller de plumes ou de mousse trop souple car la zone qui doit être soutenue fermement est celle du cou et de la nuque et là encore je conseille l’utilisation d’une plaque de mousse à ferme densité ou d’un oreiller assez ferme. Dormir sur le dos présente beaucoup d’intérêt et porte peu d’inconvénient. En règle générale, c’est le changement de la position du corps qui est l’idéal en sorte que nous échappions au conditionnement de l’habitude. Et de cette manière, aucune partie de notre corps n’aura à souffrir d’une trop longue exposition nocive. Dans cette position, l’oreiller devient inutile à moins qu’il soit moulé et ergonomique. Toutefois, pour le confort et la protection de la nuque, je conseille de placer à sa hauteur l’épaisseur d’une serviette épaisse roulée. Il faut obtenir le sommeil, quel que soit la position prise par notre corps. Et lorsque les moyens que j’ai proposés pour remédier au problème de l’arrondi de la colonne vertébrale sont appliqués, le corps peut se tourner à droite, à gauche ou sur le dos, sans inconvénients pour lui. J’ai écarté volontairement le cas qui consiste à dormir sur le ventre, car dans cette position l’inconvénient concerne les muscles du cou et de la nuque. Ainsi prolongée pendant la nuit, la position tordue de la tête, à 90 degrés, est souvent cause de ce fameux « torticolis » ressenti douloureusement au réveil par le dormeur.

Les adaptations proposées jusque-là ont plus le rôle d’éviter le mal du dos que de le soigner quand il est douloureusement déjà ressenti. La guérison du problème douloureux nécessite une méthode un peu plus musclée. Et à ce sujet, les enfants du Dieu créateur ne doivent pas se laisser infantiliser par les docteurs de la science médicale humaine. Le bon sens et l’intelligence que Dieu nous donne vaut beaucoup plus que les leçons apprises et répétées par les docteurs médicaux, perroquets arrogants et orgueilleux. Pour Dieu, le premier pas vers la guérison est l’arrêt de la cause du mal qui doit donc être clairement identifiée. Ensuite, pour guérir le pincement articulaire vertébral, nous allons exploiter le principe de l’arrondi favorisé par la souplesse du lit, en inversant la position du corps et en accentuant le creux formé. Si la douleur sciatique est ressentie du côté gauche, il faut se coucher sur le côté gauche et favoriser l’arrondi de la colonne en plaçant un coussin sous le bas des hanches et un autre sous la cage thoracique. Dans cette position, les vertèbres pincées sont contraintes à s’écarter. Dans une détente musculaire absolue, un relâchement complet de relaxation, le poids du corps force cette ouverture. Et si nécessaire et disponible, l’aide d’un tiers peut être très utile, en appuyant par des petites secousses sur la taille de la personne allongée dont la détente musculaire est absolument nécessaire afin de ne pas blesser les tendons et les muscles qui relient ces vertèbres. Je viens de découvrir dans un document télévisé, la méthode d’un maître masseur Thaï qui fait usage d’un maillet en bois avec lequel il frappe les muscles de son client. Les coups sont amortis et portés sur une masse de tissu serré prenant une forme cylindrique par l’enroulement d’une cordelette. Son explication est très convaincante. Il provoque ainsi dans les muscles des ondes de choc de grande profondeur qui réveillent l’organisme par un afflux de sang qui constitue la respiration du muscle. Le résultat final obtenu était plus qu’étonnant. Le patient qui souffrait se sentait entièrement détendu à la fin de la séance et il a montré son gain de souplesse en se courbant et en touchant le sol de ses doigts, les jambes tendues. Le masseur joignait à sa technique physique des incantations religieuses païennes adressées aux esprits, mais en faisant abstraction de cette chose, la méthode est digne d’être retenue et pratiquée. En Orient, la guérison peut être obtenue par des pratiques brutales non acceptées en Occident. Mais ces pratiques brutales démontrent leur efficacité ; ce qui n’est pas toujours le cas avec les techniques occidentales. En fait, il nous faut comprendre le comportement de notre cerveau qui révèle les signaux envoyés par l’ensemble du corps physique. Sans douleur particulière, le cerveau semble ignorer l’existence du corps, mais si un traumatisme survient par un choc ou un pincement, les nerfs envoient au cerveau un message qui signale une agression anormale que le cerveau exprime alors par la douleur. La douleur est fortement ressentie quand tout le reste du corps est en état normal de repos. Mais si d’autres points se mettent à signaler eux aussi des agressions, la première douleur est ressentie de manière affaiblie. Tout se passe selon cette image : dans la nuit noire, une bougie éclairée attire l’attention sur elle. Mais si mille bougies s’éclairent en même temps qu’elle, elle disparaît dans la masse et n’est plus repérable et identifiable. C’est ce que provoque la multiplication des coups de maillet de ce masseur Thaï sur tous les points vitaux musculaires du corps de ses patients. Mais il ne s’en tient pas uniquement à ces frappes. Avec son pied, il appuie fortement sur les muscles quelques secondes puis relâche sa pression. De la sorte, il bloque et débloque la circulation du sang, tour à tour, des mollets, des cuisses et des dorsaux jusqu’à la nuque. J’apprécie cette approche purement mécanique du corps humain, car c’est bien ce que nous sommes : des mécaniques pourvues de l’esprit de vie donné par Dieu. J’ai expérimenté sur moi-même cette frappe directe au maillet de bois et si la frappe n’est pas trop forte, elle ne provoque pas de douleur, mais elle réveille à coup sûr, la circulation du sang dans les muscles endormis. Et je pense que cette méthode peut permettre d’éviter des bouchons dans les artères et donc de graves problèmes circulatoires tels que l’infarctus cardiaque ou l’anévrisme cérébral. Détail à préciser, l’objet utilisé par le masseur Thaï, pour amortir les coups, était composé ainsi : au milieu d’un carré de toile blanche, il rassemblait des herbes odoriférantes telles que la menthe et d’autres herbes sans les broyer ou les écraser ; relevant les coins de la toile une boule se formait, refermée par une cordelette dont il entourait la toile jusqu’au sommet. En frappant sur ce sommet, l’essence des plantes contenues dans la boule inférieure se répandait sur la peau et dans les muscles frappés. Le massage Thaï n’est pas une caresse, mais une action brutale dosée et contrôlée qui provoque une réaction bénéfique dans les muscles traités et une guérison réelle obtenue sans aucun médicament chimique. Je ne retiens de ce témoignage que « ce qui est bon », comme Dieu nous invite à le faire dans ce verset d’1 Thes.5:21 : « Mais examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon ; ». Bien que ce verset concerne principalement, « les prophéties », je pense qu’il peut aussi s’appliquer à tout ce qui peut être bon, dans tous les aspects de la vie. Je rejette les théories religieuses Thaï, mais je retiens les pratiques physiques de leurs soins médicaux. Les démons les ont fait bénéficier de leur riche connaissance de la vie humaine, de son corps et de ses organes. Mon intérêt pour cette méthode est justifié par le fait que depuis quelques années, j’ai déjà pris l’habitude de soigner ma douleur sciatique par des coups de poing portés sur la zone douloureuse proche des vertèbres lombaires.

La deuxième leçon de santé de cette étude concerne l’alimentation et à ce sujet, nous n’avons pas retiré de la Bible, toutes les leçons qu’elle nous enseigne. Je vis en Occident, en France, zone mondiale frappée par la malédiction de Dieu depuis l’an 321, officiellement. Et nos coutumes et traditions alimentaires ont été héritées et transmises d’âge en âge, pendant des siècles, jusqu’à notre époque moderne ou l’on retrouve la norme de trois repas par jour : le petit déjeuner, le déjeuner ou diner, et le diner ou souper. Ces trois repas pris par jour par tradition ne sont absolument pas nécessaires, mais dans l’Europe nantie et prospère l’homme mange plus par plaisir que par besoin. Quand j’étais enfant, on m’a enseigné des proverbes et des dictons tels que celui-ci : il faut manger pour vivre et non vivre pour manger. Comme la plupart des dictons de sagesse, celui-ci a été complètement méprisé et oublié par les êtres humains. C’est pourquoi le bon modèle ne sera pas trouvé chez les hommes mais uniquement dans la Bible, dans les leçons divines. Dieu nous l’a présenté ce modèle idéal quand il a nourri son peuple Israël pendant 40 ans dans le désert. La nourriture prescrite était exclusivement la manne dont le goût ressemblait, lit-on dans Exode 16:31, « à un gâteau au miel » : « La maison d'Israël donna à cette nourriture le nom de manne. Elle ressemblait à de la graine de coriandre ; elle était blanche, et avait le goût d'un gâteau au miel. ». La nourriture n’était donnée qu’une seule fois par jour après la rosée du matin. Cette leçon nous concerne particulièrement nous qui courront pour l’élection céleste guidés par Dieu vers sa Canaan céleste. Que nous dit Dieu dans cette expérience ? Il nous dit que les besoins calorifiques de l’être humain pour une durée de 24 heures peuvent être satisfaits en un seul repas pris au petit matin. Adieu les trois repas qui, conseillés par le diable, viennent surcharger l’organisme en enchaînant des heures de digestion qui se chevauchent pendant toute la journée et même pendant la nuit. Quelle qualité de repos peut avoir le sommeil quand le corps continue à gérer pendant plusieurs heures son processus de digestion ? Une qualité si basse que le besoin de drogues apaisantes et soporifiques devient indispensable. Mais au réveil, le toxique café devient à son tour indispensable pour maintenir le corps en éveil et en excitation. De la sorte, la machine humaine est soumise à un enchainement cyclique de coups de frein et de brutales accélérations qui absorbent toute son énergie et favorisent le stress ; ceci, jusqu’au clash final, la dépression nerveuse ou l’anévrisme coronarien, ou autres problèmes du genre plus ou moins mortels.

A l’opposé de ces normes négatives de vie, Dieu ordonne à ses élus, pour leur plus grand bien, de faire le plein des calories nécessaires pour 24 heures, uniquement au petit matin. La nourriture absorbée va permettre au corps humain d’effectuer toute ses taches, toutes ses activités, pendant 24 heures. Le corps apprécie ce principe car le repas copieux pris, la nourriture est aussitôt transformée en énergie qui va ainsi être disponible jusqu’au moment de dormir. L’activité diurne ne gène en rien celle de la digestion ; les deux sont contrôlées par le cerveau dans sa phase consciente. Et lorsque le temps de dormir arrive, le corps n’a pas besoin de nourriture mais uniquement du repos physique et mental. Dans cette phase de l’inconscience, le cerveau donne aux organes un repos bien mérité. Un repas pris entre 6 et 7 heures du matin est entièrement digéré vers 13 heures. Mais le corps est normalement capable de fournir l’énergie nécessitée pour les 5 ou 6 heures d’activité qui restent encore à effectuer jusqu’à la fin de la journée de travail. Et ce temps est encore réduit dans le cas d’une journée continue de 8 heures ; l’activité qui a commencé à 8 heures s’achève alors à 16 heures. J’ai personnellement expérimenté professionnellement ce rythme de travail en 1976. Libéré à 16 heures, je disposais ainsi de 3 heures pour faire mes achats et autant pour préparer mon repas pour le lendemain matin ; après quoi, je pouvais récupérer par un sommeil nocturne bien nécessaire et mérité.  Ce régime particulier fut accepté par mon employeur parce que je travaillais seul, sans conséquence pour d’autres travailleurs. Hélas, aujourd’hui, les fils de Dieu sont dépendants de l’organisation de l’humanité maudite et ils doivent respecter les principes établis collectivement. Toutefois, le choix de la méthode alimentaire reste, lui, individuel et le modèle ordonné par Dieu, ou suggéré par lui, est donc applicable par quiconque veut le faire. Dans la société, les modèles adoptés sont ceux que le diable et ses démons ont inspirés aux hommes rebelles. Ils sont destructeurs des vies et des esprits. A l’opposé, Dieu nous montre ce qui est bon, agréable et parfait pour nous et seuls ses élus le comprennent et l’approuvent pour leur plus grand bien, déjà sur cette terre marquée par la malédiction humaine. Aussi, le mépris témoigné pour sa sélection du pur et de l’impur alimentaire retombe sur leur tête sous forme de maladies qui favorisent leur marche vers la mort.

Dans une leçon précédente, le verset d’Exode nous a rappelé que les besoins en nourriture de chacun sont individuels et différents. En fait, dans l’espèce humaine, nous n’avons en commun que l’aspect général car des différences existent dans tous les domaines extérieurs visibles, mais aussi, dans les comportements et les réactions de nos organes : en fonction de leurs gènes hérités dès leur naissance, certains mangent beaucoup sans que leur corps profite et chez d’autres, c’est le contraire, un rien mangé les conduit à grossir, et des cas dus aux hormones peuvent justifier l’obésité. C’est pour cette raison que Dieu laisse à chacun des Hébreux la possibilité de se rassasier de manne selon son besoin personnel fixé par sa nature. Il agit de même pour nous aujourd’hui, chacun de nous fixe la quantité de nourriture qu’il pense devoir consommer mais ce choix libre pour la quantité ne l’est pas pour sa qualité, Dieu ayant prescrit à ce sujet des règles que ses élus ne peuvent qu’honorer et appliquer avec plaisir et confiance.

Il est une chose qui marque la différence entre la guérison donnée par Dieu et celle que donnent les docteurs de ce monde. Dieu peut apporter une guérison totale parfaite tandis que les hommes ne visent qu’à faire disparaître la douleur causée par le mal. Mais pour obtenir de Dieu une guérison entière, il exige de celui qui souffre qu’il mette fin à ce qui lui fait du mal ; et il applique ce principe, tant au mal physique qu’au mal spirituel. Pour comprendre cette nécessité, l’image de « Pénélope » la femme du Grec « Ulysse », du poète « Homère », convient parfaitement : elle détricotait de nuit l’écharpe qu’elle tricotait le jour pour retarder le mariage que son peuple voulait lui imposer ; elle agissait ainsi car elle espérait toujours le retour d’Ulysse, son époux, parti nombre d’années avant pour participer à la guerre de Troie. Ainsi, si la cause du mal ne disparaît pas entièrement, les soins reçus ne restent que des palliatifs successifs incapables de conduire à l’entière guérison. Ayant personnellement souffert quelques fois des douleurs sciatiques, je retiens de ces expériences, qu’ayant eu recours à des manipulations pratiquées avec succès par des rebouteux, jamais l’un d’eux n’a pensé à me donner des conseils pour renverser et faire disparaître la cause de mon mal devenu chronique. Je venais chercher le soulagement, il me le donnait, et rien de plus.

C’est donc au grand Médecin Jésus-Christ que je dois de pouvoir réaliser aujourd’hui que tous les maux sont guérissables si les causes qui les provoquent sont éliminées ; et seulement dans cette unique condition.

En réfléchissant, je peux attribuer la déformation de ma colonne vertébrale au sommier métallique dans lequel je dormais dos à dos avec mon frère aîné, étant moi-même couché sur le côté droit, quand j’étais enfant. Nuit après nuit, le mal s’est construit jusqu’à prendre une forme chronique lorsque le disque lombaire s’est atrophié du côté gauche. L’identification de l’origine du mal indique le moyen de guérir de ce mal : il suffit d’inverser la situation. Et si je ne l’ai pas fait plus tôt, c’est parce que cette habitude, devenue naturelle, m’apparaissait comme favorisant le sommeil. Ce raisonnement avait pour conséquence de prolonger et d’accentuer le mal.

Il en est de même du péché. Dans le monde du diable, les faux chrétiens pensent pouvoir être sauvés par le sang du Christ en pratiquant encore le péché ; ce n’est pas ce qu’ils disent, mais c’est ce qu’ils font. Le grand Médecin des âmes ne peut donc pas les sauver comme ils l’espèrent, pensent-ils, avec foi. Mais le maintien de la pratique du péché témoigne contre ce qu’ils nomment « leur foi » et les nombreux textes avertisseurs cités dans la sainte Bible, la parole de Dieu, dans les écrits de la nouvelle et l’ancienne alliance, les condamnent à la plus cruelle des désillusions. Jésus-Christ est venu « mettre fin au péché » selon Dan.9:24, pas seulement pour « l’expier ». Et « le péché » auquel il a mis « fin », c’est celui que ses élus abandonnent en le plaçant sur « l’agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde » ; en faisant expiation pour le bénéfice de ces seuls élus ; c’est là, tout l’enseignement du cérémonial juif du « Yom Kippur » ou « Jour des expiations, le thème révélé en image dans Lév.23:16 à 32, et de la Pâque juive. Le but de ce cérémonial mis en scène est résumé par le seul verset de Jérémie 31:34 : « Celui-ci n'enseignera plus son prochain, ni celui-là son frère, en disant : Connaissez YaHWéH ! Car tous me connaîtront, depuis le plus petit jusqu'au plus grand, dit YaHWéH ; car je pardonnerai leur iniquité, et je ne me souviendrai plus de leur péché. » ; un projet salvateur dont l’accomplissement en Jésus-Christ est confirmé dans Hébreux 8:8 à 13. A la lumière de ce verset, je dis à ceux qui pensent être sauvés « dans leur péché » : comment Dieu peut-il « oublier » votre « péché », s’il est encore pratiqué et reste visible sous son juste regard de Juge suprême ? Dieu ne peut « oublier » que ce qui a disparu. C’est le cas du « péché » qui ne disparaît qu’après avoir été abandonné par l’être humain coupable.

Je relève que dans ce verset, Dieu cite « le péché » et non, « les péchés ». Ceci confirme l’idée que pour lui, « le péché » désigne, globalement, une attitude rebelle qui peut prendre de multiples formes. Et cette pensée est exprimée par l’apôtre Jacques quand il déclare dans Jac.2:10 : « Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. » Ce texte confirme donc l’exigence de Dieu de voir entièrement disparaître dans la vie de ceux qu’il sauve en Christ, la pratique du « péché » qui est, selon 1 Jean 3:4 :  « la transgression de la loi divine » : « Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi. »; laquelle désigne toute parole sortie de la bouche de Dieu dans ses deux alliances successives.

La vie confirme la nécessité de l’abandon de la cause du mal dans tous les domaines. Le buveur alcoolique peut-il être guéri sans arrêter de boire de l’alcool ? Le fumeur, peut-il être délivré de sa dépendance s’il continue à fumer ? Ces deux exemples démontrent la nécessité de l’abandon absolu des pratiques qui causent le mal. Et ces guérisons ne sont obtenues que par l’effort et le combat contre l’habitude et sa dépendance. Pour obtenir cette victoire, il faut que la victime soit persévérante et résolue à vaincre soit, capable « de renoncer à elle-même et de se charger de sa croix pour suivre » Jésus-Christ, le seul grand Médecin des corps et des esprits victimes des maladies toutes dues au « péché » hérité depuis Adam et pratiqué par tous les êtres humains, après lui.

A en juger par le résultat, le projet de Dieu de faire disparaître le péché a complètement échoué. C’est ce que donne l’apparence de la situation mondiale du monde. Mais le projet de Dieu n’a jamais eu pour but de convertir l’humanité entière pour la sauver. Son projet salvateur ne se réalise que dans la vie des rares élus dispersés sur toute la terre parmi toutes les nations. Il peut sauver ces élus parce qu’ils ont entendu, reçu, compris et accepté d’obéir à ses exigences ; ce qui les rend digne de vivre en sa présence, dans l’amour partagé, l’éternité qui vient et qu’il leur donne.

 

 

LE TEMPS DE LA FIN

 

Le « temps de la fin » est évoqué plusieurs fois dans le livre de Daniel, mais aussi dans le témoignage personnel apporté par le Seigneur Jésus-Christ. Je vais étudier aujourd’hui les divers sens que Dieu donne à cette expression, bien que je pense que pour Dieu, il n’en a qu’une : pour lui, le « temps de la fin »  arrive lorsque tout a été fait pour arracher à la mort les âmes fidèles dignes d’être sauvées. Pour appuyer ce raisonnement, nous avons l’histoire des antédiluviens détruits par les eaux du déluge. Or, la cause de cette destruction fut l’impossibilité de les sauver en dépit du témoignage rendu par Noé et ses fils. L’humanité entière de l’époque le connaissait et se moquait ouvertement de sa construction de l’arche qui allait le sauver, lui et sa famille. Mais, à l’heure choisie par Dieu, les écluses des cieux ont été ouvertes et l’humanité entière a péri noyée comme des rats avec tous les animaux terrestres répandus sur la terre ; excepté ceux qui montèrent dans l’arche pour sauver leur espèce. Le témoignage du déluge est extrêmement important car par cette action, Dieu a donné aux hommes une preuve de sa capacité à détruire la vie qu’il a créée. Après le déluge, la menace pèse lourdement sur l’humanité rebelle et incrédule, mais c’est bien plus qu’une simple menace : c’est un avertissement, car il a programmé pour « le temps de la fin » une nouvelle extermination au retour de Jésus-Christ au début du septième millénaire, mais aussi, à la fin de ce septième millénaire après le jugement dernier, par le « déluge de feu » prophétisé dans 2 Pierre 3:7 : « tandis que, par la même parole, les cieux et la terre d'à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies ». Ce « déluge de feu » couvrira la terre du magma sous-terrain, ce qui lui donnera l’aspect de l’« étang de feu » cité dans Apo.20:14, dans lequel tous les rebelles jugés par Dieu et ses élus recevront ce châtiment de la « seconde mort ». Cette extermination par un authentique « déluge de feu » marquera la véritable fin du projet salvateur terrestre, le temps oméga ou « Z » par rapport au commencement alpha ou « A » qui en réalité n’est pas uniquement celui de la création terrestre, mais qui est celui où Dieu créa son premier vis-à-vis libre l’ange appelé « Astre du matin » et qui va mourir en « Satan » et « diable », l’adversaire et l’ennemi de Dieu et de toute l’humanité ; même de celle qui le sert plus ou moins inconsciemment.

Dans l’actualité de Février 2022, nous avons vu que les Russes ont peint sur leurs véhicules militaires un gros « Z » blanc. Personne n’a réellement donné l’explication de cette lettre « Z » qui n’existe pas dans la langue russe mais qui est bien la dernière lettre de l’Alphabet des langues occidentales. C’est pourquoi, je pense que cette chose est un signe donné par Dieu à l’intention de ses élus qui partagent ses secrets. En fait, le signe est sinistre puisqu’il annonce « la fin » pour cet Occident qui concentre sur lui toute la colère de Dieu. La couleur blanche est divine et signe de pureté : Dieu décrète la fin de la domination des peuples occidentaux qui ont trahi et déformé son projet de salut basé sur la mort expiatoire de Jésus-Christ. Le « Z » annonce bien un message relatif au « temps de la fin ». Ce « Z » spécifiquement occidental révèle la logique de la motivation de « l’opération spéciale » engagée par les Russes, contre l’Ukraine à laquelle il reproche précisément son alliance avec les pays occidentaux européens et américains. En dénonçant les dérives perverses des mœurs occidentales, les Russes ne font que proclamer en mots concrets la pensée du jugement de Dieu. Il est évident qu’en Occident, ces accusations ne peuvent pas être entendues ni justifiées, pas plus que la nation juive ne pouvait accepter et reconnaître les justes reproches que Dieu lui a adressé par ses prophètes, jusqu’à la fin de la nation, détruite, parce qu’ayant perdu toute efficacité, les appels devenaient inutiles ; seul le châtiment final s’imposait.

Dans Matt.24:14, Jésus a déclaré : « Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. »  Comment la bonne nouvelle du royaume a-t-elle été prêchée dans le monde entier ? La réponse est : par la diffusion de la sainte Bible. Dès lors que celle-ci fut imprimée, répandue et disponible en toute langue pour eux, tous les habitants de la terre ont été responsabilisés devant Dieu. La Bible, parole écrite de Dieu, apporte des réponses uniques au juste questionnement des êtres humains ; Dieu ne peut rien faire de plus pour eux. L’évangélisation a perdu son sens quand entre les mains des Protestants, la Bible et sa vérité divine ont été déformées et trahies. Mais cette trahison n’était pas la dernière, car à son tour soumise à une épreuve de foi prophétique entre 1980 et 1994, la foi de l’adventisme institutionnel a donné la preuve de son mépris pour l’avertissement prophétique donné par Dieu dans sa sainte Bible. Et cette dernière trahison est pire que les précédentes car la lumière a abondé pour donner un sens au projet salvateur de Dieu. La connaissance et la restauration de la pratique du sabbat ont éclairé les causes des dramatiques souffrances dues aux persécutions religieuses imposées par la religion catholique quand les rois la soutenaient par leur force armée. Or, après avoir révélé aux pionniers de l’œuvre l’identification de cette religion catholique à la « bête qui monte de la mer » dans Apo.13, tour à tour successivement, la religion protestante et l’adventisme officiel ont fait une alliance avec elle. Ceci, détermine réellement pour Dieu la date du commencement du « temps de la fin » soit l’heure où la trahison humaine atteint son comble. Et cette date est 1994, puisque les démarches secrètes adventistes visant à établir cette alliance contre-nature qui a été officiellement révélée aux adventistes au début de l’année 1995.

Nous allons trouver dans Daniel 11, plusieurs citations du « temps de la fin » qui vont donc toutes désigner cette année 1995. Nous devons comprendre la pensée de notre Créateur qui a composé la construction de toute sa révélation prophétique biblique qu’il destine en réalité uniquement à ses derniers élus du « temps de la fin ». Et ce terme m’oblige à rappeler ce verset où Dieu dit par Salomon, « la fin d’une chose vaut mieux que son commencement » ; c’est si logique : le commencement est plein de question en situation obscure alors que le « temps de la fin » est plein de réponses pour toutes les questions. En effet, toute la prophétie ne devait être bien comprise que lorsque tout ce qui est prophétisé allait être accompli ou sur le point de l’être. Car c’est là le véritable but de toute prophétie : c’est son accomplissement attendu avec foi par ses serviteurs qui nourrit encore plus leur foi à l’heure où les choses prophétisées s’accomplissent. Mais on n’attend que ce que l’on sait devoir attendre ; ce qui est impossible pour ceux qui méprisent les prophéties. La prophétie est pour les derniers jours de l’humanité la seule expression de la vraie foi. Des citations nombreuses exhortent les candidats au salut divin à « veiller » ; ce qui consiste précisément à recevoir et comprendre les annonces prophétisées par Dieu dans sa sainte Bible. Celui qui « veille » est en attente et il n’est pas surpris par l’événement qu’il attend.

Ces deux versets de Daniel citent « le temps de la fin » : Dan.11:27 : « Les deux rois chercheront en leur cœur à faire le mal, et à la même table ils parleront avec fausseté. Mais cela ne réussira pas, car la fin n'arrivera qu'au temps marqué ». Le contexte concerne Antiochos IV et son neveu Ptolémée roi de l’Egypte qui sont respectivement pour ce contexte antique le « roi du septentrion » et le « roi du midi » dans la prophétie. La même expression « car la fin n’arrivera qu’au temps marqué » est de nouveau citée dans le verset 35 : «Quelques-uns des hommes sages succomberont, afin qu'ils soient épurés, purifiés et blanchis, jusqu'au temps de la fin, car elle n'arrivera qu'au temps marqué. » Mais cette fois, le contexte que cette « fin » cible est celui du « temps de la fin » que le verset 40 va développer. L’expression « temps marqué » suggère un temps ou une date construite par les durées prophétisées en « jour-année » par Dieu dans ses prophéties. Ces dates construites sont donc doublement marquées car elles représentent pour Dieu des événements programmés de première importance et elles sont révélées à ses élus. Et celle qui marque le commencement du « temps de la fin » soit, 1994, est de toute première importance, car c’est la dernière que la prophétie permet de construire. Dieu donne à ses derniers élus ce repère qui permet d’interpréter le conflit décrit dans les versets 40 à 45 dans lesquels, le contexte est celui de la fin de l’évangélisation de la foi chrétienne. Cette fois, dans ce contexte final, le « roi du septentrion » désigne la Russie et les républiques de l’Est musulmanes qui la soutiennent et le « roi du midi » représente les nations musulmanes situées principalement au sud de la mer Méditerranée, les Arabes et les Africains. Il est appelé « roi du midi » en raison de l’origine arabe de la religion de l’islam née à la Mecque au début du VIIème siècle. Au verset 27, alors qu’il évoque un contexte antique, Dieu adresse à l’intention de ses derniers élus une allusion qui va concerner également au « temps de la fin », les deux derniers « rois du septentrion et du midi » soit, la Russie chrétienne orthodoxe et les nations musulmanes unies dans une alliance contre-nature, accomplissent, à leur tour, des échanges basés sur « la fausseté » dénoncée par l’Esprit dans ce verset 27. Cette allusion est la seule révélation d’un jugement divin porté contre la foi orthodoxe, car en dehors de ce cas, la prophétie de Daniel et Apocalypse ignore l’existence de cette foi chrétienne orthodoxe revendiquée et pratiquée dans les pays de l’Est européen. La prophétie ne cible que la foi catholique romaine, et la foi protestante qui naît de la Réforme de cette église catholique et en dernière, sa forme « adventiste », forme officielle qui finit « vomie » par Jésus-Christ. Ce verbe « vomir » confirme son état béni originel. En opposition, la foi catholique et la foi protestante n’ont pas été « vomies » par Jésus, car il n’a jamais reconnu la première et n’a fait qu’accueillir provisoirement la seconde, en raison de son imperfection doctrinale jusqu’en 1844, date de l’épreuve de sa foi.

A la lumière de cette donnée qui fait de 1994 la date du commencement du « temps de la fin » de Daniel 11:40, le heurt du « roi du midi » porté contre le « roi » papal ciblé dans la prophétie depuis le verset 36, cible la foi faussement chrétienne de toute l’Europe occidentale ; et dans cette Europe, la France, seule puissance militaire et « fille aînée de l’église catholique, sa mère ».

Envers Dieu, la France doit payer chèrement son constant soutien donné à l’église catholique papale romaine. Envers « le roi du midi » musulman, elle doit payer tout aussi chèrement son ancienne colonisation des pays musulmans de la côte nord de l’Afrique. Aussi retrouvons-nous, le 25 Juillet 1995, une toute première attaque meurtrière musulmane du GIA soit, du groupe islamiste algérien, qui conduit sur le sol de France, un attentat à la bombe dans la station « Saint-Michel Notre-Dame » du RER B parisien ; Jésus-Christ le vrai Saint-Michel étant le commanditaire de cette action punitive portée contre l’adoration de la Vierge Marie désignée par le nom « Notre-Dame ». Après cette attaque, d’autres ont suivi, perpétrées successivement par le groupe Al-Qaïda et le groupe Daesh. L’hostilité musulmane envers la religion chrétienne n’est plus à démontrer, elle est évidente. Le 11 Septembre 2001, à New-York, la destruction des deux tours du World Trade Center percutées par deux avions de ligne, utilisés en action suicidaire du type « kamikaze » japonais, ont confirmé cette opposition haineuse contre tout l’Occident chrétien.

La prophétie révèle deux phases principales de l’agression des ennemis de l’Europe. Et la seconde concerne l’agression russe qui se prépare dans la guerre actuelle en Ukraine. Dieu prophétise ainsi que, successivement, l’Europe va être attaquée par les nations musulmanes, puis finalement, par les nations de l’Est russes, qui la détruiront grandement.

Le « temps de la fin » est celui de la fin de la domination arrogante de l’Europe occidentale de laquelle sont sortis plusieurs nations géantes, les USA et le Canada, l’Australie et l’Amérique du Sud. La preuve que l’Europe est la cible principale de la colère de Dieu en Jésus-Christ est dans le symbole « Euphrate » qui la désigne dans le châtiment de la « sixième trompette » dans Apo.9:13. Et sous ce symbole « Euphrate », Dieu cible le soutien européen donné à la religion catholique papale romaine dont le nom symbolique est justement « Babylone la Grande » soit, celui de la ville assise sur le fleuve « Euphrate » des anciens Chaldéens.

Le « temps de la fin » constitue, en lui-même, un puissant support pour la vraie foi des élus et une preuve concrète de son existence. Dans les camps rebelles, personne ne croit, ni ne veut croire, à une réelle « fin » du monde. Aussi, les pensées sont constamment tournées vers l’espérance et l’attente du temps des négociations finales, par lesquelles une heureuse « fin » sera donnée au conflit actuel. Il faut vraiment connaître et partager avec Dieu son projet global révélé pour savoir que ces négociations ne viendront jamais. Seuls les élus qui partagent la connaissance de ses desseins savent que l’histoire humaine s’inscrit entre « un commencement et une fin » qui sera heureuse pour les élus et mortelle pour les rebelles. Et toute cette révélation s’est construite entre la création de la Genèse et l’ultime révélation du Christ nommée « Apocalypse ».

Dans Daniel 11:44-45, Dieu prophétise : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. Il dressera les tentes de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne. Puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide.» ; Ainsi après avoir « détruit et exterminé des multitudes » européennes et américaines, la puissante Russie sera elle-même anéantie par l’Amérique. Ses troupes seront poursuivies et exterminées sur la terre d’Israël. A ce niveau de destruction, l’humanité sera beaucoup réduite. En Europe, « le tiers des hommes » aura été tué et peut-être davantage. Mais qu’en sera-t-il des peuples non chrétiens ? Ils ne seront pas épargnés, et s’agresseront entre eux. Car tous les peuples de la terre ont un ennemi potentiel contre lequel ils combattront et s’entretueront. Les survivants seront soumis à une ultime épreuve de foi basée sur la foi chrétienne et juive. Les nations païennes devraient donc avoir disparu ; la dernière épreuve ne les concernant pas.

Ne pas être victime des fausses illusions reste le privilège indéniable de l’élu des derniers jours. C’est la part que Dieu donne à celui qui aime sa vérité et la vérité en toute chose.

Le « temps de la fin » c’est encore ça : 2 Tim.3:1 à 7 : « Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là. Il en est parmi eux qui s'introduisent dans les maisons, et qui captivent des femmes d'un esprit faible et borné, chargées de péchés, agitées par des passions de toute espèce, apprenant toujours et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité.» A quoi devons-nous ce triste tableau décrivant la généralité du caractère des humains du « temps de la fin » ? Aux 77 années de paix obtenues de Dieu après la fin de la Seconde Guerre Mondiale soit, depuis 1945. Depuis cette date, tout l’Occident s’est laissé formater par le puissant vainqueur de l’époque, l’Amérique libérale capitaliste. Pour la première fois de l’histoire humaine, l’homme est devenu une chose exploitable, un outil d’enrichissement pour une société organisée de manière pyramidale inspirée par le diable à la franc-maçonnerie régnante dans ce pays. L’humain est devenu pour son malheur un « consommateur ». Le commerce et l’industrie le pousse à consommer et pour faire entrer les plus pauvres dans ce principe, on leur offre les prêts à crédits. Quand ce pauvre est couvert de dettes, il n’a plus le choix et doit impérativement travailler aux conditions désavantageuses proposées par le « patronat » qui a pour racine, le mot latin « pater » qui signifie père ; mais ce nom est aussi hérité du mot « patricien » qui désignait le protecteur de gens plus faibles chez les Romains, et dans lequel je trouve une ressemblance de forme et de sens avec le verbe « paître », et qui ces « patres » vont-t-ils « paître » ? Les moutons bien sûr soit, les plus faibles qui sont livrés à l’égoïsme et la cupidité de ces nouveaux bergers spéciaux. C’est dans ce pays où le président élu s’engage la main sur la Bible, que les commandements de Dieu vont être le plus attaqués, en raison de l’enrichissement encouragé qui suscite la convoitise chez les démunis. Je le rappelle : il s’agit de la conception religieuse enseignée par le Genevois protestant, Jean Calvin pour lequel l’enrichissement constitue la preuve de la bénédiction de Dieu soit, l’exact contraire de ce qu’il approuve, comme l’indique ce verset d’1 Tim.6:10 : « Car l'amour de l'argent est une racine de tous les maux ; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments » ; et Jac.5:1 confirme disant : « A vous maintenant, riches ! Pleurez et gémissez, à cause des malheurs qui viendront sur vous ». Et pour satisfaire cette convoitise, la réponse la plus simple pour le pauvre est le vol et le crime, le meurtre crapuleux. Ce modèle américain désastreux de société a été reproduit dans tous les pays occidentaux, mais toujours avec un niveau inférieur et un retard de quelques années. De part les origines de son instauration, le peuple américain s’est construit sur la multiplicité ethnique, les nouveaux émigrants ayant tous un même droit quelque soit leur origine. C’est vrai au niveau du principe, mais dans la réalité, la cohabitation a pris une forme raciste et les noirs tenus à l’époque pour esclaves, ont particulièrement subi les outrances des blancs. Les indigènes rouges n’ont pas été mieux traités puisqu’ils ont été presque complètement exterminés. C’est en Amérique du Nord que les droits de l’homme établis en France républicaine ont été déviés de leur sens originel, précisément à cause de son mélange ethnique qui n’existait pas encore en Europe à ce niveau, dans aucun pays. Ces droits de l’homme, qui visaient à niveler les classes et à abolir les privilèges des monarchistes et du clergé catholique romain en France, sont devenus, en Amérique, des droits internationaux imposés aux nations terrestres. Les Français ont établi cette charte afin de régler un problème national, strictement interne, mais repris par l’Amérique ce droit national est devenu international. Influencés par les USA, les peuples européens ont adoptés les uns après les autres la conception américaine de ces droits. Et paradoxalement, c’est par les droits de l’homme que l’Amérique vassalise les nations qui deviennent les « consommateurs » des produits qu’elle invente et qui séduisent les peuples européens, mais pas seulement, car son modèle de société réussit à conquérir presque toutes les nations de la terre. Ce n’est donc pas par hasard que, dans Apo.18, Jésus cite plusieurs fois, l’expression « marchands de la terre », en faisant allusion à cette nature commerçante typiquement américaine.

Le piteux et terrible tableau que Paul annonce à Timothée est visible aujourd’hui dans toutes nos sociétés occidentales. Mais le pire est encore en Amérique où sont apparus les « gangs » et où l’on trouve dans ses grandes villes dites civilisées des taux de criminalité très élevés, bien plus que dans tous les pays européens. Ceci au point que, dans les rues de ces villes, l’incessant bruit des sirènes des véhicules de la police surpasse le bruit ambiant des voitures qui circulent collées les unes derrière les autres. Ces sirènes ont remplacé le gazouillis des oiseaux qui désertent ces zones inhospitalières et dangereuses pour eux. Sur tout le territoire, mais surtout dans ces grandes villes, le « rêve » américain se transforme en cauchemar. Et en voyant ces choses, je ne peux que les comparer à la situation qui précédait l’heure du déluge d’eaux au temps de Noé, mais aussi à celle qui caractérisait Sodome et Gomorrhe au temps de Lot et Abraham, situation d’iniquité reproduite par la légalisation américaine et occidentale du « mariage homosexuel » et des droits LGBT exigés par le mouvement Woke et les ligues féministes « Me too ». Comme Lot fut séduit par la richesse de Sodome située dans une vallée fertile, les « Lot » de notre époque sont séduits par la brillance apparente des USA, terre où le plus persévérant des convoiteurs peut réaliser son rêve d’enrichissement ; terre des jeux d’argent où sans aucune fatigue, le plus trompeur gagne selon le principe du jeu de cartes nommé « Poker ».

En 2022 du « temps de la fin »,  l’Amérique peut se flatter d’avoir réussi à imposer son modèle à toutes les nations européennes, excepté la Hongrie récalcitrante. De même, la Pologne exceptée, tous les autres pays d’origine monarchique ont adopté son modèle multiethnique en ouvrant leurs frontières. De ce fait, elles subissent toutes les inconvénients de ces cohabitations insupportées, mais aucune ne peut revenir en arrière, car elles sont toutes muselées par le gouvernement supranational de l’Union Européenne qui les tient en bride par ses subventions financières. Les expériences américaines et européennes différentes ne conduisent pas au même résultat. Contrairement à l’Amérique, l’Europe rassemble d’anciennes monarchies indépendantes et les avantages nationaux de cette indépendance sont encore ressentis de manière nostalgique par les peuples de ces nations ; ceci au point de favoriser la possibilité de fracturer l’union obtenue. Car l’Europe ne peut sauver son union qu’en étant la plus forte, et ce n’est pas le cas, car à ce sujet, l’Amérique est, elle, réellement unie si ce n’est pour le meilleur, du moins, l’est-elle pour le pire, pour accomplir les œuvres funestes que Dieu lui a préparées et qu’il a révélées à ceux qui l’aiment et lui obéissent.

Le « temps de la fin », c’est encore celui des dernières déconstructions, et avant celles des biens matériels que des bombardements vont détruire, viennent celles qui ciblent les choses enseignées par Dieu. Car on a vu comment le diable a fait mépriser et abandonner le respect des lois sanitaires et celui des dix commandements de Dieu à partir de 321 soit plus largement, depuis le début du IVème  siècle. Ensuite au XVIème siècle, l’apparition de la concurrence des Réformateurs protestants a conduit l’église papale romaine à détruire, par réaction opposée, l’enseignement du salut obtenu par la seule grâce apportée par Jésus-Christ. Puis en 1844, à l’heure où Dieu a exigé la restauration du vrai septième jour du repos sabbatique, le camp maudit par Dieu l’a rejeté et s’est encore plus attaché à justifier son dimanche, le premier jour de la semaine divine, hérité au titre de « jour du Soleil » divinisé depuis Constantin 1er. Enfin en 2022, sous l’instigation revancharde de la jeunesse noire américaine qui pratique un racisme anti-blanc, les règles établies par les blancs sont remises en cause, attaquant l’ordre sexuel établi par Dieu dès le début de sa création terrestre. Les mots « femme et homme » ne sont plus acceptés car la liberté revendiquée attaque jusqu’à cette définition établie par le grand Dieu créateur. Sous l’inspiration des démons, ces derniers rebelles veulent imposer la liberté de choisir son genre sexuel ; ceci, à cause des progrès obtenus par la chirurgie médicale. Après le « lifting » facial offert aux femmes, est venue l’offre de reconstruction des seins et d’autres parties du corps dont les parties sexuelles, sans oublier l’abominable possibilité offerte aux hommes dit « transsexuels » de faire pousser et grossir des seins de femme, et de créer chirurgicalement chez l’homme un vagin artificiel.

Ne t’y trompe pas ! Ces choses sont avant tout le fruit du combat du diable et des démons contre Dieu, et les hommes et femmes qu’ils utilisent ne sont que les victimes inconscientes de leur mépris pour ce même Dieu ; ce qui est leur réelle culpabilité qui les rend digne de la mort éternelle, parce que définitive.

Le « temps de la fin » est aussi marqué par des mots, des noms dont la signification prophétise subtilement des choses. Ainsi, en est-il du nom « Renaissance » sous lequel, pour son second mandat présidentiel, Emmanuel Macron a fait élire son partie LREM associé au parti « Horizons » fondé par son ex-premier ministre Edouard Philippe. Dans l’histoire de France, ce nom « Renaissance » est rattaché au règne de « François 1er ». Plusieurs choses sont à relever à son sujet. Il a unifié le peuple français en imposant dans toutes les provinces la langue française. Il a ouvert l’hostilité et les persécutions appliquées contre les Réformateurs protestants. Maudit lui-même, il précède les « rois maudits » comme l’histoire nomme les trois fils de la reine Catherine de Médicis d’origine italienne et de religion catholique papale romaine. Ses trois fils (Henri II, Charles IX, Henri III) sont morts brutalement les uns après les autres. Dieu ne pouvait donner un meilleur signe pour confirmer la malédiction de la religion catholique romaine. Or que constatons-nous ? Ce parti politique nommé « Renaissance » se comporte d’une manière autocrate particulière, puisque refusant les compromis passés avec les opposants, selon des principes démocratiques, son dernier gouvernement dirigé par une femme fait usage, pour voter le budget national de 2023, dix fois consécutives (en date du 17-12-2022), de l’article 49-3 de la Constitution française ; article qui permet de passer en force une loi et qui fait de la « 5ème République » une authentique « dictature » conçue par le Général de Gaulle, ce grand chef de la République. Et avec beaucoup d’aplomb et d’arrogance, madame se permet de dire aux Français qu’elle ne désespère pas d’obtenir une majorité que les électeurs lui ont refusée. Elle déclare donc, implicitement, que pour elle, la seule manière de gouverner c’est d’avoir une majorité absolue ou de requérir à l’article 49-3. Mais dans les deux cas, l’opposition présente dans l’assemblée nationale n’est là que pour offrir à cette gouvernance et aux Français, la trompeuse affirmation qu’ils sont encore en régime républicain démocratique. En vérité, cette opposition n’est plus qu’un alibi démocratique, puisque son avis est totalement et systématiquement ignoré par le gouvernement. Ceci est vrai pour les députés de l’opposition du gouvernement de la France, mais le même principe s’applique pour ce gouvernement autocrate qui est lui-même soumis aux directives imposées par les commissaires européens par le moyen des députés du parlement européen, lesquels sont eux-aussi, des alibis démocratiques pour la gouvernance européenne. Ainsi, nous le constatons, depuis 2012, Dieu a placé au pouvoir, une jeunesse autocrate qui a pour mission de détruire lentement mais sûrement les principes républicains. La liberté et ses droits acquis par les Français se rétrécit jour après jour pour respecter celle des immigrants aux us, coutumes et religions différents toujours plus nombreux. La liberté républicaine est donc visiblement liberticide.

Dans ce dernier temps de « Renaissance », la gouvernance autocrate est restaurée et le contexte guerrier ukrainien va favoriser cette gouvernance autoritaire jusqu’aux heures de destructions des biens et des vies programmées par Dieu, contre les « dix cornes » ou dix royaumes dont certains sont devenus depuis des nations républicaines, mais ayant conservé en héritage, la malédiction de leur soumission religieuse à Rome ; en sorte que nous n’avons plus « trois rois maudits » mais « dix » qui, symboliquement, représentent dans Daniel 7:8 et 24, et Apo.13:1, les anciens royaumes formant les nations républicaines occidentales européennes catholiques et protestantes actuelles et leurs puissantes excroissances des USA, du Canada, de l’Australie, de l’Amérique du Sud, et de l’Amérique centrale. La foi orthodoxe de l’Est n’échappe pas à cette malédiction puisqu’elle a hérité et adopté la pratique du dimanche catholique avant de se séparer de l’église papale romaine par un schisme religieux qui s’est prolongé jusqu’à notre époque marquée par leur affrontement guerrier haineux et destructeur. De la sorte, « le temps de la fin » est confirmé comme temps de « Renaissance » où l’intolérance religieuse manifestée par François 1er réapparaît dans toute sa violence, bientôt, dans l’Europe entière. Mais « les rois maudits » étaient des rois de la France aussi ceux de notre « renaissance finale » sont en priorité les présidents et les premiers ministres qui ont gouverné successivement ce pays depuis 1995. En fait, ces successions se ressemblent toutes, car le modèle instauré par le socialiste François Mitterrand à partir de 1981, modèle caractérisé par l’humanisme social, va se prolonger jusqu’à notre époque ; il a même été adopté au niveau européen. C’est pourquoi, son symbole basé sur « la rose », la fleur de l’amour, désigne encore le modèle européen aujourd’hui ; ce qui justifie le quatrain écrit par Michel Nostradamus, le prophète, qui dit : « Romain pontife, garde-toi d’approcher la ville que deux fleuves arrosent ; ton sang viendra cracher là, toi et les tiens, quand fleurira la rose ». Pour fuir l’agression portée contre l’Italie, le pape actuel, « François 1er », viendra se réfugier à Lyon. Mais il périra en ce lieu avec des catholiques qui l’honorent. Petit détail important à relever : Lyon est la ville de Marie, la sainte vierge de la religion catholique dont l’adoration est une abomination pour Dieu.

Si les rois ou présidents maudits précédents ont bien eux préparé la ruine de la France, le dernier des rois maudits est l’actuel jeune président de la France, et c’est sur lui que retombe la conséquence des choix faits par ses prédécesseurs. De plus, il ne fait rien pour renverser la situation et confirme la direction imposée depuis François Mitterrand, ce que son successeur, Jacques Chirac, nommait « la pensée unique ». Que disait-donc cette « pensée unique » ? Elle disait : « France ouvre-toi et sacrifie ta prospérité sur l’autel de la construction européenne. Privatise tes sociétés nationalisées et accueille toute la misère du monde qui vient vers toi ». Et cela fut fait. Si Jacques Chirac sut leur résister, par contre, son successeur Nicolas Sarkozy a été séduit par le chant des Sirènes du capitalisme américain auquel il a livré la France en réintégrant l’alliance de l’OTAN. Il a combattu contre la Libye du colonel Kadhafi tué par ses ennemis, alors qu’il s’était placé en défenseur de la France contre les attaques islamistes. Peut-on trouver meilleur fruit de malédiction ? Après lui, le président François Hollande a livré la France au secteur financier en généralisant l’assurance privée des Mutuelles et il a imposé au pays entier l’abomination du mariage des homosexuels en tous genres. Et en dernier, Emmanuel Macron confirme tous ces choix, ruinant son pays par un blocage sanitaire de l’économie (Covid-19) et fait de la France une cible pour la colère russe en donnant des armes modernes très efficaces à l’Ukraine attaquée par cette Russie vengeresse depuis le 24 Février 2022. Ce sont là, les fruits portés par nos « rois maudits » de l’époque « Renaissance » du « temps de la fin ».

Mais pour ses élus, Dieu a donné au nom « Renaissance » un sens beaucoup plus positif, car c’est à cette époque du XVIème siècle, que sa sainte Bible révélatrice a été imprimée, répandue, et donc mise à la disposition de ses serviteurs protestants. Elle a été, depuis ce moment, à l’origine du réveil religieux et la cause de la « renaissance » spirituelle ou conversion des élus à la « nouvelle naissance », jusqu’à notre époque. Nous lui devons tout et en particulier, des révélations prophétiques qui nous font partager la pensée du jugement de notre Dieu et sans elle, nous ne pourrions pas obéir à sa volonté, puisqu’elle seule la révèle.

Enfin, relevons qu’en notre époque « Renaissance », le pape en poste porte lui-même le nom « François 1er ». Il faut vraiment le vouloir pour ignorer ce message proposé par le grand Dieu subtil, au nom de Jésus-Christ.

Pour résumer toutes ces choses, il y a bien en notre époque du « temps de la fin », une « renaissance » de l’agressivité religieuse due, cette fois, à l’action des mauvais anges, enfin relâchés par Dieu (ce qu’ils attendent depuis l’Automne 1844 selon Apo.7:1 à 3), afin qu’ils détruisent et « tuent » principalement, dans l’Europe occidentale désignée symboliquement par le nom « Euphrate », un tout aussi symbolique « tiers des hommes », selon l’annonce d’Apo.9:13 à 16 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. Le nombre des cavaliers de l'armée était de deux myriades de myriades : j'en entendis le nombre». La dernière phrase révèle le nombre des combattants de cette guerre : deux cent millions. Cette précision permet de rejeter toutes les fausses interprétations données à ce conflit jusqu’à notre « temps de la fin » soit, depuis 1995. Mais à qui devons-nous ce retour de l’intolérance religieuse ? A une religion qui ne reconnaît pas la tolérance : l’islam. Et c’est là tout le paradoxe de la situation qui est rendue incompréhensible pour tout autre que l’élu de Dieu en Jésus-Christ. Car aux yeux des hommes, l’ennemie actuelle principale de Dieu, la cible de sa divine colère, se comporte de la manière la plus pacifique et la plus humaniste de toutes les religions de la terre. Ses fautes sont des péchés commis envers Dieu, identifiables seulement de manière doctrinale. Mais qui sur terre, hormis ses élus, se préoccupe et se soucie des attaques portées contre Dieu et ses principes ? En Occident personne ou presque, et en Orient, il manque la justice de Jésus-Christ et la révélation de la sainte Bible ; en sorte que les indignations musulmanes, non fondées sur la vérité du projet salvateur divin, ne justifient pas ceux qui les démontrent et les affichent avec zèle, violence et grand bruit.

 

 

L’eau de la vie

 

En choisissant de symboliser la vie humaine par « l’eau », Dieu, notre Créateur, a voulu donner à ceux qui lui appartiennent, ses esclaves volontaires, de nombreux enseignements utiles à recevoir et à comprendre.

Nous connaissons tous ce qui caractérise « l’eau » et sur le plan spirituel, Dieu nous a révélé que la terre fut créée à l’origine sous la forme d’une boule « d’eaux ». Cette vérité première est enseignée dans Gen.1:2 : « La terre était informe et vide ; il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. » Cette précision devait être importante puisque la chose est rappelée dans 2 Pierre 3:5 : « Ils veulent ignorer, en effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, de même qu'une terre tirée de l'eau et formée au moyen de l'eau ». Le verset qui succède donne une première justification donnée à cette importance de « l’eau » : « et que par ces choses le monde d'alors périt, submergé par l'eau, …» « L’eau » prend ici son sens le plus terrible puisqu’elle donne alors, la mort soit, la cessation complète de la vie ; laquelle ne se prolonge pas aussitôt dans une dimension céleste ou un quelconque « nirvana » inspiré aux hommes par les démons célestes. C’est cet aspect définitif qui rend la mort si redoutable pour les êtres humains ; ce qui n’a pas été obtenu pendant sa vie sur la terre est perdu pour toujours par l’être humain homme ou femme. Hostile en masse pour l’humanité, « l’eau » la noie et la fait mourir. Et dans Gen.1:9-10, nous lisons : « Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l'amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon». Pour obtenir ce « rassemblement des eaux en un même lieu », Dieu fait se creuser la surface de l’écorce terrestre recouverte par l’eau jusque-là. Et déjà, obéissant à la loi de la pesanteur créée par Dieu, l’eau soumise à cette loi se met à suivre le chemin le plus facile qui la conduit à atteindre le niveau le plus bas, le plus rapproché du centre axial du globe terrestre et le plus éloigné du ciel et des astres solaires que Dieu va créer au quatrième jour. Et Dieu donne à ce « rassemblement d’eaux », le nom « mer ». C’est ce niveau de la « mer » qui va servir de repère aux hommes pour établir et mesurer la hauteur des niveaux du sol « sec » appelé « terre ». Maintenant, appliquons la définition de l’eau qui vient d’être faite à l’humanité qu’elle symbolise. Ceci éclaire ce message cité dans ce verset d’Apo.8:8-9 : « Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer ; et le tiers de la mer devint du sang, et le tiers des créatures qui étaient dans la mer et qui avaient vie mourut, et le tiers des navires périt. » Précédée par « comme », cette image est hautement symbolique et ne concerne donc pas la « mer » sur laquelle voguent les bateaux ou la concerne tout du moins qu’en partie seulement. En fait, sous ce symbole « mer », Dieu désigne l’humanité païenne répandue sur toute la terre habitée et, particulièrement, celle qui est proche du lieu éclairé par sa lumière ; ce qui désigne l’Europe occidentale et le Moyen-Orient d’où est sortie sa divine lumière et suprême connaissance religieuse. Sont ainsi concernés, tous les peuples et tribus qui vivaient sur toutes les côtes de « la mer » Méditerranée, au Nord, au Sud et à l’Orient, car l’Occident de cette « mer » gardait encore, à l’époque ciblée, tout son mystère. Dans la pensée de Dieu, les vies païennes sont ainsi rassemblées et placées sous un même statut spirituel : celui de sa condamnation à la mort éternelle, à cause de l’héritage du péché transmis depuis Adam et Eve. Et ce que ces peuples païens ont en commun avec « les eaux », c’est qu’ils suivent eux-aussi, les voies les plus faciles et les plus naturelles, que la loi de l’héritage traditionnelle leur impose. Rien n’est plus facile pour l’homme que le fait de se conformer aux traditions de son peuple et de ses pères. Dans leur immense majorité, les créatures de Dieu obéissent à cette loi impérieuse de la tradition qui provoque leur perte. Chez les animaux, ce principe est une normalité naturelle et légitime, car ils n’obéissent qu’au seul principe de « la conservation de la vie » ; la plupart d’entre eux ne tuent que pour se nourrir, par une nécessité devenue indispensable, depuis que le péché est entré dans la vie terrestre par la faute de l’homme. Mais l’être humain diffère de l’animal en ceci que Dieu l’a doté d’une intelligence supérieure qui se traduit par sa capacité, à juger, à choisir, à résister ou céder, devant toutes les situations qui se présentent dans sa vie. Les engagements religieux, y compris leurs formes païennes, confirme la présence de cette conscience de leur précarité, car Dieu l’affirme, il a mis dans « le cœur » de l’homme « la pensée de l’éternité » ; ce que confirme Ecc.3:11 : « Il fait toute chose bonne en son temps ; même il a mis dans leur cœur la pensée de l'éternité, bien que l'homme ne puisse pas saisir l'œuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'à la fin. ». Cette pensée est placée par Dieu dans « le cœur » de l’homme ce qui signifie qu’il affectionne naturellement cette pensée. Cette affinité naturelle éprouvée pour « l’éternité » est la conséquence d’un héritage traditionnel naturel transmis par les gènes aux êtres humains par Adam et Eve qui l’ont perdue. Mais sous l’inspiration et l’intense activité des démons célestes, les hommes ont pensé obtenir cette « éternité » par de nombreux moyens que Dieu ne reconnaît pas. Ceux que Dieu rassemble sous le symbole « mer » sont de ceux-là. Ce sont tous, de manières différentes, des idolâtres. Et de ce nombre est « la montagne embrasée » soit, « Babylone la grande », l’institution papale catholique romaine, lorsqu’elle est instaurée en 538 au sein de l’Europe occidentale, en Italie, à Rome.

Il convient de relever l’emploi au pluriel du mot « eaux » dans toutes les citations divines. En opposition, dans l’usage humain, en tant que matière, « l’eau » est un singulier. Ce choix divin du pluriel est justifié par son sens symbolique qui désigne un rassemblement d’êtres humains. Et dans Apo.8:11, cette interprétation est confirmée : « Le nom de cette étoile est Absinthe ; et le tiers des eaux fut changé en absinthe, et beaucoup d'hommes moururent par les eaux, parce qu'elles étaient devenues amères ». Dans ce verset, Dieu donne aux « eaux » un double sens, car le message de son projet salvateur est lui-aussi comparé à « l’eau de la vie » dans les paroles dites par Jésus-Christ dans Apo.21:6 : « Et il me dit : C'est fait ! Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif je donnerai de la source de l'eau de la vie, gratuitement. » ; et encore, dans Apo.22:17 : « Et l'Esprit et l'épouse disent : Viens. Et que celui qui entend dise : Viens. Et que celui qui a soif vienne ; que celui qui veut, prenne de l'eau de la vie, gratuitement. » ; ceci parce que Dieu a dit de Jésus, le premier juste, et ses vrais élus, dans Pro.10:11 : « La bouche du juste est une source de vie, mais la violence couvre la bouche des méchants. » ; de même, dans Pro.13:14 : « L'enseignement du sage est une source de vie, pour détourner des pièges de la mort. » Le véritable Evangile est donc lui aussi comparé à une « source » des « eaux de la vie ». Lorsqu’il juge l’homme et l’examine, Dieu regarde en premier son esprit, cette chose immatérielle que produit le fonctionnement de notre cerveau. Et là, il trouve nos pensées, nos affinités, nos affections, nos amours, nos détestations soit, toutes nos aspirations profondes réelles secrètes cachées à la connaissance humaine, mais aussi, aux anges célestes du bien comme ceux du mal. Dieu peut, seul, lire dans nos pensées silencieuses. Pour lui, l’âme humaine n’est donc principalement que ce que contiennent ses pensées. Jésus a attiré l’attention de ses apôtres sur l’importance de ces pensées secrètes cachées, dans Mat.15:18 à 20 : « Mais ce qui sort de la bouche vient du cœur, et c'est ce qui souille l'homme. Car c'est du cœur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies. Voilà les choses qui souillent l'homme ; mais manger sans s'être lavé les mains, cela ne souille point l'homme.» Chez l’homme, le « cœur » ne fait qu’exprimer, par le rythme de ses battements, les émotions ressenties dans « sa pensée » soit, en réalité, dans son cerveau. Mais justement qu’est-ce qui fait battre le cœur des hommes et des femmes ? L’amour de Dieu et de ses vérités ou les valeurs du monde rebelle ? Dieu seul connaît la réponse et peut répondre à cette question qui fait la différence entre l’élu et le rebelle ; les deux sont capables d’aimer… mais pas les mêmes choses, ni les mêmes personnes. Ainsi, les pensées des élus vont être remplies d’amour pour Dieu et sa vérité doctrinale ainsi que ses prophéties, et celles des rebelles occidentaux ont été remplies d’adorations abominables de la créature humaine et de son autorité religieuse prétendue par le régime papal catholique romain dont l’enseignement mensonger est comparé dans ce verset d’Apo.8:11 à ce breuvage toxique, alcoolisé mortel que constitue la boisson enivrante nommée « Absinthe » réalisée à partir d’un mélange d’alcool et d’extraits de la plante « absinthe ». Au XVIème siècle concerné par la prophétie, « le vin d’absinthe » très « amer » était utilisé pour soigner, dit-on, efficacement les maux d’estomac. Et ce détail est important, car la véritable parole de Dieu est, elle-même, comparée à « la douceur du miel » dans Apo.10:9 : « Et j'allai vers l'ange, en lui disant de me donner le petit livre. Et il me dit : Prends-le, et avale-le ; il sera amer à tes entrailles, mais dans ta bouche il sera doux comme du miel. » Ce verset nous révèle ce qui constitue « l’amertume » citée dans le verset d’Apo.8:11 : l’opposition religieuse persécutrice organisée contre « la douceur du miel » du véritable Evangile apostolique confirmé et restauré au temps final des derniers élus éclairés par la prophétie. Autant la bouche de l’élu exprime la douceur de l’amour divin, autant celle de l’ennemi catholique exprime la haine, l’amertume et la cruauté inspirées par le diable aux dirigeants et aux adeptes fanatiques de cette religion, fruit de lapostasie chrétienne. Mais demain, ce fruit sera aussi celui des protestants apostats et des adventistes « vomis » par Jésus-Christ. Dans Apo.10:9, Dieu relie les « entrailles » de l’homme, siège des douleurs ventrales physiques aux persécutions également physiques et mentales qui les provoquent. Dans l’exemple donné, le message de vérité, reçu par celui que Jean représente et prophétise, attirera sur lui, la haine du diable et des instruments humains qu’il utilise. La contrariété et la lutte menées contre lui créeront dans son corps ces souffrances « amères ». Ainsi, dans « l’Absinthe » qui cause « l’amertume » dans les « cœurs » des hommes et dans « l’eau » révélée qui a le « goût du miel », se trouvent deux conceptions religieuses chrétiennes, diamétralement opposées, comme la nuit et le jour, les ténèbres et la lumière. Les deux conceptions religieuses conduisent donc l’humanité à ressentir l’amertume, mais le remède proposé est opposé dans l’absolu. Celui que Dieu propose a l’avantage d’offrir aux élus, dans leur « bouche », un agréable et « doux goût du miel ». Le message divin à retirer est que la religion nommée « Absinthe » est une version fermentée concurrente de la pure vérité de l’Evangile du salut enseigné à l’origine correctement par les apôtres de Jésus-Christ. « L’amertume » est, elle-même, le fruit de méchanceté et de cruauté porté par les ligues catholiques et les tribunaux de l’inquisition papale romaine de l’époque du XVIème siècle ciblée par la prophétie. Les hommes sont influencés par l’enseignement religieux qu’ils reçoivent et celui qui est donné par la religion catholique romaine est de norme païenne ; il est mortifère et à l’image de ce vin dit « spiritueux » dont l’usage immodéré prend l’effet d’une drogue qui a conduit des artistes à mourir dans une folie anormale ; comme le confirme, entre autres, le cas du peintre Van Gogh.

« Les eaux » humaines intoxiquées par l’enseignement « amer Absinthe » vont attaquer et faire mourir d’autres « eaux amères » qui les combattent au nom de l’Evangile, car l’esprit des gens qui prennent les armes dans le camp protestant partage, avec le catholique, une même « amertume » et une même cruauté. Dans la même époque des « Guerres de religions », les élus de Dieu sont conduits le plus souvent en captivité, dans les prisons ou les galères des rois. Et d’autres meurent dans le Seigneur en authentiques martyrs de la foi.

La comparaison de « l’eau » avec l’homme est encore justifiée par le fait que l’homme est physiquement composé de 75% d’eau, ce qui signifie que complètement déshydraté, un corps humain de 100 kg ne pèse plus que 25 kg. C’est pourquoi, l’homme peut rester sans nourriture des mois entiers, mais il ne survit pas à une privation d’eau d’une semaine et pour certains dit-on pas plus de trois jours. « L’eau » est donc bien une composante fondamentalement importante de la vie humaine. Et son caractère indispensable en fait l’image parfaite pour symboliser la parole divine révélée, selon Matt.4:4 : « Jésus répondit : Il est écrit: L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. » Ce qui est vrai pour le « pain » cité dans ce verset l’est encore davantage pour l’indispensable « eau » qui nous compose. Et la parole de Dieu en Christ est à la fois « pain » nutritif pour la foi et « eau de la source de la vie ».

Dans sa composition moléculaire physique, « l’eau » est composée de deux gaz principaux qui sont l’hydrogène et l’oxygène : H2O. Aussi le contact de l’oxygène de l’eau avec l’oxygène de l’air favorise t-il un déplacement des atomes qui explique le processus de l’évaporation, lequel est un phénomène constant qui s’amplifie avec la chaleur ou le vent. Mais cette « eau », qui s’évapore des mers et des lacs, est remplacée par des apports d’eaux qui reviennent sous l’aspect des pluies, des torrents des montagnes, des rivières et des fleuves. Il en est de même pour l’humanité : enlevées par la mort, les âmes humaines disparues s’évaporent et elles sont remplacées par de nouvelles naissances de créatures humaines. Et ce principe de renouvellement est lui aussi constant, aussi longtemps que la vie humaine se prolonge sur la terre dans les conditions actuelles.

C’est dans Dan.7:2, que le mot « mer » apparaît pour la première fois pour désigner, symboliquement, le rassemblement global de l’humanité païenne dans ses prophéties destinés à ses derniers élus : « Daniel commença et dit : Je regardais pendant ma vision nocturne, et voici, les quatre vents des cieux firent irruption sur la grande mer. » En précisant la « grande mer », l’Esprit désigne bien la « grande » humanité prolongée au fil du temps par des successions de grands dominateurs jusqu’au temps final qui sera marqué par le retour de Jésus-Christ. Le verset 3 qui suit confirme en disant : « Et quatre grands animaux sortirent de la mer, différents l'un de l'autre. » Les sorties successives de ces animaux sont confirmées par l’ordre numérique de leurs apparitions respectives : « le premier » ; « le second » ; « le troisième » ; « le quatrième ».

Le message qui se dégage de cette comparaison de « la mer » avec l’humanité sans Dieu est terrible. Parce que « la mer » est remplie de vies animales qui vivent ou meurent sur le principe qui veut que le plus gros mange le plus petit. Aussi ne devons-nous pas nous étonner, en retrouvant dans les sociétés humaines, l’application de ce même principe fondateur : les plus riches prospèrent par l’exploitation de la vie des plus pauvres. Pour compenser et réduire ce principe de la vie animale, l’humanité a instauré des autorités de justice, mais comment la justice pourrait-elle être appliquée si les hommes ne se montrent capables que de créer des lois injustes ? Car comme Mr Jean de la Fontaine l’a formulé : « la raison du plus fort est toujours la meilleure ».

« L’eau de la vie » désigne la vie éternelle qui reste l’enjeu du combat de la foi des appelés qui répondent positivement à l’appel lancé par Dieu. Cette vie éternelle est encore, de nos jours, offerte uniquement au nom de Jésus-Christ, mais encore, sous condition que Jésus estime et juge digne de son salut, les candidats qui revendiquent les bénéfices de sa grâce. Or, la situation est terriblement et tragiquement trompeuse. La réponse donnée par Dieu à cette revendication est absente, mais même sans réponse de sa part, l’esprit humain rebelle, persiste et signe ; il se réclame des promesses de Dieu, mais oublie ou refuse de prendre en compte, les conditions imposées par Dieu pour les obtenir. Pourtant, dès le début de sa démarche religieuse, sa cause est perdue d’avance, soit à cause de l’enseignement mensonger reçu d’une institution condamnée par Dieu, soit à cause de son incapacité personnelle à produire le fruit de la foi agréable au Seigneur de la vérité. Le risque de perdre la vie éternelle n’est que pour ceux qui l’ont reçue en promesse, parce que leur comportement a été approuvé par Jésus-Christ. Et c’est là que chacun doit le comprendre, « là où est le Seigneur, là est sa vérité », « là où le saint Esprit de Jésus demeure, les réponses aux questions religieuses abondent », et ses prophéties reçoivent toutes les explications qui rendent claire leur compréhension ; ceci, parce que Dieu est vivant et non mort ; car lesprit vivant agit tandis que le mort n’agit plus ou pas. Tout homme sincère et jugé digne obtient une réponse de Dieu au cours de son existence. Dieu connaît le nom des élus depuis le début de sa création de la vie libre, c’est pourquoi aucune âme digne de son salut ne manquera au rassemblement final des élus transmués en partance pour le royaume céleste où Jésus leur a « préparé une place » selon Jean 14 ; mais d’innombrables croyants trompés connaîtront l’expérience de la plus amère désillusion, parce qu’ils auront sous-estimé les appels reçus aux temps favorables. Or, ces avertissements, Dieu ne les transmet pas directement lui-même. Pour cette tache, il utilise ses serviteurs fidèles humains et c’est par leur bouche qu’il lance ses appels. La réception de l’enseignement de la vérité proposée par Dieu nécessite donc une réelle humilité de la part des candidats, car ils doivent recevoir l’enseignement présenté et transmis par des hommes simples, sans diplôme, sans aspect séducteur physique ; leur aptitude à expliquer les choses divines est leur seul critère d’authenticité.

En ce jour du 13/12/2022, le Dieu de la lumière et de la vérité que je sers au nom de Jésus-Christ m’a accordé l’immense grâce d’une révélation vraiment exceptionnelle qui éclaire d’une manière insoupçonnée le récit du premier jour de la création terrestre. Ce message concernant « l’eau de la vie » l’a préparé. Il est clair et maintenant démontré que « les eaux » représentent des peuples, des masses humaines vivantes. Le Seigneur de vérité vient de me permettre de comprendre la signification de la forme donnée à son récit de sa création qui commence par une boule d’eaux. Ces « eaux » représentant des vies, dans cette image, la terre est couverte de vies et cette précision ne fait que prophétiser l’aspect qu’aura la nouvelle terre que Dieu créera à partir de la terre actuelle. Car en effet, dans Apo.21:1 nous lisons : « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. » La fin de ce verset précise : « et la mer n'était plus ». Elle ne sera « plus » parce que la vie des élus qu’elle prophétisait dans Genèse 1:1-2 la remplacera pour recouvrir « la nouvelle terre ». Ainsi, au moment où Dieu l’a créée, la « terre » actuelle, recouverte au commencement par « les eaux » prophétisait son futur état éternel glorifié de « nouvelle terre » qui accueillera après le septième millénaire, le trône de Dieu et ses élus qu’il a rachetés et sélectionnés par Jésus-Christ, au cours des 6000 premières années programmées dans ce but.

Le récit des premiers jours de la création cité dans Genèse 1 a donc une portée bien plus grande que celle qui vise à connaître l’origine de la terre. Il contient à l’intention de ses derniers élus, une promesse qui s’accomplira uniquement à la fin de toutes les épreuves et qui concerne la « nouvelle terre » qui sera le nouveau paradis, le nouvel Eden, le jardin éternel de Dieu qui sera la part des élus qui vaincront le péché comme Jésus-Christ a su, en premier, le vaincre. Ainsi, l’aspect que la terre a, dès le commencement, prophétise celui qu’elle aura à la fin, au renouvellement de toute chose. La chose étant comprise, dans le premier jour, Dieu révèle son projet qui consiste à « séparer la lumière des ténèbres », qui vont caractériser, toutes les deux, les vies libres humaines qui vont recouvrir la terre pendant 6000 ans. Et ce message est rattaché au premier jour de la semaine qui sera au cours de l’ère chrétienne « la marque de la bête » dans la Révélation Apocalypse de Jésus-Christ. Le premier jour consacré au repos va finalement devenir la « marque » du camp des « ténèbres ». Dieu le prophétise dès ce premier jour de la création. En ce même jour, il déclare « bonne » sa « lumière » qui désigne sa volonté, ses révélations, ses lois, ses commandements soit, toutes les formes de sa vérité que ses élus auront soin d’honorer par leur obéissance.

Au deuxième jour, Dieu sépare les « eaux du bas » des « eaux du haut ». Là encore, le destin de terre du péché est confirmé. Les eaux du bas ciblent l’humanité terrestre clouée au sol, sur la terre. Les « eaux du haut » désignent les vies angéliques célestes auxquelles l’être humain n’a pas accès. Mais l’image prophétise encore la fin car « le haut » c’est le ciel dans lequel pendant « mille ans » les élus « eaux du haut » jugeront « les eaux du bas » qui désignent les rebelles restés pour toujours sur la terre, car ils n’entreront jamais dans le ciel. C’est encore ici, la séparation du camp « lumière du haut », du camp « ténèbres du bas ». Il apparaît déjà que cette lecture du récit biblique prend le cours de l’histoire à rebours. En effet, avant que la « nouvelle terre » porte les élus, une séparation définitive, des deux camps « lumière » et « ténèbres », aura été réalisée.

Au troisième jour la création nous enseigne qu’avant cette dernière séparation, il y aura eu sur la terre elle-même séparation pour des causes religieuses, ce que prophétise la séparation du « sec » nommé « terre » et des « eaux » appelées « mer ». Sortant de « l’eau de la mer », la « terre sèche » prophétise la sortie de la foi réformée protestante de la foi de l’église catholique papale romaine non réformée.

En reculant encore dans le temps, dans le quatrième jour, Dieu crée les astres du ciel, parmi lesquels et en premier vient « le soleil », que précisément la vie humaine animale maudite va honorer comme divinité païenne. Et nous avons-là, la cause de la malédiction de la religion catholique papale romaine. Car précisément, dans ce quatrième jour, Dieu confirme avoir créé les astres qui remplissent notre ciel, et à ce titre, ils ne peuvent pas être des divinités. Ceux qui le font ne font que manifester et afficher un total mépris envers Dieu et sa révélation biblique. Ils auront donc à subir sa juste colère.

En reculant encore dans le temps, le cinquième jour, Dieu ordonne la production de toutes formes de vie dans la mer et dans l’air. Dans « l’air », Dieu crée les oiseaux, image prophétique des anges célestes dont le chef du camp démoniaque est appelé « prince de la puissance de l’air » dans Eph.2:2. Apocalypse 18:2 confirmera cette interprétation : « Il cria d'une voix forte, disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux ». Par la « production » de vies animales répandues dans la « mer », l’Esprit révèle le jugement qu’il porte sur la foi catholique papale romaine. Parce qu’elle domine religieusement la monarchie qui la soutient et persécute pour elle, les saints fidèles qui appartiennent à Jésus-Christ. Dans ce comportement « abominable », l’homme perd sa valeur d’homme et devient pour Dieu un animal, ce que confirme 1 Cor.2:14 : « Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge ». Cet humain animal est plus ou moins féroce et carnassier, et confirme son nom : « la bête qui monte de la mer » dans Apo.13:1.

En remontant encore dans l’histoire, sujet du sixième jour, nous trouvons d’abord la création des animaux terrestres. Il s’agit encore de vies animales et ceci révèle encore le jugement que Dieu porte cette fois sur la religion protestante que le mot « terre » désigne symboliquement. Nous pouvons ainsi comprendre que les élus protestants n’ont pas été nombreux, car ceux que Dieu a sauvés parmi eux, l’ont été en dépit d’une grande imperfection de la vérité doctrinale. Et Apo.2:24 confirme cette faveur divine provisoire, en disant « je ne mets pas sur toi d’autre fardeau ; seulement, retiens ce que tu as, jusqu’à ce que je vienne ». Globalement, la foi protestante est restée dans sa malédiction depuis 1844, car elle n’a pas accepté l’exigence de Dieu qui consiste à restaurer la pratique de son repos sabbatique du septième jour. La foi protestante reste donc pour lui, sans valeur et ses adeptes perdent eux-aussi leur statut d’homme et reçoive un statut animal qu’Apo.13:13 confirme en l’appelant, la « bête qui monte de la terre ».

Ensuite, dans ce même sixième jour, Dieu crée « l’homme formé à son image » ; ce qui nous propulse au début de l’ère chrétienne, quand Jésus-Christ, le « nouvel Adam », en parfaite « image de Dieu », est entré dans son ministère terrestre et l’a achevé en offrant sa vie parfaite en sacrifice, pour expier les péchés de ses seuls élus, qu’il sélectionne et choisit, quand ils se montrent dignes de son salut. Collectivement, ses rachetés constitue son « Epouse » soit, sa Eve, qui est née, formée de lui et par lui en recevant son Saint-Esprit.

Et ce récit s’achève avec la fin de Genèse 1. Car, dans Genèse 2, se tient l’image du septième millénaire où les séparations ne sont plus à faire, parce qu’elles ont été faites au moment du retour de Jésus-Christ, au début de ces derniers « mille ans ». Ce thème est celui du sabbat qui prophétise, à la fin de chaque semaine, le grand repos de « mille ans » dans lequel Dieu et ses rachetés entreront en même temps ; ce repos résultant de la destruction des rebelles célestes et terrestres, tous morts étendus sur la terre, excepté le chef du camp du mal : Satan, le diable qui reste seul, isolé pour « mille ans » sur la terre désolée devenue sa prison, dans l’attente de son extermination au jugement dernier.

Pour Dieu et ses élus, le sens de ce repos sabbatique est la cessation du mal; l’arrêt de toute souffrance physique ou mentale. Et cette heureuse perspective justifiait bien la « sanctification » du « septième jour », par Dieu.

 

Cette leçon nouvelle basée sur la lecture à rebours du temps me conduit à réaliser plusieurs choses. Et déjà, le fait que cette démarche concerne la succession des chapitres 7, 8 et 9 du livre de Daniel puisque dans le 7ème, le thème ciblé est le régime papal de Rome ; dans le 8ème, le thème est le relai des deux phases successives de la Rome impériale et la Rome papale ; et dans le 9ème, nous trouvons le thème du ministère terrestre de Jésus-Christ, le fondateur de la religion chrétienne ciblée par Dieu sous tous ses aspects, dans toute sa construction prophétique de Daniel et Apocalypse. Et déjà on pouvait trouver dans Daniel 2:44 le message de la promesse divine qui concerne ses saints rachetés : «Dans le temps de ces rois, le Dieu des cieux suscitera un royaume qui ne sera jamais détruit, et qui ne passera point sous la domination d'un autre peuple ; il brisera et anéantira tous ces royaumes-là, et lui-même subsistera éternellement. » La fin du verset concerne déjà le nouvel « Eden » de « la nouvelle terre » présentée dans Apo.21 et 22. Ce sera seulement à ce moment de l’histoire humaine soit, au terme des 7000 années programmées, que le paradis de Dieu prendra forme et existence. Et, faut-il que les hommes soient sourds et entêtés pour affirmer et croire le contraire, car Jésus a déclaré à ses apôtres et ses saints serviteurs, ses esclaves volontaires, dans Jean 14:1 à 3 : « Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. » Jésus a bien précisé, « je reviendrai, et je vous prendrai avec moi », ce qui signifie que la globalité collective des élus n’entre pas au paradis avant que Jésus revienne la prendre avec lui. Le dogme, fondé sur l’interprétation, « aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis », s’écroule, car Jésus avait dit : « aujourd’hui je te le dis : Tu seras avec moi dans le paradis » …quand il sera créé soit au renouvellement de toute chose, après la fin du septième millénaire. De rares exceptions signalées par la Bible existent, et elles concernent successivement les cas d’Hénoc, de Moïse, d’Elie, et des saints que Dieu ressuscite à Jérusalem au moment même de la mort de Jésus. Et c’est tout. Tous les autres attendent dans le sommeil et l’anéantissement de la mort l’heure de la première résurrection réservée aux saints et celle de la seconde résurrection réservée aux humains rebelles déchus ; les deux résurrections étant séparées par « mille ans » selon Apo.20:4 à 7.

Cette étude apporte la preuve qu’en créant la terre actuelle, Dieu tournait sa pensée sur son projet de « nouvelle terre ». Mais la première forme devait porter le péché et l’eau de la mer qui la recouvre allait donner la mort aux pécheurs à l’heure du déluge. La « première terre » concerne le commencement, alors que la « nouvelle terre » n’apparaît, sous sa forme purifiée et glorifiée, qu’à la fin. Or, ces mots « commencement et fin » donnent un nouveau sens à cette expression que Jésus cite fortement dans sa Révélation Apocalypse où elle apparaît aussi sous la forme : « l’alpha et l’oméga » qui désignent donc respectivement, dans l’ordre cité, la terre originelle et son renouvellement final. Nous  lisons, dans Apo.20:14 : « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. » Le rôle de la mort, qui punit le péché, cesse, ce qui justifie la disparition de la « mer » tueuse sur la « nouvelle terre ».

Je reviens maintenant sur la création des astres par Dieu, au quatrième jour. A ce moment de la création, Dieu place devant l’homme son projet salvateur qui va s’accomplir sur 7000 années. L’homme va donc avoir besoin de repères pour se situer dans le temps qui passe. Avec les étoiles et les astres du ciel, il lui offre une horloge au fonctionnement précis et perpétuel indestructible qui va lui permettre de construire un calendrier, selon ce que l’Esprit déclare dans Gen.1:14 : « Dieu dit : Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue du ciel, pour séparer le jour d'avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ; »

Il reste que les scientifiques vont devoir rendre compte à Dieu pour leur incrédulité, parce que le fonctionnement de ces astres, leur déplacement, leurs orbites circulaires ou elliptiques, leurs sens et vitesses de rotations, sont très différents les uns des autres et semblent n’obéir à aucune loi logique ; ce qui les culpabilise. Car ce chaos apparent est organisé et contrôlé par la seule pensée du grand Dieu créateur, le Tout-Puissant ; car il a créé les lois physiques et chimiques constatées par les scientifiques humains, mais il nest pas lui-même soumis à ces lois ; ce qui explique les miracles accomplis par Jésus-Christ et ses apôtres.

Nous n’avons pas besoin de chercher dans le ciel, le témoignage de ce fonctionnement illogique, parce qu’il concerne déjà la terre sur laquelle nous vivons. Cet illogisme apparaît avec le péché, lorsque l’inclinaison de la terre de 23° 26’ sur son axe, a mis en route, pour sept mille ans le principe des quatre saisons successives. Avant le péché, l’équateur de notre globe terrestre recevait la lumière du soleil à 90° soit, la chaleur maximale. Et notre 45ème degré parallèle de l’hémisphère Nord, où je vis, était plus réchauffé qu’aujourd’hui. A partir du péché, la terre s’est mise à tourner autour du soleil pour marquer le cycle annuel en avançant sur une orbite circulaire. Mais en même temps, comme si une main de fer l’y contraignait, elle tourne sur son axe en 24 heures, en maintenant son axe dans un alignement parallèle constant, gardé pendant tout son cycle annuel solaire d’environ 365 jours. Ce maintien parallèle est l’explication des saisons et aucune loi gravitationnelle ne peut le justifier. Le témoignage donné par la nature est donc confondant et dramatique pour les esprits rebelles scientifiques et scientistes. Cette inclinaison parallèle constante crée de part et d’autre du soleil, en opposé absolu soit, le temps de six mois, les saisons du printemps et de l’automne qui marquent deux équinoxes (jour et nuit égaux) opposés et à mi-parcours de cet orbite, l’été et l’hiver qui marquent deux solstices (écart maximum entre jour et nuit) opposés et inversés. Il faut bien comprendre que l’axe de la terre ne pointe vers le soleil que par son pôle Sud, en été, pour l’hémisphère Sud ce qui place au même moment l’hémisphère nord en saison Hiver ; et six mois plus tard, de l’autre côté du soleil, l’ordre est inversé. Au début des saisons Printemps et Automne, cet axe de la terre ne pointe pas vers le soleil, il est parallèle au soleil. Et pendant tout le cycle solaire, les saisons des hémisphères Nord et Sud sont inversées. C’est vraiment un système complexe qui ne s’explique que parce que Dieu l’a voulu ainsi. Le cycle annuel solaire commence par la naissance de la végétation et finit par sa mort. Il prophétise ainsi à l’humanité le sens que Dieu donne à son existence précaire parce que momentanée. Chaque année, la nature devient prophète et rappelle aux humains que « la mort est le salaire du péché » selon Rom.6:23 : « Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur. »

Dieu a choisi, pour départ du temps, le début de l’équinoxe du Printemps. Il l’a enseigné à son peuple Hébreu lors de son exode du pays d’Egypte selon, Exo.12:1-2 : « YaHWéH dit à Moïse et à Aaron dans le pays d'Égypte : Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l'année. » Il a ainsi placé la fête de Pâque au 14ème jour du Printemps, ce qui en fait la fête de la délivrance du péché de l’Egypte. Et c’est seulement pour confirmer l’opposé absolu de la justice et du péché que Dieu va instaurer la fête de « l’expiation du péché », ou en hébreu « Yom Kippour », sur le septième mois de l’année soit, l’écart maximum qui peut la séparer de la fête de Pâque qui célèbre l’offre de la justice divine offerte au pécheur, pour le pardon de ses péchés. Aussi, cette fête du Yom Kippour devait-elle se prolonger uniquement, jusqu’à la première venue du Messie dont la mort volontaire l’a accomplie dans sa perfection, la rendant ainsi, après Jésus, caduque et inutile. En fait, nous avons déjà, dans la Pâque, la représentation du péché, parce que c’est lui, le péché, qui rend nécessaire le sacrifice mortel expiatoire de « l’agneau de Dieu » et l’offre de sa justice parfaite éternelle aux pécheurs repentants sincères qu’il accepte de racheter à condition qu’ils obéissent à Dieu.

Ainsi, commencée au Printemps, le décompte des sept mille années d’histoire du péché terrestre s’achèvera, laissant place à un Printemps rénovateur où des « eaux vivantes », authentiques « eaux de la vie » rachetées par la mort expiatoire de Jésus-Christ, viendront remplacer « la mer » sur la « nouvelle terre » ainsi nommée, parce que Dieu donnera un aspect glorieux, pur, et parfaitement saint, à l’ancienne terre, sur laquelle « le feu de la seconde mort » aura préalablement détruit et anéanti pour toujours les méchants rebelles, anges et humains.

La preuve est ainsi donnée que le récit de Genèse 1 délivre un message plutôt littéral dans sa lecture croissante du temps, et au contraire, sa lecture à rebours révèle un message caché hautement spirituel qui vient confirmer, en dernier, l’enseignement révélé dans sa Révélation nommée Apocalypse.

La préparation par Dieu de ses messages basés sur la lecture à rebours du temps nous révèle son intention de permettre à ses seuls serviteurs du « temps de la fin » de découvrir et comprendre les leçons enseignées par ce moyen. Et cette explication est justifiée par le fait que, dans le prologue de son Apocalypse, l’Esprit ravit et transporte l’esprit de Jean « au temps de la fin », précisément, au temps du retour glorieux de notre Seigneur Dieu et Maître Tout-Puissant, Jésus-Christ et comme l’indique ce verset, son retour, où il revient prendre avec lui ceux que son sang versé a rachetés, sera visible sur toute la terre et sans contestation possible : Apo.1:7 : « Voici, il vient avec les nuées. Et tout œil le verra, même ceux qui l'ont percé ; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen ! » Comprends : « ceux qui l’ont percé » soit, ses ennemis de tous temps qui l’ont combattu en persécutant ses rachetés dans toute l’histoire terrestre.

 

 

L’alliance des marchands de la terre

 

Cette alliance s’est formée de manière progressive depuis 1945, date de la fin de la Seconde Guerre Mondiale. A Yalta, en Crimée, les vainqueurs se sont partagé l’Europe et en butin et dédommagement de guerre, la Russie a annexé les Pays Baltes et occupé la Pologne ainsi que la partie Est de l’Allemagne ; les USA ont pris alors en charge, le reste occidental de l’Allemagne, et ont un peu colonisé les autres nations de l’Europe occidentale. Et tout de suite mettant en route, le plan « Marshall », les USA ont misé beaucoup d’argent pour redresser la situation de l’Europe dévastée et ruinée par quatre années de guerre. Ils ont donné à cette reconstruction la norme qu’ils affectionnent, norme qui favorise le commerce et l’enrichissement de leur propre pays et secondairement, les nations ainsi éduquées. Les conceptions politiques et économiques opposées dans l’absolu ont créé un mur de fer entre le camp occidental capitaliste et le camp oriental septentrional soviétique russe communiste et ouvertement athée.

L’Allemagne hitlérienne nazie ayant été cause de ce conflit européen, le nazisme est devenu universellement « la bête noire », l’objet de l’exécration de tous les peuples…ou presque, au moins en apparence. Car certaines personnes ayant soutenu ce nazisme, ont regretté sa chute et en on gardé un souvenir nostalgique ; notamment, dans les nations qui faisaient partie de l’alliance de « l’axe », dont l’Allemagne, la Pologne, la Croatie, la Slovénie, l’Italie et l’Espagne du général Franco restée néanmoins dans la neutralité ; la Suisse également neutre, a beaucoup profité de la situation guerrière dans ses relations avec les deux camps adversaires. Le nazisme a donc été diversement interprété par les peuples. Dans le camp occidental, et particulièrement en France, il a déclenché la haine du nationalisme, mais surtout, il est devenu l’image de la tentative d’anéantissement des Juifs européens. Mais il faut retenir ceci, c’est que dès la fin de la guerre, les USA ont organisé la fuite des « grands cerveaux » nazis et les ont accueillis sur le sol américain. Parmi ces grands cerveaux, se trouve le célèbre Von Braun auquel les USA doivent le développement et les succès spatiaux de leur « NASA ». Il faut dire que l’homme avait de l’expérience puisqu’il était l’inventeur des fusées destructrices qu’étaient les V1 et les V2 utilisées par l’Allemagne contre l’Angleterre et particulièrement, sa capitale, Londres.

Qu’était donc réellement ce nazisme allemand ? Un rêve fanatique de pureté parfaite. Un « rêve », parce qu’irréalisable ; « fanatique », parce que la pureté légitime est poussée à l’extrême ; « de pureté parfaite », parce que la pureté parfaite n’est pas accessible pour l’humanité, et le seul qui l’a incarnée, Jésus-Christ, est venu du ciel, naître dans le corps d’une jeune fille vierge nommée Marie. Ensuite, c’est aussi un réveil nationaliste exceptionnel car Hitler avait le désir de venger l’humiliation de la signature de l’armistice de la fin de la Première Guerre Mondiale. Dans son témoignage littéraire nommé « Mein Kampf » soit « Mon Combat », déjà inspiré par l’antisémitisme russe du livre « Protocoles des Sages de Sion » écrit par des policiers extrémistes orthodoxes, Hitler n’avait rien caché de ses intentions ainsi révélées à son peuple allemand, mais aussi aux autres nations de la terre. Le drame à venir était donc de la sorte annoncé. Mais comment en est-on arrivé à la guerre mondiale ? Dans un premier temps, l’Allemagne menaça la Tchécoslovaquie au sujet des « Sudètes » que l’Allemagne revendiquait comme lui appartenant. Voilà une démarche qui se reproduit le 24 Février 2022 pour la Russie à propos de l’Ukraine. Mais que se passa-t-il alors ? Quand Hitler attaqua la Pologne, l’Angleterre et la France déclarèrent officiellement la guerre à l’Allemagne et le conflit s’étendit jusqu’à concerner toute l’Europe occidentale et orientale. Aujourd’hui, en 2022, se cachant derrière une illégitime et mensongère attitude non-cobelligérante qui ne trompe que lui-même, le camp occidental combat par ses armes modernes la Russie revendicative ; ce qui laisse prévoir un développement dans l’Europe entière, mais aussi en fonction du contexte final de notre temps, un développement universel.

Regardons maintenant l’histoire accomplie après 1945, dans le camp soviétique russe. Trahie par l’Allemagne nazie avec laquelle elle avait fait un pacte, la Russie a souffert au-dessus de toutes les nations de la férocité destructrice des armées allemandes. Aussi, en 1945, sa vengeance était décuplée et sa haine du nazisme, portée au paroxysme. Mais son alliance momentanée avec Hitler a son explication : ils s’accordaient sur le projet de se partager la Pologne et les Pays Baltes ; de plus, alors que la Pologne les accueillait, en Russie, les Juifs n’étaient pas aimés et déjà beaucoup persécutés, cet aspect du nazisme ne constituait donc pas un obstacle. Et cette haine russe des Juifs donne à la Russie elle-même, un aspect nazi hérité et conservé, même en notre époque.

La situation actuelle est si confuse, que chacun s’envoie à la figure l’étiquette de « nazi » qui remplace pour les peuples incroyants actuels le mot « diable ». Il devient difficile de juger les acteurs tant les revendications des deux camps qui s’affrontent sont légitimes. Dieu possède le moyen de créer ce genre de situation insoluble et il en a donné une première preuve avec le problème du peuple Palestinien victime du retour des Juifs sur l’ancien territoire de leur peuple : Israël ayant été restauré sur son ancien sol national, depuis 1947. Et il en donne aujourd’hui en 2022 une seconde preuve avec le problème insoluble de l’Ukraine et la Russie qui se disputent la légitimité de la possession du Donbass.

En face de toutes ces revendications légitimes, Dieu se tient, puissant, droit et ferme dans sa divine légitimité. Et nos sociétés actuelles qui l’ignorent ou le méprisent ne pourraient qu’être scandalisées, épouvantées, horrifiées, de savoir qu’il a, lui-même, organisé le génocide du déluge et plus tard celui des Amoréens, les habitants de la terre de Canaan. Et ils le seraient encore davantage en apprenant que Dieu a organisé la « Shoah » des Juifs entre 1942 et 1945.

C’est pourquoi, nous devons sagement analyser les causes de ces divers types de génocides. Et en premier, en toute légitimité, comprends déjà pourquoi Dieu organise des tueries massives d’êtres humains qu’il a créés. En créant des vies angéliques célestes et terrestres libres, Dieu offre à ces créatures la possibilité de le choisir pour Maître et Seigneur. Celles qui ne font pas ce choix perdent alors toute importance pour lui, car elles ne sont plus que des créatures qui bénéficient d’un sursis de vie avant de mourir, anéanties définitivement. La relation qui s’établit entre Dieu et ceux qui deviennent volontairement ses esclaves prend le nom « religion » qui signifie « relier » du latin « religare ». La relation établie avec Dieu implique des devoirs et des récompenses, et ces devoirs se présentent sous l’aspect de lois, préceptes et ordonnances ; les dix commandements de Dieu résument les devoirs essentiels de ses serviteurs. Les récompenses sont, déjà sur la terre, la paix avec Dieu pour l’esprit, la santé pour le corps et la protection divine pour toute l’âme nourrie de sa lumière. Ensuite viendra, au retour du Christ, l’entrée dans la dimension céleste pour l’éternité.

Dans l’ancienne alliance, Israël est un rassemblement charnel construit sur l’hérédité religieuse et nationale. Et Dieu organise sa protection religieuse par des interdits dont le mariage avec un conjoint étranger. Ce n’est pas pour une raison raciste au sens d’aujourd’hui qu’il impose cette interdiction, la justification est pour le risque religieux représenté par la religion idolâtre du conjoint étranger. La motivation de cet interdit par Dieu est justifiée par son désir de sauver la vie de ses créatures ; qu’il devra laisser marcher vers la mort si elles transgressent ses interdits. Le premier Israël, bien que charnel fut formé parfois d’étrangers qui ont voulu entrer dans le peuple de Dieu afin d’honorer le vrai Dieu. Et depuis sa dispersion dans toutes les nations de la terre, cet Israël charnel regroupe des gens de toutes les races. Il est ainsi, trompeusement, comparable avec le véritable Israël de Dieu qui est une nation spirituelle formée par des membres chrétiens également dispersés sur toute la terre : la différence entre ces deux Israël repose sur la présence ou l’absence de la foi en Jésus-Christ, et particulièrement en notre temps de la fin, de son « témoignage » qui est « l’esprit de la prophétie » selon Apo.19:10.

Ainsi, à plusieurs reprises, le Dieu créateur de toute forme de vie, de matières et de lois se résigne à détruire en masse des créatures devenues irrécupérables.

Il n’en est pas ainsi dans les actions humaines dans lesquelles la motivation est de manière basique, la haine, la détestation des normes différentes. Hitler exaltait la pureté de la race aryenne dont il se faisait une description précise, cheveux blonds, yeux bleus, etc… Relève au passage qu’il n’était lui-même pas blond. Dans son rêve, il voulait transformer l’Allemagne entière afin que sa population prenne comme des clones cet aspect idéalisé. Son alimentation végétarienne ne l’a pas empêché d’agir de manière monstrueuse. Mais là encore, quand la situation l’exige, Dieu suscite ce genre de monstre utile pour accomplir son dessein destructeur ; c’est ce que confirme Rom.9:17 : « Car l'Écriture dit à Pharaon : Je t'ai suscité à dessein pour montrer en toi ma puissance, et afin que mon nom soit publié par toute la terre. »

Peut-on porter un jugement sur des actions voulues par Dieu ? Evidemment, non. Ses enfants fidèles doivent et peuvent accepter l’idée que Dieu aussi à le devoir d’anéantir des vies rebelles irrécupérables. Et lui qui sonde les esprits et les pensées humaines sait quand la situation est aussi désespérée. Car nous avons derrière nous 77 années de paix destructrices de la foi en Dieu. Et dans la multitude actuelle, d’innombrables vies humaines sont déjà irrécupérables. C’est pourquoi, en face des motivations divines, nous trouvons les innombrables motivations humaines qui conduisent, de la détestation à l’extermination, la destruction de ceux qui ne sont plus supportés.

Nous l’avons vu, dans le camp de Dieu, l’ordre repose sur le respect des règles établies par lui. Dans l’organisation mondiale, ce principe est aussi nécessaire, mais là se présente le problème : tous n’acceptent pas les règles établies en réalité par les USA sous l’alibi de l’ONU. C’est ainsi que dans les deux camps, occidental et oriental septentrional, les règles reconnues et justifiées ne sont pas les mêmes et chacun revendique sa légitimité. C’est tout le drame de l’histoire humaine ; elle subit des changements perpétuellement. Il est vrai qu’affaiblie et ruinée, la Russie de 1991 avait accepté les règles USA de l’ONU mais depuis cette date, relevée par Vladimir Poutine, elle est redevenue puissante et nationaliste. Elle garde dans son cœur le souvenir d’une humiliation nationale marquée par l’instauration d’une grande insécurité quand un gangstérisme d’Etat lui a imposé une norme capitaliste. Et le peuple n’a retenu du modèle occidental que l’insécurité que ce modèle lui a apportée en situation de ruine. Sous le régime soviétique, cette insécurité n’existait pas et passant d’un modèle à l’autre, le peuple russe peut juger la différence. La majeure partie du peuple russe donne à la sécurité de sa société priorité sur la prospérité. Et dans le camp occidental, le choix est inversé, parce que les peuples n’ont pas vécu en même temps la ruine et l’insécurité. En France, où je vis, l’insécurité est entrée dans un temps de grande prospérité et la cause de cette insécurité est depuis 1962, l’installation de l’islam en France métropolitaine avec une accélération en 1976, à cause de l’adoption de la loi du regroupement familial. De ce fait, l’insécurité ne fait que croître dans ce pays de plus en plus appauvri. Au cours des années qui passent, les gouvernements conscients du problème feignent de l’ignorer pendant qu’ils ont le pouvoir exécutif : comme les chats, « ils font le gros dos » et se détournent du sujet, faisant taire les accusateurs inquiets en les traitant de « racistes » ; soit le pire des maux, depuis la Deuxième Guerre Mondiale. Cependant le temps passe, la situation empire, et nous subirons collectivement bientôt, bien plus dramatiquement, la conséquence de cette « discorde et négligence gauloise qui a ouvert passage à Mahomet » selon les termes du quatrain prophétisé par Michel Nostradamus.

Dans les camps qui s’affrontent, chacun revendique ses droits sur la base des règles qu’il justifie. En occident, la règle est le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Mais si tel est le cas, chers amis occidentaux américains et européens, qu’êtes-vous allés faire en Corée et au Vietnam, en Irak, en Yougoslavie, en Afghanistan, et dernièrement en Libye ? Ce droit est très dangereux, car il autorise des minorités concentrées et regroupées à faire sécession et réclamer le droit à l’indépendance. Le modèle a été légitimé par les Occidentaux en offrant aux Albanais le Kosovo serbe, alors qu’on s’oppose aujourd’hui à ce que le Donbass russe fasse sécession de l’Ukraine. Qui décide de la légitimité de la demande ? Réponse unique dans tous les cas : le plus fort, le plus puissant, le plus armé. Les règles et les traités n’ont de valeur que pour ceux qui les acceptent en attendant que s’impose un changement de situation. C’est ce que tout homme devrait comprendre en écartant toute fausse illusion à cause du témoignage historique du temps passé. Et c’est justement là qu’est le problème. L’humanité actuelle réagit comme si elle n’avait pas de passé. Cette sous-estimation du témoignage historique explique le comportement sociétal occidental actuel, tant sur le plan civil que sur le plan religieux. Sa seule valeur est l’humanisme et au nom de ce nouveau dieu, elle pense pouvoir commettre le pire sans avoir à en porter les conséquences. Je m’explique : elle réunit des religions concurrentes dont certaines sont animées de haine envers les autres et elle pense malgré tout, pouvoir éviter les affrontements. Mais les gens pacifiques sont incapables de rendre les gens agressifs, pacifiques comme eux. Le long temps de paix, dont nous avons bénéficié en Occident, n’a contribué qu’à aggraver le problème. En France, la nationalité a été accordée à des ennemis religieux haineux et revanchards dont le nombre n’a fait que croître avec les années.

L’humanisme né et développé en France a été repris aux USA mais là, il a reçu une autre valeur : l’échange commercial et le goût et la recherche du profit. C’est cette norme que les USA ont importé en Europe depuis 1945. Et ces deux valeurs ne sont pas vraiment compatibles, mais c’est néanmoins le premier modèle basé sur le désormais célèbre « en même temps » qui caractérise notre jeune président Emmanuel Macron, et qui s’est imposé pour notre époque à des gens biberonnés par la culture américaine. Notre président français en est l’image type, le modèle du Français américanisé, et à son image, toute une jeunesse dirigeante occupant les postes directeurs de nos sociétés. « La pensée unique » dénoncée par le président Jacques Chirac était déjà ce modèle de l’Europe américanisée. En conséquence, les frontières nationales ont été sacrifiées parce qu’en dépit de la survie des nations séparées par leurs langues, les populations occidentales ne forment plus qu’une seule « pensée unique », le seul modèle légitimé est celui du « marchand de la terre », en même temps, humaniste. Et pour répondre à la soif d’enrichissement de ces « marchands », le peuple doit devenir impérativement un consommateur. Et les inventions technologiques sont là pour exciter sa convoitise. C’est pourquoi, pensant que tous les peuples de la terre sont aussi convoiteurs et consommateurs qu’eux, les occidentaux utilisent le boycott américain pour punir les peuples qui résistent et s’opposent à leurs valeurs et directives. Les USA avaient utilisé ce boycott contre l’Irak dans leur guerre, aujourd’hui en 2022, nous avons vu, le bloc européen et les USA adopter contre la Russie ce type de sanctions commerciales et ce témoignage historique actuel donne tout son sens à cette expression « marchands de la terre » citée dans Apo.18:3 ; ce qui prouve que l’accomplissement des choses prophétisées est proche, imminent. Et ceci confirme la venue du Christ en gloire pour le Printemps 2030. Les « signes des temps » actuels annoncent l’accomplissement des derniers grands événements programmés pour organiser la fin du monde. Le conflit qui se construit sous nos yeux n’oppose pas des nations entre elles, il oppose et dresse les uns contre les autres des blocs politiques et religieux regroupant de nombreux peuples. Le choc des « Titans » modernes se préparent car l’intérêt du profit est l’enjeu. Ces blocs de l’Occident, de l’Orient septentrional, du Moyen-Orient et de l’Extrême-Orient sont en concurrence politique, économique et religieuse ; les trois raisons de se combattre afin d’éliminer la concurrence. Mais ce n’est pas seulement la concurrence qui va être éliminée, c’est une grande partie de l’humanité entière. Paradoxalement, c’est au moment où la terre est arrivée à porter huit milliards d’êtres humains que l’extermination de sa population est engagée. Elle va s’accomplir au cours des 7 dernières années qui vont commencer au Printemps 2023. Dans sa prophétie, Dieu nous a annoncé les événements qui vont dès lors se succéder ; à savoir selon Apo.11:18 : « les nations irritées », « la colère de Dieu » versée sous la forme des « sept derniers fléaux » d’Apo.16, puis au retour du Christ, pour ses élus viendra, selon Apo.11:18, « le temps de  juger les morts » au ciel dans les demeures préparées par Jésus.

Le privilège de la vraie foi bénie et reconnue par le Seigneur de gloire est d’attendre l’accomplissement de toutes ces choses que son amour a fait connaître à ses seuls vrais élus. Nous aurons bientôt la sensation de vivre un authentique cauchemar auquel nous allons être soumis sans pouvoir l’éviter. Mais au bout de cette attente, notre récompense vient dans la puissance du retour de notre Dieu bien-aimé car ses promesses sont tenues et sa fidélité est sûre et parfaite.

Coupée de Dieu, l’humanité est capable de tout et surtout de se détruire. Ceci arrive au moment où les hommes deviennent incapables d’entendre les raisonnements de ceux qui les accusent  et leur adressent de justes reproches. Mais pourquoi s’écouteraient-ils s’ils ont déjà témoigné de ne pas savoir écouter Dieu et ses appels miséricordieux ? Pendant des décennies, l’intérêt commercial a été un ciment artificiel qui a trompeusement donné l’impression d’une entente universelle et à l’heure actuelle, ce lien subsiste encore pour peu de temps. Les valeurs familiales ayant été détruites ou affaiblies, il ne reste entre les humains que ce lien commercial. Aux USA, l’homme est estimé selon sa valeur en Dollars ; ce qui donne à leur humanisme une singulière norme. La vieille Europe résiste encore un peu, mais le modèle USA s’impose de plus en plus. Les délocalisations des emplois vers la Chine ont réduit les offres d’emplois en Europe et particulièrement en France à cause des choix faits par les dirigeants. Cependant, les mêmes dirigeants incitent les jeunes étudiants à se faire une place au soleil en luttant pour obtenir la réussite et l’enrichissement. L’emploi est ainsi traité comme les billets de la Loterie où beaucoup paient mais où un seul ramasse le prix. Le commerce a toujours existé sur la terre comme moyen d’échanger des produits et des matières. Mais il a toujours été libre et non organisé de manière imposée. Les prix des échanges étaient obtenus par des marchandages et finalement conclus par l’accord du vendeur et de l’acheteur. Le malheur est venu avec la création de l’OMC organisée bien sûr par les USA, les vainqueurs de la Deuxième Guerre Mondiale auxquels l’Europe ruinée ne pouvait pas s’opposer. Les USA ont premièrement fait adopter leur monnaie, le Dollar pour étalon en remplacement de l’or. Avec l’autorité de l’OMC, ils ont pris le contrôle commercial de toute la planète terre. Contraints de respecter leurs règles et leurs tribunaux commerciaux, tous les pays de la terre ont été vassalisés et devenus dépendants de leur autorité. Alors, sous le témoignage de ces faits, oui, les commerçants des USA et leur progéniture européenne forment bien ensemble « les marchands de la terre » cités dans Apo.18:3.  Et la prophétie nous dit qu’ils se désolent en assistant à la destruction de la ville de Rome, « se tenant éloignés dans la crainte de son tourment », précise le texte ; cette crainte est bien justifiée. Parce que si Rome est détruite à cause de son enseignement religieux mensonger, quel va être leur sort, eux qui ont abandonné la religion protestante héritée pour honorer le dieu du « commerce » ? Jésus-Christ leur dit comme aux Juifs de son époque, dans Mat.6:24 et Luc 16:13 : « Vous ne pouvez servir Dieu et Mamon ». Et c’est encore à cet intérêt commercial que les USA doivent le développement de la religion catholique romaine sur leur territoire. Leurs esprits étant tournés vers le commerce et son profit, le danger de la conquête des USA par la religion catholique a été ignoré. Et cette nouvelle situation est devenue une normalité soutenue par l’esprit humaniste toujours favorable à l’accueil des immigrés hispaniques catholiques venus du Mexique frontalier. Ainsi, sur toute la terre soumise à l’influence de son modèle, les leçons divines inscrites dans l’histoire et dans ses prophéties ont été ignorées. Protestantisme et catholicisme ne font plus qu’un et seront donc prêts pour mener ensemble sous l’égide de « la bête qui monte de la terre » d’Apo.13:11, leur dernière guerre religieuse contre le saint sabbat de Dieu et ses observateurs fidèles : « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. Elle exerçait toute l'autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait. Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six ».

Les « marchands de la terre » ne pouvaient finir leur existence terrestre qu’en tant que dirigeants et organisateurs de la dernière persécution de l’histoire terrestre sous le nom symbolique de la « bête qui monte de la terre ». Et l’expression « de la terre » est la signature qui la désigne dans ces deux expressions, comme héritiers de la religion protestante soit, ce que furent les USA dès leur construction historique. Dans le verset cité, il est fait référence à « la première bête » dont le nom est selon Apo.13:1, « la bête qui monte de la mer » et qui désigne le régime coalisé de la papauté catholique et des dix royaumes de l’Europe occidentale. Les mots clés, « mer et terre », qui les différencient prennent sens dans le récit de la Création : on y voit « la terre sortir de la mer », de même la foi protestante ou foi réformée est sortie de la religion catholique papale romaine en prenant au XVIème siècle le nom d’église réformée.

 

 

Le retour de Jésus-Christ

 

Déjà, annoncer le retour de Jésus-Christ implique le fait qu’il soit déjà venu sur la terre des êtres humains. Ceux qui n’ont pas reconnu cette première venue, comme les Juifs héritiers actuels ou tout autre religion, n’ont pas pu bénéficier de l’offre de grâce, obtenue par son sacrifice expiatoire volontaire. Mais, même pour ces personnes, la situation n’est pas refermée, car la foi peut apparaître jusqu’à l’heure de la fin collective et individuelle du temps  programmé par Dieu pour l’offre de cette grâce. Au dernier moment, lorsque la foi sera débattue publiquement, les derniers élus du Christ réaliseront la parfaite harmonie du grand plan salvateur conçu par le Dieu de vérité sur trois phases accomplies au cours de l’histoire humaine.

La première phase concerne le temps de la sortie d’Egypte où Dieu est venu en personne conduire son peuple vers la liberté en l’arrachant à l’esclavage égyptien, image de l’esclavage du péché que la proclamation de ses commandements a clairement défini. « Car le péché est la transgression de la loi », selon 1 Jean 3:4. Dans cette expérience, Dieu a prophétisé le but final de son projet salvateur. Il va organiser le salut de ses élus qu’il conduira, non pas en Canaan terrestre, mais en Canaan spirituelle céleste soit, dans son royaume céleste. L’expérience terrestre de cette première phase concerne les Hébreux descendants d’Abraham, et cet échantillon de l’humanité est composé d’hommes et de femmes qui n’ont pas hérité des qualités du caractère de leur patriarche béni par Dieu. En conséquence, la foi imputée à justice manque dans ce troupeau et nous apprenons que seuls Caleb et Josué seront trouvés dignes d’entrer dans la terre de Canaan que Dieu donne à son peuple expérimental pour terre nationale. Je précise que ce nombre de deux Hébreux bénis ne concerne pas la multitude des Hébreux mais les deux chez lesquels Dieu a trouvé la foi et la confiance en lui, sur les 12 Hébreux envoyés en espions sur la terre de Canaan. Dieu choisit de mettre en évidence Caleb et Josué parce que leur foi est révélée par leur comportement dans une épreuve de foi officielle à laquelle 12  Hébreux représentant les 12 tribus d’Israël ont été soumis. On peut déjà remarquer qu’après le schisme produit après Salomon, nous allons retrouver ces chiffres 2 et 10 soit, les tribus de Juda et les Lévites dans un camp et les 10 autres tribus qui constituent les premiers rebelles hébreux dans l’autre camp. Déjà, ce schisme séparateur de l’Israël de Dieu n’était pas de bon augure pour les deux camps formés. Et nous savons que les 10 tribus tombèrent dans l’apostasie en premier, suivies, de peu de temps, par les deux autres tribus qui finirent également dans l’apostasie ; ceci au point que la nation fut livrée aux roi Chaldéen Nébucadnetsar lequel après avoir détruit Jérusalem et son saint temple en – 586, a emmené en captivité à Babylone, le reste des Hébreux survivants. Il te faut comprendre que cette expérience de l’ancienne alliance n’avait pour Dieu qu’un but pédagogique car la sainteté organisée sous forme de rites religieux était uniquement fictive et théorique. Tous ces rites n’avaient pour but que de prophétiser par des symboles le moyen par lequel Dieu allait racheter les âmes de ses élus. En conséquence de quoi, la véritable sainteté va concerner la nouvelle alliance que Dieu va bâtir sur l’œuvre accomplie en Jésus-Christ.

 

La deuxième phase du projet salvateur concerne donc l’instauration de la nouvelle alliance qui ne commencera qu’après la mort et la résurrection de Jésus-Christ. Car pendant les trois ans et demi de son ministère terrestre, les règles qui s’imposent sont encore celles de l’ancienne alliance. Imagine donc la difficulté à laquelle il est confronté : Durant trois ans et demi, il doit afficher une obéissance parfaite envers les lois et les rites religieux de l’ancienne alliance, tout en préparant dans son enseignement ses apôtres et ses disciples à abandonner ces pratiques rituelles quand ils entreront dans le temps de la nouvelle alliance soit, après sa mort. Attention ! Tout ne va pas devoir être abandonné ! Mais uniquement ce que la mort et la résurrection de Jésus-Christ ont parfaitement accompli ; ce qui concerne seulement des rites religieux festifs. Et comme le précise Daniel 9:27, cessent, prioritairement, les rites religieux « des sacrifices et des offrandes » animaliers. Le sacrifice que prophétisaient ces malheureux animaux est maintenant parfaitement accompli par la mort d’un authentique parfait saint homme et il donne par sa perfection naissance à la véritable sainteté. Cette fois la sainteté n’est plus animale, elle est humaine et divine comme l’était la nature réelle de notre Seigneur Jésus-Christ. L’ancienne alliance, phase prophétique, disparaît comme l’ombre devant la réalité accomplie par Jésus-Christ. Il nous faut absolument réaliser la difficulté éprouvée par l’Hébreux de son époque qui l’entend dire, « vous avez entendu dire quemais moi je vous dis que ». Les paroles qu’ils entendent sortent de la bouche d’un homme, simple et sans artifice. De tels propos prenaient un aspect provocateur contre l’ordre religieux établi depuis environ 1500 ou 1600 années. Aussi, tant qu’il était vivant ses messages ne pouvaient pas porter et convaincre quiconque parmi ses auditeurs, y compris les 12 apôtres qu’il avait choisis pour témoins de son œuvre.  Il le savait, l’ayant fait prophétiser par Daniel dans Dan.9;25 : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire, et sa fin arrivera comme par une inondation; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » En raison de la malédiction qui pesait déjà sur la religion protestante, dans sa traduction de ce verset Louis Segond a traduit l’hébreu par l’expression « et il n’aura pas de successeur ». Cependant dans une annotation en marge, il a écrit : Littéralement : « personne ou rien pour lui ». Et bien sûr, c’est cette traduction littérale que nous devons retenir, car elle confirme le fait que Dieu savait que, de son vivant, Jésus ne convaincrait personne ; réellement personne. En fait, ce n’est que par sa résurrection et son apparition au milieu de ses apôtres et disciples que la foi réelle a pris forme et développement. Ils ont tous dû voir pour croire, et le cas de Thomas n’était pas unique mais généralisé. Cette leçon me permet de réaliser que la vraie foi ne prend forme qu’après avoir vu. La chose à voir peut être différente et prendre, aujourd’hui, la forme de voir comment une longue construction prophétique révèle l’existence de l’intelligence divine qui l’a conçue. Cette découverte équivaut à l’apparition du Christ à ses apôtres après sa mort car elle produit sur l’esprit humain la même certitude indiscutable. Il est très important de  le comprendre, Dieu n’a jamais exigé de l’homme qu’il croie à quoi que ce soit sans preuve. Cette conception de la foi est totalement fausse car la vraie foi ne peut se construire que sur un élément concret convainquant. Et en réalisant ces choses, je comprends que les incrédules poussent leurs enfants à croire aux fables et au père Noël parce qu’ils croient eux-mêmes en Dieu de la même manière idolâtre injustifiée. En sorte que le résultat de cette foi construit une image de Dieu faite selon la conception souhaitée par l’homme et non celle de Dieu tel qu’il est réellement. Et c’est là, l’explication des apparitions des multitudes de dénominations religieuses chrétiennes puisqu’il y a autant de conceptions différentes de Dieu qu’il y a d’incrédules. Mais Dieu merci ! Pour ses élus, sa sainte Bible donne de lui, le portrait robot le plus exact, le plus précis, le plus vrai et elle les protège contre les conceptions divines mensongères. La vraie foi ne s’autorise pas à imaginer ou créer des dogmes nouveaux non conformes aux écrits de la Bible. Elle se contente de suivre pas à pas le chemin spirituel construit par les prophéties que Dieu a inspirées à ses élus au fil du temps de l’histoire. Ce chemin est le chemin de vérité tracé par Jésus-Christ ; il est logique et toujours parfaitement cohérent.

A la fin de son ministère, après sa résurrection, Jésus a quitté ses apôtres et ses disciples, pour monter au ciel et disparaître à leurs yeux. Nous lisons dans Actes 1:10-11 : « Et comme ils avaient les regards fixés vers le ciel pendant qu'il s'en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent, et dirent : Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l'avez vu allant au ciel. » Cette affirmation céleste entendue et transmise par des êtres humains est à la base de notre foi adventiste puisque ce mot signifie avènement. Et c’est pour vivre cette expérience exceptionnelle que Dieu nous nourrit de sa vérité prophétique. Il travaille ainsi constamment à notre préparation aussi est-il nécessaire et salutaire pour chacun de nous de garder ces choses constamment à notre esprit. Le monde et ses perversions suivent leur route qui les mène à leur perdition, mais protégé par un rideau de fer invisible, nous ses élus qui aimons et honorons sa volonté, notre route, son chemin, nous conduit au salut éternel.

 

En troisième phase, Dieu prépare sa rencontre avec ses élus.

Dès  1843 et 1844, il a organisé les épreuves de foi adventistes pour donner à ses élus une première forme institutionnelle strictement américaine en 1863. Dix ans plus tard, en 1873, il a donné à son œuvre une mission universelle afin de faire connaître à tous les chrétiens appelés à s’y conformer son exigence dogmatique religieuse ; les deux thèmes principaux étant l’attente du retour du Christ et la restauration de son saint sabbat. En 1994, testée à son tour par une épreuve de foi basée sur l’annonce du retour de Jésus pour 1994, l’Adventisme officiel trouvé « tiède » et « nu » est « vomi » par Jésus-Christ. L’œuvre adventiste se prolonge sous une forme dissidente par les élus qu’il sélectionne dans l’adventisme puis dans la multitude humaine où se trouvent encore de manière anonyme ses derniers élus.

Sur la terre, la situation s’aggrave et après les deux Guerre Mondiales précédentes, à partir du 24 Février 2022, dans l’Europe de l’Est, un conflit éclate dans l’Ukraine agressée par la Russie. Progressivement le conflit prend une extension européenne entière et même mondiale et après usage des armes nucléaires, l’Europe détruite, la Russie anéantie, les survivants se réorganisent sous la tutelle du vainqueur américain. Je ne retiens dans ce résumé que les enseignements prophétisés qui ciblent exclusivement les nations chrétiennes. Il va de soi que les nations païennes ne sont pas épargnées dans ce programme destructeur conduit par Dieu et les démons libérés pour cette tache.

Depuis le printemps 2018, le Dieu de vérité a fait connaître à ses élus la date exacte de son retour soit, le Printemps 2030. Et pour bénéficier de cet enseignement, la foi des élus repose sur deux vérités principales qui sont : la foi en la reconnaissance des 6000 années couvertes par les révélations divines bibliques, et la reconnaissance du temps de la mort expiatoire de Jésus-Christ soit, le mercredi 3 Avril 30 de notre calendrier chrétien usuel. Ce message ne repose pas sur les logiques des épreuves adventistes précédentes, toutes construites sur la date estimée de la naissance de Jésus-Christ et ayant été personnellement porteur du dernier message concernant la date 1994, je peux confirmer ce choix de la naissance de Jésus-Christ. Et ce raisonnement a été soutenu par Jésus jusqu’en 2018. A ce sujet, un quatrain prophétique de Michel Nostradamus donne la preuve que Dieu voulait encourager les hommes à prendre la naissance de Jésus pour base des calculs prophétiques. Voici le texte du 72ème quatrain de sa Xème Centurie : « L'an mille neuf cent nonante neuf sept mois, du ciel viendra un grand Roi d'effrayeur, Ressusciter le grand Roi d'Angoumois, Avant après Mars régner par bonheur ». Ce style un peu télégraphique reste assez clair pour être interprété. Le prophète annonce pour le mois d’août (le 7e mois soit, juillet, étant écoulé) de l’année 1999 la venue de Jésus-Christ, le Roi qui vient du ciel effrayer les humains, ressuscitant ainsi le grand Roi des anges (allusion à son nom Micaël) et ainsi avant et après Mars, dieu gréco-romain de la guerre ou saison du printemps, son règne établira (pour ses seuls élus) le bonheur. Nostradamus a toujours prophétisé des dates correspondantes à notre calendrier usuel. Je ne changerai donc rien à ce principe. Le but est de décrypter son message et il m’appartient de l’adapter ensuite au temps réel fixé par Dieu soit à l’an 2029.

La date 1999 suppose l’an 1999 depuis la naissance du Christ estimée faussement six années trop tard dans notre actuel et usuel calendrier élaboré par le moine catholique Denys le Petit. Mais oublions ces erreurs qui n’ont plus d’importance. Dans le réel programme de Dieu, cette date 1999 désigne l’année 2029 en laquelle 6000 années de péché terrestre prendront fin. Nostradamus est précis, il fixe pour date de « l’an 1999 sept mois » le mois d’Août 1999. Cependant tout est faux dans ce calendrier, non seulement la date 1999 désigne 2029, mais ce « septième mois » désigne en réalité depuis le printemps soit, depuis le 20 Mars, le 20 ou 21 Septembre du calendrier réel établi par Dieu pour son Israël. Relève que le mot septembre contient le chiffre sept qui rappelle aux hommes sa réelle position dans la norme du temps basé sur les saisons terrestres. Mais ces subtilités sont ignorées par Nostradamus et n’entrent pas dans la compréhension de son message. Il place son annonce sous le thème de la frayeur et il semble vouloir indiquer cette date du mois d’Août qui succède au mois de  juillet écoulé, comme celle où du ciel, des œuvres des anges de Dieu commenceront à « effrayer » les êtres humains rebelles. Et cette annonce est confirmée dans Apo.6:15 à 17 : « Les rois de la terre, les grands, les chefs militaires, les riches, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres, se cachèrent dans les cavernes et dans les rochers des montagnes. Et ils disaient aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l'agneau ; car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister ? » Apo.1:7 confirme également cette frayeur pour les « tribus » chrétiennes et juives infidèles : « Voici, il vient avec les nuées. Et tout œil le verra, même ceux qui l'ont percé ; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen ! » La « frayeur » est donc bien confirmée et Apo.16 présente « les sept derniers fléaux de la colère de Dieu » qui vont provoquer et irriter, de plus en plus, les rebelles avant que Jésus paraisse pour les condamner et les détruire. L’expression « tribus de la terre » désigne subtilement les « tribus » spirituelles que forme la religion protestante symbolisée par le mot « terre ». Mais cette appellation « tribu » fait référence aux douze tribus d’Israël soit au peuple de Dieu dont se réclament toutes les religions chrétiennes rejetées par lui, et parmi elles toutes, la dernière, celle de l’adventisme officiel. Elle est « vomie » et rejetée par Jésus-Christ parce qu’elle n’est plus dans la norme de la sainteté des vrais saints qu’Apo.7 image par « 12 tribus » symboliques qui reçoivent en témoignage de leur approbation, le « sceau du Dieu vivant ».

La « frayeur » annoncée par Nostradamus peut donc englober le temps placé sous le signe de « la fin du temps de grâce » officielle qui pourrait commencer en Aout 2029 avec la chute du premier des « sept derniers fléaux de Dieu ». Il frappe les rebelles sous la forme d’un « ulcère malin » très douloureux et conforme à celui qui frappa en leur temps les Egyptiens rebelles. Je résume l’enchaînement des faits accomplis : En Août 2029, la loi des rebelles interdit le repos du vrai sabbat sanctifié par Dieu sur son septième jour en rendant obligatoire le repos du « dimanche » romain qui le remplace depuis le 7 Mars 321. Cette loi promulguée, dans le ciel, Jésus met fin à son service d’intercesseur définitivement ; il n’y aura désormais plus de conversion pour obtenir le salut par sa grâce. Et revêtant des habits de vengeance, il envoie ses anges frapper les rebelles par ses « sept derniers fléaux ». Un nouveau fléau frappe chaque mois les humains rebelles et ils s’ajoutent ainsi au fil du temps, intensifiant ainsi la haine et la colère des cibles frappées. Le « sixième fléau » est préparé par les hommes rebelles eux-mêmes. Des concertations entre les démons, l’autorité papale catholique et l’autorité américaine protestante s’accordent pour donner un délai aux observateurs du sabbat pour se soumettre à la loi promulguée, sans quoi ils seront frappés de mort et exterminés.

Après ce temps de frayeur, Nostradamus prophétise le bonheur pour « avant après Mars ». Notre espérance s’est construite sur les données prophétisées et sur le témoignage historique qui ont déjà établi le Printemps, comme temps de la venue glorieuse de Jésus-Christ. Quel sens faut-il donner au nom Mars ? Là est toute la question. Dans la prophétie Apo.19 présente le retour du Christ sous l’image d’un « combat » mené contre « les rois de la terre ». A ce titre, « Mars » désigne alors cette guerre, ce « combat » et l’expression «  avant après » peut signifier que la venue de Jésus apporte le bonheur à ses élus en les protégeant de la mort qui allait les frapper, ceci « avant » que son combat se retourne contre leurs ennemis pour les détruire. Mais à cette heure là, les élus sont déjà partis au ciel dans le royaume de Dieu. Et pour eux le bonheur éternel a commencé et ne s’achèvera jamais. Mais en même temps, la mention du mois de « Mars » confirme le temps du retour du Christ sauveur de ses élus bienaimés soit, le sujet du « septième » des « sept derniers fléaux » ; lequel constitue également le moment de l’accomplissement de la « septième trompette » citée dans Apo.11:15. Les élus entrés au ciel, sur la terre, « les rois de la terre » séduits et trompés accomplissent pour Dieu le châtiment de la « vendange » qui consiste à massacrer les faux bergers et faux docteurs de la religion chrétienne et juive soit, les prêtres et les pasteurs qui ont enseigné et justifié les mensonges religieux du catholicisme romain. Tous les habitants de la terre périssent ensuite sous une pluie d’énormes grêlons qui tombent et marquent la fin du « septième » des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu ». Il est cité dans Apo.16:21.

En fait, l’expression « avant après Mars » délivre un message très important, car que signifie « avant un après » ? Tout simplement que le temps de la date fixée par « l’après Mars », soit, celle de la Pâque du 3 Avril 2030, va être « abrégée » et ramenée au jour du Printemps , l’avant de cet après qui est le seul repère du calcul du temps ordonné par Dieu à son peuple Israël dans Exode 12:2 : « Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois; il sera pour vous le premier des mois de l'année. » Et pour sa part, Mat.24:22  nous confirme l’intention de Jésus « d’abréger les temps » fixés par la logique de la construction prophétique soit, la Pâque du 3 Avril 2030 : « Et, si ces jours n'étaient abrégés, personne ne serait sauvé; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés. » Dans Matthieu 24, Jésus brouille volontairement la réponse qu’il donne à ses apôtres qui le questionnent au sujet « des signes du temps de la fin ». Car après avoir prophétisé les persécutions qui vont venir frapper ses élus sur l’ensemble de l’ère chrétienne après le lancement de son Eglise, il reprend plusieurs fois sa description des faits qui vont s’accomplir au « temps de la fin » clairement défini par le verset 14 : «Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. ». Et dans l’une de ces reprises, il glisse au verset 22 cette importante précision adressée à ses serviteurs du temps final : « Et, si ces jours n'étaient abrégés, personne ne serait sauvé ; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés ». Car ils seront personnellement concernés par le décret de mort promulgué par les derniers rebelles de l’histoire du péché terrestre. Pour le reste, nous pouvons compter sur la puissance de Dieu pour voiler les intelligences et obliger les rebelles à donner de l’importance uniquement à cette date de la Pâque du 3 Avril 2030 qui est la date logiquement fixée par l’aboutissement des 2000 années commencées le 3 Avril 30, date de la mort expiatoire du Sauveur des élus. Qui peut échapper à l’aveuglement ordonné par le Dieu Tout-Puissant ? Aucune de ses créatures et surtout pas ses ennemis. Je peux en témoigner, ayant été personnellement soumis à cette puissance divine lorsque selon son dessein, je devais être convaincu du retour de Jésus-Christ pour l’année 1994, et les arguments en faveur de cette espérance ne manquaient pas. De plus, quelle meilleure date peuvent-ils choisir pour faire mourir les derniers élus que celle de l’anniversaire de la mort de Jésus ? Et j’ajoute encore cet argument qui exprime le possible raisonnement de ces méchants rebelles : « Puisqu’ils prétendent attendre le retour de Jésus pour le 3 Avril 2030, selon leur calcul, donnons leur jusqu’à cette date, et si Jésus n’est pas intervenu pour les sauver, nous aurons alors toute légitimité pour les tuer ».

Il est génial de relever comment la réponse apportée par Jésus à ses contemporains avait une double portée pour eux et pour nous. Car relevons-le pour eux aussi le temps fut abrégé afin d’échapper au massacre qui a frappé les habitants de Jérusalem en 70 livrés aux armées romaines. Car avant de détruire la ville, ils ont levé le siège et sont partis et c’est à ce départ organisé par Dieu comme un temps abrégé qui leur a permis de quitter la ville avant que de retour, les Romains massacrent tous ses habitants et détruisent la ville et son saint Temple. Aussi, dans Matt.24:15 à, 20, les annonces de Jésus les concernaient tout particulièrement : « C'est pourquoi, lorsque vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, -que celui qui lit fasse attention ! Alors, que ceux qui seront en Judée fuient dans les montagnes; que celui qui sera sur le toit ne descende pas pour prendre ce qui est dans sa maison ; et que celui qui sera dans les champs ne retourne pas en arrière pour prendre son manteau. Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là ! Priez pour que votre fuite n'arrive pas en hiver, ni un jour de sabbat. » Dans leur contexte historique, l’urgence était la condition du salut. Au temps de la fin, la situation sera très différente car les mesures adoptées contre les derniers saints seront prises de manière progressive jusqu’à la décision finale de donner la mort aux insoumis injustement tenus pour responsables de la juste colère divine. De plus, le salut des derniers saints dépendra uniquement de l’intervention de Jésus-Christ. Dans son message Jésus cite Daniel en référence à l’annonce de Dan.9:26-27 : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » Ensuite la première partie du verset 27 concerne le ministère du Messie Jésus sujet principal de la prophétie : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande; » Puis la seconde partie du verset cible de nouveau les actions « abominables » commises par Rome dans ses deux phases successives impériale et papale : « le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur ». Cette traduction proposée par Louis Segond est incorrecte ; voici la bonne traduction : « Et sous l’aile [seront] des abominations de la désolation ; et jusqu’à une entière destruction et elle sera brisée [selon] ce qui a été décrété, sur la [terre] désolée ».  Le fait d’intercaler le thème du ministère de Jésus entre les deux évocations des actions romaines donne au verset entier une suite chronologique des événements prophétisés. Le ministère de Jésus se situe entre l’automne 26 et sa mort qui s’accomplit le 3 Avril 30. Ensuite, en conséquence de l’incrédulité juive prophétisée au verset 26, «  et personne pour lui », la nation est détruite en 70 par les troupes romaines qui détruisent de manière « abominable », mais sur l’ordre de Dieu,  le Temple saint de Jérusalem et tout ce qui représente « la sainteté » de l’ancienne alliance, dont le clergé juif particulièrement coupable de cette incrédulité jugée et condamnée par Dieu.

 

 

Le procès du Noël idolâtre

 

Depuis le début de mon ministère prophétique auquel le Seigneur Dieu Jésus-Christ m’a appelé, je suis allé de découverte en découverte et au fil du temps j’ai compris l’énorme importance que Dieu donne prophétiquement aux choses qu’il a organisées après les avoir créées. En fait, pour lui, tout prend valeur prophétique car dans sa pensée Dieu tisse des liens multiples entre le passé le présent et le futur de la vie.

Aujourd’hui, je lance l’ouverture du procès du Noël idolâtre. Et je vais présenter ce procès sous l’aspect qu’il prendrait dans un tribunal, tel qu’ils apparaissent sur la terre. Chacun à son tour, deux avocats, celui de l’accusation et celui de la défense, vont présenter leurs arguments aux jurés que tu représentes. Les échanges se déroulent sous la présidence du Dieu de vérité.

La parole est à la défense :

« Votre Honneur, Messieurs les jurés, la fête est ancienne et réjouit les hommes qui la célèbre et l’honore ; elle fait la joie des enfants et des parents ».

La parole est à l’accusation :

« Le temps ne transforme pas le mensonge en vérité et ne donne lieu à aucune légitimité ;  elle fait la joie des hommes et des enfants, mais elle attriste le Dieu de vérité ».

La parole est à la défense :

« Elle a le mérite de rappeler la naissance de Jésus-Christ ».

La parole est à l’accusation :

« Jésus n’est pas venu sur terre pour faire célébrer sa naissance, mais sa mort expiatoire ; or le rappel de sa mort implique par lui-même la nécessité de sa naissance ; sa naissance ne donne rien à l’homme pécheur, tandis que sa mort peut le sauver.».

La parole est à la défense :

« La fête installée en tradition annuelle oblige l’humanité à se souvenir de la venue de Jésus sur la terre ».

La parole est à l’accusation :

« Jésus n’est pas venu sur la terre pour obliger quiconque à tenir compte de cette venue. Il est venu faire une démonstration de l’amour divin laissant les êtres humains libres d’en tenir compte ou pas. J’ajoute que, pour maintenir le souvenir de la naissance et de la mort de Jésus, Dieu a instauré dès la création du monde, le repos sanctifié du vrai septième jour nommé depuis sabbat. Le quatrième commandement, qui le prescrit et l’ordonne, commence précisément par l’expression : Souviens-toi du jour du repos pour le sanctifier  L’obéissance à cet ordre favorise donc le souvenir de l’œuvre accomplie par Jésus-Christ ; ceci d’autant plus que le sabbat hebdomadaire prophétise le repos final du septième millénaire dans lequel, rachetés par son sacrifice expiatoire, ses élus entreront pour l’éternité ».

La parole est à la défense :

« Noël privilégie un moment de communion et de rapprochement des hommes et des peuples, et des parents avec leurs enfants »

La parole est à l’accusation :

«  A quoi bon ce court temps d’entente, puisque le naturel méchant des humains domine de nouveau aussitôt que la fête est passée, et parfois même au cours du repas festif ? Ce moment d’entente prend un caractère hypocrite illusoire».

La parole est à la défense :

« Cette tradition plaît aux êtres humains qui aiment s’offrir des cadeaux et les enfants aiment en recevoir ».

La parole est à l’accusation :

« Depuis presque 6000 ans, les humains prennent plaisir à pécher contre Dieu, cela rend-t-il le péché légitime ? Et quelles conséquences portent ces échanges de cadeaux et quels effets ont-ils pour les enfants ? Les esprits humains, dont leurs enfants, sont ainsi formatés à la nécessité et l’attente de la récompense. N’est-ce pas là, la manière dont on dresse les animaux domestiques ou sauvages ?  Ne serait-il pas plus bénéfique pour leur construction mentale d’offrir des cadeaux plutôt que d’en recevoir ? C’est en tous cas ce que fait Dieu pour ses créatures ».

La parole est à la défense :

« Cette fête est très utile car elle favorise le commerce et permet à beaucoup de gens de gagner leur vie ».

La parole est à l’accusation :

« Cet argument est précisément celui qui rend cette fête particulièrement désagréable à Dieu. Car Noël, comme toutes les fêtes religieuses instaurées par la religion romaine catholique papale, constitue le prétexte religieux qui enrichit au fil du temps, les « marchands du temple » qui en profitent. C’est précisément en leur offrant ces moyens d’enrichissement que la fausse religion catholique s’est faite apprécier par les humains occidentaux. Regardons ce qu’est devenue cette fête au cours du XXème siècle ; les USA s’en sont emparée, pour créer de toute pièce le personnage du père Noël masqué par une barbe blanche et revêtu d’un manteau rouge, selon les couleurs de leur célèbre boisson, le soda Coca-Cola ; le rouge étant précisément la couleur symbolique du péché. Aussi, que ferait Jésus s’il se présentait aujourd’hui au milieu de la fête de Noël ? Il prendrait un fouet et chasserait hors de son aire, tous les « marchands de la terre » cités dans Apo.18:3 parce qu’ils sont en notre époque, les nouveaux « marchands du temple » qui souillent par leur attitude le sujet religieux ».

La parole est à la défense :

«  Merci votre Honneur, mais je n’ai plus d’argument ».

L’accusation peut donc poursuivre :

« La fête de Noël n’a aucune légitimité religieuse car par sa mort, Jésus-Christ a fait cesser toutes les fêtes religieuses de l’ancienne alliance et ne les a pas remplacées par de nouvelles fêtes. La religion ne consiste pas à honorer des fêtes, mais à honorer le sacrifice de Jésus-Christ, ce qui consiste à renouer une relation d’amour avec Dieu, le vrai Père qui nous a créés en Adam et Eve, nos premiers parents charnels. Derrière la fête de Noël se trouve un héritage païen qui préexistait déjà dans la Rome impériale, qui appelait cette période, « la fête des Saturnales ». Elle célébrait la naissance du soleil après le moment du solstice d’hiver. Le jour ensoleillé réduit à son temps le plus court, se mettait à reprendre son cycle d’augmentation, et les païens plaçaient ces choses sous le culte de Tammuz hérité depuis le roi Nimrod du temps de la « tour de Babel ». Tammuz était son fils, divinisé après sa mort, et prétendu avoir rejoint le soleil. A notre époque, la forme de ces anciennes fêtes païennes, caractérisées par des orgies alimentaires et sexuelles, réapparaît par son aspect généralisé de moins en moins religieux. Le but qui reste est de faire la fête et de se livrer à de nouveaux repas totalement irrespectueux des règles sanitaires établies par Dieu. Car je le rappelle, la mort de Jésus-Christ n’a pas fait du porc classé dans Lévitique 11 comme aliment impur, un aliment pur ; il en est de même pour les crustacés et les fruits de mer qui sont souvent à l’origine de graves intoxications alimentaires, parfois mortelles, parce qu’en tant que filtres marins, ils concentrent toutes les impuretés marines qui constituent leur nourriture. Il reste encore un aspect de Noël qui lui enlève toute légitimité. Il s’agit de sa date qui est sensée célébrer l’anniversaire de la naissance de Jésus. Or, il se trouve que Dieu n’a pas permis aux hommes d’établir avec précision cette date. Il me semble légitime d’y voir son désir qu’elle ne soit pas fêtée. En fait, toute l’humanité, ses derniers serviteurs fidèles compris, a été victime de cet intérêt donné à la naissance de Jésus. Les faux chrétiens ont voulu la fêter, et ses élus ont toujours pensé que cette date de la naissance était importante dans les calculs prophétiques. Or, qu’en a-t-il été ? Cette date ignorée s’est avérée totalement inutile, parce que les calculs réalisés à partir des durées prophétiques citées dans les prophéties de la Bible, s’appuient uniquement sur les événements qui marquent le début et la fin de ces durées. La date de la naissance de Jésus était ainsi ignorée et survolée sans aucun inconvénient ; la construction prophétique était possible, sans la connaître, alors même que les repères historiques reposaient sur un calendrier entièrement faux établi au VIème siècle, par le moine catholique Denys-le-Petit. La terre est devenue dès le commencement une terre du péché, mais aujourd’hui, à la fin des jours, elle est en plus, la terre du mensonge. On reconnait ainsi en elle le portrait de son vrai père, le diable, Satan, « menteur et meurtrier dès le commencement », selon les propos tenus par Jésus, dans Jean 8:44 : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge ». Votre Honneur, Messieurs les jurés, ma plaidoirie à charge s’arrêtera donc là, et je persiste et signe pour déclarer Noël fête illégitime des idolâtres ».

Les jurés que tu représentes n’ont donc plus qu’à juger la fête présumée et démontrée coupable. En ce qui concerne Dieu le président du tribunal, il y a longtemps qu’il l’a jugée et condamnée, mais sans pour autant empêcher les humains de la célébrer ; et il en est ainsi pour d’innombrables péchés, mauvaises actions et méchantes pensées qu’il laisse librement se développer sans les approuver. C’est seulement quand vient l’heure du règlement des comptes que, par ses châtiments, sa colère longtemps contenue et retenue se mesure à son juste niveau.

 

Dans cette seconde partie, je te propose de porter un regard prophétique sur les événements qui marquent la naissance de Jésus. L’Evangile de Luc couvre particulièrement ce moment de la naissance du Sauveur des élus. Garde à l’esprit que les événements sont entièrement organisés par Dieu, car ils sont porteurs de messages prophétiques extrêmement importants comme tu vas le voir.

En premier, je relève le fait, qu’un recensement du peuple juif, l’Israël de Dieu, est organisé. Les archives romaines et juives vont donc enregistrer cette action et normalement permettre de dater l’année de la naissance de Jésus-Christ. Or, il n’en a rien été. Et à cause d’un amoncellement d’erreurs, la date officielle choisie a été faussée de six années. Jésus est né six ans avant le début de l’an 1 qui lui est attribué dans notre calendrier catholique romain. Ensuite, le recensement provoque une saturation des places libres dans les auberges et les hôtels dispersés sur la terre d’Israël, si bien que Joseph et Marie ne trouvent pas une chambre pour dormir et c’est dans cette situation que Marie va enfanter et mettre au monde son divin fils, Jésus. Au dernier moment, on leur propose pour gite, une étable, le lieu qui abrite les animaux. Je discerne dans ce fait une terrible annonce prophétique que Dieu adresse au peuple juif premièrement, mais aussi à l’ensemble de l’humanité. Quel est donc son message ? Le monde entier est livré au diable et le fils de Dieu n’y a pas sa place. Il sera, sur la terre, traité comme un animal, en fait, « un agneau » qui sera livré à la mort, après des multitudes d’agneaux sacrifiés pour prophétiser son œuvre salvatrice. A sa naissance, Jésus n’est pas placé dans un berceau, mais dans la mangeoire des bœufs, allongé dans la paille ; nous avons-là, l’annonce que son corps sera proposé comme nourriture, ce qu’il confirmera en disant la veille de sa mort à ses apôtres auxquels il présenta du pain non levé, « ceci est mon corps ; mangez-en tous ». Dieu a toute raison de favoriser les bergers de Bethléem, car, en Jésus, il va devenir le « Bon Berger » suprême. C’est à ces personnes de bas rang, que Dieu accorde le privilège de rendre gloire au bébé Messie. En cette heure du Printemps, aux nuits encore fraiches, les bergers échangeaient entre eux, probablement, autour d’un feu, quand, autour d’eux, le ciel s’illumina par la lumière surnaturelle créée par les saints anges envoyés vers eux par Dieu. Cette lumière angélique venait témoigner de la naissance, sur la terre, de Jésus-Christ, « la lumière du monde ». Mais déjà, l’impossibilité de trouver place dans un hôtel prophétisait ces paroles de Jean, « mais les ténèbres ne l’ont point reçue ». Ce sombre présage était déjà confirmé depuis le temps de Daniel qui avait écrit au sujet du « Messie retranché », dans Dan.9:26 : «…personne pour lui ». Mais il précisait aussitôt ce que serait la réponse de Dieu, face à cette démonstration d’incrédulité rebelle : « Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » La preuve de l’incrédulité démontrée en l’an 30, reçut son châtiment en l’an 70 par les mains et les armes romaines. Ces 40 années de délai final rappellent les 40 années de séjour dans le désert de l’Arabie de la naissance nationale d’Israël ; les deux marquant ainsi les temps « Alpha et Oméga » de l’ancienne alliance.

L’Evangile de Matthieu complète celui de Luc, en révélant la visite des magiciens orientaux qui vinrent saluer, honorer, et faire offrande « d’or, d’encens et de myrrhe » à l’enfant Jésus. La sainte famille habita 40 jours à Bethléem, mais après ce temps de la purification, elle partit en Egypte sur l’ordre de Dieu, et à son retour habita à Nazareth, leur ville.

Après les bergers, la naissance de Jésus est honorée par des étrangers orientaux, en fait des astrologues qui s’intéressaient particulièrement aux faits concernant Israël. Car ce peuple intriguait tous les peuples de la terre à cause de son culte rendu à un Dieu unique. Ainsi, comme les Samaritains du ministère de Jésus, des hommes étrangers enviaient la gloire religieuse des Juifs. Ils désiraient eux-aussi servir et honorer le grand Dieu créateur révélé par les Juifs. En réalité, étant créateur de toute vie, Dieu se disait Roi d’Israël que pour faire envie aux autres peuples esclaves du péché et de leurs pratiques païennes idolâtres. Les trois mages ou magiciens pratiquaient l’astrologie, une science qui les conduisait à observer le ciel qui les fascinait. Et devant cette immensité, s’éveillait en eux la « pensée de l’éternité » qu’ils attribuaient au Dieu unique d’Israël. Ces trois mages qui n’étaient pas des « rois », nous sont présentés comme un signe précurseur de l’entrée des païens dans la grâce du Christ, alors que paradoxalement, les Juifs qui étaient les dépositaires officiels de ses oracles et ordonnances allaient eux-mêmes s’exclure de son alliance. Les offrandes apportées à l’enfant Jésus étaient porteuses de messages prophétiques. « L’or » prophétisait la foi que ces païens méprisés par les juifs allaient lui témoigner. « L’encens » prophétisait l’embaumement de son corps préparé pour séjourner, pendant « trois jours et trois nuits », lesquelles furent en réalité « trois nuits et trois jours », dans le tombeau de Joseph d’Arimathée. Et « la myrrhe » prophétisait que sa vie et sa mort seraient ressenties par Dieu et tous ses élus comme « un parfum d’agréable odeur » qui ferait de lui, l’intercesseur idéal, parfait en toute chose, pour rendre recevables par le grand Dieu créateur offensé par les péchés commis, les prières des saints élus repentants.

Après cette visite, avertis en songe par Dieu, ils regagnèrent directement leur pays en Orient. De leur côté, Joseph, Marie et Jésus partirent vivre en Egypte sur l’ordre d’un ange jusqu’à la mort du roi Hérode le Grand. Celui-ci n’obtint donc pas la réponse qu’il attendait des mages. Mais selon Matt.2:16, nous savons que « deux ans » après cette visite, il entra dans une colère meurtrière qui provoqua le massacre de tous les enfants âgés de « deux ans et en dessous » dans la ville où Jésus est né : Bethléem en Judée. Il mourut peu de temps après cette terrible action et c’est cette date de sa mort que le moine Denys le petit attribua à la naissance de Jésus. Etablissant son calendrier sur la fondation de Rome sur laquelle il se trompa de 4 ans, avec les 2 ans cités dans Matthieu 16, nous obtenons les 6 ans d’erreur totale de notre calendrier usuel. Dieu, fit-il payer par ce massacre d’enfants l’indifférence des habitants de la région envers la naissance de leur Messie ? Je vois plus dans cette action, un sombre présage qui va concernait la nation entière en l’an 70, car elle paiera à ce moment-là, son rejet du Messie présenté par Dieu. Le massacre des enfants cible prophétiquement la génération de Jésus. Quand il mourra crucifié à l’âge de 35 ans et 14 jours, les gens de son âge de la nation entière porteront des charges autoritaires, qui les rendront particulièrement responsables et coupables de l’incrédulité nationale du pays. De la même manière ; la génération française rebelle de Mai 1968 s’est retrouvée aux commandes du pays France pour les derniers temps de malédiction.

Après la visite des mages, quarante jours après la naissance de Jésus, sa famille terrestre le présente au temple de Jérusalem. Et ce jour-la, Jésus est reconnu et adoré par deux personnes très âgées. L’homme pieux Siméon et la prophétesse Anne lui rendent tour à tour leurs hommages. Les parents reçoivent ainsi une nouvelle confirmation que Jésus, leur fils prêté par Dieu, est bien le Messie attendu et espéré par leur peuple Israël. Pour autant la chose ne réveille pas la nation endormie dans ses rites traditionnels, et la prédiction faite par Siméon dans Luc 2:34 s’accomplira à la lettre : quand elle s’éveillera à son sujet, ce sera pour la dispute, la controverse meurtrière : « Siméon les bénit, et dit à Marie, sa mère : Voici, cet enfant est destiné à amener la chute et le relèvement de plusieurs en Israël, et à devenir un signe qui provoquera la contradiction ».

 

 

La juste colère divine

 

Pour beaucoup de gens, Dieu ne peut pas être sujet à la colère, parce qu’il est amour. Ceux qui raisonnent ainsi se trompent eux-mêmes car dans la Bible, Dieu parle souvent de sa colère mais il est indispensable de la qualifier de « juste » ; car sans ce qualificatif, elle ne pourrait pas se concilier avec sa nature de Dieu amour. Ces personnes commettent l’erreur d’interpréter la colère divine d’après le modèle humain. Mais ils oublient qu’entre eux et Dieu, il y a des différences énormes fondamentales et en premier celle-ci : ils sont méchants et Dieu est bon. La colère de l’humain est injuste, parce qu’elle est la conséquence d’un esprit méchant. Et à l’opposé absolu contraire, la colère de Dieu est juste parce qu’il est bon et réellement amour. Quand l’homme est frustré dans son désir, il entre en colère et ressent en lui le besoin de faire du mal, aux autres qui l’entourent, mais aussi, à lui-même. Pour Dieu, lorsqu’il est frustré au niveau de l’obéissance qui lui est due, parce qu’il est le Dieu créateur auquel toute vie doit son existence, sa frustration le met en souffrance et en peine. Sa souffrance repose sur la nécessité de devoir punir et d’avoir à causer des souffrances à ses créatures. Pour prendre une image, Dieu est un lion qui tue uniquement pour manger, alors que l’homme méchant est un tigre qui tue par plaisir de tuer.

Jésus a témoigné par ses propos de ce déplaisir divin qui consiste à frapper ses créatures dans Luc 9:54-55 : « Les disciples Jacques et Jean, voyant cela, dirent : Seigneur, veux-tu que nous commandions que le feu descende du ciel et les consume, comme aussi fit Élie ? Jésus se tourna vers eux, et les réprimanda, disant : Vous ne savez de quel esprit vous êtes animés. Car le Fils de l'homme est venu, non pour perdre les âmes des hommes, mais pour les sauver. Et ils allèrent dans un autre bourg ». Cet exemple nous révèle pourquoi la nation juive va rejeter son Messie. Jacques et Jean sont deux hommes juifs dont l’esprit a été nourri du passé glorieux de l’Israël de Dieu. Ils sont fiers d’appartenir à ce peuple que Dieu a délivré de l’esclavage égyptien et sont également fiers de connaître les révélations faites à Moïse par Dieu. Ils ont reçu avec foi le témoignage concernant la destruction des ennemis de Dieu par le « feu du ciel », le cas de Sodome et Gomorrhe et le cas accompli par Elie, le prophète selon 2 Rois 1:10 : « Élie répondit au chef de cinquante : Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel et te consume, toi et tes cinquante hommes ! Et le feu descendit du ciel et le consuma, lui et ses cinquante hommes. » Et la chose se répéta deux fois, Jacques et Jean ne faisaient donc que témoigner de leur foi en Dieu et en ses révélations bibliques. Cependant, comme dans le cas de Pierre, auquel il a dit « arrière de moi Satan ! », Jésus dit à Jacques et Jean : « Vous ne savez de quel esprit vous êtes animés » ; de celui du diable ou l’un de ses démons ou encore de leur propre esprit méchant. Et il donne la raison pour laquelle il n’est pas encore temps d’activer le « feu du ciel » : « Car le Fils de l'homme est venu, non pour perdre les âmes des hommes, mais pour les sauver ». A l’époque du ministère de Jésus, aucun homme savait que le Messie venait parmi eux uniquement pour mourir ; ce qui était l’unique moyen de sauver leurs âmes. Ses apôtres eux-mêmes ne devaient le comprendre qu’après sa résurrection, après l’accomplissement de sa mort expiatoire. Mais, dans sa réponse, Jésus rattache bien cette impossibilité d’activer le « feu du ciel » au seul temps de sa venue sur terre. En fait ce ministère terrestre vient révéler le Dieu amour que le Dieu justice avait masqué dans l’esprit des hommes. Le « feu du ciel » était descendu sur des hommes rebelles pour témoigner que Dieu peut détruire la vie qu’il a donnée quand elle est désobéissante. Mais après sa démonstration d’amour en Christ, le « feu du ciel » ne tombera plus, parce que ce témoignage n’a plus de sens pour lui. C’est là, un critère très important qui caractérise ce que Dieu appelle : « la nouvelle alliance » et ce qui la rend « nouvelle » c’est précisément, sa démonstration d’amour pour ses seuls élus, parce qu’elle ne peut profiter qu’à eux-seuls.

A partir de cette preuve donnée de son amour, comme un pécheur qui jette dans la mer son filet, Dieu attend patiemment que son filet soit rempli de poissons et lorsqu’il le retirera rempli à souhait, pour l’humanité entière ce sera la fin du temps de grâce. L’intercesseur divin cessera d’intercéder, ses élus seront gardés et protégés par ses anges saints et fidèles ; ils ne risqueront plus rien de la part des méchants humains et des méchants anges. Mais dans cette nouvelle situation, Jésus revêtira son vêtement de « vengeance », laquelle est prophétisée dans Esaïe 61:2 : « Pour publier une année de grâce de YaHWéH, et un jour de vengeance de notre Dieu ; Pour consoler tous les affligés ». « L’année » ou temps « de grâce » achevée, l’heure de la « vengeance » se présente et Dieu peut laisser s’exprimer toute sa « juste » colère.

L’exemple de cette juste colère est le châtiment de « Babylone la Grande, la prostituée » évoquée dans Apo.17 et 18. Ce thème est annoncé sous plusieurs symboles au cours de cette révélation prophétique. Ce premier verset d’Apo.10:2 révèle les deux causes principales de la colère de Dieu en Christ : « Je vis un autre ange puissant, qui descendait du ciel, enveloppé d'une nuée ; au-dessus de sa tête était l'arc-en-ciel, et son visage était comme le soleil, et ses pieds comme des colonnes de feu ». La première de ces deux causes concerne l’usage pervers abominable que les LGBT ont fait de l’image de « l’arc-en ciel » qu’ils ont pris pour symbole universel. Pour comprendre la « juste colère » que cette chose déclenche en Dieu, il faut se rappeler qu’il donna « l’arc-en ciel » aux hommes pour signe qu’il ne détruirait plus les esprits méchants rebelles par un « déluge d’eaux ». Or, aux jours du « temps de la fin », les derniers rebelles s’emparent de ce symbole pour représenter leurs revendications libertaires, libertines, dépravées et perverses, jugées par Dieu et ses élus, comme « abominables ». La deuxième cause est le culte du repos du premier jour de la semaine que constitue le dimanche romain originairement adopté au titre de « jour du soleil invaincu » païen le 7 Mars 321, par ordre et décret de l’empereur Constantin 1er dit « le Grand ». Relève bien que « ses pieds » sont comme des « colonnes de feu » soit, selon l’apparence sous laquelle Dieu avait retenu les armées égyptiennes, le temps d’ouvrir à son peuple Hébreu un chemin pour traverser « la mer Rouge », afin qu’il passe en Arabie et se trouve en sécurité. Mais ici, ces « colonnes de feu » vont frapper ses deux ennemis principaux de l’ère chrétienne et ceux qui font alliance avec eux. Le verset 2 nous dit : « Il tenait dans sa main un petit livre ouvert. Il posa son pied droit sur la mer, et son pied gauche sur la terre ; » Ses deux ennemis sont dans l’ordre de grandeur et chronologiquement : la religion catholique papale et romaine, autorité religieuse du premier régime coalisé persécuteur, symbolisé par « la mer » ; et en second, symbolisé par « la terre », le protestantisme, organisateur du dernier régime coalisé persécuteur. Le catholicisme et le protestantisme se réclament tous les deux du salut apporté par Jésus-Christ et leurs actions « abominables » sont donc imputées à Jésus lui-même ; c’est ce qui fait d’eux, ses plus grands ennemis de l’histoire religieuse. Mais Apo.10:1-2 cible le temps de son retour, et à cette époque de vengeance, Jésus se présente avec « un petit livre ouvert » qui désigne toute sa révélation prophétique que l’un et l’autre ont méprisée. Ce « petit livre » était à l’origine fermé par « sept sceaux » selon Apo.5:1 : « Puis je vis dans la main droite de celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, scellé de sept sceaux. » Ces « sceaux » sont descellés au cours du temps et de la compréhension des sujets révélés selon Apo.6. Et le dernier, soit le « septième », désigne le « sceau du Dieu vivant » thème d’Apo.7, soit son « sabbat du septième jour » que la dernière coalition faussement chrétienne voudra détruire et faire disparaître entièrement. Ces précisions nous permettent de comprendre à quel point la colère finale exprimée par Dieu sera justifiée. Et elle le sera d’autant plus que ces deux faux christianismes prêchent le Dieu amour et justifient leur désobéissance au nom d’un changement d’alliance. Et à cette lumière, nous pouvons comprendre pourquoi dans Apo.6:15 à 17, ces derniers rebelles terrestres sont en proie à une terrible frayeur en voyant Jésus apparaître : « Les rois de la terre, les grands, les chefs militaires, les riches, les puissants, tous les esclaves et les hommes libres, se cachèrent dans les cavernes et dans les rochers des montagnes. Et ils disaient aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l'agneau ; car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister ? » Apo.7 apporte la réponse à cette question : pourront subsister, parce qu’approuvés par Dieu, les seuls derniers représentants restés vivants de l’œuvre divine et non de l’institution « adventiste du septième jour ». Cette colère divine est encore prophétisée dans Apo.11:18, où elle couvre les actions divines accomplies après la fin du temps de grâce, thème d’Apo.15 : « Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. » Ce verset présente l’intérêt de révéler l’ordre chronologique de la succession de la Troisième et dernière « Guerre Mondiale », dans laquelle « les nations se sont irritées ». Vient ensuite la fin du temps de grâce placé sous le signe de la colère de Dieu ; « colère » exprimée par ses « sept derniers fléaux ». Révélant encore l’ordre chronologique, en premier, Jésus ressuscite ses élus morts et avec eux, les élus restés vivants reçoivent un corps céleste incorruptible et montent au ciel où ils accèdent pour l’éternité ; ce qui constitue leur récompense et qui ne concerne que « ses serviteurs prophètes, les saints et ceux qui craignent son nom ». Ils en ont donné la preuve en obéissant à ses commandements et toutes ses ordonnances au cours de leur vie bénie par Dieu sur la terre. Dans cette liste, Dieu place en tête « ses serviteurs les prophètes », parce qu’au « temps de la fin », l’amour de la vérité révélée dans ses prophéties bibliques est la norme de la vraie foi et de la sainteté authentique. La nécessité de retrouver « la crainte de Dieu » est dans le message du premier ange d’Apo.14:7 : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. ». Comme pour la traversée de la mer Rouge, Dieu met ses élus en sécurité absolue, en les faisant entrer dans son royaume céleste. Ils n’assisteront pas aux massacres des prêtres et des pasteurs apostats. Et cette phase de la « vengeance » divine est désignée, dans Apo.14:18, par le symbole de la « vendange » : « Et un autre ange, qui avait autorité sur le feu, sortit de l'autel, et s'adressa d'une voix forte à celui qui avait la faucille tranchante, disant : Lance ta faucille tranchante, et vendange les grappes de la vigne de la terre ; car les raisins de la terre sont mûrs » ; ce qui signifie que l’iniquité humaine est arrivée à son comble. Relève que cette action de « vendange » est liée au « feu » soit aux « colonnes de feu » qui désignent les « pieds » destructeurs de Jésus dans Apo.10:1. Ce temps de « colère » finale dirigée contre les fausses religions chrétiennes apparaît encore dans Apo.16 où il s’accomplit après le « septième des sept derniers fléaux ». Il succède au retour glorieux de Jésus-Christ qui place cette action punitive entre les mains des victimes trompées par les faux enseignements religieux chrétiens. Dans Apo.16:19, Dieu dit : « Et la grande ville fut divisée en trois parties, et les villes des nations tombèrent, et Dieu, se souvint de Babylone la grande, pour lui donner la coupe du vin de son ardente colère. » Confrontés au Christ glorieux devenu visible et à son soutien en faveur de ses élus qu’elle était décidée à exterminer, la coalition rebelle se « divise en trois parties » ; les « trois » qui s’était unies dans Apo.16:13 : « Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à des grenouilles. » Sous ses trois symboles, nous retrouvons dans l’ordre cité, le diable Satan, la religion catholique, déjà symbolisée par « la mer », et la religion protestante, déjà symbolisée par « la terre ».

L’action de cette « vendange » est développée dans Apo.18 et les élus étant eux au ciel en sécurité et déjà entrés dans l’éternité, les paroles de Dieu s’adressent aux victimes des mensonges religieux chrétiens qui vont accomplir pour lui le châtiment de leurs faux bergers religieux. Dieu leur dit, dans Apo.18:6: « Payez-la comme elle a payé, et rendez-lui au double selon ses œuvres. Dans la coupe où elle a versé, versez-lui au double. » On peut trouver alors étonnant que Dieu ne frappe ses méchantes personnes qu’au double de leurs méchantes et cruelles actions. Pour comprendre cette limitation nous devons déjà tenir compte que cette méchanceté ne concerne pas les torts faits aux élus de Jésus-Christ puisqu’il a empêché l’action de s’accomplir intégralement. Le tort principal causé aux victimes séduites et trompées est donc la perte définitive de l’espérance de l’éternité. En écoutant les mensonges qu’ils pensaient être la vérité, des gens pensaient entrer un jour dans cette éternité céleste ou terrestre. Ayant perdus la possibilité de vivre éternellement, il est juste qu’ils enlèvent la vie aux menteurs qui les ont enseignés. Mais pour justifier la punition double, il faut imputer la seconde dose à la colère de Dieu qui est justifiée par le fait que ces menteurs, qu’il condamne à mort aujourd’hui, le frustrent du plaisir de leur offrir la vie éternelle. La double dose s’explique par la double culpabilité des faux enseignants envers Dieu, premièrement et envers l’homme, deuxièmement, mais également comme un signe de la « seconde mort » qui leur est réservée pour le « jugement dernier ». Nous retrouvons dans Apo.18:8, le châtiment par le « feu » prophétisé depuis Apo.10:1 : « A cause de cela, en un même jour, ses fléaux arriveront, la mort, le deuil et la famine, et elle sera consumée par le feu. Car il est puissant, le Seigneur Dieu qui l'a jugée ». Mais après « la vendange », les exécuteurs de la sentence divine seront à leur tour détruits et tués par Jésus-Christ et son terrible dernier fléau : la pluie de pierre de « grêle » aux grêlons énormes très efficaces selon Apo.16:21 : «  Et une grosse grêle, dont les grêlons pesaient un talent, tomba du ciel sur les hommes; et les hommes blasphémèrent Dieu, à cause du fléau de la grêle, parce que ce fléau était très grand ». Le poids d’un « talent » correspondait à environ 42 kilogrammes chez les Romains.

Au jugement dernier, la colère divine sera réveillée parce que Dieu se retrouvera avec ses élus de nouveau en présence des méchants rebelles ressuscités, uniquement pour entendre et découvrir le jugement des saints et de Jésus-Christ qui les concerne individuellement et subir « la seconde mort dans l’étang de feu » comme l’enseigne Apo.19:20 : « Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre. » ; et aussi dans Apo.20:10 : « Et le diable, qui les séduisait, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète. Et ils seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles. » Apo.20:12 résume le principe du jugement des méchants ressuscités à la fin du septième millénaire appelé « mille ans » dans Apo.20:5 : « Les autres morts ne revinrent point à la vie jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. C'est la première résurrection. » Le montage de ce verset est volontairement trompeur. Cette précision soulignée en gras, qui concerne la « deuxième résurrection » à laquelle participent les rebelles condamnés par Dieu, apparaît comme une mise entre parenthèse au sein même du message principal qui est la « première résurrection » réservée, quant à elle, uniquement aux élus de Jésus-Christ. Nous lisons donc dans Apo.20:12 : « Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs œuvres, d'après ce qui était écrit dans ces livres. » La fin de la colère divine est évoquée par la destruction de la mort dans le verset 13 : « La mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et le séjour des morts rendirent les morts qui étaient en eux ; et chacun fut jugé selon ses œuvres. » Relève l’interprétation littérale du mot « mer » et du nom « séjour des morts » qui désigne ici, la poussière de la terre. Le verset 14 précise encore : « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. » Et le thème de la juste colère divine s’achève avec le verset 15 : « Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. » Cette dernière précision confirme le fait que Dieu a réellement placé devant les choix humains que deux chemins opposés dans l’extrême absolu : l’un menant à la vie éternelle, l’autre à « la seconde mort » également éternelle parce que définitive.

 

Il va de soi qu’en tant que Dieu Amour notre Créateur, soit, notre Père céleste souffre terriblement de devoir entrer en colère à cause de la nature rebelle de la majorité des créatures qu’il a créées dans le ciel et sur la terre. Aussi leur en veut-il énormément parce que dans cette situation, lui le Dieu tout-puissant subit et souffre du fait même d’avoir donné existence à des vies libres. Et quand Dieu souffre, comme ses créatures, il aspire à retrouver le repos pour son Esprit. Car ne l’oublie pas, avant tout autre chose Dieu est Esprit ; le concept des corps célestes et terrestres a été pensé et créé par lui. Et n’étant lui-même absolument pas dépendant des lois qu’il crée, il peut prendre la forme d’un corps céleste et apparaître aux anges sous l’aspect de « Micaël » ou celle d’un corps humain comme il l’a fait deux fois ; la première en visitant, accompagné de deux anges, Abraham pour lui annoncer la destruction de Sodome et Gomorrhe, et la seconde fois, en s’incarnant dans la chair de l’humain nommé « Jésus ». Et je le rappelle en prenant ce nom « Jésus » qui signifie « YaHWéH sauve », Dieu s’interdisait lui-même toute action punitive pendant son ministère terrestre, mais seulement pendant cette période de trois ans et six mois durant laquelle il témoigna avant sa mort. Cependant, selon Dan.9:27, le temps de cette alliance de paix a été de « sept » ans soit, « une semaine » prophétique entière qui s’est achevée avec la lapidation du diacre Etienne.

Voici comment nous pouvons comprendre pourquoi Dieu aspirait déjà au repos pour son âme, son Esprit saint ou Saint-Esprit, au moment de sa création de notre terre. Satan, le diable, complotait déjà auprès des anges contre lui. Il vivait encore dans la compagnie des anges et Dieu le confirme en disant dans Gen.3:22 : « YaHWéH Dieu dit : Voici, l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement.» Ce « l’un de nous » désignait Satan. La rébellion, de plus en plus ouverte, attristait Dieu et le faisait souffrir. Mais sa souffrance augmentait encore en pensant aux souffrances physiques qu’il devrait endurer en Jésus-Christ, pour sauver ses élus que sa mort expiatoire volontaire allait racheter. Sachant le prix qu’il allait devoir payer en personne, son inflexibilité, démontrée dans le temps de l’ancienne alliance et avant lui, avant le déluge des eaux, se justifie parfaitement.

A sa souffrance personnelle s’ajoutait celle de ses créatures séduites et trompées, et pour les humains, celle de ses élus qui allaient être persécutés. C’est cette charge de souffrances qu’il allait devoir vivre pendant les 6000 ans de sa sélection d’élus terrestres qui la conduit à bénir et sanctifier, le septième millénaire, au commencement duquel, selon son projet, sur la terre et dans le ciel, la contestation et la rébellion cesseraient par le moyen de la destruction des agents rebelles. Ces choses s’accompliraient avec le retour glorieux de Jésus-Christ ; un retour rendu visible par tous les habitants de la terre. Il va de soi, que créer ne donne aucune fatigue au Dieu créateur Esprit. C’est pourquoi, sa « sanctification » du « septième jour » de la « semaine » est justifiée, uniquement, pour son caractère prophétique qui prophétise le « septième » millénaire de paix universelle céleste et terrestre. La paix ainsi obtenue sera appréciée uniquement par les élus trouvés encore en vie et cette paix sera d’autant plus appréciée par eux que, pour l’obtenir, ils auront du souffrir physiquement et psychiquement, à cause des persécutions et tribulations organisées par leurs ennemis célestes et terrestres.

Les colères de Dieu sont donc totalement justifiées, car elles résultent d’un sentiment d’indignation compréhensible, vu que son amour démontré est méprisé et dédaigné par les incrédules et les incroyants. Dieu a créé l’homme à son image, c'est-à-dire parfait à son origine, mais depuis le péché, bien qu’ayant perdu cette perfection, il peut encore éprouver, comme son image divine, le sentiment d’indignation. Et justement, c’est cette indignation qui caractérise les âmes des élus, comme cet exemple cité dans Ezéchiel 9:4 le confirme : « YaHWéH lui dit : Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque sur le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s'y commettent. » Ce message nous révèle la véritable nature du « sceau de Dieu », car le sabbat n’en est que l’aspect « œuvre ». Le vrai sens du « sceau du Dieu vivant » est dans le sentiment ressenti dans les esprits des élus, car condamnant les œuvres abominables faites par les humains rebelles, ils témoignent, dans leur esprit et ses pensées, de leur aptitude à vivre éternellement auprès de Dieu, sous sa bienveillante et tendre autorité suprême.

Dans notre chair et notre esprit humain, nous savons apprécier l’obéissance de nos proches. Nous y relevons, agréablement, le signe de la confiance qui nous est accordée. Et quand cette confiance fait défaut, la relation n’est pas durable, et en tous cas, pas agréable. Nous avons donc parfaitement la possibilité de comprendre ce que Dieu éprouve selon que nous lui obéissons ou lui désobéissons. Nous savons alors ce qui déclenche ses « justes colères ». Et c’est là, la raison pour laquelle Jésus a dit à ses apôtres qui l’aimaient et lui obéissaient en toute chose, selon Jean 15:14-15 : « Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande. Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père. » Et Jésus précise encore au verset 16 qui suit, cette chose qu’il faut comprendre : « Ce n'est pas vous qui m'avez choisi ; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne. » Il en est ainsi, pour tous ses élus, jusqu’à la fin du monde.

 

 

Trois jours et trois nuits…comme Jonas

 

Nous trouvons, dans Matt.12:40, cette expression prophétique citée par Jésus-Christ : « Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d'un grand poisson, de même le Fils de l'homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre. » Il annonçait en ces termes le temps total pendant lequel à cause de sa mort, il allait être séparé de ses apôtres et ses disciples. Mais en fait, en suivant la chronologie des faits accomplis, nous devons redresser l’expression « trois jours et trois nuits » pour la remplacer par « trois nuits et trois jours ». Dans son incarnation terrestre, Jésus adopta l’ordre « jour-nuit » préféré par l’humanité, mais les faits accomplis sont restés conformes à la forme « nuit-jour » instaurée par Dieu depuis la première semaine de sa création terrestre. Et cette fausse forme va tromper, efficacement, les fausses religions chrétiennes frappées par sa malédiction jusqu’au temps de la lumière adventiste.

Nous pouvons remarquer que sa comparaison avec le Jonas de la Bible se limite au niveau de cette durée de mort apparente ; car aux yeux des hommes Jonas disparut effectivement lui-aussi pendant « trois jours et trois nuits », alors qu’il survivait, sans que quiconque sur la terre ne le sache, dans le ventre d’un grand poisson. Mais les comparaisons s’arrêtent là, car autant Jonas fuit par désir de ne pas présenter aux cruels Ninivites l’avertissement du Dieu vivant, une menace de mort, autant Jésus se montre zélé pour annoncer à l’Israël pêcheur le salut possible offert au nom de la grâce divine, dans laquelle sa mort expiatrice volontaire va servir de rançon. Ces choses étant dites et comprises, nous allons découvrir que cette annonce faite par Jésus-Christ apporte au projet prophétisé par Dieu une grande lumière.

En premier, « trois nuits et trois jours » étant concernés, la théorie de la Pâque du vendredi, veille du sabbat hebdomadaire enseignée dans la religion catholique romaine, perd toute justification. Mais au contraire ces « trois nuits et trois jours » confirment un accomplissement littéral pour la « moitié de la semaine » au cours de laquelle le Messie  devait faire « une solide alliance avec plusieurs » selon Dan.9:27 : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; … » ; l’accomplissement de cette « semaine » est donc littéral et en plus, spirituellement, prophétique d’une « semaine » de « sept  jours » d’années réelles. Mais les choses ne s’arrêtent pas là, car « un jour étant mille ans, et mille ans étant un jour » pour Dieu, selon  2 Pierre 3:8 : « Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c'est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour » ; il en résulte que cette semaine de solide alliance couvre la totalité des sept mille ans du péché terrestre programmés pour sélectionner « plusieurs » élus dont les noms ont été inscrits dans le livre de vie par Dieu, dès le commencement de l’exécution de son projet salvateur. Sont ainsi concernés par ce salut unique universel obtenu par la mort expiatoire de Jésus-Christ, des antédiluviens, des postdiluviens, des Israélites de l’ancienne et la nouvelle alliance, et des païens convertis entrés dans cette nouvelle alliance.

Jusqu’au ministère terrestre de Jésus-Christ le peuple de Dieu n’avait aucune idée du temps que l’expérience terrestre devait durer. Pendant son ministère messianique, Jésus a apporté des précisions qui restaient incomprises et c’est seulement, par la lumière de l’Apocalypse révélée à Jean, qu’il offre à ses derniers élus, la possibilité de comprendre que le temps global prophétisé était de sept mille ans. Et le mot clé de l’énigme est la période de « mille ans » citée six fois dans Apo.20:2-3-4-5-6-et 7 soit, 6 fois comme les « six mille ans » qui précèdent cette dernière période de « mille ans ». Et ces « six mille ans » sont confirmés par l’histoire accomplie soit, 4000 ans qui vont de la création à la fin de l’ancienne alliance, et 2000 ans qui couvrent la nouvelle alliance jusqu’au  « retour glorieux du Christ Jésus » attendu par ses élus pour le Printemps 2030.

Ainsi au fil du temps, la semaine de sept jours a pris, successivement, la valeur de « sept jours réels » de vingt-quatre heures, puis prophétiquement, de « sept années » et enfin, finalement, de « sept mille ans ». Logiquement, Dieu avait réservé pour ses seuls derniers élus, cette connaissance des « sept mille ans » de son projet salvateur parce qu’ils vont vivre au temps du retour glorieux de Jésus-Christ, le « Micaël » Chef suprême des anges, selon Apo.12:7 : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel (Micaël) et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, ». Notre connaissance du temps du projet de Dieu va nous permettre de mieux comprendre le déroulement des faits accomplis au cours des « trois nuits et trois jours » qui couvrent aux yeux des êtres humains le temps de la disparition de Jésus-Christ.

Au sens spirituel prophétique d’années réelles, les « sept » jours de « la semaine » de Daniel 9:27 couvrait « sept » années comprises entre l’Automne 26 et l’Automne 33.  Jésus fut crucifié « au milieu » de ces « sept » années soit, au matin de la veille de la Pâque du Printemps de l’an 30.

Cette « semaine » pascale prend parallèlement, également, le sens des 4000 années consacrées aux deux alliances successives que Dieu fait avec ses élus rachetés sur la terre. Car l’ancienne alliance prend sa base sur l’alliance que Dieu a fait avec Abraham, 2000 ans avant la mort de Jésus-Christ, au moment où il devait offrir en sacrifice son fils unique Isaac ; selon Gen.22:16 à 18 : « et (Dieu) dit : Je le jure par moi-même, parole de YaHWéH ! Parce que tu as fais cela, et que tu n'as pas refusé ton fils, ton unique, je te bénirai et je multiplierai ta postérité, comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer; et ta postérité possédera la porte de ses ennemis. Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité, parce que tu as obéi à ma voix. ». Le chiffre « 7 » de la « semaine », de Dan.9:27, porte alors la signification de la plénitude de la sanctification divine qui est la véritable signification symbolique du chiffre « 7 » ; ceci, depuis la « sanctification du septième jour » par le Dieu créateur, dans Genèse 2:2 : « Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant ». Ces 4000 ans se composent ainsi : depuis Abraham et le sacrifice d’Isaac jusqu’à la mort de Jésus nous avons 2000 ans, et depuis sa mort jusqu’à son retour nous avons également 2000 ans ; avec une parfaite précision digne de Dieu, le Christ rédempteur s’est offert en sacrifice sur l’exacte « moitié » des deux alliances divines. Dans Apo.3, Dieu confirme sa « sanctification » de l’œuvre adventiste du septième jour, sa dernière institution officielle reconnue par lui au niveau de la doctrine établie par ses pionniers testés en 1843 et 1844 ; ceci, en marquant par les chiffres « 7 et 14 », les versets qui concernent « le début et la fin » soit, « l’alpha et l’oméga » de cette institution, expressions soulignées avec insistance par Jésus dans « le prologue et l’épilogue » de sa révélation Apocalypse. En 1994, de nouvelles lumières redressant des erreurs sont rejetées et provoquent la chute de l’organisation institutionnelle universelle « adventiste du septième jour ».

Il est utile de relever le fait que, dans Gen.2:2 et 3, « la sanctification du septième jour » n’est justifiée que par « le repos » obtenue par Dieu ; on ne trouve, aucune formulation d’une quelconque ordonnance faite aux premiers êtres humains créés et formés par Dieu, Adam et Eve, pour qu’ils observent ce « repos », bien qu’ils aient reçu de sa part cette ordonnance. La raison est la suivante : en ne concernant que « le repos » pour Dieu, le message confirme le sens prophétique du septième millénaire en lequel, seule la cessation d’activité des pécheurs, dans le ciel et sur la terre, aura donné à Dieu le « repos » mental et la paix parfaite que son amour et sa nature divine privilégient et exigent. Son « repos » sera parfait, quand il ne sera plus contrarié par les odieuses actions de ses ennemis célestes et terrestres.

Au sens littéral, la « semaine  de l’alliance passée avec plusieurs », de Dan.9:27, couvrait la « semaine » allant, après le sabbat du 30 Mars de l’année 30, du coucher du soleil du premier jour, notre dimanche actuel, le 31 Mars, jusqu’à la fin du jour du sabbat du 6 Avril 30. Remarque que cette semaine pascale s’est présentée sous la même forme que celle de la création : du premier jusqu’au septième jour sanctifié au repos de Dieu. Ceci confirme la possibilité de donner au mot « semaine » la valeur prophétique des sept mille années réservées par Dieu pour le traitement du péché soit, depuis le péché d’Adam et Eve jusqu’à la « seconde mort » du jugement dernier qui anéantit tous les pécheurs à la fin du septième millénaire. Pour les élus en Christ, les six mille premières années sont décisives, car c’est le temps où Dieu fait sa sélection d’élus. C’est pourquoi, dans le récit de la création, les six premiers jours sont regroupés dans Genèse 1. Et ne concernant que les élus entrés dans la vie éternelle, le septième jour est cité dans Genèse 2, de la sorte séparé et mis à part soit, « sanctifié ». Je rappelle encore ici, qu’en raison de son image du septième millénaire où les élus sont déjà entrés dans la vie éternelle, dans Genèse 2, le thème du « septième jour » n’est pas refermé par l’expression, « il y eut soir, il y eut matin » De plus, la raison est justifiée par le fait qu’il n’y aura « plus de nuit » pendant ce septième millénaire, comme l’Esprit l’enseigne  dans Apo.21:25 « Ses portes ne se fermeront point le jour, car là il n'y aura point de nuit. ».

Jésus-Christ a été crucifié à 9 heures, au milieu de cette « semaine » particulièrement sainte, le Mercredi 3 Avril 30 ; et il expira ce même jour à 15 heures. Son séjour dans le sein de la terre commença donc par « la nuit » du Jeudi 4 Avril 30. Et en évoquant cette explication, je tiens à signaler qu’ayant mis en pratique ce verset d’1Thes.5:21 : « Mais examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon ; », j’ai retenu une interprétation de la Pâque du Christ révélée dans une étude parue dans une revue éditée sous le nom « la pure vérité ». Bien que nouveau adventiste du septième jour, à l’époque, j’ai retenu une explication présentée par une autre dénomination religieuse chrétienne, parce que ses explications me sont apparues très convaincantes, conformes et dignes du mot « vérité ». A l’époque, ce groupe religieux honorait encore le vrai sabbat divin, le samedi, septième jour de la semaine divine. Il pouvait donc à ce titre recevoir la lumière du Christ.

Nous savons que Jésus est apparu à ses disciples et ses apôtres, vivant et ressuscité, le 7 Avril 30, à l’aube du « premier jour » de la semaine suivant celle de la Pâque soit, le « dimanche » que nous appelons dans notre groupe « Soldi » pour rappeler sa norme païenne ; de même qu’en anglais, ce jour est appelé « Sunday » soit, « Jour du Soleil ». Mais rien n’est révélé au sujet de ce qui s’est réellement passé au cours de ces « trois nuits et trois jours » couverts par le secret du tombeau. Cependant, à la lumière de leurs valeurs prophétiques en « années » réelles et en « mille ans », nous allons pouvoir lever ce secret.

Depuis sa mort jusqu’à sa résurrection, nous retrouvons « trois jours entiers » à l’image des « trois mille années » qui vont prendre la forme de deux fois « mille ans » jusqu’à son retour glorieux et les derniers « mille ans » célestes du septième millénaire. Ce dernier est représenté par le sabbat du septième jour de la semaine sainte pascale. Or, au début du sabbat du septième millénaire les rachetés de Jésus-Christ vont être ressuscités, selon Apo.20:4 : « Et je vis des trônes ; et à ceux qui s'y assirent fut donné le pouvoir de juger. Et je vis les âmes de ceux qui avaient été décapités à cause du témoignage de Jésus et à cause de la parole de Dieu, et de ceux qui n'avaient pas adoré la bête ni son image, et qui n'avaient pas reçu la marque sur leur front et sur leur main. Ils revinrent à la vie, et ils régnèrent avec Christ pendant mille ans. ». Depuis son début, ce sabbat symbole de ces derniers « mille ans » du septième millénaire est donc placé sous le signe de la vie retrouvée, Jésus n’avait donc aucune raison d’être retenu par la mort, dans l’inconscience, en ce dernier sabbat de la semaine pascale. Parce que le sabbat est l’image du repos de Dieu et de ses élus qu’il rassemble, les vivants et les morts en Christ, Jésus s’est ressuscité, lui-même comme il l’avait dit avant sa mort à ses disciples, mais il l’a fait au début de ce sabbat hebdomadaire de la semaine pascale, pour retrouver la compagnie agréable et aimante de ses anges restés fidèles. Il n’est donc réellement resté mort dans le tombeau que pendant « deux jours entiers », de même qu’il officie après sa mort dans le ciel, coupé et séparé des hommes pendant « deux mille années » jusqu’à sa venue triomphale, justicière pour arracher à la mort ses ultimes élus fidèles restés vivants.

Dans cette semaine pascale très sainte, un sabbat exceptionnel rattaché à la fête de la Pâque s’est présenté dès le soir où Jésus est entré au tombeau. Il est venu confirmer le lien qui relie le sacrifice expiatoire du Christ à la résurrection des saints du septième millénaire céleste qui recevront la vie éternelle soit, depuis l’heure où le péché fut expié par Jésus-Christ et le temps où il offrira la vie éternelle à ses élus ; ceci après la fin du temps de grâce qui mettra fin, définitivement, à l’offre du salut. Pour les pécheurs non convertis aux exigences divines, il sera alors trop tard.

En effet, sur les « deux mille ans » qui conduisent à son retour, 16 siècles ont été marqués par la domination des religions chrétiennes ténébreuses ; ce qui place ces « deux mille ans », en majorité, sous l’aspect d’une mort spirituelle, et plus particulièrement, « seize siècles » suggérés par le mot « stades » et le sens du temps donné au mot « étendue » dans ce verset d’Apo.14:20 : « Et la cuve fut foulée hors de la ville ; et du sang sortit de la cuve, jusqu'aux mors des chevaux, sur une étendue de mille six cents stades. » Cette période de « seize » siècles ou « stades » couvre depuis le quatrième siècle, le temps de l’apostasie catholique et de l’apostasie protestante soit, les enseignants religieux sur lesquels la colère de Jésus-Christ demeure, selon l’image indiquée par ce verset de Jac.3:1 à 3 : « Mes frères, qu'il n'y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se mettent à enseigner, car vous savez que nous serons jugés plus sévèrement. Nous bronchons tous de plusieurs manières. Si quelqu'un ne bronche point en paroles, c'est un homme parfait, capable de tenir tout son corps en bride. Si nous mettons le mors dans la bouche des chevaux pour qu'ils nous obéissent, nous dirigeons aussi leur corps tout entier. »

Dans le châtiment de la « vendange », « l’enseignement » religieux est la cause principale. C’est en l’accusant « d’enseigner ses serviteurs » que Jésus révèle l’identité catholique romaine de « la femme Jézabel », dans Apo.2:20 : « Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu'ils se livrent à l'impudicité et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. » Ainsi, avertis du mal accompli par la religion catholique papale romaine, ses serviteurs de la Réforme deviendront, à leur tour, hautement coupables des mêmes accusations à partir de 1844, quand ils préféreront honorer le repos du dimanche catholique au repos du samedi sanctifié par Dieu depuis sa création du monde. Cependant, l’épreuve de foi de 1844, a reposé beaucoup plus subtilement et logiquement sur une démonstration d’intérêt pour sa parole prophétique biblique et en 1844 et 1994, les protestants et les adventistes qui ont oublié que Jésus ne justifie que la sainteté de la foi jugée digne par lui, sont rejetés et livrés au diable et son catholicisme romain.

En révélant l’origine protestante de l’autorité de « la bête qui monte de la terre », d’Apo.13:11, Dieu confirme la chute et l’apostasie depuis 1844 de la religion réformée et déformée. En conséquence de cette chute, elle finit par reproduire le comportement persécuteur du régime papal romain lorsqu’il était soutenu par les monarchies aveugles et soumises. Réunis par l’alliance dite œcuménique, les deux religions qui s’opposaient, vont collaborer pour imposer durement l’obligation d’honorer le dimanche comme unique jour de repos hebdomadaire. Mais les élus éclairés par Jésus-Christ sauront résister jusqu’à leur délivrance obtenue par son retour puissant et glorieux.

Ainsi, seuls les  saints anges ont assisté à la résurrection de Jésus-Christ au soir du vendredi 5 Avril soit, au début du sabbat du 6 Avril ; ceci, alors que la lourde pierre ronde continuait à tenir fermé l’accès au tombeau, lequel était gardé par deux gardes romains affectés à cette tache à la demande des chefs religieux juifs. Tu peux imaginer, la joie des anges retrouvant, vivant, leur divin chef « Micaël ». Elle fut sans aucun doute aussi grande que celle des deux Marie, de Jean et de Pierre qui l’ont revu seulement au matin du premier jour de la nouvelle semaine qui succédait à la semaine pascale. C’est pour cette humanité rendue naturellement aveugle par Dieu, qu’allaient commencer les « deux mille ans » de l’alliance chrétienne ou nouvelle alliance. Ils avaient devant eux, les « trois mille » dernières années des « sept mille » du projet terrestre concerné par le péché et son châtiment final. Et à l’heure où j’écris ces choses s’approche le Printemps 2023 qui va nous situer, sept années avant l’entrée dans ce septième millénaire ; ce qui signifie que, depuis le péché d’Adam et Eve, nous allons entrer dans l’année 5994 des 6000 ans au cours desquelles Dieu a effectué la sélection de tous ses élus rachetés sur la terre.

Je relève encore ce détail qui prophétise la malédiction du calendrier établi par Rome. Alors que les numéros des jours de cette semaine pascale obéissent à la norme divine établie à la création soit, du premier jour au sabbat du septième jour, les numéros du calendrier romain appliqués à ces jours obéissent à la norme de l’apostasie actuelle qui donne au premier jour la valeur de « septième jour » ; puisque ce premier jour où Jésus est apparu vivant à ses disciples fut le premier jour ou dimanche actuel du « 7 » Avril 30. Pour être bien compris, l’attribution du chiffre « 7 » au 1er jour de la semaine prophétise son statut de « septième jour » adopté depuis l’année 1981 dans l’Europe occidentale ; une action qui favorisera son imposition par le régime apostat universel qui l’imposera de manière légale pour marquer la fin du temps de grâce collective et individuelle.

 

 

Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime

 

En abordant ce sujet, je dois te rappeler qu’au nom de l’intérêt national collectif et parfois à celui d’intérêt très privés du domaine profane, les nations de la terre s’autorisent à punir plus ou moins sévèrement les fautes et les crimes commis au milieu d’elles par tout homme, toute femme, tout vieillard et parfois, tout enfant. Je ne vois donc pas de raison qui justifierait que le grand Dieu créateur n’agisse pas de même. Ceci, d’autant plus qu’au contraire des nations qui profitent des individus, Dieu s’est incarné en la personne de Jésus-Christ pour venir sur la terre racheter, par la mort volontaire de sa vie parfaite exemplaire, les âmes humaines sensibles à sa démarche dont il peut changer le statut mortel en statut éternel. C’est là le seul sens que nous devons donner au mot « élection » qui est le statut de ses « élus » soit, celui des compagnons qu’il sélectionne pour vivre en sa compagnie pendant l’éternité qui vient et qui est maintenant à 7 années et environ 3 mois devant nous. Le droit de châtier de Jésus-Christ est d’autant plus justifié qu’il a lui-même été atrocement torturé, pour obtenir à la fois le salut de ses élus dont il a expié les péchés commis envers Dieu, mais aussi le droit légitime de détruire, sans miséricorde, les humains qui affichent un comportement rebelle identique à celui qu’a démontré l’ange rebelle, « le diable et Satan », et ses suppôts angéliques, dans la vie céleste et sur la terre. Car après sa victoire sur le péché et sur la mort, Jésus leur a interdit de vivre dans le ciel et il les a confinés dans la dimension terrestre. Les souffrances endurées par Jésus ont été horribles et ont atteint le plus haut niveau possible de l’époque romaine ; sa crucifixion fut précédée par une flagellation pratiquée avec un fouet composé de trois lanières de cuir au bout desquelles des éléments en fer étaient accrochés pour déchirer la chair du supplicié. Sur le linceul de Turin, Dieu a laissé en image la trace de cent vingt coups portés sur le corps de Jésus-Christ. La nuit de son arrestation, il ne put dormir étant dirigé vers les différentes autorités juives et romaines de l’heure pour obtenir la décision de le faire mourir. C’est donc après une nuit fatigante qu’il fut flagellé puis mis en croix à 9 heures du matin. Son agonie dura 6 heures, ce qui fut court pour l’époque, mais la flagellation subie a favorisé ce raccourcissement de son temps de souffrance. D’autre part, Jésus a souffert énormément du fait de se sentir abandonné par Dieu. Il l’a exprimé en disant : « Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m’as-tu abandonné ? » Dans sa douleur délirante, Jésus a oublié momentanément pourquoi il devait être « abandonné » du Père. La réponse de Dieu à la question posée par Jésus est simple : « parce que depuis ton arrestation, en portant les péchés de mes seuls élus, tu les sauves, mais tu es devenu l’image du péché que ma sainteté exècre et ne peux voir sans éprouver un sentiment de répulsion ». Et dans un dernier souffle où il retrouve sa lucidité, il finit par dire : « Père entre tes mains, je remets mon esprit. Tout est accompli ». Ces choses étant dites et bien comprises, retrouvons le verset dans lequel Jésus dit à ses élus : «Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime ».

Cette déclaration est faite par Jésus-Christ dans Apo.3:19 : « Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. » Cette précision vient confirmer que l’organisation religieuse à laquelle il parle a été reconnue par lui, jusqu’au moment où, selon le verset 16, il va la « vomir » : «Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. » Cette précision est utile car elle confirme le lien d’identité avec le message précédent qui concerne la phase du début de « l’adventisme du septième jour » symbolisé par « l’amour fraternel » que traduit son nom symbolique « Philadelphie ». Ainsi « l’adventisme du septième jour » commence dans « l’amour fraternel » du nom « Philadelphie » et finit tristement et spirituellement, mortellement, dans la phase du « jugement du peuple » ou du « peuple jugé » symbolisé par le nom « Laodicée ». Notons que Jésus mettait en garde l’organisation officielle contre le risque de se faire « prendre sa couronne ». L’avertissement n’était pas vain mais bien justifié, puisque « vomie » en « Laodicée », « la couronne » est bel et bien perdue par l’institution qu’en « serviteur infidèle » Jésus dit « nu » soit, sans le vêtement de sa « justice éternelle » obtenue par son sacrifice selon Dan.9:24 : « Soixante-dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier l'iniquité et amener la justice éternelle, pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. ». Ce verset révèle aux élus le but que Dieu donne à son ministère salvateur accompli en Jésus-Christ. Pour obtenir ce résultat, il leur apporte la nouvelle naissance, soit la possibilité de transformer concrètement leur état naturel de pécheurs en celui d’êtres purs et saints et sains de corps et d’esprit. Tu vois ainsi que la vraie foi n’est pas une étiquette ; c’est un changement concret de comportement et de nature ; ce changement étant motivé par l’amour pour Dieu et son concept de vie. En obtenant ce résultat, Dieu justifie toutes ses souffrances endurées en Jésus-Christ, ainsi que celles qui le font mentalement souffrir au cours des six mille années de péchés pratiqués sous son regard par les êtres humains et les mauvais anges.

Le découpage en chapitres et versets du récit de l’Apocalypse est justifié, par Dieu, pour des raisons spirituelles précises : les chiffres portent des significations spirituelles aussi importantes que les mots et les noms. La pensée divine englobe et maîtrise tout ce qui existe et s’organise dans le ciel et sur la terre. Ceci concerne également, la création des langues et sachant que le français serait la langue par laquelle il apporterait les dernières explications de ses prophéties de Daniel et Apocalypse, des jeux d’esprit basés sur l’expression phonétique apparaissent en langue française, exemple : Luther et « la terre » qui concernent tous deux la foi réformée, officiellement, en 1517.

L’expression « je te vomirai de ma bouche » est subtile et trompeuse car ce verbe conjugué au futur suit le constat de « tiédeur » évoqué au temps présent de l’indicatif. On peut bien sûr y voir un enchaînement logique de cause et conséquence, mais ce futur suggère surtout le moment tragique de la dernière épreuve de foi. Ce sera à ce moment-là que la foi adventiste aura grand besoin du soutien et de toute la bénédiction de Jésus. Et ce sera à cette heure décisive que Jésus refusera son aide aux croyants adventistes dont le comportement est jugé « tiède » mais aussi « malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu ». Dans ce message de « Laodicée », Jésus annule la promesse faite à « Philadelphie » ; une promesse citée dans Apo.3:10 : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. » La promesse de Jésus était conditionnelle. Pour la conserver, l’adventisme officiel devait « garder la parole de la persévérance en son nom » et à l’heure où il l’a testé, entre 1982 et 1994, ce n’était plus le cas. Ne trouvant plus à l’époque « Laodicée » la qualité de la foi constatée à l’époque « Philadelphie », Jésus peut en toute justice annuler la promesse qui concernait les adventistes de l’époque du lancement de l’adventisme officiel du septième jour. Ce sera la forme sous laquelle son vomissement sera concrètement accompli. Mais les élus éclairés peuvent déjà relever un signe de ce vomissement spirituel rendu visible par l’entrée de l’adventisme officiel dans l’alliance protestante condamnée depuis 1843 et 1844 ; ceci, depuis le début de l’année 1995 soit, l’année qui suit la chute de l’épreuve de foi de 1994.

Dans sa Révélation de l’Apocalypse, et déjà dans Daniel, Dieu confirme sa relation avec ses vrais serviteurs, même s’ils sont seulement reconnus momentanément avant leur chute et leur apostasie, par le fait qu’il s’adresse à eux directement. Il les tutoie comme un ami parle à son ami. En tenant compte de cette règle, nous pouvons suivre son jugement sur la religion chrétienne sur tous les deux mille ans de son ère. Ainsi, Jésus tutoie ses serviteurs du temps « Ephèse » mais il y évoque Rome son ennemie sous le nom des « Nicolaïtes » dont il condamne les œuvres ; ce nom « Nicolaïtes » signifie peuple victorieux soit, le peuple qui fait de la Victoire une divinité païenne adorée. Il tutoie également, et surtout, ceux qui sont terriblement persécutés à cause de son nom entre 303 et 313, dans l’époque « Smyrne », en laquelle son ennemie Rome est citée comme « le diable » ; dans ce même message, Jésus affirme sa condamnation des Juifs rebelles qui « calomnient » les chrétiens fidèles et qu’il nomme ouvertement « la synagogue de Satan ». Ensuite, dans l’époque « Pergame », il tutoie ses derniers serviteurs fidèles qui résistent à l’enseignement romain, hérité de Constantin 1er ; l’enseignement religieux catholique qui s’impose par la force et le soutien de l’empereur Justinien. Et encore, dans ce message, il désigne son ennemie perpétuelle, Rome, à laquelle il attribue cette fois, le « trône de Satan » et « la doctrine des Nicolaïtes » ; avec le changement d’époque, les « œuvres des Nicolaïtes » du temps « Ephèse » sont devenues au temps « Pergame », « la doctrine des Nicolaïtes » ; ceci confirme l’apparente conversion de Rome à la religion chrétienne. Mais Jésus ne la reconnaît pas et ne lui parle pas directement.

Après de longs siècles de ténèbres, sous l’époque « Thyatire », il retrouve, éclairés par la Bible imprimée et répandue, des interlocuteurs jugés imparfaits, mais néanmoins dignes de son salut dans certains serviteurs fidèles du temps de la Réforme protestante, les premiers étant les Vaudois convertis par Pierre Vaudés dit Valdo où, dès 1170, ils se démarquent de leurs successeurs par une compréhension théologique et doctrinale parfaite. La Réforme atteint son apogée avec les déclarations publiques effectuées par le moine enseignant allemand Martin Luther en 1517. Mais, le calvinisme protestant, image cruelle du catholicisme, triomphe et s’impose en s’installant aux USA nouvellement découvert. Malgré l’apostasie massive de la foi protestante, Jésus trouve au milieu des persécutions catholiques quelques vrais serviteurs et servantes qu’il juge dignes de son amour et de sa justice éternelle. Ces âmes sauvées sont arrachées à la condamnation du péché de manière « exceptionnelle », ce que Jésus souligne en disant dans Apo.2:24 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; » mais il précise pour confirmer cette exception : « seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. »

Cette précision, donnée par Jésus, mérite un développement au caractère vital. Chaque personne intelligente et raisonnable peut comprendre que le Dieu créateur tout puissant ne peut pas se satisfaire d’une obéissance partielle à l’ensemble de son idéal légal. Ce qui est accepté provisoirement va donc subir une remise en cause inévitable et prévisible. Le « fardeau » reporté à plus tard concernait l’observation du vrai sabbat, le samedi véritable septième jour de l’ordre de la semaine organisée par Dieu. Mais en disant, « seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne », Jésus a voulu confirmer sa bénédiction pour la devise adoptée par les vrais protestants : en latin « sola scriptura » soit en français « l’Ecriture seule ». Il soutient ce jugement et encourage ses serviteurs à rester fermes et résolus dans cette conception de foi jusqu’à son retour. Et dès 1843 et 1844, en organisant ses épreuves de foi adventistes, il donne à ses serviteurs protestants américains de cette époque la possibilité de démontrer que leur foi est encore fondée sur le principe « l’Ecriture seule ». Mais le temps a passé depuis Luther, et la foi est devenue morte et sans appui. C’est ainsi que sur 30000 adventistes engagés dans l’attente du retour de Jésus pour le 22 Octobre 1844, seuls 50, sont reçus et jugés dignes par Dieu d’entrer dans la sainteté de son sabbat, signe prophétique de sa récompense du septième millénaire. Ils vont devenir les pionniers fondateurs de l’église « adventiste du septième jour » instituée aux USA en 1873. Ces résultats, révélés par Jésus-Christ à sa servante de l’époque Ellen G.White, démontrent encore aujourd’hui la hauteur de l’exigence de Dieu en norme de foi. Les élus du Christ, les vrais, se montrent sensibles à cette révélation, mais au temps de la fin et d’une manière croissante depuis 1844, les religions chrétiennes revendiquent des héritages dont elles se montrent totalement indignes. Et en particulier, en première, la très puissante religion catholique se réclame de l’héritage de Saint-Pierre, trompeusement et injustement, parce que Pierre, le zélé serviteur de Jésus-Christ n’a jamais été de son vivant « chef » de l’église chrétienne » car à son époque, l’Eglise des vrais élus ne reconnaissait qu’un seul « chef » : Jésus-Christ ; chose que Paul confirme, dans Eph.5:23 : « car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. »

En entrant dans Apocalypse 3, notre survol et avancée dans l’ère chrétienne nous conduit en 1843 et 1844, les deux dates des deux épreuves de foi adventistes successives de l’époque. Je le rappelle encore, si le Printemps 1843 détermine le commencement de l’épreuve, la date du 23 Octobre 1844 fixe, elle, la fin de ces épreuves de foi adventistes. C’est donc, à cette date 1844, que Jésus révèle son jugement sur les participants et prononce son verdict suprême contre ceux qui ont échoué au test subi. Organisée aux USA, les deux épreuves concernaient en priorité les chrétiens de foi protestante, aussi est-ce à eux qu’en « serviteur méchant et infidèle » prophétisé dans ses paraboles, Jésus s’adresse dans un tutoiement qui n’a plus rien d’amical, en lui disant : « Tu passes pour être vivant et tu es mort ». Après ce message de « Pergame », la foi protestante ne sera plus jamais tutoyée, elle sera traitée comme l’Eglise catholique romaine. Pour autant, la foi chrétienne authentifiée par Jésus ne disparaît pas complètement ; elle s’est prolongée par les bénédictions des victorieux des deux épreuves soit, les 50 personnes révélées par Jésus-Christ à sa servante Ellen G.White. Et depuis cette époque jusqu'au retour du Christ, la foi adventiste va seule bénéficier de la réception de la lumière divine proposée par Jésus-Christ. Bien sûr, ces jugements divins étant ignorés des multitudes humaines, sur la terre, les religions rejetées multiplient et donne à la religion chrétienne l’aspect d’une confusion du type « Babel » dans laquelle on se parle, se trompe, se séduit, dans la plus parfaite hypocrisie.

Les comportements humains se reproduisant dans toutes les époques en fonction du temps qui passe, la dernière institution adventiste du septième jour ne pouvait pas échapper à cette règle systématique. Testée entre 1982 et 1994 au niveau de sa foi adventiste et du critère protestant « l’Ecriture seule », elle a échouée et a été « vomie » par Jésus-Christ comme la foi protestante avant elle en 1844. La paix humaniste soutenue par les fausses religions chrétiennes et les incrédules républicains et démocrates a séduit les adventistes sensibles à ces valeurs humanistes. Comme les religions qui l’ont précédée, la foi adventiste est devenue traditionnelle et sans vie, ce que Jésus appelle la « tiédeur » qui le conduit à la « vomir ». Mais il ne peut « vomir » dans l’époque « Laodicée » que ce qu’il a « avalé » précédemment, soit, « reconnu » ; ce qui caractérise l’adventisme béni du temps « Philadelphie ». Et paradoxalement, puisque la paix sur terre a tué la vraie foi, la situation de la guerre mondiale qui s’installe va favoriser son réveil et de véritables conversions. La paix endort, mais la guerre réveille les hommes en les délivrant des pièges séducteurs de la consommation des biens matériels. Face au risque de mort, les vraies valeurs reprennent de l’intérêt, et l’existence du Dieu tout-puissant redevient l’appui de la foi et de l’espérance du salut de l’homme mortel. Tous ne réagiront pas selon ce scénario, mais les derniers élus convertis agiront ainsi pour le salut éternel de leur âme et la gloire du Dieu de vérité, le Tout-puissant révélé en la personne de Jésus-Christ. Depuis 1994, plus que jamais, l’Eglise, l’Elue du Christ, est dispersée sur toute la terre habitée. Le dernier Israël spirituel est invisible et anonyme, car il n’est plus représenté de manière institutionnelle. Le rôle de l’institution est terminé et remplacé par la foi éprouvée des adventistes dissidents qui « retiennent » le dernier « témoignage de Jésus ». Celui-ci reste encore selon Apo.19:10, « l’esprit de la prophétie ». Le Dieu qui les reconnaît et les rassemble, spirituellement dans sa bénédiction, est l’Esprit Saint qui juge et inspire leurs esprits, leur faisant découvrir les secrets de sa sainteté afin d’authentifier leur « sanctification » qui seule permettra de voir Dieu et de vivre en sa très sainte compagnie comme nous y engage Paul disant dans Héb.12:14 : « Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur ». La fin de ce verset témoigne de l’importance vitale de cette « sanctification » exigée par Dieu, concrètement exprimée en notre époque, par l’amour de la vérité des révélations prophétiques bibliques présentées, par Dieu, au nom de Jésus-Christ.

Dans sa Révélation biblique, Dieu ignore complètement la religion de l’islam, ce qui signifie qu’il ne la reconnait absolument pas. Son projet de salut, valable pour tout homme, toute femme, enfant ou vieillard vivant en quelque lieu sur la terre, passe et repose uniquement sur l’œuvre de rachat effectuée par lui-même sous le nom de Jésus-Christ. Actes 4:12 confirme disant : « Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. » Le salut divin passe donc uniquement par Jésus-Christ crucifié et ressuscité et toute prétention contraire est donc mensongère et mortelle pour les sujets séduits et trompés.

Dans ses Révélations de Daniel et Apocalypse, Dieu nous a appris à identifier les doctrines religieuses chrétiennes qu’il aime ou n’aime pas ou plus. Quand il dit « je reprends et je châtie tous ceux que j’aime », Jésus révèle son amour de Père qui se charge d’éduquer ses enfants. Les arrachant au péché et à la vie du péché, comme de fragiles arbustes fruitiers, il les taille, les émonde afin de transformer leur aspect spirituel qui est le fruit désiré par Dieu selon la norme qu’il veut obtenir. Mais qu’en est-il de ceux qu’il n’aime pas ou plus ? Il les ignore et ne cherche pas à les transformer, parce qu’il respecte leur choix pour leur malheur. Ceci ne leur évitera pas d’être châtier pour leur mépris et leur indifférence et encore plus, par leur désir de désobéir. Mais ce type de châtiment arrive souvent pour donner une mort définitive, parce que le prolongement de leur vie serait, pour ces rebelles, incapable de les conduire à la repentance nécessitée. Cette sorte de châtiment a frappé durement la foi catholique représentée en 1789 par le clergé catholique et le régime monarchique de Louis XVI. Ce pauvre roi, plutôt pacifique, est devenu le bouc émissaire sur lequel les fautes et les péchés de tous ses prédécesseurs sont tombés ; précisément, sur sa tête décapitée à cause de cette culpabilité qui consistait simplement à soutenir une fausse religion chrétienne. Cette exécution eut lieu le 21 Janvier 1793 soit, 258 ans jour pour jour, après le 21 janvier 1535, où au même endroit le roi très catholique François 1er fit exécuter les premiers martyrs protestants arrêtés à Meaux. La cause de ces exécutions était le refus de participer à la messe catholique. Et dans la même époque, le chef papal de cette fausse église est mort en prison dans ma ville de Valence en France, en 1799. Dans la décapitation quasi mécanique organisée pendant une année, du 27 Juillet 1793 au 27 Juillet 1794, des milliers de têtes catholiques de prêtres et d’aristocrates monarchiques sont tombées. Par cette sorte de mise à mort, Dieu a révélé sa condamnation des pensées religieuses formées par le modèle du catholicisme romain. La tête séparée du corps ne peut plus penser et Dieu se soulage d’une contrariété continuelle causée par des individus rebelles qui déforment son image divine et, se revendiquant de lui, le définissent comme un Dieu arbitraire, inconstant, et injuste. Tout le contraire absolu de sa vraie nature car il est patient, amour, miséricordieux et capable de la plus haute abnégation, comme il en a témoigné par son ministère salvateur en Jésus-Christ. En signe de la malédiction qui continuait de peser sur les fausses religions chrétiennes occidentales, Dieu a organisé des guerres mais surtout les Première et Deuxième Guerres Mondiales, respectivement dans l’ordre, en 1914 et en 1939. Ces guerres ne font pas l’objet d’une révélation divine biblique mais l’esprit humain éclairé peut discerner une reproduction des trois déportations du peuple juif à Babylone. Et logiquement, la troisième déportation aux conséquences terribles pour la nation juive momentanément détruite retrouve son type dans l’accomplissement de la Troisième Guerre Mondiale qui s’est engagée en opposant la Russie à l’Ukraine depuis le 24 Février 2022. En annonçant la mort du « tiers des hommes » vivant en Europe occidentale dans ce troisième conflit mondial, Dieu organise de nouveau une tuerie de masse afin de châtier cette fois, non seulement la religion catholique, mais aussi, la religion protestante, l’anglicane, l’orthodoxe, la religion juive, la dernière, l’adventiste, mais aussi son ennemi permanent, l’islam. Toutes jugées coupables par Dieu, le même châtiment les vise et les conduit à s’entre-détruire afin de ne laisser en vie qu’un petit échantillon représentatif des élus et des déchus des religions chrétiennes. Tout ce que Dieu organise a du sens et une justification. L’expérience terrestre humaine est organisée et supervisée par l’être qui représente la source infinie de l’intelligence. C’est pourquoi, à la lumière de toutes ses révélations, le projet salvateur qu’il a conçu et fait accomplir devient clair et compréhensible. Mais pour maîtriser ce sujet, l’homme doit s’en nourrir continuellement. Comme en matière profane, la maîtrise dans le domaine religieux exige un engagement profond et entier de toute l’âme humaine ; les gens superficiels et artificieux sont donc inadaptés pour obtenir de Dieu leur élection pour son éternité.

Depuis 1995 et au cours des années qui ont précédé le 24 Février, l’islam dit « intégriste », représenté par des groupes armés « islamistes », est entré en guerre religieuse contre l’Occident catholique auteur des croisades menées contre les musulmans installés en Palestine et à Jérusalem au Moyen-âge. Ces vieilles rancunes ont été renforcées par l’époque des colonisations du sol africain du Nord, du centre et de toute l’Afrique. Les responsables occidentaux ont facilement oublié leur culpabilité, mais les victimes de ces colonisations en ont conservé une rancune tenace et un désir inassouvi de vengeance. Dieu trouve en ces ethnies et ces peuples anciennement colonisés, des instruments bien préparés pour venger son honneur bafoué et méprisé par l’Occident incrédule rebelle et pervers.

En ce début de l’année 2023, le châtiment de ceux que Jésus n’aime plus ou n’a jamais aimé se prépare et s’approche. Dans le camp russe, la religion de l’islam est grandement représentée et une entente aussi injustifiée qu’étonnante unit la foi chrétienne orthodoxe et la foi musulmane attachée à son identité russe. Les hordes barbares des anciennes époques vont réapparaître pour renouveler le châtiment des européens coupables d’incrédulité et de perversion. Des hommes vont donc se venger tout en vengeant Dieu après quoi, ils mourront à leur tour sans espérance de salut ou dans une trompeuse espérance.

Dans la semaine des fêtes de fin d’année, un fait grave vient de confirmer le tragique destin de la France et de sa capitale Paris. En visite avec deux camarades russes dans le Donbass dans la région de Donetsk, des oligarques du pouvoir russe ont été victimes d’un bombardement ukrainien lancé par un canon Caesar donné par la France à l’Ukraine. Deux de ses oligarques sont morts et le troisième, survivant à l’action, a été blessé et des échantillons de l’obus tiré ont été extraits et retirés de son corps. L’examen de ces éclats confirme l’utilisation d’un obus français tiré par un canon Caesar. En sorte que ce survivant nommé Dmitri Rogovine a décidé d’envoyer un éclat retiré de son corps à l’Elysée à l’attention du président français Emmanuel Macron. Cette action culpabilise directement la France et nul doute que le désir de vengeance de cet homme et de son peuple sera assouvi. Ainsi se confirme au fil des jours le projet de Dieu de détruire Paris la capitale qui a fait de la liberté sa divinité partagée avec le peuple américain, mais aussi avec les peuples unis dans l’alliance européenne.

Dans un aveuglement complet sur le sujet de leur victoire, les Occidentaux européens, australiens, alliés de l’Amérique par le pacte de l’OTAN deviennent de plus en plus arrogants et désireux d’obtenir la défaite du camp russe. Et il ne faut pas s’y tromper, la faiblesse actuelle de l’armée russe engagée jusqu’en ce début 2023 n’est pas représentative de la force dont ce pays est capable. Principalement parce que Vladimir Poutine a voulu donner à son intervention le caractère minimum d’une « opération spéciale ». Cherchant à éviter des mobilisations massives des populations russes, il a fait appel à des mercenaires, mais il n’est pas seul à agir ainsi, car les puissances occidentales utilisent elles-mêmes l’Ukraine comme des mercenaires qui combattent pour la gloire de l’Occident et de ses valeurs que Dieu lui-même juge perverses et abominables. En apportant des aides militaires et des armes de plus en plus puissantes, les Occidentaux mettent de l’huile sur le feu, alors que la situation nécessite de l’eau. En conséquence, « l’opération spéciale » finira en vraie « Guerre Mondiale » et les Occidentaux découvriront avec terreur la puissance des armées russes, quand elles entreront sur leurs territoires pour les piller et les ravager ; ceci, avant que s’engage une destruction de vie d’une ampleur jamais atteinte, lorsque les USA détruiront par l’arme nucléaire le territoire de la Russie, car si les Russes hésitent à l’employer dans leur guerre, devant l’augmentation de la puissance de la Russie conquérante, les USA n’auront plus le choix ni les scrupules pour ne pas le faire. Et de la sorte, l’usage des armes atomiques donneront au Christ humilié la mort du « tiers » des populations occidentales infidèlement chrétiennes, et ailleurs dans le monde, encore beaucoup plus de victimes parmi les peuples païens orientaux. Il ne faut pas perdre de vue le fait que l’humanité devra entièrement disparaître sur notre terre au jour du retour glorieux vengeur de Jésus-Christ. Les « mille ans » prophétisés dans Apo.20 ont fait espérer faussement un millénium terrestre appelé l’âge d’or. Il n’en sera rien, car pendant ces « mille ans » la terre entièrement désolée ne portera pour habitant que Satan, le diable ; elle sera devenue sa prison, le couloir de la mort dans l’attente du jugement dernier où il sera exécuté avec tous les autres rebelles condamnés, anges et humains.

Après les décapitations des autorités révolutionnaires rebelles de 1793 et 1794, les groupes armés islamistes pratiquent eux-aussi la décapitation de leurs prisonniers. Comme au temps des Révolutionnaires, ce type de mise à mort porte le même message de la part de Dieu. Les premières victimes furent sept prêtres catholiques enlevés et décapités en Algérie, par le groupe GIA : le Groupe Islamique Algérien. Après les actions menées contre l’Occident et le « grand Satan » américain par « Al-Qaïda », les décapitations massives sont devenues la marque d’identité du Califat du groupe DAESH. Ces actions témoignent de ce que Dieu ne change vraiment pas : il fait tomber les têtes qui honorent ce qu’il déteste et qui détestent ce qu’il élève au plus haut niveau de sainteté soit, toute sa vérité, ses ordonnances, ses commandements et ses prophéties.

Déformés par leur nature incrédule massivement généralisée, les Occidentaux ne comprennent pas le retour du religieux dans le peuple russe. Ils ont oublié les leçons données par l’expérience de leurs « pères », lesquels après le sanglant régime révolutionnaire français sont revenus chercher le secours de la pensée religieuse comme l’Esprit le rappelle en le citant dans ces versets d’Apo.11:13 : « A cette heure-là, il y eut un grand tremblement de terre, et la dixième partie de la ville, tomba ; sept mille hommes furent tués dans ce tremblement de terre, et les autres furent effrayés et donnèrent gloire au Dieu du ciel. » L’expression « A cette heure-là » cible particulièrement l’époque des deux grandes « Terreurs » vécues du 27 Juillet 1793 au 27 Juillet 1794. Ensuite, Dieu compare les effets de cette Révolution nationale française à un « grand tremblement de terre » qui l’annonça prophétiquement par celui qui frappa la ville catholique du Portugal, Lisbonne en 1755. Mais ce tremblement de terre est également le symbole de cette Révolution dans Apo.12:16 : « Et la terre secourut la femme, et la terre ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa bouche. »  Dans le désert, après la sortie d’Egypte, les rebelles « Koré, Dathan et Abiram » furent eux aussi engloutis et avalés par la terre qui « ouvrit sa bouche » soit, ses failles, selon Nom.16:19 à 33 : « Et Koré convoqua toute l'assemblée contre Moïse et Aaron, à l'entrée de la tente d'assignation. Alors la gloire de YaHWéH apparut à toute l'assemblée. Et YaHWéH parla à Moïse et à Aaron, et dit : Séparez-vous du milieu de cette assemblée, et je les consumerai en un seul instant…/… YaHWéH  parla à Moïse, et dit : Parle à l'assemblée, et dis : Retirez-vous de toutes parts loin de la demeure de Koré, de Dathan et d'Abiram. …/… Moïse dit : A ceci vous connaîtrez que YaHWéH m'a envoyé pour faire toutes ces choses, et que je n'agis pas de moi-même. Si ces gens meurent comme tous les hommes meurent, s'ils subissent le sort commun à tous les hommes, ce n'est pas YaHWéH qui m'a envoyé ; mais si YaHWéH fait une chose inouïe, si la terre ouvre sa bouche pour les engloutir avec tout ce qui leur appartient, et qu'ils descendent vivants dans le séjour des morts, vous saurez alors que ces gens ont méprisé YaHWéH. Comme il achevait de prononcer toutes ces paroles, la terre qui était sous eux se fendit. La terre ouvrit sa bouche, et les engloutit, eux et leurs maisons, avec tous les gens de Koré et tous leurs biens. Ils descendirent vivants dans le séjour des morts, eux et tout ce qui leur appartenait ; la terre les recouvrit, et ils disparurent au milieu de l'assemblée. » Déjà, la précision « descendirent vivants » prophétise « la seconde mort de l’étang de feu » réservée aux grands coupables religieux chrétiens symbolisés dans Apo.19:20 par « la bête et le faux prophète ». Je profite de ce dernier verset, pour confirmer que dans Apo.20:14, « le séjour des morts » désigne bien  la terre et ses poussières qui sont sous nos pieds : « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. » Dans ce contexte historique, « la terre ouvrit sa bouche » réellement, mais cette action préparait une leçon spirituelle que Dieu veut attribuer à la religion catholique romaine ciblée par sa colère par le moyen des furieux Révolutionnaires de 1789 à 1798 soit, à l’extrême fin des « 1260 jours » années du règne catholique papal, comme le précise le montage chronologique prophétisé dans Apo.11:3 et 7 : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. …/… Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera. Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. » Ces versets méritent d’être encore étudiés car leur révélation prend dans notre époque une importance vitale. Les « deux témoins » désignent la Bible, la sainte Parole divine écrite. La Bible a été en effet ignorée et soustraite à la lecture de l’homme ordinaire, parce qu’elle était cachée dans les cloitres religieux catholiques où des moines la reproduisaient à la main. L’expression « revêtus de sac » fait allusion à la pratique des Juifs, lorsqu’ils voulaient montrer à Dieu leur affliction. La sainte Bible fut en effet persécutée et affligée, quand elle fut imprimée et diffusée par les colporteurs Protestants exposés, eux-mêmes, à la menace de mort, à l’emprisonnement, ou aux galères du roi. Après ce temps de prédication douloureuse, sous le nom symbolique de « bête qui monte de l’abîme », l’athéisme révolutionnaire français a tenté de faire disparaître tous les écrits religieux et en premier, la sainte Bible ; tous étant consumés dans des feux allumés sur la grande et prestigieuse place de Paris, appelée à l’époque « place de la Révolution » ; ceci, après avoir porté le nom de « place Louis 15 ». Ensuite, depuis Napoléon, elle est devenue la « place de la Concorde » ; soit, autant de noms que d’expériences. Que Dieu en vienne à lui donner symboliquement les noms « Sodome et Egypte » n’a rien d’étonnant quand on sait que croyant s’être libérés de la menace divine, ses citoyens n’ont plus eu de limite dans leurs comportements sexuels et la pratique de la sodomie jugée abominable par Dieu, est devenue, comme dans notre dernière époque, une norme naturelle, légitimée et, aujourd’hui, légalisée. Aucune rébellion semblable ne s’était produite depuis celle du pharaon de « l’Egypte » du temps de Moïse. En sorte que Paris est devenue, pour Dieu et ses vrais élus, l’image réelle actualisée du « péché de l’Egypte ». Ensuite, Dieu nous donne une précision confondante. Il dit : « là même où leur Seigneur a été crucifié. » Ces propos semblent désigner Jérusalem à première vue. Mais il s’agit bien de Paris car l’expression « leur Seigneur » désigne un peuple chrétien, ce qui n’a jamais été le cas de Jérusalem. L’explication de cette expression est la suivante : Christ s’est livré à la « crucifixion » pour « mettre fin au péché » selon Dan.9:24. Or, en rétablissant le « péché » que son combat contre Jésus-Christ représente, le peuple Parisien, jusque-là soutien permanent de la religion catholique, « crucifie » Jésus de nouveau. Et c’est ce qu’il fait encore en notre temps de la fin, en justifiant les abominations et les pires perversions sexuelles et mentales. C’est pourquoi, la France est toujours en avant-garde dans les initiatives qui préparent sa destruction. Le thème du « châtiment » de cette étude la concerne tout particulièrement à cause de son rôle néfaste exemplaire que les nations occidentales ont voulu reproduire les unes après les autres. Ses textes des « Droits de l’Homme », sont devenus la base des lois occidentales. Et bien que plus petite en nombre et en puissance, par son rôle historique, la France est la principale cible de la colère divine après Rome mais devant les USA qui ne sont qu’une excroissance de l’Europe maudite par le divin Jésus-Christ. Par analogie avec les châtiments prophétisés pour Israël dans Lévitique 26, celui du verset 25 correspond à l’action de « la bête qui monte de l’abîme », « la bête » révolutionnaire athée : « Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi. » Mais dans l’ère chrétienne, Dieu devait renouveler deux fois l’application de ce châtiment. La première concerne la « quatrième trompette » d’Apo.8:12, qui entre 1789 et 1798 marque la fin du règne du catholicisme papal ennemi de Dieu. Après lui comme signe de repère du temps, entre 1798 et 1844, « l’aigle » impérial de Napoléon 1er a dominé les guerres européennes, conformément à l’enseignement donné dans Apo.8:13 : « Je regardai, et j'entendis un aigle qui volait au milieu du ciel, disant d'une voix forte : Malheur, malheur, malheur aux habitants de la terre, à cause des autres sons de la trompette des trois anges qui vont sonner ! ». Et arrive derrière ce signe, en 1844, la date charnière préparée par Dieu dans Daniel 8:14, pour marquer le début du début du « temps de la fin ». Et c’est pourquoi, dans Dan.11:40, le commencement du vrai « temps de la fin » est marqué par une guerre à laquelle Dieu donne le même rôle que celui de la Révolution Française. C’est pour démontrer ce lien, qu’il organise une confusion entre « la quatrième et la sixième trompette », en attribuant à la « quatrième trompette » dans Apocalypse 11, le nom de « second malheur » qui concerne en réalité la « sixième trompette » dans Apo.9. La conséquence de cette subtilité est que nous pouvons alors comprendre que Dieu donne depuis le 24 Février 2022 à la Russie, la même mission « sanglante » qu’il donna entre 1793 et 1794 aux Révolutionnaires français, au titre « d’épée qui vient venger son alliance » selon Lév.26:25. La France et la Russie partagent en commun d’avoir connu la grande Révolution de leur peuple ; pour la Russie ce fut en 1917, l’année où elle renversa et exécuta son Tsar Nicolas II et toute sa famille, son fils et ses filles compris. De la même manière en 1793, en France, Louis XVI fut guillotiné et sa femme le fut à son tour quelques mois plus tard. Nous pouvons ainsi comprendre que Dieu donne à ces deux exécutions officielles la même cause : la religion coupable ; ce qui met sur un plan d’égalité néfaste, la foi catholique romaine et l’orthodoxie russe ; lesquelles se combattent déjà en Ukraine et bientôt dans toute l’Europe et le monde. La culpabilité que les deux camps portent concerne le repos dominical hérité, successivement, de Constantin 1er depuis le 7 Mars 321 et Justinien 1er depuis l’an 538 de notre faux calendrier catholique romain. Que valent donc les conversions religieuses russes ? Elles peuvent être parfois sincères mais ne seront pas pourtant bénies par Dieu tant que la vérité concernant la pratique du sabbat n’est pas restaurée. Le peuple russe a hérité d’une nature idolâtre héritée de Rome avant le schisme qui l’a séparé du catholicisme occidental ; d’où son attachement aux saintes icones. Mais les deux coupables se ressemblent énormément et leur concurrence explique largement leur désaccord ; l’apparat joue chez les deux une importance majeure, mais c’est surtout l’opposition du pape et des popes qui entretient la division.

Il règne en Occident actuellement un climat tendu presqu’insurrectionnel. Car les esprits humains sont de plus en plus « rebelles et égoïstes » au point que les règles démocratiques sont de moins en moins supportées et respectées. Et dans le même temps, les biens matériels affectionnés coûtent de plus en plus cher et deviennent de moins en moins accessibles. Donc les gens sont de plus en plus frustrés et irritables. Dans ce monde occidental un grand danger va frapper ses peuples rebelles, car dans chaque pays on retrouve des divisions qui opposent 50% du peuple à son opposition. Le risque de grandes guerres civiles se précise et il est donc imminent. Il faut ajouter à cela, la conséquence d’avoir fait au cinéma des héros malfaisants rebelles et horribles comme le film « le Parrain » qui honore la mafia sicilienne installée en Amérique. Le menteur est honoré et devient un modèle reproduit sur une grande échelle. Mais dans une société habituée au mensonge, qui peut faire confiance et à qui ?

 

 

 

Vraie et fausse légitimités

 

Il n’est rien de plus difficile pour une créature du Dieu créateur que de reconnaître ses torts. Dans cet exercice, le diable, l’ange de lumière première créature créée, a échoué. Pour satisfaire à cette nécessité, il faut être véritablement humble, et même là, la fierté remplace le plein orgueil et rend la chose peu facile. Pourtant cette aptitude à reconnaître ses propres torts est exigée par Dieu tant la norme de la parfaite humilité est exigée par lui de la part de ceux auxquels il va faire partager son éternité. Et là, inutile de se raconter des histoires, il sonde et connaît de manière intégrale, les pensées et le caractère de chaque candidat et de tout ce qui vit dans le ciel et sur la terre. Il condamne l’orgueil relevé chez Satan et des multitudes de mauvais anges qui partagent son opinion et son caractère. Et sur la terre, la même liberté produit les mêmes effets, au point que l’humanité entière, ou presque, partage également les pensées et le caractère de Satan. Et au milieu de cette multitude, Dieu sélectionne quelques élus aussi rares que l’or ou les pierres précieuses trouvées enfouies dans quelques veines de la terre et sorties pour être ramenées à la surface au prix de grandes fatigues et grands dangers accidentels et mortels. L’âme pour laquelle Jésus a accepté de souffrir en martyr volontaire pour la sauver est pour lui à cette image ; comme il l’enseigne dans Apo.21:19 à 21 : « Les fondements de la muraille de la ville étaient ornés de pierres précieuses de toute espèce : le premier fondement était de jaspe, le second de saphir, le troisième de calcédoine, le quatrième d'émeraude, le cinquième de sardonyx, le sixième de sardoine, le septième de chrysolithe, le huitième de béryl, le neuvième de topaze, le dixième de chrysoprase, le onzième d'hyacinthe, le douzième d'améthyste. Les douze portes étaient douze perles ; chaque porte était d'une seule perle. La place de la ville était d'or pur, comme du verre transparent. » Voilà donc comment Dieu juge ses élus et si la chose était incomprise il y aurait encore cet autre verset : Zac.2:8 : « Car ainsi parle YaHWéH des armées : Après cela, viendra la gloire ! Il m'a envoyé vers les nations qui vous ont dépouillés ; car celui qui vous touche touche la prunelle de son œil. » Dans l’image de l’Apocalypse, le découpage des deux phases de l’ère chrétienne justifie la différence des symboles qui représentent les élus : ceux qui sont sélectionnés avant 1844 sont imagés par des « pierres précieuses » qui nécessitent une taille pour délivrer et révéler leur admirable beauté. Mais en raison même de l’importance qu’il donne au sabbat, enfin restauré, Dieu donne à ceux qu’il sauve après 1844, l’aspect de la « perle » qui ne nécessite aucun travail humain pour révéler sa beauté. Naturellement, les élus bénéficient tous du même amour de la part de Dieu, mais ce grand Juge suprême nous révèle combien la restauration de son saint sabbat et le plein amour de sa vérité, l’enchantent et le comblent. Dans sa parabole, Jésus compare la vérité du salut à une « perle » de grand prix. De la sorte, le symbole de « perle », qui illustre la conception de la foi des derniers élus, montre que le « péché » installé, pendant « 1260 » années entre l’époque apostolique doctrinalement parfaite et la fin, a été complètement éliminé. Le but pour lequel Jésus est venu souffrir sur la terre a été atteint ; selon Dan.9:24 : « pour mettre fin au péché ». Dans leur vie, les derniers élus ont « mis fin au péché ». En opposition, le symbole des « pierres précieuses » qui doivent être taillées révélait la présence partielle du péché romain, ciblant ainsi la pratique du repos dominical du premier jour héritée des deux Rome : l’impériale de Constantin 1er et la papale de Vigile 1er sous l’empereur Justinien 1er. Rappel : Vigile 1er ne fut pas le premier évêque de Rome, mais le tout premier pape en titre et pouvoir temporel. Dieu a ainsi confirmé le caractère exceptionnel du salut offert, provisoirement, aux élus de la Réforme imparfaite du 16ème siècle selon Apo.2:24 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; ».

Le camp de Dieu tire sa légitimité du fait que Dieu est créateur de toute chose et de toute vie. Il est donc légitime que sa conception des normes données à l’existence soit reconnue par toutes ses créatures. Et c’est ce qu’il finit par obtenir de ses élus qu’il aide à se perfectionner au cours de leur parcours terrestre. Qui est plus digne d’honneur et d’adoration que ce Dieu Amour et Justice qui seul soutient la véritable égalité pour tous ses élus ? Ce qu’il leur offre est sans pareil et incomparable, car il met le sceau de la perfection dans tous les sujets imaginables ou abordés. Il a donc en sa faveur, par nature, le droit à la légitimité en toute chose.

Dans le camp de l’adversaire, le diable, à défaut de légitimité juste et naturelle, on crée une fausse légitimité qui va être uniquement basée sur le nombre et la force de ceux qui la soutiennent. Dans ce camp, se regroupent les êtres fiers et orgueilleux incapables de reconnaître individuellement leurs torts, aussi, collectivement, ils s’en montrent encore moins capables, mais le nombre fait l’union et l’union fait la force ; et cette force permet d’imposer la fausse légitimité aux masses humaines manipulées à l’extrême.

Après sa création de l’homme, Dieu n’a pas ordonné la nomination de chef jusqu’au déluge d’eaux du temps de Noé. Mais sous l’inspiration du diable, les êtres humains ont adopté le principe de s’en remettre à un chef choisi entre eux. Légitimement, le plus ancien avait une sorte de droit naturel que Dieu a confirmé plus tard dans ses alliances. Mais dans le camp du diable, ce chef est devenu un roi qui pouvait transmettre sa domination à sa descendance ; en sorte que ce pouvoir ne faisait que croître, ainsi que la richesse du roi et de ses héritiers. Je dois ici rappeler la position de Dieu sur ces choses. Il était visiblement pas en faveur du règne de ces rois, puisque prenant en charge et en organisant son peuple Israël, il ne lui donna aucun roi, mais seulement, un guide, Moïse et après lui, Josué, afin qu’ils soient les bergers de son troupeau. Et en organisant son Israël de cette manière, Dieu a appliqué une norme céleste qui sera celle qui se prolongera, pour les seuls élus, dans l’éternité apportée par Jésus-Christ. Je rappelle que, dans son témoignage personnel direct, il a mis en pratique concrète cette loi du ciel qui repose sur la complète abnégation des êtres vivants. Jésus-Christ, le grand « Roi des rois et Seigneurs des seigneurs » d’Apo.19:16 ( Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs ), a voulu laver les pieds de ses disciples, la veille de sa mort, afin de donner un exemple de cette loi céleste, opposée dans l’absolu aux normes des lois humaines terrestres. Dans le ciel tout est gratuit, la valeur marchande n’existe donc pas, pas plus que les profits et prises d’intérêts. Ceci permet aux créatures célestes de vivre dans une parfaite égalité de droit et de pouvoir. Dans Dan.10:13 : « Micaël », qui est Dieu sous l’aspect d’un ange, est désigné comme « l’un des principaux chefs » : « Le chef du royaume de Perse m'a résisté vingt et un jours; mais voici, Micaël, l'un des principaux chefs, est venu à mon secours, et je suis demeuré là auprès des rois de Perse. ». Sur la terre, ce n’est qu’après de multiples rébellions que ce peuple d’Israël réclama auprès de Dieu le droit d’être dirigé par un roi « comme les autres nations » païennes de la terre. Traduit en clair, cette demande voulait dire : « Dieu, disparaît et laisse-nous entre hommes ! » Ce premier rejet de Dieu prophétisait le futur rejet du Messie Jésus, par la descendance charnelle de ce peuple. Comprenant clairement la situation, Dieu a cédé et répondu favorablement à cette exigence humaine. Mais le prix à payer fut inclus dans le contrat, car il prévint Israël que leur roi aura les mêmes droits que ceux des autres peuples païens qui font de leurs peuples des esclaves durement traités. Et l’esclavage volontaire des Hébreux commença, jusqu’à son achèvement sous le tyran Hérode le Grand, à l’époque de la naissance de Jésus-Christ pour sa mission terrestre.

Cette réflexion sur la légitimité peut nous aider à comprendre les événements mondiaux qui s’accomplissent actuellement en ce début de l’année 2023. Et tout d’abord, prends conscience de l’origine de notre héritage. Nous qui vivons en Europe occidentale, nous avons hérité d’une fausse légitimité ; dès l’origine, de cette fausse légitimité monarchique d’inspiration païenne qui fit de Clovis 1er, le premier roi des Francs. Ce roi païen fut séduit par la fausse foi chrétienne, en sorte que son engagement chrétien était également faux et trompeur. Il eut la malchance d’être converti en 496 par les envoyés de Rome qui trouva, avec lui, un défenseur séculier pour son autorité. Ainsi soutenue par une puissance militaire, bien armée, la religion proposée par l’évêque de Rome en marche vers le pouvoir papal, a reçu auprès des humains une autre fausse légitimité. Car, hélas pour nous tous, depuis le 7 Mars 321, cette foi chrétienne avait été intoxiquée et elle est devenue un poison mortel, à cause de l’adoption du repos du premier jour imposé par l’empereur Constantin 1er et consacré, par lui, et les adorateurs païens, au culte du « jour du Soleil Invaincu ». Et la conséquence de cette adoption était que la prétendue représentante de Jésus-Christ n’était qu’un régime de péché trompeur et séducteur. Ces bases posées à cette époque sont à l’origine de toute la fausse légitimité religieuse revendiquée par le régime catholique papal romain jusqu’à notre époque actuelle.

Après avoir renversé la monarchie dans un grand bain de sang, la France républicaine s’est de nouveau donné une légitimité démocratique ; basée, une fois de plus, sur le nombre qui emporte toujours la victoire contre les opposants. Les uns rêvant d’égalité, les autres voulant conserver leurs privilèges et leurs avantages, la France républicaine a essayé de trouver son modèle, en passant par cinq républiques. Sous la troisième république, les riches possédants ont encouragé les initiatives des colonisations obtenues grâce au soutien militaire du pays, qui devint ainsi encore plus riche et prospère. Et là encore, le peuple de France s’est donné une fausse légitimité en se donnant le droit de coloniser d’autres peuples étrangers aux religions et coutumes différentes ; se préparant ainsi de terribles problèmes. Car là, la France est tombée dans le piège de son mépris religieux, car elle n’a pas réalisé que la foi chrétienne d’un grand nombre de ses citoyens n’était compatible, ni avec l’islam nord-africain, ni avec les religions païennes asiatiques de ses colonies. Aussi, ces incompatibilités ont produit à plus ou moins long terme, la rupture prévisible, pour un regard spirituel. La colonisation avait porté la France au rang envié de quatrième puissance mondiale, derrière les USA, la Russie soviétique et l’Angleterre ; la décolonisation et l’accueil humaniste et social l’ont lentement ruinée et on la classe aujourd’hui au 15ème rang des nations européennes. Que représente donc la France en 2023 ? Elle ne représente plus la France, mais une pensée humaniste unique européenne soit, européiste. Un signe évident a été donné par l’abandon du Franc, comme monnaie nationale, au détriment de l’Euro. Ne rêvons plus, la France est morte et l’Europe vit. Dieu l’a organisée, afin de rassembler dans un même camp, les héritages des « dix cornes » placées sous la malédiction de la « 11ème » ou « petite corne » de Dan.7:7-8 et 24-25. En Janvier 2023, le président de la France, Emmanuel Macron, que certains Russes irrités nomment dans l’actualité « Emmanuel Hitler », fait figure de tête dirigeante du corps européen, simplement, parce que, même ruinée, la France reste la seule puissance militaire de l’Europe ; ceci, d’autant plus, depuis que l’Angleterre est sortie de l’Union Européenne. Cependant, cette puissance militaire française est toute relative ; elle était suffisante pour coloniser des peuples du tiers monde, mais pas du tout capable d’affronter une puissance comme la Russie. Or, depuis le soutien officiel donné à la cause ukrainienne, la France ne cesse d’irriter la Russie par ses offres d’armes à son ennemie. Et dans l’actualité du jour, j’entends des médias russes évoquer le désir d’attaquer la France, de lui envoyer un missile pour faire un exemple et calmer le reste des nations européennes qui se sont engagées elles-aussi dans une sorte de concurrence ; c’est à qui armera le mieux l’Ukraine.

Pour comprendre comment on en est arrivés là, il faut tenir compte du droit de la fausse légitimité que l’être humain hérite dès sa naissance, car il est conditionné par le climat politique qu’il découvre en entrant dans la vie. Les êtres humains ne sont jamais portés à s’interroger sur la légitimité des droits qu’ils se donnent. Ils héritent de cette légitimité qui fait partie d’eux. Il faut donc prendre du recul sur la vie humaine et sur soi-même pour découvrir l’existence de la fausse légitimité. En fait, plus je regarde vers le ciel, plus j’écoute ses messages, plus je réalise combien l’ordre terrestre repose sur des oppositions de droits illégitimes. Chaque fois, celui qui gagne, gagne en raison de sa force, et cette force légitime, faussement, son droit à s’imposer aux plus faibles que lui.

Parallèlement à ces oppositions des puissances terrestres, Dieu intervient pour faire accomplir ses projets. Or, je le rappelle, en divisant les humains par des langues étrangères à « Babel », il y a environ un peu plus de 4000 années, Dieu voulait séparer les peuples pour pouvoir les juger et les châtier indépendamment les uns des autres. Ces châtiments étaient naturels : sécheresse et canicule, ou à l’opposé, grandes crues et inondations, orages et cyclones ravageurs, raz-de-marée, tremblements de terre, éruptions volcaniques, froid glacial, dévastation par les sauterelles. Il ne manquait pas de moyen pour faire mal à ses créatures rebelles. Or, dans notre temps de la fin, le développement technologique étant en cause, la terre entière est devenue comme un village, chacun suivant sur son smartphone, son PC, ou sa télévision, l’actualité mondiale, en direct, en temps réel ; ce dont je profite aussi.

Les fausses légitimités se sont regroupées en deux camps pour s’affronter et permettre que la guerre fasse « tuer le tiers des hommes » selon le désir de Dieu en Jésus-Christ révélé dans Apo.9:15 : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. ». Or, la guerre qui oppose l’Ukraine et la Russie est directement causée par l’opposition de deux légitimités qui se sont construites dans un chemin de malédiction divine. Ces deux fausses légitimités ne pouvaient donc que conduire à la guerre les deux camps concernés. Et il n’existe sur la terre personne qui ait l’autorité et la sagesse pour arbitrer les deux revendications entrées en conflit. Dieu nous a donné, avec l’exemple de la situation créée par le retour des Juifs en terre palestinienne depuis 1947, une preuve de sa capacité à créer des situations insolubles conflictuelles. Aujourd’hui, il renouvelle la chose, et dans le camp de la Russie et des pays de l’Orient, il y a un rejet des valeurs occidentales dont la puissance actuelle s’est établie par la force, en colonisant momentanément des peuples, en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient. Après la victoire des USA, les vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale s’étaient partagé le monde et ses peuples ; au moins, au niveau de leur influence politique et économique. Subtilement, les USA ont pris soin d’éviter de donner, à leur démarche, la forme détestée de la colonisation. Ils ont simplement voulu placer les peuples dans une attitude de coopération économique basée sur l’acceptation des règles fixées par le capitalisme anglo-américain. La terre ne les intéressait pas ; seules les finances avaient de l’intérêt pour eux. Mais pour obtenir cette soumission, ils n’ont pas hésité à provoquer des guerres meurtrières, des révoltes, des soulèvements, visant à placer des dirigeants favorables à leur capitalisme, dans les pays récalcitrants. Ceci au nom d’une fausse légitimité.

Le jeune président E. Macron a hérité dès sa naissance de la conception de la légitimité des droits que sa nation France s’était donnés à cette époque. Il a grandit dans un contexte où ces droits fondamentaux étaient la règle absolue et il est certain qu’il ne lui est jamais venu en tête la pensée de juger ou de remettre en cause la légitimité reconnue et adoptée par la France et sa population. Cependant, il suffit de revoir l’histoire, pour comprendre comment le droit national a dérivé de manière perverse, en cherchant à s’imposer par la guerre à d’autres peuples. Toutefois, je dois reconnaître que la France révolutionnaire fut piégée en étant elle-même objet de l’attaque des autres monarchies européennes. Mais à cette époque, bloquer les attaques des ennemis ne suffirent pas et c’est cependant ce que le camp occidental demande aujourd’hui à l’Ukraine. Le conflit donnant la victoire aux Républicains français à Valmy, la guerre aurait dû s’arrêter là. Mais l’Autriche, pays d’origine de la reine française Marie-Antoinette exécutée, affronta encore la république française et Napoléon 1er remporta momentanément la victoire sur les monarchies européennes ; juste le temps de faire découvrir la liberté républicaine aux peuples de ces monarchies vaincues. C’est ainsi que l’idéal républicain a gagné les esprits en Europe, selon le modèle produit par la France. Or, pour Dieu, ce modèle est celui d’un régime du « péché » légalisé et légitimé, symbolisé par la couleur « écarlate » de la « bête » républicaine du temps de la fin présentée dans Apo.17:3 : « Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. ». La France va donc rester la cible principale de la colère divine jusqu’à son châtiment final que la Russie va lui infliger. Car les menaces verbales qui apparaissent sur les médias russes ne font que confirmer la condamnation et la destruction de Paris, la capitale de la France, où, au cours des siècles, depuis le Louvre jusqu’au palais de l’Elysée, siège présidentiel actuel, toutes les décisions nationales dirigées contre Dieu ou d’autres peuples ont été prises. Car Dieu ne reconnaît qu’une seule légitimité : la sienne.

En fait de légitimité, pour la vie créée par Dieu, la chose se résume par cette célèbre expression tirée d’une fable de Monsieur Jean de la Fontaine : « La raison du plus fort est toujours la meilleure ». Et heureusement pour ses élus, le plus fort, c’est le Dieu créateur, il est aussi le plus fidèle, le plus juste et le plus aimant. Jésus est « parti en vainqueur et pour vaincre » selon Apo.6:2 : « Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre. » Dans son ministère terrestre, il a vaincu, successivement, par sa vie parfaite, « le diable », et par sa mort volontaire, « le péché ». Il ne lui reste plus qu’à détruire « les pécheurs » que constituent les multitudes humaines répandues sur la terre. Il les détruira en partie par la guerre et le reste des survivants sera détruit à son retour puissant et glorieux. Puis après les « mille ans » du septième millénaire au cours duquel, dans le ciel, les élus rachetés jugeront les humains et les anges les plus coupables, il les ressuscitera dans une deuxième « résurrection », afin qu’ils subissent l’anéantissement de la « seconde mort » dans « l’étang de feu » formé par la terre recouverte du magma souterrain actuel, vu de temps en temps dans les coulées volcaniques. Ainsi périront tout ceux qui ont pensé, approuvé, soutenu le « mensonge » dont le « père est le diable » selon Jean 8:44 : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge. » En dernier, Jésus-Christ déclare dans Apo.22:15 : « Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ! » Ceux qu’il condamne ont tous vécu sous des fausses légitimités soit, dans « le péché ».

Ce sujet du « mensonge » prend dans notre actualité une grande importance, car le camp occidental ne cesse de présenter le chef de la Russie, Vladimir Poutine, comme  un « menteur » naturel. Or, que se passe-t-il en réalité ? Mr. Poutine adresse des menaces à l’Occident et il précise « qu’il ne bluffe pas ». Où est donc le « mensonge » ? Le problème est dans le camp occidental tellement habitué aux mensonges politiques que ses populations et ses responsables politiques et médiatiques pensent que le chef russe leur ressemble, selon ce vieux dicton : « on juge les autres d’après soi-même ». Car, qui honore les présidents menteurs qui trompent leurs électeurs, n’est-ce pas les Français où le plus « menteur » jusqu’à son époque a été Jacques Chirac nommé par les médias « Super-menteur » ? Et après lui, le président Hollande n’a t-il pas été élu au nom de sa déclaration : « mon ennemie c’est la finance » ? Alors qu’il a choisi pour conseiller et ministre  Emmanuel Macron, un financier de la banque Rotschild,  et par la suite, a imposé le régime des assurances maladies des mutuelles, ce qui a doublé le coût de la gestion déjà pris en charge par le service nationalisé de la « sécurité sociale ». Alors, oui, le camp du « mensonge » est bien cet Occident symbolisé depuis Daniel 2 et 7 par les symboles de « dix doigts de pieds » et « dix cornes » que Dieu veut maintenant frapper durement en organisant l’accomplissement de la « sixième trompette » de son Apocalypse soit, le thème sous lequel Apo.6:11 symbolise la Troisième Guerre Mondiale mise en route depuis le 24 Février 2022, en Ukraine.

Dans les pays principalement concernés par cette guerre, la norme de la légitimité est établie par chacun d’eux selon leur athéisme, leur religion, et leurs coutumes. L’Occident se place sous la norme établie par les USA et des accords régissent les règles imposées à la guerre elle-même. Dans l’Orient et les pays liés à la Russie ces règles occidentales ne sont pas reconnues et leurs guerres n’ont pas de règles. Aussi, les Occidentaux se montrent très choqués en voyant la Russie envoyer au combat le groupe armé privé nommé « Wagner ». La Russie a voulu limiter les engagements des jeunes appelés de son peuple. Mais depuis le 24 Février 2022, les Occidentaux utilisent bien les combattants ukrainiens comme des mercenaires fournis en armes et rémunérés par les capitaux occidentaux. Et en ce début de l’année 2023 du faux calendrier, les choses changent, car la Russie mobilise maintenant, massivement, en vue de sévères offensives qui seront menées sous peu contre l’armée de l’Ukraine. Pour l’Occident déjà trop engagé par ses aides et ses armes remises aux ukrainiens, il est désormais trop tard pour faire marche-arrière

J’aborde maintenant une autre illégitimité qui concerne la pratique du « vouvoiement » lorsqu’un individu parle à un autre individu. La chose peut paraître bénigne, mais il n’en est rien. Car tout au contraire, nous avons-là,  un signe qui révèle « l’orgueil » de toute la société occidentale contemporaine. Or, Dieu a déclaré ; solennellement ; sa détestation de « l’orgueil » qui a été cause de la chute du premier ange créé par lui. Ce verset d’1 Pierre 5:5 repris dans Jac.4:6 exprime une pensée divine fondamentale : « De mêmes, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d'humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles. » Cette description du caractère béni par Dieu est le contraire des valeurs instaurées par l’église catholique papale romaine. Et oui ! C’est encore d’elle, que l’orgueil actuellement manifesté est hérité. Je rappelle que le régime papal a été obtenu en premier, par un intrigant nommé Vigile. Il a obtenu ce titre à cause de ses relations intimes avec la prostituée nommée Théodora, que l’empereur Justinien 1er a épousé. C’est ainsi que côtoyant les grands et les puissants, le régime papal a partagé leur goût pour le bien-être matériel, le confort et les richesses. Mais c’est réellement à l’association de Louis XIV et de ses prêtres, évêques et cardinaux félons, que nous devons notre actuelle pratique du « vouvoiement ». Ce roi despote, dont l’orgueil et la mégalomanie ont dépassé tous les autres règnes de l’histoire terrestre, était un fervent défenseur de la religion catholique. Et c’est lui qui, dans ses édits, fut le premier à s’exprimer, personnellement, en disant, « Nous, Louis, quatorzième du nom, nous … ». Et ce nous aurait pu justifier la légion de démons qui habitait en lui, mais c’était bien au sujet de sa seule personne qu’il utilisait ce terme « nous ». Jusqu’à cette époque, dans la langue française, chaque français avait à sa disposition trois formes pour le singulier, « je, tu, il ou elle », et trois formes pour le pluriel, « nous, vous, ils ou elles » . Et en parfaite logique, même pour s’adresser à un roi, le « tutoiement » était utilisé. Dans la Bible, nous voyons, Daniel tutoyer le grand et puissant roi Nébucadnetsar, de même Paul tutoie le roi Hérode Agrippa et personne ne trouvait à redire contre cette pratique. Il a donc fallu que vienne sur le trône de France, un enfant âgé de 5 ans, pour que l’orgueil démesuré s’empare des esprits humains, et en premier, bien sûr, ceux des riches, des possédants, des puissants, ceux que Dieu appelle « les grands ». C’est ainsi que, subjuguant les rois de son époque, par son luxe, son apparat, ses fêtes somptueuses organisées dans son palais construit à Versailles, le roi Louis XIV a été imité et reproduit dans tous les autres royaumes de son époque. Ainsi, dans la langue anglaise, le terme « thou » qui exprimait notre « tu » a été progressivement abandonné au profit du seul terme « you » qui, originellement, désignait uniquement notre « vous ». Pour Dieu ce « vouvoiement » injustifié, et uniquement justifié par le motif de l’orgueil, est tellement détesté et insupporté par lui, que, lorsque sur son ordre, le châtiment de la Révolution française est tombé sur l’aristocratie entière, la première chose que ces révoltés ont fait a été de remplacer le vouvoiement par le tutoiement. Cette œuvre-là, pratiquée par les Révolutionnaires, était réellement voulue et organisée par Dieu, parce qu’à ses yeux, l’orgueil de ses créatures est le pire de leurs maux ; car pour la créature orgueilleuse, la vie éternelle sous la gouvernance de Dieu est impossible.

Je ne me fais aucune illusion au sujet du monde, pour qu’il abandonne cette pratique du vouvoiement, mais j’adresse de la part de Dieu, ce message à ses vrais enfants qui désirent réellement lui plaire, afin de répondre à son amour. Individuellement, nous disons « tu » en nous adressant au Dieu créateur tout-puissant. Peut-on donner plus d’honneur à ses créatures qu’à lui-même en nommant par un terme pluriel l’individu au caractère et nature du singulier ? Le vouvoiement d’un seul individu est une perversion mentale, et le prétexte de cet usage pour raison de politesse est illégitime et non fondé. Le tutoiement n’empêche pas la politesse, de même que le vouvoiement n’empêche pas l’impolitesse et les injures. Le vouvoiement est un signe de supériorité hérité de l’aristocratie et dans certaines familles aristocrates, le vouvoiement est appliqué par des enfants quand ils s’adressent à leurs parents ; quelle dérive perverse ! Tout cela, parce que des prêtres ignorés par Dieu ont appris à leurs parents à dire « vous » au Dieu du ciel. Dans notre actualité, le mot « Monsieur » est aussi illégitime que le vouvoiement, car il est le raccourci de l’expression « mon seigneur ». Là encore, ce terme nous renvoie à l’époque de Louis XIV, car le nom « Monsieur » désignait particulièrement son frère puîné, Philippe d’Orléans, qui avait autant d’affinités avec ses « mignons » que son frère, le roi, en avait avec ses nombreuses courtisanes. Le constat de ces choses témoigne de la véritable situation du concept de la vie moderne actuelle : au temps de la 5ème République, tout ce que la 1ère République a détruit et fait judicieusement et justement abandonner, a été reconstruit et restauré. Alors, je rappelle, que de son côté, notre Dieu créateur, à juste titre et à juste raison, exige, lui-aussi, de la part de ses vrais enfants, qu’ils produisent le fruit de la vraie foi, en obéissant à son désir de restaurer toutes ses valeurs divines. Parmi celles-ci, le repos du sabbat n’est qu’un aspect doctrinal et signe de son approbation qui peut néanmoins conserver jusqu’à la dernière épreuve de foi, un caractère encore trompeur. Car depuis 1994, le repos du vrai sabbat, le samedi, tient le rôle du « sceau de Dieu », que pour ceux qui manifestent l’amour pour ses dernières révélations prophétiques.

Parmi les appelés de Dieu, ceux qui, comme moi, sont nés en France ou dans l’Europe occidentale, doivent le comprendre, nous avons tous hérité de valeurs que Dieu n’approuve pas. Nous avons été formés par notre environnement sociétal et nous avons maintenant le devoir de juger cet héritage, afin de produire, dans nos esprits, la pensée d’un jugement partagé avec Dieu ; car il est l’Esprit saint qui sonde nos pensées et nos cœurs. Dieu écarte et rejette les esprits qui contestent la sagesse et la justice de ses pensées ; la parfaite adhésion à son opinion est donc totalement exigée par lui pour entrer dans son éternité. Dans la construction de ce que nous sommes devenus, le cinéma a tenu le rôle principal. Les films de capes et d’épées, comme les « trois mousquetaires » nous ont fait rêver, mais aussi, insidieusement, nous ont fait accepter les normes des régimes despotes des monarchies approuvées et dirigées par le papisme romain. En France, la période de la Réforme a commencé dans le temps appelé « la Renaissance ». Dieu a judicieusement choisi le nom qu’elle devait porter. Car l’arrivée de la vraie lumière de la Bible, à cette époque du 16ème siècle, mais historiquement depuis le 12ème siècle, a précisément créé la possibilité de retrouver le salut offert par Dieu par grâce au nom de Jésus-Christ soit, la « nouvelle naissance ». Les humains incrédules imputent ce nom, à cette époque, pour des raisons culturelles. Et là encore, ce renouveau culturel est dû au mariage de François 1er avec l’italienne, très catholique, Marie de Médicis. C’est dans cette rencontre, que le roi de France a découvert le style de vie raffinée qui caractérisait déjà l’Italie de son époque. A Rome, des peintres et sculpteurs de talent ornaient de leurs œuvres prestigieuses les rues et les palais italiens. C’est ainsi, que le célèbre Léonard de Vinci est venu peindre pour le roi de France en s’installant dans ce pays. La séduction catholique italienne a atteint alors en France son apogée. Et l’admiration pour les œuvres culturelles a favorisé l’appréciation de la religion italienne : le catholicisme papal romain déjà bien soutenu en a encore plus bénéficié. Mais derrière le vernis apparent d’une société raffinée, le modèle italien, importé et adopté, apportait sa nature d’organisation du crime ; chose qui caractérisait le ministère papal d’Alexandre 6 né Borgia qui faisait tuer ses victimes par son fils César nommé, lui-même, cardinal, par son père. Ce modèle mis en place en France, à l’heure même où la lumière biblique venait contester la valeur de la religion catholique, fausse et illégitime, les persécutions mortelles des vrais prophètes de Dieu ne pouvaient être évitées. Et ainsi, à cause de certains protestants mal convertis, des luttes sanglantes opposèrent les ligues catholiques aux combattants Huguenots protestants. De toutes ces terribles choses, il nous est resté le témoignage historique des « Guerres de religions », thème et sujet de la « troisième trompette » d’Apo.8:10 et 11. Et c’est précisément en 1572, que le crime et la perfidie ont atteint un sommet d’horreur avec le massacre de la « Saint-Barthélemy », où invités à Paris au Louvre pour célébrer les fiançailles du futur roi Henri IV avec la princesse Marguerite dit « Margot », les chefs protestants ont été massacrés par les ligues catholiques des Guises et des Parisiens, au tocsin de minuit : « l’heure du crime ». Mais en même temps, ce fait révèle le jugement de Dieu sur le protestantisme armé de l’époque, il revendiquait la foi réformée mais le faisait l’arme à la main, ce que Jésus a formellement interdit à ses vrais élus au soir même de son arrestation par les gardes juifs, avant d’offrir sa vie en sacrifice d’expiation pour eux. Et à nous tous, il continue de dire « A moi la vengeance et la rétribution ! » ; il ne nous est pas permis de nous venger nous-mêmes. Au temps choisi par lui, il confit cette tâche punitive aux victimes déchues, séduites et trompées par le mensonge religieux.

 

 

 

L’unique VERITE

 

Alors que nos sociétés occidentales s’unissent et se rassemblent au nom du partage d’une « pensée unique » construite sur l’héritage du modèle républicain et du régime démocrate, en face d’eux, se dresse l’unique Dieu de VERITE dont le modèle de pensée est également « unique ». Le sujet que je développe là, concerne un aspect de la VERITE détesté par la fausse foi qui s’assemble dans l’alliance œcuménique. Dans cette alliance, il n’est rien que l’on déteste et combatte le plus, que l’homme qui prétend détenir toute la VERITE. Et déjà, en son temps, notre Seigneur Jésus-Christ, a été détesté par le clergé juif en raison même de sa capacité à apporter des réponses à toutes choses. C’est pourquoi, les fils de Dieu de notre époque se distinguent de ceux du diable par le fait qu’ils imputent au seul Dieu créateur une seule et unique pensée. Car Dieu ne pense pas tout et son contraire, comme pourrait le faire croire les revendications de bénédictions de toutes ces doctrines religieuses opposées les unes aux autres.  Tout au long de la Bible, Dieu témoigne d’une constante et inchangeable pensée : il approuve ou blâme et condamne.

En règle générale, les êtres humains ont légitimement le droit d’avoir des opinions sur les sujets et les choses du domaine profane. Et, comme l’enseigne ce vieux dicton français, à juste titre : « les goûts et les couleurs ne se discutent pas » ; mais ce principe s’applique, uniquement, pour les choses profanes. Pour le sujet religieux, c’est tout le contraire, car la pensée unique du Dieu unique ne se discute pas. Dieu reste constamment dans un même jugement des choses et des valeurs morales. Et il te faut réaliser que lorsque tu émets un avis sur un sujet religieux, tu n’exprimes pas seulement ton opinion, tu impliques le Dieu créateur qui juge ces choses lui-même en lui attribuant tes propres pensées. Or, il n’est rien que Dieu déteste autant que de se voir imputer les pensées qu’il ne partage pas et n’approuve pas. Tout au contraire, si tu lui appartiens, tes pensées sont les siennes, il les partage et les inspire, et peut ainsi, à juste titre, les bénir.  Jésus a prié pour obtenir la communion de ses élus, « afin qu’ils soient un », selon Jean 17:21-22 : « afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu'eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m'as envoyé. Je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, afin qu'ils soient un comme nous sommes un, …». Jésus ajoute et précise encore au verset 24 : « Père, je veux que là où je suis ceux que tu m'as donnés soient aussi avec moi, afin qu'ils voient ma gloire, la gloire que tu m'as donnée, parce que tu m'as aimé avant la fondation du monde. » Je découpe maintenant ce verset si important dans son enseignement, Jésus dit : « Père, je veux que là où je suis ceux que tu m'as donnés soient aussi avec moi ». Les élus seront, effectivement, enlevés de terre et mis en présence de Jésus au temps de la « première résurrection », mais ceci sera obtenu, uniquement, sous condition que « l’unité » ait été réelle et conforme à la pensée divine. Cet enseignement est très éloigné de l’idée que suggèrent les innombrables croix de bois, de pierre, de fer ou de marbre, qui s’élèvent dans tous les cimetières. Toutes ces croix confirment la valeur « étiquette » que la fausse religion donne à la foi chrétienne. Ces nombreuses croix ne font que confirmer l’aspect « supermarché » que cette fausse religion impute au choix du Dieu créateur. Tu peux ainsi comprendre les raisons de son ardente colère qui vient punir les pécheurs, au cours des 10 dernières années de la fin des six mille années de péché qui ont mis et mettent encore sa patience à l’épreuve. De même que les hommes ne supportent pas qu’on les fasse passer pour ce qu’ils ne sont pas, Dieu condamnent et punit de mort éternelle soit, définitive, ceux qui lui attribuent des actions et des pensées qui ne sont pas les siennes.

La VERITE, ce n’est pas seulement un mot, c’est surtout une personne, une entité unique, qui définit la pensée et le jugement du Dieu créateur. C’est pourquoi, la doctrine de la « Trinité » est le fruit d’une apostasie religieuse quand elle définit Dieu comme « trois personnes », alors que Dieu exprime son unicité révélée dans son plan du salut. Car la « Trinité » « du Père du Fils et du Saint-Esprit » rappelle aux élus, les trois rôles successifs du Dieu unique dans l’accomplissement de ce plan du salut. Sous le nom « Père », Jésus rappelait le Dieu de l’ancienne alliance soit, le Dieu créateur et législateur, ordonnateur de ses dix commandements et de toutes les ordonnances et préceptes de cette ancienne alliance. Par le nom du « Fils », Jésus rappelait aux élus que leur salut était obtenu uniquement par lui, par sa mort volontaire, son sacrifice expiatoire offert pour le rachat de leur péché. Ensuite, par le nom « Saint-Esprit », il annonçait le rôle que lui, Jésus, allait tenir pour agir en faveur de ses élus, après sa mort et sa résurrection. Y a-t-il action de trois personnes ? Non ! Parce que le même esprit de Dieu conduit ces trois actions. Cette précision est très importante : Dieu est esprit et ne peut être en réalité et en nature que parfaitement Saint et l’Esprit. Ce qui fait une personne, c’est seulement son esprit. Son aspect peut être indifféremment, céleste ou terrestre, mais chaque créature de Dieu est jugée en tant qu’esprit. Les apparences physiques ne comptent donc pas pour le grand Juge car il juge les pensées et les cœurs soit, les choix des choses affectionnées par ses créatures. Successivement, Dieu s’est présenté aux anges sous l’aspect de l’ange « Micaël », puis aux êtres humains, sous l’aspect de l’homme nommé « Jésus de Nazareth ». Ainsi, « Micaël » a quitté ses anges célestes pour naître dans le corps de la jeune vierge Marie, miraculeusement, sous le nom « Jésus ». « Micaël et Jésus » sont donc un seul et même esprit divin. Deux formes sous lesquelles l’Esprit, le Dieu créateur, se révèle à ses créatures. Celui qui crée la vie et les aspects qu’il lui donne peut ainsi à son gré prendre l’apparence qu’il veut quand il le veut. Cette logique échappe aux musulmans qui refusent de croire à la divinité de Jésus-Christ parce qu’ils ne voient en lui que l’apparence de l’homme. Mais pendant son ministère terrestre, Jésus ne faisait que référence au Père qui se cachait en lui. La foi repose sur l’acceptation de l’existence du Dieu créateur pour lequel rien n’est impossible. Et c’est ainsi, qu’en niant l’existence de cette impossibilité divine, la fausse foi se démasque et se révèle pour ce qu’elle est réellement.

Dans le prolongement de cette idée, le faux christianisme ne produit pas le changement du comportement de ses adeptes que le Dieu créateur exige de la part de ses vrais élus qu’il sauve par la mort de Jésus-Christ. De plus, son désintérêt pour la parole de Dieu et ses prophéties le tient dans l’ignorance de son intention d’exiger de ses élus, un achèvement complet de la Réforme engagée aux 15ème et 16ème siècle ; ceci, depuis l’année 1843 établie dans Dan.8:14. Ce résultat est directement la conséquence de leur conception erronée au sujet du caractère de Dieu et de ses possibilités illimitées. Ils ne comprennent pas l’absolue nécessité du changement de statut obtenu par un changement concret du caractère mental de l’appelé du Christ ; changement complet que Jésus appelle la « nouvelle naissance ». La fausse foi présente la foi comme un principe théorique basé sur la croyance au fait que Dieu existe et qu’il est venu en Christ expier les péchés de ceux qui croient à cette action divine. La formulation est correcte mais ce qu’implique cette offre de salut manque : le changement concret qui fait d’un pécheur désobéissant un élu obéissant, saint et fidèle envers Dieu et ses ordonnances.

Nous trouvons dans l’Apocalypse, sa divine révélation, les choses que Dieu reproche à ses serviteurs et celles qu’il impute à la fausse religion, laquelle, à l’exemple de l’église catholique romaine, revendique un pouvoir temporel, rompant ainsi avec la norme établie par Jésus-Christ qui a clairement dit au procurateur romain Ponce Pilate, dans Jean 18:36 : « Mon royaume n'est pas de ce monde, répondit Jésus. Si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour moi afin que je ne fusse pas livré aux Juifs ; mais maintenant mon royaume n'est point d'ici-bas. », Son « royaume » n’a donc pas un caractère temporel, il ne revendique pas de droits dans le domaine profane civil, mais uniquement dans le domaine spirituel religieux. Jusqu’à son retour glorieux, Jésus laisse au diable et ses représentants terrestres la domination et la puissance de la gouvernance des choses terrestres. Il confirma cette leçon en disant aux Juifs dans Marc 12:17 : « Alors il leur dit : Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. Et ils furent à son égard dans l'étonnement. ». « L’étonnement » relevé avait pour cause le fait que les Juifs attendaient de voir Jésus détruire le pouvoir romain installé en Israël. Cet « étonnement » allait vite se transformer en déception et pour les plus déçus, en haine contre Jésus, parce qu’il ne les délivrait pas de l’occupation dure et cruelle des soldats romains.

Les reproches que Jésus adresse à ses serviteurs prouvent qu’il exige de ceux qu’il sauve, un saint comportement qui doit remplacer celui de l’être pécheur. Bien que les reproches cités concernent ses serviteurs au cours du temps de l’ère chrétienne, nous pouvons néanmoins les rassembler comme une leçon globale adressée à tous ses élus de tous les temps.

Nous lisons, dans Apo.2:4 : « Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu as abandonné ton premier amour. » Jésus fait ici un reproche qui touche presque tous les Chrétiens victimes du temps qui passe. Car, le moment du baptême, heure de joie et d’enthousiasme, pour ceux qui en font la demande à l’âge adulte, cède la place à la routine et l’habitude qui rendent la foi formaliste et tiède. Cet affaiblissement de l’engagement des appelés va causer leur perte éternelle comme la menace du verset 5 qui suit l’enseigne : « Souviens-toi donc d'où tu es tombé, repens-toi, et pratique tes premières œuvres ; sinon, je viendrai à toi, et j'ôterai ton chandelier de sa place, à moins que tu ne te repentes. » Cette leçon qui concerne « l’abandon du premier amour » va s’appliquer dans Apo.3:7 et 14 ; les deux époques du début et de la fin de l’église officielle et institutionnelle de l’adventisme du septième jour soit, les époques nommées « Philadelphie et Laodicée ».  Le « premier amour » concerne l’époque « Philadelphie » bénie l’an 1873, selon Dan.12:12, et « l’abandon de ce premier amour » s’applique à l’époque finale de « Laodicée » en 1994, année définie comme fin des « cinq mois » ou 150 années du délai donné par Dieu à sa dernière église institutionnelle, dans Apo.9:5-10, pour juger la valeur de sa foi qui, jugée « tiède », le conduit à la livrer au camp des « faux prophètes » du christianisme universel.

Les contextes historiques de ces deux époques de l’ère chrétienne place le temps « Ephèse » dans un temps de cruelles persécutions dues à l’empereur romain de l’époque, Domitien. A l’opposé, le temps de la fin de « Philadelphie et Laodicée » est caractérisé par la paix religieuse. A noter que la guerre religieuse reprend en 1995, aussitôt que « Laodicée » est « vomie » par Jésus-Christ soit, en 1994. L’opposition religieuse qui se manifeste alors est musulmane. Et à cette époque, la paix règne entre les ennemis catholiques et protestants réconciliés par leur alliance œcuménique, rejointe par la fausse foi adventiste, officiellement, en 1995. La paix n’a donc pas favorisé la foi, elle l’a, au contraire, tuée. C’est là que nous pouvons comprendre que la valeur de la foi ne dépend pas du contexte du temps. Les persécutions ou la paix ne changent rien au résultat, parce que la foi dépend de la nature individuelle des êtres humains. Nous sommes ce que nous sommes, et Dieu le sait depuis sa création du monde. Pour lui, il n’y a aucune surprise ; la surprise est uniquement pour nous, ses créatures, qui découvrons notre destin individuel, jour après jour.

Dieu sélectionne ses élus en fonction de leur capacité à se montrer fidèles et zélés soit, « bouillants » de manière permanente perpétuellement. Dans son jugement, le cas de « Laodicée » est pire, bien plus grave, que celui du temps « Ephèse », auquel Jésus reconnaît la norme de sa vérité doctrinale, dans les versets 2 et 3 : « Je connais tes œuvres, ton travail, et ta persévérance. Je sais que tu ne peux supporter les méchants ; que tu as éprouvé ceux qui se disent apôtres et qui ne le sont pas, et que tu les as trouvés menteurs ; que tu as de la persévérance, que tu as souffert à cause de mon nom, et que tu ne t'es point lassé.» Il n’en est pas de même dans le temps « Laodicée », où il dit à son serviteur officiel institutionnel, dans Apo.3:17 : « Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, » Ces expressions condamnent et remettent en cause tout l’héritage doctrinal de l’adventisme institutionnel officiel universel, que, le disant « nu », Jésus confirme son refus de lui imputer le « vêtement » de sa « justice éternelle ».

J’ai déjà fait remarquer, les différences des œuvres relevées par Jésus-Christ,  œuvres qu’il attribue à l’adventisme du début et de la fin dans les époques « Philadelphie et Laodicée ». Les deux messages sont dans l’opposé absolu. Tu vas sans doute t’interroger et vouloir comprendre pourquoi et comment l’enseignement donné par Dieu au temps « Philadelphie » peut être à ce point contesté par Jésus dans l’époque « Laodicée ». Et cette explication est légitime et nécessaire. La cause principale du changement relevé repose sur le comportement des adventistes au sujet de l’intérêt donné à la parole prophétique, car ce thème est devenu fondamentalement important depuis la date 1844, en laquelle, seule, « la vraie « sainteté » estimée par Dieu obtient la protection de sa « justice éternelle » ; ce que Daniel 8:44 exprime en ces termes : « Jusqu’à deux mille trois cent soir-matin et la sainteté sera justifiée » ; c’est la vraie et authentique bonne traduction de ce verset d’après le texte original hébreu. Relève donc déjà, le fait que l’adventisme officiel s’est construit, depuis son début, sur une fausse traduction de ce verset qui constitue la plateforme de tout son enseignement doctrinal. L’adventisme officiel n’a reconnu que la fausse traduction proposée jusqu’à moi dans les différentes versions des traductions de la Bible soit : « Jusqu’à deux mille trois cent soirs et matins et le sanctuaire sera purifié ». Or, dans le texte hébreu, il n’est pas question de « sanctuaire purifié », mais de « sainteté justifiée ». De plus sur cette fausse base du « sanctuaire purifié », l’adventisme a construit son dogme du jugement dit « investigatif » en mal interprétant les images présentées dans Daniel 7:9-10 : « Je regardai, pendant que l'on plaçait des trônes. Et l'ancien des jours s'assit. Son vêtement était blanc comme la neige, et les cheveux de sa tête étaient comme de la laine pure ; son trône était comme des flammes de feu, et les roues comme un feu ardent. Un fleuve de feu coulait et sortait de devant lui. Mille milliers le servaient, et dix mille millions se tenaient en sa présence. Les juges s'assirent, et les livres furent ouverts. » Dans ce verset, l’expression « Un fleuve de feu coulait et sortait de devant lui » concerne le jugement des méchants ressuscités pour la 2ème résurrection, ceci en opposition à l’expression d’Apo.22:1, « Et il me montra un fleuve d'eau de la vie, limpide comme du cristal, qui sortait du trône de Dieu et de l'agneau », ce qui illustre le jugement que Dieu porte sur ses saints rachetés sur la « nouvelle terre ». « Un fleuve d’eau de la vie » remplace « un fleuve de feu » destructeur. « L’ouverture des livres » fut interprétée comme une action céleste engagée par Jésus à partir de 1844, alors qu’elle prophétise l’action des saints qui jugeront les méchants déchus au cours du « septième millénaire » qui vient et va commencer, à l’heure du grand et vrai retour de Jésus-Christ, au printemps 2030. L’adventisme officiel a ainsi cumulé et enseigné, jusqu’à son jugement par Dieu, en 1994, la normalisation d’interprétations prophétiques erronées imposées, par Dieu lui-même, jusqu’au temps de sa pleine lumière venue entre 1980 et 1991, l’année où son refus de croire à la possibilité du retour du Christ en 1994, l’a condamné à être « vomi » soit, abandonné, par Jésus-Christ.

De même que Dieu donna en exemple la faute de Moïse qui déforma le plan du salut prophétisé par Dieu, en frappant une « deuxième fois » le « rocher d’Horeb » et qu’il perdit ainsi le droit d’entrer dans la Canaan terrestre, Dieu punit d’interdiction d’entrée dans sa Canaan céleste, l’adventisme officiel qui a voulu privilégier ses erreurs plutôt que les belles vérités que je lui ai présentées de sa part. Dieu ne change pas ; son jugement et ses exigences restent éternellement les mêmes.

 

 

 

L’inégalité des sexes des couples de l’humanité

 

Je rappelle que, dans ce document, les propos tenus n’expriment pas un simple jugement humain, mais qu’ayant leurs sources dans la sainte Bible, ils révèlent, clairement, le jugement du Dieu Tout-Puissant, notre Créateur.

Nous allons pouvoir constater combien ce jugement divin est attaqué et piétiné par une société moderne marquée par un esprit rebelle qui atteint son apogée. Car à l’heure des revendications féministes des groupements « M.L.F.», des « Femen ukrainiennes », de « Me too », etc… , et des groupes « L.G.B.T. », le jugement de Dieu est visiblement, ignoré et méprisé par des multitudes d’hommes, de femmes, de vieillards et d’enfants destinés, par leur choix des valeurs, à mourir de différentes manières, jusqu’au dernier.

Dans des thèmes précédents, j’ai rappelé ce verset, si important, de Jac.4:6 et 1 Pierre 5:5, où Dieu déclare : qu’« il résiste aux orgueilleux et fait grâce aux humbles ». La nécessité de cette humilité va donc être particulièrement exigée par Dieu, de la part des femmes, en raison du statut « d’aide » pour l’homme, qu’il lui a donné avant même qu’elle ne soit formée à partir de l’une des côtes d’Adam, le premier homme formé à son image. Dieu confirme la chose dans Gen.2:18 : «YaHWéH Dieu dit : Il n'est pas bon que l'homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui. » Ce statut « d’aide » ne fait pas de la femme mariée, l’égale de l’homme. Dieu donne vie à la femme afin qu’elle assiste et porte les enfants de l’homme, son mari. C’est clairement un rôle de servante. Mais ce terme n’a rien de dégradant, puisque Jésus, lui-même, s’est fait serviteur de ses apôtres et ses disciples, allant jusqu’à laver leurs pieds souillés par la poussière.

Cependant, je dois dire toute de suite que cette étude concerne le statut de la femme uniquement dans son rôle d’épouse. Car en état célibataire ou veuve, son statut est strictement égal à celui de l’homme, puisque Dieu l’a créé femme uniquement pour les conditions terrestres. Sauvée par Jésus-Christ, dans son éternité, elle sera comme l’homme, devenue un ange parmi les autres anges tous asexués. Sur la terre, la femme n’a aucune raison d’être considérée comme la bonne à tout faire des hommes mâles. La maltraitance des femmes est un abus pervers des mâles de l’espèce humaine. Aussi, ceux-ci peuvent comprendre pourquoi, las de subir la loi dominatrice des mâles, le genre féminin se révolte et pas injustement. L’examen du sujet qui suit concerne donc uniquement le statut de la femme en tant qu’épouse de l’homme qu’elle aime et qui l’aime ; les deux, vivant ensemble, dans une fidélité réciproque, ce qui constitue la base du vrai mariage devant Dieu. Le reste, les cérémonies et les conventions officielles sont l’affaire des humains pour des raisons civiles.

L’homme moderne doit comprendre que la norme divine s’applique doublement au sens spirituel et au sens littéral. Car l’un n’empêche pas l’autre, mais au contraire, les deux honorent le Dieu qui organise le projet de salut pour la vie humaine créée. Au sens spirituel, « l’homme » représente et prophétise Jésus-Christ et « la femme » fait de même au sujet de l’Eglise que constituera le rassemblement des élus que son sacrifice expiatoire rachètera. Cette leçon fut comprise et révélée par l’apôtre Paul dans Eph.5:22-23 : « Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur ; car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. » Note bien que Paul ne dit pas « l’homme », mais « le mari », ce qui confirme ma précédente explication, selon laquelle le statut que Dieu donne à la femme ne la concerne qu’en tant que « femme » de son « mari ». En fait, Paul aurait pu dire : « car le mari est chef de sa femme ». Mais la portée de ses propos est également spirituelle et dans ce cas la forme qu’il a choisi convient mieux pour désigner Christ et l’Eglise qui est unique : elle est l’Elue, donc « la femme ».

Avant d’aller plus loin, je précise que ces paroles écrites par l’apôtre Paul comme mes propres écrits, sont adressés aux élus de Jésus-Christ, soit, à des hommes et des femmes remplis d’amour pour sa personne et sa vérité, des gens capables de comprendre la vraie justice pensée par Dieu. Or, ce que Paul nous dit constitue un idéal de foi humaine qui est la norme divine exigée pour le salut éternel. La comparaison avec « Christ et l’Eglise » ne s’applique que pour le cas où les deux époux sont des élus rachetés par Jésus-Christ ; et ce cas est extrêmement rare, s’il existe encore aujourd’hui… Les contestataires vont donc être très nombreux, mais ce n’est pas à eux que mes écrits sont adressés. Le filtrage permettant l’adhésion à ce jugement divin est l’amour, le vrai, le pur amour de la vérité, et son témoignage concret qui l’accompagne et le prouve, c’est la parfaite humilité. La présence du moindre orgueil va donc rendre les appelés incapables d’obtenir le statut de l’élection. Or, l’élection n’est obtenue que dans la vraie « sanctification », et celui qui décide, en toute justice, de « sanctifier » ou non sa créature esclave du péché, c’est Dieu et rien que lui. Suivons donc les propos de l’apôtre Paul : verset 24 : « Or, de même que l'Église est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses. » Ici, l’Esprit confirme la validation du principe pour le sens spirituel et son application littérale, car Dieu est un Dieu d’ordre, et l’ordre n’est obtenu que par l’acceptation de la discipline et le principe de l’obéissance. Mais, pour obtenir ce résultat, l’amour doit agir dans le cœur de l’homme marié ou pas, et Dieu va le trouver dans les cœurs des vrais élus : verset 25 : « Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Église, et s'est livré lui-même pour elle, » Ici, l’Esprit révèle la condition indispensable pour que son idéal de la relation mari et femme s’accomplisse. Ce verset n’autorise nullement l’homme de violenter son épouse, ni une autre femme. Même dans le contrat du mariage traditionnel occidental français, il est dit que les « deux époux se doivent assistance, fidélité et solidarité et ceci, jusqu’à ce que la mort les sépare » ; Dieu ne peut donc qu’approuver cette clause du mariage civil ou du mariage religieux. Et en donnant pour exemple la manière donc Christ a donné sa vie pour offrir la vie éternelle à son Eglise, son Elue, son Epouse, il fait porter à l’homme une grande partie de responsabilité dans ses relations avec sa femme. Mais il peut arriver que l’amour de l’homme, même irrépréhensible ou presque, soit inefficace et ne parvienne pas à atteindre le but idéal désiré par Dieu. C’est le cas où la femme est « querelleuse » comme le dit ce proverbe cité dans Pro.21:9 : « Mieux vaut habiter à l'angle d'un toit, que de partager la demeure d'une femme querelleuse. » Aussi, dans le pire des cas, le mariage unit une femme « querelleuse » avec un homme incapable d’aimer comme Jésus a aimé l’Eglise, et ce type de situation explique l’accroissement du nombre des gens célibataires dans notre société occidentale contemporaine. Et ailleurs dans le monde, sans l’aide de Jésus-Christ, les femmes sont traitées en esclaves par des maris injustes et parfois, tortionnaires, très brutaux. Paul dit encore au verset 26-27 : «afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible. » L’Esprit définit clairement ici son projet du salut ; il le résume en ces deux versets qui suggèrent, successivement, les deux phases de « la purification » et de « la sanctification ». Le « baptême » impute la justice du Christ, mais l’abandon de la pratique du péché, qui la rend concrètement « irrépréhensible », réalise l’étape de la « sanctification » exigée par Dieu de la part des élus qu’il sauve. Dieu précise encore sa pensée aux versets 27 à 30 : «C'est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. Ce mystère est grand ; je dis cela par rapport à Christ et à l'Église. » A la lumière de ces paroles, la femme mariée est la première personne que son époux doit gagner à l’Evangile de Dieu ; la première qu’il doit s’efforcer de convertir pour qu’elle soit sauvée. Mais la situation est vraie dans l’autre sens, si c’est le mari qui doit être converti au salut du Christ. Ce mystère est maintenant compris et bien éclairé par Dieu dans mes écrits. La relation entre la réalité et le sens prophétique des symboles est définie et correctement interprétée. A cette lumière, Dieu est glorifié et l’humanité est humiliée, car elle porte, seule, la responsabilité de ses échecs. En Jésus-Christ, Dieu lui a présenté de manière concrète un modèle exemplaire dont la perfection condamne l’imperfection humaine. Les « pierres » vulgaires l’ont rejeté et les « pierres précieuses et les perles » l’ont reçu. Le verset 33 referme le sujet : « Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari. » Et ce dernier verset confirme encore l’inégalité de l’homme et de la femme : « Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari. »  Ciblant strictement l’application charnelle du message, Paul exhorte l’homme à « aimer sa femme » et à la femme il dit qu’elle « respecte son mari ». Or, « aimer » est le devoir du plus fort, et « respecter » est celui du plus faible. La « faiblesse » de la femme est une chose naturelle qui n’a rien de dégradant, ni d’honteux. Cette « faiblesse » ne fait qu’imposer à l’homme des devoirs de soutien et de protection envers sa femme, parce que Dieu l’a créé « fort » dans sa nature.

Nous trouvons dans les personnages bibliques des élus conformes au modèle exigé par Dieu dont Abraham, que son épouse Sara nommait « son seigneur » selon 1 Pierre 3:5-6 : « Ainsi se paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, soumises à leurs maris, comme Sara, qui obéissait à Abraham et l'appelait son seigneur. C'est d'elle que vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien, sans vous laisser troubler par aucune crainte. »

Dans une recherche, j’ai trouvé ce verset de Gen.24:36 : « Sara, la femme de mon seigneur, a enfanté dans sa vieillesse un fils à mon seigneur ; et il lui a donné tout ce qu'il possède. » On peut relever combien l’expérience vécue par Isaac prophétise celle de Jésus-Christ. Abraham tient dans ce verset le rôle de Dieu qui prophétise la naissance tardive du Christ Jésus, dans sa vieillesse soit après presque 4000 ans depuis le péché d’Adam et Eve. Et Dieu va remettre au Christ vainqueur, son « Fils », lui-aussi, « tout ce qu’il possède ». Dans Jean 5:22, Jésus confirme la chose : « Le Père ne juge personne, mais il a remis tout jugement au Fils, …» Il y a un seul « Seigneur » mais plusieurs « seigneurs » comme l’indique le titre que Dieu se donne en Christ « Roi des rois et Seigneur des seigneurs » dans Apo.19:16 : « Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs. ». Le terme « seigneur » est élogieux car il désigne à l’origine le riche et fort qui défend le pauvre et le faible. Mais la méchanceté naturelle intensifiée par la fausse religion chrétienne a revendiqué indignement ce noble titre. Cependant le vrai modèle du « seigneur » est toujours discernable en la personne divine de notre Dieu créateur révélé par Jésus-Christ. L’expression « Seigneur des seigneurs » désigne Dieu dans Deut.10:17 à 19 : « Car YaHWéH, votre Dieu, est le Dieu des dieux, le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, fort et terrible, qui ne fait point acception des personnes et qui ne reçoit point de présent, qui fait droit à l'orphelin et à la veuve, qui aime l'étranger et lui donne de la nourriture et des vêtements. Vous aimerez l'étranger, car vous avez été étrangers dans le pays d'Égypte. » Cet « amour » de « l’étranger » se limitera à l’accueillir en nombre raisonnable, car à l’opposé, sauf exception pour celui qui se convertit au vrai Dieu, le mariage de l’étranger avec l’Hébreu est resté interdit par Dieu. Mais ce verset définit parfaitement la nature morale d’un vrai « seigneur » selon Dieu.

L’humanité a beaucoup perdu en ne tenant pas compte de Dieu et de ses vraies valeurs et c’est la cause de tous ses échecs. Le long temps de paix donné par Dieu entre 1945 et 2022 a permis aux hommes et aux femmes des sociétés dominantes occidentales de porter au maximum les conséquences de leurs défauts ; fautes et péchés pour Dieu. L’égoïsme, la méfiance, la cupidité et la violence, sabotent la possibilité de la vie harmonieuse. Le mariage fait peur aux hommes comme aux femmes et de plus en plus, chacun préfère garder sa liberté.

Dans le domaine économique, les humains sans Dieu considèrent la mise en concurrence comme une chose positive. Elle devrait favoriser une baisse des coûts mais en réalité, elle ne fait qu’augmenter le nombre des exploiteurs qui finissent par s’accorder pour favoriser la hausse des prix de vente au détriment des consommateurs. En fait, l’humanité n’a pas besoin de concurrence, mais de complémentarité. Car vivant en multitude les êtres humains s’apportent des talents complémentaires utiles pour tous. Chaque être humain est dépendant des talents reçus par d’autres et c’est cela qui donne intérêt à la multiplication du nombre de ses créatures, pour Dieu lui-même, mais aussi, pour les vies qu’il crée. En premier, la vie spirituelle et l’œuvre organisée par Dieu reposent sur les talents spécifiques qu’il donne à ses serviteurs fidèles, ses esclaves volontaires. La complémentarité est la force de la construction de la vérité, la source de son édification.

La Bible donne beaucoup de preuves de l’importance que Dieu donne à cette complémentarité, particulièrement, par les témoignages des quatre Evangiles de la Nouvelle Alliance. Mais après eux, la Révélation, nommée obscurément « Apocalypse », est entièrement construite sur ce principe de complémentarité. Les deux alliances successives ont aussi un but pédagogique complémentaire, et il en est de même des prophéties de Daniel et Apocalypse. Et en premier, dans sa conception, l’homme est le produit d’une complémentarité de tous les organes et les membres qui le constituent ; ceci, en sorte que la vie entière est pensée par Dieu pour fonctionner sur le principe de la complémentarité. Dans 1 Cor.12:17, l’Esprit nous dit par Paul : « L'œil ne peut pas dire à la main : Je n'ai pas besoin de toi ; ni la tête dire aux pieds : Je n'ai pas besoin de vous. » Et ce constat définit la vie comme une mise en commun, que le « communisme » politique a déformée et détruite, parce que Dieu était rejeté et absent. Les talents reçus par chacun ayant un rôle complémentaire, ils ne peuvent pas être élevés les uns au-dessus des autres et ne justifient aucun privilège supérieur. La vie selon Dieu est parfaitement égalitaire et les inégalités de sexes actuelles ne sont que provisoirement établies pour le temps du péché terrestre. Car, derrière l’aspect charnel différent de la femme, il y a l’esprit d’une vie qui, si elle est rachetée par le sang du Christ, deviendra, comme celle des hommes également rachetés, un être céleste asexué à l’image des anges célestes, selon ce que Jésus dit dans Matt.22:30 : « Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. »

En entrant en concurrence avec le sexe mâle, les femmes ont pris des emplois destinés aux hommes. Et, dans le même temps, elles ont laissé à des étrangers le soin d’élever leur progéniture. Ces enfants élevés par des nourrices ou des organismes spécialisés n’ont pas bénéficié de l’amour et la douceur de leur mère, ni de leurs justes et utiles reproches et punitions. Les changements des bons principes fondamentaux ont entraîné des changements dans les natures des enfants frustrés de l’accompagnement de leur mère. Les effets présentent un caractère généralisé qui se traduit par la défense des droits individuels, mais il y a toujours des exceptions, car indépendamment de ces principes généraux, la nature profonde de l’être humain va faire la différence. Qui a manqué d’amour dans son enfance peut le trouver en Dieu par Jésus-Christ et être, par lui, comblé dans son besoin. Il est à relever que l’humanité entrée dans la modernité a sacrifié sur l’autel de l’égoïsme le début et la fin de l’existence. Le début, en laissant les petits enfants dans les crèches, et la fin, en plaçant les parents âgés dans des maisons spécialisées du type « EPHAD ». Ceci, pour obéir aux impératifs d’un choix de société contestable où l’activité professionnelle absorbe le temps de la vie des gens. Et l’égoïsme est en cause, car ces abandons sont la conséquence de l’intérêt que l’homme et la femme mariés donnent à leur activité professionnelle. Certains couples choisissent sagement la solution que l’un ou l’autre cesse de travailler pour s’occuper des enfants, et la nature elle-même donne la préférence à ce que ce soit la mère qui les élève et les garde. Alors que le bon sens dit qu’il faut manger et travailler pour vivre, la perversion du temps apparaît en ce que les couples mariés vivent pour travailler et manger. La vie moderne détache les humains des vraies valeurs de la vie, elle encourage l’enrichissement matériel et le plaisir de consommer. Aussi le besoin d’argent devient-il toujours plus grand et les choses à acheter toujours plus chères. Mais ce changement est aussi la conséquence du changement de type de vie qui, autrefois vécue en campagne dans des fermes qui assuraient une bonne partie des besoins nutritionnels, se retrouve depuis l’époque industrielle, vers 1850, concentrée dans des villes où tout doit être acheté, depuis la nourriture jusqu’au plaisir des amusements.

Dans la Bible, Dieu n’a pas ordonné la forme de la cérémonie du mariage qui fut organisé, de manière différente, dans les peuples de la terre. Ces cérémonies présentent en commun le caractère de la réjouissance et de la fête partagée avec les familles et les amis des époux. La pensée de Dieu au sujet du mariage est révélée, tardivement, dans la « Nouvelle Alliance », par la cérémonie du baptême ordonné par Jésus-Christ. Je rappelle que le baptême concerne uniquement des êtres humains en âge de faire un choix sérieux qui engage leur avenir éternel. Dans leur état d’adultes ou de grands adolescents, les baptisés font une alliance éternelle avec Dieu ; une alliance soit, un mariage. Ils entrent, individuellement, dans une communauté d’élus que l’Esprit nomme « l’Epouse » dans Apo.19:7-8 : « Réjouissons-nous et soyons dans l'allégresse, et donnons-lui gloire ; car les noces de l'agneau sont venues, et son épouse s'est préparée, et il lui a été donné de se revêtir d'un fin lin, éclatant, pur. Car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints. » Dans toute la Bible, nous pouvons trouver chez Dieu l’exigence de la « fidélité » ; cette nécessité est rappelée constamment jusque dans l’Apocalypse. Dans Apo.2:10 : « Ne crains pas ce que tu vas souffrir. Voici, le diable jettera quelques-uns de vous en prison, afin que vous soyez éprouvés, et vous aurez une tribulation de dix jours. Sois fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la couronne de vie » ; dans Apo.2:19 : « Je connais tes œuvres, ton amour, ta foi, ton fidèle service, ta constance, et tes dernières œuvres plus nombreuses que les premières » ; dans Apo.3:14 : « Écris à l'ange de l'Église de Laodicée : Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu : ». Dans cette troisième mention, Jésus se présente lui-même au titre de « témoin fidèle et véritable ». Il associe ainsi la « fidélité à la vérité » qui, dans la dernière époque, prend l’aspect éclatant d’une grande lumière venue éclairer l’intelligence des derniers élus ; du fait, les prophéties sont parfaitement comprises et le grand projet salvateur de Dieu est entièrement éclairé. Ces mots « fidélité et vérité » constituent la condition du maintien de l’alliance éternelle passée avec Dieu en Jésus-Christ. Le retour de Jésus est comparé au « retour de l’Epoux » dans « la parabole des dix vierges ». Que demande « l’Epoux à son Epouse » ? Sa « fidélité » dans la « vérité ». Cette demande légitime son application dans les mariages des êtres humains. Aussi grandioses et solennelles qu’elles soient, les cérémonies des mariages terrestres sont trompeuses et vouées à l’échec dans la majorité des cas, parce que Dieu n’est pas l’organisateur de la rencontre des époux. Et la cause de ces échecs sera le plus souvent, « l’infidélité et le mensonge », les deux fruits du diable qui dominent les créatures non protégées par Dieu en Jésus-Christ.

En résumé, la « fidélité » peut permettre la réussite de l’union d’un couple, mais seule la « fidélité » dans  la « vérité » du Christ permet une union avec Dieu, pour la vie éternelle. Mais comment une humanité gagnée par l’esprit de la rébellion et de l’égoïsme pourrait-elle devenir sensible au devoir d’aimer et pratiquer la « fidélité » dans la « vérité » ? Collectivement, il est déjà trop tard, mais individuellement, la chose reste possible, espérée, et attendue jusqu’à la fin du temps de grâce, par Dieu en Jésus-Christ.

Dans le cas où l’un des deux conjoints du couple mari et femme n’obtient pas la sanctification divine, pour celui qui est sanctifié, la fidélité envers Dieu est prioritaire. Cette priorité ne concerne que l’aspect religieux et la forme que Dieu exige pour sa pratique concrète. Aussi, la lutte du bien contre le mal et du mal contre le bien peut conduire à des persécutions vécues à l’intérieur des couples mal unis ou désunis. C’est ce type de cas qui conduit Jésus-Christ à déclarer ce qu’il se passera lorsqu’il reviendra prendre ses élus, dans Luc 17:34 : « Je vous le dis, en cette nuit-là, de deux personnes qui seront dans un même lit, l'une sera prise et l'autre laissée ; ». « Cette nuit-là », la validité de la foi fera la différence. Mais cet exemple prouve que Dieu ne s’oppose pas à une vie commune où la conception de la foi n’est pas unanimement partagée ; ceci d’autant plus que, le plus souvent, le couple s’est uni avant la vraie conversion religieuse de l’époux ou de l’épouse. D’autre part, en règle générale, Dieu invite ses élus fidèles à rechercher la paix et à fuir les situations conflictuelles et dans ce cas, une bonne séparation acceptée par les deux conjoints vaut beaucoup mieux qu’une mauvaise union. Mais l’exemple donné par Jésus nous dit aussi que le conjoint sanctifié a voulu respecter et honorer le statut que Dieu lui a donné ; qu’il soit homme ou femme. Ce respect du statut établi par Dieu, pour l’homme, la femme, et les animaux, dès la création du monde, est un fruit de la vraie foi que Dieu approuve, bénit et sanctifie. Dans la mesure où elle est ordonnée par Dieu, l’inégalité ne peut qu’être acceptée par ses vrais élus. Car en fait, la seule égalité que Dieu donne à l’homme et à la femme, c’est précisément le devoir d’accepter l’inégalité ; ce qui concerne ses vrais élus, hommes ou femmes, qu’il peut sauver, parce qu’ils s’en montrent dignes et c’est là un signe concret de la vraie foi et de la vraie religion. Jésus n’a-t-il pas été victime de bien plus que l’inégalité ? Ceux qui le suivent doivent aussi accepter de porter « leur croix ».

Toutefois, il est bon de savoir que Dieu impose l’inégalité à ses élus uniquement pendant leur séjour sur la terre du péché. Car, Jésus l’a démontré concrètement dans ses œuvres et son comportement sur la terre ; pendant l’éternité, selon la loi du ciel, le plus grand se fera, lui-même, le serviteur de tous.

 

 

L’Europe et le nouvel « Attila »

 

« Là où mon cheval passe, l’herbe ne repousse pas » ; telle était la devise de ce chef des Huns venu frapper l’Europe romaine infidèlement chrétienne, au titre de « première trompette » dans Apo.8:7 : « Le premier sonna de la trompette. Et il y eut de la grêle et du feu mêlés de sang qui furent jetés sur la terre ; et le tiers de la terre fut brûlé, et le tiers des arbres fut brûlé, et toute herbe verte fut brûlée. » Entre 375 et 538, d’autres chefs barbares lancèrent des attaques contre les provinces de l’Empire Romain de l’Europe occidentale actuelle. Mais ce qui intéresse les « fils et filles de Dieu » c’est que seul « Attila » reçut le nom de « fléau de Dieu ». Il a lui-même confirmé avoir lancé ces attaques sur l’ordre de Dieu ; ce que la « première trompette » confirme et authentifie. Et je rappelle que l’action de ce « fléau de Dieu » avait pour but de punir l’abandon du vrai sabbat juif ; abandon ordonné par l’empereur romain Constantin 1er depuis le 7 Mars 321. Cette date, aux chiffres dégressifs, semble marquer le départ de la malédiction du « péché » dont les conséquences vont se prolonger jusqu’à la fin du monde qui sera marquée par le retour glorieux de Jésus-Christ au printemps 2030.

Depuis le 24 Février 2022, un nouvel « Attila » vient renouveler l’action du premier du nom, pour accomplir l’action de la « sixième trompette » d’Apo.9:11 à 21 ; ceci, pour la même raison que le précédent. Et son action doit être d’autant plus grande qu’il vient punir, pour Dieu, l’indifférence religieuse manifestée pour les quatre « trompettes » intermédiaires soit, quatre malédictions infligées à titre d’avertissements symbolisés par le mot « trompette ». La culpabilité du « péché » s’est intensifiée ; ceci, malgré la mission de la Réforme protestante et les épreuves de foi adventistes de 1843, 1844 et 1994. Contestée et combattue, la lumière donnée par Dieu n’a pas été reçue et les paroles de Jean 1:5 se renouvellent : « La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue. »  La juste colère de Dieu a été ainsi attisée par ceux-là mêmes qui se réclament de lui ; comme dans l’ancienne alliance. L’adventisme du septième jour, dernière forme institutionnelle de son Elue, a rejoint le camp des coupables en étant vomi par Jésus-Christ en 1994. Le camp des coupables étant ainsi au complet, le 24 Février 2022, Dieu a lancé la mission punitive du nouvel « Attila ». Et à en juger par les images diffusées par les médias, la devise du premier Attila lui convient parfaitement. Mais les Occidentaux se rassurent faussement en pensant que le drame ne concerne que l’Ukraine peu à peu détruite et dévastée. Ils ignorent ce que Jésus a révélé à ses seuls vrais serviteurs dans ses prophéties bibliques : ce sont eux, les Occidentaux, qui sont la cible principale de cette colère destructrice divine. La dette à payer est lourde : en premier, l’abandon du sabbat sanctifié par Dieu dès la fondation du monde et rappelé aux Hébreux par le texte du 4ème des  10 commandements souverains ; ensuite, l’entêtement à soutenir la religion catholique papale romaine et la pratique de son dimanche d’origine païenne ; après avoir « avalé ces chameaux », « ils avalent » encore « les moucherons » soit, ne tiennent aucun compte de toutes les ordonnances sanitaires et alimentaires, toutefois, secondaires dans l’enseignement divin. Qui est donc ce nouvel « Attila » ? C’est la Russie et cette fois peu importe le nom de son chef, qu’il soit l’actuel président au pouvoir depuis 23 ans, Vladimir Poutine, ou un successeur, peu importe, car la mission divine doit et va s’accomplir exactement comme Dieu le veut et l’a fait savoir. Elle vient accomplir la mission du « roi du septentrion » de Daniel 11:40 à 45 confirmé en « Gog » dans Ezé.38. Elle doit envahir et détruire l’Europe occidentale avant d’être, elle-même, détruite par des tirs nucléaires américains.

Mon pays, la France, a connu des relations tumultueuses avec cette Russie. Après la défaite de Napoléon 1er, en 1812, les Russes ont envahi Paris en 1814 et c’est depuis ce séjour dans cette capitale française que le mot « bistrot », qui signifie en russe, « vite », a été adopté pour désigner les tavernes qui voulaient rapidement servir leurs clients. A l’origine ce mot « bistro » était ordonné par les Russes qui pillaient les biens des Parisiens. Les Russes ont beaucoup apprécié la culture française et son raffinement et c’est à cette appréciation et admiration que la ville de Paris doit de ne pas avoir été détruite. La France a ainsi pu continuer de séduire et d’influencer le monde, par ses auteurs, dont les écrits ont été lus en de nombreuses langues. Ils ont fait la réputation de la France : le premier pays de la liberté à l’égard de la monarchie, de la religion catholique romaine, et de l’autorité céleste de Dieu.

Sous la 4ème et la 5ème République, les relations entre la France et la Russie ont été officiellement courtoises et bonnes ; les deux pays ayant subi la puissance meurtrière de l’Allemagne nazie. Mais le prix payé était très différent, celui de la Russie était immense, considérable, des millions d’âmes civiles et militaires tuées par l’offensive allemande. Aussi, en 1945, la vengeance de la Russie fut terrible et Berlin entièrement détruite, comme « Marioupol » en Ukraine, en 2022. Il est sûr que Dieu ne sera pas déçu par l’action russe. Elle dévastera et mettra à nu l’orgueilleuse « Europa » qui ne cesse pas de l’irriter. Dans un mois, ce sera l’anniversaire de cette « sixième trompette » entrée dans sa phase préparatoire depuis le 24 Février 2022. Car les artificiers le savent bien ; pour faire exploser une bombe, il faut allumer une mèche ; c’est le rôle de la guerre engagée en Ukraine.  Dans ces derniers jours, nous avons vu la Pologne tordre le bras de la décision allemande pour obtenir son autorisation de livraison de chars allemands « Léopard » à l’Ukraine. Et nous pouvons déjà réaliser le piège que constitue l’alliance de l’OTAN. Chaque membre redoute de se trouver isolé, convaincu que leur alliance les protège et le pays qui force la décision, c’est l’Amérique dont le soutien est fondamental pour l’Allemagne. Tout fonctionne comme un jeu de construction dont les pièces assemblées sont interdépendantes les unes des autres ; l’ensemble étant dépendant de la décision américaine. C’est pourquoi, dans l’actualité, l’Ukraine combattante, mercenaire des USA, entraîne tous les Occidentaux dans une guerre menée contre la Russie, l’ennemie potentielle permanente de l’Amérique depuis 1945. Cette dernière réalise ainsi le souhait du général « Patton » qui détestait les Russes et voulait les combattre dès 1945, année de sa mort, officiellement, accidentelle.

Jean de la Fontaine a laissé la fable de la grenouille qui voulait devenir aussi grosse que le bœuf : elle mourut en éclatant ; l’Europe va faire de même. Car l’Europe fut constituée à son origine par six pays seulement, et d’adhésion en adhésion, elle regroupe aujourd’hui 27 pays ou nations. L’Angleterre a maintenant quitté l’Europe et elle a retrouvé sa totale indépendance, mais avant de la quitter elle a bien profité des mesures privilégiées qui lui ont été accordées par les directions européennes. Son insularité, sa monnaie restée nationale, ses comptoirs orientaux installés aux Indes et à Hong-Kong, ont favorisé son commerce et son enrichissement. Dans le même temps, la France qui a perdu ses colonies, délocalise ses emplois vers la Roumanie, en Europe, puis vers la Chine populaire. En conséquence, elle ne crée plus suffisamment de richesse et décline. L’Allemagne profite du bouclier armé des USA et prend la tête de l’Europe au titre de pays européen le plus riche. Elle a ainsi avalé le coût du rattachement de l’Allemagne de l’Est restée depuis 1945 jusqu’en 1989, sous occupation russe. Jusque-là, l’Europe ne regroupait majoritairement que des pays qui représentaient le territoire des dix royaumes occidentaux ou « dix cornes » prophétisés depuis Dan.7:7 : « Après cela, je regardai pendant mes visions nocturnes, et voici, il y avait un quatrième animal, terrible, épouvantable et extraordinairement fort ; il avait de grandes dents de fer, il mangeait, brisait, et il foulait aux pieds ce qui restait ; il était différent de tous les animaux précédents, et il avait dix cornes. ». Les actions décrites dans ce verset concernaient principalement celles qui sont imputées à l’empire Romain. Mais l’histoire le confirme, cette puissance européenne s’est prolongée dans le temps, après l’empire Romain, par l’empire spirituel du régime papal romain instauré en 538 sur le siège de Rome. La Révolution française est venue, pour Dieu, mettre fin à ces règnes despotiques de la monarchie et du papisme en 1798 soit, le terme des 1260 jours-années prophétisés dans Dan.7:25 : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps ». Dans ce verset, les 1260 jours sont présentés sous la forme : une année, deux années, et la moitié d’une année soit, 360 jours + 720 jours + 180 jours = 1260 jours d’années réelles. Après l’accueil de l’Allemagne de l’Est, à son tour la Pologne libérée par la Russie a frappé à la porte de l’Europe qui l’a alors, pour son futur malheur, cordialement accueillie. Car en entrant dans l’Europe Unie, la Pologne y a fait entrer sa haine de la Russie ; une haine bien justifiée par ailleurs car, après de grands massacres durant la Seconde Guerre Mondiale, elle fut terriblement exploitée par la Russie occupante, et ses richesses, son élevage, toutes ses productions, étaient raflés et répandus dans le camp des nations soviétiques russes.

Il faut dire que cette malédiction ne fut pas imméritée car, dans ce pays catholicisé, le message adventiste fut méchamment persécuté entre 1919 et 1939. Des croyants adventistes furent tués, le régime catholique polonais n’acceptant aucune concurrence religieuse. Nous trouvons là une bonne raison pour que la Pologne devienne un piège pour la malédiction de toutes les autres nations chrétiennes jusqu’au retour de Jésus-Christ. Et le piège fonctionne d’autant mieux que la Pologne a donné au christianisme catholique le pape Jean-Paul II, grand séducteur des peuples.

Pour les pays européens d’origine, chaque nouvel accueil se traduisait par l’octroi de nouvelles aides financières aux pays plus pauvres entrants. Des subventions versées à ces nouveaux membres étaient financées par les anciens membres de cette Europe « grenouille ». Les anciens s’appauvrissaient et les nouveaux arrivés s’enrichissaient. Et dans cette situation, seuls les plus riches et les plus cupides de ces nations européennes ont profité de cet élargissement européen en délocalisant leur production vers les pays où la main d’œuvre coûtait le moins cher ; déjà à l’intérieur de l’Europe puis à l’extérieur vers l’Orient et la Chine ; et l’Allemagne fut la première à vouloir profiter de l’aubaine favorisé par le dirigisme européen : le commissariat européen installé à Bruxelles.

Il est à relever que l’Amérique est à l’origine de l’entrée de la Chine dans l’OMC, l’Organisation Mondiale du Commerce. Elle a donc favorisé son enrichissement, à son détriment et à celui de l’Europe et ses alliés de l’OTAN qui ont tous délocalisé chez elle les principales productions industrielles de leurs nations. Si bien qu’elle apparaît de nos jours comme la plus grande menace pour le camp occidental avec ses bombes nucléaires, ses missiles, ses fusées, ses satellites, ses chars de guerres, ses drones, et surtout sa population d’un milliard et quatre cents millions d’habitants. Elle peut donc d’autant plus inquiéter les USA, qu’elle ne cache pas son projet de reconquête de l’île de Formose devenue la Taïwan amie des USA. La malédiction de Dieu qui frappe le camp occidental apparaît ainsi clairement, puisque les futures victimes ont, elles-mêmes, financé la prise de puissance de leurs futurs ennemis russes et chinois, mais aussi musulmans, arabes, turcs, iraniens, pakistanais, etc...

Entre 1945 et 1990, la Pologne catholique romaine s’est trouvée sous la domination de la Russie soviétique athée. La Pologne a été libérée au moment où un pape la représentait sur le siège de Rome : Karol Wojtyla ou Jean Paul II. La foi catholique gagna donc en popularité et en soutien national et en conséquence, la haine de la religion orthodoxe russe due à l’ancienne colonisation s’est intensifiée. Le vers était entré dans le fruit ou comme l’a dit un jour Jésus « le levain » de haine envers les Russes est entré dans « la pâte » européenne, et peu à peu, en encourageant l’indépendance de l’Ukraine, les nations venus de l’Est, sont parvenues à remplir de haine contre la Russie, toutes les nations européennes. Car l’arme suprême de Dieu c’est la religion. C’est pour lui, le meilleur moyen de dresser les uns contre les autres, les peuples qui ne lui obéissent pas, jusqu’à ce que, par la guerre, ils s’entretuent.

En France, sur les plateaux des télés infos, j’entends des échanges pathétiques où ceux qui s’expriment veulent croire à la possibilité de vaincre la Russie. Nous ne sommes plus dans le réalisme mais dans la méthode dite Coué qui veut que ce qui est répété se transforme en réalité. Avant toutes les guerres, et de tous temps, les humains expriment leur espérance avant d’être confrontés à la dure réalité. Il en est encore ainsi avant cette dernière terrible Guerre Mondiale. Et avec l’offre de chars lourds, l’évidence de l’engrenage et de l’escalade infernale apparaît de plus en plus clairement. Les plus entêtés se rassurent par le fait que la Russie n’a pas encore réagi contre l’Occident de manière guerrière. Mais ces personnes insensées oublient que la ligne rouge a été franchie et que la Russie n’est pas obligée de le dire à ses ennemis. Chaque chose arrivera en son temps, la Russie déjà occupée avec l’Ukraine ne cherche pas à combattre des troupes occidentales. Elle ne le fera qu’après avoir réglé le problème de l’Ukraine à sa manière. Je relève également dans ces reportages que lorsqu’ils analysent les déclarations faites par les Russes, les commentateurs ne s’interrogent pas sur le fait que ce qui est dit est vrai ou faux. C’est pourtant, la seule chose qu’il convient de retenir dans un discours. Les journalistes témoignent ainsi contre eux-mêmes d’un manque vital d’impartialité ; ils sont partiaux et ont pris parti pour l’Ukraine contre la Russie et les auditeurs et les spectateurs qui les écoutent sont victimes de leur propagande. Etant tous visés par la colère de Dieu, cet aveuglement généralisé les conduit à favoriser l’escalade guerrière qui va venir les détruire. La Russie n’est pas légitime dans son agression contre l’Ukraine libre et indépendante mais depuis que la terre porte des hommes et des femmes, le plus fort impose sa loi au plus faible. Et dans le monde occidental coupé de Dieu, on s’est pris à rêver d’un ordre définitivement établi, destiné à être reconnu par tous les peuples de la terre. Mais entre le rêve et la réalité, il y a un abîme. Ainsi va s’accomplir, intégralement, le projet destructeur que Dieu appelle sa « sixième trompette », par laquelle il met fin  au « temps des nations » ; et après elle, la « septième trompette » anéantira les derniers rebelles « survivants » par le retour en gloire de notre divin Seigneur et Maître, Jésus-Christ alias Micaël, au printemps 2030 soit, 2000 ans – 14 jours après sa crucifixion de la Pâque de l’an 30.

Ainsi, avec ces deux dernières « trompettes » viennent deux « Attila » derrière lesquels, « l’herbe ne repoussera pas ». Le premier est terrestre ; le deuxième est céleste et divin. Avec le premier, la destruction sera réalisée par les bombes nucléaires et à ce sujet je dois préciser que encore non adventiste, déjà dans ma lecture d’Apocalypse 13:13, l’Esprit de Dieu m’a permis de comprendre que l’acteur des actions citées était l’Amérique des USA : « Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. » Ce « feu descendu du ciel » a été utilisé contre le Japon sur les deux villes Hiroshima et Nagasaki et il a offert aux USA américains la victoire et la domination terrestre. Mais cette domination n’a pas pu être complète en raison de l’opposition permanente politique et économique de la Russie. Ce problème sera donc résolu quand les USA détruiront le territoire russe. Mais malheureusement pour l’Europe occidentale, cette décision sera prise par les Américains avant ou après que les Russes auront dévasté et détruite l’Europe et ses capitales, dont en particulier Paris, que Dieu désigne comme cible privilégiée de sa colère au titre de première nation athée de l’histoire humaine, après avoir été le premier soutien militaire de son ennemie, la religion catholique papale romaine. Cette leçon apparaît dans Apo.11:7 où Dieu désigne Paris sous les noms symboliques de « Sodome et Egypte » soit, l’image type de l’abomination sexuelle que Dieu punit par le « feu du ciel » au temps d’Abraham et celle du péché : « Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. »

Il me reste à t’expliquer comment les réactions actuelles des pays européens occidentaux ont été progressivement préparées. Les deux premières Guerres Mondiales ont eu déjà des causes nationalistes et des désirs d’extension de la part des dominateurs successifs, pour la première guerre de 1914-1918, l’empereur allemand Guillaume II et pour la deuxième, le chancelier allemand Adolf Hitler. Après cette deuxième guerre les nations encore indépendantes européennes avait leur regard sur le monde entier et les dirigeants avaient conscience et respect pour les différences et les opinions de chaque peuple, de chaque ethnie représentée sur la terre. Ensuite, le vainqueur américain a organisé le pacte de l’OTAN, offrant ainsi sa protection aux pays membres sous la condition qu’ils acceptent de se conformer à ses lois commerciales et ses principes culturels. En entrant dans cette protection, les pays membres sont entrés dans une bulle protégée et ont perdu de vue le droit à l’indépendance totale des autres pays peuplant la terre. Année après année, l’autorité de l’OTAN s’est imposée, allant jusqu’à se donner le droit d’intervenir dans des pays non membres de son pacte. En sorte que, jouant le rôle du redresseur de tort, en gendarme du monde, cet OTAN est intervenue pour « régler des conflits », mais en réalité pour imposer son autorité. En sorte que l’OTAN a reconstitué la domination autoritaire de l’ancienne Rome républicaine qui envoyait ses légions armées pour intervenir successivement vers son « midi » en combattant Carthage, puis vers son « orient » en colonisant la Grèce, et en colonisant la Palestine « le plus beau des pays » selon l’enseignement prophétisé dans Dan.8:9 : « De l'une d'elles sortit une petite corne, qui s'agrandit beaucoup vers le midi, vers l'orient, et vers le plus beau des pays. » Aujourd’hui, les nations membres de l’OTAN ne comprennent pas que la Russie et beaucoup d’autres peuples et nations de la terre n’acceptent pas la culture et l’autorité de cette OTAN occidentale. Pas plus que les Romains acceptaient de reconnaître le droit à l’indépendance des peuples qu’ils conquéraient, dont les Gaulois et l’Angleterre. Un second piège a été tendu par Dieu devant les peuples chrétiens infidèles par le moyen de la construction de l’alliance européenne. On lui doit l’imposition d’une pensée unique, formatée sur le modèle approuvé par les USA. Et l’actuel besoin de l’Allemagne de l’accord et l’engagement américain pour fournir elle-même ses chars « Léopard » à l’Ukraine en est la meilleure preuve. Les USA ont réussi à faire des pays européens des vassaux serviles et obéissants à leur seule volonté. Ce qui confirme déjà l’imminent accomplissement de leur rôle de « bête qui monte de la terre », selon Apo.13:11 : « Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon. » Cette « bête », incarnée par le protestantisme apostat américain devenu persécuteur de ses opposants, a pour projet d’imiter la « première bête qui monte de la mer » ; nous pouvons donc lui imputer ce texte qui exprime au verset 4, la pensée de ses défenseurs : « Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête ; ils adorèrent la bête, en disant : Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ? » Adapté à notre situation actuelle, ce verset devient : « Qui est cette Russie qui ose combattre contre la bête ? » Avant la Russie, l’Irak, la Serbie, et la Libye ont payé le prix de l’opposition à la « bête » OTAN construite par les USA. Cette fois, c’est au tour des membres de l’OTAN de payer l’abus d’autorité de leur régime dit « démocratique ». Dieu a confié cette tâche à la Russie restée libre et indépendante… et très puissante, en nombre et en armes nucléaires, pour tenir ce rôle de dernier « Attila » humain terrestre.

En attendant le pire, de son côté, le jeune président de l’Ukraine Volodymyr Zelensky, bien que Juif, met parfaitement en pratique ce message exprimé par Jésus-Christ : « Demandez, et l’on vous donnera ». Il fait ainsi une pêche miraculeuse, et obtient du camp occidental, finances, tenues de combat, munitions, formation militaire, missiles, canons, depuis le 6 Février, promesse de livraison de chars lourds et aujourd’hui il réclame des avions, bientôt des bateaux, et pourquoi pas des bombes atomiques ?

Dans les deux camps opposés, on compare le conflit de l’Ukraine à la seconde Guerre Mondiale. Dans le camp russe, l’arrivée sur le terrain de chars allemands « Léopard » ravive le souvenir de l’invasion des « Panzers » porteur de la croix allemande nazie et dans le camp européen, on compare l’agression russe contre l’Ukraine avec les agressions successives ordonnées par Adolf Hitler. Il est vrai qu’ils ont beaucoup de choses en commun et en premier le fait qu’ils agissent tous les deux, en ignorant qu’ils sont utilisés par Dieu pour punir l’infidélité chrétienne occidentale. Ensuite, dans les deux cas, celui des Sudètes, de la Pologne et en nos jours celui de l’Ukraine, des terres perdues sont revendiquées et doivent être reprises. Mais les natures des deux chefs sont très différentes et opposées ; autant Hitler était coléreux et hurlait, autant Poutine est posé et réfléchi, déterminé et patient. C’est pourquoi, l’engagement de la guerre ne peut pas être imputé seulement à l’homme qui agit. Au-dessus d’eux se tient Dieu, et c’est uniquement une œuvre divine qu’ils accomplissent avec leurs caractères opposés. Nous en trouvons la preuve dans ce texte d’Ezéchiel 38:4 où Dieu dit au chef de la Russie : « Je t'entraînerai, et je mettrai une boucle à tes mâchoires ; je te ferai sortir, toi et toute ton armée, chevaux et cavaliers, tous vêtus magnifiquement, troupe nombreuse portant le grand et le petit bouclier, tous maniant l'épée ; » le contexte de cette action est définit par le retour des Juifs sur la terre d’Israël selon le verset 8 : « Après bien des jours, tu seras à leur tête ; dans la suite des années, tu marcheras contre le pays dont les habitants, échappés à l'épée, auront été rassemblés d'entre plusieurs peuples sur les montagnes d'Israël longtemps désertes ; retirés du milieu des peuples, ils seront tous en sécurité dans leurs demeures. »

 

 

Les Juifs et la venue du Messie

 

Il est utile et très intéressant de comprendre l’interprétation que les Juifs pouvaient donner à leur lecture de Daniel 11, pendant l’ancienne alliance. Car à l’époque de Daniel, les Juifs attendaient déjà la venue du Messie et pour eux cette venue était unique et définitive. En effet, il a fallu que Jésus se laisse crucifier pour que la connaissance de sa seconde venue pour son retour glorieux soit révélée par lui-même à ses serviteurs chrétiens. Nous allons voir que Dieu avait bien masqué cette double venue.

La progression du chapitre 11 de Daniel nous conduit au verset 21 sur le règne du roi séleucide grec Antiochos IV Epiphane. En suivant le texte, au verset 30, la prophétie évoque la dure persécution qu’il fit subir au peuple Juif en – 168 : « Des navires de Kittim s'avanceront contre lui ; découragé, il rebroussera. Puis, furieux contre l'alliance sainte, il ne restera pas inactif; à son retour, il portera ses regards sur ceux qui auront abandonné l'alliance sainte. Des troupes se présenteront sur son ordre; elles profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le sacrifice perpétuel, et dresseront l'abomination du dévastateur. ». Ignorant les subtilités divines qui placent la succession papale après l’évocation de ce roi, les Juifs de l’époque, interprétaient le « lever de Micaël » de la fin du chapitre comme l’annonce de la seule et unique venue du Messie que les Ecritures leur annonçaient. Et je rappelle que personne avant moi n’a été éclairé par l’Esprit de Dieu pour comprendre la subtilité du montage prophétique qui repose sur la mise en parallèle des enseignements des chapitres 2, 7 et 8 du livre de Daniel. Les tableaux que j’ai réalisés rendent évidente cette interprétation biblique exclusive. Ces choses ayant été accomplies après 1980, on peut comprendre qu’en premiers, les Juifs ne pouvaient pas connaître l’existence de ces subtilités. Ceci d’autant plus que selon les paroles de Dieu adressées à Daniel par l’ange Gabriel, la compréhension de son livre était gardée et réservée pour le temps de la fin selon Dan.12:9 : « Il répondit : Va, Daniel, car ces paroles seront tenues secrètes et scellées jusqu'au temps de la fin. ». Et pour confirmer ce choix de Dieu, le livre de Daniel fut classé et placé dans la Bible des Hébreux, la Thorah, avec les livres historiques alors que son contenu méritait d’être joint aux livres prophétiques tels, Esaïe, Jérémie …etc  Il a fallu que Jésus lui-même mentionne le nom de Daniel en le nommant « prophète », pour que ce livre trouve sa place avec ceux des autres prophètes de l’histoire biblique, et ceci, uniquement dans les versions chrétiennes de la Bible. Car en effet, Jésus a déclaré dans Matt.24 :15 : « C'est pourquoi, lorsque vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, - que celui qui lit fasse attention ! - » J’ai appris combien le choix des mots et des expressions utilisés dans la Bible sont précis et révélateurs. Et dans ces paroles dites par Jésus-Christ, je relève l’expression « que celui qui lit fasse attention ! » ; et ces mots sont repris dans Apo.1:3 : « Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche. »  Visiblement, les paroles de Jésus visait au-delà de ses apôtres et de ses disciples contemporains mon ministère prophétique programmé pour le temps de la fin. Et à l’heure de l’accomplissement de ce ministère, Jésus m’a dédié cette « béatitude » : « Heureux celui qui lit ». Et je peux témoigner de ce bonheur qu’il me donne en me permettant de comprendre toutes les subtilités cachées dans sa Révélation prophétique biblique. En conséquence de cette lumière qui m’est donnée, je suis « heureux » d’offrir et faire partager ce message divin à « ceux qui entendent » et peuvent ainsi  « garder » concrètement les enseignements de la vérité biblique divine.

Le livre de Daniel a pris de l’intérêt, uniquement, lorsqu’en 1816, William Miller, le prophète, a trouvé en lui, les bases de son annonce prophétique qui annonçait le retour de Jésus-Christ pour le printemps 1843, puis pour l’automne 1844. Jusqu’à cette première date 1816, ce livre a était ignoré, successivement par les Juifs et les Chrétiens. Et depuis cette date, comme Dieu l’avait prophétisé à Daniel, la connaissance de son enseignement a progressivement « augmenté ». Nous lisons dans Dan.12:4 : « Toi, Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu'au temps de la fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera. »  Ceci nous permet de comprendre que le texte biblique nous présente plusieurs « temps de la fin » afin de brouiller la compréhension de son message. Le premier « temps de la fin » concerne le règne du roi persécuteur Antiochos IV Epiphane vers – 175, dans Dan.11:27 : « Les deux rois chercheront en leur cœur à faire le mal, et à la même table ils parleront avec fausseté. Mais cela ne réussira pas, car la fin n'arrivera qu'au temps marqué. » Le deuxième « temps de la fin » semble concerner encore ce roi grec, mais il évoque déjà une généralité qui concerne la foi chrétienne de la Nouvelle Alliance : verset  « Quelques-uns des hommes sages succomberont, afin qu'ils soient épurés, purifiés et blanchis, jusqu'au temps de la fin, car elle n'arrivera qu'au temps marqué. ». Par ce double sens, ce verset favorise trompeusement l’idée du prolongement de la cible du règne du roi grec. Ce qui va conduire les Juifs à interpréter le lever de Micaël comme une seule et unique venue du Messie attendu. Un troisième « temps de la fin » cible le ministère historique accompli par William Miller fondateur du mouvement « adventiste » entre 1816 et 1844. Un troisième « temps de la fin » concerne l’époque de mon ministère accompli entre 1980 et 2030. Cette fois, il est clairement cité dans Dan.11:40. : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. » Et pour preuve de cette interprétation, nous trouvons au verset 42 l’Egypte dans le camp occidental frappé par le roi du septentrion russe : « Il étendra sa main sur divers pays, et le pays d'Égypte n'échappera point. » Et la chose n’est devenue conforme à cette annonce prophétique qu’en 1979 date en laquelle l’Egypte a fait alliance avec Israël et ses alliés occidentaux, aux USA, à « camp David ». La prophétie n’est ainsi devenue interprétable que depuis l’année qui a précédé celle de mon baptême par l’institution adventiste du septième jour de Valence sur Rhône, en France.

Les vérités établies solidement sur le texte biblique originel, hébreu et grec, remettent en cause énormément d’enseignements hérités de manière traditionnelle. En sorte que Jésus peut dire de l’héritage adventiste de 1844 qu’il n’a plus de valeur dans son message adressé à  son Eglise pour l’époque « Laodicée »  selon Apo.3:17 : « Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, … » Si la dernière institution créée par Jésus-Christ est dans un tel état spirituel, combien plus en est-il pour les Juifs de l’ancienne Alliance que Jésus désigne ouvertement comme étant « la synagogue de Satan » dans Apo.2:9 : « Je connais ta tribulation et ta pauvreté (bien que tu sois riche), et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan. » ; et 3:9 : « Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t'ai aimé » Je relève, au passage, cette double référence au chiffre 9 qui est redouté par les Juifs en raison du 9 Av qui a été souvent marqué pour eux par des événements dramatiques catastrophiques pour leur nation et leur ethnie.

Cette réflexion préalable nous permet de mieux comprendre le statut spirituel que Dieu a pu donner à son ancienne ou première Alliance dans laquelle tout son projet salvateur n’était présenté que sous des formes symboliques. Et à défaut d’explications concernant le sens donné à ces symboles, les Juifs de l’ancienne Alliance ont faussement cru que leurs rites religieux avaient vocation à être perpétuellement pratiqués sur la terre. Or, nous savons aujourd’hui, et depuis le temps des apôtres de Jésus-Christ que ces rites juifs n’étaient que les ombres de la réalité accomplie en  lui seul : Jésus-Christ. A partir de ce constat, nous allons mieux comprendre ce verset qui les concerne dans Esaïe 9:2 : « Le peuple qui marchait dans les ténèbres voit une grande lumière ; sur ceux qui habitaient le pays de l'ombre de la mort une lumière resplendit. » Ce verset prophétise la première venue du Christ qui a déclaré « Je suis la lumière » dans Jean 8:12 : «Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. » Ce verset vient confirmer le passage « des ténèbres à la lumière » de ses élus ; ce qui s’accomplit par le changement de l’Alliance divine ; la Nouvelle étant construite sur son expiation des péchés de ses seuls élus, les autres rachetés non élus, les incrédules et les incroyants, devront eux-mêmes payer par leur « mort » le « salaire du péché » conformément à ce verset de Rom.6:23 : « Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur ».

En raison même de la valeur qu’ils donnaient aux sacrifices animaliers uniquement symbolique pour lui, Dieu a fait prophétiser par Daniel dans Dan.9 :27 l’arrêt rendu officiel des rites sacrificiels du culte hébreu : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur. » Les bases de la norme de la Nouvelle Alliance ont été ainsi solidement et officiellement bibliquement écrites et prophétisées.

Incapables d’imaginer le vrai programme salvateur conçu par Dieu le symbole a été considéré comme une réalité et un but final. Il faut dire que Dieu ne leur facilitait pas la compréhension de son projet salvateur qu’il leur cachait soigneusement. Le salut reposant sur l’expiation volontaire du Christ était jalousement tenu secret par Dieu, car il constituait l’élément maître du combat qu’il conduisait contre le camp du diable. Ceci me conduit à revoir par exemple l’interprétation donnée à cette citation de Jésus qui concernait Abraham, dans Jean 8 :56 : « Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour : il l'a vu, et il s'est réjoui. » Que désigne, dans ce verset « mon jour » et qu’a donc « vu » Abraham pour être « réjoui » ? Ce mot « jour » choisi par Jésus désignait son « jour de gloire », celui de son triomphe final en lequel Abraham lui-même serait ressuscité pour obtenir sa récompense : la vie éternelle. En effet le Seigneur est toujours très précis dans son choix des mots. Ainsi, dans Esaie 61:1 à 3, ses actions pour ses deux venues sont prophétisées en ces termes : « L'esprit du Seigneur, YaHWéH, est sur moi, car YaHWéH m'a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux ; il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté, et aux prisonniers la délivrance ; pour publier une année de grâce de YaHWéH, et un jour de vengeance de notre Dieu ; pour consoler tous les affligés ; pour accorder aux affligés de Sion, pour leur donner un diadème au lieu de la cendre, une huile de joie au lieu du deuil, un vêtement de louange au lieu d'un esprit abattu, afin qu'on les appelle des térébinthes de la justice, une plantation de YaHWéH, pour servir à sa gloire. » La structure de ces trois versets révèle successivement les actions accomplies par Jésus, pour sa première venue, puis après avoir évoqué les mots « jour de vengeance » le troisième verset prophétise ses actions pour sa seconde venue visible par les êtres humains. Il définit ce « jour » comme un « jour de vengeance » contre ses ennemis, persécuteurs de ses élus. Puis il prophétise la glorification de ses rachetés vivants et ressuscités glorifiés par leur réception d’un corps céleste.  On peut relever dans le premier verset la mention de « bonnes nouvelles », ce qui est la signification du mot Evangile cité dans la Nouvelle Alliance pour désigner l’œuvre salvatrice de Jésus-Christ. Les actions de Jésus ont été accomplies littéralement et spirituellement, car ses guérisons ciblaient autant le mal physique que le péché qui tient les âmes de ses élus prisonnières. Il guérissait les deux sortes de maux, mais donnait une valeur supérieure à son action spirituelle qui, délivrant du diable et du péché, apportait à ses élus, la vie éternelle.

La forme de la connaissance que Dieu a donnée à ses élus au cours du temps n’a que peu d’importance. La raison de leur sélection n’a toujours été que l’amour qu’ils ont porté à leur Créateur. C’est parce qu’il a aimé le Dieu vivant que le vieil Enoch a voulu marcher avec lui, fidèlement, pendant les 300 années de sa vie terrestre. Et après lui, Noé, et après lui Abraham, Elie, Job, Daniel…et tous ceux dont le nom a été inscrit par Dieu dans son livre de vie. Ils ont tous follement aimé Dieu, sa vérité, ses lois, ses ordonnances, ses commandements et sa conception du bonheur qui ne peut se réaliser que dans des caractères formés à son image révélée en Jésus-Christ : abnégation, sens du service et du sacrifice, sens du partage et acceptation de la discipline concrétisée par la parfaite obéissance à toutes ses ordonnances.

La compréhension de la vérité divine ne dépend pas de l’homme mais uniquement de Dieu. Jésus dit,  dans Apo.3:7 : « Écris à l'ange de l'Église de Philadelphie : Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira: » Il cite ainsi ce verset d’Esaïe 22 :22 : « Je mettrai sur son épaule la clé de la maison de David : quand il ouvrira, nul ne fermera ; quand il fermera, nul n'ouvrira. » Derrière l’image de « la clé de David » se tient le principe de l’intelligence spirituelle que Dieu ferme ou ouvre à son gré chez ses créatures. En présentant cette « clé » comme étant placée sur « lépaule » du Messie annoncé, Dieu fait aussi allusion à la croix soit, au « patibulum », que Jésus a porté sur son épaule jusqu’au moment où sa faiblesse ne lui a plus permis de le faire. Il fut alors remplacé et Simon de Cyrène la porta pour lui jusqu’au pied du mont Golgotha où il fut crucifié. « La clé de David » rassemble en son image le salut obtenu par grâce et l’ouverture de l’intelligence du véritable élu sélectionné par Dieu. Cette « clé » permet également « l’accès » au royaume céleste préparé par Dieu pour les élus qu’il va sauver. Ils seront enlevés de terre au jour de son glorieux avènement, pour entrer en ce jour, dans l’éternité de la vie céleste.

Dieu ne donnant à partager sa lumière spirituelle qu’à ses seuls élus, celui et ceux qui la partagent avec lui sont divinement honorés et ce privilège constitue l’inimitable, l’unique et officiel « témoignage de Jésus-Christ ».

Puisque Dieu n’a trouvé digne que deux vieillards, un homme et une femme, Siméon et Anne, pour reconnaître en le bébé Jésus, leur Messie rédempteur, il est logique que le reste des Juifs jugé indigne de cet honneur par Dieu donne aux Ecritures une fausse interprétation. Ainsi, cet admirable et saint chapitre d’Esaïe 53, où Dieu révèle assez clairement la mission de souffrance de son Messie Jésus, était et reste détourné par les Juifs qui se placent, eux-mêmes, dans le rôle de celui qui est injustement persécuté et sacrifié. Leur raisonnement avait du sens. N’étaient-ils pas les membres de l’unique peuple choisi par Dieu pour représenter son Israël parmi toutes les nations de la terre ?  Ce peuple se regardait donc en martyr sacrifié pour expier les péchés de l’humanité entière. On peut comprendre alors sa difficulté à reconnaître, en « l’agneau de Dieu » nommé Jésus, le Messie glorieux et puissant qu’ils attendaient pour les délivrer de la domination des durs et cruels Romains qui occupaient leur terre nationale.

J’insiste sur l’importance de cette chose qui doit être bien comprise et reçue. Il n’est pas anormal que les mystères prophétisés ne soient pas compris par les êtres humains. Parce que cette compréhension est donnée par Dieu uniquement aux hommes qu’il choisit lui-même pour les éclairer au titre de serviteurs prophètes et nous avons vu dans Apo.1:3 que sa lumière entre dans l’humanité par un seul homme que l’Esprit désigne comme étant « celui qui lit ». C’est depuis cette personne éclairée que Dieu va étendre sa lumière en la communiquant vers ses autres serviteurs assoiffés qui veillent et guettent l’arrivée des réponses qu’ils souhaitent obtenir de sa part. Il y a bien sûr, une limite pour les réponses divines qui ne sont accordées que pour les choses qu’il consent à révéler ; au-delà de cette limite, Dieu garde ses secrets. C’est dans Esaïe 29 :11 que l’Esprit nous permet de comprendre qu’il donne en message prophétique au verbe lire le sens de décrypter et de comprendre clairement ce que sa volonté code par une base purement et strictement biblique, ce qui fait de mon message décrypté un héritage béni de la foi protestante auteure de l’expression « l’Ecriture et l’Ecriture seule ». Voici ce que dit Esaïe 29:11 à 14 : « Toute la révélation est pour vous comme les mots d'un livre cacheté que l'on donne à un homme qui sait lire, en disant: Lis donc cela ! Et qui répond : Je ne le puis, car il est cacheté ; ou comme un livre que l'on donne à un homme qui ne sait pas lire, en disant : Lis donc cela ! Et qui répond : Je ne sais pas lire. » Dieu dénonce ensuite le faux amour qui lui est témoigné et qui justifie cette incapacité de comprendre ses mystères révélés : « Le Seigneur dit : Quand ce peuple s'approche de moi, il m'honore de la bouche et des lèvres ; mais son cœur est éloigné de moi, et la crainte qu'il a de moi n'est qu'un précepte de tradition humaine. C'est pourquoi je frapperai encore ce peuple par des prodiges et des miracles ; et la sagesse de ses sages périra, et l'intelligence de ses hommes intelligents disparaîtra. ».

Que par le nom de Jésus-Christ, le Dieu vivant soit donc loué et exalté pour son don le plus précieux : sa sapience ou divine sagesse !

 

 

La confusion romaine

 

Rome, encore Rome et toujours Rome ! Tu vas sans doute croire que je fais une fixation d’esprit sur elle, et c’est en effet le cas, mais pour me comprendre, regarde ce que Dieu déclare à son sujet dans Apo.18 :23-24 : « la lumière de la lampe ne brillera plus chez toi, et la voix de l'époux et de l'épouse ne sera plus entendue chez toi, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce que toutes les nations ont été séduites par tes enchantements, et parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre.  » Relève en premier la dernière phrase de ce message : «et parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre. » Et le plus étonnant c’est que cette accusation est entièrement justifiée. Alors comprends qu’avant moi le Tout-Puissant a fait une fixation de son Esprit divin contre « elle ». Et je vais t’expliquer en quoi cette accusation se justifie parfaitement.

Rome est née, officiellement en – 753. Ce fut une monarchie jusqu’en – 510. A cette époque une révolution renversa la monarchie pour établir la République. Et nous trouvons là, un point commun avec l’histoire de la France gérée par la monarchie jusqu’en 1789 et 1992 année de sa proclamation de la République. Après avoir successivement essayé divers type de gouvernance, le consulat, la dictature, le triumvirat, elle est devenue impériale dans le temps de la naissance de Jésus-Christ ; son premier empereur étant, César Auguste de la famille richissime des Julius, son oncle étant le célèbre Julius César assassiné par une conjuration de sénateurs républicains. Cette domination impériale romaine fut imposée à tous les peuples vaincus et conquis. Les lois et la culture romaine furent imposés à tous les habitants de l’empire. Laissant à chacun un large choix d’adoration religieuse, le diable inspirateur de ce pouvoir romain  attira la colère du peuple contre le groupe religieux des premiers chrétiens accusés d’avoir mis le feu à Rome alors que l’instigateur de cette action n’était rien d’autre que le démoniaque empereur Néron lui-même. Nous trouvons-là, la première forme des « calomnies » portées contre le peuple de Jésus-Christ ; des calomnies que Dieu impute aux Juifs de « la synagogue de Satan » dont la jalousie et la méchanceté les conduisaient à organiser contre l’Eglise du Christ, des accusations mensongères qui finirent par porter du fruit amer pour les serviteurs de Dieu en Jésus. Pour amuser et apaiser la colère du peuple, Néron les fit dévorer vivants par des fauves dans son arène du Colisée, à Rome, la sanglante. Rome avait déjà, crucifié le chef de l’Eglise de Dieu, Jésus-Christ, le 3 Avril 30, et beaucoup d’autres derrière lui. Et entre 65 et 68, à Rome même, la nouvelle communauté formée des saints subit massivement la mort de la part des Romains. Relève, déjà, que ces faits justifient la déclaration faite par Jésus dans Apo.18:24 : « et parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre. » Mais c’est choses ne concernaient que les actions de la  Rome devenue depuis peu de temps impériale.

Avec le temps, les années passant, l’empire romain perd son unité et sa puissance à partir de 395. Depuis 313, l’empire est dirigé par Constantin 1er le Grand. Il préfère habiter à Constantinople, l’ancienne Byzance ravie aux Turcs qu’il a faite embellir et agrandir. A Rome même, la foi chrétienne rendue légale par l’empereur divise plus qu’elle ne rassemble, car depuis 321, l’abandon du sabbat sanctifié par Dieu, sur ordre et décret impérial, place ce christianisme en situation de péché contre Dieu. Le fruit de malédiction prend alors la forme de la désunion et de l’opposition. Des querelles doctrinales opposent les uns aux autres. L’immense majorité des nouveaux faux chrétiens « convertis » a  obéi au décret impérial et a fait du premier jour de la semaine consacré par les païens à leur adoration du « Soleil vénérable invaincu », le jour du repos religieux hebdomadaire. C’est donc dans ce temps de liberté religieuse que prend naissance et puissance la doctrine catholique romaine qui n’est pas encore pour autant, papale. Dans l’empire, les communautés chrétiennes nomment « évêque » un chef local reconnu pour sa connaissance et sa capacité à justifier sa foi. Et tous ces évêques se rencontrent pour confronter leurs opinions. Mais déjà, l’évêque de Rome jouit d’un prestige supérieur, parce qu’il exerce sa foi dans la prestigieuse ville de Rome, l’ancienne ville impériale qui gouvernait tout l’empire. C’est donc, ce siège d’autorité romaine qui va donner une suprématie naturelle à la conception religieuse reconnue dans cette ville : Rome.

Dans cette époque, où elle est déjà frappée par la malédiction du « jour du soleil » païen, cette religion catholique romaine obtient le soutien du premier roi des Francs, Clovis lui-même converti au catholicisme par sa femme Clotilde. Dans son zèle religieux, il apporte son soutien militaire à la cause de l’évêque de Rome et il viendra jusqu’à Rome le défendre contre ses ennemis locaux, les Lombards. C’est à cette aide qui lui fut offerte en premier, que la France doit son surnom de « fille aînée de l’église ». Et ce titre, que tous connaissent, justifie la révélation de Dieu qui nous dit au sujet de Rome qu’il symbolise par le nom « Babylone la Grande », dans Apo.17:5 : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. » Ce « mystère » est celui de « l’iniquité » selon 2 Thess.2:17 : « Car le mystère de l'iniquité agit déjà ; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. » Si Dieu nomme l’église catholique romaine « mère des impudiques », ses impudiques sont ses filles et il nous faut pouvoir les identifier car ce sont elles qui donnent à la religion son aspect de « confusion » religieuse. Je reviendrai donc vite sur ce sujet.

Deuxième phase : la Rome papale.

Entre 533 et 538, Rome est sous l’occupation des Ostrogoths. Dans ce moment, l’intrigant Vigile, un ami de Théodora la nouvelle épouse de l’empereur Justinien 1er, veut obtenir la gouvernance religieuse de l’empire et unifier la religion par une discipline imposée dans tout l’empire à tous ses habitants. Ce moyen de faire cesser les querelles entre les différentes oppositions religieuses séduit l’empereur Justinien qui cède à sa demande. Un décret le fait chef papal doté du pouvoir temporel ; ce qui constitue une grande nouveauté pour la foi chrétienne restée libre et tolérante jusque là. C’est cette fausse religion chrétienne que Dieu va prendre désormais pour cible permanente de sa guerre concrétisée par les châtiments de sept principaux et premiers fléaux nommés « trompette » ; les six premiers étant présentés dans Apo.8 et 9, et le dernier, le « septième » étant révélé dans Apo.11:15. Dieu lui adresse ses reproches dans Dan.7:8 à 26. Retiens surtout ce verset 25, car il contient l’essentiel de sa culpabilité : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps. »

Jusqu’à la Révolution française, cette ennemie religieuse de Dieu masquée par son apparence trompeuse ou étiquette chrétienne va être protégée et soutenue par la puissance militaire des monarques français, méritant ainsi son surnom de « fille aînée de l’église ».

Examinons donc maintenant les « filles impudiques » de cette « mère impudique » romaine. Ces « filles » sont des groupes religieux qui, bien que s’étant séparés d’elle au fil de son histoire, ont néanmoins conservé des signes de son autorité. Et la première religion chrétienne qui a rompu son lien avec elle est aujourd’hui cette religion orthodoxe qui a néanmoins hérité de toutes les malédictions qui frappaient Rome à l’heure de leur séparation. En comparant leur doctrine religieuse, on peut ainsi constater qu’elles sont identiques, la première « fille » est à l’image de sa « mère » ; même pratique du repos au « jour du soleil » rebaptisé dimanche, même cultes idolâtres tournés vers les saints « morts », il apparaît clairement que la cause de la séparation n’a été qu’une querelle de chefs. Les orthodoxes n’ont pas voulu se soumettre à la tutelle spirituelle et temporelle du pape romain. Mais ils ont établis néanmoins, un chef orthodoxe appelé Pope et même plusieurs, ce qui s’oppose à la vrai doctrine qui fait de « Jésus-Christ l’unique chef de son Eglise », laquelle ne concerne que le rassemblement spirituel de ses vrais élus, ce qui explique la différence. Du XIème siècle jusqu’à aujourd’hui, la rupture entre la foi occidentale et la foi orientale a été totale. Les deux religions se regardent encore en ennemies et opposent le camp occidental à la Russie. Mais l’orthodoxie est une copie conforme à son modèle catholique. Les deux reproduisent le modèle païen oriental des bonzes qui vivent en communauté fermée dans des monastères. Les invocations et les redites des prières les caractérisent également. Les bonzes utilisent même pour remplacer leurs prières, des « moulins à prières ». Et connaissant leur statut frappé de malédiction divine, les prières catholiques et orthodoxes ont autant d’effets que ces « moulin païens » auprès de Dieu.

Deuxième phase : la foi anglicane

Au cours du XVIème siècle, une seconde « fille » s’est détachée. Il s’agit de la religion anglicane. Et là encore, le but était de se dégager de la tutelle du pape, mais cette fois, pour une raison encore moins légitime, puisque l’auteur de cette action, Henri VIII, a provoqué sa rupture, parce que le pape ne consentait pas à justifier son divorce avec sa femme légitime, l’Espagnole Catherine d’Aragon, car il voulait épouser la jeune et séduisante Anne Boleyn. Nous atteignons là, un sommet dans l’abomination. Imagine comment Dieu peut juger une religion créée pour justifier un adultère du roi anglais !  Mais sous la contrainte et la peur du pouvoir royal et de ses bourreaux, la masse populaire n’a pas eu le choix, ni la capacité à juger la situation, et avec le temps, l’anglicanisme est venu augmenter la « confusion de la religion romaine ». Car, à part le refus de l’autorité papale, la religion anglicane est, elle-aussi, une copie conforme au modèle catholique romain. Elle nomme des évêques et un Archevêque, chef de l’anglicanisme et honore, comme « sa mère et ses sœurs », la fausse « divine » Marie mère du Christ-Jésus. Et je précise à son sujet que l’anglicanisme a persécuté les chrétiens de la foi protestante réformée à laquelle on l’assimile à tort aujourd’hui, les ayant même chassés de l’Angleterre, en les contraignant à s’exiler vers l’Amérique à bord du célèbre navire le Mayflower.

Officiellement, depuis le même XVIème siècle, mais réellement, depuis le XIIème, la découverte du texte biblique a été à l’origine de la vraie doctrine de la foi chrétienne apostolique et la perfection de son application caractérisa la foi des Vaudois réfugiés dans le Piémont italien. De façon logique, l’œuvre de Réforme doctrinale prit le nom de foi réformée ou foi protestante. Mais au XVIème siècle, la perfection vaudoise avait disparu et la Réforme enseignée par le moine allemand Martin Luther ne restaurait pas le sabbat comme l’avait fait avant lui Pierre Vaudès dit Valdo dès 1170. Par la conservation du repos hebdomadaire du faux « jour du Seigneur » instauré par Rome, la religion protestante resta une « fille impudique » de sa « mère » romaine. La religion protestante s’est répandue sous de multiples dénominations construites sur des meneurs dont le Genevois Jean Calvin duquel est né le calvinisme dominateur aux USA. Toutes ses dénominations différentes ont favorisé et intensifié la « confusion romaine ». Car supportée par Dieu jusqu’en 1843, au-delà de cette date, l’exigence de Dieu de la restauration théologique et pratique de son saint sabbat du vrai septième jour, en a fait, les dignes « filles » de leur « mère » romaine. Dans Apo.2:24-25, Dieu adresse un message dans lequel il évoque une imperfection doctrinale de sa pratique religieuse, faisant ainsi allusion à la transgression de son vrai sabbat toujours pratiqué par les Juifs, en tous temps et tous lieux. Jésus déclare : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne  En disant « jusqu’à ce que je vienne », Jésus-Christ confirme l’entrée imminente dans un temps où l’attente de son retour va devenir un sujet de vie ou de mort spirituelle. C’est en participant au réveil « adventiste », nom tiré du latin « adventus » qui signifie avènement, entre 1843 et 1844 qu’au lieu de revenir, Jésus entre en contact spirituel avec les élus qu’il sélectionne dans ces deux épreuves de foi successives où l’élu démontre sa dignité par l’amour qu’il porte aux vérités prophétiques proposées par Dieu dans sa sainte Bible. Dans ce contact béni, Jésus les dirige vers la restauration de la pratique du repos sabbatique « sanctifié » par Dieu depuis sa création du monde selon Gen.2:1 à 3, et rappelé par le quatrième de ces dix commandements au peuple hébreu de l’ancienne alliance. Dans cette expérience, le sabbat retrouve le sens de signe d’approbation divine que la Bible lui donne dans Ezé.20:12 et 20 : « Je leur donnai aussi mes sabbats comme un signe entre moi et eux, pour qu'ils connussent que je suis YaHWéH qui les sanctifie …/… Sanctifiez mes sabbats, et qu'ils soient entre moi et vous un signe auquel on connaisse que je suis YaHWéH, votre Dieu. » Il est important de comprendre que notre désir d’honorer son « sabbat » est uniquement l’œuvre du Saint-Esprit qui s’active en nous. Dieu nous sonde et nous connaît parfaitement et c’est lui qui nous dirige vers sa vérité et les personnes qui la portent pour lui, parce qu’il les a choisies pour être ses dépositaires. C’est à cause de ce rôle de signe de son approbation divine que « le sabbat » donné par Dieu constitue un signe extérieur de sa sanctification de ses vrais appelés en vue de leur élection finale. Mais pour que le sabbat prenne ce sens de sanctification, il faut que l’appelé s’en montre digne. C’est là, que l’amour de la vérité divine biblique, et surtout, prophétique, favorise l’élection de son appelé. Et parce que cet amour total est rare, Jésus a dit dans Matt.22:14 : « car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus ». Dans Apo.9:1 à 12, sous le symbole de sa « cinquième trompette » Jésus image la profusion des formes du protestantisme universel depuis son siège mondial situé aux USA, en comparant son action à une « fumée qui intoxique », dans le verset 2 : « et elle ouvrit le puits de l'abîme. Et il monta du puits une fumée, comme la fumée d'une grande fournaise ; et le soleil et l'air furent obscurcis par la fumée du puits. » Si Dieu ne donnait pas lui-même le code de transcription de ces images, le message serait indéchiffrable. Mais il le donne, dans ce même livre Apocalypse, la « fumée » symbolise « les prières des saints », le « soleil », la vraie lumière et « l’air », la zone d’activité du diable et de ses démons, selon qu’il est écrit dans Eph.2:1-2 : «Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l'air, de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion ». Les trois symboles assemblés révèlent que les prières protestantes inspirées par le diable remplissent « l’air » l’élément céleste de la terre dans lequel avec ses démons il évolue et s’active pour dominer les esprits de tous les habitants de la terre ; les vrais élus du Christ, exceptés car Jésus les protège. Et ce message va être confirmé au verset 11 d’Apo.9 où on lit : « Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. » Je ne vais pas reprendre ici l’étude verset par verset déjà effectuée et présentée dans l’ouvrage « Explique-moi Daniel et Apocalypse ».  Je rappelle ici des arguments de vérité particulièrement précis et confondants pour les sujets désignés. Dans ce verset 11, Dieu confirme avoir, depuis 1843, livré le protestantisme universel au diable, le futur « ange de l’abîme » soit, Satan sera, selon Apo.20:2-3, lié « pendant mille ans » sur la terre désolée qui retrouvera son nom « abîme » parce qu’après le retour glorieux de Jésus-Christ, elle sera de nouveau désolée, sans aucune forme de vie, comme elle l’était au « premier jour » de la Création, selon Gen.1:2. Et les noms « Destructeur » que Dieu lui donne « en hébreu et en grec » suggèrent l’emploi destructeur soit, injuste et déformé, de la Bible entière écrite « en hébreu » pour l’ancienne alliance et « en grec » pour la Nouvelle Alliance ; ceci, selon l’inspiration que le diable et ses démons donnent aux Protestants abandonnés par Dieu depuis 1843, la date de l’entrée en application du décret de Daniel 8:14.

Les « filles impudiques » de la « mère » catholique romaine sont si nombreuses qu’il ne m’est pas possible d’en faire la liste, mais Dieu nous a simplifié la démarche, car il nous suffit de savoir que le repos hebdomadaire pratiqué et justifié est le dimanche romain pour savoir qu’ils sont du nombre des religions concernées par sa malédiction. Ensuite, là où le sabbat est pratiqué, l’amour de la vérité doit être démontré. Car la pratique du sabbat, seule, peut être justifiée par le simple héritage religieux, aussi, sans l’amour de la vérité prophétique de la Bible, le sabbat pratiqué n’a pas plus de valeur que la pratique du dimanche romain. Et cette situation est celle des Juifs selon la chair et la nation depuis l’an 30 et celle de l’institution universelle nommée « adventiste du septième jour », depuis l’année 1994. Elle fut bénie depuis son instauration en 1863 aux USA, et selon Apo.3:16 « vomie » par Jésus-Christ, en 1994, suite au constat dressé par Jésus-Christ qui a éprouvé sa foi prophétique, par l’annonce de son retour pour 1994, dans l’église adventiste de Valence sur Rhône, en France. Ainsi, dans ce tout premier fief historique français de l’adventisme du septième jour de ce pays, les responsables religieux ont pris le risque d’officialiser leur refus de l’annonce que je leur présentais dès l’année 1991 en fin de laquelle ils ont radié de leurs membres, le serviteur inspiré de Jésus-Christ que je suis et démontre dans ces pages que j’écris ; œuvrant dans sa lumière croissante et son service depuis 1980.

Quatrième phase : l’adventisme institutionnel.

Depuis l’année 1994, il est devenu à son tour « une des filles de Babylone la Grande » en entrant dans la fédération protestante. Et cette faute mérite d’être bien argumentée.

Pour mieux comprendre, il faut se souvenir que dans l’ancienne alliance, Dieu a sévèrement reproché à Israël son alliance passagère avec l’Egypte type et symbole du péché. Cette réprimande constitue un solennel avertissement adressé aux humains afin qu’ils ne renouvellent pas cette grave erreur qu’il punit par sa malédiction et son rejet. Or, en grand silence, des tractations avec les autorités protestantes ont abouti et ce n’est qu’au début de l’année 1995, que les officiels adventistes ont fait connaître le rattachement de l’adventisme du septième jour à la fédération protestante mondiale. Les pasteurs et leurs présidents régionaux ont ignoré le contenu exact et précis des Révélations divines de Daniel et Apocalypse dans lesquels, précisément, Dieu révèle son jugement sur la foi protestante et à laquelle il déclare dès le 23 Octobre 1844 date de la fin de la seconde attente du retour de Jésus, selon Apo.3 :1 : « Tu passes pour être vivant et tu es mort », précisant, « car je n’ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu ». Ainsi en entrant dans l’alliance protestante déjà alliée de la foi catholique œcuménique, l’adventisme déchu a fait alliance avec la mort.

Devenu adventiste depuis le sabbat du 14 Juin 1980, j’ai hérité des interprétations traditionnelles transmises par la servante du Seigneur Ellen Gould White. Mais ses explications prophétiques étaient celles que Jésus a voulu donner provisoirement en attendant le temps final de la grande lumière. Et je suis encore conduit aujourd’hui à remettre en question l’interprétation des trois messages cités dans Apo.14 :7-8-9 et 10. Traditionnellement, ces messages furent rattachés aux deux annonces du retour du Christ pour les dates du printemps 1843 et du 22 Octobre 1844. Mais tu peux constater que les messages du premier et du second ange ne font pas allusion au retour de Jésus-Christ. L’interprétation que je donne à ces deux messages et même aujourd’hui au troisième, est beaucoup plus logique. En fait, les anges se « suivent » dans un sens spirituel de relation entre les messages donnés. Le second présente les conséquences du premier, et le troisième, les conséquences du second. Je développe ma pensée : le premier message signale le commencement d’un jugement de Dieu de la foi chrétienne telle qu’elle est pratiquée par les Protestants en 1844 : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. » Dans son message, cet ange désigne la pratique du sabbat qui a, précisément dans le texte du quatrième des dix commandements, pour but, de « donner gloire » au grand Dieu créateur selon Exo.20:11 : « Car en six jours YaHWéH a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour : c'est pourquoi YaHWéH a béni le jour du repos et l'a sanctifié. »

L’exigence de la restauration de son saint sabbat a pour conséquence la désignation de l’église catholique romaine qui a légitimé son abandon depuis le 7 Mars 321 et en 538, date où elle est devenue papale. C’est pourquoi, le second ange la désigne en disant à son sujet : « Et un autre, un second ange suivit, en disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité ! » Dans ce verset, les nations abreuvées du vin de la fureur de son impudicité désigne les nations catholiques mais aussi les nations protestantes qui honorent et pratique son repos du premier jour, l’ancien « jour du soleil invaincu » souillé par l’adoration païenne. La faute est si grave et mortelle qu’un troisième ange suit pour présenter ce message : « Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d'une voix forte: Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau. » Il nous faut alors tirer toutes les conséquences de cet avertissement que Dieu adresse aux Protestants mais également aux Adventistes eux-mêmes en précisant dans ce verset « il boira, lui-aussi ». Dans ce message tu peux relever un avertissement et la conséquence de son mépris. C’est pourquoi, je suis conduit aujourd’hui à rattacher le message de ce troisième ange à l’épreuve de foi adventiste de l’année 1994, en laquelle l’adventisme a perdu la grâce du Christ qui le désigne « nu ». Et son rattachement à la fédération protestante lui fait prendre une marque de l’autorité romaine qui le place dans la situation peu envieuse de victime destinée à subir la seconde mort dans l’étang de feu ; conformément à l’avertissement livré par le message du troisième ange. Dans son message, l’ange présente l’action de prendre une marque en utilisant ce verbe au temps présent, ce qui concerne la foi protestante dès 1843 et 1844 et l’adventisme officiel, à partir du début de l’année 1995, date de son alliance passée avec la fédération protestante déjà condamnée pour son obéissance à l’autorité catholique romaine. Cette application du message du troisième ange pour l’adventisme vomi n’exclut pas pour autant son application pour le contexte final du gouvernement universel qui cherchera à contraindre tous les survivants de la Troisième Guerre Mondiale nucléaire à honorer le dimanche romain. Les Adventistes connaissaient traditionnellement l’annonce de cette ultime épreuve de foi rattachée à la loi rendant le repos du dimanche obligatoire, mais ils ignoraient que l’avertissement du troisième ange allait les condamner en premiers, dès 1995 soit, après l’épreuve de foi achevée en 1994.

Comparons les expériences. En 1843 et 1844, les moqueurs et les indifférents surent, sagement et dans la crainte, attendre que les dates annoncées soient passée pour condamner et ce moquer ouvertement de la crédulité des Adventistes du premier jour, car il n’était pas encore question du sabbat, mais uniquement d’une attente du retour glorieux de Jésus-Christ. Les dates passées, les vrais Adventistes furent radiés et rejetés par les membres de leurs églises, et Dieu les rassembla pour former, après leur adoption de son saint sabbat, son église adventiste du septième jour. Au contraire, dans l’épreuve de foi basée sur l’attente du retour du Christ pour l’année 1994, l’adventisme tiède et formaliste n’attendit pas que la date 1994 soit passée pour condamner et rejeter le message de Dieu, car dès la fin de l’année 1991 soit, trois ans entiers avant la date présentée, il a choisi de radier le messager, confirmant son rejet définitif du message prophétisé. Et là encore, le message de Jésus adressé à Laodicée présente sa réponse envers cet odieux comportement. Là encore, il utilise pour ses verbes le temps du présent et du futur qui expriment successivement la cause et sa conséquence : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. » Or, le constat est fait en fin de l’année 1991 et la conséquence, le vomissement par Jésus, viendra trois ans plus tard au début de l’année 1995. Ce vomissement est alors confirmé par l’adhésion de l’Adventisme officiel au camp protestant dit « mort » par Jésus-Christ depuis 1844, dans Apo.3:1 : « Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort ».

L’Adventisme officiel n’a pas su tirer toutes les leçons données par les révélations reçues et transmises par notre sœur Ellen Gould-White. Dans son interprétation des messages des trois anges, elle précisa au sujet du comportement des humains envers les annonces adventistes faites par William Miller, que Jésus donna à ses anges l’ordre de ne plus s’occuper des chrétiens qui rejetaient et méprisaient les annonces proclamées par son messager. Le même jugement s’est abattu sur l’adventisme officiel en 1995, pour la même raison. Et déjà ce message transmis par Ellen Gould-White dans ses écrits a confirmé ma compréhension de la déchéance du camp protestant déjà très compréhensible, par l’exigence divine du sabbat depuis 1843 et 1844. Mais pour réaliser ces choses, il fallait leur donner tout notre cœur et toute notre âme, beaucoup de temps et de la persévérance. Mais aussi, fallait-il être choisi et guidé par Jésus-Christ ou son ange Gabriel, notre compagnon de service qui fait preuve, lui-aussi, d’une complète abnégation, dans son service pour Dieu en Jésus-Christ.

Sur les 2000 ans qui conduisent jusqu’à sa seconde venue glorieuse, Jésus-Christ n’a connu le bonheur dans sa relation avec ses rachetés que dans l’époque apostolique et celle de l’adventisme et la cause de ce bonheur est facile à identifier : dans ces deux époques ses serviteurs fidèles ont gardé et honoré son saint sabbat. C’est pourquoi toute sa Révélation prophétique est construite sur ces deux bases de l’an 30 à 321 soit, 291 années et de l’an 1844 à 2030 soit, 186 années. Ce sont deux époques en lesquels son « sacerdoce  perpétuel céleste » et la pratique de son sabbat sanctifié dès la fondation du monde étaient et sont de nouveau reconnu et honoré par ses rachetés. Aussi, ces deux périodes constituent les « portes » et les  « fondements » de la « Nouvelle Jérusalem », l’image symbolique de l’Elue rachetée, dans Apo.21:12 et 14 : « Elle avait une grande et haute muraille. Elle avait douze portes, et sur les portes douze anges, et des noms écrits, ceux des douze tribus des fils d'Israël : …/…La muraille de la ville avait douze fondements, et sur eux les douze noms des douze apôtres de l'agneau Entre ces deux périodes, l’usurpateur papale a détourné sur lui, les honneurs et les prières des croyants catholiques et d’une grande majorité de Protestants que Dieu a jugés « hypocrites » dans Dan.11:34 : « Dans le temps où ils succomberont, ils seront un peu secourus, et plusieurs se joindront à eux par hypocrisie. » Aussi toute la Révélation doit-elle être analysée sous les normes doctrinales appliquées dans ces deux époques, car entre les deux, le régime du « péché » stigmatisé et dénoncé par Dieu dans Dan.8:12 est venu dominer la religion chrétienne : «L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. » Le mot « sacrifice » n’est pas cité dans le texte original hébreu. Rajouté injustement, il fausse le sens du message et suggère le contexte de l’ancienne alliance alors que Dieu cible par son message l’ère chrétienne de la Nouvelle Alliance.

A l’époque de la restauration du sabbat soit, à partir de 1844, selon Apo.7:2, Dieu a entrepris son œuvre du « scellage » de ses vrais élus qui ont découvert, par opposition au sabbat « sceau du Dieu vivant », que le dimanche constituait la principale « marque de la bête » citée dans Apo.13:15 : « Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, ». Relève cette précision, le texte ne dit pas « la marque » mais « une marque » ; ce qui suggère que cette « marque » peut prendre plusieurs formes concrètes, mais elles représentent toutes un signe de l’autorité religieuse romaine et papale. Dans ce sens, le repos du premier jour instauré par Constantin est « une marque », l’adoration de Marie est « une marque », l’adoration des saints est « une marque », la messe catholique est « une marque » …etc Ceci justifie la condamnation de l’adventisme officiel qui rejette la lumière divine en 1991 et fait alliance avec la foi protestante maudite à cause de son respect pour le jour du repos romain ; ce qui conduit l’adventisme officiel à prendre, lui-même, « sur sa main et sur son front une marque » de l’autorité romaine ; « sur sa main » en tant qu’œuvre et « sur son front » en tant que signe de sa propre volonté et choix personnel responsable.

Jusqu’au retour en gloire de Jésus-Christ, le respect et la mise en pratique du « repos du septième jour sanctifié » par Dieu, dans Gen.2:2-3, constitue, dans la prophétie, « le sceau du Dieu vivant », mais la Bible donne un sens complémentaire à ce « sceau de Dieu ». Nous lisons dans 2 Tim.2:19 : « … Néanmoins, le solide fondement de Dieu reste debout, avec ces paroles qui lui servent de sceau : Le Seigneur connaît ceux qui lui appartiennent ; et : Quiconque prononce le nom du Seigneur, qu'il s'éloigne de l'iniquité. »

Après ces explications, la « confusion romaine » devient aussi transparente que le cristal. Le « mystère de l’iniquité » est clairement identifié.

 

 

 

En marche vers sa gouvernance mondiale

 

Le Dimanche 7 Décembre 1941, à partir de 10h choisissant l’heure du culte religieux protestant, le Japon lance une attaque aérienne contre la base américaine de Pearl Harbor dans l’océan Pacifique. Cette attaque engagée, le Japon déclare officiellement la Guerre aux USA, transgressant les règles conventionnelles adoptées par la SDN, la Société des Nations, organisée par l’Occident.

Les Américains étant aidés pour leur mise au point, par des savants juifs qui avaient fui l’Allemagne avant le début de la Seconde Guerre Mondiale, les 6 et 9 Août 1945, deux bombes nucléaires lâchées sur Hiroshima et Nagasaki contraignent les Japonais à reconnaître la victoire américaine. Bons princes, les USA vont aider le Japon à se relever en lui offrant leur protectorat ; la colonisation américaine des esprits a commencé. Mais pour comprendre comment on est arrivé là, il faut revenir en arrière, en 1944. Le 6 Juin de cette année 1944, le camp des alliés occidentaux débarque en Normandie sur les plages du Nord de la France. Les Russes entrent dans Berlin le 2 Mai 1945 et les Américains y entrent à leur tour deux mois plus tard. Les chefs nazis sont arrêtés, ils seront jugés et pendus par le camp vainqueur après le procès retentissant de Nuremberg qui commence le 20 Novembre 1945 et s’achève le 1er Octobre 1946. Mais dès leur entrée dans Berlin, les Américains évacuent les « cervelles grises » du camp nazi allemand.

L’Amérique dispose ainsi, avec le Japon, d’un terrain de production industrielle très rentable et d’énormes profits sont obtenus par la délocalisation des entreprises américaines vers ce pays. L’Amérique va profiter des connaissances du célèbre Von Braun le physicien qui a mis au point les V1 et V2 allemands destructeurs de Londres. Et tous les succès des avancées spatiales de la NASA lui sont dus.

En Europe, la guerre a beaucoup dévasté, et toujours bons princes, les USA aident à son relèvement. Ils organisent le plan « Marshall » et investissent beaucoup d’argent pour aider les peuples européens du camp occidental, seulement, car depuis le partage de Yalta, le camp russe occupe la Pologne et l’Allemagne de l’Est jusqu’à Berlin. La puissante machine industrielle et chimique de l’Amérique s’est mise en route et l’utilisation du DDT favorise les rendements des récoltes en détruisant la vermine et les insectes qui attaquent les produits de la terre. La vente de ce produit américain enrichit encore plus l’Amérique. Mais en France, le Général de Gaulle, chef du pays voit d’un mauvais œil cette nouvelle forme de colonisation, car depuis la fin de la guerre, des armées américaines stationnent un peu partout dans l’Europe occidentale. Et au prix du règlement d’une lourde dette de guerre, il obtient finalement leur départ du sol de la France. L’esprit républicain va conduire les Français à écarter du pouvoir ce chef militaire. Mais la France n’échappe pas pour autant à l’influence américaine que sa jeunesse admire et prend pour modèle. Et nous avons là, dans toute l’Europe occidentale, une nouvelle colonisation des esprits humains.

Dans le monde, une lutte d’influence oppose maintenant deux blocs adversaires opposés dans tous les domaines, politiques, économiques et religieux : capitalisme américain contre communisme russe soviétique ; religion protestante américaine contre athéisme du peuple russe. Le « rideau de fer » sépare les deux camps qui se vouent une haine réciproque. Entre ces deux géants, les Européens se divisent pour l’un ou l’autre, jusqu’au sein des nations elles-mêmes. Les deux maîtrisent l’arme atomique de la suprême dissuasion. Et les nations se reconstruisent dans une forme bipolaire à l’image des deux grands.

La France perd ses colonies et le retour au pouvoir du Général de Gaulle en 1958, place ce pays sous une nouvelle Constitution : sa 5ème République. Ce chef militaire avait besoin d’un pouvoir absolu et il fut rusé au point de concevoir une Constitution qui lui assurait un pouvoir autocrate tout en conservant des formes républicaines démocrates. La chambre des députés perdait son pouvoir d’influence qui désormais revenait au seul président et à sa députation majoritaire obéissant elle-même au gouvernement formé par son premier ministre. Occupés à consommer de plus en plus, ce nouveau régime ne gênait pas les Français, peu intéressés par les préoccupations politiques. Mais la politique fixe les orientations économiques et d’année en année, les riches financiers et les grands industriels ont organisé la vie économique selon leurs intérêts et leurs profits. De là est né l’idée de la création de l’Europe unie, dans un premier temps strictement commerciale ; sous la forme du « marché commun ». La France s’est appuyée sur l’Allemagne aussi demandeuse qu’elle, mais contrairement à la France, l’Allemagne était restée sous le protectorat américain. Et finalement, c’est à cause de l’Europe que la France a réintégré l’organisation américaine de l’OTAN de laquelle le Général de Gaulle l’avait fait sortir. Ce retour a été choisi par un seul homme, le président Nicolas Sarkozy. La réintégration est confirmée les 3 et 4 Avril 2009. C’est dans cette action que tu peux réaliser, la malédiction que constitue cette Constitution de la 5ème République. La nation entière voit son destin engagée pour le meilleur ou pour le pire sur la décision d’un seul homme. Et le pire pour le pays France, c’est que Dieu le maudit depuis son premier roi, Clovis le roi des Francs. Les décisions prises par ses chefs ne peuvent donc que le conduire à la catastrophe et à sa destruction. Mais, Dieu lui laisse du temps et il lui a déjà épargné la ruine pendant la Seconde Guerre Mondiale et son jugement pour entente avec l’Allemagne nazie. La raison de cette protection est dans ses lignes que j’écris encore aujourd’hui. C’est à Valence sur Rhône que Dieu a choisi d’apporter sa dernière puissante révélation prophétique et le choix de ce lieu est fondé sur les faits suivants : A Valence, son ennemi de l’époque, le pape Pie VI, arrêté en 1798 (fin des 1260 années du règne papal selon Dan 7:25) est mort dans la prison de la Citadelle en 1799. Dans la Cathédrale de cette ville, on trouve une stèle dans laquelle son cœur a été conservé. Or, la mort de ce pape est aussi un accomplissement de cette prophétie d’Apo.13:3 : « Et je vis l'une de ses têtes comme blessée à mort ; mais sa blessure mortelle fut guérie. Et toute la terre était dans l'admiration derrière la bête. » En fait, le pape Pie VI était la « tête » religieuse de la « bête » que constituaient ensemble le pouvoir religieux et le pouvoir monarchique civil ; l’autre « tête » de ce régime, celle de Louis XVI, était tombée le 21 Janvier 1793, tranchée par la guillotine des Révolutionnaires français. Ensuite, toujours à Valence, nous trouvons le séjour du jeune officier d’artillerie Bonaparte Napoléon qui va devenir en 1804, l’empereur des Français, Napoléon 1er. Dieu le désigne par l’image d’un « aigle » qui caractérisait le style impérial, dans Apo.8:13 : « Je regardai, et j'entendis un aigle qui volait au milieu du ciel, disant d'une voix forte : Malheur, malheur, malheur aux habitants de la terre, à cause des autres sons de la trompette des trois anges qui vont sonner ! » Ceci valut à son fils le surnom de « l’aiglon ». Valence est donc, une fois de plus, reliée à la prophétie, et selon ce verset, pour annoncer les « trois » dernières « trompettes » présentées, successivement, dans Apo.9, pour la 5ème et la 6ème ; et dans Apo.11:15, pour la 7ème ; choses que j’ai effectivement identifiées, interprétées et expliquées, dans mon ouvrage « Explique-moi Daniel et Apocalypse ». Et si cette lumière a été apportée à Valence, c’est en raison du fait qu’on y trouve la plus ancienne institution adventiste du septième jour de France ; la première qui y fut instaurée après la Suisse. Et c’est là que j’ai demandé et reçu le baptême de Jésus-Christ. Ces trois raisons justifient le choix de Dieu d’apporter sa lumière dans cette ville de la France. Et le caractère exceptionnel de son histoire est encore confirmé par le fait qu’à Valence, la guillotine des Révolutionnaires n’a fait tomber aucune tête ; contrairement à toutes les autres villes de France de cette époque. C’est donc en vertu de ce choix divin que j’apporte la lumière sur ce qui est obscur et ignoré ; conformément à ce qui est écrit dans Amos 3:7 : « Car le Seigneur, YaHWéH, ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes. » Ainsi, « le témoignage de Jésus » prend par ces écrits, une forme concrète, édifiante et salvatrice.

Parler d’impérialisme, renouvelé en France par Napoléon 1er, nous relie à l’impérialisme américain contemporain. Car les USA convoitent, eux aussi, cette place suprêmement élevée au dessus de tous les dominateurs de la terre. Après avoir mené des guerres soldées par des insuccès, successivement, contre la Corée du Nord et le Vietnam, tous deux soutenus par le camp soviétique russe et chinois ; les Américains échouent de nouveau contre l’Irak, puis contre l’Afghanistan musulman. Les Américains se sont repliés sur eux-mêmes et sous le président Trump, ils ont voulu mettre fin à leur rôle de gendarmes du monde ; ce qui était déjà sans le dire, un aveu de culpabilité. Mais non, c’était uniquement pour une raison de coût financier que cet interventionnisme américain devait cesser. Avec la concurrence de la Russie et de la Chine, entrées dans le capitalisme international, les possibilités d’atteindre la domination mondiale se réduisaient. Mais voilà qu’à la faveur d’un changement de président, l’agression de la Russie contre l’Ukraine la contraint à reprendre son rôle de gendarme du monde. Le président démocrate Joe Biden porte un intérêt à l’Europe et veut conserver son « leadership », sa colonisation des esprits des peuples entrés dans l’OTAN. Et lorsquattaquée par la Russie, l’Ukraine exprime son désir d’entrer dans l’OTAN, l’Amérique ne peut que lui venir en aide. Mais elle veut à tout prix, pour l’instant, éviter un affrontement direct avec la Russie puissamment nucléaire. Aussi, elle se restreint à fournir des armes à l’Ukraine qui en demande toujours plus, et en demandera toujours plus, à cause de la puissance du pays russe qui combat contre elle.

Sous la puissance de Dieu, les Européens sont conduits dans une escalade guerrière à cause des décisions prises par leurs dirigeants qui réagissent en fonction de l’histoire et les expériences vécues par leur pays. Les relations internationales leurs donnent de plus en plus de pouvoir et cette caractéristique moderne actuelle est révélée par Dieu dans son message, très codé, de la « sixième trompette », thème d’Apo.9, aux versets 17 à 19 : « Et ainsi je vis les chevaux dans la vision, et ceux qui les montaient, ayant des cuirasses couleur de feu, d'hyacinthe, et de soufre. Les têtes des chevaux étaient comme des têtes de lions ; et de leurs bouches il sortait du feu, de la fumée, et du soufre. »  Ce message, au demeurant, complètement incompréhensible, ne l’est plus. Pour comprendre, il suffit de remplacer le mot « chevaux » par groupe ou troupe, selon Jac.3:3 ; « ceux qui les montaient » par chefs militaires ; le mot « cuirasses » par justice et protection ; le mot « hyacinthe » est, symboliquement, la fleur du dieu Soleil Apollon, et son origine est la Turquie, la Syrie et le Liban ; le mot « têtes », remplacé par magistrats ou dirigeants, selon Esa.9:14 ; le mot « lion », par force, selon Juges 14:18 ; le mot « bouches », par parole soit, ordres, décisions, et prières ; le mot « feu », par destruction ; le mot « fumée », par prière, selon Apo.8:4, mais aussi intoxication, obscurcissement, selon, Apo.9:2 ; le mot « soufre », par nucléaire, ou « feu du ciel » selon Apo.13:13, ou feu souterrain volcanique, le magma de « l’étang de feu et de soufre » selon Apo.20:15 soit, l’enfer mythique du catholicisme et des Grecs. Et le verset 18 confirme et résume disant : « Le tiers des hommes fut tué par ces trois fléaux, par le feu, par la fumée, et par le soufre, qui sortaient de leurs bouches. » Le verset 19 vient ensuite fournir des explications établissant les rapports de ces symboles. Prenant le contre-pied des analystes civils, Dieu confirme la cause spirituelle des affrontements évoqués : « Car le pouvoir des chevaux était dans leurs bouches et dans leurs queues ; leurs queues étaient semblables à des serpents ayant des têtes, et c'est avec elles qu'ils faisaient du mal. » dans ce verset, le nouveau symbole cité, le mot « queue », désigne « le prophète qui enseigne le mensonge », selon Esaïe 9:14 ; et le mot « serpent » désigne le « rusé » et séducteur « serpent » utilisé en médium par le diable pour parler à Eve afin de la séduire par ses mensonges, dans Gen.3:1. Traduit et reconstitué, ce message signifie : « car le pouvoir des troupes était dans leur parole et leurs faux prophètes qui enseignent le mensonge ; leurs faux prophètes étaient des séducteurs rusés qui séduisaient des magistrats et dirigeants et c’est par ces magistrats et dirigeants que les faux prophètes faisaient du mal ». Dieu ne fait ici que confirmer ces accusations contre les fausses religions chrétiennes et musulmanes impliquées dans cette Guerre Mondiale axée sur l’Europe occidentale. Quant au mal qui est fait, le verset 18 l’a résumé en ces termes : « Le tiers des hommes fut tué par ces trois fléaux, par le feu, par la fumée, et par le soufre, qui sortaient de leurs bouches. » la fausse croyance produit dans cette guerre, « le feu », la destruction physique ; « la fumée », la destruction spirituelle ; « le soufre », la destruction nucléaire et la « seconde mort » dans « l’étang de feu » ; toutes choses ordonnées par les « bouches » des chefs d’Etats puissants.

Dans ces messages de la « sixième trompette », nous retrouvons les symboles cités dans celui de la « cinquième trompette ». Le lien spirituel qui les relie est ainsi confirmé. Explication : Depuis 1844, Dieu a donné 150 années, symbolisées par les « cinq mois » d’Apo.9:5-10, aux faux prophètes chrétiens protestants, anglicans, orthodoxes, pour entraîner dans leur chute les habitants de la terre. A la fin de ces 150 années, en Janvier 1995, l’adventisme du septième jour officiel les a rejoints, en sorte que le nombre des déchus était au complet. Après quelques années, en 2022, Dieu met en action la « sixième trompette ». Il libère les mauvais anges et la guerre commence en Europe par l’agression russe de l’Ukraine, en attendant l’extension de cette Troisième Guerre Mondiale à toutes les nations européennes et les autres grandes nations du monde.

En préparant cette étude, j’ai découvert l’importance du mot « hyacinthe », cité dans Apo.9:17. Ce nom désigne en symbole la fleur du dieu grec Soleil Apollon ou dieu grec de la Lumière. Cette signification la relie à l’ange destructeur nommé « Apollyon » soit, Apollon, dans la « cinquième trompette » au verset 11 : « Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. » Derrière ce nom, Dieu désigne le diable, l’inspirateur du culte païen rendu au dieu Soleil. Mais les mots « hébreu et grec » désignent la Bible qui est en écriture la Lumière de Dieu. Il impute donc, à la fois, l’usage destructeur de la Bible et les destructions commises dans la Troisième Guerre Mondiale, à la religion chrétienne qui honore l’ancien « Jour du Soleil » instauré par l’empereur romain Constantin 1er le grand, le 7 Mars 321. Le grand projet de Dieu s’accomplit ainsi sous nos yeux. Et après 150 années de paix programmées pour les religions chrétiennes, la destruction physique des coupables est engagée avec la libération des mauvais anges « prêts pour l’heure, le jour, le mois et l’année » depuis le début du scellage des élus d’Apo.7:2-3. Cette expression désigne, « l’heure » choisie par le Dieu créateur dans la norme de son calcul du temps qui remet en cause les dates fixées par le faux calendrier des hommes : « Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant ; il cria d'une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer, et il dit : Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu ». Que signifie la fin du temps du scellage des élus ? En premier, relève que ce temps du scellage s’achève au moment où la Guerre s’engage. En second, l’entrée en guerre signifie que le nombre des élus est au complet et que depuis ce moment, les nouvelles naissances ne pourront pas bénéficier de l’offre du salut. L’humanité entre alors dans le processus de sa destruction progressive qui sera totale au retour de Jésus-Christ.

Il nous faut retenir le rôle fondamental de la réaction de l’Amérique pour justifier l’escalade guerrière qui conduit l’humanité européenne à perdre, symboliquement, « le tiers des hommes » qui la compose. Et cette surenchère continuelle d’armement de l’Ukraine conduit la guerre à prendre une forme finale nucléaire, extrêmement destructrice de vies, de biens, de territoires rendus interdits à cause de la radioactivité du sol.

Après avoir pris connaissance de l’annonce de ce jugement de Dieu, nous pouvons retrouver concrètement ces choses dans la situation actuelle mondiale. Aux USA, le chef d’Etat Joe Biden est catholique romain président d’un pays officiellement protestant calviniste, en face de lui, le chef russe Vladimir Poutine est chrétien orthodoxe, le chef d’Etat de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky est juif, d’origine russe et son nom est polonais. La Pologne, son premier soutien, est catholique romaine, l’Angleterre est anglicane, la France, officiellement, agnostique est constituée d’un mélange religieux d’athéisme, de christianisme catholique et protestant, et de l’islam. Mais la liste n’est pas exhaustive, car il serait plus facile de dire quelle religion n’y est pas, vu qu’elle a accueilli sur son sol et ses territoires d’outre-mer des gens venus de toutes les nations de la terre.

En observant ce qui se passe, je vois des dirigeants pris de panique, cherchant pathétiquement une solution, se sentant pris dans un piège qui se referme sur eux inexorablement. Ce piège leur a été dressé par le grand Dieu créateur qui entend leur faire expier leur mépris pour sa lumière biblique, ses lois et sa personne, en dépit du témoignage d’amour qu’il leur a offert par le sacrifice mortel de sa vie en Jésus-Christ. La situation est inextricable, insoluble, car deux choix inverses s’imposent à eux : soutenir l’Ukraine et s’exposer à la vengeance russe ou refuser d’aider l’Ukraine et passer pour un homme égoïste, individualiste et sans cœur, et un traitre, auprès des partisans de l’aide à l’Ukraine. La schizophrénie s’empare des esprits et j’entends le président de la France, Emmanuel Macron, tenir des propos insensés repris en chœur par ses soutiens gouvernementaux. Il présente ainsi, dans le but de rassurer les Français, trois conditions pour donner des avions à l’Ukraine. Mais étant tous aveuglés par Dieu, ils ne réalisent pas que ces conditions ont toutes les trois été déjà transgressées et contredites par les faits : 1- Utilité pour l’Ukraine : utile pour la faire détruire de plus en plus par les bombardements russes ; 2- Pas d’escalade : il y a une escalade continuelle depuis le 24 Février 2022. La Russie intensifie ses frappes et mobilise de plus en plus de combattants ; 3- Sans affaiblir la France : toute offre d’arme et dépense militaire a un coût pour la France et l’affaiblit, sans oublier la vengeance russe qui viendra sur elle.

L’aveuglement des esprits par Dieu succède à la colonisation des esprits européens par les Américains. Pour l’Amérique, le moment d’atteindre son but dominateur s’approche, mais elle l’ignore. Car tous les acteurs mondiaux ignorent le projet préparé par le grand Dieu créateur. Ce privilège est gardé et réservé pour ses enfants fidèles et persévérants. Ceci nous permet déjà de voir la différence que Dieu fait entre : « celui qui le sert et celui qui ne le sert pas ». Mais la vraie différence finale entre les deux sera celle de la vie et la mort.

Dans le rôle du « serpent » séducteur, le jeune président acteur de l’Ukraine, tient le rôle principal. Dans toute l’histoire humaine, jamais un seul homme a séduit autant de chefs d’Etats en les culpabilisant de manière publique. Et le secret de sa réussite repose sur la dépendance de ces nations réunies dans l’OTAN qui les vassalise et les contraint à suivre, docilement, les décisions américaines. Cette domination américaine actuelle des esprits européens donne un aperçu du poids qu’elle aura dans son régime universel de « bête » programmée dans Apo.13:11. Les « gendarmes » de la terre, nouveaux Romains, deviendront alors les « têtes » dirigeantes qui imposeront leurs idées à tous les survivants de la grande destruction guerrière. Et nous serons, nous les serviteurs de Dieu, les cibles de la colère des êtres déchus frappés par les « sept derniers fléaux de Dieu » décrits dans Apo.16. Ceci, à tel point, que notre mort sera décrétée, conformément à l’annonce d’Apo.13:15. Et la seule précision que Dieu nous donne sur son intervention pour nous sauver, en dernière extrémité, repose sur le nom « Benjamin » qu’il donne à la douzième des « douze tribus scellées » par son « sceau » dans Apo.7:8 : « de la tribu de Zabulon, douze mille ; de la tribu de Joseph, douze mille ; de la tribu de Benjamin, douze mille marqués du sceau. » Derrière ce nom « Benjamin » se trouve ce message sur lequel doit se construire toute la confiance et la foi des derniers élus : Genèse 35:18 : « Et comme elle allait rendre l'âme, car elle était mourante, elle lui donna le nom de Ben Oni ; mais le père l'appela Benjamin. » Dans cette image on retrouve la situation finale, en apparence désespérée, des élus condamnés à mort. Mais Dieu, « le Père », intervient et change le destin de ses enfants fidèles ; de « Ben-Oni » qui signifie « fils de ma douleur », il les change en « fils de ma droite » traduction du nom « Benjamin » ; la « droite » côté de la « bénédiction » divine donnée aux élus, selon Matt.25:32 à 34 : « Toutes les nations seront assemblées devant lui. Il séparera les uns d'avec les autres, comme le berger sépare les brebis d'avec les boucs ; et il mettra les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche. Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde.»

Moi, qui suis né sur la fin de la Seconde Guerre Mondiale, je mesure combien le long temps de paix donnée par Dieu, entre 1945 et 2022, porte aujourd’hui des conséquences dramatiques, tant les gens en âge de gouverner sont jeunes, car beaucoup d’entre eux sont nés dans un contexte de « paix et de sûreté » garanties par l’Union Européenne et solidement entrées et installées dans les esprits humains. En sorte que ces paroles de Paul citées dans 1 Thes.5:3 s’accomplissent une première fois aujourd’hui, la seconde concernant le gouvernement universel du temps du retour glorieux de Jésus-Christ : « Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! Alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point. » La guerre, la vraie, n’était pour eux qu’un souvenir de leurs parents, de même que leurs parents avaient grandi en entendant leurs pères raconter les expériences terribles de la Première Guerre Mondiale de 1914-1918. Chaque génération avait le souvenir de sa guerre ; celle d’aujourd’hui n’en a pas. Et c’est aussi là, la cause des réactions arrogantes, imprudentes, et belliqueuses de nos jeunes dirigeants actuels. Il faut aussi comprendre que Dieu a préparé la Troisième Guerre Mondiale dès la fin de la Seconde. Car la Troisième débute par la remise en cause du partage de Yalta de l’année 1945. La Russie a laissé sortir de son alliance plusieurs pays, la Pologne, les pays Baltes, la Tchécoslovaquie, la Roumanie, mais l’Ukraine… sa frontière, c’était un pays de trop.

Dans l’Occident gagné par l’incrédulité et l’incroyance, l’annonce d’une guerre nucléaire est devenue incroyable. C’est pourquoi des multitudes vont mourir sans avoir connu la cause spirituelle divine de la guerre qui les fait disparaître.

Pour les Occidentaux, la décision d’armer l’Ukraine prend la forme : face, je gagne, pile, tu perds. Voici ce que je constate : l’Ukraine a l’avantage, aidons-là à vaincre ; l’Ukraine perd l’avantage, aidons-là à ne pas être vaincue. Alors que je dénonce et rappelle l’inexpérience et l’immaturité revendiquée par le président Macron, lui-même, avant sa première élection, j’apprends qu’une dirigeante russe commente les propos de notre président français qui dit que l’envoi d’armes lourdes ne constitue pas une escalade de la guerre. Elle dit à son sujet : « ce ne sont pas là, les propos d’un adulte ». Les limites de l’immaturité commencent à apparaître et les premiers à la découvrir sont les nouveaux ennemis russes ; pour leur part, les Français, eux, ne voient rien. Il est donc déjà trop tard ; la justice du Dieu vivant est « en marche » pour détruire qui n’est pas digne de vivre.

A l’occasion de cette étude, l’Esprit m’a fait découvrir de nouvelles interprétations du symbole « soleil » cité plusieurs fois dans Apocalypse. Il y apparaît en premier dans Apo.1:16 : « Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants ; et son visage était comme le soleil lorsqu'il brille dans sa force. » Et sa définition de symbole du dieu grec de la lumière, « Apollon », enrichit mes explications précédentes. La vision de la grande calamité annoncée à Daniel, dans Dan.10:1, est confirmée. Ici dans ce contexte chrétien « l’éclair » du dieu grec Zeus, ou Jupiter romain de Daniel, est remplacé par le « soleil » « Apollon », la cause de toute la malédiction qui frappe le faux christianisme depuis le 7 Mars 321, jusqu’au retour du Christ. En opposition complète avec son symbole de la vraie lumière divine, ce « soleil » désigne le culte solaire païen qui atteint historiquement son apogée avec le règne du roi de France, Louis XIV dit le « roi soleil ». Aussi, dans Apo.8:12, « le soleil comme un sac de crin » obscurci cible directement la monarchie et la religion catholique romaine papale soutenue et pratiquée par ce roi despote, persécuteur de la vraie foi réformée et avec elle, la Bible elle-même, la vraie lumière divine. De même dans Apo.8:12, le « tiers du soleil frappé » par les Révolutionnaires français concerne ces mêmes cibles monarchiques catholiques. Mais le verset entier suggère également, une attaque des Révolutionnaires contre l’ordre divin du temps, selon qu’il est écrit dans Genèse 1:14, au sujet des « astres et des étoiles » : « Dieu dit : Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue du ciel, pour séparer le jour d'avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années; » Or, pour la première fois de l’histoire humaine, les Révolutionnaires français ont voulu établir un calendrier spécial en remplaçant la semaine divine de sept jours par des semaines de dix jours. Mais l’ordre de la semaine divine a été rétabli après ce temps révolutionnaire. Dieu met en échec toutes les tentatives humaines de détruire l’ordre du temps fixé par lui. Et ces tentatives confirment ce verset fondamental de la prophétie qu’est Dan.7:25, car il révèle un projet conçu par Satan, le diable, l’ennemi de Dieu et de ses élus : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps. » Il a néanmoins, civilement, et depuis 1981, en France, réussi à faire attribuer  le nom « septième jour » au « premier jour » du temps fixé par Dieu, ce que la Chine, et en Europe les pays Baltes, pratiquaient déjà depuis des siècles, et il a réussi à placer le début du jour à minuit. Le début de l’année fut placé au début de la saison « hiver » depuis l’année 1564 où cette norme fut imposée par le concile de Roussillon, en France, en présence de la reine Catherine de Médicis. La mesure fut généralisée par le pape Grégoire XIII en 1582. L’attaque du temps est donc constatable et constatée. L’implication des trois rois maudits par la prophétie de Michel Nostradamus, dans ces modifications du temps divin est confirmée, puisque cette dernière mesure fut exigée par Charles IX, mort à 23 ans, frappé par Dieu.

Un événement s’est accompli en 1986 au titre d’avertissement prophétique. Il s’agit de l’accident nucléaire de la centrale située à Tchernobyl en Ukraine. Le nom Tchernobyl signifie « absinthe » ou herbes « amères », et en deux mots, le nom signifie : noir blanc, image d’opposition absolue du genre, « nuit et jour ; ténèbres et lumière » Gen.1:4-5. L’accident prophétisait que l’Ukraine porterait un fruit « amer » pour les Occidentaux ; « amer » comme le fruit de la foi catholique romaine que Dieu a comparé à « l’Absinthe » dans le message de la « troisième trompette » dans Apo.8:11 : « Le nom de cette étoile est Absinthe ; et le tiers des eaux fut changé en absinthe, et beaucoup d'hommes moururent par les eaux, parce qu'elles étaient devenues amères. » Or, dans la guerre actuelle, la Pologne, fief du catholicisme romain depuis que le pape Polonais Jean-Paul II a gagné la faveur populaire au cours de son pontificat de 26 ans (26 : nombre du nom de Dieu : YaHWéH), est le premier pays qui soutient les Ukrainiens et le plus zélé pour faire la guerre à la Russie soit, la pierre d’achoppement qui entraîne les nations européennes vers la ruine annoncée. Et la Pologne bénéficie du soutien et de l’approbation de plusieurs petits pays voisins, tous zélés pour la foi catholique.

L’Occident s’apprête à découvrir qu’il est plus facile de signer des accords commerciaux et des alliances politiques que de faire adhérer des esprits humains aux mêmes valeurs morales, politiques, économiques ou religieuses.

 

 

L’Elue et la loi divine

 

Dans Deut.6:5, notre Seigneur a déclaré par la bouche de Moïse, son serviteur et guide d’Israël : « Écoute, Israël ! YaHWéH, notre Dieu, est le seul YaHWéH. Tu aimeras YaHWéH, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force. ». Plus tard à son tour, selon Matt.22:26 à 40, à la question qui lui fut posée : « Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ? » Jésus donna sa réponse : « Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C'est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. »

La première chose à relever, c’est l’ordre « tu aimeras » qui est commune et présente dans ces trois commandements. La seconde est qu’en mettant dans la bouche de Moïse et de Jésus les mêmes paroles, Dieu donne à Moïse une image prophétique de Jésus-Christ ; ce que Moïse a confirmé lui-même, en disant au sujet de Jésus le Messie qui allait venir, dans Deut.18:15: « YaHWéH, ton Dieu, te suscitera du milieu de toi, d'entre tes frères, un prophète comme moi : vous l'écouterez ! » Moïse et Jésus ont été pour Dieu des prophètes et des guides pour conduire Israël dans la vérité divine. Mais dans ses déclarations, Jésus donne à la vérité divine une définition précise, fondamentale : « tu aimeras ». Il la présente sous la forme d’un commandement. Cependant, notre intelligence humaine suffit pour comprendre que l’amour et la capacité d’aimer ne dépendent pas d’un ordre, mais d’un don naturel. L’homme est ainsi fait, dans sa liberté, il aime ou n’aime pas  les choses, ou les gens. Quel est donc le but que Dieu donne à ce type de commandement ? La réponse est simple : il révèle à ses futurs élus, ce qu’est sa propre nature : l’Amour ; mais l’Amour parfait capable de se prolonger éternellement. Dès lors, il est facile de comprendre que toutes ses ordonnances ne s’adressent qu’à ceux qui l’aiment, afin que dans leur obéissance justifiée par l’amour et la confiance absolue qu’ils lui portent, ils puissent bénéficier de tous les avantages de sa parfaite connaissance des conditions qui seules peuvent créer le vrai bonheur.

La Bible est remplie de pages, dans lesquelles Dieu présente ses lois. Et il apparaît que toutes ces lois sont justes et ont pour but de préserver la santé physique et mentale de sa créature humaine. C’est ce qui conduit l’apôtre Jacques à évoquer la « loi de liberté » dans Jac.2:12 : « Parlez et agissez comme devant être jugés par une loi de liberté, »  Parler d’une « loi de liberté », exprimée par des multiples « commandements et ordonnances », constitue un paradoxe qui peut étonner les êtres simples qui ont de plus naturellement la réaction de considérer les ordres comme des « fardeaux » lourds et désagréables à porter. Aussi, nous faut-il le comprendre, ces ordonnances ne les concernent pas vraiment, car Dieu connaît d’avance comment ceux qui ne l’aiment pas suffisamment vont réagir face à ses ordonnances et ses commandements. Et puisque ces choses ne concernent en réalité que ses élus, c’est donc uniquement pour eux que les lois divines représente la « loi de liberté ». Comment expliquer cette logique ? Très simplement encore : dans l’esprit de l’élu ou l’Elue collective, le désir d’obéir fusionne avec le devoir d’obéir, en sorte que le commandement n’en est plus un. L’élu n’a pas besoin de se forcer à obéir à Dieu puisqu’il le fait par désir de lui plaire.

Lorsqu’on comprend ces choses, on réalise combien la fausse religion est vaine et inutile. Car par nature, tout ce qui est faux n’a aucune chance de réaliser une relation avec le Dieu de vérité. Vaine, l’évangélisation forcée, vain, l’endoctrinement mensonger, vaines, les formes religieuses instaurées par les hommes, vaines, les religions des fausses divinités et vaines, toutes les tentatives d’imposer par la contrainte des corps et des esprits une religion, même si elle concerne le vrai Dieu créateur. Par Moïse et Jésus qui ont tous deux dit : « tu aimeras », Dieu a placé « l’amour » comme l’unique condition qui permet de communier avec lui. Alors, en conséquence de cette règle absolue, tous ceux qui n’entrent pas dans cette norme ne comptent pas pour lui. Le nombre n’a aucune importance à ses yeux car il recherche et exige la qualité de l’âme. Ou elle est dans sa norme et il la retient pour son éternité, ou elle ne l’est pas, et ne reste à ses yeux qu’un « souffle » momentané qui passe et disparaît comme son Esprit l’a fait dire dans Psa.144:4 : « L'homme est semblable à un souffle, ses jours sont comme l'ombre qui passe. »

Dans 1 Corinthiens 13, l’apôtre Paul fait l’éloge de « l’amour » selon la conception de Dieu. Traduit par « charité » ou « amour », le mot grec d’origine désigne le charisme soit, le don. Et il est certain que le don le plus excellent que Jésus a confirmé, c’est le don d’aimer, le don de savoir et pouvoir aimer Dieu et notre prochain. Paul dresse donc le portrait robot de l’élu aimé et choisi par Dieu. Et une chose est sûre, c’est que celui qui aime vraiment Dieu ne discute pas son obéissance et il ne conteste pas avec lui. La dispute, qui remplace la discussion, est le fruit des êtres rebelles dont le premier ange créé parfait est devenu le modèle type, dans la suite du temps.

Nous allons pouvoir ainsi mieux comprendre l’image du « pédagogue » que Paul donne à la loi divine dans Gal.3:24-25 : « Ainsi la loi a été comme un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi. La foi étant venue, nous ne sommes plus sous ce pédagogue.» Qu’est-ce qu’un « pédagogue » ? Chez les Grecs, ce mot désignait une personne chargée d’accompagner un enfant à l’école. Ce n’était pas l’enseignant lui-même, mais un serviteur chargé de conduire l’enfant jusqu’au lieu de son école. Ceci lui donne un rôle intermédiaire qui n’est pas le rôle principal. Et ce rôle inférieur est attribué par l’Esprit à la loi écrite. Son utilité est donc réellement provisoire et elle est malgré cela, nécessaire, en raison du fait que l’être humain créé ne connaît pas Dieu et ignore son existence et son caractère. La loi lui fait découvrir son amour et les attentions bienveillantes que Dieu lui témoigne. Et, dans son combat contre le chef des contestataires, devenu Satan ou le diable, Dieu va révéler en Jésus-Christ et l’offrande volontaire de sa vie crucifiée pour payer les péchés de ses élus, eux-seuls, l’immense amour dont il est capable de faire profiter ceux qu’il va sauver de cette manière. C’est alors que nous pouvons comprendre que les mots « foi et amour » constituent le but final du projet salvateur de Dieu, puisque la loi divine conduit en « pédagogue » l’élu vers l’un et l’autre de ces deux mots qui concernent et désignent la norme « amour » définie par Dieu. Le plus étonnant est de réaliser que Dieu, auteur de la loi, est l’être le moins légaliste de tous ceux qui vivent ou ont vécu. Car, lorsqu’il est pratiqué, l’amour parfait rend la loi inutile. Et Dieu nous en a donné la preuve en autorisant David à manger des pains de proposition sanctifiés pour le culte divin lorsque, pourchassé par le roi Saül, il entra dans le Temple et mangea ces pains pour apaiser sa faim ; chose que Jésus rappelle dans Matt.12:3-4 : « Mais Jésus leur répondit : N'avez-vous pas lu ce que fit David, lorsqu'il eut faim, lui et ceux qui étaient avec lui ; comment il entra dans la maison de Dieu, et mangea les pains de proposition, qu'il ne lui était pas permis de manger, non plus qu'à ceux qui étaient avec lui, et qui étaient réservés aux sacrificateurs seuls ? » Dieu a montré dans cette expérience que, pour lui, ceux qui lui sont fidèles sont plus importants que les règles de ses lois, qui n’ont qu’un caractère provisoire rattaché aux conditions des 6000 ans réservés pour le « péché » des êtres célestes et terrestres. Mais à l’opposé de cette exception que l’amour justifie, Dieu a donné aussi des exemples de destruction de la vie des créatures humaines rebelles. Et ceci, dès le début de la sortie d’Egypte, pendant la marche d’Israël dans le désert. « Koré, Datan et Abiram » descendirent vivants dans la terre ouverte sous leurs pieds, parce qu’ils étaient idolâtres et contestaient l’autorité que Dieu avait donnée à Moïse. Dieu donna, dans ces circonstances, la preuve concrète de la manière dont il juge ceux qui le servent et ceux qui ne le servent pas, et contestent leur devoir de lui obéir.

La veille de la Pâque, Jésus déclara ouvertement à ses douze apôtres que l’un d’eux était un démon ; il ne le nomma pas, mais il savait que c’était Judas et il alla jusqu’à lui dire en particulier : « ce que tu as à faire fais-le promptement ! » Ce qu’il avait à faire était utile pour faire accomplir le projet du salut, puisque Jésus est venu sur la terre des hommes pour y mourir volontairement en sacrifice expiatoire pour les péchés de ses élus. Mais, les autres apôtres ignoraient la nature démoniaque de Judas qui en apparence servait Jésus comme eux. Et ce personnage de Judas est très intéressant car il représente à lui seul des multitudes de faux croyants. Judas voulait simplement contraindre son Maître à s’engager officiellement dans sa domination de roi des juifs. Trouvant que les choses n’allaient pas assez vite à son gré, il voulut forcer Jésus à agir. Or, il ignorait tout du vrai projet salvateur de Dieu. A ce moment même où il agit en vendant Jésus, les autres apôtres étaient dans la même ignorance de ce projet salvateur, mais à la différence de Judas, ils ne cherchèrent pas à contraindre Jésus à obéir à leur souhait. Et c’est là que se tient toute la différence entre le Judas déchu et les onze autres apôtres élus. Victimes de siècles de faux préjugés, les apôtres pensaient que le Messie serait un roi comme David auquel les Ecritures prophétiques le comparaient. Et malgré les explications clairement données, ils n’entendaient pas ses propos. Ce ne sera qu’après sa mort et sa résurrection que, devant l’évidence, ils comprendront le projet divin du salut donné par grâce au nom de l’expiation faite par l’homme divin parfait, offert en sacrifice parfait pour obtenir un parfait rachat des péchés de ses élus. De son côté, voyant Jésus crucifié et mort sur sa croix, Judas vit s’écrouler tous ses rêves de gloire dominatrice qu’il comptait obtenir au service du roi Jésus. Son désespoir le conduisit au suicide. Aussi, pouvons-nous le comprendre, Judas n’aimait pas Jésus même s’il le servait et Jésus savait même qu’il était voleur et cependant il lui confia la trésorerie de leur groupe. En Judas, Dieu nous donne une image prophétique de ce faux christianisme catholique romain devenu Papal en 538. L’amour de l’argent et des richesses est à la base de toute son organisation. Puisque le premier pape en titre et en pouvoir temporel, fut un intrigant nommé Vigile. Comme un voleur, il entra dans un service présenté officiellement comme étant soumis au Seigneur Jésus-Christ. Mais dans ce service, il instaura des formes et des rites pris aux païens et en partie aux Juifs. La construction de l’ordre religieux catholique, avec ses hiérarchies et son clergé, n’était pas légitime, parce qu’après la mort de Jésus et sa résurrection, le rachat des péchés des élus étant obtenu, l’ordre religieux institutionnel était inutile et pour confirmer la chose, Dieu fit détruire Jérusalem et son saint temple par les Romains en l’an 70, et la prophétie de Dan.9:26 le confirme : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura personne pour lui pas de successeur. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » La cause de ce châtiment est annoncée dans ce même verset : « il n’aura personne pour lui » et c’est la traduction littérale du texte hébreu que Louis Segond propose dans un commentaire placé en marge dans sa version de la Bible. Aujourd’hui encore, en dépit des multitudes qui se réclament de lui, Dieu ne trouve que très peu de personnes qui soient pour lui. Parce qu’être pour lui c’est l’aimer et l’aimer vraiment comme l’aimèrent vraiment ses onze apôtres désespérés par sa mort. Ils l’aimaient vraiment et le prouvaient en se remettant en toute chose à sa sainte volonté. Et quand ils ne comprirent pas ce qu’il arrivait, ils souffrirent terriblement jusqu’à ce que sa résurrection les ramène dans la joie et le bonheur. Ils étaient maintenant libres, libérés et éclairés et ils sont restés au service de leur Maître bien-aimé jusqu’à la fin de leur vie achevée dans le martyre consenti et accepté. L’Eglise du Christ est libre à l’égard de toute forme institutionnelle, car l’histoire l’a prouvé, la forme institutionnelle est un carcan qui enserre la vérité divine et empêche sa croissance, en s’opposant toujours aux nouvelles lumières données par l’Esprit divin en Jésus-Christ. En sorte que l’humanité se compose encore aujourd’hui de ces deux modèles de vies humaines opposées dans l’absolu, celui des déchus comme Judas et celui des élus comme les onze apôtres de la première heure. Les Judas veulent se servirent de Dieu tandis que les élus le servent réellement en esclaves volontaires qui renoncent à leur propre volonté. C’est pourquoi, on retrouve les Judas réunis dans le camp de l’alliance dite œcuménique, alliance de ceux que Dieu a prophétisés sous le nom « hypocrites » dans Dan.11:34 : « Dans le temps où ils succomberont, ils seront un peu secourus, et plusieurs se joindront à eux par hypocrisie. » Dans ces « hypocrites », Dieu rassemble toutes les institutions religieuses chrétiennes formées depuis le 7 Mars 321 jusqu’à notre temps de la préparation de la fin du monde. Elles ont toutes en commun, la culpabilité d’avoir rejeté la lumière divine en leur temps et leur mépris pour la parole prophétique les a conduits à ignorer que ces prophéties permettaient de les identifier. Aussi, il ne reste pour tous les Judas qu’à subir le juste châtiment de Dieu en Jésus-Christ. Et pour ses vrais élus conformes à l’image des onze apôtres, Jésus les gardera sous sa bienveillante et fidèle protection jusqu’à son retour vengeur puissant et glorieux, après quoi il les conduira dans son royaume où il leur a « préparé une place », selon Jean 14:1 à 4 : « Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin. » Ce « chemin » était le modèle de sa vie parfaite exemplaire.

Trompeusement et eux-mêmes étant trompés, des multitudes de Judas se réclament du salut de Jésus-Christ mais ces gens devrait tirer profit de la leçon donnée par Jésus dans Jean 8 dans son échange avec des Juifs pharisiens. Versets 39 à 44 : « Ils lui répondirent : Notre père, c'est Abraham. Jésus leur dit : Si vous étiez enfants d'Abraham, vous feriez les oeuvres d'Abraham. Mais maintenant vous cherchez à me faire mourir, moi qui vous ai dit la vérité que j'ai entendue de Dieu. Cela, Abraham ne l'a point fait. Vous faites les œuvres de votre père. Ils lui dirent: Nous ne sommes pas des enfants illégitimes; nous avons un seul Père, Dieu. Jésus leur dit: Si Dieu était votre Père, vous m'aimeriez, car c'est de Dieu que je suis sorti et que je viens; je ne suis pas venu de moi-même, mais c'est lui qui m'a envoyé. Pourquoi ne comprenez-vous pas mon langage ? Parce que vous ne pouvez écouter ma parole. Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge. Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas. »

Si Jésus se présentait en face des nouveaux Judas, nous assisterions au même dialogue du juste éclairé et des sourds rebelles. Concrétisant sa leçon donnée par cette expérience vécue avec les Juifs, Jésus nous a appris à ne pas juger la religion sur son nom ou sa revendication, mais uniquement sur son fruit, soit sa conformité au modèle révélé en et par Jésus-Christ, le parfait divin modèle.  

 

 

Des faits historiques hautement prophétiques

 

Depuis le 6 Février 2023 des faits historiques à haute valeur prophétique se sont accomplis. Il s’agit successivement des tremblements de terre de haute magnitude qui viennent de frapper la frontière entre la Turquie et la Syrie. Et le Mercredi 8 Février le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky s’est déplacé successivement en Angleterre, puis en France où il a rencontré le chancelier allemand Olaf Scholz, et le président français, Emmanuel Macron. Le lendemain matin, les trois hommes se sont rendus à Bruxelles pour rencontrer l’assemblée des députés européens. Là, le président de l’Ukraine a renouvelé ses appels et ses remerciements aux députés présents. Mais j’ai pu remarquer combien cette assemblée était clairsemée. Les amis de l’Ukraine étaient tous là, mais les autres étaient absents. Et la photo de cette assemblée témoignait de ce que le sujet ukrainien pouvait devenir une cause de rupture de l’Union Européenne.

Le 6 Février, la Turquie a donc été victime d’un puissant séisme terrestre qui a atteint une magnitude de 7,8 sur l’échelle de Richter qui en compte 9 au total. D’autres secousses ont succédé après la première, entraînant une hausse croissante de victime et aujourd’hui, 18 Février, on estime le nombre de morts à plus de 44000, qui montera probablement à 60000, voire davantage. Cette région est coutumière des séismes, mais nous trouvant dans moins de deux mois, à sept ans du retour du Christ, ces faits d’actualité prennent un caractère prophétique. Car la zone touchée par le séisme est longée et traversée par « le fleuve Euphrate ». Or dans son Apocalypse, Jésus-Christ cite deux fois ce nom auquel il donne le sens symbolique de peuple placé sous la domination du catholicisme romain papal soit, l’Europe et les USA qui sont une excroissance de cette Europe occidentale. En comparant les images proposées par la prophétie, l’Europe et ses excroissances du Canada, des USA et de l’Australie constituent ensemble la dernière représentation des « dix cornes » prophétisées dans Dan.7:7 et Apo.17:3 : « Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. » Dans cette description, Dieu illustre le camp occidental au complet placé dans un temps d’épreuve symbolisé par le mot « désert ».

La première épreuve qui lui est imposée est le châtiment de la « sixième trompette » selon Apo.9:14, où ce camp soumis à « Babylone la grande » soit, Rome, est nommé symboliquement « Euphrate » : « et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. » Pour Dieu, ce camp occidental reconstitue la norme de l’antique Rome impériale, mais cette fois elle s’appuie sur la puissance militaire des USA, les nouvelles légions de la nouvelle Rome. Car aussi puissants soient-ils, les USA sont les victimes inconscientes du dimanche romain hérité, conservé et honoré par les groupes protestants. Cette première épreuve nous touche de près puisqu’elle se met en place dans notre actualité, en conséquence de l’escalade guerrière du soutien apporté à l’Ukraine. Le prix à payer pour cette épreuve est grand : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. »

La deuxième épreuve qui lui est préparée va se présenter sous le symbole du « sixième des sept derniers fléaux de Dieu », dans Apo.16:12 où le camp des nouveaux Romains est encore symbolisé sous le nom « Euphrate » : « Le sixième versa sa coupe sur le grand fleuve, l'Euphrate. Et son eau tarit, afin que le chemin des rois venant de l'Orient fût préparé.» Il faut relever le but que Dieu donne à ce « sixième des sept derniers fléaux de sa colère ». Il évoque les préparatifs du combat « Harmaguedon » soit, l’épreuve du décret de mort promulgué contre les observateurs fidèles du sabbat divin.

Dans la superficialité de leur étude de ce sujet de l’Apocalypse, les faux chrétiens se trompent au sujet d’« Harmaguedon » et l’interprètent comme la Troisième Guerre Mondiale de la « sixième trompette ». Et Dieu joue de cette confusion, en donnant à la préparation de la Troisième Guerre Mondiale des formes identiques à celles qui évoquent la préparation du véritable « Harmaguédon ». C’est pourquoi, je peux retrouver dans le récit du véritable « Harmaguédon » une description de faits qui s’accomplissent sous nos yeux dans l’actualité pour l’organisation de la Troisième Guerre Mondiale.

Ainsi, prenons Apo.16:12 : « Le sixième versa sa coupe sur le grand fleuve, l'Euphrate. Et son eau tarit, afin que le chemin des rois venant de l'Orient fût préparé. » Il est facile d’interpréter ces faits comme s’accomplissant par l’actuel tremblement de terre qui frappe la zone du commencement du fleuve Euphrate sur la frontière de la Turquie et de la Syrie. Mais ce n’est pas le cas parce que les plaies décrites dans Apo.16 sont les « derniers fléaux » selon Apo.15:1 : « Puis je vis dans le ciel un autre signe, grand et admirable : sept anges, qui tenaient sept fléaux, les derniers, car par eux s'accomplit la colère de Dieu. » Relève bien que sans cette précision « les derniers » donnée par Dieu, la confusion entre les fléaux des « trompettes et les derniers fléaux » d’Apo.16 serait possible et même légitime. Mais les relations des premiers fléaux avec les derniers présentent en miroir des révélations qu’ils partagent. C’est ainsi que le « tarissement de l’eau de l’Euphrate » peut représenter l’annonce de la disparition partielle soit, du « tiers », du peuple européen symbolisé par le mot « eau ». Et cette interprétation crée un lien entre la Guerre mondiale européenne et le dernier combat appelé « Harmaguedon » conduit par les « survivants » du camp européen occidental contre les élus restés fidèles au saint sabbat de Dieu.

C’est pourquoi, la Troisième Guerre Mondiale est elle aussi préparée par une frappe divine de la Turquie au niveau même du fleuve « Euphrate » qui fait la richesse de la Syrie et de l’Irak. Pour ces pays musulmans, va s’ensuivre une ruine économique tragique qui coagulera les haines religieuses et va favoriser le regroupement des forces de l’islam universellement répandu. Ils vont prendre ainsi l’apparence de ces « rois venus de l’Orient » pour combattre avec les forces russes, les armées et les peuples occidentaux. Et il convient de relever que le lieu frappé par le tremblement de terre concerne la zone où se trouve la ville d’Antioche, dans laquelle les disciples de Jésus-Christ ont reçu pour la première fois le nom de « chrétiens ». On peut donc voir dans le drame qui touche la Turquie, un châtiment imposé par Jésus-Christ contre l’islam venu remplacer et éradiquer la foi chrétienne dans ce berceau du christianisme. Je referme cette réflexion.

Les ressemblances ne s’arrêtent pas là ; elles continuent dans Apo.16:13 et 14 : « Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à des grenouilles. Car ce sont des esprits de démons, qui font des prodiges, et qui vont vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout puissant. » Là encore, dans cette description, il est facile de voir l’image des messages d’appels lancés par le président de l’Ukraine à tous les chefs d’Etats du monde et du camp occidental particulièrement et donc sa visite des 8 et 9 Février, en Angleterre, en France, et à Bruxelles. Un tel appel séducteur visant à « rassembler » les peuples contre la Russie est nouveau et exceptionnel. Le but de se rassemblement étant le « combat du grand jour du Dieu tout puissant », il est facile de donner à ce « combat » l’accomplissement de la Troisième Guerre Mondiale. Mais ce ne sont là que des ressemblances trompeuses de deux accomplissements successifs séparés dans le temps par la fin du temps de grâce. Mais ces images miroirs de la Révélation divine n’ont pas pour seul but de tromper les incrédules superficiels, Dieu nous donne par là, une leçon dans laquelle il nous dit que les châtiments de la « sixième trompette et du sixième des derniers fléaux » punissent la même faute commise contre son « grand jour », celui qu’il a sanctifié dans un but prophétique, le « septième jour » de sa création terrestre. Et au titre de « grand jour du Dieu tout puissant », les coupables ont à faire avec la toute puissance de ce Dieu créateur unique. C’est lui qui les livre à la Guerre nucléaire qui vient et ce sera encore lui qui détruira leurs survivants lors de son glorieux retour, au printemps 2030, pour le véritable combat « Harmaguédon ».

Il faut relever que le président de l’Ukraine adapte son comportement selon les peuples auxquels il s’adresse. Il a bien compris qu’en France, les députés français ne représentent rien car l’autorité exécutive ne s’y trouve qu’entre les mains de son seul président. Il n’a donc pas perdu son temps à rencontrer les députés français, mais uniquement le président autocrate qui décide de tout.

 

Les liens spirituels établis entre notre actualité et les derniers événements du temps des derniers fléaux prophétisent des dates de ces derniers événements. Ainsi le 6 Février 2030, les rebelles se consulteront en vue d’adopter pour la loi dominicale établie depuis la fin du temps de grâce, un décret de mort contre les observateurs du sabbat qui résisteront à l’obligation d’honorer le repos du premier jour imposé par Rome depuis l’empereur Constantin le Grand, le 7 Mars 321. Notre actualité est donc bien prophétique.

Je profite de ce message qui rappelle que la cause des châtiments de Dieu est la transgression de son grand et saint « septième jour » nommé « sabbat » pour dénoncer les attaques humaines portées contre l’ordre du temps instauré par Dieu. Et les attaques sont anciennes puisque déjà les Juifs restés sous l’ancienne alliance se sont autorisés à adopter à côté du calendrier religieux ordonné par Dieu, un calendrier civil différent et opposé à l’extrême. Selon Exo.12:1-2, et selon l’ordre du temps établi par Dieu, l’année commence au début du printemps, alors que l’année civile juive commence au début de l’automne. Or, nous ne trouvons dans les saintes Ecritures aucun enseignement visant à établir un calendrier civil. Et ceci pour la simple raison qu’en créant Israël, Dieu a donné à ce peuple une vocation religieuse. L’initiative n’était donc pas de lui, mais ce choix des Juifs a pris un sens prophétique bien réel. Car Dieu privilégie la vie avec le printemps, tandis que les juifs privilégient la mort avec l’automne dite « la saison morte » en laquelle au dixième jour, Dieu avait placé sa fête du Yom Kippur qui célébrait la fin du péché. L’automne rassemble donc les sujets du péché et de la mort qui est son salaire selon Rom.6:23. Ceux qui adoptent l’automne pour début d’année prophétisent qu’ils vont vivre et mourir dans leur péché. On peut ainsi comprendre que l’adoption de ce calendrier civil réalisée au début du IVème siècle de notre ère chrétienne fut inspirée par Dieu pour confirmer le nouveau statut de pécheurs du peuple juif ; ce que Daniel 8:23 confirme : « A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux ». En contraire absolu, les élus honorent le printemps en lequel le 14ème jour, Jésus-Christ l’agneau de Dieu leur offre sa justice éternelle. En conséquence, ils ne subiront pas « la seconde mort » mais vivront éternellement dans la justice de Dieu.

L’expression « Dieu tout puissant » proclame que Dieu organise toute chose dans la vie de ses créatures en bien et en mal. Sa norme du bien est réservée pour ses élus sélectionnés par l’amour qu’ils lui portent. Sa norme du mal est la part de ceux qu’il rejette et qu’il livre à Satan et ses démons dont il a préparé les œuvres, selon ses plans jusqu’à leur anéantissement final et total.

C’est sa puissance et son intelligence, toutes deux illimitées, qui permettent au grand Dieu créateur d’organiser aujourd’hui la construction de la Troisième Guerre Mondiale par des événements qui prophétisent et datent les événements qui vont concerner la dernière épreuve de foi. Dans ce contexte final, pris pour cible de l’irritation des nations déchues, les derniers représentants du véritable adventisme du septième jour auront l’occasion de démontrer concrètement la confiance envers Dieu que la connaissance des prophéties révélées leur aura donnée. Ce sera pour Dieu en Jésus-Christ le sujet d’une grande gloire contre le diable et ses alliés célestes et humains.

J’ai relevé dans la date locale du tremblement de terre survenu en Turquie le 6 Février à 4h 17 mn la signification des chiffres suivant : 6, 2, 4, 17 : 6ème trompette ; imperfection ; universel ; jugement. Le même événement est rattaché en temps UTC à 1h 17 mn. Le chiffre 17 confirme encore le mot « jugement ».

 

Au fil du temps, l’Europe originelle des 6 nations occidentales catholiques a accueilli d’autres pays, au point d’en rassembler, aujourd’hui, 27. Ce grossissement a été obtenu par l’entrée des pays de l’Est restés longtemps sous la gouvernance et la politique communiste russe. Ils sont venus chercher la protection et la prospérité du capitalisme américain protecteur de 5 nations sur les 6 originelles ; la France s’en étant momentanément exclue. Mais qu’y auront-ils trouvé ? La malédiction divine qui frappe cette Europe depuis l’an 321. Et loin d’y profiter de la paix, ces pays de l’Est auront apporté, dans l’Europe, la Guerre et la plus tragique, la Troisième Guerre Mondiale nucléaire. L’Europe romaine catholique, protestante et anglicane des « sept têtes et dix cornes » et ses puissantes excroissances partageront la colère divine avec les autres peuples de la terre, chrétiens orthodoxes, juifs, musulmans, hindous, bouddhistes, shintoïstes et autres, tous condamnés par le vrai Dieu pour leur paganisme héréditaire.

 

 

 

L’inversion humaine des valeurs divines

 

Nous trouvons dans la Bible, dans Esaïe 5:20, cette imprécation divine : «Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume ! »  Il s’agit d’un cas typique de l’inversion des valeurs divines qui attire sur ceux qui agissent ainsi la malédiction et la colère de Dieu. Or, ce comportement caractérise tout particulièrement l’humanité de notre époque qui prélude à la fin du monde.

Dans cette étude, je vais démonter et démontrer les causes qui expliquent pourquoi, nous en sommes arrivés là.

 

La raison principale est l’incroyance qui justifie l’athéisme mais aussi l’incrédulité qui concerne ceux qui construisent leur religion « à la carte » selon leurs propres désirs. Le problème de ces personnes est qu’elles restent limitées par leur incapacité à prendre un autre modèle que l’être humain lui-même. Nous savons, nous qui croyons et croissons en Dieu, qu’il a créé l’être humain en limitant ses possibilités. En conséquence, les raisonnements humains tournent dans un cercle vicieux extrêmement limité. Son esprit constate l’existence de lois morales, physiques et chimiques que son esprit rebelle le pousse à contourner et à dépasser. Les lois constatées le renvoient à sa nature limitée en sorte que le mal comme le bien sont considérés comme des choses naturelles. Et si ces choses sont naturelles, elles ne sont plus à ses yeux condamnables. En prenant ses propres raisonnements pour bases de ses réflexions, l’être humain se condamne à mourir dans ses péchés, sans pouvoir bénéficier de la grâce divine proposée gratuitement par Dieu en Jésus-Christ.

Qu’est-ce que l’homme ? La Bible répond : « un souffle ». Mais c’est surtout l’espèce vivante supérieure que Dieu a créé originellement « à son image » sur la terre vendue au péché. Sur la terre, il est un élément vital pour l’homme ; c’est « l’air » qui remplit à chaque aspiration ses poumons. Dans la Bible, le mot hébreu « ruah » désigne indistinctement l’esprit ou le vent soit, le souffle. Il est écrit au sujet du diable qu’il est « le prince de la puissance de l’air ». « Le prince » mais pas « le roi », car le vrai « roi » de « l’air » c’est le Dieu créateur lui-même ; lui, le « Roi des rois et Seigneur des seigneurs ». Dieu se compare donc à « l’air » qui remplit toute l’atmosphère de la terre. Et cette image confirme sa nature « Esprit ». Son Esprit est partout, surveille et contrôle tout dans toutes les dimensions soit, les concepts des créations qu’il a créés.

Sur la terre, l’homme attribue l’existence de son esprit au fonctionnement de son cerveau. Ce n’est vrai qu’en partie seulement. Parce que dans sa condition humaine, la conscience de son existence dépend bien de son cerveau, mais celui-ci n’est que l’enregistreur de données multiples qu’il stocke dans sa mémoire. Et c’est seulement sur la terre que cette mémoire dépend d’un cerveau. Or le cerveau n’est qu’un organe moteur créé par le Dieu Esprit. En sorte que la vie ne dépend pas du cerveau mais de la puissante volonté de Dieu qui a créé l’homme. Il en est de même pour tous nos organes ; ils ont été imaginés par la pensée de l’Esprit Dieu. Et ils obéissent à des limitations que Dieu leur a données.

La norme réelle de la vie est cachée dans les possibilités illimitées de l’Esprit de Dieu. Rien ne lui est impossible car c’est lui qui fixe les règles, les lois, les possibilités et les impossibilités attribuées aux vies de ses créatures de manière spécifiques pour chaque dimension créée.

L’Esprit de Dieu est la trame dans laquelle il tisse ses projets et leur donne existence. Jésus a tenu à rappeler dans Jean 4:24 que « Dieu est Esprit », parce que les êtres humains donnent trop d’importance au corps et à ses organes qui régissent ses cinq sens. C’est ainsi que dans Jean 14:8 à 11, Philippe dit à Jésus : «Montre nous le Père. Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu, Philippe ! Celui qui m'a vu a vu le Père ; comment dis-tu : Montre-nous le Père ? Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même ; et le Père qui demeure en moi, c'est lui qui fait les œuvres. Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi ; croyez du moins à cause de ces œuvres. ». Au milieu de ses douze apôtres, en Jésus-Christ, le Père manifestait son Esprit. Et nous pouvons ainsi comprendre la leçon donnée par Jésus-Christ qui était Dieu dans un corps humain. Les élus doivent apprendre à connaître Dieu en esprit et à donner moins d’importance à l’aspect que son corps peut prendre. Car c’est l’Esprit divin qui a imaginé et créé le concept du corps. Ce terme n’avait aucun intérêt quand il était seul sans aucun vis-à-vis vivant libre. L’esprit de Dieu est illimité contrairement à l’aspect d’un corps qui le définit et le limite dans le regard de son vis-à-vis. L’Esprit de Dieu a habité dans le corps céleste nommé Micaël, puis dans le corps terrestre de Jésus-Christ, mais dans toutes ses représentations, Dieu ne se montre que partiellement. Son Esprit est insondable comme la Bible le dit et il n’est sondé que par lui-même. Pour qualifier son Esprit, les mots « grand ou petit » perdent leur sens car la taille des choses ne s’applique qu’à ses créations de vies et de matières. Néanmoins, il est le plus grand au sens des valeurs qu’il approuve parce qu’elles sont sublimement parfaites, et parce qu’il est l’Unique créateur de tout ce qui existe.

Notre dimension terrestre témoigne des possibilités illimitées des créations divines. Ainsi, sur toute la terre, les mêmes lois sont appliquées en tous lieux sur toute sa surface et dans le volume de son atmosphère. Mais en opposition à cette unanimité des conditions terrestres, dans le ciel, dans le cosmos intersidéral, il se passe des choses incroyables ; les astres obéissent à des règles individuelles qui ne s’appliquent pas à l’ensemble des astres, étoiles, planètes, trous noirs de notre ciel. Les uns s’attirent, d’autres se repoussent, tournent sur eux-mêmes ou pas dans des temps diversifiés, et Dieu témoigne ainsi qu’il est bel et bien le créateur de toute espèce et forme de loi qu’il a imposées dans le ciel et sur la terre à toutes ses créations.

Se rebeller contre une telle puissance, un tel pouvoir infini, témoigne d’un terrible manque d’intelligence. Mais il est vrai que l’orgueil aveugle et réduit les capacités de raisonnement des êtres humains et déjà avant eux, celles du diable et de ses démons célestes. L’homme a la chance de pouvoir profiter de l’expérience rebelle des mauvais anges qui ont été définitivement condamnés à mourir à cause de la victoire de Jésus-Christ sur le péché. L’éternité qu’ils ont perdue est encore disponible pour tous ceux des hommes qui raisonnent réellement intelligemment. Et la réflexion est payante car l’étude du sujet permet de découvrir la nature aimante du vrai Dieu. Il n’est plus question de réflexe de survie mais de désir de partager un bonheur parfait unique et inimitable pour l’éternité avec lui.

La communion avec Dieu est possible de manière permanente, parce qu’il est lui-même disponible 24h sur 24 ; il ne prend pas sur rendez-vous, mais se tient en permanence prêt pour communier à toute heure avec ceux qui l’aiment. Je l’ai souvent dit et je le répète ici : la réalité divine dépasse toute fiction imaginée par l’homme. Et ceci pour la simple raison que cette imagination humaine est limitée alors que celle de Dieu n’a aucune limite.

C’est pourquoi, regarder vers Dieu nous permet de redresser l’ordre des valeurs divines perverti par la référence au modèle humain. J’ai toujours eu conscience de l’existence du Dieu tout-puissant et je savais que rien ne lui était impossible. C’est pourquoi, je savais qu’il avait toutes les réponses pour mes questions et au fil des années et des expériences, il a répondu au-delà de toutes mes espérances. Aussi, est-ce pour moi un grand bonheur que de le laisser m’instruire dès le matin entre le sommeil et le réveil complet. Je m’empresse ensuite de mettre en écrit les enseignements reçus pour te les faire partager.

Dans la Bible, Dieu nous dit qu’il crée les choses par sa parole. Ceci parce que son message est adressé à ses vis-à-vis terrestres qui doivent entendre ses révélations. Mais en réalité, ses créations sont produites par sa pensée créatrice et l’importance donnée à sa parole a pour but de le présenter comme le donneur d’ordre. Celui à qui l’être humain doit obéir pour sa sauvegarde et son bonheur. Et c’est finalement bien par sa parole écrite que le Dieu Esprit révèle son projet de salut à ses élus. C’est pourquoi la Bible mérite bien son nom de « parole de Dieu » qui révèle ses pensées secrètes et ses jugements de ses créatures célestes et terrestres.

La révélation de la Bible était absolument nécessaire parce que, sans elle, la Création offre aux incroyants d’irrésistibles pièges. Mais à cause de l’existence de cette Bible, dans laquelle Dieu a révélé les origines de la terre et des vies qu’elle porte, ils sont sans excuse et condamnés par Dieu pour leur choix de ne pas tenir compte de ses révélations. En écartant Dieu et ses précisions, les scientifiques trouvent dans le ciel des astres et des galaxies distantes les unes des autres et ces distances se mesurent en centaines et millions d’années-lumière. Ils attribuent donc ces normes gigantesques à l’âge de notre terre et se perdent dans les chiffres de millions ou milliards d’années sans pouvoir se montrer précis. Car, ils savent qu’ils ne peuvent rien prouver et que leurs explications ne sont en fait que des hypothèses totalement improuvables. Tout cela, parce qu’ils ne tiennent pas compte de l’existence du Dieu créateur qui créée dans l’instantané des choses séparées par des centaines et millions d’années-lumière. Mais cette position n’est que la conséquence d’un refus rebelle de reconnaître leur statut de créature qui doit rendre des comptes à son Créateur, et déjà à ce titre, lui rendre gloire et honneur ; ce que Dieu exige et rappelle, en 1844, par la voix du « premier ange », dans Apo.14:7 : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. ». Leurs fumeuses théories piègent, uniquement, les gens qui cherchent, comme eux, à échapper au devoir religieux. Les vrais élus ne tombent pas dans ce type de piège et ils trouvent dans les révélations divines toute la sécurité qui manque dans l’autre camp. Respecter les valeurs divines en remettant en cause les valeurs humaines conduit les élus au vrai bonheur et à l’authentique paix avec Dieu en Jésus-Christ ; le bon choix pour leur âme.

Le mal qui est pratiqué aujourd’hui dans notre société occidentale n’est pas nouveau, puisque Dieu l’a censuré par des châtiments terribles déjà plusieurs fois. La première fut exprimée par les eaux tueuses du déluge. La seconde frappa les deux villes prospères de la vallée du Jourdain, Sodome et Gomorrhe, où Lot le neveu d’Abraham avait voulu s’installer, par une pluie de pierres de soufre enflammé que Dieu fit tomber du ciel. Dieu le fit sortir, pour épargner sa vie, au dernier moment, nous donnant ainsi une image prophétique qui concernera l’enlèvement des derniers élus avant que « le septième des sept derniers fléaux » vienne sous la même forme détruire les dernières vies rebelles terrestres, après le retour glorieux de Jésus-Christ. La troisième fois fut accomplie, selon l’image comparative donnée dans Lév.26:25 : « Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi ». Dans l’ère chrétienne, ce châtiment est renouvelé par « l’épée vengeresse » de la guillotine des Révolutionnaires français pendant une année entière du 27 Juillet 1793 au 27 Juillet 1794 ; soit, 200 ans avant la dernière date prophétique proposée par Dieu dans sa Bible. L’année désignée soit, 1994, marqua donc la fin des « cinq mois » prophétiques d’Apo.9:5-10 ou 150 années réelles qui ont mis fin à son alliance avec l’adventisme du septième jour institutionnel officiel. Après cette date, le mal devait encore prendre un aspect plus hideux, en France, sous la présidence de François Hollande par l’autorité duquel, toutes les formes du mal censuré par Dieu ont été légalisées. C’est dans cette légalisation officielle que l’humanité porte à son paroxysme, le principe évoqué au début de l’étude de ce chapitre soit, ce que condamne ce verset d’Esaïe 5:20 : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume ! » Mais, je ne me trompe pas, Dieu annonce bien que le « malheur » punit ce genre de chose ? Et bien oui, il le fait et selon Apo.8:13, c’est précisément au titre de « second malheur » que vient la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale d’Apo.9:13 à 21. Et l’Esprit a voulu souligner l’importance de la chose en disant dans Apo.9:12 : « Le premier malheur est passé. Voici il vient encore deux malheurs après cela. » Il faut le comprendre, en 1994, le mal n’était pas encore au haut niveau qu’il a atteint sous la présidence Hollande en France, mais aussi dans tous les autres pays occidentaux qui ont légalisé, avant la France, le mariage officiel des homosexuels et autres LGBT. Le « second malheur » de la « sixième trompette » entre sous nos yeux en accomplissement à cause du dégoût que le peuple de la Russie et son chef Vladimir Poutine éprouvent envers les mœurs décadents abominables des peuples occidentaux. Car c’est là, la cause principale du refus du chef russe de laisser l’Ukraine rejoindre ce camp occidental qui justifie ce que Dieu juge abominable. C’est en effet un grand paradoxe, que ce pays longtemps athée se dresse ainsi scandalisé par l’abomination. Mais c’est précisément cette rupture provisoire de relation avec Dieu qui favorise un retour religieux dans cette Russie longtemps séparée des Occidentaux par des murs et un symbolique significatif « rideau de fer ». Ce processus de retour vers Dieu a déjà caractérisé le comportement des « survivants » de la « quatrième trompette » nommée  « la bête qui monte de l’abîme », comme l’indique et le confirme Apo.11:13 : « A cette heure-là, il y eut un grand tremblement de terre, et la dixième partie de la ville, tomba ; sept mille hommes furent tués dans ce tremblement de terre, et les autres furent effrayés et donnèrent gloire au Dieu du ciel. » Et pour indiquer à son prophète que l’hécatombe de cette situation spirituelle et historique de 1793-1794 va se reproduire dans le contexte historique de la « sixième trompette », Dieu donne à l’évocation de cette « quatrième trompette » le nom « second malheur » de la « sixième trompette » ; Apo.11:14 : « Le second malheur est passé. Voici, le troisième malheur vient bientôt. » Et ce qui permet de ne pas confondre les deux accomplissements, c’est, précisément, le comportement des « survivants » des deux châtiments historiques divins. Car au contraire de ceux de 1794, ceux qui « survivent », après la « sixième trompette », « ne se repentent plus », selon Apo.9:20-21 : « Les autres hommes qui ne furent pas tués par ces fléaux ne se repentirent pas des œuvres de leurs mains, de manière à ne point adorer les démons, et les idoles d'or, d'argent, d'airain, de pierre et de bois, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni marcher ; et ils ne se repentirent pas de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité ni de leurs vols. ».

Un autre point caractérise en commun les deux châtiments 1793 et 2023, car Dieu chiffre le nombre des victimes frappées de mort : en 1793-1794 selon Apo.11:13 : « A cette heure-là, il y eut un grand tremblement de terre, et la dixième partie de la ville, tomba ; sept mille hommes furent tués dans ce tremblement de terre, et les autres furent effrayés et donnèrent gloire au Dieu du ciel. »  Et en 2022-2023, selon Apo.9:15 : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » Le contexte national français de la « quatrième trompette » devient un contexte européen international dans la « sixième trompette » et cette fois, c’est « le tiers » de la population européenne qui est frappée de mort.

Parvenus au temps de la fin, les élus de Jésus-Christ peuvent comprendre qu’il les sauve, non seulement par son sacrifice expiatoire en leur faveur, mais aussi par la lumière prophétique qui éclaire leur compréhension sur les événements qui s’accomplissent dans leur époque. Cette compréhension est réellement le fruit porté par l’authentique « témoignage de Jésus » soit, « le témoignage » qu’ils reçoivent de la part du Dieu de vérité, le Dieu Vivant qui les aime et les sauve en les protégeant du mal dû au mensonge.

 

 

 

La concurrence et la complémentarité

 

Ces deux mots « concurrence et complémentarité » résument à eux seuls les principes de vie opposés soutenus par le diable et le grand Dieu créateur.

Le choix du diable est celui qui s’applique sur la terre livrée à sa gouvernance depuis six mille ans bientôt. Selon ce principe, la concurrence stimule le développement des initiatives et dans la concurrence, il y a des gagnants et des perdants. Le but recherché est le dépassement de l’autre concurrent jusqu’à son élimination. Car le but final de la concurrence est l’obtention du monopole. Et selon le proverbe « la fin veut les moyens », celui qui veut gagner à tout prix ne s’interdit aucun moyen. Le principe de la concurrence favorise le développement de l’immoralité. Dans nos temps modernes, cette concurrence est quelque peu contrôlée par des règles fixées par les tribunaux occidentaux et principalement américains. Mais rien ne dure très longtemps et ces règles changent au gré des désirs des vainqueurs de l’heure. Depuis 1990, en Occident, on a vu les valeurs basculer pour passer de la censure à la liberté sexuelle la plus débridée et la plus perverse. Aussi, les élus du Christ ont-ils été prévenus par lui, qu’ils ne devaient pas être trompés par les normes des valeurs de leur temps ; aujourd’hui en paix, mais demain en guerre ; aujourd’hui libre et demain esclave d’un régime universel despotique. C’est pourquoi, nous devons nous arracher de notre contexte contemporain et regarder avec du recul l’histoire humaine constituée de guerres incessantes. Nos 77 années de paix occidentale ont été exceptionnellement données par Dieu pour des raisons stratégiques, mais sitôt passées, le naturel dur et autoritaire va redevenir la norme de l’existence des derniers humains restés vivants après l’hécatombe réalisée par les armes nucléaires de la Troisième Guerre Mondiale ou « sixième trompette » d’Apo.9.

Dans le passé et jusqu’à nos jours, la concurrence a conduit les hommes à se défier les uns les autres dans des jeux organisés ou des duels souvent mortels. La concurrence était le moteur de la vie dans l’empire romain. Pour gravir les marches vers la domination, les plus déterminés n’hésitent pas à recourir à l’élimination physique des concurrents, par assassinats de tous moyens. Aussi de tous temps, la concurrence a engendré pour l’humanité de la souffrance, des cris de désespoir et des pleurs inconsolables. La concurrence est favorisée à cause du principe de la récompense dont profite le vainqueur et dans une totale injustice, cette récompense est variable et peut atteindre des sommets exorbitants. Dans l’antiquité, la richesse n’était possible que pour les rois, les grands, dont les héritages transmis de génération en génération, ne faisaient que croître, à moins qu’un événement brutal ne mette fin à cette descendance.

En notre époque, le principe de la concurrence explique à lui seul le fonctionnement de la société américaine des USA. Et dans un aveuglement moral total, en majorité, les Américains trouvent normal qu’un président de société devienne plus riche à lui seul que des pays entiers dans le reste du monde. Et si cette situation perdure sans trop choquer les êtres humains, c’est parce que la possibilité de s’enrichir est offerte à tous, et que tous ou presque rêvent de profiter de cette offre. La concurrence provoque la jalousie parce qu’elle met en présence et en concurrence des pauvres et des riches. Et le monde du diable est organisé de manière telle, que l’argent est une nécessité vitale parce qu’il achète tout : la nourriture, le vêtement, le toit, le plaisir, et le pouvoir politique. C’est par son énorme richesse familiale que le neveu de Jules César, le jeune Octave, acheta le soutien de la plèbe romaine et devint le premier empereur romain de l’histoire sous les noms César Auguste (illustre). Au cours du Moyen-âge, la concurrence dressa les seigneurs locaux les uns contre les autres et le seigneur battu devenait le vassal du vainqueur, perdant une partie importante de ses biens qui revenaient au vainqueur. C’est encore la concurrence non supportée par l’église catholique romaine qui a été cause des guerres de religions qui ont marqué le temps de l’imprimerie mécanisée de la Bible.

Après avoir relevé les inconvénients de la concurrence, il est facile de comprendre que pour obtenir le vrai bonheur, ce principe de concurrence doit disparaître entièrement. Et le principe de vie qui va la remplacer, c’est celui de la complémentarité qui s’applique à toute chose, les humains, les animaux, les végétaux, les arbres, les légumes, les fruits, etc… Mais aussi et surtout, la sainte Bible dont le principe essentiel est justement cette complémentarité depuis son premier livre appelé Genèse jusqu’au dernier nommé Apocalypse.

En construisant la Bible sur ce principe de complémentarité, Dieu ne nous révèle pas seulement le récit de l’histoire religieuse humaine, il nous révèle, principalement, le principe moteur sur lequel il va construire le bonheur parfait de ses élus et ses anges pour l’éternité. La différence apportée par l’autre est un plus bénéfique pour la communauté entière. Et dès lors, que la récompense n’est plus, l’apport d’une personnalité différente est entièrement positivée. L’image d’une chaîne de vélo illustre la situation d’une société construite sur le modèle complémentaire. Les maillons qui forment cette chaîne sont parfaitement égaux. La vie selon Dieu conduit à la même égalité de droit, même si les tâches et l’ordre hiérarchique sont différents. L’éternité n’est donc souhaitable que pour les personnes qui trouvent plaisir dans ce partage complémentaire. C’est pourquoi, Dieu n’a jamais tenté d’obtenir l’adhésion de toutes ses créatures à sa norme. Il sait, en premier, que les convaincre toutes est impossible et il se satisfait pleinement de sélectionner au fil du temps, les élus qui ont le profil apte à sa norme du salut et des conditions de la vie céleste éternelle.

Tout au long de ses pages, la Bible nous fait découvrir les expériences terrestres des serviteurs de Dieu. Notre connaissance de Dieu commence avec notre lecture de la Bible dans Genèse 1 et 2. Et dans ces versets, nous apprenons ce que Dieu approuve ou condamne : il approuve la lumière et condamne les ténèbres symboles du bien et du mal. Dans Genèse 2 : nous lisons « et Dieu bénit le septième jour et il le sanctifia ». C’est là, dans ces paroles, que nous apprenons combien le repos du « septième jour » est important pour lui, et aussi pour ses vrais élus qui partagent ses goûts et ses valeurs. C’est pourquoi, après le rappel de cette importance dû à sa présentation sous la forme du quatrième des dix commandements de Dieu, le mot sabbat ne sera jamais mentionné dans ses prophéties de Daniel et Apocalypse. Son identification, au « sceau du Dieu vivant » d’Apo.7:2, repose sur un acte de foi, lequel dépend de la connaissance de Dieu. Et ce principe confirme cette déclaration de Jésus-Christ qui a dit : « Or, la vie éternelle c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ ». De même, dans ces prophéties, le « péché » n’est pas identifié car le mot « jour du soleil » n’est pas mentionné et son identification reste, elle aussi, dépendante de la foi qui connaît Dieu ou ne le connaît pas. La prophétie divine ne mentionne pas les choses en langage clair ; elle les suggère seulement et c’est l’Esprit de Jésus-Christ qui donne aux lecteurs qui l’étudient la conviction de l’interprétation ou ne la donne pas, selon qu’il juge qu’ils s’en montrent dignes ou pas. Notre connaissance de Dieu augmente avec le temps et les expériences révélées. Déjà dans Genèse 3, nous apprenons que les menaces présentées par Dieu ne sont pas à prendre légèrement, car la désobéissance d’Eve et ensuite d’Adam a bel et bien été punie de mort comme Dieu l’avait dit à Adam. De même, la venue du déluge d’eau en 1655 après le péché a confirmé cette nécessité d’obéir à sa parole sous peine de génocide humain. Les quarante années pendant lesquelles Dieu a nourri son peuple au désert sont venues encore confirmer sa capacité à faire vivre ou mourir. Ensuite, par les juges et les rois, la même leçon a été renouvelée tout au long de l’ancienne alliance. Puis l’Israël béni par Dieu est entré dans la nouvelle alliance basé sur le sang versé par Jésus-Christ. A ce point de l’histoire, les paroles du Christ se sont accomplies : « Tout est accompli ». La réconciliation de Dieu avec les élus pécheurs est devenue possible, et ceux-ci renonçant au péché, l’offre du sang juste a porté concrètement son fruit de grâce divine dans leurs vies. Jésus les a littéralement et spirituellement lavés de leurs péchés. Hélas, avec le temps, le 7 Mars 321, le joyau de Dieu, sa perle de grand prix, son sabbat sanctifié, est abandonné par un décret impérial romain ordonné par l’empereur Constantin 1er le grand. En conséquence, les malédictions des châtiments divins vont se succéder dans le temps jusqu’à la fin du monde, au retour de Jésus-Christ. Mais Dieu avait prophétisé son intention de restaurer sa vérité, si ce n’est sur toute la terre du péché, dans un premier temps, dans la foi adventiste du septième jour lequel fut restauré officiellement par le décret de Daniel 8 :14 qui fixe la date de cette restauration au printemps de l’année 1843. Mais à cette époque, cette restauration n’est pas encore littéralement réalisée, cependant elle condamne déjà la pratique du dimanche romain observée jusqu’à ce printemps 1843. Le sabbat sera pratiqué par les élus sélectionnés uniquement après la fin de la seconde épreuve adventiste du 22 Octobre 1844, soit à partir du 23 Octobre 1844.

En même temps qu’il a exigé la restauration de la pratique de son saint sabbat du septième jour, depuis le printemps 1843 et l’automne 1844, Dieu a commencé à apporter à ses élus, sa grande Révélation. Que pouvait-elle apporter de nouveau, après le ministère terrestre de Jésus-Christ ? Uniquement, la révélation de l’existence du « péché » que le diable a fait réinstaller dans l’Eglise chrétienne, après ce ministère de Jésus-Christ. Et pour porter concrètement cette révélation, Dieu l’a faite reposer sur deux livres prophétiques, Daniel dans l’ancienne alliance, et Apocalypse dans la nouvelle alliance. Et là encore, il est impossible de donner plus d’importance à l’un ou l’autre de ces deux livres, car ils sont incontestablement complémentaires. Sans Daniel, Apocalypse est incompréhensible, et sans l’Apocalypse donnée à Jean, Daniel reste imprécis et mystérieux. Daniel livre beaucoup moins de détails que l’Apocalypse mais ce manque de quantité est compensé par la qualité de sa révélation, car il nous présente les bases indispensables pour comprendre le jugement que Dieu porte sur les religions juive et chrétienne. Pour la religion chrétienne, ces bases se résument très simplement ainsi : Dan.8:12 : « l’armée fut livrée avec le perpétuel à cause du péché » ; quand ? En 538 ; date de l’instauration du « péché » : le 7 Mars 321. Le temps de cet abandon à l’église romaine est de 1260 jours-années présentés sous la forme « un temps, des temps, et la moitié d’un temps » dans Dan.7:25 : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps. » La même durée est présentée sous la forme « quarante deux mois » et « 1260 jours » dans Apo.11:2-3 : « Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors, et ne le mesure pas ; car il a été donné aux nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante-deux mois. Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. »

Après ces 1260 années réelles des règnes persécuteurs des papes romains et des monarchies européennes, dans Daniel 8:14, Dieu fixe l’année en laquelle va commencer la révélation de son jugement. La chose est rendue possible par la sélection d’élus mis à l’épreuve de la foi au point que Dieu les en déclare « dignes » dans Apo.3:4 : « Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes.» Sur quelles bases Dieu les juge-t-il dignes ? Contrairement à des multitudes de faux chrétiens traditionalistes, les élus de Dieu se distinguent par la cohérence de leur comportement en accord avec leurs paroles. Ils se réclament du salut de Jésus-Christ et Dieu les authentifie parce qu’ils se soucient de lui obéir et donne une importance vitale à ses révélations bibliques prophétiques. Les prophéties divines ont été écrites dans la Bible mais elles ne sont compréhensibles que lorsque son Esprit saint vient éclairer les intelligences de ses élus. Ceux-ci, qui par nature ne souhaitent que faire et accomplir sa divine volonté, découvrent que c’est Dieu lui-même qui, connaissant leur nature profonde et réelle, les a guidés et conduits vers son obéissance. Selon l’image biblique, ce n’est pas la brebis qui cherche son maître, mais le contraire : c’est « le bon berger » qui « vient chercher sa brebis égarée ». Et Jésus ajouta : « mes brebis connaissent ma voix, je les appelle et elles me suivent ». Ce sujet me conduit à évoquer la conversion de Paul. Elle fut rendue possible parce que Paul aimait sincèrement la vérité révélée à son peuple, Israël, que Dieu avait fait dépositaire de ses oracles. Il était aveuglément animé d’un zèle sincère contrairement à d’autres Juifs fourbes et calculateurs, tels le souverain sacrificateur Caïphe ou autres Judas. Dieu, qui sonde les reins, les cœurs et les esprits, connaissait parfaitement sa vraie nature. C’est pourquoi, il le contraint par une vision aveuglante à se convertir pour le servir. Paul est le cas typique de la « brebis égarée » que Jésus vient arracher au camp du diable parce qu’elle en est digne.

Comme la vérité divine, les élus sont des gens simples et surtout, très logiques. Pour être comprise, la révélation divine ne nécessite aucun diplôme supérieur, parce que les choses révélées sont accessibles aux plus simples des hommes, l’intelligence leur étant donnée par Dieu.

Ainsi, après la grande lumière reçue en Jésus, par ses premiers apôtres, des siècles de ténèbres spirituelles ont dominé la vie humaine jusqu’au retour de la lumière venue après l’épreuve de foi « adventiste » de l’Automne 1844. Ce n’était que le début du retour de la lumière divine, mais l’essentiel était restauré : la pratique du vrai repos du sabbat du septième jour et la conscience de l’importance de la révélation prophétique de la Bible qui confirme l’annonce du retour final glorieux de Jésus-Christ. Les interprétations des prophéties étaient encore fausses et provisoires, mais l’attitude des serviteurs de Dieu était digne du salut du Christ. Parce qu’il sonde les cœurs et les pensées, Dieu sélectionne ses élus sur des critères de vérité qui touchent à la nature des êtres humains. La compréhension réelle des mystères révélés ne dépend que du temps, car elle se fait progressivement et atteint son apogée uniquement aux derniers jours années des six mille ans de sélection d’élus du projet divin.

Le « péché » révélé dans Dan.8:12, est le lien qui relie les images de l’Europe illustrée dans Apocalypse par les symboles « dix cornes et sept têtes »  Ce symbolisme des « dix cornes », cité pour la première fois dans Dan.7:7, est ciblé par Dieu, dans l’Apocalypse, dans trois époques différentes identifiables par l’absence ou la présence de « diadèmes » placés sur « les têtes » ou sur « les cornes ». Et dans cette démarche, Dieu fait encore appel au principe de la complémentarité. Ainsi lorsque ces « diadèmes » sont sur les «sept têtes » dans Apo.12:3, l’Europe est ciblée dans sa phase impériale romaine ; ce qui évoque les persécutions des premiers chrétiens, jusqu’à la paix fourbe et trompeuse instaurée par l’empereur Constantin, l’ordonnateur de l’abandon du sabbat divin en date du 7 Mars 321. C’est alors que ce « péché » dénoncé par Dieu dans Dan.8:12, est instauré. Mais il est masqué par l’adoption du « jour du soleil » qui le remplace le premier jour de la semaine. Et c’est ainsi que par ce remplacement du saint sabbat divin, le « jour du soleil » honoré par les païens romains, le premier jour de la semaine divine, devient « la marque » de l’autorité romaine par opposition au sabbat qui constitue, lui, « le sceau royal du Dieu vivant ». Il te faut réaliser combien la chose fut ressentie comme une trahison et un affront par le Dieu créateur, et en conséquence, la grâce du Christ ne pouvait plus être obtenue par des pécheurs qui commettaient un péché volontaire. Car, les mots « septième et premier » culpabilisent ceux qui légitiment le changement apporté par cet empereur romain. Mais le changement de jour du repos hebdomadaire fut bien préparé par l’arrêt des « dix » années de terribles persécutions, prophétisées dans Apo.2:10, perpétrées par l’empereur romain Dioclétien et ses empereurs associés dans sa tétrarchie, entre 303 et 313. Ordonné par Constantin, l’arrêt des persécutions favorisa le développement de la religion chrétienne et en foules, des gens non convertis ont été baptisés, afin d’entrer dans la nouvelle religion protégée par l’empereur lui-même. Toutes ces conversions superficielles ont accepté le changement du jour de repos sans aucun problème. Car à cette époque, les élus, les vrais, capables de résister, étaient aussi peu nombreux qu’en toute époque, jusqu’à la nôtre. Avec l’adoption du repos du premier jour, nous assistons à la formation originelle de la religion catholique romaine. Comme le ver est dans le fruit, « la marque » diabolique est entrée dans la doctrine et la pratique religieuse chrétienne, et pour la perpétuité terrestre, jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ.

Subtilement, dans Apo.13:1, les « diadèmes » passent des « sept têtes  » aux « dix cornes ». L’Esprit indique ainsi que l’Europe des monarchies est ciblée dans le contexte de sa soumission au régime papal romain instauré depuis 538 jusqu’à 1798 soit, ce que Dan.8:24 prophétisait en disant : « Les dix cornes, ce sont dix rois qui s'élèveront de ce royaume. Un autre s'élèvera après eux, il sera différent des premiers, et il abaissera trois rois. » C’est donc cet autre « roi » de Daniel qui est désigné par le symbole des « sept têtes » dans l’Apocalypse. Dans ce verset, il faut relever l’importance de la précision « il sera différent des premiers » car cette « différence », c’est son pouvoir religieux papal. Ainsi, contrairement aux prétentions de l’église papale romaine, les papes ne sont pas des successeurs de l’apôtre Pierre, puisque Dieu situe l’apparition du régime papal après le démembrement de l’empire romain ; ce qui s’est accompli à partir de l’année 395. Le lien qui relie cette époque de l’Europe des « dix cornes » est encore le « péché » instauré par l’empereur Constantin. Mais cette fois, le « jour du soleil », est imposé par une organisation religieuse, et de plus, il a été rebaptisé « jour du Seigneur » soit, en latin, « Dies Domenica » et en français : « dimanche ». A partir de notre connaissance de ces faits, la valeur de notre foi va dépendre de notre réaction. Sommes-nous, outrés, sonnés, interpellés, étonnés, choqués, indignés, ou cela nous laisse-t-il froid et indifférent ? Celui qui a subi l’affront n’est pas n’importe qui. Il s’agit du grand Dieu créateur de toute vie, chose, loi ou principe et le prix à payer est à la hauteur de sa toute puissance. Consciente ou pas du problème, l’humanité entière paie les conséquences de ce lèse-majesté divin par des malédictions incessantes multiples qui la frappent de nombreuses manières, éruptions volcaniques, tremblements de terre, tsunamis, cyclones dévastateurs, invasions d’insectes ravageurs, inondations, grêle, et guerres tueuses, etc… A la faute de l’empereur Constantin, la papauté romaine a ajouté « l’arrogance » que Dan.7:8 et 20 lui impute, en osant transformer le texte original des dix commandements de Dieu, allant jusqu’à oser supprimer le texte du deuxième commandement, par lequel Dieu interdit la prosternation devant des images taillées de toute créature terrestre ou céleste. Ignorant cette interdiction divine, des multitudes de gens se prosternent devant des images des saints canonisés par l’église catholique papale romaine, elle-même, commettant ainsi, religieusement, des abominations selon Dieu. Au fil du temps, les humains reproduisent les mêmes comportements, même si le contexte historique change. Mais en notre époque, la longue paix prolongée jusqu’en l’année 2022 a accentué le phénomène. Dieu et ses principes sont injustement et odieusement ignorés et méprisés. L’Eglise papale a donc officialisé la forme païenne donnée au christianisme depuis l’année 321. Et lorsqu’entre 1170 et 1789, la vérité divine a été répandue par la Bible, elle a persécuté à mort les prophètes protestants de Dieu et la Bible elle-même dont la lecture était interdite ; les contrevenants s’exposant à la mort, l’emprisonnement ou les Galères du roi.

Pour mettre fin à cette domination abominable, Dieu a suscité, la Révolution française et son hécatombe vengeresse prenant pour victimes les principaux coupables : la monarchie et le clergé du catholicisme romain dont le pape Pie VI mort en prison à Valence en Drôme, en 1799. La paix religieuse, établie par Dieu après ces massacres, devait favoriser la restauration de sa vérité doctrinale. C’est donc dans ce temps de paix religieuse, que les épreuves adventistes de 1843 et 1844 ont pu s’accomplir. Mais en dehors des élus sélectionnés dans ces épreuves de foi prophétique, la paix a surtout favorisé le développement de la libre pensée et de l’athéisme formés dans les esprits des Révolutionnaires français. Et ce modèle s’est étendu dans toutes les nations occidentales de l’Europe, par le moyen des guerres menées par Napoléon 1er, l’empereur de la France. La situation ne pouvait qu’empirer avec le temps, jusqu’au « temps de la fin » prophétisé dans Dan.11:40 : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires ; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. ». Ce « temps de la fin » se présente à la fin du temps du scellage des élus selon Apo.7:3 : « Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu ». Un dernier châtiment d’avertissement, comparé au génocide français de 1793-1794, vient alors frapper l’Europe et le monde coupables.

La dernière époque de l’Europe est désigné par l’absence totale de « diadèmes » sur les « dix cornes » et les « sept têtes » comme l’image Apo.17:3 : «Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. » La disparition des « diadèmes » sur les « dix cornes » signifie que l’Esprit cible l’Europe dans un temps où les monarchies ont été remplacées majoritairement par des régimes républicains. Mais de l’époque précédente ces nations républicaines ont conservé les « blasphèmes » rattachés aux « sept têtes » soit, rattachés à la ville papale romaine. De même, la nouvelle « bête » dite « écarlate » porte la couleur rattachée au régime papal catholique romain nommé « Babylone la grande » dans Apo.17:4 : « Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution. » Et « l’écarlate » est, comme le rouge « cramoisi » et la « pourpre », la couleur du « péché » selon Esa.1:18 : « Venez et plaidons ! dit YaHWéH. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; S'ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. » Un « manteau » de couleur rouge « écarlate » symbolisa le « péché » placé sur Jésus dans Mat.27:28 : « Ils lui ôtèrent ses vêtements, et le couvrirent d'un manteau écarlate ». Mais ce « manteau écarlate » le confirmait aussi comme « roi des Juifs » ; « l’écarlate » étant aussi signe de la royauté.

Cette image donnée dans Apo.17:3 est celle de notre camp occidental qui partage en commun l’héritage religieux de l’église papale romaine. Ce partage concerne également les nations protestantes héritières du repos du premier jour enseigné par l’église romaine. Mais c’est aussi l’image du dernier gouvernement universel qui sera formé et instauré par les rebelles survivants de la Troisième Guerre Mondiale. Ce dernier régime autoritaire terrestre est symbolisé dans Apo.13:11 par la « bête qui monte de la terre ». Elle apparaît, dans le temps, après la « première bête » qui, elle, « montait de la mer » dans Apo.13:1. Dans cette succession « mer terre », Dieu prophétise les dominations successives, catholique romaine, puis protestante américaine, selon l’image proposée dans Gen.1:9-10 : « Dieu dit : que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l'amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon».

Le caractère complémentaire du montage prophétique est démontré par des reprises successives de survol de l’ère chrétienne sous des regards différents et tous ces survols se superposent pour former en complémentarité les messages révélés par Dieu. L’importance de la prophétie peut apparaître pour certains élus uniquement quand ils constatent des preuves convaincantes des interprétations qui leur sont proposées. Je rappelle que pour certains il sera trop tard quand la prophétie s’accomplira, puisque Dieu déclare dans Ezé.33:33 : « Quand ces choses arriveront, et voici, elles arrivent ! Ils sauront qu'il y avait un prophète au milieu d'eux. » Ils le sauront, oui, mais trop tard, car ce message concerne ceux auxquels Dieu dit à son prophète, au verset 32 qui précède : « Voici, tu es pour eux comme un chanteur agréable, possédant une belle voix, et habile dans la musique. Ils écoutent tes paroles, mais ils ne les mettent point en pratique. » Je connais bien ce verset puisqu’il fut présenté par l’Esprit à une personne qui le questionnait à mon sujet. Les contextes changent, mais les comportements rebelles humains se prolongent dans l’incrédulité. Non, pour être agréable à Dieu l’homme ne doit pas attendre l’accomplissement des choses prophétisées, il doit croire à leur accomplissement avant d’en avoir la preuve constatée. La foi est une confiance donnée à l’avance au Dieu révélateur. Et quand l’accomplissement des choses vient, Dieu ne retient que le manque de foi manifesté préalablement par les incrédules ou, au contraire, la foi relevée chez ses vrais élus. C’est pourquoi, les preuves offertes aux élus par les prophéties ne concernent pas leur accomplissement, mais elles apparaissent dans la découverte et la compréhension des subtilités dont Dieu fait preuve dans son montage prophétique. C’est là, la preuve que Dieu tient pour agréable, car ses élus découvrent et admirent la sagesse et l’intelligence infinies, illimitées, de sa divinité. La compréhension de la prophétie biblique constitue la remise d’un diplôme spirituel que Dieu offre à l’élu qui s’en montre digne. Car les prophéties bibliques condensent et reproduisent des enseignements fournis par la Bible entière de Genèse à Apocalypse. C’est cette étude prophétique qui permet d’affirmer que tous les livres qui composent la Bible sont l’expression de l’inspiration de l’unique Dieu Esprit qui nous a visités caché dans un corps humain en Jésus-Christ.

 

 

De la petite lumière à la grande

 

Avec raison et utilité nous donnons de l’importance aux dates 1843 et 1844 des deux premières épreuves adventistes. Mais il est grand temps de savoir que la date 1994 a été marquée par une gloire supérieure à ces deux dates. Et ceci en dépit du caractère de cette expérience spirituelle étouffée et ignorée des Adventistes répandus dans le monde entier. Pourtant, c’est à cette date 1994, que Dieu a présenté la grande lumière prophétisée dans la toute première vision qu’il a donnée à sa prophétesse Ellen Gould White et qu’elle relate et décrit dans son ouvrage « Premiers écrits ». Cette grande lumière est digne de cette qualification, car contrairement à la précédente établie entre 1844 et 1873, elle est définitive et ne sera jamais remise en cause. Son importance est confirmée par le fait que Dieu dénie la valeur de l’héritage adventiste originel en disant dans son message adressé à « Laodicée », nom qui désigne la dernière époque de l’adventisme institutionnel officiel, dans Apo.3:17-18 : « Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. » Dans ce verset, le besoin d’obtenir de Jésus-Christ des « vêtements blancs » confirme la remise en cause du statut des pionniers de l’adventisme que Dieu cible et désigne dans Apo.3:4, en disant à leur sujet, ces paroles de bénédiction : « Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes. » Visiblement, cette dignité a été perdue et la nécessité de remettre en cause l’héritage doctrinal de la tradition adventiste est évidente et appuyée. Et ceci, d’autant plus, que le verset fondateur de l’adventisme soit, Daniel 8:14, doit être entièrement retraduit. L’ancienne traduction « Jusqu’à deux mille trois cent soirs et matins puis le sanctuaire sera purifié » devient selon le texte hébreu : « Jusqu’à soir matin deux mille trois cent ; et la sainteté sera justifiée » Ce n’est pas un simple toilettage mais une complète retraduction. Et cette fois, le message a l’avantage de devenir clair et compréhensible, car il n’est plus question de sanctuaire céleste à purifier, mais de « sainteté » divine et humaine à « justifier » par la « justice éternelle » apportée par Jésus-Christ, selon Dan.9:24 : « Soixante-dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier l'iniquité et amener la justice éternelle, pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. ». Le message de Dan.8:14 devient logique et cohérent puisqu’il apparaît après les accusations que Dieu porte contre le faux christianisme héritier des abominations catholiques romaines citées dans le verset 13 qui le précède : « J'entendis parler un saint ; et un autre saint dit à celui qui parlait : Pendant combien de temps s'accomplira la vision sur le sacrifice perpétuel et sur le péché dévastateur ? Jusques à quand le sanctuaire la sainteté et l'armée seront-ils elles foulés ? ». Dès le printemps 1843 terme des 2300 soir-matin qui commencent au printemps de l’année – 458, Dieu ferme la porte de sa grâce à ce faux christianisme qui concernent toutes les religions chrétiennes officielles qui pratiquent le repos du premier jour romain. La sélection des élus adventistes peut donc commencer dès ce printemps 1843, et c’est le but des deux fausses annonces du retour de Jésus-Christ pour les dates du printemps 1843 premièrement, puis pour le 22 Octobre 1844. Pour Dieu peu importe que Jésus ne vienne pas en ces deux dates, pour lui, la seule chose qui importe, c’est la manière dont ces annonces sont accueillies par les candidats de l’épreuve de foi. Et là, les disciples de Descartes sont disqualifiés d’office, car le raisonnement de Dieu n’a rien de cartésien mais il est d’une extrême subtilité. Car pour lui ce qui est faux, tient le rôle de vérité, pendant un temps d’épreuve limité. Le faux utilisé par Dieu n’est pas un mensonge, car Dieu l’utilise pour sauver ses élus, contrairement au diable qui utilise le faux de ses mensonges pour perdre les âmes humaines.

Au sujet de la compréhension prophétique, la petite lumière de 1844 appelée symboliquement « le cri de minuit » selon « la parabole des dix vierges » n’a plus rien de comparable avec la grande. En effet, en 1994, la lumière apportée par Dieu est venue éclairer intégralement les 12 chapitres du livre de Daniel et les 22 chapitres du livre Apocalypse. Ce n’est qu’en 2018 que de nouvelles lumières m’ont conduit à étudier et faire partager les perles prophétiques cachées dans le livre de la Genèse. C’est à cette même date que l’Esprit m’a permis de découvrir l’existence d’un message prophétique contenu dans le texte original des dix commandements de Dieu. Et c’est encore, au printemps de cette année 2018 que l’explication qui conduit à fixer le retour de Jésus-Christ pour le printemps 2030 m’a été révélée à moi, et à mon frère en Christ Joël qui me soutient et m’aide efficacement grâce aux dons et à la mémoire historique exceptionnelle que Dieu lui a donnés.

J’ai attendu depuis 1982, l’accomplissement de la Troisième Guerre Mondiale qui se prépare à partir de l’Ukraine depuis le 24 Février 2022. Et je la vois enfin s’accomplir. Non que j’étais pressé d’entrer dans ce contexte terrifiant, mais parce que je savais que l’événement était inévitable, parce que prophétisé par le Dieu créateur. Cette terrible étape était devant moi, et après elle, la plus terrible encore, la dernière épreuve de foi dans laquelle un décret de mort sera promulgué contre tous les observateurs du saint sabbat de Dieu. Et en fin de cette épreuve, enfin, la délivrance apportée par le glorieux et divin Jésus-Christ.

 

La croissance constante de la lumière divine a fait parallèlement croître ma connaissance de Dieu, et j’ai pu réaliser combien son image réelle est ignorée par les habitants de la terre et en premier, honte à eux, par les chrétiens jusqu’aux Adventistes du septième jour, abandonnés par Dieu depuis 1994. Avec le temps et la technique, la terre est devenue un petit village où chacun découvre l’existence et les coutumes de l’autre. Il résulte de ces échanges internationaux qu’un type humain international se développe sur toute la terre. Mêmes goûts pour la consommation, même intérêt pour la technique et ses progrès, mêmes types d’alimentation et de boisson, et aussi et surtout, même fausse conception du Dieu créateur. En Chine, le pays adorateur du grand Dragon, le « ying et le yang » représentent les principes opposés du bien et du mal. Les forces sont égales et le vainqueur est tantôt l’un tantôt l’autre. Ces philosophies ont pénétré notre société occidentale. Et la chose a d’autant plus été facilitée que la religion catholique romaine a longtemps elle-même présenté la foi chrétienne sous ce principe : Dieu, c’est le dieu du bien, Satan le diable, c’est le dieu du mal. Il serait plus juste de dire : Dieu, c’est la vérité, Satan le diable, c’est le menteur et le mensonge. Tout ça, parce qu’il arrive à Dieu de faire du mal aux hommes rebelles et aux mauvais anges. De même à l’inverse, pour parvenir à séduire ses victimes, Satan peut occasionnellement leur faire du bien. Mais le temps du « petit lait » est dépassé, nous devons maintenant nous libérer des faux préjugés transmis par les traditions religieuses humaines. Non, il n’existe pas un Dieu du bien et un dieu du mal comme des foules de gens occidentaux le conçoivent avec les orientaux chinois ou hindous. La situation réelle est très différente, car il n’existe qu’un seul Dieu Esprit créateur, qui donne le bien ou le mal. Quand il donne le mal, il peut le faire directement lui-même par le moyen de la nature ou il peut confier l’action au diable et ses démons. Mais celui qui décide de tout, c’est lui et rien que lui. Déjà, les démons ont montré qu’ils ne peuvent pas résister à la puissance du Dieu créateur incarné en Jésus-Christ. Ils le redoutaient et subissaient son autorité. Le camp du bien et celui du mal ne sont donc absolument pas égaux. Mais cette fausse conception des choses résiste, parce que les hommes sont victimes de leur ignorance biblique et de l’influence des philosophies étrangères mensongères.

En synthèse finale de ma connaissance de la prophétie biblique, je relève des ressemblances entre les époques fixées par le découpage du temps prophétique. La découpe principale est axée sur la date 1844. Nous avons donc une époque comprise entre le temps apostolique et 1844, et une époque comprise entre 1844 et le retour de Jésus-Christ. Or, ces deux époques suivent une même double expérience. Elles commencent dans un temps de lumière, passent par un temps de domination des ténèbres, et la lumière divine revient réparer les erreurs doctrinales adoptées. Je développe cette idée pour l’époque placée avant 1844. Elle commence dans la lumière apostolique doctrinalement pure et parfaite, passe ensuite entre 538 et 1798 par un temps de profondes ténèbres, mais par la Réforme du XVIème siècle, la lumière biblique restaure des vérités évangéliques telles le salut donné par grâce et la foi basée sur la seule Ecriture biblique. Pour l’époque située après 1844 : les épreuves adventistes produisent la foi adventiste du septième jour zélée pour la vérité divine ; la foi adventiste reproduit la foi parfaite des apôtres. Avec le temps, l’adventisme se mondanise et perd son amour de la vérité,  les ténèbres le dominent jusqu’en 1994 date pour laquelle Dieu suscite une nouvelle espérance adventiste du retour de Jésus-Christ. La grande lumière prophétique qui accompagne cette espérance est rejetée et méprisée malgré l’avertissement donné par Dieu dans I Thes.5:19-20-21 : « N'éteignez pas l'Esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Mais examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon ; » Et dans cette épreuve de foi, Dieu sélectionne ses derniers élus porteurs de sa grande et inimitable lumière. Dans l’époque adventiste, la date 1994 est donc comparable à celle du XVIème siècle. On peut ainsi mieux comprendre comment en 1844, Dieu remet les compteurs à zéro. Son exigence du vrai sabbat du septième jour instaure de nouvelles bases qui conditionnent l’obtention du salut. La grâce est désormais obtenue sous condition que l’appelé se montre digne de l’élection par son amour de la vérité biblique prophétique. La connaissance du sabbat adopté progressivement reproduit, par le symbole des « douze tribus » d’Apo.7, un stade débutant de pleine lumière comparable à l’époque des « douze apôtres ». C’est ainsi, que la succession des deux époques justifient l’évocation des « 24 vieillards » d’Apo.4:4 : « Autour du trône je vis vingt-quatre trônes, et sur ces trônes vingt-quatre vieillards assis, revêtus de vêtements blancs, et sur leurs têtes des couronnes d'or. » Ces « vieillards » sont « assis » car ils ont obtenu la victoire comme Christ avant eux, auquel Dieu dit, prophétiquement, dans Psa.110:1 : « De David. Psaume. Parole de YaHWéH à mon Seigneur : Assieds-toi à ma droite, jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied. »

 

De 1844 jusqu’à nos jours actuels, la foi chrétienne non combattante est devenue tiède, formaliste, traditionnelle, et donc très superficielle. Or, dans le chapitre précédent, j’ai cité ce verset où Jésus a dit : « la vie éternelle c’est qu’ils te connaissent toi le seul vrai Dieu et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ ». Or, dans Gen.4:1, l’Esprit nous dit : « Adam connut Eve, sa femme ; elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit : J'ai formé un homme avec l'aide de YaHWéH. » Dans ce verset, le verbe « connaître » prend une forme sexuelle qui prouve que Dieu ne peut en aucun cas se satisfaire d’une relation superficielle, car il exige de ses vrais élus une communion profonde, sincère et maximale ; ce qui disqualifie les religions chrétiennes traditionalistes.

 Pendant longtemps et jusqu’au rejet par Dieu de l’adventisme institutionnel, ses théologiens se sont trompés au sujet de leur interprétation des reproches que Jésus adresse à ses serviteurs, dans son message de « Laodicée ». Ils ont toujours interprété sa « tiédeur » comme un manque d’amour fraternel particulièrement relevé comme signe de bénédiction, dans le message de « Philadelphie » dont le nom signifie précisément : amour fraternel. Où est donc leur erreur ? Elle repose sur le fait que Jésus ne peut pas reprocher à son Elue un manque d’amour fraternel, parce que ce fruit ne dépend pas d’elle, car l’amour fraternel est un don de Dieu : il le donne ou ne le donne pas. Par contre, l’Elue porte la responsabilité de ce qui empêche Dieu de lui faire porter ce fruit d’amour fraternel. C’est aussi un manque d’amour, mais plus spirituellement, un manque d’amour pour la vérité prophétique divine dont Jésus-Christ se réclame intégralement en tant que « chemin, qui par la vérité conduit à la vie éternelle », selon Jean 14:6. Supprimons cette « vérité », ce qui est le cas de l’Elue « Laodicée » ; le « chemin » s’interrompt et ne conduit plus à la « vie éternelle ». Dans cette expression, « la vérité » prend une importance majeure, puisque c’est elle qui relie « le chemin à la vie éternelle ».

N’oublions pas en confirmation, cette autre citation, souvent mal traduite, le mot « fidélité » remplaçant le mot « vérité » originel : « la vérité de YaHVéH demeure à toujours », selon Psa.117:2.

Ce que l’adventisme officiel n’a pas compris, c’est que le message formulé par Jésus-Christ repose sur une expérience précise qui n’est pas une généralité. Dans des circonstances historiques précises soit, entre 1980 et 1991, pour Dieu en Christ, j’ai présenté aux responsables locaux du fief adventiste de Valence en Drôme, en France, la lumière des prophéties de Daniel et Apocalypse parfaitement et intégralement décryptées par le seul moyen de la Bible, dont les enseignements dispersés apportent toutes les réponses et les explications. Et parce que cette lumière était accompagnée d’une annonce du retour du Christ pour l’année 1994, le message a été refusé et son messager, c'est-à-dire mon humble et simple personne, a été officiellement radié de l’institution, mais pas en 1994, lorsque les faits m’auraient donné tort, mais sans attendre cette date, dès l’automne de l’année 1991 ; ce qui est encore plus injustifié et donc suprêmement condamnable par le Dieu juste et bon. Car, je le rappelle, en 1843 et 1844, c’est précisément par deux fausses annonces du retour du Christ que Dieu a mis à l’épreuve la foi des chrétiens de ces époques. Et pourquoi ces fausses annonces ? Pour mettre à part soit, sanctifier, ses vrais élus de l’époque. Le vrai ou le faux n’avait qu’un but : révéler la nature spirituelle profonde et réelle que chaque chrétien cache en lui. Ces expériences adventistes sont semblables au calcul du raisonnement inspiré par Dieu au sage Salomon dans l’affaire de l’enfant disputé par deux mères. En ordonnant que l’enfant soit coupé en deux parties, Salomon savait que son ordre n’aurait pas à être exécuté, parce que la vraie mère allait préférer perdre son fils plutôt que de le voir mourir. De même, Dieu savait que Jésus ne viendrait, ni en 1843, ni en 1844 et ni en 1994, mais chaque fois, dans la masse ténébreuse des faux chrétiens hypocrites de ces époques, telles les étoiles dans le ciel obscur, les natures invisibles de ses vrais élus allaient briller de tous leurs feux. Et il a obtenu en 1844 ce qu’il voulait obtenir : une assemblée d’élus, mais élus pour un court temps seulement, jusqu’à ce que les ténèbres sataniques la contrôlent et la maîtrisent, tant et si bien que Dieu se trouve contraint à l’abandonner au camp du mal, en 1994. Et dès le début de l’année 1995, l’alliance officielle de l’adventisme avec la fédération protestante a consacré concrètement cet abandon, l’église adventiste étant devenue une assemblée de déchus. Selon les mots de Jésus-Christ, elle fut alors « vomie » par lui. Et ce choix du verbe « vomir » est riche d’enseignements. Car celui qui vomit éprouve un haut le cœur. Dans cette image, l’amour de Jésus-Christ rejette avec dégoût des appelés indignes qui le méprisent.

 

 


La postérité d’Abraham

 

Ce sujet a beaucoup fait parler les chrétiens depuis l’apôtre Paul jusqu’à nos jours, mais aujourd’hui je te propose de découvrir de nouveaux aspects inédits à ce sujet de réflexion.

Je ne remets pas en cause les explications données par Paul selon lequel, la postérité d’Abraham, c’est Christ. Je vais démontrer qu’il existe en réalité deux types de postérité d’Abraham : l’une est charnelle, l’autre est spirituelle.

De manière littérale, la première postérité d’Abraham concerne son fils Isaac. Et l’étude qui suit va faire apparaître que les successions des descendants d’Abraham reproduisent une forme analogue à l’expérience vécue par Adam. Ce qui consiste à faire d’Abraham lui-même un nouvel Adam. Suivons ces étapes de sa postérité.

Son fils Isaac naît comme Christ d’un miracle fait par Dieu.

Son fils Isaac est maltraité par son frère Ismaël comme Christ sera maltraité par ses frères juifs.

Son fils Isaac consent à être sacrifié sur l’autel dressé par son père pour obéir à l’ordre de Dieu. De même Jésus-Christ consent à offrir sa vie pour obéir à l’ordre du Père.

Adulte, Isaac prend pour femme, celle que Dieu choisit pour lui. De même, Jésus-Christ aura pour femme, son Elue formée du rassemblement de ses élus rachetés par son sang versé sur la croix  Et cette « Epouse » spirituelle est composée d’élus qui sont choisis par Dieu.

Cette comparaison avec Christ fonctionne également avec Adam, le premier homme créé par Dieu à l’image du Christ.

Adam n’a pas non plus choisi sa femme, c’est Dieu qui la lui a donnée.

Adam  engendre deux fils Caïn et Abel, de même Abraham engendre deux fils Ismaël l’illégitime et Isaac le fils légitime.

Caïn tue son frère Abel par jalousie ; de même Ismaël jalouse Isaac le fils légitime héritier et le maltraite.

Pour remplacer Abel tué par son frère Caïn, Dieu donne à Adam un nouveau fils nommé « Seth ». De même, les deux fils d’Isaac sont l’opposé l’un de l’autre : Esaü est charnel, Jacob est spirituel. Jacob se sent menacé de mort à cause du mauvais tour qu’il a fait à son frère pour lui enlever à son profit le droit d’aînesse. Ce n’est pas Esaü qui va le combattre mais Dieu lui-même, et à l’issu du combat, Dieu le tue spirituellement en le renommant Israël. Sous ce nouveau nom, Israël est comparable à Seth le troisième fils d’Adam, lui aussi très spirituel et béni par Dieu.

Seth va engendrer une descendance de « fils de Dieu » jusqu’au mélange des mariages des derniers descendants avec les « filles des hommes » selon Gen.6:2. De même, Israël va engendrer douze fils qui vont devenir les patriarches fondateurs des douze tribus de l’Israël charnel de l’ancienne alliance condamné à terme par Dieu pour ses alliances contre-nature, ses pactes avec ses ennemis et son rejet du messie Jésus.

L’apostasie des fils de Seth est punie par les eaux du déluge. De même, l’apostasie finale de l’Israël charnel est punie par sa mort nationale, après le rejet de son messie.

Cette démonstration prouve bien que sur Isaac, Dieu a entrepris une nouvelle construction humaine qui a pris la forme de l’Israël de l’ancienne alliance dans laquelle est né le Christ rédempteur des péchés de ses élus.

Or, la grande leçon de cette démonstration consiste à comprendre comment cette ancienne alliance était programmée pour disparaître parce que remplacée par la nouvelle alliance. Et ceci me conduit à faire remarquer ces choses.

Qui était Abraham ? Un homme parmi tous les pécheurs qui peuplaient la terre dans son époque. Il vivait à Ur en Chaldée au milieu de gens corrompus et pécheurs devant Dieu. Mais Dieu l’arrache à son milieu pour le bénir parce qu’il en est digne. Et à ce point de l’histoire terrestre, Abraham est le père spirituel des vrais croyants, l’image des élus que le sang du Christ voudra et viendra racheter parmi tous les pécheurs de la terre. Il est donc essentiel de retenir qu’avant d’être le fondateur d’une postérité qui prendra la forme de l’Israël charnel, Abraham est l’image des élus sélectionnés parmi les peuples païens. Ignorant pendant longtemps l’histoire d’Abraham, les nations païennes ont ignoré le vrai programme salvateur projeté par Dieu. Il faut dire que, jaloux de leur privilège, les Juifs n’étaient pas et ne sont toujours pas partageurs. La jalousie des « Juifs de la synagogue de Satan » est rappelée par Jésus-Christ dans son Apocalypse, dans Apo.2:9 et 3:9. L’offre chrétienne du salut proposé aux païens les irritait terriblement et ils luttaient contre cette nouvelle concurrence par d’odieuses méthodes, dont le but était de les faire mourir, comme Jésus-Christ leur Maître avant eux.

Maintenant que ces choses et cette ancienne alliance sont restées derrière nous, nous pouvons pleinement apprécier le véritable projet salvateur que Dieu a préparé pour tous ses élus. Car en dépit de leurs apparences ou de leurs langages, les élus sont sélectionnés sur toute la terre, uniquement, sur la base de leur amour pour la vérité de Dieu, et la vérité profane, parce que sous toutes ses formes, le mensonge est haïssable ; ceci pour la raison qu’il cause toujours de la souffrance pour quelqu’un. Il est facile pour un être humain d’en tromper un autre, mais tromper Dieu est chose impossible. C’est pourquoi, dans sa norme du salut éternel, le « mensonge » n’a pas et plus sa place comme Jésus le rappelle dans  Apo.22:15 : « Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ! »

Pour Dieu, il n’y a pas de petits ou de gros mensonges, il n’y a que des mensonges, fruit de l’esprit diabolique de Satan et ses démons condamnés à mort par Dieu. C’est pourquoi en opposition absolue, il exalte la pureté, la transparence parfaite du caractère requis pour ses élus prenant l’image du « cristal », dans Apo.22:1 : « Et il me montra un fleuve d'eau de la vie, limpide comme du cristal, qui sortait du trône de Dieu et de l'agneau. » Que nous dit Dieu dans cette image ? Traduction : et il me montra un peuple vivant, dont le caractère limpide comme du cristal était conforme au jugement (trône) de Dieu en Jésus-Christ qui l’a construit et produit.

Au long des siècles et des millénaires, l’existence de l’Israël charnel a freiné mais pas empêché les païens d’entrer dans le peuple de Dieu. Rahab la prostituée de Jéricho en a été un exemple type. Ruth la veuve d’origine étrangère en est un autre. Dieu n’a jamais empêché un païen jugé digne de son salut d’entrer dans son peuple. Mais il est vrai qu’il a fallu attendre la mort et la résurrection du Christ pour les voir embrasser la vérité en foules.

En synthèse de la révélation biblique, l’histoire placée sous le signe de l’ancienne alliance se présente comme une expérience concrète de la vie placée sous la norme des lois divines mise en parenthèse entre les deux phases du salut présenté aux païens. Dieu nous offre en exemple, cette expérience, afin de nous faire connaître, essentiellement, ce que nous ne devons absolument pas refaire. Car dans cette expérience les bons modèles à imiter sont très rares. Et en majorité, c’est surtout, les fautes, les erreurs de jugement, et les actions rebelles qui nous sont présentées, afin que la condamnation divine de ces choses soit révélée. Les vrais élus ne vont pas produire ces fautes, car leur nature obéissante les en protège. Leur amour pour Dieu et sa vérité est leur armure et leur cuirasse, car ils n’éprouvent aucun plaisir à faire du mal au Dieu qu’ils aiment de toute leur âme.

Cette étude permet de mieux comprendre pourquoi, quand Jésus se présenta à eux, les Juifs revendiquèrent être la postérité d’Abraham. Ils avaient complètement oublié qu’Abraham était lui-même dès son origine un simple païen. Leur conception charnelle de leur Israël les avait orgueilleusement conduits à considérer les païens comme de vulgaires « pierres » dépourvues d’âme. Et connaissant leurs secrètes pensées, Jésus leur prophétisa la conversion des païens en leur disant, dans Mat.3:9 : « et ne prétendez pas dire en vous-mêmes : Nous avons Abraham pour père ! Car je vous déclare que de ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham. » Et c’est précisément ce qu’il s’apprêtait à faire.

Trop attaché à sa judaïté, Paul n’a pas compris cette origine païenne du projet salvateur divin, mais son enseignement de Rom.11 rappelle les leçons essentielles ; notamment le risque pour les païens convertis de reproduire les fautes de l’incrédulité juive ; ce qui résulterait d’un mépris pour l’avertissement biblique et historique payé très cher par les Juifs écartés du salut. Hélas, les avertissements sont systématiquement ignorés par les êtres humains naturellement rebelles et orgueilleux, ou plus simplement, indifférents. La désobéissance des incrédules et des incroyants n’est donc pas une surprise, mais elle reste le sujet d’un constat qui justifie, à terme, le jugement de Dieu et son châtiment mortel.

En Abraham, Dieu crée donc en parallèle avec la descendance d’Adam une nouvelle humanité dans laquelle il a pour projet de se « révéler ». Et ce verbe « révéler » résume encore à lui seul tout son programme, puisque la révélation biblique globale s’achève précisément par sa grande Révélation prophétique nommée Apocalypse qui signifie : Révélation. Et le premier verset du chapitre 1 confirme son rôle : « Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt, et qu'il a fait connaître, par l'envoi de son ange, à son serviteur Jean, » Mais attention, cette Révélation n’est que le prolongement de sa grande Révélation en Jésus-Christ. Cette prophétie finale est utile pour ses serviteurs qui l’ont reconnu en Jésus-Christ. Le point culminant de la révélation de Dieu a donc été celui de son incarnation dans la chair divine et humaine nommée Jésus de Nazareth. Car malgré toute son apparence et sa conformité au modèle normal humain, ce corps a été marqué par Dieu par une particularité au niveau de son génome. La découverte de l’arche porteuse de son sang par Ron Wyatt, a permis de savoir que celui de Jésus, comportait 23 chromosomes X et un seul chromosome Y. En dehors de cette particularité, le corps de Jésus-Christ était comme le nôtre : même aptitude à souffrir, de la faim de la soif ou des meurtrissures physiques charnelles. Dieu est venu révéler son caractère amour que son aspect divin terrorisant masquait partiellement dans l’ancienne alliance. Cependant, il manifestait déjà puissamment son amour pour ses créatures, mais étant confronté à des humains rebelles, il dut souvent châtier et punir. Moïse, Caleb et Josué ont perçu et répondu à cet amour divin. En sorte qu’ils représentaient en leur époque, les élus rares que Jésus peut reconnaître aujourd’hui comme ses enfants à cause de leur obéissance due à l’amour qu’ils lui portent. Il devient donc évident que pour sa part, Dieu n’a pas changé, ni en Esprit ni en Vérité, ni en caractère, ni en réaction punitive, car dans les paroles de Jésus-Christ, nous retrouvons toutes ces choses : tendresse envers ceux qui l’aiment, et avertissements sévères envers ses ennemis.

La Révélation de Dieu a donc reposé sur son incarnation dans la chair et dans l’esprit de Jésus-Christ. Nous apprenons dans Gen.4 :26 que le nom de Dieu, YaHWéH, fut évoqué uniquement à partir du moment ou Seth, le troisième fils d’Adam engendra son fils Enosch : « Seth eut aussi un fils, et il l'appela du nom d'Énosch. C'est alors que l'on commença à invoquer le nom de YaHWéH. » Ceci confirme le lien parallèle révélé plus haut avec la naissance de Jacob remplacé par Israël qui prend ainsi la forme d’un troisième fils d’Isaac. Et ce nom « YaHWéH est lui-même révélateur du projet de Dieu de se révéler. Car, la bonne traduction de ce mot est un verbe être conjugué à la fois au présent mais surtout au futur, ce qui se traduit alors par : Il est et il se révélera, ou bien, il révèlera ce qu’il est. Ce nom que Dieu s’est attribué dès l’époque de Seth portait donc un message dont les religions juive et chrétienne se sont privées ; le Juifs ne le prononçant pas, les faux chrétiens l’ayant changé par le nom « Eternel ». Car, pour Dieu, son projet de révéler sa nature amour et justice était plus important que de convaincre les êtres humains de son éternité. La fausse foi a donc constamment frustré le Dieu créateur en refusant de prononcer son vrai nom. Et je comprends, aujourd’hui, pourquoi, je suis personnellement poussé à rectifier cette erreur dans tous mes écrits. Dieu a un nom : YaHWéH, dont le nombre chiffré est : 26 ; Yod=10, Heth=5, Wav=6, Heth=5. Il se trouve que le département de la Drôme où je vis, porte lui-aussi le nombre 26. Et j’ai trouvé dans Lévitique 26 les clés d’interprétations des « trompettes » de l’Apocalypse. Mais il y a encore plus à découvrir c’est que lorsque Dieu prononce lui-même son nom, il ne dit pas ; il sera, mais je serai, ou bien, je révélerai ce que je suis. Et dans l’hébreu, l’écriture de son nom change et devient : AHWH, dont le nombre est alors 17 : Aleph = 1, Heth = 5, Wav = 6, Heth = 5 ; soit le chiffre symbolique du « jugement », selon Apo.17. Et ce chiffre 17 est formé d’un 1 et d’un 7, soit, deux chiffres qui caractérisent le Dieu = 1, créateur = 7. Mais 17, c’est aussi 10 + 7, 10 = la loi des dix commandements + 7  Dieu créateur ; là encore, les normes de la justice divine. Rien de ce qui touche à Dieu est dû au hasard, mais au contraire tout est calculé, pensé et organisé par l’Esprit illimité du Dieu tout-puissant. Mais attention, l’application du chiffrage des lettres ne vaut que pour les langues où ce principe est normalement existant soit ; l’hébreu, le grec et le latin.

Il nous faut donc retenir que Dieu a, par deux fois, annoncé son intention de révéler son caractère et sa nature. Et à chaque fois, il a présenté cette annonce à la lignée porteuse de sa bénédiction, celle de Seth, que Gen.6:2 désigne comme « fils de Dieu », et à la lignée d’Israël dont Dieu a fait son peuple pour sa démonstration historique, pédagogique, universelle. Elle fut, jusqu’à son rejet de Jésus-Christ, le « peuple de Dieu » nommé aussi très souvent « les enfants d’Israël », nom qui rappelle la promesse divine faite à leur patriarche « Israël ». Mais ce nom, les rattache à l’héritage religieux traditionnel et charnel ; ce qui suggère une durée provisoire. L’instauration de la nouvelle alliance va confirmer ce caractère momentané de l’ancienne alliance.

La lignée de Seth ayant été détruite par les eaux du déluge, la lignée d’Israël vient la relayer et la prolonger. La mort collective donnée par le déluge laisse dans l’histoire un solennel et terrible avertissement divin. Mais le but principal de Dieu est de sauver les élus par son incarnation en Jésus-Christ, et ce sera réalisé dans la lignée construite sur Israël, né Jacob, fils d’Isaac, fils d’Abraham.

 

 

La Rome perpétuelle

 

Sous cette présentation, je rappelle que Rome n’est pas « la ville éternelle » que ses adorateurs lui attribuent mais une ville dont la durée de vie aura été longue mais seulement perpétuelle. Elle a de plus le privilège de voir sa destruction annoncée et décrite par Dieu dans ses révélations prophétiques de Daniel et Apocalypse. Nous lisons dans Apo.17:16-17 : « Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu. Car Dieu a mis dans leurs cœurs d'exécuter son dessein et d'exécuter un même dessein, et de donner leur royauté à la bête, jusqu'à ce que les paroles de Dieu soient accomplies. » Ensuite Apo.18 est entièrement consacré à la description de l’exécution du jugement divin. Jésus-Christ dit aux victimes de ses mensonges religieux et de ses persécutions historiquement célèbres : Apo.18:6 à 8 : « Payez-la comme elle a payé, et rendez-lui au double selon ses œuvres. Dans la coupe où elle a versé, versez-lui au double. Autant elle s'est glorifiée et plongée dans le luxe, autant donnez-lui de tourment et de deuil. Parce qu'elle dit en son cœur : Je suis assise en reine, je ne suis point veuve, et je ne verrai point de deuil ! A cause de cela, en un même jour, ses fléaux arriveront, la mort, le deuil et la famine, et elle sera consumée par le feu. Car il est puissant, le Seigneur Dieu qui l'a jugée.» Dans ce verset, Dieu souligne sa prétention de « ville éternelle » : « je ne verrai point de deuil ». Son châtiment viendra après le retour glorieux de Jésus-Christ qui révèle à ses victimes séduites et trompées sa véritable nature diabolique.

La première preuve de ce message, que Dieu nous adresse au sujet du caractère perpétuel du type de domination de Rome, repose sur son rôle de « quatrième » et dernier empire des successions terrestres annoncées dans Dan.2, par l’image de « la statue », et dans Dan.7, où l’empire romain est également désigné par le « quatrième » et dernier « animal ». Dans ces deux chapitres, l’empire romain est présenté comme le dernier empire dominateur universel.

Notre vision et notre analyse humaine sont très courtes, contrairement à celles de Dieu qui englobent les événements jusqu’à la fin du monde et après elle. Et cette différence concerne notre regard historique qui concerne Rome. Les historiens nous enseignent que l’empire romain s’est partagé et démembré à partir de 395, sous Théodose. Il est vrai que Rome a perdu sa forme impériale, mais son esprit romain, lui, s’est prolongé dans toute l’Europe occidentale et orientale soit, partout où la civilisation romaine s’est implantée de gré ou de force. C’est si vrai que ce dicton le rappelle : « Tous les chemins mènent à Rome ». Et ceci, parce que toutes les légions romaines conquérantes sont parties de Rome et ont construit des routes menant vers tous les pays conquis et colonisés. Le régime impérial succéda aux diverses formes du régime républicain romain qui portait déjà en lui le caractère impérialiste qui stigmatise la civilisation romaine. Dieu lui donne pour symbole « le fer ». Et ce symbole lui va bien, car elle en reproduit la dureté au niveau de la discipline imposée aux soldats mercenaires engagés, mais aussi, à l’équipement de ceux-ci, dont la poitrine et les épaules sont protégées par des armures de « fer » et de cuir épais. Les épées de bronze, trop cassantes, sont remplacées par des glaives romains, des épées courtes à double tranchant mais qui possèdent la dureté et la résistance du « fer ». Les Romains innovent dans l’art de la guerre grâce à une ingénieuse exploitation de la discipline : les légions prennent au combat, des aspects inattendus par leurs ennemis : les Romains se mettent en forme de cercle, et le groupe prend l’aspect d’une tortue dont la carapace est constituée par les hauts boucliers protecteurs. En face d’eux, leurs adversaires se lancent dans l’attaque en grand désordre sans cohésion collective. Et les tactiques romaines remportent la victoire, faisant ainsi croître, continuellement, la puissance de Rome. Et cette puissance ne peut que croître puisqu’après la victoire, Rome engage des mercenaires parmi l’armée du pays vaincu, afin de conquérir de nouveaux territoires. La victoire sur les Juifs de Massada démontre la ténacité des Romains. Ils n’hésitèrent pas à élever une rampe jusqu’à atteindre le sommet du rocher sur le plateau duquel le roi Hérode avait fait édifier une forteresse dans laquelle les premiers rebelles juifs s’étaient repliés et installés. La patience et la détermination absolue, caractérisaient l’armée du peuple romain et le rendaient victorieux. C’est pourquoi, dans Apo.2:6 et 15, Dieu désigne le peuple romain par le nom des « Nicolaïtes », mot construit à partir de deux termes grecs : « Niké » : nom de la divinité de la Victoire personnifiée et « Laos », qui signifie peuple. Le désir de la victoire est le signe d’identification de la civilisation romaine. Apo.2:6 : « Tu as pourtant ceci, c'est que tu hais les œuvres des Nicolaïtes, œuvres que je hais aussi.» Apo.2:15 : « De même, toi aussi, tu as des gens attachés pareillement à la doctrine des Nicolaïtes. » Note que depuis l’évangélisation de Rome et sa domination papale, les « œuvres des Nicolaïtes » sont devenues une « doctrine » religieuse faussement chrétienne.

Tout ce que je viens de décrire est la norme de l’impérialisme romain. Et il nous est possible alors de mieux comprendre ce que Dieu a voulu nous dire au sujet de Rome dont le caractère devait se prolonger jusqu’à la fin du monde. Ce caractère romain imprime en Occident un type de civilisation dont l’esprit impérialiste ne disparaîtra jamais jusqu’à la fin du monde. Comme Rome avant elle, l’Europe occidentale va expérimenter divers types de gouvernements suivant le même processus : Monarchies, Républiques, Dictatures, et l’impérialisme. Pas forcément dans cet ordre, puisqu’après la monarchie, sous Charlemagne, l’Europe occidentale a, momentanément, un empereur. Elle en retrouvera d’autres, avec Charles Quint, Napoléon 1er, puis Napoléon III, avant qu’en France, la République s’installe définitivement.

Mais l’héritage européen, c’est sa civilisation de type romain. Rome s’est imposée par son génie d’invention et sa capacité à faire de sa conception de vie un modèle culturel, en dehors duquel, tout autre modèle est qualifié péjorativement de barbare. Et cet état d’esprit s’est prolongé dans la majorité des habitants de l’Europe Occidentale. Sous nos yeux, aujourd’hui, il s’applique au sujet de la Russie et des peuples de l’Est méprisés par l’orgueil occidental.

De plus, ce modèle méprisant, « arrogant » et orgueilleux a bénéficié du soutien spirituel du premier pape du catholicisme universel placé sur son siège pontifical à Rome ; ceci depuis l’an 538. Qui penserait à remettre en cause un type de civilisation approuvé par le revendiqué représentant de Dieu sur la terre ?

Qu’était donc le modèle de la vie des barbares ? Un type de vie tribale dans lequel, la division était très grande à cause de l’individualité des membres des peuples. Mais cet individualisme était lié à l’attachement de la liberté de chacun. Le recours à la force était utilisé pour se défendre, tribu contre tribu, famille contre famille, individu contre individu. Mais le désir de dominer tous les peuples n’était pas présent dans l’esprit des barbares. Les barbares, comme les Romains, étaient des païens dont les cultes étaient condamnés par le Dieu créateur. Et les uns et les autres pouvaient être utilisés par lui, comme des instruments de sa malédiction. Et Dieu a fixé son choix sur la ville de Rome, pour manifester, par elle, les fruits de ses malédictions contre l’infidélité et l’incrédulité de son peuple. Prioritaires en toutes choses, les Juifs furent la cible des cruautés romaines et Jésus-Christ fut crucifié par ces instruments de la juste colère divine qui punit le péché.

Au fil des siècles, l’Europe a conservé, dans tous ses peuples, le caractère romain belliqueux conquérant. Des guerres ont sans cesse opposé les royaumes européens entre eux, puis le désir de conquête a pris pour cible des terres étrangères et en premier, les pays musulmans installés en Palestine sur les lieux saints du christianisme. La fausse foi chrétienne, que constitue le catholicisme papal romain, a ordonné des « croisades » totalement injustifiées, puisque ces terres saintes ont été livrées aux païens romains par la volonté de Dieu comme l’enseigne Dan.9:26 : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. »

Les agressions occidentales des « Croisades » ne seront jamais oubliées par les peuples musulmans qui conservent encore de nos jours une rancœur et un désir de vengeance contre l’Occident dit « chrétien ». Cette action des « Croisades » est un signe distinctif de la civilisation conquérante romaine. L’occasion de se venger va être donnée à ces peuples agressés, dans le contexte de la Troisième Guerre Mondiale dont la cible principale est précisément, l’Europe occidentale. Dans le thème des « trompettes », l’agression des pays étrangers méditerranéens caractérise l’instauration papale de la « deuxième trompette » : Apo.8:8-9 : « Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer ; et le tiers de la mer devint du sang, et le tiers des créatures qui étaient dans la mer et qui avaient vie mourut, et le tiers des navires périt. » La répétition « dans la mer » confirme l’instauration de « la bête qui monte de la mer », d’Apo.13:1. Mais, également, littéralement, le mot « navires » cible la zone méditerranéenne dont l’Orient était déjà musulman. Cependant, au-delà de la mer Méditerranée, ce mot « navires » cible également les dernières conquêtes occidentales du continent sud-américain partagé par la papauté entre l’Espagne et le Portugal. Cette expansion de la religion catholique était encore prophétisée par Dieu comme une action de la civilisation romaine. En dépit des apparences, l’impérialisme romain s’est donc prolongé jusqu’à nos jours. Ce camp occidental regroupe des nations de diverses tailles et importances, mais, incontestablement, celui qui le domine aujourd’hui peut le faire en raison de la démonstration de sa puissance guerrière selon un principe bien romain. Aujourd’hui, pour obtenir le soutien des peuples, les USA se présentent comme les défenseurs de la liberté. Mais la liberté qu’ils veulent défendre est uniquement celle qui les autorise à exploiter les peuples de la terre et en premier, ceux qui les soutiennent. En leur temps, la Rome républicaine et la Rome impériale ne pensaient et agissaient pas autrement. Rome avait son capitole, et aux USA, Washington a aussi son capitole. A Rome, les dictateurs et les empereurs s’efforçaient de séduire le peuple romain ; par ses discours Joe Biden fait de même, aujourd’hui, le 21 Février, en Pologne, son nouveau fief américain européen. La séduction fonctionne car les Polonais obtiennent enfin le soutien officiel américain qu’ils sont venus chercher en entrant dans l’alliance de l’OTAN. Mais ce rapprochement de la Russie qui constitue une avancée vers son territoire donne entièrement raison à Vladimir Poutine qui ne cesse de dénoncer l’avance de l’OTAN vers sa Russie. La subtilité de l’avancée de l’Occident vers la Russie tient dans le fait qu’elle ne résulte pas d’une invasion guerrière directe des pays de l’OTAN qui prétendent simplement aider l’Ukraine à défendre sa liberté nationale. Et le pire est que c’est vrai. Car c’est bien l’Ukraine qui a frappé à la porte de l’OTAN et non le contraire, du moins, dans l’apparence des choses.

Au cours de l’ère chrétienne, le règne de Charlemagne empereur des Gaules et du saint empire romain germanique a tout particulièrement représenté le modèle de l’ancien empire romain. Encouragé par le papisme diabolique, il a imposé le catholicisme par l’épée de fer. Les Teutons germains devaient accepter le baptême ou mourir. La parole de Dieu devenait ainsi une épée de fer et d’acier qui tue et tranche les têtes. La culpabilité du régime papal romain atteignait ainsi un sommet d’horreur et d’abomination. Et dans ce contexte et après lui, je compare les situations. Le sénat de l’empire romain ordonnait et finançait les guerres des conquêtes. Dans l’ère chrétienne, le régime papal remplace le sénat romain et c’est lui qui ordonne aux royaumes vassaux de conquérir des peuples pour les soumettre à sa religion catholique romaine. Nous lisons dans Dan.11:39 : « C'est avec le dieu étranger qu'il agira contre les lieux fortifiés ; et il comblera d'honneurs ceux qui le reconnaîtront, il les fera dominer sur plusieurs, il leur distribuera des terres pour récompense. » Ce « dieu étranger » désigne le diable dont l’existence est révélée par le peuple juif « étranger » pour Rome. Et Dieu révèle la stratégie imaginée par le diable pour obtenir le soutien des peuples pour le régime papal. Il dénonce ainsi la stratégie de la ruse et de la séduction et nous révèle ainsi la véritable nature du principe dénoncé qui caractérise toute la civilisation occidentale : « et il comblera d'honneurs ceux qui le reconnaîtront, il les fera dominer sur plusieurs, il leur distribuera des terres pour récompense ». Ces choses étaient convoitées et espérées par le traître Judas, mais Dieu n’a pas répondu à son espérance ; aussi son grand désespoir l’a conduit à se pendre. Mais ce que voulait Judas, le papisme l’a instauré sur un piédestal et en a fait une valeur typiquement occidentale. Le partage des terres du continent sud-américain est confirmé par la fin du verset : « il leur distribuera des terres pour récompense ». Ce pouvoir temporel caractérise parfaitement le régime papal romain. Le principe concerne également le titre impérial accordé par le papisme aux rois qui font croître sa puissance. Les conquêtes offrent des terres au conquérant et les conversions forcées des peuples conquis font croître la puissance du régime catholique papal de Rome.

Il est intéressant de relever que ce pouvoir de distribuer des terres précède l’annonce de la « Troisième Guerre Mondiale » qui est faite au verset 40 qui suit : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires ; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. » Ce verset met en scène trois rois : le roi papal, « lui » ; « le roi du midi » musulman et africain ; et le « roi du septentrion » russe. Or, les relations de ces trois rois ont concerné des conquêtes de terres qui les ont opposés dans des guerres sanglantes. La « Troisième Guerre Mondiale » cumule toutes les haines accumulées dans le temps. Car ces trois rois désignent trois religions adverses concurrentes irréconciliables : le catholicisme dit chrétien, le christianisme orthodoxe, et l’islam. Et déjà dans la première année de la guerre en Ukraine, le mobile concerne une revendication de « terres » par la Russie orthodoxe. Dans un dernier discours, le chef russe parle de « terres historiques ». Les USA et la Pologne catholique arment l’Ukraine, et les Musulmans tchéchènes la combattent aux côtés de la Russie orthodoxe. Où est donc le « dieu étranger » dans cette guerre ? Dans les trois camps dont la ruine finale est prophétisée par Jésus dans Mat.12:25-26 : « Comme Jésus connaissait leurs pensées, il leur dit : Tout royaume divisé contre lui-même est dévasté, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister. Si Satan chasse Satan, il est divisé contre lui-même; comment donc son royaume subsistera-t-il ? »

Je relève que les Américains sont tellement convaincus d’être les meilleurs amis du monde que dans leur langage ce sentiment domine dans tous leurs discours. Il présente comme des idées soutenues par la communauté mondiale des opinions reconnues et soutenues uniquement par les peuples de l’OTAN et encore pas tous. Et ce comportement est la conséquence d’un long processus. Vainqueur de la Seconde Guerre Mondiale, ils ont tout organisé, en premier, les relations mondiales selon leur unique désir et modèle. L’ONU a son siège aux USA ; remplaçant l’étalon or, le Dollar, la monnaie américaine est devenue la valeur étalon mondiale ; les tribunaux des USA sont prioritaires pour régler les problèmes commerciaux internationaux ; qui s’oppose aux USA est frappé de sanctions économiques. Les accords commerciaux du GATT faisaient obligation pour les « partenaires » européens d’acheter, en quantités fixées, des céréales et d’autres produits américains. C’est là, le modèle de liberté que les USA défendent. Le gangstérisme mafieux agit-il autrement ? Sachant que, séduite par ce modèle, l’Europe le reconstruit chez elle, on peut comprendre combien le jugement divin qui vient la frapper est juste et mérité.

Dans notre époque, le régime papal œuvre secrètement pour défendre ses intérêts, mais il n’a plus la domination que les monarchies lui reconnaissaient. Cependant, dans le temps, la religion catholique s’est énormément développée aux USA, officiellement, terres protestantes. Ceci, étant dû à des importantes successions d’immigrations hispaniques qui deviennent presque majoritaires dans les Etats du Sud. Aussi, sous la présidence catholique de Joe Biden, les USA remplacent la papauté et l’ancien Sénat romain pour ordonner et encourager la conquête de nouvelles terres prises au camp russe ou restées neutres jusqu’à notre époque. Comme l’ancien Sénat, le nouveau et ses alliés européens financent la Guerre et les combattants mercenaires prêts à mourir pour la liberté de la conception américaine et du camp occidental entier.

 

Les origines de Rome : les loups hommes

 

Pour bien comprendre la nature des Romains, il nous faut tenir compte du récit de l’origine de Rome. Il peut nous étonner, mais parce que rien n’est impossible à Dieu qui a fait parler le serpent à Eve et l’âne de Balaam, nous pouvons croire à l’authenticité de son témoignage historique. Rome fut fondée en – 753 dans notre calendrier officiel, par deux jumeaux nourris par le lait d’une louve ; leurs noms étaient Romulus et Remus. Déjà, dans cette originale expérience, nous pouvons trouver la source d’une humanité héritière de la férocité carnassière du loup, ce fauve très agressif et dangereux, dont il convient de relever le caractère discipliné. Les loups vivent en clans dans le respect du chef des loups. Il mange en premier et lorsqu’il est rassasié, les autres loups peuvent manger à leur tour. Le principe de la royauté repose sur cette loi des loups et on peut ainsi comprendre que Dieu ait souhaité pour son Israël un autre modèle d’organisation, mais dans leur malédiction, les Hébreux lui préférèrent un roi, malgré tous les inconvénients que ce choix représentait. Les loups chassent en meute d’une manière disciplinée organisée. Ennemi prédateur des moutons, dans l’attaque menée contre un troupeau, certains loups sont des guetteurs, tandis que d’autres progressent silencieusement en rampant le ventre au sol jusqu’au moment où suffisamment près des brebis, ils sautent sur elles et les « égorgent ». Dans toute leur histoire, les combattants Romains, vont reproduire ce type de comportement des loups ravisseurs et remporter de grandes victoires. Ils vont conquérir des colonies qui les conduisent vers la domination impériale. Dès l’origine, Rome est marquée doublement : en latin le mot « lupa », qui signifie louve, désigne également une « prostituée », et en fils du « diable » « meurtrier dès le commencement » selon Jésus, Romulus tue son frère Rémus, comme le chef des loups tue un loup concurrent. Il fut donc le premier roi de Rome et on le dit belliqueux et détesté. Détail à relever, le dernier empereur romain d’Occident, déposé par le roi des Hérules Odoacre en 476, s’appelait Romulus Augustus. C’est donc à son héritage du caractère des loups que Rome doit l’aspect discipliné et construit de ses tactiques et stratégies guerrières. Nul autre peuple n’a fait preuve d’autant de discipline et d’organisation avant les Romains. Et la dureté de la loi animale des loups s’est retrouvée dans la maxime des légions romaines : « La loi est dure, mais la loi est la loi », en latin : « DVRA LEX SED LEX ». De même que les loups « égorgent » les brebis, nous lisons dans Apo.18:24 : « …et parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre ». Dieu attribue à Rome, « le sang de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre », à l’image des brebis « égorgées » par « les loups ravisseurs ». Ceux contre lesquels Jésus met ses élus en garde dans Matt.7:15 : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. »

Les loups font preuve d’une grande intelligence en ne s’attaquant qu’aux êtres faibles qu’ils peuvent vaincre et tuer facilement, sans risquer leur propre vie. Ils fuient la présence de l’homme qu’il redoute, mais peuvent l’attaquer s’ils se trouvent en situation avantageuse. Mais ils n’attaquent jamais des animaux forts et vigoureux. Cette description caractérise encore le régime romain construit sur des enchaînements d’intrigues, de tromperies, de ruses, et d’assassinats ; toutes choses qui caractérisent et expliquent également la réussite et le succès du régime papal romain auprès des rois de tous les pays occidentaux, comme Dan.8:24-25 le prophétise : « Sa puissance s'accroîtra, mais non par sa propre force ; il fera d'incroyables ravages, il réussira dans ses entreprises, il détruira les puissants et le peuple des saints. A cause de sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l'arrogance dans le cœur, il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement, et il s'élèvera contre le chef des chefs ; mais il sera brisé, sans l'effort d'aucune main. » Les « brebis » de Jésus, « égorgées », sont dans ce verset « beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement ».

Ainsi Rome est à l’origine d’une race de loups hommes dont la nature féroce s’est transmise de siècle en siècle jusqu’à notre époque actuelle, depuis l’année – 753. Mais aujourd’hui, l’influence de ce caractère romain a transformé tous les peuples héritiers de ses mensonges religieux en loups ravisseurs, comme elle. Et Dieu nous révèle ainsi l’explication du comportement féroce et cruel de notre humanité occidentale, belliqueuse, arrogante, et orgueilleuse. Car c’est cette Rome papale insatiable qui porte la responsabilité des agressions des autres peuples de l’Orient ou du midi, et ce sont ces agressions qui les ont transformés à leur tour en bêtes féroces. Cette transmission du caractère romain est enseignée dans cette image de la « troisième trompette » dans Apo.8:10-11 : « Le troisième ange sonna de la trompette. Et il tomba du ciel une grande étoile ardente comme un flambeau ; et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources des eaux. Le nom de cette étoile est Absinthe ; et le tiers des eaux fut changé en absinthe, et beaucoup d'hommes moururent par les eaux, parce qu'elles étaient devenues amères. »

Ici, je présente la logique de l’enchaînement des « trompettes ».

La « première trompette » évoque les invasions barbares qui provoquent la chute de l’empire romain. C’est la réponse que Dieu donne à l’abandon du respect pour son repos sabbatique du septième jour, daté au 7 Mars 321. La Gaule subit un énorme changement, les tribus Celtes qui la peuplaient sont remplacées ou conquises par : au Nord-est, les Francs venus de la Belgique actuelle ; au Sud-ouest, et jusqu’à la Loire, par les Wisigoths venus de l’Orient de la mer Noire et installés en Espagne ; et au Sud-est, par des Gallo-Romains soit, des Gaulois qui ont adopté le type de civilisation de Rome. Au Centre-est, le royaume Germanique des Burgondes désigne aujourd’hui l’actuelle Bourgogne. Progressivement, le royaume des Francs va s’étendre sur tout le pays et la conversion de son roi Clovis 1er à la foi catholique romaine va favoriser, par un premier soutien militaire civil, la reconnaissance et la suprématie de l’évêque de Rome qui va devenir, en 538, le premier pape du régime papal romain. Mais trois pays s’opposent à l’évêque de Rome. Ils sont vaincus successivement et convertis par la contrainte à se soumettre à l’autorité de cette religion catholique romaine. En premier en 535 les Vandales de religion arienne farouches ennemis du catholicisme sont écrasés ; en second, les Ostrogoths ariens installés à Rome sont vaincus par le général Bélisaire envoyé par Justinien 1er entre 533 et 538 ; et en troisième, en 565, les Hérules, autres ariens, sont vaincus à leur tour. Rome étant délivrée, le premier pape en titre, l’intrigant Vigile, peut siéger au palais du Latran, à Rome. Et cette action accomplit l’annonce de la « deuxième trompette » d’Apo.8:8-9 : « Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer ; et le tiers de la mer devint du sang, et le tiers des créatures qui étaient dans la mer et qui avaient vie mourut, et le tiers des navires périt. » Dieu compare l’instauration du régime papal catholique romain avec « une grande montagne embrasée par le feu jetée dans la mer », « la mer » qui symbolise l’humanité. On peut comprendre que « la mer » soit, l’humanité, va à son tour « s’embraser ». Historiquement, la chose va s’accomplir par les agressions religieuses des conversions forcées et des croisades menées contre l’Orient musulman. Dans cette description apparaît le mot « grande » qui crée un lien avec « Babylone la grande » dans Apo.17:5 : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. » Mais aujourd’hui, ce nom, « Babylone la grande » n’est plus « un mystère » car la prophétie éclairée l’a éclairci et enlevé. En fait de mystère, c’était celui de « l’iniquité » prophétisé dans 2 Thes.2:3 à 7 : « Que personne ne vous séduise d'aucune manière ; car il faut que l'apostasie soit arrivée auparavant, et qu'on ait vu paraître l'homme du péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève au-dessus de tout ce qu'on appelle Dieu ou de ce qu'on adore, jusqu'à s'asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu. Ne vous souvenez-vous pas que je vous disais ces choses, lorsque j'étais encore chez vous ? Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu'il ne paraisse qu'en son temps. Car le mystère de l'iniquité agit déjà ; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l'impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu'il anéantira par l'éclat de son avènement. ». Paul fut prévenu par Dieu de la venue de l’apostasie instaurée par le régime papal de Rome. Car, qui est désigné par « l'homme du péché, le fils de la perdition, l'adversaire qui s'élève au-dessus de tout ce qu'on appelle Dieu ou de ce qu'on adore, jusqu'à s'asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu» ? Cette « impie » ne peut que désigner, selon la Bible, le régime papal romain prophétisé dans Dan.7:8 : « Je considérai les cornes, et voici, une autre petite corne sortit du milieu d'elles, et trois des premières cornes furent arrachées devant cette corne ; et voici, elle avait des yeux comme des yeux d'homme, et une bouche, qui parlait avec arrogance. »

Dans la « troisième trompette » un combat oppose deux clans de loups hommes, le clan des loups catholiques contre les loups protestants. Et pour expliquer la cause de ce combat, Dieu nous dit dans Apo.11:3 : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. » Ces « deux témoins » sont les saintes écritures bibliques de l’ancienne et de la nouvelle alliance. Dieu prophétise la haine catholique des révélations de la Bible. L’église romaine lui préfère son « missel ». Or, avec l’invention de l’imprimerie au XVIème siècle, la Bible est répandue et lue par les hommes ordinaires. En la lisant, ils découvrent la supercherie et les mensonges de la religion catholique romaine au sujet des conditions réelles de l’obtention du salut divin. Ils découvrent que le salut par la grâce divine gratuite est vendu par l’église de Rome. Indignés à juste titre, ils dénoncent alors par des protestations les mensonges catholiques. Démasqué, le régime papal réagit avec colère et cruauté contre ces « Protestants ». Il soulève contre eux la chasse guerrière des rois et des puissants, et particulièrement, en France, où les rois catholiques successeurs de François 1er  défendent cette religion papale. Le soutien atteint son apogée sous Louis XIV qui défendant la cause des ténèbres se compare lui-même avec le soleil. C’est cette publication des « deux témoins » bibliques qui permet aux Protestants de l’époque « Thyatire » d’associer les « profondeurs de Satan » à la religion catholique dominatrice de leur temps ; Apo.2:24 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; »  Ainsi,  le juste jugement de Dieu fait des Juifs « la synagogue de Satan » et de la doctrine catholique faussement chrétienne, « les profondeurs de Satan ». Et cette expression fait allusion aux menaces catholiques de la peine de « l’enfer », dans lequel, justement, Dieu lui prépare une place pour le jugement dernier, alors que selon Jésus, une place est préparée pour ses élus dans sa maison céleste.

En 1755, « le tremblement de terre » de Lisbonne prophétise « le tremblement de terre » spirituel du génocide de l’aristocratie française de 1793-1794. En 1780, le « jour obscur » de 24 heures, prophétise, la fin du témoignage biblique des « deux témoins » annoncé dans Apo.11:7 : « Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera. » Cette précision est importante : « Quand ils auront achevé leur témoignage ». Pour Dieu, la Bible, sa parole écrite, est disponible ; sa publication offre à tout homme et toute femme, la possibilité d’entendre la vérité construite et révélée par lui dans tous ses livres. De plus, sa publication a contraint son ennemie catholique à réagir violemment, révélant ainsi à tous sa nature diabolique. Son rôle révélateur est momentanément achevé et l’heure de punir cette religion diabolique est venue. L’exécuteur de cette sentence divine sera le régime républicain révolutionnaire français qui va porter l’estocade et mettre fin aux exactions commises par la monarchie française et étrangères associées au régime papal catholique romain. Les loups catholiques vont mourir sous la guillotine en France de Juillet 1793 à Juillet 1794. Mais, pour obtenir ce résultat, il faut faire appel à un mal encore plus grand : l’athéisme et la libre pensée. En image symbolique « la bête qui monte de la mer » ne peut-être détruite que par « la bête qui monte de l’abîme » comme Dieu l’appelle dans Apo.11:7 : « Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera ». Et le pire c’est que l’athéisme va « tuer » la foi dans la Bible durablement, jusqu’à la fin du monde. Or, dans le récit de la création, « l’abîme » désigne « l’eau » avant qu’elle reçoive le nom « mer », et qu’elle porte le moindre signe de vie. De cette manière Dieu présente l’athéisme comme un recul religieux par rapport à la religion catholique. Ce fut un mal, oui, mais un mal nécessaire pour châtier la culpabilité commune de la monarchie et du clergé catholique romain. Cadeau du ciel, ma découverte des messages parallèles de lévitique 26 et des « six » premières « trompettes » de l’Apocalypse confère à cette « quatrième trompette » ou quatrième châtiment divin, d’Apo.8:12, le rôle d’une « épée qui vengera l’alliance » divine ; Lév.26:23 à 26 : « Si ces châtiments ne vous corrigent point et si vous me résistez, je vous résisterai aussi et je vous frapperai sept fois plus pour vos péchés. Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi. Lorsque je vous briserai le bâton du pain, dix femmes cuiront votre pain dans un seul four et rapporteront votre pain au poids ; vous mangerez, et vous ne serez point rassasiés. » C’est dans ces versets que Dieu prophétise, pour une application littérale pour l’Israël de l’ancienne alliance, une application spirituelle pour le contexte de la nouvelle alliance. Ainsi, à cause du même dégoût témoigné pour la vérité biblique divine, Dieu suscite le génocide aristocrate par la guillotine qui vient telle une « épée » « venger l’alliance sainte » trahie et persécutée. Mais ce verset annonce également la fin du témoignage biblique et ses conséquences pour les religions chrétiennes. La Bible est présentée comme le « bâton du pain brisé » par Dieu. Et l’apostasie générale qui va en résulter est imagée par  le message «dix femmes cuiront votre pain dans un seul four ». Ces « dix femmes » sont les églises protestantes de la parabole des « dix vierges » qui vont œuvrer dans le « seul four » catholique romain jusqu’au commencement du jugement de 1844. Et leur abandon par Dieu aura pour conséquence spirituelle : « vous mangerez, et vous ne serez point rassasiés ».

Dans Apo.8:12 : « l’épée qui venge l’alliance » vient « frapper » les coupables : « Le quatrième ange sonna de la trompette. Et le tiers du soleil fut frappé, et le tiers de la lune, et le tiers des étoiles, afin que le tiers en fût obscurci, et que le jour perdît un tiers de sa clarté, et la nuit de même. » Relève la présence du verbe « frapper » qui confirme le lien avec le châtiment de Lévitique 26. Ensuite, ce verset nous donne sa signification en disant : « le jour perdît un tiers de sa clarté, et la nuit de même ». Cette précision indique que le camp du bien et celui du mal subissent de manière égale les conséquences du génocide organisé par les Révolutionnaires français. Dans une vision reçue par Joseph, Israël, son père, donna une interprétation du « soleil, de la lune et des étoiles » dans Gen.37:9-10 : « Il eut encore un autre songe, et il le raconta à ses frères. Il dit: J'ai eu encore un songe ! Et voici, le soleil, la lune et onze étoiles se prosternaient devant moi. Il le raconta à son père et à ses frères. Son père le réprimanda, et lui dit : Que signifie ce songe que tu as eu ? Faut-il que nous venions, moi, ta mère et tes frères, nous prosterner en terre devant toi ? » Selon cette interprétation, « le soleil » est l’image symbolique de Dieu, « le Père », « la lune », celle de la femme du péché, « Babylone la grande, la mère des prostituées de la terre », selon Apo.17:5. Les « étoiles » sont les enfants des deux soit, les pratiquants catholiques et protestants auxquels Dieu dit : « vous mangerez, et vous ne serez point rassasiés ».

Il nous faut comprendre qu’après le génocide aristocrate, l’humanité se trouve dans un état pire qu’avant cette action. Les hommes loups prennent l’apparence des brebis mais seulement dans une trompeuse apparence que Dieu révèle dans son message de la « cinquième trompette » dans laquelle il les désigne comme « faux prophètes » symbolisés par le mot « queue », selon Esaïe 9:14 : « L'ancien et le magistrat, c'est la tête, Et le prophète qui enseigne le mensonge, c'est la queue. » Cette « queue » est celle des « scorpions » qui les désignent comme « rebelles » selon Ezéchiel 2:6 : « Et toi, fils d'homme, ne les crains pas, et ne crains pas leurs paroles ; car tu as près de toi des ronces et des épines, et tu demeures parmi des scorpions : ne crains point leurs paroles et ne sois point effrayé de leurs visages, car ils sont une maison rebelle ». Dieu multiplie les images par lesquelles il présente son jugement des rebelles religieux chrétiens. Et il révèle dans Apo.9:11 la raison pour laquelle leur lecture de la Bible ne les rassasie pas ou plus : « Elles ont sur elles un roi, l'ange de l'abîme, dont le nom est en hébreu : Abaddon, et en grec il a nom : Apollyon. » En raison de leur multitudes, Dieu les compare à des « sauterelles », l’insecte nuisible qui dévaste et détruit les récoltes agricoles humaines. Ces « sauterelles » symboliques nuisent, spirituellement, à la cause de sa vérité. Et la chose s’explique facilement puisque remplaçant Jésus-Christ, depuis 1844 pour le Protestantisme et 1994, pour l’Adventisme « vomi », le diable est devenu leur roi et inspire à ce titre leur lecture de la Bible écrite « en hébreu et en grec ».

Depuis 1799, le monde chrétien est en paix religieuse, mais que sont devenus les loups hommes d’avant cette date ? Selon Apo.9:8, ils sont devenus des fauves masqués par des apparences trompeuses d’églises chrétiennes : « et elles avaient des cheveux comme des cheveux de femmes, et leurs dents étaient comme des dents de lions ».

Les masques trompeurs tombent lorsque le contexte guerrier de la « sixième trompette » révèle leur nature profonde réelle : celle des « lions aux dents » acérées. Cette fois, Dieu permet aux « faux prophètes » chrétiens de « tuer » littéralement des créatures humaines ; ce qui était interdit pendant les « cinq mois » ou 150 années de la « cinquième trompette » selon Apo.9:5 : « Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois ; et le tourment qu'elles causaient était comme le tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme. » La présentation de la chose est trompeuse et subtile. Le « tourment » sera causé par la « seconde mort de l’étang de feu » et il ne viendra qu’à l’heure du jugement dernier, selon Apo.20:14 : « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu ». Car c’est seulement le moyen de tomber sous cette condamnation finale qui est donné aux « faux prophètes » pendant 150 ans en multipliant le nombre des membres des églises jusqu’à ce que rejoints en dernier par l’Adventisme officiel « vomi » au terme de cette durée soit, en 1994, le nombre des « faux prophètes » soit au complet.

L’ordre de « tuer le tiers des hommes » de l’Europe catholique romaine ou athée de la libre pensée vient directement du ciel, de la bouche de Dieu en Jésus-Christ selon Apo.9:13 à 15 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » La cible de la « tuerie » est « le grand fleuve d’Euphrate » soit, traduit, le grand peuple de l’Europe placé sous la malédiction de la religion catholique de l’église papale nommée « Babylone la grande » dans Apo.17:5. Après les loups hommes, les lions hommes vont s’entretuer à cause du mépris témoigné envers le Dieu créateur, son saint sabbat du septième jour, et sa sainte loi révélée par la Bible entière.

Le nom symbolique « Euphrate » que Dieu donne à l’Europe catholique devient un signe dans l’actualité de notre temps. La zone géographique du vrai « fleuve Euphrate » est, en Turquie et en Syrie, frappé par des tremblements de terres très meurtriers. Le message de Dieu cible la zone d’Antioche, la ville où les disciples de Jésus-Christ, reçurent le nom de « Chrétiens ». Le message divin est doublement adressé à la Turquie et la Syrie musulmane, et aux faux Chrétiens de l’Europe. Le châtiment de Dieu va frapper tous ceux qui ont déformé son projet salvateur basé sur Jésus-Christ et son rachat des péchés de ses seuls élus qu’il sélectionne, souverainement, lui-même ; ignorant et punissant toutes les fausses revendications qui concernent le salut éternel.

 

La leçon principale que Jésus est venu apporter par sa révélation donnée à Jean, son Apocalypse, concerne la malédiction du « jour du soleil » imposé le premier jour de la semaine comme jour de repos religieux hebdomadaire en remplacement du saint sabbat du septième jour dont la sanctification par Dieu a été rappelé dans le quatrième de ses dix commandements royaux et divins. Le rôle prophétique de septième millénaire du sabbat du septième jour prophétisait la récompense des élus sélectionnés par son plan du salut. Attaquer le sabbat revenait donc à déformer le projet du salut et ceci constituait après la faute de Moïse qui frappa par erreur et exaspération deux fois le rocher d’Horeb, la plus grave faute que l’humanité pouvait commettre. Et la gravité des deux cas repose sur leur application par les serviteurs de Dieu eux-mêmes. Que les peuples païens pèchent, pour Dieu c’est chose logique et naturelle puisqu’ils ne le connaissent pas. Mais Moïse et l’église chrétienne étaient en relation étroite avec lui. Et de même que Jésus dit que le mal fait à ceux qui lui appartiennent est fait à lui-même, l’inverse est aussi vrai, le mal fait par les siens le touche et l’implique personnellement. Central dans sa position du livre, le thème des trompettes est également central au niveau de son importance des sujets révélés. Car, la leçon donnée par Lév.26 permet de comprendre le prolongement de la cause des châtiments successifs prophétisés. Mais bien sûr, au fil du temps, le contexte historique de chaque trompette cible l’apparition de nouvelles causes de culpabilité qui s’enchaînent et s’accumulent jusqu’au temps du retour de Jésus, époque de la « septième trompette et du « septième des derniers fléaux de la colère divine. Ce qu’Apo.18:5, exprime en ces termes : « Car ses péchés se sont accumulés jusqu'au ciel, et Dieu s'est souvenu de ses iniquités. » Il apparaît ainsi nécessaire d’identifier les nouveaux péchés rattachés à chacune des sept trompettes.

Le point de départ est l’abandon du sabbat le 7 Mars 321.

« Première trompette » : l’église chrétienne romaine cherche l’appui de la force humaine et trouve celui du roi Franc Clovis 1er. « Malheur à l’homme qui se confie dans l’homme, qui prend la chair pour son appui… ».

« Deuxième trompette » : l’église chrétienne romaine se dote d’un chef terrestre : le pape, qui entre en concurrence directe avec Jésus-Christ le Chef céleste intercesseur perpétuel. Elle fait agresser sans utilité les peuples étrangers.

« Troisième trompette » : l’église chrétienne papale catholique romaine combat la propagation de la Bible et ses partisans protestants. Elle agresse la foi chrétienne authentique.

« Quatrième trompette » : l’église papale et la monarchie catholique romaine poussent le peuple de France vers la libre pensée et l’athéisme.

« Cinquième trompette » : Frappée par la malédiction divine depuis 1844, la foi protestante se développe et multiplie. Dans les derniers temps, elle se lie par une alliance avec la religion catholique romaine, l’ancienne ennemie dénoncée diabolique par le moine Martin Luther, fondateur officiel de la Réforme. Après 1994, l’adventisme institutionnel officiel « vomi » la rejoint officiellement au début 1995.

« Sixième trompette » : Le camp occidental maudit par Dieu et gagné par la perversion des mœurs se confronte au camp orthodoxe de l’Est, également maudit par Dieu. Les deux camps à cause du dimanche romain hérité. Avec l’arme nucléaire, la population mondiale est extrêmement réduite et condamnée à mourir à cours terme.

« Septième trompette » : Jésus-Christ revient en gloire pour détruire les derniers rebelles catholiques et protestants qui, constituant l’autorité d’un régime universel, s’apprêtaient à mettre à mort les derniers saints de Dieu qui gardaient fidèlement la pratique de son saint sabbat. Et là, Dieu dit : « Stop ! » « Car ainsi parle YaHWéH des armées : Après cela, viendra la gloire ! Il m'a envoyé vers les nations qui vous ont dépouillés ; Car celui qui vous touche touche la prunelle de son œil. » L’heure est celle de la « vengeance » prophétisée dans Esaïe 61:2-3 : «Pour publier une année de grâce de YaHWéH, Et un jour de vengeance de notre Dieu ; pour consoler tous les affligés ; pour accorder aux affligés de Sion, pour leur donner un diadème au lieu de la cendre, une huile de joie au lieu du deuil, Un vêtement de louange au lieu d'un esprit abattu, afin qu'on les appelle des térébinthes de la justice, une plantation de YaHWéH, pour servir à sa gloire.» Relève l’étroite relation de l’année de grâce avec le jour de vengeance qui vient, précisément, châtier le mépris témoigné envers cette année de grâce.

Compare les expressions « une année de grâce de YaHWéH » et « un jour de vengeance de notre Dieu ». Le nom « YaHWéh » marque le lien d’amour entre Dieu et ses élus, tandis que le terme « Dieu » marque le recul et le regard du juge terrifiant du Dieu tout-puissant qui donne la vie et la mort.

 

 

 

L’évolution du mal : des USA à l’Ukraine

 

Pendant des siècles et même des milliers d’années les familles humaines se sont construites sur le modèle patriarcal. L’autorité appartenait aux deux parents, le père, la mère et le couple faisait tout ce qui était en son pouvoir pour élever ses enfants dans le respect et l’obéissance à ce principe élémentaire. Les parents se donnaient le droit de contraindre leurs enfants, même en les châtiant corporellement physiquement lorsque le besoin était nécessaire. L’enfant devait apprendre très vite qui était son maître. Et cette justice cuisante était le plus souvent acceptée car des gestes d’amour parentaux venaient compenser et équilibrer les actions parentales. Le Dieu créateur, notre véritable Père, agit de même envers nous et dans Apo.3:19, Jésus le confirme en disant : « Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. » Peut-on trouver plus intelligent et plus juste que Dieu en Jésus-Christ ? Non et déjà dans l’ancienne alliance, Dieu disait par le plus sage de ses prophètes, dans Pro.23:13-14 : « N'épargne pas la correction à l'enfant ; si tu le frappes de la verge, il ne mourra point. En le frappant de la verge, tu délivres son âme du séjour des morts ». Priver un enfant de la correction qu’il mérite est donc pour Dieu, une action criminelle. En entrant dans la vie, un enfant doit apprendre que sa liberté est limitée par les droits de ceux qui l’élèvent ; soit, en premier, ses parents. Ceux qui travaillent la terre savent que les jeunes pousses peuvent avoir besoin d’un tuteur pour grandir en restant bien droites. Oublions, un instant le message spirituel de l’homme créé à l’image de Dieu que le péché originel a détruit, que reste-t-il de l’homme ? Ce n’est plus que l’animal le plus développé de la planète Terre. Et comme tous les animaux, les enfants des hommes doivent être éduqués par leurs parents. Et ce n’est pas rien cette éducation, car leur survie en dépend, et au-delà, la vie éternelle proposée par Dieu en dépend principalement. Je me souviens d’une époque où dans les classes des écoles laïques et des écoles libres catholiques, les enfants turbulents ou désobéissants étaient punis en recevant des coups de règle sur le bout des doigts. La douleur ressentie apprenait aux enfants à redouter le châtiment et les incitait donc à se montrer plus dociles. Les fessées et les gifles tombaient spontanément sur les plus indociles des plus jeunes. Et certains pères de cette époque avaient le réflexe de gifler eux-mêmes leur enfant qui se plaignait d’avoir été giflé par leur instituteur. Cette phase de la vie était déterminante car, parvenu à l’âge de l’adolescence, le changement devenait impossible ou presque. Parce que la réponse reste toujours individuelle et un enfant peut découvrir par lui-même la nécessité de se montrer plus obéissant.

Ayant posé ce critère de base des principes de l’obéissance, de la discipline, et du châtiment mérité, il est facile de le comprendre, le mal va apparaître lorsque ceux-ci ne sont pas ou plus appliqués. C’est ici qu’entre en scène le peuple des USA. La guerre a mobilisé les hommes et toute une jeunesse a été élevée sans le père de famille entre 1941 et 1945. Et ceci, dans tous les pays engagés dans la même guerre mondiale européenne et japonaise. Or, c’est dans ce pays très puritain et protestant des USA que le mal du jeunisme est apparu. Dans un contexte de développement technique, sur fond de musique du Rock’n Roll, très rythmé, la jeunesse américaine est sortie du silence et s’est faite bruyamment remarquée par la génération de ses parents. Le mal s’est emparé de cette jeunesse que le titre du film « la fureur de vivre » exprime clairement. Cette fureur des « années 60 » prenait la forme d’une revendication du droit de faire ce qu’il me plait, où je veux et quand je veux. La rébellion commençait pour ne s’achever qu’au retour de Jésus-Christ, par la destruction de tous les rebelles.

Né aux USA, le mal est une bête qui marche sur deux pieds, le gauche par les USA et le droit, par l’Europe occidentale. Depuis la fin de la guerre, les USA et l’Europe vaincue se regardent et se copient. Mais sa position de vainqueur favorise le modèle américain. Et la radio et le cinéma présentent constamment le modèle de la vie américaine. L’idolâtrie des stars musicales favorise le commerce et enrichit le domaine culturel américain. L’Europe fait de même avec un petit temps de retard. Mais, fruit de la déchéance de 1844, une évolution du mal arrive soudain de la Suède, ce pays de monarchie protestante. Là, les tabous sexuels sont renversés et la pornographie et ses déviances vont s’étendre progressivement à toute la société occidentale. Suède, Danemark, Hollande : les instigateurs, et leurs imitateurs : l’Allemagne, l’Italie, la France, l’Angleterre en 1970. Sous le régime de son dictateur, le général Franco, l’Espagne est momentanément protégée, mais à la mort de celui-ci, l’Espagne découvre les délices de la liberté et en fait un usage plus libertaire que tous les autres pays. Et ceci est à relever, en avançant dans le temps, les derniers pays qui obtiennent la liberté sont les plus excessifs en pratique libertaire. Aussi peut-on dire qu’à chaque pays libéré des tabous moraux, le mal empire. Dans cette croissance du mal, l’homosexualité est devenue un droit que les pays occidentaux ont les uns après les autres entièrement légalisé. Seule l’Italie fait à ce sujet de la résistance ; probablement à cause de la présence du Vatican papal sur son sol. Une fois légalisés, les déviants LGBT et autres exigent qu’on les respecte et reconnaisse leurs droits. Le mal ne doit pas seulement être supporté, non, il doit être légitimé. Et cette avancée dans le temps nous conduit en 2012-2013 où des troubles nationaux apparaissent en Ukraine.

L’Ukraine perverse

Elle prend son indépendance dans les années 1990 où la Russie soviétique s’écroule économiquement et politiquement. Le secrétaire Gorbatchev voit dans cet affaiblissement national l’opportunité de nouer des liens avec l’Occident. Les frontières tombent, la Pologne retrouve sa liberté et rejoint en Europe le camp de l’OTAN. La porte de la cage étant ouverte, les oiseaux épris de liberté s’envolent et s’échappent. Les autres, heureusement plus nombreux, restent dans leur cage, où ils se sentent plus en sécurité. Mais la Russie et la planète entière vont payer chèrement la conséquence de cet affaiblissement de la Russie soviétique. Car jusqu’à ce moment, tout le monde bénéficiait du « rideau de fer » qui séparait la société capitaliste occidentale de la société communiste russe. Avec l’ouverture, certains habitants de la Russie ont eu le désir de vivre comme les Occidentaux et l’Ukraine a choisi de prendre son indépendance pour y parvenir. En Russie, le relâchement de la discipline livre le pays à la loi des mafias ; les plus pauvres en paient le prix. Et en Ukraine, la nation indépendante se construit dans une grande anarchie qui apparaît toujours quand l’autorité n’existe pas ou est à construire. Ce mot anarchie joue un si grand rôle que je dois le définir comme le principe qui fait de l’homme « l’archi âne ». Le jeu d’esprit est justifié, parce que l’âne est cet animal têtu à l’extrême comme le dit le dicton : « entêté comme un âne ». Et il se trouve que l’actualité me donne raison au sujet de l’Ukraine déterminé à vaincre la Russie, entêtée comme un âne.

Mais avant de devenir la cible de l’actualité de 2022 et 2023, l’Ukraine a donné des signes inquiétants sur sa nature. Dans son terreau anarchiste sont apparues les « Femen » antireligieuses et anticonformistes, dénonçant en prenant leurs seins et leurs corps comme support de leurs revendications intempestives contre l’ordre établi par les mâles humains. Ce genre de chose est apparu dans l’Ukraine défendue par tous les peuples occidentaux. Mais on leur doit une outrance encore plus indigne et coupable : en Ukraine, elles sciaient les croix de bois des crucifix installés en divers lieux, exprimant toute leur haine contre la religion chrétienne. Cette attitude peut être interprétée différemment. Mais dans tous les cas, elles sanctionnent des religions chrétiennes condamnées par Dieu. Déjà, l’indignation du peuple de France se traduisit en 1793 par la colère contre l’église catholique et la monarchie, et en analogie, les « Femen » de l’Ukraine ciblent encore les religions coupables envers Dieu et l’humanité. Mais, la juste accusation portée contre les fausses religions ne justifie pas pour autant, le choix de vouloir ignorer le vrai message d’amour donné par Dieu en Jésus-Christ. Encore faut-il que le cœur chargé de haine puisse se montrer sensible à l’amour ; ce qui est peu probable ou possible. Dernière à obtenir la liberté, l’Ukraine a dépassé le modèle espagnol dans ses excès et ses exhibitions sexuelles. Et dans ce type d’action, son jeune président ex acteur populaire était le maître du genre. La première demande officielle de l’Ukraine d’entrer dans l’OTAN fut refusée par l’Allemagne à cause du niveau trop élevé de la corruption généralisée du pays. La naissance des nations est une période difficile à gérer, car au nom de la liberté revendiquée, chacun tente de profiter de la situation pour son profit personnel. Sous la première République, la France vit s’opposer le corrompu Georges Danton et l’incorruptible Maximilien Robespierre. Et le second fit décapiter le premier, avant de l’être à son tour, quatre mois plus tard. Ces comparaisons sont justifiées puisque la Guerre engagée par l’Ukraine prépare le deuxième accomplissement de l’action de « la bête qui monte de l’abîme ». La première ayant été accomplie par la Révolution française.

C’est donc par le soutien à ce pays l’Ukraine qui avait tout pour déplaire que comme un seul homme, les dirigeants occidentaux ont condamné leur avenir national. Car, la Guerre de l’Ukraine dont le mobile est le nationalisme exacerbé le plus fort et le plus fanatique, prépare la fin des nations. Elles vont disparaître dans les derniers échanges de bombes nucléaires. Et les survivants ne se battront plus jamais pour une cause nationaliste. Ils se regrouperont sous un seul gouvernement universel organisé par les survivants américains.

Avantages et inconvénients de l’Ukraine

En avantage, la nation est représentée par des gens jeunes. Ils sont dans l’ère du temps, passés maîtres dans les nouvelles technologies basées sur l’informatique. Et dans le combat contre les Russes, leur infériorité en nombre est compensée par leur adaptabilité aux situations. De plus, équipés par des canons et des missiles occidentaux d’extrême précision, ils peuvent détruire facilement les stocks de munitions russes repérés. Et à ce sujet, ils bénéficient de l’infrastructure des satellites américains alignés tout autour de la terre sur différentes orbites. Cet œil d’aigle donnera toujours avantage à l’Amérique qui dispose de cette technique suprême. Ceci, me conduit à dire que l’armée ukrainienne joue un rôle secondaire dans ce conflit où ce qui tue les Russes, ce sont les canons et les missiles des USA et des européens dont la France et ses prestigieux canons Caesar. La technologie des drones s’est surtout vulgarisée en Occident en raison de son coût et du niveau de vie de ses habitants. Les jeunes se sont familiarisés avec ces petits engins volants et aujourd’hui, en Ukraine, leurs talents sont exploités sur des lignes d’affrontements militaires : pour ceux qui les pilotent, c’est comme à la maison, sauf que, ça repère l’ennemi pour le tuer pour de vrai, et on peut en mourir soi-même, si une bombe russe tombe là où on se trouve. Indéniablement, pour l’Ukraine, la jeunesse de son président et de ses cadres gouvernementaux a favorisé l’utilisation de toute cette technologie électronique. L’autre avantage de l’Ukraine est d’avoir en face d’elle, une armée russe dirigée par des chefs militaires qui font confiance à leur expérience traditionnelle dans laquelle l’usage des drones et des satellites n’a pas pris l’importance qu’ils méritent. Cette méprise porte ses conséquences sur le terrain du conflit ; les chars et les objectifs russes sont détruits comme dans un jeu vidéo.

Les inconvénients pour l’Ukraine sont également nombreux. Et dans l’ordre, également, la jeunesse de son président qui cumule sans le savoir l’inconvénient d’être né juif et de diriger un camp ukrainien marqué par le catholicisme polonais et une orthodoxie qui, bien que séparée de l’orthodoxie russe, est, comme le catholicisme, frappée par la malédiction de Dieu. Les USA protestants l’étant tout autant, c’est tout le camp occidental qui est frappé par cette malédiction divine : selon Rom.2:9 : « Tribulation et angoisse sur toute âme d'homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec ! » Mais le contraire existe, heureusement, en ce qui concerne ses élus : « Gloire, honneur et paix pour quiconque fait le bien, pour le Juif premièrement, puis pour le Grec ! » Immanquablement, la jeunesse souffre de son manque d’expérience, et la plus grande détermination, ou entêtement, est condamnée à devoir subir la dure réalité quand elle vient contredire les attentes et les espérances. Tous ceux qui se combattent pensent et espèrent sortir victorieux, mais dans tous les cas, il n’y a, à la fin, qu’un vainqueur et un vaincu. Le deuxième handicap de l’Ukraine, c’est sa dépendance de la donation d’armes de ses alliés occidentaux. Zelensky vit continuellement dans l’angoisse de manquer d’armes et de munitions et de voir la Russie envahir tout son territoire. Sa situation et sa place ne sont donc pas enviables. S’il savait ce que Jésus-Christ a révélé à ses bien-aimés élus, il saurait que son rêve de victoire va s’achever en cauchemar de défaite. Mais tous ceux qui s’engagent dans une escalade guerrière au côté de l’Ukraine contre la Russie ignorent également ces choses révélées et ils accomplissent un projet de Dieu sans le savoir. Dans ce projet, ce sont eux qui sont les cibles qui seront grandement détruites par les explosions nucléaires.

La Bible n’a pas décrit les sortes de péchés commis par les antédiluviens. Tout ce que Dieu dit à leur sujet tient en ces mots, cités dans Gen.6:15 : «YaHWéH vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. » Je crois que ce jugement s’applique aujourd’hui à toute l’humanité occidentale, orientale, au septentrion et au midi. Pas une seule nation, peuple, royaume, ou langue, n’échappe à cette condamnation divine. La sainte Bible exprime la norme de son jugement qu’aucune nation n’honore correctement. L’humanité est bien mûre pour subir son déluge de fer et de feu.

Dans l’actualité, une preuve confondante de la condamnation de la société occidentale vient d’être donnée. Un jeune adolescent de 16 ans a froidement poignardé et tué sa professeure d’Espagnol âgée de 52 ans et mère de deux enfants. Se disant lui-même possédé, il a confié qu’il avait entendu la veille, dans un songe, une voix qui lui ordonnait de tuer sa professeure. Mais cette vérité est irrecevable par une société grandement athée ou agnostique. Cette incrédulité est soulignée par le lieu où la chose est arrivée : le lycée catholique de Saint-Thomas d’Aquin dans la ville de Saint-Jean-de-Luz. Un Thomas type de l’incrédule, et deux saints dont Jean-de-Luz ou de lumière, le témoin de l’Apocalypse ; il y a beaucoup de signes religieux dans cette affaire qui révèle l’incrédulité des juges. Mais le pire, c’est que le fait est arrivé dans une école catholique où le témoignage d’une intervention de voix démoniaque ne devrait pas être rejeté mais soutenu. L’école devrait s’engager pour défendre l’explication donnée par le jeune possédé ; mais il n’en est rien. Là où la religion imputée à Dieu est enseignée, l’existence du diable et des démons devrait l’être également, puisque, pendant son ministère terrestre, Jésus n’a pas cessé de chasser des démons pour guérir les victimes possédées et de mettre en garde ses serviteurs contre Satan. Dans un tel cas, l’église devrait soutenir l’explication du jeune possédé, mais devant l’incrédulité des autorités françaises, elle se tait. Cependant d’innombrables témoignages de voix entendues ont été formulés par des assassins conduits en prison. Ce nouveau cas vient donc s’ajouter aux précédents, mais la jeunesse du possédé devrait conduire les autorités à s’interroger sur ces choses spirituelles qu’elles ne maîtrisent pas.

Ce sujet me conduit à rappeler que depuis des siècles, l’église catholique prétend chasser les démons par ses prêtres exorcistes. Sachant que Satan la dirige tu peux comprendre qu’il se chasse lui-même ou chasse ses démons. La véritable délivrance des esprits angéliques rebelles ne peut être réalisée que par les vrais serviteurs de Jésus-Christ car celui qui chasse les démons c’est lui seul et il peut le faire parce qu’il a en lui la puissance pour le faire. Sur la terre, les démons lui obéissaient, car ils ne peuvent pas lui résister, ni hier, ni aujourd’hui, ni demain.

A défaut de foi, le problème est soumis aux médecins psychiatres. Alors je rappelle que la psychiatrie n’est pas une science exacte. Ce n’est que le fruit de l’imagination de gens incrédules qui doivent donner aux autres incrédules une explication à toute chose pour les tranquilliser.

 

 

Sécheresse climatique pour les cœurs secs

 

Les pots de terre humains ne savent pas qu’ils subissent déjà les premières conséquences des châtiments infligés par le pot de fer divin. Dieu n’a en effet besoin de personne pour faire du mal à l’humanité rebelle car il dispose d’une arme redoutable qui est la nature et ses conditions climatiques. C’est lui qui fait la pluie et le beau temps mais c’est aussi lui qui fait la sécheresse et la famine qui en résulte. En ordonnant à la tempête de se calmer, ce qu’elle fit instantanément, Jésus a donné à ses premiers apôtres une preuve incontestable de sa divinité. La question que se posaient les disciples, « qui est donc celui-là, auquel le vent et la tempête obéissent ? », n’avait qu’une seule réponse : l’Esprit incarné du Dieu tout-puissant. Notre société moderne a perdu de vue ce Dieu créateur de toute chose et vie, et son regard interrogateur se tourne vers ses scientifiques qui ont habituellement réponse à tout. Dieu lui a offert un long temps de paix et de prospérité qui a fait oublier jusqu’à son existence. Les drames qui s’enchaînent les uns après les autres devraient finir par effrayer les moins endurcis de cette humanité au point de les contraindre à se rappeler que la puissance naturelle est la propriété exclusive du Dieu créateur. Il est bon de se rappeler les contextes historiques en lesquels Dieu a puni son peuple Israël et l’humanité païenne par le fléau de la sécheresse. Ceci, parce qu’en notre temps moderne, l’eau est devenue plus que jamais indispensable pour la vie et l’activité économique et industrielle. Le tarissement de l’eau des fleuves tue l’agriculture, mais aussi contraint les humains à mettre les centrales nucléaires à l’arrêt, l’eau étant nécessaire pour refroidir le combustible mis en fusion. Mais si l’eau disparaît, ce sont aussi les centrales hydrauliques des barrages fluviaux et des montagnes qui cessent de produire de l’électricité. Or, toute la civilisation moderne dépend en Occident et en Orient de cette énergie électrique ; faute de quoi, le retour au charbon redevient nécessaire, et ne pouvant être maintenu, le niveau d’activité industrielle actuelle s’écroule, plongeant l’humanité dans une grande détresse. Je rappelle que l’eau est l’élément qui compose 75 % de notre corps physique, ce qui explique les souffrances provoquées par les canicules qui assèchent les corps humains et les végétaux. En s’attaquant à l’eau, Dieu donne un signal terrible qui annonce le début du processus de la déshumanisation de la terre entière parce qu’elle aujourd’hui entièrement habitée.

Le premier cas relaté dans la Bible est arrivé quand Joseph le fils aîné de Rachel et Jacob, vendu par ses frères, se retrouva en poste de grand vizir, au service du pharaon de la puissante Egypte. Le don de prophétie que Dieu lui avait donné l’avait conduit des prisons royales au sommet du pouvoir égyptien. Et en expliquant une prophétie reçue personnellement par Pharaon, Joseph fut reconnu par lui comme l’être intelligent et sage, digne de gouverner, après le roi, tout le pays d’Egypte. Cette vision, reposant sur sept vaches grasses et sept vaches maigres, d’une part, mais aussi sur sept épis de blé beaux et gonflés et sept épis de blé secs, prophétisait la succession de sept années d’abondance suivies de sept années de famine. Le récit complet de ces choses est relaté dans Gen.40 et 41. A cette époque Dieu préparait le moyen de donner à son peuple de la puissance et de la prospérité. C’est pourquoi, l’Egypte païenne, bénéficia elle-même, de la bonté et du pouvoir de Dieu. En la prévenant à l’avance, des mesures préventives préconisées par Joseph furent mises en action sous son autorité. Le projet de Dieu était de faire installer en Egypte toute la famille bénie de Jacob, ses deux épouses et leurs fils et filles. Par cette expérience, Dieu annonça son projet de salut accompli en son temps par Jésus-Christ. Le fils vendu par ses frères et livré aux païens devait devenir une cause de bénédiction pour le peuple de Dieu. Cette première sécheresse avait un but prophétique bénéfique, mais une autre sécheresse apparut au temps d’Elie le prophète et celle-ci fut infligée à Israël au titre de châtiment, car le peuple de Dieu était, à ce moment, en apostasie totale. Désobéissant à l’ordre de Dieu, le roi Achab avait épousé une femme étrangère adoratrice des Baals qui avait fait mourir les prophètes de Dieu. La nation entière en paya le prix par une famine de trois années. Et sur une prière du prophète Elie, la pluie bienfaisante revint. Cette action connut une heureuse fin parce que le projet de Dieu n’était pas à son terme. En Europe, la canicule est apparue de temps à autres mais jamais de manière durable, comme si Dieu avait voulu présenter cette menace à l’humanité moderne. Mais cette menace est restée sans efficacité car le monde occidental a cessé de se préoccuper de savoir ce que Dieu pense puisqu’ils l’ignorent complètement. Aussi, l’heure du châtiment vient sur eux sans qu’ils l’aient vu venir et le temps des sept années de sécheresse de la terre et des cœurs humains va commencer au printemps 2023 qui vient. En appliquant le modèle vécu sous Joseph, sept années de prospérité préventive auraient commencé au printemps 2015. Mais quel événement majeur trouvons-nous dans cette année 2015 ? Le jour du printemps, l’équinoxe du 20 Mars 2015 est marqué par une éclipse solaire totale, événement très rare mais de haute valeur spirituelle. Car la colère divine cible les Occidentaux observateurs du repos du « jour du soleil ». Le 26 Juin, la Cour suprême des Etats-Unis arrête que le mariage des homosexuels est autorisé dans tout le pays. Le 13 Novembre 2015, les islamistes organisent un massacre dans la salle de spectacle du Bataclan à Paris ; bilan : 413 blessés, 131 morts dont 7 terroristes sur 9. Non, je ne relève rien de positif pour cette année 2015 en laquelle en Ukraine une guerre oppose les oblasts de Donetsk et de Louhansk à l’armée loyaliste ukrainienne. Cette guerre va se prolonger jusqu’en 2022 où l’invasion russe engage la Troisième Guerre Mondiale parce que derrière les USA, l’Angleterre et la Pologne, tout le camp entré dans l’OTAN apporte son soutien financier et ses armes à l’Ukraine investie.

La bénédiction de ses enfants, Dieu la donne seulement à partir du printemps 2018 soit, 5 ans avant les sept vaches maigres finales, ou 12 années avant la date de son retour. Ce chiffre 12 symbole de l’alliance établie entre Dieu et l’homme soit 7 + 5, est aussi le chiffre symbolique des tribus scellées de son Israël spirituel selon Apo.7. Dieu apporte un flot de lumière qui vient informer ses serviteurs fidèles de la date prévue pour son glorieux retour en Jésus-Christ. La connaissance de cette date va alors leur permettre de mieux comprendre le sens des événements qui s’accomplissent progressivement. Le camp rebelle est frappé en 2020 par une épidémie mortelle combattue par le confinement des habitants et l’arrêt des activités professionnelles partiel ou total pendant deux ans. Il en résulte une crise économique qui appauvrit tout l’Occident où la réaction est copiée et identique. Au sortir de ce problème, l’Occident assiste à l’invasion russe de l’Ukraine qui exprime son désir de rejoindre le camp de l’OTAN. Ursula Von Der Leyen présidente de la commission européenne engage l’Europe pour aider l’Ukraine. Derrière cette décision, les dirigeants engagent leur pays à leur tour. Le monde occidental est aujourd’hui gouverné par des gens nés dans la paix qui n’ont connu que la paix. Pour eux, la guerre n’était qu’un jeu vidéo, cinématographique ou une guerre réelle, mais éloignée. Il y a eu des attentats islamistes dont les effets momentanés sont vite oubliés et la société occidentale réagit comme un enfant gâté auquel tout réussit et qui obtient toujours ce qu’il veut. Mais les enfants gâtés développent des caractères capricieux très réactifs. Aussi, l’invasion russe de l’Ukraine a provoqué chez nos enfants gâtés des réactions épidermiques soudaines et non mesurées. En conséquence, un soutien moral, et actif, concrétisé par des donations d’armes à l’Ukraine a fait de nos enfants gâtés les futures cibles de la colère du peuple Russe. La guerre ne les touche pas encore directement mais ils ne mesurent pas les conséquences de ce soutien forcené qui les conduira à devoir subir à leur tour, les maux qui frappent actuellement les seuls russes et ukrainiens. Ils vont découvrir à leur tour l’horreur de la guerre réelle comme leurs pères des années 14-18 et 39-45 l’ont vécue. Le président Poutine dénonce clairement maintenant le statut de cobelligérants du camp de l’OTAN. Et il confirme sa volonté de mener son « opération spéciale » jusqu’au but qu’il s’est fixé.

En Occident, l’oubli des leçons données par la Seconde Guerre Mondiale porte aujourd’hui de dramatiques effets.  Car les expériences du camp européen de l’OTAN et celles de l’Ukraine ont été très différentes puisque se trouvant dans ce contexte dans des camps opposés. L’Europe combattait contre l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler, mais pour des raisons opportunistes déjà, profitant de la faiblesse momentanée de la Russie soviétique, l’Ukraine s’est rangée du côté des troupes « nazies », déjà soutenues par la Pologne vaincue. Voulant déjà se séparer de la Russie, les nationalistes ukrainiens de l’époque ont pris parti pour l’armée nazie dont ils se sont faits les alliés pour combattre la Russie. C’est à cette époque que les chefs nazis allemands sont devenus des héros pour cette Ukraine nationaliste, et malgré les décennies écoulées, l’image nazie est restée le symbole de l’héroïsme national. A l’opposé, en Europe, la pensée nazie est devenue le mal absolu depuis 1945 jusqu’aux années 2000, où le mal commis par ce nationalisme cruel et fanatique a été oublié, par les jeunes dirigeants arrivés au pouvoir. Les esprits de tous étaient séduits par le projet d’instaurer la paix universelle ; ce qui nécessitait l’oubli des fautes du passé. En grossissant progressivement comme une boule de neige qui roule, l’Europe des six devint l’Europe des 28 avant de retomber à 27 ; les faits semblaient donc favorables au projet de paix. Mais c’était compter sans Dieu qui, lui, compte les péchés humains et n’en oublie aucun. Aussi, brutalement, la Guerre en Ukraine est venue ramener les pensées des humains à la dure réalité ; ils ont maintenant à rendre des comptes au Dieu vivant qu’ils ont ignoré et méprisé.

Entre la terre qui tremble, l’eau qui tarit, et les bombardements qui vont encore se prolonger et s’intensifier, le doute n’est plus permis : Dieu a engagé son processus de déconstruction de sa création terrestre. La puissance de l’Occident reposait sur sa richesse donc, Dieu l’affaiblit en le ruinant. Le confort et l’opulence occidental se construisaient sur une énergie peu chère, donc le prix du gaz et celui du pétrole flambe et nul ne sait, sinon Dieu, à quels prix ils vont monter. En réaction en chaînes, la nourriture va manquer et atteindre des prix démentiels. Et pour ceux qui ne pourront plus payer, le choix sera entre le vol, le crime ou la mort par la famine. Pendant ses sept dernières années sur terre, l’humanité entière va subir les « quatre châtiments terribles de YaHWéH » cités dans Ezé.14:21-22, mais la cible principale reste l’Occident infidèlement chrétien: « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes, il y aura néanmoins un reste qui échappera, qui en sortira, des fils et des filles. Voici, ils arriveront auprès de vous; vous verrez leur conduite et leurs actions, et vous vous consolerez du malheur que je fais venir sur Jérusalem, de tout ce que je fais venir sur elle. »

L’Europe et tout le camp occidental va devoir payer très cher le privilège d’avoir été porteur du message évangélique de Jésus-Christ. En tant qu’Israël spirituel, après l’Israël de l’ancienne alliance, il a eu part à la connaissance du projet salvateur de Dieu qui repose sur Jésus-Christ, mais à cause de tous ses péchés perpétrés au long des siècles, il doit être puni de multiples manières jusqu’à son extermination finale, quand, en grand vainqueur Tout-puissant, le divin Jésus-Christ va revenir dans la gloire de ses anges. Ezé.14:23 nous dit encore : « Ils vous consoleront, quand vous verrez leur conduite et leurs actions ; et vous reconnaîtrez que ce n'est pas sans raison que je fais tout ce que je lui fais, dit le Seigneur, YaHWéH. »

Ces versets devaient s’accomplir deux fois. La première, pour le début de la nouvelle alliance. L’entrée des païens convertis dans l’alliance juive devait consoler les juifs pieux des malheurs qui détruisent en 70, la ville de Jérusalem et toute sa sainteté réelle et sa fausse sainteté : son clergé, et ses rites symboliques.

La seconde, va s’accomplir au retour du Christ. Dans ce contexte, Israël aura subi l’invasion et les massacres russes de la Troisième Guerre Mondiale, et les derniers Juifs pieux seront consolés par le témoignage des derniers adventistes du septième jour pour le saint sabbat en Jésus-Christ. La lumière divine viendra sur eux et ils comprendront alors toutes les causes des malédictions successives qui les ont frappés au cours de l’ère chrétienne. Ils auront part alors à la consolation que Dieu apporte à tous ses fils et filles de la vérité sélectionnés dans ses deux alliances. Mais cette conversion finale ne concernera que les Juifs vraiment pieux, de même que le salut du Christ ne sauve que les païens convertis réellement pieux, selon le juste jugement de Dieu en Jésus-Christ.

 

Pourquoi l’Ukraine ?

Ce pays n’est utilisé par Dieu que comme détonateur. Il a simplement pour rôle d’attiser la colère explosive du peuple russe frère slave comme lui. Car en dépit des apparences, c’est bien la région de Kiev qui porta en première le nom « Rus » devenu aujourd’hui « Russe ». Ce peuple n’a jamais réussi à rester indépendant. Dès son origine, il a été composé de deux influences venant de l’Est et de l’Ouest. Et déjà dans cette chose, Dieu a placé le signe de sa malédiction concrétisé par l’opposition religieuse : l’Ouest était catholique polonais utilisant l’alphabet gréco-latin ; l’Est était orthodoxe russophone et son alphabet était l’écriture cyrillique. Ces différences les opposent encore aujourd’hui, dans la guerre menée contre le Donbass russophone depuis 2014. Dans les révélations d’Apo.10:11, Dieu évoque les populations européennes, nous lisons : « Puis on me dit : Il faut que tu prophétises de nouveau sur beaucoup de peuples, de nations, de langues, et de rois. » Dieu rappelle le signe de la malédiction de Babel : « de langues ». Car ce sont bien les séparations des « langues » qui empêchent la véritable unité des alliances passées entre les peuples. Les « langues » jouent un rôle de repoussoir car le dialogue est impossible avec une personne qui parle une langue ignorée étrangère. Les nations construisent leur unité par le partage social que la « langue » commune pratiquée rend possible. C’est pourquoi, Dieu peut dire des alliances faites entre des pays aux « langues » différentes dans Dan.2:43 : « Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. » « Le fer et l’argile » ne peuvent pas se mélanger, tout comme les peuples durs unifiés par leur « langue » ne peuvent pas s’unir avec des peuples pacifistes eux-aussi unifiés par leur propre « langue ». Et à quoi tient le caractère dur ou pacifique d’un peuple ? A son histoire, ses héritages et aux conditions climatiques auxquelles il est soumis. Ceux qui vivent dans le Nord de l’Europe sont exposés à des climats très froids qui endurcissent la nature humaine. La vie est maintenue au prix d’efforts et de combats gigantesques que les habitants des zones tempérées ignorent. L’endurcissement particulier des Ukrainiens repose en plus sur le continuel empêchement de sa prise d’indépendance. Il a toujours été sous le contrôle de la Russie ou de la Pologne, et pendant la guerre, en 1941-42, de l’Allemagne. Or, paradoxalement, la Russie puissante d’aujourd’hui qui affronte l’Ukraine est née à Kiev en Ukraine, l’enfant ne veut pas tuer sa mère, et ceci explique la mollesse des mesures russes envers cette ville de Kiev, berceau de la Russie. Or ce lien familial héréditaire va favoriser une réconciliation entre les pays frères entrés en dispute. La Pologne, l’Ukraine, et la Russie parlent des langues slaves très proches, et ce critère les relie de manière naturelle. De plus, la Pologne et l’Ukraine souffrent terriblement du manque d’enthousiasme des autres pays de l’OTAN qui limitent leur aide et leur engagement armé. Le détonateur ayant produit ses effets, le camp slave réunifié va se retourner contre l’U.E. et accomplir, pour Dieu, son œuvre destructrice prophétisée. Cette action va donner à la « sixième trompette » la forme d’une reproduction de l’action de la « première trompette », en laquelle, déjà, les mêmes peuples nordiques de l’Est sont venus mettre l’Europe occidentale du nord et de l’Est à « feu et à sang ». Car la « sixième trompette » vient,  en fin de l’ère chrétienne, refermer les actions des châtiments infligés par Dieu au titre « d’avertissements ». Rattachée au retour de Jésus-Christ, la « septième trompette » va accomplir « l’extermination » des rebelles terrestres qui n’ont pas tenu compte du dernier avertissement donné par la « sixième ». Dans ses expressions, Jésus compare ces rebelles à de la « paille » que l’on brûle facilement si elle est sèche. Il suggère ainsi, la sécheresse des cœurs humains, insensibles aux souffrances qu’il a endurées pour proposer son salut à tous les êtres humains héritiers du péché qui les condamne à la mort éternelle. Aussi en toute justice, il va rendre rare l’eau qui entretient la vie de ces êtres humains aux cœurs secs. Des multitudes vont devoir mourir de sécheresse, de faim, d’épidémies, et par la guerre. Et les plus rebelles et les vrais élus seront préservés pour le temps des « sept derniers fléaux » de la juste colère divine. Les derniers cœurs secs vont reconstruire sur la terre l’image de la « Babel » du roi Nimrod. Ayant mis fin aux individualismes nationaux, ils penseront avoir instauré un régime capable de leur offrir la garantie « de la paix, de la sureté et de la sécurité ». C’est alors que « la ruine » prophétisée tombera du ciel, sur eux, sous la forme des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » décrits dans Apo.16.

1 Thes.5:3 : « Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! Alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point. » Le véritable accomplissement de cette annonce inspirée à l’apôtre Paul concerne ce temps final, mais déjà la même chose s’est accomplie pour l’Europe de l’U.E. depuis l’invasion russe de l’Ukraine. La ruine partielle ainsi provoquée prépare la ruine totale finale.

Dieu ne condamne pas la richesse, mais uniquement, la cupidité. Car le riche peut rester éventuellement généreux. L’homme cupide au contraire ne peut pas l’être car il n’est jamais rassasié dans son désir d’amasser toujours plus ses biens et son argent. Il se trouve que cette cupidité caractérise ceux que Dieu appelle les « marchands de la terre » dans Apo.18, car pour ces gens cupides, la foi n’a pas la moindre valeur. La juste colère de Dieu repose donc sur leurs têtes avec toutes les conséquences de ses malédictions. C’est ainsi que le camp de l’OTAN au complet, caractérisé par cette cupidité, a préparé, lui-même, son malheur. Pour obtenir de lucratifs et luxurieux profits, ils ont spéculé sur l’idée de délocaliser les usines de production en Chine populaire, là où une main d’œuvre corvéable et très peu payée pouvait produire à moindre coût. Ils ont ainsi, pendant environ trente ans, réalisé des profits énormes détruisant les équilibres financiers maintenus jusque-là. Mais, la Chine a aussi profité des connaissances techniques des Occidentaux et elle s’est énormément enrichie au fil du temps ; ceci au point d’apparaître en 2023 comme la plus redoutable puissance militaire de la terre.  Les USA et l’U.E. se sont reposés sur elle, lui abandonnant le quasi monopole de la fabrication mondiale des produits proposés sur le marché, mais aussi, des produits électroniques omniprésents dans les armements modernes. Souhaitant reconquérir l’île de Taïwan, de même que la Russie veut ramener l’Ukraine dans son camp, la Chine s’apprête à fournir à la Russie des drones extrêmement performants. Ce qui irrite fortement les USA. En refusant de condamner l’invasion russe de l’Ukraine, la Chine se positionne du côté du camp russe, aussi un conflit direct avec les USA, amis protecteurs de Taïwan, se dessine pour un proche avenir. L’OTAN coupable, principale cible de la colère de Dieu a donc construit en s’affaiblissant, par sa cupidité, le monstre Chinois qu’elle va devoir affronter. Ce deuxième champ de bataille va donc favoriser le camp russe également opposé et irrité envers l’OTAN à cause de son soutien donné à son adversaire, l’Ukraine. Pour ce camp de l’OTAN qui regroupe les USA et les nations belliqueuses de l’U.E., l’avancée dans le temps apporte, chaque jour qui passe, des aggravations de la situation qui prend de jour en jour un aspect de plus en plus cauchemardesque.

 

 

 

Le nouveau colonialisme

 

Avant de décrire le nouveau colonialisme il est utile de définir ce qu’était l’ancien colonialisme auquel l’Angleterre, la France et la Belgique ont pris part dans cet ordre décroissant. Alors que cet ancien colonialisme consistait à conquérir par la force armée de nouvelles terres étrangères pour les exploiter ainsi que leur population indigène, le nouveau colonialisme conquiert par la séduction des esprits humains pour les exploiter financièrement. L’ancien colonialisme fut lancé par l’Angleterre et ses conquêtes allèrent jusqu’aux Indes. La France s’étendit en Asie à la Corée, au Cambodge et au Vietnam et à l’Afrique du Nord et l’Afrique centrale. Mais après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, aucun pays n’a réussi à conserver ses colonies qui ont quasiment toutes retrouvé leur indépendance nationale. Le soulèvement des colonisés est inévitable dans le temps. C’est pourquoi, lorsque Dieu voulut donner la terre de Canaan à son peuple Israël, il extermina les géants qui habitaient le pays avec d’autres peuples, et de cette manière, Israël n’a pas eu à subir la colère et la haine des descendants des peuples exterminés. Il y eut toutefois, dans l’histoire du début d’Israël, selon 1 Samuel 15, une exception pour le roi Agag, quand le roi Saül l’épargna et désobéit à l’ordre de son Dieu YaHWéH ; et cette erreur porta des conséquences meurtrières et son rejet par Dieu. Ce thème de l’extermination fut rappelé par Dieu à l’humanité attentive, par la décision de l’Allemagne « nazie » d’engager sa « solution finale » dont le but espéré était bien de détruire et d’exterminer la race juive de la terre. De la part de Dieu, ce signal était un grand reproche adressé au peuple juif frappé de sa malédiction, depuis son rejet de Jésus-Christ. Par la « solution finale » qui les concernait, Dieu rappelait aux Juifs qu’il avait dû exterminer les géants de Canaan pour leur offrir une terre nationale, et précisément, cette tentative de les éradiquer va favoriser leur retour sur la terre de leurs ancêtres, en 1947-48. La Palestine arabe redevint l’Israël des Juifs, mais un Israël porteur de toute sa malédiction divine. La richesse accumulée a permis néanmoins aux pays des anciens colons de rester puissants et dominateurs des autres nations terrestres. Des accords ont été passés avec les anciens pays colonisés restés financièrement très dépendants des pays des anciens colons, mais le temps de la colonisation forcée était révolu, définitivement espérait-on, à cause de l’acceptation de la nouvelle situation mondialement établie. Dans l’ancien système, les pays colonisateurs ne s’intéressaient pas aux esprits des gens colonisés parce que déjà, dans les pays riches, la valeur morale était étouffée par la valeur monétaire des choses et des êtres humains eux-mêmes. C’est ici qu’il faut se souvenir des mises en garde adressées par le Seigneur Jésus qui disait dans Luc 6 :24 :« Mais, malheur à vous, riches, car vous avez votre consolation ! » ; ceci étant conforme à 1 Thes.6:10 où Paul dit : « Car l'amour de l'argent est une racine de tous les maux ; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments.». Et notre Dieu sait de quoi il parle, car il a connu d’avance et constaté au fil du temps, par le fruit porté par les êtres humains, la justification de son jugement. Note bien que « l’argent » n’y est pour rien, car seul « l’amour de l’argent » est reproché par Dieu à ses créatures humaines. « L’argent » est une valeur d’échange utile pour le commerce, mais « l’amour de l’argent » pousse l’homme à exploiter son argent pour faire de l’argent. Aux origines du commerce, les peuples faisaient du « troc », ils échangeaient des marchandises. Et déjà les colons américains échangeaient des choses futiles contre des choses utiles et de grande valeur avec les peuples amérindiens ; exemple : des miroirs, des peignes, des couteaux contre des peaux de castors. L’Amérique présentait déjà dès le début de sa colonisation par les européens, son caractère de terre « amère » que son nom prophétise. En croissant avec le temps, elle va porter au sommet du possible, l’esprit du « capitalisme » qu’elle a hérité de l’Angleterre conquérante d’où sont venus ses premiers pionniers. Le verbe « capitaliser » définit bien l’aspect dormant spéculatif de l’argent. Et le spéculateur ne se rassasie pas, il en veut toujours plus et n’a même plus besoin de travailler, parce que son argent travaille pour lui. C’est là, le côté pervers de l’utilisation de l’argent que Dieu condamne à juste titre. Car comme la loi des liquides, celle de l’argent coule au profit de celui qui en a le plus. C’est ce qui s’applique à la mer qui recueille toute l’eau venue du ciel sur les montagnes terrestres sous forme de pluies, de neiges ou de glaces. Suivant le parcours imposé par la configuration du sol, par les  rivières et les fleuves, elle revient dans les mers et les océans. L’ancienne norme de la colonisation n’étant plus admises par aucun pays, la nouvelle norme a pris, insidieusement, sa place.

La violence est maintenant exclue, et deux idéologies diamétralement opposées se font face : le capitalisme américain à l’Ouest, et depuis 1917, le communisme antireligieux de la Russie soviétique. Pour éviter un affrontement direct meurtrier, les deux camps opposés sont restés séparés par une frontière qui constituait « le rideau de fer » virtuel. A mi-chemin entre les deux camps, se tient l’Europe convoitée par les deux camps. Un jeu de séduction s’engage alors et l’Europe se partage entre les deux idéologies. Le général de Gaulle résiste à l’influence purement américaine et la France gouverne entre les deux camps. De l’Ouest elle adopte la libre activité pour ses entrepreneurs et ses artisans et de l’Est elle adopte les droits sociaux pour ses travailleurs. Mais, le droit social a un coût qui renchérit le prix des productions françaises qui s’exportent peu et surtout, principalement, vers les anciens pays colonisés. Dans cette Europe occidentale, le cas de l’Allemagne est très différent, car elle s’est développée, depuis 1945 sous la tutelle et la présence des armées américaines et représente son modèle purement «capitaliste ». Le général de Gaulle souhaite une réunion des pays européens pour protéger l’Europe des convoitises des deux camps extrêmes. Mais après son départ, son successeur Georges Pompidou, financier de la banque Rothschild, va accepter des compromis et favoriser le capitalisme allemand. Dans la corbeille des noces, la France va devoir progressivement renoncer à ses entreprises nationalisées, EDF, GDF, Total, La Poste, sa banque du CNEP, sa SNCF, et par la suite, ses usines textiles et ses fonderies de l’Est. Le capitalisme ne peut pas concurrencer le faible coût des entreprises nationalisées ; elles devaient donc être privatisées et démantelées. Relève déjà dans ces faits, les signes de la malédiction divine qui pesaient sur la France. En fait, la stratégie de la séduction est parfaitement appliquée, car le capitalisme hideux devait séduire la France libre et sociale pour la convertir à ses idées et ses principes. Et la chose a fonctionné sans aucun coup de canon ou de bombardement, à cause de la cupidité des dirigeants politiques et des entrepreneurs français. Il n’y eut aucune pression sur les décisionnaires, hormis des « pots de vin » dans quelques cas individuels, mais la corruption est présente dans la nature humaine et dans les deux camps opposés, Ouest et Est. Cette séduction s’est présentée dans les années 60. Pour bien comprendre, il faut savoir comment fonctionne le système capitaliste américain dans lequel le « social » est réduit à rien ou presque. Les travailleurs sont rémunérés et pour obtenir une retraite, ils doivent cotiser et verser, depuis leur salaire, de l’argent dans des sociétés financières chargées de faire fructifier leurs avoirs, pour leur verser une retraite quand l’âge le nécessitera. Ces sociétés sont appelées des « fonds de pensions » et pour faire croître les fonds d’argent déposés, elles doivent prêter des sommes à des emprunteurs étrangers ou nationaux. Ces prêts sont des prêts à court terme et à taux très élevés qu’il convient de nommer «usuriers » dans notre culture européenne, parce qu’ils peuvent atteindre 16 %, voire davantage, car l’offre reste sans aucun contrôle de l’Etat. Dans les années 60, ces financiers des « fonds de pension » américains ont présenté leurs offres aux entrepreneurs français, argumentant qu’en peu de temps, leurs emprunts leur permettraient de développer leurs entreprises au niveau des échanges mondiaux. Beaucoup de ces entrepreneurs se sont laissés séduire, mais le remboursement des intérêts du prêt obtenu avalait à lui seul, une énorme quantité des profits réalisés par l’entreprise. Conduites à la faillite, les entreprises étaient revendues par les fonds de pension devenus les nouveaux propriétaires, au plus offrant des concurrents, sur le marché mondial. C’est ainsi que la France s’est laissée dépossédée de ses principaux avantages dont ses entreprises nationalisées. Car la privatisation de celles-ci se solde par une élévation des prix de revient où une réduction des avantages sociaux. Parfois, l’équilibre semble avoir été préservé, mais la qualité du travail est affectée car les travailleurs sont « pressés comme des citrons » pour devenir encore plus rentables. Bref, la course à l’enrichissement de certains a fait le malheur de la majorité des travailleurs et travailleuses et de la nation France entière. Car la privatisation a favorisé l’entrée des actionnaires investisseurs dans le circuit productif. La chose s’est généralisée et les profits réalisés par les entreprises sont maintenant engloutis par les actionnaires étrangers en majorité. Les entreprises françaises travaillent donc pour enrichir des nations étrangères. Il n’est pas étonnant que ces choix politiques et économiques aient eu, pour la France, la conséquence de passer de son rang de 4ème puissance mondiale au 15ème rang des nations européenne. Le coup de frein marqué par le Général de Gaulle n’a eu un effet que momentané, et finalement, l’Amérique a repris toute son influence sur la France, ses dirigeants politiques et ses entreprises sans la moindre brutalité. Par l’initiative du président Sarkosy, elle a réintégré l’alliance de l’OTAN comme un petit soldat obéissant, discipliné, obéit à son chef américain. Pour parachever son œuvre de séduction, l’Amérique a sorti son arme séductrice absolue : Internet. Présentée sous son aspect pacifique, la mondialisation du commerce et des relations humaines lui a obtenu le fruit qu’elle désirait le plus : conquérir, en les séduisant, les esprits des êtres humains de la planète entière. C’est chose faite, puisqu’en mettant internet à leur disposition, elle prend dans ses tentacules les esprits humains qu’elle rend accros au rendez-vous virtuel du téléphone numérique ou du PC. Les réseaux sociaux maintiennent dans leurs voies, les drogués du virtuel, mieux que les rails maintiennent les wagons. La situation est des plus graves au sujet des conséquences portées par les victimes. Les esprits humains sont ainsi, en masses, sur toute la terre, déconnectés des réalités terrestres. Nous assistons à un détournement d’esprit quasi universel que personne n’aurait imaginé possible. Car, par le moyen d’Internet et des réseaux sociaux, un seul modèle de vie fait envie sur toute la terre, le modèle de la liberté des mœurs de la société américaine. Et elle capture des âmes partout, y compris dans le camp de son adversaire extrême : la Russie, qui voit 1 million de ses jeunes habitants quitter ses terres pour gagner l’étranger où les valeurs occidentales dominent. Elle ne contraint personne, en apparence, se contentant de séduire et de gagner les âmes de la même manière que le diable séduisit Eve en la séduisant à travers les paroles du serpent. Au temps des persécutions mortelles directes, Rome faisait moins de victimes que la séduction en fait aujourd’hui.

La sagesse préconise de savoir manger pour vivre et de ne pas vivre pour manger. Ce principe s’appliquait autrefois au besoin de consommer. Et pour satisfaire à ce besoin, l’être humain se rendait dans des boutiques, des magasins fournisseurs de différents produits. Aujourd’hui, pour mieux pousser l’être humain à consommer, c’est le magasin qui vient à lui sur internet, et là, les vendeurs le sollicitent en lui inventant de faux besoins, incitant le client à acheter le futile et l’inutile. On fait croire au client qu’il est un ami dont on souhaite le bien, mais en réalité, dans cette relation virtuelle, le client n’est qu’un chiffre, un numéro que l’on presse pour le vider de son argent. Les relations ainsi établies sont toutes fausses et virtuelles et les plus pervers des humains exploitent la situation et en jouent. Dans mes « e-mail » je relève un nombre impressionnant de messages lancés par des escrocs au sujet de colis non livrés. La tromperie et le mensonge ont pris possession des réseaux Internet. Ce réseau que certains nomment « la toile » agit telle une toile d’araignée qui piège ses proies pour les déguster et se nourrir. Et c’est sûr que cette toile nourrit bien ceux qui l’ont tendue et l’exploitent. Ils deviennent plus riches à eux seuls que certaines nations de la terre. Et là, je vais prendre une autre image, celle de l’apiculteur. Lorsqu’il veut récolter leur miel, il vaporise de la fumée pour endormir les abeilles afin qu’elles ne se révoltent pas contre lui et ne le piquent pas. En notre temps, Internet est cette fumée qui endort les âmes, ce qui permet à Satan de récolter, leur condamnation divine éternelle. Et au moment même où le sort mortel de milliards de créatures humaines se décide, je les vois presque toutes tomber dans le piège de ce faux ami virtuel que constitue le réseau social. La forme de cette séduction ne pouvait pas être comprise avant qu’elle ne prenne sa forme dans la réalité, mais Jésus a multiplié ses avertissements et ses mises en garde contre ce type de séduction technologique des temps de la fin. Car la séduction est double. Elle opère au sens littéral avec « internet », mais aussi au sens spirituel, parce que la première fait dévaloriser la seconde. Celui ou celle dont l’esprit se préoccupe de choses futiles et inutiles ne peut pas donner de l’importance au problème de son salut éternel. Pour ce genre de personne le mot éternité n’a aucun sens, elle est née en sachant qu’elle mourra comme tous ceux qu’elle a déjà vu mourir avant elle. La mort est considérée comme la chose la plus naturelle et seuls les élus et quelques faux élus savent ce que fut son origine : le péché, de plus, diversement interprété.

La « séduction » technologique actuelle est prophétisée par Dieu dans Apo.13:13-14 : « Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait. » Mais aussi dans Matt.24:24 : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus. » Les armes de la séduction de notre temps sont donc autant techniques que spirituelles. Et l’explication de ce dernier verset de Matthieu est la suivante : il est impossible de séduire les élus parce que les vrais élus sont éclairés par l’Esprit de Jésus-Christ qui leur montre tous les pièges dangereux que le diable installe en leur époque du temps de la fin.

Alors que le monde de Satan quitte la réalité pour se perdre dans la vie virtuelle due à la technologie, pour leur part, les élus de Jésus-Christ discernent la venue de la vraie vie cachée en Dieu qui va détruire toute forme de vie pour subsister éternellement. Les uns se construisent un paradis artificiel, les autres attendent leur entrée dans le vrai paradis de Dieu soit, son royaume céleste éternel. Les deux choix répondent à une séduction. Les déchus se laissent séduire par la jouissance de la liberté liberticide, dès cette terre. Les élus, eux, ont été naturellement séduits par la bonté du Dieu juste et bon. C’est aussi une séduction, mais elle est légitime et justifiée. Car Satan séduit pour perdre, et Dieu séduit pour sauver, là est toute la différence des deux séductions qui se présentent à nous, les êtres humains. Les séductions techniques vont aveugler les humains qui doivent mourir en masses dans le contexte de la « sixième trompette ». Mais après ce terrible génocide, va venir l’heure du dernier test de la foi chrétienne. Et dans ce contexte, la connaissance spirituelle de Dieu en Jésus-Christ va caractériser les derniers vrais élus que Dieu aura, jusque là, maintenus en vie.

Il me faut maintenant aborder l’autre séduction qui concerne celle du modèle communiste adopté par la Russie entre 1917 et 1990. Car, ce modèle a aussi ses adeptes et ses ardents défenseurs. Et sur la terre, ils sont assez nombreux puisque la Chine seule compte 1,4 milliards d’habitants auquel il faut ajouter la Corée du Nord. Selon moi, ce modèle serait l’idéal à condition qu’il soit dirigé par Jésus-Christ. Or, précisément, le modèle russe était antireligieux comme le fut la France à l’heure de sa Révolution. Cet athéisme russe a duré beaucoup plus longtemps, puisque seule la ruine nationale a eu raison de lui à partir de 1990. Je l’ai sans doute déjà dit mais ce modèle « communiste » qui repose sur la mise en commun a caractérisé l’Elue du Christ à l’époque de sa naissance. Composée d’êtres réellement convertis à cause des persécutions juives de l’heure, cette mise en commun témoignait d’un réel détachement des valeurs terrestres. Nous lisons en effet, dans Actes 4:32 : « La multitude de ceux qui avaient cru n'était qu'un cœur et qu'une âme. Nul ne disait que ses biens lui appartinssent en propre, mais tout était commun entre eux. » Il est bon de relever que ce fruit de la foi a caractérisé l’Elue, juste après la Pentecôte où elle a reçu en puissance le Saint-Esprit de Dieu qui nous présente, de cette manière, un idéal spirituel qui contraste au plus haut point avec les idéaux mondains. La vie céleste éternelle et celle qui se prolongera sur la nouvelle terre sera conforme à cet esprit uni et cette mise en commun dans un parfait partage fraternel.

Il ne manquait à la Russie communiste que la foi et l’obéissance en Jésus-Christ. Mais depuis 1990, ce modèle de communisme athée a pris fin, et la foi orthodoxe a regagné les esprits de ce peuple resté longtemps isolé derrière le « rideau de fer ». Il regarde encore avec nostalgie le passé où la mise en commun soulevait l’enthousiasme de tous, une joie marquée par les chants et les danses dans tous les « kolkhozes » du pays. Gardant un très mauvais souvenir de la situation créée en 1990, le peuple étant livré à la loi des gangsters et des mafias, le modèle « capitaliste libertaire » est craint et redouté. La foi et l’ordre ont été rétablis par l’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine. Et le peuple se montre en majorité docile et respectueux envers son chef qui a redressé une terrible situation. Un grand changement s’est produit dans les esprits des Russes car la religion est revenue en force, étant maintenant soutenue par le président russe lui-même et je vais ici citer ses paroles de son derniers discours du 23 Février. Après avoir dénoncé l’OTAN et le caractère dégénéré et décadent immoral des nations occidentales envers leurs enfants, il dit sur un ton indigné et attristé : « Je voudrais bien leur dire, tournez-vous vers la Bible,  vous y trouverez toutes les réponses ». Je crois que l’homme est sincère, car il change en prenant de l’âge. Il apporte son soutien officiel au pope Kirill soit, Cyrille, qui siège à Moscou. C’est un ancien ami du président qui a comme lui un passé ténébreux, ils ont tous deux vieilli et regardent la religion d’une autre manière, cette fois, très favorable. La conversion concerne tous les hommes quel que soit leur passé. La bénédiction divine, c’est autre chose, car elle dépend d’une remise en cause du repos du « jour du soleil », ce qui n’existe pas dans la Russie, pas plus qu’en Occident. Mais quel que soit le niveau de spiritualité de ce chef russe, le fait même de citer la Bible l’élève au-dessus du camp occidental de l’OTAN, qui ne sait que réfuter les justes accusations formulées contre lui. Tu peux ainsi comprendre que Dieu parle par Vladimir Poutine pour dénoncer les péchés du camp occidental que sa colère tient pour cible principale. Et ce texte d’Ezéchiel 38 prend tout son sens dans notre actualité, car Dieu prophétise sur Vladimir Poutine chef du camp russe, en disant aux versets 7 à 11 : « Prépare-toi, tiens-toi prêt, toi, et toute ta multitude assemblée autour de toi ! Sois leur chef! Après bien des jours, tu seras à leur tête ; dans la suite des années, tu marcheras contre le pays dont les habitants, échappés à l'épée, auront été rassemblés d'entre plusieurs peuples sur les montagnes d'Israël longtemps désertes ; retirés du milieu des peuples, ils seront tous en sécurité dans leurs demeures. Tu monteras, tu t'avanceras comme une tempête, tu seras comme une nuée qui va couvrir le pays, toi et toutes tes troupes, et les nombreux peuples avec toi. »  Note que Dieu évoque le moment où la Russie va combattre contre le pays Israël qui est la deuxième cible citée dans Dan.11:41 : « Il entrera dans le plus beau des pays, et plusieurs succomberont ; mais Édom, Moab, et les principaux des enfants d'Ammon seront délivrés de sa main. » La première cible est le camp catholique et protestant occidental désigné par le pronom « lui » dans le verset 40 qui précède : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires ; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. » Cette subtilité très cachée m’a été révélée par l’Esprit du grand Dieu créateur au nom de Jésus-Christ. Le « roi du midi » musulman est déjà aux côtés du « roi du septentrion » russe par l’engagement des armées Tchétchènes du chef Kadyrov dans la guerre conduite contre l’Ukraine. A l’heure du grand affrontement les « Lybiens et les Ethiopiens seront à sa suite » comme le prophétise le verset 43 : « Il se rendra maître des trésors d'or et d'argent, et de toutes les choses précieuses de l'Égypte ; les Libyens et les Éthiopiens seront à sa suite. » « L’Egypte » n’a rejoint le camp occidental qu’en 1979 soit, une année avant mon engagement adventiste du septième jour par lequel j’ai répondu à l’appel de Dieu, pour éclairer les prophéties divines du « temps de la fin » dont celle-ci. Dans l’état désastreux des religions chrétiennes, la religion orthodoxe prend une apparence « lumineuse » bien qu’elle soit marquée par la malédiction du repos du premier jour. Dans la « sixième trompette », Dieu met en confrontations des armées représentant toutes les religions monothéistes qui se revendiquent indignement de lui. L’annonce de la destruction du peuple russe en premier, n’en fait pas la cible principale de la colère divine car tout au contraire, ses cibles principales catholiques et protestantes rebelles doivent subsister jusqu’à la fin pour organiser la dernière épreuve de foi au cours de laquelle elles seront frappées par les « sept derniers fléaux de sa colère », selon Apo.16. La fidélité au vrai sabbat « sanctifié » fera alors toute la différence entre ceux que Dieu va sauver et ceux qu’il va détruire.

 

 

Les apparences de Dieu

 

Pour l’humanité du péché, Dieu n’apparaît plus que comme une voix qui parle à l’esprit de son serviteur. Il va cependant faire une exception en apparaissant sous forme humaine à Abraham, son fidèle ami, lorsqu’il vient le prévenir, accompagné de deux anges, de sa décision de détruire les deux villes Sodome et Gomorrhe. Et déjà, dans cette démarche, Dieu applique ce verset d’Amos 3:7 : « Car le Seigneur, YaHWéH, ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes. » Ensuite, pour Moïse, Dieu prend l’aspect d’un buisson ardent qui brûle mais ne se consume pas, selon Exode 3:2 : « L'ange de YaHWéH lui apparut dans une flamme de feu, au milieu d'un buisson. Moïse regarda ; et voici, le buisson était tout en feu, et le buisson ne se consumait point. » Dans la vie terrestre normale, un buisson enflammé brûle et se consume rapidement, aussi, en prenant cette image, Dieu dit à Moïse : « Je suis l’indestructible ». Car le feu est le symbole et le principe de la destruction. Pour Moïse, élevé dans la culture égyptienne païenne, Dieu fait un miracle pour se révéler à lui. Et il le fait en connaissant sa nature et son futur fidèle service. En son temps, Dieu va faire la même chose pour convaincre Paul de le servir avec le même fidèle et glorieux résultat. L’expression « l’ange de YaHWéH » désigne YaHWéH sous un aspect angélique. Car l’Esprit du Dieu créateur peut prendre tous les aspects qu’il veut et s’adapte aux caractéristiques de ses créatures : ange avec les anges, et homme avec les hommes comme il va le faire en Jésus-Christ.

Moïse va vivre dans la présence de Dieu dans la tente d’assignation du tabernacle, image du futur temple, lequel sera symbolique du « corps » du Christ, qui est lui-même représenté par son « Eglise », son « Elue », son « Epouse », selon Eph.5:23 : « car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. » Je rappelle que Dieu inspire à Paul les rapports hommes-femmes conformes à son idéal de perfection. Hélas, ce modèle est sur terre plus rare que l’or fin.

En Jésus-Christ, Dieu cesse de n’être qu’une voix qui parle aux esprits humains étant, lui-même, l’Esprit du Dieu créateur. En prenant une forme humaine, il peut côtoyer ses créatures sans les effrayer. De plus, il expérimente personnellement la condition de l’existence humaine. Et pour obtenir ce résultat, il s’incarne dans un corps identique au notre en ce qui concerne ses limitations physiques. Dans le sens noble du terme, Dieu peut ainsi « espionner » l’humanité en se mélangeant à elle. Et il découvre comment est ressentie la méchanceté bien réelle que certains lui témoignent, comme ils le font envers tous les êtres faibles et vulnérables, comme sa propre condition terrestre momentanée le lui impose. Devant tant d’injustice, nous pouvons imaginer combien le désir de punir les coupables devaient le tenter, mais le but de son ministère terrestre, qui était de sauver du péché ses élus, le contraignait à la passivité, car Jésus a déclaré dans Jean 12:47 à 49 : « Si quelqu'un entend mes paroles et ne les garde point, ce n'est pas moi qui le juge ; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au dernier jour. Car je n'ai point parlé de moi-même ; mais le Père, qui m'a envoyé, m'a prescrit lui-même ce que je dois dire et annoncer. » Jésus est réellement venu pour « sauver le monde » mais sous condition que « le monde » fasse preuve de foi réelle ; ce qui est loin d’être le cas. Cette expression doit être comprise comme une offre, une proposition, présentée aux humains dispersés sur la terre entière. Mais pour bénéficier de sa grâce, c’est individuellement que la possibilité est obtenue, quand Jésus juge les prétendants dignes de bénéficier de son sacrifice volontaire.

Dieu a donc choisi de révéler sa personnalité en s’incarnant sous l’aspect de l’homme appelé Jésus-Christ. Cette révélation repose sur les témoignages écrits par quatre personnes dont deux témoins oculaires seulement : Matthieu et Jean. Les deux autres, Marc et Luc, ont recueilli des témoignages parmi des témoins oculaires des événements accomplis, comme le font aujourd’hui les journalistes pour nos actualités nationales et mondiales. Le problème du témoignage écrit est qu’il lui manque le ressenti des sentiments exprimés par Jésus pendant tout son ministère. Seuls les témoins oculaires ont discerné, observé, et entendu le ton sur lequel Jésus parlait. C’est pourquoi, face à ces témoignages, nous apportons individuellement notre propre interprétation, notre propre imagination sur sa façon de s’exprimer. Et la lecture de ces témoignages va donc être ressentie différemment par chacun de nous, en fonction de notre propre nature individuelle et strictement personnelle. Une même déclaration faite par Jésus va donc être ressentie de manière très différente d’un individu à un autre. C’est ce qui explique que chacun se fait sa propre image de la personnalité de Jésus-Christ. Cependant, Jésus n’avait qu’une seule personnalité réelle et je vais ici essayer de la décrire.

Rejetons déjà, l’image du copain que le faux christianisme moderne des églises évangéliques libres lui attribue. Car le témoignage des apôtres l’atteste, Jésus leur inspirait du respect et de « la crainte » selon Luc 9:45 : « Mais les disciples ne comprenaient pas cette parole ; elle était voilée pour eux, afin qu'ils n'en eussent pas le sens ; et ils craignaient de l'interroger à ce sujet. » Il faut les comprendre, Jésus les a engagés à le suivre et l’accompagner pendant son ministère terrestre. Ils ont vu en lui, un homme marqué par un comportement très mystérieux qui parle de Dieu, fait des miracles auxquels ils assistent et à juste titre ils lui donnent le titre de « Maître ». Celui qui lit les témoignages des Evangiles et ne se place pas dans le même état d’esprit que ses apôtres ne peut pas tirer profit de sa lecture biblique. Le résultat sera superficiel et l’engagement de foi, vain. La  vérité divine ressortait par l’autorité donnée à ses propos selon Matt.7:28-29 : « Après que Jésus eut achevé ces discours, la foule fut frappée de sa doctrine ; car il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme leurs scribes. » Cette autorité qui ressortait dans l’expression de ses paroles était la conséquence de la certitude de la vérité. Et ce texte rappelle utilement que la lecture formaliste des scribes juifs n’exprimait pas cette autorité trouvé chez Jésus. Et pour avoir aussi expérimenté cette présentation de la vérité ressentie en certitude, je sais que ceux qui entendent cette autorité l’interprètent comme de l’orgueil quand ils ne sont pas eux-mêmes des fils ou filles de Dieu. A l’opposé, les vrais fils et filles de Dieu, discernent dans cette autorité, l’approbation divine du messager qu’il utilise pour prolonger son œuvre engagée par Jésus-Christ. Cette autorité caractérisera jusqu’à la fin du monde ses véritables messagers humains car elle constitue un fruit de leur identification. S’exprimer avec autorité révèle l’absence totale du doute. Et ce résultat est logiquement obtenu par celui que l’Esprit de Dieu éclaire, enseigne, en appuyant toutes ses explications sur les saints écrits de la Bible entière.

Il apparaît ainsi clairement que le salut est bien strictement individuel puisqu’il dépend uniquement d’une approbation divine. On ne s’étonnera donc pas que les mêmes témoignages bibliques puissent être interprétés différemment par les hommes selon qu’ils entrent en communion avec Dieu ou pas. Or, cette communion dépend de l’attitude de l’esprit du pécheur humain qui s’approche de Dieu. Et Jésus a donné une magnifique image de cette vérité dans Luc 18:10 à 14 : « Deux hommes montèrent au temple pour prier ; l'un était pharisien, et l'autre publicain. Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même : O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ou même comme ce publicain ; je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. Le publicain, se tenant à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l'autre. Car quiconque s'élève sera abaissé, et celui qui s'abaisse sera élevé. » Ce qui différencie le jugement de Jésus sur ces deux hommes, c’est uniquement leur état d’esprit ; pas leur richesse, ni leur titre. C’est un fait, l’orgueil de ce pharisien existe dans les âmes des riches comme dans celles des pauvres et partout où il se présente, l’orgueil ferme la voie du salut. C’est pourquoi, contestant l’importance des diplômes obtenus par les hommes, Dieu préfère le service de gens simples qu’il instruit lui-même. La simplicité naturelle, non artificielle, est la norme de la nature à laquelle Dieu ouvre la vie céleste parce qu’elle lui est parfaitement adaptée. Et les gens sélectionnés par Dieu font preuve d’un esprit logique qui accompagne la vraie simplicité. C’est cet esprit logique qui conduit l’élu à reconnaître la légitimité des déclarations divines écrites dans toute la Bible, notamment au sujet des règles alimentaires que Dieu a prescrites pour préserver la santé de ceux qui lui font confiance. Après tout, ceux qui ne lui témoignent pas une confiance absolue ne lui appartiennent pas, aussi peuvent-ils manger n’importe quoi, peu lui importe car ils ne font du mal qu’à eux-mêmes. Par contre, ils font aussi du mal à ceux qu’ils contraignent à suivre leur exemple, et là leur culpabilité envers Dieu s’intensifie. Jésus a menacé ceux qui scandalisent les plus « petits » de ses enfants dans Matt.18:6-7 : « Mais, si quelqu'un scandalisait un de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu'on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu'on le jetât au fond de la mer. Malheur au monde à cause des scandales ! Car il est nécessaire qu'il arrive des scandales ; mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive ! » Cette malédiction prononcée par Jésus va s’appliquer pour la même raison dans Apo.18:21 à la ville de Rome et son église catholique romaine papale : « Alors un ange puissant prit une pierre semblable à une grande meule, et il la jeta dans la mer, en disant : Ainsi sera précipitée avec violence Babylone, la grande ville, et elle ne sera plus trouvée. »

Prophétisant la fausse lecture de la sainte Bible, Jésus a déclaré dans Matt.6:23 : « mais si ton œil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes ces ténèbres ! » Si le fruit de la lecture de la Bible est jugé « ténèbres » par Dieu, il devient impossible pour ce lecteur d’échapper à sa situation ténébreuse et le salut est pour lui devenu inaccessible. Car le plan du salut, préparé par Dieu et révélé dans la Bible, repose sur un enchaînement de phases de constructions successives avec un glorieux final construit sur le ministère salvateur de Jésus-Christ. Mais sous-estimer, les phases préparatoires est une énorme erreur d’appréciation. Si les pratiques rituelles cessent par la mort de Jésus-Christ c’est logique et même prophétisé dans Dan.9:27 : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; » Mais en quoi et pourquoi tout le reste des jugements divins devrait être ignoré par les Chrétiens sauvés par le sang de Jésus-Christ ? N’ont-ils pas à ce titre le devoir de montrer encore plus de zèle pour témoigner par leur obéissance de leur reconnaissance envers Dieu et de leur attachement à tout ce qu’il tient pour précieux et digne de ses valeurs ? C’est à ce niveau de la différence d’appréciation que les élus se démarquent des appelés destinés à la déchéance et la mort éternelle. Parce que contrairement à celui qui ignore l’existence de la Bible, celui qui la lit, et se revendique de Dieu, implique Dieu et sa norme par son action ; ce qui a conduit Dieu à dire dans Rom.2:24 : « Car le nom de Dieu est à cause de vous blasphémé parmi les païens, comme cela est écrit. » Il est vrai que Paul imputait ce comportement aux Juifs incrédules de son époque. Mais à son tour, la fausse foi chrétienne agit de même, et ce jugement divin inspiré à Paul s’applique à elle, après les Juifs ; même faute, même condamnation divine. En règle générale, les enseignements de Dieu donnés au fil du temps s’ajoutent les uns aux autres et ne se retranchent pas. Car dans les textes de l’ancienne alliance, Dieu a révélé des normes de son jugement intangibles et perpétuelles si non applicables de manière éternelle. Ces normes prescrites décrivaient l’image de l’homme parfait selon le cœur de Dieu et cette image parfaite nous a été présentée en la personne divine et humaine de Jésus-Christ, incarnation du Dieu céleste parfait en toute chose.

Nous retrouvons en Dieu d’énormes paradoxes étonnants, mais très logiques, puisqu’il est source de toute chose. L’expérience vécue par le prophète Elie est très révélatrice de ces paradoxes selon 1 Rois 19:11 à 13 : «  YaHWéH dit: Sors, et tiens-toi dans la montagne devant YaHWéH ! Et voici, YaHWéH passa. Et devant YaHWéH, il y eut un vent fort et violent qui déchirait les montagnes et brisait les rochers : YaHWéH n'était pas dans le vent. Et après le vent, ce fut un tremblement de terre : YaHWéH n'était pas dans le tremblement de terre. Et après le tremblement de terre, un feu : YaHWéH n'était pas dans le feu. Et après le feu, un murmure doux et léger. Quand Élie l'entendit, il s'enveloppa le visage de son manteau, il sortit et se tint à l'entrée de la caverne. Et voici, une voix lui fit entendre ces paroles : Que fais-tu ici, Élie ? » Ce récit révèle vraiment la vraie personnalité de Dieu, redoutable par les puissances naturelles qu’il peut mettre en action, et tendre et aimant comme un homme amoureux d’une femme, envers le serviteur fidèle. Et l’actualité démontre en Turquie et en Syrie un exemple de cette puissance divine destructrice meurtrière.

Ce « murmure doux et léger » a pris, pour nous, la forme de Jésus-Christ venu sur la terre pour révéler l’immense amour divin que sa puissance redoutable pouvait partiellement masquer. Mais cet amour étant conditionnel, seuls ses vrais élus peuvent l’apprécier à sa juste valeur, à présent sur la terre, et à partir du printemps 2030, dans l’éternité céleste.

Dans sa stratégie, pour se révéler à ses créatures, Dieu a choisi de se présenter, en premier, sous son aspect de feu dévorant. Ce choix lui a permis de démontrer sa capacité à punir de mort, les créatures indignes de son salut soit, les rebelles et les indifférents avec lesquels il ne peut avoir de relation. Cette leçon étant donnée, il est venu ensuite pour témoigner de son amour, de sa compassion et de son abnégation exemplaire incomparable, en faveur de ses élus. Les deux leçons étant données, les êtres humains sont informés et sont devenus entièrement responsables de leur destin individuel. Le Dieu qui punit et celui qui sauve sont une seule et même personne qui agit logiquement en adaptant son comportement au sujet qu’il juge ; le disciple obéissant mérite son amour éternel, mais celui qui prend plaisir à la désobéissance mérite la mort éternelle, en toute parfaite justice.

Dans Apo.11:3, Dieu attribue à la sainte Bible entière le rôle de ses « deux témoins » ; ce qui désigne ses révélations de l’ancienne et de la nouvelle alliance. Il confirme ainsi que la foi chrétienne repose sur ces deux éléments et phases successives de sa révélation biblique. Une autre preuve de cette exigence de conformité à la Bible entière repose sur sa définition des derniers « saints » dans Apo.12:17 : « Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s'en alla faire la guerre au restes de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui retiennent le témoignage de Jésus. » ; des critères de sainteté que confirme Apo.14:12 : « C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus. » Il se trouve que la présentation des « commandements de Dieu » est faite dans Exode 20, un livre de l’ancienne alliance qui apparaît ainsi indispensable et incontournable, même pour un Chrétien. Dans Apo.12:17 l’expression « qui retiennent le témoignage de Jésus », selon la traduction de la Bible Scofield, est très judicieuse, quand on sait que l’adventisme officiel a été « vomi » en 1994, par Jésus-Christ. La mise en garde du message dédié à « Philadelphie » a donc été vaine, car la leçon n’a pas été, ni interprétée, ni entendue, dans l’époque finale de « Laodicée » : Apo.3:11 : « Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. » ; Apo.3:16 : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. »

Le salut obtenu dépend de notre nature et de toute notre personnalité qui est inscrite dans notre ADN, notre chaîne génétique. Chacun de nous est un être unique et ce principe s’est perpétué depuis nos premiers parents Adam et Eve. Nous sommes individuellement le produit obtenu par le mélange des ADN de notre père et notre mère, dans des proportions illimitées qui font de nous ces êtres uniques. Et cette découverte de l’existence de cet ADN peut nous permettre de comprendre pourquoi Dieu prend la décision d’exterminer les peuples des Amoréens conformément à l’annonce faite à Abraham dans Gen.15:16 : « A la quatrième génération, ils reviendront ici ; car l'iniquité des Amoréens n'est pas encore à son comble. » L’accomplissement est confirmé par Dieu qui dit à Moïse, dans Exo.3:8: « Je suis descendu pour le délivrer de la main des Égyptiens, et pour le faire monter de ce pays dans un bon et vaste pays, dans un pays où coulent le lait et le miel, dans les lieux qu'habitent les Cananéens, les Héthiens, les Amoréens, les Phéréziens, les Héviens et les Jébusiens. »

Dieu n’ordonne pas d’exterminer des hommes, des femmes, des vieillards et des enfants sans raison de le faire, car il traita de même Israël son propre peuple de la descendance et la race d’Abraham selon Ezé.9:5 à 7 : « Et, à mes oreilles, il dit aux autres : Passez après lui dans la ville, et frappez ; que votre œil soit sans pitié, et n'ayez point de miséricorde ! Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes ; mais n'approchez pas de quiconque aura sur lui la marque ; et commencez par mon sanctuaire ! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. Il leur dit : Souillez la maison, et remplissez de morts les parvis !... Sortez !... Ils sortirent, et ils frappèrent dans la ville. » Et Dieu justifie ensuite dans les versets 8 à 11 sa décision et son action : « Comme ils frappaient, et que je restais encore, je tombai sur ma face, et je m'écriai : Ah ! Seigneur YaHWéH, détruiras-tu tout ce qui reste d'Israël, en répandant ta fureur sur Jérusalem ? Il me répondit : L'iniquité de la maison d'Israël et de Juda est grande, excessive ; le pays est rempli de meurtres, la ville est pleine d'injustice, car ils disent : YaHWéH a abandonné le pays, YaHWéH ne voit rien. Moi aussi, je serai sans pitié, et je n'aurai point de miséricorde ; je ferai retomber leurs œuvres sur leur tête. Et voici, l'homme vêtu de lin, et portant une écritoire à la ceinture, rendit cette réponse : J'ai fait ce que tu m'as ordonné. » Ainsi, après celle des Amoréens, l’iniquité des Israélites était, elle aussi, arrivée « à son comble ». Ce qui signifie que l’héritage génétique était définitivement perdu et irrémédiable pour tous ceux que Dieu fit tuer, jusqu’au nourrisson héritier de ce pourrissement moral et mental.

Il se trouve que le péché fut ainsi génétiquement transmis de génération en génération jusqu’à la nôtre depuis Adam et Eve. Tu peux ainsi comprendre que Jésus-Christ ne pouvait pas hériter la génétique de la terre ; sans quoi, il aurait été porteur du péché et donc inapte à sauver qui que ce soit. C’est pourquoi, Paul, le présente comme un nouvel Adam, ce qui implique qu’il était doté d’une génétique aussi parfaite que celle d’Adam avant le péché. En découvrant des résidus du sang de Jésus dans ses fouilles archéologiques du sous-sol du mont Golgotha, l’Adventiste Ron Wyatt, a fait attester par des scientifiques le fait que le sang de Jésus-Christ était d’un type unique, puisqu’il comportait un seul chromosome « Y » au lieu de 23 chez l’homme descendant d’Adam. Ceci confirme, l’inspiration de Paul, car Jésus a bel et bien vécu dans un corps génétiquement non souillé par le péché, au titre de nouvel Adam venu pour vaincre le péché par sa parfaite obéissance offerte en sacrifice mortel volontaire, pour répondre à l’exigence de la justice de la loi transgressée, selon Rom.6:23 : « Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur. »

C’est donc sa connaissance parfaite de notre état génétique qui conduit Dieu à sauver les uns et condamner à mourir les autres. Mais étant tous, héritiers du péché par Adam et Eve, les élus, eux-mêmes, peuvent se considérer comme « un tison arraché du feu », à l’exemple de Zacharie, dans Zac.3:2 : « YaHWéH dit à Satan : Que YaHWéH te réprime, Satan ! Que YaHWéH te réprime, lui qui a choisi Jérusalem ! N'est-ce pas là un tison arraché du feu ? » ; Mais aussi, de manière collective pour son peuple Israël, selon Amos 4:11 : « Je vous ai bouleversés, Comme Sodome et Gomorrhe, que Dieu détruisit ; et vous avez été comme un tison arraché de l'incendie. Malgré cela, vous n'êtes pas revenus à moi, dit YaHWéH... »

 

 

 

 

 

La France maudite et la France bénie

 

Le même pays est en même temps le pays le plus maudit et le plus béni du monde entier depuis le début de la nouvelle alliance.

En commençant par le plus évident, je dois souligner son rôle particulièrement maudit pour sa culpabilité qu’il porte jusqu’à notre époque. En effet, l’esprit rebelle est né en France, présent déjà dans celui des Gaulois qui habitaient cette terre. On les disait querelleurs et déjà ils éprouvaient, de manière aujourd’hui justifiée, « la peur que le ciel leur tombe sur la tête ». Cette peur ne faisait que prophétiser la juste colère du Dieu créateur qui lui a donné un rôle funeste et néfaste, ennemi de sa vérité et grand soutien du mensonge diabolique religieux ou agnostique. Je ne développerai pas ici, le soutien monarchique du régime papal catholique romain depuis son premier roi franc Clovis 1er. Ce début de la christianisation de la France n’était pas le pire et en partie seulement, nous pouvons lui être reconnaissants de s’être converti à la foi chrétienne dont la connaissance s’est transmise jusqu’à nous, qui bénéficions aujourd’hui de la lumière donnée directement par la sainte Bible.

Le pire apporté par la France a été son athéisme national instauré dans la « Terreur » entre 1793 et 1794. Dans Apo.11, Dieu souligne l’influence maléfique de cet athéisme français sur tous les autres peuples de la terre occidentale ; une influence qui s’est prolongée dans le temps jusqu’à notre époque. Après la France, des Républiques sont venues en nombres remplacer les Monarchies, faisant ainsi progresser l’athéisme attaché à ce type de régime politique. En sorte, qu’aujourd’hui, les comportements rebelles universels peuvent lui être imputés. En adoptant le régime républicain, la France imparfaitement religieuse a fait un grand pas en arrière, en reprenant le régime démocrate républicain formé pour la première fois à Athènes en Grèce. Aussi, ne faut-il pas s’étonner de sa reconstruction sur des bases idéologiques grecques mais aussi, romaines,  puisque Rome est venue reproduire son modèle à partir de – 510.  La forme de la démocratie grecque a évolué au cours du VIème siècle avant J-C. La parole donnée à tout le peuple a fait apparaître des idées de gouvernances démocrates diverses et des lois protectrices ont été adoptées. Mais cette ville d’Athènes tient son nom de son adoration pour sa déesse « Athéna », déesse de la sagesse, de la culture, de l’art militaire ; toutes choses qui caractérisent la France des libres penseurs républicains. Mais les héritages grecs ne s’arrêtent pas là, car le dogme de l’immortalité de l’âme adopté aujourd’hui dans tout le faux christianisme, a pour inventeur le philosophe grec Platon. Il était dans la normalité de son adoration païenne de la déesse Athéna et du dieu de l’Olympe Zeus, mais comment, ceux qui prétendent être sauvés par le sang de Jésus-Christ, peuvent-ils justifier cette invention païenne ? C’est là, tout « le mystère de l’iniquité » du faux croyant. Ainsi que Jésus l’a dit dans Matt.7:16 : « Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? »

La civilisation démocrate grecque antique a autorisé la liberté religieuse et donc la possibilité de douter ou de ne pas croire du tout. Et ce droit s’appliquait au sujet de toutes les divinités connues du paganisme grec. Mais il faut arriver en 1793, pour qu’en France, l’athéisme prenne une forme nationale marquée par une guerre impitoyable qui vise à éradiquer l’existence de la religion soit de la croyance en un quelconque dieu, y compris celle qui honore le vrai Dieu. En laissant le droit aux sceptiques de douter, la démocratie grecque était logique et tolérante ; ce que ne fut pas le régime athée national né en France républicaine. Et cette conception de son origine peut se réveiller en notre époque dite « tolérante », en France, mais aussi, dans les pays qui ont adopté au fil du temps sa norme philosophique, et son modèle de comportement. J’ai déjà entendu des gens exprimer leur haine de la religion qu’ils jugent rétrograde et insupportable, parce qu’ils lui imputent, à juste raison, d’être la cause des affrontements et des agressions brutales et meurtrières. C’était déjà cette pensée qui animait les Révolutionnaires sanguinaires de la « Terreur » 1793-1794 ; elle dura une année jour pour jour, et fut ainsi marquée par Dieu, pour témoigner de sa punition de la fausse religion catholique diabolique. Mais, l’humanité a ignoré la signification spirituelle de cet événement historique français connu de tous les historiens de la terre entière. En conséquence, les erreurs ont été ignorées et prolongées. En France, aujourd’hui, des enfants naissent et grandissent sans entendre parler de l’existence du Dieu créateur. Des familles entières n’ont plus aucune relation ou activité religieuse. Dans une incroyable stupidité, des créatures imputent au hasard la beauté, le parfum, l’ordre, l’harmonie, toutes choses qui témoignent d’un choix intelligent supérieur, construit et organisé. Aussi, Dieu a-t-il tort de s’apprêter à les détruire en masses comme des troupeaux d’animaux ? Ni le néant, ni Zeus, ni Athéna, ne viendront les délivrer de la colère du vrai Dieu. Il reste encore quelques temps de paix en Europe pour lui permettre d’éclairer les esprits des derniers élus qui lui appartiennent, et lorsque la chose deviendra impossible, ses appels miséricordieux prendront fin.

Ainsi, la France a soutenu Rome et sa fausse religion jusqu’à sa Révolution de 1789, mais depuis 1945, elle a également soutenu et mis en forme avec l’Allemagne, la construction de l’alliance européenne placée sous le signe renouvelé deux fois du « traité de Rome ». En fait, cette nouvelle alliance de pays démocrates européens a pour liant, l’autorité papale de Rome et sa foi catholique romaine. Dieu, le véritable organisateur de ces choses, permet ainsi à ses élus éclairés de comprendre la haute culpabilité qu’il a imputée au signe de l’autorité romaine que constitue la pratique du repos hebdomadaire du « premier jour » établie et imposée par l’empereur romain Constantin 1er le grand, le 7 Mars 321. Je signale et précise que ce message est écrit le « dimanche » 5 Mars 2023. Or, en France, la journée du 7 Mars 2023, va être marquée par une grande grève et des manifestations de masses dans tout le pays, pour marquer l’opposition au rallongement de l’âge de la retraite porté à 64 ans par les jeunes dirigeants du gouvernement actuel. Son nom de parti politique est « La République En Marche » soit, LREM. Elle ignore, cette République, qu’elle marche vers sa perte et sa fin définitive, qu’avant d’être elle-même détruite, la Russie va lui donner. Ceci, parce que, sous une puissance d’égarement, le camp des démocraties occidentales s’est opposé à la Russie dans un problème strictement slave et russe qui aurait dû être réglé entre les seuls pays de l’Est. Mais en gendarmes du monde qui veulent imposer à tous les peuples leur conception de la démocratie et leurs règles internationales, l’invasion russe de l’Ukraine, devait être combattue ; et le jeu des escalades va transformer cet affrontement local en Troisième Guerre Mondiale prophétisée par la « sixième trompette » d’Apo.9:13 à 21. Et sur l’ordre donné par Jésus-Christ, nous lisons dans le verset 15,: « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. »

Les guerres modernes sont redevables à la France, puisque c’est à son empereur, Napoléon 1er, qu’elles doivent l’importance donnée à l’artillerie. Le jeune officier, Napoléon Bonaparte, se distingua des autres par sa formation d’artilleur dans la ville de Valence sur Rhône, département de la Drôme, où je vis. La « Grand rue » où il avait son domicile est une curiosité touristique locale. Ce jeune officier d’origine Corse, sût efficacement exploiter cette arme du combat à distance qui ringardisa les confrontations guerrières privilégiées jusqu’à lui. Aujourd’hui, nous regardons le déroulement de la guerre en images filmées télévisées, mais au temps de Louis XIV et Louis XV, les aristocrates venaient assister eux-aussi aux spectacles destructeurs des combats, confortablement installés. Pour ne perdre aucun détail, ils observaient de près au moyen de la « longue-vue » l’ancêtre de nos jumelles d’approche. Et la guerre était vraiment stupidement et odieusement organisée pour prendre la forme d’un spectacle. Les chefs des camps opposés s’envoyaient respectueusement des messages et se saluaient avant la bataille, et sur le champ de l’affrontement, en ligne, les deux camps se faisaient face, tirant sur l’autre camp avec leurs mousquets et leurs pistolets, l’un après l’autre, et sous la mitraille, des morts tombaient successivement dans les deux camps. Lorsqu’ils entraient en contact direct, l’assaut se transformait en boucherie sanglante pour les deux camps. Et la chose se prolongeait, jusqu’à ce que, dans un camp, le chef militaire ou le roi lui-même mette fin à l’affrontement en vainqueur ou en vaincu. Plus le temps a avancé, plus le contact direct s’est réduit au point que les USA ont choisi de bombarder du ciel, par leur aviation, le camp serbe de la guerre des Balkans sans placer un homme sur le sol du conflit. Ils renouvellent cette stratégie dans la guerre actuelle où l’Ukraine et la Russie s’imposent tour à tour par l’importance du bombardement éloigné. C’est donc vraiment la civilisation gréco-romaine qui affronte la civilisation restée purement grecque. Et les noms des villes ukrainiennes de la zone Est nous confirme cette référence grecque représentative de l’ancien empire romain de l’Orient dont le roi Justinien 1er fut à l’origine de l’instauration du régime papal de Rome en 538 : Odessa = Odyssée ; Marioupol = Ville de Marie ; Nikopol = Ville de la Victoire, … Ni Joe Biden, ni Volodymyr Zelensky, ni Vladimir Poutine, ne connaissent le projet imminent de Dieu, aussi peut-on comprendre l’inquiétude du chef russe de voir le camp de l’OTAN toucher directement sa limite frontalière. Supposons que l’Ukraine rejoigne l’OTAN ; à qui le tour après elle ? Rien ne prouve que les USA aient cherché volontairement l’affrontement avec la Russie, car au contraire, ils ont prouvé après beaucoup d’échecs, leur désir de rester pacifiques ou neutres dans les conflits extérieurs à leur pays. Et c’est précisément par cette situation, dans laquelle, on ne peut pas trouver un coupable idéal, que Dieu prouve que le conflit engagé résulte de sa seule décision. Ce qu’il règle dans cette affaire n’est pas un problème de terre revendiquée, mais un châtiment qui punit l’abandon de son sabbat depuis le 7 Mars 321. Et tu peux le constater, dans ce conflit engagé en Europe, les belligérants et les cobelligérants honorent tous « le jour du soleil » de l’empereur Constantin 1er le grand.

 

Passons maintenant en revue, les bénédictions reçues par la France.

Elle fut le sol national où la lumière divine de la sainte Bible a été particulièrement, sauvagement combattue. De nombreux martyrs de la foi ont courageusement glorifié Dieu en refusant d’abjurer leur foi, fut-ce au prix de terribles tortures infligées par le camp catholique satanique. L’Allemagne eut le rôle principal, puisque c’est l’Allemand Gutenberg qui inventa l’imprimerie par presse à caractères et qu’il eut la gloire de produire la première Bible imprimée en 1457. Son invention fut exploitée dans toute l’Europe, et la Bible fut imprimée en de nombreuses langues européennes dont le Français. Mais la puissante monarchie française n’accepta pas les remises en cause dogmatiques imposées par la vraie Parole de Dieu. Et la foi réformée fut persécutée, ses pratiquants étant contraints à abjurer ou mourir ou s’exiler vers l’étranger, et particulièrement, la Hollande ouverte à l’accueil de gens intelligents, doués, bons artisans, donc appréciables. Du coup, la France de Louis XIV a perdu ses plus talentueux éléments et s’en est appauvrie.

A la même époque du XVIème siècle, la terre américaine est identifiée et redécouverte. Le continent Sud est partagé entre l’Espagne et le Portugal, tous deux catholiques, par le pape de l’époque, Alexandre VI Borgia, réputé pour ses scandales et ses assassinats. Avec le temps, le continent Nord passe sous le contrôle de l’Angleterre anglicane. La région de New-York accueille alors ses premiers exilés protestants combattus même en Angleterre. La découverte de l’Amérique coïncide juste avec la persécution des Protestants européens, ce qui donne à cette terre du « nouveau monde », un rôle d’asile protecteur, sorte de Canaan terrestre offerte à la foi protestante par Dieu. Cependant, le caractère de la foi calviniste importée va rapidement témoigner d’un comportement brutal, non conforme au modèle présenté par Jésus-Christ, et la preuve de ce jugement va apparaître dans les deux expériences adventistes de 1843 et 1844 au terme desquelles, sur 30000 personnes croyantes engagées dans l’attente du retour du Christ, 50 seulement ont été sélectionnées par Jésus selon ses révélations données à sa servante de l’époque Ellen Gould White. Le message adventiste du septième jour institué officiellement aux USA depuis 1863, va revenir en Europe après 1873. Là, il s’installe en Suisse, puis en France que notre sœur Ellen Gould White a visité s’intéressant particulièrement à Valence la ville où je vis et sers le Dieu de vérité. Elle fut impressionnée en trouvant dans cette ville le lieu où le pape Pie VI, l’ennemi catholique de Jésus-Christ, est mort dans la prison de la Citadelle. Au moment de sa visite les faits s’étaient accomplis près d’un siècle plus tôt, donc un temps encore très proche. Elle releva ainsi l’accomplissement de la prophétie d’Apo.13:3 : « Et je vis l'une de ses têtes comme blessée à mort ; mais sa blessure mortelle fut guérie. Et toute la terre était dans l'admiration derrière la bête. » Sa blessure subie entre 1793 et 1799 fut effectivement guérie à cause de l’opportunisme de l’empereur Napoléon 1er Bonaparte qui avait besoin du sacre impérial religieux pour être internationalement reconnu. Et depuis ces dates, la bête catholique papale romaine séduit toute l’Europe et ses excroissances américaines du Sud et du Nord, du Canada, et de l’Australie.

Ce retour de Dieu vers la France est marqué particulièrement depuis 1980 par la lumière qu’il m’a donnée, dans son fief national adventiste de Valence, où depuis ma radiation de l’église officielle, je recueille et présente ses sublimes et subtiles révélations. Et encore aujourd’hui, je relève une perle nouvelle. Dans Apo.3:9 nous lisons : « Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t'ai aimé. » dans ce verset, Jésus utilise trois temps de conjugaison : le présent : « je te donne » ; le futur : « je les ferai venir » ; et le passé : « que je t’ai aimé ». Ceci se traduit par les idées suivantes : le présent concerne une action accomplie en 1873 date rattachée à l’époque « Philadelphie » par Dan.12:12 : « Heureux celui qui attendra, et qui arrivera jusqu'à mille trois cent trente-cinq jours ! » Le futur va s’accomplir depuis 1873 jusqu’à l’époque prophétique suivante celle de « Laodicée » soit, l’heure où le jugement des peuples « commence par la maison de Dieu » soit, l’adventisme du septième jour officiel international. Ce n’est que dans le contexte de la dernière épreuve de foi prophétisée dans l’époque « Philadelphie » dans Apo.3:10, que « les Juifs » de race élus reconnaîtront la légitimité divine de la foi adventiste du septième jour : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. » Et c’est là que je relève cette perle : en disant aux Adventiste fidèles de « Philadelphie » au sujet de l’Adventisme du septième jour officiel des derniers jours symbolisés par le nom « Laodicée » : « que je t’ai aimé », Jésus prophétise que son amour pour l’institution adventiste mise en service universel en 1873 aura une durée limitée soit, en clair, « je t’ai aimé depuis 1873 jusqu’au moment où, en 1994, je t’ai vomi ».

Ceci est un exemple de l’importance que Dieu donne au mot « verbe » qui le représente et au temps de conjugaison qui révèle le sens de ce « verbe ».

Depuis 1844, avec raison dans leur contexte, les théologiens adventistes pensaient se trouver à la fin du monde, puisqu’ils attendaient le retour de Jésus-Christ pour 1843, puis 1844. Il était donc très logique qu’ils se croient représentés par le dernier message prophétique d’Apo.3, soit l’époque « Laodicée », la septième et dernière Eglise du thème traité. En 1873, les Adventistes du septième jour croyaient encore à un retour imminent du Seigneur de gloire et ils restaient très zélés. La dégradation spirituelle de l’adventisme s’est effectuée de manière progressive jusqu’en 1980 où Jésus m’a appelé pour prophétiser son retour pour la date 1994. Cette annonce n’avait pour seul but que celui de démasquer la nature de la « tiédeur » reprochée à « Laodicée » soit, les dates 1980 et 1994, au cours desquelles il a relevé l’attitude « tiède » et formaliste de l’Adventisme dans le plus ancien fief adventiste de la France situé à Valence.

Pour bien comprendre le jugement du Seigneur et ses tragiques conséquences, il te faut réaliser qu’en 1980, l’adventisme officiel n’avait plus de légitimité à être représenté depuis 1844 par la dernière Eglise. En effet, dès le prologue de sa Révélation Apocalypse, Jésus insiste lourdement sur l’expression « commencement et fin, premier et dernier ». Et déjà dans Daniel 5, le jugement du roi Belschatsar est signifié par les mots « compté, compté, pesé, divisé ». Les deux « compté » successifs suggèrent le début et la fin du règne du roi. Dans Apocalypse, Dieu applique ce même principe pour sa révélation des sept messages ou lettres d’Apo.2 et 3. Avec les significations suivantes.

« Ephèse » désigne le temps apostolique de l’apôtre Jean. C’est le début de l’ère placée sous le signe des « douze apôtres ».

« Smyrne » désigne un temps de persécution de dix années qui précède le règne impérial de Constantin 1er responsable de l’abandon du respect du vrai sabbat sanctifié par Dieu depuis la Création. Début du règne : 313 ; abandon du sabbat : 321.

« Pergame » confirme l’instauration du régime papal romain à Rome à partir de 538 : début de la foi catholique papale.

« Thyatire » marque la fin et l’apogée du règne persécuteur papal. L’apparition de la foi réformée est certifiée et prophétisée par Dieu. C’est la fin du temps apostolique. Le message du retour du Christ est évoqué.

 

Changement d’époque en date du printemps 1843

La nouvelle époque est placée cette fois sous le signe des « 12 tribus » spirituelles désignant la foi adventiste du septième jour bénie par Dieu.

 

« Sardes » exprime le jugement de Jésus du Protestantisme déchu à cause de son absence d’intérêt pour la vérité prophétique. Jésus lui dit en 1843 : « tu passes pour être vivant et tu es mort ».

« Philadelphie » authentifie en 1873 la pleine bénédiction des élus sélectionnés dans l’époque « Sardes ». C’est le début de l’adventisme officiel universel.

« Laodicée » confirme la cause de la tiédeur formaliste de l’Adventisme officiel des années 1980 à 1994. Jésus le juge en 1991 et le « vomit » en 1994. C’est la fin de l’Adventisme du septième jour officiel. Mais pas la fin de sa mission qui se prolonge dans la dissidence par des serviteurs animés de la vraie foi adventiste approuvée par Jésus.

 

 

 

Dieu nous révèle son expérience

 

Aujourd’hui, le Mardi 7 Mars 2023, date anniversaire du 7 Mars 321, jour de l’abandon du repos du septième jour au profit du premier jour, le Dieu de vérité veut marquer cette journée par une révélation nouvelle inédite qui concerne la souffrance que le péché lui inflige. Le péché est produit par des caractères contestataires rebelles. Et précisément, en France en cette même journée, une grève et des manifestations donnent un exemple concret de cette attitude humaine.

Cette nouveauté repose sur une interprétation du récit de la Création, dans lequel les versets 26 et 27 de Genèse 1 sont fondamentaux : « Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. »  Relève déjà que l’homme devait dominer sur les reptiles et non se faire dominer par eux. « Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. ». Ce qui est extrêmement important dans ces versets, c’est d’une part que l’homme est « créé » et non « produit » comme les animaux ; ce qui marque son rapprochement et son lien avec Dieu ; mais ces versets présentent l’homme comme « une image » de Dieu. Or, qu’est-ce qu’une image ? C’est une reproduction d’un événement, ou d’une entité, dans ce cas précis, il s’agit de Dieu lui-même. En donnant à l’homme ce rôle d’image de sa personnalité, Dieu prépare une mise en scène, dans laquelle, l’Adam créé va tenir le rôle de Dieu, en sorte que l’expérience révélée d’Adam est présentée comme l’expérience vécue personnellement par Dieu.

L’expérience accomplie entre la création d’Adam et Eve et leur chute due au péché résume l’expérience céleste qui a précédé l’expérience terrestre.

Adam est créé en premier, et dans cet état de solitude, il se trouve dans la situation qui concernait Dieu avant qu’il crée un vis-à-vis libre à côté de lui. Et parce que sa solitude lui devient insupportable, il programme un plan de salut complet. Car il sait que la liberté donnée à ses créatures célestes et terrestres va engendrer des attitudes rebelles contre lui.

Pour rompre sa solitude, Dieu crée la vie angélique autour de lui, de même qu’Adam met fin à sa solitude en obtenant son épouse Eve. Le premier ange se rebelle contre Dieu, de même Eve se laisse séduire par cet ange rebelle séducteur. Et là apparaît la « souffrance » provoquée par le péché, en premier, dans la vie de Dieu, et ensuite, dans la vie des anges et dans la vie du couple humain.

Ici, il faut comprendre que la souffrance ressentie par Dieu est ignorée des hommes. Ils n’ont même pas l’idée que Dieu puisse souffrir dans son Esprit illimité. Ses créatures sont sensibles à leurs propres souffrances, et elles pensent que Dieu est au-dessus de ces choses, qu’il vit retiré dans son royaume céleste et laisse froidement l’humanité subir les conséquences de ses choix. Cette conception est fausse, à cause du fait que Dieu est pétri d’amour. Et c’est précisément cette nature moulée dans l’amour, le plus grand, le plus fort, qui rend Dieu vulnérable à la souffrance provoquée par le mal.

Aucun ange ne pouvait savoir à quel point, le péché, la révolte d’un camp rebelle angélique, pouvaient le faire souffrir. C’est ainsi que, suivant son plan du salut, Dieu mit en œuvre sa création terrestre. Il allait pouvoir révéler sa propre souffrance à travers les souffrances endurées par l’humanité pécheresse. Et ce regard nouveau sur les expériences vécues par Adam et Eve donne aux châtiments imposés par Dieu un sens nouveau qui le concerne, en premier. Les dures conditions de vie imposées par Dieu au couple pécheur transcrivent les souffrances ressenties par Dieu par leur désobéissance. En langage clair, Dieu dit à Adam et Eve : « Je pourris votre vie pour que vous sachiez que vous avez pourri la mienne ». Car il s’agit bien pour Dieu et toutes ses créatures d’une dégradation de qualité de vie. L’harmonie de l’amour est détruite. Les êtres du ciel ne peuvent pas souffrir corporellement, mais ils sont vulnérables mentalement, la paix de leur esprit est perturbée. On ne peut pas comprendre le plan du salut divin sans tenir compte de la phase céleste qui a précédé la phase terrestre. Le péché est apparu dans le ciel, en premier, et Dieu n’avait pas prévu de châtier les anges rebelles dans ce contexte. Il accepta donc de laisser agir librement la rébellion des mauvais anges, repoussant à la fin du monde terrestre le châtiment mortel des rebelles célestes et terrestres. Dans le ciel et sur la terre, la controverse soutenue par Satan et ses mauvais anges n’allait pouvoir être condamnée à mort qu’avec la victoire de Jésus-Christ sur le péché et la mort qui est son salaire. C’est ainsi que le témoignage de l’expérience de Job confirme cette liberté de circulation dont le diable et ses démons ont bénéficié jusqu’à Jésus-Christ. Job 1:6-7 : « Or, les fils de Dieu vinrent un jour se présenter devant YaHWéH, et Satan vint aussi au milieu d'eux. YaHWéH dit à Satan : D'où viens-tu ? Et Satan répondit à YaHWéH: De parcourir la terre et de m'y promener. » C’est pourquoi, la victoire de Jésus-Christ sur le péché a offert aux saints anges célestes de Dieu leur délivrance des tentations permanentes proposées par les anges démoniaques. Leurs cris de joie et d’allégresse sont révélés dans Apo.12:10 : « Et j'entendis dans le ciel une voix forte qui disait : Maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de notre Dieu, et l'autorité de son Christ ; car il a été précipité, l'accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit. »

Le projet salvateur de Dieu s’achèvera par une glorieuse et heureuse fin. Il fera triompher son amour. Mais pour atteindre ce résultat, que de morts laissés en chemin ! Le résultat final sera obtenu à ce prix, car la paix éternelle ne peut être construite que par l’élimination et l’anéantissement de tout esprit contestataire. Sur la terre, actuellement, encore, des régimes différents s’affrontent ou s’opposent et dans le meilleur des cas, l’entente est obtenue par le moyen de l’acceptation du compromis supporté jusqu’au temps où il ne l’est plus. Dans sa divine sagesse, Dieu sait que le compromis n’offre pas une solution durable. Et les échecs enregistrés par tous les régimes démocrates et les monarchies lui donnent raison. Aucun de ces systèmes ne peut satisfaire tout le monde, et s’il y a des « pour », il y a aussi des « contre » qui se sentent lésés. La réussite est donc impossible car il faudrait que tous les hommes soient identiques comme des clones. La réussite du programme conçu par Dieu repose sur le fait qu’il présente en Jésus-Christ le modèle parfait qui doit être cloné et reproduit par tous ses élus rachetés.

Cette leçon a mis en évidence la souffrance ressentie par Dieu depuis que son modèle de vie parfaite a subie la conséquence du péché. Et Dieu nous donne un exemple de longue patience, car il y a dans son projet, un temps pour toute chose. Ces rachetés en Christ doivent agir de même et attendre que son retour mette fin aux exactions commises par les humains du péché. Nous devons reproduire cette patience divine et ne devons pas nous faire des illusions au sujet d’une amélioration des conditions de vie. Elles vont se dégrader de plus en plus au cours des « sept dernières années » qui vont commencer au printemps de l’année 2023. La chose qui cause le plus de souffrance au Dieu Amour c’est l’ingratitude du monde pécheur. L’ingratitude est la faute principale de toute l’humanité parce qu’elle lui doit son existence. Mais notons bien qu’en restant invisible, Dieu n’a pas cherché à forcer l’être humain à lui témoigner de la gratitude. Car la création terrestre a été le moyen par lequel il oblige ses élus à le rechercher et donc à se démarquer par cette action des autres êtres humains ingrats. Le Seigneur l’a lui-même annoncé dans Jér.29:13 : « Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur ». Revoilà le Dieu amour qui recherche ceux qui l’aiment. Et les gens qui s’aiment n’exigent pas de preuve de gratitude, parce que l’amour ressenti est le fruit de cette gratitude mutuellement échangée. L’ingratitude est donc par opposition le fruit porté par ceux qui n’aiment pas. Et dans ce cas, elle devient porteuse d’injustice, car tout être humain est de manière consciente ou pas, redevable au Dieu créateur d’être entré dans la vie. Mais pour ceux qui ne connaissent pas Dieu, la vie et ses méchancetés ne sont pas véritablement appréciées. Et il leur arrive même d’en vouloir, au Dieu, ou à la divinité, ou au hasard, de les avoir fait naître. C’est pourquoi, la lumière du projet salvateur divin accompli par l’Evangile de Jésus-Christ est nécessaire pour comprendre et accepter la confrontation avec la méchanceté démoniaque et humaine. Au cours des six mille ans de l’histoire terrestre, Dieu a marqué son chemin de vérité au milieu de multitudes de formes d’existences, de peuples, de tribus, de nations aux coutumes et règles de vie différentes. Mais toutes les sociétés païennes ou faussement chrétiennes ont été composées d’individus portés à faire le mal. Les règles de l’égoïsme inculquées dans les esprits humains ont porté leur fruit de mort et de souffrances, avec plus ou moins de cruauté. Cette humanité là est devenue une norme sur toute la terre, mais elle n’a rien de ressemblant avec le Dieu créateur qui lui a donné la vie et la tient en vie. En image spirituelle, en norme de beauté et de perfection, la vie de Jésus-Christ sur la terre avait la puissance de la nuée de feu qui ouvrait le chemin des Hébreux vers la terre promise. Et sur ce chemin éclairé par lui, ses apôtres et tous ses vrais disciples ont avancé pendant leur vie. Autour d’eux, il n’y avait que de noires ténèbres desquelles montaient des cris de souffrances et des appels à la justice. Mais ne ty trompe pas, ceux qui souffrent et lancent ces appels ne sont pas forcément prêts à accepter les conditions de vie exigées par le vrai Dieu. Certains prisonniers peuvent devenir les pires geôliers, de même que le prosélyte peut devenir pire que celui qui lui enseigne la fausse vérité.

Les six mille années de la vie terrestre ont donc été marquées pour Dieu et pour toutes ses créatures par la souffrance sous toutes ses formes. Tu peux ainsi comprendre la valeur que Dieu va donner au moment où toutes ces souffrances cesseront, pour lui et toutes ses créatures célestes ou terrestres. Une telle perspective inscrite dans le temps méritait d’être marquée et honorée. Et c’est pourquoi, Dieu a béni et sanctifié le septième jour de nos semaines, car il prophétise ce moment désirable où sous la forme et le contexte du septième millénaire, toutes ses créatures méchantes célestes et terrestres seront détruites ou mises hors d’état de nuire, selon le cas de Satan qui sera enchaîné sur la terre désolé, restant seul et isolé, pendant ces septièmes « mille ans ».

La lumière du sabbat n’est pas qu’un commandement de Dieu, car elle apporte l’antidote de la souffrance humaine, en affirmant à ses élus qui croient en lui, qu’il a bien prévu de mettre fin à toute souffrance ; et que la venue de ce moment est une question de temps prophétisé par la semaine de sept jours dont « le septième est sanctifié et béni » par lui, dès le commencement, en raison même de la joyeuse fin de son projet salvateur, pour ses seuls élus, bien sûr.

Depuis 1844, Dieu a regroupé ses élus sélectionnés par l’annonce du retour de Jésus-Christ soit une épreuve « adventiste ». A la même époque, il a exigé la restauration du saint sabbat du septième jour. A l’époque personne n’a relevé le lien étroit de ces deux thèmes qui devaient s’accomplir au même moment, soit, au début du septième millénaire. Les deux sujets sont inséparables et indissociables parce qu’ils ciblent le même moment de la gloire divine ; celui où sa divinité est rejointe par tous ses élus rachetés par le sang de Jésus-Christ depuis Adam et Eve. Ce moment est ciblé par les deux thèmes : Le retour de Jésus-Christ s’accomplira au début du septième millénaire ; le septième millénaire commencera avec le retour de Jésus-Christ. Peut-on trouver deux choses aussi complémentaires ? Pour discerner ce lien, il fallait que l’esprit du serviteur de Jésus-Christ ait une ferme conviction que le projet de Dieu allait prendre fin au terme du sixième millénaire, or les pionniers adventistes n’avaient pas cette pensée en tête. Cependant dans ses écrits à plusieurs reprises, Ellen Gould-White a cité et imputé ces six mille années au temps de l’action du diable. A cette époque le sabbat découvert après les épreuves adventistes était resté le septième jour et pas encore le septième millénaire. Note que ceux qui auraient compris le projet du septième millénaire n’auraient pas pu croire au retour de Jésus-Christ pour 1843 ou 1844. Les élus sélectionnés par Dieu devaient donc initialement, obligatoirement ignorer le sabbat et sa signification.

Sans une horloge ou une montre personne ne pourrait aujourd’hui se présenter à l’heure du départ du train. Cet exemple montre l’utilité du temps et à ce sujet, nous découvrons comment Dieu a équipé sa création terrestre dans le souci de permettre à l’homme de calculer le temps. Pour la terre du péché et les êtres humains qui la peuplent, le temps est compté ou décompté. Tu peux ainsi comprendre pourquoi le diable a voulu enlever aux humains le moyen de compter le temps que Dieu leur donne pour agir. C’est ce qu’il a fait, en faisant abandonner le sabbat, le 7 Mars 321. Désignant le septième millénaire, le sabbat était une horloge du temps divin qui sonnait chaque semaine l’annonce du retour de Jésus-Christ. C’est pourquoi, il a œuvré avec ses démons pour pousser les Juifs à rejeter Jésus-Christ et les Chrétiens à abandonner le saint sabbat du septième jour sanctifié par Dieu. Il a gagné ainsi et a fait maudire par Dieu les deux camps de l’humanité croyante initiale. Mais le diable est un esprit céleste qui ne peut imposer sa pensée aux humains que par l’intermédiaire d’un corps terrestre. Il lui fallut donc utiliser de nouveaux « serpents », des créatures séparées du vrai Dieu et il les a trouvés en nombres dans la descendance romaine. Le premier, l’empereur Constantin 1er, favorisa le syncrétisme religieux en attribuant le nom de son dieu Soleil à Jésus-Christ, « la lumière du monde », selon Jean. Le 7 Mars 321, il fit abandonner le vrai sabbat du septième jour au profit de son premier jour dédié à l’adoration de son dieu « Soleil », et l’immense majorité des Chrétiens nouvellement et faussement convertis se soumit à sa décision. Entre 321 et 538, la foi chrétienne est déjà coupable de transgression du sabbat divin rappelé et ordonné par le quatrième de ses dix commandements. Mais personne ne relève l’existence du péché, car la mort de Jésus-Christ est prêchée et son amour est exalté. Jour après jour dans l’empire romain, la foi chrétienne est déjà dans sa doctrine comparable à l’église catholique romaine actuelle. L’amour de Dieu est proclamé et les conversions sont encouragées. Les Chrétiens forment des églises dans toutes les grandes villes de l’empire romain et s’accrochent de temps en temps sur des sujets de doctrine. Mais les évêchés dispersés dans l’empire sont égaux en droits et devoirs car le christianisme n’a encore aucun chef terrestre. Toutefois, la foi chrétienne s’étant répandue dans l’empire, à partir de Rome, l’évêque de cette ville représente déjà une autorité supérieure aux autres ; au moins sur le plan spirituel, il bénéficie d’une « aura » particulière. Lorsque le premier roi des Francs, Clovis, se fit baptiser chrétien, la foi chrétienne était déjà dans le péché de l’abandon du vrai sabbat. Mais Clovis l’ignorait ainsi que celui qui l’a baptisé. L’amour du Christ captivait les esprits et les détails de la vraie doctrine étaient sous-estimés. Le prestige de l’évêché de Rome ne faisait que croître au point qu’en 538, en intrigant auprès de Théodora la danseuse épousée par l’empereur romain d’Orient Justinien 1er, un homme nommé Vigile obtint le changement du statut de l’évêché de Rome. Il obtint pour lui, le titre papal de chef du christianisme dont le siège se trouvait à Rome au palais du Latran. L’idée ne pouvait que plaire à cet empereur constamment irrité par les querelles religieuses des évêchés de l’empire. Dans les moments de difficultés, les souverains, les dirigeants, se laissent tentés par le choix unique, celui qui réduit ou fait disparaître en grande partie les problèmes. La foi chrétienne perdit ainsi l’entière liberté qui la caractérisait depuis les premiers apôtres de Jésus-Christ. Dans la même époque, Dieu voulut marquer l’événement à sa manière en mettant en éruption l’un après l’autre deux volcans situés aux antipodes l’un de l’autre de chaque côté de l’empire romain. Le climat devint ténébreux, froid, et des épidémies mortelles très grandes ravagèrent le territoire de l’empire entier pendant plusieurs années. La date 538 de cette instauration du régime papal était très importante puisque Dieu lui rattache dans sa prophétie de Daniel 8:13 des actions qui caractérisent son régime pendant 1260 années au cours desquelles il va faire souffrir ses « saints », ceux de Dieu, selon Daniel 7. Les actions qui lui sont imputées sont citées dans Dan.8:10 : « Elle s'éleva jusqu'à l'armée des cieux, elle fit tomber à terre une partie de cette armée et des étoiles, et elle les foula ; verset 11 : « Elle s'éleva jusqu'au chef de l'armée, lui enleva le sacrifice perpétuel, et renversa le lieu de son sanctuaire. » Derrière le pronom « elle » se tient le nom Rome dont la domination passa du pouvoir impérial au pouvoir du régime papal. Les deux phases sont symbolisées par la même expression prophétique : « petite corne ». Et ce terme souligne bien la réelle fragilité du régime romain dans son opposition contre Dieu, dans ses deux phases successives. Si Dieu souligne cette fragilité c’est pour que ses élus comprennent bien qu’il a lui-même inspiré l’instauration de ce régime persécuteur, afin de punir et châtier sévèrement l’abandon de son saint sabbat du septième jour depuis le 7 Mars 321. La souffrance des saints avait une cause dans le temps de l’instauration de ce régime et Dieu la nomme, cette cause, dans Dan.8:12 : « L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. » C’est le Dieu tout-puissant qui s’exprime car c’est lui qui a voulu « livrer les saints », qui transgressaient son vrai sabbat, au régime papal persécuteur, de même que Jésus se « livra » lui-même au supplice salvateur en ordonnant à Judas, le traître, de se hâter de faire son odieuse œuvre de trahison auprès des autorités religieuses juives. En découvrant ces explications tu peux comprendre que tout ce qui s’accomplit peut le faire parce que Dieu le veut ou le laisse faire. Et la souffrance est donc dans tous les cas, la conséquence du « péché » qui est la transgression de la loi divine, selon 1 Jean 3:4 : « Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi ».

Peut-on aimer sur ordre ? Non bien sûr, aussi peut-on comprendre que Dieu lui-même le sait et que lorsqu’il dit : « tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ta force et de toute ta pensée », il présente un portrait robot de l’élu type qu’il veut sauver pour lui faire partager son éternité ; et selon l’expression, à bon entendeur, salut en Christ. Et il en est de même pour ses dix commandements dont le quatrième qui ordonne le repos du septième jour car le nom sabbat n’est même pas cité. Dieu témoigne ainsi que son repos est exclusivement rattaché au « septième jour » et que tout autre jour qui lui est consacré n’est pas agréé par lui et constitue au contraire la preuve évidente de la séparation du vrai Dieu.

L’abandon du repos du septième jour a eu pour conséquence de faire oublier le temps du retour de Jésus-Christ, ce thème si important qu’Actes 1:10-11 authentifie : « Et comme ils avaient les regards fixés vers le ciel pendant qu'il s'en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent, et dirent : Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l'avez vu allant au ciel ». Et la conséquence du remplacement du « septième jour » par le premier jour fut d’établir l’apparition du régime des ténèbres selon le thème auquel Dieu rattache le premier jour de sa création terrestre dans Gen.1:3 à 5 : «Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour ». Jusqu’au 7 Mars 321, la lumière divine était basée sur l’adoration du Dieu créateur dont le sabbat du septième jour prophétisait son retour glorieux au début du septième millénaire. Mais l’abandon du sabbat eut pour conséquence la destruction de cette annonce prophétique et l’instauration de l’adoration du dieu Soleil créé par le vrai Dieu au quatrième jour de sa création ; une action abominable qui frustre encore Dieu de toute la gloire qui lui revient légitimement. Ses châtiments historiques successifs, expression de sa juste colère, sont donc parfaitement justifiés. Et nous savons que la juste colère divine est la conséquence des souffrances qui lui sont imposées par ses créatures rebelles, lui qui est tout amour, miséricorde, compassion et justice.

 

 

 

La dictature de l’Humanisme

 

Dans la langue française toutes les idéologies dont les adeptes revendiquent un droit universel sont identifiées en recevant le suffixe « isme ». En sorte que nous pouvons résumer l’évolution de la pensée religieuse humaine occidentale dans cet ordre : Judaïsme, Christianisme, Catholicisme, Protestantisme, Anglicanisme, Athéisme, Adventisme, Capitalisme, Communisme, Fascisme, Humanisme et Islamisme. ; et en Orient, le Confucianisme, le Shintoïsme, l’Hindouisme et autres que j’oublie dans cette énumération. Toutes ces idéologies se confrontent, s’opposent et se dressent les unes contre les autres, en souhaitant devenir la valeur universelle gagnante reconnue par tous les habitants de la terre. Un rêve impossible bien sûr, mais qui se perpétue néanmoins au fil des siècles d’histoire jusqu’à notre époque en laquelle le camp occidental défend son Humanisme ; mais il ne se contente pas de le défendre car, en réalité, il veut imposer son modèle à tous les habitants de la terre. Mais, une grande partie de ceux-ci ne partage pas ces valeurs occidentales et souhaite simplement pouvoir vivre selon son modèle hérité de ses pères, car dans ce camp là, les humains restent attachés à leurs coutumes, leurs religions, et leurs habitudes.

Dans notre temps de la fin, l’Humanisme a pris et continue de prendre, de jour en jour, un aspect dictateur de plus en plus évident qui lui donne un caractère paradoxal. L’Humanisme est une dérive perverse qui rend sectaire les droits de l’homme. Car quels sens ont ces droits de l’homme s’ils sont imposés sous peine de sanctions aux êtres humains ? Le droit est une défense ; l’imposition est une attaque. L’évolution historique de la pensée de l’Humanisme a son explication dans la Révélation de Dieu dans son livre nommé Apocalypse. Je résume cette explication par cette expression : « de bête en bête ». Pour Dieu toute idéologie religieuse non conforme à son modèle retire à ceux qui la soutiennent le statut d’homme. Car pour lui, l’homme doit être en conformité avec lui, selon qu’il l’a créé « à sa ressemblance, à son image ». Qui n’est pas avec lui est contre lui selon que Jésus a déclaré dans Matt.12:30 : « Celui qui n'est pas avec moi est contre moi, et celui qui n'assemble pas avec moi disperse ». C’est ainsi que toutes les idéologies listées plus haut « dispersent » parce qu’elles « n’assemblent » pas en Jésus-Christ.

La construction de notre Humanisme dictateur actuel est la conséquence des héritages successifs des pensées religieuses qui se sont formées dans les nations occidentales. Au début de l’ère chrétienne, la pensée religieuse du Christianisme a rayonné dans la souffrance et le martyr subis par ses vrais adeptes. Puis le piège placé par Satan a transformé cette religion chrétienne dont Dieu s’est détourné après son abandon du sabbat en 321. Sous la domination du régime papal instauré en 538, le Christianisme est devenu persécuteur au point que Dieu le compare à une bête fauve : « la bête qui monte de la mer » dans Dan.7:7 et Apo.13:1. Représentant tout le caractère romain dur comme du « fer », ce régime catholique s’est prolongé entre 538 et 1798, années du commencement et de la fin du règne persécuteur de cette religion dite « chrétienne ». L’être humain français fut ainsi successivement nourri de pensées religieuses intolérantes persécutrices, puis par rejet de ce régime, nourri de la haine du sujet religieux ; ce qui fit naître la pensée religieuse de l’Athéisme. Car paradoxalement, la pensée qui nie l’existence de Dieu relie, au sens religieux du mot religion, les adeptes qui partagent cette pensée, le latin « religare » signifiant : relier. La France a, la première, présenté ce modèle de société nationale où Dieu a été chassé. Et les autres nations ont observé ce qu’il en résultait. La résistance des derniers monarchistes endurcit le régime républicain et les nations monarchiques l’agressent et elle se défend et remporte ses batailles. Pour éliminer la monarchie résistante, la « Terreur » fait tomber massivement les têtes de tous ses opposants. Ensuite, la République s’apaise, mais avec Napoléon 1er, aux conquêtes s’ajoutent la séduction de l’esprit républicain et dans le temps, beaucoup de monarchies vont être remplacées par des régimes républicains ou des monarchies parlementaires comme l’Angleterre. L’être humain européen et occidental est formé dans cette nouvelle norme dans laquelle la religion n’est plus que tolérée. Une page de l’histoire humaine a été tournée et la nouvelle donne à l’homme nouveau la religion de l’Humanisme tout-puissant et prioritaire.  C’est dans ce contexte historique que Dieu vient réveiller la foi religieuse par l’annonce du retour de Jésus-Christ, un sujet de la foi, ignoré par les pratiquants religieux jusqu’en cette époque. Et dans la paix religieuse instaurée par Dieu, la foi chrétienne de l’Adventisme va se développer, faiblement, mais sur toute la terre où la chose est rendue possible. Mais dans la société de l’Humanisme, deux idéologies diamétralement opposées entrent en lutte ; le Capitalisme contre le Communisme. Ces deux pensées ne conçoivent pas de la même manière ce que doivent être les droits de l’homme. Pour le peuple américain, le Capitalisme autorise l’exploitation de l’homme par l’homme ; ce que le camp russe refuse parce que son Communisme ne donne qu’à l’Etat national le droit d’exploiter l’homme. Le Capitalisme va creuser l’écart entre les riches et les pauvres, tandis que le Communisme va s’efforcer d’équilibrer et répartir entre tous les richesses produites, dont une grande partie est consommée par la production de son armement. On le comprend, le Communisme voit dans le Capitalisme un animal prédateur qui veut le manger. Sa résistance est donc justifiée. En France, les Républiques s’enchaînent jusqu’à la cinquième établie par le général de Gaulle en 1958. Vers 1970 des soulèvements musulmans font apparaître les revendications de l’Islamisme. Les nations occidentales endormies dans une longue paix religieuse instaurée par Dieu ne savent pas réagir contre les agressions et révèlent leur réelle faiblesse. L’Humanisme occidental est attaqué et ne sait pas comment réagir au nom même des droits qu’il donne aux hommes. Des associations humanistes universalistes défendent l’accueil des étrangers contre l’opinion des humanistes nationalistes. L’Occident entier est victime d’oppositions internes au sujet des droits de l’homme définis et déclarés par la France de la 1ère République. Dans le désordre créé, les dirigeants européens et occidentaux doivent démontrer de plus en plus leur autorité. La liberté individuelle se rétrécie progressivement pour s’adapter à la situation créée par le développement de l’immigration d’origine musulmane. Sur les mêmes territoires le Catholicisme, le Protestantisme, l’Anglicanisme, le Judaïsme et l’Islamisme doivent cohabiter bien que totalement opposés les uns aux autres.

En premier, les USA ont tenu à éradiquer de leur territoire la présence de la pensée communiste. Et au titre de vainqueurs de la Deuxième Guerre Mondiale, ils ont fait tout leur possible pour convaincre leurs alliés européens d’en faire autant. La France a un temps résisté puis a finalement cédé en réintégrant sa place dans l’OTAN. La pensée du Communisme soutenue par la Russie soviétique est devenue l’ennemie à vaincre, pour toute l’Europe et le camp occidental. Dans les années 90, ruinée la construction soviétique s’est écroulée avec le mur du « rideau de fer ». Des échanges entre la Russie, les USA et l’Europe ont rendu le camp occidental vainqueur encore plus sûr de lui, plus arrogant et plus orgueilleux. Et cette victoire a rendu envieuses d’autres républiques indépendantes de la Russie, l’Ukraine et aujourd’hui, dans notre actualité, la Moldavie et la Géorgie de l’alliance russe. En Occident, le désir de plaire et d’emporter la bataille s’accroit avec le temps. Mais l’engagement au côté de l’Ukraine a un coût financier énorme que les dirigeants européens n’avaient apparemment pas prévu. Les difficultés économiques rendent leurs décisions impopulaires et pour imposer leur choix, ces dirigeants vont se montrer de plus en plus autoritaires afin de faire triompher, espèrent-ils, les valeurs de la pensée de leur Humanisme. Il est donc évident, que cette pensée humaniste a subi une évolution permanente en devant s’adapter aux circonstances du moment, mais le pire est que, pour cet Humanisme, les droits de l’homme et du citoyen sont devenus, non plus les droits, mais les devoirs qui s’imposent à tous les peuples menacés de sanctions s’ils ne rejoignent pas le camp américain et européen de l’OTAN en ne condamnant pas avec eux l’agression russe de l’Ukraine.

Ce comportement du camp de l’OTAN présente l’aspect du dernier gouvernement universel qui dirigera les derniers survivants de la Troisième Guerre Mondiale dont la première phase, celle de la mise à feu, a commencé le 24 Février 2022. Sous la tutelle du peuple américain d’origine Protestante, la « bête qui monte de la terre », dans Apo.13:13, prendra forme et activité. Et chacun peut constater avec les sanctions actuelles et les menaces de sanctions prises, par ce camp occidental, qu’il est identifié pour l’incarner, selon cette précision citée dans Apo.13:17 : « et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom ».

Cette prophétie nous permet déjà de comprendre quel camp des Russes ou des Occidentaux sortira vainqueur de la Troisième Guerre Mondiale. De plus, Dan.11:44-45 prophétise la destruction du pays et des armées russes : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. Il dressera les tentes de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne Puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide ». Aussi, peut-on le comprendre, Dieu réserve pour la dernière épreuve de foi terrestre, les pires des hommes, les plus intolérants de notre époque. Et cette pire pensée est celle du dernier Humanisme qui se donne, en toute légitimité, tous les droits pour contraindre l’homme à obéir à ses valeurs.

La preuve de cette identité que je présente aujourd’hui avait déjà été visible et relevée au moment de la Guerre des Balkans. Dans un contexte où la Russie était momentanément affaiblie, le camp occidental a révélé sa véritable nature. Et il faut être né, réellement, du Dieu de vérité pour condamner les valeurs de la société occidentale. Car en apparence, conformément à ce dicton, « l’enfer est pavé de bonnes intentions ». Et l’engagement du camp occidental était justifié par de « bonnes intentions ». Je rappelle le contexte : A la mort de son unificateur, le maréchal Tito, la Yougoslavie a éclaté au gré des engagements religieux des anciens pays qui la composaient : la Serbie orthodoxe dont la terre du Kosovo était peuplée en partie par des Albanais musulmans, la Croatie catholique, la Bosnie musulmane. Des plaintes portées par des habitants serbes du Kosovo contre des violences commises par des Albanais soulevèrent d’indignation le chef de la Serbie Slobodan Milosevic. La guerre s’engagea également contre les musulmans de la Bosnie-Herzégovine vite mise en difficulté face aux armées serbes. Puis, de vieilles haines ont opposé la Serbie contre la Croatie catholique. En Europe, en France, l’association humaniste socialiste de Médecins Sans Frontières s’émût de la situation et tout le camp occidental intervint, tel Zorro, le justicier masqué, pour imposer la justice des valeurs européennes. Bombardée et vaincue par l’aviation de l’OTAN, la Serbie fut contrainte à renoncer à sa domination sur le Kosovo que le camp occidental donna aux Albanais qui vivaient sur ce lieu. La « PAX ROMANA » de notre époque fut ainsi, injustement, imposée à la Serbie, et ses chefs politiques et militaires furent jugés par le tribunal européen de La Haye, et emprisonnés. En l’absence de l’intervention de la Russie, le camp occidental a montré sa volonté d’imposer sa loi aux autres peuples. De même dans sa Guerre contre l’Irak, l’Amérique a adopté la méthode des sanctions économiques pour faire plier ce pays sous sa volonté dévoilant ainsi son identité de future « bête qui monte de la terre ». De plus, pour parfaire son image humaniste, la commission européenne a fait adopter des mesures totalement injustes pour favoriser les étrangers immigrés. Elle s’est attaquée au droit de propriété longtemps préservé en Europe et en France où le droit du sol a remplacé depuis longtemps le droit du sang. Mais avançant dans l’outrance, en cas d’absence de son domicile, le propriétaire peut perdre son habitation, parce que des immigrés en ont pris possession et s’y sont installés. Depuis, en Allemagne, on expulse maintenant des habitants allemands de leurs immeubles pour les donner aux immigrés. On a peine à le croire, mais on en est arrivé là et le pire est peut-être encore à découvrir.

Le cas de la Guerre des Balkans est un cas d’école, car il révèle la norme inique des juges et tribunaux de l’Occident irréligieux. Car c’est bien en refusant de reconnaître à ce conflit une nature religieuse que les juges occidentaux sont intervenus. La malédiction du Dieu créateur outragé les conduits dans des outrances qui permettent aux saints de les identifier pour ce qu’ils sont, et à leurs victimes, le désir d’une vengeance repoussée à une situation plus favorable. La vraie justice ne doit pas systématiquement donner droit au plus petit, au plus pauvre, ou à l’étranger. Leurs droits doivent être défendus mais pas au détriment des droits établis pour les autres catégories d’individus. Et ce type de tribunal inique fait la bête en voulant passer pour l’ange soit, pour obtenir l’approbation populaire qui idéalise l’Humanisme populiste. Mais peut-on attendre de gens séparés de Dieu qu’ils jugent avec la sagesse de Dieu ? Non, c’est impossible.

Depuis les premiers temps de la création, la même scène se rejoue sur la terre : des Eve et des Adam sont victimes de multitudes de serpents qui leur disent ce qu’ils souhaitent entendre. On peut comprendre alors qu’il est facile de tromper un être humain. C’est pourquoi, le Seigneur Jésus a exhorté ses disciples à faire preuve de prudence et dans ce sens nous devons apprendre à nous méfier des personnes qui nous donnent trop facilement raison quand on leur parle. Toutefois ce qui est vrai doit être présenté comme vrai et pour nous donner la meilleure protection, Dieu a inspiré ces paroles de Jér.17:5 : « Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son cœur de YaHWéH ! » Pour échapper à cette malédiction, il n’y a que les « deux témoins » bibliques de Dieu, sa parole écrite dont les textes originaux « en hébreu et en grec » étaient sûrs et infalsifiables. Mais le risque du faux existe néanmoins au niveau des versions des traducteurs de la Bible. Et lorsque les possibilités humaines sont dépassées, Dieu vient à l’aide de ses vrais serviteurs pour leur faire découvrir, dans les textes originaux, les erreurs les plus importantes qu’ils auraient ignorées sans lui. J’en ai fait l’expérience et j’en ai donné les preuves.

 

 

La mort lente

 

Toute chose ne survit que par l’apport d’une nourriture régulière et permanente. Il en est ainsi de la foi qui se nourrit de la révélation divine ; de l’homme qui se nourrit des fruits, des végétaux, des céréales prescrits par Dieu ; et de la nation qui ne survit que par une constante prospérité.

Plus importante dans toute la nature, l’eau est vitale puisque tout ce qui vit meure en peu de temps en cas de privation de ce liquide que Dieu a créé à partir de deux gaz simples. Et pour que l’homme n’oublie pas que sa vie terrestre dépend de son Dieu créateur, l’eau qui lui est nécessaire tombe du ciel sur la terre. Avec le cycle des saisons, les êtres humains apprécient le moment des grandes pluies qui font reverdir les champs et les forêts, et permettent aux jardins potagers de produire une abondante nourriture. Tant que la religion agit, ce bienfait est reconnu comme venant des divinités par les païens, et du Dieu créateur chez les croyants monothéistes. Mais dans notre humanité actuelle composée de gens construits sur le modèle de leurs ordinateurs, la pluie n’est plus considérée comme un bienfait divin mais uniquement comme une réaction due à la nature.

La mort peut donc être provoquée de manière soudaine et rapide ou de manière progressive et lente. Les causes des morts rapides sont innombrables : accident du travail ou de la route,  arrêt de fonctionnement des organes moteurs du corps humain, cerveau et cœur, maladies et épidémies, mais aussi, meurtres et assassinats de tous genres. La mort elle-même est acceptée et considérée comme une chose parfaitement naturelle par la société agnostique et athée moderne. L’humanité oublie ou perd de vue le fait que la mort devrait être regardée comme une punition divine. Car parallèlement, et préalablement à notre vie terrestre, une vie céleste dans laquelle la mort n’existe pas a été créée et instaurée par le Dieu Esprit Créateur. La mort et la résurrection de Jésus-Christ sont venues, il y aura 2000 ans en 2030, nous rappeler cette réalité. Et Jésus a tenu à préciser ces paroles dans Jean 10:18 : « Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. »

Tout au long de son ministère terrestre, Jésus s’est efforcé de révéler la personnalité du Dieu Esprit Créateur qu’il appelle « mon Père ». Il se reconnaît donc lui-même comme une créature du « Père ». Mais son type de créature n’est pas égal à celui des êtres humains. Car que ce soit sous son aspect angélique sous lequel il se présente à ses anges sous le nom « Micaël » ou sous son aspect terrestre de « Jésus », les corps célestes et terrestres dans lesquels il se présente sont créés par l’Esprit créateur divin pour sa propre divinité et son usage exclusif ; ces deux corps créés par Dieu, pour lui-même, ont donc un statut divin absolu. Micaël et Jésus-Christ sont donc deux aspects sous lesquels Dieu se dédouble en limitant son apparence. La puissance, chose invisible, est une caractéristique du Dieu Esprit également invisible. Micaël et Jésus-Christ ne sont ainsi que les canaux par lesquels le Dieu Esprit agit et s’active, successivement, puisque Micaël disparaît du ciel pour s’incarner sur la terre dans l’enfant Jésus, né miraculeusement de la jeune vierge Marie, de la lignée du roi David. L’incarnation de Dieu en Jésus-Christ offre à l’humanité un modèle de l’homme parfait qui constitue celui que Dieu veut sauver et prendre pour compagnon d’éternité. Aussi, faut-il le comprendre, si la mort de Jésus obtient bien pour ses seuls élus, le pardon de leurs péchés et celui du péché originel hérité depuis Adam et Eve, c’est seulement la conformité au modèle incarné dans la vie de Jésus-Christ qui rend la vie éternelle accessible. Et ce principe a été imagé par notre divin Seigneur par « l’habit des noces ». Cet habit est réservé à l’usage exclusif « des noces » qui symbolisent l’alliance de Dieu en Christ avec « son Epouse » soit, l’assemblée collective de ses élus, choisis et sélectionnés par lui au cours des 6000 ans de l’histoire du péché terrestre. Dans le symbolisme des images divines, individuellement, l’élu est un invité et, collectivement, l’ensemble des élus constitue « l’Epouse de l’Agneau », « son Eglise », « son Elue ».

En instaurant la sainte Cène, Jésus adresse aux candidats qui souhaitent bénéficier de son salut plusieurs leçons et la première est fondamentale car elle rend inutiles les suivantes. Cette première leçon est donnée par le lavement des pieds de ses disciples. La foi adventiste conduite par Dieu a, seule, restauré ce rituel religieux ordonné par Jésus-Christ en le faisant pratiquer par l’ensemble de ses adeptes. Ce rôle était si important que Jésus l’a fait mentionner uniquement par Jean, « le disciple que Jésus aimait ». Et ce choix du Seigneur est chargé de signification car les messages révélés par l’apôtre Jean sont d’une haute valeur spirituelle. C’est Jean qui, plus que les autres évangélistes, révèle les vérités du chemin qui conduit à la vie éternelle. Et déjà la lecture de son Evangile délivre des messages que seul, « celui qui a des oreilles pour entendre » peut comprendre comme l’enseigne Apo.2:7-11-17-29 et Apo.3:6-13-22 : « Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises ! ».

Le lavement des pieds

En lavant les pieds de ses apôtres, des pieds souillés par la poussière de la marche de la journée, Jésus s’est volontairement abaissé au niveau le plus bas possible dans son époque ; celui de l’esclave utilisé comme un instrument, un outil, dans la société de son époque. Il voulut ainsi condamner toute forme que peut prendre l’orgueil, parce que l’orgueil ferme l’accès au salut pour les croyants, comme il l’a fermé pour le diable et les démons qui l’ont suivi. Dans notre humanité, si opposée au modèle de la vie céleste, nous avons tendance à mal interpréter le sens de cette cérémonie. Certains disent que Jésus exagère volontairement la forme de ses enseignements afin d’obtenir un résultat supportable. Mais ces raisonnements sont faux car l’exigence divine de la parfaite humilité est une réalité dont la possibilité de l’instauration du bonheur éternel dépend entièrement. L’éternité exige l’instauration de valeurs sûres, authentifiées par Dieu qui juge les âmes qu’il crée en leur donnant la vie. L’éternité exige la confiance absolue, l’approbation absolue, l’obéissance absolue et, seul, Dieu peut identifier les élus qui répondent à ces critères sélectifs. A ces trois critères s’ajoute le quatrième qui les justifie et les conditionne : l’Amour pour le Dieu qui est parfait en toute chose. Dans la vie céleste selon Dieu, le bonheur individuel et collectif de ses élus repose sur le simple droit de vivre, obtenu du Dieu Esprit créateur des vies et grand organisateur des activités perpétuelles et éternelles. Le Seigneur annonce la venue d’une nouvelle création selon Apo.21:5 : « Et celui qui était assis sur le trône dit : Voici, je fais toutes choses nouvelles. Et il dit : Écris ; car ces paroles sont certaines et véritables. ». Cette nouveauté concerne des « choses » mais pas des principes moraux qui eux restent les mêmes depuis la création du premier ange. Les exigences caractérielles divines n’ont jamais varié depuis ce premier vis-à-vis créé. Et c’est précisément parce que l’usage de leur liberté les en a disqualifiés, que tour à tour, des anges et des humains ne pourront pas vivre éternellement dans la présence glorieuse du Dieu créateur. Mais Dieu reste bon et amour même dans l’application de sa justice, car le sort final des êtres disqualifiés aura pour but de les anéantir en sorte qu’une fois détruits, le souvenir du mal et ses conséquences s’estompera peu à peu dans la pensée des élus éternels. Cette élimination complète est nécessaire pour que le bonheur parfait se prolonge éternellement en accomplissement du grand projet salvateur conçu par Dieu.

Le rite du lavement des pieds ne prouve pas que celui qui le pratique est un élu que Jésus va sauver. C’est seulement une leçon par laquelle il pointe du doigt son exigence d’humilité totale et parfaite chez ceux que son sang versé va sauver pour vivre éternellement dans sa compagnie et son service. Les rites peuvent être indignement pratiqués par des hommes dont les apparences sont trompeuses. C’est pourquoi, Dieu ne juge que par lui-même et sa capacité de sonder les pensées, les reins et les cœurs lui permet de le faire en parfaite justice.

La mort lente spirituelle a été distillée au cours du temps par l’incompréhension des hautes exigences de Dieu. Le christianisme païen a appliqué à la foi chrétienne, le type de relation qu’il avait avec les fausses divinités. Pour obtenir leur soutien, les adeptes devaient « acheter » ces divinités, par divers moyens. C’est ce que l’Eglise catholique romaine a fait reproduire par ses adeptes par l’instauration des « indulgences » et des châtiments corporels auto infligés. Aussi, pour résumer la cause de la mort lente spirituelle, je ne vois pas mieux que ce verset de Pro.21:18 : « Quand il n'y a pas de révélation, le peuple est sans frein ; Heureux s'il observe la loi ! » L’usage actuel des automobiles permet à chacun d’apprécier l’existence des « freins », si utiles pour éviter la collision accidentelle ou pour maintenir un véhicule sur place dans une côte.

La mort lente s’applique aussi à l’humanité par son usage anormal de produits chimiques créés par l’homme scientifique. La vie harmonieuse dépendait du respect des règles de la vie naturelle, créée par Dieu parfaite à son origine. Après le péché, le principe de mort a détruit cette perfection originelle et la vie humaine a dépendu encore plus du respect des lois qui régissent la nature. La mort a favorisé le développement des maladies, mais les lois naturelles favorisaient les guérisons naturelles. Le début du XIXème siècle a été marqué par l’éveil de la science moderne et ses applications chimiques et physiques. La machine à vapeur et le moteur à explosion ont nécessité l’usage du charbon et du pétrole, deux produits cachés sous la terre. Avec le temps, ces deux produits sont devenus indispensables, alors que l’un et l’autre sont causes de nuisances graves perpétuelles. L’aspect apparent du confort le fait totalement oublier, mais le besoin d’énergie a complètement changé la situation de l’humanité. Cette impérieuse nécessité constitue son tendon d’Achille et conditionne complètement son fonctionnement. Notre société occidentale moderne repose sur l’utilisation de l’énergie, pour les familles, pour les industries, les armements et les loisirs. En fait, nous sommes devenus les esclaves de la société de la consommation qui nourrit de plus en plus mal et tue de plus en plus. Surchargée de pesticides, fongicides, insecticides, la terre devenue chimique empoisonne les aliments qu’elle produit : c’est la mort lente qui est distillée, insidieusement. Et les corps humains ainsi nourris ne survivent que par l’usage des drogues et des médicaments inventés et créés par les scientifiques humains. Même obtenue par des moyens pervers comme « la procréation in-vitro », la procréation repose malgré tout sur un principe naturel créé par Dieu : la fécondation de l’ovule de la femme par la semence de l’homme. Mais une fois créé, le futur homme est livré aux mains des scientifiques de tous les types. En Occident, l’humain a oublié que la vie s’est prolongée pendant 5800 ans sans avoir recours à une science chimique humaine. L’homme trouvait dans la nature, autour de lui, tout ce dont il avait besoin pour vivre : l’air, l’eau, et les aliments produits par la terre. Il trouvait également le moyen de se vêtir par la peau des animaux ou le tissage des fibres animales ou végétales. La nature lui offrait gratuitement la possibilité de vivre. L’Occident a rompu avec ce modèle et par développement de la cupidité, les hommes sont exploités par d’autres hommes qui réalisent d’énormes profits sur leur dos, au détriment de la qualité de leur existence. Ce sont là, les conséquences de la mort lente que Dieu a préparée à l’intention des humains rebelles qui le méprisent et l’ignorent par amour de leur liberté ; selon la conception qu’ils donnent à ce mot « liberté ». Pour Dieu et ses élus, ce type de « liberté » n’est que « l’esclavage du péché ».

A ces attitudes rebelles et ingrates, Dieu répond à sa divine manière. La vie humaine a besoin d’eau, eh bien l’eau va peu à peu disparaître en devenant rare. Car arrivée en 2023, la mort lente a pour but la mort entière de tout ce qui vit sur la terre. Les sept dernières années vont donc être de plus en plus meurtrières. On a pu relever, en prélude à ces dernières sept années, un enchaînement de causes mortelles, épidémie du Covid-19, Guerre en Ukraine, et tremblement de terre en Turquie et en Syrie. Mais la situation s’assombrit encore avec la construction de deux camps adverses qui oppose à l’OTAN dominateur, la Russie, la Chine, l’Inde et nombre de pays africains et de l’Amérique du Sud. Dans sa position dominante, l’homme occidental a imposé ses valeurs aux autres peuples de la terre. Mais la situation lui devenant défavorable, il découvre ou va découvrir que son ordre international est en réalité minoritaire, car seules ses puissances militaires et financières lui ont assuré sa domination. Entre 2020 et 2023, la situation a tragiquement été transformée et ceci prépare l’accélération de la mort lente qui frappe la société occidentale ciblée prioritairement par Dieu.

La mort lente concerne aussi la nation qui ne survit que par le maintien de sa prospérité. Or, en dépit des apparences, à ce sujet, la France est une nation moribonde, en réel déclin et « en marche » vers sa ruine totale. Les marches des escaliers permettent de monter mais aussi de descendre. Et derrière un vernis trompeur apparent, la France de la Vème République établie par le Général de Gaulle en 1958 n’a fait que descendre frappée de mort lente progressive. Le destin mortel de ce pays a été écrit par le Général lui-même, par l’instauration de sa Constitution très particulière qui prévoyait l’article 49 alinéa 3 et l’article 16 qui permettent au Président élu d’agir en dictateur absolu légalement puisque la chose est écrite dans la Constitution de la Vème République. En 1958, les partis opposés à cette adoption dénonçaient à grands cris, un régime de dictature. Mais le peuple souverain invité à voter donna son accord et la France passa sous la Vème République. Ce militaire ne pouvait que diriger la nation France dont il se sentait naturellement propriétaire en raison de sa présence en Angleterre d’où il résista à l’Allemagne vaincue. Et ce passé glorieux explique l’acceptation de sa 5ème République par le peuple français. Le grand vainqueur ne pouvait qu’être soutenu. Mais à cette époque, les Français n’ont pas estimé les conséquences de cette Constitution adaptée uniquement pour un homme honnête, scrupuleux, comme l’était réellement le Général de Gaulle. Il en a donné la preuve en ne s’agrippant pas à sa charge, préférant quitter le pouvoir quand il a découvert l’hostilité du peuple français. Mais la mort lente était instaurée, car il laissa derrière lui, en héritage, la malédiction de sa Constitution. Dans la 4ème République, la recherche du compromis évitait toute prise de mesure excessive. Le principe démocratique fonctionnait correctement, le peuple élisait ses députés, et les députés élisaient le président du Conseil ; le gouvernement rassemblait des ministres choisis parmi des partis différents qui devaient collaborer les uns avec les autres. Aussi faut-il le relever, la fin de cette 4ème République réellement démocrate fut causée par la Guerre d’Algérie mise en route depuis 1954. Les gouvernements tombaient les uns après les autres, car ils ne parvenaient pas à obtenir une majorité pour faire approuver leur décision au sujet de cette guerre. Ainsi, dès 1954, la France a dû payer la conséquence de sa conquête de l’Algérie et sa mise en colonie. Et le châtiment est venu sous la forme de l’affaiblissement de son aspect démocrate, en 1958. Le général de Gaulle avait une réponse à donner à ceux qui dénonçaient son régime comme une dictature. Il leur disait : « Comment voulez-vous qu’à 67 ans, je me comporte en dictateur ? » L’argument était détourné de la dictature de sa Constitution elle-même. Et dans sa réponse, il annonçait déjà que le danger de sa Constitution allait reposer sur l’âge de celui qui la dirigerait.

Chacun peut le constater, au fil du temps, les 8 présidents de la Vème République ont été élus de plus en plus jeunes et parallèlement les vrais intérêts de la France ont été sacrifiés sur l’autel du mondialisme humaniste et des relations commerciales mondiales. En favorisant l’idée de l’Union Européenne, le Général a préparé le déclin de la France, car cette démarche humaniste motivée par sa méfiance et son désir d’indépendance envers le peuple américain a détourné son attention et celle de ses successeurs sur les accords européens mis en action concrètement, au détriment des intérêts français ; en fait, le regard vers l’Europe a remplacé le regard vers la France. Les 8 présidents français ont les uns après les autres, sacrifié les intérêts particuliers des Français pour obtenir la construction de l’Europe Unie actuelle. L’Europe fonctionne sur le doublage des fonctions : députés européens et députés nationaux, commissariat européen et gouvernements nationaux. Mais avec le temps, le pouvoir décisionnaire européen a grandi au détriment du pouvoir des gouvernements nationaux qui leur étant soumis deviennent presqu’inutiles. Et j’aime à rappeler que très tôt, la ruine de la France était annoncée par les commissaires européens mis en poste par les dirigeants nationaux, car ils disaient aux entrepreneurs français qu’ils rencontraient et auxquels ils proposaient de délocaliser le siège de leur entreprise vers d’autres pays pauvres et moins taxés de l’Europe : « Ce n’est pas bon pour la France, mais c’est bon pour l’Europe ». En fait ce qui n’est pas bon n’a été bon, ni pour la France ruinée et victime du chômage, ni pour l’Europe livrée au dictat du commissariat européen qui représente les intérêts des grands financiers européens et des grosses sociétés et entreprises européennes et américaines. Avec la crise économique déclenchée par le rejet du gaz russe, l’Europe entière s’écroule. Mais ayant profité des délocalisations, les nouveaux entrants s’en sortent beaucoup mieux que les pays riches comme la France. Pour elle, c’est la double peine : surcoût de l’énergie et disparition des emplois délocalisés vers les autres pays européens, l’Orient, et la Chine. Car, ce n’est pas sans raison que la balance commerciale de la France est devenue déficitaire depuis l’année 1973, année du « Choc pétrolier » ; cette énergie connut déjà une augmentation brutale de son prix de 40 % à cause de la « guerre du Kippour » (Expiation), la gestion pétrolière ayant été préalablement remise aux pays arabes devenus indépendants. Et en réaction en chaîne, le prix de la vie entière augmenta dans la même proportion. En fin 2022, un nouveau « choc gazier », cette fois, vient plomber les économies européennes fragilisées, et par voies de conséquences, réduire les conditions de vie des peuples africains du tiers-monde restés dépendants des pays européens.

Il faut réaliser le rôle néfaste du long temps de paix que Dieu a donné aux peuples occidentaux chrétiens. La paix est sans nul doute agréable, mais celle que Dieu a offerte à l’Occident porte des conséquences désastreuses. Dans la paix, les hommes sont devenus les esclaves de la société de la consommation. La séduction des offres sans cesse renouvelées a absorbé les pensées humaines et les a détournées des événements religieux, politiques et économiques ; les trois sujets sur lesquels la vie humaine se construit et se conditionne. Pour posséder, l’être humain doit travailler pour payer le bien convoité et, sans qu’il en ait été conscient, le régime « métro, boulot, dodo » l’a entièrement ou presque anesthésié. Les trahisons perpétuelles et continues des élites gouvernantes ont été ignorées et n’étant pas dénoncées avec suffisamment de force, le mal commis a été encouragé et s’est prolongé. Et relève que ceux qui ont tenté de le faire ont été diabolisés et sont devenus un épouvantail pour le peuple trompé. La situation actuelle s’est construite sur de nombreuses années de fautes et d’erreurs de jugement des élites politiques. Mais Dieu donne aux peuples les dirigeants qu’ils méritent selon leur attitude envers lui. Et à ce titre, le destin de la France était écrit dans la prophétie divine. Frappée par sa malédiction, les dirigeants de la France n’ont pas bénéficié de la sagesse divine qui leur aurait permis de réaliser que l’importance donnée aux relations internationales se faisait au détriment de leur propre nation. Et dans cette attitude, je retrouve la pensée des contemporains de « Babel » qui recherchaient déjà dans l’union humaine le moyen d’échapper aux malédictions divines.

Aujourd’hui en 2023, la France n’a encore pour elle que son ancien prestige international. Pour beaucoup de peuples de la terre, elle a représenté un modèle de liberté envié qui a attiré et attire encore chez elle une immigration universelle. La patrie des « droits de l’homme » fait rêver mais fait aussi jalouser et irriter. Et particulièrement, ceux qu’elle irrite le plus sont ceux qui lui ressemblent le plus, sans approuver son régime social inimitable : les USA. Car, en dépit des apparences amicales, les USA voient dans la France une concurrente trop sociale qui fait concurrence à leur propre modèle de société. Et depuis 1945, ils n’ont pas cessé d’agir contre elle, pour l’affaiblir et la soumettre à leur puissance hégémonique. Restée indépendante depuis le Général de Gaulle, en entrant dans l’Alliance européenne, la France est retombée dans le piège des accords internationaux qui la contrainte à se soumettre aux directives de l’impérialisme américain. Et pour confirmer ce retour « à la niche », en 2005, le président Sarkozy l’a ramenée dans l’alliance de l’OTAN. Les USA gravissent encore une marche de plus vers leur hégémonie impérialiste en obtenant l’arrêt de la vente du gaz et du pétrole russe aux pays européens. Ils affaiblissent leur ennemi russe et renforcent en même temps leur soutien européen, leur zone d’influence et leur fourniture de pétrole et de gaz aux mêmes Européens. Mais pour l’Europe, le prix de l’énergie s’envole vers des sommets créés par la cupidité commerciale des USA. Et leur réussite se justifie par le fait que l’Alliance européenne rassemble hypocritement des concurrents qui profitent les uns des autres ; les plus lésés étant les plus riches puisque plus ponctionnés pour financer le système européen et son coûteux fonctionnement. Dans son Europe Unie, la France n’a trouvé que la concurrence qui l’a ruinée, sans qu’elle puisse s’y opposer, piégée par les accords qui l’ont engagée.

Autant opposé par l’âge que par ses idées au Général de Gaulle, le président Emmanuel Macron est un pur produit de la société de l’informatique et du système financier, banquier, froid et cynique comme nos ordinateurs et nos téléphones numériques obéissant au clic, au doigt et à l’œil, et tous ceux qui le soutiennent sont à son image. Cet homme relativement jeune est doté d’une grande capacité intellectuelle comme celle d’un ordinateur qui a réponse à tout, mais sans aucune véritable intelligence. Ce qui explique sa disposition à créer des situations conflictuelles, toujours convaincu qu’il a raison. J’ai relevé depuis longtemps la volubilité avec laquelle les jeunes étudiants actuels s’expriment. Ils sont nés dans un contexte stressant où la rapidité est la valeur du temps et le diplôme, le passe-droit absolu. Le peuple de la Vème République a engendré ce nouveau type de personnalité convaincue de sa supériorité de technicien spécialisé. Il ne faut donc pas être étonné de découvrir que leur conception du débat consiste à démontrer dans de longs monologues qu’ils ont raison et ne cherchent en réalité qu’à convaincre leurs interlocuteurs ; car dans leurs têtes les réponses finales sont déjà fixées et prêtes. Dans son premier mandat, sous le thème du « grand débat », le président Macron en a fait la démonstration en organisant de longs monologues devant des interlocuteurs favorables, silencieux et respectueux parce que sélectionnés. Et pour mieux convaincre le peuple entier, ces discours étaient filmés et retransmis en direct sur les chaînes infos spécialisées. On peut comprendre pourquoi ces jeunes gens se comportent de cette manière. La Constitution de la Vème République est en cause. Elle donne l’habitude aux dirigeants d’exercer le pouvoir politique sans possibilité d’être contredits. Et depuis 1958, le parti présidentiel au pouvoir détient la majorité absolue. L’opposition peut crier contre et contester les décisions prises, mais les gouvernants n’en ont que faire. Les cris et les plaintes actuels restent plus que jamais sans effet. Dans une autre époque, ce type de situation était appelé une dictature. Mais la perversion humaine et diabolique a su donner à la dictature une apparence officielle démocrate. Et de même que chez Jean-Baptiste Molière, « Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir », les Français vivaient dans une dictature en l’ignorant. Le régime de la Vème République repose sur une Constitution approuvée par le peuple de France qui n’a donc plus qu’à se taire et obéir. Pendant longtemps, le parti présidentiel arrivé en tête voyait le nombre de ses représentants doubler, pour assurer un soutien sans faille au gouvernement mis en place. La mesure a été ensuite modifiée et c’est ce changement qui a préparé en 2022, la situation politique actuelle. Pour la première fois, dans la Vème République, après un cuisant échec législatif, le président Macron ne dispose dans l’Assemblée des députés que d’une majorité relative et non absolue. Le comportement autocrate du président est donc pour le moins gêné. Cependant, en l’absence de la majorité absolue, le gouvernement présidentiel dispose du fameux article 49 alinéa 3, par lequel, le gouvernement engage sa responsabilité en s’exposant, néanmoins, aux risques des motions de censure que ses opposants peuvent déposer contre lui. Mais là encore rien n’est gagné si ce n’est par le vote d’une majorité absolue. Depuis sa réélection de 2022, le président Macron a confié la charge de premier ministre à Mme Borne, une personne fidèle qui fait appliquer ses décisions gouvernementales par une succession de 11 usages de l’article 49 alinéa 3. Mais le 11ème n’est pas accepté ni par les députés opposés, ni par le peuple des travailleurs, car le sujet évoqué les concerne particulièrement : le gouvernement veut imposer la retraite à l’âge de 64 ans. Imposé le 16 Mars 2023, le soir même, en entrant dans la nuit du 17 Mars, le texte déclenche la colère populaire et Dieu seul, et ses élus, ont une idée des conséquences extrêmes que ce dictat peut porter dans le cours temps qui est encore devant nous. Car, dans Apo.11, Dieu annonce un renouvellement de la « Terreur » révolutionnaire française. « La bête qui monte de l’abîme » doit revenir sous le thème du « second malheur » lui-même étant lié à la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale. Au moment où les choix du président Macron et de ses collègues européens en faveur de l’Ukraine exposent l’Europe entière à la colère du peuple russe, des désordres ou révolutions internes ne pourraient que favoriser une invasion russe de cette Europe faussement Unie.

Regardons de plus près la norme de notre société de consommation. La rapidité fait croître les profits et elle est exigée par les entrepreneurs pour l’activité de leurs ouvriers et leurs employés. Mais cette accélération des conditions de vie porte des conséquences sur la santé des humains qui y sont soumis. Pour faire face aux nécessités de leurs activités, ils ont recours aux expédients de toutes sortes, du plus faible au plus fort. En sorte que l’accélération du rythme de la vie provoque et intensifie le processus de la mort lente. L’homme d’affaire stressé prend le soir un somnifère pour dormir et le matin des tasses de café pour se tenir éveillé. L’accoutumance le rend dépendant de ces deux types de drogues inverses et le cycle infernal se saisit de lui pour accélérer le processus de sa mort lente. Le fait que les problèmes subis par l’humanité deviennent sans remèdes, parce que l’être humain ne veut plus se laisser raisonner ni se raisonner lui-même, est la meilleure preuve de l’arrivée dans le temps de la fin du monde. Car aujourd’hui, c’est à l’humanité entière que Jésus pourrait adresser ce message qui concerne la foi protestante depuis 1843, selon Apo.3:1 : « Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. » Les protestants du XVIème siècle dénonçaient la transgression de la loi divine par les catholiques et en 1844, ils justifient leur pratique du dimanche catholique romain. Nous avons là un témoignage qui justifie leur abandon par Dieu à partir de cette date 1844. Et ce modèle va gagner progressivement les esprits de tout le camp occidental.

Partout autour de nous, des masses humaines se meuvent et se déplacent dans une grande activité de travail ou de loisir et Jésus leur dit : « Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort ». N’est-ce pas là, la définition même de la mort lente ? La chose est évidente et si la vie occidentale est particulièrement concernée dans son ensemble, c’est justement parce que la société occidentale a pris pour modèle de société cette société américaine fondamentalement protestante, mais maudite par Dieu depuis le premier jour du printemps 1843. Son modèle est reproduit dans la société européenne et dans les deux continents le protestantisme a fait alliance avec la foi catholique romaine et justifie son repos du premier jour hérité depuis le 7 Mars 321 de l’empereur Constantin 1er.

Cette société américaine actuelle constitue le modèle de société que la « bête qui monte de la terre », d’Apo.13:13, va incarner après que la mort lente aura été relayée par la mort rapide causée par la destruction nucléaire de la Troisième Guerre Mondiale. Celui qui voit la société américaine de l’année 2023 a sous ses yeux le modèle expérimental que va prendre le dernier régime universel de l’histoire terrestre. Entre cet accomplissement et nous, il n’y a que six années de prolongements graduels de morts et de destructions ; ceci jusqu’à ce qu’à la septième année, la juste colère du Dieu créateur ait détruit ses ennemis rebelles.

Si la nation est sans remède face à la mort lente, ce n’est pas le cas pour la foi et la vie humaine. Et le recours au bon remède pour l’un et l’autre caractérise les élus de Jésus dispersés sur la terre dans un climat de grande tempête et de grands bouleversements de situations. Les remèdes existent et Dieu les a indiqués ; il suffit donc à ses élus de tenir compte de ses divines directives et de se laisser conduire par l’inspiration de son Saint Esprit dans les derniers pas de leur vie sur la terre du péché.

La situation actuelle mondiale a deux visages : le visage mis à la portée de l’homme naturel et le visage du jugement divin que Dieu fait partager à ses élus. L’homme naturel peut relever les causes apparentes des tensions internationales et identifier des causes dues à des revendications territoriales, mais pour l’homme spirituel, ces choses ne sont que les formes sous lesquelles le Dieu créateur outragé organise l’affrontement meurtrier qu’il a prophétisé par le symbole de la « sixième trompette » de sa Révélation appelée Apocalypse. Et cette « sixième trompette » constitue le « sixième » châtiment que Dieu inflige aux peuples chrétiens occidentaux qui ont osé, « changer sa loi », transformer ses paroles, et remettre en cause l’ordre du « temps » qu’il a établi dès le début de sa création terrestre pour les sept jours de sa semaine, déformant de la sorte le plan du programme salvateur conçu en faveur de ses vrais élus ; des élus pécheurs repentants qui produisent le fruit de la vraie repentance.

La situation relevée en cette veille du printemps 2023 est explosive en France et dans le monde. En France, peu de gens ont conscience de la fragilité d’un régime démocrate. Comme son nom l’indique, la démocratie est le régime où le peuple gouverne. Or, quand le peuple est divisé, la démocratie l’est également. Et quand un parti minoritaire entend imposer ses directives, la paix nationale ne repose plus que sur le seuil de la patience des camps opposés. Car le régime démocrate n’est rendu possible que par l’acceptation des accords et des compromis établis entre des idées opposées. Le régime républicain est autant vulnérable aux révolutions populaires que le régime monarchiste. Tout est question d’acceptation et de force d’opposition. Les Français d’aujourd’hui sont donc victimes d’une longue paix trompeuse qui leur a fait croire à la solidité de leurs institutions et de leur régime politique de la Vème République. Mais la réalité finit par s’imposer et les illusions doivent disparaître.

Le mot démocratie est extrêmement trompeur car sous ce terme on trouve des démocraties très différentes. Le modèle de référence original était le régime démocrate d’Athènes dans l’antiquité. Le peuple entier participait aux décisions et en notre époque, cette démocratie directe n’est appliquée qu’en Suisse. Les multiples formes de la démocratie s’expliquent par les multiples formes des peuples. On trouve ainsi des démocraties capitalistes, communistes, hindouistes et islamiques selon les orientations idéologiques et religieuses des peuples. Mis à part la Suisse, toutes ces démocraties ont abandonné ou rejeté le modèle direct, le plus juste, au profit de l’indirect dans lequel le pouvoir du peuple est confié à des députés qui le représentent. C’est là que le problème apparaît, au niveau de cette prétendue représentation. Et c’est le cas actuel de la France où le système pervers des deux tours d’élections permet à une minorité de diriger le pays entier en pouvoir absolu au moyen de magouilles et d’alliances partisanes. Les Français auraient dû abandonner la Vème République dénoncée comme une dictature dès 1958 et ils auraient dû revenir à la IVème, après le départ du Général de Gaulle en 1969, car sa venue au pouvoir ne fut justifiée que pour régler le problème de la Guerre d’Algérie. Ce fut le seul moment où la dictature de la Vème République fut utile à la France. Au fil du temps, la désinformation a fait son œuvre dans les esprits du peuple français et beaucoup méprisent cette IVème République où les présidents du Conseil se succédaient faute de pouvoir gouverner, mais je rappelle à tous, qu’à cette époque les chefs politiques consentaient à voir leur proposition être refusée et non soutenue par les députés votants…Qu’en est-il à notre époque ? Ce n’est visiblement plus le cas. Une seule chose est certaine : Dieu n’a ni voulu ni permis à la France d’échapper à la malédiction de sa Vème République.

Un signe permet de confirmer la libération des mauvais anges d’Apo.7 car nous relevons au même moment le même type d’affrontement de deux blocs. Au niveau français, les démocrates ne supportent plus la gouvernance de la minorité présidentielle et au niveau mondial, les peuples émergeants du Tiers-monde ne supportent plus la gouvernance du camp occidental. Dieu a créé les problèmes et les yeux longtemps fermés des peuples s’ouvrent et se révoltent contre toutes les injustices.

La concrétisation d’une révolte populaire du peuple français rebat les cartes et permet de retrouver le programme chronologique décrit dans Dan.11:40 à 45 : soit, en premier une attaque musulmane favorisée par le désordre interne de la France et de l’Europe, et ensuite l’invasion russe dont la colère a été attisée par les positions européennes de soutien armé offert à l’Ukraine.

 

 

Equinoxes et solstices

 

Aujourd’hui, Lundi 20 Mars 2023, jour du printemps, je réalise que les équinoxes et les solstices sont porteurs de messages divins. Je précise déjà que selon la norme du temps établi par Dieu dans laquelle le jour commence au coucher du soleil, le bref moment de passage de l’équinoxe de ce printemps s’effectue, non le 20 Mars, mais le 21 Mars à 22h24 mn, heure locale de Paris.

L’idéal du projet conçu par Dieu est la parfaite unité que je traduis par ce principe : 1 + 1 = 1. Jésus a prié pour l’unité de Dieu et ses élus, dans Jean 17:22-23 : « Je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, afin qu'ils soient un comme nous sommes un, moi en eux, et toi en moi, afin qu'ils soient parfaitement un, et que le monde connaisse que tu m'as envoyé et que tu les as aimés comme tu m'as aimé. » Mais avant d’obtenir ce glorieux et heureux résultat, le péché est apparu, fruit de la réelle liberté de choix que Dieu laisse à toutes ses créatures, et la première créée par lui, s’est rebellée contre lui. Dans la suite du temps, l’ange de lumière devenu Satan a été rejoint par des anges qui ont approuvé ses choix. En conséquence la vie créée par Dieu s’est divisée en deux camps opposés à l’extrême l’un de l’autre. Et, en créant la terre, Dieu a trouvé le moyen de révéler cette situation par le moyen de l’équinoxe du printemps dont il a fait le début de son année dans sa norme du calcul du temps selon Exo.12:2 : « Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l'année. » Dieu a fait cette déclaration le jour même du printemps soit, du premier équinoxe qui prépare la délivrance des Hébreux de l’esclavage des Egyptiens. Et cet événement met en scène historique l’image spirituelle de la délivrance des élus du péché mortel. L’Egypte devient dans cette expérience le symbole type du péché.

Il y a dans l’année entière, deux équinoxes : celui du printemps et celui de l’automne. Chacun d’eux porte une signification particulière. Celui du printemps précède la venue de l’été et Dieu le place sous l’égide de sa Justice et de sa lumière que l’été va porter à son maximum. A l’opposé, celui de l’automne précède l’hiver en lequel la lumière est réduite à son maximum et l’image des ténèbres est portée à son maximum ce qui lui vaut sa réputation de saison morte.

En fonction de ces significations, de nombreuses leçons vont pouvoir être rattachées à ces quatre cycles saisonniers terrestres.

Etant privilégié par Dieu, le printemps image le commencement de l’affrontement du camp du bien et du camp du mal. Chaque créature créée étant libre, un dilemme doit être réglé car la situation se définit par le principe suivant : 1 + 1 = 2. Or, lorsque deux camps s’opposent, il faudrait un troisième camp pour les départager en arbitre, mais hélas ce troisième camp n’existe pas. Alors le dilemme s’impose et subsiste. C’est cette situation insoluble qui conduit l’Esprit à faire du chiffre 2 le symbole de l’imperfection et du chiffre 3 celui de la perfection. Ce code est utilisé dans la construction de la dernière Révélation donnée par Dieu aux apôtres de Jésus-Christ et plus particulièrement à Jean le dernier survivant des douze, en fin du premier siècle de notre ère ; Révélation, selon la traduction du mot grec « Apocalupsis » soit, en Français, Apocalypse.

Le printemps prophétise la victoire divine contre ses ennemis, et cette victoire future est imagée par la lumière intense de l’été qui lui succède. C’est pourquoi, Dieu place le ministère de Jésus-Christ, qui a pour but final de détruire les ténèbres et faire triompher le camp de la lumière, sur la saison du printemps. Cette leçon se retrouve dans l’expérience vécue par le peuple hébreu. Plongé dans les ténèbres les plus sombres, il est soumis à l’esclavage et sa souffrance. Plusieurs plaies infligées à l’Egypte ont pour but de contraindre Pharaon à libérer le peuple de Dieu. Mais, il résiste aux neuf premières plaies au prix de terribles souffrances pour son propre peuple égyptien. Alors que la situation paraît insoluble, Dieu utilise une arme décisive qui consiste à faire mourir tous les premiers nés de l’Egypte, ceux des animaux et des hommes. Cette opposition nous révèle le combat invisible de Dieu et du diable auquel la terre a été livrée. Et dans le secret le mieux gardé, Dieu préparait sa victoire contre le diable en offrant la vie de son « premier-né » qui allait dans une chair humaine incarner toute sa perfection divine. C’était là, la signification de la première Pâque instaurée entre le 10ème et le 14ème jour du premier mois de l’année divine. L’agneau était choisi le 10ème jour parmi les agneaux disponibles et cette action prophétisa le début du ministère de Jésus-Christ et le 14ème jour, où il devait être immolé, prophétisait la date du Mercredi 3 Avril 30 en laquelle Jésus fut crucifié par les soldats romains.

La Pâque a prophétisé le projet salvateur conçu par Dieu pour sauver ses élus en les arrachant au péché et son salaire, la mort. Or, le péché consistait à désobéir à Dieu et à contester sa conception de la justice. Il est donc évident que Dieu n’avait et n’a encore aucune raison de sauver l’être humain qui reste dans son attitude rebelle envers lui et ses lois. La chose est encore plus évidente quand on sait le prix qu’il a consenti volontairement à payer, lui-même, en Jésus-Christ, pour racheter la vie de ses élus. Ainsi sous le symbolisme de la fête de la Pâque, Dieu a prophétisé son plan du salut sous l’aspect du retour de ses rachetés aux normes de sa lumière et de sa parfaite justice. Où se trouve le péché dans ce rite de la Pâque ? Dans trois choses : dans l’esclavage égyptien, dans la mort donnée à l’agneau pascal et la mort des « premier-né » égyptiens. Mais le symbole type honoré de ce rite pascal reste « l’agneau » : image de l’élu idéal selon Dieu : docile, pacifique, tendre et confiant. C’est donc pour obtenir des élus conformes à cet idéal, que Dieu s’est incarné en Jésus-Christ pour payer leur péché et leur faire partager « sa justice éternelle » qui n’est pas une simple théorie mystique, mais une transformation de comportement et d’état d’esprit des personnes qu’il sauve. Dieu confirme ce programme en l’imputant au ministère de son Messie, dans Dan.9:24 : « Soixante-dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés (par les élus), pour expier l'iniquité et amener la justice éternelle (par le messie), pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. » Dans ce verset, Dieu fait allusion aux deux grandes fêtes annuelles juives : celle du « jour des expiations » de l’équinoxe de l’automne, « pour expier l'iniquité » ; ensuite, vient celle de « la Pâque » de l’équinoxe du printemps, « et amener la justice éternelle ». Relève dans cet ordre chronologique, la conformité à la forme donnée au jour de 24 heures : « un soir, un matin », « une nuit, un jour », « les ténèbres, la lumière », qui prophétisent, sous diverses formes, la même signification soit, la victoire finale de Dieu, celle de sa « lumière ou du bien » contre « le mal, le péché » et les pécheurs célestes et terrestres.

Portons maintenant notre examen sur l’équinoxe de l’automne. Rattaché au rite du « jour des expiations », l’équinoxe de l’automne image la situation spirituelle mise en route avec l’apparition du premier péché, celui du diable et le deuxième péché commis par Eve et Adam. Mais cette fois, l’attention n’est pas porté sur la justice divine, mais sur son opposé absolu, le péché lui-même. Et de même que l’équinoxe du printemps préparait la pleine lumière, ici, l’équinoxe de l’automne cible le péché qui conduit à l’hiver spirituel soit, la mort qui est son salaire. Mais, en sa mort expiatoire accomplie à la Pâque du printemps, Jésus fait accomplir les deux fêtes : celle de l’offre de la justice et celle de l’expiation du péché. Et en favorisant la Pâque du printemps, Dieu confirme sa future victoire et le caractère provisoire de l’existence du péché qui doit « cesser » ; ce que confirme Apo.6:2, où il est écrit, concernant Jésus-Christ : « Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre. »

Le printemps est situé dans le mois de Mars. Et là, ce terme Mars revêt une signification païenne romaine de divinité de la « Guerre ». Chose qui correspond à l’image de l’équinoxe et de l’opposition du camp du bien contre le camp du mal, mais en réalité, la lutte du mal qui se montre agressif contre le camp du bien.

Le 15 Mars fut marqué historiquement par l’assassinat du dictateur romain Julius Caesar. Ce fait politique donna lieu à l’instauration du régime impérial par son neveu Octave. Le printemps qui suivit cet assassinat fut donc marqué par une situation instable et des oppositions politiques jusqu’à ce que le droit impérial d’Octave s’impose sur tous les camps opposés.

Qu’en est-il en notre printemps 2023 ? C’est le monde entier qui se trouve cette fois partagé en deux camps principaux. Et après une année d’affrontement, l’armée russe et l’armée ukrainienne résistent et se combattent sans que l’une ou l’autre domine nettement sur l’autre. Cette situation est celle qu’image l’équinoxe du printemps, mais aussi de l’équinoxe de l’automne. Et ces deux moments de l’année 2023 seront probablement marqués par des événements graves. L’équinoxe de l’automne sera franchi le Sabbat 23 Septembre. Et cette date pourrait être celle d’un affrontement direct de la Russie avec des armées de l’OTAN. Car cette confrontation directe sera le début de la deuxième phase que Dan.11:40 à 45 décrit en révélant chronologiquement son accomplissement.

Au niveau de la France, notre équinoxe printanier actuel est également marqué par une situation quasi insurrectionnelle, conduisant à une rupture de relation entre le peuple et le camp présidentiel tout entier. Deux conceptions démocrates s’opposent ; celle du peuple et celle des règles créées par les autorités politiques soumises à une présidence autocrate. Appliquées depuis 1958, les règles de la Vème République ont pris un caractère incontournable pour certains, qui oublient que les règles établies n’ont que la solidité basée sur le soutien et l’approbation majoritaire du peuple. Il en est des règles démocrates comme de la paix donnée par Dieu ; les unes et l’autre n’ont qu’un caractère provisoire dépendant du bon vouloir de Dieu. Et les faits actuels révèlent à ses serviteurs que pour Dieu, l’heure est venue de mettre fin aux alliances et unions humaines de tous types. Ce que lance notre équinoxe printanier est l’application de ce que Dieu a déclaré pour l’ancienne alliance dans Zac.11:14 : « Puis je brisai ma seconde houlette Union, pour rompre la fraternité entre Juda et Israël. ». La rupture de « l’union » du peuple français est nécessaire pour affaiblir la puissance militaire de ce pays, ce qui doit favoriser les attaques successives du « roi du midi » musulmans et du « roi du septentrion » russe. Mais une autre « union » à l’échelle européenne va aussi se briser, car l’Europe occidentale originelle a accueilli des pays de l’Est longtemps asservis par la Russie soviétique. Et leur rancœur en fait des partisans plus zélés pour soutenir l’Ukraine envahie par la Russie actuelle que les anciens pays européens occidentaux.

Au niveau interne, la France est divisée depuis longtemps entre les partis de droite et ceux de gauche, puis suite à l’installation des musulmans sur le sol de France après la fin de la guerre d’Algérie, une autre division est apparue avec le Front National. Mais ces divisions ont réussi à cohabiter néanmoins à cause de la domination de la pensée unique imposée par la gouvernance européenne. Aussi, pouvons-nous retrouver dans la représentation actuelle des députés, la quasi disparition des deux partis politiques, la droite républicaine et le camp socialiste, qui ont géré successivement la politique de la France et ont porté la responsabilité de sa ruine économique constatée aujourd’hui. Aussi, la France se retrouve dans une situation politique extrêmement conflictuelle parce que la majorité présidentielle actuelle est construite artificiellement et n’a pas le soutien populaire souhaitable. Majoritaire par des alliances, cette majorité a contre elle deux camps opposés l’un contre l’autre, l’un de gauche, l’autre étant le Rassemblement National de droite. Une ambiance haineuse oppose tous ces groupes ce qui rend le pays ingouvernable ou uniquement gouvernable par le détesté article 49 alinéa 3 qui enflamme à lui seul la colère des travailleurs et de la jeunesse.

La situation de l’équinoxe s’est appliquée dans tous les peuples occidentaux dans lesquels l’aspect politique a reposé sur une séparation binaire des engagements des députés représentants de ces peuples. L’acceptation des règles démocratiques a rendu possible et pacifique cet affrontement politique permanent. C’est dans ce même temps que les peuples ont été absorbés par l’idée de consommer, d’acheter, les produits modernes réalisés par le progrès scientifique. Une liberté quasi libertaire a été donnée aux peuples en échange de leur désintérêt pour les choix économiques et politiques réalisés. C’est de cette manière que les règles du capitalisme se sont imposées dans tout le camp occidental. Mais, nous découvrons aujourd’hui l’inconvénient de cet excès de libération des mœurs, car cette liberté a engendré des êtres humains capricieux et exigeants qui ne supportent pas la contradiction comme les « enfants gâtés » qu’ils sont devenus. Comme la génération de Mai 68, ils reprennent et appliquent le slogan « il est interdit d’interdire ». Parce que le charme anesthésiant de la paix et de la consommation n’opère plus, la crise fait apparaître la dure réalité de la situation actuelle désastreuse. Mais la découverte du désastre ne fait que commencer en ce début de l’année divine marqué par l’équinoxe du printemps, car le renchérissement du coût de la vie dû à l’arrêt de la fourniture du gaz russe va encore intensifier le drame européen occidental.

J’ai déjà expliqué que la crise actuelle n’a rien de naturelle mais que le Dieu créateur l’a construite afin de pousser « les nations à s’irriter ». Et c’est précisément par cette expression que l’Esprit désigne la Troisième Guerre Mondiale dans Apo.11:18 : « Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. »  L’actualité de ce jour du printemps nous donne l’explication de cette « irritation » des nations occidentales. En effet, à Moscou, le président russe reçoit avec honneur et amitié le président chinois. Et cette rencontre officielle le lendemain du jour où le tribunal de la Haye a lancé un ordre d’arrestation de Vladimir Poutine pour crime de guerre est un camouflet pour ces instances judiciaires européennes prétendument internationales. En fait, cette rencontre ne fait que révéler que la domination occidentale n’avait d’internationale que le nom et la prétention, car visiblement, des milliards d’hommes et de femmes ne l’ont pas reconnue, ni légitimée, puisque au contraire cet autre camp se rassemble pour s’opposer au dictat occidental. La dernière « irritation » de ces nations occidentales est donc causée par la remise en cause de sa suprématie universelle par le reste des autres nombreux peuples. Or nous sommes suffisamment avancés et éclairés pour comprendre comment Dieu a préparé, « l’irritation des nations » qui va les conduire à s’entretuer.

En 2019, il a suffi de créer le virus du Covid-19 pour que l’épidémie mortelle provoquée fasse paniquer les jeunes et moins jeunes dirigeants des peuples occidentaux. En France, le jeune président Macron étaient si paniqué que laissant l’initiative au corps médical,  la population a été contrainte à se confiner et à stopper toutes ses activités professionnelles et ceci, sur une durée de deux années. La France est sortie de cette épreuve encore plus affaiblie et plus endettée. Et c’est cette France ruinée qui a été confrontée au problème survenu en Ukraine. Obéissant de manière spontanée à sa nature arrogante et épidermique, le président des Français s’est cru en devoir de prendre parti pour le faible contre le fort, soutenir l’agressé contre l’agresseur. Le célèbre « Zorro » n’aurait pas agi autrement, mais ici nous ne sommes pas dans la fiction mais dans la réalité, et le choix réalisé a fait d’une France ruinée l’ennemie mortelle de la puissante Russie. Ainsi, à la ruine créée par le virus mortel, s’ajoute la ruine due à l’abandon du gaz russe et aux sanctions prises contre ce pays. Mais bien que ruinée, dans un engrenage qui l’entraîne, la France se voit contrainte à soutenir financièrement la guerre des Ukrainiens. Que de raisons pour conduire à l’ébullition cette France ruinée et son peuple qui en subit les conséquences.

Un dernier sondage des Français révèle qu’ils souffrent du mépris. A juste titre, les Français réalisent qu’ils sont manipulés par des hommes politiques qui n’ont que faire de ce qu’ils pensent et souhaitent. Ce témoignage est très important car Dieu leur impose ce qu’ils lui font personnellement subir depuis des siècles d’histoire, mais particulièrement depuis 1789, date de leur Révolution Nationale. Dans les temps de crise, les victimes cherchent les responsables qui l’ont provoquée. Il faudrait en effet redemander des comptes aux hommes politiques qui se sont succédé pour présider sur la France et leur demander comment, par leurs choix politiques et économiques successifs, cette nation a perdu sa quatrième place mondiale des pays riches qu’elle occupait au temps du Général de Gaulle, Ils l’ont tous constamment trahie en préférant écouter et obéir aux injonctions du capitalisme anglo-américain imposé par le gouvernement européen mis en place pour assujettir les peuples de l’Europe Unie. Et dans notre actualité, la crise provoquée par la loi qui prescrit la retraite à 64 ans est de cette origine. Elle est exigée par la gouvernance financière européenne et en bon européen, le président Macron ne peut que la soutenir. Mais le peuple s’est braqué et n’en veux pas … et un bras-de-fer s’engage entre le roi et son peuple. Qui va obtenir gain de cause ?

En résumé, nous savons que depuis le mois de mai 1968, la France s’est nourrie d’un lait de rébellion. A son tour, cette génération toujours rebelle a accédé au pouvoir et faut-il s’étonner qu’après des successions de générations rebelles vienne une génération encore plus rebelle ? Non bien sûr ! Cette évolution était inévitable comme le fut la situation d’Israël jusqu’à sa destruction nationale en l’an 70 de notre ère, par les Romains, selon Dan.9:26 ; mais aussi en – 586 où le roi Nébucadnetsar l’avait détruite pendant 70 ans prophétisés par le prophète Jérémie.

J’ai souvent dénoncé le caractère cynique et arrogant du jeune président Macron mais j’avais oublié de lui imputer également son comportement méprisant que le peuple de France lui reproche aujourd’hui. En la matière, il a travaillé auprès d’un maître du genre, François Hollande dont il fut le conseiller financier avant de devenir son ministre de l’Economie. Or, la compagne de Mr Hollande avait révélé qu’il témoignait d’un grand mépris pour les pauvres qu’il appelait selon ses propos « les sans dents ». En ajoutant ces faits, nous comprenons que la Vème République a créé une caste privilégiée de gens riches qui se succèdent au pouvoir présidentiel de la France. En sorte que cette Vème République a rétabli les privilèges que la première République a voulu abolir. Aussi, ne faut-il pas nous étonner si une pensée révolutionnaire renaît aujourd’hui dans les esprits du peuple méprisé. La seule question qui se pose encore aujourd’hui est : jusqu’où Dieu laissera t-il aller cette nouvelle Révolution ?

Sachant que toute vie est dépendante de Dieu, nous pouvons comprendre que les causes qui enflamment les colères humaines n’ont pas de valeur en elles-mêmes. Elles apparaissent parce que Dieu libère les démons pour qu’ils réveillent et exploitent tous les sujets de haine qui opposent les êtres humains. Ainsi, la décision de devoir travailler jusqu’à 64 ans n’est pas de nature à déclencher la colère humaine, sauf, si Dieu le veut. A cause d’un manque d’annuités, j’ai personnellement été autorisé à passer en régime retraite à l’âge de 65 ans et quand j’ai eu 60 ans la retraite de vieillesse accordée aux étrangers immigrés du même âge m’a été refusée conformément aux règles de l’époque. Aussi, selon moi, l’âge de la retraite pose un problème parce que la même règle veut être appliquée à tous, ou tout au moins, au plus grand nombre. Or, Dieu lui-même ne fait pas mourir les humains au même âge, et les conditions de travail sont extrêmement différentes y compris au niveau du vécu pour chaque individu. Pour certains et certaines professions, le travail est stimulant et agréable et ceux qui l’exercent ne sont pas pressés de l’abandonner pour la retraite. Mais d’autres professions usent littéralement les corps physiques des hommes et pour ces personnes là, le temps de la retraite est très raccourci. C’est pourquoi la gestion comptable technocrate du gouvernement français actuel est incapable de solutionner équitablement ce sujet au caractère si individuel.

Un autre critère explique pourquoi le peuple français ne donne plus de légitimité au gouvernement actuel. Entre 1958 et 2022, une énorme différence est à relever. Elle concerne le taux d’abstention des électeurs qui, au fil des années, a atteint en 2022 entre 40 et 60%. En conséquence, la victoire du président Macron est réellement soutenue par à peine 25% du peuple français entier, voire moins. Et ce faible chiffre rend son comportement manipulateur, arrogant et méprisant, encore plus insupportable pour les 75% qui ne l’ont pas élu de même que ses députés qui n’ont pas obtenu une majorité absolue.

Le conflit est apparu avec le premier péché commis par le premier ange créé en vis-à-vis par Dieu et ce péché a été pour lui la cause d’une souffrance qu’il a voulu révéler dans le processus du cycle des quatre saisons terrestres selon le principe suivant :

Le printemps : Le début du jour. C’est le temps lumineux du bonheur où Dieu crée son premier vis-à-vis.

L’été : le plein jour. C’est le moment où Dieu crée des multitudes de vis-à-vis angéliques obéissants.

L’automne : Le début de la nuit. C’est l’heure où le premier vis-à-vis entre en rébellion contre Dieu et commet le premier péché de l’histoire de la vie. En conséquence, le châtiment nécessite la création de la mort qui sera infligée à terme à tous les pécheurs. Car selon Rom.6:23 : « le salaire du péché c’est la mort ».

L’hiver : La pleine nuit. C’est le moment où en nombre, les pécheurs se regroupent et forment un camp adversaire opposé au camp de Dieu.

Ce principe se renouvelle pour la création terrestre

Le printemps : la Création d’Adam juste et innocent.

L’été : la création d’Eve juste et innocente.

L’automne : Adam et Eve pèchent contre Dieu et perdent leur innocence et sont frappés par la mort avec toute la création végétale et animale.

L’hiver : Caïn tue par jalousie son frère Abel. Les homicides et les meurtres se multiplient. La mort règne sur l’espèce humaine entière et sur tous les végétaux ou presque.

Ce 22 Mars 2023, le président Macron s’est exprimé dans une interview télévisée diffusée à 13 h. Fidèle à lui-même, droit dans ses bottes (dans sa tête), il a confirmé la nécessité de sa loi sur la retraite à 64 ans qu’il déclare indispensable. Souhaitant tourner la page, il s’est engagé sur l’annonce de nouveaux chantiers concernant le travail et ses conditions. Son entêtement a pour conséquence d’irriter davantage les travailleurs grévistes et leurs syndicats. La France est soumise à une situation insoluble car deux légitimités s’opposent. La main de Dieu a façonné la chose, car il faut le relever mais, que ce soit au sujet d’Israël et de la Palestine depuis 1948 et du statut de Jérusalem et de ses « lieux saints », ou en France au sujet de la représentation actuelle des députés, au sujet de l’Ukraine et la Russie, ou au niveau mondial, au sujet de l’opposition de deux blocs opposés, le principe de l’équinoxe domine avec son caractère conflictuel insoluble. Le premier printemps des sept dernières années est fortement marqué par le Dieu créateur et son message est clairement l’annonce de sept années de continuité de conflits jusqu’à son retour glorieux en Jésus-Christ. Ces diverses situations reposent le problème évolutionniste de « l’œuf et de la poule » ; qui a fait l’autre ? Le peuple français a instauré sa démocratie et les lois qui la régissent. Mais jusqu’où cette loi doit-elle être considérée comme supérieure au peuple qui l’a établie ? Comme l’indique son numéro 5, la République actuelle a remis en cause, la 4ème, en 1958. La loi peut donc être changée quand le peuple l’exige. Elle n’a en fait que la légitimité que le peuple lui donne. En 1793, le roi Louis XVI a perdu sa tête pour s’être opposé à la volonté du peuple français révolutionnaire…

Le lundi 26 Mars, le président Macron devait accueillir avec grands honneurs, à Versailles, le roi d’Angleterre Charles III. La visite allait s’effectuer dans un contexte de colère populaire, de grèves et de grand désordre. Profondément humilié, le président français a été contraint de repousser cette visite à des temps plus favorables. Humilié auprès de ses semblables européens et irrité, il va entrer à son tour dans une grande colère rageuse ; la guerre civile n’est donc plus loin. Dans le même temps, il doit se rendre en Chine où le spectacle de la vie française va amplifier son humiliation.

 

 

 

Démocratie et technocratie

 

La démocratie ne peut pas satisfaire tout le monde puisque son principe repose sur la nécessité de trouver des idées qui font consensus et sont partagées et acceptées par des multitudes de gens aux idées et caractères très différents. La démocratie ne peut fonctionner que par l’acceptation de tous de renoncer volontairement à certaines exigences insuffisamment partagées. Le principe ancien, celui de la monarchie veut que le dominateur impose ses idées au reste de la société. Et il est utile de revoir la cause qui conduisit le peuple de France à renverser sa monarchie à partir de 1793. Le peuple de France avait supporté sans se révolter des siècles de régimes monarchiques despotes et cruels. Ce n’est qu’avec l’imprimerie de la sainte Bible, qu’une résistance et une opposition guerrière entre en lutte interne contre la monarchie catholique romaine. En fait, dévoilant les mensonges enseignés par cette religion romaine, la Bible suscita des adeptes dignes de l’élection divine et très vite des héritiers de la foi dite « réformée » pour qui l’engagement religieux était comme un engagement politique. Attaqués, ils ne pensèrent qu’à défendre leur vie, en tuant par l’épée, la lance ou le mousquet pour ne pas être eux-mêmes tués. La foi véritable est rare et individuelle, en sorte que l’enfant n’hérite que rarement l’intensité de foi de son ou ses parents. Louis XIV organisa le corps spécial des « dragons » afin de pourchasser et contraindre à l’abjuration de leur foi protestante, les nouveaux convertis, dans tout le royaume de France. Au Sud-Est du Massif Central, dans la région des Cévennes, la chasse aux Huguenots fut terrible et terriblement efficace. La foi devint clandestine et de manière vitale, cachée. C’est pourquoi, dans Apo.12:6 et 14, l’Esprit évoque ce temps d’épreuve de 1260 années par le symbole du « désert » : « Et la femme s'enfuit dans le désert, où elle avait un lieu préparé par Dieu, afin qu'elle y fût nourrie pendant mille deux cent soixante jours…/…Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin qu'elle s'envolât au désert, vers son lieu, où elle est nourrie un temps, des temps, et la moitié d'un temps, loin de la face du serpent. »

Après Louis XIV, son successeur Louis XV, jouisseur éhonté meurt après une vie de débauche continuelle en laissant derrière lui une France entièrement ruinée. Et c’est donc par le moyen de cette ruine et d’une grande pauvreté marquée par la famine que la colère du peuple français va être suscitée par Dieu. Ce mot « famine » désigne littéralement la privation de la nourriture charnelle mais aussi, spirituellement, celle de la nourriture spirituelle. Les persécutions catholiques ont privé les Français de la nourriture spirituelle de la Bible et à cause du soutient et de l’approbation donnés par le peuple à la foi catholique, Dieu lui a imposé la privation et le renchérissement du pain. La Révolution française a son origine dans cette rareté d’offre de pain et c’est parce qu’elles n’en trouvaient plus que des femmes du peuple, des ménagères mères de familles, manifestèrent bruyamment. Et en peu de temps, Paris s’est insurgé et rebellé contre le pouvoir monarchique et son gouvernement. Dans Lév.26:23 à 26, Dieu rattache au même châtiment ces deux choses : « l’épée vengeresse et la famine » soit, « la bâton du pain, brisé » : « Si ces châtiments ne vous corrigent point et si vous me résistez, je vous résisterai aussi et je vous frapperai sept fois plus pour vos péchés. Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi. Lorsque je vous briserai le bâton du pain, dix femmes cuiront votre pain dans un seul four et rapporteront votre pain au poids ; vous mangerez, et vous ne serez point rassasiés. » Ainsi, dans une divine sagesse, le châtiment imposé par Dieu s’applique au pain charnel et au pain spirituel, rendus aussi rares l’un que l’autre. C’est alors que nourrie de pensées amères et cruelles, la Révolution va jouer son rôle d’épée vengeresse divine en faisant tomber par la guillotine des multitudes de têtes dans les deux camps coalisés des ennemis de Dieu : la monarchie catholique et le papisme catholique romain. Les théories scientifiques évolutionnistes vont tuer dans les esprits les révélations divines, et les pensées athées des libres-penseurs vont durablement faire oublier la nécessité de la vraie foi. S’appuyant sur les modèles grec et romain, la France républicaine va se construire sur un régime démocratique. Au fil du temps de remise en cause en remise en cause, elle a expérimenté 5 formes de Républiques. Certains de ces changements ont été obtenus au prix du sang versé. Et ces divers essais ont apporté la preuve que le régime de la démocratie n’apporte pas la solution idéale que les êtres humains recherchent vainement.

L’être humain finit toujours par subir les conséquences de la liberté qu’il se donne. Le problème soulevé est si complexe qu’en régime démocratique, l’homme passe son temps à établir des lois pour tenter de répondre aux situations qui se présentent. L’apparition de nouveaux critères nécessite de les revoir, de les corriger ou même de les abroger pour les remplacer.

Dans la vie selon Dieu, des règles précises ont été prescrites et cette situation présente l’avantage de limiter les besoins de mises à jour. Car plus la liberté individuelle est restreinte et respectée, moins il y a de possibilités de voies libres ouvertes pour la rébellion. Mais autant le dire, un rebelle trouvera toujours une bonne justification pour se rebeller contre tout ordre établi, divin ou pas. Dans le régime de Dieu, le bonheur repose sur le contentement, la satisfaction ressentie par la communion avec Dieu quand elle redevient possible. Et en dehors de l’obéissance légitime qui lui est due, le grand Dieu créateur laisse une grande liberté d’action à ses créatures soumises et reconnaissantes. De même que la femme satisfaite par son mari ne cherche pas un amant, l’enfant de Dieu comblé par la bonté et la fidélité de Dieu ne cherche pas d’autres sources de plaisirs renouvelables à l’infini. Et en ce temps du printemps 2023, je ressens ce lien avec ce grand Dieu créateur qui a fait du printemps le premier jour de l’année pour tous ceux qui lui appartiennent, après s’être réconciliés avec lui par le moyen de leur reconnaissance de leur rédemption par « l’agneau » Jésus-Christ. Sans ce contentement spirituel, l’esprit humain est un gouffre insatiable. Il est et reste constamment, la proie du désir charnel aux multiples facettes qui concernent la consommation des femmes, des hommes, et pour les plus pervers, des enfants, et tous les biens terrestres inventés, produits et vendus sur le marché universel. Mais pour s’offrir ces choses, il faut de l’argent, encore et beaucoup d’argent. Et c’est là que la crise économique et la ruine vient priver l’enfant gâté, capricieux, convoiteur des choses qu’il ne peut plus obtenir. Le résultat est une colère qui recherche des responsables, très vite identifiés. Il est vrai que les situations sont crées par les dirigeants politiques des nations, mais si ceux-ci ont mal agi et sont légalement coupables, cela n’ôte pas la responsabilité de ceux qui les ont laissés agir sans intervenir, car dans le régime de la démocratie, le peuple délègue son pouvoir à des députés, ministres et présidents qui le représente. Et c’est à leur insouciance et leur désintérêt politique que les gens du peuple doivent leur sort et leur destin. C’est pourquoi, je rappelle encore ici, que le grand Dieu créateur contrôle toute la vie dans tous ses domaines et aspects, religieux, politiques, économiques, idéologiques, scientifiques …etc. Il met en place les gouvernants de toutes les nations selon ce que méritent les peuples. Les temps de prospérité et de détresse lui sont dus depuis Adam et Eve jusqu’à notre époque. Chaque jour, dans notre vie, nous découvrons l’actualité que Dieu a toujours connue, dès avant sa création terrestre. Mais ses ennemis, ne voient pas leur limitation et pour eux l’avenir est toujours regardé comme un temps de réalisation du grand projet, du bonheur universel sans cesse recherché et espéré. Et que cherchent-ils sans cesse ? Le régime idéal, l’homme idéal, le chef idéal ; mais ils ne les trouvent pas. Et au sujet de ces choses, il y a beaucoup de concurrence ; on se compare, on se confronte et finalement on s’affronte dans des luttes guerrières monstrueusement tueuses. C’est ainsi que notre humanité contemporaine va être successivement soumise à une grande ruine et famine charnelle et spirituelle avant d’être grandement détruite par « l’épée vengeresse » de Dieu accomplie par sa « sixième trompette » d’Apo.9:13.

Au fil du temps, de République en République, en France l’instruction laïque donnée aux enfants a formé des gens de plus en plus instruits, ceci ayant été particulièrement favorisé par la longue paix donnée par Dieu entre 1945 et notre temps actuel. Mais je le rappelle, l’instruction ne fait pas obligatoirement l’intelligence, car la véritable intelligence est un don de Dieu qu’il réserve uniquement à ceux qu’il en juge dignes soit, ceux qui font choix de vouloir lui plaire et d’apprendre à le connaître, pour mieux le servir. Oublions donc un instant cette rareté terrestre dispersée dans la masse des populations terrestres et regardons le fruit porté par cette éducation laïque. Ce type de créature peut être reconditionné à souhait. En chaque époque, au grès des changements moraux, la norme approuvée est la dernière adoptée légalement. Ce qui était le bien et le mal est inversé et l’homme instruit et diplômé trouve dans ces changements de jugement la preuve de son élévation mentale. C’est devant cette situation que nous pouvons comprendre l’énorme nécessité d’être limité par la révélation divine qui décrit et prescrit ce que sont le bien et le mal selon Dieu. En enlevant, ce frein, cette barrière, le dérapage et la mort sont inévitables. Et pour les avoir retirés, les humains rebelles s’inventent de nouvelles causes et façon de mourir de manière continuelle permanente : la route tue, la fumée tue, l’alcool tue, les drogues tuent, les médicaments tuent en soignant des maladies spécifiques, mais aussi, les religions tuent jusque dans le monothéisme et bien sûr, faites dans ce but, les guerres tuent des vies créées par Dieu.

Les grandes écoles françaises ont instruit et préparé les élites qui gouvernent la France. Si l’admission dans ces écoles était sélectionnée par Dieu, ces élites seraient dignes de cette charge. Mais ce n’est pas le cas, car ce qui justifie l’admission dans l’Ecole National de l’Administration c’est l’argent, la richesse et la fréquentation de la nouvelle noblesse républicaine. Des fils de riches, authentiques cancres, obtiennent leur diplôme d’Etat pour satisfaire les exigences parentales et ensuite, ils font carrière et accèdent à des postes dirigeants importants. Et leur mauvaise nature n’a pas changé et ils gèrent les affaires d’Etat avec le même désintérêt qu’ils témoignaient pour les études. Où est donc le diplôme qui récompense et authentifie la véritable équité ? Que peut devenir un pays géré par de si ténébreux personnages ? C’est l’impossibilité de répondre à ce critère qui explique les dérives, les trahisons, les renoncements qui ont retiré à la France son bien le plus précieux : sa réelle indépendance. Car ce problème me conduit à aborder le deuxième sujet de cette étude : la technocratie.

 

Ce terme technocratie est composé de deux mots d’origine grecque : techniké pour technique et cratos pour Etat soit, la gouvernance technique. En France l’ENA est l’école chargée de préparer des techniciens du sujet étatique. On sait que l’école enseigne des choses théoriques car l’élève enseigné absorbe comme un buvard les leçons qui lui sont données. Et une grande partie des choses apprises va en effet permettre de gérer des situations complexes avec efficacité. Mais, car il y a toujours un « mais », entre la théorie et la réalité sur le terrain, l’ancien élève découvre l’existence d’innombrables problèmes dont on ne lui a pas parlé pendant ses études. La vie est difficile à résumer d’une manière théorique, car des tas de critères la conditionnent. L’application des règles apprises est facile à l’échelle d’une ville, plus difficile à l’échelle d’un pays, et encore plus difficile au sein de l’Union Européenne. Face aux difficultés, l’Enarque s’agrippe à son savoir et son savoir-faire, et il impose en technicien diplômé, son point de vue, s’appuyant avec confiance sur l’autorité que lui confère sa charge. Dans cette attitude, l’homme politique ne réfléchit plus, il applique ce qu’on lui a appris. C’est ainsi que la France a remarqué un grand changement dans sa politique et sa gestion de l’Etat dès que l’organisation de l’Europe Unie a pris sa gouvernance. Très loin du terrain, les commissaires européens ont imposé leurs directives. Tout cet organisme s’est construit par l’activité des premiers technocrates installés à Bruxelles en Belgique. Loin des peuples, une armée de théoriciens spécialisés ont étudié et mis en route le moyen de gouverner les nations engagées dans l’alliance européenne. Et ce qui est arrivé à notre pays France me fait penser à l’expérience d’Israël qui avait le privilège d’être gouverné par Dieu en sa présence. Mais Israël a rejeté cette présence divine et a préféré devenir esclave des caprices de ses rois avec toutes les malédictions qu’ils ont représentées pour cette nation plus souvent maudite que bénie. La France a fait de même, elle a renoncé à sa liberté et son indépendance pour se placer sous le joug des exploiteurs de tout genre, les investisseurs financiers des grandes banques mondiales et européennes. Et sa part de malédiction lui revient sous forme d’une paralysie complète, d’un asservissement complet, de l’impossibilité de diriger son propre destin.

Nos jeunes technocrates ne sont pas tous des cancres, car il en est parmi eux quoi sont des surdoués, aux capacités dirigeantes impressionnantes tant ils réussissent à séduire et convaincre leur entourage proche. Le président Macron est l’un de ceux-là, et le jeune président actuel de l’Ukraine en est un autre exemple. Ces hommes subjuguent leurs partisans qui les idolâtrent. Mais l’autorité dont ils font preuve est le fruit d’un orgueil démesuré accompagné d’un esprit rebelle caractéristique de notre époque. Et ce printemps 2023 marque le vrai commencement du « temps de la fin » prophétisé, dans Dan.11:40, temps de la fin qui s’allonge sur sept dernières années soit, la dernière semaine d’années prophétiques. Le déferlement de violence quasi insurrectionnelle auquel nous assistons en France républicaine vient confirmer le portrait robot que l’apôtre Paul a prophétisé dans sa lettre adressée à son jeune compagnon de service nommé Timothée selon 2 Tim.3 :1 à 7 : « Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là. Il en est parmi eux qui s'introduisent dans les maisons, et qui captivent des femmes d'un esprit faible et borné, chargées de péchés, agitées par des passions de toute espèce, apprenant toujours et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité. De même que Jannès et Jambrès s'opposèrent à Moïse, de même ces hommes s'opposent à la vérité, étant corrompus d'entendement, réprouvés en ce qui concerne la foi. Mais ils ne feront pas de plus grands progrès ; car leur folie sera manifeste pour tous, comme le fut celle de ces deux hommes. » C’est bien dans cette description que nous retrouvons ces jeunes nommés les « black blocs » qui mettent le feu aux poubelles dans Paris et d’autre grandes ville de France dans notre actualité. Mais ces groupes ne sont que les précurseurs des comportements rebelles qui vont encore apparaître. Ce ne sont là que les premières douleurs qui frappent les populations occidentales et en rôle historique prépondérant, en France, où la foi a été mortellement atteinte. Dieu tire vengeance contre la nation qui a osé le défier et le mépriser, en première. Et cette vérité historique a eu pour conséquence la construction de la science médicale moderne, basé sur l’interventionnisme humain : du vaccin découvert par Pasteur jusqu’au vaccin contre le Covid-19 du laboratoire américain. Mais, la science médicale peut être considérer comme légitime tant qu’elle traite des maladies dont les causes sont visibles et constatables. Là où elle cesse de l’être, c’est quand elle prétend soigner les maladies de l’esprit humain alors qu’elle ignore l’existence des vies invisibles des mauvais anges et des bons. Si le médecin ne prend pas en compte l’intégralité des critères, il est certain que son diagnostic ne peut qu’être faux. Et ce sujet me conduit à rappeler que les êtres humains sont d’une seule espèce et qu’à part certaines particularités d’aspect, nous sommes tous conçus sur une même norme type héritée depuis Adam et Eve. Les maladies de l’esprit ne se concrétisent pas, ou rarement, par des symptômes visibles par les yeux du soignant, fut-ce après le passage du cerveau au « scanner ». La présence d’une tumeur maligne peut être découverte mais dans ce cas, le soin nécessaire n’est plus celui du psychiatre mais celui du médecin, ou du chirurgien spécialisé. Les vrais troubles de l’esprit humain sont dus comme au temps de Jésus à des actions des démons invisibles. Il pouvait en Dieu créateur guérir toutes les sortes de maladies, mais il était réellement seul capable de guérir les maladies de l’esprit. Ecoutons-le donner ce témoignage au sujet de « deux démoniaques furieux » venus vers lui au « pays des Gadaréniens », selon Mat.8:28-29 : « Lorsqu'il fut à l'autre bord, dans le pays des Gadaréniens, deux démoniaques, sortant des sépulcres, vinrent au-devant de lui. Ils étaient si furieux que personne n'osait passer par là. Et voici, ils s'écrièrent : Qu'y a-t-il entre nous et toi, Fils de Dieu ? Es-tu venu ici pour nous tourmenter avant le temps ? » Ici déjà, ces démons confirment l’enseignement d’Apo.7:2-3 : « Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant ; il cria d'une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer, et il dit : Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. » La réflexion des deux démons témoigne de ce qu’avant la mort victorieuse de Jésus, ils savaient déjà qu’un châtiment mortel dans « les tourments de la seconde mort » leur était réservé. Mais ils ne connaissaient pas le projet salvateur de Dieu qui allait reposer sur son incarnation terrestre en Jésus-Christ. Ils attendaient le temps, mais ignoraient le moyen par lequel Dieu allait pouvoir les condamner à mort en toute justice. Et cet échange est un aliment pour la foi des élus, car il atteste, divinement, l’existence des esprits démoniaques que la science humaine refuse de prendre en compte. Les médicaments imposés aux malades de l’esprit brisent leurs réactions physiques, mais ne chassent pas les démons qui dominent et dirigent l’esprit du malade possédé. A défaut d’une intervention divine, la seule guérison possible est obtenue si les démons choisissent eux-mêmes de quitter l’esprit humain habité et possédé, mais aucune médecine humaine ne peut les y contraindre. Or, les cas des possessions cités dans la Bible sont uniquement révélés par des comportements anormaux extrêmes. Ils ont l’avantage de faire oublier que l’humanité entière est possédée si Jésus ne l’habite pas. Et que sont ces comportements rebelles constatés dans notre actualité, sinon les fruits d’une humanité possédée par le diable et ses démons ? Nous ne naissons pas innocents, mais coupables, héritiers du péché et possédés par Satan et ses démons. Seule l’authentique conversion reconnue par Jésus-Christ peut nous délivrer de ce mortel héritage et, uniquement, de manière individuelle, sous condition de conformité à la norme fixée par Dieu.

En choisissant d’adopter un régime démocratique, la France  a renouveler les expériences historiques successivement grecques et romaines. Or, l’expérience démocratique la plus ancienne est celle de la ville grecque Athènes. C’est là qu’est née la première forme connue du régime démocratique et les grecs ont avant nous essayé des formes diverses de ce gouvernement de la ville, et après eux les Romains aussi, sans jamais se satisfaire des choix expérimentés. Si bien qu’à Athènes de régime en régime un homme nommé « Thrasybule » (– 445 – 389 ) s’est comporté en dictateur, vers la fin de l’indépendance de la République d’Athènes transformée ensuite par Rome en colonie romaine. Si je cite le nom de ce « Thrasybule » c’est parce que dans une lettre adressée à Henri, roi de France, le prophète Michel Nostradamus a cité son nom pour prophétiser la domination d’un dernier dictateur par lequel la démocratie française doit achever son cycle gouvernemental historique. Tout ce qui concerne ce « Thrasybule » prophétisé semble décrire le style du président Emmanuel Macron, toujours droit dans ses bottes, attaché à l’ordre, et autoritaire. Confronté à l’opposition du peuple français qui ne supporte plus son arrogance et la légitimité de sa gouvernance autoritaire très discutable, le jeune président toujours trop sûr de lui et de son bon droit va d’un jour à l’autre entrer dans la peau de ce « Thrasybule » prophétisé. Cet accomplissement confirmera ainsi l’annonce d’un prophète très controversé mais dont la capacité à prophétiser des faits a déjà été reconnue, dès son époque.

Le Thrasybule grec fut rejeté par les Athéniens et s’exila à Thèbes. Avec des soldats il revint et s’empara d’Athènes. Son action se caractérise par sa volonté à imposer le régime démocratique dans les peuples environnants. Et je pense trouver là, le point commun entre ce Thrasybule grec et notre époque en laquelle, grand soutien de l’Europe Unie, le président Macron se fait un devoir de soutenir, en l’armant, l’Ukraine démocratique dont l’indépendance est menacée par la Russie. Sombre présage, le Thrasybule grec finit tué par les citoyens d’Aspendos … Pour diriger le pays le plus irréligieux de la terre, Dieu a choisi un homme dont le prénom Emmanuel signifie : Dieu avec nous. Qui peut dire que Dieu n’aime pas l’humour… grinçant. Mais on peut aussi voir là l’image d’un peuple incroyant rebelle qui rejette et veut tuer « Dieu avec nous ». Le président Macron partage avec le Thrasybule grec son rejet de la part de son peuple. Après son premier mandat révélateur de sa personnalité, majoritairement, les Français ne voulaient plus de lui. Mais les circonstances organisées par Dieu l’ont fait réélire pour un deuxième mandat. Les sentiments des Français n’ayant pas changé à son égard, le président mal élu reste détesté par la majorité du peuple. Tout homme intelligent, conscient de la situation, se montrerait très prudent pour ne pas irriter davantage ce peuple hostile. Lui, au contraire, se comporte avec l’arrogante autorité d’un président élu et choisi par tout son peuple. « La lettre tue mais l’esprit vivifie » dit la Bible. Emmanuel Macron est bien président selon la lettre mais il ne l’est pas selon l’esprit, comme en témoigne la haine que lui voue le peuple des travailleurs français auquel, à défaut de majorité absolue législative, il impose ses décisions par l’usage systématique de l’article 49 alinéa 3.

 

 

Foi, intelligence et sagesse

 

Ce sont là, les trois piliers du salut proposé par Dieu.

La foi : La vraie foi est la confiance placée en Dieu soit, la prise en compte de toutes ses révélations bibliques. Et à ce titre ce verset cité dans Héb.11:6 prend tout son sens : « Or sans la foi il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. » D’autre part, convenablement traduit, ce verset Rom.6 :23 condamne l’attitude du doute : « Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu'il mange est condamné, parce qu'il n'agit pas par conviction. Tout ce qui n'est pas le produit d'une conviction est péché. » Or, dans l’original grec, le mot traduit par conviction est le mot foi. En fait, dans ce verset le traducteur L.Segond a raison d’utiliser le mot conviction qui est le contraire du mot doute. Car je rappelle que Paul se penche sur un problème d’attitude très personnelle face aux viandes sacrifiées aux idoles, et ici uniquement de ce sujet. Il ne remet donc pas en question les normes établies par Dieu, mais uniquement les deux manières de réagir au sujet de ces viandes sacrifiées aux idoles. Son raisonnement est le suivant : Celui qui a la foi forte sait qu’il n’existe qu’un seul vrai Dieu ; ce qui implique l’idée que les viandes sont sacrifiées vainement à du vent, par les païens. A ce titre, il s’autorise à en manger. A l’inverse, celui qui voit, dans le fait d’en manger une offense faite à Dieu, juge qu’il ne doit pas en manger. Et Paul le juge faible en la foi, parce qu’il reste prisonnier des préjugés basés sur la lettre de l’Ecriture et non sur l’esprit humain et l’Esprit divin qui la vivifient. Ainsi, pour Dieu et Paul, les deux comportements sont justifiés dans la mesure où chacun des deux types de croyant agit en conformité avec ce qu’il croit être bon. C’est pourquoi le mot conviction convient parfaitement. Mais il ne peut pas remplacer le mot foi partout, et seul le contexte du sujet étudié le justifie ou pas. Le meilleur moyen d’éviter l’attitude du doute est de construire notre jugement sur les déclarations écrites de la Bible dont les leçons données sont toutes des leçons qui visent à édifier la vraie foi. En accomplissant la volonté révélée de Dieu ; il n’y a plus de risque de donner des mauvaises interprétations à sa volonté. Et dans Rom.14:6, Paul dit encore : « Tel fait une distinction entre les jours ; tel autre les estime tous égaux. Que chacun ait en son esprit une pleine conviction. » Là encore, Paul évoque un sujet qui concerne la libre opinion que Dieu laisse à chacune de ses créatures, après qu’elle ait obéi aux normes de ses lois : « Faites accueil à celui qui est faible dans la foi, et ne discutez pas sur les opinions. » Car la vraie foi ne dépend pa              s d’une opinion, mais d’une obéissance à une volonté divine révélée. Donc, écartant le respect dû au saint sabbat sanctifié au saint repos par Dieu, Paul évoque la possibilité pour chacun d’organiser sa vie spirituelle sur les six premiers jours de la semaine, qui n’étaient marqués que par des numéros, selon leur ordre chronologique, pour les Hébreux de son époque. Les cultures gréco-romaines étaient représentées en Israël, avec toutes leurs perversions païennes par lesquelles chaque jour était dédié à une grande divinité astrale. Les Hébreux devaient donc se protéger de cette influence maléfique. Et c’est la foi chrétienne qui s’est laissée le plus facilement gagnée par cette perversion païenne, après avoir été ouverte aux païens.

La foi est aussi l’opposé de la vue. Ceci parce que le Dieu organisateur de la foi est lui-même invisible. Dieu ne se rend visible pour l’humanité que par les Ecritures saintes qui constituent la sainte Bible. Et là encore, la foi va commencer par une conviction individuelle très personnelle de chaque créature. Chacun et chacune, nous sommes invités à répondre à cette question : « Ce que dit la Bible est-il vrai ou est-il faux ? » Mais la chose ne s’arrête pas là car on peut aussi dire : « Ce que dit le Coran, est-il vrai ou est-il faux ? » et même encore : « Ce que dit le professeur d’histoire est-il vrai ou est-il faux ? » Il appartient à chacun de donner sa propre et personnelle réponse selon ses convictions et la vie ou la mort de sa foi. Et il est certain, que ces trois questions ont sur terre leurs adeptes et pour affermir leur conviction ils vont tous devoir nourrir leur croyance, en approfondissant leur connaissance du sujet qui les intéresse.

En ce qui me concerne, j’ai choisi la Bible et en approfondissant ma lecture et mon étude de ses écrits, j’ai nourri ma foi. Et j’ai maintenant la certitude que les deux autres sujets de questionnement sont vains et sans fondement solides. Les rapports historiques enseignés sont néanmoins très utiles pour résumer l’enchaînement des faits retenus. Le niveau de la connaissance historique nécessaire pour interpréter les prophéties de Daniel et Apocalypse n’est pas très élevé. Dieu a voulu ainsi mettre sa lumière à la portée des plus petits de notre terre. La vraie foi conduit les élus à comprendre qu’ils vivent dans des sociétés humaines condamnées par Dieu à disparaître, parce qu’elles ont fait le choix de l’ignorer et de le mépriser. Et la raison de ce choix c’est leur ressemblance de caractère avec son premier vis-à-vis créé, devenu Satan, le diable ; le premier contestataire de l’histoire multi-universelle de la vie ; le chef et le guide du camp rebelle. Sur la terre du péché, ce camp rebelle est multiplement représenté mais Dieu donne une priorité au premier de l’histoire de notre ère : le peuple juif lui-même que, dans Apo.2:9 et 3:9, Jésus-Christ nomme « la synagogue de Satan » sans mystère, parce que les faits historiques accomplis à Jérusalem en l’an 30 et l’an 70, l’ont justifié. Le terme « synagogue » signifie assemblée en hébreu et il est utilisé uniquement pour les Juifs. Ce premier camp rebelle a gardé néanmoins un signe de légitimité spirituelle puisque comme le diable, on peut lui appliquer ce verset cité dans Ezé.28:5 : « Tu as été intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus créé jusqu'à celui où l'iniquité a été trouvée chez toi. »

Le deuxième chef rebelle de notre ère n’a pas cette légitimité, car Dieu ne l’a jamais trouvé « intègre dans ses voies » et sa domination religieuse chrétienne est le fruit d’un rapt, un enlèvement, une mystification honteuse et trompeuse. La foi apostolique a été victime d’une intox religieuse puissante et envahissante due aux fausses conversions chrétiennes favorisées par la paix offerte par l’empereur Constantin 1er le Grand en 313. Cette foi fidèle a été noyée dans une masse de faux chrétiens répandus dans tout l’empire romain. Et c’est à cause de cette apostasie généralisée que Dieu a décidé de livrer ce faux christianisme à un chef terrestre romain à partir de l’année 538, date du véritable fondement de la religion catholique papale romaine actuelle. Dieu voulut ainsi donner à ses véritables élus dispersés parmi les peuples faussement convertis une preuve de malédiction de cette organisation religieuse chrétienne romaine. Les élus ne reconnaissent dans tous les temps que Jésus-Christ pour Chef incontestable de son Eglise. Et pour ces élus, les prétentions papales n’ont aucune légitimité. Dans Daniel 8, trois versets suffisent à Dieu pour résumer le rapt religieux du papisme romain : verset 10 : « Elle s'éleva jusqu'à l'armée des cieux, elle fit tomber à terre une partie de cette armée et des étoiles, et elle les foula. » Rome se convertit à la foi chrétienne et persécute ses saints. Verset 11 : « Elle s'éleva jusqu'au chef de l'armée, lui enleva le sacrifice perpétuel, et renversa le lieu la base de son sanctuaire. » La pape usurpe le titre de chef de l’Eglise du Christ, lui enlève son action sacerdotale, et renverse la base de la doctrine de la vérité apostolique image symbolique de son temple ou sanctuaire. Verset 12 : « L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. » Ce verset présente la synthèse des deux versets précédents rappelant ainsi des conséquences, mais il ajoute de manière très importante la cause de la malédiction apportée : « à cause du péché » soit, à cause de l’abandon de la pratique du saint sabbat depuis le 7 Mars 321. Et Dieu précise encore à l’intention de ses élus qu’il la laissera agir jusqu’à la fin du monde : « et réussit dans ses entreprises ».

La vraie foi repose sur le respect de la volonté de Dieu exprimée par la Bible entière jusqu’à la fin du monde. Il est donc difficile de la résumer ou de la décrire. C’est pourquoi, il devient nécessaire d’identifier ce que Dieu appelle la fausse foi afin que les élus ne reproduisent pas ses péchés pratiqués contre lui. Il nous dresse ainsi une sorte de portrait robot à l’aide duquel nous devons pouvoir identifier la fausse foi sous tous ses aspects. Car selon la sensibilité spirituelle de chacun, certains indices sont nettement visibles mais d’autres le sont beaucoup moins. Et c’est sur ces indices plus subtils que le Diable construit la fausse foi qui prend « l’apparence de la piété, mais renie ce qui en fait la force », selon 2 Tim.3:5 : « … ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là. » Et sur quoi repose la véritable piété ? Sur l’obéissance, cette qualité opposée dans l’absolu, au caractère rebelle et méchant qui qualifie les hommes dont les élus doivent s’éloigner.

L’intelligence

Elle est requise et exigée de Dieu pour les élus qu’il sauve comme l’enseigne Dan.12:3 : « Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité. » ; et Dan 12:10 : « Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. » A la lumière de ces deux versets c’est « l’intelligence » qui caractérisera les élus du temps de la fin et à l’intention des derniers « réparateurs des brèches » établis à partir de 1843 ; ces brèches ayant été faites à la loi divine par Rome, Dieu précise : « et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité.  » Esaïe prophétise ainsi sur ces réparateurs des brèches dans Esa.58 :12-13 : « Les tiens rebâtiront sur d'anciennes ruines, tu relèveras des fondements antiques ; on t'appellera réparateur des brèches, celui qui restaure les chemins, qui rend le pays habitable. si tu retiens ton pied pendant le sabbat, pour ne pas faire ta volonté en mon saint jour, si tu fais du sabbat tes délices, pour sanctifier YaHWéH en le glorifiant, et si tu l'honores en ne suivant point tes voies, en ne te livrant pas à tes penchants et à de vains discours, alors tu mettras ton plaisir en YaHWéH, et je te ferai monter sur les hauteurs du pays, je te ferai jouir de l'héritage de Jacob, ton père ; car la bouche de YaHWéH a parlé. » Le premier accomplissement de cette prophétie a concerné le peuple hébreu de retour de la captivité de Babylone, mais un second accomplissement s’est appliqué au retour du sabbat dans la foi adventiste à partir de l’automne 1844. Dans les deux alliances, les saints sont mis en captivité ; dans l’ancienne pendant 70 années à Babylone la ville chaldéenne et dans la nouvelle, pendant 1260 années dans la domination papale romaine de la prostituée « Babylone la Grande ». Pour l’être humain selon le dicton « un arbre peut cacher la forêt entière ». Sur le plan spirituel, « l’arbre » de l’ancienne alliance cachait bel et bien aux Juifs, le projet du salut révélé par « la forêt » de la nouvelle alliance. Et Dieu seul connaissait le double accomplissement de ses inspirations prophétisées à ses serviteurs, ses prophètes.

Cette lecture de Daniel 12 me conduit à rappeler comment Dieu lui donne le rôle d’une synthèse des révélations du livre de Daniel entier, mais aussi de celui de l’Apocalypse qui sera inspiré à Jean sept siècles plus tard. Car Dieu y dit au verset 1 : « En ce temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton peuple ; et ce sera une époque de détresse, telle qu'il n'y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu'à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. »

Le grand projet de Dieu impute le salut à Micaël, l’ange nommé YaHWéH, celui qui parle à Daniel et il est important de comprendre pourquoi, dans Apo.12 :7, c’est encore Micaël francisé en Michel qui dirige le combat contre le diable et ses démons : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, ». De la sorte, Dieu apporte un démenti à ceux qui pensent pouvoir se passer du sabbat et des ordonnances sanitaires enseignées aux Juifs, en se réclamant de Jésus-Christ dont le nom est rarement cité dans toute l’Apocalypse, car Dieu lui préfère, ses rôles symboliques dont celui de « l’agneau » pascal. Le projet global du salut a été révélé à des Juifs pour des Juifs selon la chair et l’héritage national jusqu’à Jésus-Christ et à partir de sa mort expiatoire, pour des Juifs spirituels adoptés par Dieu en ce qui concerne les païens convertis.

La Révélation nommée sombrement Apocalypse est doublement adressée aux vrais élus qui se trouvent dans les deux alliances originelles. Les messages et images présentés dans cette divine Révélation sont pris dans ceux qui sont écrits dans l’ancienne alliance. Ils sont donc parfaitement adaptés pour être reconnus par des Juifs de cette ancienne Alliance divine. En nommant Micaël dans Apo.12:7, Dieu signale à ses élus que le nom Jésus est un nom provisoire qui le désigne pour son rôle de victime expiatoire ; provisoire mais pas moins important. Car, c’est sous ce nom de Jésus qu’il sauve ses élus ou ne sauve pas. On réalise alors l’importance de bien comprendre l’ensemble du projet du salut conçu par Dieu, pour le suivre et s’y adapter dans toutes ses phases successivement accomplies entre le déluge et la fin du monde. Spirituels ou charnels, les élus ne sont que des Juifs qui constituent le peuple de Dieu. Et Daniel reçoit ce message : « En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés ». En ce temps-là désigne le contexte du retour glorieux de Jésus-Christ en lequel une occasion sera donnée aux vrais élus Juifs de reconnaître le salut reposant sur la mort expiatoire de Jésus-Christ. Juifs de race et Juifs spirituels seront ensemble visés et concernés par la menace qui exposera finalement à la mort les observateurs du sabbat. Jusqu’à ce moment particulier, les Juifs pieux resteront victimes de leur attachement à la tradition de leurs pères, comme ils l’ont fait au cours des deux derniers millénaires. Mais au retour du Christ, tous ces Juifs ne se convertiront pas car il en est des Juifs comme des Chrétiens, parmi eux se trouvent des vrais et des faux. C’est pourquoi, Dieu s’en tiendra à son propre jugement de chacune de ses créatures, ayant déjà leur nom inscrit dans son livre de vie.

Nous lisons encore dans Dan.12:2 : « Plusieurs de ceux qui dorment dans la poussière de la terre se réveilleront, les uns pour la vie éternelle, et les autres pour l'opprobre, pour la honte éternelle. » Dans ce verset, sans en développer les détails qu’Apo.20 va révéler, l’Esprit prophétise le principe des deux résurrections qui seront séparées par « mille ans » selon cet Apo.20:3-4-5-6-7.  Il faut relever ce détail : Dieu n’oppose pas « la vie éternelle » à la mort « éternelle » mais « la vie éternelle » à « l’opprobre éternelle ». Ceci parce que la mort est un passage de la vie créée au néant ; ce qu’enseigne toujours la Bible à son sujet. « L’opprobre » est, après le jugement de « la seconde mort », la seule chose qui restera des méchants sous la forme de mauvais souvenirs éternels pour les élus qui survivront dans l’éternité.

La fausse foi catholique romaine a fait croire à des multitudes que les êtres « débiles mentaux » étaient reçus et sauvés d’office par Dieu. L’importance qu’il donne à l’intelligence prouve le contraire et démasque encore le camp de mensonge diabolique qui s’évertue à tromper et faire périr le plus de victimes possible. Quand Jésus déclara : « Heureux les pauvres en esprit Esprit, car le royaume des cieux est à eux! », il ne précisa pas qu’il parlait de « l’Esprit » du Dieu vivant et tous ceux qui n’ont pas l’intelligence pour le comprendre on accepté la transcription « esprit » qui peut aussi désigner l’esprit de l’homme. C’est donc seulement l’intelligence, la vraie, qui dirige l’interprétation de ce mot « Esprit ». Et que pouvait attendre l’humanité de l’enseignement donné par l’intrigant Vigile, le premier pape placé sous ce titre sur le siège de Rome au Palais du Latran dans un premier temps puis dans la cité du Vatican à l’extérieur de Rome. Or, ce lieu du Vatican était marqué par la présence d’un temple dédié à Esculape, le dieu romain en forme de « serpent », Dieu nous a donc donné un signe qui justifie ces versets d’Apo.12:14-15 : « Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin qu'elle s'envolât au désert, vers son lieu, où elle est nourrie un temps, des temps, et la moitié d'un temps, loin de la face du serpent. Et, de sa bouche, le serpent lança de l'eau comme un fleuve derrière la femme, afin de l'entraîner par le fleuve. » Déjà, des « paroles arrogantes » sortaient de la « bouche » de la papauté du Vatican symbolisée comme une « petite corne » dans Dan.7:8 : « Je considérai les cornes, et voici, une autre petite corne sortit du milieu d'elles, et trois des premières cornes furent arrachées devant cette corne; et voici, elle avait des yeux comme des yeux d'homme, et une bouche, qui parlait avec arrogance. »

L’intelligence n’a pas été donnée par Dieu qu’à l’humanité, car dans le règne animal, on trouve aussi des êtres intelligents. C’est pourquoi, l’être humain ne devrait être considéré que comme une être animé sinon animal. Ce qui distingue réellement l’homme de l’animal est signalé dans ce verset d’Ecc.3:11 : «Il fait toute chose bonne en son temps ; même il a mis dans leur cœur la pensée de l'éternité, bien que l'homme ne puisse pas saisir l'œuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'à la fin. » Voilà au moins une chose que Dieu n’a donnée à aucun animal. Et la seconde, c’est sa capacité à juger le bien et le mal ; ce qu’aucun animal ne peut faire, car la crainte que le chien ou le chat ou tout autre animal domestique a de son maître repose sur l’intonation de sa voix qui exprime la tendresse, la douceur ou la colère et non sur les mots dits par ce maître. Cependant par l’habitude du dressage, l’animal peut réussir à établir un lien entre un mot prononcé et une tâche à effectuer. Notre humanité réagit de même mais en maîtrisant des multitudes de mots qui constituent un langage. Or Dieu demande à ses élus de s’initier au langage du ciel qui fait appel à l’intelligence, bien sûr mais aussi à la sagesse, ce don divin suprême.

La sagesse

Elle se caractérise par une utilisation de l’intelligence pour des subtilités révélées par Dieu. Pendant son ministère terrestre, Jésus parlait au peuple juif en paraboles, un langage hermétique pour l’homme simplement animé. Mais ce langage parlait à ceux auxquels Dieu donnait de la sagesse. Et il faut bien le reconnaître, aucun des 12 apôtres sélectionnés ne possédait cette indispensable sagesse. Car Jésus les a sélectionnés parmi des gens besogneux et peu instruits, ceci volontairement afin de les former et les instruire directement lui-même. En leur expliquant en particulier, le sens caché de ses paraboles, Jésus leur faisait comprendre comment une image peut porter un message imputable à des situations différentes mais comparables. Ce sens du décryptage des images n’a rien d’intellectuel et les scribes et les pharisiens d’hier et d’aujourd’hui ont été et sont encore trop intellectuels pour donner leur intérêt à des images comparatives. Jésus a comparé ses élus à des enfants non sans raison, car en dépit des apparences de son âge, l’adulte reste pour Dieu un enfant qui vieillit, mais un enfant tout de même. Car Dieu trouve dans l’enfant ce que l’adulte y trouve, la confiance, l’obéissance, la dépendance, et l’affection dans le meilleur des cas, mais aussi, la désobéissance, la contradiction et la rébellion dans le pire des autres cas. La sagesse ne repose pas sur l’instruction humaine et Dieu peut rire en voyant des humains se présenter au titre de « sages ». N’est digne de ce terme que celui à qui Dieu fait don de la sagesse, et il ne le donne pas sans condition. La sagesse ouvre l’accès au langage du ciel fermé pour les autres êtres humains. Aussi, Dieu ne la donne qu’aux serviteurs qu’il en juge dignes en se basant sur le témoignage des œuvres que leur foi produit. Jésus a dit, « on donnera à celui qui a », ainsi, la sagesse est augmentée chez celui qui l’honore et la tient pour le don le plus précieux que Dieu peut offrir à ses élus sur la terre du péché. Car cette appréciation constitue elle-même un embryon de la sagesse que Dieu va faire croître. L’intelligence et la sagesse humaine, ainsi que l’instinct intelligent de l’animal, reposent et conduisent au même but ; celui de l’instinct de conservation. Sachant sa vie menacée, chaque être vivant a le réflexe de la protéger, et pour cela il est prêt à tout. Celui qui est attaqué se défend et attaque à son tour son agresseur quand c’est nécessaire. Mais étant dépourvu de sagesse, l’homme animé songe à se défendre uniquement contre l’adversaire que ses yeux voient et identifient comme tel. Sur le plan spirituel, il est complètement désarmé et vulnérable, parce que son adversaire est invisible. A l’opposé de lui, par sa sagesse et sa foi vivante, l’élu identifie l’agresseur invisible contre lequel l’Esprit de Dieu le met en garde, et il peut ainsi construire sa défense et sa protection en les obtenant de Dieu, la source de toute la sagesse et le plus puissant de tous les défenseurs et protecteurs.

La sagesse offre donc à l’être humain élu et béni par Dieu, une troisième dimension relationnelle ; les deux premières étant, parallèlement, la relation visuelle et la relation auditive qui caractérisent l’être humain normal. Parler la langue du ciel et la comprendre fait de l’élu terrestre un authentique citoyen du royaume des cieux. Car cette sagesse divine est un acompte donné par Dieu dans l’attente du départ de la terre du péché, pour le ciel où Jésus a préparé une place pour tous ses élus sélectionnés pendant 6000 années de vies terrestres.

Nous lisons dans Apo.17:9-10-11 : « C'est ici l'intelligence qui a de la sagesse. Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Ce sont aussi sept rois : cinq sont tombés, un existe, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps. Et la bête qui était, et qui n'est plus, est elle-même un huitième roi, et elle est du nombre des sept, et elle va à la perdition. » Dieu présente ici les bases d’une énigme que sa sagesse peut seule éclairer. Il applique ici, le même principe qu’il a appliqué avec ses apôtres auxquels il était permis de recevoir les explications des paraboles de Jésus alors qu’il ne l’était pas permis au reste du peuple Juif. La meilleure protection de la vérité divine repose sur le fait qu’il contrôle et dirige les esprits de toutes ses innombrables créatures. Aussi, l’interdiction divine ne peut pas être violée ni transgressée par l’homme rebelle, pour lequel le mystère divin doit rester un mystère incompris jusqu’à sa mort. A la base du décryptage de cette énigme il y a une précision donnée par Jésus à Jean dans le verset 7 : « Et l'ange me dit : Pourquoi t'étonnes-tu ? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes. » Seul ce verset permet de définir le contexte qui sert de base à l’énigme proposée ensuite. Le contexte de référence est donc celui de l’époque de Jean soit, celui des premiers lecteurs de cette révélation. Et ce contexte est celui de la Rome impériale qui représente dans l’énigme le sixième « roi » ou régime dominateur qui est désigné par la précision « un existe ». Dans ce contexte les empereurs romains règnent depuis Rome, mais sous le « septième roi », ou régime, l’empereur romain règnera depuis l’Orient, Constantinople pour Constantin et ses héritiers successeurs après 313, l’exarchat de Ravenne pour l’empereur Justinien en 538. Dans cette « septième » gouvernance romaine, la ville de Rome est abandonnée par ses empereurs et elle est envahie successivement par trois peuples barbares envahisseurs vaincus par l’empire romain ; les Hérules en 476, les Vandales en 534 et les Ostrogoths chassés de Rome en 538 soit, les trois cornes abaissées devant la petite corne de Dan.7:8 : « Je considérai les cornes, et voici, une autre petite corne sortit du milieu d'elles, et trois des premières cornes furent arrachées devant cette corne; et voici, elle avait des yeux comme des yeux d'homme, et une bouche, qui parlait avec arrogance. ». Les Goths venaient tous du Nord de l’Europe et nous retrouvons en cela, appliqué à l’Europe chrétienne infidèle, ce qui arriva déjà à l’Israël infidèle dans l’ancienne alliance ; l’envahisseur prophétisé venait aussi toujours du Nord.

L’énigme prophétise alors le règne papal romain instauré à Rome dès sa délivrance de la domination des Ostrogoths en 538, en disant à son sujet : « Et la bête qui était, et qui n'est plus, est elle-même un huitième roi, et elle est du nombre des sept, et elle va à la perdition. » L’accomplissement historique place effectivement l’instauration papale romaine dans le temps des sept régimes romains évoqués et par son caractère strictement religieux, le « huitième roi » de cette énigme, un « roi » dit  « différent », dans Dan.7:24 : « Les dix cornes, ce sont dix rois qui s'élèveront de ce royaume. Un autre s'élèvera après eux, il sera différent des premiers, et il abaissera trois rois.» Et en complément, à son sujet, Dan.8:23 précise : « A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux. » Chacun peut constater combien la pompe papale repose en effet sur l’artifice et l’apparence luxurieuse des habits de son clergé, ses cardinaux et ses évêques et son culte séducteur rendu au « dieu des forteresses » de Dan.11:38, où bâtiments fortifiés, que constituent ses Cathédrales dont les flèches toujours plus hautes et aigües pointent vers le gouvernement divin du ciel : « Toutefois il honorera le dieu des forteresses sur son piédestal ; à ce dieu, qui ne connaissaient pas ses pères, il rendra des hommages avec de l'or et de l'argent, avec des pierres précieuses et des objets de prix. »; ceci étant accompagné de « l’arrogante » attitude du mépris papal pour la vérité révélée dans la sainte Bible. Tu peux ainsi comprendre à qui il convient d’imputer l’incendie qui a détruit la flèche principale et la toiture de la cathédrale de « Notre Dame de Paris » ; chacun de ces termes constituant une cause de colère divine que Dieu à peine à contenir. « La bête va à la perdition » précise l’énigme soit ce que Dan.7 :11 confirme en disant : « Je regardai alors, à cause des paroles arrogantes que prononçait la corne ; et tandis que je regardais, l'animal fut tué, et son corps fut anéanti, livré au feu pour être brûlé » Apo.17:16-17 confirme disant : « Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu. Car Dieu a mis dans leurs cœurs d'exécuter son dessein et d'exécuter un même dessein, et de donner leur royauté à la bête, jusqu'à ce que les paroles de Dieu soient accomplies. » Apo.19 :20 prophétise encore cette punition finale de la bête : « Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre. » Pour cette destruction, il faudra néanmoins attendre la fin du septième millénaire, pour qu’au jugement dernier, la terre prenne son aspect « d’étang de feu et de soufre » prophétisé par l’actuelle activité sporadique des volcans dispersés sur le globe terrestre ; le magma souterrain sera alors répandu sur la terre entière, éliminant l’eau des mers.

C’est à cette sagesse divine que je dois ma compréhension des mystères divins dont je te présente les explications. Bénis donc avec moi cette glorieuse sagesse du Dieu vivant car elle construit ton salut et le mien.

 

 

La vie sans mode d’emploi

 

Je reviens aujourd’hui sur le sujet de la santé physique et mentale de l’être humain, car ces choses conditionnent son bien-être. Alors que la vie charnelle n’a devant elle plus que sept années de prolongation, notre divin Père en Christ me fait réaliser et relever les causes de nos souffrances qui apparaissent et s’imposent au cours de notre vie. Bientôt octogénaire, j’aurai désiré comprendre ces choses dès ma naissance mais comme tous les êtres humains, je suis entré dans la vie sans connaître son mode d’emploi, et avant moi, mes parents ne l’ont pas non plus reçu des leurs. Ils ne pouvaient donc rien me transmettre et Dieu, le seul qui savait tout et avait réponse à tout, attendait que je sois mûr pour me parler et m’instruire. La priorité de son message était de répondre à la triple question « qui suis-je, d’où viens-je, où vais-je ? » Je suis un souffle de vie et un esprit vivant, je viens du néant, et je vais vers l’éternité offerte en Jésus-Christ.

Pour comprendre ce que nous devenons, il nous faut reprendre le parcours entier de notre vie. Elle commence dans le ventre de notre mère, dans sa matrice dans laquelle nous flottons dans le liquide du placenta. Et ce détail est extrêmement important pour comprendre la suite de notre évolution. L’avantage de cette baignade interne est de permettre à l’embryon humain de se développer de manière harmonieuse puisque l’intégralité de la surface du corps en construction ne subit aucune pression qui pourrait freiner le développement des cellules. Le programme contenu dans l’ADN de notre génome s’exécute de la sorte sans problème sous condition que le corps ne subisse pas de mal en s’enroulant dans le cordon ombilical qui le relie aux organes nutritifs de sa mère. Après les douleurs de l’enfantement de sa mère, l’enfant entre dans la vie terrestre en respirant de l’air. Mais quels changements pour lui dans cette étape de sa vie ! Il découvre les conséquences de la loi de la pesanteur terrestre et peut regretter les conditions de sa vie antérieure, où son corps flottait dans une douceur extrême. C’est cette expérience qui a été écrite dans notre mémoire inconsciente qui justifie le ressenti du bien-être obtenu dans un bain d’eau où notre corps nu peut de nouveau se libérer de la loi de la pesanteur. Car entrer dans la vie consiste à être confronté à de multiples brutalités. Et déjà, ressentir la lourdeur de notre corps, ressentir le chaud ou le froid, ressentir le frottement des vêtements sur la peau, que d’agressions auxquelles il faut que l’enfant né doivent s’adapter ! Une technique d’accouchement plonge le bébé qui vient de naître dans une petite baignoire dans laquelle il peut flotter encore un moment au côté de sa mère. Le bébé est ainsi provisoirement rassuré et son passage vers la vie et ses contraintes est de la sorte amorti. Mais l’enfant doit finalement affronter la vie donnée sur la terre du péché responsable de toutes ses agressions brutales qui ne sont que les conséquences de la malédiction qui frappe l’espèce humaine entière.

Que dirait donc le mode d’emploi de la vie terrestre humaine ? Il est une chose fondamentale à connaître, et cette chose, il y a de cela beaucoup d’années, Dieu me l’a fait écrire dans les paroles d’une chanson que j’ai composée. En voici les termes : « l’habitude est une loi, à laquelle on n’échappe pas, et quand tu crois y arriver, elle te domine plus que jamais, Satan te tient, il te tient bien ». A l’époque j’imputai ce principe aux drogues diverses, les moins fortes, caféine du café, nicotine du tabac, alcool, et les plus fortes, opium, cocaïne et autres, Je ne voyais alors que ce qui devenait évident dans l’actualité de l’humanité. Aujourd’hui, je révèle des choses moins évidentes néanmoins très dommageables qui sont créées par l’habitude. Dans la troisième dimension, notre corps physique subit de manière constante les conséquences des habitudes qui, renouvelées sans cesse, portent des conséquences de troubles, de maladies et de dysfonctionnement de nos organes principaux. Ainsi sur les bancs de son école où il passe de nombreuses heures, l’enfant avachi sur son bureau favorise l’arrondi de sa colonne vertébrale qui va se transformer en scoliose avec toutes les douleurs vertébrales qui peuvent marquer cette maladie qui, si elle n’est pas corrigée, s’aggravera avec l’âge. J’ai déjà parlé de la manière de dormir, et je dois revenir sur ce sujet parce que je sais aujourd’hui que j’ai subi des conséquences dues à l’habitude de dormir sur le côté, la tête reposant sur un oreiller. J’ai découvert ma dépendance de cette habitude, car j’éprouve la plus grande difficulté pour m’endormir sur l’autre côté ou pire encore, sur le dos. Pourtant cette position sur le dos semble être la plus favorable pour éviter les malformations de notre corps et de notre visage. Car le fait de dormir sur le côté comprime les tissus de la peau du côté du visage qui repose sur l’oreiller. Et je comprends alors pourquoi, mes paupières gauches s’ouvrent moins que mes paupières droites. En fait, les yeux se développent dans des conditions très différentes ; l’œil droit se développe librement, alors que l’œil gauche compressé par l’oreiller reste de longues heures chaque nuit dans un état congestionné qui déforme son développement. Nos nuits construisent le strabisme et la déformation lente et progressive de notre physionomie. Un œil constamment pressé finit par se déformer et cette pression renouvelée peut provoquer son ovalisation et celle du cristallin qui conduisent à l’astigmatisme ; ce qui me concerne. Notre corps a donc ce fâcheux inconvénient de pouvoir rapidement s’adapter à une nouvelle habitude qu’il adopte simplement par la fréquence du renouvellement de la pratique. Mais la phase du changement de l’habitude est très difficile à obtenir. Notre nature ne demande rien de plus que de suivre l’ornière tracée par l’habitude prise. Mon désir de dormir sur le dos a eu pour conséquence de rester éveillé sans dormir pendant plusieurs heures au terme desquelles le sommeil est enfin venu avec une grande fragilité, des rêves, et un réveil matinal dans un état de fatigue. Un tel résultat est décevant mais entièrement prévisible. Car je sais qu’il me faudra insister pendant quelques temps pour passer du sommeil sur le côté au sommeil sur le dos, mais l’enjeu, justifie l’effort nécessaire, car je désire fortement libérer mon œil gauche de cette pression nocturne qui le congestionne.

En grandissant et en vieillissant nous prenons aussi du poids que notre colonne vertébrale prend en charge. Et si, en position debout, les vertèbres de notre nuque ne portent que le poids de notre tête, il n’en est pas de même pour nos vertèbres lombaires qui portent le poids de toute la partie haute de notre corps. C’est pourquoi, nous devons impérieusement veiller à donner à notre colonne vertébrale la position nocturne la plus favorable pour elle, en évitant le faux confort douillé de la douceur et de la souplesse. Car pendant notre sommeil, tous nos muscles et tendons se relâchent et notre corps entier est soumis à la terrible loi de la pesanteur terrestre ; il s’affaisse et s’adapte au support qui le soutient, en épouse toute la forme, favorable ou pas. Voilà pourquoi ce temps du sommeil nocturne appelé « la petite mort » est réparateur ou destructeur selon son influence sur notre santé à court et à long terme. Ce temps journalier d’inconscience occupe le tiers de notre existence, ce qui est considérable et lui donne une bonne place dans notre manuel d’emploi de notre vie. Sachant quels sont les besoins de notre corps et de sa structure osseuse et musculaire, chacun peut en connaissance de cause choisir le type de sa literie qui doit rester ferme et en aucun cas trop souple. Mais dans tous les cas, pour garder notre réelle indépendance, nous devons éviter de tomber sous la dépendance de l’habitude dans de nombreux domaines. L’habitude nous lie avec des chaînes difficiles à rompre. L’homme réellement libre bénéficie de la faculté de s’adapter rapidement à n’importe quelle situation et je te propose ce témoignage vécu par Jésus-Christ et ses apôtres. Le soir, avant son arrestation, Jésus se préparait à passer sa dernière nuit sur le Mont des Oliviers, en face de Jérusalem. Gagnés par la fatigue accumulée dans la journée, ses apôtres avaient besoin de dormir, comme ils en avaient l’habitude et ils ne comprirent qu’après son arrestation combien Jésus aurait voulu qu’ils l’assistent et le soutiennent dans ses derniers moments de liberté. Il n’est rien de plus légitime que le besoin de dormir, mais cette nuit-là, cette habitude prit un aspect cruel pour notre Sauveur qui fut ainsi privé du soutien fraternel de ses apôtres qu’il aimait tant. J’ai personnellement passé des nuits blanches pour faire partager la lumière que Dieu m’a fait découvrir. Le zèle et le bonheur de faire découvrir cette lumière divine me tenait éveillé et j’ai appris ainsi combien il est nécessaire de ne pas être dépendant de quoi que ce soit : du sommeil ou de toute autre habitude.

Ignorant le mode d’emploi de la vie, génération après génération, les êtres humains ont appris à leurs enfants à se conformer à des habitudes dont ils sont devenus inconsciemment esclaves. Ma propre mère était un exemple type du genre et moi le contraire absolu. Sa vie était réglée comme une horloge et la mienne restait libre et indépendante. Nous avions donc beaucoup de difficulté à nous accorder tant nos comportements étaient différents. Mais elle aimait la vérité du Seigneur et s’est endormie dans sa paix et son salut ayant reçu les nouvelles lumières prophétiques que Dieu m’a fait découvrir et connaître. Nos différences étaient charnelles et nous séparaient uniquement sur la terre du péché. Dans le royaume de Dieu qui vient, ces conditions charnelles n’existeront plus et seul l’amour de la vérité du Seigneur subsistera dans les esprits des anges que nous seront devenus.

Les habitudes concernent le rythme de notre alimentation. Et je rappelle ce vieil adage « il faut manger pour vivre et non vivre pour manger ». Manger pour vivre permet de maintenir le corps en vie et en bonne forme ; vivre pour manger conduit le corps à l’obésité et des dérèglements hormonaux au pire mortels. Un autre dicton dit « qui dort dine ». Et c’est vrai, que dans le cas de la fatigue physique, le corps récupère plus de vitalité d’un bon sommeil qu’il n’en tire d’un repas. De plus ce dicton « qui dort dine » condamne à juste titre le repas pris avant de se coucher. La bonne santé de notre âme entière nécessite la nourriture qui lui est nécessaire et indispensable pour assurer toutes ses fonctions physiques et mentales, sans surcharger notre organisme. Et en suivant ce principe, j’ai conservé jusqu’à ce jour la même taille et le même poids que j’avais depuis ma majorité. Je n’ai pas de graisse inutile, pas de surcharge, et n’ai recours à aucun médicament, toutes choses que je dois au conseil éclairé de notre Seigneur Dieu. Ayant découvert et pratiqué, civilement, depuis 1970 les bienfaits du végétarisme, par le témoignage d’un ami qui le pratiquait avec des résultats indiscutables, car il était culturiste, j’ai observé ce mode alimentaire, religieusement, depuis 1980 année de mon baptême dans l’église adventiste du septième jour de Valence sur Rhône, en France. Cet ami était devenu lui-même adventiste du septième jour une année avant moi. Ma lecture du livre de la Genèse et des ordonnances divines alimentaires citées m’a permis de comprendre comment Dieu m’avait préparé physiquement avant de m’instruire spirituellement, confirmant ainsi le dicton « un esprit sain dans un corps sain », ce que Dieu transforme en « un esprit saint dans un corps saint », car c’est à la « sainteté » ou la « sanctification » qu’il nous appelle en Jésus-Christ, avec tous les autres pécheurs héritiers du péché originel. Il appelle tous ceux qui veulent retrouver la vraie liberté en étant délivrés de l’esclavage du péché dans lequel l’être humain est prisonnier de mauvaises habitudes que les lois humaines transforment en coutumes et en traditions légitimées et légalisées. C’est pour pouvoir résister et échapper à ces malédictions collectives que l’élu en Christ doit rester libre et indépendant sachant que son salut et sa protection sur la terre ne dépendent que de Dieu et de lui seul. La vraie liberté est l’unique moyen de témoigner pour Dieu contre le péché qu’il impute à ses adversaires du camp ennemi. Mais pour résister au péché, il faut que celui-ci soit parfaitement identifié et c’est le but qu’il a donné à ses révélations prophétiques. La connaissance du mode d’emploi de la vie concerne autant les vérités de la foi que l’identification des mauvaises habitudes de nos sommeils nocturnes. La vie ne se dissèque pas elle forme un tout qui englobe tous les sujets imaginables. En nous créant, Dieu est créateur de tout ce qui nous représente en tant qu’âme individuelle composée d’un corps et d’un esprit. Nos souffrances sont partagées par lui, mais elles nous permettent de comprendre que les causes engendrent des effets inévitables. Si l’enfant n’apprend pas ce qu’est le feu, il peut se jeter dans le feu et mourir brûlé. Nous savons combien les conseils des autres sont peu écoutés alors que les leçons vécues personnellement sont cuisantes mais reçues et enregistrées dans nos mémoires et notre intelligence. Voilà pourquoi nous naissons sans connaître le mode d’emploi de la vie… nous devons le découvrir par des expériences vécues dans notre propre chair et notre esprit. Et puis, il ne faut pas oublier que nous naissons dans la malédiction de la chair et que notre passage dans la vie terrestre ne représente qu’un stade de sélection pour la vie éternelle où le risque du mal n’existera plus. Le mal et les souffrances rattachées à la vie sur la terre du péché ont pour seul but de faire désirer la vie céleste parfaite et sans aucun maux. C’est pourquoi, dans Apo.21:4, l’Esprit déclare au sujet des élus sauvés au retour de Jésus-Christ : « Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. » Et le temps où ces conditions seront mises en action n’est plus qu’à sept années devant nous.

 

 

La situation mondiale en fin Mars 2023

 

Le président Poutine chef de la Russie a accueilli en visite officielle et avec grands honneurs le président de la Chine populaire Mr Xi Ji Ping. Dans le même temps, la Russie a reçu les présidents africains, chose que les médias occidentaux n’ont pas souhaité évoquer. En fait, jusque-là, le camp occidental a voulu croire à la possibilité d’une neutralité de la Chine, en prétendant que pour elle, l’intérêt commercial primait sur l’engagement politique. Il est vrai que dans un plan de paix proposé par la Chine pour le conflit qui oppose la Russie à l’Ukraine, la Chine s’est montré favorable à la paix sans prendre partie pour un camp ou l’autre. Cependant, elle ne s’est pas cachée pour témoigner d’un lien particulier avec le peuple russe. Or, dans la journée du 30 Mars, des images montrent un président chinois qui exhorte ses chefs militaires à se préparer pour combattre un éventuel attaquant. Son budget militaire va atteindre 7% de son PIB ; ce qui représente un investissement militaire énorme. La Chine se prépare donc elle-aussi à la guerre, sans doute en vue de sa reprise de l’île de Taïwan. Or, dans ce contexte, Emmanuel Macron doit se rendre en Chine accompagné d’Ursula Von Der Leyen la présidente de la commission européenne. Nul doute que les autorités européennes vont tenter de convaincre le président chinois de ne pas livrer des armes à la Russie, et peut-être que selon leur habitude, ils vont accompagner leur demande de menaces de sanctions qui seraient prises contre la Chine par tout le camp occidental. Et c’est là qu’une grosse erreur de jugement risque de provoquer le contraire de ce qu’ils souhaitent obtenir. Car en fait, les Occidentaux veulent interdire à la Chine de faire à la Russie ce qu’ils font eux-mêmes en faveur de l’Ukraine, en se basant sur la légitimité de leur loi occidentale adoptée par l’ONU. Mais les européens ne semblent pas conscients du niveau de leur dépendance de la Chine, car ce n’est plus seulement du gaz russe qu’ils seraient privés, mais de tout ce que la Chine produit et importe en Europe pour équiper quelques 300 millions d’habitants. Car l’Europe est tout simplement équipée par la production chinoise qui arrive dans des files de cargos chargés sur quatre niveaux par des containers métalliques. Sans la Chine, l’Europe retourne soixante années en arrière sauf qu’elle n’aura plus les entreprises qui faisaient sa richesse à cette époque. Sa situation serait donc pire que toutes celles qu’elle a traversées. Quant à la Chine, elle a la possibilité de commercer avec l’Orient, le Moyen-Orient, et l’Afrique. Et vu la densité de sa population, environ 1 Milliard 400 millions d’habitants, elle a beaucoup à faire pour équiper sa propre population ayant maintenant grâce aux occidentaux, tous les moyens techniques pour répondre à ses besoins. Ceci dit, la question se pose, comment Mr Xi Ji Ping va-t-il réagir devant une menace de sanctions occidentales ? Je pense qu’il va feindre de vouloir rester en relation commerciale avec l’Occident mais il ne s’engagera en rien et de manière plus ou moins masquée, il approvisionnera la Russie en armes. Les Occidentaux découvriront ses actions et seront contraints de briser, eux-mêmes, l’unique panier dans lequel ils avaient placé tous leurs œufs. Et cette omelette économique gâchée entraînera en Europe des troubles et des irritations de ses peuples, des faillites, des conflits internes, des famines et des morts.

Les Occidentaux s’inquiètent également de l’aide militaire donnée à la Russie par le président de la Corée du Nord, Mr Kim Yong Un. Il ne cache pas son désir d’aider la Russie contre le camp occidental en lequel il retrouve, avec l’Amérique, le partenaire de la Corée du Sud, son ennemie héréditaire chronique.

De son côté, le Japon a décidé lui-aussi de se réarmer offrant déjà son soutien officiel à l’Ukraine soutenue par l’Amérique.

Enfin, Mr Loukachenko président de la Biélorussie affiche sa peur d’une escalade conduisant à la guerre nucléaire. Son message officiel invite à la recherche de la paix dans la négociation pour éviter une escalade et ce message commence en disant : « Je prends le risque de dire…etc » Il prend un risque envers son ami Poutine qui le soutient politiquement et militairement. Mais en même temps, il se félicite de voir arriver dans son pays des armes nucléaires tactiques russes. Beaucoup aimeraient savoir ce que se sont dit Mr Poutine et Mr Xi au cours de leur rencontre à Moscou. Mais, Mr Poutine ne lui a certainement pas caché sa détermination à atteindre le but qu’il s’est fixé en lançant son « opération spéciale » en Ukraine. Il a dû défendre sa cause en rappelant que cette « opération spéciale » se transforme en guerre internationale à cause de la réaction épidermique des Américains et du camp européen de l’OTAN. Or, s’il est quelqu’un qui connaît bien la pensée de Mr Poutine, c’est son ami Mr Loukachenko et son dernier message où il exhorte à la négociation est la meilleure preuve de la détermination absolue de Mr Poutine d’atteindre ses objectifs initiaux. Mais le comportement des Occidentaux de l’OTAN a considérablement transformé son objectif initial, car la fourniture d’armes qui tuent des soldats russes alimente contre eux une haine qui appelle à la vengeance contre tout le camp occidental. Et dans ce camp occidental on devrait comprendre ce besoin de vengeance, mais ce n’est pas encore le cas, car au contraire, le demi-succès de la résistance ukrainienne a fait naître l’espoir d’une défaite de la Russie, ce qui se concrétise par des aides militaires supplémentaires pour l’Ukraine et ainsi s’accroît l’escalade. Nous nous trouvons à un moment clé de ce conflit, car les deux armées, qui s’affrontent depuis déjà un an, sont maintenant affaiblies moralement et militairement, à cause de l’épuisement des munitions de tous genres, balles, obus, missiles, drones, chars et canons. En un an, les stocks impressionnants de bombes ont été épuisés ou presque car les cadences de tirs diminuent drastiquement dans les deux camps opposés. Pour notre Dieu créateur qui sauve au nom de Jésus-Christ, cette année de guerre a joué un rôle fondamental pour la préparation de la phase suivante dans laquelle l’objectif de la Russie ne sera plus seulement l’Ukraine, mais l’Europe occidentale dans son intégralité.

Sans présenter ces choses comme une révélation divine, je laisse mon esprit tirer des possibilités fondées sur des faits constatés dans l’actualité. Et je raisonne ainsi : les attaques successives de l’Europe par le « roi du midi » et le « roi du septentrion » ne peuvent avoir lieu que si l’Amérique se retire du terrain du conflit soit, de l’Europe occidentale. Le zèle européen en faveur de l’Ukraine n’a pour explication que le suivisme européen envers l’Amérique, cette grande puissance militaire mondiale sur laquelle tous les pays membres de l’OTAN comptent pour les défendre contre leurs ennemis, en l’occurrence, en ce printemps 2023, la Russie, l’autre grande puissance militaire de la terre. Un événement que j’ignore encore doit conduire l’Amérique à se retirer de l’Europe ; quel peut-être cet événement ? Des élections présidentielles américaines s’approchent et en ce moment même un procureur noir veut inculper Mr Trump pour des raisons scabreuses inutiles à développer ici. Mais le camp entier de son parti Républicain dénonce une manœuvre politique qui vise à écarter le candidat Trump pour l’empêcher de participer à ces élections. En ébullition, cette fois l’Amérique des Etats-Unis pourrait bien devenir l’Amérique des Etats-Désunis. Car Jésus-Christ peut agir contre elle en brisant pour elle sa « houlette Union » comme il le fit au temps du prophète Zacharie selon Zac.11:14 : « Puis je brisai ma seconde houlette Union, pour rompre la fraternité entre Juda et Israël. ». Le temps de guerre que Dieu prépare sur toute la terre repose sur ce principe de destruction des « unions » établies. Ainsi, l’union américaine pourrait disparaître afin de favoriser la disparition de l’union européenne qui l’a prise pour modèle. Il va de soi qu’absorbée par une guerre civile, l’Amérique n’aurait ni l’envie ni la possibilité de prolonger son offre d’armes à l’Ukraine et à l’Europe occidentale qui la soutient. Ce programme tient la route assez logiquement mais des surprises peuvent encore faire apparaître d’autres données conduisant à d’autres explications. Mais en attendant, c’est bien dans les expériences vécues par l’Amérique que son retrait du conflit européen doit trouver sa justification. En dehors du cas évoqué, l’Amérique peut se trouver engagée dans une guerre contre la Chine qui voudrait s’emparer de Taïwan ; c’est encore une possibilité bien réelle. Et dans cette situation, elle aurait du mal à gérer en même temps une guerre contre la Russie en Ukraine. Dans Daniel 11:40 à 45, Dieu ne fait pas mention des autres nouvelles puissances militaires apparues dans le monde : la Chine, l’Inde, la Corée du Nord, l’Iran, tous ennemis potentiels des européens occidentaux. Mais nous pouvons relever déjà les possibilités d’alliances guerrières de ces pays. Ce n’est que jour après jour que Mr Poutine voit son projet initial d’ « opération spéciale » se changer en grande guerre internationale mondiale. Il est vrai qu’il n’avait pas prévu ce développement des faits, mais qui l’était ? Personne sur la terre, mais seul et unique, le grand Dieu incarné en Jésus-Christ. Il a préparé d’avance tous les détails qui ont construit cette situation insoluble. Et les instruments humains qu’il utilise pour la faire accomplir ignoraient entièrement son projet. Les observateurs de la guerre en Ukraine comptent le nombre des morts des deux camps, plus de 200 000 tués ou blessés rien que pour la Russie et probablement autant du côté ukrainien. Ces chiffres sont effarants, surtout après 78 années de paix européenne depuis 1945, mais ce n’est pourtant là que le début de la grande hécatombe qui doit détruire jusqu’au retour de Jésus-Christ, au printemps de l’an 2030, l’intégralité des vies humaines terrestres, à l’exception de la vie des derniers élus restés fidèles au sabbat jusqu’à être menacés par une condamnation à mort.

Dans sa sagesse, Jésus-Christ a dit que celui qui projette de construire une tour doit s’assurer de pouvoir mener son projet jusqu’à son terme. Mais dans la situation actuelle mondiale, tout le monde est pris au dépourvu. La Russie en premier, l’Amérique ensuite, car s’il est vrai qu’elle souhaitait arracher l’Ukraine au camp de la Russie, elle n’était pas prête à le faire au prix d’un affrontement direct avec la Russie. Elle sait que la Russie dispose d’armes nucléaires aux puissances redoutables et craint logiquement qu’elle finisse par les utiliser, mais en même temps dans cette guerre, la Russie crainte par tout le camp occidental révèle une faiblesse au niveau de son équipement militaire qui n’a pas évolué pour le conflit conventionnel. Les armes occidentales redoutablement précises compensent largement la minorité du nombre des combattants ukrainiens, et la Russie l’a appris à ses dépends, mais elle conserve l’avantage indéniable du nombre et d’une formidable résilience nationaliste de la majorité de son peuple. Elle sait encaisser les coups et sait exploiter le temps. A l’opposé, dans le camp occidental européen, les peuples enrichis supportent très mal l’appauvrissement brutal qui se traduit par des crises nationales et des réactions violentes des peuples. Or, la situation mondiale est devenue entièrement défavorable à l’Europe qui délocalise depuis des années ses productions vers la Chine et autres pays encore plus pauvres du tiers monde. Dans l’aggravation de la crise actuelle l’union européenne va voler en éclat et disparaître. En dernière minute, je recueille les dernières informations concernant des menaces russes intensifiées contre l’Europe. De manière très officielle, dans un document, Mr Poutine déclare l’Occident comme menace existentielle pour la Russie, confirmant ainsi la deuxième phase de la guerre d’Ukraine dans laquelle le nouvel ennemi désigné est maintenant clairement l’OTAN européenne. Et désormais, la Russie se réserve le droit d’utiliser des bombes nucléaires tactiques prévues en cas de menace existentielle pour son pays. Et ce qu’il faut comprendre impérativement, c’est que tous ceux qui jugent les menaces nucléaires russes fausses et trompeuses ignorent également que Jésus-Christ ordonne cette utilisation destructrice terrifiante. Car ce caractère de « terreur » a été programmé et prophétisé pour établir le lien qui relie les châtiments de la « quatrième » et la « sixième trompette » de l’Apocalypse, selon Apo.8:12, 9:13 et 11:14. La seconde forme de la « bête qui monte de l’abîme » est russe et beaucoup plus destructrice que la première qui a concerné « la terreur » de la Révolution française entre 1793 et 1794.

 

Nouveau, nouveau, nouveau …

Ces explications nouvelles reçues en ce sabbat du 1er Avril vont te permettre de mieux comprendre comment Dieu présente la Troisième Guerre Mondiale dans ses prophéties bibliques.

Son antitype est dans la fête de la première Pâque vécue par le peuple hébreu en terre égyptienne. C’est dans cet accomplissement que nous trouvons dans la même nuit, la protection des Hébreux épargnés par le sang de l’agneau pascal, mais aussi, à l’opposé absolu, la mort de tous les « premiers-nés » égyptiens tués comme pécheurs ; ce qui conduira Dieu à créer la fête du « jour des expiations » dont le but sera de prophétiser par un rite religieux comment Dieu projette de mettre légalement fin au péché qui condamne ses élus. Dieu va placer sur le 10ème jour du 7ème mois, par lequel débute l’équinoxe de l’automne, cette fête centrée sur le péché aux antipodes de celle de la Pâque qui enseigne l’offre de sa justice le 14ème jour du premier mois. Cette fête située en automne n’a qu’un caractère provisoire et un but pédagogique que la mort de Jésus-Christ a éclairé et accompli au sujet de l’expiation du péché originel hérité par ses élus. Elle peut donc cesser et disparaître dans la foi chrétienne de même que la fête de Pâque. Mais la Pâque va rester pour Dieu une date fondamentale, un type qui sera renouvelé au moment du retour glorieux de notre divin sauveur Jésus-Christ, moment où Dieu va faire périr tous les êtres humains restés porteurs de leurs péchés. Dans la prophétie Dieu prend toujours l’Europe pour cible parce que c’est en Europe que le nom de Jésus-Christ est évoqué et enseigné. Mais le privilège rattaché à cette connaissance rend l’infidélité des peuples européens encore plus coupable que les autres peuples de la terre non chrétiens. De plus cette connaissance même imparfaite fait d’eux des prémices ou « premiers-nés » infidèles dignes de ses châtiments. Et c’est à ce titre qu’après les cinq précédentes, sa « sixième trompette » va faire « tuer le tiers » de tous les « premiers-nés » du christianisme occidental devenus pécheurs infidèles et rebelles. Une preuve de cette interprétation nous est donnée par le fait que léglise catholique mère tient la France pour sa « fille aînée » ; la France qui constitue la plus grande puissance européenne de l’OTAN. Cette expression de « premier-né » est une clé fondamentale pour comprendre Dieu, car elle désigne dans Apo.1:5, Jésus-Christ présenté comme le « premier-né des morts » : « …et de la part de Jésus Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre ! A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, …» Tous ceux qui se réclament de son salut sont eux-aussi des « premiers-nés » en titre. Et cela depuis la création d’Israël lors de la Pâque de la sortie d’Egypte, et Dieu a confirmé la chose en nommant Israël son « premier-né » dans Exo.4:22 : « Tu diras à Pharaon : Ainsi parle YaHWéH : Israël est mon fils, mon premier-né. » Mais quand ces « premiers-nés » justifient le péché et l’attitude rebelle envers Dieu, ils deviennent des pécheurs uniquement dignes d’être soudainement détruits par lui. Et c’est précisément le statut actuel des fausses religions chrétiennes occidentales depuis 1843, et pour « l’adventisme » officiel « vomi » par Jésus-Christ, depuis 1994. Voici donc expliqué, pourquoi Dieu va traiter les Européens comme il a traité en leur temps les Egyptiens et les Israélites infidèles. Ce qui suit va concerner, la manière de présenter cette Troisième Guerre Mondiale dans Dan.11:40 à 45, dans Ezé.38 et 39, et dans Apo.9:13 à 21. Le texte de base est celui de Daniel qui présente l’avantage de la simplicité et de la révélation de la stratégie chronologique du conflit. La perle de cette nouveauté repose sur ce constat. Le récit s’allonge sur six versets ; six comme les six mille ans du péché terrestre. Or, de même que Jésus s’est présenté pour sa Pâque au 14ème jour du printemps du 5ème millénaire, dans Daniel, le 5ème verset évoque le changement de la stratégie du combat qui, de caractère conventionnel passe au caractère destructeur nucléaire, ce que Daniel 11:44 suggère en disant au sujet du « roi du septentrion » russe : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. » Les versets 40 à 43 se caractérisent par l’évocation d’une guerre conventionnelle que décrit également Ezéchiel en précisant au sujet de la Russie soit, « Gog », dans Ezé.38:13 : « Séba et Dedan, les marchands de Tarsis, et tous leurs lionceaux, te diront : Viens-tu pour faire du butin ? Est-ce pour piller que tu as rassemblé ta multitude, pour emporter de l'argent et de l'or, pour prendre des troupeaux et des biens, pour faire un grand butin ? » A la lumière de la crise économique due en partie importante aux sanctions occidentales et des énormes dépenses militaires de la Russie, son besoin de « faire du butin » prend tout son sens, je vais jusqu’à dire qu’elle exige d’être remboursée des dommages subis. Mais Ezéchiel concentre sa prophétie sur l’attaque d’Israël par la Russie et ses alliés ; chose que Dan.11:41 confirme : « Il entrera dans le plus beau des pays, et plusieurs succomberont ; mais Édom, Moab, et les principaux des enfants d'Ammon seront délivrés de sa main. » Et pareillement, Dan.11:45 prophétise la fin des armées russes : « Il dressera les tentes de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide » ; ces troupes russes étant détruites sur les « montagnes » d’Israël, selon Ezé.38:21-22 : « J'appellerai l'épée contre lui sur toutes mes montagnes, dit le Seigneur, YaHWéH ; l'épée de chacun se tournera contre son frère. J'exercerai mes jugements contre lui par la peste et par le sang, par une pluie violente et par des pierres de grêle ; je ferai pleuvoir le feu et le soufre sur lui et sur ses troupes, et sur les peuples nombreux qui seront avec lui. »

Dans ce verset, le feu nucléaire est désigné par le mot « soufre », car l’explosion d’une bombe atomique transforme l’air en « soufre » brûlant. Parce que les combattants se tuent par « l’épée », ce texte cible bien la Troisième Guerre Mondiale. Mais je rencontre des difficultés avec ces textes d’Ezéchiel parce que parfois leurs descriptions peuvent être rattachées à la Troisième Guerre Mondiale ou à la scène du jugement dernier décrite dans Apo.20:8-9 : « Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre ; leur nombre est comme le sable de la mer. Et ils montèrent sur la surface de la terre, et ils investirent le camp des saints et la ville bien-aimée. Mais un feu descendit du ciel, et les dévora. » Et ces deux accomplissements possibles sont séparés par la période de « mille ans » citée six fois dans les versets 2 à 7 de ce chapitre 20.

Dans Daniel 11, le verset 44 marque l’heure de « l’expiation des péchés » des fausses églises chrétiennes américaines, européennes et russes, non couvertes par la justice du Christ, et qui doivent à ce titre, expier elles-mêmes leurs péchés, comme les Egyptiens lors de la première Pâque. Et ce rôle fondamental va permettre de mieux comprendre la présentation de cette guerre sous son symbole de « sixième trompette » décrite dans Apo.9:13 à 21. Le conflit évoqué passe sous silence la guerre conventionnelle qui s’est accomplie jusqu’au moment de cette tuerie vengeresse, soit au moment où l’arme nucléaire est utilisée pour « tuer le tiers des hommes », comme les Egyptiens de la première Pâque. L’expression « pour l’heure, le jour, le mois, et l’année » désigne le moment du génocide nucléaire qui caractérise cette « sixième trompette ». Et dans l’attente de précisions supplémentaires à ce sujet, cette expression souligne la longue attente de ce moment par les mauvais anges, selon qu’Apo.7:1 à 3, précise qu’ils l’attendent depuis la date 1844, en laquelle le « sceau du Dieu-vivant », symbole de son saint sabbat, est apparu dans son Elue adventiste : « Après cela, je vis quatre anges debout aux quatre coins de la terre ; ils retenaient les quatre vents de la terre, afin qu'il ne soufflât point de vent sur la terre, ni sur la mer, ni sur aucun arbre. Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant ; il cria d'une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer, et il dit : Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. » Ne ciblant que des pécheurs, elle peut se présenter n’importe quand et n’est pas liée par les dates des deux fêtes religieuses qui concernent l’une et l’autre, uniquement le salut des élus. En sorte que la date de son accomplissement sera celle de l’utilisation de la première bombe nucléaire stratégique ; ce qui n’exclut pas, jusqu’à cette date, l’utilisation de bombes tactiques de la puissance réduite à celles qui furent utilisées à Hiroshima et Nagasaki, déjà, par l’Amérique. Mais cette fois, les premiers à l’employer pourraient être les Russes à cause de l’infériorité de leur armement conventionnel classique. Toutefois, nous disposons d’un élément qui situe le début du scellage des élus à l’automne 1844, date de la restauration du sabbat adopté individuellement par le capitaine Joseph Bates dès le mois d’Octobre 1844 avant tous les autres Adventistes. L’attente des mauvais anges pourrait donc, peut-être, cesser également dans la saison d’un Automne situé entre 2023 et 2028.

Le rattachement de la « sixième trompette » à cet usage stratégique du feu nucléaire terriblement destructeur est démontré par l’insistance du texte sur cette expression du verset 18 d’Apo.9 : « Le tiers des hommes fut tué par ces trois fléaux, par le feu, par la fumée, et par le soufre, qui sortaient de leurs bouches. » ; mais aussi, selon le verset 16, par le nombre des combattants qui croît avec le prolongement du conflit : « Le nombre des cavaliers de l'armée était de deux myriades de myriades : j'en entendis le nombre. » Ce nombre impressionnant, de 200 millions de combattants ne sera atteint qu’au moment de l’apogée des combats. Précisément, celui où l’Amérique décidera d’éliminer la Russie et ses alliés par le feu nucléaire stratégique : ce qui justifiera la réaction du « roi du septentrion » russe dans Dan.11:44 : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. » Et pour « détruire et exterminer des multitudes » ennemies, il utilisera à son tour, en riposte, l’arme nucléaire stratégique dont il est redoutablement supérieurement équipé. La Russie maîtrise seule la possibilité de lancer à très haute vitesse ses missiles nucléaires que personne ne peut arrêter et empêcher d’atteindre leurs cibles.

Je profite de ce verset pour rappeler la justification de la mention des deux points cardinaux, « l’orient et le septentrion ». Ces deux points cardinaux désignent la position du territoire russe, selon que l’occupant russe se trouve en Occident, en Italie, ou en Israël. En territoire occidental, sa terre natale est « à l’orient » et en terre d’Israël, elle se trouve « au septentrion ». Et ces deux visions sont justifiées par le fait que la foi chrétienne et la foi juive sont toutes deux concernées par cette révélation prophétique. Il faut aussi tenir compte que le camp occidental est représenté par l’Italie papale qui constitue sa position de référence en tant que « roi » du verset 36, désigné par le pronom « lui » dans le verset 40.

En fait, ce châtiment de la « sixième trompette » met en œuvre une punition comparable à celle dans laquelle Dieu tua les « premiers-nés » égyptiens. La date de la dernière fête de « Pâque » est bénédiction et protection pour les élus fidèles du Christ mais en même temps, à l’opposé absolu, « jour des expiations », malédiction et punition pour ses ennemis qui l’ont trahi, méprisé, et humilié.

Ceci étant dit et compris, la phase préparatoire de la Troisième Guerre Mondiale s’accomplit en Ukraine, mais Daniel 11:40 ignore cette préparation dans son récit. Il commence à le décrire au moment où le « roi du midi » musulman arabe et africain agresse l’Italie où se tient le siège du pape catholique romain. Cette action doit encore s’accomplir dans le temps qui est devant nous et elle ne pourra le faire que lorsque l’Europe sera abandonnée par les Américains pour une raison qui reste à découvrir dans le proche avenir. Ce sera à la faveur de cette attaque musulmane, que la Russie du « roi du septentrion » portera une attaque de grande échelle contre l’Europe ruinée et affaiblie, très vulnérable sans la protection américaine.

Une  pensée est venue dans mon esprit proposant une explication qui pourrait justifier le retrait des Américains des problèmes européens actuels. En voici l’explication : L’Europe Unie, pour quelques temps encore, dépend entièrement de son équipement construit en Chine. Elle ne peut donc pas se permettre de se fâcher avec elle. Mais la conséquence de cette dépendance chinoise est que cette relation de l’Europe avec elle n’est pas appréciée par les Américains qui pourraient se fâcher sérieusement si cette relation se prolonge alors que celle de la Chine et l’Amérique s’enflamme au sujet de l’île de Taïwan. Selon ses propos, la présidente de la Commission européenne est très consciente de la nécessité de rester en bon rapport avec la Chine. Et le problème qui se présente est celui qui concerne le ménage à trois. Qui va gagner le cœur de la belle Europa ? L’Amérique ou la Chine dont elle dépend économiquement ? Etant écartée, l’Amérique aurait une bonne raison de se replier sur son continent et de laisser Europa régler seule ses problèmes avec les Ukrainiens et les Russes.

 

 

 

 

Le Vrai Maître du Temps

 

Dieu en a donné les preuves, il est le Vrai et seul Maître du temps. Dès le commencement, en créant la semaine de sept jours, il a révélé qu’il règlerait le problème du péché, qui désigne toute forme de rébellion et de contestation des normes établies par sa sagesse, pour toutes les formes de vies qu’il a créées. Un bon architecte ne construit pas un immeuble sans avoir, au préalable, réalisé un plan. En fait, plusieurs plans sont nécessaires ; un grand plan général, et des plans de détails. Dieu a agi ainsi. Son grand plan concerne sept mille ans et les plans de détails sont le projet de trois alliances de 2000 ans chacune qui s’achèvent par 1000 ans consacrés au jugement des rebelles et traîtres tenus pour coupables à un niveau élevé. Rien ne pourra faire changer ce programme divin. Et pour que ses élus conservent et se transmettent cette vérité jusqu’à la fin du monde, Dieu révèle « sa bénédiction et sa sanctification du septième jour » qui prophétise, chaque fin de semaine, le grand repos qu’il partagera avec ses élus dès le commencement du septième millénaire.

Dieu ayant caché la chose jusqu’en 2018, l’année du commencement du septième millénaire est maintenant révélée à ses derniers élus qu’il juge fidèles et dignes de ce privilège : le printemps de l’an 2030. En conséquence, ses serviteurs éclairés savent que tous les projets faits par les humains au-delà de cette date sont vains, et ne verront jamais le jour de leur mise en action. Et c’est donc avec un sourire un peu moqueur que nous pouvons accueillir le projet français de lancer la construction d’un nouveau « Porte-avion » en fin 2025, afin de remplacer le vieux « Charles de Gaulle » actuel, en service depuis 1994, dit « bon pour la casse ». Les concepteurs du projet n’imaginent pas que, dès 2024, la France sera elle-même jugée par Dieu « bonne pour la casse ». Et il faut relever l’intérêt de voir « mise à la casse », en même temps, la perverse 5ème Constitution de la France dont le destin a été, jusqu’à sa fin, lié à l’héritage du Général de Gaulle. Par ce projet et ses propos, Dieu semble vouloir faire prophétiser la fin de la France par ses élites politiques elles-mêmes. Déjà, la France a sabordé elle-même l’utilisation de ses réalisations prestigieuses, successivement dans le temps, le paquebot « France » et son bel oiseau volant, l’incomparable « Concorde » ; un terme qui nous rappelle « la place de la Concorde », ainsi nommé en 1795, là où fut guillotiné le roi Louis XVI, accomplissant ainsi la « 4ème trompette ». Ensuite, Napoléon Bonaparte, ce dictateur précurseur de nos dictateurs actuels, a instauré le Concordat. Je vois en ces deux mots « France et Concorde » les deux choses auxquelles le pays France a renoncé dans son engagement européen destructeur insatiable. Et ce n’est pas sans raison que ces élites favorables à la création de l’U.E. ont fait du parti Front National l’ennemi public numéro 1, car « qui veut tuer son chien, l’accuse de la rage ». Et dans le même engagement, le mélange cosmopolite du peuple remplaçait la « concorde » par la discorde.

Le Maître du Temps s’est révélé par son pouvoir illimité qui lui permet d’annoncer ses projets à ses prophètes et de les faire accomplir au jour exact qu’il avait prophétisé. Ces prophéties constituent les plans de détails de sa divine architecture. Le Maître du Temps contrôle toutes les horloges et ce qu’il prophétise ne connaît ni retard ni avance. Nous lisons dans 2 Pierre 3:9 : « Le Seigneur ne tarde pas dans l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient ; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. » Cette explication est aujourd’hui contredite par les révélations prophétiques de Dieu. Mais néanmoins dans l’analyse de ses propos, les mots prononcés restent vrais pour ses seuls élus. Mais pour la compréhension publique, il faudrait dire : « le Seigneur aimerait que tous arrivent à la repentance ». Cette expression de Pierre est inspirée par Dieu avec une grande subtilité, car la repentance totale sera obtenue de ses élus, qu’au temps de la fin qui est le nôtre.

Le projet de Dieu a été expliqué en image par Jésus-Christ pendant les trois ans et demi de son ministère terrestre. Et il a révélé les principes essentiels du plan du salut. Je retiens particulièrement cet enseignement de Matthieu 25:31 où Jésus dit : « Lorsque le Fils de l'homme viendra dans sa gloire, avec tous les anges, il s'assiéra sur le trône de sa gloire. Toutes les nations seront assemblées devant lui. Il séparera les uns d'avec les autres, comme le berger sépare les brebis d'avec les boucs ; et il mettra les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche. » Les deux animaux symbolisent deux types d’êtres humains : les vrais croyants et les faux et non croyants. L’homme est avec Dieu ou contre lui. La « brebis » est le symbole de la docilité et en opposé absolu, le « bouc » est l’image même du comportement belliqueux, rebelle, contestataire et qui a de plus pour caractéristique, de porter en lui et autour de lui une odeur repoussante extrêmement forte et désagréable. Pour toutes ces raisons, Dieu en a fait le symbole du péché dans le rite hébreu du « Yom Kippour » ou « Jour  des Expiations ». Et dans ce rite, Jésus-Christ n’est pas le bouc mais le porteur saint et innocent du péché de ses rachetés représenté lui-même par le « bouc ». Car, « la Pâque et le Jour des expiations » sont l’envers et l’endroit d’une même pièce qui représente la solution divine que Dieu apporte au cas mortel de l’homme pécheur. A elles seules, ces deux fêtes enseignent tout le principe du salut proposé par Dieu à l’homme pécheur héréditaire. C’est pourquoi son offre est adressée à tous les êtres humains répandus et dispersés sur toute la terre. Mais le moyen d’être sauvé est rien qu’une offre soumise à conditions. Et ce n’est pas sans raison que Jésus a tenu à dire dans Matt.22:14 : « Car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus ». On est bien loin de la conception du salut « étiquette » enseigné dans toutes les églises du faux christianisme. En fait, les apparences sont entièrement trompeuses, parce que Dieu n’attend pas vraiment la décision humaine de croire ou ne pas croire en lui. Ceci, parce qu’en réalité, c’est lui seul qui vient se révéler à ses vrais élus dont il connaît la nature et leur amour pour lui et ses vérités, depuis la création de son projet de vies libres placées à ses côtés. Le fait que la sélection s’effectue sur ce principe rend impossible toute erreur au niveau de cette sélection. Le Vrai Maître du temps est aussi le Vrai Maître du jeu, vainqueur du commencement à la fin. Au fil des six millénaires, il se révèle à ses élus, alors que des multitudes pensent pouvoir se réclamer de son salut, comme l’histoire du peuple Israël en témoigne. Dieu l’a bien reconnu pour son peuple, mais à ce titre, il ne lui a pas épargné les châtiments qu’il méritait, jusqu’à le conduire en déportation à Babylone. Etre du peuple d’Israël ne donnait pas un statut d’élu sauvé et digne de vivre éternellement. Et cette même condition s’applique pendant les deux mille ans de la foi chrétienne pour les Chrétiens, et en dernier, depuis 1994, pour les Chrétiens adventistes du septième jour. Ayant été moi-même béni et mis à part pour une œuvre prophétique placée sous ce nom choisi par Dieu, afin de distinguer de celui de l’héritage traditionnel mon message et les nouvelles lumières que j’ai reçues et présente, pour les premières, depuis 1982, je me présente aujourd’hui comme « dissident adventiste du septième jour et de la septième heure ». Car, en serviteur du Vrai Maître du temps, mon œuvre consiste à remettre les pendules prophétiques à leur véritable heure, soit : la septième. Car en Automne1844, les pionniers testés et sélectionnés du mouvement adventiste (encore du premier jour) croyaient être dans la 7ème heure, celle de « Laodicée » d’Apo.3:14, alors qu’ils ne se trouvaient qu’à la 5ème heure du temps prophétisé dans l’Apocalypse, celle de « Sardes », dans Apo.3:1. Ensuite, unifiés sous le nom officialisé d’église adventiste du septième jour, ils étaient en 1873, au temps de la 6ème heure. Et ce n’est qu’en 1991, heure de ma radiation officielle de l’église adventiste, que Dieu a fait sonner la septième heure de son projet prophétisé. Ces trois heures adventistes sont appelées successivement « Sardes, Philadelphie, Laodicée ». Je rappelle que toutes les dates rattachées à ces trois époques ont été obtenues par des calculs proposés par les textes prophétiques de Daniel 8:14 et 12:12.

5ème heure : 1844 : Sous le nom « Sardes », en 1843 et 1844, Jésus-Christ a jeté un grand filet pour séparer en deux groupes les poissons protestants. Il a retenu pour lui les poissons agréables et il a rejetés à la mer les multitudes d’autres poissons sans intérêt et sans valeur pour lui.

6ème heure : 1873 : Sous le nom « Philadelphie », il a honoré ces poissons agréables, les a revêtus de sa justice et de sa sainteté, en leur donnant pour signe qu’ils lui appartenaient, la restauration de la pratique du sabbat. C’est ce lien retrouvé avec Dieu qui leur donne ce nom « Philadelphie » qui signifie qu’ils portent le fruit béni de « l’amour fraternel ». Mais la bénédiction divine est uniquement rattachée à une date : 1873. Car au-delà de cette date, les élus sont mis en garde, invités à ne pas se laisser prendre leur « couronne » de vie.

7ème heure : 1991 : Sous le nom « Laodicée » qui signifie : « Peuple jugé », l’adventisme du septième jour est testé et jugé par Jésus-Christ. La menace adressée en 1873 était justifiée, car il va perdre sa « couronne » définitivement en 1994. La cause de ce jugement qui conduit Jésus à « vomir » l’institution officielle est son mépris témoigné pour mon message dont le titre était « la Révélation de la Septième Heure ». En 1991, l’annonce du retour de Jésus-Christ pour 1994 a été méprisée et combattue par les dirigeants officiels. Dans cette attitude de rejet global, le peuple adventiste du monde entier a été privé d’une manne divine donnée par Jésus-Christ à Valence à son serviteur rejeté et radié. La condamnation de la foi protestante, chose révélée clairement dans mes explications des prophéties, a de la sorte été ignorée par tous les membres au moment même où cet adventisme a fait allégeance à la fédération protestante en entrant dans leur groupe et dans l’alliance œcuménique organisée par l’église catholique, pour regrouper les organismes religieux rejetés par Dieu. Sur toute la terre, des membres de l’adventisme ont ignoré l’existence de toutes les lumières que Dieu m’a fait découvrir et connaître ; des choses qu’il voulait leur faire partager pour nourrir leur foi et réveiller leur enthousiasme. N’est-il pas écrit dans Amos 4:6 : « Mon peuple meurt faute de connaissance ? » Je te laisse évaluer la gravité de la culpabilité des êtres humains qui ont ainsi privé, les fils et filles de Jésus-Christ de sa divine manne spirituelle.

Dieu a ainsi apporté à ses élus qui aiment sa vérité, des précisions au sujet des heures de l’accomplissement de son projet terrestre, mais que se passe-t-il dans l’autre camp, celui des « boucs » ?

Une fois lâchés par Dieu, les Protestants et les Catholiques sont devenus des victimes faciles prises au piège par les divers moyens inventés par le diable et ses démons. Un homme a tenu un rôle important dans ce type d’action, il s’agit de Mr Charles Darwin. Au cours de voyages, notamment dans les îles Galápagos, il a découvert des iguanes et autres bêtes qui l’ont conduit à développer sa théorie de l’évolutionnisme. Ce piège a été très efficace, car sous couvert du mot science, le diable a réussi à arracher les dernières résistances religieuses attachées à la sainte Bible. Car aujourd’hui, en 2023, beaucoup de gens qui se disent chrétiens croient, en même temps, au Dieu de la Bible et aux théories évolutionnistes scientifiques de Mr Charles Darwin ; ceci, sans être conscients que l’un annule l’autre. Ceux qui agissent ainsi basent leur foi sur les Evangiles de la nouvelle alliance et méprisent les écrits de l’ancienne alliance. Pour eux, ces écrits étaient pour les Juifs, donc pour eux, sans intérêt. Le Darwinisme a surtout gagné les habitants européens pour beaucoup, catholiques, par baptême infantile dans la foi familiale héritée. Les autres groupes protestants privilégient plus ou moins les Evangiles et les épîtres de la nouvelle alliance. Ils affichent ainsi leur mépris pour le plus ancien des « deux témoins » de Dieu cité dans Apo.11:3 : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. ». Et leur ignorance des subtilités révélées dans le récit de la création du livre Genèse les conduit à ignorer celles qui révèlent le grand Dieu créateur, Maître et Organisateur du Temps.

En Amérique du Nord, la Bible a conservé son prestige et la pensée évolutionniste s’y trouve combattue par la pensée créationniste majoritaire dans ce pays. Cependant, ces créationnistes, essentiellement protestants, privilégient, eux-aussi, la lecture des Evangiles et des épîtres de la Nouvelle Alliance. Ils marchent donc eux-aussi sur « une seule jambe ». L’Amérique n’est pas seulement le pays où se dresse fièrement la statue de la liberté offerte par la France, c’est aussi le pays où tous les excès sont pratiqués et le plus souvent légitimés, au nom de sa sacro-sainte liberté. Mais cette liberté n’est qu’un cruel esclavage du péché qui s’y présente et s’y développe sous de multiples aspects : capitalisme, racisme, drogues, violences, crimes, et bien sûr plus que partout, multiplication à outrance de groupes Evangéliques qui se disent libres, et le sont plus qu’ils ne le pensent, s’étant coupés de Dieu. L’Amérique produit des prédicateurs évangélistes comme la forêt produit des champignons, sauf que leur nourriture spirituelle est encore plus vénéneuse que les champignons mortels qui n’ont pour effet que celui de donner la première mort, alors que leur poison mensonger conduit leurs victimes à la « seconde mort » qui ferme définitivement la route vers l’éternité. Mais peut-on plaindre des êtres humains qui bénéficient d’un accès libre à la Bible ? Leur attitude ne fait que révéler ce que Dieu sait déjà d’eux depuis le commencement de son projet créationniste.

Je rappelle que seule la lecture des livres de l’ancienne alliance témoigne des quatre mille années qui conduisent l’humanité, depuis Adam jusqu’à la première venue de Jésus-Christ et plus précisément, à sa mort expiatoire. Et c’est avec leur rôle pédagogique édifiant, dans ce but que le divin Maître du temps a inspiré ces témoignages et les a fait écrire.

Le Dieu Maître du Temps est aussi Maître de l’intelligence et c’est pourquoi il exige l’intelligence dans le comportement de ses créatures. Car tous ceux qui sont rejetés par lui, le sont à cause d’un témoignage qui révèle leur manque d’intelligence. Cette inintelligence se traduit par un comportement légaliste de la créature qui déshonore Dieu, son Créateur. Mais le légalisme n’a pas seulement le sens qu’on lui donne traditionnellement soit, l’appui qui repose uniquement sur la loi divine. Car le légalisme, c’est avant tout l’application d’un texte de loi sans l’intelligence que cette application requiert. Jésus-Christ a résumé ce principe erroné, en faisant dire à Paul, dans 2 Cor.3:6 : « la lettre tue, mais l’esprit vivifie ». « La lettre » ne peut définir le cas particulier qui reste fondamental et constitue le vrai but du lien établi entre Dieu et son élu. Pour Dieu, celui qui l’aime et qu’il aime, lui est plus précieux et plus important que toutes ses lois, qui restent cependant légitimes pour définir les limites de la liberté qu’il offre à toutes ses créatures. Et le risque de déplaire à notre divin Maître du Temps est, dans cette liberté qui reste, nécessaire, pour que chaque créature affiche sa véritable nature. Et il faut le comprendre, sans cette liberté donnée à ses créatures, Dieu ne pourrait juger personne, mais son jugement de chacune de ses créatures est possible et justifié, en raison de l’existence de leur liberté de pensée et d’action que Jésus-Christ appelle  les « œuvres ». Car notre foi repose sur des pensées rendues concrètes et visibles par nos « œuvres », nos actions. Le Maître de l’intelligence exige donc, de la part de ses élus, un comportement intelligent qui l’honore et le glorifie sous le regard de tous ses ennemis dirigés et conduits par Satan, le diable et ses démons célestes et terrestres. A la lumière de ces explications, tu peux mieux comprendre la raison pour laquelle Jésus-Christ a « vomi » l’institution adventiste du septième jour en 1994, après avoir rejeté la foi protestante testée et éprouvée en 1843 et 1844.

Peut-on s’étonner de ce que Dieu ait rejeté en 1843, des Chrétiens protestants que les annonces successives de son retour pour le printemps 1843 et pour l’automne 1844 ont laissés froids et indifférents et, pour certains, agressifs envers ceux qui espéraient et croyaient à ces annonces ? Leur liberté a témoigné contre eux. Et Dieu les a logiquement et justement jugés indignes de son salut. Dans cette première épreuve, il n’était pas encore question du sabbat, mais uniquement de démonstration d’intérêt pour le retour de Jésus-Christ soit, la pensée « adventiste ». Ce n’est qu’après l’épreuve de l’automne 1844, que Dieu a dirigé ses élus vers la connaissance et la pratique du sabbat. Et le comportement des Protestants envers le message du sabbat a confirmé le juste jugement de Dieu porté sur eux ; ils l’ont méprisé, sous le prétexte que cette pratique était réservée aux seuls Juifs de la race des Hébreux. Ainsi, ils ont librement témoigné d’un manque d’intelligence spirituelle et d’un mépris pour les paroles de Jésus-Christ qui a pourtant bien précisé : « Car le salut vient des Juifs » ; et comme Paul l’a enseigné dans Rom.11, en Christ, dans le projet de Dieu, c’est le païen adopté qui devient un vrai Juif spirituel et non l’inverse. Et pour leur malheur éternel, ignorant l’avertissement de Paul, ils se sont « glorifiés » au-dessus des Juifs, allant jusqu’à préférer au sabbat sanctifié par Dieu dès la fondation du monde, le dimanche romain qui perpétue les honneurs rendus au « jour du soleil invaincu » païen établi, depuis le 7 Mars 321 par l’empereur romain Constantin 1er dit le Grand.

Je reviens sur cette citation sortie de la bouche de Jésus-Christ de Jean 4:22 : « Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs. » La leçon qui est ici donnée s’adresse précisément aux païens, puisque Jésus parlait à la femme samaritaine qui n’était pas juive. Cette réponse donnée par Jésus donne toutes les explications qui permettent de comprendre la culpabilité du faux christianisme de notre temps final depuis le 7 Mars 321, marqué par l’abandon de la pratique du vrai sabbat du septième jour. « Vous adorez ce que vous ne connaissez pas » ; ceci concerne les faux Chrétiens depuis 321. « Nous, nous adorons ce que nous connaissons » ; ceci concerne les vrais Juifs, primitivement de race, comme les apôtres et les premiers disciples, et les Juifs spirituels adoptés parmi les païens. En disant « nous », Jésus s’est entièrement revendiqué de la race juive, prioritaire en ce que Dieu l’a choisie pour porter ses oracles, ses ordonnances, ses lois, et toutes ses prophéties, ainsi que le Messie venu apporter le salut. Circoncis de chair ou incirconcis, le vrai Juif spirituel sauvé par Dieu est un circoncis de cœur, en ce qu’il fait de Dieu, son Maître du Temps, son vrai Père, son Créateur. Dieu nous propose individuellement, la possibilité de revivre l’expérience vécue par Abraham que Dieu prit parmi les païens de son époque, à Ur en Chaldée ; là-même où, plus tard, en signe de rejet, il a fait déporter l’Israël indigne de son amour et de sa protection, cette fois, à Babylone.

Sélectionnés au moment où la foi protestante a été rejetée par Dieu, les  Adventistes du premier jour sont devenus des Adventistes du Septième Jour. L’Adventisme ainsi établi avait vocation et devoir de progresser dans sa connaissance du vrai Dieu ; ce qui en faisait, une alliance juive spirituelle. Et en 1873, les Adventistes regroupés et bénis par Dieu étaient dans cet état d’esprit. Mais comme toutes les alliances successives, l’héritage religieux a vite transformé cette nature bénie et zélée en une religion tiède et formaliste. Et en 1991, cet état indigne pour Jésus-Christ a atteint son plus haut niveau. Dès l’année 1982, j’ai localement, en France, à Valence sur Rhône, présenté à mes frères adventistes les résultats de mes premières études des prophéties de Daniel et Apocalypse, et j’ai été très étonné de voir qu’elles ne suscitaient aucune marque d’enthousiasme ou même d’intérêt. J’ai pu ainsi, comprendre ce que Jésus a pu ressentir en son temps pour les mêmes raisons. J’ai réalisé alors, que ce comportement s’est reproduit dans toutes les époques et que les vrais élus de Dieu en Jésus-Christ sont aussi rares que les pépites d’or. Les paroles de Jésus étaient confirmées : « car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus ». J’ai donc accepté la situation et poursuivi mon étude et mes recherches, me souvenant de ce dicton « s’ils n’en veulent pas, au moins, qu’ils n’en dégoûtent pas les autres ». Mais là encore, les instances dirigeantes ont fait tous leurs efforts pour les dégoûter, ces autres, et elles devront donc assumer leur culpabilité et leur responsabilité dans cette perte des âmes privées de nourriture divine, dans le jugement de Jésus-Christ.

En 1991, le Maître du temps a choisi ce moment pour faire accomplir le message adressé à l’Adventisme de l’époque dite « Laodicée ». La présentation dans l’église locale de mon premier ouvrage polycopié ayant pour titre « La Révélation de la Septième Heure », a provoqué des réactions du pasteur et des anciens. La Commission de la fédération adventiste sud s’est emparée du sujet. Une réunion fut tenue ensuite à Valence entre le pasteur local, un ancien, moi et trois frère et sœur adventistes locaux qui partageaient et appréciaient mes explications prophétiques. Remis en cause par l’un de mes témoins au sujet de l’enseignement de la vérité, le pasteur changea brusquement d’attitude envers moi, et c’est ce soir-là, qu’en rentrant chez elle, la sœur témoin de cette réunion vit « une étoile tomber » à la verticale devant ses yeux. Je fus ensuite invité devant toute l’assemblée locale à cesser d’annoncer le retour de Jésus-Christ pour 1994 et nous n’étions qu’en automne 1991. Refusant de me plier à cette exigence, au nom de l’assemblée, le pasteur prononça ma radiation officielle du registre des membres de la communauté adventiste.

En quoi, en 1991, la foi au retour de Jésus-Christ pour 1994 devenait impossible, alors qu’une annonce beaucoup moins argumentée rassembla 30000 âmes croyantes aux USA, dans l’automne 1844 ? Le facteur temps et ses ravages sont les seuls responsables. Jésus-Christ et ses apôtres ont tous prophétisé pour les derniers jours, le refroidissement de la piété, la quasi disparition de « l’amour de la vérité ». Entre 1873 et 1994, il s’est écoulé 120 ans, la durée d’une vie humaine rebelle décidée par Dieu au temps de Noé, selon Gen.6:3 : « Alors YaHWéH dit : Mon esprit ne restera pas à toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. » Conformément à cette déclaration, au terme de 120 ans d’activité adventiste officielle, Dieu a retiré son esprit de l’Adventisme institutionnel officiel. Mais de même que Noé a survécu au déluge avec 7 personnes, l’Adventisme et sa mission prophétique ont survécu à ce vomissement collectif officiel. Je suis resté dépositaire des sublimes révélations que, du septième ciel, l’Esprit du Maître du Temps m’apporte et me fait découvrir pour te les faire partager. Comme au Noces de Cana, Jésus a gardé, pour nous, son meilleur vin pour la fin. Le privilège qui nous est offert est immense, incommensurable, et illimité, comme le Dieu du Temps qui l’offre avec son éternité.

En rejetant en 1991 l’arbre que constituait l’annonce du retour de Jésus pour 1994, l’Adventisme rejeta la forêt que représentaient les 34 chapitres des prophéties de Daniel et Apocalypse, que l’ouvrage « La Révélation de la Septième Heure » leur présentait parfaitement éclairés et décodés, par le seul code indiqué par la sainte Bible et uniquement elle. Et c’est sans aucun doute là, dans cette erreur impardonnable, que Dieu a trouvé de manière juste et irréprochable, la justification de condamner son manque d’intelligence qui le déshonore. Dans le langage populaire actuel, ce comportement stupide est exprimé par la formule : « jeter le bébé avec l’eau de son bain ». Dieu ne peut en effet pas accepter de se voir représenter par un tel témoignage de folie, lui, qui est la Source et le Maître du Temps et de l’Intelligence.

Quand sa conception du temps n’est pas bridée et limitée par les chiffres fixés par Dieu, l’homme regarde ce temps qui est devant lui comme illimité. C’est pourquoi, il est condamné à la désillusion et à voir s’écrouler brusquement toute sa fausse conception de l’existence. Sa vie elle-même va cesser brusquement dans une destruction collective pourtant annoncée par Dieu dans ses prophéties. Mais le regard porté vers l’avenir inconnu pourrait à la rigueur se comprendre, mais l’homme scientifique regarde le passé de cette même fausse idée, et formule des hypothèses qui donnent à la terre des centaines de millions d’années, alors qu’elle fêtera son 6000ème anniversaire au printemps 2030 qui vient. Mais qui pourrait empêcher l’insensé de subir les conséquences de son libre choix ? Pas moi ; et si Dieu lui-même le juge digne de son sort, je ne suis pas responsable de sa perte. Je reste « un gardien pour mes frères et sœurs » humains mais pas au-delà de leur propre choix fait en toute liberté, car « à l’impossible, nul n’est tenu » et « chacun se couche comme il fait son lit » ; que de sagesse utile dans ces dictons populaires !

Le facteur « temps » est à l’origine des changements et en premier, Dieu a vu son existence énormément changer au cours du temps. Et dans l’attente du meilleur, il a supporté le pire. Et sa vie est encore à ce sujet comparable à la nôtre puisque Dieu a choisi de lier la vie terrestre à sa vie céleste. Il les a encore plus unifiés par son incarnation en Jésus. Et en l’espace temps de sept jours, Jésus fut proclamé Roi des Juifs et accueilli avec gloire par le même peuple qui criait au procurateur romain Ponce Pilate, une semaine plus tard, « crucifie, crucifie », le jour de sa mort volontaire. Le temps n’est pourtant pas le seul responsable du changement, car c’est le péché qui le provoque. En effet, dans l’éternité qui précède et celle qui vient, Dieu ne change pas, mais le prolongement du bonheur éternel sera dû à l’élimination complète des auteurs du changement, les pécheurs célestes et terrestres. Car pour atteindre le but qu’il s’est fixé, Dieu aura dû trier, sélectionner et éliminer ses créatures selon leur conformité au modèle adapté pour la vie éternelle où les valeurs ne changeront jamais.

L’histoire de la vie céleste qui a précédé la création terrestre n’a pas été écrite, parce que les conditions célestes ne provoquaient pas de grands changements visibles. La séduction et la conquête des âmes des anges par Satan étaient ressenties douloureusement dans les pensées et les esprits des anges fidèles à Dieu. Mais sur la terre créée pour le péché, des changements de situations ont été rendus visibles et en premier, le passage de la perfection originelle à l’imperfection liée à la malédiction du péché. La séduction devint clairement visible et identifiée par l’instauration du principe de la mort appliqué à toute la création terrestre. Sur la terre du péché, les progrès du mal devinrent très évidents et ainsi, comme les « jours » succèdent aux « nuits », des temps de « lumière » ont succédé à des temps de « ténèbres » plus ou moins grandes, en alternances permanentes et perpétuelles. En recherche continuelle du régime et système idéal, le monde du péché construit, détruit, relève et reconstruit des modèles différents. Mais il court après un mirage qui s’éloigne de lui toujours plus loin, parce qu’il n’a pas compris que le problème de l’humanité, c’est le péché qui est dans l’homme. Dieu l’a si bien compris, lui, qu’il s’est incarné en Jésus-Christ, « pour mettre fin » à sa domination tyrannique meurtrière. C’est ce qu’il a dit dans Dan.9:24, on ne peut plus clairement : « Soixante-dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier l'iniquité et amener la justice éternelle, pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. » La mort de Jésus a premièrement payé le prix que le péché originel devait à la loi de Dieu transgressée, mais le problème du péché n’est en cela que partiellement résolu. Heureusement, Jésus-Christ a offert en sacrifice une vie parfaite exempte de tout péché, une justice parfaite qui lui donne droit de se ressusciter. Et c’est au titre de sa parfaite justice ressuscitée qu’il peut régler définitivement le problème du péché, en détruisant les pécheurs restés porteurs de leurs péchés.

Dieu, le seul et unique Maître du temps, a laissé au diable et au péché, un temps de 6000 ans pour produire leurs fruits. Il a fait du temps son arme redoutable qui agit en puissance au bout de 4000 ans, et 2000 ans plus tard. Dans ces deux puissantes interventions, il aura réglé, entièrement, le problème du péché. Mais le septième millénaire va tenir un rôle indispensable puisqu’il va permettre aux saints élus de juger les rebelles destinés à subir la « seconde mort » au jugement dernier. Ainsi, quand s’achèvera ce septième millénaire et que les déchus rejetés par Dieu auront été détruits et anéantis définitivement, la semaine prophétique de sept mille ans prendra fin. Dieu pourra alors redonner à la terre un aspect paradisiaque parfait et glorieux pour y vivre au milieu de ses rachetés éternellement.

Je dois redresser maintenant l’idée fausse largement répandue au sujet de ce que Dieu appelle « mettre fin au péché ». Car beaucoup font reposer sur le seul Messie Jésus l’accomplissement de ce projet. Comme s’il s’agissait pour Dieu de satisfaire un caprice après lequel ses créatures seraient libres d’agir en toute liberté et autorisées à pécher. Non ! Dieu n’est pas capricieux mais souverainement exigeant. Et ce qu’il exige de ses élus qu’il accepte de sauver, c’est qu’ils renoncent à pécher contre lui et ses ordonnances, ses commandements, ses lois. Il y a fin du péché uniquement quand le pécheur ne pèche plus, ou pour le moins, ne pèche plus, volontairement. Et c’est précisément pour obtenir légalement le droit d’aider ses élus à ne plus pécher, que Dieu s’est offert en sacrifice en Jésus-Christ. Sa mort expiatoire a donc été nécessaire pour que ses élus eux-mêmes cessent de pécher. Aussi, ces paroles tenues par Jésus, dans Jean 15:5, prennent-elles tout leur sens : « Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. » Jésus l’a dit et ses vrais élus le croient et l’expérimentent tous les jours de leur vie.

« Avec le temps, tout change, tout passe, tout lasse, tout casse » dit cet autre dicton, et c’est si vrai pour toute chose matérielle. Mais la vie humaine ne repose pas que sur des valeurs matérielles et de grands changements se produisent dans le temps pour d’autres raisons mentales et morales quand les valeurs soutenues déçoivent ceux qui les défendent et les justifient. Des changements d’orientations politiques en résultent avec finalement les mêmes résultats décevants. Le pessimisme gagne les esprits, et les êtres humains ne savent plus vers qui se tourner. Dans ce pays de France où je suis né, d’énormes changements ont modifié sa composition ethnique. Et je me souviens qu’au temps de mon enfance, il n’y avait dans ma ville de Valence que deux enfants noirs ou nègres comme il convenait de le dire à l’époque avant que la norme américaine vienne s’imposer pour déformer notre culture. En ce temps, la négritude identifiait une race pour sa tendance majoritaire à des particularités morphologiques, mais la couleur noire n’était pas soulignée. Je rappelle encore ici, qu’il n’existe pas d’autre couleur que le noir et le blanc avec un nombre de couleurs intermédiaires de teints plus ou moins cuivrés à cause du sang, car sous ces peaux d’aspects différents, coule un même sang et fonctionnent de mêmes organes. L’histoire humaine a conduit de puissantes nations à dominer la terre dans leurs époques comme Dieu le rappelle dans ses prophéties révélées au prophète Daniel. Et je rappelle aux puristes, que Dieu lui-même ne s’impose aucun tabou, sa limite, c’est l’efficacité ou l’inefficacité. C’est pourquoi, dans sa divine sagesse, il exploite tous les moyens disponibles pour adresser ses leçons aux êtres humains. Dans Apo.2:12, il compare la stratégie du diable qui entre dans l’église chrétienne à celle du « cheval de Troie » soit, dans « Pergame », le lieu présumé où se trouvait cette ville de Troie de la légende grecque due au poète Homère. Et aujourd’hui en notre époque, nos dirigeants, les actuels « Ulysse » auraient dû s’inspirer de son exemple, lui qui se fit attacher au mât de son navire, pour résister aux chants des Sirènes auxquels les appels américains, polonais et ukrainiens, particulièrement ceux du président Zelensky, peuvent être comparés, avec le même but de perdre et faire mourir leurs victimes séduites. Notre société européenne a une source grecque et le nom Europe vient du Grec « europos » qui signifie : qui se penche ou glisse facilement. Le préfixe « eu » désigne la facilité. Qui peut nier que, dans sa situation géographique tempérée du globe terrestre, la vie européenne n’a pas été facilitée ? Les hautes montagnes des Alpes ont irrigué ses plaines et la France en a particulièrement bien profité avec cinq fleuves principaux, du Nord au Sud, le Rhin, la Seine, la Loire, la Garonne et le Rhône. La prospérité a rendu riches ces pays, et elle en a fait des dominateurs sur les autres pays de la terre. Et cette facilité a été exploitée par le diable, notre mortel ennemi, pour développer, en Europe, le pouvoir religieux papal romain, l’authentique caricature déformée de l’idéal exigé par son mortel adversaire, le grand Dieu créateur. Et sa prophétie de Daniel nous le confirme, …avec son accord ou, plus précisément, selon sa volonté souveraine. Comme le fleuve qui suit son cours depuis sa source, l’humanité suit son destin incontournable que le Dieu créateur a prophétisé en connaissant son développement dans ses moindres détails. Alors pense que les grands changements qui s’opèrent sous tes yeux ne font qu’accomplir ce que Dieu a voulu faire accomplir ; car le dernier mot sera pour lui.

Le nom Europe signifie : qui se penche ou glisse facilement, mais Dieu bénit celui qui reste debout dans le sens de la fermeté et la droiture morale et religieuse. L’Europe avait donc vocation à chuter facilement en recevant du diable, « les honneurs, la puissance et la domination sur les nations de la terre » soit, toutes les choses qu’il avait proposées au Christ, « s’il acceptait de se prosterner devant lui et le reconnaissait pour maître ». Jésus a refusé cette offre, mais le premier pape en titre, l’intrigant Vigile, s’en est emparée, en 538. Et dans Apo.13:2, Dieu confirme la chose, en disant : « La bête que je vis était semblable à un léopard ; ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité. » Une première leçon révèle que l’association de la monarchie et du catholicisme regroupe les caractères des empires universels qui se sont succédés jusqu’à lui. Dans l’ordre régressif, il a le péché (les taches) et la rapidité d’action du « léopard » grec ; « les pieds » conquérants de « l’ours » des Mèdes et des Perses, et « la gueule du lion » soit, « l’arrogance et l’orgueil » des « paroles » déjà imputés dans Dan.5:20 au roi Nébucadnetsar, le « lion aux ailes d’aigle » de Dan.7:4. Ce verset enseigne encore, deux leçons, en raison de la double identification du « dragon » : au « diable » lui-même selon Apo.12:9 ; et à la phase impériale de Rome, selon Apo.12:3. Ensuite, Apo.13:4 confirme la chose : « Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête ; ils adorèrent la bête, en disant : Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ? ». Dans sa subtilité prophétique, l’Esprit du Dieu vivant dénonce, en même temps, le relai du pouvoir romain qui passe de la forme impériale à sa forme papale, et le soutien des deux expériences successives par l’autorité du « diable ».

Avec le temps, les êtres humains ont eu l’impression d’échapper au despotisme des empereurs romains, mais ce n’était que pour retomber sous le despotisme du régime papal romain qui, au passage, a conservé pour titre le même nom maudit par Dieu ; en latin : Pontifex Maximus ; en français : le Souverain Pontife. Le pape romain prend alors pour titre un nom tout aussi maudit, dont le nombre est 666 : en Français : Le « Vicaire du Fils de Dieu » ; et en latin : « VICARIVS FILII DEI » ; V=5+I=1+C=100+I=1+V=5 = 112   I=1+L=50+ I=1+I=1 = 53  D=500+I=1  =   501+ 53+ 112 = 666. La malédiction de l’église catholique papale romaine étant identifiée, comprise et reçue, l’identification des autres religions maudites est rendue facile. Elles se démasquent en faisant alliance avec elle ; confirmant ainsi cet autre dicton : « dis-moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu es ».

 

Le réveil des haines

 

Depuis 2020, le monde est l’objet d’énormes bouleversements et l’humanité occidentale découvre, jour après jour, que son espérance de paix mondiale disparaît devant elle. Néanmoins, ignorant, le projet destructeur qui la concerne dans le programme de Dieu, la grande majorité veut croire à des solutions des conflits par le moyen pacifique des négociations. Mais que se passe-t-il en réalité dans notre monde ? Dieu et les démons réveillent toutes les vieilles haines accumulées au fil des siècles. L’homme moderne s’est cru maître de ses décisions et il pensait être capable de trouver dans le compromis des solutions pour tous les problèmes relationnels. En France, après la révolte de la jeunesse de Mai 68, les gouvernants ont pensé régler ces problèmes relationnels en repoussant de plus en plus les limites de la liberté sexuelle dont les excès ont créé les normes abominables légalisées aujourd’hui. Les choses ont commencé ainsi. Après 1945, la France a voulu oublier son occupation par l’Allemagne et elle a accepté de construire les bases de l’U.E. avec elle. Mais, l’acceptation de ces compromis devait être rentable, car la perspective de réaliser d’énormes profits dominait les esprits des Européens dont les élites politiques françaises. En dehors de l’Europe, dans les pays colonisés en Afrique et dans les pays arabes,  le regard n’était pas le même. Ces pays ont été contraints et forcés de subir la loi du plus fort soit, à l’époque, les puissances européennes et particulièrement, l’Angleterre, la France, la Belgique, l’Italie et le Portugal. Et c’est après avoir dû combattre les colonisateurs que ces pays colonisés ont retrouvé leur indépendance. Les guerres coloniales ayant un coût financier, humain et humaniste très élevé, ces puissances ont finalement renoncé à leurs revendications coloniales et des relations hypocrites ont succédé aux guerres. Ouverts aux échanges commerciaux mondiaux, les Européens ont été aveuglés par leur paix opportuniste commerciale et ont préféré consommer et s’enrichir plutôt que de s’inquiéter des états d’âme des pays injustement exploités. Aujourd’hui, ces anciens pays comme la Chine, l’Inde, les pays Arabes, les Africains et les pays de l’Amérique du Sud représentent en nombre, la majorité de la vie sur la terre. Ces nouvelles puissances font aujourd’hui entendre leurs voix et il apparaît qu’elles n’acceptent plus la suprématie impérialiste des USA.

Impérialiste l’Amérique ? Oui ! Mais pas comme l’empire romain qui écrasait des peuples en massacrant les résistants. L’impérialisme américain n’utilise ses combattants que rarement ; successivement, contre la Corée, le Vietnam, l’Iraq, la Somalie, la Serbie, l’Afghanistan, en majorité ces guerres ont été perdues et se sont achevées par un retrait américain volontaire. En dehors du cas de l’Iraq, ses adversaires étaient des guerriers mal équipés, ces guerres étaient plus des guérillas que des guerres. Et les uns après les autres, il est apparu qu’aucun pays n’était en mesure de vaincre une révolte nationaliste ; aussi grand qu’il soit. En fait, les USA laissent les nations vivre librement sur leur terre sans pour autant les occuper. Car leur unique valeur est idéologiquement le capitalisme et c’est son modèle capitaliste que l’Amérique cherche à faire adopter par tous ses alliés internationaux. Le capitalisme est pour les USA le lien universel idéal. Il permet de réaliser des prêts aux intérêts lucratifs qui enrichissent leurs banques et leurs fonds de pension qui paie les retraites de leurs salariés. L’argent produit de l’argent, ce qui est normal pour un banquier, mais dans notre monde, c’est l’Amérique entière qui fait fonction de banque mondiale pour toutes les nations de la terre. Et « celui qui emprunte ne sera jamais aussi riche que celui qui lui prête ». Par contre, s’il ne rembourse pas sa dette, l’emprunteur se ruine complètement et ses biens deviennent ceux du préteur. Ce principe, justifie l’état actuel de la France, des pays européens, et encore davantage des pays du tiers-monde. Je dois encore le rappeler, les USA sont marqués par leur origine religieuse majoritaire protestante calviniste et ce réformateur dur et cruel, nommé Jean Calvin, estimait que la richesse était un don offert par Dieu, un signe de sa bénédiction. Je te laisse juge d’une telle pensée, sachant que Dieu a fait écrire dans sa Bible dans 1 Tim.6:10 : « Car l’amour de l’argent est une racine de tous les maux ». Et ce mal est aussi vieux que le monde, mais en inventant la monnaie, l’être humain l’a grandement favorisé. Car sur la terre du diable, l’argent n’est plus ce moyen d’échange au demeurant très pratique de ses origines. Il est devenu une fin en soi ; soit, une pierre d’achoppement pour les avares et les égoïstes. On le compare à un liquide avec raison, car il fonctionne selon la loi des vases communicants ; celui qui en prend beaucoup pour lui fait diminuer la part qui revient aux autres. Et celui qui aime l’argent est insatiable ; il ne peut donc pas en guérir. La conséquence pour tous, est l’augmentation perpétuelle du coût de la vie, particulièrement dommageable pour les pays du tiers-monde.

Les haines récentes de notre société mondiale reposent donc essentiellement sur ce mot : colonisation. Et le nombre d’humains instruits augmentant sur toute la terre, les intelligences dispersées réalisent qu’en dépit des indépendances nationales concrètes, la colonisation des esprits humains et des peuples s’est prolongée sous cette forme financière. C’est ce qui explique le lever d’un front hostile au capitalisme américain et européen occidental. Les responsables sont maintenant identifiés et ils seront bientôt les cibles de la colère de cette hostilité. Bien que capable de soulever une grande colère, la cause économique et politique n’est pas la cause la plus forte de la haine, car elle repose sur une frustration principalement humaine que les esprits des démons peuvent néanmoins exploiter en les exacerbant.  La haine la plus terrible est religieuse.

Pourquoi la religion suscite-t-elle la haine ? En premier, parce que la vie repose sur un lien qui relie l’homme au seul et unique Dieu créateur. Ceci donne à la religion sa suprême importance au-dessus de tout autre critère. Tous les comportements humains dépendent de l’état de leur relation avec Dieu. Et l’être humain qui n’a pas construit une bonne relation avec Dieu est soumis à son ennemi, le diable. Et justement, c’est la seconde explication. Car en effet, le développement des fausses religions est dû à l’activité du diable, le condamné à mort en sursis jugé par Dieu. La haine de cet ange en sursis atteint un sommet inégalé. Il ne survit avec ses adeptes angéliques que pour exprimer sa haine envers Dieu et l’humanité entière. Car elle bénéficie encore de l’offre de la grâce du Christ, alors qu’il n’a plus la possibilité d’échapper à sa condamnation mortelle. Pour atteindre ses buts, avec ses démons, il utilise des âmes humaines qui ne le voient pas et ignorent que leurs pensées sont souvent ses pensées, alors qu’inspirées par les démons, elles deviennent des perroquets utilisés comme « le serpent » de la Genèse par lequel le diable en personne s’exprimait. En étant inspirées par ses mensonges, ses victimes humaines croient défendre leur opinion personnelle au point que Jésus a déclaré, dans Jean 16:2-3 : « Ils vous excluront des synagogues ; et même, l'heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu. Et ils agiront ainsi, parce qu'ils n'ont connu ni le Père ni moi. ». Et je le rappelle, j’ai moi-même été radié officiellement, soit « exclu », de l’institution adventiste du septième jour, à Valence, en France à cause du « témoignage de Jésus qui est l’esprit de la prophétie », selon Apo.19:10. Dans ce verset Jésus nous donne l’explication de cette décision des dirigeants adventistes : « Et ils agiront ainsi, parce qu'ils n'ont connu ni le Père ni moi ». Ainsi, le vrai sens de la vie est religieux, mais il est bénéfique que s’il aboutit à une communion réelle avec Dieu ; ce qui est rare et conditionnel. Hélas, en dehors de cette condition étroite et unique comme Jésus l’enseigne, les aspects des fausses religions sont innombrables et elles sont en face de la vérité, très intolérantes. C’est d’ailleurs cette forte intolérance qui révèle le plus la situation réelle, mais cachée, de l’existence. Si Dieu et le diable n’existaient pas, les êtres humains ne seraient pas poussés vers le comportement intolérant. En réalité, rien ne justifie que l’homme refuse de voir son prochain agir de manière différente que lui. L’histoire vient de le prouver, quand Dieu le veut et le permet, 77 années de paix civile (1945-2022) et 150 années de paix religieuse (1844-1995) sont possibles. L’Europe et tout le camp occidental ont bénéficié de ces deux types de paix.

Les civilisations grecques et romaines ont démontré tour à tour que la multiplication des religions et des fausses divinités ne posait pas des problèmes conflictuels majeurs pour leur population. Chacun était libre de servir et adorer la divinité de son choix. Mais ce comportement a changé brusquement lorsque la foi chrétienne a été enseignée. La chose a son explication : contrairement aux faux dieux, le vrai Dieu n’est pas partageur ; il est jaloux et exige l’exclusivité dans le cœur de ses élus, rendus d’un coup, très rares. Mais ce Dieu jaloux est aussi l’amour parfait personnifié, aussi, ses colères vengeresses contre ses ennemis sont rares. Ses élus reflètent l’amour de ce Dieu, « compatissant, riche en bonté, lent à la colère », tel qu’il décrit son nom dans Nom.14:18 : « YaHWéH est lent à la colère et riche en bonté, il pardonne l'iniquité et la rébellion ; mais il ne tient point le coupable pour innocent, et il punit l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération. » Ce véritable amour est la marque de fabrique de la véritable relation rétablie avec Dieu par le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ. Mais ce véritable amour est absent dans toutes les contrefaçons de son Elue. L’amour de Dieu y est prêché, mais pas reproduit. De plus, les adeptes prétendent aimer Dieu, mais témoignent par leurs œuvres qu’ils ne tiennent pas compte de sa volonté révélée dans sa sainte Bible. Celui qui aime Dieu, lui donne priorité dans toute sa vie et la moindre de ses révélations bibliques suscite tout son intérêt. C’est parce que je ne voyais pas ce fruit chez les Chrétiens qui m’entouraient, que je ne parvenais pas à demander le baptême. Aussi, lorsque ce comportement anormal s’est éclairé à la lumière de la transgression du saint sabbat de Dieu, j’ai pu m’engager envers lui. Il n’y a pas d’effet sans cause ni de cause sans effet. L’homme n’est pas un arbre, mais comme lui, il porte du fruit. Et la qualité bonne ou mauvaise de ce fruit dépend de sa nature personnelle, mais aussi de son héritage intellectuel religieux. En fait, la longue paix de 77 ans obtenue depuis 1945, a été rendue possible par le moyen du désintérêt religieux des populations occidentales. Les hommes sont devenus tolérants uniquement à cause de leur mépris pour le sujet religieux. Et Dieu a laissé l’humanité occidentale étaler ses fruits pour accomplir la démonstration de la vie construite sur les valeurs démoniaques du diable. Et comme le dit Pro.29:18, « sans révélation, le peuple est sans frein », et « sans frein », l’Occident est allé jusqu’à légitimer et légaliser les abominations qu’il condamnait des années plus tôt. Dans le contexte du désastre économique et guerrier actuel, les fausses religions chrétiennes vont retrouver leur état d’esprit haineux d’autrefois. Et là, il nous faut revenir des siècles en arrière, pour retrouver en 321 l’abandon du sabbat, qui est à la source de la multiplication des aspects du faux christianisme. Le vrai est en conformité constante avec la norme établie par les apôtres du Seigneur Jésus-Christ. Et du premier jusqu’au dernier faux-christ, le sabbat est ignoré, méprisé, et remplacé par le « Jour du Soleil invaincu » païen, honoré le premier jour par l’empereur romain Constantin qui l’a instauré et par tous ses adorateurs païens convertis sous son règne.

Sais-tu pourquoi l’être humain, croyant et chrétien, sous-estime l’importance du respect de la pratique du sabbat et des autres ordonnances divines, dont Dieu exige qu’elles soient honorées et mises en œuvres ? La réponse est très simple : Dieu est éternel et l’homme est mortel. Sa vie est très courte et de ce fait, il vit et se construit dans l’ignorance de ce que Dieu a vécu avant lui. Car en 321, il a assisté au désagréable spectacle de voir les Chrétiens préférer obéir à leur empereur romain plutôt qu’à lui, leur Créateur et Père, leur Seigneur et Maître, et leur Sauveur. Ce qu’aucun Juif de chair de la postérité d’Abraham n’a jamais fait, un empereur romain païen a osé le faire. Il a déformé et détruit l’ordre du programme salvateur terrestre que Dieu a gravé dans le temps par son instauration de la semaine. Le premier jour consacré au repos n’a aucun sens, car Dieu n’a pas fixé son repos en début de semaine, mais uniquement, sur le septième et dernier jour de nos semaines. Car ce repos ne peut être obtenu qu’à la fin du temps fixé pour la sélection de ses élus soit, au terme de 6000 années prophétisées par les six premiers jours de la semaine. De plus, la logique de l’intelligence en témoigne, le repos n’est apprécié qu’après une éprouvante fatigue, morale, dans le cas de Dieu. Car sa fatigue est causée par le péché pratiqué abondamment sur toute la terre par tous les êtres humains ; alors que Jésus-Christ est venu offrir sa vie sur une croix dressée par les Romains pour, précisément, « mettre fin au péché ». Visiblement, il n’y est pas parvenu, sur le plan collectif de manière évidente. Mais sa proposition est adressée individuellement à chacune de ses créatures humaines dispersées sur la terre entière, et c’est ce qui explique le faible résultat constaté qu’il avait lui-même prophétisé en disant, dans Mat.22:14 : « car il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus ». Dieu ne contraint personne à lui obéir pour être sauvé par lui. Celui qui n’hésite pas à contraindre par la persécution, la torture et la mort, c’est Satan, l’ennemi du camp de Dieu. C’est pourquoi, toute religion qui persécute n’est pas de Dieu mais du diable. Si la religion persécute, c’est parce qu’elle n’a aucune relation avec le vrai Dieu, amour et justice. La justice divine n’est offerte qu’au nom de Jésus-Christ, ce qui réduit déjà, le nombre des appelés. Ensuite, ceux que Jésus-Christ justifie portent un fruit comparable au sien, et là, la liste des appelés se réduit encore. Dans l’étape finale de la sanctification, l’appelé est en marche vers l’élection, en témoignant envers Dieu d’une fidélité à toute épreuve et en se nourrissant spirituellement de toute la lumière qu’il lui présente. Et ses élus peuvent ainsi communier avec lui, l’Esprit de vérité qui identifie ceux qui lui appartiennent.

Dans le camp des faux-christs, le 7 Mars 321, l’abandon du sabbat a posé les bases doctrinales de l’actuelle église catholique romaine. Très logiquement, c’est à Rome même, que le décret impérial de Constantin 1er fut puissamment mis en œuvre par des païens faussement convertis à la foi chrétienne. L’église chrétienne officielle était représentée par ces faux chrétiens très nombreux, et le nombre fait loi. En ayant fait cesser les persécutions contre les païens, l’empereur Constantin avait gagné leur estime et il prit ainsi la réputation d’un pacificateur. Mais ce n’était qu’un piège, car son cœur restait païen et dominateur. Si bien qu’une fois son édit promulgué, il a persécuté et puni sévèrement, les Chrétiens qui voulaient conserver leur fidélité au sabbat sanctifié par Dieu. Et nous savons que le diable n’a jamais renoncé à persécuter les vrais élus de Dieu. Cependant il ne peut le faire que lorsque Dieu le lui permet. Or, nous avons bénéficié de la paix religieuse imposée par Dieu depuis 1844 et elle a cessé, en 1995, avec les attaques des groupes musulmans islamistes. En 2022, nous avons assisté à une grande confrontation entre deux religions chrétiennes, le catholicisme et l’orthodoxie, qui déjà avant, se sont combattues en ex-Yougoslavie dans les années 1940 et 1990 ; un sujet de haine qui ne demande qu’à se réveiller. Dans la guerre actuelle en Ukraine, nous retrouvons le président américain Joe Biden, catholique chef d’une nation officiellement protestante, l’Ukraine catholique et orthodoxe, et la Russie orthodoxe soutenue par des Tchétchènes musulmans. Et il faut bien le comprendre, la cause principale des nationalismes est l’engagement religieux, voire athée, des hommes. A l’heure où Dieu l’ordonne, les démons suscitent dans les esprits humains l’envie d’éliminer ceux qui ne leur ressemblent pas dans tous les domaines, politiques, économiques, et religieux. Ils ne supportent plus la différence de l’autre et organise des séparations et des regroupements que nos contemporains appellent, purifications ethniques. Mais quelques soient les causes humaines, ces comportements sont les fruits de la malédiction divine qui frappe l’humanité entière depuis le péché d’Adam et Eve. Je rappelle à leur sujet, que Dieu a bien donné la prééminence à l’homme, puisque c’est à lui qu’il s’adresse en premier, après que le couple a péché. Sa domination sur la femme comportait l’inconvénient d’être responsable envers Dieu des fautes qu’elle pouvait commettre. Avec le temps, le jugement de Dieu ne change pas et il tient encore les dirigeants pour responsables et coupables des torts qu’ils font subir à ses créatures.

La religion établie à Rome en 321, a donc adopté le repos du premier jour dédié par les païens romains au culte du « Soleil Invaincu ». A cette époque, le changement du jour du repos n’était pas présenté comme ayant pour but de célébrer la résurrection de Jésus-Christ, comme on l’explique aujourd’hui dans les églises des faux-christs. L’empereur Constantin ne donna pour explication que celle-ci : « il ne faut plus judaïser en se reposant le septième jour comme les Juifs ». Cet ordre de ne plus judaïser s’opposait catégoriquement à l’enseignement du Christ qui a dit au contraire dans Jean 4:22 : « car le salut vient des Juifs ». Cet ordre de ne plus judaïser rendait nulle et sans importance, les 15 siècles de l’histoire de l’ancienne alliance qui commença réellement au temps de Moïse avec la sortie des Hébreux. Et dans ces circonstances, ce peuple a vécu l’expérience type de la conversion religieuse. Arrachée au péché (l’Egypte), l’âme humaine du pécheur est protégée par le sang du Christ (l’agneau pascal). Ensuite, Dieu la conduit au mont Sinaï où il l’enseigne et lui fait découvrir les lois auxquelles elle doit obéir (ses dix commandements). Au désert, isolée avec Dieu, elle apprend ses règles sanitaires, alimentaires et uniquement pour l’ancienne alliance, les rites de ses fêtes religieuses que la mort du Christ accomplira et rendra caduques. Qui peut prétendre que Dieu ait organisé ces choses pour les rendre inutiles ? De cette ancienne alliance ne disparaissent que les rites que la mort du Christ a accomplis. Le principe de l’obéissance demeure donc intact et les normes de cette obéissance sont encore révélées dans les écritures laissées par Moïse et ses successeurs bénis par Dieu.

Pour réaliser pleinement l’importance de ces choses, nous devons nous arracher à la routine de notre vie quotidienne mondaine qui constitue un décor trompeur qui mène à la mort ceux qu’il séduit et captive. Dieu est invisible, mais vivant et tout-puissant et ce n’est qu’en esprit que nous pouvons saisir sa suprême réalité. La vie céleste se développe en parallèle avec la nôtre, invisible, mais tout autant active, et nous la découvrirons telle qu’elle est, au retour de Jésus-Christ qui mettra fin à cette limitation oculaire qui nous caractérise depuis Adam.

Dans l’église catholique romaine, le premier jour portait le nom de la divinité astrale, le « Soleil Invaincu » et sous ce nom, les chrétiens sincères identifiaient un grave péché commis contre Dieu. C’est pourquoi, dans les pays latins, ce nom fut abandonné et remplacé par le nom « Jour du Seigneur ». Les méfaits du diable étaient ainsi complètement masqués. On le rattacha à la résurrection du Christ et de la sorte, le culte du premier jour ne présentait plus de problème aux nouveaux convertis. Sauf que, le grand Dieu créateur était frustré et irrité par ses trahisons successives. Il réagit alors avec une dramatique logique. « Puisque ces gens qui se réclament de mon salut favorisent les ordonnances de Rome, que Rome domine sur eux dans toute sa rigueur ! ». Et c’est ainsi que les chrétiens infidèles furent livrés par Dieu au régime impérial romain mis en place en 538. Les conditions de son instauration lui enlèvent toute légitimité. Le premier pape installé était un intrigant nommé Vigile. Il profita de sa relation avec Théodora, la danseuse prostituée épousée par l’empereur Justinien 1er, pour obtenir sa domination religieuse sur le régime du catholicisme papal actuel. Déjà frappé par la malédiction du nouveau « dimanche », Silvère, l’évêque de Rome élu par les chrétiens infidèles de Rome fut chassé et exilé. Nous avons là des actions plus politiques que religieuses qui éclairent ce que le régime papal romain va représenter sur la terre. A l’époque, peu de gens sont instruits et les enseignements religieux sont transmis par des hommes du régime papal. Dans ces temps de ténèbres spirituelles des papes, vont s’autoriser à modifier le texte des dix commandements de Dieu écrits du doigt de Dieu lui-même sur des tables de pierre remises à Moïse. Sous le prétexte de favoriser leur mémorisation, les textes originaux sont remplacés par des phrases très courtes et de la sorte, les avertissements de bénédictions et de malédictions disparaissent dans le nouvel aspect présenté. Le pire outrage est imposé au deuxième commandement dans lequel Dieu condamne l’adoration des images et des statues idolâtres ; le pape le supprime entièrement. Mais pour conserver le nombre de dix, il va dédoubler le commandement concernant l’adultère, ciblant ainsi le péché de chair pour faire oublier son péché contre l’Esprit. Le terme « septième jour » du quatrième commandement disparaît remplacé par la formule ultra courte : « le jour du Seigneur tu te reposeras ». Ne lisant pas la Bible, les masses populaires converties s’en tiennent à ce que les prêtres leur apprennent. Et pour les récalcitrants, ils exploitent les menaces de l’enfer, des menaces bien réelles mais faussement interprétées. Car sans l’intelligence de Dieu et la compréhension chronologique des faits révélés dans la prophétie de l’Apocalypse, « l’étang de feu » qui n’existera qu’à la fin du septième millénaire est interprété comme un enfer permanent où les démons font éternellement souffrir dans le feu les damnés condamnés à ce terrible sort. Or, le pape prétend pouvoir ouvrir et fermer l’accès aux enfers. Tu peux alors comprendre pourquoi dans des temps ténébreux, les rois eux-mêmes, les Seigneurs et le petit peuple redoutent le pouvoir papal. Les prétentions papales sont crues et le régime profite de la situation pour se faire servir, honorer et enrichir, par les victimes séduites et trompées par ses mensonges. Il peut ainsi manipuler les rois et utiliser leurs pouvoirs séculiers pour contraindre à la conversion catholique les résistants qu’il nomme « hérétiques », jusqu’à les faire torturer et mettre à mort, sur des bûchers ou d’autres instruments encore plus terribles. Et le nombre de ces « hérétiques » va croître considérablement avec les traductions et les impressions à caractères de la Bible qui permet à ses lecteurs de découvrir les véritables paroles tenues par Dieu et ses prophètes. Voyant ses mensonges démasqués, le régime papal excite la haine des ligues catholiques contre les protestants jugés « hérétiques ». Des êtres ignorants, convaincus par la légitimité catholique portent toutes leurs attaques contre ceux que les prêtres leur présentent comme des êtres habités par le diable. Ils inventent et trouvent des prétextes pour porter leurs accusations mensongères, car le père du mensonge les inspire et les dirigent sans qu’ils s’en doutent. Beaucoup pensent sincèrement honorer Dieu en chassant « l’impie ». Et ce point est important, car au retour du Christ, la même haine aveugle ciblera les derniers élus de Jésus-Christ dont le seul tort reproché sera de persévérer dans leur respect du repos du saint sabbat divin du septième jour.

Qui agira ainsi dans ce contexte final ? Les mêmes personnes qui aujourd’hui, justifie la pratique du dimanche du premier jour et rejettent la légitimité du sabbat du septième jour. Le caractère le plus humaniste actuel peut devenir dans ce contexte final plus féroce qu’un « lion » aux « dents » acérées. C’est ce que Jésus prophétise en image dans Apo.9:8 : « Elles avaient des cheveux comme des cheveux de femmes, et leurs dents étaient comme des dents de lions. » Le contexte sera entièrement changé, et les hommes rebelles seront exaspérés et très fortement irrités par les « fléaux de Dieu » qui vont les frapper dès que le temps de grâce prendra fin : « les sept derniers fléaux de la colère de Dieu » présentés dans Apo.16.

L’église papale romaine s’est ainsi comportée de manière monstrueuse et ce n’était pas à considérer comme « des péchés de jeunesse » comme elle l’interprète. Car si les conditions lui étaient restées favorables, elle agirait de même encore aujourd’hui. Elle n’a jamais renoncé à la contrainte des conversions que lorsqu’elle a perdu le soutien des monarchies affaiblies par le régime révolutionnaire français et ses célèbres décapitations des têtes royales, religieuses, et aristocrates. Dieu l’a ainsi punie pour ses crimes dans l’attente du jugement dernier. Mais dans le camp protestant, des humains superficiellement religieux ont adopté à leur tour des comportements politiques condamnés par Jésus-Christ. Ils ont pris des armes et ont rendus coup pour coup aux combattants des ligues catholiques. Et c’est ainsi que « les guerres de Religions » successives ont pris l’apparence d’un combat dans lequel s’affrontaient des « bêtes » fauves sanguinaires et carnassières. Dans Apo.8:11, Dieu impute ce résultat diabolique à l’église catholique papale imagée par « l’étoile » nommée « Absinthe » : « Le nom de cette étoile est Absinthe ; et le tiers des eaux fut changé en absinthe, et beaucoup d'hommes moururent par les eaux, parce qu'elles étaient devenues amères. » Religieuse ou pas, la haine est contagieuse et finit par enflammer des multitudes d’êtres humains.

Avant de s’en prendre aux « Protestants », le régime papal a déclenché des hostilités contre la religion de l’islam apparue en Arabie peu de temps après l’instauration du régime papal romain soit, après 538. Après l’extension du catholicisme, en Arabie, le prophète Mahomet a fondé sa religion : l’islam, mot arabe qui signifie « soumission ». Le mot porte un double sens : l’homme se soumet à Dieu mais il doit aussi soumettre par la force si besoin le mécréant auquel il rattache tous ceux qui s’opposent à sa conception religieuse. Or, sous le prétexte de délivrer les lieux saints historiques de la vie et de la mort du Christ, le pape Urbain II a ordonné, en premier, des « Croisades » guerrières pour chasser les musulmans de ces lieux. L’ignorance des grands et des petits a fait que les rois se sont lancés avec zèle dans des guerres meurtrières complètement inutiles pour Dieu contre les armées des peuples musulmans. Des massacres injustifiés ont été ainsi perpétrés par les Croisés chrétiens occidentaux. Si je les déclare inutiles, c’est avec raison, parce que Dieu révèle dans Daniel 9:26 sa décision de détruire Jérusalem et ses lieux saints : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » Et cette destruction de Jérusalem est présentée comme étant la conséquence du rejet du Messie Jésus par les Juifs. C’est donc volontairement que Dieu a fait détruire Jérusalem par les Romains en 70, afin d’enlever à ces lieux l’intérêt des pèlerinages superstitieux que la foi catholique a voulu restaurer et perpétuer jusqu’en notre époque ; en cela relayée par les groupes protestants évangéliques formés aux USA. Tu peux donc relever dans ce faux zèle mystique, le fruit d’une complète ignorance de ce que représente, réellement, la foi chrétienne. En notre temps de la fin, Dieu a fait de Jérusalem un lieu maudit où se pressent des faux croyants issus de toutes les religions du monothéisme. Leur adoration de ces lieux repose sur une pure idolâtrie. Et ceux qui agissent ainsi renouvellent les erreurs des Juifs qui honoraient le temple de pierre et ont rejeté le temple de chair et d’esprit que constituait Jésus-Christ.

Les causes d’intensification des haines s’intensifient en notre époque et dans l’actualité, j’en relève une. De retour de Chine, dans l’avion qui le ramenait et en présence de journalistes, le président Macron a fait une déclaration qui attire sur lui les colères de certains de ses collègues européens. Il a dit : « La pire des choses serait de penser que nous, Européens, devrions être suivistes sur ce sujet et nous adapter au rythme américain et à une surréaction chinoise … Le piège pour l'Europe serait qu'au moment où elle parvient à une clarification de sa position stratégique, où elle est plus autonome stratégiquement qu'avant le Covid, elle soit prise dans un dérèglement du monde et des crises qui ne seraient pas les nôtres. ». Il est évident qu’il suggérait le cas de l’île de Taïwan dont la Chine veut reprendre le contrôle. Mais cette position particulière irrite les nations comme la Pologne qui fonde son espoir de vaincre la Russie sur la cohésion des nations européennes alignées sur la position américaine. Je relève chez notre jeune président un étonnant et surprenant éclair de lucidité, car sa position reproduit celle du Général de gaulle qui ne voulait pas subir la domination de l’Amérique. Cependant, je relève que cette déclaration condamne les engagements suivistes déjà pris par les Européens et lui-même dans l’affaire de l’Ukraine. Car, les Américains se sont engagés en faveur de l’Ukraine sans se préoccuper des opinions individuelles des européens. En sorte qu’on peut dire qu’ils ont réagi selon leurs intérêts politiques et économiques chroniquement hostiles à la Russie. Toutefois le cas de l’Ukraine diffère de celui de Taïwan en ce que son indépendance était officiellement reconnue et que ceux qui la soutiennent le font au nom du respect des droits nationaux qui interdisent l’agression de leur pays par un autre. Ce n’est pas le cas pour Taïwan qui est restée officiellement chinoise et n’a jamais obtenu ni demandé un statut national indépendant. Comme le général de Gaulle, le président Macron voudrait diriger une Europe indépendante, mais il se heurte à l’influence des anciens pays de l’Est tels que la Pologne qui vouent une haine envers la Russie et ne sont venus en Europe que pour y trouver le bouclier armé des USA. Le problème du président Macron est que son réveil et son désir d’indépendance européenne s’effectue au mauvais moment et déjà trop tard. Car, ayant favorisé lui-même l’influence américaine en Europe et en France dans son propre pays, il est trop tard pour rattraper les erreurs commises ; ceci d’autant plus que l’Europe est affaiblie financièrement et que le retard pris pour l’armement européen devient irréalisable vu le temps qu’il lui reste avant son châtiment divin de la « sixième trompette ». De plus, deux camps se dessinent séparant les nations de l’U.E., le camp des anciens pays de l’Est grands soutiens de l’Ukraine et celui des nations fondatrices de cette U.E., dont la France et partiellement, l’Allemagne restée très indépendante.

Après les différentes causes des haines humaines je dois maintenant évoquer le réveil d’une haine beaucoup plus redoutable : celle du Dieu Amour.  Car il l’exprime et le revendique clairement déjà dans Pro.8:13 : « La crainte de YaHWéH, c'est la haine du mal ; l'arrogance et l'orgueil, la voie du mal, et la bouche perverse, voilà ce que je hais. » Je rappelle que la haine est le contraire absolu de l’amour et que toutes choses existent en contraire absolu. Si Dieu a créé l’homme à son image, c’est donc qu’il est lui-même à l’image de l’homme, mais dans sa parfaite divinité. Il peut donc haïr ou aimer comme il peut maudire ou bénir. Et à ce sujet il faut abandonner ce message que transmettent les faux christs qui disent : « Dieu hait le péché mais il aime le pécheur ». Ce message oublie de préciser ensuite : le pécheur qui se repent et porte le fruit de repentance ; ce qui ne correspond pas, depuis 1844, à la situation des Chrétiens qui justifient la transgression des commandements de Dieu ; le second et le quatrième, chez les Catholiques et les Orthodoxes ; le quatrième, aussi chez les Protestants et les Anglicans. Or, à lui seul, depuis 1844, le mépris témoigné envers le sabbat sanctifié par Dieu les rend coupables de transgresser les dix commandements entiers, selon Jac.2:10 : « Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. » Je donne à ce verset la signification suivante : celui qui transgresse volontairement, un seul commandement de Dieu, donne le témoignage qu’il transgresse le premier des commandements dans lequel Dieu dit : « Tu n’auras pas d’autre dieu devant ma face ». Car celui qui désobéit obéit à un autre dieu, le diable, devant la face du vrai et seul Dieu. Dès lors, toutes les autres obéissances sont rendues vaines. Et même au nom de Jésus-Christ, la réconciliation avec Dieu devient alors impossible.

Depuis 1945, sur toute la terre, le mal n’a fait que croître ; et surtout dans le camp occidental sorti vainqueur de la Deuxième Guerre Mondiale. Les chimistes américains ont développé le « DDT », un insecticide qui fait d’eux les premiers « destructeurs de la terre » que Dieu dénonce dans Apo.11:18 : « Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. » Et très logiquement, « ceux qui détruisent la terre », le font sous la domination du « Destructeur » en chef ou « roi », ce mot destructeur étant traduit en hébreu et en grec par « Abaddon et Appolyon », dans Apo.9:11 : « Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. » Dès 1945, les USA se sont montrés dignes de ce titre de « Destructeur » en utilisant, en premier, l’arme nucléaire contre les villes de Hiroshima et Nagasaki. Et ils seront encore les premiers à l’utiliser pour détruire la Russie dans la Troisième Guerre Mondiale qui s’installe et prend forme en notre époque. Dans notre temps de la fin, les USA ont offert au monde entier un autre instrument du mal : le réseau des communications internet. Ils ont jeté cette « toile filaire » sur les peuples comme on lance un filet pour capturer les poissons. A l’origine, Internet était réservé strictement à des communications militaires américaines. Puis ce réseau a été offert à l’usage civil et dans la gratuité et la liberté, les Américains, puis les autres peuples occidentaux, ont découvert le plaisir des échanges virtuels. Internet offre à chacun la possibilité de se mettre en valeur par ses différents types de talents. Il encourage l’orgueil et l’esprit exhibitionniste. Puis le commerce s’en est emparé, et les services publics nationaux de même ; ceci jusqu’à ce que le monde entier soit relié et placé sous le contrôle de l’inventeur, le pouvoir américain. Ce mal est irréversible, parce que la jeunesse qui se développe avec lui devient incapable de voir son aspect dangereux mortel. Pourtant les exemples ne manquent pas. Internet fait et défait les réputations individuelles des créatures humaines. Certains enfants pervers l’utilisent pour culpabiliser par des messages dégradants des enfants faibles et sensibles qu’ils poussent inconsciemment au suicide. Le souci de plaire a gagné les esprits des jeunes gens, sur leurs blogs, ils collectionnent le nombre de « followers », ou fans qui les suivent. Des votes favorables ou défavorables sont ainsi exprimés avec pour conséquence, la fausse impression d’être important. Et pendant que ce mal conquiert les esprits, les normes du mal croissent également. L’ancien interdit devient légitime et légal. Sans la loi divine qui fixe la norme du bien et du mal, « le peuple est sans frein » et Dieu seul sait jusqu’à quel niveau ce mal peut encore monter. Alors regardons dans ces versets ces choses qui réveillent la haine de Dieu pour l’humanité rebelle actuelle.

Esa.61:8 : « Car moi, YaHWéH, j'aime la justice, je hais la rapine avec l'iniquité ; je leur donnerai fidèlement leur récompense, et je traiterai avec eux une alliance éternelle. »

Jér.44:4 : « Je vous ai envoyé tous mes serviteurs, les prophètes, je les ai envoyés dès le matin, pour vous dire : Ne faites pas ces abominations, que je hais. »

Amos 5:21 ; 6:8 : « Je hais, je méprise vos fêtes, je ne puis sentir vos assemblées…/… Le Seigneur, YaHWéH, l'a juré par lui-même ; YaHWéH, le Dieu des armées, a dit : J'ai en horreur l'orgueil de Jacob, et je hais ses palais ; je livrerai la ville et tout ce qu'elle renferme. »

Zac.8:17 : « que nul en son cœur ne pense le mal contre son prochain, et n'aimez pas le faux serment, car ce sont là toutes choses que je hais, dit YaHWéH. »

Mal.2:16 : « Car je hais la répudiation, dit YaHWéH, le Dieu d'Israël, et celui qui couvre de violence son vêtement, dit YaHWéH des armées. Prenez donc garde en votre esprit, et ne soyez pas infidèles ! »

Apo.2:6 : « Tu as pourtant ceci, c'est que tu hais les œuvres des Nicolaïtes, œuvres que je hais aussi. »

En résumé, Dieu hait tout ce qui est opposé à ses valeurs qui sont exprimées par l’amour fidèle et véritable soit, l’amour et la vérité, tels qu’ils ont été incarnés et manifestés en Jésus-Christ et qu’il veut retrouver chez ses élus jusqu’à la fin du monde selon Apo.3:14 : « Écris à l'ange de l'Église de Laodicée : Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu : » Celui qui fut « le commencement de la création de Dieu » confirme ses valeurs « au temps de la fin » de l’histoire de cette création terrestre divine.

La haine divine ne s’est pas réveillée sans cause, car l’apparition du virus du Covid-19, en 2019 en Chine, fut la réponse que Dieu a donnée au président chinois, parce qu’il avait formulé le désir et le projet de modifier le texte de la sainte Bible. Ensuite, le retour de la guerre en Europe s’est accompli en Ukraine. Et là encore ce n’est pas sans raison. Ce pays ivre de liberté vivait dans une situation anarchique, incapable de trouver un équilibre politique, le régime entier était corrompu et des abominations monstrueuses s’y pratiquaient et se développaient. J’ai recueilli de Joël, mon frère en Christ, excellent documentaliste, des témoignages effarants sur ce qui se passait en Ukraine. Et sans entrer dans les détails, ce seul témoignage permet de comprendre, pourquoi la colère de Dieu est tombée sur ce peuple ukrainien. Les politiciens riches fraudaient et avec un ami, le fils d’un oligarque, un homme puissant, s’est livré à une centaine d’assassinats. Identifiés, ils furent laissés en liberté et les crimes furent renouvelés ; un tel niveau de corruption a été rarement atteint… peut-être et uniquement, à Sodome et Gomorrhe, villes où la vie sexuelle pervertie et les assassinats étaient la norme devenue insupportable pour Dieu. Ce n’est donc pas sans raison, que la Guerre nucléaire à venir a commencé dans ce pays l’Ukraine. On sait également, que son jeune président élu depuis 2019, année du Covid-19, était un acteur rendu populaire par ses excentricités publiques vulgaires et sexuellement perverses. Il incarnait à lui seul le mal de toute la société moderne coupée de Dieu. C’est aussi en Ukraine que sont apparus les audacieuses Femen sexistes exhibant leurs seins nus, utilisant leurs corps pour publier leurs slogans vulgaires féministes. Et en plus de ces choses, le mal nazi hérité de la Seconde Guerre Mondiale y rayonnait officiellement, représenté par le groupe Azov en héritage du chef nazi Stepan Bandera ; mais ce nazisme-là ne prenait pas encore la juiverie pour cible. J’ai même entendu de la bouche de femmes ukrainiennes que leur pays était attaché à des célébrations de fêtes païennes qui les réjouissaient… la coupe était pleine, le monde occidental et le reste des peuples de la terre vont devoir la boire, jusqu’à la dernière goutte.

Dans les dernières nouvelles, deux faits révèlent deux messages. Le premier concerne la divulgation de messages secrets militaires par un jeune homme de 21 ans qui a agi pour « frimer » et épater ses partenaires du web. Pour la jeunesse moderne, internet est un jeu dans lequel les défis lancés sont sans limite. Le second fait concerne une vidéo qui circule sur internet. Après celles que présentait le groupe islamique nommé DAESH, c’est cette fois la décapitation d’un soldat ukrainien par un soldat russe entouré de son groupe armé. La nouvelle fait frémir d’horreur et d’épouvante, pourtant ce n’est là que la confirmation d’un niveau de haine qui va encore croître et se généraliser dans tous les camps militaires qui vont participer à la Troisième Guerre Mondiale. Les décapitations constituent un sujet de « Terreur » internationale qui relie cette « sixième trompette » à la « quatrième », comme Dieu le révèle, en attribuant à la « quatrième », le caractère de « second malheur » qui désigne réellement la « sixième » ; ainsi après la terreur française et sa guillotine de 1793-1794, vient la « terreur » des décapitations musulmanes et russes de notre époque.

Les leçons données dans Daniel, 2 Chroniques et 2 Rois, montrent que les trois déportations des Israélites à Babylone sont d’intensités progressives. Notre Troisième Guerre Mondiale est, dans ses proportions internationales, comparable à la troisième déportation des Juifs. Ainsi, de même que la troisième attaque du roi Nébucadnetsar eut pour conséquence la destruction nationale d’Israël, la Troisième Guerre Mondiale a vocation à détruire l’ordre actuel des nations du monde. Jusque-là indépendantes, ces nations vont être plus ou moins partiellement détruites et perdre leur indépendance. Les survivants du conflit se placeront tous sous un seul gouvernement universel instauré par l’Amérique des USA, jusqu’au retour de Jésus-Christ qui les détruira.

 

 

Le marché des illusions

 

Où se trouve ce « marché des illusions » ? Sur notre planète nommée Terre.

Avant de développer cette étude, je rappelle ces versets d’1 Cor.2:9 à 15 cités dans la Bible dans lesquels, par l’Esprit, l’apôtre Paul dit : « Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l'œil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, et qui ne sont point montées au cœur de l'homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment. Dieu nous les a révélées par l'Esprit. Car l'Esprit sonde tout, même les profondeurs de Dieu. Lequel des hommes, en effet, connaît les choses de l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui ? De même, personne ne connaît les choses de Dieu, si ce n'est l'Esprit de Dieu. Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce. Et nous en parlons, non avec des discours qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit, employant un langage spirituel pour les choses spirituelles. Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne. Car qui a connu la pensée du Seigneur, pour l'instruire ? Or nous, nous avons la pensée de Christ. »

Aux dires de ces versets, l’explication de la vie est uniquement en Dieu, et donc cachée dans le secret de son invisibilité. Et cette seule donnée justifie le titre de cette étude qui me conduit à définir la vie terrestre comme « le marché des illusions ». Sur cette terre, tous les êtres humains sont trompés par leurs yeux et dès lors qu’ils analysent différentes situations et sujets, leur jugement est faussé, parce qu’ils ne tiennent pas compte du critère fondamental que représentent ensemble, la puissance, l’intelligence et la sagesse du Dieu créateur qui dirige et met en action toutes choses. « L’homme animal » attribue un rôle principal à des causes humaines qui ne sont que les conséquences des torts faits à Dieu.

Les humains ignorent que même quand ils nient son existence, Dieu les dirige et les manipule. Lorsqu’un vote public populaire est proposé, le résultat final obtenu sera celui que Dieu veut obtenir pour faire accomplir son projet, son programme, qui va s’accomplir sur tous les peuples de la terre qu’il domine souverainement. Et ceci concerne, tous les peuples, païens, juifs, chrétiens et musulmans, dispersés sur toute la terre. La situation de l’humanité est donc sur le plan oculaire réellement illusoire. Les peuples païens se développent et vivent ainsi dans « l’illusion » de l’impunité, mais les peuples religieux font de même, car sur toute la terre, aucun d’eux ne se trouve en situation d’être béni par Dieu comme je l’ai démontré de multiples fois dans les leçons précédentes.

A l’inverse, de « l’homme animal », « l’homme spirituel », dont je me réclame avec preuves apportées, analyse les faits terrestres à partir des données prioritaires que représente et mérite le jugement révélé du Dieu créateur. Car les vraies causes des conséquences que nos yeux voient sont révélées par Lui. Et pour « l’homme spirituel », la forme de ces conséquences importe peu, car elles peuvent être de normes très différentes et l’essentiel pour le salut des âmes est de connaître, avec précision, les raisons pour lesquelles la colère de Dieu s’abat sur les hommes et les livre à sa malédiction et la ruine, la maladie et la mort. Lorsque Dieu décide de frapper l’humanité, il organise les peuples et les dresse les uns contre les autres pour différentes raisons qui favorisent le plus souvent le ressentiment suscité par l’injustice. Pour les conduire à s’affronter, les moyens sont nombreux : revendication d’une même terre, d’un héritage, ou bien, la discrimination raciste ou religieuse et d’autres causes d’injustice et de colère. Toutes ces choses justifient « le réveil des haines », thème traité dans l’étude précédente.

Ce « marché des illusions » éclaire particulièrement bien la situation mondiale explosive actuelle. Pour organiser sa « sixième trompette », notre Dieu, ne fait que réveiller les souffrances provoquées par l’Occident pendant le long temps de paix dont il a bénéficié et profité pour dominer de manière coloniale les autres peuples de la terre depuis longtemps. Car à la faveur de sa victoire contre ses ennemis de l’Axe Allemand, Italien, et Japonais, l’Occident dirigé par les USA a imposé ses valeurs, ses lois internationales concernant les nations et les échanges commerciaux. En l’absence de contre-pouvoir de même force, ces valeurs occidentales ont été considérées et imposées comme des valeurs internationales. Mais aujourd’hui, cet état des choses est dénoncé et remis en cause par la Russie, la Chine, l’Inde, l’Iran, beaucoup de peuples africains et les plus grands de l’Amérique du Sud. Profitant tous de la longue paix, tous ces pays se sont enrichis et demandent aujourd’hui aux Occidentaux que leurs opinions soient réellement prises en compte. Et il apparaît clairement qu’ils partagent en commun, la haine des USA dominateurs et impérialistes dont le capitalisme, né en Angleterre, a justifié le développement colonial qui les a longtemps exploités.

Peut-on trouver plus « illusoire » que le fait de voir des peuples occidentaux bâtir des projets pour les cinquante prochaines années, alors que la vie humaine sur notre terre ne dispose encore plus que de sept années ? Ce chiffre cinquante années me conduit à te faire remarquer que dans la Bible, la durée de quarante neuf ans soit, sept fois sept ans, représente ce que Dieu appelle un jubilé. Or, il s’est écoulé 49 années soit, un jubilé entier, entre deux chocs financiers causés par des crises énergétiques majeures : Hausse brutale de 40% du prix du pétrole en 1973 et hausse brutale, encore non chiffrée, du prix du gaz, et de l’électricité en 2022. Mais cette fois, le suivisme européen aveugle et docile est seul en cause. Puisque c’est en suivant la décision des USA, que la Commission européenne a adopté la prise de sanction contre la Russie et donc en premier, le refus d’utiliser son gaz vendu à un prix avantageux par la société russe Gazprom. A qui a profité le crime ? Aux fournisseurs américains et norvégiens qui l’ont remplacée.

D’autre part, les droits russes et ukrainiens sur le pays de l’Ukraine sont très discutables. Car l’Ukraine devenue indépendante depuis 1990 était composée en partie de Polonais et d’Ukrainiens et en partie importante également de Russes. Et lorsque la fracture est arrivée par le « renversement » du président russe élu, des Russes ont choisi de rester ukrainiens quitte à combattre la Russie ; ce qui fait de cette opposition une guerre civile, dans laquelle l’Occident n’avait pas à intervenir. Il est probable que l’inverse se soit également produit, car lorsqu’une guerre civile éclate dans un pays, tous les cas de figures se présentent, la situation opposant également des choix religieux aussi maudits par Dieu les uns que les autres. Un grand désordre est ainsi provoqué, opposant des légitimités effectives bien réelles. Face à cette situation inextricable, la sagesse conseille de s’en tenir uniquement aux causes que Dieu donne à son organisation de ce conflit. Et sa réponse n’est pas dans la vie illusoire, elle est donnée dans la Bible, dans sa révélation construite successivement et complémentairement sur Daniel et Apocalypse. Et que découvre-t-on dans ces révélations ? La malédiction du christianisme frappé par Dieu depuis le 7 Mars 321, pour son abandon de la pratique du saint sabbat du septième jour sanctifié par Dieu depuis la création du monde. C’est là, l’unique leçon que nous devons retenir des 34 chapitres des livres de Daniel et Apocalypse. Mais en présentant les choses de cette manière, je ne diminue pas son importance, tout au contraire, je l’élève au plus haut niveau. Car l’Evangile et le salut en Christ sont des choses clairement expliquées dans les autres écrits bibliques de l’ancienne et la nouvelle alliance. Le rôle de ces deux livres prophétiques que constituent Daniel et Apocalypse est de révéler cet abandon du sabbat que les fausses religions chrétiennes ont pratiqué sans réaliser combien elles en paient cher les conséquences. Et si elles n’ont pas la connaissance de ces conséquences, c’est parce que Dieu les a révélées, uniquement, dans ces deux livres prophétiques dont les explications sont ignorées par elles et leurs exégètes. Le marché de l’illusion les a conduites à interpréter ces conséquences comme de simples faits historiques dus aux imperfections des êtres humains. Mais le châtiment divin n’est pas un simple fait humain parce qu’il est porteur d’un message accusateur : tu pèches contre Dieu. Il en est ainsi pour toutes les « trompettes » présentées dans Apocalypse 8 et 9. Depuis l’année maudite 321, elles ont frappé le christianisme européen infidèle et la cause principale est restée ignorée par l’humanité jusqu’en 1844. Et si Dieu n’avait pas pris l’initiative de la révéler à son peuple adventiste testé et sélectionné à partir de cette date, nous l’ignorerions encore. Cette seule idée me fait frémir d’horreur. Car tant de vérités sont rattachées à ce sabbat sanctifié par Dieu, justifiant sa très haute sanctification ! Nous aurions pu ignorer qu’il prophétisait le septième millénaire où les saints élus vont entrer pour juger, dans le ciel, les méchants morts étendus ou disparus sur la terre. Nous aurions ignoré qu’il restait deux mille ans après la mort de notre Sauveur pour entrer dans la gloire de la vie éternelle de ce septième millénaire. Ces précieuses et très saintes révélations divines ne sont pas révélées par le « marché des illusions » mais par l’Esprit du Dieu vivant invisible mais Tout-puissant.

Dans le domaine judiciaire, les juges, aussi honnêtes qu’ils puissent être, sont condamnés, par leur incrédulité religieuse, à rendre des verdicts iniques. Ils sont eux-aussi victimes du « marché des illusions ». Certains criminels, dont récemment en France un jeune garçon de 16 ans, se livrent à des homicides ordonnés, disent-ils, par une voix entendue dans leur esprit. Ces pauvres créatures ne font que rendre témoignage d’une expérience réellement vécue mais irrecevable par une société laïque excessivement rationnelle. Car une voix leur a bel et bien parlé, mais cette voix est celle d’un ange aussi invisible que Dieu peut l’être. Et c’est là, toute la faiblesse qui livre l’homme aux tromperies des démons invisibles. Les démons nous voient, ils nous parlent, nous habitent et nous manipulent et nous sommes impuissants pour les en empêcher. L’être humain ne peut combattre qu’un autre être aussi visible et identifiable que lui-même. Il est une chose certaine, c’est qu’à défaut de pouvoir les voir, pour les combattre, l’homme doit être « spirituel » et non « animal », afin de commencer par croire à leur existence. Ensuite, nous devons réaliser que nos pensées ne se distinguent pas les unes des autres par un timbre sonore particulier ou une coloration particulière. Et là encore, il nous faut distinguer entre la pensée et l’ouïe d’un son. Pour l’avoir expérimenté, j’atteste de l’existence des deux choses. Ton esprit comme le mien fonctionne comme un émetteur récepteur d’ondes sonores. Tu émets tes propres pensées et médites sur tel ou tel projet ou réflexion, mais sur cette même longueur d’ondes, des pensées démoniaques ou tout au contraire divines entrent en toi et se mélangent dans ton esprit. Rien ne les distingue des tiennes. C’est pourquoi, déjà, la conviction qui se forme dans ton esprit n’a pas de priorité de légitimité. Cette conviction finale doit avant toute autre chose être en conformité avec la norme de la vérité définie par la Bible. Avec raison, Dieu nous dit dans Jér.17:5 : « Maudit soit l’homme qui se confie en l’homme, qui prend la chair pour son appui ». Nous avons donc le devoir de ne pas nous laisser tromper par les hommes que nous côtoyons mais également de nous méfier de nos propres opinions quand elles ne sont pas en conformité avec les normes définies par la Bible, qui reste donc, le seul appui solide légitimé par Dieu. La voix interne entendue peut être reçue comme si elle venait de l’extérieur transmise par le canal auditif. Dieu ou les démons ont le choix pour se connecter à notre esprit au niveau des canaux auditifs ou au niveau du cerveau où les données électriques sont transformées en pensées ; de la sorte, deux niveaux différents d’ententes sont possibles. L’exemple du jeune Samuel, mon homonyme, confirme cette expérience, quand Dieu l’interpella en citant trois fois son nom, le jeune enfant se présenta devant le sacrificateur Elie pour lui dire : « Me voici, que veux-tu ? ». La voix divine entendue par Samuel était plus qu’une pensée, il l’entendait comme si Elie l’avait appelé. Et le vieil homme comprit que la voix venait de Dieu. Dans une vision divine, j’ai vécu cette expérience dans laquelle toutes mes facultés auditives et visuelles étaient entièrement actives à l’exception de mon propre corps et ses membres qui semblaient eux inexistants. Mais attention, cette vision me fut donnée, une seule fois par Dieu, pour confirmer mon futur engagement dans son service prophétique et uniquement, parce que son choix et mon étude des prophéties de l’Apocalypse m’en rendait digne, déjà en 1975 soit, cinq ans avant mon baptême dans l’église adventiste du septième jour. Cette vision a eu pour conséquence, que j’ai toujours donné au jugement du ciel une priorité absolue sur toutes les illusions qui trompent « l’homme animal ». Pour l’âme assoiffée que je représentais, les révélations prophétiques, présentées dans le livre « la Tragédie des Siècles » écrit par Ellen Gould White, la messagère du Seigneur, furent accueillies et reçues comme une source d’eau désaltérante. Et j’étais encore loin d’imaginer que Dieu avait encore préparée, pour me les faire découvrir au fil du temps, des révélations particulières et d’énormes remises en cause des explications prophétiques héritées depuis 1844. Car un serviteur de Dieu doit se montrer capable de désapprendre autant que d’apprendre. Il est vrai qu’en ce qui le concerne, Dieu ne change pas, mais ce qui est changeant et progressif, c’est son utilisation de ses textes prophétiques. Et dans ce but, il a permis de fausses traductions des textes originaux hébreux et grecs. Ce verset de Pro.4:18 le confirme : « Le sentier des justes est comme la lumière resplendissante, dont l'éclat va croissant jusqu'au milieu du jour ». Le plus étonnant et la meilleure preuve de cette chose a concerné en premier cet important verset de Daniel 8:14, longtemps faussement traduit par « Jusqu’à deux mille trois cent soirs et matins et le sanctuaire sera purifié », dont la traduction réelle est : « Jusqu’à soir-matin : deux mille trois cent, et sera justifiée, la sainteté ».

On peut ainsi, retrouver dans Apo.22:11, la citation de ces deux mots « saint et justice » que la véritable traduction de Daniel 8:14 présente : « Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore ; et que le juste pratique encore la justice, et que celui qui est saint se sanctifie encore ». Aussi puis-je le dire, cette compréhension a été réservée par Jésus à ses véritables saints serviteurs qu’il continue de justifier par sa justice parfaite après avoir rejeté l’adventisme officiel superficiel entre 1991 et 1994. Le salut proposé par Jésus n’est rendu possible qu’à l’unique condition que sa relation avec son élu se prolonge jusqu’à la fin de sa vie ou jusqu’au temps de son glorieux retour. Car l’élection ne reste possible que si l’élu laisse l’Esprit de Jésus-Christ le construire jusqu’au niveau qu’il doit atteindre pour pouvoir entrer dans son éternité. En refusant sa lumière prophétique, officiellement en 1991, l’adventisme officiel a donné à Dieu une raison de rompre sa relation avec lui. Aussi, en 1994, où l’attente adventiste que j’avais proposée a pris fin, le verdict du ciel est tombé ; Jésus a mis en action son avertissement d’Apo.3:16 : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. » ; et il l’a effectivement « vomi » à cause de sa « tiédeur » irrémédiable.

Après avoir démontré son désintérêt pour les révélations proposées par Dieu en Jésus-Christ, l’adventisme officiel est entré au nom de l’amitié humaniste dans la fédération protestante et en même temps dans « le marché des illusions ». Il a ainsi rejoint le camp auquel Jésus a dit en 1844, dans le message de « Sardes » : « Tu passes pour être vivant et tu es mort », soit, « vivant » dans « le marché des illusions » humaines, mais doublement « mort » par la première et la « seconde mort » dans le jugement de Dieu révélé à ses prophètes. Cette même condamnation concerne l’adventisme officiel depuis 1994.

Depuis quand l’homme est-il soumis aux règles du « marché des illusions » ? En fait, depuis sa création, puisque Dieu l’a créé incapable de voir la vie céleste angélique. La terre a été créée dans le but de devenir et rester pendant 6000 ans le « marché de l’illusion » et le siège du péché universel. Selon Psa.8:5 et Heb.2:7, « Dieu a créé l’homme de peu inférieur à Dieu et aux anges », et cette infériorité concerne son incapacité de voir la vie céleste. Ce fut d’ailleurs ce que le diable a exploité, quand il a parlé à Eve par « le serpent » qu’il a utilisé comme médium. Donc, avant et depuis cette chute mortelle, l’humanité a été trompée par ses yeux et la chose s’est prolongée jusqu’à nous et va encore se prolonger jusqu’au grand retour glorieux de Jésus-Christ. Ce ne sera qu’à ce moment que les élus, mais eux-seuls, perdront leurs caractéristiques humaines et deviendront en un clin d’œil comme les anges de Dieu.

L’instauration du péché a néanmoins causé une énorme transformation de l’état naturel de la vie terrestre. L’homme et la femme sont devenus mortels mais pas seulement eux, car la vie parfaite originelle était de norme indestructible. Les végétaux eux-mêmes étaient immortels, les fleurs de même, et ceci me conduit à en déduire que certains corps gazeux, tels que l’oxyde de carbone, n’existaient pas encore. Ce qui implique le fait que la vie végétale ne se nourrissait pas encore du gaz carbonique. Dans cette réflexion, j’arrive à méditer sur le souffle de la respiration humaine auquel il convient de donner une valeur importante, puisqu’en créant l’homme, la Bible dit de Dieu qu’il « souffla un souffle de vie dans ses narines » selon Gen.2:17 : « YaHWéH Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant. » Je relève un message dans ce principe du « souffle » : aspiration : reçoit le pur ; expiration : rejette l’impur. Notre « souffle », devenu entièrement automatique et sans besoin de contrôle en dehors des cas de maladies et de stress, est donc porteur d’une leçon essentielle que Dieu adresse à ses élus ; une leçon que je résume par : « Reçois le bien et rejette le mal ». Le rôle de nos poumons est de purifier le sang qui revient vers eux chargé des souillures créées par le fonctionnement de tous nos organes ; on comprend ainsi le caractère absurde de les encrasser volontairement par la détestable et nuisible habitude de fumer du tabac, des cigares, des cigarettes, voire du cannabis ou de l’opium qui rendent encore plus dépendants leurs utilisateurs. Lorsque le souffle humain est interrompu, la mort du corps est provoquée par l’incapacité de rejeter l’impur qui le sature. Notre vie porte donc en elle-même la leçon qui dit : « car le salaire du péché c’est la mort » dans Rom.6:23.

La création divine de notre dimension terrestre est une composition réalisée par des rajouts créés chaque jour de la première semaine. Exemple : le premier jour, la terre que Dieu crée est une simple boule d’eau sans aucune structure terreuse, l’eau étant ainsi le premier corps créé par Dieu est une molécule composée de deux atomes du gaz oxygène et un atome du gaz hydrogène. Le deuxième jour, Dieu décompose cette molécule et crée l’air à partir de l’oxygène. Au troisième jour, la boule d’eau reçoit une structure terreuse que Dieu fait partiellement immerger. Le sec appelé terre reçoit une vie végétale et dans cette perfection originelle, sans aucune bactérie nocive, cette vie végétale vit sans besoin particulier de manière immortelle. Rien ne se corrompt. Toutes les vies animales créées par Dieu dans l’eau et sur la terre ont la vie immortelle en elles-mêmes, aucune espèce ne se nourrit d’une autre espèce. Après avoir créé l’homme et la femme, Dieu donne à tous pour nourriture une végétation immortelle. La création entière est marquée par l’immortalité. La nourriture n’est pas encore une nécessité mais un plaisir agréable que Dieu offre à toutes ses créatures animales et humaines.

Mais « le péché » va tout changer, la mort et la corruption qui en résulte vont souiller cette perfection originelle terrestre qui devient dès lors le « séjour des morts » cité dans Apo.20:13 : « La mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et le séjour des morts rendirent les morts qui étaient en eux ; et chacun fut jugé selon ses œuvres » ; des « œuvres » qui rendent concrète la foi intérieure.

Ainsi, connaissant le programme préparé par Dieu, nous, ses serviteurs fidèles, nous pouvons relever dans l’actualité les moyens par lesquels Dieu fait accomplir son projet destructeur. A l’époque du juge Samson, Dieu nous a donné un exemple très instructif ; ce qui justifie son récit dans la Bible. Décidé à libérer Israël de l’occupation des Philistins (anciens habitants de la Palestine actuelle), Dieu inspira à Samson l’idée d’épouser une fille des Philistins. Le jour du mariage il présenta à 30 Philistins compagnons de table une énigme dont l’enjeu était de fournir trente chemises et trente vêtements, car trente Philistins étaient concernés. Déjà, Dieu inspire une initiative contraire à ses enseignements, puisqu’il était interdit à un Juif d’épouser une femme étrangère. Mais la Bible nous rassure : le but était de créer une dispute contre les Philistins. Imagine-toi à cette époque, voyant Samson commettre une telle faute et ne sachant pas que Dieu en est l’inspirateur ! Tu aurais dit : Certainement, cet homme est fou ou rebelle, donc dangereux pour tous les Juifs. Devant l’insistance de sa femme pressée par les Philistins engagés par l’enjeu, Samson livre à son épouse l’explication de son énigme qui était basée sur sa vision d’un lion mort dans lequel un essaim d’abeilles s’était installé. Connaissant la réponse par sa femme, les Philistins la présentèrent à Samson : « De celui qui mange (soit, le lion), est sorti ce qui se mange (soit, le miel) ; du fort (soit, le lion), est sorti le doux (soit, le miel). Quoi de plus doux que le miel  et de plus fort que le lion ». Les Philistins pensaient obtenir l’enjeu de la part de Samson mais celui-ci entra dans une colère divine, les accusant d’avoir obtenu la réponse de sa femme, il se rendit à Askalon et il tua 30 hommes dont il prit les chemises pour les remettre aux Philistins de l’enjeu. La guerre opposa ainsi Samson aux armées des Philistins dont un nombre élevé de soldats furent tués. A lui seul, avec une simple mâchoire d’âne, il tua 1000 hommes. Il a suffit d’une simple énigme pour obtenir ce résultat. Aujourd’hui, dans le secret bien gardé des esprits humains, des intrigues se construisent par les influences conjuguées de Dieu, ses bons anges et Satan et ses démons. Mais notre époque se distingue par l’aspect ouvert des faits mondiaux que des observateurs scrutent en tout temps et en tout lieu avec leur caméra numérique dont sont équipés les téléphones portables et les drones. Ceci au point qu’il devient impossible de rendre secret le moindre mouvement militaire ; du jamais vu. Les autorités mondiales sont ainsi sous une constante pression, surveillées par les médias dont les témoignages sont affichés sur les réseaux sociaux numériques.

En 2023, les pays occidentaux découvrent, après 78 années depuis 1945, la véritable valeur des accords qu’ils ont acceptés et imposés au reste du monde. Je rappelle que toute l’histoire humaine est constituée d’accords successifs momentanément acceptés mais rapidement dénoncés et remis en cause par des guerres menées par les opposants. Le long temps de paix dont nous venons de bénéficier a fait naître « la suprême illusion » que, cette fois, la norme établie par l’Occident allait pouvoir se prolonger perpétuellement. Et cette illusion était la conséquence du mépris humain pour les prophéties bibliques divines qui annonçaient notre imminente Troisième Guerre Mondiale. J’ai eu le privilège de glorifier le Dieu ordonnateur de ces prophéties, en attendant cette guerre pour l’année 1983, il y a donc 40 ans jusqu’à nos jours. Ce chiffre 40 a pour signification : l’épreuve de la foi ; exemple : 40 jours et 40 nuits de pluie au temps du déluge ; 40 années d’épreuves au désert après la sortie d’Egypte ; 40 jours et nuits de jeûne pour Jésus-Christ ; 40 années entre la mort de Jésus-Christ et la destruction de Jérusalem par les Romains, en 70. De plus, en fixant la durée moyenne de la vie humaine à 120 ans, avant de noyer la terre par les eaux du déluge, Dieu lui donne la perfection soit, 3 fois, de l’épreuve de foi soit, 40. Nous retrouvons ce chiffre de 120 ans qui sépare les dates 1873 et 1993, la date véritable de la fin des « cinq mois » prophétiques d’Apo.9:5-10 qui définit l’année du vomissement de l’adventisme officiel par Jésus-Christ. Dans mon expérience, il s’est écoulé 40 ans entre mon baptême et l’année 2020 où Dieu est entré en action punitive et 40 ans entre 1983 année de mes présentations prophétiques en divers lieux de la France et 2023, année de la rupture de la paix mondiale. Car cette fois, tous les pays du monde s’engagent en prenant position, les uns pour l’Occident, les autres contre lui. Le soutien massif constant apporté par le camp occidental à l’Ukraine a maintenant définitivement fait de lui, la cible de la haine et de la colère meurtrière russe soutenue déjà par la Corée du Nord et l’Iran, et bientôt par la Chine et nombres de pays musulmans. A ce sujet, le Soudan, et l’île de Mayotte reconnue et adoptée par la France à sa demande et à laquelle le président Sarkozy a donné le statut de département français, deviennent des causes d’affrontements dirigés contre la France. Nous assisterons bientôt au regroupement des forces musulmanes dont le « heurt » comme « roi du midi » contre l’Europe papale actuelle est prophétisé dans Dan.11:40 et 43 : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires ; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. …/… Il se rendra maître des trésors d'or et d'argent, et de toutes les choses précieuses de l'Égypte ; les Libyens et les Éthiopiens seront à sa suite. »

La prophétie pointe du doigt le régime papal européen, mais nous ne devons pas oublier que sa « fille aînée », la France, a été son plus puissant et constant soutien armé jusqu’à la Révolution française de 1789. Ayant été ainsi longtemps son « champion », la France, d’où sont parties les premières « Croisades », et ensuite les colonisations, représente un sujet de haine pour les peuples musulmans et son territoire envié, jalousé, convoité, sera partiellement envahi au « midi » par les musulmans, « le roi du midi » et au « septentrion » par les armées Russes, « le roi du septentrion ». Des détails révélés dans les prophéties de Michel Nostradamus situent la ligne de partage des deux envahisseurs à hauteur de la Drôme.

Ignorant le projet destructeur programmé par le grand Dieu créateur, le camp occidental est loin de pouvoir évaluer l’ampleur du niveau de ses illusions. Mais, ils ont des excuses, car une telle destruction ne s’est jamais encore accomplie sur la terre par des guerres opposant des hommes contres des hommes. Le déluge d’eaux avait frappé soudainement l’humanité pécheresse qui vivait en relative paix, malgré les crimes et les abominations commises. C’est pourquoi, le seul élément de comparaison reste la destruction de l’Israël apostat dans l’année dramatique – 586. C’est cette troisième attaque menée par le roi chaldéen Nébucadnetsar, qui constitue le type de notre Troisième Guerre Mondiale, son antitype. Dans les deux cas, Dieu détruit des nations et en nos jours, l’organisation mondiale repose sur des accords acceptés par des peuples organisés en nations. Celles-ci étant détruites, les survivants de cette guerre nucléaire ne représenteront plus des nations. Ils n’auront plus pour solution que celle de s’unir sous la tutelle d’une gouvernance universelle dirigée par le seul pays dont les survivants resteront les plus nombreux soit, le vaste territoire des USA.

Il nous faut réaliser que cette reconnaissance des nations et de leur autorité est une démarche strictement instaurée par le camp occidental. Car sur la terre, les frontières sont des choses abstraites. Les véritables raisons des regroupements humains et de leurs séparations étaient basées sur le partage d’un langage commun créé par Dieu. Les problèmes relationnels actuels sont donc liés à la tentative d’une nouvelle « babélisation » de l’humanité. La malédiction divine de la tentative de Babel de rassembler en un même lieu tous les humains vivant sur la terre, finit donc par porter son fruit redouté.

Interviewé sur la chaine info LCI, l’ambassadeur de la Chine, Mr. Lu Shaye, vient de faire une déclaration qui rend très claire le fait que la position chinoise est très opposée à celle du camp occidental. En fait, il révèle que l’ordre actuel établi par l’ONU depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale par les USA vainqueurs, n’est pas reconnu par les peuples qui étaient trop faibles pour être consultés à cette époque ; ce qui était le cas de la Chine écrasée pour un temps par le Japon. Les USA lui apportèrent leur défense, mais rapidement l’adoption du communisme par la Chine les expulsa. A l’époque, la Chine favorable aux USA, se replia sur l’île de Formose appelée aujourd’hui Taïwan. Les USA ont apporté leur soutien et leurs connaissances technologiques à Taïwan qui est devenu le lieu de la fabrication des produits numériques et particulièrement des processeurs les plus en pointe de la terre. Aujourd’hui, le désir de la Chine de reprendre possession de cette île de Taïwan, va devenir la cause d’un affrontement direct, entre la Chine et les USA, à cause des intérêts techniques, financiers et économiques que cette île Taïwan représente pour eux. Là encore un vieux conflit en sommeil va se réveiller. Mais, le sujet donne une leçon, celle du châtiment de la cupidité, puisque les USA ont renoué des relations avec la Chine rouge, uniquement dans le but d’y faire fabriquer leur produit par une main d’œuvre peu couteuse et corvéable à souhait. Ce sont ces USA qui ont donc fait entrer la Chine dans l’Organisation du Commerce Mondial soit, l’OMC. Ils ont donc créé le monstre qui s’est enrichi en ruinant notamment la France, en bénéficiant de la délocalisation de ses productions. Et maintenant, enrichie et très bien armée, la Chine se fait reconnaître pour ce qu’elle est devenue : une grande puissance dont les opinions doivent être entendues, reçues et accomplies. Et son expérience en fait tout naturellement la partenaire de la Russie, l’autre adversaire historique des USA.

Nous vivons un temps exceptionnel. Depuis le printemps 2023, nous sommes entrés dans la dernière semaine d’année de l’histoire humaine à la fin de laquelle prendront fin 6000 ans de péché. Aussi, Dieu organise ces sept dernières années comme une fin de spectacle, mais non par la tombée du rideau, mais paradoxalement, par un lever de rideau, car le sens qu’il donne à ces sept années est celui du passage progressif de la situation de la nuit et de son marché des illusions vers le plein jour où la véritable vie céleste viendra remplacer la trompeuse conception actuelle de la vie. Ce lever de rideau est progressif et déjà, la vie occidentale doit découvrir le caractère fragile de sa construction internationale qu’elle croyait irréversible. Ceci s’accomplit aujourd’hui par la contestation des valeurs occidentales qui se manifeste dans notre actualité. Mais cette remise en cause, ne fait que préparer une remise en cause encore plus grande qui sera nécessaire et rendue évidente, au jour de gloire du retour du Christ. Ce jour-là, le rideau sera entièrement levé et la lumière de la vraie vie selon Dieu prévaudra sur toute la fausseté ténébreuse construite par le diable, ses démons, et les êtres humains infidèles, alors, excepté Satan, tous étendus sur la terre,  le « séjour des morts » pour une durée de « mille ans » dans l’attente du jugement dernier.

Dans son amour, sa compassion, Dieu a assisté aux souffrances créées sur la terre du péché dirigée par le diable. Il a vu les conséquences de l’égoïsme, de l’orgueil, de la violence et de la tyrannie. Dans l’antiquité, des dominateurs se sont imposés à des peuples, des tribus vaincues, mais c’est dans l’ère chrétienne que se sont construites les nations qui ont subsisté jusqu’au temps de la fin des nations qui vient en notre époque. Ces découpages nationaux avaient du sens en regroupant les humains du même langage. Mais dans notre temps, depuis 1945, les mélanges ethniques progressifs successifs enlèvent à ces nations l’avantage de l’unification des esprits des citoyens. Dans chaque peuple du monde occidental, des communautés se forment, transférant les problèmes internationaux au sein même de chaque nation. Ces nations n’ayant plus de raison d’être, il est temps pour Dieu de mettre fin à cette organisation mondiale construite sur des nations plus ou moins indépendantes.

De même que Jésus-Christ a fait par sa mort volontaire « expiation pour les péchés » de ses seuls élus, en l’an 30, 2000 ans plus tard vient la semaine d’année de l’expiation des péchés de ceux que son sang versé ne justifie pas. Ce temps est celui où la loi injuste du plus fort terrestre va disparaître remplacée par celle du plus fort céleste soit, le Dieu créateur qui revient au nom de « Jésus-Christ » pour les humains et au nom de « Micaël » pour les démons angéliques célestes. Car, sans qu’ils en aient conscience, l’ordre établi par les puissances occidentales est non seulement injuste envers les petites nations et les grandes, mais imposé par la raison du plus fort, ce que témoigne les guerres injustes menées, successivement, contre les colonies des pays européens, l’Afrique et l’Inde, la Corée, le Vietnam, les Balkans européens, l’Irak, l’Afghanistan, la Libye, et aujourd’hui la Russie, combattue par l’Occident, par l’Ukraine interposée utilisée comme mercenaire. Ceci parce qu’après avoir trahi le Christ lui-même, cet Occident ne comprend pas que l’Ukraine trahit l’alliance qui la liait avec les pays frères de la Russie. Mais dans cet Occident immoral, corrompu d’entendement, qui reste sensible à ce mot : trahison ? Première victime de cette trahison, Jésus-Christ la condamne avec justice et c’est pourquoi, la dernière semaine d’années des expiations des pécheurs terrestres va s’achever, après la Troisième Guerre Mondiale, par une période réservée pour les « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » ; une juste « colère » dont nous connaissons déjà maintenant toutes les causes et la justification.

Sur le plan terrestre, les causes qui ont préparé la situation des affrontements actuels sont l’élitisme et la technocratie. Ce terme « technocrate » a été utilisé pour désigner les élites nationales recrutées pour assurer la fonction de commissaire européen. Il s’agit de personnes très diplômées, ayant suivi l’enseignement des hautes écoles nationales qui en font des gens très performants sur le plan théorique mais qui manquent totalement d’expérience de terrain. Ces technocrates présentent tous un comportement proche de l’autisme. Leur compétence ne peut être mise en doute ou remise en question. Leurs diplômes attestent de leur valeur. La remise de la gouvernance à ce type de personnes a considérablement changé l’aspect des démocraties occidentales. En France, où je vis, la chose est particulièrement constatable. Sous la 4ème République, les hommes politiques se construisaient sur le terrain, faisant face aux problèmes concrets de leur époque. La démocratie ayant été établie par le peuple au détriment de monarques mis à mort en 1793, le peuple est normalement souverain et c’est lui qui fixe les limites de ce qu’il accepte ou refuse. Les anciens politiques de la 4ème acceptaient ce principe et recherchaient le compromis admis par une majorité des députés qui siégeaient dans l’Assemblée nationale. Mais la 5ème République, plus dirigiste, donne au Président un pouvoir quasi dictatorial. Les anciens politiques n’en ont pas trop abusé, mais depuis 2017, le jeune président Emmanuel Macron incarne tous les maux rattachés à l’élitisme et à la technocratie. Il adopte un comportement dirigiste absolu conforme au technocrate qu’il est. Ainsi, cet homme est un technicien de la finance et son cerveau tourne plus rapidement que les nôtres. A l’image de nos ordinateurs, il présente le comportement de l’autiste qui n’accepte pas l’abandon d’une idée. Or, le principe démocrate ne repose pas sur le fait d’avoir tort ou raison, mais sur l’acceptation des décisions majoritaires prises par le peuple souverain. Le président Macron revendique pour lui seul cette souveraineté au nom d’une élection par ce peuple ; d’où le conflit actuel qui le dresse contre le peuple qui l’a élu sans toutefois l’avoir réellement choisi. Car pour ses deux élections successives, il n’a été élu que par rejet de sa concurrente représentante du parti de l’ex Front National. Que dit-on d’un enfant qui ne se laisse pas raisonner ? Qu’il est rebelle, désobéissant, et capricieux. Des témoignages le confirment, c’est avec la même détermination entêtée que le jeune Macron a réussi à séduire et prendre pour femme, sa professeur d’art dramatique beaucoup plus âgée que lui, après qu’elle lui ait fortement résisté ; elle était déjà mariée et mère de deux enfants. Voilà donc le portrait robot du président qui gouverne la France. En revoyant son parcours politique, cette nature était visible dès le commencement. Déjà, par des aspects de « transes démoniaques » inquiétantes manifestées par des vociférations lors de ses campagnes publiques. Elu, il s’est entêté au sujet de l’Impôt Sur la Fortune qu’il a voulu supprimer ; il s’est opposé aux demandes des « gilets jaunes » qui manifestaient à cause des augmentations du prix de l’essence ; il a multiplié ses expressions cyniques blessantes et a affiché la preuve qu’il était totalement dépourvu de sens de justice et d’égalité, en appelant, ceux qui le pouvaient parmi les entrepreneurs, à donner une prime de cent euros à leurs travailleurs et tant pis pour ceux qui ne la recevaient pas. Ensuite en technicien, devant l’épidémie du Covid-19, il s’est déchargé de ses responsabilités sur les techniciens de la santé uniquement soucieux de ne pas saturer les places disponibles pour les soins basés sur l’emploi des appareils respiratoires. Sous leurs conseils, le président a mis la France en arrêt d’activité total ou presque, pendant environ deux ans. Le pays en est ressorti, exsangue, ruiné et endetté. Nous lui devons également, l’inflation de quelques 25% subie en 2023, à cause des sanctions prises en 2022, contre la Russie. Là encore, le caractère autiste du président apparaît, non seulement chez lui et tous ceux qui l’approuvent, mais aussi et en premier, au niveau de la présidente de la Commission européenne, Mme Ursula Von Der Leyen et le président de l’Assemblée européenne Mr. Charles Michel. Le choix de soutenir l’Ukraine n’a reposé que sur une seule idée : le respect du droit national de l’Ukraine. Ce qui me conduit à dire que pour ces technocrates, le respect de la loi vaut la destruction économique de l’Europe entière, dans un premier temps, seulement, puisque nous savons que la conséquence sera à terme, réellement, la destruction massive nucléaire des nations européennes. Or, il nous faut relever cet étonnant changement envers l’Ukraine, sachant qu’après l’ONU, la chancelière allemande Mme Angela Merkel avait rejeté sa demande d’entrée dans l’Europe pour cause de grave corruption de l’Etat ukrainien ; et en 2022, avec la même corruption et la légitimité donnée au groupe Azov revendiqué officiellement nazi, l’Occident entier s’est porté à son secours, quand les troupes russes sont entrées dans son territoire. Le Dieu de la Bible donne ce conseil dans Luc 14:31-32 : « Ou quel roi, s'il va faire la guerre à un autre roi, ne s'assied d'abord pour examiner s'il peut, avec dix mille hommes, marcher à la rencontre de celui qui vient l'attaquer avec vingt mille ? S'il ne le peut, tandis que cet autre roi est encore loin, il lui envoie une ambassade pour demander la paix. » Est-ce ainsi qu’a agit, sagement, Mr. Zelensky ? Non ! Il a dit aux Américains : Je n’ai pas besoin d’un taxi, j’ai besoin d’armes et ainsi, stupidement, en les lui donnant, l’Occident entier s’est condamné à une guerre directe contre la redoutable puissance nucléaire qu’est la Russie bien armée, et bien plus peuplée que l’Ukraine. Pour sa part, Dieu limite l’importance des textes de ses propres lois privilégiant les interprétations données par son Esprit. Et il est intéressant de relever que, coupés de Dieu, les faux Chrétiens européens construisent les règles de la vie de la même manière que les Juifs ont tenté de le faire, en écrivant leur livre du Talmud, dont le but est de recenser toutes les situations auxquelles le Juif est confronté dans sa vie. Partout, dans le monde occidental, les textes de lois abondent et se surchargent donnant lieu à des contradictions que les plus compétents des avocats utilisent pour défendre leurs clients. Dans l’actualité, on parle du « Chat GPT », un programme informatique soit, une intelligence artificielle, qui serait capable de répondre à toutes les questions. Quand les esprits des hommes fonctionnent eux-mêmes comme des ordinateurs, peut-on s’étonner que la perspective d’être dirigés par un cerveau électronique supérieur les séduise ? C’est encore là, le sujet d’une dernière espérance trouvée dans le marché des illusions terrestres.

 

 

 

 

 

L’iniquité et le péché

 

Le titre de cette étude est justifié par le fait que l’iniquité est pour les anges célestes ce que le péché est pour les êtres humains terrestres. A l’origine de ce constat, se trouve le récit présenté dans Ezéchiel 28:15 : « Tu as été intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus créé jusqu'à celui où l'iniquité a été trouvée chez toi. ». Le prophète prophétise au sujet de celui qui est devenu le diable et Satan. L’intégrité ou équité désigne la droiture du jugement et du comportement ; à l’opposé, l’iniquité constitue la mise en pratique du mal condamné par Dieu. C’est la pensée inique qui conduit à la pratique du péché. Car l’iniquité est la norme d’une nature rebelle contredisante et c’est cette nature qui pousse l’esprit rebelle à désobéir à l’ordre établi par Dieu. Les anges célestes ne se reproduisent pas et ne se multiplient pas. Après avoir créé son premier vis-à-vis angélique, Dieu en a créé des multitudes d’autres dont le nombre ne nous est pas révélé. Ils ont tous été créés capables de vivre éternellement mais ce droit à l’éternité dépend entièrement de la volonté de Dieu, et nous savons que les anges rebelles ont perdu ce droit à l’éternité et qu’ils vont devoir mourir détruits par Dieu avec les humains porteurs de leurs péchés. En créant les anges célestes, Dieu les fait bénéficier d’une norme qui s’appliquera à terme aux élus humains rachetés de la terre. Ayant expérimenté le meilleur offert par Dieu, ils sont devenus hautement responsables de l’usage qu’ils ont fait de leur liberté. Et leur attitude rebelle envers Dieu les a condamnés à devoir être détruits. Mais la possibilité de les détruire dépendait de la victoire ou de la défaite du ministère salvateur de Jésus-Christ. C’est pourquoi, toute de suite après sa victoire sur le péché et sur la mort, Jésus-Christ, dont le nom céleste est Micaël, a expulsé du ciel le camp angélique rebelle et l’a précipité sur la terre. La terre et toute sa dimension sont devenues le seul milieu dans lequel ils peuvent vivre, s’activer, jusqu’à y mourir une première fois, au retour du Christ, puis une deuxième fois, au jugement dernier. Ainsi, comprends-le, la justice du Christ ne peut pas sauver un ange, mais sa victoire sur le péché le condamne irrémédiablement à mort.

En règle générale, la nature inique n’a pas de remède pour guérir, car une telle nature n’éprouve pas d’attirance pour la vie basée sur l’obéissance. Aussi, devons-nous le comprendre, « l’iniquité » est un cas désespéré ou presque.

Il n’en est pas de même du péché, auquel 1 Jean 3:4 donne la signification suivante : « Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi. ». Le « péché » concerne tout particulièrement l’être humain ; ceci parce qu’il a été créé par Dieu inférieur aux anges. Et cette infériorité le rend vulnérable aux tromperies imaginées et mises en action par le diable, ses démons et les humains séduits et trompés. J’ai relevé une faiblesse humaine qui favorise l’acte du péché et, sans pour autant le justifier, en donne une explication. Cette faiblesse est le sentiment de la frustration et ont la relève dans toutes les motivations qui conduisent à pécher contre Dieu. La créature subit sa nature comme le drogué subit sa dépendance de sa drogue. L’être rebelle est en manque de liberté quand le devoir d’obéir lui est imposé. Sa nature est inadaptée à l’obéissance et c’est cette mauvaise nature, selon Dieu, qui lui ferme l’accès à la vie éternelle. On comprend ainsi, pourquoi Dieu fait reproduire la vie humaine en multitude. Les âmes créées dans la conformité de la norme de la vie céleste sont rares. Les élus eux-mêmes rachetés par le sang de Jésus-Christ sont héritiers du péché et doivent en être libérés dans un combat perpétuel qu’ils mènent aidés par l’Esprit du Christ.

Avant sa rébellion, le premier ange a connu la félicité, le bonheur parfait et il a marché avec Dieu, entièrement et sans arrière pensée. C’était le temps de son intégrité. Ensuite, à cause de sa prééminence, Dieu l’a établi chef des anges. C’est dans cet exercice que l’iniquité l’a gagné peu à peu. Il a pris conscience de sa supériorité, s’y est habitué, sans jamais se sentir rassasié ni satisfait. L’obéissance des anges ne lui suffisait plus, il s’est alors comparé lui-même à Micaël, l’ange sous l’aspect duquel Dieu lui-même se montrait aux anges créés par lui. Il a fini par presqu’oublier qu’il était lui-même sa créature et s’est mis à contester ses choix, ses valeurs et ses décisions. C’est ce qu’Ezéchiel 28:15 désigne comme « l’iniquité » apparue en lui. Micaël a ensuite créé la dimension terrestre et l’homme, sans y faire participer son premier vis-à-vis. La rupture était complète, Satan le diable était officiellement chef du camp rebelle qui allait croître avec le temps. Son ressentiment éprouvé envers Dieu le conduit à entraver son projet de vie. Et il profite d’un moment où Eve est isolée pour la tromper et la séduire. La solitude d’Eve n’est pas à considérer comme une faute du couple, Adam n’avait aucun concurrent mâle à craindre. Le couple pouvait donc se livrer à des activités personnelles différentes. Mais déjà victime de la frustration, Satan va tenter et réussir à faire tomber Eve par un sentiment de frustration. Dans son échange avec Eve, sous le masque du « serpent », le diable dit à Eve que Dieu la frustre de pouvoirs supérieurs qu’il ne veut pas partager avec ses créatures selon le sens qu’il donne au « fruit de la connaissance du bien et du mal ». Il suscite ainsi la curiosité chez Eve, mais une curiosité qui ne peut être satisfaite qu’au prix mortel de la désobéissance. Elle prend peur de la conséquence mortelle, mais le diable la rassure, en lui montrant que Dieu ne met pas sa menace en action, puisque, comme elle le voit de ses yeux, le serpent mange lui-même de ce fruit prohibé, sans pour autant mourir. Ayant la preuve sous les yeux, puisque le fruit interdit a rendu le « serpent » capable de parler, notre pauvre Eve est alors convaincue que ce « serpent » dit la vérité au sujet de Dieu. Sa curiosité est la plus forte, il faut qu’elle expérimente elle-même les effets de ce fruit interdit. Elle en mange, et constate que comme « le serpent », elle ne meurt pas. Elle rapporte ensuite à Adam son expérience et à son tour ne pouvant envisager sa séparation d’Eve, il préfère partager sa condamnation et mange lui-aussi du fruit défendu.  C’est alors que le symbolisme de la révélation du récit de la Genèse prend toute son importance. Selon Gen.3:23, Dieu dit après avoir jugé le couple des premiers pécheurs de l’histoire humaine : « YaHWéH Dieu dit : Voici, l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement. » En réalité, la vie éternelle ne dépendait pas du fait de manger de l’arbre de vie, mais continuer d’en manger après le péché aurait tout faussé le message du plan du salut préparé par Dieu. Cette précision n’est donnée par lui que pour prophétiser la norme de la vie éternelle qui sera à terme offerte aux élus rachetés par Christ, le véritable « arbre de vie » cité dans Apocalypse 22. Celui de la Genèse n’avait qu’un rôle symbolique prophétique. Et il en était de même de « l’arbre de la connaissance du bien et du mal » qui n’était que le symbole de Satan, le diable, et du péché qui lui était doublement rattaché, en tant que premier pécheur et premier tentateur, séducteur de la première créature terrestre pécheresse. Ainsi, confirmant ce symbolisme, dans son ministère terrestre, Jésus a repris en image la comparaison des hommes et des arbres, tous deux étant porteurs de bons ou mauvais fruits. Avant de chasser l’homme du jardin, Dieu a révélé aux trois coupables sa sentence individuelle. Visiblement, la femme a été victime de l’habile mise en scène du diable qui lui a parlé en utilisant « le serpent » comme médium. L’homme est lui-aussi victime de son amour pour sa femme Eve, « os de ses os, et chair de sa chair ». Le pauvre « serpent » est apparemment le seul coupable et pourtant il a lui-même était utilisé par un esprit plus fort que le sien. Pour la forme, Dieu le maudit également, mais son verdict concerne en vérité le sort réservé au diable séducteur, le seul vrai responsable de la chute des premiers êtres humains : Gen.3:14-15 : « YaHWéH Dieu dit au serpent : Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. » A son origine, « le serpent » avait donc des ailes ou des pattes, peut-être les deux, mais dès le péché du couple humain, Dieu les lui enlève et ses déplacements vont se faire en « rampant sur son ventre ». Cette métamorphose du « serpent » prophétise le destin du diable et des démons qui vont le suivre. Après la victoire de Jésus-Christ sur le péché et la mort, lui et ses mauvais anges seront confinés sur la terre des êtres humains pécheurs. Et Apo.12:7 à 9 confirme l’accomplissement du verdict de Dieu qui les concerne en citant, en rappel, « le serpent ancien » : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. Et j'entendis dans le ciel une voix forte qui disait : Maintenant le salut est arrivé, et la puissance, et le règne de notre Dieu, et l'autorité de son Christ ; car il a été précipité, l'accusateur de nos frères, celui qui les accusait devant notre Dieu jour et nuit. » Ce qui était une bonne nouvelle pour les habitants du ciel ne l’était pas pour ceux de la terre. Comme le confirme le verset 12 : « C'est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. »

Dans son jugement des trois coupables, ou plus précisément de L’homme, la femme et le diable, Dieu fit preuve d’une parfaite justice en frappant par la première mort le couple terrestre humain mais en annonçant aussi la « seconde mort » qui allait devoir à terme frapper ensemble le diable et ses démons rebelles célestes et terrestres. Il a dit au diable agissant par « le serpent » : « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon » Alors que ces choses s’accomplissent littéralement sur le sol de la terre pour le vrai « « serpent », Dieu prophétise que Jésus-Christ, en tant que « postérité de la femme », son Eglise rachetée, « écrasera » finalement « la tête » du diable, mais avant ce temps, étant lui-même devenu avec ses partisans célestes un esprit angélique prisonnier de la dimension terrestre, le diable aura la liberté d’agir contre son Messie lui-même et son Elue : « tu lui blesseras le talon ». Et il se trouve que le talon est précisément vulnérable pour un « serpent » qui « rampe sur le sol de la terre ». Étant confinés sur la terre, le diable et ses démons subiront la punition du « serpent ».

Ainsi le péché peut obtenir la guérison, parce que la justice parfaite obtenu par l’homme-Dieu Jésus-Christ est puissante pour le couvrir, dans un premier temps, et l’anéantir, dans un second temps. Mais le péché peut ainsi être pardonné que s’il est causé par héritage ou faiblesse momentanée. Parce que pour offrir son pardon, Jésus-Christ exige de ses élus qu’ils renoncent à pécher et produisent le fruit de la véritable repentance soit, l’arrêt de la pratique du péché. C’est pourquoi, ciblant les faux chrétiens qui justifient, injustement, le prolongement de la pratique du péc dont la transgression du Sabbat depuis 1843, Jésus a déclaré dans Matt.7:21 à 23 : « Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! N'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé par ton nom ? N'avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? Et n'avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité. » Le Seigneur dira ouvertement aux faux chrétiens qui se réclament de son nom : « retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité ». La même « iniquité » trouvée chez son premier vis-à-vis, devenu le diable et Satan. La justice proposée par Jésus ne les aura donc pas couverts parce que le mal était leur nature et leur engagement religieux n’a rien changé à leur situation inguérissable. Et chaque fois que je cite ce verset, je ne manque pas de faire remarquer que les « miracles » présentés comme preuves n’ont pas été effectués par Jésus qui leur dira : « Je ne vous ai jamais connus ». La conclusion va de soi, les vrais auteurs de ces « miracles » et autres « exorcismes de démons » étaient donc le diable et ses démons eux-mêmes. Comprends donc pourquoi, dans Matthieu 24, Jésus insiste autant sur les actions des « faux christs ». Tout ce qui ne se réclame pas du Christ est facilement rattachable au diable et ses méchants esprits rebelles. Mais sous l’étiquette chrétienne se trouvent les pièges les plus subtils du diable. Au fil du temps, le Protestantisme a dénoncé l’iniquité du catholicisme romain, mais à son tour, abandonné par Dieu depuis 1843, il présente, sous de multiples aspects et dénominations, la même « iniquité » héritée de Rome. Or, si j’ai dit que le péché était particulièrement rattaché à l’expérience terrestre, c’est en raison de la loi que Dieu a présentée au peuple hébreu dont il a fait le dépositaire de ses oracles jusqu’à Jésus-Christ. Car l’apôtre Paul, le rappelle avec justesse dans Rom.7:22-23 : « Que dirons-nous donc ? La loi est-elle péché? Loin de là ! Mais je n'ai connu le péché que par la loi. Car je n'aurais pas connu la convoitise, si la loi n'eût dit : Tu ne convoiteras point. Et le péché, saisissant l'occasion, produisit en moi par le commandement toutes sortes de convoitises ; car sans loi le péché est mort. » En prescrivant ses ordonnances, Dieu a donné au péché une claire signification. « Le péché » est l’acte qui consiste à désobéir à un ordre donné par Dieu en obligation ou en interdiction. Ce mot n’a de sens que religieusement, mais la vie entière étant dépendante de la puissance de Dieu, son application est incontournable même chez ceux qui refusent de croire à son existence. « Le péché » est rattaché à la malédiction de Dieu et il est donc de l’intérêt de l’homme de se séparer de ce « péché » qui devient une cause de souffrance permanente qui peut prendre de multiples formes. La principale forme qu’il engendre est l’échec de ce que l’homme cherche à entreprendre et à réaliser. L’effet est individuel et collectif et ceci apparaîtra clairement, lorsqu’après la fin du temps de grâce, « les adorateurs de la bête et de son image » seront, collectivement, frappés par « les sept derniers fléaux de la colère de Dieu » et cela s’accomplira dans six ans, en l’année 2029.

« L’iniquité » est relevée plus particulièrement par Dieu, et très logiquement, chez les faux chrétiens qui trouvent normal l’abandon du vrai sabbat. C’est pourquoi, au cours de l’histoire, il les cible et les frappe par ses malédictions successives auxquelles il a donné le nom symbolique de « trompettes », car elles ont pour rôle d’avertir les appelés, candidats pour l’éternité, qu’ils sont frappés et victimes d’une accusation divine grave. Or, Dieu a réservé pour les années 80 le moment de l’interprétation correcte des « sept trompettes » citées dans Apo.8, 9, 10 et 11. Tu peux ainsi le comprendre, ces avertissements n’avaient pas pour but d’empêcher les rebelles d’agir et de faire le mal condamné par Dieu, mais uniquement, de donner aux élus des derniers jours, les preuves qu’il avait tout annoncé d’avance. Dieu seul a ce pouvoir et il en tire légitimement gloire. C’est ce qu’il dit dans Esa.42:8-9 : « Je suis YaHWéH, c'est là mon nom ; et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, ni mon honneur aux idoles. Voici, les premières choses se sont accomplies, et je vous en annonce de nouvelles ; avant qu'elles arrivent, je vous les prédis. » Esa.46:10 : « J'annonce dès le commencement ce qui doit arriver, et longtemps d'avance ce qui n'est pas encore accompli ; je dis : Mes arrêts subsisteront, et j'exécuterai toute ma volonté. » Il n’est rien d’autant nourrissant pour la foi de ses élus que de constater eux-mêmes la véracité de ces déclarations de Dieu. La compréhension prophétique est un plus, une nourriture supérieure, comparable en tous points à la manne divine par laquelle Dieu a gardé en vie Israël dans des lieux désertiques, hostiles et mortels, après sa sortie d’Egypte. Dans notre époque moderne défavorable pour la foi en Dieu, ses derniers élus se retrouvent à leur tour dans un désert paradoxalement surpeuplé. Mais la vraie foi ne se laisse pas influencer par l’ambiance du temps et du lieu où l’élu se trouve. Elle se concentre sur les annonces faites par Dieu dans sa sainte Bible et plus particulièrement, au temps de la fin où nous sommes, sur ces prophéties de Daniel et Apocalypse enfin entièrement décryptées et en accomplissement dans notre actualité. La Troisième Guerre Mondiale va étonner et terroriser beaucoup de gens sur toute la terre, mais ce ne sera pas le cas de ses élus avertis à l’avance par Daniel 11:40-45, Apo.9:13 à 21, Ezéchiel 38-39 et même Esaïe 14:2 : « Je rassemblerai toutes les nations pour qu'elles attaquent Jérusalem ; la ville sera prise, les maisons seront pillées, et les femmes violées ; la moitié de la ville ira en captivité, mais le reste du peuple ne sera pas exterminé de la ville. » Apo.17:8 donne pour signe l’« étonnement » des incrédules, disant : « La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. »

En ce printemps 2023, nous assistons au retour de la « bête qui monte de l’abîme ». Après elle, « la bête qui monte de la terre » apparaîtra à son tour dirigée par l’Amérique protestante réconciliée avec la foi catholique romaine.

 

 

Les liens du sang

 

Il s’agit là d’une authentique valeur biblique qui mérite toute notre attention et notre écoute. Car sans pour autant faire disparaître les causes des affrontements humains, ce principe des liens du sang réduit au moins les risques et les causes qui peuvent les provoquer. Sur la terre, la situation idéale n’est pas accessible mais l’homme sage fait tous ses efforts pour favoriser la paix et le partage avec son prochain. Et qui est sur la terre notre premier prochain ? Nos parents, nos frères et sœurs nés des mêmes père et mère. Car c’est en pensant à ce qu’il souhaite obtenir de ses enfants qui l’aiment que Dieu a prescrit dans son « cinquième commandement » l’ordre : « Tu honoreras ton père et ta mère ». Et Jésus-Christ est venu nous révéler qu’en Dieu créateur tout-puissant, il est lui-même notre vrai Père dont l’Esprit est céleste. Ses saints anges le nomment Micaël et pour nous, sur la terre, il est Jésus-Christ, le « YaHWéH qui sauve » en Messie envoyé par son Esprit créateur, législateur, et dans ce cas, rédempteur puisqu’il vient racheter par sa mort volontaire et son « sang versé » les péchés hérités et commis involontairement par ses saints rachetés élus. C’est donc, à ce titre, le « lien du sang » le plus important pour la vie humaine. Car Dieu a organisé toute cette vie humaine pour illustrer son plan du salut universel proposé à toutes ses créatures célestes et terrestres. Le salut apporté par Jésus-Christ construit et rassemble une famille universelle. Il regroupe des frères et des sœurs terrestres avec des frères angéliques célestes qui reconnaissent tous avoir pour seul vrai Père, le Dieu créateur unique et souverain. C’est là, le but que Dieu s’est fixé, lorsqu’il a mis en œuvre sa création de notre dimension terrestre, mais ce projet avait été conçu avant même la création de son premier ange créé en vis-à-vis libre et responsable de ses choix. S’étant mis en rébellion envers l’autorité de Dieu, Satan, le premier « fils » de Dieu est à l’origine de la première fracture survenue dans la sainte famille céleste. Son choix étant irrémédiable, son activité de « diable » le condamnait à devoir mourir pour disparaître et être anéanti définitivement. On le voit donc, le lien familial, n’empêche pas la mort, et tristement en tuant injustement son frère Abel, Caïn, le premier fils terrestre d’Adam et Eve, confirmera ce triste avenir pour la vie de l’humanité. Quand il crée la terre et son univers, Dieu prépare la dimension dans laquelle le principe de mort va être révélé et accompli. Et dès le premier jour, en créant la terre en forme d’une boule d’eaux, Dieu illustre son programme de mort terrestre, car ces eaux vont recevoir le nom de « mer », porteuse de la « mort » dans l’expérience du déluge, de la sortie d’Egypte et de la traversée de la mer rouge qui détruit les chars et noie les soldats égyptiens, et de la cuve des ablutions qui en symbole prophétique du baptême, portait également le nom « mer ». Au deuxième jour, Dieu crée « la terre » sèche en la faisant sortir de la « mer ». Dans cette action, il met en image l’arrachement de la « vie » à la « mort » de « la mer ». « La terre » va ainsi, porter l’être humain qu’il va former à son image et qui va vivre et se développer sur elle. Et c’est dans cette humanité que Dieu va pouvoir sélectionner ses élus dignes de son éternelle compagnie. « La terre » représente donc une valeur supérieure à celle de « la mer », mais néanmoins porteuse elle aussi, de « vie » et de « mort ». Dans l’histoire de notre ère, la première forme religieuse chrétienne dominatrice a été celle de la Rome catholique papale et la mort qu’elle a ordonné et fait accomplir lui vaut bien son symbole de « bête qui monte de la mer » dans Apo.13:1. Ensuite, la foi protestante encore bien imparfaite sortie du milieu d’elle, officiellement en 1517, au titre d’église réformée, mérite à son tour son nom symbolique de « bête qui monte de la terre ». Dans les guerres de Religions provoquées par l’intolérance et l’agressivité du papisme romain et de ses ligues catholiques, les deux religions sœurs se sont affrontées et massacrées telles des « bêtes » féroces. C’est un témoignage historique que la longue paix religieuse observée depuis la Révolution française et le règne impérial de Napoléon 1er ont fait oublier. Mais ce comportement du protestantisme armé était révélateur de sa véritable nature spirituelle. A cette époque, déjà, la vie des vrais élus de Dieu se démarquait de celle que Dieu juge « hypocrite » dans Dan.11:34 : « Dans le temps où ils succomberont, ils seront un peu secourus, et plusieurs se joindront à eux par hypocrisie. » Faut-il s’étonner de ce jugement porté par Dieu ? Et bien non ! Tout simplement, parce que Jésus a déjà qualifié « d’hypocrites » le clergé juif auquel il a déclaré dans Mat.23:13 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous fermez aux hommes le royaume des cieux ; vous n'y entrez pas vous-mêmes, et vous n'y laissez pas entrer ceux qui veulent entrer. » J’ai retenu cette citation parmi les 16 disponibles tant ces critères identifient les œuvres des deux « bêtes » religieuses chrétiennes, successivement dans le temps. Mais avec l’aide d’une concordance, tu peux retrouver les 16 citations qui complètent et définissent ensemble le portrait robot du Chrétien que Jésus juge « hypocrite » parce qu’il reproduit « l’hypocrisie » du modèle juif de son expérience. L’apôtre Pierre fut repris pour son hypocrisie par Paul parce qu’il cachait sa relation avec les païens. Il n’osait pas assumer ce que l’Esprit le conduisait à faire, car la porte du salut était ouverte aux païens après la mort et la résurrection de Jésus-Christ. Il redoutait une condamnation de la part des autres apôtres et disciples, ses frères. Mais cette « hypocrisie » était bénigne si non bénie par Dieu, car l’hypocrisie des faux Chrétiens est d’une toute autre nature. L’être humain qui la pratique joue un rôle qui masque sa vraie nature. Et en se revendiquant « serviteur de Dieu » indignement la conséquence de cette hypocrisie est portée par le Dieu créateur et sauveur lui-même.

Le fait que l’alliance du salut repose sur le sang versé par Jésus contredit tous les mensonges qui prétendent que Jésus n’a pas été mis à mort personnellement. Si son sang n’a pas été versé, la réconciliation avec Dieu est impossible, et les multitudes de sacrifices animaliers qui ont précédé sa mort son  non validés et inutiles ; mais son sang a été versé et son salut est bien réel.

Sur la terre, les animaux ne tuent le plus souvent que pour manger et prolonger ainsi leur propre existence. Vivant uniquement sur leur instinct, ils n’ont pas connaissance du bien et du mal ; manger et survivre sont leurs seuls soucis. Mais dans l’espèce humaine s’ajoute à ces choses la méchanceté gratuite, le plaisir de faire souffrir son prochain, pour différentes causes voire sans cause. Afin de réduire les causes de cette méchanceté humaine Dieu a organisé la succession des générations sur la base de l’héritage d’un même sang. Celui du père et de la mère, les géniteurs de l’enfant qui naît d’eux. Ainsi, se construit une famille, puis par regroupement de plusieurs familles nées d’un même père, les premières tribus se sont formées. Les membres de la tribu se doivent aide et solidarité. Ils sont unis par le lien du sang et doivent lutter ensemble contre une tribu qui vient l’agresser. Pour éviter les agressions, chaque tribu doit gérer son territoire et ne pas intervenir sur celui d’une autre tribu. Dans la vie animale, on retrouve les mêmes principes. Le lion protège ses lionceaux mais il est prêt à dévorer ceux d’un groupe étranger. Toutes les espèces vivantes sont programmées pour protéger leur progéniture et lutter contre leurs prédateurs. La loi de la famille construite sur le partage du sang s’applique à toutes. Avec la croissance de la démographie, les tribus se sont regroupées sous la forme du peuple et elles partagent en commun un territoire qui prend le nom « pays ». Après le déluge, avec la tentative d’union de Babel l’humanité survivante se donne pour roi, Nimrod dont la tour construite sur sa décision déplaît à Dieu au point qu’il sépare les hommes par des langues différentes. Dès qu’ils deviennent incapables d’échanger entre eux, ils se séparent, s’éloignent les uns des autres et peuplent toute la surface de la terre. Cette fois, les peuples des pays constitués sont unifiés doublement par l’héritage du sang et celui de leur langue parlée et écrite. Mais les guerres frontalières sont constantes car les frontières sont uniquement basées sur des accords plus ou moins longtemps acceptés par les pays concernés. Et sur la terre du péché, les peuples se font la guerre par désir d’étendre leur possession territoriale. La méchanceté est installée dans les cœurs des hommes et les peuples connaissent rarement la paix. C’est ainsi que se développe la vie humaine coupée de Dieu, livrée au despotisme et au tyran de l’heure parce qu’il s’est montré le plus fort. La malédiction de la vie terrestre est ainsi confirmée et rendue pleinement visible. Cependant les peuples ainsi formés ignorent tous qu’ils obéissent aux directives des mauvais anges dirigés par Satan le diable. Les esprits rebelles ont inspiré aux hommes des formes païennes religieuses dans lesquelles ils pensent servir des divinités invisibles ou visibles puisqu’ils divinisent les astres, la terre, la mer, le feu et le ciel et des animaux forts et puissants tels le taureau, le Buffle, le lion, …etc. Dans ces conditions le bonheur n’existe pas et n’est pour le moins pas durable. La paix ne se trouve que dans l’isolement loin des autres humains. Les frontières n’étant que théoriques, des mélanges des peuples sont réalisés, favorisés par la domination impériale. Dans le même temps, Dieu organise son peuple Israël auquel il fait interdiction d’épouser l’étranger ou l’étrangère. Le lien du sang est donc renforcé et protégé, mais uniquement dans le peuple choisi par Dieu pour sa démonstration universelle. Pour Dieu, le but de cette interdiction est d’éviter que son peuple adopte des rites religieux étrangers ; ce qui arrive en cas de mariage avec une personne religieusement différente. La mesure devait protéger collectivement le peuple saint des punitions divines que sa désobéissance allait provoquer immanquablement. Mais l’interdiction ne changeait pas la nature des membres du peuple hébreu, et la nature rebelle restait rebelle de même que l’obéissant restait obéissant. Toutefois, le respect de cette mesure imposée par Dieu permettait de ne pas rompre sa sainte alliance.

De plus en plus rebelles et sourds envers les ordonnances divines, Israël et Juda sont tombés dans l’apostasie et se sont livrés aux abominations païennes adoptées par leur population. Le châtiment est tombé alors lourdement sur eux, la   nation juive a été détruite pendant 70 années au cours desquelles leur peuple a été déporté et conduit en captivité à Babylone, en trois étapes successives graduelles entre – 605 et – 586.  La leçon destinée aux générations futures, dont la nôtre, était écrite et accomplie : Dieu bénit l’obéissance et il punit sévèrement la désobéissance et la rébellion.

Il est très important de comprendre ceci : Le lien du sang versé par Jésus-Christ concerne des élus sélectionnés au cours des 6000 ans d’histoire du péché terrestre. En effet, Dieu s’est révélé après Adam à ses descendants jusqu’à Noé, puis de Noé jusqu’à Abraham. La Bible qui témoigne de ces choses rappelle donc que Dieu n’est pas le Dieu exclusif des Juifs. L’alliance passée avec le peuple hébreu n’est donc qu’une expérience intermédiaire placée entre le temps antédiluvien et l’ère chrétienne qui couvre 4000 ans sur les 6000 années totales. Cependant, l’importance de cette expérience est très grande, puisque Dieu est venu en personne vivre au milieu de son peuple, caché sous l’aspect terrifiant du feu de la colonne de la nuée ardente. La sagesse de Dieu est révélée par la manière dont il a organisé son programme préparé pour sauver la vie de ses élus.

Depuis le premier mort de la création, à savoir, l’agneau dont la peau servit de vêtement pour couvrir la nudité d’Adam et Eve, le salut qui devait reposer sur la mort de Jésus-Christ était proposé tout au long de l’expérience humaine jusqu’au temps de son ministère terrestre. En premier, les antédiluviens ont été éprouvés sans voir Dieu. Ensuite à partir d’Abraham, puis de Moïse, sous le titre de peuple Hébreu ils ont été organisés et instruits par une présence divine visible. Ensuite Jésus-Christ est venu dans ce peuple pour accomplir le sacrifice parfait qui devait valider tous les péchés des élus de l’histoire humaine complète. Ayant ainsi tout accompli, par sa mort et sa résurrection, il a regardé, et accompagné, et organisé, le développement progressif de son Elue terrestre, privée de sa présence visible, jusqu’à son retour final glorieux. Le salut proposé par Jésus-Christ est donc bien loin d’être une exclusivité juive. Il est réellement universel. Et les preuves qui le démontrent abondent. Dans le cadre de la promesse faite par Dieu à Abraham, Israël était prioritaire pour accueillir la naissance du Messie sauveur. Et fidèle à ses principes et ses promesses, Dieu l’a fait naître sous l’aspect d’un homme juif, en apparence, comme les autres hommes juifs de son époque. Pourtant en réalité, Jésus n’avait de juif que le respect des saintes écritures qui l’annonçaient comme fils de David. C’est pourquoi, il est bien né de Marie et Joseph tout deux de la lignée du roi David, de la tribu de Juda. Mais la Bible précisait qu’il devait naître d’une « vierge » soit, miraculeusement. Et ce détail est important, parce que de cette manière, Jésus n’hérite pas le sang juif. Son propre sang est d’ailleurs marqué de manière miraculeuse par une composition spécifique révélé par l’archéologue adventiste Ron Wyatt découvreur de l’arche placée dans une grotte située sous la croix du supplicié de Golgotha : 23 chromosomes X et un seul chromosome Y contre 23 pour un homme normal. Ce témoignage confirmé par l’examen de techniciens de Jérusalem en 1982, prouve que le sang du Christ n’est lui-même relié chimiquement à aucun héritage terrestre. Jésus-Christ propose donc universellement à tous les êtres humains de faire alliance avec lui spirituellement sur la simple base de la foi.

Mais faut-il encore bien comprendre ce qu’il appelle « la foi ». Car c’est déjà à ce niveau que ses élus minoritaires se séparent de la multitude des faux croyants. Et là, nous devons tenir compte du fait que le modèle de l’élu sauvé est la reproduction de son expérience terrestre. Jésus n’a-t-il pas dit : « Si quelqu’un veut me suivre, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive ». Ce verset élimine des multitudes de fausses conceptions religieuses chrétiennes. Et déjà en premier, la foi catholique romaine dont les doctrines contredisent et transgressent celles que Dieu a établies et approuvées. Et après elle, les multiples formes du protestantisme héritier de ses péchés.

Est-il facile de répondre convenablement aux deux conditions que Jésus présente pour le suivre ? Si l’on veut être honnête, disons franchement : Non ce n’est pas facile et pour certain, même impossible. Mais nous sommes naturellement doués pour attribuer aux autres cette impossibilité, à l’image du Pharisien qui priait debout et disait : « Oh Dieu je te rends grâce de ce que je ne suis pas pécheur comme les autres hommes…. ». Savons-nous réellement « renoncer à nous-mêmes » ? Sommes-nous prêts à nous « charger de notre croix », pour pouvoir suivre Jésus-Christ ? Nous le saurons quand la situation nous l’imposera ; uniquement là, et jusqu’à ce moment, c’est seulement en espérance que nous répondons à l’appel du Christ, conscients de toute notre faiblesse. Car l’espèce humaine entière souffre d’un grand défaut, un grand manque ; elle ne sait pas aimer comme Dieu aime. Et ce problème ne concerne pas que la religion, mais la vie civile également, celle des couples entre eux et envers leurs enfants. L’amour humain est le plus souvent égoïste et basé sur la satisfaction reçue. Celui (ou celle) qui aime est victime de ses sentiments parce que son ressenti personnel l’aveugle et le trompe. Appliquée à la religion, la chose est désastreuse. Ceux qui servent Dieu indignement sont aveuglés par le sentiment de sécurité que l’idée même de servir Dieu suscite en eux et elles. Pourtant dans son ministère terrestre, Jésus est venu montrer que le véritable amour consiste à faire plaisir à l’être aimé, en ce qui le concernait, Dieu le Père, en obéissant à sa volonté. Et c’est uniquement, en acceptant de renoncer à soi-même que cette volonté peut être satisfaite. La vie du Christ donne des exemples précis de ce type de renoncement. Il vit dans le ciel, sous le nom Micaël, heureux, comblé et honoré par ses anges fidèles. Mais le salut de ses élus terrestres exige qu’il renonce à cette vie dorée et paisible pour venir naître dans un corps humain en forme de bébé. Il va ensuite grandir dans d’humbles conditions puis entrer à 33 ans dans son ministère. Dès sa première intervention officielle dans la synagogue de Nazareth, il est méprisé et chassé. Néanmoins au fil du temps, son action se développe et prend une grande popularité qui irrite le clergé juif. Ses nombreux miracles y sont pour quelque chose car ses discours intriguent mais ne sont pas compris. Ses apôtres, qu’il a lui-même choisis, l’attristent par leur incrédulité et leur lenteur à comprendre. Et le pire arrive, au jour de sa mort ; Pierre le renie trois fois devant ses accusateurs et dix autres sont en dispersion et dans la peur, ils se cachent. Seul, Jean l’honore par sa fidélité et sa présence dans le sanhédrin où il est jugé. Cependant, Jésus ne peut pas être étonné par ces comportements, puisqu’il a lui-même inspiré à son prophète Daniel ces paroles, dans Dan.9:26 : « un oint sera retranché et personne pour lui … » selon la bonne traduction.

Je le dis à tous, et ces propos me concernent également. Nous avons encore devant nous, uniquement, six années pour apprendre à aimer Dieu comme il veut être aimé, car les épreuves qui sont devant nous vont se charger de révéler ce que nous sommes réellement.

Sur le plan charnel, les liens du sang favorisent les relations humaines mais n’évitent pas pour autant, les haines et les disputes familiales. Cependant en choisissant de faire respecter ce principe par son peuple Israël, Dieu a voulu lui donner les meilleures chances d’éviter le pire. Car là où ce lien du sang n’existe pas, les causes de mésentente se multiplient à l’extrême. Or, c’est bien le mélange des ethnies qui est à la base des conflits perpétuels qui se sont déroulés dans le monde occidental, particulièrement. En effet, le royaume de Rome a conquis les uns après les autres tous les pays occidentaux, jusqu’à dominer sur eux tous par le titre impérial.

Depuis 313 et jusqu’à notre temps, dans le camp occidental, en dépit des guerres incessantes, le faux christianisme, catholique romain et depuis 1844, protestant, a maintenu la cohésion des royaumes puis des nations formées après la Révolution française. La foi catholique romaine a été le ciment qui a maintenu les relations internationales. Et l’unité actuelle de l’Europe a encore été construite sur deux traités successifs de Rome. Aujourd’hui, les valeurs religieuses sont très affaiblies et les liens du sang, renversés et piétinés par le droit du sol. Ce principe fut adopté en France, en premier par le roi Louis X le Hutin pendant un court règne de deux ans en 1315. Après lui, ce principe fut confirmé et renforcé par le roi François 1er en 1555. En 1791, la loi du sang prévaut, mais ensuite, en 1804, Bonaparte lui ajoute un droit du sol partiel, en 1993, le droit du sol est obtenu par une demande écrite individuelle et en 1998, le droit du sol est appliqué systématiquement aux enfants nés en France de parents immigrés. Pour Dieu, les peuples de l’Europe maudite par lui, peuvent agir comme ils veulent, mais ils facilitent et favorisent les causes des troubles internes qui provoquent leur ruine et leur destruction. Ils s’ajoutent des problèmes au lieu de les éviter. Et la situation actuelle est aggravée par l’incapacité des peuples européens à contrôler les flux migratoires qui arrivent et s’imposent sur leur sol jusqu’à détruire leurs documents d’identité. Et pour expliquer cette situation, nous devons relever l’importance de la longue paix offerte aux nations européennes. Elles ont ainsi pu croire que le mélange ethnique ne pose pas de problème, mais elles ignorent que le Dieu créateur utilise ce mélange de religions et de cultures différentes comme une bombe à retardement qui explose à l’heure qu’il a fixée. Or, nous sommes entrés dans le temps favorable pour cette chose.

Le péché accompli en 313

 

Dans la journée du 8 Mai 2023, alors que je rédigeais l’étude précédente, l’Esprit de Dieu m’a inspiré une rectification importante au sujet du rôle du péché rattaché à la date 321. Cette nouveauté me fait aujourd’hui réaliser une chose sous estimée jusque-là dans mes études et mes explications prophétiques. Ceci, parce qu’au titre du message adventiste du septième jour que je porte et explique de plus en plus clairement, le message concernant la restauration du sabbat est resté, pour moi, fondamental.

Ce que l’Esprit ne m’avait pas permis de relever jusqu’à ce moment, c’est que le sabbat est utilisé par Dieu dans un but précis, pourtant déjà cité dans mes explications précédentes. Son rôle est clairement révélé dans ces textes d’Ezé.20:12 et 20 : « Je leur donnai aussi mes sabbats comme un signe entre moi et eux, pour qu'ils connussent que je suis YaHWéH qui les sanctifie. …/… Sanctifiez mes sabbats, et qu'ils soient entre moi et vous un signe auquel on connaisse que je suis YaHWéH, votre Dieu. » Le message divin est doublement confirmé, le sabbat est un « signe » de l’appartenance au Dieu créateur pour l’élu lui-même et son entourage humain. Sachant qu’il prophétise le septième millénaire au début duquel ses élus entreront dans l’éternité, le sabbat est donc « le signe » ou « le sceau du Dieu vivant » qui caractérise ses élus auxquels il le donne, parce qu’il les reconnaît dignes de son salut. Le point capital que nous devons relever dans ce verset est cette expression : « Je leur donnai aussi mes sabbats ». Le sabbat est avant tout autre chose, un don donné par Dieu à ses élus. Or, celui qui donne, peut aussi enlever ce qu’il donne, comme Jésus l’a justement enseigné dans Mat.13:11-12 et 25:29 : « Les disciples s'approchèrent, et lui dirent: Pourquoi leur parles-tu en paraboles ? Jésus leur répondit : Parce qu'il vous a été donné de connaître les mystères du royaume des cieux, et que cela ne leur a pas été donné. Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a. » La clé spirituelle révélée dans ce verset est si importante que Jésus la cite une seconde fois dans Mat.25:29, précisément, au sujet du mauvais serviteur de la « parabole » des « talents ». Subtilement, en langue française choisie par Dieu pour expliquer sa Révélation prophétique, cette divine parabole, le mot « talent » désigne en plus de la monnaie de ce nom de l’époque de Jésus, un don bénéfique artistique, manuel ou intellectuel, ou plus adapté dans le rapport avec Dieu, le don spirituel. L’interprétation de l’Apocalypse doit donc être faite sur la base de cet enseignement fondamental révélé par Jésus-Christ : « on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a ». Les conséquences de cette application sont énormes et il nous faut alors comprendre que le sabbat n’est abandonné sur l’ordre de l’empereur Constantin en 321 que par le désir de Dieu de le retirer et de l’enlever à une église mondaine qui, établie en 313 par l’arrêt des persécutions des Chrétiens, n’est plus digne de porter « le signe » de l’appartenance au Dieu créateur. Ceci conformément au principe : « mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a». Le sabbat est donc « ôté » par Dieu à l’église mondaine qui adopte des dogmes païens et qui va devenir en 538, l’église catholique romaine avec pour premier pape en titre, Vigile, l’intrigant ami de Théodora, l’ex-prostituée épousée par l’empereur Justinien 1er. Sous ce regard, l’abandon du sabbat n’est que la conséquence de cette autre action qui l’a précédé en 313 : l’accès libre à la religion chrétienne et l’apostasie généralisée qui en a résulté.

Dans sa parabole, Jésus ignore l’incroyant et ne donne en exemple que le croyant fidèle et le croyant infidèle ; il reste donc lui-même fidèle au principe binaire constant dans tous ses jugements : oui ou non, lumière ou ténèbres, vie ou mort …etc. Ces deux types de serviteurs ont des comportements opposés dans l’absolu dans l’usage de leur liberté. Le bon et fidèle serviteur sert Dieu au maximum de ses possibilités ; à l’inverse, le méchant et infidèle serviteur le sert à minima. C’est ce qu’enseigne l’usage qu’ils font du talent reçu par Dieu. Et en 313, la liberté favorise les fausses conversions des gens qui servent Dieu au minimum, donnant ainsi une norme « étiquette » à l’engagement chrétien.

Ce qui s’est accomplit en 313 s’était déjà accompli pour l’Israël charnel selon l’enseignement donné dans Ezéchiel 20 et plus particulièrement dans ces versets 10-11 : « Et je les fis sortir du pays d'Égypte, et je les conduisis dans le désert. Je leur donnai mes lois et leur fis connaître mes ordonnances, que l'homme doit mettre en pratique, afin de vivre par elles. » Dieu donne une priorité à « ses lois et ses ordonnances » ce que confirme le verset 12 qui suit il dit : « Je leur donnai aussi mes sabbats comme un signe entre moi et eux, pour qu'ils connussent que je suis YaHWéH qui les sanctifie. » Ensuite, dans le verset 13, Dieu confirme ce principe cité au verset 11 : « Et la maison d'Israël se révolta contre moi dans le désert. Ils ne suivirent point mes lois, et ils rejetèrent mes ordonnances, que l'homme doit mettre en pratique, afin de vivre par elles, et ils profanèrent à l'excès mes sabbats. J'eus la pensée de répandre sur eux ma fureur dans le désert, pour les anéantir. » Dieu révèle ensuite ce que fut sa réaction envers les coupables, dans les versets 24-25-26 : « parce qu'ils ne mirent pas en pratique mes ordonnances, parce qu'ils rejetèrent mes préceptes, profanèrent mes sabbats, et tournèrent leurs yeux vers les idoles de leurs pères. Je leur donnai aussi des préceptes qui n'étaient pas bons, et des ordonnances par lesquelles ils ne pouvaient vivre. Je les souillai par leurs offrandes, quand ils faisaient passer par le feu tous leurs premiers-nés ; je voulus ainsi les punir, et leur faire connaître que je suis YaHWéH. » Cette punition divine de l’apostasie se traduit dans l’ère chrétienne, dans Dan.8:12, par : «l’armée fut livrée avec le perpétuel à cause du péché » et dans Dan.7:25, par : « les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps et un demi-temps ». Dans ces deux versets, le verbe « livrée et livrés » place l’action sous l’initiative de Dieu. C’est lui, qui, souverainement, livre ou ne livre pas les saints fidèles ou infidèles à l’autorité romaine. Le même message est ainsi confirmé avec l’apport de la précision donnée au sujet du temps fixé par Dieu pour cet abandon des chrétiens infidèles : une année solaire + deux années solaires + une moitié d’année solaire soit, en tout : 3 ans et 6 mois de jours prophétiques soit, sur la base de douze mois lunaires de 30 jours par année, 1260 jours prophétiques d’années réelles situées entre 538 et 1798. Cet abandon par Dieu de l’église chrétienne au dirigisme cruel du diable était déjà le thème d’une menace divine citée dans Lév.26:18-19 : « Si, malgré cela, vous ne m'écoutez point, je vous châtierai sept fois plus pour vos péchés. Je briserai l'orgueil de votre force, je rendrai votre ciel comme du fer, et votre terre comme de l'airain. » Cette deuxième menace d’Ezéchiel 26 est mise en action dans l’ère chrétienne par la « deuxième trompette » d’Apo.8:8-9 : « Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer ; et le tiers de la mer devint du sang, et le tiers des créatures qui étaient dans la mer et qui avaient vie mourut, et le tiers des navires périt. » Ces choses se sont accomplies avec l’instauration du régime papal cruel et persécuteur à partir de l’année 538. Il nous faut relever que toutes les malédictions imputées au diable par les hommes sont, dans la Bible, toutes revendiquées par Dieu lui-même : « je rendrai votre ciel comme du fer ». Il est ainsi confirmé que Dieu utilise les services du diable pour punir et châtier les êtres humains coupables envers lui.

Par ces versets d’Ezé.20, Dieu dirige donc, notre attention sur cette date 313 en laquelle, n’étant plus persécutée, la foi chrétienne abandonne la norme de la vraie foi héritée depuis l’époque des apôtres évoquée, dans Apo.2:, sous le nom symbolique « Ephèse » ; selon le sens du verbe grec « éphésis » qui signifie : lancer. Or, Jésus s’adresse aux Chrétiens qui vivent à l’époque de Jean, le dernier apôtre survivant, vers 95 au début de notre ère. La doctrine de la vérité est encore reconnue, mais le zèle religieux est à ce moment-là, affaibli. Et Jésus en vient à cette époque, à menacer les vrais Chrétiens auxquels il dit aux versets 4 et 5 : «Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu as abandonné ton premier amour. Souviens-toi donc d'où tu es tombé, repens-toi, et pratique tes premières œuvres ; sinon, je viendrai à toi, et j'ôterai ton chandelier de sa place, à moins que tu ne te repentes. »  Jésus menace son Elue en lui disant : « j'ôterai ton chandelier de sa place ». Il agira ainsi conformément au principe « on ôtera à celui qui n’a pas ce qu’il a ». Et que représente le « chandelier » ? La lumière divine sanctifiée en plénitude soit, la lumière donnée par le Saint Esprit de Dieu à ses élus fidèles. Or, ce « chandelier », spécifiquement construit sur son ordre par les Hébreux, se composait de sept branches au sommet desquelles sept lampes à huile produisaient sept flammes de feu qui donnaient de la lumière. Sur le pied central, trois conduits superposés étaient raccordés à gauche et à droite à cette colonne centrale ; ce qui donne à cet assemblage la norme 3 + 1 + 3. Et c’est précisément, en date de l’année 313 que par le décret impérial de l’empereur victorieux Constantin le Grand, la cessation des persécutions des Chrétiens est établie dans tout son empire. Dieu met donc en application, en 313, à la fin de l’époque nommée « Smyrne », sa menace présentée dans le message adressé à « Ephèse ». Parce que cette fois, en s’ouvrant au monde païen non converti, la foi chrétienne ne peut plus se repentir. A l’époque « Ephèse », les Chrétiens haïssent avec Jésus « les œuvres des Nicolaïtes », nom construit sur les mots grecs « Niké » et « laos » qui signifient « Victoire » et « peuple », désignant ainsi, symboliquement, les Romains vainqueurs. Plus tard, à l’époque nommée « Pergame » qui doit être rattachée à la date 538, ces « Nicolaïtes » romains forment un rassemblement religieux ; celui du christianisme infidèle qui s’est développé depuis 313 ; comme le suggère Apo.2:15 : « De même, toi aussi, tu as des gens attachés pareillement à la doctrine des Nicolaïtes. » Depuis l’époque « Ephèse », les « œuvres » païennes des Romains païens ont été remplacées par une « doctrine » religieuse chrétienne également païenne. La malédiction divine frappe donc globalement toute la foi chrétienne influencée par l’autorité païenne de l’empereur Constantin, depuis 313, année où Dieu a retiré son Esprit saint de l’église chrétienne officielle usurpatrice. Nous trouvons là, l’application de la déclaration de Dieu citée dans Ezé.20:25 : « Je leur donnai aussi des préceptes qui n'étaient pas bons, et des ordonnances par lesquelles ils ne pouvaient vivre ». La chose est confirmée dans 2Th.2:9  à 12 : « L'apparition de cet impie se fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l'iniquité pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés. Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés ». Autrement dit, Dieu leur colle l’étiquette du dimanche, comme signe qu’il les rejette et les livre à Satan. Cependant, il reste pour sa gloire, quelques vrais élus qui lui restent fidèles, en ne se laissant pas influencer par l’apostasie de leur époque. C’est pourquoi, même en 538, Jésus trouve des élus auxquels il s’adresse par le tutoiement direct. Le message prend tout son sens, sachant que le trône de Rome a été méprisé et abandonné par l’empereur Constantin 1er qui lui a préféré la ville appelée « Milan », en laquelle il a établi ses décrets successifs de 313 et 321 auxquels nous devons rattacher ces deux événements dus à l’action et la souveraine volonté de Dieu : 313, l’Esprit se retire ; 321, le sabbat du septième jour, le « sceau du Dieu vivant » est retiré. Les mensonges religieux qu’Apo.13:1-5 et 6 dénonce comme « blasphèmes » sont, en 538, les « signes » de la nature païenne du faux christianisme établi depuis 313 : « Puis je vis monter de la mer une bête qui avait dix cornes et sept têtes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphème. …/… Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes ; et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois. Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel.». Et le repos du « jour du soleil invaincu » du premier jour, adopté le 7 Mars 321, officialise, simplement, au titre de « signe », la malédiction divine qui a commencé en 313. Et le jeu subtil organisé par l’Esprit se prolonge par ce nom de la ville de « Milan » qui confirme son lien spirituel avec les « mille ans » du septième millénaire que le sabbat enlevé préfigurait comme « signe » donné par Dieu à ses véritables saints et dignes élus. Ainsi, très logiquement, le sabbat était pratiqué par les apôtres et les vrais disciples ; en 313, Dieu le retire et il ne le restaure qu’en 1844, au mois d’Octobre, en le donnant aux premiers Chrétiens adventistes sélectionnés, au titre de « signe » de leur appartenance au Dieu créateur.

L’explication du développement de la fausse foi chrétienne est ciblée par Dieu d’une manière précise dans sa prophétie Apocalypse. Il définit le commencement de « l’adultère » spirituel des faux chrétiens au terme des « dix jours » prophétiques ou dix ans réels cités dans le message de « Smyrne » dans Apo.2:10 : « Ne crains pas ce que tu vas souffrir. Voici, le diable jettera quelques-uns de vous en prison, afin que vous soyez éprouvés, et vous aurez une tribulation de dix jours. Sois fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la couronne de vie. » Cette période de dix ans s’est accomplie entre 303 et 313 par les persécutions ordonnées par l’empereur romain Dioclétien et son gouvernement tétrarchique. Et cette date de 313 est une date très importante, puisqu’elle marque le moment où le diable change de stratégie pour lutter contre l’œuvre de Dieu. Mais qui organise ces choses ? Dieu lui-même. La persécution a fait ses preuves et selon le témoignage recueilli, « le sang des Chrétiens est une semence », plus on en tue, plus on suscite des vocations. En 313, à Milan, vainqueur contre la tétrarchie impériale, l’empereur Constantin 1er dit le Grand, met fin par décret aux persécutions qui frappaient jusque là, les Chrétiens serviteurs de Jésus-Christ. C’est cette paix humaine qui a fait en apparence, seulement, le plus de torts à la cause divine du christianisme. Car en réalité rien n’a changé ; les croyants sont restés croyants, et les incrédules sont restés incrédules, faisant un mauvais usage de la liberté obtenue. Et ceci pour la simple raison que n’importe qui a pu prendre une étiquette religieuse chrétienne. A l’image de la fausse conversion de l’empereur lui-même, il a suffit de prétendre être chrétien pour être reconnu comme tel par la communauté humaine. Le filtre de la peur des persécutions n’existant plus, devenir chrétien était à la mode du moment. C’est alors que les doctrines les plus diverses ont été répandues dans l’empire et que des querelles religieuses ont opposé les adeptes des doctrines entrées en conflits. Dans ce flot de théories mensongères, la sainte et pure vérité apostolique disparaissait totalement et devenait invisible ou presque. On peut alors comprendre pourquoi, l’empereur Constantin voulut imposer une unité religieuse pour faire cesser les querelles et les troubles dans son empire. Mais pour Dieu, la foi revendiquée sous de multiples formes était morte et sans valeur, les idéologues et leurs adeptes trompés étaient tous tombés dans « l’adultère » envers le vrai Dieu. C’est alors que, pour unifier son empire, en 321, le 7 Mars, l’empereur Constantin fait abandonner le repos du vrai septième jour pratiqué jusque-là par les vrais chrétiens héritiers des vérités apostoliques. Il le fait remplacer par le repos du premier jour, qu’en adorateur du « Soleil invaincu » païen, il honore déjà, personnellement, chaque premier jour de la semaine. Ce repos, situé sur le premier jour de la norme divine de la semaine, devient ainsi, par un décret impérial, « la marque » de son autorité humaine. Ce que nous devons comprendre, c’est que cette action a été dirigée par Dieu, qui a voulu enlever la sainte pratique du sabbat dans un christianisme souillé par le paganisme, chose qui l’en rendait indigne. Et de la même manière, à l’inverse, c’est lui qui va le faire restaurer dans l’adventisme du septième jour à partir du mois d’Octobre 1844 pour confirmer sa sanctification.

Ainsi, l’abandon et la restauration du sabbat ne sont pas les causes, mais les conséquences du comportement global des Chrétiens envers la sainte doctrine des vérités apostoliques héritées de l’ancienne alliance et de la nouvelle alliance. Sous cet angle, le sabbat « signe » d’appartenance au Dieu vivant,  selon Ezé.20:12-20, est logiquement retiré ou restauré par Dieu lui-même. Et l’empereur Constantin n’est plus que le moyen par lequel Dieu, le grand  Juge, fait exécuter sa divine décision. En toute logique, le repos du sabbat du septième jour et le repos du premier jour deviennent les signes distinctifs des deux camps opposés dans l’absolu : « le sceau du Dieu vivant » contre « la marque de la bête ».

La conséquence de cette remise en cause du rôle du sabbat est que dans Dan.8:12, l’expression « à cause du péché » ne désigne pas le seul sabbat mais le mépris pour toute ou partie de la sainte doctrine chrétienne dès l’année 313. Pour renforcer cette interprétation, relèves qu’à « cause » du même « péché », Jésus fait cesser son intercession désignée par le mot « perpétuel » ou « continuel ». Mais cet arrêt de son intercession va devenir historique et s’effectuer uniquement en 538, date de l’instauration du régime papal qui vient usurper et reproduire sur la terre, l’intercession que Jésus faisait jusque-là dans le ciel ; et cette intercession ne cesse que pour les faux Chrétiens, devenus majoritaires et dominateurs parce qu’ils ne voient que celle du pape, le nouveau chef terrestre de l’église chrétienne.

Nous avons donc trois dates qui marquent la progression vers le régime papal romain : 313, début du péché ; 321, retrait du signe d’appartenance à Dieu ; et 538, fin du « perpétuel » (sacerdoce) de Jésus-Christ. La construction de la prophétie passe sous silence la date 321 du retrait du sabbat et n’évoque que celles de 313 et 538. 313, pour la fin du temps « Smyrne », et 538, pour le commencement du temps « Pergame » qui signifie « adultère » ou plus précisément : mariage transgressé ; ce qui s’accomplit lorsqu’à travers le pape le faux christianisme catholique adore « le dragon » soit, le diable, qui lui donne « son trône  et une grande autorité » selon Apo.13:2 : « La bête que je vis était semblable à un léopard ; ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité. » Relève, cette subtilité divine : « la bête » est désignée comme étant le « quatrième animal » de Dan.7:7, car elle cumule les symboles des trois empires qui l’y précèdent : « le léopard, l’ours, et le lion ». De plus, l’Esprit nous suggère la succession historique de l’Europe papale à l’empire romain païen que « le dragon » symbolise dans Apo.12:3 : « Un autre signe parut encore dans le ciel ; et voici, c'était un grand dragon rouge, ayant sept têtes et dix cornes, et sur ses têtes sept diadèmes. » Il est lui-même rattaché au diable dans Apo.12:9. L’histoire confirme la succession de la Rome impériale et de la Rome papale qui a hérité de « son trône » installé à Rome. Car, depuis Constantin 1er en 313, Rome a été abandonnée par les empereurs successifs qui ont choisi de s’installer dans la partie orientale de l’Europe. Et ce n’est donc que par son régime religieux catholique romain perverti que Rome a conservé une influence dans l’empire jusqu’à l’instauration de son régime papal instauré en 538 avec l’accord et le soutien armé de l’empereur Justinien resté lui-même dans la partie orientale de l’empire.

L’action divine rattachée à la date 313 permet au diable d’adopter la stratégie de la ruse, celle du « serpent ». Il abandonne alors la stratégie du « dragon » qui persécute ouvertement les saints et cherche à obtenir par la contrainte leur abandon de la foi au Christ. Il ressort de ce constat qu’il fait appel à cette stratégie de la ruse trois fois dans l’ère chrétienne : une première fois en 313, une seconde en 538, et une troisième en 1844 où, après l’épreuve de foi adventiste, il multiplie les doctrines et les groupes des églises protestantes pour obscurcir l’aspect de la religion chrétienne ; C’est le sujet et le thème de la « cinquième trompette » d’Apo.9:1 à 13. Ainsi dans sa stratégie de « dragon », le diable retient les Chrétiens et s’efforce de les contraindre à renoncer à leur foi et à l’opposé, dans sa stratégie de la ruse, il les pousse dans l’engagement religieux. Plus ils sont nombreux, plus ténébreuse est la situation spirituelle ; et plus nombreuses sont ses victimes trompées. Mais déjà avant cela, pendant les Guerres de Religions, au 16ème siècle, il a inspiré un zèle guerrier combatif à des Protestants, les Huguenots calvinistes, que Dieu a jugés comme étant des « hypocrites ». Et là encore, plus ils étaient nombreux dans cet engagement, plus épaisses étaient les ténèbres qui masquaient les vrais serviteurs du Dieu de vérité caractérisés dans ce contexte par leur action pacifique et leur acceptation des mauvais traitements dont ils étaient objets de la part des ligues armées catholiques. L’apogée de ces persécutions a été atteinte sous Louis XIV qui a été inspiré par Dieu pour donner le nom de « dragons » aux militaires spécialisés pour chasser, dans les campagnes et les bois, les humbles serviteurs de Jésus qui se regroupaient pour vivre leur foi dans la clandestinité. Ce roi despote, orgueilleux, aveuglé spirituellement par Dieu, a permis aux élus de son temps, de comprendre que ses « dragons » œuvraient au nom du diable dont il était lui-même le serviteur fidèle et obéissant. Il fut ainsi, victime de son mépris et de son ignorance des révélations bibliques qui rattachent le symbole du « dragon » au « diable » en personne, mais aussi au « serpent » et au nom « Satan » dans Apo.12:9 : « Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. ».

L’importance que Dieu donne à cette date 313, que je regarde maintenant comme l’image d’un « chandelier » divin retiré par sa volonté, rend à Dieu la gloire d’être l’organisateur suprême de toute la vie humaine. Rien ne s’accomplit sans sa volonté, en bien comme en maux. Et ce verset d’Amos 3:6 le confirme en disant : « Sonne-t-on de la trompette dans une ville, sans que le peuple soit dans l'épouvante ? Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ? »  Nous lisons aussi dans Job 2:10 : « Mais Job lui répondit : Tu parles comme une femme insensée. Quoi ! Nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal ! En tout cela Job ne pécha point par ses lèvres. »

En résumé, cette nouvelle lumière, qui met en évidence le rôle prioritaire et les conséquences de la liberté religieuse obtenue par les Chrétiens en 313, ne change pas le jugement de Dieu révélé jusqu’à ce jour dans mes documents successifs. Cependant, Dieu y retrouve et confirme son rôle souverain d’organisateur suprême qui ne subit pas les événements, mais les contrôle et les organise souverainement. Et en 321, ce ne sont plus les saints infidèles qui abandonnent le sabbat, mais Dieu qui le leur enlève, parce qu’ils n’en sont plus dignes. Le péché reçoit alors un signe officiel qui l’identifie : le repos du premier jour de la semaine divine, le dimanche actuel, ex « jour du Soleil invaincu » imposé et décrété par l’empereur Constantin 1er ; le jour de repos honoré par les faux Chrétiens, mais dénoncé par Dieu, comme signe et « marque de la bête ».

Voici que pendant 40 ans, au service de Dieu et sous son inspiration, j’ai présenté le repos du sabbat comme étant l’unique cause des « sept trompettes » de la révélation Apocalypse. Aujourd’hui, la sanctification divine étant progressive, Dieu lève le voile qui masquait cette erreur. Ce que nous devons comprendre, c’est que pour Dieu la rupture de son alliance avec ses créatures repose sur le mépris humain témoigné envers la parole de Dieu globale sous toutes ses formes : la Torah, les Prophètes, les Evangiles, les Epîtres et l’Apocalypse. Et la réponse était déjà donnée par l’Esprit dans Apo.1:1-2 : « Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt, et qu'il a fait connaître, par l'envoi de son ange, à son serviteur Jean, lequel a attesté la parole de Dieu et le témoignage de Jésus Christ, tout ce qu'il a vu. »

Cette « parole de Dieu » a pris plusieurs aspects que Dieu a fait écrire au fil du temps afin que ces récits témoignent pour tout ce qui le concerne. Les cinq livres écrits par Moïse n’étaient que le commencement d’un témoignage recueilli au cours des deux alliances successives. Et la faute des nouveaux Chrétiens, qui ont adopté la foi chrétienne depuis 313, a été de sous-estimer le devoir d’obéissance aux choses écrites par les témoins historiques choisis par Dieu. Et cette faute du « commencement » est reproduite aujourd’hui, bien visible, sept ans avant le retour en gloire de Jésus-Christ soit, à la « fin » ; ce qui donne à l’expression « alpha et oméga » une nouvelle application prophétique qui concerne donc l’apostasie généralisée créée par la liberté religieuse, en 313, ce qui allait justifier le châtiment de la « première trompette » et en 1995, avant la « sixième trompette ». En fait, ces deux « trompettes » se ressemblent parce qu’elles ouvrent et referment le châtiment divin au caractère d’avertissement du même type de péché soit, l’apostasie généralisée et le mépris pour la vérité divine entière. Souverainement, au fil du temps, le grand Dieu créateur a éprouvé la foi des êtres humains en les soumettant aux persécutions puis en les livrant aux pièges de la liberté qui a causé la chute du plus grand nombre.

Il existe plusieurs raisons pour les hommes de garder le sabbat. Il peut être hérité, choisi par raisonnement intellectuel car, ordonné par Dieu, il est logique de le mettre en pratique. Et la troisième raison est que Dieu le donne en signe d’appartenance divine aux élus qu’il scelle de son divin « sceau ». Ceci me conduit à t’expliquer ce qu’est l’œuvre divine du scellage des élus ; le thème traité dans Apocalypse 7.

Le temps du scellage s’accomplit dans le « temps de la fin » qui lui-même porte deux sens complémentaires. Le premier sens situe ce « temps de la fin » entre 1844 et 2030 et concerne le temps du développement universel de la foi adventiste du septième jour. Et le deuxième sens est celui que Dan.11:40 définit : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires ; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. » Il couvre la période qui s’écoule entre 1995 et 2030. La prophétie annonce le châtiment de l’Europe infidèlement chrétienne par les Musulmans, les Africains et les Russes orthodoxes et musulmans. Mais le temps du scellage s’achève avant que cette action guerrière meurtrière s’accomplisse selon Apo.7:3 : « Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. » « La terre, la mer et les arbres », auxquels le « mal » doit être « fait », ont eux aussi un double sens littéral et spirituel, car « la terre » symbolise la religion protestante et « la mer », la religion catholique. Quant à « l’arbre », il symbolise l’être humain. Dans Ezéchiel 9, Dieu nous présente le principe du scellage qui fut appliqué avant la destruction de la nation Israël ; nous pouvons ainsi comprendre le sens et la justification de ce scellage qui s’appliquent au « temps de la fin » de la nouvelle alliance chrétienne, qui s’achève par le temps de l’adventisme du septième jour universel. Quel est donc le critère qui conduit Dieu à sceller, ou pas, ses appelés ? Ezé.9:4 nous donne une réponse précise : « YaHWéH lui dit : Passe au milieu de la ville, au milieu de Jérusalem, et fais une marque sur le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s'y commettent.» Et la mort frappe ensuite : versets 5 et 6 : « Et, à mes oreilles, il dit aux autres : Passez après lui dans la ville, et frappez ; que votre œil soit sans pitié, et n'ayez point de miséricorde ! Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes ; mais n'approchez pas de quiconque aura sur lui la marque ; et commencez par mon sanctuaire ! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. »

Dans ce contexte de l’ancienne alliance le signe qui protège est appelé « marque ». A l’opposé, dans Apocalypse le mot « marque » désigne le signe du dimanche romain, un signe de malédiction divine. De la sorte, Dieu nous permet de comprendre que chaque camp opposé porte une « marque » également opposée : deux jours de repos se font concurrence, mais ils ne sont pas égaux. Celui des élus et de Dieu est le sabbat « sanctifié au repos » par Dieu dès sa création terrestre, alors que l’autre n’est que le dimanche, le repos du premier jour de la semaine « consacré au repos » par les hommes. Cette différence entre « sanctifié » et « consacré » est des plus importante, car ces verbes impliquent deux autorités inégales ; celle du Dieu tout-puissant éternel, et celle de l’homme mortel. Il est important aussi de savoir que le dimanche a été défini en tant que premier jour de la semaine, pour la dernière fois, en 1980, dans le dictionnaire « Le Petit Larousse ». Dans sa version 1981, le dimanche est devenu « miraculeusement » le septième jour de la semaine. Une fois de plus, sous l’inspiration du diable et de l’accord de Dieu, en 1981, l’autorité humaine a enfermé l’humanité dans un piège mortel encore plus efficace pour la tromper et la perdre. Mais là encore, nous devons comprendre que cette initiative est venue de Dieu qui rend aveugles les voyants qui refusent de voir.

Quel est aujourd’hui notre « Jérusalem » ? L’Europe et le camp occidental prétendu chrétien. Vois-tu dans ses œuvres des « abominations » qui te font « soupirer et gémir » ? Si, oui, tu peux être scellé, si, non, tu ne peux pas l’être. Ensuite, qui est « le sanctuaire » de Dieu aujourd’hui ? Le sanctuaire fidèle concerne les élus, mais un autre sanctuaire, lui infidèle, désigne les juifs et les chrétiens rebelles déchus, la foi chrétienne tombée dans l’infidélité, dont « l’adventisme du septième jour » officiel, depuis 1994. Le sujet est des plus sérieux, puisqu’il conditionne la vie éternelle et la mort définitive.

Le capitaine Joseph Bates, le premier adventiste qui a adopté la pratique du repos du sabbat du septième jour au mois d’Octobre de l’année 1844, l’a reçu en rencontrant une femme baptiste du septième jour. Ce groupe des Baptistes du septième jour s’était séparé du groupe Baptiste qui observait le repos du premier jour hérité successivement du Protestantisme et du Catholicisme. A l’époque de cette séparation soit, avant 1844, le choix du sabbat n’apportait pas à ses pratiquants un avantage sur les autres formes du Protestantisme, parce que la mise en pratique du sabbat n’était pas encore exigée par Dieu. C’est son utilisation en tant que « signe » de son appartenance divine qui change son efficacité, en réponse à l’exigence divine exprimée dans son décret de Dan.8:14. Mais quelle est donc précisément cette nouvelle exigence ? Et sur quoi repose-t-elle réellement ? Une perfection de sainteté soit, l’achèvement de la sanctification de ses vrais élus. Que dit ce verset, quand il est traduit fidèlement à partir du texte hébreu original ? « Jusqu’à soir matin deux mille trois cent et sera justifiée la sainteté ». Ce mot « sainteté » désigne tout ce qui touche à Dieu soit, tout ce qui l’honore et fait sa gloire soit, ses lois, ses ordonnances, ses préceptes, ses commandements, son service et ses serviteurs. Au terme des « deux mille trois cent soir-matin », la justice du Christ qui permet l’accès à la vie éternelle ne sera offerte que sous de nouvelles exigences divines. Dieu, le Créateur de toute vie et chose, ne pouvait pas laisser l’humanité le frustrer de l’obéissance qui lui est due jusqu’à la fin du monde. Et le temps du scellage a été prévu pour lui permettre de sanctifier parfaitement un peuple dispersé sur la terre parmi toutes les nations. Il constitue dans cette dispersion son véritable Israël spirituel constitué de serviteurs et servantes circoncis de cœur. Si le sabbat reste invariablement saint par sa nature, l’homme qui le met en pratique ne l’est pas, lui, obligatoirement, et doit donc présenter les preuves de sa sanctification. Et la prophétie nous apprend que Dieu place en priorité, dans sa sanctification, l’amour pour lui et la norme de vie qu’il approuve et propose à ses élus. Or, ceux qui aiment ces choses espèrent le voir revenir et intervenir pour les mettre en action. C’est ce qui conduit Dieu à organiser les trompeuses attentes « adventistes » du retour de Jésus qui devaient mettre à l’épreuve les appelés du Christ trois fois; en 1843, 1844, et 1994. Ceux que le retour de Jésus-Christ réjouit sont aussi désireux de partager les secrets de ses révélations prophétiques présentées de façon hermétique par de nombreux symboles et images. Et cet intérêt est aussi prioritaire dans la sanctification qu’il exige pour ses élus. La sanctification est donc composée d’un ensemble de choses qui peut être résumé comme amour de la vérité, puisque cette vérité concerne tout ce qui concerne le vrai Dieu : sa personne, ses lois, sa justice. Le manquement à l’une de ces choses suffit pour disqualifier un appelé pour l’élection et le scellage. Car ce genre de manquement prend la valeur d’abomination pour Dieu. L’abomination est toujours illogique et donc mensongère soit, hostile et inadaptée pour plaire au Dieu de vérité. Au cours de l’ère chrétienne, la sanctification ne reposait pas prioritairement sur le sabbat et sa mise en pratique, mais depuis 1844, dans le temps du scellage, Dieu confirme la sanctification de ses élus en leur donnant le sabbat comme « signe » qu’ils lui appartiennent. Mais pour que ce sabbat soit pour eux le « signe » de leur appartenance à Dieu, ils doivent en être trouvés « dignes » en témoignant d’un amour parfait et complet de sa vérité, comme ce fut le cas des pionniers adventiste de 1843 et 1844, selon Apo.3:4 : « Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes ».

Le temps du scellage a donc, pour Dieu, le but d’achever l’œuvre de la réforme restée, inachevée, incomplète et imparfaite depuis le XVIème siècle. Pour être sélectionnés, ses élus doivent rejeter toutes les faussetés apportées par Rome dans la foi chrétienne apostolique originelle et principalement, parmi de nombreuses choses héritées du paganisme, le repos du premier jour, l’actuel « dimanche » qui est resté, pour Dieu, le jour dédié au « Vénérable Soleil invaincu » instauré par l’empereur Constantin 1er, en 321. Ce faux « jour du Seigneur », honoré chaque début de la semaine établie par Dieu, est pour lui rien d’autre que « la marque de la bête » qui désigne son ennemie Rome, et son tardif héritier, le Protestantisme. Ils doivent aussi savoir que par son deuxième commandement supprimé dans la version papale, Dieu a condamné les pratiques catholiques et orthodoxes du culte et de la prosternation devant des créatures reproduites en images taillées ou peintes. Ils doivent se séparer des croyances grecques qui justifient la vie après la mort que les démons diaboliques exploitent en animant eux-mêmes des manifestations des prétendus morts saints ou pas. Et parce que leur corps est un sanctuaire dans lequel Dieu vient les visiter, ils doivent manger le plus sainement possible et pour ce faire, manger ce que Dieu a déclaré pur et s’abstenir de tout ce qui peut les souiller.

Ce nouveau regard sur le sabbat permet de mieux comprendre la situation de l’année 1994 à la fin de laquelle, l’adventisme du septième jour institutionnel a été « vomi » par Jésus. C’est à cette date que, sans « l’esprit de prophétie », isolé, le sabbat a cessé de représenter le « signe » de son appartenance au Dieu créateur. Ceci, parce que son refus du « témoignage de Jésus » que je lui ai présenté l’en a rendu indigne. Or, jusqu’à son retour, un « signe » d’appartenance devait remplacer le sabbat et ce « signe » c’est le « témoignage de Jésus » soit, le don de prophétie qu’il donne comme un « sceau » divin aux serviteurs qu’il reconnaît pour siens. Ceci sur la base de ce verset de 2 Tim.2:19, qui concerne les serviteurs fidèles qui ont en eux l’amour de sa vérité : « Néanmoins, le solide fondement de Dieu reste debout, avec ces paroles qui lui servent de sceau : Le Seigneur connaît ceux qui lui appartiennent ; et : Quiconque prononce le nom du Seigneur, qu'il s'éloigne de l'iniquité ».  Et très logiquement, « ceux qui lui appartiennent » bénéficient de toute sa lumière prophétique, qu’Apo.19:10 nomme « le témoignage de Jésus » : « Et je tombai à ses pieds pour l'adorer ; mais il me dit : Garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Dieu. Car le témoignage de Jésus est l'esprit de la prophétie ».

Pour beaucoup d’Adventistes du septième jour, « l’esprit de prophétie » est resté rattaché à la seule œuvre portée par Mme Ellen Gould-White. Et c’est là une erreur aux conséquences tragiques, car « l’esprit de prophétie » désigne un principe perpétuel permanent qui veut que Jésus confirme entre 1844 et 2030 son choix de son prophète, en donnant à son « esprit » humain , par son Esprit divin, la capacité d’expliquer ses mystères révélés sous la forme cryptée ou codée. Car les prophéties ont été déjà toutes annoncées par les écrivains bibliques. Le seul travail qui restait à effectuer était de les décoder pour en découvrir clairement la signification. Et Ellen G.White se désolait en son temps de ne pas voir autour d’elle de l’intérêt pour les livres de Daniel et Apocalypse qu’elle disait contenir des informations d’importance majeure. Le temps a apporté des réponses pour ses interrogations, car depuis 1844 jusqu’à 2030, 186 ans la séparaient du moment du retour de Jésus-Christ. En conséquence, beaucoup de choses devaient encore se produire sur la terre des hommes, après sa mort, en 1915.

Les Adventistes du Septième Jour restés dans l’institution officielle doivent le savoir : cette « grande lumière » que je présente était annoncée par Ellen G.White, ma sœur en Christ, dans son livre « Premiers Ecrits » (Early Writings) dans le premier chapitre ayant pour titre « Ma première vision » ; la première que Jésus lui a donnée, en page 14, au dernier alinéa. Je cite ses paroles :

«  Mais bientôt quelques-uns se lassèrent et dirent que la cité était encore fort éloignée et qu’ils avaient pensé y arriver plus tôt. Alors Jésus les encouragea en élevant son bras droit glorieux d’où émanait une lumière qui se répandit sur les Adventistes. Ceux-ci s’écrièrent : « Alléluia ! » Mais certains d’entre eux repoussèrent effrontément cette lumière, en disant que ce n’était pas Dieu qui les avait conduits. La lumière qui était derrière eux finit par s’éteindre, et ils se trouvèrent alors dans de profondes ténèbres. Ils trébuchèrent et perdirent de vue et le but et Jésus, puis tombèrent du sentier et sombrèrent dans le monde méchant qui était au-dessous ».

Aux plus intelligents, je fais remarquer que la « grande lumière » donnée par Jésus-Christ devait répondre à l’attente prolongée de son retour et que cet encouragement du Seigneur ne pouvait qu’être construit sur la présentation d’une date fixant l’année de son retour. Ce fut le cas de la date 1994 que j’ai présentée à l’institution adventiste de la France. Ce troisième message vain proposé par Jésus-Christ était accompagné de la démonstration de la malédiction de la foi réformée protestante. L’acceptation de mon message aurait permis à l’institution, dans un premier temps, de ne pas faire alliance avec les ennemis de Jésus-Christ en 1995. Et dans un second temps, de partager avec moi et mes frères et sœurs depuis 2018, la connaissance de la vraie date du retour de notre divin et bien-aimé Sauveur soit, le printemps 2030 ; et toutes les perles de grand prix que je dépose chaque semaine dans cet ouvrage pour te nourrir spirituellement. Mais peut-on changer l’accomplissement de ce que Jésus-Christ a prophétisé à notre sœur Ellen G.White ? Nullement. Constate donc avec moi que la malédiction prophétisée contre les Adventistes incrédules s’est, bel et bien, accomplie comme notre Dieu l’avait prédit : « ils finirent par perdre de vue et le but et Jésus, puis trébuchèrent et sombrèrent dans le monde méchant qui était au-dessous » ; ceci, en entrant dans l’alliance œcuménique en 1995.

 

 

Cet Occident révélé impur

 

Il y a bien longtemps que Dieu a révélé le destin de l’Occident en lui donnant le symbole de l’impur dans ses prophéties du prophète Daniel.

Ce message était rattaché dans Dan.2 au « ventre et aux cuisses  d’airain » de l’empire grec. Dans Dan.7, le symbole de l’impureté était cette fois un « léopard » dont la robe est composée de « tâches ». Puis en troisième, dans Dan.8, le symbole du péché était encore plus précis, puisqu’il était imagé par un « bouc » dont l’attitude agressive et rebelle est bien connue de même que sa puanteur.

Et il faut le réaliser, tout notre Occident dominateur actuel a sa source et son modèle dans celui de la Grèce et particulièrement de sa ville Athènes, la première ville de l’histoire organisée sur le principe de la République. Ce fut la toute première démocratie dont le seul modèle comparable est aujourd’hui, la Suisse. A la fin de sa domination, l’empire grec a été conquis par les armées du peuple romain qui avait adopté lui aussi le régime républicain en – 510. Les Romains leur ont tout pris, leur culture, leurs divinités, et leur liberté. Les peuples de la terre avaient été déjà bien marqués et influencés par les normes de la vie de la civilisation grecque. Mais la chose s’est amplifiée par la puissance écrasante des troupes romaines. Et c’est ainsi que la France actuelle devint la Gaule gréco-romaine. Dans toutes ces successions de dominateurs, la norme « impure » de la Grèce antique s’est transmise dans tout l’Occident jusqu’à notre temps actuel.

L’Occident est fier de son type de société et a longtemps espéré l’étendre à la terre entière. Sur quelques points techniques et technologiques seulement, il y a réussi, mais il découvre aujourd’hui clairement la résistance des peuples longtemps dominés et exploités. Il est temps de réaliser avec l’Esprit de Dieu que ce modèle occidental est abominable, injuste, irréligieux et d’une rare perversité. Visiblement, Dieu a trouvé beaucoup mieux dans l’actuel Moyen-Orient. Réalise que dans Daniel 2, l’empire chaldéen du roi Nébucadnetsar est imagé par « l’or » et celui des « Mèdes et des Perses » qui lui succède, par « l’argent ». Sur quelles bases Dieu a-t-il fait porter son jugement ? Qu’avaient donc en leur faveur ces empires pour justifier d’être symbolisés par deux métaux « purs » ? Le livre de Daniel nous donne les réponses : les rois concernés respectent Daniel et son Dieu. Après un temps d’expériences, le premier, Nébucadnetsar, roi des Chaldéens finit par se convertir entièrement au culte du Dieu créateur. Il a fait, en son temps, ce qu’aucun roi, président, ou autre chef, ne fait en nos jours.  Le second exemple est celui des rois des Mèdes et des Perses. En premier, le roi Mède, Darius, âgé de 62 ans, s’empare de Babylone et donne toute sa confiance à Daniel. Après lui, Cyrus le Perse et sa dynastie, Darius le Perse agit de même jusqu’à Artaxerxès 1er qui achève de libérer les Israélites retenus encore en captivité en – 458.

Le Proche Orient, a vu se développer des civilisations raffinées, de bons goûts, et de bonnes mœurs. La Babylone construite par le roi Nébucadnetsar n’avait rien à envier aux plus belles villes de notre époque. La ville s’étendait sur une longueur de 40 kms de côté, sur une surface carrée. De hautes murailles l’entouraient sur le haut desquelles des voies permettaient à des chars à chevaux de se déplacer. Des jardins fleurissaient sur des terrasses élevées … c’était réellement une merveille dont, légitimement, Nébucadnetsar pouvait être fier. Le problème fut le degré de cette fierté qui devint de l’orgueil. Il méritait donc une leçon cuisante et Dieu la lui administra, en l’abêtissant pendant sept ans.

Il lui fallut cette épreuve pour découvrir sa faiblesse humaine personnelle, car Dieu lui avait déjà donné des preuves de sa puissance en sauvant de la fournaise ardente les trois compagnons de Daniel. Et à son tour, victime d’une manipulation de gens jaloux et pleins de haine envers Daniel, le roi Darius le Mède apprécie Daniel et découvre son Dieu qui le sauve des lions. Ces grands rois étaient honorés et faisaient preuve de beaucoup d’intelligence malgré leur réelle faiblesse humaine et leur héritage païen. Car étant eux-mêmes religieux, mêmes étant païens, ces rois étaient ouverts et tolérants.

A l’opposé, la foi chrétienne arrivée en Occident a été rapidement marquée par l’iniquité. Accaparée par l’Eglise de Rome, la vérité divine a pris l’apparence que le faux christianisme créé par l’empereur Constantin a voulu lui donner. Ensuite à la faveur de son pouvoir papal, elle l’a utilisée d’une manière superstitieuse et magique, en organisant ses messes en langue latine, exclusivement dans cette époque. Or, pour être suivie et mise en pratique, la vérité doit être entendue, ou lue, et surtout comprise par le candidat croyant. Or, au Moyen-Âge, l’Europe se caractérise par de multiples langues qui séparent les êtres humains contraints de se regrouper par royaumes, et plus récemment, en nations. Et les gens des pays ainsi formés ne comprennent pas le latin, sauf quelques cas particuliers. Les gens non instruits n’avaient donc aucun moyen d’identifier le mensonge que Rome leur présentait. Rare entre le 12ème et le 15ème siècle, au 16ème siècle, la Bible a été répandue, traduite en de nombreuses langues, mais là encore, l’iniquité est entrée dans ces traductions, en sorte que le mensonge peut être justifié sur des textes bibliques référencés. Sans contrôle avec la Bible en version hébreu ou grec d’origine, ces mensonges sont totalement ignorés. C’est pourquoi l’exhortation à la prudence adressée par Jésus à ses disciples prend tout son sens. « Soyez prudent comme des serpents » a-t-il dit. Et cette prudence paie, car nous avons relevé un grand nombre d’erreurs fondamentales, dans les traductions des Bibles les plus récentes. Peut-on nommer ces tromperies erreurs ? Il s’agit en vérité, de la conséquence d’une inspiration divine et diabolique qui a voulu donner au mensonge une autorité divine. Ces exemples des versets Actes 20:7 et 1Cor.16:2 en apportent une preuve indéniable. Dans ces deux versets, pour justifier le repos romain du premier jour de la semaine, le mot « jour », absent dans le texte original, est importé dans les textes traduits. Or, dans les deux cas, le texte cite « le premier sabbat » et non, le « premier jour de la semaine ». Ainsi, le culte du dimanche, le premier jour de la semaine, n’a aucun appui dans le texte biblique original en version grecque et c’est uniquement certaines versions anciennes de la Bible qui respectent le message initial écrit par l’apôtre Paul en langue grecque. Ces constatations confirment l’image révélée par Dieu dans Apo.9:11, où les mots « hébreu et grec » désignent la Bible que le diable fait utiliser pour « détruire » les espérances de ces malheureuses victimes. Ces deux exemples que je viens de citer expriment parfaitement l’iniquité dont le principe est de rendre un jugement faux en falsifiant les données réelles qui concernent la chose jugée. La justice humaine ou devrais-je dire, l’injustice établie par les hommes, fonctionne sur ce principe auquel les plus habiles avocats doivent leur succès et leur enrichissement. C’est là, ce qui rend la civilisation occidentale impure et inique pour le Dieu de vérité qui donne au diable la paternité du mensonge. Le mensonge civil est nuisible et désagréable, mais le mensonge religieux est un péché mortel qui ferme l’offre de la vie éternelle.

Parlant des serviteurs de Dieu ou de ceux du diable, Jésus a dit : « c’est à leur fruit que vous les reconnaîtrez ». Le fruit porté par l’homme est à l’image du fruit porté par un arbre fruitier soit, évident, mais évident seulement pour l’honnête serviteur de Dieu qui connaît Dieu et le fruit qu’il apprécie : l’amour de sa vérité et de sa personne. Personne ne peut rien pour la créature qui ne tient pas compte des goûts et des opinions de Dieu révélés dans sa sainte Bible entière. Il n’a pas prévu d’autre moyen que la Bible pour apprendre aux hommes à le connaître. C’est pourquoi, au temps favorable pour les persécutions, le diable a inspiré à ses serviteurs du régime papal le devoir de combattre la Bible et de punir de mort ceux qui cherchaient à en posséder une pour la lire, afin d’entendre les vraies paroles inspirées par Dieu au fil des siècles et des millénaires.

La France est restée marquée par la foi catholique romaine soutenue constamment par ses rois depuis Clovis 1er jusqu’à Louis XVI. Beaucoup de nos Français actuels ignorent ce que fut la Réforme protestante et pour nombre de journalistes, les mots « chrétien et catholique » ont la même signification. Comment pourraient-ils comprendre le statut spirituel des catholiques, des orthodoxes, des protestants, des anglicans et des adventistes qui se réclament tous du salut offert par Jésus-Christ ? Toutes ces revendications sont sans valeur pour Dieu, car pour lui, la seule chose qui compte, c’est que son élu aime faire sa volonté et qu’il prenne plaisir à lui obéir.

L’impureté occidentale a commencé par le mépris des faux chrétiens pour les ordonnances sanitaires enseignées dans le livre du Lévitique dans les livres de Moïse. Comme les païens, les faux chrétiens se sont crus autorisés à manger des choses que Dieu a déclarées impures : du porc, du sanglier, du lapin, du cheval, du canard, des anguilles, des crustacés, etc…, toutes choses impures par nature et par le rôle et la fonction que Dieu leur a donnés sur la terre, dans la mer ou dans l’air. Il est vrai que le choix alimentaire carnivore proposé par Dieu est réduit aux animaux domestiques déclarés purs : le mouton, le bœuf, et la volaille et les poissons porteurs d’écailles, mais n’oublie pas que son régime conseillé pour ses élus c’est le végétarisme ; de loin, le meilleur, parce que sans aucun inconvénient pour la santé humaine. Et en voici la preuve : mangeant des choses impures, Wicleff et Luther sont morts vers 60 ans, par contre, Pierre Valdo, végétarien et gardant le Sabbat, a vécu jusqu’à 87 ans, les trois s’étant endormis dans la paix du Seigneur, en échappant au martyre.

La rupture de relation avec le Dieu de la vie se traduit toujours par des débordements sexuels. La fornication est recherchée de manière naturelle par l’homme charnel. Seul son esprit peut freiner les besoins exprimés par son corps physique. Alors que les animaux sont programmés pour se reproduire, les lapins particulièrement, les hommes eux recherchent le plaisir dans leurs rapports sexuels. Et c’est tout naturellement dans le débordement et la perversité que sans aucun frein moral, l’homme fait aboutir le développement de la sexualité. Notre époque n’a rien inventé : les homosexuels, les transsexuels et les efféminés ont toujours existés, curieusement, juste avant de grands châtiments divins. Avant la guerre de 1914 et avant celle de 1939, la vie libertine coquine était en plein essor quand brusquement la guerre a fait mourir un grand nombre de personnes. Après cette guerre, un réveil sexuel s’est produit en France à partir de 1968. Derrière les barricades et lançant les pavés arrachés aux rues de Paris sur la police, une jeunesse étudiante survoltée et révoltée exprimait bruyamment et brutalement son grand désir de liberté anarchique et sexuelle. Rejeté, le président de Gaulle préféra démissionner et la jeunesse s’empara lentement, mais sûrement, du pouvoir, en exerçant sa pression sur les dirigeants politiques. Dans les années 70 à 80, la pornographie libérée est devenue une norme commune, et en 2013, malgré une forte résistance, le président Hollande légalise le mariage pour tous. Le but est de répondre à une demande pressante des groupes homosexuels « gays » et « lesbiennes ». Les « Gay Pride » se multiplient dans tous les pays occidentaux et plus personne ne trouve à redire contre ces énormes changements de valeurs. Sous ces termes anglais, les homosexuels revendiquent la « fierté » LGBT. Non contents de commettre des abominations, ils ajoutent l’arrogance de les revendiquer avec « fierté ». En fait, la situation occidentale actuelle reproduit celle qui prévalait juste avant le déluge, comme en témoigne Gen.6:5 : « YaHWéH vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. » ; ce que Jésus confirma selon Mat.24:37 et Luc.17:26 : « Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l'avènement du Fils de l'homme ». Le mal et l’impureté sont donc généralisés à un niveau très élevé. A ce haut degré de rébellion irrémédiable, il est donc temps pour Dieu de sévir et d’intervenir, le châtiment a même déjà commencé. Car il se trouve qu’en Russie ces choses sont très mal jugées et détestées, sans oublier l’islam qui voue une haine contre ces perversions ; les vengeurs de l’alliance de Dieu sont donc identifiés et confirmés dans Daniel 11:40 à 45 au « roi du septentrion » et au « roi du midi ».

En 2013, les religions catholiques et orthodoxes fêtent joyeusement le 1700ème anniversaire de l’édit de « Milan » de l’année 313. 17 siècles (chiffre du jugement divin) se sont donc écoulés depuis la date où le péché puni par Dieu par « sept trompettes » a été mis en action. Et en réponse, cette même année 2013, en Ukraine, une révolte populaire éclate sur la place Maidan à Kiev. Le président russe en poste est illégalement renversé et le nouveau pouvoir entre en guerre contre le Donbass peuplé de gens russes qui vivent dans l’Est de l’Ukraine. En 2014, le président russe Vladimir Poutine annexe la Crimée après un vote favorable de ses habitants. Etape suivante, élu en 2019, le jeune président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, demande à rejoindre l’OTAN, en 2022. Le 24 Février 2022, les armées russes entrent sur la terre ukrainienne. Le détonateur qui va conduire à la Troisième Guerre Mondiale a été actionné. La suite est révélée chaque jour dans les actualités rapportées par les journalistes envoyés sur les lieux du conflit inextinguible. Le péché de 313 fut puni par les barbares païens venus du Nord-Est de l’Europe de l’empire romain et les péchés que l’Occident commettait encore en 2022 (et encore aujourd’hui), depuis 2013, vont être châtiés par les mêmes, et en même temps, nouveaux, barbares russes, orthodoxes et musulmans, qui vivent encore au Nord-Est de l’Europe.

Le destin impur de l’Europe a trouvé son aboutissement dans son extension sur la terre des « Amériques » du Sud et du Nord. Je relève dans ce nom « Amérique » la racine du mot « amer ». Car les conquêtes de ces terres américaines ont été pour toute l’humanité des causes de profondes « amertumes ». Des peuples païens y vivaient en harmonie avec la nature et sous prétexte d’y apporter la foi, la religion catholique y a apporté ses lois injustes et ses abominations ; des multitudes d’êtres humains y ont été massacrées injustement et inutilement. Cette « amertume » s’est encore intensifiée quand on a découvert l’or des Incas, des Aztèques, du Pérou et les galions espagnols revenaient chargés d’or vers l’Espagne comme après eux les navires Portugais. Rapidement, les populations conquises devaient se convertir ou mourir et finissaient dans le service esclavagiste du conquérant. Quoi de plus « amer » que ces choses ?

A son tour, le continent américain du Nord a été envahi par les européens et en premier, les Anglais qui ont conquis le Canada puis le reste de ce continent Nord. Après une révolte due aux impôts levés par la « couronne », les Américains ont gagné au prix du sang leur indépendance en conservant pour langue officielle l’anglais. Mais la découverte de l’or a attiré sur son sol des multitudes venues de l’Europe et de l’Orient. Et une fois de plus cet or est devenu la cause d’une terrible « amertume » pour les amérindiens autochtones originaires du pays. Les blancs en multitudes équipées d’armes à feu, ont décimé les peuples rouges, en les privant de nourriture car depuis les trains qui traversaient le pays, des voyageurs prenaient plaisir à tuer les bisons qu’ils voyaient. Or, l’indien trouvait dans le bison, sa nourriture, son vêtement, et son toit qui n’était qu’une tente de forme conique. Les peuples rouges ont été regroupés dans des réserves de plus en plus réduites et ont presque failli disparaître entièrement, parfois victimes de couvertures empoisonnées offertes par les blancs.

L’Amérique du Nord, devenue les USA, a vécu le pire de l’amertume entre 1860 et 1865 avec la guerre fratricide de Sécession ; les Etats du Sud s’opposant aux Etats du Nord qui voulaient que l’esclavage des noirs soit aboli. La foi adventiste des Américains fut éprouvée et révélée en 1843 et 1844, juste avant les deux malédictions que représentent la découverte de l’or et la guerre de Sécession. Depuis quelques temps, elle était victime de la séduction démoniaque de la pratique du « spiritisme » importé depuis l’Angleterre. Et la dernière cause qui fait d’elle l’image même de « l’amertume », c’est son régime capitaliste encouragé par sa foi calviniste qui considère la richesse comme une preuve de la bénédiction de Dieu. Alors qu’il a fait écrire dans la Bible, dans  1 Tim.6:9-10 : « Mais ceux qui veulent s'enrichir tombent dans la tentation, dans le piège, et dans beaucoup de désirs insensés et pernicieux qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition. Car l'amour de l'argent est une racine de tous les maux ; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments. » Au temps de la fin, ce ne sont plus « quelques uns » mais des multitudes qui apparaissent « possédées par l’amour de l’argent ». Celui qui prend pour doctrine le principe de l’exploitation de l’homme voit sa richesse augmenter avec le nombre d’hommes exploités. Il est donc facile de comprendre que cet exploiteur souhaite exploiter la terre entière et tous ses habitants. Il ne saurait se contenter de moins que ce résultat. Cependant, l’exploiteur américain trouve en face de lui, l’opposition de gens qui refusent d’être exploités car ils préfèrent s’unir et gérer la vie collectivement. Ce choix est incompatible avec le but que l’exploiteur s’est fixé, il doit donc être détruit et anéanti à tout prix par les pires moyens. Ceci explique le partage de la terre en deux camps, depuis 1945 jusqu’à notre temps actuel. Et depuis le 24 Février 2022, la Troisième Guerre Mondiale préparée va permettre à l’exploiteur américain d’atteindre son but longtemps convoité, car l’arme nucléaire détruira ses opposants et toutes les nations libres et indépendantes. Il pourra alors, en « bête qui monte de la terre » officiellement protestante mais alliée au catholicisme, imposer sa loi et ses principes aux survivants des habitants de la terre. Hélas pour tous, sa loi religieuse est imparfaite et reproduit un héritage du catholicisme romain condamné par Dieu. Et c’est en voulant l’imposer aux derniers observateurs du sabbat qu’il va découvrir la vraie justice de Dieu qui le détruira, après l’avoir frappé par les « sept derniers fléaux de sa colère divine » durant l’année 2029.

Dans ce contexte final, le repos du sabbat du septième jour va tenir le rôle principal. C’est seulement en cherchant à imposer son « dimanche » par un décret universel que l’opposition du samedi et du dimanche prendra de la force et de l’évidence. Dieu va rendre visible et évidente une guerre sournoise masquée et ignorée pendant 17 siècles, entre 313 et 2013 ; une guerre spirituelle qui va se prolonger jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ. Les survivants de la Troisième Guerre Mondiale auront donc, pour la dernière fois de l’expérience humaine, la possibilité de choisir entre honorer Dieu ou honorer son ennemi, le diable, avec toutes les conséquences terrestres et célestes que portent les deux choix.

Dans cette dernière épreuve, le dernier camp pur s’opposera au despotisme du camp impur, et cette ultime épreuve de foi est prophétisée et annoncée dans Apo.3:10 : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. » La phase finale de cette épreuve est imputée à « la bête qui monte de la terre » dans Apo.13:15 : « Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. » Les mesures prises précédemment pendant l’année des « sept derniers fléaux » sont également cités dans les versets 16 et 17 qui suivent : « Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. »

La marque : le « dimanche », faux « jour du Seigneur » et ex « jour du soleil ».

Le nom de la bête : Titre revendiqué des papes catholiques romains inscrit sur leur tiare : VICARIVS FILII DEI soit, Vicaire du Fils de Dieu soit, suppléant du Fils de Dieu.

Le nombre de son nom : Apo.13:18 : « C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. » Total des chiffres latins du nom VICARIVS FILII DEI soit : 5+1+100+1+5+    1+50+1+1+    500+1  = 666.       

Dans notre époque, nous savons déjà quel camp terrestre puissant utilise le « boycott » commercial et financier contre ses opposants, religieux, économiques et politiques, notamment depuis 2022, contre la Russie et ses partenaires soit, le camp occidental impur conduit par les USA qui la sanctionne.

L’impur n’a pas toujours été la norme appréciée par les Français. Car en effet, en 1792, attaquée par les Autrichiens, la France révolutionnaire s’est dotée d’un chant national républicain composé par Mr Rouget de Lisle. Et on trouve encore aujourd’hui dans les paroles de ce chant patriotique les mots suivants : « qu’un sang impur abreuve nos sillons ». Qu’était donc ce sang impur à cette époque ? Le sang autrichien royaliste de l’agresseur. On comprend alors la haine meurtrière du peuple français dont le roi Louis XVI et la reine autrichienne Marie-Antoinette vont payer le prix, en perdant leur tête, avant que ne tombent après eux, celles des aristocrates, les seigneurs privilégiés de ce temps. Ce chant appelé la « Marseillaise » prouve que les premiers révolutionnaires français étaient de farouches nationalistes, jaloux de leur nationalité et de leur régime démocratique. Cette guerre révolutionnaire apparaîtra de nombreuses fois dans divers pays dans lesquels les moutons tondus se révoltent contre leurs bergers despotes. Car, quel que soit le régime qui dirige un pays, le mouton sera toujours celui qui est tondu. Ceci parce que en dehors d’une existence réglée par Dieu, les régimes politiques humains instaurent légitimement des injustices plus ou moins grandes, mais injustices tout de même. Héritier du péché, l’homme est incapable de faire régner la parfaite justice. La comparaison de la France de 1792 avec celle de 2023 témoigne d’un reniement de toutes ses valeurs originelles. Un seul point commun est à relever : son rejet de la religion. Sa situation s’est donc aggravée. La France de 2023 se glorifie de son mélange ethnique qui la rend impure. Elle ignore ou feint d’ignorer qu’elle a accueilli et nationalisé des populations musulmanes pour lesquelles le sens du sacré religieux est la première valeur. Après que la même chose ait provoqué une guerre meurtrière entre les Juifs et les Romains en l’an 66, il a suffit qu’un homme se permette d’uriner contre le mur d’une mosquée à Constantine en 1934 pour enflammer de colère la communauté musulmane locale et soulever d’indignation le reste des musulmans répandus dans le monde. Et à qui veut l’entendre, ils ne cessent de répéter : « Il n’y a de Dieu que Dieu et Mahomet est son prophète ». On peut alors apprécier la distance qui sépare ces gens des Français agnostiques ou athées qui les ont accueillis.

Reprenant le témoignage précédent, tu dois le comprendre, cela fait 17 siècles que l’Occidental urine sur le sabbat de Dieu. Car attribuer un caractère profane au septième jour qu’il a souverainement sanctifié dès le premier septième jour de sa création terrestre est immensément plus grave que le fait d’uriner contre le mur d’une mosquée. Considère donc la patience de ce Dieu tout-puissant qui a accepté cet outrage dans l’attente de la justification de toute sa sainteté en Octobre 1844. Cependant, Dieu n’est pas resté sans réagir devant cet affront ; il a envoyé sur l’humanité les fléaux de ses quatre premières « trompettes ». Et en sélectionnant un peuple, par les épreuves adventistes de William Miller, en 1843 et 1844, Dieu était en droit d’obtenir de cette église institutionnelle un service puissant et fidèle. Elle a été créée pour révéler aux hommes la nature maudite du faux jour du repos, le dimanche du catholicisme romain, ce qui condamne également le faux jour de repos que les Musulmans attribuent au sixième jour. Au début de sa création, bien avant les dissensions religieuses actuelles, Dieu a sanctifié au repos le septième jour et rien que lui. Le nom « adventiste » n’évoquait qu’un aspect de la sanctification de ce peuple, car Dieu lui a fait adjoindre les mots « du septième jour » afin de distinguer le jour de son repos hebdomadaire des autres églises chrétiennes qui honoraient et honorent encore, le repos du premier jour hérité de l’empereur Constantin par la volonté de Dieu, afin que leur rejet et leur condamnation soient rendus visibles. Or que se passe-t-il dans le jour du repos religieux ? Le peuple se réunit pour répondre à une convocation solennelle lancée par Dieu. Il est facile de comprendre que celui qui se trompe de jour, pour ce rendez-vous, n’entre pas en contact avec Dieu, mais avec le diable qui prétend au droit de le remplacer. Et lorsque le peuple n’a plus de relation bénie avec Dieu nous obtenons le résultat témoigné dans ce verset de Jér.14:19 : « As-tu donc rejeté Juda, et ton âme a-t-elle pris Sion en horreur ? Pourquoi nous frappes-tu sans qu'il y ait pour nous de guérison ? Nous espérions la paix, et il n'arrive rien d'heureux, un temps de guérison, et voici la terreur ! »

Ne trouve-tu pas que ce constat est également visible aujourd’hui, parce qu’il concerne les survivants des deux alliances, en Israël, et dans le camp de l’Europe occidentale et ses excroissances mondiales ? Oui, la même infidélité conduit Dieu à réagir de la même manière. Cette expression « et voici la terreur» est à relever, car sous ces termes nous avons vécu en France « la Terreur » révolutionnaire pendant une année jour pour jour du 27 Juillet 1793 au 27 Juillet 1794. Une année marquée dans l’histoire par une hécatombe, des rigoles de sang  s’écoulaient vers la Seine depuis l’échafaud où la guillotine décapitait machinalement les têtes des aristocrates condamnés par la justice révolutionnaire d’exception mise en place par le comité du salut public. Cette colère populaire n’était pas qu’humaine ; elle était avant tout divine et les hommes n’étaient que les instruments utilisés par Dieu comme « une épée vengeresse ». Ce que confirme Lév.26:25 reproduit par la 4ème « trompette » d’Apo.8:12 pour l’ère chrétienne. La haine soulevée contre l’église catholique et ses soutiens aristocrates était avant tout une haine divine. En une année, Dieu faisait payer les crimes injustes commis pendant des siècles et des siècles d’histoire sanglante envers lui et ses pauvres misérables créatures.

Après le châtiment de la 4ème « trompette », le régime républicain est passé sous le régime impérial de Napoléon 1er Bonaparte. Ses guerres menées contre les royaumes européens ont favorisé l’extension de l’idéologie républicaine, mais au prix d’un nombre considérable de morts humains. C’est alors que Dieu fait régner la paix religieuse universelle. C’est dans ce climat détendu qu’il organise le réveil adventiste, le premier prend entre 1825 et 1830, la forme de conférences organisées en Angleterre à Albury Park, sur ce thème du retour du Christ ; la reine de l’époque y a personnellement assisté. Les querelles religieuses ayant cessé, les esprits humains sont disponibles pour s’éveiller à la pensée du retour de Jésus-Christ. La conférence va se prolonger pendant cinq années consécutives et la troisième va confirmer la date 1828 obtenue par la fin des « 1290 jours » années cités dans Dan.12:11 : « Depuis le temps où cessera le sacrifice perpétuel, et où sera dressée l'abomination du dévastateur, il y aura mille deux cent quatre-vingt-dix jours. » Mais ce verset ne prend de sens que par les précisions données dans le verset 12 qui le suit : « Heureux celui qui attendra, et qui arrivera jusqu'à mille trois cent trente-cinq jours ! » Il est donc question d’attendre, mais attendre qui ou quoi ? Le retour de Jésus-Christ annoncé pour les années 1843 et 1844 ; donc un retour situé entre ces dates 1828 et 1873 qui désigne la fin des « 1335 jours ».

Le plan dressé par Dieu est des plus judicieux, car cette date 1828 rattache le sujet de « l’adventisme » à l’Angleterre, qui sans être clairement protestante, était anglicane, mais très attachée au texte de la Bible, contrairement à la France ou l’Allemagne de l’époque, pays fortement catholiques comme l’Italie et l’Espagne. Après cette expérience adventiste anglaise, l’œuvre et les épreuves adventistes devaient se développer aux USA entre 1831 et 1873, puis revenir en message missionnaire vers l’Europe et le reste du monde. Ce point est capital car Dieu fait de ce message adventiste une mission universelle qu’aucun pays ne peut revendiquer pour lui seul. Et là, tu dois savoir que l’adventisme officiel et institutionnel est dirigé depuis les USA où se trouve le siège du président mondial de l’œuvre. Or, l’organisation officielle m’ayant radié en 1991, mes explications du chapitre 12 de Daniel n’ont pas été reçues et le pire pour elle, c’est qu’elle ne dispose d’aucune explication pour le chapitre 12. En 1991, des théories désuètes dépassées étaient encore retenues traditionnellement pour les autres chapitres dont le 11ème.

Le message adventiste reste donc l’unique propriété du grand Dieu créateur qui sauve ses élus par Jésus-Christ. Mais l’Esprit du Christ les reconduit vers l’obéissance aux préceptes divins, car il les sauve, afin qu’ils ne pèchent plus.

En 1828, l’Angleterre anglicane était regardée comme « pure », comparativement aux autres pays de l’Europe catholique jugés « impurs ». Mais c’est seulement sur une terre réellement protestante au statut du « pur » que Dieu a fait accomplir ses épreuves sélectives adventistes. En 1863, les gens sélectionnés étaient regroupés en église et ont déposé le statut officiel de l’ « église adventiste du septième jour ». Et en 1873, la propagation de son message a été lancé par ses missionnaires sur toute la terre, partout où la chose était possible.

Au temps de Noé, les lignées pure d’Abel et impure de Caïn se sont mélangées selon Gen.6:2 : « les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu'ils choisirent. » Il en résulta une apostasie généralisée, la composante impure ayant corrompu la composante pure. Nous voyons que la même chose s’est produite dans notre monde entre 1828 et 2023 et déjà en 1994. La faute commise par « Laodicée » est son rejet de la lumière prophétique divine, Dieu l’a alors poussée dans les bras diaboliques de l’œcuménisme en « signe » qu’il l’a rejeté et « vomie » dès Mars 1995. La composante pure ne reste pure que si elle garde une distance avec la composante impure. La foi protestante n’avait aucune raison de faire alliance avec la foi catholique. Elle a fait cette alliance parce qu’elle a placé la prétendue « faute » envers l’homme au-dessus de la faute bien réelle commise envers Dieu. Dans ce comportement, la foi protestante a perdu la justification de son nom « protestant », car non seulement, elle ne proteste pas contre les péchés catholiques, comme ses pères l’ont fait avant 1844, mais elle ne proteste plus contre rien et à l’opposé, maintenant, elle légitime et accepte tout, même l’abomination. Ayant à son tour connu le même développement et la même transformation, l’église adventiste officielle était « digne » de rejoindre cette alliance protestante en Mars 1995. Le camp des religions impures est donc depuis cette date au complet.

Instruit de cette trahison adventiste, aussitôt radié par l’institution j’ai voulu proclamer ce message du véritable adventisme du septième jour que Jésus m’a donné de comprendre et à cette fin, j’ai organisé en l’année 1992, cinq conférences espacées dont la dernière fut présentée le samedi 22 Décembre 1992. Le résultat de toutes ses tentatives fut désolant mais extrêmement révélateur de la situation spirituelle de mon époque. Mes espérances trompées se sont envolées et j’ai compris que le mal était bien plus grand que je l’avais imaginé. En 1996, le sens de l’épreuve de 1991 à 1994 est devenu clair ; croyant annoncer le retour de Jésus-Christ pour 1994, le Seigneur des cieux m’a fait annoncer la date de la mort spirituelle de son assemblée officielle institutionnelle, la dernière de ce type, dans l’histoire de l’humanité. Je n’ai plus reçu de grandes lumières jusqu’au printemps 2018. Et très tôt, vers 2008, mes premiers compagnons d’œuvres se sont écartés de moi. Que Dieu les protège si cela reste possible ! Mais la chose s’explique facilement par l’écart de nos âges. Rejoins dans la soixantaine par des jeunes hommes d’à peine 30 ans, nos réactions n’étaient pas les mêmes, ces jeunes ne vivaient que par la passion de la nouvelle lumière, aussi lorsque le message fut compris et maîtrisé, l’arrêt de nouvelles explications a causé de la frustration dans leurs esprits affamés. Ils ont donc pensé pouvoir mieux faire que moi et se sont engagés dans des actions individuelles. Hélas pour eux, la lumière est redescendue en moi, en puissance et valeur à partir du printemps 2018, mais ils n’étaient plus avec moi pour l’apprécier.

Il ne faut donc jamais sacrifier la valeur pure pour faire plaisir à des gens qui ne sont pas sensibles à cette notion. La sanctification est plus qu’un mot, c’est un passeport pour le ciel. Elle consiste à construire l’élu en esprit et en vérité soit, ce qui entrera dans l’éternité de toute sa personnalité. Le corps physique restera sur la terre du péché, remplacé par un corps céleste comme celui des anges célestes de Dieu. Notre pensée restera la même, mais elle ne dépendra plus du fonctionnement de notre cerveau charnel actuel.  Dans son projet éternel, Dieu l’a prévu et annoncé, la création terrestre actuelle et ses abominations crées par l’homme du péché seront remplacées par « un nouveau ciel et une nouvelle terre » selon Apo.21:1 : « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. ». Il en sera de la terre ancienne comme d’un livre dont la page est tournée pour ouvrir une autre page vierge. Mais en attendant ces choses, sur la terre du péché, la guerre conduite par le camp impur du « dragon », contre le camp pur des véritables adventistes du septième jour « qui retiennent le témoignage de Jésus » va se prolonger jusqu’au grand retour glorieux du Christ de Dieu, qui revient en vainqueur et pour vaincre en « Micaël ».

 

 

Vrai ou faux ; vérité ou mensonge

 

Dans notre dimension terrestre, la nature du vrai et du faux et celle de la vérité et du mensonge sont définies de manière tranchante et catégorique. Notre esprit humain obéit à des lois intellectuelles qui font du faux le contraire absolu du vrai, et de la vérité, celui du mensonge. C’est sur notre terre, une logique nécessaire très utile et justifiée. Mais, sous le regard du Dieu créateur aussi éternel qu’illimité, ces notions peuvent devenir trompeuses. Et déjà, nous devons réaliser que Dieu n’est jamais soumis aux règles qu’il donne dans la vie des êtres humains. Ceux-ci sont limités par leur vue qui leur fait ignorer des choses qui existent mais restent pour eux invisibles. L’apôtre Paul a beaucoup insisté sur la comparaison du corps charnel actuel avec le corps spirituel de la résurrection que Jésus compare avec celui des anges.

Ignorant tout ce qu’il se passe dans cet éther invisible, l’homme considère comme vrai, ce que ses yeux voient et lui renvoient. Il en est de même pour chacun de ses sens. Mais ce n’est là qu’un petit aspect de ce qui est vrai. Car, le vrai complet exige de savoir ce qui est à nos yeux invisible. Jésus-Christ est venu ouvrir nos intelligences, afin que nous sachions que nos yeux nous trompent. Il a parlé à des esprits de démons, les a menacés et leur a ordonné de quitter les corps de gens dont ils avaient pris les commandes. Un monde satanique nous accompagne et inspire des dirigeants et des individus particuliers pour organiser des drames, des meurtres, des souffrances, individuelles et collectives.

Croyant voir, nous ne voyons rien ou que partiellement et dans ce cas notre jugement est faussé. Par exemple, dans notre actualité, les humains coupés de Dieu s’efforcent de remédier aux problèmes qui se présentent à eux. Certains de ces problèmes ont des causes faciles à identifier mais d’autres le sont beaucoup moins, parce qu’ils ont été construits sur une succession de causes et des nombreuses conséquences qui en résultent.

Sous la monarchie, le roi souverain régnait toute sa vie et pouvait retenir des leçons tout le long de son existence et les mettre à profit. Mais dans la vie moderne actuelle, dans laquelle le modèle est le président qui préside à la tête des démocraties nationales diverses, Le règne d’activité est beaucoup plus court ; quatre ou cinq années au maximum. Ces présidents momentanés n’ont pas le temps ni l’intelligence de rechercher les causes réelles anciennes des problèmes auxquels ils sont confrontés. En prenant l’image d’un navire dans lequel des trous dans la coque font jaillir de l’eau, il n’envoie pas le navire en réparation dans un chantier naval, mais se contentent de coller des bouchons pour colmater les trous qui font entrer l’eau.

En étudiant la prophétie biblique, Dieu m’a conduit à reprendre l’histoire humaine à sa source. Celle qui débuta par un péché mortel commis par Eve à cause de sa limitation visuelle. Elle ne vit pas le corps céleste de l’ange qui lui parlait par le corps du serpent. Le péché originel a donc été causé par l’incapacité d’Eve de voir la vraie situation de cette dramatique rencontre. Elle fut donc la première victime trompée par ses yeux avant les multitudes de sa descendance. Car, nous subissons tous, jusqu’à notre temps actuel, ce terrible inconvénient qui veut que ce que nous pensons voir n’est qu’une partie de la réalité.

Or, nous n’avons pas comme les anges la possibilité de passer de la vie céleste à la vie terrestre sous une forme visible ou invisible. Notre condition humaine nous enferme dans nos limitations établies une fois pour toutes, par Dieu. Et si Jésus-Christ n’était pas venu nous enseigner et nous mettre en garde contre la vie invisible des démons du camp du diable, nous ignorerions jusqu’à leur existence. Et maintenant, connaissant cette existence, nous pouvons mieux expliquer les phénomènes dits « paranormaux » relevés dans la vie humaine. En sorte que nous pouvons vraiment dire que tout mystère a son explication terrestre ou céleste. La révélation apportée par Jésus-Christ ne nous permet pas d’être égaux aux démons mais au moins de savoir qu’ils sont responsables de la guerre faite aux âmes humaines. Jésus n’a pas cessé de nous mettre en garde contre le diable et ses suppôts célestes et terrestres. L’apôtre Paul a fidèlement renouvelé ces mises en garde dans ses épîtres et aujourd’hui plus personne ne mentionne l’existence du diable alors que son activité atteint son apogée. Comment expliquer ce silence à son sujet ? Apo.12:17-18 nous donne l’explication : « Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s'en alla faire la guerre au reste de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui retiennent le témoignage de Jésus. Et il se tint sur le sable de la mer ». Il s’agit ici d’une version de la Bible L.Segond révisée par le groupe biblique Scofield. Dans certaines Bibles le verset 18 de ce chapitre 12 est placé en tête du chapitre 13. C’est une erreur qui fausse la logique de la révélation divine. Car ce court verset : « Et il se tint sur le sable de la mer », referme le déroulement des faits prophéties dans ce chapitre 12 que j’appelle le grand plan car il couvre tout le temps de l’ère chrétienne, depuis le temps de l’apôtre Jean, jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ. Cette formule décrit parfaitement bien notre situation spirituelle actuelle, puisque le diable dirige l’intégralité des institutions religieuses chrétiennes qui sont ici représentées symboliquement par l’expression « sable de la mer » ; ce symbole étant celui de la postérité d’Abraham selon Gen.22:17 : « je te bénirai et je multiplierai ta postérité, comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer ; et ta postérité possédera la porte de ses ennemis. » ; et de Gen.32:12 : « Et toi, tu as dit : Je te ferai du bien, et je rendrai ta postérité comme le sable de la mer, si abondant qu'on ne saurait le compter. » Et finalement, Israël, dans ce verset d’Esaïe 10:22 : « Quand ton peuple, ô Israël, serait comme le sable de la mer, un reste seulement reviendra ; la destruction est résolue, elle fera déborder la justice. » Ce « sable de la mer » symbolise donc toutes les populations du camp occidental chrétien dont la Russie orthodoxe. Le christianisme a remplacé le judaïsme, mais il achève sa course avec le même dramatique résultat ; coupé de Dieu et placé sous la direction du diable et de ses démons. Ignoré par les hommes, le diable ne reste pas inactif pour autant, car la paix civile et religieuse favorise le détournement des esprits humains vers des affinités et des activités destructrices. Avec ses multitudes de démons, il pousse les hommes à s’occuper l’esprit par toutes sortes de choses pourvu que ce ne soit pas leur avenir éternel. Et ce texte d’Apo.12:18 témoigne de sa grande efficacité puisqu’il dirige l’ensemble de l’humanité terrestre. Toutefois, « un reste », composé de « ceux qui retiennent le témoignage de Jésus », échappe à sa domination et ceci pour une raison prophétisée par Jésus-Christ dans Matt.24:24 : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus. » Ce reste final de ses élus trouve dans « le témoignage de Jésus », ses prophéties bibliques, la révélation des projets qu’il va accomplir dans les derniers jours de l’histoire du péché terrestre. Aussi, prévenus et mis en garde par l’Esprit qui prophétise ses annonces, ses élus sont protégés contre les pièges diaboliques les plus subtils ; le diable ne peut donc pas séduire les vrais élus de Dieu. Plus le temps avance et plus je découvre combien le récit de Matt.24 cible le moment de la fin du monde où il reviendra dans sa gloire divine. En effet, dans Matt.24:21, Jésus prophétise « la grande détresse » déjà prophétisée dans Dan.12:1. Compare ces deux versets ; Matt.24:21 : « Car alors, la détresse sera si grande qu'il n'y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu'à présent, et qu'il n'y en aura jamais. » Et Dan.12:1 : « En ce temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton peuple ; et ce sera une époque de détresse, telle qu'il n'y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu'à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. » Dans son annonce, Jésus rattache cette immense « détresse » aux circonstances de son retour. Cette « détresse » sera partagée par tous les survivants de ce moment unique. Pour les élus, elle sera causée par une dernière persécution ayant pour projet final, leur condamnation à mort. Pour les autres survivants, cette détresse sera due aux sept derniers fléaux de Dieu qui vont les frapper en s’ajoutant les uns aux autres ; après quoi, au retour du Christ les derniers croyants trompés découvriront avec horreur que le salut éternel est perdu pour eux. Il y aura donc un remède et une heureuse guérison pour les élus plongés dans la détresse, mais pour les autres cas, la mort éternelle est inévitable.

Ce qui semblait être vrai pour les déchus était donc faux et trompeur. A l’inverse,  le « reste » méprisé et moqué par les mêmes déchus pour leur foi arriérée conforme à celle des apôtres, est finalement sauvé et glorifié par Jésus-Christ. Dans ses prophéties, Jésus leur a révélé ce qui était vrai pour Dieu soit, sa vérité. Ils ont donc réussi à ne pas tenir compte des apparences trompeuses de l’existence humaine et à partager, avec Jésus-Christ, le projet qu’il a préparé pour eux. Pour l’homme incrédule, le vrai était faux et le faux était donc vrai. L’avantage des élus aura donc été de partager avec Dieu son vrai absolu.

Certains êtres humains se montrent incapables de suivre Dieu dans sa logique, parce que leur jugement du vrai et du faux sont trop tranchants et absolus. Nous savons que Dieu donne des lois et des règles auxquelles il n’est pas, lui-même, soumis, en personne. C’est donc son esprit qui définit les normes de la vérité et du mensonge ; et aussi celles du vrai et du faux. Le projet de vie préparé par Dieu reposait sur 6000 années d’expériences diverses qui devaient apporter la preuve que la foi est un fruit de la liberté donné par Dieu à toutes ses créatures célestes et terrestres. Ce fruit de la liberté est produit par le simple choix d’une créature, un choix qui fait sa nature et sa personnalité. En fait, toutes les créatures de Dieu sont créées avec les possibilités de faire des choix bons ou mauvais. Les élus font les bons choix et les déchus choisissent les mauvais. Mais là encore qui décide de donner la norme du bon et du mauvais ? Dieu notre créateur. La norme du bon consiste à honorer ce qu’il juge bon et la norme du mauvais, ce qu’il juge comme étant mauvais. Dieu a donné à l’homme, pour « bon », sa révélation biblique entière parce qu’elle témoigne et révèle son jugement sur d’innombrables expériences de vies individuelles et collectives.

Depuis le péché originel, le diable a œuvré pour séduire l’humanité et en 1655 après Adam, ayant perverti toute l’humanité de l’époque, Noé et sa famille exceptés,  Dieu suscita le déluge qui les fit tous périr noyés comme les autres animaux terrestres qui vivaient sur la même terre qu’eux. Après Eve, les antédiluviens furent tous victimes de leurs yeux, 1655 années de vie s’étaient écoulés sans que la terre soit recouverte par les eaux et devant cette fausse apparente sécurité, ils se sont endurcis et sont restés sourds aux avertissements donnés par Noé, le seul juste de l’époque. Et son témoignage était rendu « vrai » et recevable, parce qu’en plus de ses paroles, il construisait avec ses fils, en pleine terre continentale, un bateau, l’arche de Dieu. Mais, même cette action pratique ne servit à rien parce que son action semblait confirmer ce que les pécheurs pensaient être une « folie » particulière, mais pas dangereuse pour eux. Noé était dans le vrai selon Dieu, et ce vrai était pour ses contemporains le faux et la folie.

Au cours des « Guerres de religions », la Bible, les « deux témoins » silencieux de Dieu, a représenté le vrai selon Dieu et ceux qui l’ont compris ont pu découvrir à sa lumière la norme diabolique des régimes royaux mis au service du régime papal catholique romain. Les vrais et bons serviteurs y ont trouvé l’exemple des apôtres et celui de la vie et de la mort de Jésus-Christ. Entendant la leçon donnée par Dieu, ils les ont imités en se montrant pacifiques et dociles, acceptant le martyre quand Dieu le leur a demandé. Mais déjà, dans cette œuvre de la vraie Réforme organisée et voulue par Dieu, la fausse foi des « hypocrites » s’est manifestée ; facile à identifier par le comportement de ceux qui la représentent, car ils donnent à leur vie terrestre, une importance vitale qui les conduit à tuer eux-mêmes ceux qui les combattent injustement. A partir de cette époque, le camp du vrai se prolonge mais le camp du faux se multiplie, car le camp protestant se divise en de multiples groupes aussi imparfaits les uns que les autres.

J’ouvre ici, une parenthèse qui concerne les « deux témoins » de Dieu. Qui sont-ils ? Dieu le Père et Dieu le Fils, et c’est Jésus lui-même qui l’a enseigné dans Jean 8:17-18 : « il est écrit dans votre loi que le témoignage de deux hommes est vrai ; je rends témoignage de moi-même, et le Père qui m'a envoyé rend témoignage de moi. » Le « Père » représente Dieu dans l’ancienne alliance et le « Fils » représente le même Dieu dans la nouvelle alliance et ces deux rôles successifs historiques sont tenus par le même Dieu créateur, qui est Esprit et triplement Saint soit, Saint dans la perfection. Le livre Apocalypse constitue une Révélation suprême dont les auteurs sont encore « le Père et le Fils », et Jésus le rappelle en citant dans Apo.11:3 : les « deux témoins » de l’Esprit Saint. Car « le Père » a été l’inspirateur des saintes écritures de l’ancienne alliance, et de même, Jésus-Christ, « le Fils », est après lui l’inspirateur des écritures saintes de la nouvelle alliance. Dans son Apocalypse, Jésus insiste fortement sur ces termes « témoin, témoignage ». A Jean, il révèle que sa vision est le « témoignage de Jésus » dans Apo.1:2 : « … lequel a attesté la parole de Dieu et le témoignage de Jésus Christ, tout ce qu'il a vu ». Ce verset nous présente clairement les « deux témoins » divins inséparables et unanimes dans leur jugement des humains pécheurs. De plus, ils sont inopposables entre eux car ils sont conduits par un seul et même Esprit divin. C’est pourquoi, dans Apo.3:14 : Jésus se présente à sa dernière institution religieuse officielle soit, à « l’église adventiste du septième jour », au titre de « témoin fidèle ». « Laodicée » est l’époque marquée par mon ministère prophétique en laquelle Jésus prouve sa fidélité, en apportant sa lumière pour éclairer les mystères non encore compris ou mal interprétés de sa divine Révélation qui repose sur le livre de Daniel, du « témoin » de l’ancien alliance et sur le livre de l’Apocalypse qu’il vient éclairer au titre de « témoin » de la nouvelle alliance. C’est pourquoi, en refusant le message que Jésus lui présente entre 1980 et 1991, l’adventisme officiel commet, en 1991, le même type de péché que la religion catholique et, en 1843, la religion protestante. La Bible, sa divine révélation, et l’Esprit Saint, ont été méprisés ; la relation avec lui n’était plus possible : il l’a donc « vomie ». Quel est le rôle d’un témoin ? Il est à charge ou à décharge pour le pécheur soumis au tribunal de Dieu. Son rôle est donc d’une extrême importance. C’est pourquoi, pour chaque créature humaine, Jésus-Christ est soit procurateur accusateur, soit avocat de la défense. Et son jugement est juste sans aucune possibilité d’erreur. Car il ne se base pas sur des rapports, mais sur son constat personnel de la réalité des choses. Le Dieu créateur est à la fois, le témoin, le juge accusateur, l’avocat de la défense, et l’exécuteur de la sentence finale que personne ne peut tromper.

Je referme cette importante parenthèse et reprends le cours du sujet traité. 

En 1843, aux USA, Dieu reprend officiellement son autorité religieuse en s’apprêtant à révéler et dénoncer avec précision l’usurpation du régime papal  prophétisé dans Dan.7, 8, 9 et 11. Cette action vise à confirmer, ce que les Guerres de Religions ont démontré historiquement. A la fin du temps fixé par son décret de Dan.8:14, Dieu veut sélectionner des élus qu’il va rassembler dans une dernière institution religieuse chrétienne officielle en 1863. La Bible étant imprimée et largement distribuée et disponible en de nombreuses langues étrangères, l’épreuve adventiste la concerne encore une fois comme au temps de la Réforme. La leçon retenue par les vrais protestants, « l’Ecriture et l’Ecriture seule », va permettre à Dieu de faire reposer son épreuve adventiste sur les textes prophétiques qu’elle présente à ses appelés. Alors que la Réforme visait à définir les véritables conditions du salut, les épreuves adventistes ont, elles, pour but de sélectionner des appelés qui « attendent », réellement, le retour en gloire de Jésus-Christ prophétisé par lui-même dans Matthieu 24 et Actes 1:11 : « et dirent : Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l'avez vu allant au ciel. » Pendant longtemps, le temps fixé par Dieu pour l’expérience terrestre a été ignoré, aussi, dans ces circonstances, les hommes pouvaient espérer assister au retour du Christ n’importe quand, pendant qu’ils restaient en vie. La Bible n’offrait qu’une donnée approximative de 4000 ans, depuis Adam jusqu’à la naissance du Christ ; selon la croyance générale sur ce sujet. Le temps restant, depuis Jésus jusqu’à la fin du monde, était également ignoré ou déjà, estimé à 2000 ans en raison du développement historique de l’humanité. Mais en 1843, la chose n’est pas partagée encore suffisamment et sous l’inspiration de Dieu, William Miller, un fermier américain est convaincu que Jésus va revenir au printemps 1843. Relève déjà, que son grand désir du retour du Christ le rend digne de l’élection divine. De plus, Miller n’agit pas seulement à cause d’une inspiration divine mais à cause de convictions profondes qui l’habitent après des recherches et des études bibliques approfondies. Il incarne le portrait robot de l’élu type selon l’idéal que Dieu bénit. C’est ici que Dieu a recours à une stratégie pleine de sagesse, mais assez déconcertante pour les gens pleins de préjugés. Dieu n’a pas l’intention de revenir en Jésus-Christ dans cette date du printemps 1843. Comment, lui le Dieu de vérité, peut-il annoncer un mensonge ? Il le peut, parce que son annonce n’est pas un mensonge, mais une fausse annonce dont le but est de provoquer sur la terre des comportements humains conformes à ceux que produira son vrai retour. Dans l’Apocalypse, Dieu dit et répète l’expression « je connais tes œuvres ». Le Dieu des cieux doit tromper l’homme, pour que ses œuvres le justifient ou le condamnent devant la face de nombreux témoins invisibles, qui, eux, ne sondent pas les reins et les cœurs, comme seul Dieu peut le faire. Il doit donc contraindre les êtres humains à révéler, par des œuvres concrètes, les pensées secrètes de leur cœur et de leur esprit. En tant que ses créatures, nous n’avons pas le droit de juger Dieu et ses manières d’agir, pas plus que celui de discuter de l’obéissance ou de la désobéissance à ses ordonnances, ses statuts, ses lois, et ses commandements. On ne peut pas juger le Dieu qui établit les normes du bien et du mal. Et son utilisation du faux est légitimée parce que dans une période fixée par lui, ce faux constitue momentanément une vérité exigée par lui. Pour la pêche au poisson, l’homme en attrape avec des appâts artificiels, les poissons sont ainsi trompés et capturés, et bien le grand Dieu créateur en fait autant avec ses élus. Mais eux, il les sélectionne et les prend pour leur donner la vie éternelle en partage avec lui ; ce qui rend ses « faux » encore plus légitimes. En 1843, la foi protestante des Américains était d’aspects multiples et cette population donnait une grande valeur à sa terre conquise et arrachée au peuples indiens qui la peuplaient jusqu’à l’arrivée des étrangers venus du monde entier. La vraie foi était comme au temps de la Réforme et en toute époque, très rare. Dieu le savait et il devait en apporter la preuve. Dans ce but, il a organisé deux attentes « adventistes » successives, la première pour le printemps 1843 et la seconde, pour l’Automne 1844. Les deux attentes ont provoqué de terribles déceptions pour la poignée d’élus sélectionnés. Mais déjà, cette déception, témoignait de la force de l’espérance qui avait été le moteur de leur expérience adventiste. Car au même moment, au lieu de déception, d’autres se sentaient libérés et soulagés, l’épreuve ayant été vécue par eux, dans la peur de Dieu. Et là encore, le vrai visible devient le faux divin tout comme le faux visible, devient le vrai de Dieu.  Ceux qui pleuraient par déception étaient jugés par Dieu dignes de son élection, mais ceux qui étaient soulagés, perdaient la justice du Christ qu’ils revendiquaient. Il faut nous habituer à cette inversion des valeurs célestes et terrestres, car elles se prolongent perpétuellement jusqu’au vrai retour du Christ dont le temps fut longtemps caché et pourtant si simple à définir. Le vrai attaché faussement à la naissance du Christ était devenu le repère essentiel de la foi. Pendant presque deux mille ans, un faux calendrier a été tenu pour vrai à cause des héritages perpétuels de l’histoire. Dieu avait cependant veillé à ce que la date de la vraie naissance de Jésus ne soit pas identifiée clairement et maintenant, nous pouvons comprendre qu’elle était sans importance spirituelle. L’humanité a donné de la valeur à la fausse date de la naissance de Jésus-Christ parce que la date de sa mort était sous estimée par la fausse foi. Les incrédules favorisent la vie contre la mort, comme les Huguenots armés de la Réforme protestante. Et ceci explique pourquoi, les Chrétiens ont toujours dû ignorer la date de son retour glorieux. La terre porte en elle-même ce paradoxe : elle devait porter la vie mais prophétisait la mort par de nombreux principes qui la caractérisent. Aussi, avec du recul, nous pouvons relever le fait que notre dimension terrestre a été créée pour que le péché et sa conséquence, la mort, soient rendus visibles et concrets. Le but étant après l’organisation de ces choses, le rachat des péchés des élus effectué par la mort expiatoire volontaire de notre divin Frère et Père, Jésus-Christ, forme humaine messianique du grand Dieu créateur YaHWéH.

En 1994, le test de foi s’est déroulé dans Valence sur Rhône, dans le fief historique adventiste de la France. 150 ans après le test de 1843, la foi adventiste était devenue semblable à celle des Protestants rejetés par Jésus depuis 1843 et 1844. Baptisé en 1980, j’ai annoncé le retour du Christ, après William Miller. Le contexte de mon époque rendait possible la venue du Christ pour l’année 1994 qui retardant de six années au niveau de la vraie naissance du Christ, représentait le véritable an 2000 qui devait, selon mes calculs, marquer la fin de 6000 ans de péchés terrestres. Les 34 chapitres de Daniel et Apocalypse étaient entièrement décryptés et expliqués. Le vrai compris et expliqué avait la forme de la vérité divine. Le retour du Christ était défini par la date du terme des « cinq mois » ou 150 années réelles citées deux fois dans Apo.9:5 et Apo.9:10. Mais j’ignorais que comme William Miller en son temps, j’étais partiellement aveuglé par l’Esprit divin, afin d’assurer la mission qui m’était confiée par Dieu, lui-même. Mon attente du retour de Jésus n’a pas pris la forme de la terrible déception ressentie par les élus de 1843 et 1844. Ceci, parce qu’au contraire d’eux, je savais qu’avant le retour de Jésus nommé « septième trompette » dans Apo.11:15, la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale devait s’accomplir. Je suis entré dans l’Adventisme institutionnel en 1980, libre dans ma pensée et ma connaissance de la Bible étudiée dans la solitude. Ma compréhension de la prophétie remettait en question les interprétations formulées depuis 1840. Les événements accomplis depuis cette date justifiaient donc ces remises en cause, une mise à jour s’imposait donc pour que le message délivré par Dieu devienne clair et précis. Dans tout ce que je présentais à mes frères et sœurs adventistes tout semblait bon, et vrai. Pourtant, dès 1991, la présentation de ma vérité a dérangé les dirigeants de l’institution qui a fini par organiser ma radiation. C’est donc en adventiste dissident que j’ai franchi l’année 1994 en laquelle j’attendais toujours la « sixième trompette », pas le retour de Jésus-Christ. C’est alors qu’en 1996, Dieu m’a permis d’identifier l’erreur qui m’a permis d’annoncer le retour de Jésus-Christ pour 1994. Un verbe, un seul verbe changeait tout le sens de la « cinquième trompette » et du temps des 150 ans qu’elle évoque. Cette période pouvait insérer l’action de la « sixième trompette » où Jésus donne l’ordre de « tuer le tiers des hommes » parce que dans la « cinquième trompette » dApo.9:5, l’Esprit dit par Jean : « Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois ; et le tourment qu'elles causaient était comme le tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme. » La guerre tueuse pouvait donc s’accomplir pendant ces 150 années où il n’est pas permis « de tuer » physiquement mais seulement « de tuer » spirituellement les âmes humaines en les séduisant par les mensonges hérités de l’église de Rome, mais repris et enseignés par les groupes protestants. En fait, l’autorisation de « tourmenter » donnée dans cette période désigne une mort encore plus grave que la première mort, parce qu’elle concerne la « seconde mort » qui sera vécue dans les « tourments dans l’étang de feu » du jugement dernier, selon Apo.14:10 : « il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau ».     

Note dans ce verset la formule « lui aussi ». Elle suggère une menace pour l’Adventisme destinataire de la mission que Dieu lui confie. En effet, dans son message, Dieu révèle le sort destiné aux rebelles de la foi catholique. L’expression « lui aussi » est adressée en premier à l’intention des rebelles protestants, mais aussi en second, aux rebelles adventistes abandonnés ou « vomis » par Dieu depuis 1994.

Ainsi la mort de la « cinquième trompette » concernant la seconde mort, une mort spirituelle, l’ordre « non de les tuer » physiquement trouve son sens qui est spirituel.

Dans cette expérience très particulière, Dieu m’a permis de voir uniquement ce qu’il voulait que je voie ; exactement comme il l’avait fait en son temps pour William Miller. Et je voudrais bien connaître l’être humain qui pourrait prétendre se soustraire à la maîtrise divine. J’ai eu ensuite le privilège de comprendre la raison de cet aveuglement partiel et j’ai reçu du Seigneur d’autres révélations encore plus importantes. Dieu m’a ainsi appris à comprendre la subtilité des choses qu’il organise, souverainement, et qui révèle toute sa sublime sagesse que les anciens nommaient « sapience ».

Ce témoignage a pour but de te permettre de comprendre que Dieu a toujours raison, quoi qu’il dise ou quoi qu’il fasse. Aucun joueur d’échec n’a sa chance avec lui. Il construit ses actions sur une multitude infinie de combinaisons et de successions de causes et d’effets qui le rendent extraordinaire. Mais c’est au sujet du vrai et du faux qu’il peut étonner le plus, les hommes. Parce qu’il est lui-même « la vérité, le chemin et la vie éternelle ». Je relève avec délectation la subtilité de Dieu qui piège et révèle la fausse foi adventiste par une fausse annonce du retour du Christ, tout en se présentant à cette église pour cette expérience, sous le nom du « témoin fidèle et véritable » selon Apo.3:14 : « Écris à l'ange de l'Église de Laodicée : Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu : » Cette « fidélité véritable » est la part de ses élus qui l’honorent en retour en « témoins fidèles et véritables ». Dans ce verset le mot « Amen » signifie : en vérité. Mais il suggère aussi, la fin d’une relation avec l’institution destinataire car l’expression ponctue une prière ou une lecture biblique. En se désignant comme « le commencement de la création de Dieu » à l’heure où il vomit sa dernière institution, Jésus referme 6000 ans de sélection de ses élus. Il nous rappelle ainsi l’importance du récit de la Genèse dans lequel Dieu témoigne de sa création du ciel et de la terre et de tout ce qu’ils contiennent en 6 jours de 24 heures soit, 144 heures suivies de son repos prophétique du septième jour retiré par Dieu de la pratique chrétienne païenne en 321. Car sa disparition en témoigne, il accuse toutes les institutions religieuses chrétiennes de pécher contre lui, en sorte qu’elles sont indignes de son repos sabbatique prophétique.

Dieu a organisé l’aspect religieux des peuples de la terre pour que son jugement apparaisse sous sa forme la plus simple et la plus claire ; ceci afin que tout être humain du plus humble jusqu’au plus grand puisse en prendre connaissance.  L’unique condition qui permet cette connaissance est de prendre la sainte Bible, sa divine parole inspirée comme base et support de sa norme du vrai et du faux, de la vérité et du mensonge. Car sans cette base, tout peut prétendre à la légitimité. C’est à cause de l’absence de cette Bible dont le contenu était ignoré par les populations que les régimes romains impérial et papal successifs ont réussi à donner au christianisme ses aspects pervers les plus différents ; ceci conformément avec ce verset de Pro.29:18 où l’Esprit nous dit : « sans la loi, le peuple est sans frein ». Les querelles religieuses doctrinales opposaient les Chrétiens qui tombaient dans l’apostasie ; ceci, parce que n’ayant pas su tenir compte ou ignorant les vérités posées par l’ancienne alliance juive, ils ont fait entrer des dogmes païens dans la religion chrétienne. Dans ce mélange de sacré divin et de profane païen, le christianisme était devenu la pire forme des puissances des « ténèbres ». Celle où selon Jésus-Christ « la lumière devient ténèbres » ce qui le conduit à dire dans Mat.6:23 : « Si votre lumière est ténèbres, combien seront grandes ces ténèbres ».

Cette situation prévaut de nouveau aujourd’hui car comme en 313, elle est la conséquence de la paix religieuse et de la liberté obtenue par les peuples d’origine chrétienne. Nous constatons de nos yeux, ce que devient l’humanité « sans frein et sans la loi divine ». Mais le mensonge étouffe encore plus la vérité en notre époque parce que le développement de la technologie numérique permet de falsifier des enregistrements sonores ou visuels. Le vrai et le faux ne sont plus aussi identifiables qu’ils l’étaient avant cette évolution technique. En conséquence, l’humanité actuelle est placée dans des « ténèbres » qui n’ont jamais été aussi « grandes » depuis Adam et Eve.

Cette étude donne à l’Esprit l’opportunité de me révéler une nouvelle perle qui entre dans mon écrin prophétique.  Car elle souligne l’importance majeure et vitale de la Bible cette parole divine recueillie au cours des 15 siècles de l’histoire de l’ancienne alliance et du premier siècle de notre ère chrétienne à la fin duquel l’apôtre Jean a reçu sa vision nommée « Révélation » soit, sous son nom grec obscur, « Apocalypse ». C’est sur ce dernier témoignage que Dieu achève la rédaction de sa sainte Bible. Avec ces « 16 siècles », le nombre « 16 » reçoit une signification précise qui le rattache à la sainte Bible, la Parole de Dieu écrite. Sa diffusion imprimée est aussi rattachée au « 16ème siècle » et ceci donne à Apo.16 sa signification ; son thème est celui du temps des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » qui a pour cibles, les croyants qui méprisent la sainte Bible en désobéissant à la volonté de Dieu qu’elle révèle. Ce chapitre 16 de l’Apocalypse cible donc le mépris témoigné envers la sainte Bible par les derniers rebelles. Et nous devons retenir le fait que les bases posées par la foi protestante gardent leur importance jusqu’à la fin du monde selon l’expression qui exprime sa position doctrinale originelle « l’Ecriture et seulement l’Ecriture » soit, en latin de l’époque du 16ème siècle, « sola scriptura ». C’est d’ailleurs ce que Jésus enseigne dans Apo.2:25 en disant : « seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. » Note encore que la construction des USA protestants, cibles de la dernière colère divine, a commencé par la découverte de l’Amérique et l’immigration des premiers Protestants et Anglicans venus de l’Europe sur le bateau nommé le « May Flower » au 16ème siècle.

La Bible regroupe donc les écrits inspirés par Dieu au cours de 16 siècles et ce chiffre 16 donne son sens au « mille six cents stades » de « l’étendue », d’Apo.14:20 : « Et la cuve fut foulée hors de la ville ; et du sang sortit de la cuve, jusqu'aux mors des chevaux, sur une étendue de mille six cents stades. » Ce verset trouve son explication dans Jacques 3 dont le premier verset dit : « Mes frères, qu'il n'y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se mettent à enseigner, car vous savez que nous serons jugés plus sévèrement. » Les « raisins » de la « colère divine » sont rassemblés dans « la cuve » de sa « vendange » étant trouvés dignes d’être « jugés plus sévèrement », parce qu’ils ont été des enseignants religieux indignes. Et c’est dans Jac.3:3 que l’Esprit leur donne l’image des cavaliers qui dirigent les « chevaux » par le moyen du « mors » placé entre leurs dents : « Si nous mettons le mors dans la bouche des chevaux pour qu'ils nous obéissent, nous dirigeons aussi leur corps tout entier ». Dans cette image que désigne « le mors » ? L’autorité divine réelle ou prétendue. Le « mors » établi par Dieu a été remplacé par la Rome papale par le « mors » des dogmes païens et en prétendant qu’il représente Dieu sur la terre, le pape a donné au diable la possibilité de prendre toute l’humanité chrétienne sous son contrôle. Le vrai « mors » a été remplacé par le faux « mors », mais qui est l’auteur de cette action ? Dieu et lui seul. Car c’est lui qui a enlevé, la Bible et a livré l’humanité infidèle au diable et au paganisme papal romain. Ne l’oublie pas, pour Dieu « l’homme n’est qu’un souffle » qu’il soumet à sa volonté qui consiste à bénir des fidèles et à maudire toujours plus les infidèles. Le régime papal est une création de Dieu dont le but est de rendre la vie des chrétiens infidèles encore plus terrible. Une autre explication fait du cavalier, le diable lui-même, de « la bouche des chevaux », les papes successifs et après eux, les pasteurs « faux-prophètes » du protestantisme déchu depuis 1843, et du « corps des chevaux », les populations séduites et trompées. Cette interprétation est d’ailleurs plus conforme au rôle de la « bouche » que Dieu impute au régime romain dans Dan.7:8 : « Je considérai les cornes, et voici, une autre petite corne sortit du milieu d'elles, et trois des premières cornes furent arrachées devant cette corne ; et voici, elle avait des yeux comme des yeux d'homme, et une bouche, qui parlait avec arrogance. » ; et dans Apo.13:5-6 : « Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes ; et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois. Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. » Pour un enseignant religieux, catholique, orthodoxe, ou protestant, la « bouche » prend un rôle essentiel que Jac.3:10-11 souligne avec intérêt : « De la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction. Il ne faut pas, mes frères, qu'il en soit ainsi. La source fait-elle jaillir par la même ouverture l'eau douce et l'eau amère? » Jacques 3 nous dresse un portrait robot de ce que va devenir en son temps le régime papal romain et celui de la fausse foi protestante du temps de la fin, et Dieu utilise ces clés pour illustrer la religion catholique papale romaine dans la « troisième trompette » d’Apo.8:11 : « Le nom de cette étoile est Absinthe; et le tiers des eaux fut changé en absinthe, et beaucoup d'hommes moururent par les eaux, parce qu'elles étaient devenues amères. » Jacques 3 précise encore dans les versets 12 à 16 : « Un figuier, mes frères, peut-il produire des olives, ou une vigne des figues ? De l'eau salée ne peut pas non plus produire de l'eau douce. Lequel d'entre vous est sage et intelligent ? Qu'il montre ses œuvres par une bonne conduite avec la douceur de la sagesse. Mais si vous avez dans votre cœur un zèle amer et un esprit de dispute, ne vous glorifiez pas et ne mentez pas contre la vérité. Cette sagesse n'est point celle qui vient d'en haut ; mais elle est terrestre, charnelle, diabolique. Car là où il y a un zèle amer et un esprit de dispute, il y a du désordre et toutes sortes de mauvaises actions. » Dans ces versets, par Jacques, l’Esprit vient de présenter tout ce qui condamne le régime papal catholique romain et ses imitateurs : « un zèle amer, un esprit de dispute, le mensonge contre la vérité, les mauvaises actions, une nature terrestre, charnelle, diabolique ». En opposition totale, il définit la vraie foi dans les versets 17 et 18 : « La sagesse d'en haut est premièrement pure, ensuite pacifique, modérée, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits, exempte de duplicité, d'hypocrisie. Le fruit de la justice est semé dans la paix par ceux qui recherchent la paix. » Et ce verset condamne encore la fausse foi catholique et protestante qu’il impute aux « hypocrites » dans Dan.11:34 : « Dans le temps où ils succomberont, ils seront un peu secourus, et plusieurs se joindront à eux par hypocrisie. » Et c’est à cause de leur « hypocrisie » que Dieu prophétise pour leurs deux régimes successifs un comportement despote, intolérant, meurtrier, qui justifie leurs images de « bêtes » qui « montent » successivement « de la mer », puis « de la terre » dans Apo.13:1 et 11.

En ce printemps 2023 et depuis des années, nous subissons quotidiennement un flot d’informations lancées en temps réel. Les vérités et les mensonges du vrai et du faux circulent dans ces transmissions à une vitesse telle qu’il devient impossible de trier entre les deux possibilités. Sur les réseaux sociaux incontrôlables, des messages sont lancés et se transforment en rumeurs soutenues et renvoyées par des utilisateurs favorables. En sorte que les gouvernants et les médias officiels sont concurrencés et perdent le contrôle de l’information. Voici là, des choses qui donnent sens aux paroles de Jacques 3:16 : « Car là où il y a un zèle amer et un esprit de dispute, il y a du désordre et toutes sortes de mauvaises actions. »  L’humanité sans Dieu paie ainsi son tribut à son désir de liberté. Il faudra que « le tiers des hommes soit tué » pour que « les survivants » réalisent que la liberté entière pour chaque créature est une utopie dangereuse qui conduit au pire. Dieu le savait et il a fait tout ce qu’il pouvait pour mettre en garde l’humanité contre ce piège séduisant dans lequel Eve est tombée en première.

Sans « frein » moral, les populations occidentales légitiment le mensonge, la duperie, la tromperie et les adultères. Le mensonge est attribué à des gens plus malins que les autres ; ce qui leur permet de réussir dans leur lutte de la vie civile et professionnelle. La tromperie est devenue cause de spectacles qui font beaucoup rire des foules qui devraient en pleurer. Les adultères sont les thèmes continuels des films et des écrits des romanciers. Et je relève curieusement cette racine commune entre Roman et Rome que Dieu accuse d’enseigner des « fables, des choses agréables », dans 2 Tim.4:3-4 : « Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine ; mais, ayant la démangeaison d'entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs, détourneront l'oreille de la vérité, et se tourneront vers les fables. » Cet enseignement donne aux mensonges du diable l’aspect de « choses agréables » comme « les fables » qui finissent généralement bien. Car au contraire, dans l’enseignement de la vérité, pour celui qui désobéit et n’aime pas la vérité venue de Dieu, les choses finissent très mal ; dans la mort définitive et pour les plus coupables, dans « le feu de la seconde mort du jugement dernier ». Et la preuve de cette « seconde mort » est la « première mort » qui frappe toute l’humanité depuis que le premier couple humain a péché soit, désobéi à une interdiction imposée par Dieu. A ce sujet, relève que l’interdiction consistait à ne pas manger de « l’arbre » censé offrir par son fruit « la connaissance du bien et du mal ». Cet « arbre » n’était qu’une image de l’ange entré en rébellion contre Dieu. Et Eve fut victime de son désir d’obtenir cette « connaissance du bien et du mal ». Eve était une image de l’Eglise du Christ qui a son tour est systématiquement séduite et conquise par le mal. C’est ce qui ressort du témoignage des prophéties de Daniel et Apocalypse. Et Dieu organise l’histoire de l’Eglise en la plaçant dans différentes situations dans lesquelles ses vrais élus se démarquent de l’ensemble des multitudes faussement religieuses. L’être humain est avant tout charnel et ce que ses cinq sens ignorent ne l’intéresse pas ; ce qui est le cas de la pensée spirituelle. Entre l’humain athée et l’élu du Christ, des multitudes de comportements restent possibles, mais Dieu les juge trop superficiels et inconstants pour éprouver le moindre désir de leur faire partager son éternité. Dans toute la Bible, Dieu cible pour lecteur de ses paroles, uniquement, ses vrais élus. Aussi, lorsqu’il dit, « Celui qui vous touche touche la prunelle de mes yeux » ses paroles ne s’appliquent pas aux faux chrétiens, mais uniquement à ses saints élus fidèles. La liberté religieuse a simplement rendu l’aspect du vrai et du faux religieux plus obscur et c’est bien ce message que Dieu a voulu illustrer dans sa « cinquième trompette » d’Apo.9 dans ces versets 2 et 3 : « et elle ouvrit le puits de l'abîme. Et il monta du puits une fumée, comme la fumée d'une grande fournaise ; et le soleil et l'air furent obscurcis par la fumée du puits. De la fumée sortirent des sauterelles, qui se répandirent sur la terre ; et il leur fut donné un pouvoir comme le pouvoir qu'ont les scorpions de la terre. »

Ignoré des hommes jusqu’à mon ministère prophétique, ce thème de la « cinquième trompette » est le plus important de la Révélation apportée par l’Esprit à Jean. En effet, le statut maudit du catholicisme a été connu et dénoncé par le fondateur officiel de la Réforme, Martin Luther, le moine catholique enseignant allemand. Mais la malédiction de cette Réforme protestante a été ignorée par tous au point que l’Adventisme officiel s’est cru autoriser à entrer dans son alliance entre 1991 et 1993, et officiellement pour ses membres en 1995. Les preuves apportées dans cette « cinquième trompette » sont donc les seules preuves que Dieu propose à ses élus. Et la première de ces preuves consiste dans la succession des « trompettes » car déjà, la « deuxième » et la « troisième  trompette » concernent le régime papal catholique romain. Après lui, la « quatrième trompette » illustre l’action de l’athéisme français révolutionnaire et sa terreur des années 1793-1794. Ensuite le symbole de « l’aigle » prophétise l’entrée dans le 19ème siècle avec le régime impérial dominé par Napoléon Bonaparte. Ainsi pas à pas, la prophétie nous a conduit vers les années 1828, 1844, 1873 proposées par les calculs prophétiques dans Daniel 8:14 et 12:11-12.  Et Apo.8:13 prophétise la perfection du « malheur » en citant trois fois ce terme « malheur » que l’Esprit rattache aux conséquences des tests de foi construits sur les attentes adventistes qui vont s’effectuer, successivement, en 1843, 1844 et au temps de la fin, en 1994. Les épreuves de foi adventistes de 1843 et 1844 ont été vécues aux USA, terre d’accueil des Protestants persécutés en Europe par les monarchies de religion catholique. Cette dernière étant déjà éliminée et frappée de malédiction par Dieu, la « cinquième trompette » constitue le plus « grand malheur » provoqué par l’épreuve de foi adventiste touchant, cette fois, la religion protestante. Ainsi, parce qu’ils n’ont pas pris part à l’attente adventiste, les premiers Protestants ont été livrés au diable par Dieu, dès le printemps 1843. Ceux qui ont pris part à ces deux attentes, mais n’ont pas été sélectionnés par Dieu, ont été à leur tour livrés aux démons, dès le 23 Octobre 1844, date de la fin de la deuxième épreuve de foi. A vue humaine, pour le commun des mortels, rien ne permettait de savoir qu’un jugement divin venait de s’accomplir. Car, même abandonnés par Dieu, le protestantisme a continué à pratiquer sa religion comme avant l’épreuve ; ce qui conduit Dieu à dire à son sujet dans l’époque « Sardes » dans Apo.3:1 : « Tu passes pour être vivant et tu es mort ». Le diable a fait alors multiplier ses aspects doctrinaux souvent basés simplement sur le nom du fondateur d’un groupe. C’est ainsi qu’apparaissent les « faux christs » annoncés par Jésus avec insistance dans Mat.24:11 et 24 : « Plusieurs faux prophètes s'élèveront, et ils séduiront beaucoup de gens. …/…Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus. » Et c’est donc cette multiplication des églises du protestantisme que l’Esprit évoque en image, dans Apo.9:2, par cette citation : « et le soleil et l'air furent obscurcis par la fumée du puits ». L’avertissement donné par cette révélation devait mettre en garde l’Adventisme officiel contre toute démarche de rapprochement avec les églises de la fédération protestante ; ceci d’autant plus que le verset 11 révèle clairement leur livraison au diable : « Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. » Cet « ange de l’abîme » étant Satan qui utilise depuis 1843, la religion protestante pour détruire la vraie foi par la fausse lecture de la Bible écrite « en hébreu et en grec ». En rejetant, à son tour, le message adventiste que j’ai présenté entre 1980 et 1991, message annonçant le retour de Jésus-Christ pour 1994, l’organisme adventiste officiel s’est comporté comme les Protestants livrés au diable par Dieu en 1843 et 1844. En conséquence de quoi, il l’a livré « lui aussi » aux démons en donnant pour preuve visible, l’alliance passée avec la fédération protestante entre 1991 et 1995. La menace basée sur l’expression « lui aussi » citée dans Apo.14:10 s’est ainsi partiellement accomplie : « il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau. » En rédigeant ce message, je réalise que le message du troisième ange concerne la troisième épreuve de foi adventiste que j’ai provoquée par mon annonce du retour de Jésus-Christ pour l’année 1994. En effet, le verset 9 précise : « Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d'une voix forte : Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, ». Ce message du « troisième ange » se distingue des deux premiers en ce qu’il cite « l’image de la bête » qui désigne la foi protestante du dernier gouvernement universel dominé par les survivants des USA après la Troisième Guerre Mondiale de la « sixième trompette ». Le véritable sens des trois messages prend son explication dans l’accomplissement des trois épreuves de foi adventistes, en 1843, 1844 et 1994. Et c’est seulement par l’accomplissement de la troisième épreuve que les mystères de la Révélation prophétique sont levés. La chute de l’Adventisme institutionnel et la confirmation de celle du protestantisme qui l’a précédé en 1843 et 1844 sont rattachées à cette date 1994 qui constitue donc le socle de l’œuvre du « troisième ange ».

Je peux ainsi donner une nouvelle signification précise aux trois messages apportés par trois anges terrestres. Attention ! Ces nouvelles explications n’annulent pas les anciennes déjà reçues. Car Dieu a conçu sa prophétie pour l’exploiter de manière évolutive, afin quen chaque époque ses élus y trouvent leur enseignement. Nous trouvant nous-mêmes à la fin de ce projet révélé, nous bénéficions de la plus grande précision des choses révélées dans le texte de la prophétie. Ceci confirme cette parole divine inspirée au sage Salomon dans Ecc.7:8 : « Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain ». Voici donc cette nouvelle explication qui donne au mot « ange » son sens de « messager » terrestre.

Apo.14:6-7 : « Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. » L’« Evangile éternel » en main, cible l’action du protestantisme. Il organise l’épreuve de son propre jugement. Cette importance donnée au rôle des Réformateurs protestants est fondamentale pour comprendre la logique des successions des messages des « trois anges » de ce chapitre 14. Le Protestant reste un protestant aussi longtemps qu’il proteste et dénonce le péché. Mais lorsqu’il cesse de le dénoncer, ce protestant n’est plus digne de ce nom et il est remplacé par l’adventisme qui va ensuite recevoir le signe du sabbat comme preuve de son appartenance à Dieu ; ceci jusqu’à ce que le message du « troisième ange » cause sa propre chute, en 1994, date où il est « vomi » par Jésus-Christ.

Au printemps 1843, le « premier ange », ou messager protestant fidèle, a pour action de livrer au diable les Protestants américains totalement incrédules ; ce dont ils témoignent en méprisant le message de William Miller qui annonce, par la prophétie biblique, le retour du Christ pour le printemps 1843.

Apo.14:8 : « Et un autre, un second ange suivit, en disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité ! » Ce message concernant le statut maudit de Rome est, également et typiquement, connu des Protestants, officiellement, depuis le 16ème siècle, mais en réalité, depuis le 12ème avec l’expérience de Pierre Valdo.

Dans l’automne 1844, le « deuxième ange » ou messager fidèle, encore protestant, livre au diable le reste des Protestants non sélectionnés par Dieu dans cette seconde épreuve adventiste. En 1863, il devient officiellement « l’église adventiste du septième jour » américaine dont le rôle consiste à dénoncer la malédiction du catholicisme et de son jour du repos instauré par Rome, le dimanche ; son action prend une forme universelle à partir de 1873. Son nom « adventiste » rappelle, aux humains, l’épreuve de foi basée sur « l’attente » du retour de Jésus-Christ et qu’elle doit attendre avec « patience » encore jusqu’à ce qu’il revienne. Elle prolonge la protestation abandonnée par la religion protestante.

Apo.14:9-10 : « Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d'une voix forte : Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau. »

En 1994, le « troisième ange » ou messager fidèle condamne l’institution adventiste qui le méprise et le rejette ou l’ignore et qui est livrée à son tour, après la religion protestante, au camp du diable. Son message prépare les vrais élus éclairés par la prophétie décryptée pour le retour glorieux final du Christ attendu, cette fois avec certitude depuis 2018, pour le printemps 2030. C’est ainsi qu’en l’année 2029, les derniers élus vivront la dernière épreuve de foi universelle annoncée dans Apo.3:10 : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. »

J’ai déjà présenté l’adventisme comme le mouvement chrétien dont la mission consistait à achever la Réforme protestante restée inachevée depuis le 16ème siècle. Ces nouvelles explications confirment ce rôle que Dieu lui a donné. C’est ainsi que ne protestant plus contre le péché, mais désireux de faire alliance avec le protestantisme qui pèche, l’adventisme officiel de 1991 ne pouvait qu’être « vomi » par Jésus-Christ, entre 1991 et 1995 soit, en 1994. En fait, Dieu renvoie l’adventisme dans le protestantisme d’où il est sorti, de même qu’il déporta à Babylone en Chaldée l’Israël charnel infidèle soit, dans le pays d’où son patriarche fondateur Abraham était sorti sous le nom Abram.

Ce thème, concernant le vrai et le faux, la vérité et le mensonge, résume à lui seul tout le drame humain terrestre. L’invisibilité de Dieu et de ses jugements est la cause de l’aspect trompeur des choses qui constituent la vie sur la terre. C’est pourquoi, entrer en relation avec lui, est pour l’homme, la seule condition qui rend le salut possible. Et en raison même de son invisibilité, le grand Dieu créateur nous a laissé par les écrits de sa sainte Bible, l’unique moyen de comprendre ses desseins. C’est pourquoi, cette Bible tient un rôle suprême au titre de support de toute sa vérité et ceci justifie que le diable et ses démons fassent tous leurs efforts pour détourner les êtres humains de sa lecture. Pour obtenir ce résultat, il a fait persécuter les chrétiens qui voulaient la lire et connaître son enseignement. Et lorsque cette intolérance n’a plus été possible, il l’a vulgarisée et faite mépriser par des foules de faux croyants. Mais quelques soient les stratégies qu’il adopte, les vrais élus comprennent le rôle de la Bible dans le salut proposé en Jésus-Christ. Et depuis 1843, c’est dans la compréhension de ses prophéties qu’ils trouvent le moyen de conserver la « justice » offerte par Jésus-Christ. Ainsi, correctement traduit à partir du texte hébreu originel, le verset de Dan.8:14 s’accomplit parfaitement : seule, « la sainteté est justifiée » quand elle est reconnue par l’Esprit éternel de Jésus-Christ.

Je dois évoquer encore la mission du « quatrième ange » évoqué dans Apo.18:1-2 : « Après cela, je vis descendre du ciel un autre ange, qui avait une grande autorité ; et la terre fut éclairée de sa gloire. Il cria d'une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l'impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. » Déjà la précision « je vis descendre du ciel » impute le message décrit à une action divine céleste. La précision « qui avait une grande autorité » repose sur « l’autorité » que Dieu donne à sa parole biblique prophétique parfaitement décryptée donc inattaquable. Ce message confirme avec puissance celui du « deuxième ange » d’Apo.14:8. Je peux rattacher cette annonce à la date du printemps 2018, en laquelle l’Esprit m’a permis de connaître la date du vrai retour de Jésus-Christ prévu et fixé par Dieu, solidement, pour le printemps 2030 qui vient. Une quatrième « attente » adventiste a été ainsi officiellement lancée par la volonté du Dieu créateur et Prophète. Depuis 1994, date rattachée au message du « troisième ange » d’Apo.14:9-10, la situation religieuse spirituelle terrestre abominable s’est énormément amplifiée et dégradée. L’Occident faussement chrétien justifie en 2018, toutes sortes de choses abominables revendiquées par les représentants pervers des LGBT ; choses que la Russie dénonce officiellement et qui l’horrifient ainsi que de nombreux autres pays du monde, musulmans ou pas, africains, arabes, asiatiques. Avec le temps, l’Occident a ouvert ses frontières pour accueillir des étrangers aux mœurs, coutumes et religions multiples ; ce que ce verset souligne en disant : « Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux ». Et dans cette image, en premier, Dieu illustre le rassemblement œcuménique qui regroupe des religions concurrentes incompatibles les unes avec les autres, telles que la foi chrétienne et l’islam. Dieu peut-il illustrer différemment un rassemblement de religions monothéistes mensongères ? Non bien sûr, et son message est très clair. Le constat visible, dès le printemps 2018, décrit une situation religieuse mensongère que Dieu entreprend de châtier par la « sixième trompette » d’Apo.9:13 et Dan.11:40 à 45, depuis le 24 Février 2022, mais plus encore depuis le printemps 2023, où l’aide occidentale donnée à l’Ukraine s’amplifie au point que la Russie se considère officiellement attaquée par les forces occidentales de l’OTAN. Une seconde partie de ce message du « quatrième ange » s’accomplira seulement à partir du printemps 2030 par le thème de la « vendange » cité dans Apo.14:17 à 20. Cette seconde partie décrit le châtiment final des faux bergers, faux christs ou faux prophètes, à partir du verset 6 : « Payez-la comme elle a payé, et rendez-lui au double selon ses œuvres. Dans la coupe où elle a versé, versez-lui au double. » Avant de donner cette autorisation, Dieu a invité ses élus à se séparer des églises qui ont hérité du péché enseigné par « Babylone la Grande », l’église catholique papale et romaine. Nous lisons au verset 4 : « Et j'entendis du ciel une autre voix qui disait : Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux. » Car, en effet, selon Apo.17:5, « Babylone la grande » est la « mère » de ses filles « prostituées » orthodoxes, protestantes, anglicanes et en dernier, adventiste dans sa forme institutionnelle.

Contrairement aux messages des trois anges précédents, l’annonce faite par le « quatrième ange » est authentifiée par Dieu et assurée du succès, car Jésus va bien, cette fois, se présenter à l’heure que ses élus fixent par sa révélation. Ce faisant, il fixe lui-même la date où ils devront être mis à mort par un décret promulgué par le camp rebelle universel. Mais apparaissant dans sa gloire au dernier moment avant les mises à mort, le châtiment retombera sur les têtes des religieux rebelles conformément à l’annonce et la description faites dans ce message d’Apo.18. Ceci, étant également conforme, à la date prophétique du 18 Mars, qui correspond au début du jeûne d’Esther dont l’intercession avait pour but de sauver le juif Mardochée et son peuple et donc, Esther elle-même. Et en dernier, le 18 Mars marquera le début de la condamnation à mort des derniers élus qui seront sauvés et enlevés par Jésus, le jour du printemps, le 20 Mars 2030 ; jour où débute sur la terre, la sanglante et sinistre « vendange » qui frappe en premier les « enseignants » des mensonges religieux chrétiens soit, les « faux prophètes ».

Dans l’actualité profane, le faux concerne des mensonges qui ont servi la cause de l’Ukraine envahie par la Russie. On dénonce aujourd’hui le faux héroïsme des défenseurs ukrainiens d’une petite île située dans la mer Noire près de l’Ukraine dont le nom est l’île aux « Serpents ». Attaqués par les Russes, les défenseurs ukrainiens ne résistèrent pas jusqu’à la mort comme on l’a faussement prétendu mais ils se sont rendus aux Russes ; en sorte que le plus « serpent » des deux ce n’était pas l’île, mais bien l’Ukraine. De plus, des enquêtes menées par des médias allemands ont collecté les preuves que le sabotage du gazoduc russe Nord-Stream a été réalisé par un équipage ukrainien embarqué à bord d’un voilier parti du Nord de l’Allemagne. On suppose des collaborations avec la Pologne. L’explosif utilisé a été identifié. Ainsi, la tromperie ukrainienne qui a conduit à la crise énergétique européenne apparaît de plus en plus, mais il est trop tard pour les Occidentaux pour remettre en cause leur soutien à ces deux pays venus de l’Est qui les ont entraînés dans leur guerre justifiée par leur haine commune de la Russie. C’est pourquoi, le fruit de ces mensonges va causer la destruction de l’Europe et des nations qui la composent. La justice de Dieu s’accomplit ; les peuples qui n’apprécient pas sa vérité sont nourris et trompés par les mensonges. On dénonce, également, le détournement d’un fond de 240 millions de Dollars versé à l’Ukraine par les USA. Il a été détourné par les entreprises ukrainiennes chargées de livrer des armes. Concernant déjà son jeune président et ses oligarques, la célèbre réputation de l’Ukraine corrompue est ainsi confirmée.

 

 

 

 

 

 

Le temps des sept derniers fléaux

 

Sans aucune garantie textuelle biblique, mais en connaissance des valeurs spirituelles révélées par Dieu dans cette sainte Bible, je pense être en mesure de comprendre comment le temps de ces « derniers fléaux de la colère de Dieu » va être organisé.

Une priorité s’impose : les faits s’accompliront dans l’année 2029. Ensuite, dans cette année 2029, les six derniers mois, dont les fêtes religieuses de la première alliance étaient placées par Dieu sous le thème du péché, me semblent particulièrement adaptés pour une ultime « expiation du péché » directement infligée par Dieu aux derniers pécheurs terrestres. Ceci parce que dans l’ancienne alliance, les deux fêtes juives principales sont placées l’une au début du printemps, ce qui concerne « la fête de Pâque » et son offre de justice divine en Christ, « l’agneau de Dieu »  et l’autre, au début de l’automne, dont le sujet est le règlement du péché et qui est appelée « le jour des expiations ». En 2029, l’automne commencera le 23 Septembre. Et déjà, il nous faut relever que Dieu a tenu à protéger les noms des quatre derniers mois de notre faux calendrier annuel usuel, car ils témoignent du véritable découpage du temps qu’il a établi, glorieusement, en Dieu créateur. Ces quatre mois ont conservé dans leur nom le numéro d’ordre de leur position annuelle : Septembre pour septième mois, Octobre pour huitième, Novembre pour neuvième, et Décembre pour dixième mois de l’année solaire divine. Ce témoignage revêt une importance très grande pour définir le temps des six derniers mois qui conduisent au retour du Christ et à la fin du monde. Car la création ne disparaîtra pas, mais c’est l’humanité entière qui, elle, doit et va disparaître sur toute sa surface habitée. Le 23 Septembre 2029 sera donc la date où le premier fléau de Dieu viendra frapper les hommes qui portent « la marque de la bête ». Juste avant cette date, la loi humaine universelle aura déclaré le premier jour de la semaine, notre « dimanche » actuel, jour de repos officiellement imposé à tous les survivants du désastre nucléaire de la Troisième Guerre Mondiale. A cette heure, le jugement terrestre prévoit des sanctions contre les humains réticents ou désobéissants ; choses prophétisées par Dieu dans Apo.13:16-17 : « Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. »

Après cette mesure prise contre son saint sabbat, Dieu fait cesser définitivement son offre de grâce qui reposait sur la mort volontaire de Jésus-Christ en sacrifice expiatoire pour les péchés de ses seuls élus qu’il choisit et sélectionne lui-même sans recours aux avis humains ou angéliques célestes. Ce thème de la fin de la grâce est développé dans Apo.15 et résumé dans le verset 8 en ces termes : « Et le temple fut rempli de fumée, à cause de la gloire de Dieu et de sa puissance ; et personne ne pouvait entrer dans le temple, jusqu'à ce que les sept fléaux des sept anges fussent accomplis. ». Je traduis en clair ce verset : Et l’assemblée de Dieu fut au complet, et personne n’y sera ajouté, car les élus eux-mêmes entreront dans le royaume des cieux, uniquement, lorsque le temps des sept derniers fléaux versés sur la terre sera accompli. La fumée désigne le parfum des prières des saints selon Apo.5:8 : « Quand il eut pris le livre, les quatre êtres vivants et les vingt-quatre vieillards se prosternèrent devant l'agneau, tenant chacun une harpe et des coupes d'or remplies de parfums, qui sont les prières des saints. », mais aussi, 8:4 : « La fumée des parfums monta, avec les prières des saints, de la main de l'ange devant Dieu. » Derrière chaque « fumée et parfum » se trouve la personnalité d’un élu.

En réaction, Dieu verse sur les coupables son premier des derniers fléaux : Apo.16:2 : « Le premier alla, et il versa sa coupe sur la terre. Et un ulcère malin et douloureux frappa les hommes qui avaient la marque de la bête et qui adoraient son image. »  La description de cet « ulcère malin » est analogue à celle de celui qui frappa douloureusement le juste et intègre Job. Mais alors que les souffrances acceptées par Job glorifiaient Dieu face à Satan, à l’opposé absolu, celles qui sont imposées aux vrais coupables du temps final sont justes et mérités. Dans le code divin de cette révélation, ce fléau frappe, en premier, « la terre » car le contexte de cette heure est la domination de « la bête qui monte de la terre » d’Apo.13:11. Et sont ainsi concernés les protestants dirigeants et organisateurs, et les catholiques, honorés et complices. Honorés, par ce que le repos du dimanche imposé par ses derniers protestants a sa source chez eux.

Nous allons voir que « les sept derniers fléaux de Dieu » reprennent, avec quelques différences, les même cibles que les « sept trompettes » : soit dans l’ordre croissant : la terre, la mer, les fleuves, le soleil, le trône de la bête, le grand fleuve l’Euphrate, et finalement, l’air.

Voici la liste des cibles des « trompettes » : A noter que contrairement aux sept dernières plaies, chaque châtiment des « trompettes » ne frappe qu’un tiers de sa cible, car il frappe au titre d’avertissement divin.

Apo.8:7 : « Le premier sonna de la trompette. Et il y eut de la grêle et du feu mêlés de sang, qui furent jetés sur la terre ; et le tiers de la terre fut brûlé, et le tiers des arbres fut brûlé, et toute herbe verte fut brûlée »

Apo.8:8 : « Le second ange sonna de la trompette. Et quelque chose comme une grande montagne embrasée par le feu fut jeté dans la mer ; et le tiers de la mer devint du sang, …»

Apo.8:10 : « Le troisième ange sonna de la trompette. Et il tomba du ciel une grande étoile ardente comme un flambeau ; et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources des eaux. »

Apo.8:12 : « Le quatrième ange sonna de la trompette. Et le tiers du soleil fut frappé, et le tiers de la lune, et le tiers des étoiles, afin que le tiers en fût obscurci, et que le jour perdît un tiers de sa clarté, et la nuit de même. »

Apo.9:1 : « Le cinquième ange sonna de la trompette. Et je vis une étoile qui était tombée du ciel sur la terre. La clef du puits de l'abîme lui fut donnée, »

Apo.9:13-14 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. »

Apo.11:15 : « Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient : Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles. »

 

Dans cette comparaison, nous voyons qu’en 5ème punition nous trouvons pour cible la religion protestante déchue de la « 5ème trompette » et « le trône de la bête » du « 5ème des derniers fléaux ». Par ce regroupement, l’Esprit place la religion protestante sous la domination spirituelle du « trône de la bête » ; ce que les faits confirment, puisque le péché du faux jour de repos condamné par Dieu est hérité du catholicisme papal romain dont les chefs successifs siègent sur « le trône » du Vatican, à Rome. Et Apo.13:12 confirme leur association finale : « Elle exerçait toute l'autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. » Ceux qui se ressemblent s’assemblent et en quoi, les Protestants déchus et les Catholiques se ressemblent-ils ? Les deux confondent la religion avec la politique. Ils combattent et tuent pour des raisons religieuses, montrant ainsi leur indifférence envers les ordres de Jésus-Christ qui a déclaré dans Mat.16:25 : « Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. » Il fit ensuite, à l’heure de son arrestation par les gardes juifs, une démonstration concrète de l’interdiction de prendre des armes pour défendre sa vie et celle de ses apôtres et disciples. Les deux fausses religions chrétiennes ne mettent pas non plus en pratique ce verset où Jésus déclare : « Rendez à Dieu ce qui est à Dieu et à César ce qui est à César ». Déjà, à son époque, des Juifs rebelles lui reprochaient d’être l’ami des Romains, parce qu’il n’appelait pas à l’insurrection contre eux. Le même esprit partisan guerrier anime les fausses religions du monothéisme. Mais c’est ainsi, et il est donc juste que Jésus reconnaisse pour siens uniquement ceux qui écoutent ses paroles et leur obéissent. Là est toute la différence entre l’élu et le déchu.

La cible de la 6ème punition est commune aux deux contextes : « le grand fleuve Euphrate » soit, le territoire de l’Europe occidentale, également symbolisé par les « dix cornes » depuis Daniel 7:7 jusqu’à Apo.17:3.

Finalement, la « septième trompette » précède de peu, le septième des « sept derniers fléaux » puisqu’elle désigne l’apparition du Christ divin et victorieux. La cible visée est « l’air » et derrière ce terme, il y a la domination terrestre du diable appelé, lui-même, « le prince de la puissance de l’air » dans Eph.2:1-2 : « Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l'air, de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion. »

Avant de poursuivre, il faut relever que les cibles visées suivent aussi l’ordre des choses créées par Dieu au cours des six premiers jours de sa création originelle. Et ceci révèle le lien que Dieu fait entre son châtiment et les coupables châtiés soit, le mépris manifesté pour le Dieu Créateur qu’il revendique être, à juste titre et juste gloire.

Ces explications étant données, je reprends le déroulement des faits qui succèdent maintenant au premier des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu ». Un mois plus tard en octobre, un nouveau fléau vient s’ajouter au précédent qui était « l’ulcère malin ».

Apo.16:3 : « Le second versa sa coupe dans la mer. Et elle devint du sang, comme celui d'un mort ; et tout être vivant mourut, tout ce qui était dans la mer. »

Ce deuxième des derniers fléaux est à mettre en parallèle avec la « deuxième trompette » dont l’acteur principal est le régime catholique papal romain, en 538, date de son instauration officielle. En frappant encore « la mer », Dieu cible les adeptes de « la bête qui monte de la mer » d’Apo.13:1. Son rôle maudit est fondamental, car elle est à la base de toutes les malédictions des autres religions chrétiennes qui sont sorties d’elle au fil du temps, jusqu’à l’adventisme officiel « vomi » en dernier par Jésus-Christ. Dans Apo.17:8 Dieu dit à son sujet : « La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. » Il confirme cette malédiction en disant, dans Apo.18:24 : « et parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre. »

Dans le contexte des derniers fléaux, le mot « mer » porte le double sens littéral et symbolique. Sur le plan symbolique, Dieu décrète « la mort » de tout ce qui vit en forme d’être humain ou de vies animales. Dès la Genèse, « la mer » désignait « la mort » par opposition à « la terre », qui allait porter la vie humaine. De plus, le type de vie animale qui se développe en elle est terrible : le plus gros mange le plus petit. Littéralement, à la fin du monde, la vie animale, marine premièrement, est anéantie avant l’homme parce qu’elle fut créée par Dieu avant lui le 5ème jour de la semaine de la Création divine. « Les eaux » qui formaient la terre depuis sa création reçoivent le nom « mer » au deuxième jour de cette première semaine originelle. Et détail important, révélé dans Apo.21:1, « la mer ne sera plus » sur la nouvelle terre : « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n'était plus. » Son symbolisme de « la mort » est ainsi confirmée dans Apo.20:14 : « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. » Je dois développer cette subtilité divine. Le « séjour des morts » désigne la terre sèche qui reçoit les corps des morts tombés en poussière. Selon l’ordre de Dieu de Gen.3 :19 : « C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière. » C’est pourquoi dans ce verset 14, le mot « mort » remplace et désigne « la mer », l’autre élément principal originel de notre planète. Un nouveau mois s’écoule et Dieu rajoute un troisième fléau en novembre.

Apo.16:4 : « Le troisième versa sa coupe dans les fleuves et dans les sources d'eaux. Et ils devinrent du sang. »

Je rappelle que déjà pour châtier l’Egypte, Dieu avait réalisé les miracles de l’eau changée en sang. Et ici conformément à l’ordre donné à sa création, Dieu frappe de mort « les fleuves et les sources d’eaux » dont l’homme dépend pour sa survie. C’est encore là, un moyen d’éliminer des vies humaines qui doivent à terme toutes disparaître.

Ces éléments sont déjà frappés dans la « troisième trompette » dans Apo.8:10 : « Le troisième ange sonna de la trompette. Et il tomba du ciel une grande étoile ardente comme un flambeau ; et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources des eaux. » Ces symboles désignent l’humanité qui se réclame du salut de Jésus-Christ soit, depuis 313, « les saints » infidèles que Dieu a livrés au régime catholique papal romain en 538. Dieu reconnaît provisoirement ce qui entrent en Réforme entre 1170 jusqu’en 1843. Il s’agit des Protestants sincères. Ce « tiers des fleuves » est désigné comme « le tiers des étoiles » dans Apo.12:4 : «Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre. Le dragon se tint devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer son enfant, lorsqu'elle aurait enfanté. » ; et dans Dan.8:10 : « Elle s'éleva jusqu'à l'armée des cieux, elle fit tomber à terre une partie de cette armée et des étoiles, et elle les foula. » Dieu a écrit dans la nature, la malédiction des « eaux des fleuves » qui retournent à « la mer » d’où elles tirent leur origine ; soit, ce que les fausses religions chrétiennes pratiquent toutes, chacune en son temps. Un mois passe encore et le quatrième fléau est ajouté en décembre aux trois précédents.

Apo.16:8-9 : « Le quatrième versa sa coupe sur le soleil. Et il lui fut donné de brûler les hommes par le feu ; et les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a l'autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire. »

Ce fléau est terrible et épouvantable. Mais relève le comportement des victimes qui « blasphèment le nom de Dieu et ne se repentent pas » parce que la repentance n’est plus possible comme ce fut le cas du Pharaon de l’Egypte. Ceci confirme le contexte d’un temps où la grâce n’est plus offerte.

On retrouve dans ce quatrième châtiment, « le soleil » de la « quatrième trompette » où il était lui-même « frappé d’un tiers » par l’athéisme français révolutionnaire. Ce symbole de la véritable lumière divine désignait la Bible, la sainte Parole de Dieu écrite. Dans ce contexte final, Dieu venge le mal fait à ses « deux témoins ». Ils ne sont plus « revêtus de sac » comme dans Apo.11:3 et se vengent en frappant de brûlures douloureuses, les êtres humains qui les ont méprisés et maltraités. Ceux qui ont sous estimé l’importance de la lumière biblique divine ont maintenant à subir une lumière qui les « brûle ». Un nouveau mois s’écoule, et un 5ème fléau frappe en janvier les humains maudits par Dieu.

Apo.16:10-11 : « Le cinquième versa sa coupe sur le trône de la bête. Et son royaume fut couvert de ténèbres ; et les hommes se mordaient la langue de douleur, et ils blasphémèrent le Dieu du ciel, à cause de leurs douleurs et de leurs ulcères, et ils ne se repentirent pas de leurs œuvres. »

La cible choisie par Dieu est, cette fois, « le trône de la bête » soit, la cité du Vatican, et sa basilique Saint-Pierre de Rome. Dieu confirme donc sa responsabilité fondamentale de la malédiction qui frappe la foi chrétienne depuis 313, où elle se tenait à l’époque au palais du Latran à Rome. En plongeant cette zone dans d’épaisses « ténèbres », Dieu punit l’organisation catholique romaine qui a constamment lutté contre sa « lumière », en persécutant la Bible et ses lecteurs libres indépendants. A cette heure décisive, Dieu témoigne contre le catholicisme romain qui porte la culpabilité d’entraîner dans sa malédiction la religion protestante dont la condamnation est révélée dans Apo.3:1 à 3 et Apo.9:1 à 12 ; ceci par ce que la foi protestante a refusé les derniers « fardeaux » imposés par Dieu depuis 1843 : la véritable foi et l’amour de la vérité basés sur la Bible et ses prophéties. Un mois passe encore et le Dieu créateur verse sur les pécheurs en février son sixième des derniers fléaux.

Apo.16:13-14 : « Le sixième versa sa coupe sur le grand fleuve, l'Euphrate. Et son eau tarit, afin que le chemin des rois venant de l'Orient fût préparé. Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits impurs, semblables à des grenouilles. »

L’Esprit utilise l’image du fait historique qui permit au roi Mède Darius de s’emparer de Babylone au temps du roi Belschatsar selon Dan.5. Il fit détourner le cours du lit du fleuve et put ainsi entrer dans la ville imprenable à cause de la protection de son imposante muraille. Dieu prophétise ainsi, le moment où la séduction papale de Rome va cesser. Car c’est vers elle, que les démons rassemblent le camp protestant et toute autre religion chrétienne rejetée par Dieu.

Une autre explication existe. « L’eau tarie » prophétise la mort des populations européennes et ses excroissances américaines et autres. Et « les rois de l’Orient » sont les élus du Christ qui vont enfin accéder à la Canaan céleste, car cette dernière épreuve « prépare » leur « chemin » vers le ciel.

Le « rassemblement » regroupe donc les « démons » célestes, dont leur chef, le diable en « dragon » soit, en guerre contre « le reste » des élus, selon Apo.12:17 ; le régime papal de « la bête » et le protestantisme soit, le « faux-prophète » depuis 1843 soit, « trois esprits impurs » tels que la « grenouille » selon Lév.11:30. Mais cette comparaison avec la « grenouille » ne s’arrête pas là. Elle ne marche pas, mais « saute » et caractérise ainsi ceux qui franchissent de manière incorrecte « le seuil » fixé par Dieu, selon ce verset de Sophonie 1:9 : «En ce jour-là, je châtierai tous ceux qui sautent par-dessus le seuil, ceux qui remplissent de violence et de fraude la maison de leur maître. » L’actualité donne encore un sens supplémentaire à ce mot « grenouille » qui illustre la France, car les Anglais appellent ses habitants « les mangeurs de grenouilles ». Et la France est la seule puissance militaire nucléaire de « l’Euphrate » européen et en même temps la nation la plus rebelle et la plus irréligieuse du monde, l’adoratrice de la déesse Liberté.

En pointant du doigt « la bête » soit, la culpabilité du catholicisme papal romain, l’Esprit a préparé la compréhension de cette sixième plaie. Car la cible de Dieu est « l’Euphrate » soit, l’Europe occidentale placée sous la domination cultuelle maudite de ce catholicisme romain soit, Rome que Dieu symbolise par le nom « Babylone la grande » dans Apo.17:5. Il est donc important de savoir que le lit du « fleuve Euphrate » traversait la ville antique nommée « Babylone » ; la ville construite par le roi Nébucadnetsar. L’action rattachée à cette sixième plaie est décrite dans le verset 14 : « Car ce sont des esprits de démons, qui font des prodiges, et qui vont vers les rois de toute la terre, afin de les rassembler pour le combat du grand jour du Dieu tout puissant. » Les « esprits des démons » ont été libérés par Dieu depuis le début de la « sixième trompette » selon Apo.9:14 : « et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. » Le « rassemblement » organisé par la volonté de Dieu a un but : « pour le combat du grand jour du Dieu tout puissant ». Le triple sens de cette expression définit le « grand jour » de la victoire de Dieu sur ses ennemis, mais aussi l’entrée dans son « grand jour » de repos soit, son saint sabbat de « mille ans », prophétisé depuis le premier « septième jour » de la création et cité six fois dans Apo.20. Et « le combat » lui-même est dirigé contre son « grand jour » de repos sanctifié. Dieu donne ainsi à ses vrais élus l’occasion de se démarquer des autres humains rebelles par leur fidélité à son saint jour ; ceci, en dépit de la sentence de mort qui sera finalement prononcée contre eux par le camp rebelle.

Relevons la correspondance de cette plaie avec la « sixième trompette » où déjà, la cible divine était « l’Euphrate » soit, l’Europe catholique, selon Apo.9:13 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. » La « sixième trompette » et « le sixième des derniers fléaux » divins ont en commun l’action de « rassembler » des groupes indépendants maudits par Dieu. Ce rassemblement a pour but de mener « un combat », mais attention au piège ! Il y a deux « combats » dans la révélation divine. Le premier est celui qui s’accomplit au titre de « sixième trompette ». C’est une guerre meurtrière mondiale, la dernière du genre, terriblement destructrice, parce que nucléaire. L’autre « combat » est spirituel et il est dirigé contre Dieu et ses saints restés fidèles ; ses derniers élus. Apo.16:16 lui donne pour nom « Harmaguedon ». Ce deuxième « combat » est prophétisé dans la « cinquième trompette » dans Apo.9:7 : « Ces sauterelles ressemblaient à des chevaux préparés pour le combat ; il y avait sur leurs têtes comme des couronnes semblables à de l'or, et leurs visages étaient comme des visages d'hommes. » En quoi consiste cette préparation ? Lâchée par Dieu en 1843, la religion protestante a renoué des relations avec le catholicisme, jusqu’à s’allier, officiellement, avec lui, par l’alliance œcuménique. Le rassemblement prophétisé s’est donc accompli. Mais à l’heure de la sixième plaie, un nouveau rassemblement sera organisé afin de prendre une mesure collective dont le but sera d’apaiser la colère divine qui s’exprimera par les fléaux versés. Car s’ajoutant les uns aux autres, la situation humaine terrestre est vraiment terrible et insupportable. Le camp rebelle doit identifier et désigner les responsables de cette colère divine. Convaincus de ne pas être responsables, les rebelles « rassemblés » sont dirigés par les esprits des démons qui désignent les observateurs du sabbat. Alors pour calmer la fureur de Dieu, la décision d’exterminer ces observateurs du sabbat est prise, et une date est fixée pour leur exécution. Cette expérience fut prophétisée par celle des Juifs conduits en déportation à Babylone jusqu’au temps des rois Perses. Et le récit du livre d’Esther nous le décrit. Le méchant se nomme Haman et il organise les conditions pour faire pendre le juif Mardochée. Esther est une jeune femme juive épousée par le roi Xerxès. Mardochée la presse d’intervenir en sa faveur auprès du roi son mari. Esther s’engage alors dans un jeûne et prie Dieu pendant trois jours. Le temps passé, elle parle au roi qui renverse la situation. Haman est pendu au gibet dressé pour Mardochée et Xerxès autorise les Juifs à tuer leurs ennemis locaux pendant deux jours. Ce scénario est exactement celui qui va s’accomplir à partir du 18 Mars 2030. Cette date est celle que les Juifs célébreront en l’année 2030, car ils célèbrent chaque année la fête du jeûne d’Esther. Le jeûne concernera alors, pour trois jours, les derniers observateurs du sabbat. Au troisième jour, date prévue pour leur exécution, qui sera le premier jour du printemps, Dieu reviendra en forme de Jésus-Christ pour détruire les rebelles qui devaient exécuter ses élus fidèles. Ce renversement de la situation du contexte final est triplement prophétisé dans la Bible ; une première fois, par le nom « Benjamin » de la 12ème tribu des élus « scellés » d’Apo.7:8 ; la deuxième par l’expérience d’Esther ; et la troisième dans ce thème du combat « Harmaguédon » dont l’action est évoquée dans Apo.16:19 et développée dans Apo.18 : « Et la grande ville fut divisée en trois parties, et les villes des nations tombèrent, et Dieu, se souvint de Babylone la grande, pour lui donner la coupe du vin de son ardente colère. » ; ceci étant également prophétisé par le thème de « la vendange » présentée dans Apo.14:19-20 (et qu’Esaïe 53 développe) : « Et l'ange jeta sa faucille sur la terre. Et il vendangea la vigne de la terre, et jeta la vendange dans la grande cuve de la colère de Dieu. Et la cuve fut foulée hors de la ville ; et du sang sortit de la cuve, jusqu'aux mors des chevaux, sur une étendue de mille six cents stades. » Je rappelle et traduit la fin de ce verset : et Dieu fit verser le sang de tous les faux enseignants ou « faux prophètes » qui ont enseigné le mensonge en utilisant iniquement car faussement sa sainte Bible écrite sur « une étendue de mille six cent » années de courses pour remporter le prix de la vocation céleste, selon l’image donnée par Paul dans 1 Cor.9:24 : « Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu'un seul remporte le prix ? Courez de manière à le remporter. » ; cette durée de seize siècles débute au début du 15ème siècle avant notre ère, et s’achève à la fin du 1er siècle chrétien ; au temps où Jean reçoit la vision de l’Apocalypse.

Selon ces modèles révélés, la date du décret de mort des observateurs du sabbat devrait être définie et promulguée le 17 Mars 2030. Le premier jour du printemps, le 20 Mars suivant, Jésus-Christ reviendra et punira de mort les rebelles coupables en faisant retourner, contre les enseignants religieux, la colère de leurs victimes trompées ; son divin retour est évoqué par ce verset d’Apo.16:17 : « Le septième versa sa coupe dans l'air. Et il sortit du temple, du trône, une voix forte qui disait : C'en est fait ! ». Les « saints » n’assisteront pas à ce spectacle sanglant car conduits par Jésus-Christ, ils seront déjà entrés dans l’éternité céleste. C’est ce que signifie l’expression « hors de la ville » ; la « ville sainte », soit, ses élus fidèles. Les saints quitteront la terre le 20 Mars, et sur la terre, la vengeance pourrait se prolonger jusqu’à la Pâque 2030. Ainsi, les derniers rebelles périront écrasés par les « pierres de grêles » du septième des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » comme il est annoncé dans Apo.16:21 : «Et une grosse grêle, dont les grêlons pesaient un talent, tomba du ciel sur les hommes ; et les hommes blasphémèrent Dieu, à cause du fléau de la grêle, parce que ce fléau était très grand. »

Par ce « fléau de la grêle », Dieu adresse sa leçon finale à l’humanité rebelle. Elle paie son mauvais usage de toute la liberté que Dieu a donnée à chacune et chacun des êtres humains sur toute la terre. Et le but de cette liberté était seulement de le choisir ou de le combattre avec toutes les conséquences des deux choix opposés. Cette leçon était déjà donnée dans sa « parabole des talents » dans laquelle derrière la monnaie de ce nom, se cache l’action libre, le zèle ou son absence, le fruit porté par chaque créature. Et dans cette même parabole, Jésus prononce sa condamnation du « méchant serviteur » qui voit en lui « un maître dur, qui moissonne où il n’a pas semé » selon Mat.25:24 : « Celui qui n'avait reçu qu'un talent s'approcha ensuite, et il dit : Seigneur, je savais que tu es un homme dur, qui moissonnes où tu n'as pas semé, et qui amasses où tu n'as pas vanné ». Et en Dieu vengeur et juste, il se montre envers lui effectivement « dur » et impitoyable, en le livrant au feu et à la mort ; les deux étant bien mérités.

En reprenant pour la fin du monde, le scénario de la sortie d’Egypte, Dieu nous propose de retrouver l’affrontement direct de son camp qui fut représenté par son serviteur Moïse avec celui du Pharaon endurci par Dieu. A son sujet Dieu fit cette déclaration dans Exo.9:15-16: « Si j'avais étendu ma main, et que je t'eusse frappé par la mortalité, toi et ton peuple, tu aurais disparu de la terre. Mais, je t'ai laissé subsister, afin que tu voies ma puissance, et que l'on publie mon nom par toute la terre. » Exo.10:1-2 précise encore : « YaHWéH dit à Moïse : Va vers Pharaon, car j'ai endurci son cœur et le cœur de ses serviteurs, pour faire éclater mes signes au milieu d'eux. C'est aussi pour que tu racontes à ton fils et au fils de ton fils comment j'ai traité les Égyptiens, et quels signes j'ai fait éclater au milieu d'eux. Et vous saurez que je suis YaHWéH. » Et ces choses furent consignées dans la rédaction de la sainte Bible en sorte que ce témoignage nous profite aujourd’hui. Car il nous permet de comprendre, tout ce que Dieu met en place dans notre actualité. Bientôt, sortie de la « sixième trompette », moins défaite que l’Europe, le Pharaon de notre époque sera le pays de l’amertume, l’Amérique des USA dont le cœur sera endurci par Dieu de la même manière et pour les mêmes raisons : l’esprit rebelle et contredisant qui s’oppose à la volonté de Dieu révélée. Mais en plus de cette mise en garde contre la désobéissance, le rappel des « dix plaies » d’Egypte dirige notre attention sur le moment où le récit biblique appelé « la loi de Moïse » a été écrit. Or, les deux alliances ont pour fondement cette révélation divine car, sans la première alliance, la nouvelle alliance n’a aucun sens. Aujourd’hui encore et jusqu’à la fin du monde, dans sept années, notre besoin d’un Sauveur parfait n’est révélé que par notre incapacité personnelle à obéir parfaitement aux commandements et aux ordonnances imposées par Dieu. Ceci responsabilise tous ceux qui savent lire dans la langue de leur pays, car la Bible a été traduite en de multiples langues. Il est vrai que certains livres prophétiques de la Bible sont cryptés par Dieu afin d’écarter les lecteurs indignes pour qu’ils restent dans leur ignorance spirituelle. Mais les éléments essentiels révélés dans la Bible sont clairement exprimés et sont donc compréhensibles par tous et toutes.

 

 

 

 

 

 

Le véritable amour

 

Pour étudier un tel sujet, nous devons naturellement trouver nos explications dans l’amour, tel que l’esprit de Dieu, le vit, le ressent, et le révèle. Et déjà, tu dois comprendre que cette norme divine est la seule qui a de l’importance, parce qu’elle a pour vocation d’être l’unique norme destinée à être prolongée pendant l’éternité qui est encore devant nous. C’est la norme de cet amour que l’élu doit incarner pour pouvoir vivre auprès de Dieu éternellement. Il est d’autant plus important de le comprendre, qu’il constitue la véritable unique condition qui autorise l’entrée dans la vie éternelle.

Dans 1 Corinthiens 13, sous les noms « amour, charité, charisme », l’Esprit nous présente une sorte de portrait robot de son idéal de l’état d’esprit que Dieu désire trouver chez ses créatures humaines terrestres, mais aussi, célestes. Ceci, parce que la loi d’amour de la norme divine est l’unique condition de la construction du bonheur partagé par tous. Et lorsque Dieu a décidé de mettre fin à sa solitude, il a conçu le projet de réaliser et mettre en place, en les construisant pas à pas, les conditions qui permettent le partage universel d’un vrai bonheur éternel. Dans ce projet, la liberté indispensable donnée à toutes ses créatures allait immanquablement susciter des attitudes rebelles hostiles chez un grand nombre de ses créatures. Il le savait et il avait déjà prévu le jugement dernier qui détruira la vie de toutes ses créatures rebelles définitivement anéanties dans le feu de « l’étang de feu » de la « seconde mort ».

Dieu savait donc qu’il aurait personnellement à souffrir en Jésus-Christ, pour racheter les âmes de ses élus du péché originel et de leurs péchés pratiqués par faiblesse. Et en connaissance de toutes ces choses, il a voulu accomplir son projet. Depuis que l’idée d’un partage d’amour est venue en lui, sa solitude lui est devenue insupportable. Aussi, nous devons comprendre pourquoi Dieu a accepté un avenir de grandes souffrances, pour lui-même et ses créatures. Car nous savons que, pour la terre, ce temps de souffrances aura été, principalement, de six mille années. Mais la souffrance morale mentale de Dieu a commencé bien avant l’expérience terrestre, puisque son début remonte à l’heure où son premier ange glorieux et parfait est entré en rébellion contre lui. Avant de le créer, Dieu savait qu’il se rebellerait, mais savoir une chose et la vivre dans son accomplissement est très différent, pour lui, comme pour ses créatures. La question se pose donc encore, comment le vrai Dieu plein de sagesse peut-il accepter de s’imposer un temps de souffrances terribles sans rechercher pour autant la souffrance comme les déviants humains « masochistes » le font sur notre terre ? La réponse est : dans la récompense finale ; ce qui donne encore un sens précis à ce verset d’Ecc.7:8 qu’il a inspiré : « Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. » Et pour obtenir sa récompense finale, il aura effectivement fait appel à sa « patience » divine exceptionnelle. Il faut donc que cette récompense finale soit très grande pour justifier de subir une telle terrible épreuve. Et pour mieux le comprendre, Dieu compare ce résultat final à l’expérience de solitude qu’il a vécue éternellement avant la création de ses vis-à-vis libres et indépendants. Pour lui, tout était préférable à cet état de solitude. Un temps désagréable devrait être traversé et supporté, pour, enfin, atteindre le bonheur construit sur la souffrance.

Qu’est donc cet amour que Dieu incarne dans toute sa nature divine ? C’est un moteur, soit un principe et un sentiment, qui est inséparable de la notion de la vraie justice. L’amour fonctionne comme un « aimant » au nom bien porté et justifié. Mais il ne faut pas l’ignorer, l’aimant est bien connu par le fait qu’il attire vers lui, mais on ne lui rattache pas suffisamment l’idée qu’il repousse également un autre aimant qui se présente sous sa même polarité. Le pôle positif attire le négatif, mais deux pôles de même polarité se repoussent. De même, Dieu repousse toute concurrence, toute autre fausse divinité qui se substitue à lui. Ainsi déjà, sur le principe de l’aimant, l’amour de Dieu va attirer vers lui ses vrais élus. Mais que recherchent Dieu et ses élus dans ce partage d’amour ? Le plaisir. On a beaucoup parlé au sujet de l’amour, et souvent avec beaucoup de préjugés. J’ai moi-même, pendant un temps, trouvé injustifié le fait que le même verbe « aimer » pouvait s’appliquer aux choses matérielles, comme aux créatures et au Dieu créateur lui-même. Aujourd’hui, je pense que la chose est possible, parce derrière le verbe « aimer », il y a la recherche du plaisir ressenti à tous les niveaux imaginables. Si je dis « j’aime ce plat », j’exprime le fait que manger de ce plat crée en moi un plaisir. Si je dis « j’aime Dieu », j’exprime la même chose. Car la vie est ainsi faite, on aime uniquement ce qui crée en nous le plaisir, le bonheur, la pensée positive, la joie, l’allégresse. Et c’est parce qu’il éprouve ces mêmes effets, que Dieu donne tant d’importance à l’amour qu’il reçoit, en retour du sien, de la part de ses vrais élus ; ceci, parce qu’ils partagent son amour des choses qu’il aime. En créant des vis-à-vis libres, Dieu a découvert le plaisir du partage et il a su que son bonheur éternel était lié à ce choix.

En venant au monde, l’enfant qui naît sur la terre a tout à découvrir, et à l’âge raisonnable, il doit à son tour faire des choix et s’y fixer. Ses choix vont conditionner son destin : les mauvais vont l’éloigner de Dieu, les bons vont le rapprocher de lui, là encore, comme le principe de l’aimant. Dieu nous donne dans la forme de notre système solaire, une image magnifique de son attraction solaire fondamentale. Et toutes les planètes tournent autour de lui en recevant sa lumière, sa chaleur, son rayonnement. Il y a des petites et des géantes parmi ces planètes qui tournent sur des orbites différentes à des vitesses également différentes, et dans des sens différents. De même, ses élus sont différents en couleur de peau, en aspect physique et en caractère mental, mais il les aime tous dans leur diversité comme Jésus a aimé ses apôtres aux caractères si différents les uns des autres.

Sur la terre, l’élu se distingue des autres croyants appelés, en ce qu’il trouve dans l’amour reçu de Dieu, un plaisir supérieur à tout autre plaisir terrestre. L’amour est un partage dans lequel, la réciprocité fait loi. Il faut être deux pour conjuguer le verbe « aimer » et les deux concernés doivent obtenir satisfaction de leur plaisir.  Si l’un ou l’autre est frustré dans son attente et son exigence, le partage de l’amour devient impossible. Ce principe s’applique aux relations des couples humains autant qu’à la relation individuelle avec Dieu, le tout-puissant esprit invisible. Avec clarté et simplicité, l’apôtre Jean nous dit dans 1 Jean 5:1 à 4 : « (Verset 1) Quiconque croit que Jésus est le Christ, est né de Dieu, et quiconque aime celui qui l'a engendré aime aussi celui qui est né de lui. (Verset 2) Nous connaissons que nous aimons les enfants de Dieu, lorsque nous aimons Dieu, et que nous pratiquons ses commandements. (Verset 3) Car l'amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles, (Verset 4) parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde ; et la victoire qui triomphe du monde, c'est notre foi. »  Je précise ici, que le premier verset, qui dit « Quiconque croit que Jésus est le Christ, est né de Dieu », na valeur que si les trois autres conditions citées dans les trois versets suivants sont appliquées par les appelés qui se réclament de ces déclarations bibliques. Or, depuis, l’apostasie générale de la foi chrétienne créée par la paix religieuse établie par Constantin 1er le grand, en 313, dans son décret de Milan, ces conditions n’ont plus été remplies. En sorte qu’aujourd’hui encore, depuis cette date, des foules de faux chrétiens se revendiquent injustement et indignement du salut offert par la grâce du Christ Jésus. La fausse interprétation actuelle du verset 1 repose sur le changement du contexte des époques vécues et concernées. La déclaration de Jean n’était valable que pour l’époque apostolique.

La compréhension du principe de l’amour permet à l’homme de s’interroger et de se demander si Dieu peut trouver du plaisir en lui. Et les textes bibliques indiquent la norme de l’obéissance qui crée en Dieu le plaisir. Celui qui ne s’interroge pas à ce sujet commet la grande erreur qui va le conduire à la plus terrible des désillusions, si toutefois son désir de salut est grand et réel.

L’amour de Dieu est relié à l’amour des choses qu’il a créées quand elles sont regardées et appréciées à ce titre. L’amour des couples légitimés par Dieu, l’amour des enfants pour leurs parents et des parents pour leurs enfants, l’amour de la vie et des choses agréables qu’elle offre, tous ces amours sont rattachés au seul et unique Dieu créateur. Le palais et la langue qui relèvent un goût, un parfum, une odeur agréable prend une valeur religieuse que Dieu a confirmée dans l’organisation de ses rites religieux de l’ancienne alliance. Et dans Apo.5:8 et 8:5 il confirme cette comparaison des « parfums » avec les « prières » que ses « saints » élus lui adressent. Les deux ont en commun le caractère agréable qui donne du plaisir à Dieu, lequel, en retour, renvoie des ondes de plaisir dans l’esprit de celui qui s’adresse à lui dans la vraie sainteté. Dans cette étude, j’honore ce mot plaisir que l’humanité rattache, pour sa perte, uniquement aux plaisirs défendus par Dieu. Elle oublie ainsi le sens noble et pur que ce mot porte lorsqu’il est rattaché à l’obéissance de Dieu. Et je trouve que ce mot plaisir rapproche Dieu de l’homme et l’homme de Dieu initialement formé à son image. Ce texte d’Esaïe 58:13-14 confirme cette notion de « plaisir » : « Si tu retiens ton pied pendant le sabbat, pour ne pas faire ta volonté en mon saint jour, si tu fais du sabbat tes délices, pour sanctifier YaHWéH en le glorifiant, et si tu l'honores en ne suivant point tes voies, en ne te livrant pas à tes penchants et à de vains discours, alors tu mettras ton plaisir en YaHWéH, et je te ferai monter sur les hauteurs du pays, je te ferai jouir de l'héritage de Jacob, ton père ; car la bouche de YaHWéH a parlé. »

Sur la terre, tout ce qui vit prolonge son existence par le moyen du plaisir que sa nourriture lui donne. C’est vrai pour les animaux comme pour les êtres humains. Et en ce qui concerne les hommes, rien n’est plus dommageable que de détruire ce plaisir de manger. C’est un piège dans lequel l’humanité moderne est tombée, car dans l’opulence et le surplus, l’homme mange par habitude plus que par besoin. Aussi lorsqu’il prend sa nourriture, il l’avale sans plaisir. En conséquence, son corps la reçoit dans les plus mauvaises conditions pour lui. Le dicton et le bon sens nous donnent ce sage conseil : « il faut manger pour vivre et non vivre pour manger ». Ceci dénonce les conséquences désastreuses du fait de manger sans faim pour l’organisme humain. Dans le règne animal, les créatures de Dieu savent manger selon leur besoin réel, on ne trouve pas d’obésité parmi elles. Les excès sont réservés à l’humanité et depuis l’expérience américaine, première à démontrer la chose, des gens obèses se multiplient dans les pays occidentaux et orientaux riches et fortunés. Et ce n’est pas sans raison que Dieu a pris la peine de faire écrire par Moïse tant d’ordonnances relatives à la nourriture, dans son livre appelé « Lévitique ». Et ce sujet est intimement relié à celui de l’amour. Les ordonnances divines ont deux buts, l’un est spirituel, l’autre est charnel. Si le corps physique dans lequel nous vivons est bien charnel, il est aussi vrai que sa relation avec Dieu passe par notre esprit qu’il anime par le fonctionnement de notre cerveau et de ses cellules, des éléments bien charnels et physiques. Le respect des règles alimentaires fixées par Dieu se justifie particulièrement depuis qu’en venant sur la terre, en Jésus-Christ, Dieu nous a révélé que le corps physique avait vocation à devenir « le temple ou sanctuaire » de ses élus. Il nous propose donc de regarder notre corps physique comme un « temple » sacré, ou consacré pour lui rendre un culte, à partir duquel une relation entre notre esprit et le sien va être rendue possible, mais uniquement sous ses conditions prescrites et révélées dans sa Bible. Nous trouvons au sujet du thème du « manger » pur ou impur, dans Lév.7:20-21-25, trois ordonnances qui, non respectées et désobéies, ont pour conséquence ce jugement de Dieu : « il sera retranché de son peuple ». La sévérité de ce jugement divin témoigne de l’importance qu’il donne à ses ordonnances. L’homme est naturellement superficiel, mais Dieu est tout le contraire, solidement et fermement attaché au principe de la vérité qui concerne autant, ses paroles et ses symboles prophétiques, que leurs accomplissements réels dans la vie humaine. Les leçons les plus importantes que Dieu donne, par les écrits de la Bible, reposent plus, sur l’esprit de déduction, que sur les lettres écrites. Ainsi, Dieu n’a jamais interdit formellement à l’homme, de manger de la viande qu’il a autorisé seulement, officiellement, après le déluge. Mais chacun peut comprendre que le régime idéal n’était pas ce régime carné, mais le régime végétarien ou végétalien qu’il avait prescrit pour Adam, Eve et leur descendance terrestre. De plus, nous entendons Dieu se glorifier du fait que pendant quarante ans, nourris par la manne céleste dans le désert, Israël n’a pas été frappé par la maladie. C’est encore une leçon que l’amour de Dieu permet de relever. L’élu peut ainsi comprendre que Dieu le veut sain et en bonne santé. Car ne peut être digne du statut de « saint » que ceux qui sont « sains » de corps et d’esprit. Aussi pour répondre à cette attente, les vrais élus vont tenter de reproduire les conditions de cette vie des Israélites nourris au désert, une fois par jour, chaque matin et retire déjà là, une leçon pour le sabbat. Ce jour-là, Dieu ne donne pas de nourriture pour le corps, mais il donne une double dose la veille, le vendredi matin. La leçon donnée est que le sabbat est mis à part par Dieu, comme un signe prophétique du temps où « l’homme ne vivra plus de pain », mais uniquement « de la parole de Dieu », car il sera entré définitivement dans la vie éternelle. Et notre condition terrestre actuelle est définie par ce verset cité par Jésus, dans Mat.4:4 : « Jésus répondit : Il est écrit : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. » Depuis plusieurs années, j’ai adopté cette pratique et fait du jour du sabbat un jour de jeûne complet absolu au cours duquel j’enseigne et partage avec mes frères et sœurs en Christ, sans aucune faiblesse, la lumière révélée par notre Dieu créateur inspirateur et régénérateur.

Au désert, Dieu laissait ses créatures choisir la quantité de leur nourriture selon leur besoin et lorsque leur choix fut porté sur la viande animale des cailles, des milliers moururent par leurs excès alimentaires. Les leçons divines sont données, mais seuls « ceux qui ont des oreilles pour entendre » les leçons divines, les entendent et les mettent en pratique à leur profit personnel et pour la gloire du Dieu qu’ils aiment. A l’inverse, à l’intention des rebelles, Dieu fit dire à Esaïe dans Esa.6:10 : « Rends insensible le cœur de ce peuple, endurcis ses oreilles, et bouche-lui les yeux, pour qu'il ne voie point de ses yeux, n'entende point de ses oreilles, ne comprenne point de son cœur, ne se convertisse point et ne soit point guéri ».

L’amour est donc le partage du plaisir, ce qui implique la nécessité de connaître les goûts de l’être aimé, sans quoi, il n’est pas possible de répondre à son attente. La Bible fut écrite pour que chacun apprenne ce que Dieu tient pour agréable. Ceci dit, la réponse humaine dépend de la véritable nature de chacun de nous. Les rares élus tiennent compte de ces informations, et tout le reste des humains les ignore totalement ou partiellement. Mais le Dieu de vérité ne se contente pas de ce qui est seulement partiel et ce sera la cause des désillusions finales. L’élu n’a pas autant à redouter le combat externe que celui qu’il doit livrer à l’intérieur de lui, contre l’égoïsme, qui caractérise naturellement les héritiers du péché d’Adam et Eve. En premier, dans la nouvelle alliance qu’il instaure, Jésus a donné l’exemple de l’esprit d’abnégation qu’il veut retrouver dans la vie de ses élus. Les apôtres ont reçu et répondu positivement à cette leçon, et ils n’ont pas hésité à laisser les méchants incrédules prendre leur vie qu’ils ont offert en sacrifice vivant. Dieu a été glorifié par ce témoignage de confiance placée dans sa promesse de la résurrection finale. Car Jésus et tous ses martyrs de l’histoire humaine ont accepté de mourir plus ou moins atrocement, en raison de la foi qu’ils ont donné aux promesses divines de la « récompense finale » ; soit, au « plaisir » qu’ils retrouveraient dans le corps céleste de leur résurrection. Ayant assisté à la résurrection de Jésus, ses apôtres et ses disciples crûrent en sa promesse sans le moindre doute, sans la moindre restriction.

Aujourd’hui, nous avons le témoignage donné par ces premiers témoins de Jésus-Christ, mais nous avons dans sa révélation prophétique entièrement décryptée, l’équivalence de la résurrection de Jésus. L’ouverture de nos intelligences sur des mystères qui restent incompréhensibles pour les autres humains constitue la vivante preuve de l’amour du Christ renouvelé et adapté aux temps et aux époques. Ce « témoignage de Jésus », selon Apo.19:10, est le témoignage de son amour pour ceux que la pensée de son retour réjouit et transforme. Chaque semaine, le sabbat du septième jour le prophétise, en sorte que le nom donné à sa dernière institution universelle officielle soit, « église adventiste du septième jour », réunit les deux thèmes qui n’en font qu’un, qui concerne ce retour final attendu vainement trois fois et espéré depuis le temps des apôtres à l’époque de son ministère terrestre. C’est ce que révèle son échange avec eux relaté dans Mat.24 dont le verset 3 dit : « Il s'assit sur la montagne des oliviers. Et les disciples vinrent en particulier lui poser cette question : Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » Note bien sa première réponse, car elle est fondamentale pour décrire deux mille ans, environ, de foi chrétienne : verset 4 : « Jésus leur répondit : Prenez garde que personne ne vous séduise. » Car déjà, cet avertissement les concernaient beaucoup moins que leurs descendants jusqu’à son retour final.

Aujourd’hui, en fin du printemps 2023, éclairés par la prophétie décryptée, nous pouvons comprendre l’importance de cet avertissement donné par Jésus, puisque Dieu nous a donné de relever les preuves qui condamnent, les unes après les autres, les différentes formes des institutions religieuses chrétiennes répandues sur la terre entière, toutes victimes de la « séduction » satanique. Il reste donc, moins de six années, pour que chaque élu découvre que la révélation prophétique est une lettre d’amour adressée, par Dieu, à ceux qu’il aime, parce que leur foi et leur intérêt pour ces choses très saintes, qu’il a préparées pour eux, témoignent qu’ils l’aiment aussi très fortement. Ainsi, de même que l’aimant attire uniquement le fer et l’acier et ignore tout autre métal, par son amour, Dieu n’attire que ceux qui ont vocation et nature pour être attirés par lui. Eux seuls resteront après six mille années de sélection terrestre. C’est pourquoi, considère déjà que, comme Jésus l’a dit en son temps, tu vis entouré de morts vivants qui n’ont plus que quelques années de vie devant eux. Apprends et accepte l’idée d’une séparation définitive car, trop légers pour le jugement du ciel, tes amis et tes amours terrestres seront bientôt anéantis, détruits par la guerre, la famine, la mortalité et ses maladies, ou en dernier, au printemps 2030, au jour du retour glorieux du « Roi des rois et Seigneur des seigneurs », par le Dieu tout-puissant YaHWéH, Micaël, Jésus-Christ.

Ne crains pas de faire connaître autour de toi, l’annonce de ce retour glorieux et ses explications très simples, car cette connaissance est ton privilège auprès de Dieu et des hommes. Cette information donne à chacun et à chacune l’opportunité de révéler sa véritable nature et ceci, sans risque particulier pour toi. Dieu protège ceux qui lui appartiennent et il a besoin d’eux vivants, pour le glorifier dans cette dernière épreuve de foi « adventiste » qui a commencé au printemps 2018 et qui s’achèvera au printemps 2030.

Je ne peux quitter ce thème de l’amour de Dieu, sans évoquer ce sujet qui m’est cher, parce qu’il concerne l’amour de la vérité. C’est chez moi, une chose rattachée à ma nature, je déteste le mensonge sous toutes ses formes depuis ma naissance. Qu’il soit qualifié de blague, de fable, de bluff, il reste le mensonge détestable, parce qu’il trompe la confiance de l’être humain et ne porte que des conséquences désagréables de souffrances et de désillusions. Dieu lui donne le diable pour Père, voilà un argument qui incite à le détester, l’avoir en haine.

A l’opposé, le partage de la vérité construit la confiance de ceux qui l’entendent. Jésus-Christ a donné ce principe dans Mat.7:12 : « Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux, car c'est la loi et les prophètes. ». Aucun élu du Christ ne souhaite être trompé et il ne peut pas, lui-même, tromper son prochain. Dieu construit l’unité de ses élus sur leur partage de sa vérité et de la vérité entière, profane ou spirituelle. L’amour du mensonge est un critère des fils du diable selon Apo.22:15 : « Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ! » Dans cette dernière déclaration, Jésus confirme les deux précédentes citées dans Apo.21:8 et 27. Cette triple condamnation du « mensonge » s’applique contre toutes les créatures qui ne sont pas sélectionnées par lui au titre d’élus. Et pour ses élus, cette juste condamnation du « mensonge », par Dieu, est la réponse donnée à leur plus grand souhait ; sa réponse à leur « amour pour toute sa vérité » révélée.

A quel signe peut-on identifier l’amour ? Au fait d’apprécier la présence et le partage avec l’être aimé divin ou humain. Ceux qui s’aiment ne sont pas pressés ni désireux de se séparer. Dieu ne s’y trompe pas et il identifie ses élus par ces mêmes comportements envers lui. On le quitte à regret le soir pour mieux le retrouver dès le matin dans un corps reposé. Et les études de ses révélations sont suivies avec persévérance et fermeté. Pour un jeune couple marié, l’isolement serait l’idéal pour que loin des autres humains, ils apprennent à construire leur vie commune en s’appuyant l’un sur l’autre, mais dans la vie moderne, c’est l’opposé absolu de cet idéal qui s’est généralisé. Les êtres humains s’agglutinent dans des villes aussi terrifiantes par leur extension que par les tentations qu’elles offrent à leurs habitants. La séparation de ses élus, du monde et de ses normes, est encore due à l’amour de Dieu. Il en a donné un évident témoignage, en conduisant son premier Israël dans le désert de l’Arabie, où il était entièrement protégé des mauvaises influences des peuples païens de l’époque. Il n’est donc pas difficile de comprendre que Dieu souhaite pour ses élus chrétiens la même séparation, sinon physique, du moins mentale et spirituelle. L’élu du temps moderne actuel sait qu’au jour du retour du Christ, « en cette nuit-là, de deux personnes dans un même lit, l’une sera prise et l’autre laissée », selon Luc 17:34. Ceux qui aiment le mensonge ne partageront pas l’éternité de ceux qui aiment la vérité enseignée par Dieu dans sa sainte Bible ; fussent-ils mariés et restés fidèles l’un envers l’autre.

L’amour est la raison qui a conduit Dieu à créer des vis-à-vis libres. Cet amour se place donc au début de ses créations d’êtres vivants libres et indépendants, successivement, célestes et terrestres. Et logiquement, sa suprême importance en fait la toise et la norme du jugement divin. Dieu crée la vie libre pour sélectionner, en elle, ses élus, qu’il identifie selon l’amour qu’ils lui portent. Et l’explication que je vais développer ici en témoigne, la foi dépend de « l’intelligence ». Dan.12:3 et 10 confirment ce lien inséparable qui unit ensemble « l’intelligence » et l’élection : « Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité. …/… Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. » En quoi les élus se montrent-ils plus « intelligents » que les autres humains ? Paradoxalement, par leur attitude humble et simple qui leur permet d’accepter le statut de créatures que Dieu leur donne. Et en conséquence, leur intelligence les conduit à accepter de se soumettre au Dieu tout-puissant qui les a créés. Il s’agit d’une réaction naturelle dont les animaux eux-mêmes sont dotés et qu’on appelle l’instinct de conservation. L’homme intelligent a autant de raison que l’animal de chercher à favoriser la prolongation de sa vie. De plus, dans son engagement religieux, une bonne surprise lui est réservée : il va découvrir que son Dieu créateur sublime l’amour et la vraie justice.

Chacun sait que, selon le dicton populaire, « l’amour ne se commande pas ; il ne s’ordonne pas ». Ceci, parce qu’aimer dépend de notre nature personnelle dans laquelle notre volonté ne tient aucun rôle. Personne ne peut expliquer pourquoi on aime telle ou telle autre chose. Ceci est si vrai, qu’un autre dicton dit : « Les goûts et les couleurs ne se discutent pas ». Et c’est autant vrai pour les choses que pour les êtres vivants, humains ou animaux. Alors dans ce cas, comment expliquer ce verset de Deu.6:4-5 dans lequel Dieu déclare : «Écoute, Israël ! YaHWéH, notre Dieu, est le seul YaHWéH. Tu aimeras YaHWéH, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force. Et ces commandements, que je te donne aujourd'hui, seront dans ton cœur.» ? Et dans Mat.22:37, Jésus cite à son tour les paroles du verset 4 en rajoutant « et de toute ta pensée ». De la sorte, il témoigne qu’une unique alliance divine fondée sur ces valeurs se prolonge dans la nouvelle alliance que sa mort va instaurer. Dieu n’ignore cependant pas que l’amour ne s’ordonne pas. Alors pourquoi le fait-il ? La réponse est la suivante : sous cet aspect d’ordre donné, Dieu décrit le portrait robot des élus qu’il désire sauver et qu’il nomme « Israël » soit « vainqueur avec Dieu ». Il invite les êtres humains à répondre à ses critères sélectifs. Les élus peuvent y répondre sans problème ; mais le restant de l’humanité ne peut pas y répondre. En fait, cette description a pour but d’exclure les candidats au salut qui n’en sont pas dignes, parce qu’ils ne répondent pas aux critères du caractère qu’il exige. L’ordonnance divine « tu aimeras » condamne donc quiconque « n’aime pas » ce qui est ordonné. Et en décrivant la norme du salut, Dieu juge et condamne tout ce qui ne lui correspond pas. Des versets de la Bible mettent l’homme en garde contre la manière dont il s’approche de Dieu. Et le raisonnement de la véritable « intelligence » permet de comprendre que celui qui se réclame de Dieu sans l’aimer, comme il l’exige, commet un double péché. Ceci, parce que l’exigence divine publiée lui interdit de se réclamer de lui ; sachant que son esprit désobéissant l’en rend indigne de manière évidente et incontestable. L’obéissance et la désobéissance sont les deux points d’appui du jugement de Dieu. Le véritable amour est naturellement obéissant et les élus qui aiment Dieu et ses vérités bibliques de manière naturelle n’ont pas de difficultés majeures pour se conformer aux exigences divines révélées. De même, à l’opposé, l’être rebelle qui ne sait pas aimer Dieu, selon sa norme, lui désobéit et se revendiquant néanmoins de lui, pour son salut, son engagement religieux le rend plus coupable qu’un humain athée vraiment incroyant. Ce verset de Jean 17:3 confirme totalement cette analyse : « Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. » Connaître Dieu, c’est connaître son exigence du véritable amour qui obéit et met en pratique toute sa divine volonté. Cet autre verset de 2 Tim.2:19 dit la même chose, en ajoutant une sévère mise en garde contre « l’iniquité » : « Néanmoins, le solide fondement de Dieu reste debout, avec ces paroles qui lui servent de sceau : Le Seigneur connaît ceux qui lui appartiennent ; et : Quiconque prononce le nom du Seigneur, qu'il s'éloigne de l'iniquité. ». Or cette « iniquité » commence déjà dans le fait de se réclamer du salut de Jésus-Christ alors que la désobéissance, qui rend l’appelé indigne, lui interdit de le faire. Et le 3e commandement confirme cette interdiction en disant dans Exo.20:7 : « Tu ne prendras point le nom de YaHWéH, ton Dieu, en vain ; car YaHWéH ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain ».

Dans sa parabole des deux fils, Jésus confirme que l’amour obéissant constitue le témoignage qui lui permet de justifier ses élus. Nous la trouvons dans Mat.21:28 à 31 : « Que vous en semble ? Un homme avait deux fils ; et, s'adressant au premier, il dit : Mon enfant, va travailler aujourd'hui dans ma vigne. Il répondit : Je ne veux pas. Ensuite, il se repentit, et il alla. S'adressant à l'autre, il dit la même chose. Et ce fils répondit : Je veux bien, seigneur. Et il n'alla pas. Lequel des deux a fait la volonté du père ? Ils répondirent : Le premier. Et Jésus leur dit : Je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le royaume de Dieu. » Les Juifs auxquels Jésus s’adresse donnent à Jésus la bonne réponse. Ce faisant, ils témoignent qu’ils sont sains d’esprits et donc terriblement coupables, parce qu’ils se comportent eux-mêmes en fils désobéissants qui disent à Dieu : « je veux bien » te servir, mais ne le font pas. Ces deux fils symbolisaient initialement les serviteurs de Dieu des deux alliances. Le premier fils était l’image des païens restés en dehors du service de Dieu, mais ensuite au temps fixé pour leur conversion, ils se montrèrent extrêmement zélés pour son œuvre dans laquelle ils allaient entrer par Jésus-Christ. Le deuxième fils désignait l’Israël juif, auquel Jésus se présentait pour achever le projet salvateur de Dieu. En annonçant que ce fils là dit « Je veux bien seigneur, mais il n’alla pas », Jésus prophétisait le refus de la nation juive de le reconnaître au titre de Messie envoyé par Dieu. C’est pourquoi, son jugement est exprimé en ces termes : « Je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le royaume de Dieu. » Mais cette parabole s’accomplit de nouveau dans la nouvelle alliance et les deux fils y sont encore représentés, cette fois, dans la foi chrétienne. Entre l’appelé élu et l’appelé déchu, c’est encore la sanctification soit, l’obéissance concrète mise en pratique qui fait la différence et justifie l’élection dans la sélection divine.

Lorsqu’une de ses créatures se réclame de lui, Dieu connaît ses œuvres et l’aspect que prend sa foi. L’élu obéit et le glorifie, mais qu’en est-il de celui qui lui désobéit ? Sa prétention au salut prend la forme d’une « arrogance » que Dieu punit finalement par la mort et surtout, par la « seconde mort ».

Pour bien comprendre la pensée de Dieu, reprenons son projet salvateur au début. Dans Apo.17:8, nous relevons que Dieu connaît les noms de tous ses élus rachetés par le sang de Jésus-Christ au cours des 6000 années réservées à cette action de sélection. C’est donc pour le restant, qui concerne les incroyants, les incrédules, et les rebelles, qu’il organise un programme de développement évolutif. Car le projet créationniste divin a deux buts principaux : le premier consiste à sélectionner ses élus éternels, et le second concerne le jugement et la destruction définitive des non sélectionnés. Le jugement de Dieu n’offre toujours que ces deux choix opposés dans l’absolu : « la vie et le bien ; la mort et le mal ». Nous devons le réaliser, mais « l’image de Dieu » ne s’est trouvée en Adam qu’avant le péché originel. Ce péché ayant été commis, il a perdu cette « image de Dieu » qui a été remplacée, en lui, par celle du diable, auquel il a préféré obéir. Cette « image de Dieu » ne s’est retrouvée dans un être humain qu’en Christ, l’ange Micaël incarné en Jésus. En mangeant du fruit de « l’arbre de la connaissance du bien et du mal » symbole du diable rebellé, Adam était devenu à son tour, après Satan, un « arbre de la connaissance du bien et du mal » qui ne pouvait que transmettre à sa postérité, son funeste héritage de mort et de malédiction. Après lui, la réconciliation avec Dieu ne pouvait être obtenue que par l’œuvre de rédemption fondée sur Jésus-Christ et son sacrifice volontaire expiatoire. Et jusqu’à sa venue sur terre, des sacrifices animaliers l’ont précédé et symbolisé depuis Adam. Et c’est dans ce ministère salvateur, qu’en Christ, Jésus témoigne de l’immense amour de Dieu, pour ses élus, qu’il vient sauver en expiant leurs péchés à leur place.

L’amour de Dieu ainsi démontré est d’une telle ampleur, que seuls ses élus peuvent estimer et apprécier sa valeur. Il est, en effet, scandaleux de voir l’amour de Dieu être exploité et revendiqué par des créatures, qui s’en montrent totalement indignes en réduisant le salut à une simple étiquette religieuse. Ceux qui enseignent ces choses ressemblent plus aux Romains, qui plantaient froidement des clous dans les poignets et les pieds des crucifiés, qu’aux humbles apôtres de Jésus-Christ, dont ils se réclament, cependant, comme héritiers historiques légitimes. Ils ignorent qu’ils sont jugés par le Dieu de Vérité, l’Esprit saint auquel rien n’est caché ni capable de l’être. Pour ses élus, il ne fait aucun doute que ce Dieu parfait saint et juste a jugé et condamné ces êtres indignes ; ses Révélations prophétiques en témoignent. Mais l’exécution de sa sentence ne s’accomplit qu’au temps qu’il choisit pour le faire. Aussi, dans l’attente de ce moment, la religion chrétienne monothéiste doit conserver son aspect « confus » qui en fait l’héritière des habitants de la tour de « Babel ».

Avant de révéler son amour au niveau sublimé, notre Père céleste a du préparer son peuple de l’Israël national charnel. En effet, nous ne pouvons que reconnaître l’énorme changement constatable entre la manière dont Dieu était généralement regardé et jugé par les hommes de l’ancienne alliance et ceux de la nouvelle. Les conceptions de Dieu sont opposées dans l’absolu. Autant, dans l’ancienne alliance, on a gardé le souvenir du Dieu terrifiant qui a parlé du haut du mont Sinaï, autant dans la nouvelle alliance, la multitude des faux croyants ne croient plus que Dieu soit capable de punir, de tuer, et encore pire, d’exterminer. Et ce résultat est dû au regard porté sur le Christ crucifié, faible et fraternel. Il fallait donc que Dieu prépare, entre ses deux alliances, un message qui permette à ses élus de comprendre la raison de cet énorme changement que la nouvelle alliance allait provoquer, afin qu’ils puissent l’accepter et s’y conformer. Ce message, c’est celui que Dieu enseigne par le témoignage de Job, son « fidèle et intègre serviteur ».

En fait, quelle était la pensée des Juifs de l’ancienne alliance au sujet du péché et du châtiment divin ? Les trois amis que Job rencontre pendant son douloureux témoignage, s’accordent tous sur ce point : si Job est frappé par Dieu, c’est qu’il a péché contre Dieu. Et cette pensée était dans l’immense majorité des Juifs et la chose est justifiée, parce que les écrits de Moïse n’enseignent nulle part que l’innocent doit être puni par Dieu ; tout du moins, dans les articles de ses lois, car sans que les Juifs l’aient clairement compris ou relevé, les rites des sacrifices des animaux innocents enseignaient déjà la pensée qu’une victime innocente pouvait se substituer à l’homme pécheur, pour porter et expier à sa place ses péchés. Et donc, à l’extrême opposé, dans la nouvelle alliance, le faux christianisme en est arrivé à condamner la pensée que Dieu punit le péché. La vérité était bien sûr entre ces deux pensées opposées à l’extrême. Et Dieu se sert de l’expérience de Job en ouvrant pour nous le ciel, puisqu’il nous fait découvrir un dialogue qu’il partage avec Satan, son ennemi. Dans ce témoignage, avant de le frapper, Dieu confirme son jugement sur Job qu’il juge « fidèle et intègre ». Et il nous fait découvrir pourquoi un être innocent comme lui est frappé par Dieu. Pour sa part, Job ignore tout de ce défi qui oppose Satan à Dieu et dans lequel il est avant Christ comme les « deux boucs » du « jour des expiations » fait péché soit, traité comme un pécheur. Le but de cette leçon est de permettre à ses élus de comprendre pourquoi, en l’an 30 de notre ère, le Christ est mort, crucifié le Mercredi 3 Avril, la veille du sabbat de la fête de la Pâque. Car, à son tour, le Christ, parfait et innocent, va mourir pour expier les péchés de ses élus. Et après lui, ses apôtres et ses disciples vont aussi mourir, tués bien qu’innocents. Mais hélas, la nature humaine tombe toujours dans les excès, et la conséquence perverse de ces témoignages de la Bible et de l’histoire fait que la pensée chrétienne générale de notre temps considère, qu’être frappé de mort, pour sa foi, constitue une preuve de l’authenticité de cette foi. Et rien n’est plus faux que ce raisonnement. En fait, la mort et son acceptation ne prouvent absolument rien dans notre époque. Elle prouvait la vraie foi dans les temps des persécutions, mais depuis l’instauration de la paix religieuse après 1800 et 1844, la vraie foi est démontrée par l’amour de la vérité enseignée dans la sainte Bible, et notamment, depuis 1843, par l’amour des vérités contenues dans les textes des prophéties de cette sainte Bible. Le passage de la loi à la foi était aussi celui du passage du Dieu « dur » au Dieu « amour ». Cependant la vérité était encore différente, car cette dureté de Dieu dans l’ancienne alliance était accompagnée déjà de nombreuses preuves de son amour. Mais pour comprendre cette « dureté » imputée à Dieu, nous devons entendre, comment et à qui, Dieu impute ce genre de pensée. Dans sa parabole, Jésus attribue ce regard injuste porté sur Dieu, au serviteur infidèle qu’il rejette et condamne. Et cette révélation impute ce méchant jugement, qui estime que Dieu est « dur », aux Juifs rebelles de l’ancienne alliance, mais aussi après eux, aux faux chrétiens rebelles de la nouvelle.

En réalité, Dieu est toujours resté le même Dieu amour, mais il devait former ses élus par deux leçons successives fondées sur la nécessité du respect de la parfaite justice. Dans l’ancienne alliance l’élu apprend les normes des lois divines soit, la norme de l’obéissance exigée. Dans la nouvelle alliance, l’élu voit Dieu payer, à sa place, le prix qu’exige sa parfaite justice. Il offre sa vie en Christ pour racheter les péchés de ses élus afin de pouvoir, les sauver, légalement, en les purifiant pour qu’ils soient en état de dignité de partager son éternité.

Cette étude vient nous révéler le fait que le livre de Job est, non seulement, le récit d’une expérience de sublime fidélité, mais en plus, une leçon prophétique révélée. Car son grand intérêt est de présenter une révélation, qui témoigne que Dieu annonce le comportement futur des Juifs contemporains du Christ. De plus, il révèle la nature de la faute principale que la nation va commettre, collectivement, en ciblant le préjugé, selon lequel : le châtiment est, uniquement, causé par le péché de celui qui est châtié. Et l’intérêt, de cette révélation, est très grand pour notre époque, en laquelle les mêmes préjugés trompent des multitudes de faux Chrétiens et fausses religions. Mais, faut-il nous étonner de cela ? La Genèse ne fait que prophétiser au long des sept jours de la création ; tous les éléments créés sont autant de symboles prophétiques du projet du salut et de ses conséquences terrestres. De plus, en symbolisant la Bible et ses écrits des deux alliances, Dieu leur donne le titre de ses « deux témoins » dans Apo.11:3 et au verset 10 de ce chapitre 11, nous lisons : « Et à cause d'eux les habitants de la terre se réjouiront et seront dans l'allégresse, et ils s'enverront des présents les uns aux autres, parce que ces deux prophètes ont tourmenté les habitants de la terre. » Les « deux témoins » sont donc pour Dieu, ses « deux prophètes ». Et nous pouvons alors comprendre que tout ce qui a été écrit pendant les deux alliances, dans cette Bible a un but prophétique. Et que tout cet enseignement est comme des fils d’amour qui tissent le vêtement de justice exigé pour le statut d’élus de ses appelés rachetés.

A la fin du récit de l’expérience de Job, Dieu révèle son jugement sur le comportement des quatre personnes mises en scène. Il condamne les trois amis et justifie Job. Au jour du Christ ressuscité, Dieu va condamner la nation juive et ses trois bergers : le pouvoir civil, le clergé, et les faux prophètes, et il justifiera à l’opposé, le ministère de Jésus et la foi de ses apôtres. Leur tristesse sera changée en joie suprême et le doute sera balayé et remplacé par la certitude. Ainsi, de la même manière et pour les mêmes raisons, en leur temps, Job, Christ et ses élus obtiennent la récompense de la vraie et authentique fidélité. Et nous avons vu dès le commencement de l’étude de ce thème du véritable amour que la fin du programme du salut mis en œuvres par Dieu vaut mieux que le commencement, parce que c’est dans cette fin que le camp de la lumière obtient sa récompense ; celle qui justifie l’amour, pour Dieu et pour ses créatures.

Dans cette leçon du livre de Job, il nous faut relever une chose importante. Job et ses trois amis veulent honorer le grand Dieu créateur et rappellent les raisons de l’honorer. Ceci concerne également les différentes religions chrétiennes ou monothéistes actuelles. Cependant, Dieu condamne les trois amis, et justifie Job. La différence du jugement de Dieu repose donc bien sur la nature différente des quatre hommes. Ayant de Dieu la vision d’un Dieu dur, les trois amis prophétisent, idéalement, les Juifs incrédules qui attendaient du Christ qu’il entre en lutte ouverte guerrière contre les Romains de son temps. Ils étaient donc incapables de comprendre que Jésus venait sur terre, uniquement, pour un combat spirituel, car il ne venait que pour apporter la grâce divine obtenue par sa mort expiatoire. Les religieux charnels de notre temps sont également incapables de donner une priorité aux valeurs strictement spirituelles. A l’opposé, les Jobs de notre temps s’en montrent capables et Dieu les bénit en leur donnant toujours plus de lumière, en sorte que la Bible devient le chapeau du magicien divin qui fait apparaître les explications des leçons mal comprises et mal interprétées pendant des milliers d’années.

Ce rôle de Job, qui prophétise Jésus-Christ, me conduit à comprendre pourquoi, dans Ezéchiel 14, Dieu cite, pour modèle de ses élus, ces trois noms ; « Noé, Daniel, et Job ». Ils sont tous des « prophètes » pour Dieu, et sont porteurs d’un aspect du Christ et leurs trois noms prophétisent trois aspects successifs de son œuvre : « Noé » est l’élu type du racheté qui prophétise auprès des antédiluviens ; « Daniel » est l’élu type du racheté qui prophétise pour les deux alliances ; et « Job » est l’élu type du racheté qui prophétise le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ. Son expérience prépare la compréhension des paroles contenues dans Esaïe 53:3 à 9 : « Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; et nous l'avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie ; et YaHWéH a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous. Il a été maltraité et opprimé, et il n'a point ouvert la bouche, semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent ; il n'a point ouvert la bouche. Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment ; et parmi ceux de sa génération, qui a cru qu'il était retranché de la terre des vivants et frappé pour les péchés de mon peuple ? On a mis son sépulcre parmi les méchants, son tombeau avec le riche, quoiqu'il n'eût point commis de violence et qu'il n'y eût point de fraude dans sa bouche. »

Le sage roi Salomon appelé l’Ecclésiaste a dit dans son livre de ce nom : « « rien n’est nouveau sous le soleil ; ce qui est a déjà été ». Sous l’inspiration de Dieu, Salomon ne parlait pas des innovations techniques apparues seulement depuis le milieu du 19ème siècle. Il tenait ces propos au sujet des comportements des créatures angéliques et humaines. Car, leurs attitudes mentales sont constantes quelques soient les époques. Et Dieu les voit renouveler les mêmes péchés produits par des esprits rebelles comparables les uns aux autres. Et parmi des multitudes, il trouve ses élus, peu nombreux, mais qui, seuls, justifient son plan du salut. Car c’est afin de les sélectionner, qu’il fait preuve d’une patience toute divine envers des êtres dont les actions ne cessent de l’irriter. Et dans sa divine sagesse, il a organisé son projet sélectif en offrant à l’humanité le témoignage d’une expérience terrestre unique, qui a vocation à être connue de tous les êtres humains. Dieu s’est donné sur la terre, un peuple qu’il a enseigné et dirigé divinement, dans sa puissance et sa norme divine. Ce fait est en lui-même, un authentique miracle, car aucun autre peuple de l’histoire terrestre n’a connu ce privilège.

Il a donné à ce peuple le nom « Israël » qu’il avait déjà donné au patriarche Jacob après qu’il eut lutté contre lui pendant la nuit.  Jacob ayant longtemps résisté dans ce combat, Dieu met fin à la lutte en le frappant sur la hanche. Jacob découvre qu’il lutte contre Dieu et il lui demande de le bénir. Dieu prononce alors sa bénédiction et il lui donne pour nom « Israël », ce qui signifie : vainqueur avec Dieu. Ce nom concerne donc en premier, Jacob lui-même, mais, à titre symbolique prophétique, ce nom va aussi désigner, spirituellement, le rassemblement des élus sélectionnés jusqu’au retour de Jésus-Christ, au printemps 2030.

Le peuple qui sort de l’esclavage égyptien reçoit aussi ce nom. Mais, ce ne sont pas que des élus qui sortent de ce pays, car les vrais élus sont mêmes très rares dans cette multitude libérée par Dieu. Cette population qui descend charnellement d’Abraham est à l’image des autres hommes dispersés sur toutes les terres habitées. Ils ne sont pas meilleurs ni pires, et ils constituent ainsi rassemblés, un échantillon de toutes les normes des caractères et des natures humaines, avec toutes leurs qualités et leurs défauts. Et cette précision est importante pour comprendre le comportement incrédule et rebelle que ce peuple va démontrer pendant les 1500 années de son alliance passée avec Dieu. Israël avait la connaissance intellectuelle des enseignements divins, mais il avait aussi, la nature rebelle des autres peuples de la terre. C’est pourquoi, les 1500 années de son expérience et de son comportement envers Dieu constituent un modèle de référence pour tous les peuples de la terre. Mais ce modèle est celui des fautes et des péchés perpétuellement commis au cours de son histoire. Et dans le récit de la Bible qui rapporte ses expériences, nous trouvons de temps en temps, des vrais élus sélectionnés par Dieu. Ils se démarquent du reste du peuple par leur fidélité exemplaire.

Quand Salomon déclare, « rien n’est nouveau sous le soleil », il désigne les fautes commises par Israël ; fautes que les hommes vont reproduire, au cours de la nouvelle alliance. Les pécheurs de notre époque n’ont rien inventé. Les pécheurs de Sodome et Gomorrhe et ceux de la nation juive, les ont devancés. C’est pourquoi, l’Israël charnel reste le modèle de référence de l’attitude rebelle que Dieu condamne jusqu’à le détruire, en l’an 70 de notre ère par les troupes romaines contre lesquelles ils se révoltaient continuellement, après s’être opposés  directement à Dieu qui était caché dans l’homme Jésus-Christ.

Après cette expérience juive, sur toute la terre, des êtres humains, qui la découvre en lisant la Bible, sont en possibilité de connaître et découvrir le caractère du Dieu vivant invisible. Elle mérite donc son nom de « deux témoins » ou « deux prophètes » que l’Esprit lui donne dans Apo.11:3 et 10, car son rôle est de témoigner et de prophétiser l’avenir pour Dieu, puisque les fautes du passé vont immanquablement être renouvelées par tous les êtres humains de nature rebelle et ingrate. Mais heureusement pour les élus, les récits de la Bible, témoignent aussi constamment de l’amour patient de Dieu. Car il fait la différence entre ses serviteurs. Il bénit les fidèles et les inonde de sa lumière, et plonge dans les ténèbres de l’ignorance et de l’incompréhension ceux qui sous-estiment, donc méprisent, sa puissance, sa gloire, sa volonté révélée et exprimée, et ses très saintes révélations prophétiques.

En conservant pour tous les temps ce modèle juif comme référence, sachant que « Dieu ne change pas » comme il l’affirme dans Mal.3:6, tout être humain est en capacité de savoir comment Dieu le juge. Le grand Dieu créateur peut ainsi le sélectionner, s’il l’en trouve digne, ou au contraire, le laisser suivre une voie rebelle contredisante qui le conduit à la destruction définitive finale. Et c’est ainsi, qu’en constatant leurs œuvres, il peut les partager en deux camps opposés dans l’absolu. Il place à sa droite, côté de sa bénédiction, ceux qu’il juge « intelligents », et il place à sa gauche, côté de la malédiction, ceux qu’il juge « méchants ». Ce sujet mérite d’être souligné, car le contraire de « l’intelligent » c’est l’ignorant ou le stupide. Mais Dieu choisit lui de lui opposer « le méchant », ce qui lui permet de révéler en même temps, deux sortes d’oppositions d’importance majeure pour lui. Par déduction, nous comprenons que les deux camps opposent, des gentils aux « méchants » soit, les bons aux mauvais, et des « intelligents » à des ignorants stupides. Et si Dieu dénonce les « méchants », c’est parce que leur méchanceté s’applique, en premier, contre lui.

Dieu est amour, pleinement et parfaitement amour. Aussi, pour rejeter un tel amour, il faut réellement être « méchant », ingrat et insensible. Cette norme de caractère n’est visiblement pas adaptée pour favoriser une relation avec lui. Mais en creusant un peu plus la réflexion, qu’y a-t-il dans l’esprit de ces personnes ? Un terrible désir d’indépendance et de totale liberté. Souvent les incrédules nous disent : « j’aimerai croire, mais je n’ai pas la foi ». Ils se trompent au sujet de la foi en croyant que c’est un don qui tombe du ciel. La foi est une démonstration de la véritable « intelligence » qui tient compte de toutes les données d’un problème et adopte le comportement exigé. Dieu ne donne pas la foi puisqu’il vient la chercher chez les hommes et celle qu’il trouve et agrée parmi eux est nourrie et donc, augmentée par lui. Ceux qui prétendent ne pas arriver à croire se paralysent eux-mêmes par la peur de perdre une partie ou toute leur sacro sainte liberté. Ils savent au fond d’eux-mêmes, que s’approcher du Dieu qui contrôle tout, dirige tout et juge tout, va forcément nécessiter d’abandonner et de perdre leur liberté. Ils se cachent donc derrière ce faux prétexte : « je n’arrive pas à croire ». Mais à quoi Dieu leur demande t-il de croire ? Rien d’autre qu’au témoignage historique écrit par des hommes au cours des 1600 années de la rédaction de la sainte Bible. Dans la vie profane, les appuis et les références aux récits de la Bible sont nombreux. Notre calendrier prétend avoir été fondé sur la naissance de Jésus-Christ et la semaine de sept jours qui rythme notre existence a son fondement dans les sept jours de la création divine originelle. Les dates des événements relevés par les historiens de l’ère chrétienne sont toutes établies sur ce calendrier chrétien. Il n’est donc pas plus difficile de croire à l’existence historique du personnage Jésus-Christ qu’à celle de Vercingétorix, de Jules César, ou de Charlemagne. La capacité de croire n’est donc pas en cause et reste uniquement, un prétexte pour justifier le refus de s’engager dans l’obéissance envers Dieu. Et dès lors, parce qu’ils méprisent et rejettent son amour magnifié en Jésus-Christ, Dieu les désigne, à juste raison, comme étant les « méchants ».

Et pour comprendre qu’en opposition aux élus que Dieu dit « intelligents », leur comportement et leur choix sont stupides et insensés, ces « méchants » connaissent une fin misérable qui révèle et confirme clairement leur stupidité. Au temps de Noé, en lequel la démonstration a été faite, le refus d’obéir à la volonté de Dieu a conduit les multitudes rebelles à mourir noyées avec tous les animaux sous les eaux du déluge.  Mais au même moment, « l’intelligent » Noé et sa famille survivaient dans l’arche préparée et construite sur l’ordre de Dieu. Cet exemple présente aux êtres humains la conséquence que leur position spirituelle va porter, dans tous les temps, jusqu’à la fin du monde marquée au printemps 2030, par le retour visible céleste et glorieux de notre divin Sauveur et Seigneur Jésus-Christ.

 

 

 

Les leçons bibliques cachées non exprimées

 

Ces leçons non exprimées sont subtiles et extrêmement précieuses pour faire un bon usage de la Bible.  En fait, elles n’ont pas été clairement formulées, mais seulement suggérées par les enseignements donnés par Jésus-Christ.

Nous savons que la Bible se présente à nous sur la base de « deux témoins » ou « deux témoignages » successifs que l’humanité nomme injustement « deux testaments », parce que celui qui « atteste » est resté en vie constamment. Car si le corps physique de Jésus pouvait mourir et ressusciter, l’Esprit de Dieu qui était incarné en lui, était, lui, par nature, immortel. Donc, pour Dieu, les « deux témoins » sont les fondateurs des deux alliances ; pour la première, Moïse, qui reçoit la connaissance de la loi divine et pour la seconde, Jésus-Christ, qui vient valider le pardon des péchés.

En fait, ce découpage a été prophétisé par Jésus dans sa parabole des « vignerons ». Pendant le ministère de l’ancienne alliance, Dieu le Maître de la vigne, envoie ses serviteurs, ses prophètes, vers les vignerons de l’état national Juif. Ils sont tous persécutés et mal reçus par les vignerons. Voyant cela, le maître de la vigne décide d’envoyer son propre fils et son témoignage est traité comme ceux des serviteurs précédents. Ici ce fait, en réalité, la transition du passage de l’ancienne alliance à la nouvelle ; soit, au moment de la mort du Christ. Le Maître de la vigne enlève la gestion de sa vigne aux vignerons de la nation juive, et la donne aux nouveaux vignerons païens convertis.

Cette parabole nous permet de mieux comprendre comment le projet du salut s’accomplit et s’organise. Car sur le plan pédagogique, les leçons à retirer sont vitales.

La première de ces leçons consiste à remettre en cause le découpage biblique des deux alliances. S’il est vrai que les Evangiles relatent l’expérience de Jésus-Christ de sa naissance jusqu’à sa résurrection, il est aussi vrai, que le temps compris entre sa naissance et sa mort s’accomplit sous les normes de l’ancienne alliance. En réalité, l’ancienne alliance ne cesse qu’au moment de la mort de notre Sauveur Jésus-Christ. En sorte que le temps de l’ancienne alliance couvre presque tout le temps du récit des Evangiles. Et ceci mérite d’être relevé, car la leçon donnée nous rappelle que la norme du salut est juive. Les serviteurs et le fils envoyés par Dieu étaient des Juifs de l’ancienne alliance. Et Jésus veille pendant tout son ministère à respecter, honorer, et faire respecter par ses apôtres et ses disciples, les lois de l’ancienne alliance. Au sens spirituel, les Evangiles sont donc rattachés à l’ancienne alliance. Ceci confirme la leçon présentée dans le chapitre « le véritable amour ». Le modèle de l’homme sauvé est celui du Juif converti et préparé successivement par Jean Baptiste et par Jésus-Christ.

Jean Baptiste attire l’attention de ses contemporains sur la nécessité de mettre fin à la pratique du péché. Selon Matt.3:2 et 8, Son message est : « Repentez-vous ! Car le royaume des cieux est proche… Produisez donc du fruit de repentance ! ». Il instaure le rite du baptême dans lequel le baptisé témoigne de son choix et de sa décision de produire « le fruit de repentance ». Après lui, selon Matt.4 :17, Jésus, le « fils » de la parabole, entre dans son « témoignage ». Il dit à son tour : « Repentez-vous ! Car le royaume des cieux est proche ». En apparence, Jésus agit comme un disciple de Jean puisqu’il reprend mot pour mot son message. Cependant, Jean avait témoigné au sujet de Jésus qu’il « n’était pas digne de délier ses chaussures » ; ceci en raison de la divinité cachée de Jésus-Christ ; mais aussi, malheureusement pour lui, parce que Jean allait donner la preuve de son manque de foi en lui faisant demander depuis sa prison, selon Mat.11:3 : « Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? » C’est la question qui tue et le tue. Dans Mat.11:11, Jésus finit par déclarer à son sujet : « Je vous le dis en vérité, parmi ceux qui sont nés de femmes, il n'en a point paru de plus grand que Jean Baptiste. Cependant, le plus petit dans le royaume des cieux est plus grand que lui. » Je crois pouvoir dire que personne n’a relevé avant moi, cette terrible condamnation de Jean-Baptiste par Jésus-Christ lui-même. Et cette sentence permet de comprendre pourquoi, Jean-Baptiste meurt décapité à la demande de Salomé, la fille de l’épouse adultère du roi Hérodias. Dieu ne pardonne pas à Jean son manque de foi, car il est inexcusable, ayant entendu lui-même les paroles de Dieu venues du ciel, citées dans Matt.3:16-17 : «Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l'eau. Et voici, les cieux s'ouvrirent, et il vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui. Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection. » Selon Mat.17:5, à leur tour, sur la montagne de la transfiguration, Pierre, Jacques et Jean entendent les mêmes paroles : « Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection : écoutez-le ! ».

La juste sévérité de Dieu s’applique contre Jean-Baptiste, en raison même de l’énorme responsabilité que son ministère de prophète lui impose. Chargé de préparer un peuple pour la foi, il manquait lui-même de cette foi indispensable, au sujet de laquelle Héb.11:6 déclare : « Or sans la foi il est impossible de lui être agréable ; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. »

La foi ne consiste pas seulement à croire que Dieu existe. Ce que Dieu appelle la foi est un comportement global logique et cohérent de ses serviteurs. Celui qui croit que Dieu existe et qu’il est « le rémunérateur de ceux qui le cherchent », évite de le déshonorer et au contraire fait tous ses efforts pour le glorifier et lui être agréable. Comme beaucoup d’être humains, avant et après lui, Jean-Baptiste était trop superficiel et il ne sut pas placer sa confiance en Dieu et en son témoignage miraculeux. Son mauvais témoignage personnel était d’autant plus grave que sa mission consistait précisément à préparer le peuple juif à passer du ministère de la loi à celui de la foi. Mais on oppose à tort ces deux choses. Car la foi en Christ ne fait pas abandonner la pratique obéissante envers Dieu. Tout au contraire, elle la renforce en lui donnant une motivation d’amour.

L’apparente opposition que Paul souligne dans ses écrits entre « la loi et la foi » ou « la grâce » est mal comprise. Paul considère sous la loi, la religion juive sans Jésus-Christ soit, la norme religieuse uniquement fondée sur le rachat des péchés obtenu par des sacrifices animaliers. Selon Dan.9:27, « au milieu de la semaine » d’années de son ministère et « au milieu de la semaine » pascale, par sa mort, le 3 Avril 30, Jésus instaure le début de la nouvelle alliance fondée, cette fois, sur l’offrande de son propre sang. Son sacrifice expiatoire volontaire fait cesser les rites « des sacrifices et des offrandes » animaliers, comme le précise ce début du verset de Dan.9:27 : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et au milieu de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; » En citant, « le sacrifice et l’offrande », au singulier, Dieu désigne, particulièrement, « le sacrifice et l’offrande », que la loi divine appelle « le sacrifice  perpétuel », qui était offert continuellement le matin et le soir dans l’ancienne alliance ; ce que Jésus remplace par son intercession perpétuelle et qu’il confirme en disant dans Mat.28 :18 à 20 : « Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. »

L’instauration de la nouvelle alliance a donc réellement apporté des changements dans la religion juive. Mais ces changements ne sont que ceux que la mort du Christ impose soit, des changements relatifs aux seuls rites des sacrifices animaliers et des fêtes religieuses annuelles dont le rôle prophétique cesse parce que leur accomplissement est réalisé en l’incarnation et la mort expiatoire de Jésus-Christ.

L’aspect même de la Bible nous donne une leçon. Les textes de l’ancienne alliance sont beaucoup plus importants que ceux de la nouvelle. La raison est que ceux de l’ancienne alliance enseignent la norme religieuse du vrai Dieu. Par ces enseignements, Dieu construit et forme ses serviteurs pour qu’ils lui obéissent et portent la nature de sa sainteté. Après cette préparation de ses serviteurs, Dieu vient en Jésus-Christ accomplir une formalité douloureuse pour lui, indispensable et inévitable, pour sauver, légalement, ses élus de toute l’histoire humaine. Et c’est seulement à l’heure de sa résurrection, que Jésus met en action son Eglise de rachetés. Elle est instaurée sur la base de ses « 12 apôtres » jusqu’à la fin du monde, mais prophétiquement, seulement jusqu’en 1843 ; date en laquelle les élus sanctifiés prennent pour symbole, l’aspect de « 12 tribus » selon Apo.7.

Le passage de la loi à la foi, est aussi celui de l’ouverture aux païens qui se convertissent à la religion du Christ. Mais la transition se fait par un chevauchement du temps donné à la nation juive et de celui de l’ouverture aux païens. La prophétie de Daniel fait achever la semaine d’années du ministère de Jésus-Christ dans l’automne de l’an 34. A ce moment, Dieu donne deux signes messagers ; la mort du diacre Etienne et la Pentecôte. La mort d’Etienne ferme la grâce de la nation juive. Et la pentecôte authentifie l’autorité spirituelle des apôtres de Jésus-Christ. Ce n’est qu’après ces deux signes, qu’ensuite, Dieu fait entrer des païens convertis dans son Eglise chrétienne. Et là, ils reçoivent le baptême et l’enseignement de la « loi de Moïse », selon Actes 15:19 à 21 : « C'est pourquoi je suis d'avis qu'on ne crée pas des difficultés à ceux des païens qui se convertissent à Dieu, mais qu'on leur écrive de s'abstenir des souillures des idoles, de l'impudicité, des animaux étouffés et du sang. Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu'on le lit tous les jours de sabbat dans les synagogues. » Là encore, Dieu m’a accordé le privilège de relever l’importance de ce verset 21 qui confirme le prolongement de l’enseignement de la « loi de Moïse » aux chrétiens venus du paganisme. Nous devons bien comprendre le but de la lettre écrite par Jacques. Elle ne vise pas à remplacer la « loi de Moïse », mais à résumer quelques principes essentiels qui consistent à « s'abstenir des souillures des idoles, de l'impudicité, des animaux étouffés et du sang » ; toutes choses non respectées dans l’enseignement donné par les Evêques de Rome, les Orthodoxes et les églises protestantes actuelles. Ces formes différentes du faux christianisme ne respectent donc pas les bases doctrinales originellement prescrites pour la nouvelle alliance. Mais cet irrespect actuel n’est apparu que dans l’apostasie du christianisme rendu libre par l’empereur romain Constantin en 313, par son décret de « Milan » qui a mis fin à leurs dix années consécutives de persécutions commencées en 303. Sa paix a instauré le péché légitimé et légalisé par le papisme romain établi en 538.

J’insère ici, cette note concernant la « loi de Moïse », car cette expression déforme la réalité des faits. En effet, Moïse n’est pas l’auteur des cinq livres qui lui sont rattachés. Il en fut seulement le scribe, car son rôle consista, simplement, à écrire sur des rouleaux de parchemin les paroles que Dieu lui a dictées au cours de leur rencontre, dans la tente d’assignation soit, dans le tabernacle qui précéda, originellement, le Temple bâti par le roi Salomon. Les expressions sont trompeuses, car en fait de « loi de Moïse », il s’agit en vérité, de la « loi de Dieu » ; ce qui lui donne un caractère plus redoutable, car la mépriser revient à mépriser Dieu, son véritable auteur. En regard de synthèse sur la Bible entière, la « loi de Moïse » se détache de tous les autres livres en raison de l’aspect complet de ses enseignements. Toutes les leçons que Dieu veut faire connaître à l’homme sont présentées dans ces cinq livres : « Genèse », la Création, Adam, le déluge, Abraham, Israël ; « Exode », Moïse, la sortie d’Egypte, les dix commandements de Dieu et le séjour de 40 ans au désert ; « Lévitique », les lois divines sacrificielles et sanitaires ; « Deutéronome et nombres », les récits de la vie au désert, les bénédictions et les malédictions divines du premier temps de l’Israël charnel instauré par Dieu soit, le témoignage historique du comportement du premier Israël.

Ce qui rend la « loi de Moïse » si complète, c’est qu’elle contient à la fois, la norme des lois approuvées et imposées par Dieu à ses créatures terrestres, mais aussi, le témoignage historique du comportement des acteurs de cette sortie d’Egypte. La « loi de Moïse » avait donc déjà dit tout ce qui devait être dit ; l’homme est averti par ses témoignages et il doit savoir que les jugements effectués par Dieu sont appliqués sans faiblesse avec justice.

Avec le livre des « Juges », la Bible ouvre le témoignage de l’histoire de l’ancienne alliance qui va se prolonger jusqu’au temps de la mort de Jésus-Christ. Les autres livres historiques et prophétiques sont tous des témoignages qui relatent les actions du peuple juif, les bonnes, et les mauvaises que ses vrais prophètes dénoncent. Et les élus éclairés et bénis par Dieu peuvent comprendre que cette « loi de Moïse » devait servir de base pour définir le péché qui consiste à lui désobéir. Elle pouvait ainsi,  justifier ou condamner les êtres humains des deux alliances successives de l’histoire humaine. A noter, que les dix commandements de Dieu présentés dans Exode 20 sont désignés sous le nom de « loi de liberté » dans Jac.2:12 : « Parlez et agissez comme devant être jugés par une loi de liberté ».

Après les épreuves de foi adventistes de 1843 et 1844, que demande Dieu aux appelés « adventistes » qu’il reconnaît et sanctifie ? Rien d’autre que de revenir à la juste compréhension des normes reconnues, enseignées et pratiquées par ses premiers apôtres. En 1844, Dieu referme la parenthèse caractérisée par l’enseignement ténébreux construit à partir de 313 et prolongé entre 538 et 1843. A partir de 1844, les derniers saints sélectionnés par Dieu doivent revenir à la norme doctrinale établie pour les apôtres et redonner à la « loi de Moïse » sa valeur formative abandonnée. C’est dans ce sens que le respect du sabbat et des règles de vie sanitaires doivent être de nouveau respectés et pratiqués. Mais l’amour de la vérité ne s’impose pas, et l’amour des vérités prophétisées par Dieu restera dans tous les cas, le fruit de nos natures individuelles et strictement personnelles.

Cette étude vient de démontrer que l’ancienne alliance est essentielle pour notre formation, parce que la nouvelle alliance ne concernait, principalement, que Jésus-Christ et son rôle salvateur au titre de victime divine expiatoire parfaite sur tous les plans : sans péché, parfaitement juste et obéissant. Le salut de l’homme repose donc sur sa formation spirituelle et sur la validité du pardon obtenue par Jésus-Christ. Et dans ce salut de l’élu, les « deux témoins » bibliques se complètent pour construire la grâce salvatrice divine. Le premier reforme l’élu à l’image perdue de Dieu ; le second accorde l’autorisation de son entrée dans la vie éternelle.

 

 

 

La guerre russo-ukrainienne et l’actualité

 

J’apprends le 7 Juin 2023, par une chaîne info télévisée que la Suisse autorise la réexportation d’armes vers l’Ukraine. Elle sort ainsi de sa neutralité instaurée depuis 1815. Je relève encore là, le signe de son futur engagement aux côtés des nations occidentales infidèlement chrétiennes. Elle aura donc part aux dommages créés par la future agression russe de l’Europe occidentale entière.

En date du 6 Juin, une explosion a fait sauter le barrage de Kakhovka situé sur le Dniepr au nord de Kherson. Les Russes et les Ukrainiens se rejettent la responsabilité de cette explosion. Et naturellement, les avis de tous se portent sur l’un ou l’autre camp. Cependant, ces personnes oublient de tenir compte d’un autre acteur qui a lui l’avantage d’être invisible ; son nom : Jésus-Christ le tout-puissant Dieu créateur. Voici donc mon interprétation pour ces faits.

Depuis Bucarest, en Roumanie, on a signalé une secousse sismique qui a été relevée à 2 heures 50 mn, la nuit du 6 Juin, dans la zone du barrage qui a explosé. Les constructions humaines sont aux regards humains solides et robustes. Mais que sont-elles pour Dieu ? Les constructions réalisées avec des bétons armés de très haute résistance ne sont cependant rien que des fétus de paille pour le Dieu créateur qui met en action sa puissance destructrice illimitée, par des tremblements de terre, des volcans et des tsunamis. Il est reconnu que le camp russe avait déposé un stock d’explosifs à l’intérieur du barrage en vue de le faire exploser en cas de nécessité. Mais, il n’a pas été donné d’ordre dans ce sens et les victimes de l’inondation provoquée sont autant ukrainiennes que russes. D’autres scénarii sont possibles. Il suffit qu’une seule personne réussisse à s’infiltrer dans le barrage pour déposer un détonateur au bon endroit et faire exploser le stock d’explosifs à l’aide d’un simple téléphone portable depuis l’extérieur. Et cette possibilité me semble d’autant plus réalisable que le camp russe est loin d’être unifié, puisque des groupes de Russes insurgés dressés contre le président Poutine se sont manifestés dans la région de Belgorod. Des résistants ont bien réussi à lancer deux drones sur le dôme du Kremlin à Moscou, mais à l’opposé des partisans extrémistes du pouvoir peuvent être aussi à l’origine de cette initiative ; tout est possible. Le désordre règne dans le camp russe à cause des échecs militaires répétés et de l’avance du camp ukrainien basée uniquement sur la précision des armes données par l’Occident. La Russie paie actuellement son manque de préparation guerrière et l’absence d’armes conventionnelles de haute technique que possède le camp occidental. Pendant près de vingt ans de pouvoir continu, Vladimir Poutine a voulu privilégier le développement des armes nucléaires et des fusées hypersoniques de lancement. Les Russes sont sur ce point, imbattables et sans concurrence. Mais l’opération spéciale engagée contre l’Ukraine nécessite en priorité ces armes conventionnelles ultra précises que la Russie n’a pas. La Russie est donc actuellement contrainte à résister du mieux qu’elle peut, pour ne pas perdre les territoires pris à l’Ukraine depuis l’année 2022. L’impréparation russe est semblable à celle de l’armée française de 1940. Elle aussi se croyait en mesure de vaincre l’Allemagne nazie comme elle l’avait vaincue en 1918. Mais Adolf Hitler avait fait progresser son équipement militaire et les puissants chars allemands ont écrasé les petits chars qui équipaient l’armée française et à son tour la France dut s’incliner et accepter les conditions humiliantes de l’armistice imposé par l’Allemagne.

Je reviens à l’explosion de ce barrage, car j’ai dans ma pensée, l’idée que le Dieu créateur adresse un message à l’humanité par cette action. Il annonce la destruction des ouvrages humains qui ont attaqué l’ordre naturel de la vie sur terre. Les barrages ont été réalisés pour produire de l’électricité hydraulique afin de répondre aux besoins techniques de la vie moderne. Mais la première victime de cette construction humaine a été le fleuve lui-même. Et je suis particulièrement sensible au sujet, parce que je vis à Valence sur Rhône, et je peux témoigner de ce que, victime de nombreux barrages qui brisent son écoulement et ralentissent son débit, ce fleuve que j’ai connu dans ma jeunesse, impétueux, pur et transparent, présente aujourd’hui l’aspect d’une grande et large zone d’eaux troubles et malsaines. A six ans du grand jugement divin, il est temps pour les humains de réaliser le mal qu’ils ont fait à la terre, la mer, les fleuves et les rivières. Dans le développement de la future agression russe de l’Europe occidentale dont la France, il est probable que les barrages construits sur les fleuves seront détruits par des bombardements. Le Rhône reprendra ainsi sa libre expansion et son débit de flots tumultueux. Et dans sa justice parfaite, Dieu va utiliser cette nature endommagée par les barrages pour maudire les êtres humains qui l’ont détruite. L’immense inondation provoquée par le Dniepr a noyé des êtres humains et des multitudes d’animaux dont les corps vont pourrir et devenir les causes de transmissions de terribles maladies infectieuses qui vont infecter la région et s’étendre sur la terre vers d’autres pays ; la chose étant favorisée par la chaleur de l’été.

L’homme va découvrir que l’eau est la meilleure des choses pour lui mais qu’elle peut aussi devenir sa pire ennemie mortelle. Ce fléau naturel a été produit artificiellement par l’être humain dans sa lutte forcenée engagée contre la vie naturelle. Déjà depuis quelques années l’humanité s’inquiète à cause du réchauffement climatique constaté. Elle ignore que, sur sa seule décision, Dieu a fait intensifier la chaleur rayonnée par le soleil, sans que l’homme soit en cause. Mais justement, ce fléau conduit l’homme à s’accuser de réelles fautes commises contre la nature créée par Dieu. Et même s’il ne produit pas le réchauffement climatique, il est utile qu’il réalise le mal qu’il commet contre la vie naturelle. Et je le rappelle ici, ne serait-ce que par 2100 essais nucléaires réalisés depuis 1945, il a bel et bien contribué à réchauffer l’atmosphère terrestre. De plus, chaque fusée lancée pour placer un satellite en orbite crée un trou dans la couche d’ozone qui protège la terre des rayons solaires ultraviolets. La trajectoire brûlante des fusées de lancement perce cette couche d’ozone qui se transforme en passoire et laisse de plus en plus les rayons ultraviolets atteindre le sol de la terre. La lumière solaire se transforme ainsi déjà en feu qui brûle partiellement la terre et ses habitants.

Donc, la destruction du barrage de Kakhovka révèle la décision de Dieu de rétablir l’ordre naturel du fleuve Dniepr. Longtemps maîtrisé et domestiqué par les hommes qui ont construit à partir de lui une retenue d’eau de 28 millions de mètre cube, son débit est brutalement intensifié et il retrouvera sous peu, avec sa pleine liberté son cours initial. Aujourd’hui, il s’apprête à venger les longues années de sa captivité. Sur le plan stratégique militaire, cette inondation tombe à point nommé pour les Russes, car elle va empêcher les attaques ukrainiennes dans cette zone inondée.

Sur les plateaux des télévisions, étonnés, les journalistes et leurs invités commencent à réaliser combien la guerre engagée par la Russie contre l’Ukraine a réussi à transformer, en peu de temps, toute la situation internationale mondiale. Ils ne sont encore qu’au début de leur découverte et ont encore le pire à découvrir dans un proche avenir. Car présageant la guerre nucléaire à venir, le risque nucléaire se précise déjà au sujet de la plus grande centrale nucléaire du continent européen ; celle de Zaporijjia qui concentre six fours atomiques. Actuellement à l’arrêt, les chambres de combustion doivent impérieusement être refroidies par d’énormes quantités d’eaux, jusque-là fournies par le Dniepr. Depuis la rupture du barrage, l’eau de refroidissement est prise dans un bassin de secours prévu à cette fin. Mais si le niveau d’eau devient insuffisant, la centrale pourrait devenir un nouveau « Tchernobyl » six fois plus grand et dévastateur. Ces enchaînements d’actions funestes constituent les preuves que le grand Dieu créateur a bien commencé à libérer les « quatre anges » démoniaques d’Apo.7:3 et 9:15. Ils sont maintenant autorisés par Dieu à « faire du mal à la terre, à la mer, aux arbres », et aux eaux. Il n’est pas facile pour Dieu et encore moins pour les démons et le diable de contraindre les hommes à déclencher un affrontement guerrier mortel dont ils ne veulent pas. La situation de paix longtemps installée convenait à tous les peuples car elle favorisait le commerce et l’enrichissement des plus riches d’entre eux. Se basant uniquement sur leur intelligence humaine, les humains ont toujours pensé que l’arme nucléaire était seulement dissuasive, car personne ne serait assez fou pour l’utiliser. Or, cette folie existe et se développe dès que Dieu le veut. Dans leur comportement irréligieux ils ont ignoré cette possibilité et au cours des dernières six années entières de vie collective qui restent devant nous, ils vont découvrir et subir toutes les formes funestes destructrices qu’ils redoutaient.

Dans Apo.11:18, nous trouvons ce verset qui présente le programme fixé par Dieu, pour nos sept dernières années de vie sur la terre actuelle du péché : «Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. » Dieu nous présente dans l’ordre chronologique successivement :

1ère action : les nations se sont irritées : la Troisième guerre mondiale où « sixième trompette » d’Apo.9:13 amorcée en Ukraine depuis le 24 Février 2022 soit, au début du vrai douzième mois de l’année solaire divine.

2ème action : ta colère est venue : le temps des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu. » ; thème d’Apo.16 qui s’accomplit au cours des 6 derniers mois de l’année 2029.

3ème action : le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands : avec le retour glorieux de Jésus-Christ, les adventistes fidèles et les autres rachetés de l’histoire terrestre sont transmués ou ressuscités et conduits au royaume céleste de Dieu où pendant le grand sabbat de « mille ans », ils vont juger les morts rebelles. Ce jugement céleste est révélé dans Apo.4:4 par l’image des « 24 trônes » qui reçoit son explication dans Apo.20:4 : «…Et je vis des trônes ; et à ceux qui s'y assirent fut donné le pouvoir de juger » Les « mille ans » commencent le jour du printemps 2030 soit, le 20 Mars 2030.

4ème action : détruire ceux qui détruisent la terre : Dieu porte clairement cette accusation contre les humains rebelles et les anges célestes rebelles. Ensemble, sous la domination du diable, Satan, ils ont détruit la terre, par la chimie et le faux progrès technologique. La science a permis de créer des molécules artificielles de matières nocives indestructibles comme le téflon, au demeurant très pratique et d’autant plus séducteur ; l’amiante également très utile et appréciée en son temps. Mais ce ne sont là que deux exemples parmi d’innombrables autres tels que les pesticides, les engrais réalisés à partir de l’ammoniaque dont la production réalisée en Ukraine va brusquement être très réduite à cause de l’inondation due au barrage partiellement détruit sur le Dniepr. Dans l’ordre chronologique l’action de détruire « ceux qui détruisent la terre » s’accomplit par le « jugement dernier » et « la seconde mort » donnée dans « l’étang de feu », thèmes traités dans Apo.20:7 à 15 : « Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre ; leur nombre est comme le sable de la mer… » Nous retrouvons dans ce dernier verset, la deuxième résurrection, dans laquelle les rebelles morts sont ressuscités selon l’annonce du verset 5 : « Les autres morts ne revinrent point à la vie jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. » Apo.12:17 (ou 18) citait déjà cette multitude rebelle dominée par Satan, par l’expression « sable de la mer » : « Et il (le dragon) se tint sur le sable de la mer. »

La scène du « jugement dernier » referme 7000 années d’histoire du péché terrestre et le premier jour du printemps 3030, Dieu crée « le nouveau ciel et la nouvelle terre » en transfigurant notre terre actuelle souillée par le péché, les poisons chimiques et la mort. Pour le « jugement dernier », cette terre prend l’aspect d’un « étang de feu et de soufre » qui brûle et anéantit définitivement les êtres les plus rebelles de l’histoire dans un temps proportionnel à leur culpabilité défini par le jugement rendu par les saints rachetés. Mais ce temps n’est en aucun cas « éternel ». Ce qui est « éternel », c’est seulement la conséquence, où l’effet, de cette élimination qui est définitive donc, « éternelle ».

« A chaque jour suffit sa peine » a dit sur la terre Jésus-Christ. Et bien la peine causée en ce Jeudi 8 Juin à 9h 45mn à Annecy est un modèle du genre. Près du lac de ce nom, dans un parc, un lieu consacré aux jeux d’enfants, un homme de 31 ans, Syrien, a attaqué et frappé au couteau six personnes dont quatre enfants âgés de 22 mois à 3 ans, certains étant frappés dans leur poussette. Le pronostic de survie était engagé pour quatre personnes, mais depuis les six sont hors de danger. L’individu ayant été arrêté, on apprend qu’il vivait en Suède depuis 2013, qu’il a fait en 2022 une demande d’asile à la France, laquelle lui a été refusée, parce qu’une demande parallèle a été effectuée avant auprès de la Suède. Il a épousé une femme suédoise et lui a donné une fille âgée aujourd’hui de 13 ans. Il a ensuite divorcé et s’est ainsi présenté en France en 2022. Et là le détail est important, cet homme se dit chrétien d’Orient. Ce n’est pas un musulman mais un chrétien d’Orient qui a brandit la croix qu’il porte au cou après avoir poignardé les enfants du square ; ceci en criant : « Au nom de Jésus-Christ ». Plusieurs leçons sont données par ce fait particulier. La principale, me semble-t-il, est la confirmation de la malédiction qui repose sur la foi chrétienne traditionnelle, orientale et occidentale. La seconde est une condamnation de l’Occident faussement chrétien par l’Orient chrétien ou musulman. La troisième est  la conséquence de l’Europe passoire qui permet à un étranger bloqué par un pays, d’entrer dans l’espace Schengen européen et donc, d’entrer en toute légalité, librement, dans le pays qui lui fermait sa porte. La quatrième leçon est un constat d’impuissance des autorités politiques. Une fois de plus, face à ce type d’action dramatique, je constate l’effroi, l’affolement et la consternation qui accompagnent tous ces drames, sans toutefois pouvoir les empêcher. En toute inutilité, mais pour tenter de rassurer trompeusement le peuple, les ministres se déplacent, les policiers sont mobilisés ; bref, une énorme gesticulation pour rien, parce qu’il n’y a en réalité aucune ou peu de chances qu’un tel événement se reproduise dans l’immédiat. Aussi, après ce type de drame deux seules questions devraient être posées aux gens politiques : Combien d’individus du même genre, capables de renouveler ce type d’action, l’Europe a-t-elle accueilli, va-t-elle encore accueillir, et a-t-elle déjà en réserve ? Et la seconde est : A quand le prochain drame et la prochaine consternation ? La babélisation de la société occidentale produit son fruit amer de totale insécurité, mais les Banques européennes et occidentales sont satisfaites.

L’attaque d’enfants révulse tout le monde, peuples et médias. Mais, connaissant la malédiction divine qui frappe l’Europe et la France en particulier, je ne suis pas étonné, car ce genre de chose est déjà arrivé par ordre de Dieu, selon le témoignage de la Bible. Nous lisons dans Lév.26:22 : « J'enverrai contre vous les animaux des champs, qui vous priveront de vos enfants, qui détruiront votre bétail, et qui vous réduiront à un petit nombre ; et vos chemins seront déserts. » la chose se produit historiquement au temps du prophète Elie, selon 2 Rois 2:23-24 : « Il monta de là à Béthel ; et comme il cheminait à la montée, des petits garçons sortirent de la ville, et se moquèrent de lui. Ils lui disaient : Monte, chauve ! monte, chauve ! Il se retourna pour les regarder, et il les maudit au nom de YaHWéH. Alors deux ours sortirent de la forêt, et déchirèrent quarante-deux de ces enfants. » Le dernier exemple concerne la destruction nationale finale d’Israël qui présente l’intérêt d’être, pour l’ancienne alliance, l’action parallèle de notre « sixième trompette » soit, notre actuelle Troisième Guerre Mondiale partiellement engagée. L’action est citée dans Ezéchiel 9:6 : « Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes ; mais n'approchez pas de quiconque aura sur lui la marque ; et commencez par mon sanctuaire ! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. »

Cette expérience d’Annecy, révèle deux conceptions de la foi chrétienne. En Occident, elle est humaniste et affaiblie. A l’opposé, en Orient, la foi chrétienne est éprouvée par sa confrontation avec les fanatiques musulmans, notamment pour un chrétien Syrien, les persécutions meurtrières pratiquées par le Califat islamiste du nom DAESH. La position de l’Europe qui a laissé le christianisme  oriental se faire massacrer par les persécuteurs musulmans a fait naître de la rancœur contre cette Europe cupide et non solidaire. Dieu dispose donc d’hommes chrétiens ou musulmans animés d’une grande haine contre les peuples européens et américains. Ces personnes constituent une phalange terroriste non organisée mais disponible à souhait pour Dieu, pour frapper l’Occident maudit. Ceci, parce que la haine est ressentie individuellement par les gens orientaux. Le christianisme oriental n’est doctrinalement qu’à l’image de ses enseignants originellement occidentaux soit, aussi imparfait et pécheur que lui. La foi orientale a conservé toutes les normes païennes adoptées en Occident dans l’empire romain à partir de 313. Ce christianisme doctrinalement imparfait ne peut donc pas porter le fruit de douceur, de pacifisme, et de justice des vrais élus de Jésus-Christ qu’il justifie et reconnait. De plus, après l’indifférence manifestée par l’Occident chrétien pour leurs souffrances et leur destruction, l’énorme engagement actuel, financier et militaire, en faveur de l’Ukraine, renforce la rancœur des chrétiens orientaux contre les pays occidentaux, jusqu’à leur inspirer une haine meurtrière. Et le cas de l’attaque au couteau d’enfants à Annecy confirme cet état d’esprit haineux et vengeur du Syrien chrétien agresseur.

Dans ce cas, comme dans celui du jeune homme de 16 ans qui a tué sa professeure, des témoignages sont donnés par les agresseurs. Le jeune homme avait dit avoir entendu une voix qui lui ordonnait de tuer cette femme ; et ici, le Syrien, clame agir « au nom de Jésus-Christ ». Et le plus étonnant, c’est que les deux personnages disent la vérité, mais la société incrédule et incroyante ne peut pas profiter de ces informations qui seraient pour elle si importantes à comprendre. Les vrais serviteurs de Jésus-Christ dont je me réclame, tirent au contraire un intérêt dans ces témoignages dans lesquels je ne trouve que des confirmations de la situation révélée, principalement, dans les prophéties de Daniel et Apocalypse. La malédiction du christianisme corrompu et apostat occidental et oriental est ainsi confirmée. Et ce christianisme apostat devient la cible de la colère du doux et aimant Jésus-Christ parce qu’il est aussi, le Dieu tout-puissant, le Créateur, qui punit et frappe par la mort, l’infidèle, l’incrédule et l’incroyant, dans ses deux alliances historiques successives.

Ce même jour du jeudi 8 Juin, l’offensive de l’Ukraine est officiellement confirmée et engagée. L’avenir proche nous apprendra comment les choses se passent dans cette confrontation de l’Ukraine et de la Russie. Mais déjà, dès cette première journée, je relève que la Russie ne sait pas retenir les leçons cuisantes que les drones ukrainiens lui ont apprises en détruisant ses colonnes de chars. Elle finira par vaincre mais à quel prix ! Peu importe, puisque dans Dan.11:45, Dieu a déjà révélé sa destruction finale par les USA. Mais avant de disparaître, elle aura écrasé et dévasté l’Europe catholique « arrogante » des « dix cornes », véritable cible de la colère du Dieu de vérité.

En dernière heure, ce Jeudi 15 Juin 2023, j’apprends que Kiev trouve en face de son offensive une armée russe métamorphosée. Selon ses expériences passées, la Russie se met lentement en marche, mais quand elle est partie, plus rien ne l’arrête. Pour bien comprendre ce qu’il se passe dans la guerre actuelle, nous devons savoir que Dieu a un compte à faire régler par la Russie. Car dans Ezé.38:3, il dit à Ezéchiel, son prophète, à son sujet: « Tu diras : Ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Voici, j'en veux à toi, Gog, Prince de Rosch, de Méschec et de Tubal ! » On devine dans ses noms les mots : Russe, Moscou et Tobolsk. La rancune de Dieu est tenace et la première cause de cette rancune remonte à l’antiquité. Dieu reproche à ces villes de la Russie d’avoir trafiqué avec Tyr l’ennemie de son peuple Israël, selon Ezé.27:13-14 : « Javan, Tubal et Méschec trafiquaient avec toi ; ils donnaient des esclaves et des ustensiles d'airain en échange de tes marchandises. Ceux de la maison de Togarma pourvoyaient tes marchés de chevaux, de cavaliers et de mulets. » L’actuelle « Togarma » se trouve à la pointe Ouest de la Chine près de la frontière du Kazakhstan et se nomme Yining. Ces vieilles rancunes divines ne doivent pas faire oublier les causes des plus récentes. Car, la Russie a connu, en Octobre 1917, sa révolution nationale et après la France de 1793-1794, elle est entrée dans un régime athée national très meurtrier. Tu peux ici relever que les actions conduites par Dieu suivent cette logique. Pour mettre fin au régime coalisé de la monarchie et de la papauté romaine, il a suscité la Révolution française et son athéisme destructeur. Pour détruire la France des sept dernières années de la vie sur la terre, il fait appel à la Russie orthodoxe actuelle. Et pour détruire la Russie, Dieu va la livrer à son ennemie séculaire, l’Amérique des USA. Avec le temps, les puissances qui s’affrontent sont de plus en plus grandes. Et en dernier, les rebelles de toute la terre vont se confronter à la puissance du « Roi des rois et Seigneur des seigneurs », Jésus-Christ en Dieu glorifié.

 

 

 

FILS DE DIEU

 

Je suis désolé pour le genre féminin qui se revendique du MLF mais la Bible ne cite jamais l’expression « filles de Dieu ». Et en ne m’appuyant que sur ses déclarations, je rappelle également aux hommes qui se sont construit une hypothétique apparition sur la terre, que cette même Bible révèle que nous avons été créés par le Dieu unique qui est invisible, sans quoi il ne serait pas Dieu, pour notre espèce humaine terrestre.

C’est vers 2500 ans après le péché d’Adam soit, vers 1500 années avant notre ère, que Dieu a révélé à Moïse son récit de la Genèse, qui témoigne de nos origines. Moïse et son peuple avait une taille semblable à la notre, c’est pourquoi, dans Gen.6:4, Dieu apporte cette précision : « Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants : ce sont ces héros qui furent fameux dans l'antiquité. » Sous cet aspect ce verset semble dire que les géants furent obtenus par l’accouplement « des fils de Dieu et des filles des hommes ». Mais dans cette traduction de L.Segond, les termes « et aussi », placés avant « après que les fils de Dieu… », sont bien cités et présentés dans la version J.N.Darby où nous lisons : « Les géants étaient sur la terre en ces jours-là, et aussi après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes et qu'elles leur eurent donné des enfants: ceux-ci furent les vaillants hommes de jadis, des hommes de renom. » Avec cette précision « et aussi », le sens du verset est complètement changé et il devient plus logique et compréhensible. En fait, Dieu révèle à Moïse que depuis son origine en Adam, l’homme était d’une grande taille gigantesque et que l’apostasie généralisée par les mariages unissant des « hommes » fidèles de la lignée de Seth appelés ici « fils de Dieu » à des « filles » de la descendance rebelle de Caïn nommées « filles des hommes » n’eurent aucune conséquence pour justifier le changement de la taille humaine ; elle était gigantesque avant ces unions néfastes et elle resta gigantesque après elles. Nous comprenons que cette caractéristique de géant fut conservée par l’humanité jusqu’au temps du déluge et encore quelques temps après lui, puisque des géants peuplaient encore Canaan, lorsque les Hébreux s’en sont emparée, quand Dieu la leur a donnée vers 1460 avant notre ère, soit après les « 40 années » du séjour au désert du peuple Hébreu, l’Israël charnel de Dieu.

Dans le verset cité, Dieu témoigne de la responsabilité qu’il a donnée à l’homme qu’il a créé avant la femme formée de ses os et de sa chair. C’est à lui qu’il impute la faute de se laisser séduire par les femmes de la lignée rebelle. Et nous avons dans cette expérience, l’explication de l’interdiction d’épouser des femmes étrangères, qu’il impose à Israël. Ce peuple respectera cette interdiction jusqu’au temps de son apostasie généralisée finale qui le conduit en captivité à Babylone entre – 605 et – 586.

Après ces deux cas d’unions interdites par Dieu, ce message concerne la foi chrétienne protestante que Dieu met en garde contre sa future union avec l’église catholique romaine ; ceci, en citant la doctrine de Balaam, dans Apo.2:14 : « Mais j'ai quelque chose contre toi, c'est que tu as là des gens attachés à la doctrine de Balaam, qui enseignait à Balak à mettre une pierre d'achoppement devant les fils d'Israël, pour qu'ils mangeassent des viandes sacrifiées aux idoles et qu'ils se livrassent à l'impudicité. » La pierre d’achoppement de ce verset désignait l’union interdite, puisque c’est en révélant à Balaak ce secret de la bénédiction ou de la malédiction d’Israël, qu’il le fit maudire par Dieu. Ceci, en envoyant « les filles » de son peuple séduire « les hommes » d’Israël. Par ce message, Dieu dénonce la présence de gens « hypocrites » dans la foi protestante, depuis sa création officielle rattachée à la date 1517 ; celle où le moine enseignant Martin Luther a dénoncé la nature diabolique du catholicisme papal romain. Jugé et rejeté définitivement après les épreuves de foi de 1843 et 1844, le protestantisme « hypocrite » accueille l’adventisme « hypocrite » en 1994, et alliés avec la foi catholique, tous ces faux chrétiens « hypocrites » vont en 2029 former ensemble « la bête qui monte de la terre » qui va reproduire le modèle, ou « l’image de la première bête qui montait de la mer » et qui désignait la religion catholique papale romaine. Reproduire « son image » consiste à reproduire ses œuvres intolérantes et persécutrices.

Le témoignage historique a déjà confirmé la possibilité de l’union du protestantisme avec le catholicisme par le comportement cruel de son célèbre représentant genevois Jean Calvin. Ce « protestant » éprouva une haine meurtrière contre un concurrent beaucoup plus « intelligent » que lui sur le sujet spirituel, le docteur Michel Servet. Par des lettres adressées à l’inquisition, il tenta de le faire livrer aux foudres catholiques, mais finit par le faire exécuter lui-même, lorsque l’imprudent prit le risque de s’aventurer sur le sol genevois. Michel Servet avait une compréhension spirituelle très avancée ; il dénonçait déjà, l’absurdité du dogme de la trinité telle que le catholicisme et le protestantisme calviniste l’interprétaient soit, trois personnes divines associées, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, alors qu’il ne s’agit que de trois rôles successifs du même unique esprit du Dieu vivant, notre Créateur, donc notre divin Père.

Ce sujet du « Père » me conduit à faire remarquer, que ce terme « Père » est utilisé pour Dieu, uniquement depuis que Jésus-Christ est venu le révéler aux hommes par ce terme. En effet, le mot « Père » n’était pas utilisé pour désigner Dieu dans l’ancienne alliance où il restait le Dieu « YaHWéH », puissant et redoutable. Pourtant, dès ce récit cité dans Gen.6:4, Dieu présente la lignée fidèle de Seth sous le nom « fils de Dieu ». Or, il n’existe pas de fils sans qu’ils aient un père. Ce message fut donc ignoré jusqu’au temps de Jésus-Christ qui a révélé aux hommes toute la nature aimante de Dieu et sa caractéristique de Père de toute l’humanité créée après les anges célestes. Tout au long de l’ancienne alliance, Dieu a été frustré de ne pas être appelé « Père » par ses créatures humaines. Mais son attente portait vers le temps de la nouvelle alliance comme ce texte d’Esaïe 9:6 le prouve : « Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera sur son épaule ; on l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix ». Nous voyons comment dans ce verset, Dieu se définit lui-même comme étant à la fois en Jésus-Christ, « le fils et le Père éternel ». Pour bien comprendre ce verset, il nous faut tenir compte que, celui qui parle, c’est l’homme juif, l’israélite, nommé Esaïe. Le prénom personnel « nous » désigne le peuple d’Israël et à travers lui, uniquement, les élus qui sont rachetés par le sang de Jésus-Christ et se trouvent dispersés au milieu des peuples répandus sur toute la terre. Derrière ce « nous », nous trouvons les pécheurs humains qui ont besoin du pardon de Dieu et ne l’obtiennent que par la foi et l’obéissance construite sur le ministère rédempteur salvateur de Jésus-Christ.

Ce verset est d’une richesse extraordinaire, car il place la « domination » du Christ « sur son épaule » ; là même où le poids de son « patibulum » portait, le faisant chuter tant il était affaibli par la torture romaine subie avant sa crucifixion. Ensuite, Dieu prophétise ce que Jésus-Christ va représenter pour ses élus. En premier, ils le reconnaitront « Admirable » et l’admireront. En second, ils feront de lui leur « Conseiller ». En troisième, ils reconnaîtront sa nature de « Dieu puissant » que ses miracles attesteront. En quatrième, ils lui reconnaîtront le titre de « Père éternel » qu’il a lui-même révélé et confirmé à son apôtre Philippe dans Jean 14:9 à 11 : « Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu, Philippe ! Celui qui m'a vu a vu le Père ; comment dis-tu : Montre-nous le Père ? Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même ; et le Père qui demeure en moi, c'est lui qui fait les œuvres. Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi ; croyez du moins à cause de ces œuvres. » Et en cinquième, ils le connaîtront comme celui qui, en « Prince de la paix », est venu pour les réconcilier avec Dieu dont ils avaient été séparés par leurs péchés. Ces cinq termes prophétisaient donc la norme de la foi des vrais élus rachetés par Jésus-Christ.

A son tour, Esaïe 9:7 qui suit, nous dit : « Donner à l'empire de l'accroissement, et une paix sans fin au trône de David et à son royaume, l'affermir et le soutenir par le droit et par la justice, dès maintenant et à toujours: Voilà ce que fera le zèle de YaHWéH des armées. » De tels propos ne pouvaient que tromper l’espérance des Juifs qui ne voyaient dans ce terme « empire » que « l’accroissement » de la puissance de leur nation Israël. Et ce texte s’ajoute à celui d’Esaïe 61:2 où Dieu prophétise, disant : « … pour publier une année de grâce de YaHWéH, et un jour de vengeance de notre Dieu ; pour consoler tous les affligés ». Ces deux textes expliquent l’illusion trompeuse des Juifs qui voyaient dans le Messie attendu, celui qui relèverait la gloire nationale d’Israël en détruisant leurs ennemis qui étaient à l’époque du Christ, les occupants, les Romains. Mais hélas pour eux, le projet de Dieu était uniquement spirituel et ils ne devaient voir aboutir son accomplissement qu’au retour en gloire de Jésus-Christ, car le temps compris entre sa mort expiatoire et son retour en gloire est encore un temps de sélection des élus. Relève le dernier mot de ce verset : « armée ». Ce terme aussi était trompeur car les juifs pouvaient l’interpréter comme une insurrection conduite par le messie contre les Romains. Mais en réalité, il suggère la situation d’un combat que YaHWéH devra mener contre les rebelles terrestres et célestes pour sauver ses derniers élus rachetés par le sang de Jésus-Christ. Dans Apo.16:16, ce combat reçoit le nom « Harmaguédon ». Ce combat a un mobile, une cause, spirituelle, mais ses conséquences sont également physiquement mortelles. Dieu combat avec ses divines armes et ses ennemis terrestres ne disposent, eux, que de leurs seules armes terrestres. Le combat des rebelles est donc perdu d’avance et Dieu a déjà prophétisé sa future victoire dans Apo.17:14 : « Ils combattront contre l'agneau, et l'agneau les vaincra, parce qu'il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois, et les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec lui les vaincront aussi. ».

Ce combat « d’harmaguedon » va opposer pour la dernière fois, après la fin du temps de grâce, les « fils de Dieu » aux « fils des hommes » du camp rebelle déchu.

Dans sa prière exemplaire royale, Jésus dit dans Mat.6 : 9 à 13 :

Verset 9 : « Voici donc comment vous devez prier : Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié ; » Relève déjà la nécessité de tenir Dieu pour notre vrai et seul « Père céleste ». Ce que seuls, « ses fils » peuvent faire sous condition de tenir son nom pour « sanctifié » ; ce qui implique le fait de le tenir mentalement au-dessus de tout autre être vivant car il est parfaitement saint et incarne seul la perfection de la sainteté. Cette condition exclue déjà les Chrétiens que Dieu désignent comme rebelles ; les catholiques et les orthodoxes depuis toujours, les protestants depuis 1843 et 1844, et les adventistes « vomis » depuis 1994.

Le nom de Dieu n’est pas seulement exprimé par les quatre lettres hébraïques qui le désignent dans la Bible, YHWH que je transcris par YaHWéH. Apo.2:17 en donne le véritable sens : « Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises : A celui qui vaincra je donnerai de la manne cachée, et je lui donnerai un caillou blanc ; et sur ce caillou est écrit un nom nouveau, que personne ne connaît, si ce n'est celui qui le reçoit. » Dans ce verset, le mot « nom » désigne un état ou une nature différente pour l’homme racheté reconnu et sauvé par Jésus-Christ. Obtenu après la victoire, ce « nom nouveau » désigne la nature céleste du racheté entré dans la vie éternelle, porteur de l’immortalité. Aussi, le nom de Dieu désigne t-il tout ce que Dieu représente, en force, puissance, gloire, autorité, jugement et sentiments. Ce sont toutes ces choses que les vrais élus doivent « connaître » pour remplir la condition formulée par Jésus quand il dit, dans Jean 17:3 : « Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. » Ainsi dans sa prière même, l’homme se justifie ou se condamne lui-même, selon qu’il a cette connaissance du vrai Dieu ou qu’il ne l’a pas. Et personne n’est sensé se tromper, car cette connaissance ou son absence est révélée en œuvres pratiquées religieusement par celui ou celle qui prie. Ou bien sa pratique est en conformité avec l’exigence de Dieu pour son époque, ou elle ne l’est pas, et « sa prière » se transforme en « abomination » comme l’enseigne Pro.28:9 : « Si quelqu'un détourne l'oreille pour ne pas écouter la loi, sa prière même est une abomination. » Dans notre époque, cette « abomination » est pratiquée, officiellement et publiquement, chaque « dimanche » par des multitudes de faux chrétiens, trompés et faussement enseignés, réunis pour rendre un culte au vrai Dieu. Hélas pour eux, Dieu convie ceux qui lui appartiennent uniquement le septième jour qu’il a sanctifié au repos sabbatique, le samedi et non le dimanche du premier jour. Il n’est donc pas difficile de comprendre que le culte rendu le premier jour n’honore que le diable qui préside à ces assemblées.

Dans sa prière royale, Jésus dit ensuite au verset 10 : « que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. » Pour souhaiter que le règne de Dieu vienne s’imposer sur la terre, il faut déjà approuver ses normes divines et non les transgresser. Car là encore, la volonté de Dieu est clairement exprimée dans la Bible et dans ses textes prophétiques et ceux qui prétendront ignorer les normes de sa volonté seront, au jour du jugement dernier, confus et condamnés. Ce verset n’a de sens que si un véritable élu sanctifié et reconnu par Dieu en Jésus-Christ dit ces paroles.

Jésus dit ensuite au verset 11 : « Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien ; »  Sur la terre, des multitudes de personnes ne mangent qu’un jour sur deux ou sur trois. Cette ration quotidienne est donc un privilège donné par Dieu, mais combien, dans le monde reconnaissent que leur nourriture est donnée par Dieu parmi tous ceux qui mangent ? Bien peu, et de moins en moins. De plus, ce pain quotidien suppose une autre nourriture spirituelle que Dieu seul peut donner contrairement à la nourriture du corps. C’est pourquoi à ceux qui demandent ce « pain quotidien », Jésus dit encore dans Mat.4:4 : «Il est écrit : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu ». Les élus le savent et ils le font. Mais les humains sans Dieu, pauvres ou riches, pensent s’attribuer seul la capacité de trouver et de prendre de la nourriture pour leur corps, conscients que leur survie en dépend. Mais la nourriture spirituelle, c’est le dernier de leurs soucis. Ils s’en passent depuis longtemps et pensent pouvoir s’en passer encore plus longtemps. Seul un contexte de famine terrestre pourrait peut-être les sortir de leur illusion et encore en 2023, ils ne seraient pas très nombreux à se remettre en question.

Ensuite, Jésus dit au verset 12 : « pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; » Là encore, combien de Chrétiens sont-ils capables de pardonner les offenses qu’ils subissent ? Car Dieu ne se contente pas des mots et il contrôle les pensées des hommes et sait si un homme pardonne réellement ou pas derrière un pardon officiel trompeur. Cette aptitude à pardonner le mal qui leur est fait est encore strictement réservée aux élus. Et la chose s’explique facilement. Pour pouvoir ainsi pardonner, l’esprit de la victime doit mépriser l’action méchante et son auteur et ceci n’est possible que si son âme entière a été gagnée et occupée par l’Esprit du Christ. A cette hauteur d’esprit, toute méchanceté terrestre est dévalorisée et le pardon ne reste qu’une simple formalité qui ne coûte rien à l’élu qui pardonne. Il peut d’autant plus le faire, qu’il est conscient d’avoir, lui-même, bénéficié du pardon du Dieu vivant, au nom du sang versé par Jésus-Christ.

Vient enfin le verset 13 qui clôt la prière de Jésus : « ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c'est à toi qu'appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen ! » Ceux qui prient ainsi doivent être conscients des attaques portées par le diable et ses démons célestes et terrestres. En sorte, qu’il faut encore être un élu qui reste attentif aux mises en garde contre le diable. Jésus l’a fait et ses vrais apôtres et disciples le font également. Je rappelle comment dans Mat.24:4, Jésus met en garde ses élus en leur disant : « prenez garde que personne ne vous séduise ! » Vient la fin du verset : « Car c'est à toi qu'appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen !  » Que signifie cette déclaration entièrement méprisée et contredite par les fausses religions chrétiennes. Elle leur signifie simplement que leur transgression et leur péché sont constatés et enregistrés dans la mémoire illimitée du grand Juge, le Dieu Créateur, le Tout-Puissant. Et qu’au jour du jugement dernier, la liste de tous leurs péchés leur sera individuellement présentée. Et dans un état de confusion inexprimable, ils apprendront que le verdict des juges soit, les élus rachetés par Jésus-Christ, les condamne à disparaître dans le feu de la « seconde mort ». Les mots mêmes en témoignent ; seuls ses véritables « fils » cohéritiers de Jésus-Christ, peuvent exprimer et souhaiter de tout leur cœur que « le règne de Dieu vienne, dans sa puissance et dans sa gloire, en vérité ! »

Mais déjà, sur la terre, jusqu’au proche retour de Jésus-Christ, pour les faux Chrétiens rebelles, leur séparation d’avec Dieu va les conduire à subir défaite sur défaite. Ils vont voir s’écrouler tous leurs projets et leurs espérances et subiront, après la guerre et autres fléaux divins, après la fin du temps de l’offre de la grâce collective et individuelle, les terribles « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » selon Apo.16:1, et « de la colère de l’agneau », selon Apo.6:16 : « Et ils disaient aux montagnes et aux rochers : Tombez sur nous, et cachez-nous devant la face de celui qui est assis sur le trône, et devant la colère de l'agneau »

La victoire finale sera pour Dieu et ses « fils », ses fidèles élus qui aiment les normes de sa conception de la vie idéale parfaitement heureuse et harmonieuse dans « la liberté, l’égalité et la fraternité » divine réelle.

C’est donc au titre de « fils de Dieu » qui veut servir et honorer la gloire de son « Père », que je dois dire maintenant quelque chose qui peut paraître aux plus intelligents assez logique mais qui n’est pas compris par des multitudes humaines. Ce message a pour sujet, les changements historiques des normes divines et leurs conséquences.

Beaucoup d’êtres humains se laissent distraire par plein de choses qui remplissent leur vie et ces gens ne se préoccupent pas des choses spirituelles. Mais qui ne s’intéresse pas au ciel aujourd’hui le fera, peut-être ou pas, demain. Ceux qui ont entendu et répondu à l’appel du salut de Jésus-Christ, n’ont pas tous répondu au premier appel de Dieu, et je suis de ce nombre. Nous devons donc espérer qu’appelées au moment favorable, de nombreuses créatures se tourneront encore vers Dieu. Le châtiment de la « sixième trompette », qui prend forme sous nos yeux, a précisément pour but, au titre de dernier avertissement, de réveiller la foi endormie, car anesthésiée par les soucis terrestres. Alors que doit découvrir celui dont la foi se réveille ? Il doit réaliser que la vie et tout ce qu’elle contient est l’œuvre du seul et unique Dieu Esprit Créateur. Il a organisé le salut de l’humain tombé dans le péché, comme on tombe dans un piège, en plusieurs phases successives et logiquement, ces différentes phases sont marquées par des changements et des jugements. Or ce que beaucoup semblent ignorer, c’est que lorsqu’un changement légitimé par Dieu est apporté dans la religion, le nouveau changement adopté rend illégitime l’ancienne norme. La fraternité promue par l’humanisme dominateur de notre Occident actuel a rendu les masses humaines excessivement tolérantes. Ceci au point que pour ne fâcher personne, on accepte d’imputer au Dieu suprême la possibilité de bénir toutes les religions. Et bien non ! Dieu ne s’adapte pas aux conventions religieuses humaines et c’est au contraire à l’homme de s’adapter à lui ou d’accepter l’idée de ne pas revendiquer un avenir éternel auquel il n’a pas droit. Aussi, dois-je clairement l’exprimer, quand Jésus a instauré la nouvelle alliance construite sur l’offrande de son sang versé volontairement, les Juifs de l’ancienne alliance qui ont rejeté Christ et son offrande, ont été livrés au diable par Dieu. Sur la terre, ils ont continué à se réclamer du Dieu créateur, et leur existence et leur religiosité ont trompé les hommes spirituellement ignorants. Ainsi, ces premiers « fils de Dieu », héritiers d’Abraham, ont été les premiers, auxquels se sont appliquées les paroles de Jésus d’Apo.3:1, concernant les Protestants dans son message nommé « Sardes »,: « Tu passes pour être vivant et tu es mort ». En effet, le message que Jésus adresse aux Protestants de 1843 et 1844 peut s’appliquer à toutes les religions qu’il rejette en raison de leur refus de se conformer à ses nouvelles normes et nouvelles lumières. Il n’est pas facile pour un être humain conditionné par des préjugés fondés sur 1260 années de domination chrétienne catholique papale romaine, de se libérer de ces préjugés. Les plus gentils nous disent : « Mon cher ami, je suis né catholique  et je mourrai catholique ». Ces personnes ignorent que mourir catholique signifie mourir sans obtenir la vie éternelle. Or, si elles désirent rester catholiques, c’est tout de même qu’elles pensent que la religion permet d’obtenir cette vie éternelle de la part de Dieu. Les Musulmans, de mêmes, sont zélés pour leur religion et leur prophète Mahomet parce qu’il leur promet qu’après la mort, une vie éternelle rêvée les attend. Il est donc essentiel pour un être humain, qui convoite l’éternité par son engagement religieux, de savoir si son espoir est justifié ou s’il ne l’est absolument pas. Les premiers « fils de Dieu » ont désobéi aux ordres donnés par Dieu et en conséquence, ils ont péri noyés dans les eaux du déluge avec les fils et « les filles des hommes ». Les Juifs avaient voulu rappeler à Jésus qu’ils n’étaient pas des « enfants illégitimes puisqu’ils avaient Abraham pour père ». La réponse que Jésus leur a adressée concerne également tous les humains de la religion chrétienne : « Si vous étiez les fils d’Abraham, vous feriez les œuvres d’Abraham» et il leur dit clairement : « votre père, c’est le diable ». Dans Apo.2:9, Jésus confirme ce même jugement dans l’époque située entre 303 et 313: « Je connais ta tribulation et ta pauvreté (bien que tu sois riche), et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan. »  Et il le confirme encore dans l’époque 1873, dans Apo.3:9 : « Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t'ai aimé. » Ceci prouve que si la norme du jugement de Dieu change en augmentant progressivement ses exigences, après 1260 années de ténèbres religieuses, le caractère définitif de son jugement, lui, ne change pas. La vieille norme est condamnée inexorablement par le rejet de la nouvelle. Et la leçon tirée de ces exemples permet d’imputer à Dieu ces paroles adaptées pour chaque cas marqué par le changement de la norme divine exigée :

1843-1844 : « Si vous étiez protestants, vous feriez les œuvres des Protestants du 16ème siècle ; les vrais ne prirent pas les armes pour défendre leur vie. Ils se laissèrent conduire en captivité ou mener à la mort ».

1991-1994 : « Si vous étiez adventiste du septième jour, vous feriez les œuvres des adventistes du septième jour de 1843, 1844 et 1873 ; l’annonce du retour de Jésus par les prophéties de la Bible suscita leur joie et un grand enthousiasme ».

2020-2030

Depuis 2020, une ultime attente du vrai retour de Jésus-Christ a commencé. Cette fois, c’est Jésus lui-même qui en a fixé la date en dirigeant les regards de ces messagers sur la date historique de sa crucifixion et de sa résurrection soit, le 3 Avril 30. Eclairés par le rôle prophétique de la semaine de sept jours qui est à l’image de sept mille années, ceux qu’il a sanctifiés pour cette œuvre, et qui vivent aujourd’hui, savent qu’ils sont entrés depuis le printemps 2023 dans la dernière semaine d’années qui conduit à la fin des six mille ans de l’histoire du péché terrestre.

Jésus-Christ revient chercher uniquement ceux qu’il a « sanctifiés ». Alors il importe de bien comprendre ce qu’est la vraie « sanctification » au sujet de laquelle inspiré par l’Esprit, Paul a déclaré dans Héb.12:14 : « Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur. » Puisque nous nous préparons à voir le Seigneur, cette « sanctification » est donc vitale et indispensable. Mais qu’est-ce que la « sanctification » ? Voici déjà ce qu’elle n’est pas : une simple revendication humaine ou celle qui est attribuée par les papes du catholicisme romain à des personnes canonisées. La vraie « sanctification » ne peut être identifiée et attribuée que par Dieu en Jésus-Christ, lui-même. Car ce terme signifie « mettre à part » et le seul être vivant qui juge juste de mettre à part des êtres humains, c’est Dieu et Dieu uniquement. Mais pour justifier sa « sanctification » d’un homme ou une femme, Dieu fonde son jugement sur les œuvres de leur foi. Et pour définir ce que doivent être ces œuvres, Dieu présente dans sa Bible les modèles historiques de ses élus. Ezéchiel 14 cite trois noms : « Noé, Daniel, et Job » en précisant trois fois, dans les versets 16, 18, et 20, « ils ne sauveraient ni fils ni filles mais eux-seuls sauveraient leurs âmes à cause de leur justice ». Dieu l’a dit et tu peux et dois le croire. Par cette déclaration, il contredit et fait s’envoler toutes les fausses conceptions de la « sanctification » et nous dresse un portrait robot des élus qu’il peut et veut sauver pour leur faire partager son éternité. Tous les messages délivrés en paroles claires ou en images, dans les prophéties de Daniel et Apocalypse et autres textes de la Bible, ont pour but de compléter la construction de ce portrait robot. La « sanctification » de ses derniers élus est évoquée dans Apo.3:7 dans le message qu’il adresse en 1873 aux adventistes du septième jour « sanctifiés » dans l’amour fraternel ; ce que signifie le nom symbolique « Philadelphie ». Jésus commence en disant à Jean : « Écris à l'ange de l'Église de Philadelphie : Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira : » Ces paroles annoncent en image un changement de norme de la sainteté exigée par Dieu. A la lumière de cette déclaration, nous voyons que seul le Dieu Saint peut « sanctifier » ou pas ses créatures humaines et qu’il ne laisse à personne d’autre que lui, ce droit et ce pouvoir. Comment peut-on identifier les Adventistes du septième jour, dans ce message ? Simplement en s’appuyant à la fois sur le témoignage historique daté par Dan.12:12, « Heureux celui qui attendra jusqu’à 1335 jours » et sur le rôle du sabbat du septième jour que Dieu donne à ceux qu’il sanctifie en cette année 1873. Au passage, relève les chiffres de ces versets : 12, 12, et Apo.3 et 7. Ce ne sont que des chiffres et des nombres qui ont pour signification la sainteté : 12, alliance de Dieu et l’homme soit, 7 + 5 ; 7, chiffre de la sanctification porté par le repos du septième jour, le sabbat sanctifié par Dieu. 5 est le chiffre symbolique de l’homme pourvu de cinq sens, de cinq doigt de main et de pied. Apoc.3:7 regroupe la perfection du chiffre 3 et la sainteté du sabbat du chiffre 7.

En donnant, en 1873, une forme institutionnelle à l’adventisme du septième jour, Dieu a sanctifié un modèle légitimé uniquement en cette année 1873. La « sanctification » divine ne s’hérite pas et lorsqu’elle n’est plus méritée, Dieu la retire et c’est pourquoi de « Philadelphie », elle devient « Laodicée » soit, l’institution du peuple que Jésus juge et « vomit » à cause de sa tiédeur spirituelle démontrée par le mépris témoigné pour la dernière lumière que Dieu lui a présentée, entre 1980 et 1991, par mon action prophétique. Entre 1991 et 1994, le jugement de Dieu a pris une forme évidente ; l’adventisme officiel est entré dans l’alliance de la fédération protestante universelle livrée au diable depuis 1843.

La leçon que tu dois retenir est que l’adventisme du septième jour n’appartient qu’à Dieu, car ces mots sont choisis par lui pour définir un portrait robot des derniers élus « sanctifiés ». En sorte, qu’entre 2020 et 2030, les derniers adventistes se manifestent et se rendent dignes de la « sanctification » divine, en se mettant à part, par la joie que l’annonce du retour de Jésus pour le printemps 2030 suscite en eux ; comme pour les pionniers adventistes de 1843 et 1844. Et ceux que Dieu approuve et veut bénir aujourd’hui parmi eux, adoptent la pratique du sabbat qui prophétisa pendant 6000 ans, l’entrée des élus rachetés par Jésus-Christ dans le septième millénaire du grand repos céleste. Et cette entrée s’accomplit au moment du retour en gloire de notre divin Seigneur Jésus-Christ, qui revient dans la gloire divine céleste de son nom angélique « Micaël », entouré et accompagné par ses anges fidèles.

 

Si tu es, par ta vraie nature, l’adventiste du septième jour que Dieu sauve, c’est le moment de le prouver en tenant compte des leçons historiques prophétiques relevées et démontrées dans cette étude. Dieu ne bénit et sauve par le sang de Jésus-Christ que ceux chez qui il trouve le pur amour de sa vérité biblique entière.

Il est logique d’achever cette étude par le message de la « sanctification » car c’est elle, cette « sanctification », qui fait, des vrais appelés élus, des « fils de Dieu » préparés pour entrer dans l’éternité, au printemps 2030.

L’adventisme du septième jour officiel et institutionnel n’aura été, pour Dieu, utile et légitime qu’entre 1873 et 1994, date en laquelle, sa légitimité a cessé. Mais les mots adventistes du septième jour restent la norme de la dernière expression de la foi exigée par Dieu pour bénéficier de la justice offerte par Jésus-Christ ; ceci, conformément au décret de Dan.8:14 qui, convenablement traduit, prophétise cette exigence, en disant : « Jusqu’à 2300 soir-matin et la sainteté sera justifiée ». En obtenant de Dieu, vers 1990, la bonne traduction de ce verset si important, j’ai pu présenter à ses derniers rachetés élus la confirmation que Dieu exige d’eux l’amour de sa vérité biblique témoigné en œuvres, comme il convient pour eux de le faire, au titre des derniers « fils de Dieu » de l’histoire du péché terrestre. Cette véritable traduction a posé les bases de cette exigence divine appliquée pour cette ultime expérience adventiste universelle terrestre. Au fil du temps, l’exigence par Dieu de la sainteté véritable n’a fait que croître. Dans son enseignement, Jésus a augmenté l’exigence formulée par la loi divine. Plus Dieu a donné des preuves de son amour, plus il a demandé en retour l’amour de ses rachetés. Aussi, en mettant en œuvres le comble à son amour dans la nouvelle alliance par sa mort expiatoire en Jésus-Christ, Dieu est en droit d’exiger davantage de la part de ses élus chrétiens que de la part de ses élus juifs, pendant l’ancienne alliance. Jésus a confirmé cette croissance de l’exigence divine en disant « vous avez appris qu’il a été dit mais moi, je vous dis que … » Condamné au niveau de l’action dans l’ancienne alliance, l’adultère est jugé et condamné dans la nouvelle au niveau de la pensée, comme il le dit dans Mat.5:27-28 : « Vous avez appris qu'il a été dit : Tu ne commettras point d'adultère. Mais moi, je vous dis que quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur. …/… 38-39 : Vous avez appris qu'il a été dit : œil  pour œil, et dent pour dent. Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu'un te frappe sur la joue droite, présente-lui aussi l'autre. …/…. 43 à 48 : Vous avez appris qu'il a été dit : Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains aussi n'agissent-ils pas de même ? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d'extraordinaire ? Les païens aussi n'agissent-ils pas de même ? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. » Par ses paroles, Jésus a fixé la norme du caractère des premiers et des derniers chrétiens véritables « fils de Dieu ». Mais ne nous y trompons pas, un amour de cette force ne peut venir en nous que s’il nous est donné par Dieu. Notre nature humaine est trop méchante et dure pour atteindre, naturellement, ce haut niveau d’amour. Et Jésus l’a clairement dit dans Jean 15:5 : « car sans moi vous ne pouvez rien faire », ce qui signifie qu’avec lui, nous pouvons tout faire et précisément, revêtir l’amour inégalé de Dieu. Pour atteindre ce but, il faut, qu’en nous, toute autre valeur terrestre charnelle s’écroule pour laisser place à cet amour divin. L’importance que nous donnons aux choses terrestres s’oppose aux valeurs célestes. Nous devons donc entrer de plus en plus dans la pensée céleste, pour que notre nature charnelle s’affaiblisse à son profit, jusqu’à disparaître et perdre son influence sur notre vie.

Dans l’histoire de l’humanité, la malédiction de Dieu s’est premièrement abattue avec le déluge sur la terre entière. Dans sa phase suivante, Dieu a installé Israël sur la terre de Canaan, puis après la venue du Christ la nation Israël a été à son tour frappée par la malédiction de Dieu. A partir de l’époque de l’empereur Constantin 1er, la foi chrétienne s’est alors développée en Europe occidentale soutenue puis imposée par l’autorité romaine successivement impériale puis papale. Devenue catholique, à son tour, l’Europe est devenue la cible de la colère divine et notamment depuis 313 et 321, la cible des fléaux de ses « sept trompettes » présentées dans l’ordre chronologique dans Apo.8, 9, 10 et 11. Nous constatons ainsi un déplacement de la malédiction depuis l’Est vers l’Ouest. Ceci était déjà prophétisé par le sens de l’écriture des Hébreux qui s’écrit de droite à gauche. Et nous savons que son rejet du vrai Messie divin, Jésus-Christ, a justifié sa malédiction et sa destruction nationale depuis l’an 70 jusqu’à 1948.

Se déplaçant encore plus loin vers l’Occident, la dernière colère de Dieu sera provoquée par la loi du dimanche qui sera imposée par les Etats-Unis de l’Amérique du Nord dirigeante incontestée des survivants de la Troisième Guerre Mondiale ou « sixième trompette » d’Apo.9:13. Il est intéressant de relever les signes de malédiction que cette terre américaine porte. On y trouve en monceaux, les restes osseux des tigres à dents de sabre ; un animal préhistorique terrifiant, monstrueux, redoutable, de forte taille. Ce continent Nord-Américain est de plus marqué encore aujourd’hui, par des phénomènes naturels uniques et sans égaux. Dans ses plaines centrales, il se produit des cyclones et des tornades dévastateurs d’une puissance inouïe. Mais on y trouve également, des arbres géants, les séquoias, qui atteignent des hauteurs de plus de cent mètres, des troncs dont la base percée permet à des voitures de les traverser d’un côté à l’autre. Cette taille gigantesque nous rappelle que des géants ont en premier habité la terre. Et je trouve que ces arbres immensément hauts prophétisent la puissance finale de ce peuple américain qui sera le dernier peuple à conduire un combat contre la volonté de Dieu, telle qu’il l’a exprimée dans la loi de sa sainte Bible. Apo.13:13 la symbolise par l’expression « la bête qui monte de la terre » ; ceci parce que, religieusement chrétienne, elle succède à la foi catholique papale désignée comme « bête qui monte de la mer »  de laquelle elle est sortie, par l’œuvre de la Réforme protestante. Cette terre américaine fut redécouverte au 15ème siècle juste avant qu’en Europe, les « Guerres de Religions » opposent les Catholiques et les Protestants. Des Protestants y trouvèrent un refuge protecteur, loin des persécutions des papistes. Mais leur expérience ne fut pas celle des Hébreux entrant en Canaan. Car ils rencontrèrent l’hostilité des hommes Rouges qui peuplaient cette terre. En fait, l’Amérique actuelle s’est construite sur le sang des Rouges versé en abondance sur son sol, et l’exploitation des Noirs par les colons Blancs. Son nom Amérique, annonciateur d’amertume, fut ainsi originellement bien justifié et prophétique de son intolérance finale. Cette dernière épreuve de foi terrestre va reproduire des expériences passées que les rebelles ignorent et méprisent pour leur perte. Car, déjà, le dernier camp rebelle renouvelle dans son alliance, celle des « fils de Dieu » infidèles avec les « filles des hommes » des antédiluviens. Mais cette fois, clairement avertis par les prophéties données par Jésus-Christ, les vrais « fils de Dieu » n’entrent et n’entreront pas dans ces alliances humaines. L’Esprit leur a ouvert l’intelligence, ce qui leur permet de savoir que la terre appelée Amérique porte en son nom son destin final qui sera de représenter un sujet d’amertume pour tous ses contemporains ; et en premier, les victimes de son apostasie religieuse. Originellement protestant, ce pays représente déjà, à lui seul, l’alliance du catholicisme et du protestantisme qui ne proteste plus. Cette alliance constitue la preuve de la rupture de sa relation avec Dieu. Cette alliance spirituellement incestueuse et adultère est du même type que celle qu’Israël passa avec l’Egypte du péché au temps du prophète Jérémie. Les signes de la malédiction portée par l’Amérique des USA sont très nombreux ; et parmi eux, déjà, dès le 24 Février 2022, le soutien inconditionnel et la fourniture d’armes qu’elle a donnés au jeune président de l’Ukraine, Zelensky, car cette action prépare l’affrontement génocidaire de la Troisième Guerre Mondiale. Mais c’est aussi de l’Amérique que sont venues les déviations mentales et sexistes qui reproduisent la norme de Sodome et Gomorrhe ; laquelle est devenue légitime et légale dans tout les pays de l’Occident originellement chrétien.

Je n’oublie pas cependant que la foi adventiste qui m’est aujourd’hui en bénédiction est née aux USA entre 1816 et 1844. Mais ce temps de probation divine n’était que provisoire et il a pris fin au printemps 1994, moment où l’adventisme du septième jour officiel est entré dans l’alliance de la Fédération protestante universelle. En 1873, Dieu lui avait donné un statut universel qui lui imposait de rester indépendante. Mais en plaçant aux postes de dirigeants des gens non réellement convertis, mais plus convaincus, le diable a réussi à faire triompher l’esprit humaniste dans toute l’institution. En sorte, que l’apostasie de 313 se renouvelle avec les mêmes conséquences pour l’humanité coupable : la nécessité pour Dieu de frapper de mort les responsables et les coupables. Et cette réponse divine vient maintenant avec la Troisième Guerre Mondiale de sa « sixième trompette ». Je comprends ainsi pourquoi la prophétie de Dan.12:11 désigne les rencontres adventistes anglaises de 1828 pour évoquer le thème de l’adventisme. Car, l’adventisme n’est pas strictement américain, c’est une norme universelle qui consiste simplement à aimer le retour glorieux de notre Seigneur Jésus-Christ et à l’attendre dans la fidélité jusqu’à la date qu’il a lui-même fixée et révélée aux derniers « fils de Dieu » et qui sera, cette fois, le printemps 2030. Son retour fera entrer ses rachetés dans le septième millénaire sanctifié au repos par Dieu et pour Dieu, et pour ses rachetés sélectionnés au cours de toute l’histoire du péché terrestre.

Ainsi, après la malédiction de l’adventisme officiel dont le siège universel est aux USA, depuis 1994, la bénédiction de Dieu est revenue en Europe, en France, dans la ville de Valence. Car là, se trouve la plus ancienne église adventiste du septième jour de la France, celle qui m’a radié de ses membres en 1991 ; ceci, à cause du « témoignage de Jésus » que je lui ai présenté et qu’elle a rejeté et méprisé. Depuis, je reste fidèle à ce « témoignage de Jésus » renouvelé et actualisé et je recueille, au fil des jours, les perles de la lumière divine qui me sont offertes et présentées par le Dieu de vérité, au nom de Jésus-Christ et de la « sanctification » du sabbat du vrai septième jour : le samedi, « sanctifié » au repos pour l’homme dès le septième jour de la création de la terre selon Genèse 2:2-3 : « Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu'il avait faite : et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu'il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. »

 

 

 

La vérité vous affranchira

 

Nous lisons dans Jean 8:28 à 36 : « Jésus donc leur dit : Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous connaîtrez ce que je suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le Père m'a enseigné. Celui qui m'a envoyé est avec moi ; il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. Comme Jésus parlait ainsi, plusieurs crurent en lui. Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui : Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. Ils lui répondirent : Nous sommes la postérité d'Abraham, et nous ne fûmes jamais esclaves de personne ; comment dis-tu : Vous deviendrez libres ? En vérité, en vérité, je vous le dis, leur répliqua Jésus, quiconque se livre au péché est esclave du péché. Or, l'esclave ne demeure pas toujours dans la maison ; le fils y demeure toujours. Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. »

Cet échange entre Jésus et les Juifs de son époque traite d’un sujet qui nous concerne autant aujourd’hui qu’à l’époque de son ministère. En tout temps, dans ce type d’échange, deux discours incompatibles s’expriment. Jésus tient des propos parfaitement logiques pour traiter le sujet spirituel. Mais en face de lui, ceux qui écoutent ses paroles sont terrestres et ne voient que le sens littéral charnel de ses propos. Pour les Juifs, Dieu était Dieu, pas le Père. Aussi, trouvons-nous là, une première cause de l’incompréhension humaine. Dès le début, lorsque Jésus leur dit, « Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme », les Juifs interprètent ses paroles comme leur interprétation traditionnelle les conduit à le faire. Pour eux, cette élévation consistera à prendre le contrôle de la nation en s’emparant du trône de David. Et une semaine avant sa mort, ils vont l’honorer au titre de fils de David. Bien sûr, Jésus parlait, lui, de son élévation, quand il serait crucifié sur la croix par les Romains. Ensuite, en citant « le Père », les plus spirituels de l’assistance, reçoivent le message de Jésus comme étant spirituel. « Comme Jésus parlait ainsi, plusieurs crurent en lui » ; les gens spirituels croient en lui contrairement aux autres. Jésus dit alors aux croyants : « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira »

Entendant ces paroles, les Juifs contestataires répliquent : « Nous sommes la postérité d'Abraham, et nous ne fûmes jamais esclaves de personne ; comment dis-tu : Vous deviendrez libres ? » Relève que Jésus ne reprend pas ses interlocuteurs pour ce triple oubli de leur histoire, car ils furent réellement esclaves en Egypte, premièrement, plus tard esclave pendant 70 années de captivité à Babylone en Chaldée, partiellement à partir de – 605 et entièrement depuis – 586, et à l’heure où il leur parle ils sont soumis aux Romains. Pour Jésus ce sursaut d’orgueil national n’est pas le plus important, ce qui est important pour lui, est de leur faire connaître qu’ils sont les esclaves du péché qui les dirige et les domine depuis le péché d’Adam et Eve. Et ce message a une importance perpétuelle, car il met en cause le péché dont les hommes n’ont pas conscience, parce que leur connaissance de la vie repose uniquement sur leur cinq sens charnels.

Les Juifs qui osaient dire à Jésus « nous ne fûmes jamais esclaves de personne » ignoraient qu’ils parlaient à celui qui les avait conduits en Egypte pour y être mis en captivité, précisément, dans le but de les libérer de l’esclavage du corps et de l’âme entière, parce que la vie égyptienne était l’image même de la vie du péché. Bien avant Rome, sa civilisation, adoratrice de Rê, le Dieu solaire, était captive du péché. Et de même, ces Juifs orgueilleux se trouvaient sous l’occupation romaine depuis l’an – 63. Et c’est ce Jésus qui leur parlait qui les a livrés entre les mains romaines ; ceci afin de briser leur résistance et de favoriser l’exécution de son ministère terrestre. Car sans les Romains, pour les en empêcher, ce ministère terrestre de Jésus n’aurait pas été possible. La méchanceté qui s’est exprimée après trois ans et demi de son ministère se serait manifestée beaucoup plus tôt, car les chefs religieux du sanhédrin ne supportaient pas plus les reproches que le cruel roi Hérode le grand.

Il est ainsi nécessaire de comprendre que l’expérience vécue par les Juifs concerne tous les humains de la terre. Justement, parce qu’Israël est utilisé par Dieu comme un échantillon de cette humanité. En sorte que Juifs et Païens avaient besoin d’être délivrés de l’esclavage du péché, de la même manière et pour la même raison : l’héritage du péché depuis Adam. Tu peux ainsi comprendre la nécessité pour tout être humain de découvrir, dans la Bible, l’expérience vécue par les Juifs restés sous la domination de Dieu pendant presque 1600 années, puisque la nation fut détruite par les Romains en l’an 70, soit environ 30 ans avant la fin du premier siècle en laquelle Dieu a révélé, à Jean, sa « Révélation » prophétique nommée « Apocalypse ». Cette histoire juive de 1600 ans est donnée par Dieu aux êtres humains pour leur permettre de comprendre le sens des choses qu’ils devaient vivre, selon son projet, pendant 6000 ans sur la terre. Regardons donc les réactions et les comportements des Juifs, tels qu’ils sont relatés dans la Bible, comme représentant les nôtres, car ils ne font que révéler, nos propres défauts, nos travers et par leurs croyants, nos trop rares qualités.  

Ils acceptent, intellectuellement, l’existence de Dieu, mais n’entrent pas en relation avec lui. Aussi, leur religiosité s’exprime uniquement par une application des textes de la loi de Moïse et des prophètes dont ils ne comprennent pas clairement les prophéties. Ce comportement sera celui de toutes les religions chrétiennes rejetées et condamnées par Dieu jusqu’à la fin du monde. Mais aussi, celui de l’humanité entière dont ils ne font que révéler et refléter l’image ; celle de l’homme animal qui a perdu par le péché sa ressemblance avec l’image de Dieu.

Dans son discours Jésus mentionne une nouvelle fois et cite très souvent ce mot « vérité », faisant précéder uniquement dans l’Evangile de Jean, l’apôtre de la haute spiritualité, ses paroles par cette expression qui lui est si personnelle : « En vérité, en vérité, je vous le dis ». Cette double répétition a son explication : Jésus place ses déclarations sous l’autorité « du Père et du Fils », car comme je l’ai dit dans une précédente étude, son ministère reste sous l’ancienne alliance, celle du « Père », jusqu’à sa mort expiatoire. Jésus rappelle constamment que « le Père » témoigne avec lui, car il disait : « c’est lui qui fait les œuvres ». Nous retrouvons les « deux » vrais « témoins » auteurs de la Bible. Jésus adressera à Pilate ces dernières paroles : « Je suis venu rendre témoignage à la vérité ». Autant dire qu’il place son ministère sous ce témoignage pour « la vérité ». Par nature, la « vérité » est le contraire absolu du « mensonge ». Jésus vient révéler l’existence de la vie divine cachée qu’il appelle « la vérité ». Mais les normes de cette vie céleste sont de nature et de caractère opposé dans l’absolu aux normes de la vie terrestre héritière du péché, qui, elle, représente donc le « mensonge ». En conséquence, elle est pilotée par le diable et ses démons angéliques infidèles depuis le péché originel. Pour un être humain, qui a les pieds et la tête sur la terre, comprendre et accepter l’idée que la vie terrestre apparente vécue est un « mensonge » est presque impossible. Mais c’est pourtant cette « vérité » que Jésus est venu faire découvrir à ses seuls élus, sélectionnés en raison même de leur ouverture aux pensées divines célestes. Et parce que ce message concerne ceux qui lisent mes explications, je vais développer ce sujet hautement spirituel. L’apôtre Paul a déjà entrepris de convaincre les élus du Christ en opposant, dans 1 Cor.15:40 et 47, l’existence de « corps terrestres » et de « corps célestes » : « Il y a aussi des corps célestes et des corps terrestres ; mais autre est l'éclat des corps célestes, autre celui des corps terrestres. …/… Le premier homme, tiré de la terre, est terrestre ; le second homme est du ciel. » La vie terrestre est pour Jésus l’image du « mensonge » parce qu’elle n’a qu’une existence provisoire globale de 7000 ans. A l’opposée d’elle, la vie céleste est « la vérité » parce qu’elle a comme le Dieu qui l’organise, un caractère éternel et vocation à durer éternellement.

Jésus avait, divinement, biens des raisons d’assimiler la vie terrestre du péché au « mensonge ». Car en dehors d’Israël qui avait la connaissance de l’existence et des lois établies par le vrai unique Dieu créateur, partout ailleurs sur la terre, les peuples étaient victimes des tromperies sataniques mises en actions religieuses de multiples manières dites païennes. Au fil des siècles, le « mensonge » qui fait obstacle à l’acceptation de « la vérité » céleste a pris des aspects différents et après le temps des faux dieux et fausses divinités masculines et féminines, est venu celui des fausses religions monothéistes et des fausses religions chrétiennes. Vers 1850, la technologie et la science physique et chimique ont commencé à se développer, remplaçant le comportement religieux, la religion étant alors considérée comme « l’opium du peuple » soit, une drogue. En Occident, le « mensonge » a remporté la victoire sur la vraie religion pour la double raison que les dénonciations des mensonges religieux sont peu nombreuses et que les humains occidentaux ne se sentent pas attirés par le sujet religieux qu’ils écartent et méprisent volontairement. Ce comportement incrédule et incroyant dépasse celui des antédiluviens car il repose sur l’influence du développement technologique dont le niveau élevé n’a jamais été atteint au cours des 6000 ans du temps terrestre fixé par Dieu.

Nous devons ainsi, tristement, considérer comme logique et normal, le développement actuel de l’incroyance. Dans sa totale liberté, plus grande en Occident que partout ailleurs sur la terre, l’être humain produit le fruit de sa nature. Jésus le dénonce dans Apo.22:15, mais sur la terre, chose presque incroyable pour quiconque aime « la vérité », des êtres humains « aiment et pratiquent le mensonge ». Ils confirment ainsi le dicton : tous les goûts sont dans la nature » ; mêmes les plus pervers. En faisant de l’amour de la vie terrestre un témoignage d’amour du mensonge opposé à l’amour de « la vérité » de la vie céleste, Jésus donne à l’application de l’amour du « mensonge » une norme élargie inattendue qui concerne énormément de gens parmi ses créatures humaines.

Jusqu’à ce jour, le « mensonge » n’était pour nous que le contraire de la « vérité » soit, ce qui est faux. Mais pour l’Esprit du Dieu vivant, le « mensonge » est, en plus, ce qui existe momentanément, parce que devant disparaître, pour laisser place à la vie céleste éternelle, qui est, par opposition à notre vie terrestre actuelle, « la vérité ». Et ce n’est, que parce que la loi divine dictée et révélée à Moïse exprime les valeurs des normes divines célestes, que la Bible dit à son sujet, dans Psaumes 119:142-151-160 : « Ta justice est une justice éternelle, et ta loi est la vérité. …/… Tu es proche, ô YaHWéH ! Et tous tes commandements sont la vérité. …/… Le fondement de ta parole est la vérité, et toutes les lois de ta justice sont éternelles. »

Notre esclavage repose sur la loi naturelle de l’habitude qui tient tous les êtres humains sous sa domination. Nous ne pouvons pas nous endormir sur commande ni nous passer de manger à heures fixes, lorsque l’habitude est respectée. De la même manière, celui qui a plaisir à mentir devient l’esclave de ce plaisir qui va être ainsi sans cesse renouvelé. La liberté totale est un mythe qui n’existe pas et l’être humain n’a en vérité que le choix entre les deux types d’esclavages qui lui sont proposés. Le bon esclavage consiste à prendre le Dieu créateur pour Maître, et le mauvais consiste à tomber dans le piège de la fausse liberté, celle du péché et de toutes ses convoitises.

Après 43 années de service prophétique pour le divin Seigneur Jésus-Christ, je réalise comment, de jour en jour en recevant ses nouvelles lumières, la vérité est réellement capable de nous « affranchir du péché ». Car en quoi consiste cet esclavage du péché, sinon à se laisser conduire par des esprits démoniaques invisibles ; ce qui est le cas de tous les êtres humains depuis leur naissance. Et parce que Dieu connaît nos vraies natures et nos choix d’existence, depuis le temps qui a précédé celui de sa création de son premier vis-à-vis, il ne peut pas se tromper. Et quand son futur élu naît dans notre monde terrestre, il le suit depuis sa naissance jusqu’à sa mort, mais dans sa patience divine, il sait attendre le bon moment pour se révéler à lui. Comme l’enseigne l’expérience du fils prodigue de la parabole, Dieu se révèle réellement à son futur élu, qu’après qu’il ait connu des expériences cuisantes douloureuses. Car la vérité céleste ne peut attirer vers elle que ceux qui ont été dégoûtés de la vie terrestre à cause des souffrances subies et de son entière imperfection. Autant la vie céleste repose sur des valeurs parfaites, autant la vie terrestre repose sur des valeurs imparfaites. Car Satan a instauré sur la terre ses propres valeurs égoïstes et orgueilleuses sur lesquelles les êtres humains rebelles ont construit leurs relations et leurs principes. L’expérience de la sortie d’Egypte des Hébreux a été extrêmement révélatrice pour apprendre les valeurs approuvées par Dieu. Il a confié à Moïse son prophète et guide, la charge de conduire son peuple. Ainsi le peuple devait obéir à Moïse, et Moïse devait obéir à Dieu qui se montrait juste et compatissant. Pour avoir déformé, inconsciemment, le projet salvateur de Dieu, ceci en frappant deux fois au lieu d’une le rocher d’Horeb, officiellement, Moïse fut puni de mort. Où peut-on trouver sur notre terre, un jugement aussi juste et parfait ? Le plus grand fut traité par Dieu comme le plus petit. Et cette même justice a condamné le manque de foi de Jean-Baptiste, le plus grand des hommes, selon Jésus. Qu’en est-il sur la terre de nos gouvernants, de nos monarques, de nos présidents, des papes, des imams et des Ayatollahs ? Quel type de justice rendent-ils ? Ils honorent les riches et ils exploitent et maltraitent les pauvres, à l’Ouest, à l’Est, au Nord et au Sud, aux Amériques, en Europe, en Asie, en Afrique, et en Australie.

C’est pourquoi, dans le combat « Harmaguédon » de la fin du monde charnel, les derniers survivants de tous les pays de la terre se ligueront pour lutter contre la loi de Dieu. Le camp du « mensonge » se dressera ainsi contre celui de la « vérité ». Et en faisant du repos du sabbat du septième jour la cible de l’attaque du camp du « mensonge », Dieu donne à son saint quatrième commandement son caractère de signe de sa « vérité » céleste. Car le sabbat prophétise l’entrée des élus rachetés par Jésus-Christ pendant 6000 ans, dans le septième millénaire « céleste ».

Sur quoi repose notre capacité à être affranchi par la vérité céleste ? La réponse à cette question est très simple : sur nos motivations. En fait, dans notre vie, tous nos choix reposent sur nos motivations. Quiconque veut effectuer uneche, le fait et y parvient parce qu’il s’est motivé par un grand désir de l’accomplir. C’est la motivation qui explique tous nos choix. Le rebelle a pour motivation la nécessité de protéger et de conserver sa totale liberté ; ce que Dieu nomme esclavage du péché, car dans cette liberté, il va commettre des choses interdites par Dieu. Et si Dieu les interdit, ces choses, c’est parce qu’elles conduisent au malheur et à la souffrance que son amour divin condamne et ne peut supporter ; car dans son amour, il voudrait éviter à ses créatures d’avoir à souffrir des conséquences des choses mauvaises. Pour ses élus, le principe de la motivation est le même, mais il favorise les valeurs rattachées à Dieu. Nous sommes motivés par l’appréciation d’un modèle que nous trouvons dans la vie terrestre ou dans la révélation biblique. La vie exemplaire de Jésus sert de révélateur car elle attire les élus qui l’admirent et l’aiment. La lecture des Evangiles nous permet de comprendre le désarroi des apôtres laissés seuls quand Jésus est crucifié. Ils aimaient sincèrement Jésus et leur tristesse était à la hauteur de l’amour qu’ils lui témoignaient. A notre tour, par la lecture des Evangiles, nous pouvons, revivre leur expérience et nous mettre à aimer le divin homme nommé Jésus de Nazareth, pleurer sur sa mort par laquelle il a expié nos péchés à notre place, et nous réjouir de sa résurrection qui nous place dans la même situation que ses premiers apôtres. Le Dieu vivant nous écoute, nous sonde, et nous parle, sinon en discours, du moins en événements qui marquent nos vies.

Lorsque l’existence de Dieu s’impose avec force dans notre esprit en bannissant le doute, « la Vérité » s’empare de nous. Et la vie terrestre et ce qu’elle offre perd de son attrait et de son intérêt. Notre attention se porte alors sur l’accomplissement des prophéties divines et nous attendons le retour de Jésus-Christ avec la même certitude que l’arrivée de l’ami attendu par le train qui respecte son horaire.

 

 

 

La lecture de la sainte Bible

 

Le titre de cette étude est justifié par la nécessité d’identifier les différentes manières de procéder à la lecture des saintes Ecritures. Lorsque nous lisons les choses écrites dans la sainte Bible, nous mettons en action pas seulement nos yeux mais notre âme entière. Or la manière dont nous lisons des textes que nous croyons exprimer la pensée du Dieu créateur dépend entièrement de la nature de notre foi.

Beaucoup de gens reprennent inlassablement des textes qu’ils aiment particulièrement et en éprouvent du plaisir et de la satisfaction. Cette attitude les conforte dans la pensée qu’ils sont de bons chrétiens. Mais leur intérêt exclusif pour certains types de messages les conduit à mépriser et à ignorer tout le reste des écrits bibliques. Il est donc nécessaire de comprendre comment Dieu veut que sa Bible soit lue.

Déjà, imaginer que Dieu ait pu inspirer des textes exprimant ses leçons et ses pensées pour que les hommes les ignorent est absurde et injustifiable. La Bible n’est pas un roman ou un reportage de journaliste, elle transmet à travers les siècles, l’histoire religieuse relatée par Dieu qui a choisi les mots et le nombre de mots pour chaque verset et ceci pour tous les chapitres et les livres canoniques qu’elle nous présente. Mais attention ! Cette précision numérique ne concerne que les textes originaux écrits respectivement dans l’ordre chronologique, « en hébreu et en grec ». Déjà, cette traduction en grec des textes de la nouvelle alliance nécessite une explication : cette diffusion en langue grecque n’est justifiée que par l’ouverture aux païens du salut en Jésus-Christ. Car les apôtres et les premiers disciples de Jésus étaient juifs et parlaient l’araméen utilisé par les Juifs en cette époque. Ce n’est donc qu’après la compréhension de l’ouverture de la foi chrétienne aux païens que la pensée juive des inspirés fut traduite en langue grecque ; car conformément à la prophétie de Daniel, depuis le règne du roi grec Alexandre le grand, le grec était devenu la langue internationale utilisée par tous les peuples dominés par ces conquérants. Depuis – 63, l’arrivée de Rome, en Palestine, avait apporté le latin romain, mais Dieu n’a pas choisi cette langue sachant que la Rome papale allait lutter contre sa vérité. L’inspiration divine n’était donc correctement transmise et diffusée qu’en Hébreu pour l’ancienne alliance et en grec pour la nouvelle alliance. L’abandon momentanée de ces deux langues, longtemps dites « mortes » dans la culture occidentale, a été exploité par Dieu qui a permis au diable de placer des erreurs dans les différentes versions de leurs traductions. Dieu a su exploiter sagement ces fausses traductions, car sachant à l’avance que le protestantisme et l’adventisme institutionnel allaient apostasier, il a construit les épreuves de foi adventistes de 1843 et 1844, sur une fausse traduction du verset de Daniel 8:14 sur lequel l’attente du retour du Christ s’est appuyée. Ainsi, avec raison, après avoir vomi, l’institution en 1994, Jésus pouvait dire à ce messager religieux : « tu ne sais pas que tu es malheureux, pauvre, misérable, aveugle, et nu ». Avoir construit toute son expérience sur des fausses traductions de la sainte Bible le rend effectivement « pauvre » alors qu’il se croyait richement bénie par Jésus et donnait à ses dogmes et ses interprétations prophétiques valeurs de « richesses ». Dieu avait permis aussi l’ajout injustifié du mot « jour » dans deux versets qui, correctement traduits, disaient « au premier sabbat ». Cette déformation du texte original d’Actes 20:7 et 1 Cor.16:2 a permis aux chrétiens protestants de justifier bibliquement et trompeusement le rassemblement religieux du « premier jour de la semaine », alors que le texte désigne « le premier sabbat » du mois concerné dans le récit. En langue grecque, le mot « sabbat » et celui de « semaine » ont la même racine ; ce qui peut expliquer la confusion du traducteur. Mais son rajout du mot « jour » est, lui, injustifiable et il ne peut avoir pour explication, qu’une inspiration diabolique ayant pour but de piéger les faux croyants des derniers temps de l’histoire terrestre. Dieu se soucie d’éclairer ses élus et il n’empêche pas le diable de tromper ceux qu’il domine, inspire et dirige. Dans des circonstances fixées par lui, le Dieu de vérité livre ses créatures à la puissance du mensonge et de l’aveuglement comme il le dit dans 2Thes.2:11. Ces choses dites, nous allons maintenant relever pourquoi nous devons nous approcher de la Bible, « avec crainte et tremblements », comme lorsqu’on s’approche de Dieu, en personne, pour le servir.

Pour comprendre ce caractère et cette nature divine de la sainte Bible, nous devons tenir compte de plusieurs choses révélées.

La parabole des vignerons révèle et résume le projet de Dieu qui est représenté dans cette parabole par le maître qui s’en va et reste invisible. Mais il envoie ses serviteurs vers les vignerons pour leur adresser ses reproches. La vigne c’est l’œuvre de salut organisée par Dieu ; les vignerons sont les institutions officielles chargées de présenter l’offre du salut soit, dans l’ancienne alliance comme dans la nouvelle, le clergé religieux rebelle ; les Lévites dans l’ancienne alliance et les pasteurs déchus du protestantisme et de l’adventisme, dans la nouvelle alliance. Le modèle de l’accomplissement concerne l’ancienne alliance, et le moment où le maître de la vigne s’en va correspond au moment où Israël ne veut plus être dirigé par Dieu directement, mais par un roi, comme les autres peuples païens de la terre. Le maître étant parti, en son absence, les vignerons méprisent la vigne et Dieu envoie ses prophètes pour faire connaître ses reproches à ses vignerons indignes qui les tuent les uns après les autres. Ainsi périssent un grand nombre de prophètes, tués par les autorités juives qui n’acceptent pas les reproches faits par Dieu. Puis il envoie son Fils, son unique fils, qu’ils vont traiter de la même manière, prouvant par ce dernier meurtre qu’ils sont irrémédiablement indignes de gérer l’œuvre du salut divin. Et Jésus trouve le moyen de faire exprimer la sentence divine par les coupables, eux-mêmes, qui sont devant lui, selon Mat.21:41 : « Ils lui répondirent : Il fera périr misérablement ces misérables, et il affermera la vigne à d'autres vignerons, qui lui en donneront le produit au temps de la récolte. »  Ces autres vignerons seront les païens réellement convertis qui, appelés, deviendront ses élus, jusqu’à la fin du monde marquée par son retour glorieux attendu pour le printemps 2030.

En une seule parabole, Jésus vient de résumer tout le projet du salut conçu par Dieu. Un plan qui repose sur une succession de plusieurs phases successives et que Dieu révèle et met en action dans ses deux alliances successives ; 1600 ans pour l’ancienne et pour la rédaction de la sainte Bible ancienne et nouvelle alliance ; et environ 1930 ans pour la seconde alliance qui tombe à son tour dans l’apostasie en l’an 313 et n’en sort, intégralement, que par l’adventisme fondée à partir de 1843. Puis cet adventisme officiel et universel depuis 1873 apostasie, lui-aussi, en 1994 après avoir rejeté la lumière prophétique adventiste que je lui ai présentée entre 1982 et 1991, date de ma radiation officielle par les dirigeants de l’institution.

Tout ce qui vient d’être évoqué concerne uniquement ce que Dieu met en œuvre pour conduire au Christ qui est venu valider le pardon des péchés des élus rachetés par son sang. Dans l’ancienne alliance ce projet salvateur était enseigné de manière symbolique et basé sur des rites sacrificiels d’animaux. Le mystère de l’incarnation de Dieu en Jésus-Christ était donc bien gardé et ignoré dans l’enseignement public religieux des Juifs. La loi divine pouvait être observée strictement sans que l’esprit de l’officiant communie réellement avec le Dieu organisateur de  ces choses. Et c’est précisément quand cette situation a  concerné l’ensemble du peuple, son roi, et son clergé que Dieu a rompu son alliance religieuse avec Israël. Le refus de reconnaître en Jésus son Messie, a été la goutte de trop qui a fait déborder la coupe de sa patience et les a rendus indignes de rester les dépositaires de ses oracles et son projet salvateur qui reposait sur Jésus-Christ. Et en signe de confirmation que sa mort marquait la fin du projet salvateur de Dieu, sur sa croix Jésus a dit : « Tout est accompli ». Ce « tout » ne concernait que l’action personnelle de Dieu. En mourant, volontairement, pour payer les péchés de ses élus, Dieu a pleinement rempli sa part du projet salvateur. C’est au tour de ses créatures qu’il convenait de faire leur part en se conformant au modèle présenté en Jésus-Christ. Car l’alliance divine est un contrat passé entre Dieu et sa créature digne de mort éternelle et le but du contrat est l’obtention du pardon divin, lequel n’est accordé par Dieu que sous la condition d’un changement de comportement du candidat humain. Si le péché avait pour salaire la mort, seule l’abandon du péché pouvait obtenir le pardon de Dieu et la vie éternelle. Et c’est précisément cet abandon du péché qui n’est rendu possible qu’avec l’aide apportée par Jésus-Christ qui a déclaré très justement dans Jean 15:5 : « car sans moi vous ne pouvez rien faire ». Jésus est donc indispensable pour payer le prix mortel de nos péchés mais aussi pour nous aider à cesser de pécher.

Dans Mat.24:4-5, en de courtes explications données à ses apôtres, Jésus réussit encore à résumer le programme de l’ère chrétienne en quelques mots qui sont : « Que personne ne vous séduise ! Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C'est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens ». Jésus met ainsi en garde les Chrétiens qui se réclament de son salut contre la séduction des faux christs. L’expression, « c’est moi qui suis le Christ », ne désigne pas seulement l’individu qui prétend être personnellement le Christ ; elle désigne également et surtout, des organisations religieuses institutionnelles qui se réclament de son salut et de son autorité. De ce nombre, sont les églises, catholique, orthodoxe, protestante, anglicane, et adventiste officielle. Elles tombent toutes, les unes après les autres, pour avoir conservé un héritage de la religion catholique romaine qui va, de son mépris pour la loi divine prescrite par la Bible, jusqu’à son mépris pour les révélations prophétiques données par Jésus-Christ, qui reste vivant et fidèle envers ses vrais élus, jusqu’à la fin du monde, comme il l’a promis et annoncé dans Mat.28:19-20 : « Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde siècle. » Les prescriptions particulières apportées par Jésus sont peu nombreuses et la chose s’explique par cette autre déclaration qu’il a faite dans Mat.5:17-18 : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. » Selon cette déclaration du chef de l’Elue, l’Eglise chrétienne, la loi divine doit être respectée jusqu’à son retour en gloire. Ce mot « loi » doit donc être compris et identifié. Que désigne ce terme pour un Hébreu de son époque ? La « loi de Moïse », dans laquelle Dieu révèle les origines de la terre, ses ordonnances divines, ses rites sacrificiels qui vont cesser avec la venue du Messie Jésus-Christ, et ses textes prophétiques, depuis Esaïe, jusqu’à Malachie. Et parmi eux, ce livre, que les Juifs vont sous-estimer, le livre de Daniel aux prophéties si importantes, puisque Daniel 9 fixe la date de l’année et du jour de la mort expiatoire du messie promis par Dieu, pour sa première venue sur la terre. La mort de Jésus n’a pas été marquée par « la disparition du ciel et de la terre », ce qui signifie que la « loi de Moïse » est donc restée en vigueur et exigée par Dieu de la part des Chrétiens dont les premiers éléments sont Juifs et sont formés par Jésus-Christ. La loi divine doit donc être respectée autant par les Chrétiens païens qui vont être convertis que par les juifs de l’ancienne alliance. Une seule chose change et Dieu le précise dans Dan.9:27 où parlant du Messie, l’Esprit dit : « Il fera une alliance avec plusieurs pour une semaine, et au milieu de la semaine il fera cesser le sacrifice et l’offrande ». La seule chose qui change vise à mettre fin à des morts animales rituelles devenues, par sa mort humaine, inutiles, en sorte que la nécessité de manger de la viande disparaît avec la mort de Jésus-Christ. Car ce n’est que pour favoriser les leçons de ses rites sacrificiels que Dieu a donné aux hommes, après le déluge, l’autorisation de manger de la viande animale. Par sa mort volontaire, Jésus libère ses élus de la condamnation du péché et les animaux de leur mort rituelle et nourricière ; deux messages d’offres de vie accompagnent sa mort expiatoire. Mais ce terrible sacrifice accepté par Jésus-Christ le rend encore plus exigeant envers ceux qu’il sauve. Leur connaissance de sa loi doit être complète, car Dieu n’a rien fait écrire qui ne doive pas être lu.

La parabole des vignerons nous a présenté l’absence visuelle de Dieu. Mais avant de partir et de quitter visuellement son peuple, il lui a fait connaître toutes ses lois qu’il a dictées à Moïse. Dieu quitte la scène, mais il laisse derrière lui, des textes bibliques qui révèlent sa personnalité, son caractère et les normes de ses jugements. C’est pourquoi, la connaissance de toutes ses lois permet, seule, de connaître le Dieu qui se cache volontairement dans l’invisibilité. Et cette connaissance est, selon Jésus, la condition de l’obtention de la vie éternelle Jean 17:3 : « Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ ». Ainsi, contrairement à la conception des églises tombées dans l’apostasie, la formation de l’élu chrétien repose sur l’enseignement de la « loi de Moïse » vers laquelle les premiers païens convertis étaient dirigés selon Actes 15:21 : « Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu'on le lit tous les jours de sabbat dans les synagogues ». Le mépris de la « loi de Moïse » est un héritage du catholicisme romain et il est à l’origine de l’apostasie généralisée constatée après l’Edit de Milan signé par Constantin 1er ; édit par lequel les persécutions des Chrétiens ont cessé officiellement. La Réforme protestante n’a pas redonné à la « loi de Moïse » le rôle formateur qui lui revient en priorité. Elle a toutefois relevé l’importance de la sainte Bible en prenant pour slogan « l’Ecriture et l’Ecriture seule » et en donnant à cette sainte Bible, le rôle d’unique appui du salut divin. Cependant, paradoxalement, contrairement à cet éloge fait à la sainte Bible, en héritage du catholicisme déchu, les Protestants ont mangé des choses que Dieu a déclarées impures par leur nature, dans la « loi de Moïse », précisément.

La nécessité de lire la Bible dans son intégralité apparaît ainsi clairement. Et un autre enseignement confirme cette nécessité dans Apo.11:3 où Dieu désigne sa sainte Bible comme étant ses « deux témoins ». Or, quel est le rôle d’un témoin ? Dans un tribunal, il vient faire pencher le réquisitoire dans un sens favorable ou pas. Le témoin délivre un message concernant ce qu’il a vu, mais s’il est lui-même victime d’un mauvais traitement, il témoigne aussi de ce qu’il a vécu et subi de la part des méchants tortionnaires. Dieu a ainsi humanisé sa sainte Bible parce qu’elle témoigne, elle aussi, en faveur ou contre l’homme, selon le type de relation qu’il a avec elle. Or la Bible n’est pas seulement humanisée par Dieu elle est aussi divinisée puisqu’elle porte le titre de « parole de Dieu ». En Jésus-Christ, Dieu est devenue la Parole divine venue sur terre pour expliquer et révéler le Dieu invisible et ayant dicté à Moïse les paroles que sa loi nous transmet, nous avons trois identités complémentaires qui révèlent le vrai Dieu créateur.

Ainsi, la formation de l’élu repose sur l’enseignement de la « loi de Moïse » et le rôle de Jésus-Christ consiste simplement à accomplir le sacrifice qui lui permet de sauver les seuls élus que la « loi de Moïse » a enseignés et formés soit, préparés pour l’adaptation aux lois du Dieu céleste. Notre acceptation ou notre rejet des jugements exprimés par Dieu dans la « loi de Moïse » détermine notre aptitude à apprécier les normes du caractère du Dieu éternel.

Dans le symbolisme, les « deux témoins » illustrent les deux alliances que Dieu met en parallèle analogique dans sa vision prophétique du programme de l’histoire religieuse humaine terrestre. Ces « deux témoins » s’adressent à des humains formés par le seul et même enseignement donné par la « loi de Moïse » et les prophètes. La seule chose qui les différencie, c’est que le premier s’est adressé à l’identité juive des « Hébreux » de l’ancienne alliance et que le deuxième s’adresse à l’identité païenne ou « grecque » de la nouvelle alliance.

Dieu ne nous laisse aucune autre manière de découvrir son caractère et sa personnalité que par le moyen de la lecture de sa sainte Bible entière. Et c’est en cela, que le caractère complémentaire des écrits des deux alliances prend toute sa valeur. Celui qui favorise l’ancienne alliance et rejette les écrits de la nouvelle, se condamne lui-même à ignorer l’immense amour de Dieu pour ses créatures fidèles. Et pareillement celui qui ne lit que la nouvelle alliance se méprend sur le caractère de Dieu qui est réellement amour mais aussi Juge et Justicier implacable, ferme, et résolu.

Notre lecture de la Bible, doit être vécue comme une découverte du caractère du Dieu Esprit invisible. C’est pourquoi, j’ai parlé d’une approche du Dieu vivant qui exige, une attitude sainte, saine et bonne, « avec crainte et tremblements ». Il s’agit d’une approche authentiquement amoureuse. Découvrir le caractère de Dieu n’a d’intérêt que si nous sommes prêts à en accepter toutes les formes et sommes désireux de nous y conformer et de nous adapter à ses normes. Sans cet état d’esprit, la lecture de la Bible est un jugement contre nous-mêmes, parce que la relation avec Dieu est alors rendue impossible et notre lecture ne peut porter aucun fruit salutaire.

L’importance de la préparation par l’enseignement de la « loi de Moïse » fait du Juif circoncis dans la chair le candidat idéal pour le salut proposé par Dieu. Il constitue, après Jésus-Christ, le modèle humain auquel le salut en Christ est proposé encore aujourd’hui et jusqu’à la fin du temps de grâce qui précédera de quelques mois la fin du monde. Il a été, dans l’histoire chrétienne, le premier à être éclairé sur la justification apportée par Jésus-Christ et il sera à la fin du monde vers laquelle nous nous dirigeons du nombre des derniers à profiter de l’offre divine de la grâce que Dieu offre en son nom. Le premier persécuteur de la foi chrétienne était un Juif de race de la nation Israël, le dernier persécuteur sera chrétien. La conversion de ce premier persécuteur juif, qui entre au service de Jésus-Christ, prophétise l’ultime conversion des derniers Juifs rachetables par le sang versé par Jésus-Christ. Souverainement le divin Christ change son nom Saul en Paul. Et cette possibilité de recevoir la foi chrétienne a été offerte aux vrais juifs sincères et fidèles par l’instauration de la foi adventiste du septième jour depuis 1873 et même avant comme vers 1840, le Juif messianique Wolf, appelé le Juif errant, en a donné la preuve. Dans cette époque marquée par deux épreuves de foi successives, des Juifs gardant le sabbat de Dieu ont pu recevoir Jésus-Christ et en même temps, Dieu a dirigé des Chrétiens fidèles vers le sabbat du septième jour, après le 22 Octobre 1844.

C’est donc l’importance que la foi adventiste du septième jour a redonnée en 1873 à la « loi de Moïse » qui justifie ces paroles divines prophétiques citées dans Apo.3:10 : « Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t'ai aimé. » En cette date 1873, Jésus authentifie le retour à la vérité apostolique, en disant à l’adventisme béni de l’époque, au verset 11 : « Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. » A cette date de l’année 1873 définie par le terme de l’attente adventiste de « 1335 jours » citée dans Dan.12:12, l’élu idéal de Dieu était donc le Juif qui devenait adventiste du septième jour ou à l’inverse le Chrétien qui adoptait le sabbat et l’enseignement de la « loi de Moïse ». Mais hélas, avec le temps les humains sont remplacés et la foi des croyants éprouvés est remplacée par la foi de gens non éprouvés. C’est ce qui explique la dérive continuelle systématique des organisations religieuses bénies par Dieu pour un temps seulement ; celui où Dieu testent et met à l’épreuve la foi de ses serviteurs.

Opposés dans l’absolu, les messages adressés à « Philadelphie » puis à « Laodicée » confirment le drame spirituel provoqué par la prolongation du temps. Autant « Philadelphie » est bénie et reconnue par Jésus-Christ digne de son ciel, autant à l’inverse, « Laodicée » lui devient insupportable au point de devoir la « vomir ». Et l’explication de ces contraires est dans le changement des époques et donc dans le changement des serviteurs adventistes concernés.

La leçon étant donnée, nous pouvons comprendre qu’à l’époque « Laodicée » Dieu ne peut reconnaître comme ses élus que les adventistes qui présentent et portent les valeurs bénies en l’époque « Philadelphie ». L’amour fraternel désigné par ce nom « Philadelphie » n’est rendu possible que par l’amour de la vérité qui exprime l’amour pour Dieu lui-même. Ici nous retrouvons l’importance que l’élu donne aux révélations de la Bible entière parce que Dieu reste invisible et qu’il se révèle à ses serviteurs uniquement par celles qui sont écrites dans sa sainte Bible.

A l’opposé, dans le camp du diable, des apparitions miraculeuses piègent les faux croyants et les démons se manifestent de différentes manières en anges de lumière et également en anges de ténèbres.

Dans l’adventisme béni des derniers jours, le slogan protestant né au 16ème siècle « l’Ecriture et l’Ecriture seule » est honoré et sublimé ; de même l’œuvre de la Réforme engagée depuis cette époque est achevée.

Il ressort de cette étude qui concerne l’importance de la sainte Bible entière qu’il n’y a pas de raison d’opposer « la loi et la foi », car elles traitent de deux sujets différents complémentaires. La « loi » enseigne et la « foi » sauve celui qui est enseigné. Dans l’enseignement de l’ancienne alliance le mot « foi » est presque absent. Mais Habakuk le prophète le cite dans Hab.2:4 : « Voici, son âme s'est enflée, elle n'est pas droite en lui ; mais le juste vivra par sa foi. » Et dans la nouvelle alliance, l’épître aux Hébreux confirme le salut obtenu par la foi des élus sélectionnés par Dieu au cours de l’ancienne alliance, car Hébreux 11 est entièrement consacré à ce thème de la foi reprenant dans le début de 18 versets l’expression « c’est par la foi que … ». L’auteur cite 18 personnages sélectionnés comme élus par Dieu dans l’ancienne alliance depuis le commencement de la vie sur la terre avec le juste Enoch enlevé au ciel vivant, par Dieu, jusqu’au dernier cité, qui est une femme, la prostituée Rahab qui choisit Dieu et son peuple quand il vint détruire sa ville Jéricho. Mais l’auteur ne cache pas que sa liste n’est pas complète et que bien d’autres élus cités par la Bible doivent être rajoutés à son énumération. En fait, il donne quelques exemples qui confirment que la foi a toujours été la cause du salut et des bénédictions divines.

Le rattachement de la nouvelle alliance à la foi trouve son explication dans le fait que l’enseignement de la « loi de Moïse » ne peut pas sauver à lui seul le pécheur humain. Les sacrifices animaliers pratiqués jusqu’au Christ crucifié n’avaient aucun pouvoir de sauver la moindre vie humaine. Ils n’avaient qu’une valeur provisoire que seule la mort de Jésus-Christ pouvait valider, parce que les victimes expiatoires animales ne faisaient que prophétiser la mort du Christ divin et parfaitement humain. Aussi, la reconnaissance de Jésus-Christ dans son rôle de victime expiatoire porteuse des péchés de ses élus, devenait la dernière épreuve de foi qui permettait à un juif enseigné par la « loi de Moïse » d’être sauvé par la grâce que Dieu offre à ses vrais élus au nom de Jésus, son Christ et son Messie. Il est donc mort frappé pour les péchés de ses élus qu’il portait, et sa parfaite justice personnelle divine lui donnait le droit de se ressusciter lui-même comme il l’avait annoncé à ses apôtres dans Jean 10:17-18 : « Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. »

La conséquence du plan salvateur organisé et accompli parfaitement par Dieu en Jésus-Christ est que Dieu peut sauver tout être humain chez lequel il trouve l’amour de sa vérité, car son offre de salut est universellement proposée. Quelque soit, ton héritage, national ou religieux, ou la couleur de ta peau, la porte de la grâce t’est ouverte jusqu’en 2029, si ton amour de la vérité divine te rend capable de remettre en cause ces choses héritées par le hasard de la naissance et l’entrée dans la vie humaine terrestre. Car sous le ciel et sur toute la terre, il n’y a qu’un seul Dieu créateur que nous devons honorer et servir dans l’obéissance à ses saintes lois révélées dans sa sainte Bible entière. Elle fut écrite sur une durée de 1600 ans, entre le début du 15ème siècle avant Jésus-Christ et la fin du 1er siècle après lui. C’est parce qu’elle rend concrète la « Parole de Dieu » qu’elle constitue l’Ecriture divine qui offre la vie éternelle à ses vrais élus ; lesquels se démarquent des faux, par leur persévérante fidélité.

Ce que tu dois aussi comprendre, c’est que les vrais élus sont aussi peu nombreux dans la nouvelle alliance que dans l’ancienne. Et Jésus a tenu à le faire savoir en disant dans Mat.22:14 : « Car il y a beaucoup d'appelés, mais peu d'élus. »  Et s’il y a « peu d’élus » c’est à cause des critères caractériels exigés par Dieu de la part de ses élus. Dans Ezéchiel 14, il nous donne en modèle, seulement, trois noms ; ceux de « Noé, Daniel, et Job » et précise en plus : « ils ne sauveraient ni fils, ni fille, mais eux seuls seraient sauvés … ils sauveraient leur âme par leur justice ». Le salut est rendu possible, uniquement, par la conformité à la norme définie dans « la loi de Moïse et la foi » au sacrifice expiatoire de Jésus-Christ. On n’est bien loin du salut revendiqué faussement par des masses et des multitudes humaines superficielles attachées à de multiples religions monothéistes ou pas, par l’héritage religieux de la tradition.

Il n’est rien de plus personnel et individuel que la lecture de la Bible. Chaque créature humaine peut y découvrir les origines de la terre et de tout ce qu’elle contient et porte sur elle, mais aussi, elle nous révèle notre héritage du péché qui donne un sens de salaire à notre première mort et à la « seconde mort » subie par les rebelles après le jugement dernier. Il est un fait certain, c’est que la mort qui nous semble si naturelle est au contraire pour Dieu et ses saints anges une chose anormale, provisoire, parce que la norme de la vie divine c’est l’immortalité. Et c’est cette immortalité qui se prolongera éternellement quand l’épreuve de foi terrestre prendra fin, pour les élus rachetés par le sang versé par le Seigneur Jésus-Christ, dès le printemps 2030. La Bible évoque deux morts parce que notre condition de vie actuelle n’est que provisoire et elle cesse par la première mort que nous tenons pour naturelle. Seuls les gens qui ont la foi, peuvent croire à l’existence de la « seconde mort » parce qu’elle implique l’idée d’une seconde forme de vie qui sera, elle, éternelle et sera accessible uniquement pour les élus rachetés par Jésus-Christ. Les humains rebelles et incrédules seront ressuscités, à la fin du septième millénaire, pour le jugement dernier, mais uniquement pour subir cette « seconde mort » dont la conséquence est l’anéantissement définitif de l’être ou de l’âme déchue. Or, la Bible nous révèle que le salut repose exclusivement sur le sacrifice expiatoire volontaire de l’homme appelé Jésus de Nazareth. L’origine divine de sa naissance a donné à sa mort charnelle une valeur exceptionnelle qui, transmise par lui au titre de « nouvel Adam », profite par héritage à ses élus rachetés. Ayant vaincu le péché dans une chair semblable à celle de ses élus, Jésus leur a laissé ce message : Vous pouvez vaincre comme j’ai vaincu. Mais là encore, c’est notre nature individuelle qui va permettre à notre lecture de la Bible de porter un fruit éternel d’immortalité ou pas.

La plus grande partie de ceux qui, se revendiquant du salut en Christ, sont rejetés par Dieu, le sont à cause de leur ignorance du peu d’importance qu’ils donnent aux écrits révélés dans l’ancienne alliance. Et je peux en témoigner, parce que malgré ma lecture de la sainte Bible entière, en 1975, mon étude de l’Apocalypse révélée à Jean restait totalement infructueuse. Mon esprit était verrouillé par Dieu et il ne l’a déverrouillé qu’en 1980, après mon baptême dans l’église adventiste du septième jour de Valence sur Rhône, dans le sud de la France. J’avais manifesté mon amour pour sa vérité biblique, mais les clés de la compréhension m’ont été données uniquement par le message adventiste et ceci, malgré ses imperfections originelles. La compréhension de l’Apocalypse m’obsédait mais seul le livre de Daniel pouvait l’éclairer. Dans ma lecture de la Bible entière, j’avais lu ce livre mais sans en rien retenir, jusqu’à ce que je sois baptisé au nom de Jésus-Christ dans cette église adventiste, la plus ancienne de toutes celles qui ont été instaurées en France. La leçon donnée par Dieu apparaît dans cette expérience et elle remet en cause cette sous-estimation des textes bibliques de l’ancienne alliance. Et les noms portés par ces deux livres, « Daniel et Apocalypse », confirment les graves conséquences que cette sous-estimation va porter pour ceux qui font l’erreur de la commettre. « Daniel » signifie : Dieu est mon Juge ; et « Apocalypse » signifie : Révélation. La leçon est la suivante : pour accéder à la Révélation, l’appelé est jugé par Dieu digne ou pas d’y accéder. Et cette dignité est reconnue par Dieu pour celui qui ne sous-estime pas le livre de « Daniel », celui de la Genèse et de tous les livres de l’ancienne alliance en commençant par « la loi de Moïse » qui regroupe les cinq premiers livres de la sainte Bible.

Cette importante leçon nous est encore donnée par Dieu dès le premier verset d’Apocalypse 1 : « Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt, et qu'il a fait connaître, par l'envoi de son ange, à son serviteur Jean, » La « Révélation de Jésus-Christ » est « donnée » par le « Dieu » créateur, l’inspirateur des textes de l’ancienne alliance dont en premier, le livre de « Daniel ». Ensuite, seule la lecture de la Bible entière permet une bonne appréciation de son rôle. Car le découpage en deux alliances cache l’unité et la continuité du projet salvateur lancé par Dieu. C’est ainsi que le terme « femme » utilisé dans Apocalypse prend le sens que Dieu a donné spirituellement à la « femme » Eve créée à partir de l’une des côtes d’Adam, lui-même étant l’image du Christ. « La femme » prophétise « l’Elue », l’Eglise des élus rachetés par Jésus-Christ. Et nous savons que ces élus sont sélectionnés depuis Adam et Eve, c’est pourquoi dans Apo.12, « la femme » représente la sélection des élus fondée sur la continuité de l’enseignement biblique donné par les « douze apôtres » de Jésus-Christ, eux-mêmes étant héritiers de l’enseignement reçu par les « douze patriarches » hébreux, et prédécesseurs de l’enseignement porté par les derniers Adventistes du septième jour symbolisés dans Apo.7, par « douze tribus » porteuses de certains noms choisis par Dieu parmi les noms des patriarches hébreux. Apocalypse met en scène la Rome papale ; une autre « femme » qui est, elle, vraiment diabolique, mais peut porter le nom de « femme » dans la mesure où elle prend l’apparence et le rôle d’une église chrétienne. Dans Apo.17:5, Dieu lève le doute à son sujet, en révélant des détails sur sa personnalité et en lui imputant le nom « Babylone la grande, la mère des prostituées de la terre ». Ce rôle apparent d’église la relie à la « femme Jézabel » d’Apo.2 qui « enseigne mes serviteurs » dit l’Esprit divin nommé Jésus-Christ.

La démonstration est ainsi faite qu’il y a bien une seule manière de bien lire la sainte Bible et de multiples autres de la lire, mais en vain.

 

 

 

Les nuits estivales incendiaires

 

En dernière heure, je constate l’explosion de violence qui dresse en France, la jeunesse d’origine étrangère principalement maghrébine ou noire, contre les autorités de la sécurité nationale. A l’origine des faits, la mort d’un jeune de 17 ans nommé Nahel, tué par un policier après un délit de fuite suite à un simple contrôle routier. Surpris par le démarrage en trombe du véhicule, le policier a sorti son arme et a tiré sur le jeune conducteur délinquant multirécidiviste qu’il a tué. Le fait s’est produit vers 9h dans la matinée du mardi 27 Juin, et depuis cette date les nuits des 28, 29, 30 Juin et du sabbat du 1er Juillet ont été marquées par des incendies et des attaques menées contre les postes de police et autres bâtiments et véhicules. L’action dépasse en intensité tout ce qui s’est accompli dans le passé jusqu’à ce jour. Elle concerne toutes les grandes villes de la France et sa capitale Paris. Je crois pouvoir identifier ces actions comme étant la conséquence d’un accroissement de liberté donnée aux démons par Jésus-Christ. Pour cela je relève un signe. Le dernier jour de tranquillité était le 26 Juin, le chiffre 26 étant le nombre du nom de Dieu « YaHWéH » soit le nombre obtenu par l’addition des quatre lettres chiffres hébraïques qui le composent soit, Yod, Hé, Wav, Hé. Le jour suivant, le 27 juin, la violence éclate. La libération des mauvais anges est graduelle et donc d’intensité progressive. L’entrée en guerre de l’Ukraine et de la Russie en a marqué une phase le 24 Février 2022, mais déjà avant cette guerre, la malédiction de l’épidémie mondiale du Covid-19 avait donné le signal du début de cette libération des démons maléfiques.

La France des incrédules paie aujourd’hui par ces incendies nocturnes ses offenses au Dieu créateur. Son nouvel athéisme porté par un humanisme accueillant, imprudent, subit la conséquence de ses actions. Le peuple français est resté longtemps sourd aux avertissements du parti FN, l’ex Front National rebaptisé aujourd’hui RN soit Rassemblement National. Mais la population de la France est maintenant si disparate et composée de gens venus des quatre coins de la terre que son rassemblement est devenu une chose impossible. L’unité nationale souhaitée par ses dirigeants actuels n’est plus réalisable. La France se retrouve à l’image qui décrit l’état de « Babylone la Grande » dans Apo.18:2 : « Il cria d'une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, » Les humains sont obstinés et entêtés mais les faits le sont encore plus qu’eux et les actions portent tôt ou tard leurs inévitables effets. Et les divisions religieuses sont particulièrement la cause de l’impossibilité de rassembler les êtres humains, et Dieu, autant que le diable, sait exploiter cette situation pour maudire l’humanité et provoquer des conflits fumants et sanglants. Relève dans ce verset,  la double mention du terme « impur » qui caractérise les choix spirituels religieux et les choix profanes humanistes des peuples occidentaux.

Dans le même temps, la guerre en Ukraine se prolonge avec des événements que je ne commenterai pas, car ils ne changeront rien aux faits prophétisés par Dieu. Mais la résistance russe contraint les USA à intensifier encore le niveau des armes qu’elle donne à l’Ukraine. Encore quelques pas, et la Guerre mondiale prophétisée deviendra inévitable et prendra une forme active réelle. Mais si le patrimoine français est consumé par ses immigrés rebelles, comment la France va-t-elle pouvoir relever le défi de son réarmement ? La ruine et le désastre provoqués dans notre actualité ne favoriseront pas ce projet et elle se retrouvera démunie face à la future invasion russe prophétisée dans Dan.11:40. Il faut relever le fait que la violence qui frappe la France en ces nuits actuelles est directement la conséquence du choix du peuple français porté par deux fois consécutives sur l’élection du président Emmanuel Macron, à cause de son rejet de la candidate du Front National ou Rassemblement National, Marine le Pen. Entre deux choix idéologiques, Dieu soutiendra toujours celui qui tient compte le plus de ses valeurs. En l’occurrence, le choix national est plus intelligent et sage que le choix mondialiste qui reproduit le syndrome de la « tour de Babel ». Or, les choix non sages et non intelligents produisent, à terme, les fruits regrettables d’affrontements raciaux, ethniques et religieux ; ce que confirment les actions actuelles qui s’accomplissent premièrement en France. Mais d’autres pays seront à leur tour gagnés et victimes de ces choses pour des raisons identiques : les mélanges ethniques et religieux qui caractérisent toutes les sociétés occidentales ou presque.

La France républicaine a longtemps cru pouvoir éviter les conséquences du communautarisme en favorisant le choix de l’intégration nationale de ses immigrants historiques. Mais les faits lui prouvent aujourd’hui que ses illusions n’étaient pas fondées, parce que, reconnu ou pas, le communautarisme est la conséquence naturelle du regroupement des semblables qui se rassemblent communauté par communauté. En nombre suffisant, les membres de ces communautés se heurtent aux communautés différentes et la leçon de ces choses a été donnée par l’exemple des expériences communautaires des USA dans lesquels après la Seconde Guerre Mondiale, le racisme naturel opposait les bandes des groupes, des portoricains, des noirs et des blancs. Mais les Occidentaux n’apprennent rien et ne retirent pas plus de profit de leurs expériences passées que des leçons données par Dieu dans sa sainte Bible. Ils restent sourds et aveugles et avancent obstinément dans leurs mauvais choix.

Le mépris des Français pour le sujet religieux est tel qu’ils n’ont pas pu estimer à temps le danger que représentait pour eux l’accueil de la religion de l’islam. Car à l’opposé de la religion chrétienne qui laisse aujourd’hui aux hommes la possibilité de la choisir, la religion de l’islam est imputée dès sa naissance à tous les êtres humains qui naissent sur le sol des pays musulmans. La religion y est imposée de manière nationale. Et ce principe se heurte aux normes républicaines qui sont elles aussi imposées de manière nationale à tous ceux qui naissent et vivent sur le sol des pays occidentaux. Le temps est arrivé donc pour la démonstration que ces deux obligations sont contradictoires et non solubles, mais incompatibles l’une avec l’autre. Or, la sagesse conseille à un couple qui ne s’entend pas ou plus de se séparer ; combien cette séparation est-elle plus nécessaire encore lorsque la division repose sur des valeurs héritées profondément ancrées dans les esprits humains. N’entendant pas cette sagesse, les représentants de la République française se sont entêtés parce qu’ils ont cru pouvoir réussir l’impossible qui n’appartient qu’à Dieu, pas aux hommes, et encore moins à ce qui s’opposent à lui.

La France de la 5ème République porte aujourd’hui le fruit de 40 années de conseils humanistes donnés par ses psychiatres et ses psychologues. Ce sont eux qui sont responsables des ordres imposées aux parents maghrébins installés en France qui leur ont interdit de punir leurs enfants par des châtiments corporels qui ont toujours produit de bons résultats dans leur nation d’origine. En sorte que leur comportement rebelle et agressif d’aujourd’hui n’est que la conséquence de cette impossibilité de redresser les caractères rebelles de leurs enfants. Et oubliant cette responsabilité de sa République, le président Macron a le toupet de vouloir imputer les actions des jeunes délinquants rebelles à leurs parents. Des parents qui se sont ainsi vus susceptibles d’être dénoncés par leurs propres enfants devant les juges de la République. Ils ont ainsi assisté au développement de leurs enfants qui, de plus en plus rebelles, ne leur obéissaient plus. Les injustices se sont superposées pour certains parents doublement victimes des valeurs républicaines. Mais, il ne faut pas oublier que la haine éprouvée par les jeunes immigrés ou français d’origine immigrée a été entretenue par certains parents remplis eux-mêmes de haine et de rancœur envers la France. Mais quelles que soient les origines de la haine, Dieu l’exploite aujourd’hui pour châtier la République qu’il tient à juste raison pour un régime du péché. Et les dérives mentales qui ont conduit à légitimer aujourd’hui l’homosexualité, condamnée dans le passé encore proche par la même nation, ne fait que confirmer cette nature du péché.

Le malheur de la France repose aussi sur la trompeuse apparence de son organisation. Sur les télévisions, des émissions présentent des débats animés par des journalistes qui donnent à notre société une trompeuse apparence de pouvoir populaire. Mais qu’en est-il en vérité ? Tout ce bla-bla-bla est trompeur et inutile car face aux problèmes qui se présentent, le jeune président aux pleins pouvoirs sera seul à prendre des décisions mises en œuvre par son gouvernement. Le destin de la vie de tout un peuple est ainsi stupidement placé entre les mains et l’esprit d’un seul homme, jeune et sans expérience de surcroît, et on peut en rire ou en pleurer, mais ce même peuple critique les dictatures étrangères et se vante de son régime démocratique qui ne trompe en premier que lui.

Cette présente cuisante épreuve pour la France me fait penser au châtiment qui finit par s’abattre sur Jérusalem en – 586, lorsque pour la troisième fois, le roi Nébucadnetsar vint l’attaquer ; ceci, après 11 années de résistance aux invitations des prophètes envoyés par Dieu vers le roi Sédécias pour qu’il accepte de se soumettre au projet arrêté par Dieu. Après deux ans de siège le roi juif fut vaincu, la ville fut prise et beaucoup d’hommes moururent et d’autres furent à leur tour déportés à Babylone. Les fils de Sédécias furent égorgés sous ses yeux et lui-même fut rendu aveugle, ses yeux étant brûlés par le feu. C’est pourquoi, je sais que l’épreuve actuelle n’est pour la France que le commencement de ses vraies douleurs que Dieu lui réserve encore.

 

 

 

Vraie et fausse sanctification

 

Les mots ont un sens étymologique précis mais leur utilisation peut porter un sens contraire dans l’absolu selon qu’ils s’appliquent pour définir un sens vrai ou un sens faux. Et le mot sanctification n’échappe pas à cette règle universelle qui veut que toute chose a son contraire absolu. Le sens étymologique du mot sanctification est de mettre à part, mais le cas de l’apôtre Judas Iscariot choisi par Jésus comme ses onze autres apôtres, prouve que la sanctification ne représente pas uniquement la mise à part de ce qui est bon dans le jugement de Dieu. Jésus le dit dans Jean 6:70-71 où nous lisons : « Jésus leur répondit : N'est-ce pas moi qui vous ai choisis, vous les douze ? Et l'un de vous est un démon ! Il parlait de Judas Iscariot, fils de Simon ; car c'était lui qui devait le livrer, lui, l'un des douze. »

Il y a donc bien une bonne et une mauvaise sanctification soit, une vraie, mais aussi, une fausse, qui peut tromper les êtres humains et les conduire à perdre le salut de leur âme.

Dès l’origine de sa création terrestre, Dieu a sanctifié au repos le septième et dernier jour de la semaine qui rythme notre temps de vie. Cette sanctification du septième jour était placée sous le signe de la perfection et de la plénitude d’une unité de temps conçue par Dieu. Tout ce qu’il ordonne et met en œuvre est de ce type parfait. Mais lorsque cette sanctification concerne les hommes héritiers du péché d’Adam et Eve, des formes contraires de la sanctification apparaissent. Cette pensée va nous permettre de mieux comprendre le message donné par Dieu dans le livre de Daniel où le mot « saints » désigne tous ceux qui se réclament du Dieu créateur dans les deux alliances. Mais pour bien marquer la fin du régime de l’ancienne alliance, Dieu désigne les Israélites de cette alliance rompue par lui, par le terme « pécheurs », dans Dan.8:23 : « A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux. » Ces paroles prophétiques ont été accomplies en 70, lorsque l’armée envoyée par l’empereur romain Vespasien est venue détruire « la ville et la sainteté » de Jérusalem confirmant ainsi l’annonce faite dans Dan.9:26 : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » C’est ce régime romain qui se convertissant sous la paix imposée par Constantin le grand, en 313, va devenir en 538, le régime papal catholique romain qui devait être ce « roi impudent et artificieux ». C’est donc à lui que, selon Dan.7:25 et 8:12, les « saints » véritables devaient être livrés pour leur malheur et leur châtiment divin au cours de l’ère chrétienne. Qui sont donc les « saints » ciblés par la prophétie ? Ce sont des personnes qui en toute bonne foi, trompées par les apparences de l’heure, avalent les mensonges religieux enseignés dans leur époque. La Bible est alors peu disponible et les masses humaines sont soumises aux prétentions revendiquées par les prêtres venus de Rome où la foi chrétienne s’est développée après s’être formée à Jérusalem. Dans ce début, la religion chrétienne est propagée oralement, ce qui facilite la soumission aux gens qui prétendent servir le Dieu céleste redoutable et Tout-puissant. C’est donc à cause de l’ignorance des peuples que les mensonges religieux de la religion catholique romaine ont pu séduire des foules de gens superstitieux livrés jusque-là à leurs différentes formes païennes. Et habitués à ce paganisme, ces peuples n’opposaient que peu de résistance à cette autre version païenne que Rome leur présentait au nom du Dieu unique. Soumis en toute chose à ses rois, quand le roi se convertissait à la foi chrétienne, le peuple entier suivait et devait suivre, le choix fait par le roi. C’est ainsi, que la religion catholique romaine s’est instaurée dans les royaumes européens occidentaux et orientaux. Les incohérences des enseignements catholiques ne pouvaient pas être relevées par les êtres humains sans se référer à la sainte Bible à laquelle seuls les moines copistes avaient accès, et encore, en fragments séparés, jamais ou rarement en intégralité.

Le mot foi désigne à l’origine la confiance placée dans les vraies valeurs enseignées par Dieu. Et dans ce sens la foi n’a été rendue possible et vivante qu’au 16ème siècle en lequel la sainte Bible, alors imprimée en quantité est venue présenter son témoignage. Et en conséquence dénonçant la fausse foi catholique romaine, la foi Réformée, qui protestait, a attiré sur elle les foudres sataniques romaines et royales. Il en a résulté des « Guerres de Religions » sanglantes et cruelles. Ensuite, après la Révolution française et ses deux Terreurs de Juillet 1793 et juillet 1794,  la pensée libre voire athée est venue remplacer lentement mais sûrement, la vraie et la fausse foi. Les esprits humains sont formatés par les choses qu’ils vivent. Aussi, l’époque des tests de foi de 1843 et 1844, témoigne du peu d’intérêt que les religions chrétiennes officielles, de tout type, ont manifesté pour la sainte Parole écrite du Dieu vivant. Le nombre de gens qui ont participé et cru au possible retour du Christ révèle le triste état de la foi des gens de cette époque. Dans tout le territoire des USA, Dieu en dénombre environ 30 000 et après le second test soit, au matin du 23 Octobre 1844, il n’en a retenu que 50. La vraie foi était donc sur le point de disparaître complètement au profit de la fausse foi et de l’athéisme qui allait à son tour la remplacer.

Parler de vraie et de fausse foi n’a de sens que lorsque les gens concernés sont fondamentalement religieux ; et c’était le cas avant que naisse, en France, l’athéisme national. Dans ce nouveau contexte, le mot foi a reçu le sens de conviction et de confiance que l’homme peut placer sur n’importe qui ou n’importe quoi. Dans ce nouveau sens, l’objet de la foi n’est plus la parole écrite de Dieu, mais la forme approuvée par l’humain pour son type de culture sociétale. Et dans ce cas, le serviteur de Dieu peut, sans se tromper, qualifier toutes les cultures adoptées par les humains comme étant fausses puisque non conformes à celle que Dieu prescrit dans sa sainte Bible. Nos sociétés modernes n’ont rien inventé, mais tout hérité, des modèles païens, grecs et romains. Nos valeurs actuelles sont les leurs et seuls les progrès de la science technique sont nouveaux.

Est-il possible et utile de chercher à convaincre et à convertir un être humain qui refuse de croire à l’existence du Dieu créateur unique ? Non, absolument pas. Car il refusera les arguments bibliques que nous pouvons lui présenter. Et pour expliquer le pourquoi des choses, il trouvera ou s’inventera les explications qui lui conviennent. Le serviteur de Dieu relève alors chez l’incrédule ce paradoxe : il refuse de croire au Dieu créateur unique et à ses révélations bibliques mais se montre plein d’intérêt pour les sociétés gréco-romaines de l’antiquité, dans lesquelles il prend son modèle de culture et de pensée philosophiques. La fausse foi chrétienne qui a subsisté à l’athéisme, a été elle aussi victime de ces pensées culturelles païennes héritées. L’adoption du dogme de l’immortalité de l’âme en est la preuve évidente, puisqu’il est hérité de l’esprit du philosophe grec Platon, on ne peut plus, païen. Mais remercions Dieu, de permettre qu’à cause de ce signe, la fausse religion est identifiable déjà pour un Protestant sincère qui donne à la Parole de Dieu, priorité en matière de foi. Un autre signe encore plus puissant est venu avec la restauration de la pratique du vrai sabbat du septième jour qui concerne notre actuel « samedi » et il est bon pour toi que ce jour te dise : Je suis le saint jour mis à part par Dieu pour son repos et celui de ses élus. Car depuis 1843 début de l’épreuve de foi adventiste et plus précisément depuis 1844, cette restauration est exigée par Dieu, en sorte que la pratique du « dimanche », premier jour du temps divin, constitue le signe ou « la marque de la bête » qui combat, religieusement, la vérité établie par Dieu. En dehors de la sainte Bible et ses révélations, tout le reste n’est que fausseté et mensonge.

Ayant évoqué la vraie et la fausse foi manifestées par les êtres humains religieux nous pouvons définir à son tour, la vraie et la fausse sanctification. Car paradoxalement, encore, l’homme porteur de la fausse foi donne beaucoup d’importance à la sanctification. Personne sur la terre ne donne autant d’importance aux « saints » que les pratiquants de la religion catholique romaine. Ces saints sont pour eux légitimement adorés dès lors que le chef papal et la curie romaine attribue la sainteté à une personne par la voix du canon catholique. Dans les temps de l’ancien paganisme, les hommes agissaient de la même manière puisqu’ils construisaient leurs divinités et choisissaient parmi elles celles qu’ils préféraient. Et c’est choses n’ont disparu, principalement, que dans nos sociétés occidentales car en Orient, ces pratiques se perpétuent encore de nos jours. Mais relève-le, en dehors du support basé en occident sur les noms des personnages révélés dans la sainte Bible, le principe religieux est celui de ces peuples restés officiellement païens.

La Bible dit aux saints : « Recherchez la sanctification », ce qui signifie qu’ils doivent l’obtenir de Dieu et ne peuvent en aucun cas se l’attribuer eux-mêmes. Mais en disant, « recherchez », l’Esprit donne à l’homme l’initiative de sa démarche. Car c’est son choix de plaire à Dieu qui va lui permettre d’obtenir cette sanctification divine. En éclaircissant les ténèbres qui couvrent l’humanité actuelle, celui que Dieu « sanctifie par sa vérité » peut facilement identifier la vraie et la fausse sanctification religieuse. La vraie sanctification se constate par la qualité de la relation qui s’établit entre Dieu et son élu. Il se révèle à lui et lui permet de le « connaître » véritablement. Et cette sanctification est rendue concrète par l’accès à sa divine lumière, sa divine pensée, sa divine révélation. La vraie sanctification est donc par nature inimitable, contrairement à la fausse qui, elle, repose, uniquement, sur la crédulité de ceux à qui elle est proposée et présentée. Car l’homme est rendu responsable de ses choix et s’il se montre capable de refuser le témoignage présenté par Dieu par sa Bible ou ses serviteurs élus, il peut tout aussi facilement refuser de croire à des prétentions religieuses uniquement revendiquées par des êtres humains. La question vient alors, mais pourquoi ne le fait-il pas ? La réponse est, parce qu’il ne le peut pas. Car en rejetant Dieu, il se prive lui-même du seul moyen d’identifier les œuvres dirigées par le diable et ses suppôts célestes et terrestres, angéliques et humains. Ayant rejeté Dieu pour préserver sa liberté, l’incrédule est maîtrisé par le diable qui alimente ses pensées. Il se trouve donc dans un esclavage qu’il lui est impossible d’identifier. Dans son cerveau, ses pensées humaines et les pensées sataniques se fondent et se confondent mais ignorant cette intrusion externe, il s’attribue à lui-même, tout ce que sa pensée produit. C’est ce que Jésus a voulu dénoncer en évoquant l’esclavage du péché dans lequel le diable tient l’homme prisonnier depuis la chute d’Adam et Eve. Il est facile d’identifier l’ennemi qui vient physiquement et visuellement de l’extérieur, mais il est plus difficile et pour l’incrédule, impossible, d’identifier l’ennemi qui l’attaque depuis l’intérieur de son cerveau.

Parler de vraie et de fausse sanctification me conduit donc à opposer l’une à l’autre ces deux choses : la sanctification, part des élus, et la possession, part des déchus. Car la fausse sanctification revendiquée par l’homme n’est due qu’à la possession de son esprit par le diable qui l’inspire et l’alimente. Mais bien sûr, mon message se heurte aux préjugés humains qui donnent au mot possession uniquement les cas où on observe des comportements anormaux, maladifs ou autres. C’est un piège à incrédules et il fonctionne parfaitement bien depuis le début du péché. Mais la possession est un fait qui concerne l’être humain depuis le début de sa création par Dieu. A l’origine, créé à l’image de Dieu, il était possédé par l’Esprit divin. Après le péché, le même Adam fut livré au diable pour être possédé par lui. C’est pourquoi, l’homme n’a que le choix entre deux possessions spirituelles ; celle de Dieu ou celle de son ennemi le diable soit, entre YaHWéH et Satan, deux aimants entre lesquels la limaille humaine est attirée en fonction de son propre choix qui est différent pour chaque individu, parce qu’il repose sur sa nature personnelle. Ces deux noms confirment que, pour toute forme de vie, l’opposé absolu existe, ce qui donne aux conditions de l’existence placée sous le péché, l’application systématique du choix binaire. L’Esprit nous dit alors par la bouche et l’écriture de ses saints inspirés : « que ton non soit non et que ton oui soit oui ! » Une formule qui résume parfaitement la condition de la vie depuis la rébellion de Satan jusqu’à l’extermination du péché et des pécheurs. Car après les six mille ans de sélection d’élus terrestres, l’unanimité pour Dieu sera instaurée ; le oui restera oui, éternellement, car le non du refus n’aura plus de sens. Mais ceci s’appliquera et ne concernera que les élus qui auront « recherché », et obtenu de Dieu, sa vraie sanctification.

Vers la fin de l’ère chrétienne, la fausse sanctification a produit l’athéisme, puis cet athéisme a produit à son tour la pensée anarchique identifiable à ses slogans repris en France en Mai 1968 par la jeunesse rebelle : « Ni dieux ni maîtres »  et « il est interdit d’interdire ». Le peuple animé de cette pensée devient ingouvernable. Et depuis cet événement, c’est ce qui explique la constante insatisfaction des électeurs français, chaque fois qu’ils élisent un chef d’Etat présidentiel et portent un parti politique au pouvoir. Cette expérience française me permet de comprendre plus qu’un autre pourquoi le sort maudit s’est acharné sur le peuple de l’Ukraine devenue indépendante vers 1990. Nous devons nous rappeler qu’elle a pris son indépendance en quittant la Russie placée dans une situation totalement anarchique et chaotique. Si, par la suite, la Russie a retrouvé de l’ordre et de l’organisation sous la domination de son chef d’Etat Vladimir Poutine, au contraire d’elle, l’Ukraine a emporté et conservé cette nature anarchique. La preuve apparaît, comme en France, par le renversement systématique de ses chefs d’Etat, tous rejetés pour cause de corruption. Mais cette situation est logique parce que l’anarchie ne peut pas produire autre chose que la corruption des esprits humains. Attaché à la liberté, même au prix du chaos politique, le peuple ukrainien s’est ressoudé fermement pour résister à la Russie qui pourrait leur enlever leur sacrosainte liberté. Et ce peuple ukrainien est constitué de gens d’origines différentes, polonaise, ukrainienne ou russe, unifiées par leur commun désir de conserver leur liberté. Beaucoup de choses les séparent, mais la nécessité de défendre leur liberté les rassemble dans l’instant pour combattre l’agresseur russe. C’est cette situation anarchique qui nous permet de comprendre pourquoi l’idéologie nazie peut y être représentée sans choquer personne. Dans ce chaos politique, l’être humain se replie sur lui-même, et il essaie de ne pas voir ce que fait son prochain, son voisin, son compatriote. Par cet individualisme, il favorise le développement du mal qui peut s’étendre et gagner en puissance. Et portant ce fruit du péché dû à l’esprit libertaire excessivement grand, l’Ukraine présente les fruits attendus par Dieu pour sa démonstration universelle qui est le but de sa création de notre dimension terrestre. C’est pourquoi, le soutien spontané apporté par les Occidentaux à l’Ukraine dans sa guerre menée contre la Russie a pour cause le partage du même esprit anarchique. Il n’est donc pas étonnant de relever que dans tous les pays occidentaux, les élections nationales opposent de manière binaire, deux tendances politiques diamétralement opposées que l’on désigne par « la gauche et la droite » ; une expression qui coïncide avec les situations cardinales de la Russie et des USA par rapport à l’Europe. La droite est dirigiste, libérale et prône l’ordre public ; à l’opposé, la gauche est revendicative, contestataire et provoque le désordre public. Voici donc le fruit que porte l’humanité séparée de Dieu et le pire est à venir parce que les adeptes de tous ces camps différents vont finir par se combattre physiquement après le temps des échanges verbaux oraux. Et comme le cas de l’Ukraine le prouve, seul le contexte d’une guerre universelle, qui les concernera personnellement, permettra aux habitants de ces peuples de s’unir, au moins partiellement, contre l’ennemi agresseur commun, qui viendra dans l’ordre, selon Daniel 11:40-45, du « midi », puis du « septentrion ».

Pour Jésus-Christ, ces partis politiques de gauche et de droite se valent car dans son jugement personnel divin, il place les deux à « sa gauche », côté de sa malédiction, ne bénissant et sauvant que ses élus sanctifiés qu’il place à « sa droite ».

 

 

 

La semaine de YaHWéH

 

Pour le commun des mortels, rien n’est plus banal que cette succession de sept jours que l’on nomme « semaine ». La langue française le cache partiellement, mais l’origine latine de ce mot est « septimana », mot qui a pour racine « septem » qui désigne le nombre « sept », et « septimus » qui signifie « septième »,. En français, les deux lettres « pt » sont remplacées par la lettre « m ». Il en est de même du nom samedi où le « m » vient remplacer la lettre « b ou v » du mot hébreu « sabbat ». Ce nom désigne le septième jour et sa racine est celle du nombre « sept ». A l’origine et encore aujourd’hui, la semaine de l’hébreu est nommée par le nom du sabbat. Les autres jours n’ayant aucun nom, mais simplement un numéro, celui de leur ordre dans la progression des sept jours. Pour les Grecs, la semaine est nommée « sabbaton » comme le nom de son septième jour soit, « sabbat ». L’héritage de l’Hébreu est ainsi confirmé.

Dieu a choisi de construire son unité du temps sur une succession de sept jours. Ce nombre « sept » marque dans le temps le programme qu’il a conçu pour régler le problème du péché qui était inévitable en raison de la liberté totale qu’il a donnée à ses créatures de la première à la dernière soit, du premier ange au dernier homme né sur la terre. Ce programme entier s’allonge sur 7000 ans ; 6000 pour sauver l’homme et 1000 ans pour juger les pécheurs et les exterminer au jour du jugement dernier. Notre semaine prophétise donc par ses six premiers jours le temps de grâce au cours duquel Dieu sélectionne ses élus parmi tous les êtres humains, et son septième jour « sanctifié » prophétise le temps du jugement céleste au cours duquel, en fonctions de juges associés à Jésus-Christ, les élus jugeront les créatures angéliques et terrestres rebelles trouvées par Dieu indignes de survivre après ce temps de 7000 ans.

L’organisation de la semaine humaine est rappelée par Dieu dans le texte du quatrième de ses dix commandements selon Exode 20 :9-10 : « Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l'Éternel, ton Dieu: tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l'étranger qui est dans tes portes. » Nous pouvons ainsi comprendre que Dieu prophétise à travers ce programme six mille années de travail de sélection de ses élus pour lui-même. Et ce temps sera suivi par mille ans de repos obtenu par la mort des pécheurs au cours du septième millénaire.

Ignorant ce caractère prophétique de la semaine, sous l’instigation de Rome et plus récemment des USA, la semaine a subi d’énormes changements qui déforment entièrement la prophétie du programme préparé par Dieu. En 321, le repos du septième jour a été remplacé par le repos du premier jour. Personne n’a relevé la conséquence de ce changement et l’humanité s’est habituée à cet ordre instauré par le régime catholique romain dans tout l’occident où il régnait sur les monarchies. Au 16ème siècle, la Réforme protestante n’a pas eu conscience de ce changement concernant le saint septième jour de Dieu. Et depuis 1844, c’est lui qui conduit ses élus vers le sabbat qu’il a sanctifié au repos dès la fondation du monde. Longtemps, les Protestants ont justifié leur premier jour consacré à l’adoration et au culte de Dieu, en se référant au jour de la résurrection de Jésus qui apparut après sa mort, effectivement, le premier jour. Cependant, rien ne prouve que Jésus se soit ressuscité dans ce premier jour, et j’ai même démontré qu’en fait, il n’en a rien été, puisque le tombeau était déjà vide, quand l’ange est venu rouler la pierre pour permettre aux disciples de constater que Jésus était déjà ressuscité.

Plus récemment, l’expression « week-end » de l’anglo-américain a favorisé le placement du premier jour en position du septième. Et en France, le dictionnaire Larousse de 1981 a franchi le pas et il a présenté le dimanche comme étant le septième jour. L’année précédente, il était encore, officiellement, le premier jour de la semaine. En conséquence, le sabbat de Dieu se trouve rattaché au sixième jour par l’autorité humaine ; ce qui transforme sa signification et qui explique la colère permanente de Dieu envers les auteurs de ce forfait.

En fils de Dieu, regardons de plus prés cette semaine « sanctifiée » par notre Père. Elle se compose de sept jours, un chiffre impair, ce qui présente l’intérêt d’une construction symétrique basée sur un pivot central qui est le quatrième jour. Dieu est esprit et donc l’Esprit. C’est pourquoi les messages qu’il nous adresse sont basés sur des images, des mots et des chiffres. Et les jours de la semaine portent justement des numéros qui nous parlent. Le premier message qu’ils nous donnent est que l’ordre des jours est imposé par Dieu qui organise la vie humaine au fil du temps en fonction de son programme préétabli.

Dans son quatrième commandement, Dieu ne mentionne pas le nom sabbat mais il le cite sous la forme « septième jour » soulignant ainsi l’importance de sa bonne implantation qui concerne, prophétiquement, son œuvre finale qui sera vécue avec ses élus. Le culte du « septième jour », en lequel les élus honorent et adorent Dieu, prophétise leur repos commun partagé au cours du « septième millénaire ». Tu peux ainsi comprendre pourquoi attribuer la septième position au premier jour est absurde et injustifiée mais aussi, constitue une grave offense envers Dieu, l’organisateur du temps.

Construite sur la symétrie 3 jours 1jour 3 jours, il est évident que Dieu donne également une grande importance à ce jour central et c’est ce qui apparaît dans Dan.9:27, où l’Esprit prophétise sur Jésus-Christ disant : « il fera une solide alliance avec plusieurs pendant une semaine ». Le mot « semaine » prend ainsi, dans ce seul verset, un double sens ; celui de sept jours et celui de sept années réelles. Car la précision donnée à cette prophétie s’applique aux deux sens. Le texte poursuit disant : « Et au milieu de la semaine, il fera cesser le sacrifice et l’offrande » Ce « milieu de la semaine » est encore souligné et mis en valeur car il est d’une grande importance. Il nous permet en effet de reconstituer le déroulement des faits qui concernent, le début du ministère du Christ, sa mort, et la fin de la grâce nationale de l’Israël incrédule et rebelle ; ceci par les années de cette semaine d’années. Ensuite, en jours réels, nous découvrons le processus accompli au cours de la « semaine », « au milieu » de laquelle Jésus fut crucifié la veille du sabbat de la fête de Pâque. Ce jour central de la semaine juive était donc le « quatrième » soit, dans notre norme occidentale, le mercredi. Ce soir là, au coucher du soleil débuta « un sabbat » spécifique qui marquait le premier jour des pains sans levain de la fête de Pâque. Un jour normal vint ensuite puis « le sabbat du septième jour » marqua la fin du cycle de cette semaine marquée par le commencement de la fête de la Pâque juive.

Au sens d’année, la semaine de Dan.9:27 couvre 7 années qui commencent en l’automne 26 et s’achèvent en l’automne 33. Nous avons, au centre de cette symétrie, le printemps de l’année 30 en lequel, au 14ème jour, Jésus fut immolé, rendant la mort de l’agneau du rite pascal inutile ; son sang humain l’ayant définitivement remplacé.

L’automne 26 marqua le début d’une semaine d’années et de jours en lesquels Dieu accomplit une œuvre de rachat de ses élus. Il porta leur péché et mourut à leur place le 3 Avril 30. Et en récompense de leur foi et leur amour fidèle, il les a fait bénéficier de sa justice parfaite, irréprochable et sans aucun défaut. Le ministère du Christ a commencé en l’année 26 dont le nombre est celui du nom de Dieu construit sur quatre lettres hébraïques, Yod, Hé, Wav, Hé, transcrites par Y H W H,  qui ont chacune pour valeur numérique, dans l’ordre, 10, 5, 6, 5. Et là, déjà, ces chiffres portent une signification et délivrent un message, car dans l’hébreu, la première lettre appelée Yod marque la troisième personne du singulier du temps « imparfait », soit « il ». Ensuite les trois lettres suivantes « Hé  Wav Hé » désigne le verbe « être ». Le temps « imparfait » de l’hébreu désigne une action accomplie qui va se prolonger. Ce qu’il nous faut traduire par « il est et il sera ». Mais celui qui est en premier, le Vivant, duquel sortent toutes ses créatures, est désigné par le verbe « être » qui prend lui aussi une forme symétrique « H W H », ou le « W » central est précédé et suivi par la lettre « H », comme la semaine pascale en jours et en années. Leurs valeurs en chiffres donnent la signification « 5 = Homme ; 6 = Ange ; 5 = Homme ».  Et je le rappelle, cette forme de symétrie concerne aussi l’aspect du « chandelier à sept branches », la sainte « ménorah ». Toutes ces constructions basées sur la symétrie de la semaine pascale révèlent l’importance de ce point central, ce moment en lequel le Messie a accompli son œuvre expiatoire qui a été la seule raison de la création de la dimension terrestre par Dieu. Comme l’enseigne la symétrie « Homme Ange Homme », le rachat de l’Homme est effectué par l’Ange de YaHWéH dont le nom divin céleste est « Micaël ». Cette symétrie image les paroles dites par Jésus à ses élus et ses disciples avant son départ pour le ciel : «Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du temps ». Et dans Apo.1:13, Jésus retrouve sa place centrale de la symétrie : « et au milieu des sept lampes quelqu'un de semblable au Fils de l'homme, vêtu d'une robe qui allait jusqu'aux pieds, et ceint, à la poitrine, d'une ceinture d'or. »  En divinité, il est encore au centre dans Apo.4:4 : « et autour du trône, vingt-quatre trônes, et sur les trônes, vingt-quatre anciens assis, vêtus de vêtements blancs, et sur leurs têtes des couronnes d'or. »

Le constat de ces choses me conduit à penser que cette semaine symétrique qui a marqué le début du vrai rachat des péchés humains des élus sélectionnés par Dieu, donc si importante pour Dieu et ses élus, peut également servir de base à la construction de la dernière semaine d’années du temps de la grâce divine. En ce sens, cette semaine finale couvre les années 2022 à 2029. Elle commence au printemps 2022 et s’achèvera au printemps 2029. Après cette semaine de sept ans, en huitième année, l’année 2029 se prolongera jusqu’au printemps 2030.

Le sabbat du 15 Juillet 2023, une interprétation se présente à mon esprit. Elle consiste à placer le début de la semaine de YaHWéH au printemps 2022, date qui présente l’avantage de considérer l’entrée en guerre de la Russie contre l’Ukraine, le 24 Février 2022, comme étant le signe donné par Dieu, du commencement de cette semaine prophétique de sept années. Dans ce cas de figure, la fin de la semaine aboutit à l’année 2029 et non l’année 2030. Peut-on justifier ce scénario ? Et bien oui, je peux le faire, car la fin du temps de grâce ferme l’ouverture du temps de grâce qui a commencé dès qu’Adam et Eve ont péché. Et ainsi l’horloge de Dieu s’est mise à décompter les 6000 années de son temps de grâce. Mais alors quel sens faut-il donner à l’année 2029 qui conduit au retour du Christ au printemps 2030 ? Elle est mise à part par Dieu pour exprimer la fureur de sa divine colère contre les pécheurs rebelles et se présente après la fin de la semaine de YaHWéH, comme un « premier jour » ou un « huitième jour » comme l’exprime la pensée des adorateurs catholiques et protestants du « dimanche ». Dieu déclare, dans Gen.1:4 : « Dieu vit que la lumière était bonne; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. » Au début de l’année 2029, la loi humaine qui rendra obligatoire « le repos du premier jour » ou faux septième jour, représentera la lumière du camp des « ténèbres » et s’opposera, officiellement, au sabbat divin du septième jour qui constitue, lui, un rayon de la vraie « lumière » divine. Chacun faisant son choix entre les deux obligations, les partisans des deux camps de la lumière et des ténèbres seront alors, définitivement, « séparés » et en conséquence, le temps de grâce prendra fin. Dans son projet salvateur, Dieu privilégie l’offre de sa justice et ensuite, en toute logique et nécessité, les coupables, qui méprisent la valeur de cette offre, sont finalement châtiés et détruits par Dieu.

Dans Esaïe 61:2, Dieu résume son programme salvateur terrestre en ces termes : « Pour publier une année de grâce de YaHWéH, et un jour de vengeance de notre Dieu ; pour consoler tous les affligés ; » « une année » pour sauver mais, séparé et bien mis à part, « un jour » seulement pour sa « vengeance ». Cette séparation devrait alors s’appliquer à la dernière « semaine » prophétique qui sera suivie par « le jour de vengeance de notre Dieu » dans la dernière année, celle de 2029.

Et je ne cache pas que le fait que ce « jour de vengeance de notre Dieu » vienne sur les rebelles dans le symbolisme du « premier jour » me semble très satisfaisant pour mon cœur et mon esprit. Car Dieu dédie sa révélation prophétique uniquement à ses élus pour leur révéler son programme qui les concerne et qui concerne également le sort des rebelles. Et à ce titre, l’entrée en guerre sur le sol européen, le 24 Février 2022, est un témoignage visible et incontestable, bien marqué.

Dans cette interprétation, « le milieu de la semaine » est l’année 2025 or 25 donne la signification de 5 + 2 = 7 et 2025 donne 5 + 2 + 2 = 9. Et sans contestation possible, cette semaine concerne la préparation et l’accomplissement de la « sixième trompette » traitée dans Apocalypse 9. Ainsi, dans cette possibilité, le temps de préparation s’allonge de 2022 à 2025. L’année 2025 serait donc la dernière année avant le grand drame, la dernière en laquelle, pendant ses six premiers mois, la proposition de la lumière divine peut encore être faite et partagée, car depuis l’automne et au cours des six derniers mois, cette possibilité va cesser parce que la lumière divine n’est divulguée et transmise qu’en temps de paix. En effet, le milieu exacte de cette semaine qui commence au printemps et s’achève au printemps a pour milieu précis le début de l’automne 2025. Cette époque devrait donc voir le conflit actuel de l’Ukraine s’étendre à toute l’Europe et le monde, afin d’accomplir, pour Dieu, le châtiment de sa « sixième trompette ».

En faveur de cette vision des choses, il y a le fait que la première semaine du type, la semaine de la sainte alliance de sept ans du Christ, n’a concerné que l’offre de grâce faite en son nom. Sa fin a été marquée par le refus national juif de cette offre à l’automne 33. Et le châtiment de ces « pécheurs », annoncé dans Dan.8:23, n’est venu qu’en 70 soit, 40 années après la mort expiatoire du Seigneur Jésus-Christ. Sous ce nouveau concept, la dernière semaine doit reproduire le caractère de la première et doit donc être regardée par ses élus comme une offre de la grâce divine qui leur est destinée et qui prend la forme de l’accomplissement de la prophétie qu’ils attendent et qui concerne la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale. Car je l’ai déjà dit, mais entre 1991 et 1994, le retour du Christ était au titre de « septième trompette » logiquement moins attendu que l’accomplissement de la « sixième trompette » qui le précède dans le programme révélé par Dieu.

Les sept années de la semaine de YaHWéH étant écoulées et passées, dans l’image symbolique du premier jour d’une nouvelle semaine, Dieu déversera sa colère sur les rebelles qui refusent d’obéir à sa divine loi. Comme pour la sortie d’Egypte, les élus sont protégés par Dieu par le sang de l’agneau pascal, Jésus-Christ. Et seuls « les adorateurs de la bête et de son image » qui honorent « la marque » de son autorité humaine, en se reposant le premier jour de la semaine divine, sont ciblés et frappés par Dieu, par ses « sept fléaux » consécutifs. Et ceci justifie la séparation de cet ultime « premier jour », que va constituer l’année 2029, de la dernière sainte semaine symétrique prophétique de YaHWéH qui le précède depuis le printemps 2022 jusqu’au printemps 2029. Dans le projet de Dieu, prophétisé dans Esaïe 61, il est question « d’une année de grâce et un jour de vengeance » de la part de Dieu. Si la première semaine, la semaine pascale, a servi de base à l’offre de la grâce en Christ, par contre, à l’opposé, la dernière semaine voit s’accomplir « le jour de vengeance » de Dieu ; une « vengeance » étalée sur sept années consécutives depuis le printemps 2022 jusqu’au printemps 2029. Relève-le, la nature opposée concerne également la saison du début des deux semaines ; l’automne pour la première ; le printemps pour celle de la fin. Dans cette configuration finale, le milieu de la semaine cible l’automne 2025. Et nous retrouvons, l’année suivante en 2026, ce nombre 26 qui désigne symboliquement par son tétragramme YHWH, Dieu lui-même. La signification du milieu de la dernière semaine d’année de l’histoire du salut terrestre revêt une grande importance car pour Dieu et pour lui seul, la vengeance contre ses ennemis est autant nécessaire que sa mort pour ses élus. Ceci d’autant plus que les sujets sont reliés et inséparables. Car ceux qui se montrent indifférents, ou pire, rebelles et agressifs envers ses élus et sa vérité, portent la culpabilité de mépriser ce moment où, par sa mort volontaire, il a mis le comble dans sa démonstration d’amour adressée aux habitants de toute la terre. Ces choses me conduisent à réinterpréter le programme de cette dernière semaine d’années. La prophétie de la « sixième trompette » cible ce milieu de la dernière semaine, et donc, l’automne de l’année 2025, à travers laquelle, Christ revit dans « la vengeance », le temps de sa passion vécue dans une totale abnégation dans la Pâque de l’an 30. Ce ne sera donc qu’en cet automne 2025 que la prophétie de Dan.11:40-45 s’accomplira. Voici comment je vois le programme se dérouler.

Entre le printemps 2022 et l’automne 2025, le conflit engagé entre l’Ukraine et la Russie va se poursuivre dans le but d’épuiser les stocks des bombes et des munitions fournies par les USA et par l’Europe, ceci afin d’affaiblir le camp de l’OTAN. Ce conflit présente également, pour Dieu, l’intérêt d’affaiblir les économies occidentales. En agissant ainsi, il prépare leur destruction par leurs ennemis irréductibles, auxquels il a fait le projet de les livrer ; l’islam guerrier, la Russie, et les vieilles rancunes et haines produites par l’ancienne colonisation sur la terre africaine principalement. Jusqu’à l’automne 2025, les USA vont avoir le temps de régler leur différent avec la Chine. Ensuite dans la saison de l’automne rattaché au thème du péché dans l’organisation des fêtes du peuple hébreu, Dieu livrera ses ennemis de l’Europe occidentale à leurs ennemis de toutes les origines pour leur châtiment et leur destruction.

Le plus étonnant dans ce programme, c’est qu’il confirme la façon dont les faux chrétiens protestants interprètent traditionnellement la « semaine » citée dans Dan.9:27, puisqu’ils imputent au « persécuteur », « le désolateur ou dévastateur » du temps de la fin, les actions qui concernent en réalité Jésus-Christ. Selon son habitude, Dieu rend à chacun selon ses œuvres et selon sa foi. Ayant vu la méchanceté dans la prophétie qui révèle sa bonté, Dieu organise la méchanceté punitive qu’ils méritent. Ce comportement de Dieu était enseigné dans sa parabole des talents, dans laquelle le méchant serviteur tient Dieu pour injuste et tyrannique. Et Dieu ne le déçoit pas et il se comporte en tyran meurtrier envers lui.

La symétrie exprime par l’équilibre parfait, le bon goût, la perfection visuelle et Dieu la glorifie souverainement. Avant notre temps où, pour cause de perversion, des artistes exaltent l’asymétrie, son opposée, les architectes ont construit des œuvres magnifiques basées sur ses rapports de symétrie. Le château de Versailles est un modèle du genre, mais le simple chapiteau porté par deux colonnes l’exprime déjà dans l’antiquité égyptienne, grecque et romaine. L’être humain, créé par Dieu, est lui-même un modèle parfait de cet aspect symétrique.

L’importance de la symétrie de la dernière « semaine » de l’histoire du péché est d’autant plus grande et justifiée que le châtiment de la « sixième trompette » infligé à l’occident chrétien infidèle va venir châtier une culpabilité qui remonte à l’année 313 caractérisée par sa symétrie numérique. Ce fut l’année aux chiffres symétriques « 3, 1, 3, » en laquelle, le péché a été rétabli dans la religion chrétienne tombée dans une immense apostasie, à cause de la liberté religieuse offerte par l’empereur Constantin 1er le grand. C’est ce premier comportement rebelle prolongé dans toute l’ère chrétienne que Dieu va punir dans son ultime développement historique à partir de l’automne 2025 mais plus encore en 2026 et jusqu’à 2029. Bien que cette « sixième trompette » garde le caractère de châtiment d’avertissement, pour ceux qui meurent dans ce conflit mondial, la solution n’en est pas moins définitive et sans espérance postérieure.

La sagesse de Dieu qui m’est révélée m’émerveille continuellement tant est immense son jeu de subtilité, dont il est le Virtuose incontestable. Une grande partie de son enseignement caché repose sur des reproductions de types et d’antitypes par lesquels Dieu nous affirme qu’il reste éternellement le même et qu’il n’y a vraiment chez lui aucune « variation ni ombre de changement » dans ses jugements et ses voies, comme le dit ce verset de Jacques 1:17 : « tout ce qui nous est donné de bon et tout don parfait descendent d'en haut, du Père des lumières, en qui il n'y a pas de variation ou d'ombre de changement ». Et en disant ces choses, Jacques ne fait que confirmer ce que dit le prophète Malachie, dans Mal.3:6 : « Car moi, YaHWéH, je ne change pas ; et vous, fils de Jacob, vous n'êtes pas consumés. » En réalité, selon Dan.8:23, ils ne l’étaient pas encore puisque ce verset prophétise qu’ils seraient « consumés » : « A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux. » Et j’ajoute ce dernier texte d’Hébreux 13:8 qui attribue ce caractère stable et inchangeable à Jésus-Christ : « Jésus Christ est le même, hier, et aujourd'hui, et éternellement. » Une telle affirmation condamne nettement toute la fausse foi chrétienne répandue en Occident et dans quelques autres pays du monde. Car leur abandon de la vérité enseignée par les apôtres de Jésus-Christ a été rendu manifeste et facilement constatable. Leur revendication de ne pas vouloir honorer Dieu, selon les normes juives, constitue un aveu de culpabilité, parce que Dieu a préparé les Juifs pour le salut par son enseignement et ce n’est que leur refus du Messie qui les a condamnés, dans son jugement, à être « consumés ». Or, le juif que Dieu nous donne pour modèle à imiter n’est pas le Juif actuel, livré à l’esclavage mental et physique de son Talmud. Ce Juif parfait était Jésus-Christ, lui-même, ainsi que ses douze apôtres formés doublement par la loi de Moïse et l’enseignement de Jésus-Christ. L’un des douze, Judas Iscariot, était un démon et sa présence, parmi les apôtres, était nécessaire pour livrer Jésus aux Juifs, mais aussi, pour prophétiser la future trahison de la fausse foi chrétienne.

C’est donc cette trahison renouvelée au fil du temps par les institutions officielles de la religion chrétienne, qui conduit Jésus-Christ à venger son honneur méprisé, en livrant leurs peuples au désastre destructeur de la Troisième Guerre Mondiale. Elle ne prendra effet et accomplissement qu’à partir de l’automne 2025 comme je l’ai dit en toute hypothèse plus haut. Et le constat que chacun peut faire depuis le printemps 2022 soit, l’équilibre des forces antagonistes qui s’affrontent en Ukraine rend impossible la victoire de l’un ou l’autre camp ; en 2023 ce constat est encore confirmé sur la frontière Est de l’Ukraine. Car si la Russie dispose de nombreuses bombes et munitions produites continuellement, les armes fournies par l’Occident aux Ukrainiens compensent la quantité par leur qualité exceptionnelle, car elles sont redoutablement précises et efficaces.

L’accomplissement du projet de Dieu, tel que sa stratégie est révélée dans Dan.11:40 à 45, nécessite une diversion que cette prophétie impute au « roi du midi » qui agresse le camp occidental européen et plus particulièrement l’Italie papale et catholique romaine. Ce coup de butoir qui vient frapper l’Europe par le Sud de son territoire va mettre fin aux offres d’armes faites à l’Ukraine. Ce qui justifie alors l’invasion de l’Europe par les armées russes désignées comme « roi du septentrion » dans ce contexte final de la prophétie. Les actions auxquelles nous assistons depuis le 24 Février 2022 ne visent qu’à impliquer et culpabiliser le camp occidental, dans une guerre menée par la Russie. C’est cette implication qui donne à la Russie, depuis 2022, une raison de se venger, afin de punir l’occident pour ses sanctions prises contre elle et pour l’aide donnée à l’Ukraine, en fournitures d’armes et en soutien technique. Et c’est cette prise de sanctions qui marque, plus que la date du 24 Février 2022, le début de la dernière semaine prophétique de YaHWéH qui a pour cible principale, l’Occident infidèlement chrétien représenté par l’Europe Unie et les Etats Unis d’Amérique du Nord. Cette vengeance humaine russe révèle la vengeance divine qui lui donne son sens. Car les Ukrainiens profitent du contrôle satellite de leurs alliés occidentaux et cet avantage est immense, puisqu’il permet de contrôler tous les mouvements militaires de l’adversaire russe.

Le « roi du midi » désigne en fait, l’Afrique noire et l’Afrique du Nord. Ce continent longtemps exploité par les colons occidentaux est resté très dépendant de l’économie occidentale qui lui fournit ses productions matérielles, alimentaires et techniques. Or, depuis la prise de sanctions contre la Russie et l’abandon de la fourniture de son gaz, les nations occidentales s’appauvrissent et s’affaiblissent et pour les Africains qui dépendent d’elles, la situation est encore beaucoup plus grave. Une rancœur alimentée par la Russie se développe contre le camp occidental. Car la Russie contrôle le trafique commercial marin de la mer Noire et peut empêcher, par sa flotte militaire, la livraison des céréales vendues par L’Ukraine aux Africains. Elle ne le fait pas encore, mais peut finir par le faire. Car ceux-ci dépendent grandement de ces livraisons, pour leur alimentation, et ils tiennent pour responsables les Occidentaux qui ont pris des sanctions contre la Russie, dès l’année 2022, et ont ainsi remis en cause la situation stable établie jusque-là, pour eux et tous les européens. Avec l’accroissement des difficultés et le pourrissement de la situation, un soulèvement global des peuples africains va se produire et provoquer une vague d’immigration incontrôlable et des agressions guerrières meurtrières dans des assauts portés contre le continent européen, sur sa partie Sud méridionale. L’Espagne et l’Italie sont particulièrement visées de par leur position géographique de l’extrême Sud européen. La mer Méditerranée séparait deux continents aux caractéristiques très différentes et elle offrait une sorte de sécurité pour les habitants des deux continents. Le Nord et le Sud n’ont pas les mêmes cultures, ni les mêmes religions, d’où la nécessité pour leurs peuples de rester séparés. En brisant, la limite des frontières naturelles, l’humanité s’expose à un grand chaos, un grand choc de civilisation et des affrontements meurtriers. Mais la plus grave conséquence de cette ouverture d’un conflit au Sud de l’Europe, c’est surtout le fait de détourner des moyens militaires utilisés contre la Russie qui deviendra du coup maîtresse dans son combat contre l’Ukraine. Un renversement de situation la conduira alors à lancer une offensive contre tous les territoires de l’Europe de l’OTAN, l’Angleterre étant comprise et particulièrement ciblée par la colère russe. Dans sa prophétie de Dan.11:40, Dieu cite l’intervention de « nombreux navires » russes. L’utilisation de ses nombreux sous-marins nucléaires le confirme, la Russie s’engagera dans une vraie guerre d’occupation du sol européen occidental, mais aussi, d’Israël, « le plus beau des pays » et de « l’Egypte », selon les versets 41 et 42.

Avant de la livrer à la destruction par les Russes, Dieu a livré l’Europe à l’insouciance, à la cupidité et à la recherche de toutes formes de plaisirs. Vivant dans une paix mondiale, elle a ainsi pensé pouvoir réduire son armement et tout son potentiel militaire ; ceci, en sorte qu’elle ne constitue plus qu’un tigre de papier très vulnérable aux assauts ennemis. Un vieux proverbe dit : le temps perdu ne se rattrape jamais. Les Européens occidentaux vont bientôt vérifier la justesse de cette maxime. Car il n’y a pas que le temps perdu qui ne se rattrape jamais, il y a également les occasions de fixer des choix pour prendre des décisions. Si ces choses n’ont pas été faites au moment favorable, il est ensuite trop tard pour tenter de rattraper le retard pris.

En situant la Guerre Mondiale à partir de l’automne 2025, Dieu rapproche son action du moment où Jésus va revenir dans sa gloire divine rendue visible afin de terrifier ses ennemis de l’heure. La prophétie relie les deux événements disant dans Dan.12:1 : « En ce temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton peuple ; et ce sera une époque de détresse, telle qu'il n'y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu'à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. » L’expression « en ce temps là » désigne le « temps de la fin » cité dans Dan.11:40. Et ce « temps de la fin » couvre trois ans et six mois soit, la moitié finale de la dernière semaine de YaHWéH qui s’achèvera au printemps 2029, par la fin du temps de son offre de grâce et une année plus tard, au printemps 2030, par la fin de la présence de ses élus sur la terre du péché.

La fin de la grâce concerne la fin des deux semaines prophétiques placées respectivement au début et à la fin du temps de l’enseignement chrétien : fin de la grâce nationale pour la nation juive, pour la première semaine d’années, en l’automne 33 ; et fin de la grâce collective et individuelle définitive, pour la dernière semaine d’années, au printemps 2029.

Le désastre accompli dans la Troisième Guerre Mondiale permettra aux derniers élus de se démarquer du camp rebelle. La proclamation de la loi du dimanche contraindra les derniers élus convertis à prendre position pour Dieu et son sabbat sanctifié. Ensuite, au long de l’année 2029, année qui sera le « jour de son ultime vengeance », Dieu punira les incrédules rebelles par les « sept derniers fléaux de sa divine colère ». En cette année 2029, les élus adventistes seront soumis à la dernière épreuve de foi qui a été prophétisée dans le message adressé à « Philadelphie », dans Apo.3:10, en ces termes : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. » Et il précise encore à l’adresse de ses vrais élus de cette dernière épreuve : « Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne ». C’est là, le but de cette dernière épreuve ; témoigner de notre fidélité envers Dieu, ce qui nous rend dignes de conserver notre « couronne » symbole de la « vie éternelle » offerte par Jésus-Christ, selon Apo.2:10 : « Ne crains pas ce que tu vas souffrir. Voici, le diable jettera quelques-uns de vous en prison, afin que vous soyez éprouvés, et vous aurez une tribulation de dix jours. Sois fidèle jusqu'à la mort, et je te donnerai la couronne de vie. »

Je rappelle que la prophétie écrite n’annonce pas la programmation par Dieu d’une dernière semaine prophétique particulière et que cette hypothèse repose exclusivement sur ma connaissance globale du sujet prophétique révélé par Dieu. L’existence de cette dernière semaine de 7 années + 1 année, repose uniquement sur les subtilités plus suggérées par l’Esprit que déclarées. Et à ce sujet, je souligne l’importance que Jésus donne à cette expression dans le prologue de son Apocalypse : « Alpha et Oméga, le commencement et la fin, le premier et le dernier » Ceci m’autorise à rechercher les différents sujets que ce principe peut concerner et auxquels il peut s’appliquer.

La semaine prophétique de sept ans + 1 est utilisée par Dieu sous le thème de son châtiment des péchés des humains placés encore dans le temps de grâce et son rôle principal est la préparation et l’accomplissement de la « sixième trompette » dont la stratégie guerrière est révélée dans Dan.11:40 à 45. Mais il est évident, qu’en fin du premier semestre 2023, l’agression russe du camp occidental ne s’est pas encore produite, son conflit l’oppose encore officiellement qu’à l’Ukraine. Mais une leçon divine peut déjà être tirée des faits accomplis. En fait Cette semaine prophétique divine peut aussi reproduire trois phases successives guerrières qui sont menées dans la conformité aux trois guerres mondiales du projet divin dont deux sont déjà accomplies.

Ici, je ne peux pas encore préciser si le découpage de cette semaine repose sur l’image du temps terrestre construit sur trois fois 2000 ans puis 1000 ans, ou sur deux fois 3 ans + 1 ans, ou sur deux fois 3 ans et 6 mois comme la semaine pascale de Dan.9:27. Toutefois, rappeler, par cette semaine d’années, son grand projet terrestre de 7000 ans ne manque pas d’intérêt pour Dieu et pour nous, ses serviteurs fidèles. Car c’est cette vérité fondamentale qui fait aujourd’hui des êtres humains dispersés sur toute la terre des ennemis que Dieu prend pour cible de sa divine colère. En attente de confirmation par les faits, je propose déjà l’explication qui suit.

2022-2023 : A l’image de la Première Guerre Mondiale de 1914-1918, la guerre qui oppose la Russie et l’Ukraine est une guerre de frontières et de tranchées de type conventionnel et de constants bombardements par l’artillerie et ses canons, principalement, auxquels s’ajoutent l’efficacité des drones tueurs de tanks, de chars, de véhicules, de navires, et d’hommes.

2024-2025 : Dans la conformité à la Seconde Guerre Mondiale de 1939-1945, nous devrions voir s’accomplir la prophétie de Dan.11:40. Et le refus actuel de Vladimir Poutine de reconduire les accords des livraisons ukrainiennes des céréales aux pays acheteurs et consommateurs pourrait être la cause de l’irritation du « roi du midi » de la prophétie, contre le « roi » papal catholique romain européen ciblé par l’Esprit depuis Dan.11:36. La famine subie par l’Afrique Noire pourrait provoquer un soulèvement populaire, et armé, de multitudes d’Africains contre le camp occidental européen tenu pour responsable des torts faits aux Russes et en même temps aux Africains. Car le blocage des céréales est la réponse que la Russie donne aux sanctions prises par le camp occidental et ses fournitures d’armes incessantes et croissantes données à l’Ukraine. C’est alors que profitant du trouble provoqué par les attaques du « roi du midi » africain, le « roi du septentrion » russe envahit l’Europe occidentale avec toutes ses forces militaires, il l’occupe et la pille. La guerre de l’Ukraine a révélé le manque de moyen et d’armes du camp occidental. Au moment où il devient urgent de se réarmer, l’argent nécessaire manque, car les profits sont consumés et partent en fumée sous la forme des bombes produites avec grandes difficultés.

2026-2027 : Le conflit prend sa forme de Troisième Guerre Mondiale avec l’usage des bombes nucléaires. En Orient, les ennemis potentiels se combattent et s’éliminent. Mais en Occident, les USA  libèrent l’Europe et détruisent par le feu nucléaire leur ennemie de toujours, la Russie, accomplissant ainsi l’action prophétisée dans Dan.11:44 et 45 qui conduit le roi russe à exterminer des multitudes : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. » Cette phase nucléaire élimine des milliards d’être humains et condamne définitivement la possibilité de prolonger la vie sur la terre entière.

Les « survivants » de ce drame terrestre vont se regrouper sous la tutelle dominatrice des USA, désormais incontestée. Un gouvernement universel est mis en place et accepté par tous. Ce découpage du temps terrestre en trois phases successives a été confirmé par Dieu qui a placé la mort de Jésus-Christ sur la 4000ème des 6000 années du temps terrestre réservé à la sélection de ses élus rachetés par son sacrifice expiatoire volontaire.

 

2028 : Le feu nucléaire ayant détruits presque tous leurs habitants, dans toutes les nations survivantes, le sol de la terre a fini d’être maltraité par les hommes, selon l’enseignement donné dans Lévitique 26:34-35 : « Alors le pays jouira de ses sabbats, tout le temps qu'il sera dévasté et que vous serez dans le pays de vos ennemis ; alors le pays se reposera, et jouira de ses sabbats. Tout le temps qu'il sera dévasté, il aura le repos qu'il n'avait pas eu dans vos sabbats, tandis que vous l'habitiez » Mais les conditions décrites dans ce verset se sont accomplies lors de la déportation des Juifs à Babylone à partir de – 586. Dans le contexte de la fin du monde, la destruction effectuée prend un caractère définitif, mais l’analogie des deux expériences offre à la terre corrompue par l’homme, un réel repos de sabbat dans cette septième année de notre semaine prophétique de YaHWéH. Dans son ordonnance divine, YaHWéH a instauré le repos de la terre tous les sept ans. Dans sa sagesse et sa connaissance illimitée, Dieu a estimé nécessaire que la terre ne soit pas travaillée une année sur sept, chaque septième année. Et les Juifs ont ainsi cultivé leurs terres en appliquant la méthode de l’assolement qui consiste à laisser le septième des terres en repos en changeant la zone concernée chaque année au cours du cycle de sept années. Toute la terre agricole était ainsi régénérée dans un cycle de sept années. Dans ce contexte final, la terre ne profite plus du sabbat qu’elle retrouve, mais les êtres humains eux n’en sont pas moins détruits à cause du mépris témoigné pour les sabbats ordonnés par Dieu ; ceux qui concernent le sol de la terre mais surtout celui du septième jour qui commence en forme millénaire, au retour de Jésus-Christ, au printemps 2030.

Comme vu plus haut, l’année 2029, va apparaître comme une huitième année symbole du huitième jour que les rebelles imputent à la norme de la nouvelle alliance en Christ, chose quen cette année 2029, Dieu maudit et punit une sixième fois. Et les fléaux qui vont s’abattre sur les coupables, après la fin du temps de grâce, rappellent tous l’ordre originel des six jours au cours desquels Dieu a créé les éléments qui composent sa création terrestre ; mais dans un ordre inversé à celui de Genèse 1, et dans un sens symbolique conforme, également, aux cibles humaines de sa dernière colère dont les causes et les identités sont révélées dans Daniel et Apocalypse.

Le premier fléau prend la forme de « l’ulcère malin douloureux » qui frappe le camp des ténèbres séparé de la lumière. Il frappe « la terre ». La cible principale est la religion protestante qui se réclame à tort du salut du Christ et de la sainte Bible qu’elle méprise.

Le deuxième frappe « la mer » ; elle est « changée en sang » ; la cible est cette fois, la religion catholique romaine qui a combattu la sainte Bible et ses lecteurs. 

Le troisième frappe « les fleuves et les sources des eaux » ; ils sont « changés en sang » ; selon Apo.16:4, Dieu « donne à boire du sang » aux Protestants et Catholiques prêts à tuer ses derniers serviteurs restés fidèles à l’observation de son saint sabbat.

Le quatrième frappe « le soleil » créé par Dieu le quatrième jour de sa création terrestre ; sa chaleur est intensifiée. Les adorateurs du « soleil », tous ceux qui honorent le « dimanche », le repos du « premier jour » instauré depuis le 7 Mars 321, « sont brûlés » par ses rayons solaires.

Le cinquième frappe Vatican « le trône de la bête » par des « ténèbres » ; Rome et l’Italie du Vatican sont plongées dans de noires « ténèbres » dites « douloureuses ».

Le sixième frappe le « grand fleuve Euphrate » ; Après l’apparition de Jésus-Christ revenu en gloire indescriptible, l’Europe et ses « deux tiers » « survivants » sont soumis à la « vendange » ; les enseignants des fausses religions sont massacrés par leurs victimes trompées.

Le septième frappe « l’air » symbole du pouvoir terrestre du diable ; Dieu fait tomber du ciel ses « pierres de grêle » sur les derniers « survivants » terrestres.

Le grand sabbat du septième millénaire commence avec le retour glorieux de Jésus-Christ.

Satan, « l’ange de l’abîme », est isolé sur la terre désolée, et au ciel les élus jugent les méchants morts dans l’attente de leur résurrection pour comparaître à la fin des « mille ans », devant le tribunal de Dieu, pour le jugement dernier décrit dans Apo.19.

 

Mais dans l’incertitude de la précision du découpage exact de cette dernière semaine de YaHWéH, une seule chose s’impose à nous, comme le dit cette expression anglo-américaine « Wait and See » soit, « attendre et voir », ce qui constitue l’attitude normale pour un chrétien adventiste que Dieu désigne en lui disant dans Dan.12:12 : « Heureux celui qui attendra jusqu’à 1335 jours ».

 

 

 

 

 

 

 

 

Tradition et Vérité

 

Avant de développer l’étude de ces deux sujets que sont « la tradition et la vérité », il nous faut bien comprendre ce qu’est un être humain ; ce qu’est sa nature réelle.

Dieu l’a créé en le dotant d’une entière liberté qui lui donne la possibilité de développer toutes sortes de caractères et de normes possiblement extrêmement opposées. L’homme naît, fondamentalement, crédule ou incrédule à de multiples niveaux intermédiaires. Il naît également croyant ou incroyant, gentil ou méchant, courageux ou peureux, fidèle ou infidèle, persévérant ou pas, et tout ceci à des niveaux et des dosages multiples et presque illimités. C’est ce qui fait que chacune de ses créatures est unique et Dieu seul connaît ce que nous sommes individuellement réellement, parce qu’il nous sonde, nous pèse, et nous analyse mieux qu’un scanner, sans la moindre possibilité d’erreur.

Toutes ses particularités individuelles sont soumises à des épreuves communes collectives telles que la vie nationale, la vie du couple, l’analyse politique et bien sûr, la vie religieuse. Dès notre naissance, nos choix futurs sont inscrits et définis par notre nature personnelle. Mais Dieu nous impute nos choix et nos comportements qu’à l’âge adulte qu’il a placé à 12 années seulement. Il estime donc qu’à 12 ans, sa créature humaine est en mesure de porter la responsabilité de ses œuvres, de ses fautes et de ses bonnes actions.

Ceci dit, j’aborde maintenant le sujet de cette étude en commençant par la « tradition ». Comme pour beaucoup de termes, celui-ci n’est ni négatif ni positif en lui-même, car il faut lui ajouter l’adjectif «  bonne ou mauvaise » pour le définir dans chaque cas particulier. Pour les Juifs, ce mot « tradition » revêt encore une grande importance. Mais avant de mal juger leur comportement, nous devons nous rappeler que leur tradition a été originellement instaurée et enseignée par Dieu lui-même, et que leur attachement à cette tradition est la cause du maintien de leur existence et de leur particularité religieuse. Ce peuple a été de manière permanente confronté aux fausses religions païennes contre lesquelles Dieu l’avait mis en garde. Il savait qu’il devait résister et ne pas laisser un pouce de terrain à l’adversaire qui voulait l’entraîner dans la voie du paganisme. Aussi, les ordonnances divines ont été prises au sérieux et les Juifs se sont agrippés aux règles divines qui longtemps maintenues ont pris la forme d’une tradition. Mais bien sûr, l’inconvénient de cette peur de perdre l’approbation de Dieu a été cause de leur difficulté à suivre son projet salvateur quand il a subi des changements ; et c’est ce qui s’est produit, quand en Jésus-Christ, le « messie » s’est présenté pour faire pour eux et tous les élus de l’histoire terrestre, l’expiation de leurs péchés. On comprend mieux alors ce verset d’Ecc.7:16  où l’Esprit nous dit par la bouche du roi Salomon : « Ne sois pas juste à l'excès, et ne te montre pas trop sage : pourquoi te détruirais-tu ? » Ce verset peut nous étonner, mais c’est bien en voulant préserver leur justice que les Juifs se sont perdus en rejetant leur unique « messie ». Il est donc bien possible de se montrer « juste à l’excès ».

Cependant, Dieu les a condamnés et rejetés lui-même pour ce rejet du « messie » Jésus-Christ, parce qu’il est le fruit d’un comportement inintelligent et qu’il exige de ceux qu’il sauve qu’ils se montrent intelligents. L’intelligence basique donnée à toute ses créatures permet de comprendre qu’une vie animale n’a pas la valeur d’une vie humaine originellement créée à « l’image de Dieu », et donc, que le sacrifice rituel d’une vie animale ne pouvait avoir qu’une valeur provisoire, dans l’attente d’un sacrifice plus excellent et plus conforme à la valeur de l’homme créé à cette « image de Dieu ». Seul Dieu pouvait alors satisfaire à l’exigence de ce sacrifice expiatoire ; ce qui a rendu nécessaire pour lui de se faire à « l’image de l’homme ». Et c’est ainsi que se justifie l’incarnation de Dieu en la chair et l’esprit de Jésus-Christ.

La tradition repose toujours sur la répétition d’une pratique profane ou religieuse. Et la forme de cette tradition est héritée par chacun de nous en fonction des conditions de notre naissance. L’enfant ne choisit ni ses parents, ni ses frères et sœurs, ni son pays natal, ni sa religion. Mais dès sa naissance, dans le faux christianisme et les autres religions païennes, il est rattaché à cette origine et aux conditions qui lui sont attachées. Ce n’est qu’en grandissant que son intelligence va lui permettre de comprendre que ces conditions lui sont imposées injustement et que son héritage naturel le tient esclave et lui enlève sa liberté de choix. Mais bien sûr, il ne le comprend que s’il est doté d’une vraie intelligence que seul Dieu peut donner. Car dans l’immense majorité des cas humains, cette intelligence est absente et les hommes restent prisonniers de leurs héritages nationaux et charnels.

Ici nous devons encore comprendre ce qu’est le nationalisme, car d’une manière naturelle, les humains s’attachent aux choses qui les entourent quand ils naissent et entrent dans la vie humaine. Il nous faut réaliser que l’esprit nationaliste est en réalité extrêmement rare. Ceci parce que fondamentalement ce que nous appelons faussement nationalisme est avant toute autre chose la conséquence du fait que nous n’aimons pas être dérangés dans nos habitudes et nos pratiques ; ceci, en sorte que tout changement proposé ou imposé se heurte à notre hostilité naturelle. Mais là encore, nous sommes tous très différents. Certains vont refuser le changement parce qu’ils craignent de perdre les avantages dont ils disposent et qui les sécurisent. D’autres, à l’inverse, plus audacieux, ne craignent pas le changement parce qu’ils ont le goût du risque. Et selon les cas particuliers, crédules ou incrédules, ces réactions vont être multiplement différentes. Le vrai nationalisme est selon moi presqu’un mythe, parce que ce que le nationalisme politique défend, c’est, uniquement, des avantages et des droits obtenus dans un pays quelconque. Le nationalisme juif repose sur l’idée d’une préférence juive, le nationalisme français repose, lui, sur une préférence d’un modèle formé dans la France républicaine où la liberté a pris une forme libertaire. Mais c’est précisément cette forme libertaire qui attire vers la France des masses de gens immigrés qui savent qu’ils vont pouvoir vivre librement leur particularité. Hélas, toutes ces particularités ne sont pas compatibles les unes avec les autres et les risques d’accrochages violents sont ainsi amplifiés et confirmés dans les faits relevés et constatés. La société américaine a donné en première l’image de ce que pouvait produire le respect pour de multiples traditions culturelles et cultuelles au sein d’une même nation. Les frictions et les violences meurtrières y ont atteint les niveaux les plus élevés du monde. Car l’attachement au drapeau américain ou à tout autre drapeau n’est que l’attachement d’une vie humaine qui s’agrippe à ce qu’elle tient et ne veut pas perdre : sa langue, ses droits, ses biens, sa sécurité.

Il est utile et nécessaire de bien comprendre, également, combien l’héritage national est superficiel et sans valeur réelle, précisément et paradoxalement, parce qu’il est artificiel et dû uniquement à la volonté de Dieu de séparer les êtres humains naturellement portés à la rébellion. En effet, malgré toutes les différences relevables sur le plan physique chez les êtres humains, tous ont pour parents d’origine Adam et Eve. Les différences ont été apportées par la suite, par Dieu : couleur de peau, type de morphologie, couleurs des iris des yeux, teintes des cheveux, tailles grandes ou petites et depuis la tour de Babel, langues parlées différentes et en dernier, religions différentes. Mais avec toutes ces différences, les êtres humains restent sur le plan de l’esprit et du mental parfaitement ressemblant, car ils aspirent tous aux mêmes choses et en particulier, à la possibilité de vivre leur vie selon leur conception personnelle. Pendant longtemps, les humains ont accepté d’obéir à leur roi, à leur chef, à leurs prêtres et à leurs divinités. Mais en première, de manière nationale, la France s’est libérée du concept religieux et là est apparu l’esprit rebelle libéré dans son plein épanouissement et sa perpétuelle évolution. Dans les années 1900 est apparu, en France, l’anarchisme revendicatif et meurtrier. Cette pensée anarchique n’a jamais disparue depuis cette apparition et elle a été cause de grands problèmes pour les gouvernants politiques des nations européennes. Elle est à l’origine de nos guerres mondiales, en 1914 et en 1939. Et nous allons découvrir qu’elle est encore à l’origine de la Troisième Guerre Mondiale, car en 2022, l’anarchisme d’état porte un nom : Ukraine. En effet, ce pays s’est détaché de l’union russe, en prenant son indépendance au moment de l’écroulement de l’union soviétique russe. Ceux qui se sont ainsi soustraits à la domination étatique russe étaient animés de la pensée anarchique qui s’exprime par le désir de liberté. Dans le désordre créé en Russie, les anarchistes et les malfrats ont eu la possibilité de s’exprimer et de s’emparer des richesses de la nation. Et certains, comme l’Ukraine, ont profité de l’occasion pour officialiser leur indépendance nationale. L’ex union soviétique a pris alors la forme d’une union d’états indépendants conforme à celle des USA. Les deux blocs Est et Ouest étaient alors formés de la même manière et leur concurrence ne pouvait que produire un effet conflictuel. C’est ainsi, qu’en voulant passer dans le camp Ouest, l’Ukraine anarchique est devenue la pomme de discorde qui oppose le camp russe au camp OTAN des USA. Cette pensée anarchique est dans la nature même des habitants de l’Ukraine mais pas seulement parmi eux. Car, après des années de pratiques démocratiques libérées, les Occidentaux sont tous devenus des anarchistes et en cela, le président de l’Ukraine, Zelensky, n’avait pas tort de déclarer aux Européens : « Nous sommes comme vous ». Et à ce titre « notre place est avec vous, dans votre camp » ; celui où la pensée anarchique domine et se perpétue de manière traditionnelle. Ainsi après les attentats individuels perpétrés par des anarchistes, c’est cette fois par une réaction anarchique de l’Etat ukrainien que s’allume la mèche de l’explosif qui va produire et produit déjà l’affrontement Est-Ouest de la Troisième Guerre Mondiale. Je veux encore insister sur cet état d’esprit anarchique des Ukrainiens qui expliquent leur farouche résistance et opposition contre la domination russe. En entrant dans sa liberté nationale, l’Ukraine a favorisé le droit de chacun de faire ce qu’il veut, quand il veut et où il veut. Mais bien sûr, l’inégalité des habitants a eu pour conséquence que seuls les oligarques les plus riches se sont emparés des richesses dans une corruption éhontée reconnue par tous les dirigeants occidentaux. Mais, pour ces derniers, il suffira de réduire les excès de cette corruption pour que l’Ukraine devienne apte à entrer dans l’OTAN et l’Europe. Car, la corruption existe et domine partout, sauf qu’en Occident, elle est masquée par des apparences démocratiques légitimées, encore une fois, de manière traditionnelle, par la répétition du principe hérité.

Tout ceci prouve combien l’être humain est esclave d’héritages artificiels et naturels qui le tiennent prisonnier et l’empêchent de regarder la vie d’une manière véritablement libre rendue possible, uniquement, en Jésus qui a déclaré, dans Jean 8:32 : « vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. ». Car la vision de cette véritable liberté n’apparaît qu’en Dieu et en lui seul, car tout autre regard porté sur la vie humaine est esclave de ses traditions. C’est pourquoi, qui que tu sois, où que tu sois, où que tu vis et habites, tu dois t’efforcer de te libérer de tes héritages, parce que tu es avant toute autre chose, ou conception, la créature du Dieu vivant qui t’a fait entrer dans la vie humaine, pour te présenter son offre de salut et ses conditions pour l’obtenir.

Ce regard sur la vraie liberté constitue le principe de la vérité qui s’oppose ainsi directement à la tradition établie par l’héritage. Car n’a de valeur que ce que tu choisis librement, sans contrainte, ni pression extérieure. Le choix que tu dois faire est celui que dicte l’intelligence qui consiste à tenir compte de toutes les données qui composent ton savoir et toute ta connaissance. L’homme ne s’élève au-dessus de l’animal que par sa haute capacité de réflexion dotée du sens moral. Comme Dieu et les anges, il peut analyser, déduire, prévoir les conséquences de telle ou telle action ; il lui suffit de le vouloir pour en être capable. Mais c’est là que se présente son problème ; il doit vouloir fortement obtenir le résultat recherché. Et les multitudes humaines vont perdre le salut en masses, parce qu’individuellement, les créatures de Dieu ne s’imposent pas l’effort persévérant nécessaire pour obtenir le résultat souhaité et souhaitable. La négligence fait le plus grand tort imaginable aux négligents. Il est si facile, de se laisser vivre sans se poser des questions ; facile ! Oui, mais à quel prix ? Au prix du salut de son âme. Sur toute la terre, aucun homme n’a droit et pouvoir d’empêcher un serviteur de Dieu de répondre à l’appel de son Père et Maître. Quelle que soit ta situation héritée par la tradition de ton peuple, tu peux t’en dégager et t’engager pour Jésus-Christ et en lui, pour le servir, l’adorer, l’honorer, comme il le mérite. Il est lui-même le Dieu créateur qui est venu sur terre dans la chair nommée Jésus et se trouve ainsi doublement digne de notre amour et notre service obéissant.

La vérité est ainsi le contraire du mensonge que constituent les faux devoirs imposés par les héritages traditionnels nationaux. C’est cette idée que Jésus est venu apporter et révéler au peuple Juif qui était prioritaire pour cette action divine. Mais, Jésus n’a rencontré majoritairement que l’hostilité d’une nature humaine esclave de son héritage national. C’est pourquoi, leur parlant de la vie céleste, ils n’entendaient et ne voyaient que leur vie terrestre et la gloire de leur nation. Jésus a dit en particulier au procurateur Ponce Pilate : « Mon royaume n’est pas de ce monde », ce qu’il n’a jamais dit à ses apôtres, ni aux autres Juifs qui tous attendaient de lui, qu’il s’empare du pouvoir terrestre et gouverne Israël comme l’avait fait le roi David en son temps. Jésus savait que seule sa mort expiatoire avait un sens et que seules sa mort et sa résurrection allaient constituer les explications recevables par ses élus et en premier, par ses apôtres. C’est pourquoi, il n’a pas insisté pour les convaincre, mais s’est contenté de leur prophétiser les faits. Il doit en être ainsi jusqu’à la fin du monde pour chaque créature appelée à l’élection du salut ; elle est visitée par Dieu au moment qu’il juge favorable et elle peut être l’objet de plusieurs appels successifs, car nous sommes retenus par l’héritage terrestre charnel de manière différente, selon chaque cas individuel.

Sur la terre, il n’existe aucun amour ni amitié qui puisse justifier d’être privilégié sur l’amour que nous devons à Dieu. Et il faut vraiment être insensé pour  refuser l’amour éternel de Dieu et lui préférer un amour charnel momentané provisoire et court sans avenir. C’est pourtant ce choix-là que font des multitudes d’hommes et de femmes soucieux de préserver leurs liens terrestres. Jésus a clairement condamné cette préférence, en disant dans Mat.10:37 : « Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n'est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de moi ; » Ce jugement porté par Jésus-Christ mérite toute notre attention et notre respect, car il établit la proportion des valeurs terrestres et célestes et les priorités. Note que Jésus ne cite pas « la femme » de celui qui aime. Ceci s’explique par le fait que « la femme » symbolise l’Eglise des élus que Jésus a personnellement aimée plus que sa propre vie. Mais en dehors de son cas particulier, pour l’homme pécheur racheté par son sang, l’amour pour sa femme ne doit pas surpasser son amour pour Dieu, son Créateur et son Sauveur. Mais pour échapper à son piège, l’être humain doit s’arracher à l’amour passionnel charnel et rester maître de sa situation, ce qui s’avère souvent impossible pour des multitudes qui font comme Adam le choix de partager le triste sort de leur épouse ou dans le cas inverse, de l’épouse qui choisit de privilégier l’homme qu’elle aime. Il va de soi que l’homme spirituel va favoriser l’amour céleste et que l’homme charnel va lui préférer l’amour charnel. Car face à ce problème, les multiples facteurs des natures humaines évoqués au début de l’étude entrent en actions et décident du résultat obtenu. Car pour plaire au Dieu créateur, l’élu doit être tout à la fois, crédule, croyant, gentil et obéissant.

Une fois adoptée, la norme de la vérité céleste doit être maintenue et prolongée, donc répétée et elle devient alors une « bonne tradition ». Il en fut ainsi pour tous ces héros bibliques, tels qu’Abraham, Moïse et tant d’autres nommés ou restés anonymes. Ainsi, quand la tradition suivie est conforme à la vérité céleste, cette tradition peut être jugée comme étant « bonne » selon le jugement de Dieu. Mais en dehors de ce cas, la tradition est un piège mortel dans lequel l’être humain naît, grandit et meurt sans espérance de salut, s’il ne sait s’en dégager à temps. Ma connaissance du vrai Dieu est un héritage venu de l’étranger, d’un peuple étranger qui était hébreu et que Dieu a choisi pour révéler son salut à toutes les nations de la terre. Et en dépit de son incrédulité nationale témoignée par son histoire, Israël a accompli le projet de Dieu par ses douze apôtres et ses premiers disciples convertis à la foi chrétienne. Le salut en Christ est un salut vraiment universel et c’est Dieu qui l’a organisé de bout en bout. Israël n’était pas le peuple d’élus sauvés, mais un échantillon de l’humanité pris dans la descendance d’Abraham. Il n’eut que le privilège d’être le premier à expérimenter une gouvernance divine réelle et fut aussi le premier à payer le prix de l’incrédulité. Après lui, au cours de l’ère chrétienne, des assemblées se réclamant du salut du Christ sont venues renouveler ses erreurs, ses fautes et ses péchés contre Dieu. En sorte que Juifs et Chrétiens ont été jugés par Dieu de la même manière et ceci vient confirmer le sens des paroles de Jésus qui a dit dans Mat.22:14 : « Car il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus ». Il ne faut pas que tu te décourages à cause de leurs échecs successifs collectifs, car Dieu juge chaque créature individuellement et là où les uns échouent, les plus nombreux, d’autres moins nombreux peuvent réussir.

L’offre de vie éternelle présentée par Dieu est le but principal de sa démarche. L’autre but principal est donc la sélection de ses élus qui seront dignes de profiter de son offre. Or, pour atteindre ce résultat, Dieu va utiliser successivement deux moyens. Le premier est l’enseignement de ses lois et de ses normes concernant la vie céleste. Le second moyen est celui de la rédemption soit, le rachat des péchés des élus par la mort volontaire du « messie » à la fois divin et humain qui va les expier en les prenant sur lui. Il ne faut donc pas inverser les buts et les moyens, car alors le but réel devient inaccessible.

Sous cette claire explication, le projet salvateur de Dieu devient simple et compréhensible par les gens les plus simples, les plus humbles et les moins instruits. Sa démarche peut être comprise par tous, sur toute la terre par tout être humain qui aime la simplicité de la vérité, sa vérité.

Sur la terre, quand une personne intelligente et prudente fait le projet d’aller vivre dans un pays étranger, à la langue parlée et écrite étrangère, elle s’efforce déjà avant de s’y rendre d’apprendre la langue du pays choisi et aussi de connaître les coutumes partagées par ses habitants. C’est l’image exacte du projet du salut conçu par Dieu pour les élus rachetés de la terre. Ils doivent, eux aussi, apprendre, par les révélations de la sainte Bible, les lois de la vie céleste et s’y conformer avant d’y entrer.

Dans la Bible, les conséquences de privilégier l’héritage reçu par la « tradition humaine » transmise d’âge en âge sont identifiées dans ce texte d’Esaïe 29:13 : « Le Seigneur dit : Quand ce peuple s'approche de moi, il m'honore de la bouche et des lèvres ; mais son cœur est éloigné de moi, et la crainte qu'il a de moi n'est qu'un précepte de tradition humaine. » Dans ce verset, Dieu condamne le formalisme religieux, car il ne recherche chez ses élus que leur amour sincère et total. De quel précepte Dieu parle-t-il ici ? Des enseignements lus dans sa sainte Bible, aussi nous faut-il comprendre que pour lui, sans être lus avec amour pour lui plaire, les ordonnances qu’il a lui-même données ne constituent plus « qu’un précepte de tradition humaine » qui ne peut donc pas être profitable pour celui qui est concerné. En fait, ce verset donne l’explication de l’ignorance spirituelle du clergé juif chargé d’enseigner le peuple. Ne donnant pas leur cœur au Dieu qu’ils servaient, les sacrificateurs Lévites ont été victimes du symbolisme des rites qu’ils accomplissaient sans intelligence. Ayant fait de ces rites une fin en soi, ils ne pouvaient que s’opposer au Christ quand il s’est présenté pour remplacer le symbole animal limité et imparfait. Aussi, est-il nécessaire pour l’élu de notre temps, de savoir que ces mêmes reproches formulés par Dieu concernent, aujourd’hui, toutes les églises officielles chrétiennes ; Jésus les ayant toutes rejetées chacune en son temps et en dernier, l’Adventisme du septième jour, institutionnel, au printemps 1994, à cause de son manque de foi pour sa révélation prophétique particulièrement ciblée dans ce texte d’Esaïe 29:10 à 12  qui précèdent le verset précédent : « Car YaHWéH a répandu sur vous un esprit d'assoupissement ; il a fermé vos yeux (les prophètes), il a voilé vos têtes (les voyants). Toute la révélation est pour vous comme les mots d'un livre cacheté que l'on donne à un homme qui sait lire, en disant : Lis donc cela ! Et qui répond : Je ne le puis, car il est cacheté ; ou comme un livre que l'on donne à un homme qui ne sait pas lire, en disant : Lis donc cela ! Et qui répond : Je ne sais pas lire. » Dieu donne alors l’explication de cette incapacité : « Le Seigneur dit : Quand ce peuple s'approche de moi, il m'honore de la bouche et des lèvres ; mais son cœur est éloigné de moi, et la crainte qu'il a de moi n'est qu'un précepte de tradition humaine. »  Ce qui désigne une attitude formaliste reprochée aussi à « Laodicée », la dernière époque de l’église adventiste du septième jour officielle.

Ce message délivré par Dieu a une valeur perpétuelle et il révèle ainsi la cause pour laquelle Jésus a « vomi » l’Adventisme du septième jour officiel au printemps 1994 conformément à l’annonce de cette action, citée dans Apo.3:16 : «Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. ». Cette « tiédeur » confirme l’absence d’amour dénoncée dans Esaïe 29:13 : « mais son cœur est éloigné de moi ».

Ayant conduit l’action qui est devenue cause de ce rejet par Christ, je peux témoigner d’avoir rencontré, dans l’adventisme, des gens qui semblaient parfois animés de zèle pour l’œuvre divine. Cependant, j’ai aussi constaté que ces personnes ne persévéraient pas dans le temps et que l’enthousiasme d’un moment a fait place à un abandon total de la lumière reçue. C’est pourquoi, les derniers appelés élus doivent savoir que Dieu est très exigeant dans sa demande d’amour. Mais pourrait-il en être autrement, quand on sait le prix qu’il a payé pour l’obtenir ? Et Jésus, n’a-t-il pas été suffisamment clair dans ses propos dans Mat.16:24 : « Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive. » Et il confirme, en précisant dans Mat.10:38 : « celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n'est pas digne de moi. ». Comment celui qui n’éprouve pas d’amour pour sa parole prophétique révélée pourrait-il se « charger de sa croix et suivre Jésus-Christ » ? Quand bien même le diable lui inspirerait de le faire, il ne serait pas sauvé par Jésus pour autant.

Suivre Jésus-Christ est une pensée qui disparaît dans un monde qui suit Satan et ses démons angéliques depuis bientôt six mille ans. Car nos modèles de sociétés historiques ont tous été construits sous ses normes diaboliquement injustes. La vraie justice n’a régné sur terre que pendant les trois cent années au cours desquels Dieu a dirigé, lui-même, directement, son peuple arraché à l’esclavage égyptien. Et s’il dirigeait aujourd’hui le monde, la vraie justice serait imposée à tous, aux riches et aux pauvres, aux grands et aux petits. Et à ce titre, je retiens dans l’ancien régime royaliste de France, le règne du roi Louis XI qui fut sinon sympathique, moins injuste que tous les autres. Etant très économe, il se revêtait modestement et punissaient sévèrement par la pendaison tous les malfaiteurs du royaume, mais sévissait également contre les nobles seigneurs qui le méritaient quels que soient leur rang et leur classe.

Et puisque j’évoque la monarchie, tu dois savoir qu’elle s’est aussi transmise au fil du temps par le principe de la tradition. Et sachant que certains lui octroient un droit divin biblique, je rappelle que, frustré par sa demande, Dieu a seulement consenti à donner au peuple Hébreu « un roi comme les autres peuples » païens de leur époque ; ce qui signifie que l’inspiration du modèle est d’origine satanique et non divine. Mais Dieu a pris les Hébreux au mot, et il les a livrés à l’injustice qu’allaient pratiquer tous leurs rois, en les prévenant que ces rois vivraient à leur charge comme le faisaient déjà les rois païens ; une charge pesante qu’il n’a jamais exigée d’eux pendant qu’il les dirigeait dans sa justice parfaite et irréprochable. 

Tradition et vérité concernent aussi nos sociétés occidentales construites sur le modèle capitaliste démocrate républicain soit, pour Dieu et ses élus, le régime de l’odieux péché caractérisé sur ses valeurs diaboliques d’injustice et de cupidité égoïste. Nos sociétés occidentales ne vivent pas dans la paix, mais dans les conditions précaires de l’armistice, car elles sont formées par des oppositions de groupes de pression qui luttent en permanence pour ne rien perdre de leurs avantages et en ce qui concerne les riches, de leurs privilèges. Car, malgré le changement des Républiques, l’injustice de l’ancien régime s’est prolongée. Le pauvre est resté la valeur ajustable, parce que le riche n’a rien lâché et il a même réussi à faire augmenter, considérablement, de manière exponentielle, sa part. Les groupes de pressions sont les syndicats et les uns après les autres, les gouvernements successifs s’efforcent de satisfaire aux exigences des riches toujours financées par l’exploitation des pauvres, selon le principe capitaliste de l’exploitation de l’homme par l’homme, principe qui a triomphé et s’est imposé, même en France, après une longue résistance. Cette exploitation de l’homme par l’homme est devenue une vérité évidente avec le développement de l’actionnariat qui a remplacé la fonction des banques et ponctionne à lui seul une partie importante des faibles profits tirés du travail des pauvres rémunérés au « smic » terme qui signifie « Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance ». Les banques prêtaient l’argent à taux fixes, alors que l’actionnaire ponctionne le profit réel obtenu, par le travail des employés, en proportion de son placement. Et la situation s’est aggravée, parce que ces actionnaires ne vivent pas tous en France, car la bourse est ouverte à la terre entière et ceux qui vivent du placement de leur argent sont de plus en plus nombreux, dans tous les pays ; l’argent va à l’argent. En France, la situation est telle que ses emplois n’enrichissent plus le pays lui-même, mais des étrangers qui vivent à l’étranger. Le pays travaille, mais il ne peut plus s’enrichir ; la chose ayant été encouragée et soutenue par les présidents français successifs jusqu’au président actuel, l’ancien jeune banquier capitaliste. Une nation capitaliste prospère quand elle peut croquer les profits d’une autre nation, mais que devient-elle lorsque ses profits sont eux-mêmes croqués par d’autres nations ? Elle tourne à vide et se ruine. C’est cet effort rendu vain qui a conduit mon pays, la France, à s’endetter depuis 1974, jusqu’à atteindre aujourd’hui une dette de trois mille milliards d’Euros ; son modèle des USA en est, lui, à une dette de trente mille milliards de Dollars. Le mirage syndical a longtemps fonctionné, mais il est devenu évident que les augmentations de salaire des travailleurs pauvres sont rendues vaines par la répercussion de cette hausse sur le coût général de la vie. Les salaires montent, mais le pouvoir d’achat reste au même niveau. Les hommes politiques rusent, en donnant d’une main ce qu’ils reprennent de l’autre, et dans l’agitation, rien ne s’améliore et tout se dégrade. Car en plus, dans cette situation de ruine, afin d’obtenir leur suffrage et leur soutien, le président des Français a voulu réduire le plus possible leurs impôts ; il a donc dû emprunter et augmenter la dette publique nationale. Ce constat résume les effets pervers du système capitaliste qui conduit à l’endettement une société dont les profits sont aspirés par des actionnaires, au nom de la liberté d’action et de l’utilisation de l’argent soit, du capital. Il n’est donc pas étonnant que « l’amour de l’argent » soit dénoncé dans la Bible comme étant « la racine de tous les maux », dans 1 Tim.6:9-10 ; ce qui en fait, un péché capital : « Mais ceux qui veulent s'enrichir tombent dans la tentation, dans le piège, et dans beaucoup de désirs insensés et pernicieux qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition. Car l'amour de l'argent est la racine de tous les maux ; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments. »

A l’origine de ce résultat se trouvent des valeurs héritées et transmises de siècle en siècle. Mais qui a inspiré à l’homme l’idée que la pénibilité du travail physique devait être dévalorisée par rapport au travail intellectuel ? C’est encore le diable, pas le Dieu créateur qui donna à Adam la fonction de jardinier, à son fils Caïn, le métier d’agriculteur et à son frère Abel, celui de berger. Où est l’intellectuel dans ces trois modèles du début de l’histoire de la vie terrestre ? Pour se prolonger sur la terre, la vie humaine trouvait ainsi la nourriture de la terre et le vêtement de laine. L’intellectuel était inutile. Relève la perversion de notre temps qui a renversé ces valeurs divines originelles. Là est l’origine de toutes les injustices actuelles. En France, espérant favoriser la qualité de son service, la Justice est indépendante du pouvoir politique, mais les hommes chargés de rendre la justice sont, par nature et héritage, pécheurs et imparfaits et ils subissent, eux-aussi, la pression mentale exercée par la pensée humaniste mondialiste de notre époque et la pression permanente du pouvoir des médias. Le monde est devenu transparent, les scandales sont révélés dans des sociétés accoutumées aux dérives multiples du comportement humain. Non limités par la norme divine du bien et du mal, ils n’ont plus, ni boussole, ni repère, pour juger sainement leur société devenue le théâtre de tous les excès.

A moins de sept ans du retour de Jésus-Christ, n’est-il pas temps de dresser un bilan de vérité et de regarder en face la situation réelle vers laquelle le diable a conduit l’humanité entière ?

Quel aspect nos sociétés humaines auraient-elles sous un gouvernement divin direct ? Plus aucune corruption et la justice parfaite pour tous, parce qu’identifiés par Dieu sans pouvoir lui échapper, les corrompus sont incarcérés ou éliminés. Un salaire égal pour un temps d’activité égal. Car dans nos régimes diaboliques actuels, des rémunérations supérieures sont données à des corps de métiers spécialisés qui revendiquent injustement ces avantages. La spécialité d’un métier ne devrait pas justifier des écarts de salaire, car le choix d’une spécialité est une affaire de satisfaction personnelle qui n’a pas de raison d’être rémunérée. Le salaire ne devrait payer que le temps de vie donnée par chacun dans son activité professionnelle pour l’intérêt commun de tous ; et rien de plus. Ce régime serait celui de la parfaite égalité qui favoriserait la fraternité et donnerait une limite juste à la liberté. Cependant, à l’heure du châtiment voulu par Dieu, il est trop tard pour redresser la situation que la guerre engagée en Ukraine va faire empirer au-delà de l’imagination la plus pessimiste. Des pays ruinés doivent produire des armes très coûteuses et dans le même temps, Dieu brûle des forêts et des champs agricoles par des incendies provoqués par le soleil dont il intensifie la chaleur, ou par les éclairs d’orages violents, ou même, des incendiaires volontaires humains ; les moyens d’intensifier la ruine des hommes ne manquent pas pour le tout-puissant Dieu créateur, YaHWéH, Micaël, Jésus-Christ. Aussi, devons-nous nous apprêter à voir sévir la famine et bien d’autres maux dans une société occidentale qui n’a manqué de rien, pendant 50 années d’opulence ; le temps d’un jubilé compris entre 1974 et 2024.

 

 

La folie collective

 

Que dit-on d’un être humain dont le comportement étonne parce qu’il met sa vie en danger de mort en réalisant des choses jugées déraisonnables par les masses humaines ? Il est fou. S’agit-il d’une réelle folie ou n’est-ce pas plutôt le fait que son action sort de l’ordinaire qui le fait passer pour un fou dans la pensée de l’humanité dite normale ? Oui, c’est bien cette sortie de la normalité qui lui fait attribuer de la folie. Le fou réel ne fait rien de raisonnable car il est incapable de raisonner. Il suffit d’ailleurs qu’un grand nombre de personnes se mettent à faire collectivement des choses déraisonnables pour que cette déraison soit transformée en une normalité. Il ressort de cette analyse que le jugement de l’être humain repose sur les expériences qu’il vit ou ne vit pas. Tout ce qui n’est pas vécu est rattaché à la folie et tout ce qui est vécu entre dans la normalité. Dans les spectacles appréciés par les foules se trouvent les funambules ou équilibristes qui marchent en équilibre sur un fil d’acier ou synthétique à des hauteurs vertigineuses. Dans un reportage, un jeune Suisse témoignait ainsi pour expliquer sa maîtrise de la peur du vide : « Tout est dans le mental ; ce que je peux faire à 50 cm du sol, je peux le faire à n’importe quelle hauteur ». Il nous livre là une clé d’explication importante : Tout est dans le mental. La peur du vide est une chose naturelle chez tous les êtres humains parce que le simple fait de marcher et de se tenir debout a dû être gagné par l’expérience. En effet, en venant au monde, l’enfant découvre qu’il n’est pas facile de se tenir sur ses deux pieds et ses jambes qui doivent se muscler et il trouve plus facile de ramper sur ses genoux et sur ses mains. Si nous projetions notre pensée adulte dans cet enfant nous l’entendrions dire : tous ces gens sont fous de prendre le risque de se tenir droit sur leurs pieds et leurs jambes. Mais justement, parce qu’il voit tous les autres agir ainsi, il comprend qu’il doit apprendre à faire de même et tentative après tentative, il finit par tenir en équilibre moyennant quelques chûtes qui confirment la difficulté de l’action. Le jugement humain est donc soumis à la loi de la normalité, mais il apparaît ainsi clairement que cette normalité dépend de son expérience individuelle. Ce préambule était nécessaire pour comprendre ce qu’est la croyance au Dieu créateur. La foi en son existence dépend de notre expérience individuelle et Dieu a fait écrire l’expérience de ses premiers témoins dans la sainte Bible, afin que pendant les dernières 3500 années de l’histoire terrestre, chacune de ses créatures humaines puisse profiter de l’expérience de ses premiers témoins. Car, il s’est révélé en puissance et en action aux Hébreux qu’il a arrachés à l’esclavage égyptien vers 1500 avant notre ère. A cette époque, la folie consistait à ne pas croire à l’existence de ce Dieu dont les œuvres étaient évidentes et incontestables. Et parmi, les gens sortis d’Egypte, personne ne pouvait nier l’existence de Dieu mais selon leur nature individuelle, ils pouvaient déjà lui obéir ou lui désobéir. Ils ont ainsi posé les bases de la foi et de l’incrédulité qui est son opposé absolu. L’incrédulité n’est pas l’incroyance, car elle conduit l’être humain à désobéir en toute conscience au Dieu qui ordonne et organise la vie humaine. A l’origine de l’incroyance actuelle il y a eu la pensée de Karl Marx, un philosophe libre penseur qui a déclaré : « J’ai chassé Dieu de mon ciel ». Il marqua ainsi le passage de l’incrédulité à  l’incroyance qui ne trouve en conséquence son explication que dans son refus de devoir se soumettre à ce Dieu grand et redoutable. Depuis, l’incroyance actuelle s’explique par la saturation de l’esprit humain qui ne cherche plus Dieu, parce que la vie humaine et ses spécialistes en toutes choses lui apportent leurs réponses et leurs explications qui le satisfont. Cependant aucune de ces explications ne permet de comprendre l’existence de la foi qui croit au Dieu créateur et à ses révélations. L’humanité se paie le luxe du paradoxe qu’en dépit de son incroyance officielle, de nombreuses explications de l’histoire terrestre, qu’elle enseigne, prennent appui sur des révélations citées dans la sainte Bible.

Que faut-il donc faire pour avoir la foi et obtenir la certitude que Dieu existe et que toute chair devra finalement lui rendre des comptes ? Il suffit de faire les expériences qui vont nourrir cette petite foi et la faire grandir. Il s’agit donc de mettre en action une expérience qui va nous faire passer du stade de l’ignorance à celui de la connaissance. Et ce principe s’appliquait pour l’équilibriste et il va s’appliquer de la même manière pour la foi en Dieu. Pour les deux la formation et l’adaptation sont nécessaires.

Les incroyants attribuent à la terre des milliards d’années d’existence, mais pour sa part,  Dieu a révélé à son serviteur Moïse, il y a de cela, environ 3500 années, que l’histoire terrestre n’avait commencé que 2500 ans avant son époque où il a fait sortir son peuple hébreu de l’Egypte. Qui doit-on croire ? Les suppositions imaginées par l’homme scientifique actuel ou le témoin de Dieu qui l’a assisté dans ses puissantes œuvres connues sur toute la terre habitée de son temps comme le confirme ce témoignage de Rahab, la prostituée vivant à Jéricho, témoignage cité dans Josué 2:10-11 : « Car nous avons appris comment, à votre sortie d'Égypte, YaHWéH a mis à sec devant vous les eaux de la mer Rouge, et comment vous avez traité les deux rois des Amoréens au delà du Jourdain, Sihon et Og, que vous avez dévoués par interdit. Nous l'avons appris, et nous avons perdu courage, et tous nos esprits sont abattus à votre aspect ; car c'est YaHWéH, votre Dieu, qui est Dieu en haut dans les cieux et en bas sur la terre. » Elle vivait de manière païenne au milieu d’une ville peuplée de gens païens et sa foi repose sur un comportement intelligent qui a conditionné son expérience terrestre en lui sauvant la vie contrairement à tout son peuple détruit par Dieu avec sa ville. Rahab dit bien « Nous avons appris », mais elle seule tire profit de ce que tous ont appris. Son choix et son comportement n’étaient que les conséquences du raisonnement de la véritable intelligence ; ce qui me conduit à dire que tous les autres gens que Dieu a tués dans Jéricho était pris d’une folie collective. Celle-ci définit le contraire absolu de l’intelligence. Et nous l’avons vu, la folie ou son contraire, l’intelligence, sont estimés par chacun selon sa conception de la normalité. Dans l’expérience de Rahab, la normalité était chez ceux qui sont morts tués par Dieu et elle était païenne. Mais elle sut remettre en cause la normalité de son héritage et de ses traditions.

Aujourd’hui, il en est de même, l’écrasante majorité des êtres humains occidentaux est irréligieuse et représente l’actuelle folie collective humaine que Dieu s’apprête également à détruire. Quelles que soient les raisons que l’homme se donne pour ne pas se soumettre à la volonté divine révélée, son choix est celui de la vraie folie qui le conduit à la mort. Il est utile à ce sujet de se rappeler que Dieu n’offre à l’être humain que le choix de deux chemins opposés à l’extrême, comme ces versets de Deut.30:19-20 l’enseignent : « J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité, pour aimer YaHWéH, ton Dieu, pour obéir à sa voix, et pour t'attacher à lui : car de cela dépendent ta vie et la prolongation de tes jours, et c'est ainsi que tu pourras demeurer dans le pays que YaHWéH a juré de donner à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob. » Il va de soi, que ce message est adressé par Dieu à tous les humains qui liront cette déclaration et pas seulement aux descendants hébreux juifs d’« Abraham, Isaac et Jacob ». Ces patriarches fondateurs de l’Israël charnel sont aussi les témoins de Dieu présentés à son Israël spirituel construit sur la rédemption obtenue par Jésus-Christ dont la mort expiatoire profite à tous les élus sauvés dans les deux alliances divines successives et depuis Adam.

La vraie folie, la plus dommageable n’est pas celle que l’humanité dite normale dénonce et définit. Le fou authentique n’est pas concerné par le salut proposé par Dieu, puisqu’étant incapable de raisonner, il ne peut pas apprécier cette offre. La vraie folie collective concerne donc le comportement des multitudes occidentales dites normales qui, ayant accès à la connaissance des conditions présentées par Dieu, choisissent de ne pas en tenir compte et de prendre ainsi, même inconsciemment, le chemin qui les mène à la mort. Car, refusant l’instruction, ils choisissent de rester dans l’ignorance qui, par la désobéissance, les condamne à devoir mourir, conformément à l’avertissement donné par Dieu.

L’entrée dans la foi est en tout point comparable à l’évolution du passage de l’enfant bébé vers l’homme. Leur besoin en nourriture est différent ; le bébé a besoin de lait, tandis que l’homme a besoin d’une nourriture solide qu’il trouve dans les céréales, les légumineuses et les légumes. L’être humain trouve en Dieu toutes les explications aux questions légitimes qui viennent s’imposer à son esprit. Et la première qui s’impose est : pourquoi l’homme finit-il par mourir ? La question est légitime pour qui sait que Dieu est lui-même immortel par sa nature et qu’il a, de plus, donné vie à des anges célestes dont ceux qui sont restés fidèles partagent déjà, avec lui, cette immortalité. La réponse biblique vient alors, la mort est la conséquence d’une punition collective qui est précisément la première forme de la folie collective que l’humanité hérite et se transmet de siècle en siècle pendant six millénaires. Ainsi, après ces six mille années de sélections des élus terrestres, la mort ne frappera plus les élus sauvés au retour glorieux de Jésus-Christ, mais il faudra attendre la fin du septième millénaire et l’accomplissement du jugement dernier qui concerne les rebelles terrestres et célestes, pour que la mort elle-même soit anéantie et la norme de l’éternité et de l’immortalité soient instaurée pour toujours.

De nombreuses réponses à toutes nos questions sont disponibles dans la sainte Bible, mais pour les obtenir, nous devons nous nourrir de cette lecture biblique, jusqu’à en maîtriser humainement le contenu. Or cette maîtrise est en vérité illimitée, puisque notre esprit et notre compréhension spirituelle sont alimentés par le vrai et seul Dieu qui est, lui-même, illimité. Selon l’image du bébé et de l’adulte, notre besoin en nourriture solide croît avec l’augmentation de notre connaissance des écrits de la sainte Bible. La Bible offre une nourriture pour tous les âges et les stades de notre évolution spirituelle. Déjà, à son époque, l’apôtre Paul adresse en reproche aux Hébreux, les destinataires de sa lettre, le fait d’en rester au « lait » spirituel alors que la croissance de leur foi dépend d’une « nourriture solide » ; Héb.5:12 : « Vous, en effet, qui depuis longtemps devriez être des maîtres, vous avez encore besoin qu'on vous enseigne les premiers rudiments des oracles de Dieu, vous en êtes venus à avoir besoin de lait et non d'une nourriture solide. » Alors combien plus, ce reproche s’adresse-t-il aux croyants chrétiens actuels, sachant que la vérité spirituelle est maintenant entièrement révélée et que la nourriture la plus solide, réservée pour le temps de la fin du monde, est la révélation contenue dans les prophéties bibliques de Daniel et Apocalypse, principalement, mais pas uniquement. Car la Bible entière est un support de révélations prophétiques, comme j’ai eu l’occasion de le démontrer dans les études présentées dans cet ouvrage proposé comme nourriture, au titre spirituel de « manne des derniers marcheurs adventistes » de foi et d’œuvres.

En ce contexte de fin du monde, les êtres humains ont encore le choix de s’engager dans l’un ou l’autre des deux chemins placés par Dieu devant eux : la folie collective ou l’intelligence collective, puisque ce jugement de valeur dépend du nombre des soutiens qui les portent. Mais hélas pour eux, les plus nombreux ne sont pas les plus intelligents, mais les plus rebelles et leur fin, prophétisée et révélée dans la sainte Bible, n’a rien d’enviable. Dans ses expériences individuelles, l’homme se distingue, par ses particularités, de ses semblables. Son modèle suscite alors deux jugements opposés : il fait envie, ou il fait pitié. Et la réaction des spectateurs et des juges que nous sommes dépend de notre personnalité. Les élus font envie chez les futurs élus et ils font pitié chez ceux qui les tiennent pour fous. Mais dans la pensée des élus ce jugement se retourne et s’inverse : le plus fou des deux n’est pas celui que tu penses ; ce n’est pas moi, l’élu, mais toi, le déchu et ta fin méritée sera impitoyable.

Jusque-là, je n’ai évoqué que la folie collective qui consiste à vouloir ignorer la révélation biblique construite sur la sortie d’Egypte des Hébreux conduits par Moïse. Mais plus grande encore est la folie collective qui conduit les humains de notre temps à refuser et rejeter le témoignage de la foi chrétienne. Ceci, parce que Jésus-Christ est un témoin beaucoup plus rapproché de nous et que toute notre vie occidentale est construite sur ce modèle de vie chrétienne. Notre calendrier est basé sur sa naissance présumée bien qu’elle soit fausse et marquée par un retard de six années. Mais finalement, cette erreur due au moine catholique romain Denys le petit, n’a aucune conséquence pour nous car les données des temps révélés dans les prophéties se présentent sous forme de durées d’action applicables sur des dates adoptées dans ce faux calendrier. Les messages délivrés par Dieu restent donc totalement identifiables en dépit des erreurs sur lesquelles ce faux calendrier a été établi. Le témoignage de Jésus-Christ s’est prolongé pendant deux mille ans par le témoignage de ses saints serviteurs, aussi comment ne pas taxer de folie collective cette envie subite de nos contemporains d’ignorer ce constant témoignage séculaire et deux fois millénaire ? Cette folie collective n’est que le résultat d’un choix collectif qui est celui d’une société éprise de liberté qui est devenue à ce point rebelle qu’elle ne supporte plus du tout l’idée de devoir obéir à une autorité divine. Dans la fable de Jean de Lafontaine, le « renard et les raisins », le renard se console de ne pas attraper les raisins placés trop hauts, en les disant trop verts, et aujourd’hui, l’homme se donne le droit de désobéir à Dieu en prétextant qu’il n’existe pas. Ce choix étant celui du plus grand nombre, il devient la norme de la normalité et constitue le fruit d’une folie collective qui préfère ignorer des faits qui justifient l’existence de Dieu, pour ne pas avoir à lui obéir.

Car, aucune découverte scientifique moderne n’est en mesure de démontrer l’inexistence de Dieu, et tout au contraire, ces découvertes ne font que permettre aux humains de découvrir l’immense sagesse et puissance du Dieu qui a créé la vie et tout ce qui la forme et qu’elle contient. C’est du moins, la déduction que tire de ces faits l’intelligence collective des saints élus rachetés par le sang de Jésus-Christ.

Les critères de sélection des derniers élus sont très élevés, car ayant apporté beaucoup de lumière à ses derniers saints serviteurs au statut béni d’esclaves volontaires de leur Seigneur et Maître, l’exigence de Dieu est grande et implique leur connaissance de ses dernières instructions. Les derniers élus doivent connaître toute l’histoire religieuse construite sur la terre depuis Adam et Eve. Ils doivent connaître et suivre l’évolution historique observée par le développement de l’offre du salut divin à l’homme pécheur. Les patriarches constituent les repères de cette construction spirituelle qui conduit jusqu’à la première venue de Jésus-Christ qui vient en « agneau de Dieu » « ôter les péchés du monde » ; ce qui exprime le vœu de Dieu et non l’effet obtenu que très rarement. Car le sang du Christ n’a été versé qu’au bénéfice de ceux qu’il reconnaît seul, lui-même, dignes de son rachat et ce critère ne concerne que ses vrais élus. Comme Jésus l’a dit lui-même dans Mat.5:17, il est venu « pour accomplir la loi » et non pour l’enseigner : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. » Note la subtilité de l’expression « mais pour accomplir » ; il ne dit pas « pour l’accomplir » et il confirme l’accomplissement d’une partie seulement de cette loi et des prophètes, ce qui confirme la prolongation et la validité données à cette loi de Moïse, au cours de sa nouvelle alliance.

Les fautes successives imputées à la dernière génération humaine sont celles qui se sont accumulées au fil du temps. Et déjà, il nous faut relever, « l’arrogance » du régime papal catholique qui a refusé la norme embryonnaire de la Réforme entreprise au 16ème siècle. En sorte que la France est restée jusqu’à la Révolution française un régime catholique romain. Les exactions commises par cette fausse religion chrétienne ont justifié le dégoût religieux des Français, à juste titre. Mais si condamner ce régime était légitime, par contre, ne pas tenir compte du message délivré par les vrais témoins divins de la Réforme protestante a rendu la France hautement coupable envers Dieu. Car, leur comportement pacifique et docile était conforme au modèle présenté par Jésus-Christ, ce qui rendait leur témoignage digne d’être reçu. Mais dans cette époque, seul le fracas des armes a été entendu dans le contexte d’une opposition guerrière de faux Protestants qui luttaient armes au poing contre des vrais catholiques. Aussi en France, la situation a été récupérée par les libres penseurs et les philosophes remplis de culture gréco-romaine. Le message de l’amour divin miséricordieux est ainsi resté inaudible et invisible dans le peuple de la France devenue nationalement athée. Stratégiquement, le diable a favorisé, pour un temps, l’indépendance et le rayonnement mondial de ce modèle de société républicaine qui, vantant sa liberté, l’exportait et ensemençait le monde de sa folie collective. Deux siècles plus tard, dans un contexte religieux apaisé, la foi catholique s’est lentement réveillée et a recommencé à séduire ses adeptes. C’est ainsi que son modèle actuel est resté le catholicisme encore pratiqué par une minorité de gens engagés par un baptême reçu et imposé dans l’enfance, sans qu’ils l’aient le moins du monde choisi. Mais le prestige du pape romain a comblé cette lacune. Et ceux qui le soutiennent actuellement ne sont plus des enfants, mais des gens adultes responsables envers Dieu de leurs choix religieux. C’est alors que nous devons le réaliser ; la folie collective concerne autant les choix des sujets profanes que les choix religieux, ce qui en fait le modèle type de la société entièrement coupée de Dieu. Et nous retrouvons dans ce modèle toutes les nations du camp occidental. Mais les autres pays ne sont pas plus avantagés, car ils ne reconnaissent pas, en Jésus-Christ, le seul Sauveur divin proposé à l’homme pécheur universel.

En progressant dans le temps, Dieu a apporté aux vrais Protestants, de l’époque 1843-1844, sa divine lumière éclairant ses premières utilisations des prophéties de Daniel et Apocalypse. En 1844, le 23 Octobre, sanctionnant leur mépris pour son test de foi prophétique, Dieu a rompu son alliance passée avec la fausse religion protestante héritière de l’apostasie protestante du 16ème siècle et après lui. Elle se reconnaît à son mélange de sacré et de profane, un pied dans le monde et ses valeurs diaboliques et l’autre pied, dans une revendication religieuse trompeuse appuyée sur la sainte Bible. La foi protestante testée a produit la foi adventiste, puis la foi adventiste du septième jour, et après cela, plus rien. Mais elle s’est réconciliée officiellement avec son ex ennemie mortelle, la religion catholique papal romaine, et cette alliance officielle a confirmé sa rupture définitive avec Dieu.

Avec le temps, la folie collective s’est répandue dans l’adventisme du septième jour testé par Dieu entre 1980 et 1994. Là encore, son entrée dans l’alliance du protestantisme en 1995 a confirmé son rejet par Dieu.

Et depuis cette dernière fausse annonce du retour de Jésus qui était sensée s’accomplir le 22 Octobre de l’automne 1994, je suis resté le seul dépositaire des dernières révélations données par Dieu, choses que je partage avec tous ses bien-aimés qui collaborent ou vont collaborer à cette œuvre, au près et au loin, dispersés sur toute la terre.

Partout où elle a gagné les âmes humaines, la folie collective est le signe de la malédiction divine. Pour lui échapper, individuellement, un réveil de conscience est nécessaire et je sais que Jésus va provoquer cet éveil sachant où se trouvent ceux qui sont dignes de son salut éternel. A l’opposé du monde pervers perdu, les élus se rassemblent unis dans l’intelligence collective et individuelle donnée par Dieu. Cette intelligence collective est rendue concrète par la démonstration d’amour de la vérité par chacun d’eux et d’elles. Tous sont conscients de la nécessité d’obéir à la voix du Dieu créateur dont l’amour révélé constitue la meilleure preuve de son désir de les rendre heureux éternellement. C’est là, l’unique but de ses ordonnances, ses commandements, ses statuts et ses lois, écris et révélés dans sa sainte Bible ; sa divine parole écrite pour le salut des élus.

La société livrée à la folie collective produit deux types de mensonges. Le premier type est le mensonge volontaire qui veut intentionnellement tromper et le second est le mensonge involontaire qui résulte du fait qu’elle dénie l’existence de la vie céleste responsable de faits constatés et impute alors, faussement, ces faits à d’autres causes humaines. Ce sujet concerne dans notre actualité, le célèbre réchauffement climatique qui conduit l’humanité à s’angoisser et chercher, dans des restrictions de manière de vivre, des solutions pour régler ce problème inquiétant. Le responsable tout trouvé est bien sûr, l’homme et sa consommation qui produisent du gaz carbonique, par ses automobiles, son chauffage, ses usines et ses vaches accusées d’empoisonner l’atmosphère par leurs pets chargés de gaz inflammables dont le dioxyde de carbone. Et là déjà, la société ne tient pas compte des 2100 essais nucléaires réalisés depuis 1945. Alors qu’une seule de ses bombes envoie dans l’atmosphère beaucoup plus qu’une ville comme Paris peut produire pendant une année entière. Mais l’erreur principale n’est encore pas là et pour la corriger, il n’y a que l’homme spirituel qui peut le faire. Ceci d’autant plus que les scientifiques reconnaissent avoir constaté la présence de taches sombres sur le soleil, ce qui traduit et révèle une intensification de son agitation et de son rayonnement solaire. C’est donc bien le soleil qui est en cause dans ce réchauffement climatique constaté sur toute la  terre. Mais cette science ne fait que constater ce que seul l’homme spirituel peut expliquer : pourquoi le soleil se met-il à chauffer plus fortement ? Parce que Dieu le lui ordonne et il lui obéit. Pour être certain de cette explication, il suffit de se souvenir que pendant son séjour sur la terre, dans son ministère messianique, Jésus prouva à ses apôtres qu’il pouvait, par sa parole, calmer, instantanément, une violente tempête formée sur le lac de Galilée. Nous, ses témoins pour notre temps, nous n’avons pas le droit de soutenir et participer à la diffusion des mensonges qui frustrent Dieu de sa gloire justifiée par sa puissance illimitée de Dieu créateur. Aussi, je veux rappeler avec force et autorité biblique que Dieu est l’auteur de notre réchauffement climatique bien réel et intentionnel, puisqu’il constitue un fléau infligé à ses ennemis des sociétés du péché. J’en profite pour rappeler aussi que, pendant son ministère terrestre, Jésus ne voyait dans les troubles d’esprit des hommes que des fruits d’actions conduites par les démons célestes associés au diable. Jésus n’a pas imputé ces choses à la maladie, mais aux puissances du mal. Il lui suffisait d’ordonner aux démons de délivrer leurs victimes humaines de leur présence, pour que celles-ci soient parfaitement et, instantanément, guéries. En toute chose nous devons trouver la réponse qu’en Dieu et en Dieu seul. Car en lui, nous trouvons toute la vie céleste bénie ou maudite qui nous est invisible et cependant, grandement et fondamentalement, agissante. Nous aurons bientôt, en 2029, l’occasion de constater que le soleil obéit au doigt et à la parole du Dieu créateur, conformément à ces annonces prophétiques bibliques : Apo.16:8-9 : « Le quatrième versa sa coupe sur le soleil. Et il lui fut donné de brûler les hommes par le feu ; et les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a l'autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire. »

 

 

Le bien et le mal

 

Nous lisons dans Gen.2:29 : « YaHWéH Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. »

C’est la première fois que l’expression « bien et mal » est citée dans la sainte Bible, mais pas la dernière, car nous allons la retrouver dans d’autres versets et d’autres livres qu’elle présente. Cette expression porte en elle un enseignement fondamental extrêmement révélateur qui nous permet de découvrir la souffrance continuelle éprouvée par Dieu, lui-même, en personne et en esprit. C’est pour nous donner la capacité de comprendre cette chose, que Dieu a créé notre dimension terrestre qui devait porter « l’homme fait à l’image de Dieu ». Selon cette déclaration, l’homme est ainsi rendu capable de comprendre ce que Dieu éprouve au sujet du « bien » comme du « mal ». Il nous faut donc étudier ces deux termes et comprendre ce qu’ils représentent.

Comment les définir ? Sur le plan physique et charnel, « le bien et le mal » sont ressentis à de multiples niveaux progressifs. Au minimum, « le bien » est exprimé par le fait que tout le corps et ses organes fonctionnent sans aucune douleur, au point que son existence est ignorée ou oubliée par l’être humain. « Le bien » est alors appelé le  « bien être » car il est ressenti agréablement. « Le bien » et le mal sont exprimés par nos cinq sens qui sont la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût et le toucher. « Le bien » peut alors avoir pour cause, une vision plaisante, une audition appréciée, une odeur agréable, un goût délicieux, et un toucher sensible et utile. « Le mal » va logiquement s’exprimer par le contraire de ces choses puisqu’il désigne l’opposé absolu du « bien ». Et à ce titre, « le mal » est cause de souffrance et la souffrance est le symptôme de la présence de « la maladie ».

Le principe est donc le suivant : tout ce que nous éprouvons dans notre vie humaine au sujet « du bien ou du mal » n’est que l’image charnelle de ce que Dieu éprouve dans son esprit. Cette idée est confirmée dans cette citation de Paul qui dit dans  Eph.5:23 : « car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. » « La femme » a été formée à partir d’une « côte prise » sur le corps d’Adam, selon Gen.2:22 : «YaHWéH Dieu forma une femme de la côte qu'il avait prise de l'homme, et il l'amena vers l'homme. » Le choix de Dieu porté sur une « côte » d’Adam se justifie par le rôle de « la femme », qui est placée au sens spirituel comme au sens littéral, « à côté » de son « époux », son « mari », Christ ou Adam. En développant cette idée, nous pouvons ainsi comprendre que Dieu construit l’image de son corps sur la terre et la dimension terrestre, car il est esprit et vie et tout ce qui vit, vit en lui. Avant le péché, dans leur pureté et innocence originelle, Adam et Eve imagent parfaitement le projet qui a conduit Dieu à créer en face de lui des vis-à-vis libres et indépendants capables de l’aimer librement comme il désire être aimé.

Mais ce projet va imposer à Dieu des souffrances continuelles à cause des choix faits par les créatures libres, mais contestataires, désobéissantes et rebelles. Et ce sont les œuvres de ces choix rebelles que Dieu appelle « le mal » parce qu’elles lui font ressentir désagréablement « le mal » par une souffrance. En sorte qu’en créant des vis-à-vis libres et indépendants, Dieu crée en même temps la vie des élus qui combleront son désir d’amour, mais aussi, les monstrueuses créatures qui font entrer « la maladie » dans « son corps » soit, dans ses créations vivantes. Car la vie de l’homme charnel terrestre présente un aspect physique appelé « corps » et un aspect mental nommé « esprit ». Et les deux sont l’image du « corps » de Dieu. En créant en premier les anges célestes, Dieu donne à ses créatures la ressemblance à son « esprit » de vie seulement. Car leur corps physique ne subit pas la corruption méritée par l’attitude rebelle, qui va apparaître avec la rébellion du premier ange créé, auquel Dieu va donner alors, pour nom, Satan, ce qui signifie « Adversaire ». Et pour Dieu, l’apparition de l’adversité est ressentie, par lui, comme l’homme ressent « la maladie » qui agresse son corps et son esprit. L’absence de souffrances physiques empêchait les anges de comprendre l’intensité des souffrances ressenties par Dieu, ils ne pouvaient que prendre conscience du déplaisir imposé à l’esprit de leur Dieu. Dans cette création d’êtres célestes, la mort ne venait pas frapper l’existence de l’être rebelle dont la vie était prolongée. Cependant, le principe de la mort préexistait, déjà, dans le jugement divin qui les concernait ; il devait seulement être mis en action à la fin du programme préparé par Dieu soit, à la fin des sept mille années réservées pour la création terrestre, dont en premier, la terre sur laquelle Dieu devait organiser sa démonstration de vie parfaite, qu’il allait accomplir en son temps, à la fin du quatrième millénaire, dans le corps humain nommé Jésus de Nazareth. Sa victoire sur le péché et la mort obtenue en Jésus-Christ allait lui donner le droit de sauver ses élus terrestres, mais aussi, d’éliminer dans le feu de la « seconde mort », les rebelles terrestres et les anges démoniaques, ainsi que leur chef, Satan.

« Le bien » est facile à identifier puisqu’il concerne toutes les valeurs approuvées et ordonnées par le Dieu créateur, le Législateur suprême. La loi de Moïse révèle cette norme du « bien » conforme à la conception que Dieu donne à ce mot.

« Le mal » a, au contraire, un sens double dont il faut prendre conscience. Dans la langue française, l’usage de ce terme « mal » peut prêter à confusion. Aussi devons-nous bien identifier ces deux sens.

Dans le sens opposé absolu au « bien », « le mal » désigne ce que Dieu maudit, ce qu’il désapprouve et condamne formellement et irrévocablement. Ce type de « mal » est souvent relié à ce que Dieu appelle « abomination » et juge « abominable ». Et pour mettre en œuvre « l’abomination », il suffit à l’homme de faire tout ce que Dieu désapprouve et condamne. « L’abomination » prend naissance dans l’esprit de contestation, et le diable, Satan, première créature créée parfaite par Dieu, fut aussi la première de ses créatures à entrer en contestation avec lui. La contestation n’est légitime qu’entre les deux avis opposés de deux créatures. Mais contester avec Dieu n’a pas de sens, parce qu’il est la source de l’intelligence et qu’il maîtrise parfaitement tous les sujets de réflexion. Bien avant l’ange et l’homme, il a su vers quels problèmes et tourments, la liberté pouvait conduire ceux qui l’utilisent de manière libertaire soit, ceux qui outrepassent les limites raisonnables de la liberté. Si une plus grande liberté avait été possible sans dommage pour ses créatures, Dieu les en aurait laissées profiter. Mais ce n’est justement pas le cas, et son amour de Père l’a conduit à placer des garde-fous autour de ses créatures soit, des lois qui fixent les limites de la vraie liberté. En dehors de ces limites frontières, il y a le péché et la mort qui est son salaire. Et cette situation me fait penser à ces soldats ukrainiens qui avancent en terre conquises par l’adversaire russe, en devant déterrer les nombreuses mines au risque de sauter avec elles. En face de ces mines qui donnent la mort, l’homme se montre prudent et il devrait agir de même envers le péché qui donne, lui, accès à la « seconde mort » du jugement dernier. Et ce second cas s’inscrira, en 6999 depuis Adam ou 2999 de notre ère, dans l’histoire de la réalité autant que le premier ; ce qui fait que cet avertissement mérite d’être pris très au sérieux.

Le deuxième sens du mot « mal » est celui qui cause les douleurs et les souffrances. Ce type de « mal » est autant pratiqué par Dieu que par le diable et ses agents humains. Ainsi Dieu ne fait pas « le mal » quand il inflige des « maux » à titre de châtiments ; ce qui devient nécessaire, quand les infidélités de ses créatures doivent être punies, parce qu’elles atteignent des niveaux insupportables, même pour Dieu, le plus patient de tous les êtres vivants.

En écho à l’ordre divin donné dans Deu.30:19, nous lisons encore dans    Esaïe 7:16 : « Mais avant que l'enfant sache rejeter le mal et choisir le bien, le pays dont tu crains les deux rois sera abandonné. » L’Esprit prophétise sa future incarnation dans « l’enfant » Jésus Christ. Mais nous trouvons dans ce verset, l’expérience que devront faire et réussir tous ses futurs élus rachetés, par son sang versé et sa parfaite justice : « rejeter le mal et choisir le bien ». Et déjà, l’idée qui s’impose, c’est que pour savoir « rejeter le mal et choisir le bien », les élus doivent savoir identifier ce que Dieu appelle « le mal » et ce qu’il appelle « le bien » ; ce qui implique pour eux d’avoir une bonne connaissance de l’enseignement de la sainte Bible entière. Ceux qui sous estiment l’une ou l’autre des deux alliances successives n’ont ainsi aucune chance de devenir un de ses élus.

En fait, que demande Dieu à l’homme ? De l’aimer et lui obéir. En face de ses exigences, que propose le diable dans la vie qu’il dirige ? A en juger par la situation des sociétés modernes occidentales européennes, et en particulier, dans le modèle de la France, je ne vois que des carcans dans lesquels sont prisonnières des créatures dites « libérées », mais qui sont, en vérité, soumises, par des lois restrictives, à d’innombrables interdictions ou obligations. Il s’agit bien sûr, de la situation actuelle de ce pays, qui a vu ses libertés se rétrécirent à grande vitesse au cours des dernières années où elle reçoit et obéit aux directives, de plus en plus autoritaires, ordonnées par le gouvernement européen installé à Bruxelles. La France fut libre, uniquement, au temps de son indépendance de l’après-guerre. Sous la présidence du général de Gaulle, elle résista encore à l’autorité des USA. Mais le président Sarkozy fit réintégrer la France dans l’alliance de l’OTAN et dès lors, elle n’a fait que subir les conséquences désastreuses de sa soumission européenne, pour elle et ses habitants. Dans nos nations libérées, l’homme est livré à la cupidité des financiers : les banques, les assurances. Tous ces organismes financiers proposent des services qui les enrichissent avec le soutien des instances dirigeantes. Des lois sont votées pour répondre à leurs demandes. Tout est organisé pour qu’elle soutire le plus d’argent possible de la part du client et que les sorties d’argent soient le plus réduites du possible. Aussi des lois qui restreignent de plus en plus la liberté rendent des mesures obligatoires : port du casque pour les motards et cyclomotoristes, ceinture de sécurité et contrôle technique des véhicules à moteur. Toutes ces choses, et la liste est loin d’être exhaustive, coûtent de plus en plus cher, et grèvent les budgets des gens d’humbles conditions. Je pense avec envie à ces pays sous-développés, où l’homme peut encore rouler en moto, cheveux au vent librement et sans interdiction ; ce n’est là qu’un simple exemple, mais la liberté individuelle se rétrécie réellement fortement. Ne serait-ce qu’à cause de la vie collective qui doit faire cohabiter de multiples communautés aux coutumes et religions incompatibles entre elles.

La vie occidentale est visiblement organisée pour faire concurrence à l’ordre divin. Car elle a, elle-aussi, sa propre conception « du bien et du mal ». Et la guerre qui sévit en Ukraine a mis en évidence un « mal » absolu pour le camp occidental : le non respect du droit national de l’Ukraine par la Russie. Cependant ce camp humain est très hypocrite, contrairement au Dieu créateur, qui ne fait jamais d’exception sur ses principes et ses jugements, l’opinion de ce camp humain varie, énormément, en fonction du temps et des lieux. Le putsch militaire, qui vient de renverser au Niger, le 26 Juillet 2023, son président élu favorable à la France, est, unanimement, condamné par nos occidentaux ; les mêmes, qui ont soutenu et encouragé celui que les Ukrainiens rebelles ont fait sur la place Maïdan à Kiev en 2013 ; un putsch à l’occasion duquel, ils ont renversé le président russe légitimement élu de l’époque. Notre Dieu de justice organise donc les événements pour dénoncer l’hypocrisie de ce camp occidental qui constitue, par sa foi chrétienne déformée infidèle, son ennemi et la cible de sa divine colère. Et je profite de ce sujet pour apporter une précision. Dans l’interprétation, du « roi du Midi » de Dan.11:40, le Niger va probablement tenir le rôle principal, car son privilège de posséder des mines d’uranium lui donne, pour la France, sa cliente jusque là privilégiée, un caractère stratégique d’importance existentielle. Or, la présence de la France n’est plus acceptée, ni supportée, par le nouveau pouvoir et une partie importante de sa population. De plus, le pays est musulman à 98%. Un conflit, motivé par l’intérêt majeur des Français qui ont tout misé sur l’énergie nucléaire, pour assurer leur besoin d’électricité, est donc probable sous peu de temps. Le « roi du Midi » semble prendre là, une vraisemblable identité et sa religion musulmane peut en faire le chef de file d’un soulèvement guerrier des nations musulmanes, déjà hostiles aux Occidentaux et à la France particulièrement.

Le passé colonial est pour elle un lourd handicap, mais après ce temps colonial, ses interventions armées dans divers pays africains ont aussi excité la haine contre elle. Il y a eu, la guerre d’Algérie, l’intervention en Côte d’Ivoire, plus récemment la Lybie, et en dernier, le Mali. Mais les Africains ont aussi suivi les engagements de la France militaire dans la guerre des Balkans et le soutien financier massif et les offres d’armes faits aux Ukrainiens. Ce comportement impérialiste a fini par les exaspérer. De plus, ils savent que pour continuer à exploiter les richesses de l’Afrique, les colons occidentaux ont été remplacés par des collaborateurs locaux soutenus par leurs anciens pays colonisateurs. La colère qui éclate, maintenant, au Niger, témoigne que, pour un grand nombre de Nigériens, la limite du supportable est atteinte et dépassée. Le piège tendu par Dieu devant l’Occident se referme en confirmant le soutien et le renforcement que l’Afrique,  le « roi du midi » apporte à la Russie. En citant « Puth », la Lybie et « Cush », l’Ethiopie, Dieu a bel et bien prophétisé le soulèvement de toute l’Afrique, Maghrébine et Noire, contre les intérêts occidentaux, et bientôt leurs armées, au minimum, celle des Français. Et ces deux noms « Lybie et Ethiopie » révèlent l’identité de ce « roi du midi ». Ceci confirme une vieille première pensée qui m’était venue à l’esprit lors de ma première étude de cette prophétie. J’avais fait le rapprochement entre l’expression « roi du midi » et la « reine du midi » qui désigne, dans Mat.12:42, dans les paroles de Jésus-Christ, « la reine de Saba » venue visiter à cause de la renommée universelle de sa sagesse, le « roi Salomon » : « La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu'elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon. » Cette condamnation des incrédules, cette fois, chrétiens, prophétisée par notre divin et humain Sauveur et Seigneur, trouve déjà un accomplissement dans cette rupture de relation du Niger, avec la France et les anciens pays colons de l’Europe. Si à l’origine la « reine du Midi » ne régnait que sur le territoire de l’Ethiopie, dans la prophétie, ce nom Ethiopie désigne, globalement, toutes les nations de l’Afrique Noire qui ont pour origine le développement et l’élargissement séculaire du peuple éthiopien. La prophétie peut ainsi avoir annoncé l’actuel réveil africain qui pourrait entièrement l’unifier contre l’ennemi commun détesté : l’ancien colon européen ; ce qui désigne, la France, la Belgique, l’Italie, le Portugal et l’Angleterre, principalement. Il n’est donc pas étonnant que cette unification se fasse au profit de la Russie et de ses autres partenaires, dont la Chine. Le 26 Juillet 2023, le putsch militaire du Niger ouvre la manifestation du ressentiment anti-français partagé dans presque toute l’Afrique. Cette action pousse les européens hors du sol africain et nous assistons au regroupement stratégique du « roi du Midi » africain et du « roi du septentrion » russe. Dans la phase suivante, l’agression de ces deux « rois » sera faite contre le territoire, le sol, de l’Europe.

Les Occidentaux sont habitués aux normes de leurs valeurs dans lesquelles, la pensée humaniste, de plus en plus présente, leur donne une belle image d’eux-mêmes ; ceci, au point d’être convaincus qu’ils constituent un modèle de société idéale et en conséquence, ils cherchent à l’imposer sur toute la terre, regardant avec pitié, les nations qui restent hostiles à leur projet. Aussi ne peut-on découvrir sa nature abominable qu’à la lecture de la Bible dans laquelle Dieu présente sa propre conception « du bien et du mal ». Le mépris occidental pour ces véritables normes divines apparaît dans ce reproche cité dans Esaïe 5:20: « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume ! » Cette accusation d’inverser les valeurs divines concerne bien nos sociétés occidentales républicaines actuelles.

Dans ce chapitre 5 d’Esaïe, Dieu donne six exemples d’actions qui attireront sur les coupables le « malheur » divin. L’avertissement a une portée universelle et je les présente ici, car le verset 20 n’est que le quatrième des six. A noter, que ces six malédictions concernent l’être humain au sens général, dans son comportement profane, et qu’il désigne, ainsi, les coupables de la perpétuité terrestre. Mais les exemples cités portent aussi, spirituellement, une signification qui conduit Dieu à les utiliser dans les montages de ses prophéties.

5:8 : « Malheur à ceux qui ajoutent maison à maison, et qui joignent champ à champ, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'espace, et qu'ils habitent seuls au milieu du pays ! » La cible de l’indignation de Dieu est la spéculation foncière ; un mal particulièrement développé dans nos sociétés occidentales actuelles. Le modèle capitaliste des USA qui privilégie l’enrichissement égoïste privé est ici, spécifiquement, désigné. Dieu nous révèle ainsi qu’il encourage le partage des biens, et des vraies valeurs.

5:11 : « Malheur à ceux qui de bon matin courent après les boissons enivrantes, et qui bien avant dans la nuit sont échauffés par le vin ! » L’alcoolisme et son ivrognerie sont aussi des signes extérieurs et des fruits portés par les nations riches.

5:18-19 : « Malheur à ceux qui tirent l'iniquité avec les cordes du vice, et le péché comme avec les traits d'un char, et qui disent : Qu'il hâte, qu'il accélère son œuvre, afin que nous la voyions ! Que le décret du Saint d'Israël arrive et s'exécute, afin que nous le connaissions ! » Cet avant dernier verset cible particulièrement « le péché » qui caractérise l’alliance œcuménique chrétienne organisée par l’église catholique papale romaine et que Dieu image, précisément, par des « chars » dans Apo.9:9 : « Elles avaient des cuirasses comme des cuirasses de fer, et le bruit de leurs ailes était comme un bruit de chars à plusieurs chevaux qui courent au combat ». Ces « chars » sont les symboles des « péchés » des églises rassemblées pour défendre, justifier et, finalement, imposer le repos hebdomadaire du dimanche, placé sur le premier jour, par l’empereur romain Constantin 1er, depuis l’an 321. « Le combat » évoqué les rassemblera au retour du Christ et il portera le nom « harmaguédon » dans Apo.16:16. Dans le verset 19, Dieu évoque l’attitude moqueuse et orgueilleuse de ses ennemis religieux ou laïcs irréligieux, agnostiques ou athées, qui le défient publiquement.

5:21 : « Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux, et qui se croient intelligents ! » Dieu ne parle pas ici de la véritable intelligence qu’il donne à ses élus, mais il condamne la fausse intelligence que ses ennemis s’attribuent à tort eux-mêmes, en justifiant les mensonges religieux ou scientifiques.

5:22-23 : « Malheur à ceux qui ont de la bravoure pour boire du vin, et de la vaillance pour mêler des liqueurs fortes ; qui justifient le coupable pour un présent, et enlèvent aux innocents leurs droits ! » Dieu reprend ici le sujet du verset 11 auquel il ajoute l’iniquité de l’injustice rendue par les tribunaux humains corrompus par l’argent. Là encore, le modèle des USA, où le principe de la caution payée permet aux coupables riches de continuer à profiter de leur liberté, est un modèle du genre. Mais ce dernier exemple trouve en 2023, un autre modèle encore plus inique et corrompu que l’Amérique des USA qui l’aide militairement à rejoindre le camp de l’OTAN. Il s’agit bien sûr de l’Ukraine, dont le modèle anarchique a atteint le sommet de l’iniquité ; ce qui conduit Dieu à construire sur elle, les causes de l’écroulement de la domination occidentale. Et à ce sujet en ce 1er Aout 2023, la France évacue ses ressortissants du Niger où un nouveau front guerrier va s’ouvrir, au grand plaisir de la Russie qui n’attend que cette diversion pour fondre sur l’Europe entière.

Notre connaissance de Dieu ne sera jamais assez grande selon que Jésus a dit, dans Jean 17:3 : « Or, la vie éternelle c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ ». Et pour découvrir la nature réelle du caractère de Dieu, nous devons le faire, en relevant dans la Bible entière, ses réactions révélées dans chaque cas et les déclarations de Jésus-Christ sont précieuses pour construire ce portrait robot du Dieu invisible. Les conditions de ses bénédictions et celles de ses malédictions sont révélées dans ce but.

Dans Matthieu 23, Jésus prononce le malheur dans huit versets contre les scribes et les pharisiens du peuple Juif. Mais ces reproches sont parfaitement applicables aux enseignants religieux, de l’ère chrétienne, corrompus par l’héritage du catholicisme papal romain ; ce qui les concerne en totalité, en 2023. Voici donc ces huit versets que Jésus-Christ leur adresse. Je rappelle que Jésus annonce le « malheur » à celui qui fait « le mal ». Et le critère que Jésus cite et qui rend ces messages perpétuels est le terme « hypocrites » qui désigne les enseignants infidèle et indignes de leur fonction ou ministère.

23:13 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous fermez aux hommes le royaume des cieux ; vous n'y entrez pas vous-mêmes, et vous n'y laissez pas entrer ceux qui veulent entrer. » Au temps de Jésus, cette accusation prophétisait aux religieux Juifs, les conséquences qu’allait porter, pour eux et ceux qu’ils enseignent, leur futur refus officiel de son action messianique. Dans l’ère chrétienne, cette faute a été reproduite par le même refus de la lumière divine par les Catholiques au 12ème et au 16ème siècle, par les Protestants en 1843-1844, et par l’Adventisme officiel entre 1982 et 1991, jusqu’à sa condamnation officielle par Christ qui l’a « vomi » en 1994.

23:14 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous dévorez les maisons des veuves, et que vous faites pour l'apparence de longues prières ; à cause de cela, vous serez jugés plus sévèrement. » Jésus reproche aux Juifs religieux de profiter de la faiblesse « des veuves » pour tirer profit d’elle en « dévorant leur maison », dans une apparence trompeuse de fausse piété qu’il attribue à de « longues prières ». L’avertissement : « vous serez jugés plus sévèrement » sera rappelé par Jacques dans Jac.3:1. L’expression « dévorer les maisons » signifie entrer et s’emparer de ces maisons. Et on sait que souvent, après la mort de leur époux, les veuves cherchent l’appui et le soutien religieux. C’est ainsi que les prêtres du catholicisme sont entrés auprès des familles en y imposant leur avis imputé à Dieu. Ils ont ainsi gagné de l’influence dans les hautes sphères des sociétés occidentales et ont rendu concrète la domination du catholicisme papal. Dans toutes les familles nobles, le prêtre local avait sa place à la table familiale. Et son enseignement était la norme de la nourriture spirituelle de la famille rassemblée. C’est pourquoi Jac.3:1 met en garde ceux qui enseignent au nom du vrai Dieu, en disant : « Mes frères, qu'il n'y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se mettent à enseigner, car vous savez que nous serons jugés plus sévèrement. » Cette mise en garde condamne l’enseignement catholique mensonger, mais aussi, depuis 1843, l’enseignement donné par les pasteurs de la religion protestante et celui que donne l’Adventisme officiel, depuis 1994.

23:15 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous courez la mer et la terre pour faire un prosélyte ; et, quand il l'est devenu, vous en faites un fils de la géhenne deux fois plus que vous. » Pour être reconnue, une religion doit faire des émules et augmenter sans cesse le nombre de ses adeptes ; ceci dans tous les temps. Les Juifs le savaient et le faisaient. Mais la fin de ce verset explique comment dans Apocalypse 3, l’Elue bénie de 1873, « Philadelphie », finit, piteusement, « vomie » par Jésus-Christ en 1994, l’époque « Laodicée ». Les adeptes formés après 1873, jusqu’en 1994, sont devenus des « fils de la géhenne deux fois plus » que leurs enseignants. A cela, une seule cause : « l’hypocrisie » religieuse et les ministères indignes infidèles et superficiels.

23:16 : « Malheur à vous, conducteurs aveugles ! Qui dites : Si quelqu'un jure par le temple, ce n'est rien ; mais, si quelqu'un jure par l'or du temple, il est engagé. » Relevons déjà le terme « aveugle » que Jésus attribue à l’adventisme officiel de « Laodicée » dans Apo.3:17. Ce cas d’inversion des valeurs caractérise de manière perpétuelle le faux enseignement religieux. En privilégiant « l’or » plutôt que « le temple », les Juifs religieux révélaient leur nature charnelle terrestre, car ils étaient attachés aux valeurs et aux biens terrestres profanes, adoptant ainsi les valeurs mondaines honorées par les païens. De plus, ils l’ignoraient, mais « l’or » désignait, symboliquement, la foi parfaite qui leur manquait, comme leur rejet du Christ l’a, ensuite, confirmé. Dans l’ère chrétienne, on assiste au même type d’inversion des valeurs. Les adeptes du catholicisme glorifient l’église en bâtissant des églises et des cathédrales prestigieuses impressionnantes. Ils n’ont pas compris que l’Elue du Christ est une assemblée d’esprits humains que Dieu sélectionne, uniquement, parce qu’ils témoignent de fidélité envers la vérité biblique révélée par sa divine volonté ; celle du vrai et unique Dieu. L’organisation terrestre n’a pour Dieu aucune valeur en elle-même. Elle n’a de valeur à ses yeux que lorsqu’elle rassemble des gens qui lui sont fidèles. C’est ainsi que ses reproches adressés successivement aux Juifs, aux Catholiques, aux Protestants et aux Adventistes, condamnent les unes après les autres ces églises terrestres. Cette inversion des valeurs conduit les humains à « appeler le mal bien, et le bien mal ».

23:23-24 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous payez la dîme de la menthe, de l'aneth et du cumin, et que vous laissez ce qui est plus important dans la loi, la justice, la miséricorde et la fidélité : c'est là ce qu'il fallait pratiquer, sans négliger les autres choses. Conducteurs aveugles ! Qui coulez le moucheron, et qui avalez le chameau. » Le message est suffisamment clair pour être compris par tout être humain, aussi je me contente de préciser que ces choses concernent, aussi, les religions chrétiennes actuelles très attachées à des choses secondaires, mais incroyablement méprisantes envers le saint sabbat de Dieu, « sanctifié depuis le septième jour » du début de la création terrestre et thème du quatrième des dix commandements de Dieu gravés, à l’origine, « sur deux tables de pierre, par le doigt de Dieu ». Depuis son écriture, la sainte Bible témoigne et rappelle cette « sanctification » du vrai sabbat, dans Gen.2:2-3 et Exode 20:8 à 11. A l’époque de Moïse, Dieu ne fait que rappeler aux Hébreux l’existence de sa « sanctification du septième jour » qui remonte au premier samedi ou « septième jour » de la semaine de sa création terrestre ; un temps où le respect du sabbat ne concerna qu’Adam et Eve, ses premiers observateurs et les fondateurs de l’humanité actuelle.

23:25 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et qu'au dedans ils sont pleins de rapine et d'intempérance. » Juifs et Chrétiens infidèles commettent la même erreur qui consiste à ne donner de l’importance qu’à l’aspect visible extérieur des choses. Par ce comportement, ils témoignent qu’ils ne donnent aucune importance au fait que Dieu peut sonder leurs pensées et leurs esprits. Leurs œuvres prouvent ainsi qu’ils ne croient pas réellement à son existence et se contentent de faire un « métier » d’enseignant religieux qui les nourrit et leur rapporte, qui leur plait et leur convient. Et s’ils croient à son existence, leur culpabilité est encore plus grande, car ils agissent en rebelles contestataires comme le diable l’a fait avant eux. Ceux qui se comportent ainsi, ignorent le sens que Dieu donne au mot « religion » qui, signifiant relier, a pour seul but de relier à lui ses seuls élus fidèles et nul autre être humain.

23:27 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins d'ossements de morts et de toute espèce d'impuretés. » Ce verset vient renforcer le « malheur » précédent, ce qui témoigne de l’importance que Jésus donne à l’aspect trompeur de la fausse apparence. Et cette insistance est justifié par l’utilisation de ce principe dans la prophétie de la « cinquième trompette » développée dans Apo.9:1 à 13. Utilisant souvent le terme « comme », Jésus y multiplie des comparaisons construites sur des symboles dont le sens est défini dans divers versets et livres de la sainte Bible. Je retiens particulièrement ces versets 7 à 9 dans lesquels il dénonce la trompeuse apparence des églises chrétiennes déchues et privées de sa grâce, depuis 1843 et 1994, auxquelles il attribue des intentions, des actions et des caractères de « bêtes féroces » : « Ces sauterelles ressemblaient à des chevaux préparés pour le combat ; il y avait sur leurs têtes comme des couronnes semblables à de l'or, et leurs visages étaient comme des visages d'hommes. Elles avaient des cheveux comme des cheveux de femmes, et leurs dents étaient comme des dents de lions. Elles avaient des cuirasses comme des cuirasses de fer, et le bruit de leurs ailes était comme un bruit de chars à plusieurs chevaux qui courent au combat. » Décodée par la Bible, l’expression « cuirasse de fer » signifie : justice romaine. La justice ayant pour symbole la « cuirasse » dans Eph.6:14 : « Tenez donc ferme : ayez à vos reins la vérité pour ceinture ; revêtez la cuirasse de la justice ; » ; et « le fer » étant le symbole de Rome, depuis Dan.2:40 : « Il y aura un quatrième royaume, fort comme du fer ; de même que le fer brise et rompt tout, il brisera et rompra tout, comme le fer qui met tout en pièces. »

23:29-30 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous bâtissez les tombeaux des prophètes et ornez les sépulcres des justes, et que vous dites : Si nous avions vécu du temps de nos pères, nous ne nous serions pas joints à eux pour répandre le sang des prophètes. Vous témoignez ainsi contre vous-mêmes que vous êtes les fils de ceux qui ont tué les prophètes. Comblez donc la mesure de vos pères. » Ce reproche que Jésus adresse aux Juifs ne pouvait pas encore être compris par ceux qui l’écoutaient parler. Car en disant « Comblez donc la mesure de vos pères », Jésus faisait allusion à la mort qu’ils allaient sous peu lui donner, par la main neutre des Romains. En fait, dans ce verset, Jésus image un comportement perpétuel des fausses religions chrétiennes qui, officiellement, se réfèrent à Dieu et ses révélations bibliques, mais dans les faits, la contestent et la contredisent. Le cas de l’Adventisme est encore un modèle du genre, puisqu’officiellement, le nom de Mme Ellen Gould-White, ses ouvrages et les œuvres héritées des pionniers adventistes de 1873 étaient encore honorés, superficiellement, mais officiellement, par l’institution adventiste en 1991, l’année où je lui ai présenté une lumière prophétique divine, attendue, espérée et prophétisée par la messagère du Seigneur. Mais, révélant son triste état spirituel, cette institution a refusé cette lumière et m’a radié de ses membres. Et ainsi, après le rejet juif de la lumière du Christ, elle a donc renouvelé, également, le comportement du Protestantisme universel, condamné et abandonné par Jésus, pour son mépris des annonces adventistes présentées entre 1831 et 1844.

En insistant fortement sur le mot « hypocrite », Jésus a dénoncé la facilité avec laquelle les hommes peuvent se tromper entre eux par le faux semblant et la mystification, parce qu’ils ne peuvent pas comme lui, sonder les pensées de leurs prochains. Et cette mystification a concerné l’église de Rome depuis sa conversion au Christ favorisée par la liberté religieuse donnée par l’empereur Constantin 1er en 313. Dans Dan.8:24-25, l’Esprit révèle au sujet de l’église catholique romaine que « sa puissance » est due à la « réussite de ses ruses ». Les pratiquants catholiques et tous ceux qui reconnaissent son autorité religieuse, croyants ou incroyants, sont tous victimes de la plus grande escroquerie religieuse de l’histoire humaine. Et tous ceux qui font alliance avec elle, en entrant dans son alliance œcuménique, les branches protestantes et en dernier, en 1995, les Adventistes, sont aussi victimes de ses mensonges et vont devoir partager le châtiment que Dieu lui prépare dans son juste jugement révélé à ses élus dans ses prophéties des deux saintes alliances. On peut imaginer combien les interlocuteurs de Jésus devaient se sentir mal à l’aise en réalisant que celui qui leur parlait était aussi capable de lire dans leurs pensées cachées. Car c’est en écrivant sur le sol, leurs péchés individuels, que Jésus put protéger la femme adultère et la soustraire à la lapidation que voulaient lui faire subir les Juifs hypocrites qui l’accusaient. Honteux et confus, les uns après les autres, ils se retirèrent et disparurent. Aujourd’hui, dans toute sa divinité, Jésus sonde encore continuellement toutes les pensées humaines et il les connaît avant même qu’elles se forment dans notre esprit, puisqu’il sait, depuis le début de la création, quels seront ses élus, leurs noms et leurs caractères. Personne, ni ange, ni homme, ne peut échapper à son contrôle, plus efficace et parfait que le plus puissant scanner inventé et mis au point par la technique des êtres humains.

« L’hypocrisie » dénoncée par Jésus ne concerne pas le seul sujet religieux, car elle tient un grand rôle dans le domaine politique et les relations internationales. Et sur ce sujet, le contexte de guerre qui s’installe dans notre monde fait tomber les masques des relations « hypocrites » maintenues pour de sordides questions d’intérêts de tous genres. Le temps de guerre révèle les vrais liens d’amitié et le partage d’opinions diverses. C’est le moment favorable où le voile de « l’hypocrisie » se lève, laissant apparaître les vrais amis et les vrais ennemis. Et je profite du sujet pour le rappeler car c’est, uniquement, dans ce contexte que la chose se constate, mais les pays et les nations n’ont aucun ami, mais uniquement, des concurrents. C’est pourquoi, j’ai souvent critiqué le comportement humaniste des hommes politiques français qui les conduit à aider, financièrement, des peuples qui deviennent, une fois relevés et enrichis, les concurrents de leur nation française, et même parfois, leurs adversaires et ennemis. Et ceci, concerne déjà l’Europe Unie, mais unie pour combien de temps ? Le temps que cette union « hypocrite » commerciale, basée à l’origine sur « le marché commun » de six pays, éclate et se disperse aux quatre vents des cieux. Je ne dirai jamais assez combien cette création de l’union européenne a été une cause de malédiction pour mon pays, la France, en lui enlevant sa véritable indépendance. Et le pire est arrivé avec l’adoption de la monnaie européenne « l’euro » qui n’a rendu « heureux » que les escrocs qui ont réussi à l’imposer. Parce que le petit consommateur français paie aujourd’hui 1 Euro la marchandise qu’il payait avant lui, 1 Franc ; sauf que la valeur de l’Euro est presque 7 fois plus grande que l’ancien Franc français. Ce qui signifie que par ce passage à l’Euro, aujourd’hui, le prix de la vie a augmenté de plus de 600%. Ceux qui ont empoché les profits, les banquiers, les actionnaires et autres profiteurs, ont réussi « le casse du siècle » aux dépends des petites gens. Mais ces choses ont excité la colère du Dieu juste et bon qui dénonce « l’hypocrisie », et le châtiment mérité vient pour punir et détruire les coupables et leurs victimes loin d’être innocentes, parce qu’héritières du péché originel mortel, auquel s’ajoutent les péchés personnels qu’elles commettent, et qu’elles croient pouvoir commettre, en toute impunité.

Les humains pèchent aussi contre Dieu sans qu’ils en aient conscience. Car ils ignorent que Dieu juge, dans leur pensée, la norme des priorités qu’ils donnent à leur jugement des choses et des sujets. Il connaît parfaitement ce que leur esprit recherche et privilégie. Et en Occident, particulièrement, dans leur conception du « mal », ils donnent la priorité au « mal » qui est fait à l’homme, alors que celui qui est fait à Dieu, en personne, mérite la priorité, parce que l’humanité lui doit sa vie et la nature qui l’entoure. Il a créé toute forme de vie et de choses matérielles. Et cette seule raison lui donne en toute justice, la priorité absolue en toutes choses. Quand les hommes ne lui reconnaissent pas cette priorité, Dieu est frustré et il impute cette frustration comme un péché commis envers lui, et dans son jugement, ce péché nécessite la mort des coupables, parce que leur existence est inadaptée et incompatible avec la norme de la vie qu’il veut prolonger pour l’éternité. L’être humain s’est donné des droits sur la vie terrestre qui le trompent, car il n’a aucun droit. Il entre dans la vie créée par Dieu comme un invité qui passe et disparaît. Et son passage sur la terre lui offre simplement et seulement, la possibilité d’apprécier la norme de vie proposée par Dieu et d’être sélectionné par lui pour partager une vie éternelle, ou de traverser la vie pour disparaître définitivement, après le jugement dernier, s’il n’apprécie pas cette offre, l’ignore, ou la conteste.

Dieu ne se contente pas de consulter les pensées humaines, il peut aussi placer en elles, ses décisions pour faire accomplir ses projets, ce qui lui assure une victoire certaine contre tous ses ennemis. Dans Apo.6:2, Jésus est présenté comme étant « parti en vainqueur et pour vaincre ». Sa victoire finale ne fait donc aucun doute, tout n’est qu’une question de temps qui est maintenant fixé à moins de sept années.

Cette inversion des valeurs « bien et mal » est à l’origine du succès de la séduction du régime papal de Rome. Depuis qu’elle ne persécute plus, ayant perdu le soutien monarchique, la religion catholique séduit les masses humaines par sa face humaniste basée sur les bonnes œuvres des sœurs et des frères religieux, les nonnes et les capucins. Car privilégiant l’homme à Dieu, elle plaît à l’homme normal soit, pécheur. Pour être reconnue comme servante de Dieu, son autre face, ecclésiastique et ses rites religieux, suffit à donner le change. Mais cette séduction en double face ne concerne pas qu’elle uniquement, car c’est la caractéristique de toutes les fausses religions monothéistes. Alors que, selon Apo.4:1, Dieu symbolise la pureté parfaite de ses élus célestes éternels révélée en « Christ » par le symbole du « cristal », perfection de la transparence, à l’opposé absolu, dans Apo.6:12 et 12:1, il symbolise le camp des ténèbres religieuses, catholique depuis toujours et protestant depuis 1843, par le symbole de « la lune ». Le mystère porté par sa face arrière qui reste cachée et invisible en fait le symbole parfait pour désigner la double personnalité qui trompe par ses apparences. Ce type de message est constant, partout où Dieu cible la fausse religion, et l’usage du terme « comme » exprime ce principe, dans Apo.9, mais pas seulement, car dans la prophétie, l’usage permanent des symboles justifie, aussi, les comparaisons des symboles et des entités réelles concernées dans chaque message, y compris ceux qui concernent Jésus ou ses élus. De même, dans Apo.3:1 cette double personnalité, imputée aux religions protestantes, est traduite par : « Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort » ; ce qui signifie : apparence : « tu passes pour être vivant » ; réalité : « et tu es mort ». Ces choses étant comprises, il reste à connaître la cause de ce jugement divin : la réponse est dans le décret divin anticipé de Dan.8:14 ; et dans toute la révélation prophétique restée méprisée et ignorée par ces religions protestantes, depuis sa présentation officielle accomplie au printemps 1843, par William Miller, le fermier américain prédicateur.  

Dieu a une réponse toute prête pour ceux qui font « le mal » : il fait retomber « le mal » sur leurs têtes. Et à ce sujet, cette semaine, la France en fait l’expérience, puisqu’ayant, avec l’Europe, interdit la diffusion de chaînes télévisés russes, « RT et Sputnik », à titre de sanctions prises contre la Russie, voici qu’à son tour, le boomerang revient sur elle avec la décision des putschistes du Niger d’interdire, dans leur pays, la diffusion des chaînes françaises, « France 24 et RFI ». Ceci, pour empêcher, dans les deux cas, la propagande nationale. Il est alors étonnant et paradoxal de voir le gouvernement français crier au scandale après ce qu’il a fait lui-même à l’égard de la Russie. Un vieux dicton populaire français dit bien : « Qui crache en l’air, sur son nez ça lui retombe ». C’était très sage de la part des descendants des Gaulois qui redoutaient que le ciel tombe sur leurs têtes. Les Gaulois de 2023 n’ont visiblement plus cette sagesse. Cette fois, les relations amicales, militaires sécuritaires et commerciales entre la France et le Niger sont définitivement rompues : les ambassadeurs du Niger en poste en France, aux USA, et au Nigéria sont limogés. « Le roi du Midi » renforce son opposition envers l’Occident. Un conflit sur le sol africain est maintenant possible, opposant les pays africains favorables aux Occidentaux à ceux qui leur sont hostiles, tels, le Niger, le Mali, le Burkina Faso, et la Guinée, pour le moment. Mais le paradoxe français ne s’arrête pas là, face à la décision des putschistes nigériens de rompre les accords sécuritaires passés avec la France, le gouvernement français prétend que seule la représentation nigérienne légitime peut rompre ou pas ces accords. Qu’en a-t-il été pour les putschistes de Maïdan en Ukraine ? Où était donc leur légitimité pour être reconnus et soutenus dans leur résistance contre l’agression de la Russie. Le président renversé dans ce putsch était précisément russe et élu légitimement. L’injustice occidentale est révélée par ces paradoxes successifs des deux poids deux mesures. Et le Dieu de justice prend plaisir à rendre évidente cette criante injustice occidentale.

A la lumière de ces choses, croire que Dieu ne change vraiment pas devient la clé indispensable pour avancer vers lui et, finalement, hériter du salut offert au nom de Jésus-Christ.

 

 

 

Le temps terrestre : la mort programmée

 

Nous sommes tellement habitués à la norme de notre vie terrestre que nous n’en relevons pas son anormalité. Pourtant, tout le récit de la création témoigné dans Genèse 1 révèle cette anormalité que constitue le principe de la mort. Depuis sa création de son premier vis-à-vis, un ange céleste ou messager céleste comme le signifie ce terme d‘origine grecque : « aggelos ». Ainsi que je l’ai souvent dit, la vie céleste bénéficiait provisoirement de l’immortalité donnée par Dieu qui est lui-même éternel et donc immortel.

A l’opposé, sa création terrestre porte l’image de la mort dès le premier jour en lequel Dieu crée la terre à partir de l’eau. Si l’eau s’avère nécessaire de manière vitale pour l’être humain qu’elle va porter, à l’inverse de l’air qu’il va respirer, elle va le noyer et le tuer, en entrant dans ses poumons. La mort est donc bien suggérée dans l’œuvre divine du premier jour. Et cette mort sera « le salaire du péché », conformément à ce que dit, Rom.6:23. En ce premier jour, Dieu a créé les deux principes opposés : « lumière et ténèbres ». La « lumière » bénéficiait déjà aux anges et la nouveauté que Dieu apporte, pour la terre, c’est son contraire absolu qu’il nomme les « ténèbres » pour désigner le mal soit, « le péché et son salaire, la mort ». A partir de ce jour, les symboles des oppositions contraires vont se multiplier : la mer et la terre ; la vie maritime et la vie terrestre ; le ciel et la terre ; le froid et la chaleur.

Enfin, le quatrième jour, Dieu crée les astres de notre ciel placés dans l’étendue de notre dimension terrestre, et ceci, uniquement, dans le but de « marquer les temps et les époques ». Cette action divine suggère que le « temps » qui va être marqué par le témoignage donné par les astres va être fixé et limité à un certain nombre d’années. Dieu ayant instauré la semaine de sept jours, nous pouvons comprendre que ce « temps » serait limité à sept mille années. Déjà, il nous faut relever combien l’apparition d’un « temps » limité est une nouveauté spécifiquement pour les habitants du ciel, les anges dont la vie est réellement illimitée en ce qui concerne les anges restés fidèles à Dieu. Et là, les propos tenus par des démons que Jésus veut chasser de l’esprit de deux hommes possédés vont nous permettre de comprendre que les mauvais anges attachés à Satan et son destin de rebelle, ont été prévenus par Dieu de leur mort finale ; car ils lui disent, dans Matt.8:29 : « Et voici, ils s'écrièrent : Qu'y a-t-il entre nous et toi, Fils de Dieu ? Es-tu venu ici pour nous tourmenter avant le temps ? » Jésus les interpelle sur la fin du quatrième millénaire, ce qui les surprend, sans doute, parce qu’ils savaient que Dieu leur laissait sept mille ans avant de les détruire, ou tout au moins, six mille ans correspondant au temps de sa sélection d’élus terrestres. Les démons savaient que Dieu les détruirait à terme mais ils ignoraient le projet salvateur basé sur le sacrifice volontaire de Jésus. Notons bien que si les humains font souvent preuve d’incrédulité au sujet de Jésus-Christ et son offre de salut, au contraire d’eux, les mauvais anges le reconnaissent comme étant le « Fils de Dieu ». Ils se montrent envers lui dociles et suppliants car ils ne peuvent pas lui résister. Et quittant les deux hommes, ils entrent dans un troupeau de porcs qu’ils font précipiter dans la mer. Par vengeance, ils espèrent ainsi, au moins, réussir à attirer contre lui la colère et la haine de leur propriétaire et des autres éleveurs du lieu de l’action.

Dans son apparence humaine, se trouvait la toute puissance divine que Jésus n’utilisait que rarement, pour chasser des démons, le plus souvent, ou ressusciter des morts, ou contraindre une tempête à se calmer instantanément. Mais étant venu sur terre, une première fois pour sauver ses élus par sa mort, sa puissance divine restait masquée et invisible pour son entourage humain incrédule.

Le « temps » est, dans la vie des hommes, l’élément déterminant car au cours de leur existence limitée, Dieu attire l’attention de ses élus vers lui. Il agit par des actions publiques qui témoignent de l’incrédulité généralisée de l’humanité entière, quels que soient les pays qui la représentent. Et au sujet de cette incrédulité, je veux rappeler que « croire à Dieu » ne signifie pas « croire en Dieu ». En effet, « croire à » suggère la croyance à l’existence de Dieu. Mais il sait que les preuves de son existence leur sont données et que le sujet n’est plus vraiment la croyance à son existence. Car « croire en Jésus-Christ » signifie croire que Dieu se présente sous la forme de Jésus-Christ et que l’homme pécheur doit ainsi placer toute sa confiance « en lui ». L’article « à » désigne une opinion extérieure qui reste à l’extérieur, tandis que le terme « en » définit la confiance des élus qui entrent « dans » la personne de Jésus-Christ dans lequel ils se reconstruisent, à son image.

Nous trouvons dans Dan.5, le témoignage d’un miracle divin par lequel Dieu fit savoir au roi de Babylone, Beltshatsar, le petit-fils du roi Nébucadnetsar, que son temps de vie prenait fin. Une main mystérieuse a écrit sous son regard sur un mur les mots, « compté, compté, pesé, divisé » soit en chaldéen, « méné, méné, tekel, upharsin ». Daniel comprit alors le message et le révéla au roi. Le temps de son règne a été fixé par Dieu par un début et une fin : « compté, compté ». En ce jour même, il devait mourir selon le juste jugement de Dieu : « pesé ». Sa dynastie royale devait cesser avec sa mort, et le royaume, hérité du roi Nébucadnetsar, allait passer sous la domination des rois Mèdes et Perses : « divisé ». L’expérience de ce roi incrédule illustre à elle seule celle de toute l’humanité incrédule. Ce fils de Nabonide, fils direct du roi Nébucadnetsar avait connu son grand-père et ses expériences religieuses qui l’avaient conduit à se convertir à lui et en lui. Il avait découvert en lui-même la réelle faiblesse de l’homme le plus puissant de la terre de son époque et son changement de comportement était le plus fort témoignage qu’il pouvait rendre à Dieu, en plus de ses déclarations de foi que Dan.4:37 nous transmet : « Maintenant, moi, Nebucadnetsar, je loue, j'exalte et je glorifie le roi des cieux, dont toutes les œuvres sont vraies et les voies justes, et qui peut abaisser ceux qui marchent avec orgueil. » Aujourd’hui, ce témoignage est totalement ignoré, et les orgueilleux marchent avec orgueil et leur fin ne sera pas aussi agréable que celle du roi Nébucadnetsar entré dans la sainteté des justifiés.

 Le temps est l’élément vital de la vie humaine qui dure le temps de l’écoulement d’un sablier dont la contenance en grains de sable est fixée de manière individuelle en s’achevant toujours quand le sablier est vide. Quand le contexte est difficile et douloureux le temps semble long et au contraire dans le contexte de la joie et du bonheur, il semble très court. Cependant ces impressions ressenties masquent la réalité, car comme en témoignent nos montres, réveils et horloges, le temps s’écoulent avec une parfaite régularité.

 Dans Daniel 7 :25, Dieu nous dit par son prophète : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps »  Dieu impute ces actions au régime papal catholique romain. Relève-le, dans ce verset, par son insistance, Dieu attire notre attention sur le mot « temps ». Dans le symbolisme établi dans Nom.14:34 : « De même que vous avez mis quarante jours à explorer le pays, vous porterez la peine de vos iniquités quarante années, une année pour chaque jour ; et vous saurez ce que c'est que d'être privé de ma présence. »  Dieu délivre ici deux messages : le premier révèle un code qu’il va utiliser dans ses données prophétiques selon lequel un jour représente une année réelle mais aussi inversement, une année réelle peut représenter un jour. Le deuxième message est d’un très grand intérêt car nous voyons que ces durées prophétisées couvrent des temps de malédiction au cours desquels le peuple de Dieu est privé de sa présence. Ainsi, dans l’ère chrétienne, les durées des 1260 années de Dan.7:25, et les 2300 années de Dan.8:14 sont des années marquées par la malédiction de Dieu. Et la cause de cette malédiction est révélée dans ce verset de Dan.7:25 : « il espérera changer les temps et la loi ». Nous avons vu l’importance que Dieu donne à son organisation du temps qu’il donne à sa création terrestre. Or, le changement du jour du repos qui favorise le premier jour renverse le projet prophétisé par Dieu. Car la fin de la démonstration universelle que doit présenter la terre doit arriver à la fin du septième millénaire, car le huitième ne sera pas pour les rebelles anéantis au jour du jugement dernier. De plus dans ce verset le terme loi ne désigne pas la seule loi des dix commandements de Dieu, mais toute la loi de Moïse qui concerne les cinq livres écrits sous la dictée de Dieu par Moïse. En 321, l’abandon du sabbat n’est que la conséquence du mépris témoigné pour toute cette loi de Moïse, car dans sa forme instaurée en 538, la religion catholique conserve toute les formes païennes rituelles de sa forme originelle païenne. Le « jour du soleil » chéri par l’empereur Constantin reste l’objet de la consécration de la fausse foi chrétienne dite catholique et du Protestantisme rejeté par Dieu depuis 1843. Les honneurs rendus au premier jour renversent et retirent au septième jour la sanctification que Dieu lui a attribuée dès sa création de notre terre. C’est son honneur et sa gloire d’être créateur de cette terre et des vies qu’elle porte qui sont ainsi enlevés à Dieu. On comprend ainsi pourquoi, il exige que sa gloire lui soit rendue dans son message imputé au premier des trois anges d’Apo.14 :7 à 10. Mais un autre ange les précède au verset 6 : « Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. » Le rôle de ce premier ange confirme le processus suivi par la restauration des vérités religieuses abandonnées depuis l’année 313. Car cet « Evangile éternel » représente le plan du salut conçu par Dieu. Il a été révélé aux hommes par la « loi de Moïse » méprisée par le faux christianisme depuis cette année 313 marquée par la séduction diabolique de la liberté religieuse accordée par l’empereur Constantin 1er. Après lui, dans le verset 7, le premier ange  exprime son message qui dénonce l’outrage imposé au Dieu créateur qui exige de retrouver sa gloire injustement enlevée : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. » C’est la date du printemps 1843 qui marque en même temps, l’exigence du repos du vrai septième jour ; ce qui restitue au Dieu créateur sa gloire perdue, mais aussi, sa condamnation du christianisme qui prolonge son adoration divine dans ce premier jour souillé par l’adoration païenne du dieu solaire.

Par sa sanctification originelle du sabbat, Dieu a révélé aux humains le programme des sept mille années réservées pour sa démonstration terrestre. Et depuis l’expérience de Moïse, nous savons que Dieu punit la déformation de son projet du salut terrestre révélé également, prophétiquement, dans son récit de la création du monde, dans Genèse 1 et 2. Les chrétiens trompés sont loin d’imaginer que leur condamnation va reposer sur leur mépris témoigné envers la « loi de Moïse », et pourtant, c’est bien leur mépris pour l’enseignement de l’ancienne alliance qui va causer leur perte éternelle. La preuve repose sur son exigence du respect de son saint jour établi depuis 1843 et 1844 selon Dan.8:14, exigence qui va constituer l’élément fondamental de sa dernière épreuve de foi, universelle, qui s’achèvera au retour du Christ divin glorifié, au printemps 2030.

La désobéissance d’Adam et Eve porte encore sa conséquence rendue visible par la mort qui réduit le « temps » de la vie humaine terrestre jusqu’à la fin du monde. Mais ce message divin n’a pas été compris comme il eut dû l’être. Détournée de l’enseignement biblique donné par Dieu, l’humanité ne donne aucun sens à cette mort dite naturelle qui la frappe. C’est la grave conséquence de son aveuglement qui la rend digne de subir la « seconde mort » et la prive de la vie éternelle offerte par Jésus-Christ, par son sacrifice expiatoire volontaire.

L’enjeu religieux est si important qu’il exige de la part des élus, en plus d’une légitime obéissance, une consécration à Dieu entière et profonde. C’est l’unique possibilité d’obtenir de sa part l’élection désirée et recherchée. Par son comportement très superficiel, la fausse religion outrage le Dieu créateur jaloux de sa gloire et des honneurs qu’il mérite d’obtenir de toutes ses créatures qui lui doivent toutes, sans exception, la première forme de leur existence.

Pour l’homme moderne le temps c’est de l’argent et cette conception témoigne combien leur route s’est écartée de Dieu, parce que le temps donné par Dieu c’est en premier le droit de vivre et de profiter de cette vie pour apprendre à le connaître pour l’aimer et le servir non seulement pendant le temps terrestre actuel mais pour l’éternité qu’il va donner à ses élus dès le retour en gloire de Jésus-Christ. Le « temps » est donc celui de l’offre d’une grâce divine qui va prendre fin dans l’année 2029 qui vient.

En donnant au mot temps la signification d’une année réelle, dans Dan.4 :16, Dieu le rattache à l’idée d’un cycle qui se reproduit : « Son cœur d'homme lui sera ôté, et un cœur de bête lui sera donné ; et sept temps passeront sur lui. »  Subtilement, ce cycle pris comme mesure est celui du soleil que le diable utilise pour exciter et irriter Dieu, son adversaire et son Juge. Et le choix de présenter dans Dan.7:25, la durée de 1260 années sous la forme « un temps, des temps, et la moitié d’un temps » dénonce le rôle de l’adoration du soleil du régime papal catholique romain qui domine pendant toute cette durée de « temps » prophétisée. Pour la même raison, dans Dan.8:14, il désigne les « 2300 » années réelles citées par l’expression « soir-matin » qui désigne le cycle entier du jour de 24 heures des sept jours de la création ; « temps » où le repos du « septième jour » a été originellement « sanctifié par Dieu » ; le repos du sabbat du « septième jour » est ainsi ciblé et désigné par le décret divin prophétisé. Et en prenant appui sur le « printemps » de l’année – 458, dans Esdras 7:7, cette durée est rattachée successivement, à la mort expiatoire du Christ accomplie au « printemps » de l’an 30, selon Dan.9:27, puis à la restauration du sabbat au « printemps » 1843, date du terme des « 2300 soir-matin » de Dan.8:14, et deux mille années après, à son retour glorieux au « printemps » 2030. Les 6000 années de sélection des élus auront commencé par un « printemps », terme qui signifie « premier temps », le « premier » du début de la création, et elles finiront au début du « dernier » qui sera marqué par l’intervention du Dieu juste et bon, pour ses élus, mais redoutable et destructeur, pour tous ses ennemis.

L’erreur humaine au sujet du temps a été constamment la cause qui a conduit le Dieu créateur à rompre ses alliances successives avec des êtres humains et des églises chrétiennes. En première de la liste, la nation juive a commis la faute de mal interpréter cette prophétie d’Esaïe 61:1-2 où l’Esprit annonce le but des deux interventions terrestres successives du messie Jésus-Christ : « L'esprit du Seigneur, YaHWéH, est sur moi, car YaHWéH m'a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux ; il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté, et aux prisonniers la délivrance ; pour publier une année de grâce de YaHWéH, et un jour de vengeance de notre Dieu ; pour consoler tous les affligés ; pour accorder aux affligés de Sion, pour leur donner un diadème au lieu de la cendre, une huile de joie au lieu du deuil, un vêtement de louange au lieu d'un esprit abattu, afin qu'on les appelle des térébinthes de la justice, une plantation de YaHWéH, pour servir à sa gloire. »

Sur l’ensemble de ces choses annoncées par Dieu, le peuple Juif et son clergé religieux n’ont retenu que l’annonce du jour de vengeance prophétisé dans le verset 2. Ils ont ainsi commis une erreur au sujet du « temps » prophétisé par Dieu. Et c’est pourquoi, lisant ce texte dans la synagogue de Nazareth, Jésus arrêta sa lecture après avoir cité « l’année de grâce » qui précède « le jour de vengeance », dans ce verset 2. Il suscita ainsi une première haine meurtrière chez les Juifs qui rejetaient par ce comportement l’ordre du programme fixé par Dieu. Jésus a confirmé plus tard cette leçon en maudissant un figuier qu’il a maudit à cause de sa stérilité alors qu’il ne se trouvait pas dans la saison de produire des fruits. Il illustra de cette manière, la confusion juive des temps fixés par Dieu qui allait devenir la cause de leur malédiction nationale religieuse. Et ce message très subtil est d’une énorme importance, parce que toutes les alliances rompues, par Dieu, vont l’être à cause d’erreurs faites au sujet du « temps » de l’accomplissement des choses prophétisées par lui seul, portant ainsi, comme le figuier juif, la malédiction de l’assèchement image de la mort spirituelle, et de la « seconde mort » qui anéantit la vie des coupables définitivement au « temps » du jugement dernier.

Passant sur le cas du catholicisme romain qui n’est jamais entré dans la sainte alliance de Dieu depuis son origine et qui n’y entrera jamais, après les Juifs, les Protestants ont commis la même erreur en 1843. Pour Dieu, selon Dan.8:14, le printemps de cette date devait voir débuter un premier test de foi adventiste. Le « temps » était alors bien en cause, puisque cette date 1843 reposait sur des données chiffrées présentées dans les prophéties de la sainte Bible. Pour confirmer cette malédiction, dans la suite du « temps », Dieu a fait entrer ce protestantisme déchu dans l’alliance œcuménique organisée par la religion catholique. Béni pour sa foi la religion adventiste du septième jour est apparue aux USA en 1863, après les deux tests de foi adventistes de 1843 et 1844. Dieu a prophétisé dans Dan.12 :12 sa bénédiction originelle qu’il a fixée sur l’année 1873, « temps » où elle a pris une forme universelle dans l’époque nommée « Philadelphie » prophétisée dans Apo.3:7. Hélas, 150 années après 1844, en 1994, dans l’époque « Laodicée » d’Apo.3:14, l’Adventisme officiel a reproduit la faute protestante de cette date 1844 en rejetant le message prophétique que je lui ai présenté et qui définit et construit la date 1994. Et pour les mêmes causes, il a subi le même châtiment divin, confirmé par son « adhésion » à la Fédération Protestante, rendue officiel dès le printemps 1995.

Dans toutes les révélations divines, le « temps » est omniprésent : annonces des venues du Christ basées sur le temps fixé par Dieu ; derrière les noms des « sept églises » d’Apocalypse 2 et 3, il y a sept « temps » marqués par des événements religieux importants rattachés à des « temps » fixés par Dieu ; et pour finir, la dernière attente du vrai retour du Christ s’achèvera au printemps 2030, au « temps » fixé souverainement par Dieu.

Dans les réponses qu’il donna à ses apôtres qui lui demandèrent « Seigneur, est-ce en ce temps que tu rétabliras le royaume d'Israël ? » Jésus eut cette réponse : « Il leur répondit : Ce n'est pas à vous de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité. » Cette expression « ce n’est pas à vous » a trompé longtemps et encore aujourd’hui les lecteurs de la sainte Bible, car Jésus ne donnait pas à ce « vous » le sens global de l’humanité, mais seulement celui qui concernait à cette époque ses contemporains apôtres et disciples séparés du temps de sa venue glorieuse finale par un peu plus de deux milles années. Ses propos n’étaient justifiés qu’en raison de ce contexte encore très éloigné de son retour glorieux et deux mille ans plus tard, le contexte nous est favorable, et cette fois, l’intérêt donné à la date de son retour triomphal est pour nous devenu une question d’authenticité de foi. Et en spectateurs invisibles, les anges célestes bons et mauvais assistent au découpage de l’humanité en deux camps : les élus dont la foi sincère et logique est bénie par Dieu et comblée par sa lumière, et les déchus, dont les comportements sont paradoxaux, ténébreux et odieux jusqu’à l’abominable. Aussi, ces paroles de Mal.3:18 sont-elles déjà visibles pour eux : « Et vous verrez de nouveau la différence entre le juste et le méchant, entre celui qui sert Dieu et celui qui ne le sert pas. »  Les autres séparations, ethniques, raciales, nationales, multiples, n’ont pour rôle que de dresser les méchants les uns contre les autres, afin qu’ils se détruisent mutuellement ; ce qui a déjà commencé le 24 Février 2022 sur la terre de l’Ukraine et s’achèvera, selon Apo.14:17 à 20, par « la vendange » qui détruira les enseignants religieux infidèles après la venue du Christ glorifié, le Vainqueur des nations rebelles.

Cette analyse du mot « temps » me conduit à réaliser que ce terme n’a de sens que pour les êtres terrestres et Dieu qui les a créés. Car avant la création de la terre, dans la dimension céleste où vivent les saints anges, ce mot temps n’avait et n’a encore aucun sens, parce qu’ils vivent, eux, dans une réelle éternité, baignée constamment de lumière. Les mots « nuit, ténèbres » n’ont pris existence et sens que dans le contexte de notre vie terrestre, refuge et royaume du péché. Il en est de même du mot jour et de toutes nos unités de calcul du temps : la seconde, la minute, l’heure, le jour, la semaine, le mois, l’année, la décennie, le centenaire et le millénaire. Celui qui vit éternellement dans le royaume de Dieu ne compte pas le temps qui se prolonge indéfiniment devant lui.

Dans la Genèse, Dieu place sa création sous l’unité du jour formé de la succession nuit, jour. Avant le péché, les longueurs de la nuit et du jour sont égales. Nuits et jours se succèdent en cycles parfaitement réguliers. La rotation de la terre sur son axe, à ce moment, parfaitement vertical, porte un message spirituel utile à relever : successivement, sa surface est exposée à la lumière pendant le jour, et cette même surface est plongée ensuite dans les ténèbres de la nuit. Or sachant que la lumière c’est Dieu lui-même, cette rotation terrestre illustre l’incertitude du résultat du combat qui oppose le camp lumière au camp ténèbres. Car cette rotation terrestre va se prolonger pendant 6000 ans, puis elle sera rendue déserte, uniquement habitée par Satan retenu prisonnier sur son sol, pendant « mille ans ». La victoire du camp du bien ne sera complète et effective qu’au retour glorieux de notre Sauveur Jésus-Christ. Bien qu’entrés dans l’éternité à ce moment-là, les élus rachetés continueront de donner du sens au calcul du temps puisque le temps du jugement céleste, celui qui juge les méchants rebelles, doit durer « mille ans » qui vont donner son sens au saint sabbat du septième jour que Dieu a sanctifié pour le prophétiser ce « septième millénaire ». Après le péché, le cycle des saisons est enclenché et mis en route, mais cette fois, l’inclinaison de 23° de l’axe de rotation de la terre fait disparaître la régularité de la longueur de la nuit et du jour. La terre créée par Dieu à cette fin, devient le champ de bataille sur lequel Dieu et le diable vont s’affronter et se combattre pour obtenir l’approbation et le soutien des êtres humains. C’est le seul enjeu de ce conflit perpétuel qui s’engage à ce moment de la vie terrestre. L’irrégularité des jours et des nuits, l’un et l’autre dominant l’autre, selon la saison, illustre la domination d’un camp sur l’autre de manière cyclique basé sur le tour du soleil, ce qui marque et définit notre année de 365 jours. L’année solaire constitue l’unité du temps la plus importante en raison même de son aspect symbolique. La soleil n’est pas Dieu mais le symbole du vrai Dieu créateur qui se place au milieu et revendique le droit d’être au centre de l’attention de ses créatures humaines. Et la succession des nuits et des jours illustre l’incertitude de l’homme attiré, tantôt par les séductions ténébreuses du diable, tantôt par Dieu et sa lumière.

En usage prophétique, le jour a la valeur d’un an réel, et l’année prophétique a pour valeur 360 jours. On relève l’inexactitude de cette valeur de 360 jours mais c’est sans importance car sous l’appellation « un temps », Dieu donne à son année prophétique la réelle valeur de 365 jours. Ainsi les 1260 années prophétisées dans Apo.12:6, et 14, sous la forme « un temps, des temps, et la moitié d’un temps » représente bien 1260 années de 365 jours. Dieu joue subtilement de ces comparaisons basées sur ces codes symboliques et nous pouvons en retirer de précieux enseignements. Dans Esaïe 61:2, Dieu annonce successivement « une année de grâce » puis, « un jour de vengeance ». Le sens de cette « année » citée est visiblement prophétique et ce terme « année » peut donc être remplacé par le mot « temps » du cycle solaire qui la désigne également. C’est ainsi que nous obtenons l’annonce du précieux « temps de grâce » qui va en réalité se prolonger, depuis la mort de Jésus-Christ, jusqu’à l’heure de son retour glorieux. De même, « le jour de vengeance » a pour valeur symbolique « l’année » réelle ou spirituelle et ce verset d’Esaïe 63:4 confirme cet enseignement en citant les deux termes « jour, année » : « Car un jour de vengeance était dans mon cœur, et l'année de mes rachetés est venue. » Chose, au demeurant, très logique, ce verset situe au même moment « la vengeance » de Dieu contre les rebelles et l’entrée au ciel de ses « rachetés ».

Je réalise, aujourd’hui, combien tous nos calculs humains du « temps » sont approximatifs et terriblement imprécis. Et il est temps pour moi de regarder le projet de Dieu, plus sous la précision qu’il donne tout naturellement par sa perfection aux choses qu’il organise, plutôt qu’aux chiffres additionnés qui nous trompent énormément. Ainsi, le retour de Jésus programmé pour le printemps 2030 fait apparaître 30 années de trop, dans notre calendrier romain usuel. Et je suis convaincu qu’à cause de sa précision, Dieu a organisé l’histoire terrestre sur des découpages extrêmement précis : 2000 ans, depuis Adam jusqu’au sacrifice d’Isaac présenté par son père Abraham, puis 2000 ans jusqu’à la mort du Christ, et 2000 ans encore, jusqu’à son retour. Ce programme donne à la mort de Jésus-Christ le rôle fondateur suprême que sa démonstration d’amour mérite. Mais je dois l’avouer, les chiffres révélés dans la Bible situent le sacrifice d’Isaac en 2083 : né en 1948, Abram avait 100 ans en 2048, et 35 ans plus tard, comme l’âge de Jésus, répondant à la demande de Dieu, il accepta d’offrir son fils Isaac en sacrifice au pays de Morija et au pied de la montagne que Dieu lui indiqua. Un détail permet de justifier cet âge adulte de 35 ans d’Isaac : « Abraham chargea le bois sur son fils » qu’il nomme « le jeune homme » et qui n’est donc plus « l’enfant ». Cette action prophétise, indéniablement, l’offre de Dieu réalisée en Jésus-Christ qui viendra hélas non 2000 ans, mais 1917 années plus tard, et je le précise, dans le même lieu soit, au pied du mont Golgotha ; là-même où Abraham avait bâti son autel. Comment justifier ces 83 années de trop obtenues par l’addition des âges des patriarches de la descendance de Seth, le troisième fils d’Adam et Eve, jusqu’à Sem, le premier fils de Noé, puis de Sem jusqu’à Abram ? La seule explication est que Dieu n’a pas voulu donner à ces 2000 années la précision que je voudrais leur donner, car en l’an 2000 depuis Adam, Abram n’était âgé que de 52 ans, or Dieu l’appela quand il eut 75 ans soit, 25 ans avant la naissance d’Isaac. Autant dire que la volonté de Dieu s’impose et qu’il a voulu que les choses soient ainsi. Nous obtiendrons les explications de Jésus-Christ, dans le royaume des cieux où il prépare la place pour ses rachetés élus, curieux et admiratifs, étant animés de la soif de comprendre tous ses mystères restés inexpliqués. En fait, c’est seulement le début des deuxièmes 2000 ans qui est marqué par la mort de Noé, plus précisément, en 2005.

Ce qui apparaît, clairement, c’est que les 6000 ans du temps de la sélection d’élus terrestres sont découpés en trois phases successives de 2000 ans chacune, qui voient progresser et s’intensifier la lumière divine révélée. Les premiers 2000 ans sont véritablement « ténébreux » et s’achèvent par « le déluge d’eaux » et la rébellion de « Babel ». Ensuite « la lumière » se lève avec Abraham et sa descendance que Dieu choisie pour établir sa première « sainte alliance ». Pour autant, trop de symbolisme masque encore la vraie « lumière » qui ne viendra en puissance et en intensité que par la « nouvelle alliance » que Jésus-Christ est venu établir, sur son sang versé, volontairement, par sa crucifixion romaine, au début des derniers 2000 ans. Le voile du symbolisme disparaît alors, donnant sens aux symboles et aux rites religieux qui l’avaient prophétisé au cours de « l’ancienne alliance » et depuis le péché d’Adam et Eve. Au « temps » des apôtres, la lumière divine est au zénith, la vérité est parfaitement révélée et accomplie. Mais dès 313, des « ténèbres » romaines aveuglent puissamment l’humanité occidentale. La vérité apostolique est alors déformée, oubliée, et ignorée. Après la Réforme inachevée et tardive du 16ème siècle, la lumière divine ne revient vers les hommes fidèles qu’à partir de 1843. Et la dernière lumière, comparable à celle des apôtres, n’est donnée par Dieu qu’après 1994, date de la fin de sa troisième épreuve de foi adventiste. Ce découpage du « temps » est lié à la « mort » d’innombrables vies humaines condamnées par Dieu, livrées aux massacres, aux épidémies, séismes et catastrophes, et toutes autres causes de morts dites accidentelles. Ceci parce qu’elles n’ont pas placé le Dieu créateur au centre de leur vie et de leur attention. Elles ont ignoré l’intensité de son amour, ou l’ont méprisé, ou encore, ont pensé pouvoir en profiter pour faire leur volonté personnelle. Et ce comportement est trouvé chez ceux qui fondent leur religion chrétienne en ne lisant et s’intéressant qu’aux écrits de la nouvelle alliance, ou en confiant le salut de leur âme au prêtre ou au pasteur. La lecture et l’intérêt pour les enseignements de l’ancienne alliance leur auraient permis de découvrir l’autre face, nommée « justice », de ce Dieu bon et charitable que Jésus est venu révéler et présenter à ses élus, comme modèle d’obéissance et d’abnégation à imiter et reproduire ; ceci afin de pouvoir vivre dans la conformité de la vie céleste éternelle qu’il va leur donner, en récompense de la qualité de leur foi, leur fidélité, leur obéissance et leur confiance.

Je ne peux évoquer ce sujet de la question du « temps » sans rappeler le conseil précieux de ce vieux dicton français, qui dit : « le temps perdu ne se rattrape jamais ». Et ce n’est pas Dieu qui dira le contraire, parce qu’il nous a donné, en leçon, l’application de ce dicton. Il nous l’a présenté, par la bouche de Jésus-Christ, sous l’aspect de sa « parabole des dix vierges », écrite dans Matt.25:1 à 13, et qui illustre, parfaitement, les quatre épreuves de foi adventistes successivement accomplies ou pas encore, en 1843, 1844, 1994 et 2030. La leçon donnée porte sur la bonne ou la mauvaise utilisation du « temps » que Dieu donne à toutes ses créatures vivantes. Les « vierges sages » mettent à profit le « temps » qui leur est donné pour se préparer pour la norme de la vie céleste ; et du « temps », il en faut beaucoup, pour obtenir l’instruction et les changements de caractère nécessaires, imposés et exigés par Dieu pour la véritable conversion religieuse chrétienne. Dans la parabole, cette préparation est illustrée par l’achat de « l’huile » qui symbolise l’Esprit divin du Christ, lequel doit entrer dans les âmes humaines symbolisées par les « vases » jusqu’à les remplir. Dans Apo.3:20, Jésus traduit cette action, en disant : « Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. »

A l’opposé, les « vierges folles » repoussent au dernier moment le projet de leur préparation et quand Jésus revient en gloire, elles sont surprises et confuses, car elles ne sont pas prêtes pour partir au ciel avec lui. Mais de qui parle-t-on ? De « cinq vierges  sages » qui symbolisent, par le nombre 5, l’humain mâle ou femelle spirituellement « sage », et de « cinq vierges folles », qui désignent l’être humain mâle ou femelle spirituellement « fou ». Jésus ne cible pas ici, l’agnostique athée, incroyant et libertaire, voire anarchiste. Il cible, uniquement, des personnes engagées dans la religion chrétienne, puisque « sages ou folles », toutes ces « vierges » attendent le retour de « l’époux » soit, Jésus-Christ. Alors que rien ne permettait de le comprendre en 1843, il apparaît clairement aujourd’hui, que cette parabole prophétise les expériences des attentes adventistes vécues par les Adventistes dont les élus instaurèrent en 1863 l’église adventiste du septième jour, strictement américaine à cette date, puis universellement bénie, prophétiquement par Dieu, en 1873, en parallèle, dans Dan.12:12 et Apo.3:7.

Au printemps 1843, dans la première expérience adventiste, la religion ciblée et remise en question par Dieu était le Protestantisme, sous toutes ses dénominations déjà multiples à cette époque. C’était encore lui qui fut concerné par la deuxième attente du retour du Christ pour l’automne 1844. Cependant, bien que la religion catholique ait été collectivement condamnée, rejetée et ignorée par Dieu, pour sa fausseté et ses mensonges dénoncés comme des « blasphèmes » dans Apo.13:1-5-6, de manière individuelle, les adeptes du catholicisme pouvaient eux-aussi répondre à l’appel lancé par Dieu et son serviteur humain de l’époque, William Miller. Ils ont été, en effet, nombreux à rejoindre l’adventisme du septième jour ; plus nombreux que les Protestants. Je referme cette parenthèse.

Ensuite, la troisième attente a concerné pour 1994, uniquement, l’adventisme du septième jour. Et une fois de plus, « le temps » a fait son œuvre ; la « bouillante » et victorieuse « Philadelphie » de 1873 a laissé place à la « tiède », hideuse, traître et ingrate « Laodicée » de 1994, que Jésus a dû « vomir » après cette date soit, au début de l’année 1995 en la faisant entrer dans l’alliance protestante. Dans la parabole des « dix vierges », dans Matt.25:1 à 13, l’action de ce vomissement correspond au verdict prononcé par « l’époux » attendu, en ces termes froids et tranchants : « je ne vous connais pas » : « Plus tard, les autres vierges vinrent, et dirent : Seigneur, Seigneur, ouvre-nous. Mais il répondit : Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas. ». Cette formule de rejet confirme ses déclarations de Mat.7:22-23 où il condamne déjà les comportements trompeurs du faux protestantisme : « Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé par ton nom ? N'avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? Et n'avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité. » Relève néanmoins la différence du propos : Jésus dit à l’adventisme qu’il a reconnu avant sa condamnation : « je ne vous connais pas » ou plus. Mais au Protestantisme calviniste qu’il n’a jamais reconnu, il déclare : « je ne vous ai jamais connu ». Ce qui a permis aux « sages » d’entrer dans le ciel, c’est ce que Jésus appelle « veiller » et qui consiste, précisément, à utiliser, « sagement », « le temps » qui nous est donné pour nous enrichir spirituellement, ceci, en recevant en son nom toutes les lumières que Dieu nous donne dans le but de nous changer et nous préparer pour la norme de la vie céleste. Jésus referme sa parabole, en disant : «Veillez donc, puisque vous ne savez ni le jour, ni l'heure. » Mais, à quoi sert-il de « veiller », sinon d’attendre, activement, dans l’étude biblique persévérante, que Dieu donne à ses élus la connaissance de ce « jour » et de cette « heure »« l’époux » doit revenir ? Et c’est bien le sens des propos de Jésus-Christ qui nous dit : « veillez afin de recevoir de moi la connaissance du jour et de l’heure ». Dans cette condition, que signifie « veiller » ? Etudier la sainte Bible et dans notre « temps de la fin », tout particulièrement, les prophéties dans lesquelles, des durées chiffrées constituent des poteaux indicateurs signalant des heures, des moments, des dates où les jugements divins portent des conséquences définitives, irrattrapables, comme « le temps perdu » qui « ne se rattrape jamais ». Et cette explication a été concrètement confirmée par Dieu, puisqu’après 1994, en 2018, l’Esprit de Jésus-Christ m’a fait connaître la vraie date de son retour final tant attendu : le printemps 2030 où le ciel s’ouvrira pour m’accueillir avec mes frères et mes sœurs, tous amoureux de sa vérité, de sa subtilité, de sa divine sapience ; toutes choses qui m’émerveillent et me comblent de bonheur, déjà sur cette terre où règne et régnera jusqu’au retour de Jésus, de plus en plus, la méchanceté et « la mort ».

Les durées chiffrées des prophéties n’avaient pas pour but de construire la vraie date du retour de Jésus-Christ, mais elles ont eu, et ont encore, le rôle suprêmement important de nous permettre d’entrer dans la connaissance du jugement divin perpétuel et de répondre ainsi à ses exigences, dans tous les temps concernés et ciblés par les dates construites. Depuis Genèse 1, l’enseignement divin se résume par un passage progressif des « ténèbres » vers la pleine « lumière » ; ce qui implique une succession d’étapes dans lesquelles Dieu va condamner les êtres humains qui rejettent la « lumière » nouvelle qu’il leur présente. A l’issue de cette succession d’épreuves, « le temps » du vrai retour du divin Christ glorifié va se présenter au printemps 2030. Mais la compréhension de cette date ne repose pas sur des calculs compliqués mais, uniquement et simplement, sur une évidence révélée par la sainte Bible, qui est le temps de 6000 ans proposé pour bénéficier de la grâce offerte en Jésus-Christ. Et dans Genèse 5 et 11, les âges des successions généalogiques citées n’ont en vérité que pour but de nous convaincre que le temps de la sélection divine de ses élus humains est bien de 6000 ans, seulement, contrairement à ce que les esprits scientifiques modernes prétendent.

Au terme des 6000 ans prophétisé vient « le temps », pour les pécheurs rebelles de subir collectivement la première « mort ». Et lorsque « le temps » des épreuves de foi s’achève, le « temps » du jugement commence. Et Dieu n’en a pas fini avec ces rebelles, car les élus vont étudier leur cas individuellement et les juger pendant « mille ans » dans le royaume céleste de Dieu, et le verdict pour chacun étant effectué, ces rebelles morts seront ressuscités pour le jugement dernier, à la fin du septième millénaire. Confrontés alors à la gloire du Dieu vivant, ils devront reconnaître sa juste sentence et toute leur culpabilité individuelle. Ils subiront alors sur la terre transformée en « étang de feu », « la seconde mort » qui consumera leur corps dans un temps proportionnel à leur cas individuel.

La « mort programmée par le temps » terrestre donné à l’espèce humaine disparaîtra alors définitivement. Et sur la terre régénérée, renouvelée et glorifié, les élus rachetés, réunis auprès de Jésus-Christ, connaîtront la paix parfaite et le bonheur éternel qu’il est venu obtenir pour eux, sur la terre, par « sa victoire sur la mort et le péché ».  L’histoire terrestre aura apporté la preuve que « le temps » donne existence à d’énormes changements qui peuvent être positifs mais aussi très négatifs. Et le réveil de la vie moderne en est l’exemple type. La science technique apporte le confort, mais elle rend l’humain esclave de l’argent qui permet de l’obtenir. Elle lui offre une hygiène de vie améliorée, mais elle détruit cette vie par l’action de ses agents chimiques. Elle prolonge et allonge la durée de la vie, mais de manière non naturelle, par l’usage des médicaments chimiques qui ne sont rien d’autre que des drogues légitimées par les Etats nationaux. Mais au bout du chemin, même repoussée et retardée, avec « le temps, la mort programmée » finit par s’imposer à tous et à toutes.

Il est impossible de déterminer des dates exactes en se basant sur un calendrier faux. Et à ce titre, notre calendrier usuel est tout ce qu’il y a de plus faux et de plus trompeur au sujet du « temps » de vie qui nous est donné collectivement. Ainsi, l’an 6000 du « temps » réel divin correspond à l’an 2030 de notre faux calendrier. Sachant par appui sur un calendrier hébreu que Jésus est mort en notre année 30, ces 30 années de trop ont leur explication. En fait dans notre faux calendrier, l’an 1 est attribué à la naissance de Jésus-Christ, mais Jésus est né réellement 6 ans avant cet an 1 ; ce qui lui donne 35 ans au jour de sa mort. La Bible donne deux informations approximatives au sujet de l’âge de Jésus : « environ trente ans » au début de son ministère, selon Luc 3:23, en vérité, 31 ans et six mois. Et les pharisiens attribuent à Jésus, « moins de cinquante ans » dans Jean 8:57. A ce sujet, la Bible ne présente pas de déclaration précise affirmative car les apôtres n’osèrent pas demander son âge à Jésus qu’ils respectaient et craignaient, tout en l’aimant.

Pendant longtemps, l’idée que Jésus était né en l’an 4000 a dominé dans tous les esprits humains ; ce qui a été la cause des faux calculs et des erreurs sur la définition du « temps ». De plus, il n’existe pas de possibilité de dater de manière continue globale « le temps », ni en ordre montant, ni en ordre descendant. Là encore, « le temps » défini reste imprécis. Cependant, les 6000 années restent évidentes et c’est sur cette évidence, confirmée par la succession de nos semaines de 7 jours soit, 6 jours + 1 jour, que Jésus a fini par révéler le vrai « temps » de son retour, qui se passe ainsi des faux travaux humains préparés par les agents romains du diable, ce faussaire spécialiste patenté suprême. C’est finalement le fait de situer la mort de Jésus après 4000 ans, suivis des derniers 2000 ans, qui établit le véritable temps de l’humanité. Et pour la gloire de Dieu, la vérité dissipe les ténèbres et elle triomphe sur elles, et impose sa lumière et le « temps » réel accordé par Dieu aux êtres humains, pour choisir leur destin éternel.

Il n’existe pas de preuve qui confirme clairement les 6000 années de sélection des élus du projet de Dieu. La foi reste indispensable pour comprendre et accepter cette vérité suggérée par l’Esprit subtil du Dieu vivant. Or la foi véritable nécessite une grande et patiente persévérance et c’est par le regroupement des perles divines cachées que le résultat de la foi finale est obtenu. Voici donc comment cette conviction se construit et finit par s’imposer en certitude.

Tout lecteur de la Bible accepte le fait que le récit de l’ancienne alliance couvre 4000 années jusqu’au ministère terrestre de notre Seigneur et Maître Jésus-Christ. Une première erreur humaine consiste à placer la naissance de l’enfant Jésus sur cette année 4000 ; et ce fut précisément le choix qui a été fait par le plus grand nombre, et j’étais personnellement de ce nombre jusqu’en 2018. En entrant dans la phase chrétienne, apparemment, le récit biblique prend fin et ne donnera plus aucun message au sujet du « temps ». Et c’est là, que la foi dans la parole prophétique intervient et fait toute la différence entre l’appelé béni et l’appelé maudit. En apparence, depuis l’an 4000, le « temps » se prolonge et notre faux calendrier usuel romain nous situe en 2023, mais rien n’empêche les êtres humains de croire que la terre va poursuivre encore son histoire durant des siècles et même des millénaires. Ici, se séparent la pensée de l’incrédule et celle du croyant. En étudiant les prophéties, le croyant béni découvre dans de vieilles prophéties comment Dieu utilise le code « un jour pour une année » qu’il ordonne et atteste dans Nom.14:34 : « De même que vous avez mis quarante jours à explorer le pays, vous porterez la peine de vos iniquités quarante années, une année pour chaque jour ; et vous saurez ce que c'est que d'être privé de ma présence. » Ce code est de nouveau utilisé et confirmé dans Ezé.4:5-6 : « Je te compterai un nombre de jours égal à celui des années de leur iniquité, trois cent quatre-vingt-dix jours ; tu porteras ainsi l'iniquité de la maison d'Israël. Quand tu auras achevé ces jours, couche-toi sur le côté droit, et tu porteras l'iniquité de la maison de Juda pendant quarante jours ; je t'impose un jour pour chaque année. » Ezéchiel est un prophète contemporain de Daniel et le code que Dieu lui présente fonctionne de manière inverse : « une année pour chaque jour » et « un jour pour chaque année ». Le principe s’inverse selon que le fait puni réel est le « jour ou l’année ». En prophétie, Dieu va donc citer sous l’aspect « d’un jour, une année » réelle du vécu. Par ce moyen, il peut donc continuer à donner à ses rachetés bénis des informations concernant le « temps » dont ils disposent. C’est ainsi que débutant en – 458, les « 2300 », « soir-matin » de Dan.8:14, expression du jour de 24 heures dans Genèse 1, aboutissent en 1843, confirmant la programmation de deux millénaires terrestres après l’instauration de la nouvelle alliance. Cette durée était la plus longue de toutes celles que les prophéties de la Bible présentent. Mais, de manière inattendue, dans mon ministère pour la vérité divine, cette date s’est vue augmentée de 150 années prophétisées sous l’aspect de « cinq mois » dans Apo.9:5-10 : soit, 5 fois 30 jours. La date la plus avancée a donc été 1994, et cette fois, le sixième millénaire semblait entièrement couvert, le retard de 6 années de la naissance du Christ faisant de cette date 1994, l’année 2000. Cette fois, les chiffres prophétiques avaient tous reçu leur véritable interprétation et leurs accomplissements étaient derrière nous quand les années 2000 à 2023 se sont écoulées. De manière évidente, la prophétie biblique écrite ne donnerait plus de nouvelles dates.

C’est alors qu’en 2018, prélude à des flots de lumière donnés par Jésus-Christ, le bon positionnement de la mort de Jésus, en fin des 4000 années écoulées depuis Adam, a permis de comprendre la cause du dépassement de l’an 2000. Et en prolongement de cet autre regard, la date de la mort de Jésus, en l’an 30, a permis d’établir le vrai retour du Christ attendu pour le printemps 2030. Mais ce qui nous semble si clair et si logique est la conséquence d’une longue étude, et nos proches, qui ne font pas cette démarche, ne voient pas les choses comme nous. Nos arguments, si efficaces pour nous, n’ont sur nos proches et nos amis aucun effet, s’ils ne sont pas éclairés au titre de « fils de Dieu ». Et cette différence repose sur la foi véritable témoignée par les élus, que Dieu bénit, et l’incrédulité des méprisants qu’il méprise lui-même, dédaigne, et laisse suivre leur chemin vers la perdition.

Les codes de Nombres 14:34 et Ezéchiel 4:5-6, nous indiquent que les durées prophétisées couvrent des « temps » marqués par « l’iniquité ». Dans ces deux cas, « l’iniquité » punie était juive et concernait dans l’ancienne alliance, les dix tribus d’Israël iniques depuis 390 années, et Juda, inique depuis 40 années. Au contraire, dans les prophéties de Daniel, « l’iniquité » est chrétienne, catholique romaine, premièrement, puis, successivement, protestante et, depuis 1994, adventiste.

 

 

Profondeur et superficialité

 

Dans ses reproches adressés aux Pharisiens juifs de son époque, Jésus a souligné leur comportement hypocrite, dénonçant la souillure de leur âme qu’ils cachaient sous une apparence religieuse de façade. Jésus lisait dans leur esprit la véritable nature de leurs sentiments qu’il est si facile de cacher aux être humains normaux. Derrière un sourire amical peut se trouver une haine meurtrière, sans que la personne ciblée ne sen rende compte. Parfois même, pour accomplir ses desseins, le diable utilise des créatures insoupçonnables tant leur apparente gentillesse les place au-dessus de tout soupçon. Cependant, non protégées par Dieu, des multitudes d’êtres humains d’apparence normale sont d’authentiques habitations de démons qui peuvent se comporter de multiples manières, jusque dans l’opposé absolu.

Dans sa sainte Bible, Dieu donne à l’oreille une grande importance. Et par ce choix, il se distingue des humains qui donnent eux de l’importance à leur langue, leurs discours francs ou trompeurs. L’homme séduit son prochain par son discours et son apparence. Certains séducteurs éprouvent la nécessité de séduire pour se sentir vivants et l’effet produit est pour eux comme une drogue dont ils ont besoin pour apprécier la vie. Les champs de possibilité que la pensée humaine ou celle d’un ange peuvent prendre sont infinis, illimités, parce que Dieu a donné à toutes ses créatures une liberté complète. Et c’est donc cette liberté qui donne naissance et forme concrète à toutes les options, directions et orientations des vies.

Pour Dieu, le premier devoir de l’homme est de savoir écouter, et non de parler. Ceci, parce qu’en dépit des apparences trompeuses qui pourraient le faire oublier, c’est pour son bonheur personnel que Dieu a donné vie à ses créatures libres. Mais cette liberté n’est donnée à toutes ses créatures que pour un temps limité ; le temps pour elles de choisir de l’écouter, ou d’ignorer son existence, ce qui revient à vivre et à mourir de la même manière que les animaux de sa création terrestre. Comment certains êtres pourraient-ils écouter les propos adressés par un Dieu invisible, alors qu’ils ne savent pas écouter les paroles que les êtres humains leur adressent ? Dans les couples, dans les familles, des personnes se côtoient, vivent sous un même toit, partagent des repas, mais ne partagent pas leurs pensées secrètes et ne s’intéressent qu’à leur choix d’intérêt personnel et strictement individuel. Quand leur prochain leur parle, leurs oreilles entendent mais n’écoutent pas. C’est ainsi que les humains se donnent l’impression de vivre en société, mais que vaut une société constituée de citadelles fortifiées dans laquelle règne le « moi » en seigneur féodal.

Ce préambule vient de mettre en évidence des comportements opposés que Jésus a dénoncé et que je traduis par les termes « profondeur » et « superficialité », car ce sont là deux natures qui font toute la différence entre l’élu du Christ et le déchu qu’il condamne et rejette. L’être humain dont l’esprit est profond sait écouter et il écoutera de mieux en mieux, parce que cette nature plaît au Dieu qui « donne à celui qui a ». En fait, le salut des élus repose en premier sur la forme que prend leur liberté, ce qui découle de leur nature ; une nature particulièrement adaptée pour savoir écouter Dieu parler et prendre intérêt à ce qu’il dit et enseigne. Je rappelle qu’avant de se rebeller contre Dieu, l’ange que Dieu nomma « Etoile du matin » et non « Astre brillant » dans Esaïe 14:12, fut aussi, selon Ezé.28:12, créé « parfait en beauté » et en toute chose. Cette « Etoile du matin » qui désigne dans notre création « le soleil » a fini par représenter le diable lui-même. Il est ainsi devenu le « soleil » des païens terrestres qui l’adorent inconsciemment. Celui que Jésus a appelé « le prince de ce monde » a fini par prendre sur la terre, la place du vrai Dieu, symbolisé par le « soleil » dans sa création de notre système solaire. Esaïe 14 :13 confirme cette ambition det ce projet du diable : « Tu disais en ton cœur : Je monterai au ciel, J'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu ; je m'assiérai sur la montagne de l'assemblée, à l'extrémité du septentrion ; » En conséquence de quoi, dans leur culte du « jour du soleil », notre dimanche romain, les faux chrétiens adorent le diable lui-même, en personne, car il est leur « Etoile du matin ». Il est à relever que rien ne peut justifier la rébellion du diable créé parfait ; sinon, l’usage de sa liberté. En désirant agrandir la liberté que Dieu lui avait donnée, il est devenu lui-même, l’esclave d’un désir de pouvoir et de puissance jamais rassasié. Et à terme, Dieu va devoir le détruire et lui enlever cette vie qu’il croyait pouvoir rendre plus agréable que celle que Dieu lui avait offerte, en le créant.

Il est vrai que la vie collective réduit la liberté individuelle et cette vérité est reconnue par les êtres humains républicains qui ont donné existence à cette règle : « la liberté de chacun s’arrête là où celle de l’autre commence ». C’est bien vu et bien vrai. Mais cet autre que Jésus nomme notre prochain n’est pas prioritaire, parce qu’avant lui, Dieu s’impose comme une priorité absolue. Cependant, victime de son invisibilité, il est ignoré et sa priorité est donnée à la créature humaine qui le remplace. A l’opposé des hommes superficiels, l’homme agréable à Dieu se met à son écoute et pour désigner cette écoute profonde, Dieu emploie cette formule citée dans Apo.3, sept fois, à la fin des messages adressés à ses serviteurs dans les sept époques symbolisées par les sept noms des « églises »: « Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises ».

Dieu sait très bien que l’homme qu’il a créé est doté de deux oreilles, et ce qu’il souligne par cette expression consiste à utiliser les oreilles pour écouter, dans le silence de notre pensée, les effets de la lecture de sa sainte Bible. Car c’est uniquement par elle que Dieu nous parle et nous interpelle. Depuis qu’elle existe, c’est vers elle que son Esprit divin nous conduit pour parler à notre esprit, et sous cet aspect d’écriture, sa parole devient lisible et concrète, chacun peut l’analyser, la comprendre et mettre en pratique son enseignement. C’est du moins ce qu’il convient de faire, quand l’esprit profond et sincère est celui d’un vrai « fils de Dieu », selon ce que Dieu dit dans Apo.1:3 : « Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche. » Cette béatitude décernée par l’Esprit divin de Jésus-Christ, désigne, dans ce verset, l’aptitude à décoder soit, lire, la prophétie codée de son « Apocalypse » ; sa très sainte révélation ; ce qui constitue une étape finale du développement de ses rachetés de la terre. Mais cette même bénédiction est applicable aux premières études de la sainte Bible de l’appelé qui aspire à l’élection. Car cette formule bénit un comportement que Dieu exige de tous ceux qu’il sauve pour entrer dans son éternité. Note qu’une béatitude ne constitue pas un ordre, un commandement, mais un exemple de celui qui lui est agréable au point de le sauver par le rachat effectué par Jésus-Christ. Il nous indique là, la norme des œuvres qu’il veut et peut bénir, mais n’oblige ou contraint personne à agir ainsi. La sélection d’élus rachetés par Dieu repose sur le principe : « Qui m’aime, me suive ! » C’est d’ailleurs l’image que Jésus a choisi pour exprimer ce principe en se présentant comme le « bon Berger » suivi par des « brebis qui connaissent sa voix », dans Jean 10:4 : « Lorsqu'il a fait sortir toutes ses propres brebis, il marche devant elles ; et les brebis le suivent, parce qu'elles connaissent sa voix. » Dans cette parabole, c’est encore l’oreille humaine qui est déterminante. La voix du Christ, que ses brebis spirituelles connaissent et reconnaissent parmi d’autres faux bergers, est identifiée à la vérité biblique obtenue par une connaissance biblique approfondie ; ce qui ne s’obtient et ne devient possible que par une étude patiente et persévérante de la sainte Bible entière, du « petit lait, jusqu’à la nourriture adulte solide ». A la fin de sa solide formation, l’élu du Christ ne peut plus être trompé par les mensonges instaurés par le diable et ses agents humains, selon Mat.24:24 : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus. » Avec un tel avertissement, ceux qui se laissent séduire sont particulièrement coupables et responsables dans le jugement que Dieu porte sur eux. Et leur premier châtiment sera de ne pas obtenir la vie éternelle dont ils se croyaient dignes, se trompant ainsi sur eux-mêmes faussement et lourdement. Leur deuxième châtiment sera charnel, car ils porteront, dans leur corps, les souffrances provoquées par les blessures des temps de guerres, de famines, de diverses causes de mortalité, et finalement, ils périront sous les coups des victimes qu’ils auront séduites et trompées. Ainsi, profondeur et superficialité font, respectivement, l’élu et le déchu et c’est l’usage de leurs oreilles, la norme de leur écoute, qui est en cause et fait l’un ou l’autre. La bonne relation entre deux êtres repose entièrement sur la qualité de leurs échanges ; la bonne réponse ne vient qu’après la bonne écoute de la question. Juste avant sa mort, dans son échange avec le procurateur de Jérusalem, le Romain Ponce Pilate, Jésus nous donne, par cet homme, un exemple type de l’esprit humain superficiel : il dit à Jésus : « la vérité, qu’est ce que la vérité ? » Il pose lui-même une question à laquelle Jésus aurait pu lui répondre ; mais il n’exige rien de plus et préfère abandonner le sujet. Dans la vie profane de tous les jours, des multitudes d’êtres humains agissent de cette manière et ne donnent à leur relation qu’une forme apparente extérieure, sans se soucier de l’opinion de leur interlocuteur. Ce type d’échange ne construit rien de solide. Dans Mat.7:8, rappelant un principe logique, Jésus dit : « Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe. », mais le seul qui agisse de cette manière c’est Dieu et lui seul, car dans la vie humaine, entre eux, celui des humains qui frappe le fait souvent en vain et celui qui demande ne reçoit pas souvent ce qu’il demande. Et lorsque les demandeurs obtiennent ce qu’ils demandent, c’est souvent par le moyen d’une pression de groupe, ou c’est dû au désir du répondeur de se débarrasser d’un problème. Dans l’échange profond, le répondeur prend en charge son devoir de répondre à la demande qui lui est faite, il sait qu’il doit la satisfaire, si elle est raisonnable et justifiée. Il prend plaisir à répondre correctement, sachant qu’il va apporter du plaisir à celui qu’il satisfait. Cette sorte d’échange profond est conforme à la norme de l’amour de Dieu et selon Dieu. Pour l’échange superficiel, Jésus prend l’image du « juge inique » qui finit par accorder ce qu’on lui demande pour se débarrasser d’un opportun. Mais son exemple impute bien à ce juge un comportement « inique » qui fait de lui, un être condamné et rejeté par Dieu.

En réponse au choix de l’option fait par l’être humain, Dieu donne la nourriture appropriée, méritée et justifiée. A l’homme qui répond aux critères de la « profondeur », il donne pour nourriture, la vérité et la certitude. A l’opposé, il donne pour nourriture à celui qu’il juge « superficiel », le mensonge et le doute. Les deux expériences ne sont pas égales, parce que celui qui doute ne peut pas imaginer l’effet porté par la nourriture de la certitude, alors que l’élu bien nourri de vérité, par Dieu, a expérimenté, avant sa conversion, la situation du doute. Il bénéficie des deux expériences et peut ainsi objectivement les comparer. L’élu constate combien la vérité et sa certitude lui donnent ce vrai repos de l’âme que Jésus dit, en toute vérité, être le seul à pouvoir donner. Ce message est confirmé dans Apo.14 :11 où Jésus souligne cette différence entre ses élus et les déchus au sujet duquel il déclare : « Et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles ; et ils n'ont de repos ni jour ni nuit, ceux qui adorent la bête et son image, et quiconque reçoit la marque de son nom. » En utilisant, le temps présent pour évoquer le châtiment infligé aux chrétiens rebelles, Jésus donne à ce châtiment un caractère permanent, perpétuel, en plus du châtiment de la « seconde mort » du « jugement dernier » qui est dans ce verset, principalement, évoqué. Et l’expression, « ils n’ont de repos ni jour ni nuit », vient confirmer le fait qu’ils ne bénéficient pas du « repos » offert par Jésus à ceux qu’il est venu sauver dans son incarnation sur la terre. Parallèlement à la mise en pratique du « repos » du sabbat du « septième jour », les élus reçoivent le bénéfice du « repos » de leur esprit et donc, celui de leur âme entière. En s’adressant à ses apôtres, Jésus répète cette expression : « la paix soit avec vous ». Venant de lui et sortant de sa divine bouche, cette expression n’est pas uniquement théorique, car « la paix » de l’âme n’est disponible que par lui. Et ses propos se transforment en puissance active chez celui qui reçoit de lui cette « paix ». Et le choix de ce mot « paix » n’est pas innocent, car son contraire, c’est le mot « guerre » qui désigne la norme du rapport qu’il a avec les adorateurs, conscients ou inconscients, du diable et des démons célestes et terrestres contre lesquels il est entré en guerre depuis le commencement. Et il est sorti vainqueur de cette guerre, ce qui lui donne le droit d’imposer maintenant à tout le camp rebelle le châtiment mortel de sa très sainte et suprême justice.  Et dans les conditions obtenue par sa bonne relation avec le Dieu créateur, le racheté élu expérimente déjà sur la terre, un échantillon du « nom nouveau » que Jésus promet de donner à celui qui vaincra, selon Apo.2:17 : « Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Églises : A celui qui vaincra je donnerai de la manne cachée, et je lui donnerai un caillou blanc ; et sur ce caillou est écrit un nom nouveau, que personne ne connaît, si ce n'est celui qui le reçoit. » Ce « nom nouveau » ne s’obtient que par l’expérience vécue par les élus, successivement, dans un corps de chair puis, au retour de Jésus-Christ, dans un corps céleste semblable à celui des anges célestes. De plus, nous apprenons, dans Apo.3 :12 que ce nom nouveau a été porté en premier par Jésus-Christ, lui-même : « Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus; j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d'auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau. » Jésus-Christ est resté Jésus-Christ. Ce nom là n’a pas été changé, car Jésus ne parle pas de son patronyme, mais de son expérience céleste vécue après sa mort à la fin de sa vie terrestre. Il a retrouvé le corps de sa nature céleste que ses saints anges nommaient et nomment encore, « Micaël ».

A l’opposé de l’élu, la vie du déchu est peu enviable, même s’il est riche et puissant. Car, sa vie et ses espérances reposent sur le néant et il est condamné à subir la loi du vainqueur divin. Ses réussites ne sont que provisoires et momentanées et il vit constamment dans la peur de perdre les avantages dont il jouit et profite. Ses relations avec son prochain ne peuvent qu’être hypocrites car il voit en tout autre que lui, un possible ennemi mortel qui souhaite l’abattre pour le soumettre. Et il vit ces choses en tant de paix et de sûreté, alors que devient son existence en temps d’insécurité due à la guerre ? Il connaît l’angoisse suprême ou se transforme lui-même en tueur froid et redoutable, apprenant le plaisir de tuer, de faire mal et de détruire ses ennemis et son prochain.

Alors, assurément, une telle existence ignore tout du vrai repos qui ne s’obtient que par une relation amoureuse de Dieu avec sa créature aimante et soumise. Ce vrai repos n’est, lui aussi, pas uniquement théorique, car il n’est que la conséquence de la paix établie avec Dieu. Car en faisant la volonté de son Dieu créateur, législateur et rédempteur, l’être humain allège et libère sa conscience qui, soustraite aux tourments de la culpabilité, éprouve et ressent, le bien-être de la vraie paix de l’âme. C’est ce programme de bonheur que l’apôtre Paul développe dans ses écrits et ses lettres. Et par Pierre l’Esprit déclare dans 1 Pierre 1:22-23 : « Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité pour avoir un amour fraternel sincère, aimez-vous ardemment les uns les autres, de tout votre cœur, puisque vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu.»

Le plan du salut proposé par Dieu aux humains pécheurs est ici parfaitement résumé et Pierre adresse son message à des chrétiens baptisés au nom de Jésus-Christ, ce qui rend ses propos perpétuellement applicables. La « purification des âmes » est obtenue par « l’obéissance à la vérité » qui désigne la norme de vie terrestre définie par les lois divines enseignées dans l’ancienne alliance. Pour les nouveaux convertis sortis du paganisme, cette découverte des lois divines est nouvelle et fondamentale, puisqu’elle est obtenue par l’offre faite au nom de Jésus-Christ. C’est par cette mise en pratique concrète de cette loi divine que l’esprit du pécheur converti a été « régénéré ». Cette régénération n’est pas théorique, mais pratique et active, et elle est confirmée par le changement du comportement du racheté. Il était pécheur par héritages et par action, et il ne pèche plus car il prend le péché en « horreur » et en « abomination », partageant, à son sujet, le juste jugement de Dieu, le merveilleux « Père » céleste qu’il aime et qui l’aime. Tel est le développement du plan du salut organisé et présenté par Dieu, mais qu’en ont fait les croyants rebelles successivement juifs puis chrétiens ? Ils adhèrent à la théorie de ce projet, mais seulement à cette théorie, car sur le plan de la mise en pratique, le constat relevable témoigne de l’absence de la « régénération » qui figure dans le programme divin original. Celui qui justifie la pratique du péché ne peut pas prétendre avoir été « régénéré » et sa fausse conception du plan du salut divin témoigne contre lui, et elle révèle sa nature rebelle partagée avec le diable et ses démons. Son faux engagement religieux déforme le projet salvateur du vrai Dieu et le rend hautement coupable envers lui, en sorte que sa fausse conversion a aggravé sa situation de pécheur héréditaire d’origine. Et en conséquence, au jugement dernier, son châtiment sera plus durement infligé et dans la « seconde mort », le temps de ses souffrances sera prolongé et amplifié.

Je ne doute pas que, s’ils avaient connaissance du terrible sort final qu’ils vont devoir subir et souffrir, les faux chrétiens se garderaient de tout engagement religieux et leur avenir et leur sort final en seraient adoucis. Mais, par leur mépris pour la vérité révélée par la sainte Bible dans ses prophéties mystérieuses, ils sont incapables de connaître leur sort final. Car selon eux, la triste fin n’est pas pour eux mais pour les autres parce qu’ils se montrent indulgents envers eux-mêmes, en « propre justes » et pensent toujours qu’il existe des êtres pires qu’eux.

En conséquence, refusant de croire à leur culpabilité, ils finiront par être confrontés au Dieu juste qui les a condamnés et ils devront subir le châtiment qu’il a prophétisé. Car dans ses prophéties, les choses annoncées n’ont pas pour but unique d’avertir et de menacer les rebelles, mais au contraire d’annoncer à l’avance, des choses dont l’accomplissement futur est certain et irrévocable. Ainsi une fois de plus, le rebelle superficiel va subir la certitude du projet divin.

Dans cette étude, j’ai relié la « profondeur » de l’engagement du racheté élu à sa persévérance et sa recherche de la vérité divine. Dans Apo.2:24, Dieu déclare aux Réformateurs protestants, du 16ème siècle : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; » Il s’agit cette fois, des « profondeurs de Satan ». Et l’Esprit révèle ainsi le jugement qu’il porte sur les enseignements catholiques mensongers qui, loin de rapprocher les rachetés vers le ciel, les éloignent de ce ciel, jusqu’à des profondeurs terrestres où se trouve le magma en fusion qui les détruira au jour du jugement dernier. De plus, ce terme « profondeurs » qualifie la persévérante insistance du régime à imposer aux êtres humain sa domination maudite par Dieu. A l’opposé de l’indifférence, cette « profondeur » est à la fois comparable, mais en opposé absolu, à la « profondeur » bénie du racheté élu. Et ces termes « profondeurs de Satan » révèlent et désignent bien la puissance contraignante et tyrannique de l’engagement religieux satanique de la religion catholique papale romaine ; un engagement « superficiel » et apparent qui réussit à tromper, et à séduire les multitudes humaines, admiratives de son engagement et de sa puissance.

Ainsi, la « profondeur » de l’engagement des élus trouve sa contrefaçon dans l’engagement religieux catholique, mais si la première glorifie le vrai Dieu créateur, à l’opposé, la seconde, sa contrefaçon, ne sert que la gloire du diable, son « père », son inspirateur, son soutien et son guide.

Ce terme « profondeurs de Satan » suggère l’éloignement du ciel où vit le Dieu créateur, l’unique juge qui imposera finalement, sur la surface de la terre, sa justice à toutes ses créatures, donnant une mort éternelle soit, définitive, aux rebelles célestes et terrestres qui la méritent, et la vie éternelle, à ses élus qu’il a sélectionnés et trouvés dignes. Mais la vraie raison de l’emploi de ce mot repose sur la critique des Protestants qui, à juste titre, dénonçaient le dogme catholique de « l’enfer », supposé souterrain ; encore un dogme hérité du paganisme grec. Le catholicisme papal obtenait l’obéissance des petits et des grands en les menaçant des peines des « tourments » dans « l’enfer éternel ». Ce terme « profondeurs » désigne donc un élément très important et très significatif qui fait allusion à cet « enfer » prétendu « éternel » par les enseignants catholiques romains. Mais le pire est que des Protestants ont cru eux aussi à l’existence de cet « enfer ». Dans ce mensonge, il y a beaucoup de vérité, mais l’erreur principale est de prétendre que cet « enfer » existe perpétuellement, alors que dans le projet de Dieu, « l’enfer » sera « l’étang de feu » formé pour l’occasion sur la surface de la terre, à la fin du septième millénaire, pour le jugement dernier. Et je précise que les victimes principales de cet « enfer » final seront, précisément, les prêtres, les évêques, les cardinaux, les papes, catholiques qui l’avaient utilisé pour se faire craindre des peuples, des nations, des seigneurs et de leurs souverains.

« Profondeur » au service de la « vérité » divine et de sa certitude, ou « profondeurs » au service des « mensonges » du diable et du doute ; tel est le choix qui se présente devant toutes les créatures humaines terrestres. Pour les « habitants du ciel », le choix a été déjà réalisé de manière irréversible et irrévocable, immédiatement après la mort et la résurrection de Jésus-Christ, l’ex archange « Micaël ou Michel », selon Apo.12:7-8 : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. ».

Il est vital pour tout être humain de connaître le jugement que Dieu porte sur la religion catholique papale romaine, en raison de sa puissance, de son prestige et de son immense développement dans de nombreuses nations terrestres. Mais il est devenu tout aussi vital de savoir que depuis 1843 et 1844, le jugement de Dieu condamne également la foi protestante qui a conservé, dans son héritage doctrinal, de nombreuses fautes et péchés hérités de la religion catholique. La connaissance de la remise en question du jugement divin de la religion protestante repose, uniquement, sur le décret prophétisé dans Daniel 8:14, en sorte que ceux, qui ne donnent pas aux prophéties bibliques l’intérêt qu’elles méritent, se condamnent eux-mêmes à ignorer l’existence de l’exigence de Dieu qui concerne, pour cette date 1843, le démarrage de la restauration de toutes ses vérités reçues par ses douze premiers apôtres. En conséquence, le racheté élu des derniers jours doit accepter de désapprendre, pour remettre en cause ses fausses conceptions formées et héritées au sujet de la foi chrétienne. Elles sont devenues fausses et caduques, depuis que Dieu a établi ses nouvelles exigences, par son décret, en 1843. Et, consigné dans la Bible, ce décret fait autorité pour Dieu et toutes ses créatures terrestres humaines. Il ne peut être ignoré ou méprisé qu’au prix de la perte de l’obtention de la vie éternelle offerte et proposée au nom de Jésus-Christ. Incapable de témoigner de cet intérêt vital, l’humain « superficiel » perd toute possibilité d’être sauvé par la justice rédemptrice de Jésus-Christ.

Les mises en garde révélées dans les prophéties bibliques de Daniel et Apocalypse concernent toutes les formes religieuses chrétiennes, « l’Adventisme du septième jour » instauré en dernier, en 1863, aux USA, étant particulièrement concerné depuis 1994, date où Jésus l’a officiellement « vomi ».

Parler de vérités doctrinales bibliques divines qui doivent être restaurées reste vague et imprécis. Je dois donc apporter des précisions en désignant quelques exemples principaux de ces vérités qui révèlent ainsi les différences de conception religieuse chrétienne du véritable adventisme béni de 2023 et du Protestantisme maudit du même temps.

En priorité vient le respect du quatrième commandement concernant la pratique sanctifiée du repos du véritable septième jour et qui concerne, le jour du sabbat enseigné par Dieu et pratiqué par l’alliance juive. Repos qui se pratique le samedi et non le dimanche qui est pour Dieu le premier jour de sa semaine. Ordonné par le quatrième des dix commandements de Dieu, le repos du sabbat se place en tête des vérités divines devant être restaurées.

Ensuite, une autre vérité dont l’ignorance est très dommageable pour l’espèce humaine entière est la norme véritable du statut de l’état de mort de l’être humain. N’est-il pas injustifiable pour un chrétien qui se réclame du salut du Christ d’adopter contre la vérité divine révélée, le concept imaginé par le philosophe grec païen Platon ? Cet homme a décrété que l’âme est immortelle parce qu’avant lui, d’autres philosophes grecs ont transformé en religions des fables présentant des divinités se comportant comme les hommes. A l’opposé, le vrai Dieu nous dit qu’il a créé l’homme à son image. Ainsi dans le paganisme grec, c’est l’homme qui a créé des dieux à son image. Quelle valeur mérite une telle prétention ? Aucune, et le vrai Dieu finira par prouver à tous les rebelles qui prétendent le contraire que l’âme à laquelle il donne vie est mortelle et ne peut devenir immortelle que racheté par le sang juste versé par Jésus-Christ.

Après cette vérité qui rappelle la précarité et la fragilité de la vie humaine, entièrement dépendante de la puissance divine, vient la conception des lois prescrites aux Juifs de l’ancienne alliance. Les esprits des chrétiens rebelles prétendent que les lois concernant la nourriture sont devenues caduques pour les croyants de la nouvelle alliance. Qui peut justifier le fait qu’en mourant sur la croix, Jésus est venu changer les normes de la vie humaine ? En quoi, sa mort a-t-elle fait disparaître la maladie et le risque de mort ? La nourriture charnelle est faite pour construire le corps physique de l’homme, mais Jésus n’est venu sur la terre pour y mourir, uniquement, pour offrir le changement de son statut spirituel. Les ordonnances alimentaires ne perdent ainsi aucune de leur justification, car le chrétien doit fortifier son corps physique autant que le Juif, avant lui. Aussi ce que Dieu a déclaré pur ou impur avant Jésus est resté pur ou impur après lui et jusqu’à son retour glorieux final.

Ensuite, vient une faute purement païenne, contre laquelle les apôtres ont mis en garde les nouveaux convertis. Cette grave faute concerne ce que Paul appelle « le culte des anges », dans Col.2:18 : « Qu'aucun homme, sous une apparence d'humilité et par un culte des anges, ne vous ravisse à son gré le prix de la course, tandis qu'il s'abandonne à ses visions et qu'il est enflé d'un vain orgueil par ses pensées charnelles, » Ce « culte des anges » s’est pourtant, hélas, renouvelé avec un grand succès après 1844 aux USA et en Angleterre sous le nom du « spiritisme » pratiqué par des chrétiens protestants abandonnés par Dieu et livrés au diable. C’est quoi ce « spiritisme », sinon l’établissement de relations occultes qui font entrer en relation les esprits des chrétiens maudits par Dieu et les esprits des démons angéliques célestes ? Le spiritisme n’a pas disparu, bien au contraire, il se manifeste, aujourd’hui, puissamment, en Afrique, par les actions spectaculaires de meneurs religieux qui passent leur temps à chasser des démons, en réalité, complices. Le seul rempart contre cette séduction collective reste la sainte Bible et ses précieuses révélations concernant les normes de la vérité divine.

Cet avertissement qui met en garde les convertis contre ce « culte des anges » justifie à elle seule, la guerre continuelle que l’église catholique papale romaine a menée contre la Bible, faisant tout son possible pour empêcher sa diffusion, et sa lecture, par les masses humaines. Ceci, non sans raison, parce que le message construit par notre frère Paul semble décrire le portrait robot du régime papal qui va, dans le temps, conduire une guerre contre la sainte Bible tout en s’en réclamant, pour justifier son autorité. Une guerre contre la Bible qu’Apo.11:3 confirme et prophétise en ces termes : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. » C’est en effet, cette sainte Bible persécutée qui révèle et dénonce l’usurpation de l’homme papal qui, par « le culte des anges », a réussi à s’imposer et à séduire des multitudes de gens catholiques auxquels le papisme a réussi à faire croire qu’ils sont chrétiens ; ceci en leur décernant le titre de Chrétiens catholiques, en les baptisant encore enfants nouveau-nés ; une absurdité doctrinale unanimement acceptée par des foules inconscientes séduites et trompées. Et là encore, le Protestantisme déchu a imité et reproduit cette démarche absurde qui ridiculise la vérité chrétienne. Comment peuvent-ils justifier cette pratique face à ce verset de Marc 16 :16 : « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. » A quel moment, le bébé baptisé a-t-il pu exprimer sa foi et sa demande du baptême ? Quel mépris pour la sainte Bible de la part d’un Protestantisme dont la devise était, au 16ème siècle, « l’Ecriture et l’Ecriture seule » !

Ce sont là, les griefs principaux qui condamnent les fausses religions chrétiennes, mais la liste n’est pas exhaustive.

 

 


Le sanctuaire : tout un programme

 

Ayant délivré le peuple Hébreu de l’esclavage égyptien, au désert, loin de toutes les influences extérieures païennes, Dieu a organisé son peuple témoin qu’il a nommé, Israël, comme le nom de Jacob, le patriarche des douze tribus formées par ses douze fils. Il a accompli ainsi la promesse faite à Abraham de bénir sa postérité.

La construction de cet Israël commence par la publication des dix commandements de Dieu qu’il proclame directement lui-même dans un contexte qui terrifie les assistants et l’auditoire hébreu.

Après avoir puni mortellement la première apostasie presque généralisée du peuple et d’Aaron lui-même, qui par peur du peuple enflammé accompagna leur dérive spirituelle en organisant la fonte du « veau d’or », Dieu organise la construction du sanctuaire et des accessoires qui lui sont rattachés dans le service religieux du clergé des Lévites.

La communication qui repose sur les mots et les phrases exige de l’homme qu’il soit instruit et maîtrise correctement la langue de son peuple. Mais le peuple qui sort de l’esclavage égyptien n’a pas reçu cette formation intellectuelle, aussi Dieu allait devoir faire porter tout son enseignement sur des images, des rites symboliques porteurs prophétiques d’un enseignement précieux et précis. L’enseignement par image ne nécessite pas l’obtention de diplômes attestant d’un niveau d’enseignement général. Les Hébreux libérés sont retombés au niveau le plus bas de l’humanité, presque celui de l’animal, dompté, dans ce cas, par la cruauté des chefs égyptiens. De plus, pour Dieu, l’enseignement par l’image lui permet de donner la compréhension de ses messages de manière ciblée, uniquement aux hommes auxquels il veut faire partager sa pensée secrète. Et quelque soit le niveau de son enseignement et de ses diplômes celui qui ne doit pas comprendre le message des images ne le comprendra pas, car Dieu contrôle l’utilisation de notre intelligence qui constitue elle aussi, une porte que Dieu peut « fermer ou ouvrir », comme l’enseigne Apo.3:7 : « Écris à l'ange de l'Église de Philadelphie : Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira ». En 1873, Dieu a appliqué ce principe en ouvrant l’accès à sa vérité aux croyants adventistes du septième jour et en fermant cet accès aux dénominations multiples du Protestantisme. Dans ce verset, les mots clés portant une majuscule éclairent le sens du message : « Saint » : le peuple est « sanctifié » parce que reconnu par Jésus-Christ, et par sa pratique du sabbat du septième jour « sanctifié » par Dieu ; « Véritable » : le peuple adventiste de l’époque accède à la vérité divine au nom de Jésus-Christ à cause de son zèle adventiste qui témoigne de son désir de son retour glorieux ; « David » : Jésus-Christ, le « Fils de David », identifié par les Juifs contemporains de son ministère terrestre, organise sa « maison », selon Esaïe 22:22 : « Je mettrai sur son épaule la clé de la maison de David : quand il ouvrira, nul ne fermera ; quand il fermera, nul n'ouvrira. » En 1873, il réorganise son nouvel Israël spirituel universel, ce qu’Apo.7 vient confirmer en évoquant « les douze tribus scellées du sceau du Dieu vivant ».

L’exemple que je viens de présenter témoigne que l’instruction diplômée est peu utile, car la Bible fournit elle-même les interprétations de ces symboles codés. Dans la prophétie, un mot, un nom, un animal, une chose quelconque, nous renvoie dans un texte de la Bible, ou plusieurs parmi lesquels se trouve l’explication recherchée.

La construction du sanctuaire hébreu est la première forme de cette construction prophétique symbolique. Cependant, déjà, le récit de la création portait déjà en plus de son caractère littéral, des messages prophétiques, ce qui donne à la Bible entière, un rôle prophétique permanent donc, perpétuel. C’est pourquoi les messages de Dieu sont renouvelés par des suites de types et d’antitypes. Dieu, l’organisateur du temps de vie de ses créatures, relie le présent au passé et le passé au présent renouvelant ainsi ses messages dans tous les temps.

Comprendre le symbolisme du sanctuaire nous permet de comprendre toute la logique spirituelle du plan du salut et du programme qui le met en place pour l’accomplir. Ce programme a été mis en route dès le péché d’Adam et Eve. Et c’est bien plus la nudité spirituelle que la nudité corporelle qui a nécessité la mort de l’agneau dont la peau fut le premier vêtement porté par l’humanité pécheresse, selon Gen.3:21 : « YaHWéH Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit. » Déjà, il nous faut relever que c’est Dieu qui fait « des habits de peau », devant ainsi tuer un agneau, un jeune bélier probablement. Conformément à son projet salvateur, « il pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste » offert par Abraham, et se fera crucifier en Jésus-Christ, « l’agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde » pour sauver ses élus fidèles. Dans son plan du salut, Dieu a résolu de payer le prix du péché lui-même comme le confirme ces trois exemples échelonnés dans le temps, entre Adam et le début de l’an 4001. Relevons au passage ce détail suggestif, Dieu ne nomme plus Eve par son nom, mais la désigne par l’expression « sa femme » : celle d’Adam. Ce terme de « femme » prophétise la « femme pécheresse » que va représenter l’église chrétienne : « l’Elue » et « la prostituée Babylone la Grande » ; les deux étant héritières du péché. Et Jésus viendra précisément dans la chair pour purifier du péché son « Elue » soit, pour faire disparaître le péché.

Dans cette construction du sanctuaire, les éléments qui le composent sont à l’image de la vie, très différents en valeur de sainteté. Cependant ils sont tous rattachés à la sainteté, puisqu’ils représentent les éléments d’une construction sanctifiée par Dieu.

L’élément le plus saint est le tabernacle, la tente d’assignation, dans laquelle Dieu et Moïse se rencontrent et se parlent, de Dieu à l’homme et de l’homme à Dieu. Cette tente sanctifiée par la présence de Dieu est entourée et placée au centre d’une cour délimitée par des voiles blancs fixés sur des poteaux. Cette cour extérieure reçoit le nom de « parvis ». A ce terme « parvis », il nous faut rattacher deux caractéristiques qui sont l’extérieur et le corporel. Car les accessoires qui apparaissent sur ce « parvis » concernent des actions portées sur le corps physique approprié ; le corps brûlé sur l’autel des sacrifices et le corps des  sacrificateurs, baigné et lavé dans l’eau de la « mer », nom donné à la cuve des ablutions située en face de l’entrée de la tente sainte.

Il nous faut déjà relever l’importance de ce détail qui concerne l’orientation de la construction de l’emplacement du camp et du tabernacle. Dans l’étude précédente, nous avons vu que nommé originellement « Etoile du matin » le diable occupe la place du « soleil » dans son rôle de « prince de ce monde ». Or à l’époque de la sortie d’Egypte, Dieu supporte depuis des siècles, l’adoration du soleil, par ces Egyptiens et désirant convaincre son peuple de ne plus se risquer à témoigner le moindre signe d’adoration ou de respect pour la fausse divinité solaire, il impose aux Hébreux qu’ils entrent dans cette zone sainte, en ayant le lever du soleil dans leur dos, leur face étant tournée vers l’occident soit, vers le soleil couchant. Le voile d’entrée du tabernacle était donc lui-même orienté face à l’Orient. Ce détail symbolisait également le sens géographique que la foi juive allait connaître dans le temps, passant de l’Orient vers l’Occident comme l’histoire passée accomplie le confirme. Car la foi chrétienne s’est effectivement développée en Occident et pratiquement pas, vers l’Orient ; les pays orientaux étant restés farouchement hostiles envers la religion chrétienne. Le Japon, le plus éloigné de ces pays orientaux, est resté jusqu’à nos jours actuels adorateur du « soleil levant » auquel il donne le nom « Banzaï ». Dieu avait donc toute raison de faire regarder son peuple vers l’Occident où la foi chrétienne s’est développée.

Le symbolisme du « parvis » a ainsi permis à Dieu de dénoncer la fausse foi catholique papale romaine en laquelle il ne reconnaît qu’un simulacre, une contrefaçon qui cherche à reconstruire l’image de son Israël. C’est le sens qu’il nous faut donner à ce « parvis » dans Apo.11:2 : « Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors, et ne le mesure pas ; car il a été donné aux nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante-deux mois. » Pour bien comprendre le sens de ce message, nous devons déjà comprendre le sens du verset qui le précède : « On me donna un roseau semblable à une verge, en disant : Lève-toi, et mesure le temple de Dieu, l'autel, et ceux qui y adorent. »

« Un roseau semblable à une verge » : selon Esaïe 9:14, un faux prophète qui enseigne le mensonge soit, le chef papal du catholicisme romain. Imagé par « une verge », il accomplit un jugement punitif de Dieu. Les adorateurs du Christ sont éprouvés soit, « mesurés », par de constantes persécutions qui vont se prolonger pendant « 42 mois, ou 1260 jours » prophétiques soit, 1260 années réelles, depuis 538 jusqu’à 1798. « Le temple de Dieu, l’autel, et ceux qui y adorent » désignent les vrais saints de cette longue période pendant laquelle le régime papal multiplie ses persécutions contre ceux qui lui résistent ou le contestent. Les éléments cités sont rattachés au saint tabernacle divin. « Le temple de Dieu » désigne l’assemblée des rachetés du Christ selon Eph.2:20-21 : « Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus Christ lui-même étant la pierre angulaire. En lui tout l'édifice, bien coordonné, s'élève pour être un temple saint dans le Seigneur. En lui vous êtes aussi édifiés pour être une habitation de Dieu en Esprit. » Mais le verset 19 qui précède présente aussi l’intérêt d’évoquer la fausse foi de ceux que Dieu situe à « l’extérieur du temple », les « gens du dehors », soit ceux qu’il rattache au « parvis » : « Ainsi donc, vous n'êtes plus des étrangers, ni des gens du dehors ; mais vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu. » Paul évoque ici le statut des vrais saints que Jésus reconnaît comme lui appartenant. Le jugement de ses créatures lui appartient, en exclusivité, et la révélation prophétique n’a pour but que de nous confirmer qu’il existe bien une vraie et une fausse religion qu’il dénonce et décrit en portrait robot, par le regroupement des messages qui la concernent dans toute sa révélation prophétique. « L’autel » symbolise la croix du Christ et « ceux qui y adorent » sont donc les disciples, appelés et rachetés par son sang versé sur cet « autel ». « L’adoration » de Dieu s’exprime par la contemplation de « l’autel » soit, la contemplation de l’amour divin révélé par le sacrifice expiatoire volontaire de Dieu en Jésus-Christ. Ceci étant compris, retrouvons Apo.11:2 : « Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors, et ne le mesure pas ; car il a été donné aux nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante-deux mois. » La « ville sainte » désigne l’assemblée sainte des vrais Chrétiens rachetés, appelés et élus, que Dieu nomme « Jérusalem » dans Apo.21:10. Il s’agit bien sûr d’un nom symbolique que prophétisait la vraie ville terrestre de ce nom dans l’ancienne alliance. Pour Dieu le nom d’une ville implique et désigne ses habitants, car Dieu ne bénit pas les pierres ni le ciment, mais les âmes humaines qui habitent dans ce lieu. Dans la nouvelle alliance, les élus sauvés sont dispersés dans les pays et sur la terre entière, mais en Jésus-Christ, ils forment pour Dieu une assemblée spirituelle qui représente la « Jérusalem » idéale qu’il aime et désire sauver. En même temps, ce terme de « ville sainte » détourne les regards des faux croyants vers la ville juive qui porte encore actuellement le nom « Jérusalem », dont Dieu a favorisé la survivance, uniquement, pour rappeler l’expérience des premiers pécheurs qu’il a punis et maudits, selon Dan.8:23 : « A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux ».

Dans ce verset, « les nations » vont « fouler la ville sainte » pendant 1260 années, ce qui permet d’identifier ces nations aux royaumes occidentaux européens qui ont soutenu le régime papal et ses persécutions injustes des serviteurs de Jésus-Christ. Mais ce qui est injuste ce n’est pas ces persécutions que la foi déformée mérite dans le jugement de Dieu. Ce qui apparaît injuste ne l’est pas autant qu’on pourrait le croire. Et puisque Dieu n’autorise pas à ses saints de faire eux-mêmes justice, il utilise la fausse religion extrêmement plus coupable, pour punir les imperfections de la foi chrétienne déformée depuis 313. Après des siècles et des siècles d’enseignements catholiques mensongers quel type de foi, les chrétiens fidèles pouvaient-ils afficher ? La doctrine du salut étant changée et renversée, les vrais croyants ne pouvaient témoigner pour Dieu que par leur acceptation de perdre leur vie ou d’être emprisonnés par les monarques soumis aux papes. Jusqu’à l’année 1844, la foi chrétienne a été souillée par la pratique du dimanche et les doctrines mensongères héritées du catholicisme romain, en sorte que les élus restaient eux-mêmes pécheurs envers Dieu. N’étant pas sans péché, ils ne pouvaient donc pas « jeter la première pierre » sur un pécheur coupable comme l’a enseigné Jésus. Et depuis cette leçon spirituelle, aucun vrai saint ne s’autoriserait à punir physiquement un pécheur quelconque. Pour ce temps, où le péché demeure encore universellement, le Seigneur rappelle des principes que seuls ses vrais élus respectent, ce qui marque leur différence avec les chrétiens « hypocrites » de leurs époques, selon Apo.13:10 : « Si quelqu'un mène en captivité, il ira en captivité ; si quelqu'un tue par l'épée, il faut qu'il soit tué par l'épée. C'est ici la persévérance et la foi des saints. » Jésus dénonce ici, le comportement guerrier cruel et sauvage du faux protestantisme calviniste ou anglican qui participe activement  aux « guerres de religions ». Ils répondent aux agressions des ligues catholiques et leur rendent coup pour coup. Mais Jésus a interdit de réagir de cette manière à l’heure de son arrestation par les gardes juifs. Et ignorant ce jugement et cet ordre donnés par Jésus, les Protestants ont tenus et tiennent encore pour « héros » religieux, ces combattants désobéissants que Dieu tient, lui, à juste titre, pour « hypocrites ». Lui qui, en Jésus, a déclaré dans Mat.16:25 : « Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. » En prenant « l’épée », le Huguenot (de l’allemand « Eidgenossen » qui signifie : ligue armée) des Cévennes se condamnait lui-même à devoir « mourir par l’épée » et à perdre la vie éternelle. Et il en a été de même des Protestants qui ont mis des Catholiques « en captivité » ; ils devaient à leur tour se retrouver emprisonnés sans obtenir la vie éternelle. Dans cette époque sanglante, Apo.13:10 souligne ce qui fait la différence entre les vrais élus du protestantisme et les faux que Jésus qualifie, après les Juifs, d’« hypocrites » parce que la foi chrétienne repose avant toute autre chose sur le respect et l’obéissance des règles enseignées par Jésus-Christ lui-même, et ces règles doivent être observées jusqu’à la fin du monde marquée par son retour glorieux attendu pour le printemps 2030. Selon Apo.13:9 : l’avertissement prophétique ne pouvait être compris que par ceux que l’Esprit éclaire : « Si quelqu'un a des oreilles, qu'il entende ! » Mais dans ce message, Jésus ne fait appel qu’à l’intelligence humaine qui conduit l’humain intelligent à tenir compte des consignes entendues par ses « oreilles », ou celles de ses apôtres qui témoignent dans les Evangiles de ce qu’ils ont entendu dire par Jésus. En lisant dans la sainte Bible, leurs témoignages, nous sommes tenus pour avertis par Dieu et donc responsables de nos réactions et de nos agissements. Ne se laissant pas tromper par les comportements des « hypocrites », Jésus souligne les critères des vrais saints qu’il peut bénir et sauver : « C'est ici la persévérance et la foi des saints ». Ils persévèrent dans leur fidélité et ne cherchent pas à prendre les armes pour sauver leur vie, et acceptent, si Dieu le demande, de la perdre pour la retrouver en norme éternelle.

Jean reçoit de Dieu l’ordre de ne pas « mesurer le parvis extérieur du temple » et cet ordre confirme le choix de Dieu de livrer les chrétiens infidèles aux persécutions du régime papal de Rome. Ce message vient confirmer ceux que Daniel présente dans Dan.7:25 et 8:12. : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps. …/… L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. » Subtilement, Dieu renouvelle le même message sous trois formes différentes mais précieusement complémentaires. Le changement « des temps et de la loi » de Dan.7:25 définit le « péché » cité dans Dan.8:12. Et les deux versets confirment que la religion chrétienne devait passer sous la domination d’un régime persécuteur qui est le régime papal catholique romain. Et dans Apo.11:2 cette action est présentée sous la forme : « Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors, et ne le mesure pas ; car il a été donné aux nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante-deux mois. » Dans Daniel et Apocalypse, les nations qui soutiennent le pouvoir papal romain sont symbolisées par les « dix cornes » soit, dix puissances nationales que l’on retrouve dans Dan.7:7 et 24. Dans Apo.12:3, 13:1, 17:3, ces « dix cornes » portent ou ne portent pas des « diadèmes », ce qui permet d’identifier le contexte ciblé par la prophétie. Les trois références concernent ainsi, successivement et chronologiquement : l’empire romain, le régime papal romain, et le régime protestant final persécuteur qui sévit et domine à l’heure du grand retour glorieux de Jésus-Christ.

Le sanctuaire hébreu nous transmet des informations par les dimensions et les proportions dimensionnelles que Dieu donne aux deux pièces qui composent la tente d’assignation. En effet, en coudée, mesure de l’époque, le lieu saint où entre le sacrificateur mesure 40 coudées de longueur sur 20 coudées de largeur, et le « lieu très saint », ou « saint des saints » de la seconde pièce réservée à la présence de Dieu, est un carré cubique de 20 coudées. Les proportions des deux pièces sont ainsi de 2 tiers et 1 tiers, à l’image des 6000 ans du temps humain : 4000 ans jusqu’à la mort du Christ et 2000 ans après lui. En le faisant construire par Moïse, Dieu a ainsi voulu confirmer ce message concernant le temps global de sa sélection d’élus terrestres. Et ceci, en dehors du fait qu’il fut construit vers 2500 ans après Adam. Cette construction était donc particulièrement réalisée pour notre dernière génération des saints élus pour laquelle cette connaissance des 6000 ans permet aujourd’hui d’établir le retour final du divin Christ glorieux pour le printemps de l’an 2030 de notre faux calendrier romain ; ce qui me fait dire que Rome est la parfaite image de la fausseté et de la tromperie, choses pratiquées dans « l’arrogance » que Dieu lui attribue dans ses révélations prophétiques de Daniel 7::8 et Apo.13:5.

Le plan du salut s’est accompli avec précision, tel que ce symbolisme du sanctuaire l’annonçait. 4000 années se sont écoulées et après le printemps commençant l’an 4001, la veille de la fête de la Pâque, conformément à son annonce faite à ses apôtres, Jésus s’est laissé arrêter, juger et punir par 120 coups de fouet et il a offert volontairement sa vie au supplice mortel de la crucifixion romaine sans protester contre l’injustice de ce traitement. Il ne pouvait pas protester puisqu’il était l’organisateur de ce jugement, tout en étant la victime. Vivant à l’avance sa passion, Dieu a inspiré au prophète Esaïe, dans Esaïe 53, les explications de ce sacrifice volontaire réalisé par Dieu lui-même en personne. Et la chose était tellement inimaginable que nous pouvons comprendre l’incrédulité des Juifs contemporains de cette action. Ceci d’autant plus que les douze apôtres choisis par Jésus ont eu le même comportement jusqu’à ne pas entendre les annonces faites à ce sujet par Jésus. Ce ne fut donc pas cette incrédulité là qui condamna la nation de l’ancienne alliance. La cause de sa malédiction est venue ensuite, après la résurrection de Jésus soit, lorsque les explications de cette mort expiatrice ont été données et enseignées par Jésus à ses apôtres, alors, pleinement convaincus de l’amour de Dieu ainsi démontré. En l’an 34, le clergé religieux national juif de Jérusalem condamne à la lapidation et exécute le jeune diacre Etienne nouvellement nommé par les apôtres de Jésus. Les religieux commettent là, l’acte qui va les condamner eux-mêmes à une malédiction définitive qui se soldera par la destruction de la nation juive entière, par les troupes romaines conduites par Titus, en l’an 70 de notre faux calendrier romain ; ce que prophétise Dan.9:26 : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » Les mots rayés sont mal traduits et ne sont pas conformes au texte hébreu original. Le terme « sainteté » désigne bien les chefs religieux, les vrais coupables du rejet du « messie ». Il est regrettable que ces erreurs de traduction cachent aux hommes la précision des prophéties divines, car correctement traduites, les annonces divines sont identifiables dans la réalité accomplie, et les choses prennent un vrai sens édifiant pour les âmes humaines. Je veux souligner ici, l’écart de 40 années qui sépare la mort de Jésus de la destruction de Jérusalem. Car ce chiffre 40 est apparu souvent dans le plan du salut préparé par Dieu parce qu’il est symbolique de « l’épreuve » de foi organisée par Dieu ; 40 jours et 40 nuits de pluie pour le déluge ; 40 années de désert pour 40 jours d’espionnage en terre de Canaan ; 40 jours et nuits de jeune pour Jésus au début de son ministère ; 40 jours entre sa résurrection et la fête de Pentecôte ; et enfin, 40 années entre son annonce aux femmes de Jérusalem que leur ville serait détruite et la date où l’action a été accomplie.

Les deux saintes pièces du sanctuaire ou tabernacle hébreu étaient séparées par un voile que l’homme sacrificateur ne devait franchir qu’en l’occasion de la fête du « jour des expiations », en hébreu le « Yom Kippour ». Cette interdiction avait une explication prophétique car ce franchissement prophétisait le passage de Jésus-Christ de la terre vers le ciel d’où il est venu en forme de l’archange Micaël. C’était aussi simple que ça, mais il fallait le comprendre : le lieu saint c’était la terre et les rites sacerdotaux terrestres, alors que le « saint des saints » ou lieu-très-saint » symbolisait le ciel où l’être humain ne peut entrer sans passer par la mort, en règle générale, les cas d’Hénoc et Elie étant exceptés.

Dieu avait organisé l’année juive sur une succession de fêtes religieuses qui prophétisaient le plan du salut global. Et selon ce principe, chaque année qui s’écoulait renouvelait cette annonce du plan du salut global. Ainsi, année après année, les célébrations annuelles du « jour des expiations » se succédèrent ainsi que celles de la fête printanière de « la Pâque », jusqu’au jour où Jésus s’est présenté sur la terre pour accomplir, en même temps, au printemps de notre année 30, la veille de la Pâque officielle, les ultimes fêtes de la fête de la « Pâque » juive et du « jour des expiations ». La prophétie de Dan.9:24 annonce, précisément, en permettant de la dater, cette dernière « expiation des péchés » que Jésus est venu réaliser, en s’offrant en victime volontaire. Voici ce que l’ange Gabriel a dit alors à Daniel dans le verset 23 : « Lorsque tu as commencé à prier, la parole est sortie, et je viens pour te l'annoncer ; car tu es un bien-aimé. Sois attentif à la parole, et comprends la vision ! » Ce que Daniel devait pouvoir comprendre, ne peux tu pas aussi le comprendre ? La réponse est dans l’exhortation « sois attentif à la parole ! » et le reste n’est que question d’intelligence donnée ou pas par Dieu, pour lequel, tu dois être, comme Daniel, « un bien-aimé ».  Gabriel dit ensuite au verset 24 : « Soixante-dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier l'iniquité et amener la justice éternelle, pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. » Relevons que l’annonce prend l’aspect d’un ultimatum adressé à la nation juive ; son mépris sera la cause de sa destruction. Le prix payé par Jésus est tellement élevé que tu peux comprendre que son offre de salut n’est pas faite sans condition. Et déjà celle d’être pour Dieu, comme Daniel, « un bien-aimé », rend ridicules et absurdes les revendications du salut présentées par les êtres humains superficiels et hypocrites. Le programme de Dieu est ambitieux et doit être bien compris, car il est écrit : « pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés ». Le péché se prolongeant partout sur la terre en notre époque, tu pourrais croire que le projet de Dieu a échoué, mais tu te tromperais car il a parfaitement réussi. Ce qu’il te faut comprendre, c’est que ce projet ne profite et ne bénéficie qu’aux « bien-aimés » de Dieu et ils ne sont en effet pas très nombreux, rares dans toutes les époques de la vie terrestre. Mais pour eux et pour eux seulement, Jésus a bel et bien mis fin au péché originel, hérité d’Adam, qui justifiait les deux morts successives héritées en conséquence de ce péché : la mort dite naturelle et charnelle et celle qui frappera les rebelles au jugement dernier après leur résurrection : « la seconde mort » citée dans Apo.20:14 : « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. ». Quand à la pratique individuelle du péché, elle s’estompe progressivement jusqu’à disparaître entièrement à cause de l’amour ressenti pour Dieu en Jésus-Christ ; un « bien-aimé » de Dieu ne peut plus pêcher volontairement contre le Dieu qu’il aime et veut servir fidèlement au nom de Jésus-Christ qui obtient ainsi, la « fin du péché » souhaité et exigé par Dieu dans son plan du salut.

Le message délivré par l’ange Gabriel est d’une surprenante clarté et simplicité. Et le seul voile qui restait sur ses propos était que Dieu allait venir sur la terre, lui-même, accomplir ce dernier « jour des expiations ». La suite de son annonce du verset 25, va permettre à Daniel, et à nous, de calculer la date de la venue du Messie guide prophétisé, avec les données révélées : « Sache-le donc, et comprends ! Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu'à l'Oint, au Conducteur, il y a sept semaines et soixante-deux semaines, les places et les fossés seront rétablis, mais en des temps fâcheux. »

Je rappelle que Daniel n’a jamais demandé à Dieu quand devait venir le Messie. Dans sa longue et passionnée prière, il voulait uniquement savoir quand les Hébreux déportés à Babylone pourraient revenir dans leur patrie nationale. Il pleurait sur Jérusalem et son saint temple prestigieux et glorieux détruits. Contre toute attente et espérance, Dieu va l’arracher à sa vision terrestre des choses en lui révélant le secret de son plan du salut qui repose sur la mort expiatoire du messie prophétisé. Par cette mort volontaire qui offre pour l’expiation une vie parfaite divine et humaine, Dieu va « amener la justice éternelle » dont vont pouvoir profiter, exclusivement, ceux qu’il tient pour « ses bien-aimés ». Le verbe « amener » image merveilleusement bien cette venue du Christ qui vient se présenter sur la terre pour offrir sa vie parfaite soit, sa « justice éternelle » parfaite, en sacrifice. Et possédant la vie éternelle par sa divinité, Jésus s’est lui-même ressuscité et il peut depuis offrir à ses rachetés « bien-aimés » la vie éternelle qui leur permettra de vivre, éternellement, dans sa compagnie, dans la dimension céleste qui sera à terme celle de notre terre actuelle, alors régénérée et glorifiée.

En annonçant à Daniel les bases de la future nouvelle alliance en Jésus-Christ, Dieu confirme le fait que la démonstration de l’expérience juive de l’ancienne alliance a été accomplie et s’est achevée par la punition de la déportation du peuple et de ses chefs à Babylone. Le retour en Israël n’aura plus pour but que celui d’attendre la première venue du Messie conformément à l’annonce présentée à Daniel, le prophète de Dieu dont Jésus citera le nom.

Le temps de cette venue repose donc sur l’identification de la date d’appui des « 69 semaines » d’années réelles citées soit, 483 années réelles. La réponse est donnée dans Esdras 7:7 et elle concerne un décret ordonné par l’empereur Artaxerxès 1er dit « Longues-mains », et ce décret est daté de « la septième année du roi », ce qui désigne l’an –458. A l’heure  établie par ce calcul soit, en l’automne de l’année 26, Jésus est entré dans son ministère terrestre, après avoir été baptisé par Jean. Trois années et six mois plus tard, soit « au milieu de la 70ème semaine » prophétisée, conformément à l’annonce de Dan.9:27, par sa mort subie la veille de la Pâque de l’année 30, il a mis fin aux rites sacrificiels animaliers de l’ancienne alliance : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande; le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur. Et sur l’aile seront les abominations de la désolation et jusqu’à une ruine entière et ce qui a été résolu viendra sur la désolée ». Dans le texte hébreu original, la mention « et sur l’aile » cible l’action religieuse et trouve son accomplissement dans les abominations accomplies par le régime catholique papal romain pendant les 1260 années de son règne despote et cruel soutenu par les monarchies européennes, mais surtout celle de la France, que Rome tient pour sa « fille aînée ».

Les deux pièces du tabernacle hébreu étaient séparées par un voile qui représente en même temps Jésus-Christ et le péché comme « le bouc » dans la fête du « jour des expiations ». Il représente le péché parce que c’est lui, le péché, qui sépare l’homme de Dieu et l’isole sur la terre. Mais il représente aussi Jésus-Christ parce que le voile a deux faces, côté « lieu saint », il porte l’image du terrestre, et côté du « lieu très saint » ou « Saint des saints », il porte l’image du céleste. Et Jésus-Christ a porté dans sa nature et son expérience ces deux caractères du  terrestre et du céleste. Il se présente ainsi, comme le voile du sanctuaire, comme le médiateur qui relie le ciel et la terre en réconciliant Dieu avec l’homme « bien-aimé » auquel, il pardonne ses péchés au nom de la « justice éternelle » parfaite de Jésus-Christ.

Dans Dan.9:24, Gabriel dit à Daniel : « pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints.» Le messie est ainsi annoncé au titre de « prophète ». Ce qui sera confirmé par Jésus dans sa parabole des vignerons. Il se présente après de nombreux « prophètes » que Dieu a adressés aux autorités juives pour les appeler à la repentance. Et dans l’apparence terrestre de son action il est un simple mais grand « prophète » qui multiplie les miracles divins. Le « scellage de la vision » désigne l’application soit, l’accomplissement de la vision rendu concret par le ministère de Jésus-Christ. Et le « Saint des saints » qui devait être « oint » c’est encore lui ; le « Roi des rois et Seigneur des seigneurs de la terre. » d’Apo.19:16 : « Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs. » Appliquée à Jésus, cette onction s’est accomplie par la publication de sa victoire reconnue dans le ciel par Dieu en Père et par ses anges fidèles. Mais c’est aussi, selon le rite du « Jour des expiations », l’onction du ciel, puisque son symbole terrestre nommé « lieu très saint ou Saint des saints » devait recevoir son sang versé pour payer la rançon du péché originel et des autres péchés commis par les rachetés élus. En entrant dans le vrai ciel après sa résurrection, Jésus a apporté sa justice et non son sang humain, et Satan et ses démons célestes ont été les premiers à subir la conséquence de cette onction justice prophétisée. Ils ont été chassés définitivement de la dimension céleste réservée uniquement pour Dieu et ses créatures fidèles, ses « bien-aimés », selon Apo.12:7 à 9 : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. »

L’onction prophétisée concerne surtout Jésus dont la victoire sur le péché et la mort l’intronise dans le ciel au titre justifié de « Saint des saints, Roi des rois et Seigneur des seigneurs ». Et sur la terre, le temple de Jérusalem délivre un dernier message à l’heure de la mort de Jésus. Dieu signale que sa mort est reconnue et que la réconciliation entre lui et les rachetés élus est validé : le péché leur est pardonné, chose qu’il signale en déchirant de haut en bas le voile qui sépare symboliquement le ciel de la terre .Dès ce moment, le temple terrestre a achevé son rôle symbolique prophétique. Et la confirmation sera donnée par la bénédiction de l’Eglise ou l’Assemblée construite sur Christ et ses douze apôtres. Le temple de la nouvelle alliance est cette fois, uniquement, spirituel, et les pierres qui l’édifient sont humaines depuis Jésus jusqu’au dernier racheté élu avant la fin du temps de grâce collective et individuelle.

Le plan du salut était symbolisé par les éléments présents dans ce sanctuaire. Image prophétique de l’élu racheté, mais aussi des principes mis en application dans le sacerdoce céleste de Jésus-Christ, le sacrificateur entrant sur le parvis du sanctuaire rencontrait l’autel des sacrifices qui révèle l’accusation du péché de l’homme. Ensuite avançant vers le tabernacle il était lavé et baigné dans la cuve des ablutions appelée « mer » image de la mort ; de la première, et de la deuxième à laquelle il ne sera pas soumis parce que Jésus l’a justifié. Dans la nouvelle alliance ce bain est celui du baptême par lequel l’homme s’engage officiellement envers Dieu et confirme sa demande de statut d’esclave qui se place au service de Dieu en Jésus-Christ. Il peut alors entrer dans le tabernacle et trouve à sa droite la table des douze pains de propositions, image du corps de Jésus-Christ consommé symboliquement sous forme de pain non levé dans le rite de la sainte Cène. A sa gauche, se tient le chandelier à sept branches qui symbolise l’Esprit saint et lumière de Jésus-Christ ; le chiffre sept étant le symbole de la sanctification. Au centre de la pièce, face au voile séparateur, le sacrificateur trouve l’autel des parfums qui symbolise l’odeur agréable que prennent, pour Dieu, les prières de ses bien-aimés présentées au nom de Jésus-Christ : Jésus ayant lui-même incarné le premier du nombre.des « bien-aimés » de Dieu, avant ses élus rachetés

Dans la pièce interdite à l’homme, parce que symbole du ciel, le fond du mur est couvert sur toute sa largeur et sa hauteur de 20 coudées, par les ailes déployées de deux anges qui se rejoignent au milieu de la pièce, au dessus du propitiatoire qui est un autel posé sur l’arche de l’alliance contenant les deux tables des dix commandements de Dieu. Les ailes des anges confirment le symbole du ciel et de la religion qui donne son sens à l’expression « sous l’aile » citée dans Dan.9:27. Et l’aspect de l’ensemble place, en rôle central,  les  dix commandements de Dieu dont la transgression nécessite, pour être pardonnée, la mort du Messie sur l’autel soit, le propitiatoire, image de la croix du Christ. C’est sur cet autel, qu’à la seule occasion de la fête annuelle du « Yom kippour », le « sang » du « bouc » tué devait être apporté et déposé par aspersion. Nous retrouvons donc dans cette image du ciel tout l’enseignement du plan du salut accompli sur la terre par Jésus-Christ. A côté de l’arche, il y avait aussi le rouleau écrit par Moïse sous la dictée de Dieu et la verge d’Aaron qui avait fleuri, et ce qui prend pour moi et mes messages aujourd’hui une importance particulière, un vase contenant un « omer » de la « manne » donnée au désert par Dieu pour nourrir les Hébreux.

Dieu confirme ainsi l’importance qu’il donne à  ces choses placées près de l’arche de son alliance. La « loi de Moïse » gardera une valeur perpétuelle pour les habitants de la terre. Le bâton d’Aaron ou « verge d’Aaron » rappelle que Dieu donne autorité à ses prophètes et Amos 3:7 nous confirme cette importance en disant : « car le Seigneur, YaHWéH, ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes »  Quant à la « manne », elle nous enseigne notre besoin continuel de nous nourrir de la parole du Dieu qui prolonge ou fait cesser la vie de nos âmes. Car si la nourriture terrestre permet de prolonger les forces du corps physique de notre vie terrestre, la nourriture spirituelle donnée par Dieu va permettre, elle, de prolonger éternellement la vie de notre âme. La comparaison établit la valeur que mérite ces deux types de nourriture, mais bien sûr, pour valoriser le choix qui prolonge la vie dans l’éternité, il faut croire à l’existence de cette possibilité et pour ça, il faut avoir la vraie foi que, seule, Dieu peut bénir et nourrir.

Il reste encore une chose à relever dans l’aspect de ce sanctuaire hébreu, c’est la présence de l’or qui recouvre tout, les murs, les poteaux, et qui recouvre tous les éléments déposés dans ce sanctuaire.  Pour Dieu, l’or n’a aucune valeur marchande ou financière, mais la raison de son emploi c’est uniquement son caractère inaltérable. Dieu a créé ce matériau uniquement pour ce critère inaltérable dans le but d’en faire le symbole de la seule foi qu’il agrée et qui l’enchante. C’est ce qu’enseignent ces paroles sorties de la bouche de Pierre dans 1 Pierre 1:7 : « afin que l'épreuve de votre foi, plus précieuse que l'or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l'honneur, lorsque Jésus Christ apparaîtra, » Le message divin est clair, la foi de ceux qu’il veut et peut sauver par la justice du Christ doit être inaltérable et ne doit donc à aucun prix se laisser affaiblir par la séduction, la force, ou tout autre moyen tel que le découragement ou la paresse. Dieu bénit et apprécie uniquement la persévérance et la patience active. Dans cette construction, les poteaux qui forme l’enceinte extérieur du parvis et du lieu saint ont une base « d’airain » qui symbolise le péché terrestre qui va se prolonger jusqu’au retour en gloire de Jésus-Christ. Son incarnation eut pour but d’entrer en contact direct avec les humains pécheurs.

Dans ce même lieu saint, des motifs apparaissent sur le voile en couleurs bleu et rouge ; le bleu pour le caractère céleste et le rouge pour la couleur du péché qui est celle du sang humain et animal. Esaïe 1:18 confirme, disant : «Venez et plaidons ! dit YaHWéH. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s'ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. » De plus, Jésus est venu sur la terre pour porter les péchés de ses élus afin de les expier à leur place. Et ce message fut délivré symboliquement lorsque les Romains jetèrent sur les épaules du Christ une tunique rouge pour confirmer son titre de roi des Juifs avant d’enfoncer sur son crâne une couronne d’épines en guise de couronne royale. Leur cruelle moquerie portait un message divin bien réel car il était réellement le « roi des Juifs », et plus encore, il était le « Roi des rois et le Seigneur des seigneurs » aux multiples « couronnes ou diadèmes », selon Apo.19:12 : « Ses yeux étaient comme une flamme de feu ; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes ; il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n'est lui-même ; ».

Le sanctuaire est devenu une pierre d’achoppement pour l’Adventisme naissant. Déjà, une mauvaise traduction lui a fait injustement tenir un rôle dans le décret de Daniel 8:14, pendant la construction des bases doctrinales de l’Adventisme du septième jour. Quand il ne les comprend pas, l’homme religieux prend les paroles et les images des visions divines dans leur sens littéral, oubliant ces paroles de Jésus, citées dans Jean 6:23;  « C'est l'esprit qui vivifie ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie. » La subtilité spirituelle est une spécialité de l’Evangile de Jean, je l’ai beaucoup lu et écouté en enregistrement audio, si bien que sa haute spiritualité m’est devenue familière. Et je ne suis donc pas tombé dans le piège du littéralisme dans lequel s’achoppent beaucoup de croyants. Si bien qu’en entrant dans l’Adventisme j’ai tout de suite saisi le rôle symbolique du sanctuaire hébreu réalisé selon le modèle que Dieu a fait voir, en image virtuelle dans une vision construite dans ce but, à Moïse alors qu’il était auprès de Dieu sur la montagne du Sinaï. L’Adventisme s’est imprégné de l’idée qu’il y a dans le ciel un sanctuaire qui a servi de modèle pour construire celui de la terre. Mais je suis convaincu que ce n’est pas le cas et que le sanctuaire terrestre ne porte qu’un message symbolique et prophétique utile, uniquement, jusqu’au retour en gloire de Jésus-Christ. Car en fait, Dieu a donné plusieurs sens à ce sanctuaire. Et en premier, Jésus a comparé son corps à un temple, ensuite Paul nous apprend que l’Eglise est le corps du Christ, et il en est aussi de même de manière individuelle, notre corps est aussi le temple de Dieu dans lequel, en Jésus-Christ, Dieu vient habiter en nous. Nous retrouvons ainsi le projet prophétisé par Dieu dans Exo.25:8 où il dit à Moïse : « Ils me feront un sanctuaire, et j'habiterai au milieu d'eux. Vous ferez le tabernacle et tous ses ustensiles d'après le modèle que je vais te montrer. » Le sanctuaire de l’ancienne alliance ne faisait que prophétiser le projet de Dieu d’habiter dans l’âme de ses élus. Dans cette ancienne alliance, les Hébreux n’ont pas été sélectionnés en tant qu’élus et c’est pourquoi, en hommes ordinaires et rebelles, ils n’ont pas supporté que Dieu vive au milieu d’eux et ont voulu le remplacer par un roi comme les peuples païens de leur époque. Dès que le peuple religieux est organisé en collectivité, l’échec est assuré,  car l’alliance juive et les alliances chrétiennes ont toutes échoué, successivement, collectivement, parce que le projet de Dieu ne peut réussir qu’individuellement. Et il en est ainsi tout au long des 6000 ans de sa sélection d’élus terrestres, et dans 1 Cor 11:17, l’apôtre Paul en témoigne déjà à son époque : « En donnant cet avertissement, ce que je ne loue point, c'est que vous vous assemblez, non pour devenir meilleurs, mais pour devenir pires ».

Le rôle du sanctuaire a donc été de mettre en scène le plan du salut préparé par Dieu, et les nombreux éléments qui le composent n’ont pour but que de nous révéler les choses auxquelles Dieu donne une importance vitale. Découvrir les secrets qui concernent ce sanctuaire revient donc à augmenter notre connaissance du vrai Dieu créateur, parfait dans l’amour et la justice, et de découvrir la norme de son jugement, pour chaque époque vécue.

Pour les besoins provisoires du moment, en 1844, Dieu a donné la vision de Jésus officiant en Souverain sacrificateur dans un sanctuaire présumé céleste, à trois Adventistes. Jésus n’a fait qu’utiliser cette image pour adresser aux Adventistes bénis le message dénonçant le retour de la pratique du péché dans l’Eglise chrétienne. L’image donnée, celle de l’action rattachée au « jour des expiations », laissait entendre que le peuple infidèle avait rétablit la situation des pécheurs telle qu’elle était avant sa mort expiatoire. En retournant dans le péché, en 313, la religion chrétienne avait trahi le pacte de la nouvelle alliance, et par la vision donnée, les Adventistes auraient dû comprendre que Jésus refusait sa grâce aux chrétiens qui pratiquaient les péchés hérités de l’église papale romaine. A cette époque, la fausse traduction de Daniel 8:14, « le sanctuaire sera purifié » prenait tout son sens, car « le sanctuaire » spirituel qui désigne collectivement l’Eglise du Christ devait être « purifié » par l’abandon des péchés romains. Plus tard, vers 1991, Dieu m’a conduit à rendre à ce verset de Daniel 8:14 sa traduction correcte : « la sainteté sera justifiée ». Cette remise en question de la « sainteté » concernait précisément la fausse « sainteté » de l’église adventiste officielle, de cette époque. M’ayant fait annoncer son retour pour 1994, Jésus n’a pas retrouvé en 1991 la foi démontrée par les Adventistes de 1843 et 1844 lorsqu’ils reçurent la même annonce ; en conséquence, il a vomi cette « sainteté » indigne après la date 1994 et lui a refusé sa « justice ».  Et dès le début de l’année 1995, en signe de confirmation de ce rejet, l’adventisme officiel est entré dans l’alliance protestante qui honore le jour du repos romain : le dimanche du vrai premier jour selon Dieu.

 

A l’heure où le développement de l’informatique et de l’électronique permet à l’homme de construire des robots actifs, nous pouvons, plus que jamais, réaliser combien sa création de l’homme révèle l’immense gloire du Dieu vivant. Car si l’homme assigne et « programme » des taches à remplir pour ses robots, avant lui en le créant, Dieu en a fait tout autant, à cette énorme différence près  qu’il a donné à sa créature une vie libre et indépendante, capable de fixer ses choix et devant, à ce titre, en assumer toutes les conséquences.

Le sanctuaire entier était en fait l’image de la créature humaine parfaite faite à l’image de Dieu telle qu’elle n’a existé que deux fois, la première dans le premier Adam pur et innocent, et la deuxième, dans le deuxième Adam, dans la parfaite pureté de Jésus-Christ. Le « sanctuaire » était l’image du « programme » que Dieu avait pour l’homme en lequel son Esprit pouvait et pourrait à terme habiter. Le lieu saint était l’image du corps humain et « le lieu très saint ou Saint des saints » symbolisait cette cohabitation divine qui prit fin à cause du péché de l’homme. En conséquence, le voile infranchissable est tombé du ciel séparant l’homme de Dieu comme les deux pièces du sanctuaire. C’est pourquoi, en expiant le péché de ses élus, Jésus leur a offert le bénéfice de sa « justice éternelle » ; ce que Dieu a confirmé en déchirant le voile du temple, mettant ainsi fin à cette séparation entre lui et sa créature rachetée, appelée, et élue, dans laquelle il va restaurer l’image de Jésus-Christ soit, l’image de Dieu. Et à ce stade, le plan du salut préparé par Dieu atteint son but et s’accomplit parfaitement en offrant à Dieu et ses rachetés un bonheur parfait rendu possible, qui va se prolonger éternellement, dès le début du septième millénaire qui vient au printemps de l’année 2030.

Si notre corps est le sanctuaire de Dieu, ce corps est alors d’une très haute sainteté. Et nous pouvons ainsi mieux comprendre que nous sommes tenus d’honorer ce corps, de le respecter afin de ne pas lui nuire. Ce message avait été clairement compris et exprimé par Paul dans 1 Cor.6:19 : « Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ? » Le choix de notre nourriture n’est donc pas innocent, car notre corps est fait de ce que nous mangeons et il en est de même de la nourriture de notre esprit, dont le besoin vital est la parole de Dieu et ses enseignements soit, « le pain » ou « la manne » de notre existence.

Ces Vérités ont été clairement démontrées et expliquées aussi, si quelqu’un veut les contester, il peut le faire mais ce sera à ses dépens, car finalement, il sera confronté au Dieu Créateur en personne qui lui donnera tort et le condamnera. Il ne pourra alors que regretter, trop tard, de s’être montré aussi négligeant, imprudent ou arrogant.


Vérités difficiles à entendre mais bonnes à écouter

 

Au titre de serviteur de Dieu en Jésus-Christ, je partage avec lui la guerre qui l’oppose à la pensée humaniste terrestre. Aussi, armé de la cuirasse de sa justice, du bouclier de la foi, du casque du salut, et de la ceinture de sa vérité, je me saisis de l’épée de son Esprit saint pour combattre et dénoncer la fausseté et l’injustice qui caractérisent fondamentalement la société humaine terrestre.

Mais avant d’évoquer les divers aspects de l’injustice humaine, tournons notre attention vers l’unique modèle de parfaite justice que Dieu représente et qu’il est venu incarner en Jésus-Christ au sein même de l’humanité pécheresse. Revenons au début de toutes ses créations de vis-à-vis libres. Dieu donne une totale liberté à toutes les créatures qu’il va créer. Pourquoi agit-il ainsi ? Parce qu’il est assoiffé d’amour et veut ressentir l’amour librement donné par ses créatures. Hélas, ce projet merveilleux va porter un inconvénient inévitable : dans sa liberté, la créature peut aussi ne pas aimer Dieu et se rebeller contre lui. Dieu le sait, mais son désir d’amour est plus fort que les problèmes des rébellions. De toute façon, à terme, il ne laissera vivre éternellement que les créatures qui s’en seront montrées dignes. Cependant, la destruction des vies rebelles peut lui être imputée comme une action injuste, puisqu’il a lui-même donné à ses créatures, la liberté de se rebeller contre lui. Les détruire systématiquement serait possible, mais il agirait alors, comme un tyran, comme l’humanité va plus tard en produire en grands nombres. Et là, se présente le nœud du problème que Dieu doit résoudre et défaire. Ce problème tient à son caractère et sa nature parfaitement justice et amour, car il est si parfaitement l’un et l’autre, qu’il lui est impossible de commettre une action qu’il pourrait juger lui-même injuste. En fait, pour être plus clair encore, disons que Dieu ne peut rien exiger de la part de ses créatures qu’il n’exige de lui-même. Aussi, va-t-il former le projet d’entrer dans la norme de la vie humaine, pour prouver qu’il n’exige de ses élus que ce dont il s’est montré capable lui-même, dans les mêmes conditions de vie  humaine. Et pour le grand Dieu créateur, c’est une règle et une loi permanente, éternelle, comme son existence. Dans toute la Bible, Dieu rappelle son exigence de justice, mais cette norme est si parfaite et élevée que l’être humain ne parvient pas à la définir telle qu’elle est. Ce n’est pas sans raison que dans ses béatitudes, en Jésus-Christ,  Dieu a dit : « Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront rassasiés ». Les régimes formés sur la terre, aussi différents et opposés soient-ils, sont incapables de répondre pour satisfaire cette « faim et soif de justice » parfaite. Qui peut éprouver cette « faim et soif » de vraie « justice » ? Les élus, les bien-aimés, ceux qui apportent à leur Créateur, l’amour qu’il est venu gagner et mériter par l’offrande de sa vie, meurtrie et crucifiée pour expier leurs péchés. Et là encore, dans cette démonstration, d’abnégation totale, Dieu devance sa créature et témoigne de la force et de la puissance de son amour pour elle, en sorte qu’à son tour, il est en droit d’exiger la réciprocité de sa part. Dans son enseignement, Jésus se place toujours devant, en premier, parce qu’il exige de ses élus qu’ils se montrent capables d’agir comme il l’a fait pour eux. Le grand tri que Dieu réalise au nom de Jésus-Christ ne peut sélectionner que des êtres qui aiment et partagent totalement son sens de la parfaite justice. Et je le répète, son sens de la justice est si total qu’il ne peut pas se permettre d’agir lui-même injustement. C’est par cette différence qu’il se distingue de ses créatures rebelles célestes et terrestres, ceci en incarnant sa nature parfaite dans l’homme Jésus en lequel il révèle toute sa beauté morale. Dieu est si parfaitement amour et justice que sa gouvernance ne peut qu’être construite sur l’idée du partage et du parfait partage. C’est donc bien une vraie démonstration de l’idéal céleste éternel que Jésus est venu démontrer en se faisant serviteur de ses serviteurs. Et là encore, dans cette action concrète et visible, il s’est distingué des faux serviteurs qui ont prétendu le servir et le suivre. Toute la leçon que Jésus a voulu donner à ses élus, afin qu’ils sachent et connaissent la norme de vie qu’il leur propose, tient en ses propos cités dans Jean 13:13 à 17 : « Vous m'appelez Maître et Seigneur ; et vous dites bien, car je le suis. Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres ; car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait. En vérité, en vérité, je vous le dis, le serviteur n'est pas plus grand que son seigneur, ni l'apôtre plus grand que celui qui l'a envoyé. Si vous savez ces choses, vous êtes heureux, pourvu que vous les pratiquiez. » Et le sujet de mon étude est entièrement confirmé par cette phrase dite par Jésus : «  car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait ». L’exemple que Jésus donne à tous ceux qui vont lire ses paroles, c’est un modèle de la parfaite humilité qu’encore, l’homme a beaucoup de peine à appréhender tant son niveau est élevé. La chose est difficile à comprendre pour un être humain, mais aussi puissant et glorieux qu’il soit, Dieu n’a pas en lui une once d’orgueil. Il est fier d’être ce qu’il est, parce que cette fierté est légitime, juste et méritée, mais cette fierté n’atteint pas le niveau de l’orgueil. En Jésus, Dieu l’a démontré, il n’éprouve pas le besoin de s’élever au-dessus des autres, car son plaisir est dans le partage et la véritable égalité. L’expérience du lavement des pieds est un modèle parfait de l’abaissement dont il s’est montré capable. Et celui qui se montre capable d’agir comme lui sans ressentir le moindre malaise ou la moindre réticence est sensé prouver qu’il partage le niveau d’humilité requis par Dieu pour l’élu qui doit partager son éternité. Il trouvera dans le royaume céleste éternel en Jésus et ses autres élus, le compagnon idéal qui permettra une vie collective éternelle sans nuage, sans accroc, sans dispute. La leçon de ce lavement des pieds n’est comme Jésus le précise qu’un exemple ; ce qui signifie que cette humilité ne doit pas se restreindre à cette cérémonie religieuse, mais qu’elle doit représenter un critère de caractère permanent et constant de la vie entière de l’élu. L’exigence de Dieu de cette parfaite humilité facilite son tri, car rares, extrêmement rares, sont les êtres célestes et terrestres qui manifestent cette absence d’orgueil et ce haut niveau d’humilité. Et il est heureux que Dieu ne se laisse pas tromper par le faux semblant des comportements humains dans les rites religieux. Car ces rites servent de masques derrière lesquels, règne la plus parfaite hypocrisie. Mais heureusement, Dieu ne peut-être trompé par personne, et son jugement basé sur la connaissance de la pensée humaine lui assure un tri parfaitement juste et réussi.

Pour résumer ce qui vient d’être dit, retenons l’idée que contrairement à sa créature qui peut se montrer injuste, Dieu ne le peut pas, étant dans sa nature, parfaitement juste et amour. Pourrait-il être juste sans être amour ? Non. Pourrait-il être amour sans être juste ? Pas davantage. Aussi peut-on dire que son amour est justice et que sa justice est son amour. Mais comparer l’amour à la justice donne à cet amour une norme très différente de celle que l’humanité lui donne. Pour les êtres humains l’amour est ressenti comme un sentiment. En serait-il différent pour Dieu ? Je ne le pense pas, car le sentiment est une création divine que Dieu peut éprouver lui-même, puisqu’il cherche ce sentiment agréable pour lui et ses « bien-aimés » auxquels il donne vie. Le sentiment est donc légitime, mais selon Dieu, il n’a cette légitimité que dans son accord avec la parfaite justice. Et c’est là que se présente le problème de l’humanité et des anges coupés de Dieu, séparés les uns et les autres de lui, par le péché, l’attitude rebelle contestataire et méprisante.

Dans notre humanité, on parle beaucoup d’amour, on le chante, le filme, et l’exalte, en vers ou en prose. Mais au nom de l’amour, on tue, on détruit aussi des vies. Et Dieu lui-même finira par livrer à la « seconde mort » les vies célestes et terrestres rebelles par amour de ses élus. Comment pourrait-il leur offrir une vie éternelle de bonheur, sans cette élimination totale et définitive du mal ? Ce bonheur serait impossible, mais le projet de Dieu sera tenu. Il donnera à ses élus le bonheur promis au prix de la destruction de tout esprit rebelle, ingrat et malfaisant.

Sur la terre, les êtres humains subliment l’amour « éros » grec, cet amour charnel, qui conduit les humains mâles et femelles à s’accoupler. En théorie, un sentiment d’amour partagé devrait être la cause de ces accouplements, mais le plus souvent, le sentiment ressenti n’est qu’une passion passagèrement inspirée par les démons, qui profitent de leur invisibilité et de l’incrédulité de leurs victimes humaines, pour leur faire éprouver des sensations qu’ils provoquent en elles. Ignorant le plus souvent l’existence de ces démons, les couples formés sont totalement dépendants de la volonté de ces démons qui peuvent leur permettre de vivre plus ou moins longtemps dans un sentiment passionnel partagé, puis de leur inspirer un profond dégoût l’un envers l’autre. En conséquence, le nombre des divorces augmente et les êtres humains roulés et trompés prennent de la distance avec l’engagement du mariage. On peut ainsi déjà comprendre que ce modèle de vie en couple ne correspond pas à la norme du modèle idéal que Dieu a voulu lui donner. Et ceci à juste titre, parce que son modèle ne concerne que l’amour partagé entre Christ et son Eglise, son Assemblée d’élus rachetés par son sang. Le modèle du couple humain terrestre était condamné d’avance à échouer, à cause des défauts de caractère de l’un ou l’autre, voire des deux personnes accouplées. Ainsi, le modèle, « Adam et Eve », était condamné à échouer, alors que le modèle du nouvel Adam, « Christ et son Elue », allait être sublimé pour l’éternité.

Une bonne raison de voir le couple humain échouer tient dans l’absence de leur sens de la justice. Un véritable appelé destiné à l’élection divine ne peut pas se permettre de tromper son épouse et réciproquement, la femme type de l’élu ne peut pas tromper son mari. Pour un élu, la tromperie est une action diabolique totalement condamnée par lui et par Dieu. Mais pour les humains normaux, la tromperie est légitime, puisqu’ils ne font que suivre les choix ressentis dans leur âme. Il en est de même au sujet du déviationnisme sexuel qui est à l’origine des révolutions LGBT et autres perversions mentales et morales. Tout ce que l’humain ressent ou éprouve est légitimé, par le raisonnement scientifique des hommes et des femmes qui prévaut en la matière. La Bible condamne clairement ces choses, mais peu importe, elle est elle-même, soit ignorée, soit méprisée, même par ceux qui la lisent. Alors, comme des moutons suiveurs, les masses humaines, un moment réticentes, finissent par accepter et légitimer, l’inacceptable, odieux, scandaleux et abominable pour Dieu et ses élus.

Foulant aux pieds le pur amour divin, l’humanité exalte l’amour humaniste. Et déjà, je dois dénoncer le caractère impie de ce terme humaniste qui domine dans les esprits de l’humanité actuelle. Qu’est-ce que l’humanisme ? C’est l’opposé, le contraire absolu du déisme qui reconnaît au Dieu créateur son statut de Roi des univers créés par lui, principe de pensée auquel je souscris et pour lequel je travaille spirituellement. Son contraire est donc l’humanisme qui fait de l’homme le but et le moyen qui justifient l’existence de la vie. Dans cette vision des choses, Dieu n’a pas de place. Il est entièrement ignoré. Et cette situation nous permet de mieux comprendre pourquoi Dieu a choisi de rester invisible. Car visible, l’humanité aurait été contrainte d’obéir à Dieu, non par amour, mais parce que mise dans l’impossibilité d’agir autrement. Ainsi, grâce à cette invisibilité, Dieu favorise la liberté liberticide qui conduit l’humanité à avancer toujours plus loin dans ses excès et ses abominations. Cette invisibilité était donc nécessaire pour justifier son tri des âmes créées. Dans Apo.20:12-13, Dieu rappelle cette terrifiante phase de son projet, celle du jugement dernier : « Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs œuvres, d'après ce qui était écrit dans ces livres. La mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et le séjour des morts rendirent les morts qui étaient en eux ; et chacun fut jugé selon ses œuvres. »  Ces « œuvres » auront été manifestées, concrètement et publiquement, à cause de son choix de rester invisible et c’est en fonction de leur norme que, dans son tri, Dieu a jugé leurs auteurs dignes de la « seconde mort » de ce jugement dernier. C’est uniquement cette invisibilité qui a favorisé les excès de la liberté et on peut ainsi comprendre combien ce choix révèle la sagesse de Dieu qui peut ainsi confondre ses ennemis célestes et terrestres, les condamner et les détruire, finalement, en toute justice parfaite, reconnue et approuvée par tous ses anges fidèles et ses élus rachetés également à cause de leur fidélité. Car il est bon de rappeler au monde frivole et adultère que Dieu bénit particulièrement la parfaite fidélité et condamne l’infidélité comme l’indique ce verset de Mal.2:14 : « Et vous dites : Pourquoi ?... Parce que YaHWéH a été témoin entre toi et la femme de ta jeunesse, à laquelle tu es infidèle, bien qu'elle soit ta compagne et la femme de ton alliance ».

Dans son faux amour, l’humanisme place au-dessus de tout, la valeur de la vie humaine. Mais je précise que cet humanisme s’est formé et a atteint sa forme actuelle après 78 années de paix pour le territoire européen occidental soit, depuis le partage de Yalta de 1945, accompli en Crimée, l’objet principal revendiqué par les Ukrainiens et les Russes qui se la disputent en se combattant ; et ceci, au prix de très nombreux morts dans les deux camps. On peut ainsi comprendre la lenteur du développement de cette guerre qui a vocation, à terme, de détruire les nations européennes occidentales et d’autres puissantes nations païennes de la terre. C’est la pensée humaniste qui, croyant avoir atteint un développement irréversible, a conduit nos dirigeants occidentaux à intervenir derrière les USA, pour armer les combattants de l’Ukraine. Ils ignorent qu’ils ont ainsi engagé leur destin et devront subir la colère du camp russe et de ses alliés musulmans.

Dans un aveuglement mérité, des décisions néfastes et dommageables ont été prises en France pour des raisons humanistes, telle que la guerre menée contre le guide Kadhafi dominateur de la Libye. La France l’a combattu pour protéger la vie de la population de l’Est de la Libye gagnée en grande partie déjà, par la cause islamiste du groupe Daesh. Le leader Libyen voulait les détruire et les anéantir, les Français l’ont empêché d’agir et se sont retrouvés, eux-mêmes, ensuite, à combattre cette mouvance islamiste au Mali. Chacun peut relever le ridicule de la situation pour la France et ses dirigeants politiques qui ont ainsi démontré leur manque de perspicacité et de cohérence gouvernementale. Mais, la malédiction divine du pays France et de ses alliés de l’OTAN a été ainsi rendue visible ou détectable. La France, que Dieu a prise pour cible de sa guerre depuis son premier roi Clovis 1er, devra boire jusqu’à la lie, la coupe du vin de sa colère qu’il lui a préparée. Ses ennemis, de jour en jour plus nombreux, domineront sur elle jusqu’à la détruire ainsi que ses partenaires européens.

L’humanisme protège la vie humaine qui lui nuit. Car la valeur donnée à la vie de l’homme est si élevée qu’elle interdit l’exécution mortelle autorisée et conseillée par Dieu qui a dit dans Deu.24:7 : « Si l'on trouve un homme qui ait dérobé l'un de ses frères, l'un des enfants d'Israël, qui en ait fait son esclave ou qui l'ait vendu, ce voleur sera puni de mort. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi. ». Et sois certain, qu’en 2023, Dieu ordonne encore la même peine mortelle pour cette action, car il « ne change pas », comme il l’affirme dans Mal.3:6 : «Car je suis YaHWéH, je ne change pas ; et vous, enfants de Jacob, vous n'avez pas été consumés. » La conséquence de la protection de la vie, des tueurs et des voleurs, est la profusion du mal qui se multiplie à tel point que les prisons sont remplies et ne peuvent plus accueillir les multirécidivistes qui devraient y entrer. La société humaine est peu à peu gagnée par un cancer qui la dévore lentement, progressivement mais sûrement. Et cette remise en question de la condamnation à mort judiciaire est due à cette pensée humaniste qui s’interdit d’enlever la vie à un être humain, même étant le pire des meurtriers.

Dans sa sagesse, Dieu a instauré la peine de mort, non en raison d’une quelconque méchanceté, mais pour cause de nécessité ; ceci dans la même logique qui conduit un chirurgien à sectionner un membre gagné par la gangrène. La clé de cette nécessité est dans le but poursuivi et recherché dans cette expression divine : « Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi.  » Car plus encore que le bien, qui est bien trop rare, le mal se développe et évolue, jusqu’à dominer entièrement le corps de la société humaine. Mais en fonction des choix opérés, l’humanité ne peut pas échapper à son destin final que Dieu présente aux élus de son camp comme une preuve que son jugement porté contre ce modèle était parfaitement justifié. C’est pour offrir cette démonstration à son camp héritier de la vie éternelle que Dieu a créé la terre et ses habitants. Tout se passe donc conformément à son programme, les « bien-aimés » élus et les méchants rebelles déchus portent les fruits de leurs différentes natures.

Le grand Dieu créateur présente une perfection de caractère qui ne comporte ni faiblesse ni excès de force. Ne se laissant pas influencer par ses sentiments, il ne connaît que le principe de la nécessité. C’est à ce sujet que l’humanisme va au-delà des actions divines quand il repousse et rejette le principe de la condamnation à mort de l’être humain coupable qui la mérite. Le méchant voit sa peine commuée en peine de prison dont il ressortira avant la fin du temps prévu pour cause de bonne conduite. Sachant que le malfaiteur est poussé à l’action par les esprits démoniaques, ces démons vont perdre la possibilité de tirer profit du malfaiteur mis hors de la société et donc empêché de lui nuire. Durant le temps de sa détention, ils vont donc s’occuper d’une autre victime, et reprendront leurs actions néfastes avec le premier malfaiteur dès sa sortie de prison. L’intensification du mal est donc directement la conséquence de l’incrédulité humaine qui reste incapable de résister aux démons dont elle ignore l’existence ou refuse de croire à leur existence. Les personnes âgées meurent et disparaissent mais des naissances d’enfants pécheurs viennent les remplacer. Naissant en Occident, dans une société pervertie et convertie au mal, les enfants feront pire que leurs parents et leurs grands-parents, au point que leur conversion religieuse aux normes divines seront devenues impossibles. Pour Dieu, l’heure de mettre fin à l’offre de sa grâce sera alors arrivée.

Après la mort collective du déluge, la mort des Cananéens constitue l’exemple d’un génocide de masse accompli pour la nécessité de protéger le peuple Hébreu qui s’installait sur la terre de Canaan, pour en faire son sol national. Et dans ce génocide, Dieu accomplit la dernière malédiction qui frappa Canaan, le fils de Cham, fils de Noé, qui se moqua de son père qui, rendu ivre par le jus de raisin alcoolisé de sa vendange, se montra nu au milieu de sa tente. Dieu profita de cette faute de Cham pour prophétiser, sur Canaan, la destruction de ses descendants, nécessaire pour donner leur terre à son peuple Israël. Plus que tout être humain encore en vie, Dieu connaît et estime la valeur de la vie de ses créatures, mais à son niveau, seule la vie éternelle est importante. Et les créatures qui ne partagent pas ses normes de vie perdent toute valeur à ses yeux. Pour la sauvegarde de son Israël, les Cananéens idolâtres devaient impérativement disparaître. Dans sa création, Dieu est à l’image du « lion » qui ne tue que pour la nécessité de se nourrir. A l’opposé, image du diable et du rebelle, le « tigre » tue par plaisir de tuer, en plus de son besoin de nourriture. Et le « chat » de nos logis fait de même avec la souris capturée.

A l’image de l’idolâtrie des Cananéens, la conception de l’amour humaniste conduit des familles entières à élever l’amour porté aux membres de la famille, au-dessus de l’amour dû à Dieu. Dans cette masse humaine, des familles chrétiennes ou prétendues comme telles, méprisent les ordres et mises en garde adressés par Jésus-Christ aux candidats de l’éternité céleste. Jésus a pourtant déclaré, dans Mat.10:37-38 : « Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n'est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n'est pas digne de moi ; celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n'est pas digne de moi. » Voici donc encore deux versets qui facilitent le tri humain effectué par Dieu. Mais dira-t-on, n’est-il pas normal pour un père ou une mère d’aimer ses enfants ? Assurément ! Cette réaction est normale, mais ce n’est pas cette normalité que Jésus reproche dans ce verset. Ce qu’il reproche, c’est une inversion des valeurs de l’amour dû aux enfants et de celui qui est dû à Dieu. Car le païen aime ses enfants autant que l’élu peut le faire. Mais le véritable élu que Dieu tient pour son « bien-aimé » a compris que dans cette concurrence d’amour, Dieu est prioritaire. Et ceci, parce que tout ce qui vit lui doit son existence, et que le regard sur la vie entière légitime sa priorité. Celui qui aime son enfant plus que Dieu, ne donne plus à Dieu la priorité qu’il mérite et son comportement est égal à celui du païen incrédule. En créant la vie terrestre, Dieu a mis en route un processus de création de vie qu’il a fait reposer sur l’accouplement sexuel des créatures humaines. Mais l’enfant qui naît, vient en priorité pour Dieu, puisque chance et possibilité lui sont données de devenir un de ses élus, compagnons de son éternité. La vie appartient en priorité à Dieu, et nous devons, uniquement, à son amour, sa bonté, et sa patience, la vie libre qu’il a laissée se développer à côté, mais en dehors de lui. Et c’est parce qu’il respecte le choix humain de vivre sans lui, que l’humanité a survécu jusqu’à nos jours actuels. Celui qui ne partage pas ce point de vue n’a aucune connaissance de Dieu, ni de son projet, ni de son programme et encore moins, de sa pensée secrète cachée.

La créature humaine qui aime son enfant plus que Dieu ne sait pas ce qu’aimer veut dire. Quand Dieu aime, c’est pour offrir le meilleur, alors que lorsque la créature aime de manière humaniste, elle offre le pire. Car pour conserver le minimum de respect et d’affection que l’enfant peut leur apporter et leur rendre, les parents humanistes sont prêts à passer sur les caprices de leurs enfants qui deviennent peu à peu leurs maîtres dominateurs. Dans Dan.11:39, Dieu dénonce le principe par lequel, le régime papal romain allait réussir à se faire honoré lui-même par les masses humaines et les monarques européens : « C'est avec le dieu étranger qu'il agira contre les lieux fortifiés ; et il comblera d'honneurs ceux qui le reconnaîtront, il les fera dominer sur plusieurs, il leur distribuera des terres pour récompense. » Dans cette exemple, nous retrouvons la démarches des parents humanistes prêts à tout faire pour obtenir l’attention de leurs enfants, car eux-aussi ont recours aux cadeaux, pour gagner, sinon le respect, du moins, le regard momentanée de la reconnaissance qui sera suivi par des témoignages d’ingratitude qui rendront vaines toutes leurs tentatives. Et la cause de cet échec, et de la souffrance infligée à ces malheureux parents, est dans leur regard sur la vie. En l’analysant sous le prisme du droit divin, ils n’auraient peut-être pas obtenu de leurs enfants l’amour et l’obéissance qui leur sont dus, mais ils se seraient épargné une douloureuse fausse espérance à leur sujet, et ils seraient tenus par Dieu irresponsables pour la perte de l’âme de leurs enfants rebelles. Mais ayant fait le contraire, ils vont porter la culpabilité de leur mépris témoigné envers Dieu et de la perte de l’âme de l’enfant rebelle qu’ils n’ont pas su, ni voulu, faire obéir à leur volonté et à celle du Dieu vivant. Ces réactions parentales sont directement dues à l’influence de la pensée humaniste qui, en France, a osé interdire les châtiments corporels, se voulant plus sage et plus amour que Dieu qui a inspiré au roi Salomon cette sage ordonnance citée dans Pro.23:13-14 : «N'épargne pas la correction à l'enfant ; si tu le frappes de la verge, il ne mourra point. En le frappant de la verge, tu délivres son âme du séjour des morts. » Et quel est le but de cette consigne divine ? Lui apprendre à obéir, dans la mesure du possible, afin de devenir obéissant envers Dieu lui-même, ce qui sauvera « son âme » de la « seconde mort ». L’homme, connaîtrait-il mieux la vie que son Créateur qui prodigue ce conseil particulièrement éclairé et expérimenté ? Non bien sûr, mais il faut bien que, maudit par Dieu, il construise, lui-même, les causes de sa lente, mais certaine, évolution qui le conduit à sa destruction. Je rappelle que le « malheur » règne lorsque « l’heure » de la domination du « mal » est arrivée. Ainsi pour atteindre ce résultat final, l’enfant rebelle ne devait plus être « dressé », afin d’être de plus en plus rebelle, et de faire le mal jusqu’à sa destruction. Et la situation actuelle ne fait que confirmer ces paroles prophétisées par le « témoin fidèle » nommé Paul, dans sa lettre adressée à son jeune compagnon nommé Timothée soit, dans 2 Tim.3:1 à 7 : « Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là. Il en est parmi eux qui s'introduisent dans les maisons, et qui captivent des femmes d'un esprit faible et borné, chargées de péchés, agitées par des passions de toute espèce, apprenant toujours et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité. » Si je ne lisais pas ces choses dans ma Bible, je pourrai croire qu’elles ont été écrites en notre époque, mais non, c’est bien Paul qui a annoncé ces choses par l’Esprit de Dieu, presque 2000 ans avant notre temps actuel. Ces fruits épouvantables étaient-ils déjà visibles à son époque ? C’est possible, mais dans une moindre mesure qu’en notre temps final. Je rappelle que sans repère au sujet du temps, Paul et les autres apôtres pensaient que la fin du monde était toute proche et ils pensaient que Jean assisterait au retour du Christ en se basant sur les paroles de Jésus qui avait dit, selon Mat.6:28 : « Je vous le dis en vérité, quelques-uns de ceux qui sont ici ne mourront point, qu'ils n'aient vu le Fils de l'homme venir dans son règne. » En fait, seul, Jean a vu le jour de gloire du retour du Christ dans la vision de l’Apocalypse que Dieu lui a donnée au nom même de Jésus-Christ. Mais six jours après cette déclaration, Jésus donna sens à ses propos en étant « transfiguré » sur la montagne, en présence de trois apôtres, « Pierre, Jacques et son frère Jean », selon Mat.17:1 à 3 : « Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques, et Jean, son frère, et il les conduisit à l'écart sur une haute montagne. Il fut transfiguré devant eux ; son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière. Et voici, Moïse et Élie leur apparurent, s'entretenant avec lui. ». Compare cette expression soulignée en gras concernant « son visage », avec celle d’Apo.1:16 : « Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants ; et son visage était comme le soleil lorsqu'il brille dans sa force. » Le lecteur de la Bible non éclairé est loin de saisir la menace terrible que constitue cette comparaison du « visage » du Christ avec « le soleil qui brille dans sa force ». Lors de son retour, Jésus prend, pour cible de sa colère, les adorateurs inconscients du « jour du soleil » païen, le « dimanche » papal utilisé par le diable pour irriter Dieu. Il a réussi à l’irriter et sa colère finale sera dévastatrice.

L’humanisme ne reconnaît et ne s’appuie que sur l’homme, dont les élus connaissent la fragilité, l’instabilité, et la faiblesse. Contrairement au Dieu créateur qui contrôle toute chose, l’être humain ne contrôle rien, mais ne fait que subir les conséquences de ses mauvaises décisions, actions, ou réactions. Ainsi, face à l’évidence d’un réchauffement du climat dû à une intensification de l’activité du soleil, que Dieu peut, seul, avoir provoqué, l’humanisme n’est capable d’imputer la responsabilité de la chaleur constatée qu’à l’activité humaine. Il en résulte des réactions de paniques des organismes écologistes qui font pression sur les gouvernements pour obtenir des changements visant à réduire les dégagements du gaz carbonique des véhicules utilisant le carburant issu du pétrole. Sous cette pression, la voiture électrique semble être la solution, sauf que sa construction produit plus de gaz nocifs que les voitures équipées de moteurs à explosions, à essence ou diésel. La panique est justifiée, mais elle ne devrait pas reposer sur ce réchauffement climatique, mais bien plutôt, sur la colère de Dieu qui vient sur les habitants de la terre.

La France, mon pays natal où je suis resté pour y vivre, a témoigné d’un manque d’esprit de justice en de nombreuses fois. Mais c’est aujourd’hui, en 2023 que je relève ces plus criantes incohérences. Ce pays, officiellement monarchiste jusqu’en 1792, puis brièvement de nouveau sous Louis XVIII et Charles X, est devenu une République suite à sa Révolution nationale engagée en 1789. De République en République, la cinquième forme ressemble, comme une goutte d’eau à une goutte d’alcool, au régime monarchiste du début ; si l’on veut bien honnêtement en juger par les pleins pouvoirs donnés à son « Président » national. Ce pays a donc, dans son histoire, un renversement brutal et sanglant du pouvoir royal légitimé jusqu’en 1792. C’est pourquoi, je trouve vraiment paradoxal et totalement injuste, le jugement que son chef actuel porte sur les divers renversements de pouvoirs auxquels nous assistons depuis 2013. En cette année 2013, à Kiev, un « putsch » civil renverse le président russe légitimement élu : la France approuve. En 2023, au Niger, un « putsch » militaire et civil, renverse son président légitimement élu : la France désapprouve et refuse de reconnaître les nouveaux maîtres du pays. Le pire arrive le 28/08/2023 quand, dans un discours tenu devant les ambassadeurs du pays, le jeune président français explique que sa politique est un modèle de cohérence…Les bras m’en tombent. Inconscience ou folie ? De toutes les façons, ce comportement est la conséquence d’une terrible et longue malédiction divine. Et désormais, en moutons alignés derrière leur président, les Français vont payer, en premier, leur mépris pour le Dieu créateur et sa vérité, et ensuite, leur lâcheté, leur désintérêt pour leur patrie, et leur soutien aveugle à l’idéologie humaniste. Je retrouve en eux, l’esprit de Babel manifesté par leur espérance mondialiste du rassemblement et du partage des peuples de toute la terre. Aussi, logiquement, des représentants de tous ces peuples immigrent chez eux, augmentant la dépense sociale de leur prise en charge par la nation. En conséquence, la part du gâteau national se réduisant, le chef d’Etat annonce la fin des aides financières accordées aux Français de souche et aux immigrés pauvres du pays. Mais c’est une histoire qui doit finir très mal pour tous ; les accueillants et les accueillis. Je veux aussi dénoncer le cynisme naturel de ce jeune homme fils de riches de formation bancaire. Son cynisme est révélé dans sa manière de présenter les aides financières qu’il fait donner aux travailleurs pauvres. Il ne montre que mépris et souligne l’aide qu’il donne sans se soucier de l’égalité de sa démarche. Son appel aux bon vouloir des entrepreneurs pour que ceux qui acceptent la chose, donne un chèque de cent euros à leurs employés pauvres a été un modèle du genre dans son mandat présidentiel précédent, lors des manifestations de ces pauvres regroupés sous l’égide du « gilet jaune » utilisé pour la protection routière. Soucieux de séduire le peuple, le jeune président fait disparaître l’impôt direct et s’en montre très fier espérant de la reconnaissance. Mais dans le même temps, ses initiatives provoquent un renchérissement de la vie qui dépasse les économies obtenues par la suppression de l’impôt direct qui est lui très visible et défavorablement accueilli. La séduction est aussi dans sa jeunesse, son aptitude à faire de long discours pleins de contradictions que personne n’ose relever. Mais la souris ne peut plus se soustraire au regard du serpent séducteur ; son sort est scellé, définitivement scellé. Cette comparaison avec le serpent ouvre la voie à un enseignement d’une grande richesse. Car la vue est pour l’homme la cause principale de son incrédulité, d’une part, et d’autre part, elle est la cause du péché originel commis par Eve au moment où elle se trouva seule, sans Adam, son époux. Nous lisons en effet dans Gen.3:6 : « La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea. » Dans ce verset, l’Esprit insiste sur la vue de la première femme, Eve. Mais au verset 7 qui suit il révèle la conséquence de la consommation du fruit défendu qui instaure le péché originel qui est donc la désobéissance aux ordres donnés par Dieu : « Les yeux de l'un et de l'autre s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s'en firent des ceintures. » La chose est subtile, mais en réalité, au lieu de « d’ouvrir leurs yeux », le péché consommé a eu pour conséquence de « fermer leurs yeux » sur la réalité divine, la sensualité spirituelle, et ils sont devenus, uniquement, sensuellement charnels, trouvant anormale leur nudité physique. De même, leur intelligence fut fermée et réduite et dès lors, soumise uniquement à la tyrannie de leur cinq sens basés sur le fonctionnement de données envoyées au cerveau par cinq organes récepteurs qui sont : les yeux pour la vue, les oreilles pour l’audition, le nez pour l’odorat, le goût pour le palais et la langue, et les mains et les doigts et la surface de leur peau pour le toucher. Dès ce moment, l’œil est donc devenu l’ennemi mortel de l’homme, et Jésus a tenu à rappeler cette chose en multipliant ses leçons. Il dit, dans Mat.6:22-23 : « L'œil est la lampe du corps. Si ton œil est en bon état, tout ton corps sera éclairé; mais si ton œil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes ces ténèbres ! » Ici encore, Jésus ne parle de « l’œil » que pour enseigner qu’il peut tromper l’être humain. En bon état, « l’œil » contemple et admire les œuvres créées par Dieu, il éclaire donc le corps humain d’une lumière divine ; en mauvais état, il ne voit que des choses que la nature lui présente, et le corps humain est donc plongé dans de profondes ténèbres. Jésus dit aux voyants incrédules qu’ils sont aveugles. Il donne ainsi à ce terme « aveugle » un sens spirituel qui dénonce le mauvais état de leur « œil ». Jésus fait uniquement le bien, il accomplit d’innombrables miracles, guérit les malades, ressuscite les morts et donne ainsi le témoignage de sa mission messianique prophétisée dans les saintes Ecritures et il le rappelle à Jean-Baptiste, le plus coupable des incrédules, selon son juste jugement. Voici le déroulement des faits présentés dans Mat.11:2 à 6 : « Jean, ayant entendu parler dans sa prison des œuvres du Christ, lui fit dire par ses disciples : Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? Jésus leur répondit : Allez rapporter à Jean ce que vous entendez et ce que vous voyez : les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent, et la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres. Heureux celui pour qui je ne serai pas une occasion de chute ! » Jean-Baptiste est ainsi donné en exemple de l’homme pour lequel Jésus-Christ a été « une occasion de chute ». Et Jésus confirme la chose, en disant au verset 11 : « Je vous le dis en vérité, parmi ceux qui sont nés de femmes, il n'en a point paru de plus grand que Jean Baptiste. Cependant, le plus petit dans le royaume des cieux est plus grand que lui. » Ayant reçu du ciel le témoignage de Dieu au moment où il baptisa Jésus, sa question, « Es-tu celui qui doit venir ou devons-nous en attendre un autre ? », révèle toute son incrédulité personnelle. Et note-le, à cette question, Jésus ne répond pas par un oui ou un non, mais il laisse Jean décider librement de ce qu’il doit croire ou ne pas croire, lui rappelant simplement des accomplissements des choses prophétisées dans la sainte Bible. « L’œil » de la foi autorise la compréhension des mystères divins et c’est ce qui explique ce message d’Esaïe 44:18 : « Ils n'ont ni intelligence, ni entendement, car on leur a fermé les yeux pour qu'ils ne voient point, et le cœur pour qu'ils ne comprennent point.» Jésus reprend ce message, donnant les raisons qui conduisent Dieu à agir ainsi, en disant dans Mat.13:13 à 17 : « C'est pourquoi je leur parle en paraboles, parce qu'en voyant ils ne voient point, et qu'en entendant ils n'entendent ni ne comprennent. Et pour eux s'accomplit cette prophétie d'Ésaïe : Vous entendrez de vos oreilles, et vous ne comprendrez point ; vous regarderez de vos yeux, et vous ne verrez point. Car le cœur de ce peuple est devenu insensible ; ils ont endurci leurs oreilles, et ils ont fermé leurs yeux, de peur qu'ils ne voient de leurs yeux, qu'ils n'entendent de leurs oreilles, qu'ils ne comprennent de leur cœur, qu'ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse. Mais heureux sont vos yeux, parce qu'ils voient, et vos oreilles, parce qu'elles entendent ! Je vous le dis en vérité, beaucoup de prophètes et de justes ont désiré voir ce que vous voyez, et ne l'ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l'ont pas entendu. » Aujourd’hui ce privilège nous concerne, moi qui écris cette « manne » de vérité, et toi qui la lis, l’approuve, et la mange, en la recevant dans ton esprit et dans ton cœur.

Les incohérences du président français ne sont que les conséquences d’un rêve de stabilité internationale qu’il « voit » s’évanouir et disparaître devant ses yeux. Et dans la situation qui s’impose à lui, jour après jour, il tente de sauvegarder des intérêts nationaux commerciaux et politiques qui se réduisent progressivement ; les amis d’hier devenant les ennemis du jour et de demain. Le président français et ses alliés occidentaux sont l’image de ces gens que Jésus dit « aveugles ». Car « ils ne voient pas », la puissance de nuisance réelle que représente le camp de la Russie, et témoigner d’hostilité envers elle, c’est se condamner à mourir soi-même, dans une guerre impitoyable, monstrueuse, dévastatrice, à cause de l’emploi final des armes nucléaires qui seront utilisées pour accomplir la destruction massive prophétisée par Dieu dans Dan.11:44 et Apo.9:15.

Ce que nous avons à vivre depuis quelques années est une reproduction de l’expérience vécue par l’Egypte à l’époque où Joseph, l’Hébreu, devint le grand Vizir du pays. La vision donnée par Dieu, de « sept vaches grasses suivies par sept vaches maigres », se renouvelle, en notre temps, dans la France européiste maudite par Dieu, à cause de son régime du péché national imité par de nombreux peuples, sur toute la terre, mais surtout, dans le monde occidental. Entre 1945 et 2022, l’économie française n’a pas trop souffert des changements politiques accomplis dans le pays et dans le monde. Mais depuis 2022, la crise énergétique et les sanctions prises contre la Russie ont engagé le processus de la dernière décroissance et la descente aux enfers vers la ruine totale, en sorte qu’il est facile d’identifier les « sept années » comprises entre le printemps 2022 et le printemps 2029, comme représentant nos « sept années de vaches maigres ». Mais les deux expériences ne sont pas identiques, car, contrairement à la « France Egypte » de notre temps, « l’Egypte » de Joseph fut avertie et ainsi, protégée par les sages initiatives prises par le serviteur béni par Dieu. Il fit construire des silos et mit à profit le temps des « sept années de vaches grasses », pour stocker le grain récolté. En 2022, la crise est tombée brutalement, sans que quiconque ne s’en soit douté ; même moi, son serviteur inspiré et éclairé, je n’ai pas été averti par l’Esprit de la forme précise que la Troisième Guerre Mondiale allait prendre dans son début. La raison de cette ignorance est que cette fois, le malheur devait surprendre et prendre au dépourvu toute l’humanité insouciante et perverse, sans qu’elle puisse se protéger. Et l’effet de surprise a été total et efficace, car l’humanité occidentale spéculait sur un avenir radieux et prospère, pensant qu’il n’y aurait plus aucune grande guerre à redouter. Les budgets militaires ont été réduits au minimum pour favoriser les investissements dans le progrès scientifique, technique et technologique. Dans ce regard optimiste, l’argent est devenu la seule vraie valeur de toute la société ; pour le pauvre parce qu’il ne peut rien obtenir sans lui, et pour le riche, parce que son seul plaisir est de se rendre de plus en plus riche. Mais arrive le 24 Février 2022, et dans la suite du temps, les sanctions prises contre la Russie, et l’arrêt de l’achat du gaz russe, renversent d’un seul coup tout l’équilibre économique du monde occidental, avec toutes ses conséquences pour les pays du tiers monde qui dépendent d’eux, en Afrique et ailleurs. C’est ainsi, que ce déséquilibre politique et économique a provoqué le récent retournement du Niger contre la France, après ceux du Mali et du Burkina Faso. Sous nos yeux, nous voyons se former le camp hostile, et bientôt, agresseur, du camp occidental, conformément aux rôles du « roi du midi et du roi du septentrion » de la prophétie de Dan.11:40 à 45.

Le peuple français, et les autres peuples de la terre, ne pourront pas comprendre les causes des malheurs qui les frappent, sans les découvrir dans les explications que je présente, à partir des précieuses et saintes révélations bibliques divines. Et face à cette différence d’expérience, ces paroles divines de Mal.3:18    prennent tout leur sens : « Et vous verrez de nouveau la différence entre le juste et le méchant, entre celui qui sert Dieu et celui qui ne le sert pas. » Et la chose fut ensuite confirmée par Jésus-Christ qui s’adresse à ses élus de tous les temps, dans Mat.13:10 à 14 : « Les disciples s'approchèrent, et lui dirent : Pourquoi leur parles-tu en paraboles ? Jésus leur répondit : Parce qu'il vous a été donné de connaître les mystères du royaume des cieux, et que cela ne leur a pas été donné. Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a. C'est pourquoi je leur parle en paraboles, parce qu'en voyant ils ne voient point, et qu'en entendant ils n'entendent ni ne comprennent. »

 

 

 

 

La Loi de Moïse

 

La loi de Moïse, ce n’est pas qu’un concentré de préceptes, d’ordonnances et de commandements de Dieu. C’est aussi, et en premier, la révélation d’une construction d’expériences de vie humaines qui prophétisent le destin religieux du projet conçu par Dieu, tel qu’il doit s’accomplir au cours des 6000 ans fixés, dans ce but, par lui. Et le sujet principal de cette prophétie concerne, bien sûr, l’instauration de la nouvelle alliance basée sur le ministère terrestre du Messie Jésus qui viendra, après 4000 années, expier les péchés de ses élus, afin de leur offrir l’accès à la vie éternelle ; ceci, au nom de sa parfaite justice personnelle offerte en sacrifice expiatoire.

De même que la sanctification du septième jour est réalisée par Dieu dès le début de sa création, avant l’instauration de l’ancienne alliance, Abraham, le modèle humain de la foi, nous est présenté avant cette ancienne alliance. Ce qui fait du sabbat et d’Abraham, des sujets et des modèles qui concernent l’humanité entière et donc, les Chrétiens, dont le salut repose sur la nouvelle alliance fondée sur Jésus-Christ.

Après le péché de désobéissance commis par Eve et Adam, Dieu tue un animal, pour couvrir la nudité des deux pécheurs. Cette peau était logiquement celle d’un jeune bélier comme celui que Dieu donnera en son temps à Abraham pour remplacer son fils Isaac qu’il allait immoler en sacrifice en répondant à l’ordre de Dieu. Et après le symbole de « l’arbre de vie » qui représentait Jésus dans le jardin d’Eden, ce jeune bélier dont la mort fut rendue nécessaire prophétisait la mort de Jésus rendue nécessaire pour expier le péché de ses élus rachetés au cours de toute l’histoire humaine, depuis Adam jusqu’au dernier élu sauvé avant son retour glorieux final attendu pour le printemps 2030. Au temps de la fin, ce message reposant sur la nudité, image du péché qui retire la justice divine, va prendre une importance très grande, puisque l’Adventisme du septième jour rendu universel et béni dans Apo.3:7, depuis 1873, dans l’époque « Philadelphie » (amour fraternel) est jugé « nu » en 1991-1994 soit, dans l’époque « Laodicée » (peuple jugé), dans Apo.3:17. Ce message de « nudité » concerne donc la première et la dernière forme de l’imputation du péché à la femme jusque là justifiée par Dieu. Et ce message concernant le péché imputé à l’Adventisme officiel, est le dernier message que Dieu adresse à ses serviteurs de l’ère chrétienne, avant son retour glorieux qui vient au printemps 2030.

Déjà, la mort d’Abel tué par son frère Caïn prophétise la mort de Jésus tué par ses frères juifs.

L’expérience de Noé prophétise l’inévitable apostasie généralisée qui caractérise à terme toutes les alliances que Dieu fait officiellement avec les êtres humains. Au temps de Noé, la lignée de Seth qui est celle des « fils de Dieu » se corrompt par des mariages avec les « filles des hommes » qui désignent la descendance de Caïn. Les habitants de la terre peuplée de l’époque étant entièrement tombés dans l’apostasie, Dieu décide de les exterminer par les eaux du déluge. Le déluge ordonné par Dieu à cette époque prophétise l’extermination finale des derniers habitants de la terre, qui doit s’accomplir après le retour en gloire de Jésus-Christ. Relève encore la similitude des actions : De même que la lignée de Seth fait alliance de mariages avec celle de Caïn, au temps final de « Laodicée », l’Adventisme du septième jour fait alliance avec la fédération protestante qui pratique son repos hebdomadaire, le premier jour hérité de Rome et maudit par Dieu.

L’expérience du déluge d’eau prophétise donc la phase finale de l’ère chrétienne en laquelle, comme Noé à son époque, les élus, les vrais Adventistes, sont sauvés en bénéficiant de l’alliance fondée sur Jésus-Christ, tandis que le reste des êtres humains est entièrement éliminé. Ici se referme donc, la première partie des messages prophétiques de Dieu.

La seconde partie va commencer avec Abram (père d’un peuple) dont Dieu va changer le nom pour devenir Abraham (père d’une multitude) après sa haute bénédiction et sanctification divine. Abram nait en Chaldée à Ur, dans un contexte de pleine idolâtrie dans laquelle, depuis le déluge, les descendants de Noé sont retombés. La tentative d’unifier à Babel toute l’espèce humaine vivante a échoué, Dieu ayant séparé les êtres humains en leur imposant des langues différentes ; ne se comprenant plus, ils ont été contraints de se séparer et de se regrouper par ce critère d’une même langue parlée et écrite.

Comme Adam, en son temps du commencement, Abraham est un homme choisi par Dieu pour fonder en lui une descendance et un modèle prophétique de l’homme que Dieu peut sauver parce qu’il lui est agréable en se montrant entièrement obéissant. Déjà, Abraham fait mieux qu’Adam, et il devient ainsi digne d’être le père de la lignée dans laquelle naîtra le Christ sauveur. Il est donc porteur de l’image du salut obtenu par la nouvelle alliance. En acceptant d’offrir en sacrifice, son fils Isaac, Abraham anticipe ce que Dieu va devoir faire pour payer le prix du péché imputé à ses élus. Il prophétise donc le principe du rachat, ou rédemption, par lequel, Dieu va satisfaire son exigence de justice parfaite, tout en sauvant, les vies de ses élus qu’il apprécie et aime.

La bénédiction d’Abraham se prolonge jusqu’au fils de son fils Isaac soit, Jacob, que la loi de Moïse nous présente comme type du « violent qui s’empare du royaume des cieux », selon que Jésus a déclaré dans Mat.11:12 : « Depuis le temps de Jean Baptiste jusqu'à présent, le royaume des cieux est forcé, et ce sont les violents qui s'en s'emparent.  ». Il ruse pour s’emparer du droit d’aînesse de son frère aîné nommé Esaü. Il ruse encore pour s’enrichir au service de son oncle Laban, mais il est trompé par cet oncle qui lui impose en première femme Léa, la sœur aînée de Rachel qu’il aimait. Oublions les hommes et regardons vers Dieu qui est l’organisateur de ces faits. Cette expérience n’a que pour but de prophétiser la concurrence future des deux alliances divines successives. Et déjà, dans cette action, Dieu révèle par Laban, sa préférence pour la seconde alliance symbolisée par la sœur aînée Léa. La bénédiction de la nouvelle alliance ouverte aux païens sincères est révélée par les dix enfants mâles, qu’avec sa servante, elle va porter et donner à Jacob. A l’opposé, symbole de l’ancienne alliance juive, Rachel naît stérile et enfante finalement par la bonté de Dieu, deux enfants qui sont « Joseph » et « Benjamin ». Image prophétique de Jésus-Christ, Joseph est vendu, par ses frères, à des marchands d’esclaves. Dieu va l’élever en Egypte au rang de premier Vizir et il dirige pour pharaon tout le pays d’Egypte. Ainsi, de même Jésus sera livré aux Romains par ses frères, afin que, par son sacrifice, il les sauve de la condamnation du péché. Et Dieu organise par une famine meurtrière, le déplacement du peuple de Jacob, pour qu’il soit sauvé en se rendant en Egypte où le frère vendu, a fait faire des silos pour stocker le blé devenu rare dans ce temps de famine.

Mais cette venue de la famille Israël en Egypte n’a pas que le but de la sauver de la famine. Dieu va organiser ce déplacement, principalement pour prophétiser le séjour protecteur de Jésus et sa famille terrestre dans ce pays d’Egypte, selon qu’il est écrit, dans Mat.2:14-15 : « Joseph se leva, prit de nuit le petit enfant et sa mère, et se retira en Égypte. Il y resta jusqu'à la mort d'Hérode, afin que s'accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète : J'ai appelé mon fils hors d'Égypte. » De même qu’Israël fuyait la famine tueuse, l’enfant Jésus et sa famille fuyaient pour échapper à la colère meurtrière du roi Hérode le grand. Le prophète désigné dans ce verset est Osée, et son annonce apparaît dans Osée 11:1 : « Quand Israël était jeune, je l'aimais, et j'appelai mon fils hors d'Égypte. » Seul Dieu pouvait discerner dans ce verset l’annonce concernant Jésus-Christ, car dans l’apparence, celui que Dieu nomme « mon fils » semble concerner l’homme où le peuple nommé « Israël ». Nous pouvons ainsi comprendre que la nation « Israël » représente pour Dieu l’image symbolique et prophétique qu’il présentera en Jésus-Christ qu’il nomme « mon fils ».

Le but de ce séjour en Égypte était de mettre en action la sortie du péché symbolisé par ce pays d’Égypte. Car, ce pays était pour Dieu, doublement, le symbole du péché. D’une part, par l’attitude rebelle désobéissante du pharaon qui va s’opposer aux demandes de Moïse, mais d’autre part parce que ce peuple est le premier adorateur du Soleil que la Bible désigne en particulier. Et nous savons, combien, au temps de la fin, cette adoration du Soleil ou du jour qui lui a été consacré, prend une importance vitale pour les vrais élus justifiés par Jésus-Christ. Depuis 1843, ils doivent rejeter cette pratique qui condamne à la « seconde mort », les gens rebelles qui veulent l’honorer en dépit de l’interdiction de Dieu. Sans être clairement citée, cette interdiction est impliquée, par « sa sanctification du septième jour », lequel concerne le samedi de nos semaines. Et cette condamnation du « dimanche » établi par l’église papale romaine est aussi révélée par la mise en garde de Dieu contre « la marque de la bête » qui désigne ce premier jour, dans Apo.13:16-17 et 14:9 (En opposition à son « sceau » divin qui désigne son « septième jour sanctifié »).

Il est important et vital de comprendre ce qui se passe depuis 1843. Par l’instauration du décret de Daniel 8:14, la pratique du dimanche est condamnée et donne lieu à un retrait de la justice offerte par Jésus-Christ, jusque-là, aux chrétiens protestants. Sur la terre, rien ne semble avoir changé, mais le statut de ce protestantisme a été changé par Dieu, précisément, parce que sa loi a été changée par les hommes, selon Dan.7:25. Depuis 1843, il met à l’épreuve la foi des hommes qui se réclament de la justice de Jésus-Christ et exige d’eux une pratique religieuse parfaite et irrépréhensible sur le plan doctrinal de sa vérité. La foi au retour du Christ et la veille spirituelle qui consiste à rester attentif aux messages prophétiques qui s’accomplissent est une exigence de Dieu, pas une option secondaire laissée au libre choix de ses créatures. La conséquence de l’obéissance ou la désobéissance à cette exigence de Dieu en Jésus-Christ est la vie éternelle ou la mort définitive. C’est en fonction de la réponse positive donnée par sa créature, que Dieu la sanctifie en lui donnant le repos du sabbat du septième jour pour qu’elle le pratique, en signe de sa sanctification par Dieu. Par ce processus, Dieu met en action ce que son décret prophétisait : « la sainteté est justifiée » et la fausse « sainteté » ne l’est plus.

La bénédiction particulière de « Joseph » fils de « Rachel », repose sur l’idée que, bien qu’idolâtre, cette femme était aimée par Jacob-Israël. Et cet amour fait de Rachel la « femme » principale qui représente l’Elue de Dieu. Il utilise les circonstances de sa mort dans laquelle elle enfante son deuxième et dernier fils nommé « Benjamin », pour prophétiser la dernière expérience terrestre de l’Elue chrétienne soit, de l’Adventisme universel éprouvé et purifié, entré dans la dernière attente du retour de Jésus-Christ. Ce message subtilement révélé, confirme la menace de mort portée contre les derniers Adventistes du septième jour qui ne sont plus regroupés en tant qu’institution officielle mais en groupes ou individus dissidents dispersés. Je rappelle que le nom « Adventiste du septième jour » appartient à Dieu et que ce nom définit une confession de foi partagée par les vrais élus du Christ. En tant qu’Adventistes, ils attendent le retour de Jésus programmé pour le printemps 2030, et ils sont « du septième jour », parce qu’ils mettent en pratique le repos du vrai « sabbat du septième jour » qu’ils tiennent pour signe de leur appartenance au seul vrai Dieu créateur révélé en et par Jésus-Christ ; ceci, selon la norme révélée dans Ezé.20:12-20.

En 1843, le décret de Daniel 8:14 ordonne la séparation d’avec le péché, chose que la sortie d’Egypte prophétisait déjà en son époque. Elle prophétisait l’abandon de la pratique du péché par le peuple des élus rachetés par le sang versé par Jésus-Christ, ciblant ainsi l’année 30 de notre ère. La seconde séparation du péché accomplie en 1843 n’est justifiée et rendue nécessaire qu’à cause du rétablissement du péché effectué par le régime papal de Rome depuis 538. Il a confirmé, dans sa doctrine « catholique », la pratique du repos du « premier jour » païen consacré au dieu « Soleil » imposé le 7 Mars 321 par l’Edit de l’empereur romain païen Constantin 1er le Grand. Avec « arrogance », il a rebaptisé ce jour païen idolâtre du nom « dimanche » (jour du Seigneur). Mais rien, de ces choses, ne serait arrivé si Dieu ne les avait pas, lui-même, programmées et faites accomplir. Car les œuvres du camp du diable, comme celles de ses élus, ont toutes été programmées et organisées par lui.

Le séjour en Egypte est doublement placé sous l’égide du ministère prophétique de Joseph et de Moïse. Il est précieux et nourrissant pour notre foi, de relever le fait que ces deux hommes vivent des expériences très ressemblantes. Le premier, Joseph accède à la seconde place du pouvoir égyptien grâce au don prophétique que Dieu lui donne. Nous lisons dans Gen.41:15-16 : « Pharaon dit à Joseph : J'ai eu un songe. Personne ne peut l'expliquer ; et j'ai appris que tu expliques un songe, après l'avoir entendu. Joseph répondit à Pharaon, en disant : Ce n'est pas moi ! C'est Dieu qui donnera une réponse favorable à Pharaon. » La construction de l’Israël terrestre de Dieu, et parallèlement, celle de son Israël spirituel, repose sur le témoignage prophétique qui constitue « la réponse donnée par Dieu », dans tous les temps, dès l’époque de Joseph. Son nom signifie « il ajoute » un fils, selon Gen.30:24 : « Et elle lui donna le nom de Joseph, en disant: Que YaHWéH m'ajoute un autre fils ! » Elle obtiendra bien un autre fils, nommé « Benjamin » mais au prix de sa mort selon Gen.35:16 à 19 : « Ils partirent de Béthel ; et il y avait encore une certaine distance jusqu'à Éphrata, lorsque Rachel accoucha. Elle eut un accouchement pénible ; et pendant les douleurs de l'enfantement, la sage-femme lui dit : Ne crains point, car tu as encore un fils ! Et comme elle allait rendre l'âme, car elle était mourante, elle lui donna le nom de Ben Oni ; mais le père l'appela Benjamin. Rachel mourut, et elle fut enterrée sur le chemin d'Éphrata, qui est Bethléhem. » Ce récit est très riche en enseignement prophétique. Relève que ces actions succèdent au changement de nom de Jacob évoqué au verset 10 : « Dieu lui dit : Ton nom est Jacob ; tu ne seras plus appelé Jacob, mais ton nom sera Israël. Et il lui donna le nom d'Israël. » La chose s’accomplit à « El Bethel » qui signifie : « la maison de Dieu » qui se trouvait en terre de Canaan, la terre du futur Israël national. La mort de Rachel a lieu sur le chemin qui mène à Bethléhem (Notre Maison) la ville où naîtra le Sauveur des élus, Jésus-Christ. Cette mort de Rachel prophétise la fin de l’ancienne alliance judaïque qui s’accomplira au moment où, en Jésus-Christ, la nouvelle alliance en son sang sera instaurée. Et dans Apo.7:8, en plaçant le nom « Benjamin » en dernier des « douze noms » des « douze tribus » symboliques de son Israël spirituel adventiste, l’Esprit de Dieu prophétise la mort que les rebelles voudront faire subir aux derniers adventistes restés fidèles à Dieu et à la pratique respectueuse de son saint septième jour sanctifié. Cette mort ne sera pas subie grâce à l’intervention directe et personnelle de Jésus-Christ qui, revenant en gloire céleste, à la vue des êtres humains, imposera sa puissance et son châtiment mortel à ceux qui voulaient faire mourir ses fidèles élus. L’injuste sentence de ces rebelles retombera sur eux, comme elle était retombée sur le méchant Aman qui voulait faire mourir le Juif Mardochée dans le témoignage du livre d’Esther.

Ainsi, Dieu choisit le moment de la mort de Rachel pour instaurer la formation officielle de son Israël terrestre, prophétisant ainsi sa durée de vie provisoire, parce qu’elle devra cesser et disparaître au profit de la nouvelle alliance fondée sur Jésus-Christ. Et c’est donc dans l’expérience de ce nouveau peuple nommé Israël, qu’apparaît en image de Jésus, le fils aîné de Rachel nommé « Joseph ». Dieu le met à part en lui donnant des visions qui irritent ses frères rendus jaloux, parce qu’en plus, il est le préféré de leur père. Et cet amour du père en fait l’image du fils unique de Dieu qui recevra du Père céleste ce témoignage de Mat.3:7 où nous lisons : « Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection

Israël va donc se rendre en Egypte pour y acheter du grain de blé devenu rare à cause de la famine. Et là, Dieu a fait accéder au pouvoir, le frère vendu aux marchands d’esclaves. Exigeant la venue de Jacob et de son frère « Benjamin », Joseph fait ainsi installer en Egypte toute sa famille qui compte alors 70 personnes. La sortie d’Egypte sera organisée de la même manière que sa venue pour s’y installer. En effet, cette fois Dieu va utiliser Moïse qui lui aussi va grandir dans le pouvoir égyptien, comme Joseph avant lui. Et nous pouvons le comprendre, le véritable but que Dieu a voulu donner à ce séjour de son peuple Juif en Egypte c’est la leçon construite sur sa sortie soit, sa consécration, sa sanctification, qui nécessite sa séparation de ce pays aux mœurs, coutumes et religions païennes idolâtres. Le nom de Moïse signifie « Sauvé des eaux ». Historiquement, ces eaux étaient celles du Nil, le fleuve divinisé par les Egyptiens. Le message prophétisait donc celui du salut divin qui soustrait à la mort qui frappe l’idolâtrie. Et qui reste selon Rom.6:23, « le salaire du péché » : «Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur. »

Selon leur symbolisme, « les eaux » désignent aussi « des peuples » dans Apo.17:15 : « Et il me dit : Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues. » Ainsi le nom Moïse prophétisait qu’il serait sauvé de la main des Egyptiens et de son pharaon qui aurait bien voulu le voir mourir, mais Dieu le protégeait. Enfin, « les eaux », desquelles Moïse fut sauvé, furent une image de celles du déluge qui emporta les vies de tous les pécheurs. Et ce message va trouver sa confirmation dans la traversée de la « mer Rouge » que la sainte Bible présente comme l’image de la traversée de la mort et celle du « baptême », dans 1 Cor.10:1 à 6 : « Frères, je ne veux pas que vous ignoriez que nos pères ont tous été sous la nuée, qu'ils ont tous passé au travers de la mer, qu'ils ont tous été baptisés en Moïse dans la nuée et dans la mer, qu'ils ont tous mangé le même aliment spirituel, et qu'ils ont tous bu le même breuvage spirituel, car ils buvaient à un rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher était Christ. Mais la plupart d'entre eux ne furent point agréables à Dieu, puisqu'ils périrent dans le désert. Or, ces choses sont arrivées pour nous servir d'exemples, afin que nous n'ayons pas de mauvais désirs, comme ils en ont eu. »

Ainsi Moïse fut triplement « sauvé des eaux » et Dieu nous donne en lui, l’image de Jésus-Christ, modèle parfait de ses « bien-aimés » qu’il sélectionne pour en faire les compagnons de son éternité.

 

Cette étude me permet de réaliser et de témoigner combien l’étude des prophéties de la Bible devient nourrissante pour la foi, parce qu’elle apporte à notre intelligence, des découvertes de constructions intelligentes, calculées, qui ne peuvent que provenir d’une pensée vivante éternelle qui est celle du Dieu créateur tout puissant. En effet, pour beaucoup, c’est quoi la Bible ? Un livre qui contient des témoignages auxquels chacun est libre de croire ou ne pas croire, car que sont ces témoignages, sinon des affirmations humaines ? Or, l’affirmation n’est pas une preuve. C’est alors que nous pouvons bénir et apprécier, suprêmement, la mort de Jésus-Christ rendue judiciairement nécessaire pour payer le péché, mais bien plus, sa résurrection, qui nous permet de bénéficier de sa vraie lumière qui éclaire notre intelligence et nous permet de découvrir, dans ses montages prophétiques, des preuves de son action puissante bien qu’invisible, pour le regard humain commun et normal. En effet la reprise du même processus qui conduit ses serviteurs au pouvoir de l’Egypte pour l’installation et la sortie de son peuple est une preuve de la volonté divine qui organise et fait accomplir ces choses. Dans l’ère chrétienne, Dieu va mettre en évidence la durée du régime papal romain persécuteur de 1260 années que nous situons entre 538 et 1798.  Or que se passe-t-il dans ces deux dates ? En 538, la monarchie apporte son soutien et son autorité à l’église papale qui est ainsi instaurée sur Vigile le premier pape en titre, par l’autorité impériale de Justinien 1er. Et exactement à l’opposé, en 1798, ce pouvoir papal est destitué et détruit par l’Etat révolutionnaire français qui met fin au régime royaliste en faisant guillotiner le roi Louis XVI et la reine Marie-Antoinette dans un premier temps et leurs soutiens monarchistes après eux. Le régime papal est ainsi, officiellement, stoppé par la mise en détention, à Valence, dans ma ville, en 1798. Le pape arrêté, Pie VI, y est mort, toujours emprisonné, l’année suivante, en 1799. Ainsi, comme Daniel l’avait enseigné, le régime papal ne reposait que sur « l’artifice et la ruse » soit, en réalité, sur la crédulité que les monarques lui accordaient. Et du jour où ce soutien monarchiste lui a été enlevé, et je le rappelle, car c’est très important, par la force du régime athée français, le régime papal catholique romain s’est écroulé comme un château de cartes.

Après les riches leçons données par l’installation et la sortie des Hébreux du pays d’Egypte, les autres expériences de l’Israël charnel terrestre ne nous apportent que les preuves continuelles que quelques soient les conditions établies, l’humanité finit toujours par tomber dans l’apostasie généralisée. Ainsi l’expérience vécue sous le gouvernement des Juges, puis sous les rois de Juda et d’Israël, confirme cette dérive vers le mal et la malédiction de Dieu. Ceci au point que nous devons considérer cette tendance comme étant le fruit normal porté par l’humanité globale. A l’opposé, la vraie foi obéissante est rare et prend ainsi pour Dieu une valeur très élevée qu’il confirme par ses messages et ses symboles tels que « l’or et les pierres précieuses ». Or, où trouve-t-on ces choses ? Pas à la surface du sol, mais en profondeur, car elles restent bien cachées à la vue humaine superficielle. Nous avons là, l’image d’un message divin subtil, qui s’applique dans la réalité à ses vrais serviteurs, aussi rares et profonds que ces choses terrestres cachées. On comprend alors mieux la valeur qu’il leur donne, en disant dans Zac.2:8 : « Car ainsi parle YaHWéH des armées : Après cela, viendra la gloire ! Il m'a envoyé vers les nations qui vous ont dépouillés ; car celui qui vous touche touche la prunelle de son œil. »

Actuellement, sous nos yeux, ce même Esprit illimité du Dieu tout-puissant s’active à mettre en place les conditions qui vont permettre l’accomplissement de la stratégie de la Troisième Guerre Mondiale. Car à la lumière de l’actualité, la chose se confirme, l’action décrite dans Dan.11:40 n’est pas encore accomplie. Car nous assistons en Afrique à ce que le monde occidental avait appelé « les printemps arabes » désignant par cette expression voulue optimiste, les renversements successifs des dictateurs des pays du Maghreb et des pays arabes ; successivement, l’Iraq, la Tunisie, l’Egypte, la Libye, et la tentative échouée de la Syrie. Nous assistons cette fois à des « printemps africains » dans lesquels des chefs d’Etats sont soudainement renversés par des « putsch » militaires soutenus par les populations civiles. Et ces actions concernent toutes l’Afrique soit, « le roi du midi » de Dan.11:40. En renversant leurs présidents, les peuples africains découvrent la richesse personnelle dont ils disposaient par le moyen de la corruption masquée. Mais, les corrompus étant identifiés, qui sont les corrupteurs ? Les anciens pays coloniaux et leurs agents industriels et commerciaux. Car les fortunes découvertes sont construites par des cadeaux, des dons d’argent et de biens offerts au chef national pour obtenir le marché local et l’exploitation des ressources naturelles du pays : pétrole, gaz, diamants, or, argent, manganèse, bois, et uranium au Niger. Les populations noires vont ainsi réaliser, et certaines le font déjà, que l’indépendance nationale obtenue du pays colonisateur, n’était que factice et trompeuse. Le pouvoir local a été placé entre les mains d’autorités noires corruptibles et corrompues. Mais le grand responsable, c’est le corrupteur, organisateur de la farce trompeuse. C’est alors que la France prend ici un rôle de premier plan, parce que nous savons par la révélation d’Apo.11:7 que Dieu attribue spirituellement soit, symboliquement, les noms « Sodome et Egypte » à Paris, la capitale de la France que sa colère cible particulièrement depuis sa fondation par Clovis 1er. Et l’évolution des esprits qui se sont adaptés à la norme de l’homosexualité justifie en 2023, cette comparaison avec « Sodome », plus que jamais. Au début, l’homosexualité était jugée malsaine et condamnée par toute la société. Les homosexuels devaient se cacher car ils étaient souvent la cible de correction et de brutalité punitive collective. Mais, entre 2001 et 2014, le Maire socialiste de Paris, Mr Delanoë fut un homosexuel revendiqué. Et soudain, l’homosexualité a choqué de moins en moins, jusqu’à la légitimité du « mariage pour tous », homosexuels, gays et lesbiennes, rendu légal sous la présidence de Mr Hollande en 2013. Aujourd’hui en 2023, cinq membres du gouvernement de la France, cinq ministres, revendiquent ouvertement leur homosexualité. Alors écoutons l’apôtre Paul rappeler ce que Dieu pense de cette chose et qu’il décrit en termes choisis et châtiés dans Rom.1:26-27 : « C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l'usage naturel en celui qui est contre nature ; et de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé, pour commettre des choses indignes, étant remplis de toute espèce d'injustice, de méchanceté, de cupidité, de malice ; pleins d'envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de malignité ; rapporteurs, médisants, impies, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, dépourvus d'intelligence, de loyauté, d'affection naturelle, de miséricorde. Et, bien qu'ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais ils approuvent ceux qui les font.» Pour ce type d’action abominable, la vraie « Sodome » fut frappée par des « pierres de soufre » enflammées tombées du ciel. Quel châtiment attend donc Paris, la « Sodome » symbolique d’Apo.11:8, capitale de la France ? Le feu nucléaire symbolisé par « le feu et le soufre » dans la « sixième trompette » d’Apo.9:17-18. Pour toutes ces raisons, le lien avec la colonisation africaine est donc facile à établir. Depuis longtemps, sous les termes « Françafrique » que je traduis en « France à fric », la France fait son fric (son argent, en terme populaire de l’Argot) en exploitant ses anciennes colonies. Car d’une manière générale, ce sont les puissances occidentales qui fixent le prix des produits vendus et achetés. La colère des peuples africains grugés et exploités, pendant de longues années, va retomber sur la France, principalement. Et nous allons voir s’accomplir ces paroles de Dan.11:40 : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui ». La suite du verset ne sera que la conséquence d’une situation rendue favorable pour « le roi du Septentrion » russe, car la fourniture d’armes données par l’Europe à l’Ukraine lui donne une raison de vouloir se venger : « Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires ; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. » En fait, l’économie française repose tellement sur ses ressources africaines qu’elle ne pourra se résigner à perdre ses avantages qui compromettent son équilibre financier. Et il y a tout lieu de croire que des affrontements guerriers l’opposeront à ceux qu’elle a continué d’exploiter. Mais la prophétie ne la présente pas comme étant l’agresseur, mais au contraire, comme l’agressée, car l’agresseur est bien « le roi du midi » africain. Je précise que le terme « lui » désigne bien, le papisme catholique romain, mais au titre de « fille aînée de l’église », en punition divine, la France peut être agressée pour le soutien religieux de son passé catholique actif, et en punition vengeresse humaine, pour sa continuelle activité d’exploiteur des richesses africaines.

Et au sujet de la guerre qui se déroule en Ukraine, je rappelle que, dans  six ans et demi, Dieu exterminera l’espèce humaine sur toute la terre. En sorte que les listes des morts relevées dans ce conflit n’en sont qu’à leur début. Toutes les armes construites par les êtres humains vont être détruites, et l’homme disparaîtra après elles.

La question que tout croyant véritable est en droit de poser en 2023 est la suivante : Que demande Dieu de moi aujourd’hui ? Rien d’exceptionnel, car il ne nous demande rien de plus que ce qu’il a demandé à ses apôtres soit, l’obéissance de la vraie foi dont le modèle parfait a été présenté par la vie de Jésus-Christ. Et pour preuve de cette nécessité, je propose de comparer la vie de l’apôtre Pierre avec celle du Chrétien revendiqué actuel, héritier des normes romaines, qui est ainsi catholique, orthodoxe, ou protestant. Qui parmi ces héritiers de Rome, peut tenir les propos sortis de la bouche de l’apôtre Pierre, dans Actes 10:13-14 : « Et une voix lui dit : Lève-toi, Pierre, tue et mange. Mais Pierre dit : Non, Seigneur, car je n'ai jamais rien mangé de souillé ni d'impur. » Voici donc, après Jésus-Christ, un autre modèle de l’élu chrétien, cette fois, pleinement homme. Et je précise que Pierre a fini par comprendre que les mets impurs présentés dans la vision de la nappe ne faisaient que symboliser, le jugement impur que les Juifs portaient sur les païens. Et il nous l’explique lui-même dans le verset 28 : « Vous savez, leur dit-il, qu'il est défendu à un Juif de se lier avec un étranger ou d'entrer chez lui ; mais Dieu m'a appris à ne regarder aucun homme comme souillé et impur ». Il s’agit là, bien sûr, d’un jugement porté par les Juifs contre l’homme non juif, en généralité. Car par l’héritage et la pratique du péché, tout homme naît « souillé et impur », le Juif hébreu compris. Nous avons bien là, la preuve que le respect des ordonnances divines concernant les choses pures ou impures, animales ou autres, est perpétuellement exigé par Dieu de la part de ceux qu’il sauve. Ne pas accepter cette évidence, constitue un acte de rébellion commis contre la vérité et le Dieu qui l’a incarnée en Jésus-Christ. A côté de ces choses, que les rebelles jugent secondaires, la pratique du sabbat du septième jour, sanctifié et ordonnée par le quatrième des Dix Commandements de Dieu, est encore plus légitimée.

La « loi de Moïse » qui enseigne ces choses a donc vocation à rester la norme de la vie de l’élu de Dieu. Cependant, logiquement, étant accomplies en Jésus-Christ, les ordonnances des fêtes religieuses rendues caduques, cessent après sa première venue sur la terre du péché, de même que « les sacrifices et les offrandes » du rituel sacrificiel, selon Dan.9:27. Seule, la sanctification du sabbat du septième jour se prolonge, puisqu’elle prophétise, jusqu’au printemps 2030, le « septième millénaire », que la seconde venue de Jésus-Christ va inaugurer.

La loi de Moïse concerne le temps de la découverte de Dieu par les hommes et celui où Dieu nous fait découvrir l’homme et ses péchés. Car tout le temps couvert par les cinq livres imputés à l’écriture de Moïse est un temps d’apprentissage, un moment exceptionnel, pendant lequel Dieu est venu vivre au milieu des hommes, dans toute sa nature divine. Le contact direct entre le Dieu parfaitement saint et l’humain pécheur ne pouvait qu’avoir pour conséquence, le meilleur et le pire ; le grand bonheur pour les élus, et la mort pour les rebelles. Et c’est bien la leçon qu’il nous faut retenir de cette expérience. Le récit de Moïse cesse avec sa mort, alors qu’âgé de 120 ans, il referme, le troisième cycle de 40 ans de sa vie terrestre. Il disparaît ainsi, à la fin des 40 années de vie au désert de l’Israël de Dieu. Et c’est sur Josué que le prolongement de cette histoire du peuple choisi, va se prolonger en entrant en Canaan selon la promesse faite à Abraham de donner cette terre à sa postérité. Pour les Juifs, les saintes Ecritures sont constituées de « la loi de Moïse » et « les prophètes » comme l’indique en hébreu l’expression « thora we nabiyim ». Dieu va encore vivre au milieu de son peuple pendant l’expérience des Juges, mais Israël n’est plus isolé, comme il l’était pendant les 40 années dans le désert. Aussi, gagné par l’influence néfaste des nations voisines, il retombe systématiquement dans le péché. Dieu le livre alors aux Philistins, jusqu’à ce qu’il suscite un « juge » qui conduit leur délivrance. Ce nom « juge »  rappelle aux humains que Dieu est leur « Juge suprême », qu’il juge leurs œuvres et punit leurs péchés. Mais ce même « Juge » divin organise la délivrance du peuple qui lui appartient. Ce message trouvera tout son sens, dans le salut apporté par Jésus-Christ et dans la délivrance de ses derniers élus adventistes, au jour de son second avènement. Les expériences d’Israël se multiplient et « les livres des rois et des chroniques » témoignent des fautes continuellement renouvelées par les monarques qui se succèdent dans les deux camp de l’Israël de Dieu divisé. Et tout le temps de leurs règnes, Dieu ne parle à ses rois que par l’intermédiaire de ses prophètes qui restent donc le seul canal par lequel la vérité et la volonté du Dieu créateur sont transmises. Dans l’ère chrétienne, ce principe a été oublié, mais Dieu n’a rien changé à sa manière de faire. Et le lien de communication est resté celui de ses prophètes. Mais il faut attendre le réveil de la Réforme qui avec Pierre Valdo a commencé dès l’an 1170 et après lui, au 16ème siècle, l’action officielle accomplie par le moine Martin Luther, pour que la voix du Dieu de vérité se fasse entendre. Ensuite, ce n’est qu’en 1816, que par le fermier américain William Miller, Dieu lance ses épreuves de foi adventistes pour les années 1843 et 1844. L’adventisme du septième jour béni spirituellement et prophétiquement en 1873, reprend l’aspect de l’Israël du désert, en étant relié à Dieu par le canal qu’il a établi sur Mme Ellen G.White, qu’il utilisa, comme intermédiaire, pour diriger les sujets d’études des premiers adventistes. Elle ne faisait que transmettre les ordres et les jugements divins et ne prétendait qu’au titre de « messagère de Dieu en Jésus-Christ ». Son œuvre colossale repose sur des multitudes de visions reçues de Dieu dans lesquelles il lui permit de découvrir les détails des événements accomplis au cours de la vie terrestre du temps passé. Mais, ne vivant pas dans les derniers jours du temps terrestre, elle prophétisa sur l’avenir sans pour autant pouvoir l’expliquer. Elle encourageait donc les Adventistes à étudier les prophéties de Daniel et Apocalypse. Mais, le temps de la réponse étant choisi par Dieu, il  a fallu attendre l’année 1980, pour qu’appelé par vision par Dieu pour ce ministère, je sois entré à son service pour recevoir et présenter ses derniers messages prophétiques.

La Bible nous donne, par ses prophéties, les messages divins les plus importants et ceux de Daniel et Apocalypse permettent de construire les dates de deux chaînes prophétiques aux caractères opposés. La chaîne de la « justice éternelle » propose les dates – 458, 26, 30, 34, 1843-1844, et 1993-1994. Et la chaîne du « péché » présente les dates 538,1798, 1828 et 1873. Et la dernière attente de l’Adventiste dissident repose sur les dates 30 et 2030. Les dates de toutes ces trois chaînes sont obtenues par les précisions données par la Bible, et celles des deux premières chaînes sont sous formes chiffrées soit, fixées par Dieu pour effectuer de simples calculs arithmétiques. La troisième chaîne n’a pas de date fixée pour marquer son début, et elle repose entièrement sur la foi et  l’évidence, que Dieu a, bien, donné, à son projet sélectif de ses élus, un temps total de 6000 années prophétisées par les six premiers jours de sa création terrestre.

En – 458, selon Dan.9:25 et Esdras 7:7, la bénédiction de Dieu revient sur son Israël, avec la délivrance de son peuple qu’il fait sortir de Babylone pour regagner sa terre nationale.

En 26, selon Dan.9 :27, Jésus entre en ministère, en 30, il instaure par sa mort la « justice éternelle », en 34, la grâce nationale de l’Israël hébreu prend fin.

En 1843 et 1844, selon Dan.8:14, Dieu sélectionne les premiers Adventistes.

En 1993 et 1994, selon Dan.8:14 et Apo.9:5 et 10, Dieu sélectionne les derniers Adventistes du septième jour.

En 538, selon Dan.7:25 et Apo.12:6 et14, le papisme catholique romain dresse l’abomination religieuse chrétienne et enlève à Jésus-Christ son rôle exclusif d’intercesseur « perpétuel » céleste cité dans Dan.8:12 ; en 1798, les « 1260 jours » années de son règne intolérant soutenu par la monarchie terrestre cessent.

En 1828, selon Dan.12:11, Dieu lance le réveil adventiste parmi le christianisme héritier du « péché » romain. Les « 1290 jours » années cités s’achèvent.

En 1873, selon Dan.12:12, Dieu lance officiellement le message universel de l’Adventisme du septième jour qui sera « vomi » en 1994. Les « 1335 jours » cités s’achèvent. Le destin tragique de cet adventisme institutionnel justifie son rattachement à la chaîne du « péché » ; ce qui a été confirmé, officiellement, en 1995, par son alliance avec la Fédération protestante condamnée prophétiquement par Dieu depuis 1843.

Détail intéressant, pour définir l’unité du jour de ses données chiffrées, Dieu a utilisé la forme du singulier qui représente un jour de 24 heures composé « d’une nuit et un jour » ensoleillé. C’est aussi le principe qui est adopté en Europe pour la monnaie de l’Euro, dont la forme reste invariablement au singulier, quelle que soit la somme évoquée.

Ainsi, rompant avec le système des deux chaînes précédentes, l’Esprit a choisi de faire reposer la révélation du vrai temps fixé pour son retour glorieux en Jésus-Christ sur une expression de la foi placée sur l’intégralité du temps de sa démonstration universelle terrestre qui doit durer 6000 ans et s’achever par le retour du Christ. Ce dernier message est la récompense qu’il offre à ses élus qu’il bénit en raison de leur amour donné à sa vérité biblique entière « la loi de Moïse et les prophètes », et « les Evangiles et les épîtres » de la nouvelle alliance, ainsi que « les prophéties » complémentaires de ces deux alliances. Sans cet intérêt, je n’aurai pas été conduit vers son saint sabbat annonciateur du repos de son septième millénaire céleste qui débutera au printemps 2030 avec la seconde venue de Jésus-Christ. Pour sa première venue, il est venu sauver ses élus de leurs péchés, et pour sa seconde venue, il va venir pour sauver ses élus de la main des pécheurs qui voudront les faire mourir. C’est ce qui place ces deux venues sous « l’année de grâce » et le « jour de vengeance » prophétisés dans Esaïe 61:2.

 

 

 

Les pièges de l’existence

 

Nous ne bénéficions pas tous de conditions favorables à la croyance en Dieu. Selon nos origines, nous sommes influencés par le milieu dans lequel nous naissons et découvrons la vie. Mais ce critère n’est pas définitif car, en réalité, en grandissant et en devenant adolescent, puis adulte, notre besoin spirituel personnel se fait sentir quand il devient réellement nécessaire, et cela peut commencer très tôt après la naissance. Je me souviens d’avoir toujours cru à l’existence du Dieu dont parlait ma famille et je peux donc témoigner d’être né avec la foi. Expliquer la vie autrement m’a toujours été impossible et les théories évolutionnistes des scientifiques scientistes n’ont jamais eu d’effet sur moi.

Je peux comprendre, qu’en naissant en Inde ou en Chine, une créature humaine peut commencer sa vie en héritant de la religion de sa famille, mais si cette âme nouvellement mise au monde a en elle la norme de la vie éternelle, tôt ou tard, elle sera appelée et interpellée par l’Esprit du vrai Dieu créateur qui alimente et inspire nos pensées et qui a, lui-même, accès aux pensées et aux esprits de toutes ses créatures célestes et terrestres. Selon cette belle image, Dieu cherche les bons champignons et les cueille pour son bon plaisir, mais il laisse en terre les champignons vénéneux, toxiques et mortels. Et aucune puissance n’est assez grande pour l’empêcher de recueillir ce qui lui appartient de droit et de force. L’ignorance ne dure qu’un temps dans l’esprit de l’élu qu’il aime et veut sauver. Son Esprit peut arracher un être humain placé dans un contexte défavorable. Au sein des plus profondes ténèbres collectives, Dieu fait entrer sa lumière individuellement, chez ses élus. Ce principe est très proche, au niveau de ses effets, de celui de la doctrine de la prédestination qui ne comporte qu’une erreur, mais qui fait toute la vérité, c’est que ceux qui la présentent ne tiennent pas compte du libre choix que Dieu donne à toutes ses créatures. Ensuite, en fonction de notre choix individuel que Dieu connaît avant notre naissance, tout se passe comme si nous étions prédestinés, les uns, les élus, pour la vie éternelle, les autres, les déchus, pour la mort et l’anéantissement définitif, et donc, à conséquence, également éternelle. Toute autre explication fait apparaître Dieu comme étant injuste et la chose est impossible, parce qu’il lui est impossible d’agir injustement. C’est pourquoi, avant de lancer des idées qui concernent notre Dieu créateur, l’être humain serait bien inspiré de réfléchir profondément aux conséquences que ses théories et ses doctrines religieuses vont avoir sur Dieu, en premier, et sur lui-même et ceux qui l’écoutent, en second.

Dans un premier temps, ne disposant pas d’autre moyen, l’enseignement  religieux chrétien et sa diffusion parmi les nations a reposé, exclusivement, sur le travail des missionnaires, et Jésus donna l’exemple en envoyant ses apôtres et disciples deux par deux, pour apporter, dans les maisons qui leur ouvraient leur porte, la bonne nouvelle du salut annoncée par le Messie attendu soit, l’Evangile éternel parfait dans toute sa vérité. Mais des temps de ténèbres ont suivi et perverti l’enseignement de cet Evangile. Le catholicisme romain ne présentait le péché que sous son aspect sexuel charnel, et il justifiait « le péché » témoigné contre la vérité divine enseignée dans la sainte Bible. En conséquence de quoi, la vie des missionnaires infidèles ne bénéficiait plus de la protection de Dieu. Et souvent ces missionnaires sont morts, ayant été tués par ceux qu’ils voulaient convertir à leur religion, faute de pouvoir les convertir à celle que Dieu approuve et bénit. Car il te faut réaliser combien la déformation de sa vérité est péniblement endurée par le Dieu de la vérité parfaite et absolue. Entre lui et nous, ses créatures, une énorme différence fait que nous bronchons tous, plus ou moins, dans divers domaines, mais Dieu, lui, ne bronche jamais, il reste par nature juste et parfait en vérité, en bonté et en justice. Et nous pouvons le comprendre en voyant comment, le simple fait, pour nous, de déformer sans le vouloir son projet salvateur prophétisé par le rocher d’Horeb, valut à Moïse son interdiction d’entrer en terre de Canaan. Il avait dû, selon l’ordre de Dieu pour la première fois, « frapper » le rocher pour qu’il donne de l’eau, mais la seconde fois, il ne devait que « parler » au rocher pour obtenir son eau, et dans la colère que son peuple rebelle avait suscitée en lui, il frappa une seconde fois le rocher d’Horeb, déformant ainsi, inconsciemment, le projet salvateur de Dieu dans lequel le Christ sauveur ne devait être frappé qu’une seule fois pour sauver ses bien-aimés élus. En accomplissement de cette action ordonnée par Dieu, en l’an 30, la veille de la fête de la Pâque juive, le mercredi 3 Avril, Jésus-Christ expirait à 15 heures sur sa croix dressée aux pieds du mont Golgotha, dont l’aspect visuel d’un crâne humain fait de lui un lieu de mort et de supplice. Et une fois mort, son côté percé par la lance du soldat romain libéra « du sang et de l’eau », comme le confirme Jean 19:34 : « mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt il sortit du sang et de l'eau. » Et Jean précise après cela : « Celui qui l'a vu en a rendu témoignage, et son témoignage est vrai ; et il sait qu'il dit vrai, afin que vous croyiez aussi. » Jean se trouvait effectivement au pied de la croix lorsque ces choses ont été accomplies sous ses yeux. Et ce détail concernant « le sang et l’eau » est d’une grande importance parce qu’il confirme l’accomplissement du projet salvateur divin et nous présente « le sang » versé pour établir la « nouvelle alliance » et « l’eau de la vie éternelle » offerte par la parfaite « justice » de la victime sacrifiée. Ainsi frappé « une seule fois » et crucifié, le « rocher » nommé Jésus-Christ, « a donné son eau » qui fait vivre éternellement, ses seuls élus qu’il choisit lui-même.

Entre 1816 et 1844, les épreuves adventistes ont reposé, encore, sur la diffusion orale et écrite des messages annonçant le retour de Jésus-Christ. Et même après 1873, le message adventiste du septième jour a été répandu sur toute la terre, partout où la chose était possible, par des envoyés missionnaires. Dans notre époque actuelle, le partage collectif du système « internet » permet  aux messages de devenir disponibles pour toute personne qui dispose d’un accès « internet », partout sur la terre entière où ce réseau est installé et utilisé. Aussi dans le flot d’informations utiles, inutiles, néfastes ou funestes, mes messages prophétiques sont aussi présents et ils sont mis à la disposition du grand Dieu créateur qui peut les utiliser comme « une source d’eau et de lumière » capable d’éclairer et de répondre à la soif de comprendre de ses élus dispersés sur la terre entière. Cette méthode de diffusion de la lumière divine répond parfaitement  au critère biblique qui nous présente Dieu en Christ comme « le bon berger qui cherche sa brebis égarée ». Et qui, mieux que lui, sait où elle se trouve ? Il est heureux pour nous, ses créatures que ce soit lui qui ait pris l’initiative de cette recherche, sans quoi, le nombre des élus, déjà très réduit, serait encore plus faible.

Le premier piège de l’existence repose donc sur les conditions défavorables de notre naissance et l’influence néfaste de notre entourage humain. Mais d’autres pièges nous attendent et nous guettent au cours de notre évolution humaine. En grandissant, l’être humain découvre et expérimente plein de choses nouvelles qui construisent sa personnalité. Le changement de la vie humaine expulsée du jardin d’Eden a été énorme. Comparons ces deux types d’existences. A l’origine, Adam découvre la vie en Dieu, premièrement, ensuite Dieu lui fait découvrir son environnement fait de choses merveilleuses et éternelles. Cet environnement est secondaire pour lui et Dieu lui donne des activités qui n’ont pour but que de combler sa vie. Mais après le péché, tout s’inverse. Dieu n’est plus visible, il se cache, et l’homme découvre autour de lui, un environnement devenu hostile. Avant le péché, consommé pour le plaisir, sa nourriture même doit être, après lui, obtenue par le travail épuisant de la culture de la terre. Il découvre alors que sa vie repose sur l’exploitation de ses cinq sens qui vont tous devenir des pièges pour son existence à un certain niveau d’élévation. Mais dans la souffrance qu’il éprouve, l’homme trouve encore une raison de chercher Dieu qui reste caché mais n’est jamais éloigné de ses créatures, attendant qu’elles l’appellent. C’est ainsi, que dans toute leur ignorance des vérités bibliques, la vie des pauvres, des travailleurs de la terre, des paysans, était particulièrement dure. Car leur nourriture dépendait du climat, des insectes utiles et néfastes, et de la qualité de la terre travaillée, et ils plaçaient instinctivement leur espérance en Dieu comme le tableau de l’Angélus l’image merveilleusement bien. Il présente un couple qui s’agenouille sur le sol à l’heure où les cloches de l’Angélus marquent la fin de leur pénible journée.  Cette époque a entièrement disparu. Aujourd’hui, le travailleur de la terre utilise son tracteur mécanique de jour comme de nuit s’il le juge nécessaire. Il n’écoute plus les cloches sonner qui font du bruit et l’agacent, et sa pensée ne se tourne plus vers Dieu et sa prodigalité. Il a appris à ne compter que sur lui-même et sur sa perspicacité, suivant les prévisions météorologiques faites par les scientifiques du temps. Dieu ne présente plus d’intérêt pour lui, parce que la science, et sa connaissance, lui présente toutes les réponses nécessaires à son besoin. La vie éternelle n’est plus le sujet de sa réflexion. Sa pensée est tournée uniquement vers ses conditions de vie terrestres qu’il désire améliorer constamment. Et la encore, la science et ses inventions devancent sa demande. Aussi, peut-on le comprendre, la situation de l’homme moderne, paysan ou citadin, n’a jamais été aussi séparée du recours adressé au Dieu créateur. Et Jésus avait prophétisé sur ce « temps de la fin » dont il connaissait toute la caractéristique, mettant ses élus en garde en ces termes dans Mat.24:24 : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus. » Mais même dans ce verset, Jésus ne parle que des « prodiges et des miracles » spirituels religieux, car le développement technique du « temps de la fin » n’a pas été prophétisé par Dieu. Aucun texte ne fait allusion à cette extraordinaire utilisation de la matière et de l’intelligence humaine. Le premier à s’étonner de ses productions, c’est l’homme lui-même. Ce développement de la connaissance technologique est progressif et semble être sans limite. Cependant, Dieu donne à l’humanité des signes qui annoncent la venue de sa fin et la disparition totale de sa présence sur la terre. Mais finalement, dans ses mensonges, dans Gen.3:5, le diabolique « serpent » avait dit à Eve une vérité confirmée en notre époque finale : « mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. » Les prouesses techniques réalisées ont bel et bien conduit les humains à se prendre eux-mêmes pour des dieux qui n’ont plus besoin du vrai Dieu. Mais ce que le diable n’avait pas dit à Eve, c’est le sens que Dieu donne au verbe « connaître », qui signifie pour lui, « expérimenter » concrètement le mal soit, consommer « le péché dont le salaire devait être la mort » ; ce que confirme Rom.6:23. Et dans Gen.2:17, l’avertissement de Dieu avait été très clair et précis : « mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. » Ce fut donc le premier piège dans lequel l’être humain est tombé rendant mortels, collectivement, l’homme, la femme et leurs descendants humains. Quelle fut la cause de cette première chute ? Gen.3:6 nous dit : « La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea. » « Bon à manger, agréable à la vue, et précieux pour ouvrir l’intelligence » soit, de quoi satisfaire deux sens humains, le goût et la vue, et augmenter son intelligence soit, trois sujets qui concernent la « convoitise » que Dieu condamne dans le dixième de ses Dix Commandements suprêmes, selon Exo.20:17 : « Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain. »

Mais je relève déjà, dans la forme retenue par Eve du souvenir qu’elle a de l’interdiction de Dieu, une sorte d’affaiblissement qui traduit son doute, car elle dit au serpent : « Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit : Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. » Alors que Dieu a réellement dit : « mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras ». L’expression « de peur que vous ne mouriez » affaiblit la certitude de l’ordre de Dieu « tu mourras ». Avant même de consommer le fruit interdit, Eve est tombée dans le piège de sa propre nature et de l’opinion personnelle qu’elle s’est faite au sujet de l’ordre donné par Dieu. Et c’est une faute que commettent après elle, tous les humains incrédules qui sous-estiment la valeur des paroles dites ou inspirées par Dieu. L’être humain superficiel, homme ou femme, applique à Dieu ses propres normes, comportements et réactions. Etant lui-même, instable dans ses décisions, il prend sa nature pour modèle qu’il peut appliquer à son prochain et tant que ce prochain est humain, il ne se trompe pas ou n’a que peu de chance de se tromper. Mais, quand ce prochain est Dieu, les choses se passent différemment car Dieu ne change pas, ne varie pas et ne connaît, lui, aucune instabilité comportementale. L’être humain incrédule se trompe alors lui-même par ses propres convictions personnelles. Dès l’enfance, en écoutant les contes de fées que lui racontent ses parents insensés, l’enfant apprend le mensonge basé sur la recherche du merveilleux, du fabuleux, qui fait rêver. Mais alors que son esprit se construit sur des rêves irréalisables, sa vie s’adapte à la pratique du mensonge qui tue la croyance à la vérité proposée et présentée par Dieu. Dans l’idéal, un enfant ne devrait entendre évoquer devant lui que ce qui est vrai, démontré et prouvé. Mais cet idéal est devenu impossible à atteindre à cause du péché et de la domination du diable qui agit et inspire avec ses démons les esprits humains maudits par Dieu. La vraie foi se distingue ainsi de la fausse par l’aptitude à prendre à la lettre les paroles prononcées par Dieu, car le choix de ses mots et de ses verbes est calculé, pesé et mesuré. Se tromper à ce sujet conduit l’âme humaine à la mort éternelle. Et la « seconde mort » frappera tous les incrédules qui se seront, eux-mêmes, trompés et condamnés à subir ce châtiment final, en ayant revendiqué leur appartenance à Dieu en Jésus-Christ, sans répondre à ses divines exigences de sainteté.

Chacun de nos cinq sens peut constituer, par l’abus, une cause de perte du salut. Commençons avec le sens de l’audition qui peut séparer l’âme humaine de Dieu définitivement et il devance en cela les sens de la vue du goût et de l’appétit, comme en témoigne l’expérience vécue concrètement par Eve.

Le premier piège tendu à Eve est basé sur son sens de l’audition. Car le drame qui va la frapper commence par la conversation dans laquelle, à travers le serpent, le diable l’engage. Le danger se présente dans la suggestion venant de l’autre, de la part de son vis-à-vis occasionnel. Jusqu’à ce moment, Eve s’en est tenue à respecter l’interdiction de Dieu et n’en souffre pas. Mais le serpent lui parle et provoque logiquement son étonnement car aucun autre animal créé par Dieu ne possède cette capacité à parler comme un être humain. Elle n’a pas été préparée pour affronter cette expérience auditive et visuelle et ne peut pas comprendre que le serpent, cet animal de la création divine terrestre peut être utilisé et manipulé par le diable, l’ange rebelle, le démon céleste. Les mots rassurants tenus par le serpent mettent Eve en confiance. De plus, il mange du fruit interdit et n’est pas mort, en sorte que ses explications semblent raisonnées et raisonnables. Il en est de même, en 2023 et depuis toujours, dans les échanges humains religieux ou profanes. Dans notre appréciation d’un sujet discuté, nos cinq sens s’activent et détermine notre jugement. Le contradicteur paraît sincère et ses arguments assez convaincants ; ceci d’autant plus si son opinion va dans le même sens que la nôtre. Et si c’est le cas, le témoignage des sens, qui contredisent cette opinion, devient impuissant et incapable de nous convaincre et de nous éviter de tomber dans le piège tendu. Car en telle situation, le danger n’est pas seulement à l’extérieur de nous-mêmes chez notre vis-à-vis, mais à l’intérieur de nous et de notre désir de favoriser notre choix personnel. Et contre nous-mêmes, nous ne pouvons rien faire, car nous devenons notre propre adversaire et ennemi. C’est ce qui rend la lutte humaine mentale et morale si difficile ; s’opposer à l’autre n’est rien, à côté du combat que nous avons à livrer contre nous-mêmes. Eve aurait pu résister au serpent mais elle ne pouvait pas résister à sa propre convoitise agissante au niveau de ses cinq sens humains. Et après elle, son expérience est devenue la nôtre, individuellement, depuis Adam jusqu’au dernier homme ou la dernière femme qui va naître sur la terre. Notre oreille ne capture pas que des mots séducteurs et trompeurs, elle est aussi sensible à des sons musicaux. Et dans ce domaine, encore, l’excès passionnel, devient idolâtre et cause de perdition éternelle. Des gens se passionnent pour écouter la musique des grands compositeurs classiques, du Jazz venus ensuite, du Rock n Roll, qui l’a suivi, et en nos jours du Rap, que je n’apprécie en rien en raison de son aspect général, car la musique semble n’être que le prétexte à vomir, sur une base rythmée, des flots de propos exprimant la haine éprouvée pour la société blanche occidentale. Ce style révolté est apparu dans la communauté noire, dans l’Amérique des USA blanche raciste. Un vieux dicton visiblement oublié disait : « la musique adoucit les mœurs » ; ce n’est visiblement pas le cas du Rap. La musique classique a autant été la cause de la perdition de ses adorateurs que le Rap des derniers jours. Là encore, la société catholique du roi François 1er donnait des bals et des fêtes où la musique et l’opéra tenaient un grand rôle entre quelques massacres de protestants rebelles. La musique a servi de prétexte pour donner une apparence civilisée à une société sauvage et meurtrière, et là encore, en 2023, rien n’a changé, en présence du Président, du Roi, du Préfet, du Maire, du Cardinal ou de l’Evêque local, des concerts, des bals et festivités rassemblent le beau monde pour festoyer et se réjouir de leur richesse et de leurs privilèges.

Passons maintenant au sens de la vue. Avant même de découvrir le goût du fruit, Eve le voit, le contemple, l’admire, et le convoite. Elle le dit « agréable à la vue ». En 2023, combien de choses « agréables à la vue » séduisent les regards humains pour les assujettir et les perdre ? Des multitudes qui concernent tous les domaines imaginables et qui rendent esclaves les êtres humains gagnés par la passion pour ces sujets. Certains vont collectionner des sortes d’objets divers et vouer leur existence à en posséder toujours plus. Leur vie se limite à ça. Ils ne se valorisent à leur propre regard que par le succès de la réussite de cette possession, qui reste en vérité, réellement inutile et néfaste. Je ne peux énumérer les sortes d’objets qui conduisent à l’idolâtrie de la convoitise, tant ils sont nombreux et divers. Car en fait tout peut devenir cause de perdition par l’excès de son influence sur la nature humaine. La passion des voitures, des motos, des avions, des bateaux, des tableaux des peintres célèbres ou pas, et de tout objet visuel devient à l’excès cause de perdition. Et dans son langage, l’homme exprime lui-même sa situation spirituelle, lorsqu’il dit « j’adore ceci, j’adore cela » ou « je me passionne pour ceci ou cela », car seul Dieu mérite l’adoration et notre passion, parce qu’il est le Créateur de toute chose et de toute vie. Alors sois attentif aux expressions que les hommes utilisent, car elles démasquent leur véritable nature.  

Poursuivons par le sens du goût et de l’appétit et de l’odorat qui participe à l’appréciation du goût. La Bible donne en exemple à ce sujet Phi.3:19 où Paul déclare au sujet des ennemis de la vérité chrétienne : « Leur fin sera la perdition ; ils ont pour dieu leur ventre, ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte, ils ne pensent qu'aux choses de la terre. » En 2023, c’est encore le cas ; rien n’a changé, si ce n’est les objets de la convoitise. Dans Tite 1:12, Paul dit encore à Tite au sujet des Crétois : « L'un d'entre eux, leur propre prophète, a dit : Crétois toujours menteurs, méchantes bêtes, ventres paresseux. » Le plaisir gustatif peut en effet envahir l’homme au point de le séparer définitivement de Dieu. L’art de la table, si prisé et apprécié dans nos sociétés civilisées, fait des grands cuisiniers, des idoles qui ne vivent que pour leur activité professionnelle. Ils vivent et meurent sans espérance de vie éternelle et traversent ainsi la vie, comme le fait l’animal le plus vil, le plus commun. Le vin et la nourriture sont sentis par l’odorat du nez avant de délivrer leur goût en entrant au contact des papilles de la langue et du palais. Des spécialistes sont formés quand la sensibilité de ces trois sens est très développée. Ils ont alors la capacité d’identifier le nom et l’année du vin testé, et à ce niveau de passion et d’investissement de l’être, il n’y a plus de place pour le Seigneur sauveur des élus. Ils ne vivent plus que pour exploiter leur don extraordinaire. Ils deviennent ainsi, leur propre idole et n’ont nullement besoin de Dieu.

Mais les cas évoqués jusque-là ne sont pas exhaustifs, car l’idolâtrie concerne les hommes et les femmes dans tous les domaines et niveaux de la société humaine. Chacun de nous, peut placer son attention, sa pensée et sa passion sur un sujet qui devient cause d’idolâtrie, parce qu’il absorbe et mobilise toute la pensée humaine, ne laissant aucune place au sujet spirituel qui rappelle les vraies priorités et besoins de l’âme humaine.

L’habitude de sa confrontation avec la mort a détruit, pour l’homme, son message accusateur du péché. La mort est acceptée comme une normalité transmise dans l’humanité, et l’offre divine de la vie éternelle n’est intéressante que pour les gens qui veulent y croire. L’acceptation et la résignation constitue donc deux pièges de l’existence pour toute l’humanité. Car ces choses favorisent l’adhésion à l’esprit de la tradition que les élus doivent remettre en question et renoncer à suivre, pour suivre Jésus-Christ dans sa voie du salut, où qu’ils soient et se trouvent, sur toute la terre.

J’aborde maintenant le piège de la séduction religieuse et je prends pour appui cette citation biblique de Mat.7:15 : « Or soyez en garde contre les faux prophètes qui viennent à vous en habits de brebis, mais qui au dedans sont des loups ravisseurs. » Cet avertissement donné par Jésus éclaire le sens des faits accomplis au cours de toute l’ère chrétienne, marquée majoritairement par le règne papal romain catholique intolérant, entre 538 et 1798, mais aussi après lui, depuis 1843, par le développement universel des diverses formes du protestantisme. Les « loups ravisseurs » ne sont plus seulement catholiques, car ils sont aussi, depuis 1843, d’obédience protestante, et en avançant dans le temps, depuis 1994, ils sont aussi d’obédience adventiste. C’est ce verset de Mat.7:15, qui conduit Dieu à désigner, par l’expression « faux prophète », dans son Apocalypse, la religion protestante restée fidèle depuis 1843, au repos dominical établi depuis 321, par la Rome impériale et depuis 538 par la Rome papale catholique.

Quel est donc le secret de l’efficacité de ces « faux prophètes qui enseignent le mensonge » selon Esaïe 9:14 : « (L'ancien et le magistrat, c'est la tête, et le prophète qui enseigne le mensonge, c'est la queue.) » Cette mise en parenthèse de ce verset lui donne l’aspect d’une révélation clé très importante que Dieu va utiliser dans son Apocalypse, subtilement, pour révéler à ses seuls élus les accusations portées contre ces « faux prophètes qui enseignent réellement le mensonge religieux ». La tromperie commence par les fausses revendications de la Rome catholique papale, mais après l’entrée en vigueur du décret de Dan.8:14, le mensonge devient aussi un signe de l’activité religieuse protestante. Et cette accusation divine fait de ces « faux prophètes » de vrais serviteurs du diable qui est « le père du mensonge » selon Jean 8:44 : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge. »

En quoi consistent ces mensonges catholiques et protestants ? Ils consistent à faire croire à leurs victimes séduites et trompées qu’elles vont pouvoir entrer dans la vie éternelle offerte par Jésus-Christ, alors qu’il n’en sera rien. Ceci, parce que leur préparation aux normes de la vie céleste n’aura pas été effectuée. En conséquence, la porte de la grâce se refermera et l’entrée au ciel leur sera refusée. La nécessité d’une préparation spéciale est confirmée dans ce verset d’Apo.19:7-8 : « Réjouissons-nous et soyons dans l'allégresse, et donnons-lui gloire ; car les noces de l'agneau sont venues, et son épouse s'est préparée, et il lui a été donné de se revêtir d'un fin lin, éclatant, pur. Car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints. » Les œuvres justes des saints ne sont plus seulement celle de la justice personnelle du Christ qui leur a été imputée par grâce divine. Ces œuvres justes sont pratiquées par les vrais élus dont la nature pécheresse a été changée et remplacée par la pratique d’une parfaite obéissance à la volonté divine ; ce qui résulte de leur authentique sanctification divine. Concrètement, dans leur existence entière, ils ont renoncé à pécher contre Dieu, et ils se sont pleinement soumis à sa divine volonté, en respectant ses ordonnances et ses commandements. Et c’est cette exigence de Dieu que les pièges de l’existence veulent et peuvent frustrer et rendre insatisfaite. Face aux multiples pièges de l’existence, les élus sauvent leur âme en s’engageant sur le chemin étroit de l’obéissance à la vérité de Dieu révélée et accomplie en Jésus-Christ.

Un autre piège de l’existence menaçait l’humanité de manière collective. Il s’agit de l’amour de la liberté. Car la liberté donnée par Dieu à toutes ses créatures pose plus de problèmes qu’elle n’en résout. Dans un pays comme la France, où les dirigeants souhaitent donner à chaque individu le plus de liberté possible, un problème finit par se présenter. Au nom de cette liberté, des choix individuels incompatibles cohabitent dans le même pays. Et dans la situation où se trouve la France depuis la fin de la colonisation, l’installation de l’islam dans le pays a eu pour conséquence des soulèvements sporadiques de cette jeunesse musulmane qui ne parvient pas à s’intégrer dans le modèle laïque occidental de base chrétienne. Ne voulant pas réprimer sévèrement des actes de rébellion renouvelés, les dirigeants font le « gros dos » et subissent les faits sans pouvoir les régler de peur de provoquer une réaction massive beaucoup plus dangereuse. La situation se pourrit ainsi de plus en plus d’année en année. Et pour un peuple républicain, il n’est pas facile de reconnaître que son espérance de vie paisible n’était qu’un mirage utopique. En fait, il apparaît clairement que la liberté totale pour tous va rester un mythe irréalisable. Et le prix à payer pour cette découverte sera terrible ; c’est pourquoi, Dieu a placé l’heure du châtiment pour « le temps de la fin » qui mettra fin au « temps des nations » occidentales libres et indépendantes.

La France des derniers jours subit la conséquence de sa nature laïque. De ce fait, elle n’a jamais pris conscience du danger que représente la religion. Elle a cru que ses valeurs républicaines avaient réglé le problème, et en partie, pour ses ressortissants naturels, la démarche a été partiellement réussie. Mais, depuis l962, la fin de la colonisation de la terre algérienne a provoqué l’accueil de ses collaborateurs « harkis » et a donc lancé l’installation de l’islam sur le sol de la France. Cette immigration étant continuellement prolongée, le nombre de personnes musulmanes a fini par atteindre un niveau critique. Car, l’hostilité ouverte par les groupes islamistes étrangers et locaux fait monter la haine entre les Français blancs de souche et les musulmans accueillis. Le laïcisme aura donc été lui aussi un piège pour ce pays, comme il le sera pour tous les pays d’origine chrétienne à forte immigration musulmane.

C’est dans son application religieuse que la fausse apparence porte ses plus graves conséquences. Et là, nous retrouvons la faiblesse de la vue dans son application religieuse. Dieu donne, dans toutes ses révélations formulées en langage clair ou en langage imagé codé, une énorme importance à cette tromperie qui repose sur l’aspect extérieur des choses. Et il nous faut bien le réaliser, il est le seul qui puisse voir l’intérieur d’une âme ou d’une organisation religieuse. Car tous les êtres humains ont par leur seule vue, une barrière infranchissable, un mur qui limite leur analyse des choses. Les paroles, les sourires, les bonnes actions et bonnes œuvres charitables peuvent masquer des pensées entièrement ténébreuses. Et nous ne trouvons, qu’en Dieu, cette capacité à voir la vie dans toute sa dimension cachée ou visible, pour ses créatures célestes et encore plus, aux yeux de ses créatures humaines terrestres. C’est alors que nous pouvons, à juste titre, apprécier au plus haut niveau le fait de bénéficier de sa révélation prophétique. Car il y démasque toutes les fausses religions qui séduisent et trompent leurs membres, leurs adeptes, mais aussi le reste de l’humanité qui les respecte, ignorant la responsabilité qu’elles portent au sujet des malédictions divines qui frappent les habitants de la terre entière.

Dans Luc 11:39-40, Jésus a dénoncé l’hypocrisie des Pharisiens de son temps, en ces termes : « Mais le Seigneur lui dit : Vous, pharisiens, vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et à l'intérieur vous êtes pleins de rapine et de méchanceté. Insensés ! Celui qui a fait le dehors n'a-t-il pas fait aussi le dedans? » Devant cette logique, l’homme ne peut que se taire, et ceux que Dieu interpelle par cette réflexion ne peuvent que se sentir très mal à l’aise et éprouver une sensation de nudité et de transparence, pour le moins, gênante. En écrivant sur le sol les noms des péchés commis par ceux qui viennent devant lui accuser la femme adultère pour le mettre à l’épreuve, Jésus a encore témoigné de sa divinité et de sa capacité à lire dans le secret de leur vie. Et là encore, confus et honteux, ils se sont tous retirés en silence. C’est pourquoi, dans ses révélations prophétiques, Jésus utilise des symboles qui construisent en image le portrait robot de l’entité ciblée par le jugement divin. Et ce portrait robot révèle l’aspect caché que l’homme normal ignore ou peut ignorer. De même que pour le peuple Juif, le clergé religieux se donnait une apparence somptueuse, portant de beaux habits et des ornements prestigieux mais trompeurs, dans l’ère chrétienne, le système religieux papal du catholicisme romain a longtemps trompé, et trompe encore, les humains superficiels ou laïques. Les télévisions ne manquent pas de diffuser les grandes et pompeuses cérémonies organisées par ce catholicisme romain. Et comme au temps des Juifs, les prélats, les Cardinaux et les Evêques se drapent dans des tenus écarlates et violines qui donnent dans l’ensemble, au regard du spectateur, une image glorieuse qui séduit et impressionne les foules. La fausse religion païenne a toujours séduit ses adeptes par ses aspects séduisants artificiels. Dieu utilise justement le terme « artificieux », pour qualifier le régime papal de Rome, dans Dan.8:23 : « A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux. » Dans ce verset, Dieu délivre deux messages à ses élus. Le premier concerne son jugement personnel du régime papal qu’il tient pour « impudent ». Le second, nous est particulièrement adressé, parce que Dieu nous met en garde contre son aspect extérieur qu’il dit « artificieux ». En découvrant, ce que le catholicisme papal a fait du texte des Dix Commandements de Dieu, nous identifions son caractère « impudent », et « arrogant », selon Dan.7:8. Ce qui est « artificieux » n’a pas de consistance solide et Dieu nous aide à comprendre en quoi le régime papal est « artificieux », Ceci, en précisant dans Dan.8:24-25 : « Sa puissance s'accroîtra, mais non par sa propre force ; il fera d'incroyables ravages, il réussira dans ses entreprises, il détruira les puissants et le peuple des saints. A cause de sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l'arrogance dans le cœur, il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement, et il s'élèvera contre le Chef des chefs ; mais il sera brisé, sans l'effort d'aucune main. »  Toute sa « réussite » n’a reposé que sur « le succès de ses ruses ». Ce terme « ruse » rattache son action à la séduction du « serpent » diabolique de Genèse 3, ce que Dan.11:39 suggère disant : « C'est avec le dieu étranger qu'il agira contre les lieux fortifiés; et il comblera d'honneurs ceux qui le reconnaîtront, il les fera dominer sur plusieurs, il leur distribuera des terres pour récompense. » Ce « dieu étranger » peut être diversement et complémentairement identifié au diable révélé, aux Romains par l’enseignement religieux des Juifs, mais aussi, comme une allusion au nom du Christ que Rome usurpe en prenant une apparence religieuse chrétienne. Apo.13:3 confirme ce lien avec le diable disant : « La bête que je vis était semblable à un léopard ; ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité.» Pour saisir le message de ce verset, nous devons tenir compte du lien qui identifie « le dragon » au « diable » dans Apo.12:9 : « Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. » Sur la terre, le régime impérial qu’il dirige est nommé, dans Apo.12:3, également, « le grand dragon rouge » : « Un autre signe parut encore dans le ciel; et voici, c'était un grand dragon rouge, ayant sept têtes et dix cornes, et sur ses têtes sept diadèmes. ». Il résulte de ces messages que, dans Apo.13:3, Dieu révèle et prophétise la succession de l’empire romain et du régime papal qui lui succède sous la même autorité du diable : « le dragon » de l’empire romain « donne son trône et son autorité » au régime papal, dans lequel Rome reprend son ancien pouvoir impérial.

Pour que cette « ruse » réussisse, et pour accomplir le projet de Dieu, le diable a convaincu le premier roi des Francs, nommé Clovis, de se convertir au christianisme, déjà romain, en étant baptisé en 496, par l’Evêque de Rome de ce temps qui n’était pas encore porteur du titre de « Pape ». Mais à cette époque, Rome avait déjà été frappée par la malédiction de Dieu depuis l’année 313. Et depuis le 7 Mars 321, le repos du sabbat du septième jour avait été abandonné, remplacé par le repos du premier jour consacré à cette époque à l’adoration du dieu païen astral, le Soleil divinisé, adoré et servi au titre de « Vénérable Soleil invaincu ». Ce baptême du roi des Francs donna à l’église romaine un prestige que d’autres rois convertis n’allaient que renforcer au cours du temps. C’est ainsi, que Dieu fit instaurer en Italie, le régime religieux qui, par sa revendication chrétienne, constitue le plus grand piège trompeur destiné à captiver et capturer les croyants superficiels. Car « l’artifice » romain ne peut tromper que des croyants superficiels. Et ce qui caractérise ces gens superficiels, c’est le mépris ou l’indifférence qu’ils témoignent envers la sainte Bible et ses révélations divines. Je le rappelle, pendant longtemps, l’église catholique a interdit à ses membres de lire la sainte Bible, et au 18ème siècle, encore soutenue par la monarchie puissante, elle faisait mettre à mort, ou condamner aux galères, les gens pris en possession d’une sainte Bible. C’est pourquoi dans Apo.11:3, Dieu dénonce la persécution menée contre la sainte Bible, sa parole écrite : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. » ; 1260 jours-années soit, de 538 à 1798. Le verset 7 prophétise la persécution dont la Bible est victime de la part des Révolutionnaires athées de la France républicaine dans le temps de la « Terreur » des années 1793-1794. Ils allument des feux et brûlent publiquement tous les ouvrages religieux, la Bible en tête du nombre : « Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera. » Ce détail souligné en gras révèle que la mission donnée à la sainte Bible s’est « achevée » avec la venue du régime républicain français. Depuis le 16ème siècle, Dieu a permis aux hommes de suivre sa vérité en la découvrant dans sa sainte Bible multipliée par l’impression des caractères ; le message est délivré et les hommes intelligents, ses élus, n’ont donc plus qu’à retenir la leçon. Et cette leçon va devoir être mise en application pour ne pas tomber au cours des épreuves de foi adventistes accomplies successivement en 1843, 1844, 1994 et 2030. Car jusqu’au retour du Christ glorieux, les élus doivent être sélectionnés par Dieu par la démonstration que la leçon donnée au 16ème siècle a été retenue et mise en œuvre. C’est en effet, encore la sainte Bible qui met à l’épreuve les appelés en Christ, en testant leur intérêt pour ses révélations prophétisées dans les livres des deux alliances. En sorte que jusqu’à la fin, la foi véritable se construit uniquement sur l’intérêt donné à la révélation biblique entière.

Il va de soi que, quand le sujet séducteur est proche de la vérité divine, le piège religieux est encore plus redoutable et difficile à identifier. Pour beaucoup de croyants protestants, condamner l’ancienne église catholique était facile, mais depuis qu’elle ne peut plus persécuter personne, elle est devenue pour eux fréquentable et même mieux, digne de faire alliance avec elle. Ces gens sont tombés dans le piège de leur ignorance des choses que Dieu lui reprochait. Ils n’ont retenu que ses persécutions des êtres humains, mais ont sous estimé les péchés commis envers Dieu, lui-même, en personne. C’est pourquoi, héritiers de ces mêmes fautes, ils les prolongent en les reproduisant.

Dans Apocalypse 9, les thèmes de « la 5ème et de la 6ème trompette » sont, dans le style de la comparaison, des modèles du genre. Dans chaque verset on retrouve, renouvelé, le terme comparatif « comme » qui confirme la valeur symbolique de l’image présentée. Et parmi ces nombreuses comparaisons, le verset 8 délivre un message particulièrement important concernant l’aspect « extérieur » trompeur des églises protestantes déchues depuis 1843 : « Elles avaient des cheveux comme des cheveux de femmes, et leurs dents étaient comme des dents de lions. » La clé d’interprétation de ce verset repose sur le rôle que l’Apôtre Paul donne aux « cheveux des femmes » dans 1 Cor.11:15 : «…mais que c'est une gloire pour la femme d'en porter, parce que la chevelure lui a été donnée comme voile » ; « un voile » donc, un masque trompeur. Ensuite, l’Esprit dit encore dans 1 Pierre 3:3-4 : « Ayez, non cette parure extérieure qui consiste dans les cheveux tressés, les ornements d'or, ou les habits qu'on revêt, mais la parure intérieure et cachée dans le cœur, la pureté incorruptible d'un esprit doux et paisible, qui est d'un grand prix devant Dieu. » Les églises que l’Esprit nous décrit, ont en « apparence extérieure », un aspect d’églises, mais à l’intérieur des esprits de leurs membres, leurs adeptes, Dieu ne voit que de cruelles et féroces pensées imagées par leurs « dents de lions ». Et dans la dernière épreuve de foi, ce naturel caché sera révélé par leur adoption du décret de mort qui sera promulgué contre les derniers adventistes restés observateurs du repos du samedi, le « septième jour », « sanctifié » par Dieu depuis le début de sa création de la terre et des cieux, selon Gen.2:2-3. Dans ce chapitre 9 de l’Apocalypse, Dieu multiplie ses comparaisons imagées pour révéler les paradoxes qu’il relève entre l’aspect visible extérieur et l’aspect réel invisible masqué intérieur des adeptes protestants. Il nous révèle dans ces images, le jugement personnel qu’il porte sur des églises protestantes qui se réclament de son salut, en toute ignorance du fait qu’il les a abandonnées et livrées au diable, depuis l’année 1843 fixée par l’entrée en application de son décret de Dan.8:14. Le Jugement de Dieu est permanent et il commence en 1843, date où il condamne la foi protestante, pour son soutien donné au dimanche romain, et pour son témoignage méprisant pour les messages adventistes de 1843 et 1844. Son jugement prend ensuite pour cible, en 1994, l’adventisme officiel qu’il « vomit » pour les mêmes causes qui l’ont conduit à rejeter le protestantisme, que l’adventisme rejoint officiellement en 1995. A noter que sa pratique du sabbat perd sa valeur sanctifiante, à cause de la démonstration de son absence d’amour pour la vérité prophétique révélée par l’Esprit de Dieu dans cette époque. Ainsi, le message de la « 5ème trompette » a pour sujet, la description et le regroupement des « faux prophètes » du protestantisme, qui ne sont au complet, qu’en 1994, quand les adventistes déchus les rejoignent dans la malédiction de Dieu.

Dans la loi de ses Dix Commandements, Dieu a placé en premier, les quatre commandements qui le concernent directement, les six derniers concernant les devoirs des hommes envers les hommes. Il a voulu ainsi présenter sa loi dans la conformité du découpage de ses deux commandements rappelés par Jésus dans Mat.22:36 à 40 : « Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ? Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C'est le premier et le plus grand commandement. » Jésus enseigne par ces paroles la priorité que l’homme devra donner à ce commandement. Il ajoute ensuite : « Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes. » Pour la fausse foi chrétienne, faire passer le second avant le premier de ces commandements de Jésus-Christ, c’est se fermer, soi-même, la porte du ciel. Car n’y entreront que ceux qui respectent les priorités indiquées par Dieu en Jésus-Christ.

Dans la même idée, « l’Adventisme du septième jour » institutionnel a été depuis 1873 reconnu et authentifié par Jésus-Christ jusqu’en l’année 1994 où il l’a « vomi », soit renié, renvoyé, rejeté. Depuis 1844, la doctrine de l’adventisme a été construite sur de fausses interprétations prophétiques, mais pour Dieu, ses erreurs n’avaient à ce moment de son histoire, que peu d’importance. Les pionniers adventistes ont été bénis et sélectionnés par Dieu, non à cause de leur compréhension de la vérité prophétisée, mais en raison du témoignage de joie que l’annonce du retour de Jésus-Christ provoquait dans leur vie entière. Et c’est ce seul critère qui les fit « sanctifier » par Dieu. En signe de cette « sanctification » qui authentifie son approbation, Dieu leur a fait découvrir et pratiquer son repos sabbatique du vrai septième jour : le samedi. Et voilà, « l’église adventiste du septième jour » était placée sur son rail de lancement. Et en 1873, sa mission a pris un caractère universel. Les interprétations prophétiques comportaient beaucoup d’erreurs mais ce n’est qu’à partir de 1980 que Dieu a exigé la disparition des faussetés dans la doctrine adventiste du septième jour. Il m’a alors appelé pour effectuer cette tache. Et animé d’une authentique foi depuis ma naissance, je n’avais jamais voulu me faire baptiser, parce que je ne parvenais pas à croire que Dieu ait pu accepter de souffrir en Jésus-Christ pour obtenir un si piètre résultat. Car je ne voyais guère de différence, entre les soi-disant chrétiens baptisés et les autres humains incroyants ou incrédules. La découverte de la disparition de la pratique du sabbat, sujet qui m’interrogeait, a été la clé de toutes les explications des questions restées, jusque-là, sans réponse. Ainsi, la satisfaction donnée à mes questions a été le moteur de ma décision de me faire baptiser dans l’église adventiste du septième jour. L’amour de la vérité qui m’a toujours animé m’a conduit alors à engager des études détaillées des prophéties de l’Apocalypse et de Daniel, car curieusement, c’est bien dans cet ordre que la chose s’est faite. Ainsi, en décryptant les messages de l’Apocalypse, conduit par l’Esprit, j’ai pu actualiser son interprétation, en remettant en cause celles qui dataient de l’époque des pionniers pour lesquels 1844 avait représenté la date de la fin du monde. En 1980, cette interprétation héritée devait être revue et corrigée. Tenant compte du découpage charnière du décret adventiste de Daniel 8:14, j’ai compris comment Dieu avait construit la structure de son Apocalypse sur le changement apporté et exigé par lui à partir de cette date 1844. L’exigence de la remise en cause de l’héritage prophétique de l’adventisme officiel apparaît clairement dans la description que Jésus fait de cet adventisme des années 1980 à 1994. Il dit dans Apo.3:17-18 : « Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. » Dans le verset 17, Jésus présente son jugement sur l’adventisme de 1991, date où mon message annonçant le retour de Jésus pour 1994 m’a valu d’être radié des registres de l’église ; ce que traduit clairement l’expression, « je n’ai besoin de rien » qui exprime un refus officiel de sa lumière prophétique. Dans ce verset, Jésus conteste la valeur que cet adventisme donne à son héritage spirituel ; ce qui justifie la nécessité de le remettre en cause. Mais le mot qui tue se tient dans ce petit mot très court, il le dit « nu » soit, non couvert par sa « justice éternelle », donc, digne de « la seconde mort » annoncée par le « troisième ange » d’Apo.14:9. En effet nous lisons dans 2 Cor.5:2-3 : « Aussi nous gémissons dans cette tente, désirant revêtir notre domicile céleste, si du moins nous sommes trouvés vêtus et non pas nus ». La menace qui concernait ses ennemis catholiques et protestants, le concerne à son tour, à partir de 1991, date de ma radiation précisément, en ignorant que les protestants sont devenus ses ennemis depuis 1843. Et en confirmation de cette malédiction divine, il est entré dans l’alliance protestante, officiellement, en 1995. Dans le verset 18, Jésus dresse la liste de tout ce qui manque à cet adventisme officiel pour être béni par lui : « de l’or éprouvé par le feu » soit, la vraie « foi » selon 1 Pierre 1:7 : « afin que l'épreuve de votre foi, plus précieuse que l'or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l'honneur, lorsque Jésus Christ apparaîtra » ; Jésus précise encore, « afin que tu deviennes riche » : la vraie « foi » démontrée constitue la vraie « richesse » spirituelle. Mais pour être authentifiée et reconnue par Jésus, la foi revendiquée par l’homme doit être mise à l’épreuve par lui. La victoire dans l’épreuve fait seule la différence entre l’appelé élu et l’appelé déchu. Et à ce sujet, Jésus a bien dit, dans Mat.22:14 : « car il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus » ; l’échec dans l’épreuve du plus grand nombre, trop superficiel, justifie ses paroles.  Jésus dit encore : « et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas » Ces « vêtements blancs » étaient portés « dignement » par les pionniers adventistes dans Apo.3:4 : « Cependant tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements ; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes. » et ces « vêtements blancs » sont le signe symbolique de la victoire de la foi, « Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs ; je n'effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges. » C’est Jésus qui juge la valeur de la foi et il rappelle que la vraie foi donne, seule, droit au « vêtement blanc » de sa « justice éternelle » qu’il offre à ses vrais élus. Jésus lui dit encore : « et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies ». Ladventisme officiel est reconnu pour sa mission prophétique, largement soutenu en son début, par les visions reçues par la messagère du Seigneur, Mme Ellen G.White. Or, Jésus dit de cet adventisme de l’année 1991, qu’il est « aveugle » et doit soigner sa vue. En sorte que l’adventisme officiel se retrouve dans la triste situation que Jésus décrit dans Mat.15:14 : « Laissez-les : ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles ; si un aveugles conduit un aveugles, ils tomberont tous deux dans une fosse ». Mais qui peut lui donner « le collyre » offrant ce soin ? Jésus lui-même et personne d’autre. Et il nous le propose dans sa révélation prophétique, son Apocalypse. Mais il ne peut pas lui imposer son remède, il ne peut que le conseiller. Car la résolution du problème de l’adventisme est dans sa propre décision et Jésus sait que la bonne décision ne sera pas prise. Il nous le dit dans son affirmation du verset 16 : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. » L’avertissement prophétique n’a donc pas pour but de changer le destin tragique de sa dernière institution officielle mais simplement, de révéler à ses vrais élus, les causes pour lesquelles il la rejette et la « vomit ».

En mettant ces choses en explications claires et détaillées, j’offre, aux lecteurs et lectrices de mes messages, la possibilité de tenir compte des avertissements donnés par Dieu, dans toutes ses révélations prophétiques. Et les fautes imputées à sa dernière église mettent en garde les candidats qui postulent pour entrer dans l’éternité du royaume des cieux, par la justice de Jésus-Christ.

Au temps de son lancement, l’adventisme officiel ignorait que le temps placé devant lui deviendrait un piège dans lequel il tomberait. Mais faut-il s’en étonner ? Le témoignage historique, n’a-t-il pas maintes fois démontré, depuis l’histoire des « fils de Dieu » finalement corrompus par leurs mariages avec « les filles des hommes » de la lignée de Caïn, que le temps tue la foi et la fidélité ? Pourquoi la dernière église chrétienne échapperait-elle à ce principe ? Nous savons la cause de ces apostasies finales. Elles sont dues aux héritages religieux dans lesquels, les héritiers indignes héritent de leurs parents dignes. Et quand cet héritage s’allonge dans le temps, l’indignité se multiplie et s’amplifie jusqu’à l’apostasie insupportée, condamnée et punie par Dieu.

Comme cette étude vient de le démontrer, ne tombent dans les pièges de l’existence que les incrédules déchus et les incroyants. Les vrais élus les évitent, éclairés par la prophétie qui les révèle, car il est impossible au diable et aux démons de les séduire, comme Jésus l’a enseigné dans Mat.24:24 : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus ».

Quel est le message que nous devons retirer de cette expérience vécue dans l’époque « Laodicée » ? L’adventisme du septième jour va représenter deux sujets de « sanctification » des vrais élus jusqu’au vrai retour de Jésus-Christ. Dans l’héritage béni originel, la réforme sanitaire est conservée et reconduite. Mais toutes les interprétations prophétiques héritées des pionniers adventistes doivent être reconsidérées et remplacées par les interprétations totalement bibliques que je présente dans mes ouvrages, principalement sous le titre « Explique-moi Daniel et Apocalypse ». Le véritable et dernier message « adventiste du septième jour » actualisé sera porté uniquement par des « Adventistes » dissidents, indépendants, libres de toute organisation religieuse institutionnelle, jusqu’à la venue glorieuse de Jésus-Christ, au printemps de l’année 2030.

 

Pour des raisons de lourdeur de fichier informatique, cet ouvrage va s’arrêter sur cette page et sera désormais titré de « Tome 1 ». La continuité de mes messages sera présentée dans le « Tome 2 », sous le même titre et la même couverture que celle de sa présentation actuelle.


Index des thèmes traités

 

Prolongation des révélations divines reçues depuis le 07/03/2020

Les nouveaux messages inspirés continuellement par Dieu

 

N° pages

 

2 Messages de l’auteur

3 2020 – Début des malheurs

4 Le mercredi 19 Mai 2021

5 L’homme spirituel juge de tout

9 Savoir écouter pour comprendre

20 L’Homme et la Femme

22 Dieu et la science

25 La compatibilité de la République avec les religions

26 Le piège de FATIMA

30 La santé des hommes

32 La foi fruit du bon sens

33 Les élections de France de 2022 et la malédiction divine

35 Semaine du 28/11 au 04/12/2021

40 Quand Satan chasse Satan

44 Jésus-Christ candidat pour l’élection du dominateur des cœurs universels

49 Les USA

51 La nature et la science

54 La fausse piété

55 L’homosexualité

57 Dieu et le plaisir

57 La France divisée et fracturée

60 Noël

63 En marche vers le ciel

65 Les phases de la sanctification

73 Paul et le repos prophétisé

74 Les « Mille ans » célestes perdus à Milan

76 Les travaux d’Hercule

78 QUEL EST TON NOM ?

82 Le chemin, la vérité, et la vie

83 La justification par la foi oubliée

86 AUX LARMES CITOYENS !

91 Une révélation numérique aux implications inattendues

93 La loi du grand Juge

97 Dieu le Père Pédagogue des nouveau-nés spirituels

102 Le Covid-19 et le péché

106 La loi du talion

108 Quelques précisions utiles

110 Marie, l’appât pour les idolâtres

119 L’humilité est notre force et notre salut

125 Mélanges mortels

131 La vie donne toutes les « raisons » de croire en Dieu

136 Le salut de l’homme a un prix

140 Les leçons divines romaines

150 Les sept mensonges capitaux

151 Paix mortelles et trahisons

155  Dieu donne le bien et les maux

157 Aimer Dieu et son prochain : l’amour en couple.

165 Voies divines et voies humaines

174 La société des monstres

176 De la « solution finale » à la « solution finale »

186 SAVOIR ECOUTER

187 Les fautes de l’Occident

190 La séduction de la liberté

192 Le péché redéfini

198 CONVAINCRE par tous les moyens légitimes

201 La démocratie théâtrale

206 Dieu organise le grand remplacement

213 La « sixième trompette » et le « sixième » des « sept derniers fléaux de Dieu » : « Harmagueddon ».             

217 Le christianisme est juif ou il n’est pas

226 Le partage des rôles

232 Les privilèges de la vraie foi

238 Nazis ! Ou nouveaux Romains ?

240 Le 9 Mai 1945, le 9 Mai 1950, et le 9 Mai 2022

244 Le temps de la fin

251 La parabole du « fils prodigue »…inversée

255 Liberté Egalité Fraternité … le mythe républicain

258 Entre les mains du Dieu Tout-Puissant

265 La « tête à claques »

269 Nier l’existence de Dieu à tout prix

271 Ce facteur « temps » qui change tout

276 Ce qui a été, c’est ce qui sera

283 L’amour, selon Dieu

290 La vérité : une norme strictement divine

303 Mon commentaire sur l’actualité du 15 Juin 2022

308 Les ordonnances de Dieu : les vraies et les fausses

318 La malédiction divine prouvée

324 Ukraine : l’image d’une parabole biblique

332  Du rêve à la vérité

339 Les raisons de la colère

343 Un culte agréable à Dieu

352 « L’enfant-roi » au pouvoir

363 La fin du monde : un test de foi

369 Le jour où le ciel tomba sur les têtes des Gaulois

374 RELIGION : LE MEILLEUR ET LE PIRE

380 Les indignations des incrédules et des incroyants

389 Les maladresses des mal-convertis

395 La volonté : tout le problème

399 Actualité fin Juillet 2022 : d’un choc pétrolier à l’autre

407 La religion orthodoxe

410 PARIS, ville maudite de tous temps

415 L’incroyance et l’incrédulité ne sont pas légitimes

423 La vie et la mort

428 LA REVELATION DE LA SEPTIEME HEURE et les « Quatre Jean »

436 Le point sur l’Ukraine au 24/10/2022

444 Dieu juge les cœurs et les pensées

448 Le mépris des témoignages de la Bible

451 DIEU : LE PLUS GRAND DES STRATEGES

459 Ce qui a été, c’est ce qui sera

463 La situation de l’Europe

465 Les dates fixées par YaHWéH

474  Le regard céleste

479 Jésus-Christ le Médecin des élus

487 LE TEMPS DE LA FIN

497 L’eau de la vie

508 L’alliance des marchands de la terre

515 Le retour de Jésus-Christ

522 Le procès du Noël idolâtre

527 La juste colère divine

534 Trois jours et trois nuits…comme Jonas

539 Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime

551 Vraie et fausse légitimités

560 L’unique VERITE

565 L’inégalité des sexes des couples de l’humanité

572 Le nouvel « Attila »

578 Les Juifs et la venue du Messie

583 La confusion romaine

592 En marche vers sa gouvernance mondiale

601 L’Elue et la loi divine

606 Des faits historiques hautement prophétiques

609 L’inversion humaine des valeurs divines

615 La concurrence et la complémentarité

623 De la petite lumière à la grande

628 La postérité d’Abraham

632 La Rome perpétuelle

645 L’évolution du mal : des USA à l’Ukraine

650 Sécheresse climatique pour les cœurs secs

656 Le nouveau colonialisme

662 Les apparences de Dieu

669 La France maudite et la France bénie

674 Dieu nous révèle son expérience

680 La dictature de l’Humanisme

685 La mort lente

695 Equinoxes et solstices

703 Démocratie et technocratie

709 Foi, intelligence et sagesse

717 La vie sans mode d’emploi

721 La situation mondiale en fin Mars 2023

729 Le Vrai Maître du Temps

740 Le réveil des haines

752 Le marché des illusions

764 L’iniquité et le péché

769 Les liens du sang

775 Le péché accompli en 313

786 Cet Occident révélé impur

795 Vrai ou faux ; vérité ou mensonge

814 Le temps des sept derniers fléaux

823 Le véritable amour

838 Les leçons bibliques cachées non exprimées

842 la guerre russo-ukrainienne et l’actualité

849 FILS DE DIEU

861 La vérité vous affranchira

866 La lecture de la sainte Bible

875 Les nuits estivales incendiaires

878 Vraie et fausse sanctification

883 La semaine de YaHWéH

895 Tradition et Vérité

904 La folie collective

912 Le bien et le mal

924 Le temps terrestre : la mort programmée

938 Profondeur et superficialité

947 Le sanctuaire : tout un programme

961 Vérités difficiles à entendre mais bonnes à écouter

973 La loi de Moïse

984 Les pièges de l’existence

1000 INDEX DES THEMES TRAITES

 

 

Conseil aux lecteurs

Cet ouvrage est susceptible de subir des modifications permanentes (corrections, rajouts ou suppressions). Aussi, pour savoir si d’importantes modifications ont été apportées, dans chaque mise à jour proposée, vérifiez et comparez le numéro de page de l’index des thèmes mentionnés ci-dessus, avec celui de la version précédente que vous possédez.

 

 

Moi, Samuel, serviteur inspiré de Jésus-Christ, je remercie et associe à l’élaboration de cette œuvre, mes compagnons, frères et sœurs en Christ qui, par leur aide précieuse et leurs talents individuels favorisent les corrections des fautes d’orthographe, de frappe, et d’erreurs de détails historiques, qui permettent de rendre ce divin enseignement digne du Dieu de vérité qui l’inspire. Ils ont ainsi apporté leur pierre à la construction de cet édifice spirituel. Qu’ils en soient tous éternellement bénis !

 

 

Version : 23-09-2023 / 7-7ème-5994.