1
Samuel présente
Tome 1
La manne spirituelle des derniers marcheurs adventistes
en chemin vers la Canaan céleste.
Arrivée, le Mercredi 20 Mars 2030.
« Quel est donc le serviteur fidèle et prudent, que son maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ?
Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi !
Je vous le dis en vérité, il l'établira sur tous ses biens. »
Matthieu 24 : 45 à 47
Index des thèmes traités en fin d’ouvrage
La manne spirituelle des derniers marcheurs adventistes
Prolongation des révélations divines reçues depuis le 07/03/2020
Les nouveaux messages inspirés continuellement par Dieu
Messages de l’auteur
Selon qu’il est écrit dans Apo.2:26 : « A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations. », Jésus-Christ fait partager à son serviteur, son prophète, la connaissance de son jugement sur toutes choses, telles que les sujets, religieux, politiques et économiques. Car il fait accomplir ses projets en agissant dans tous ces domaines qui régissent l’humanité.
Parmi les œuvres de Jésus-Christ, se trouve l’inspiration constante de sa lumière, aussi importante pour la vie spirituelle de ses élus, que le fut la manne donnée chaque jour aux Hébreux rassemblés par Dieu au désert du Sinaï.
Ceux qui la cherchent trouveront dans les articles écrits dans cet ouvrage, la garantie d’une pensée divine authentique, qui m’engage en tant que témoin, et qui les responsabilise devant Dieu et son saint suprême jugement. Car le refus de sa lumière est cause d’une rupture de relation entre lui et sa créature.
L’inspiration révélée dans ces lignes n’est que l’accomplissement de la promesse faite par Jésus à ses serviteurs, dans Mat.28:18 à 20 où, pour soustraire ses interlocuteurs au doute, il est écrit : « Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi: Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde.»
Après avoir présenté dans « Explique- moi Daniel et Apocalypse » l’étude détaillée, verset après verset, de ces prophéties divines, je présente dans cet ouvrage, selon l’inspiration divine du moment, des analyses de synthèse sur des thèmes traités dans ces prophéties, mais aussi sur l’actualité du moment. Ce regard englobant est riche et il favorise la maîtrise de la compréhension offerte par Dieu au nom de Jésus-Christ. Ces témoignages nouveaux ont pour lui autant de valeur que les premiers et pour ses élus, ils rendent clair et compréhensible ce qui était crypté et impénétrable.
J’ajoute que dans les temps difficiles que nous allons devoir traverser, la connaissance de ces articles fera toute la différence pour obtenir ou pas, du Christ, son indispensable aide et son soutien divin pour vaincre comme il a vaincu. Car ses élus sont invités à « garder ses œuvres jusqu’à la fin » du monde, dans « la patience et la persévérance » qui caractérisent les vrais « saints » de Dieu.
Note : les traductions en langues étrangères étant réalisées à partir de logiciels de traduction automatique, l’auteur n’engage sa responsabilité que pour les textes en français, langue de la version originale des documents.
2020 – Début des malheurs
En dehors du comportement idéal qu’il approuve et bénit, Dieu supporte pour un temps ce qu’il désapprouve ; mais, uniquement, pour un temps assez court. Depuis 2020, nous avons l’avantage de le voir répondre immédiatement aux outrages qu’il subit dans l’Occident chrétien principalement.
En application de ce verset cité dans Rom.2:9 : « Tribulation et angoisse sur toute âme d'homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec! » le grand Dieu créateur, notre grand Juge a fait de l’année 2020, depuis l’équinoxe du printemps 2020 à l’équinoxe du printemps 2021, selon son ordre, une année marquée par une malédiction sans pareille dans l’histoire humaine depuis la sortie d’Egypte. Et en suivant l’ordre indiqué dans le verset, Israël fut le premier pays qui a adopté, en face de la « pandémie » supposée attribuée au virus Covid-19 apparu en Chine, et cause de l’ampleur de cette malédiction, la funeste décision de « confiner » tout le pays, bloquant ainsi tout l’appareil économique. En recopiant ce modèle, à leur tour, l’Italie (premier pays occidental touché) et les autres peuples chrétiens occidentaux ont adopté cette même mesure avec les mêmes conséquences économiques désastreuses depuis le printemps 2020. L’effondrement du monde occidental est égal à celui que provoque une guerre mondiale.
La cause de cette malédiction divine remonte aux origines de la création terrestre et aux derniers outrages, comme le mariage unisexe, les nouvelles « théories du genre » multi sexe et le soutien donné à l’islam. Par cette réaction, le Dieu créateur d’Adam et Eve et de leurs descendants vient de confirmer le message donné dans Gen.3:22 : « YaHWéH Dieu dit : Voici, l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement ». Je précise déjà que ce « l’un de nous » désigne Satan, le diable.
Explication : Depuis plusieurs décennies, une partie des énormes profits récoltés par le géant financier américain, « Google », est réinvesti dans la recherche scientifique et l’un de ses buts à atteindre est rien moins que rendre l’homme « immortel ». Avec l’apparition des virus contagieux mortels, le Tout-Puissant signale aux scientistes terriens qu’il ne leur permet pas d’obtenir ce résultat ; la mort restera son arme divine et elle atteindra tous les rebelles coupables. Les énormes progrès scientifiques dus au développement de l’électronique et de l’informatique ont considérablement transformé les esprits humains et surtout chez les jeunes gens élevés en Occident sans la religion. En vérité, l’humanité ne fait que s’adapter au programme que Dieu a conçu pour elle. En donnant la domination aux Etats-Unis américains dans la Seconde Guerre Mondiale, Dieu a préparé le déclin européen. Par son réseau « internet », l’Amérique a rendu les habitants de toute la terre dépendants de sa technologie. La cupidité capitaliste a fait sacrifier les productions locales au profit des productions délocalisées vers l’Asie et particulièrement, en dernière, la Chine. Il fallait l’action des virus pour que les nations occidentales réalisent leur dépendance des producteurs asiatiques et leur état de ruine. La prochaine étape sera leur destruction par la guerre. Les dirigeants des nations sont en Occident assez jeunes et comme les jeunes de notre époque, ils ne s’appuient que sur la science qui a su résoudre, jusqu’en 2020, tous les problèmes. On peut comprendre alors le désarroi de cette jeunesse qui découvre que la science n’a pas de réponse pour guérir les victimes du Covid-19. Cette situation nouvelle angoissante les a conduits à « confiner », « déconfiner » et « reconfiner » leurs populations, ne se doutant pas que le remède serait à terme pire que le mal, par ailleurs, amplement amplifié dans leur jugement. Mais agissant ainsi, ils n’ont fait qu’accomplir le plan de Dieu qui a résolu leur destruction.
En cours d’année, le vendredi 16 Octobre à 17 heures au début du sabbat, le professeur d’Histoire Samuel Paty est décapité par un immigré tchétchène suite à l’affichage, en cours scolaire, des caricatures moqueuses et scabreuses du prophète Mahomet publiées par le journal satyrique « Charlie Hebdo ».
Les 6, 7 et 8 Mars 2021, le pape François se rend en Irak pour soutenir les « chrétiens » orientaux persécutés. Se rendant à Mossoul, l’ex-capitale dévastée du Califat islamique, il nomme « frères » les musulmans qu’il rencontre ; ce faisant, il irrite Jésus-Christ qui va utiliser l’islam guerrier de ses « frères » pour le châtier. Selon Dieu, « l’amour fraternel » est un fruit de son Esprit Saint qui s’active uniquement en faveur de ses élus fidèles ; et surtout pas pour les peuples qui nient et présentent, comme un mensonge chrétien, la mort expiatoire de Jésus-Christ, base de l’Evangile (la Bonne Nouvelle) du salut. A relever que dans les mêmes jours, des affrontements violents entre jeunes d’origine immigrée et la police française ont eu lieu dans plusieurs villes, confirmant ainsi, l’incompatibilité de la religion musulmane avec le régime laïque républicain français.
Le mercredi 19 Mai 2021
35000 policiers se sont rassemblés pour manifester contre le laxisme de la Justice près de l’Assemblée. Ils sont victimes d’attaques des jeunes délinquants trafiquants de drogue qui sont aussi des islamistes qui n’hésitent plus à tirer sur eux. Les policiers comptent leurs morts et leurs blessés. La violence est de moins en moins contrôlable. La cause est l’incapacité de la République à empêcher l’immoralité des êtres humains. La corruption apparaît dans tous les corps de métiers et tous les domaines religieux, économiques, judiciaires et politiques. Et l’explication repose sur le fait que la République donne des postes en se basant uniquement sur les diplômes obtenus. La moralité des gens n’est jamais prise en compte et on découvre après coup que les candidats à la présidence sont des menteurs et des voleurs. Coupée de Dieu, elle est incapable de répondre à ses problèmes et sa justice uniquement basée sur la lettre de ses lois produit l’injustice que seule la moralité pourrait empêcher. Dans la République, comme dans la Bible, « la lettre tue, mais l’esprit vivifie ». Comme à son commencement, la République coupée de Dieu ne peut qu’avoir pour fruit, la violence, la destruction et la mort. Concernant la justice des hommes, Jésus-Christ n’a su présenter en parabole que le type du juge inique ; la réalité de 2021 accomplit parfaitement sa vision et son Jugement des choses.
L’actualité en date du 25 Septembre 2021
L’homme spirituel juge de tout
Le verset complet d’1 Cor.2:15 dit : « L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne. »
Je veux être honnête et reconnaître que ce verset cible essentiellement les sujets religieux, mais celui qui bénéficie de la sagesse divine pour juger les choses spirituelles peut mieux que tout autre, juger également les choses de ce monde. L’apôtre Paul l’entendait ainsi, en disant dans 1 Cor.6:3 : « Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges ? Et nous ne jugerions pas, à plus forte raison, les choses de cette vie ? »
Je vais donc présenter le regard spirituel éclairé de mon jugement sur les choix politiques et économiques de notre société française car c’est celle que je connais le mieux, étant né sur la fin de la seconde guerre mondiale et ayant grandi dans ce pays de France. Les premières images reçues étaient celles d’un quartier détruit par les bombardements. Sous la quatrième république, le pays s’est reconstruit et il a retrouvé une bonne prospérité. Puis est venu le temps des décolonisations et la quatrième république s’est brisée à cause de la guerre d’Algérie, au point qu’en 1958, cette république a été remplacée par la cinquième proposée par le général de Gaulle. Sur le plan démocratique, la quatrième, basée sur la majorité et la représentation proportionnelle des députés, empêchait l’adoption par le vote des mesures excessives. C’était un garde-fou très utile. Pour être adopté, le projet devait faire consensus et être soutenu par le parti du gouvernement et une partie, au moins, de ceux de l’opposition. Le principe était vraiment digne d’une démocratie et bénéfique pour le peuple français. Mais l’heure étant venue pour Dieu de préparer la punition du régime républicain français, il livra la France au régime semi monarchique de la 5ème République qui ne posa pas de problème sous la gouvernance du Général de Gaulle. L’homme était droit, honnête, mais aussi, rusé et âgé de 68 ans quand il prit la présidence du pays. Il réussit donc à faire accepter comme démocratie, son régime dictatorial déguisé et masqué derrière une organisation officiellement démocrate. Le peuple allait pouvoir changer son « roi » tous les sept ans. De plus, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, époque où je suis né, la France était placée sous la pression des deux influences politiques extrêmes opposées : le capitalisme américain et le communisme soviétique russe, à l’image de sa position géographique qui la place entre l’Amérique et la Russie. Le général de Gaulle usa de ses pouvoirs pour donner à la France une indépendance face aux pressions des deux blocs adversaires. Mais après son retrait et sa mort, ses successeurs ont replacé la France sous l’influence séduisante de la riche Amérique. Son esprit libéral prenant une forme religieuse de libéralisme a conquis les élites des héritiers politiques du général de Gaulle. Le libéralisme est en effet la forme doctrinale de la pratique de la liberté. Mais Dieu nous a appris que la vraie liberté ne se trouve qu’en lui, dans l’obéissance à ses lois, aussi tout autre désir de liberté ne vise en réalité qu’à obtenir de manière égocentrique soit, égoïste, le droit de faire ce que l’on veut. Dès lors, de génération en génération, et de présidence en présidence, le fruit de la cupidité devait conduire les dirigeants à faire toutes les erreurs préjudiciables au peuple français tout entier. Au nombre de ces erreurs, je relève en premier, celle de permettre à ses ennemis musulmans de s’installer sur son territoire, sur le sol de sa métropole. Cette erreur est directement due au mépris religieux de ses élites. Eclairées par Dieu, elles auraient compris l’impossibilité de faire cohabiter et « vivre ensemble » les religions chrétiennes avec l’islam. Mais l’installation de l’islam avait pour but de préparer l’affrontement religieux final, qui ouvrira la voie à la Troisième Guerre Mondiale, cette fois nucléaire. La longue expérience de la France rejetée successivement par toutes ses colonies du Maghreb aurait dû servir de leçon, mais comme des aveugles, des sourds et des insensés, les leçons vécues furent ignorées. Dans une démarche quasi suicidaire, les autorités françaises se sont interdit le droit de procéder à des sondages, des tests au sujet des proportions réelles de l’immigration étrangère particulièrement dans un premier temps, musulmane. Cependant, la vérité apparaît puisque la France se compose officiellement de 63 millions d’habitants mais curieusement ses services de santé comptent 75 millions de personnes prises en charge. Les 12 millions exédentaires ne seraient-ils pas, au moins en partie, des immigrés clandestins accueillis par les immigrés légaux ? En face d’un danger, il devient vital de pouvoir doser son intensité, la survie l’impose. Le risque de la constitution d’une « cinquième colonne » musulmane sur le territoire de la France existe et finira par être payé très cher. La cause de cet aveuglement était la puissance d’égarement dans laquelle, Dieu plonge les peuples et leurs autorités dirigeantes, quand ils méprisent sa vérité, selon qu’il est écrit dans 2 Thes.2:11-12 : « Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés. » Les relations établies par la France avec l’islam furent, dès le commencement, conflictuelles, et c’est uniquement par la force que les pays du Maghreb furent colonisés. La haine et la rancune se trouvent toujours chez la victime, et non chez le conquérant. Et là encore, complètement aveuglés, les Français ne prirent pas conscience du niveau de cette rancœur pourtant bien justifiée. Les Evangiles et les épîtres présentant tous Jésus-Christ comme l’unique sauveur universel qui, volontairement, a donné, sa vie charnelle terrestre en expiation des péchés de ses seuls élus ; l’islam, qui nie cette mort volontaire, ne pouvait, en aucune manière, être compatible avec la foi chrétienne et son Dieu inspirateur. Il n’est pas cet esprit versatile que les fausses religions chrétiennes présentent, mais au contraire, l’unique Dieu créateur qui, selon Mal.3:6, « ne change pas », et propose à l’humanité entière un seul et même projet de salut qui repose, exclusivement, sur la vraie foi chrétienne que Jésus juge et évalue personnellement. Ceci étant bien compris, nous pouvons analyser l’islam comme tout autre pensée idéologique qui répond à ce principe : elle aura toujours envers elle, des partisans, des opposants et des indifférents ou hésitants. Ce mauvais arbre selon Jésus-Christ a deux bras fondamentaux qui sont les partisans actifs et les partisans inactifs. Pour être plus clair encore, disons que l’islam se compose du bras terroriste actif et du bras inactif qui applaudit publiquement, ou de manière cachée, les victoires obtenues par le bras actif. La chose a été prouvée puisque lors de la destruction des tours jumelles américaines à New-York le 11 septembre 2001, les « youyous » victorieux des femmes musulmanes ont retenti et exprimé leur joie dans les banlieues et ZUP de la France. Ces réactions hostiles n’ont pas été relevées ni sanctionnées par les politiques français et en conséquence, le bras armé musulman s’est fortifié, organisé et il a pris la forme du groupe islamique Daesh. L’indifférence envers la vérité divine et la vérité des faits vécus explique l’agressivité islamique que Dieu a entretenue et réveillée pour accomplir sa mission punitive de l’occident incrédule et rebelle du temps de la fin. La France demeure à titre symbolique la cible de sa colère, car, après la Grèce et Rome, elle est à l’origine de toutes les républiques contemporaines. Et le régime républicain et ses outrances ne doivent leur existence qu’au Dieu Créateur qui les a suscités pour abattre le régime monarchique qu’il a accusé et condamné, à cause de son soutien à la foi catholique papale romaine, depuis le début de son instauration, en 538. Cette accusation est lisible dans Apo.2:20 à 23 où Dieu nomme « grande tribulation » l’action meurtrière de la Révolution Française : « Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu'ils se livrent à l'impudicité et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. Je lui ai donné du temps, afin qu'elle se repentît, et elle ne veut pas se repentir de son impudicité. Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu'ils ne se repentent de leurs œuvres. Je ferai mourir de mort ses enfants ; et toutes les Églises connaîtront que je suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon vos œuvres.» Dans ce verset, la « femme Jézabel » désigne l’église papiste dont les persécutions ordonnées par ses juges inquisiteurs conduisent Dieu à la comparer symboliquement à la reine « Jézabel », la femme étrangère épousée par le roi juif « Achab » qui avait déjà fait tuer les prophètes de Dieu au temps du prophète Elie selon 1 Rois 18 et 19. Un autre aspect de leur ressemblance concerne l’accusation des victimes par des faux témoins, car les témoignages des prêtres catholiques, aussi coupés de Dieu que « les prêtres d’Astarté et des Baals de la Jézabel » de l’ancienne alliance, n’avaient aucune valeur pour lui. Les témoignages écrits dans les livres des Rois et des Chroniques ont apporté la preuve de l’incapacité des monarques terrestres à rendre la justice agréée par Dieu. A la fin de chaque règne, l’Esprit ponctue en révélant son jugement en ces termes : « il fit entièrement le mal comme l’avait fait son père avant lui ». Et après ce type de gouvernance, le régime républicain a fait, encore plus, « le mal » ; et ceci pour les raisons suivantes.
Le principe de la démocratie française donne la même valeur à la voix de chacun des citoyens français. Or, la valeur des citoyens n’est pas uniforme, car elle varie entre les deux extrêmes que constituent l’être très intelligent et le parfait insensé. Entre ces deux extrêmes, le peuple entier se compose donc d’êtres intelligents et d’autres qui le sont moins, voire même quasiment stupides. Les êtres intelligents analysent les propositions des candidats qui se présentent pour les élections présidentielles ou législatives. Et dans ce mélange de voix intelligentes et stupides, la moyenne obtenue est obligatoirement au-dessous du niveau intelligent nécessaire et indispensable. La majorité des votants est en réalité incapable d’analyser les propositions et les enjeux des élections. En conséquence, ce droit de vote donné à tous est mortifère et il condamne à plus ou moins long terme le régime à l’échec, la crise, la ruine et le désastre pour tous qui conduit à l’affrontement meurtrier. Quelle chance, ce principe égalitaire a-t-il d’adopter des lois bénéfiques et justes pour tous ? Aucune, car, de plus, le chef élu impose son caractère, sa nature et sa volonté. Si l’homme était parfait, ce serait l’idéal, mais hélas, il est, le plus souvent, égoïste et ambitieux par orgueil, et tous les successeurs du général de Gaulle ont ceci en commun, qu’ils ont tous sacrifié l’intérêt français du long terme au profit du cours terme soit, du temps que dure leur mandat personnel. La chose devient évidente quand on voit comment le président socialiste François Mitterrand a favorisé les importations chinoises et asiatiques pour donner aux Français l’impression d’un pouvoir d’achat, réel dans l’immédiat, mais destructeur d’emploi pour le long terme de l’économie française. De plus, la création de l’Europe unie repose uniquement sur les règles de son commerce. Aveuglés par les valeurs humanistes, les dirigeants ont fait payer par la France et son peuple le prix de cette construction. Ses emplois ont été délocalisés et transportés dans les pays européens de faible niveau de vie, successivement, le Portugal, la Pologne, la Roumanie et la Bulgarie. Si l’Europe s’est retrouvée avec 27 nations, c’est parce que le capitalisme qui l’anime fait entrer, pour les exploiter, des pays toujours plus pauvres. Dans le même temps, la France est devenue entièrement dépendante de la Chine qui a maintenant l’exclusivité de la production des produits de toutes sortes. La ruine a donc de multiples causes, mais, principalement, celle de la malédiction du Dieu vivant venu sur terre en Jésus-Christ.
La démocratie française a ceci de particulier, c’est que sa constitution fait reposer ses votes sur deux tours. Ceci révèle bien le caractère pervers des Français. A l’opposé, le principe divin nous dit dans Mat.5:37 : « que ton oui soit oui et que ton non soit non et tout ce qu’on y rajoute vient du malin ». C’est donc « au malin » que nous devons imputer le second tour qui pervertit le choix électoral. A l’origine sous la 3ème et la 4ème République, le scrutin à un tour permettait de sélectionner le candidat qui arrivait en tête quel qu’était le nombre des voix obtenues. Mais dans la 5ème République, le second tour donne au vote le moyen d’exprimer, en plus du soutien, la détestation et le rejet des candidats nationalistes ; la voix suicidaire qui va tuer la nation est de cette manière imposée. J’ajoute cette question : Comment faire élire la personne intelligente si l’électeur est majoritairement stupide ? Ce jugement est confirmé par Dieu puisque ses élus forment un « petit troupeau » qui reçoit seul, de sa part, l’intelligence véritable, très différente de l’instruction des gens diplômés. Mais ces choses sont conformes à la volonté de Dieu, pour lequel : le peuple a les dirigeants qu’il mérite.
Les avancés technologiques de l’informatique et l’instauration du système « internet » ont aussi un rôle important dans la transformation des économies occidentales. De nombreux métiers spécialisés sont devenus réalisables par de simples individus, à cause de leurs ordinateurs. Or, l’équilibre économique des peuples repose sur le plein emploi et la satisfaction équilibrée de l’offre et de la demande. En tuant, les uns après les autres, les divers secteurs économiques, les outrances d’internet détruisent les économies des nations par un déséquilibre fatal de l’emploi.
Dans les derniers temps, le rôle amplifié du système « internet » porte la responsabilité de permettre aux intelligents et aux insensés de faire connaître leurs pensées et leurs avis sur plein de sujets. La majorité des humains étant incapable de juger entre le bien et le mal, le positif et le négatif, les pensées du mal sont puissamment divulguées et partagées par des multitudes, et les nations sont ainsi gagnées par le mal, incapables d’empêcher sa diffusion. Les idéologies, toutes utopiques, s’affrontent sur « internet » avant de s’affronter, physiquement, sur le sol de la terre et dans les airs. Il ne faut attendre ou espérer, ni remède, ni solution, pour régler ces problèmes qui viennent au temps choisi par le Dieu vivant pour préparer un grand embrasement qui constituera, selon Apo.9:13, le « sixième » châtiment avertisseur de sa grande colère, avant son retour révélé à ses élus pour le printemps 2030 qui sera l’heure où sonnera, la « septième trompette » d’Apo.11:15. Il reviendra, et mettra fin à l’existence des rebelles et à celle de tous leurs rêves utopiques, sous le nom céleste de Jésus-Christ, Micaël et Tout-Puissant YaHWéH.
Savoir écouter pour comprendre
En France, l’élection présidentielle se prépare en vue de choisir le chef d’Etat qui sera élu en Avril 2022. Les débats et les échanges des journalistes et des spécialistes politiques permettent de distinguer ceux qui, parmi eux, se remarquent par leur aptitude à écouter. L’expérience est très instructive, car ce même comportement concerne le sujet religieux. Dans la campagne électorale qui s’engage, un homme, un « trublion », polémiste et journaliste politique de droite de longue date, retient l’intérêt des médias à cause du taux de 17 à 18% des estimations que les agences de sondages d’opinion du peuple lui donnent. Cet homme n’est pas déclaré officiellement candidat à la présidence, mais il profite de la sortie de son livre, dans lequel il présente son jugement sur la situation de la France, qu’il juge « cauchemardesque », convaincu qu’une future guerre civile interne sera la conséquence inévitable de l’évolution croissante de la population musulmane installée en France. Cette prise de position est logiquement combattue par tous les gens tournés vers la pensée humaniste et l’esprit universaliste, qui représente la quasi-totalité des journalistes des médias. Les prophéties bibliques de Dan.11:40-45 et Apo.9:13 confirment l’imminence de ce conflit. Je ne peux donc que reconnaître une certaine sagesse et intelligence humaine aux idées répandues par cet homme. Eric Zemmour est ainsi projeté tel un phare dans cette campagne électorale et les avis exposés sur lui et ses paroles sont extrêmement révélateurs. Je relève ceux qui ne tiennent aucun compte de ses explications car ils restent sourds à toutes les précisions qu’il apporte dans le temps à ses déclarations contestées et incomprises. Tels des robots dépourvus de l’intelligence humaine, ils répètent inlassablement des accusations que la justice partisane favorable au camp humaniste avait soutenues et confirmées. Le parti pris se révèle dans tout son sens. Ils restent sur leur position et n’entendent plus la voix de la raison. Ce comportement se retrouve chez la majorité des journalistes qui animent les médias publics et privés. Certains qui aiment « les fables agréables » (2 Tim.4:3-4), même si la conséquence de la tromperie est mortelle, lui reprochent de ne pas présenter, ni ses solutions, ni un message optimiste et entraînant pour rallier derrière lui un soutien populaire. Mais, heureusement, certains autres, peu nombreux, se distinguent en montrant qu’ils sont capables d’analyser correctement et honnêtement les déclarations du polémiste.
Les humains se comportent de la même manière dans le domaine civil et dans le domaine religieux, c’est pourquoi leur comportement dans un choix électoral civil révèle ce qu’ils sont véritablement. Et je relève que dans son discours, Eric Zemmour dénonce le renoncement des gouvernants français au modèle de l’assimilation de l’étranger accueilli par la France. Finement, il relève, dans le choix de conserver ou d’abandonner un prénom étranger, un signe qui révèle la fausse adhésion au peuple français ou la vraie. Ce reproche est d’autant plus justifié qu’en premier, cette faute s’est appliquée dans le domaine religieux. Car ce que les religions apostâtes n’ont pas compris, c’est que Jésus-Christ « assimile » dans son modèle et ses normes tous ceux qu’il sauve et va réellement sauver. Quand il appelle et engage ses apôtres, il commence par changer leur nom et les instruit ensuite : Simon devient Pierre ; Saul devient Paul, mais ce changement de nom peut révéler la nécessité d’un grand changement nécessaire car le premier Simon, sera converti après avoir renié Jésus trois fois. Et pour le second, Saul, c’était le zélé meneur des persécuteurs des premiers Chrétiens. Au contraire des autres, Jean ne change pas de nom, ce qui révèle une nature réellement né de Dieu dès sa naissance comme le dit son nom : Dieu a donné. Pour Dieu et ses élus intelligents, l’assimiliation est la norme nécessaire et conforme à l’idée du baptême, duquel le baptisé ressort en homme nouveau, qui ne s’appartient plus à lui-même, car il appartient désormais au Christ qui l’a racheté. La fausse religion a fait du christianisme une simple étiquette collée sur le front du faux baptisé qui, logiquement, esclave du diable, va continuer à le servir, dans une trompeuse espérance du salut chrétien. Il en est de même pour le modèle de l’assimilation des immigrés étrangers qui a été abandonné et l’immigré cohabite avec le Français de souche mais ne veut pas s’assimiler avec lui car il tient à conserver tout son héritage originel. C’est ainsi que comme dans le domaine religieux, dans le domaine civil, le bon grain cohabite aussi avec l’ivraie, et cette cohabitation crée des problèmes d’agressions et de refus de soumission aux autorités nationales ; ce comportement belliqueux n’est que le prélude d’affrontements beaucoup plus graves. Pour Dieu, depuis Clovis, le premier roi des Francs, le modèle France constitue la société du péché dont il dénonce les comportements civils et religieux. Jusqu’à sa destruction prochaine, la France aura tenu ce rôle révélateur pour lui. C’est pourquoi, les reproches présentés par Eric Zemmour doivent être écoutés et entendus, comme il en est de la parole prophétique selon Apo.1:3 : « Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie, et qui gardent les choses qui y sont écrites ! Car le temps est proche ». Ce verset montre le lien entre les étapes successives qui conduisent l’âme vers la pratique bénie par Dieu. Tout commence par la lecture « heureux celui qui lit » soit, la compréhension par un individu. La seconde étape est celle de la transmission : « ceux qui entendent » soit, la multitude de ceux qui comprennent le message transmis. Et la troisième, « et qui gardent » désigne la possibilité de mettre en pratique concrète la norme du message transmis.
Relève donc son avantage, car l’homme spirituel retire des messages spirituels même dans une situation électorale civile. Car la vie est un tout qui comprend le civil et le religieux et par son comportement, l’homme reproduit sa nature profonde dans les deux domaines de la même manière.
Depuis sa résurrection, Jésus-Christ sélectionne ses élus que l’on peut comparer à des multitudes d’êtres humains qui se préparent en vue d’émmigrer dans un pays étranger qui est le royaume des cieux. Or, le Maître et Roi de ce pays exige une tenue vestimentaire qu’il y a rendue obligatoire ; il la nomme : « l’habit de noce ». Sous cette expression, Dieu résume la norme de son caractère révélé en Jésus-Christ et avant-lui, celle qui a été révélée par ses œuvres accomplies depuis la création du monde terrestre. Car le Dieu Justice et Amour s’est présenté avant le Dieu Amour et Justice. Les faux Chrétiens ne voient Dieu que sous l’aspect amour en raison de la faiblesse portée par Jésus-Christ dans la chair humaine. Ils n’ont pas compris que pendant son passage sur la terre, le puissant Micaël avait renoncé, volontairement, à ne pas faire usage de sa toute-puissance divine. Pourtant, à tout moment, Jésus aurait pu reprendre son apparence divine, telle qu’elle était, glorieuse et terrible, épouvantant les Hébreux depuis le sommet du mont Sinaï, transformé en fournaise ardente et fumante.
Je loue et remercie le Seigneur Jésus-Christ qui me permet de relever des leçons divines dans ce contexte électoral car l’assimiliation est à la base de l’enseignement biblique puisqu’elle est exprimée dès la Genèse quand Dieu dit à l’homme dans Gen.2:24 : « C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. » Pour réussir sa nouvelle union avec sa femme, l’homme doit renoncer à son statut de fils pour devenir le mari de sa femme ; et parallèlement, ses parents doivent accepter de perdre leur statut privilégié de parents, afin de favoriser la transformation et l’adaptation de leur fils à sa nouvelle situation. Né dans une ambiance païenne à Ur en Chaldée, Abram fut invité à quitter la maison de son père terrestre pour s’assimiler à la norme de vie céleste qu’il allait recevoir de Dieu. Tu peux ainsi comprendre que Dieu s’intéresse à tous les domaines de l’existence humaine. Ce n’est pas lui, mais l’humanité athée, qui a choisi de séparer les sujets civils des sujets religieux. Car Dieu est le propriétaire de l’un et de l’autre, étant leur Créateur. Et à ce titre, il juge divinement l’un et l’autre. Il n’y a donc aucune raison de juger différemment les comportements civils et les comportements religieux. Et la nécessité de l’assimilation apparaît dans ce principe révélé par Jésus-Christ : « Nul ne peut servir (je précise : correctement, au point de les satisfaire) deux maîtres » ; deux femmes, deux nationalités, deux appartenances religieuses ou politiques opposées.
Appliquons maintenant ces leçons pour les comportements civils.
Il ne s’agit pas encore, d’approuver ou de réprouver les propos tenus par Eric Zemmour, mais déjà chose indispensable, de bien comprendre ce que l’homme, l’autre que nous-mêmes, veut nous dire. Ceux qui comprennent peuvent alors se positionner pour ou contre, mais là encore l’homme intelligent doit établir la différence entre l’explication possible et ce que celui qui écoute, souhaite. La vie ne donne pas aux hommes ce qu’ils souhaitent mais la guerre mondiale, non souhaitée, n’en sera pas moins inévitable, parce que Dieu l’a programmée pour s’accomplir avant 2030.
Dans son discours, Eric Zemmour dénonce le danger de l’islam et il a raison, car cette religion est apparue à la fin du 6ème siècle uniquement pour châtier les péchés de la fausse religion chrétienne catholique papale instaurée, pour sa part, en 538 de ce même 6ème siècle. Les musulmans pacifiques défendent l’idée que l’islam est une religion d’amour ; ce que les actions guerrières conduites par son fondateur Mahomet contredit. La seule religion qui repose sur l’amour est celle qui a pour fondement, Jésus-Christ, qui, par amour pour ses élus, a livré sa vie et fait verser son sang, en ayant précisé dans Jean 10:17-18 : « Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père.» Sa résurrection, rendue visible après le troisième jour, en a donné la preuve. La foi chrétienne a, seule, du sens, car elle accomplit un projet divin prophétisé dans la sainte Bible par laquelle le vrai et unique Dieu créateur s’est fait connaître aux êtres humains, par les écrits de Moïse, l’Hébreu père du peuple Juif, 3500 ans avant notre époque.
Les humanistes ne comprennent pas pourquoi Eric Zemmour dénonce le danger de l’islam, parce qu’ils ne voient l’islam que par l’aspect pacifique que la majorité des musulmans français affichent. Le comportement des musulmans est identique à celui des chrétiens occidentaux. De plus, en France, l’incrédulité est devenue majoritaire et la fausse foi du reste forme avec les musulmans pacifiques une écrasante pensée humaniste qui ne veut que vivre en paix, les uns à côté des autres. Hélas pour eux, le Dieu créateur est bien vivant et actif dans sa toute-puissance, et son projet envers ceux qui l’ignorent ou le méprisent s’impose sur tous d’une manière inévitable. Depuis peu, afin de distinguer entre pacifique et guerrier, les humanistes appellent l’islam guerrier « islamisme ». Je vais donc ajouter aux affirmations fermes et convaincues présentées par Eric Zemmour un argument qui fait de l’islam pacifique un danger pour les Français. La présence des musulmans pacifiques en France rend l’intervention des « islamistes » nécessaires puisqu’ils doivent venir « redresser » le comportement infidèle de leurs coreligionnaires musulmans. Pour un « islamiste », le musulman pacifique est le premier qui doit être reconverti. Quant aux incrédules, ils les tiennent pour des « chiens » et les traitent comme tels. Ainsi, où que se trouve un musulman, l’islamiste doit s’y rendre et agir pour convertir l’infidèle. La chose ne plait pas aux humanistes mais ceux qu’ils appellent « islamistes » sont, en réalité, les serviteurs intègres et obéissants, puisqu’ils ne veulent qu’obéir aux directives guerrières enseignées et pratiquées par Mahomet. Le problème est donc bien l’existence du Coran et son enseignement agressif. Si des musulmans condamnent la violence et l’intolérance religieuse qu’ils témoignent alors contre le Coran qui encourage et ordonne ces choses. Qu’ils condamnent aussi l’interdiction de changer de religion que l’islam défend au sein même d’une pays libre dont les devises sont « liberté, égalité, fraternité » ; une belle devise qui ne reste dans les faits qu’une belle devise utopique. Ces contradictions multiples sont à la base de l’échec de l’assimiliation de la religion du Coran et des affrontements qui ne peuvent que croître. Et l’agression ne se présente qu’avec l’accord et la volonté du Dieu créateur qui la revendique ouvertement en inspirant ces paroles citées dans Amos 3:6 : « Sonne-t-on de la trompette dans une ville, sans que le peuple soit dans l'épouvante ? Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ? » Le jugement spirituel me permet de relever des situations semblables dans le déroulement de l’histoire révélée dans la Bible. Ce que la France, l’Europe et le monde entier, s’apprêtent à vivre, n’est que l’ultime application des actions punitives organisées par le Dieu créateur, le grand Juge de l’humanité et des anges célestes. Après le déluge, venu en 1656 après le péché d’Adam et Eve, Dieu a frappé l’Egypte pour libérer et former la nation d’Israël. Entre – 605 et – 586, il a fait appel au peuple des Chaldéens pour punir l’infidélité d’Israël. Ensuite, en l’an 70 de notre ère, il a appelé les Romains pour punir et détruire la nation Israël à cause de son rejet du Messie Jésus. En notre époque, après l’Allemagne Nazie et les actions meurtrières de son furieux « fuhrer », Adolf Hitler ; à son tour, l’islamisme devient le fouet et le sabre de la punition, expression de la fureur divine. L’islam n’est pas la religion du salut mais celle de la punition ; le sabre apparaît sur ses drapeaux. Le salut est rattaché de manière exclusive au Christ Jésus et à son ministère expiatoire terrestre, et c’est lui qui, se voyant trahi et méprisé, envoie contre l’occident la fureur fanatique religieuse islamique et après elle, la fureur vengeresse, rancunière, et opportuniste, russe. Car au cours de son histoire et jusque dans le temps récent, les dirigeants de la France et leurs alliés européens ont fait des choix vexants envers des ennemis potentiels puissants et surarmés.
Revenant à l’actualité électorale, je ne sais pas si Eric Zemmour s’engagera finalement pour la présidentielle. Mais son rôle est déjà, pour Dieu, celui d’un lanceur d’alerte, car l’humanité menacée de mort devait être prévenue ; l’intelligence individuelle de chacun est invitée à produire son fruit d’intelligence. Et ces paroles citées dans Dan.12:10, trouvent alors tout leur sens : « Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront ».
L’élection ou pas du polémiste n’est plus le sujet car désormais les jeux sont faits. Comprends par là que la situation établie est irréversible, le mal redouté étant déjà fait. Quel est ce mal ? C’est l’impossibilité de former en France une majorité soucieuse de la défendre. Car au cours des 40 années d’aveuglement des responsables politiques, le grand remplacement annoncé par Eric Zemmour s’est déjà effectué. La France se compose aujourd’hui d’un mélange de bi-nationaux italiens, espagnols, portugais, allemands, anglais, etc… qui partagent cette réflexion sortie de la bouche de l’actuel garde des sceaux Dupont-Moretti, entre les deux tours des élections de 2017 : « comment voulez-vous que moi qui suis de double nationalité, je puisse voter pour le Front National ? (devenu le Rassemblement National) ». La double nationalité légitimée se retourne ainsi contre ceux qui l’ont rendue légale. Ils ont ignoré la sagesse du Dieu incarné, Jésus-Christ, qui a déclaré dans Mat.6:24 : « Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre ; ou il s'attachera à l'un, et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon. » ; pas plus que le vrai Dieu et l’Allah de l’islam qui désignait, avant Mahomet, le dieu lunaire soit, l’Astarté païen de la Bible. Le danger véritable n’est donc pas uniquement l’islam mais aussi l’accueil des étrangers venus d’Europe et du monde qui, nationalisés, par leur vote, rendent impossible la défense des intérêts nationaux français. Nous nous retrouvons en France dans cette situation paradoxale où le plus français des français, celui qui se soucie de la survie de la France, est cet Eric Zemmour qui revendique ses origines berbères.
Cet autre verset de la Bible, cité dans Jér.17:5, révèle bien un mal de notre siècle dirigé par les pensées des intellectuels : « Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, Et qui détourne son cœur de YaHWéH ! » Dans les échanges médiatiques, souvent, les interlocuteurs font référence aux écrivains rendus traditionnellement célèbres, par les choix républicains effectués au fil du temps de l’histoire de France. Et en France, précisément, le régime républicain a favorisé, par sa conquête de liberté, la multiplication des expressions des divers sens de pensées. On s’y réfère aux écrivains appelés « lumières », dont le premier, le Genevois Voltaire. Mais quelque soit la pensée et l’opinion d’un homme, elle ne reste que sa propre conception d’un modèle. Pourquoi la pensée d’un homme doit-elle devenir une pensée commune imposée comme modèle ? Parce que l’inintelligence partagée par la majorité écrasante des créatures humaines fait que cette masse populaire a besoin d’être dirigée et enseignée. L’homme ne sait plus réfléchir et juger par lui-même, et il trouve, dans le groupe, la force que crée l’union. Dans cette vision de la vie humaine, l’humanité a perdu de vue, le véritable « droit de l’homme » ; celui que Dieu donne, individuellement, « aux hommes » ; celui de décider par eux-mêmes, d’approuver ou de résister, en fonction d’une analyse strictement personnelle des sujets étudiés. Cette opinion personnelle doit faire son choix entre les choses qui se présentent à notre réflexion, et que trouve l’homme sur son chemin ? Des pensées humaines et des pensées divines révélées, exclusivement, par la Bible. Sans la Bible, toutes choses peuvent être légitimées par l’homme, mais cette légitimation disparaît quand la norme du bien et du mal est, clairement, indiquée et définie par Dieu. C’est ainsi que ce verset de Jér.17:5 prend tout son sens. Dieu « maudit l’homme » qui va prendre pour modèle les pensées des écrivains humains, et méprise, de la sorte, la norme divine inscrite dans la Bible, la parole de Dieu écrite sur des rouleaux devenus des livres.
La génération qui a connu le régime de la 4ème République est en voie de disparition, remplacée par les générations nées après l’arrivée en France des travailleurs nord-africains soit, après 1976, date du regroupement familial rendu légal. Cette génération a grandi en prenant pour modèle la culture venue de la société multiethnique des USA, composée d’aventuriers peu scrupuleux venus de tous les peuples de la terre. Car c’est là que ce modèle de société du type Babel est né et s’est développé. Cette nouvelle expérience se caractérise par un taux de violence et de meurtres des plus élevés et par de douloureuses démonstrations de ses injustices. Relève que Dieu a lui-même condamné ce modèle, en séparant les hommes réunis par des langues différentes, dans l’époque de la Babel historique après le déluge. De plus, pour installer ce modèle de société condamné par Dieu, les pionniers américains venus d’Europe et du monde ont presque anéanti l’habitant originel pour le remplacer. C’est donc dans l’exemple américain que l’Europe moderne a trouvé son modèle qui favorise, maintenant sur son sol, cette pratique du remplacement des populations, remplacement des travailleurs, remplacement des entreprises familiales par les entreprises sociétaires qui enrichissent des actionnaires dispersés sur la terre entière, au détriment de la nation locale et de ses travailleurs. La création de l’Europe Unie est, elle-même, une imitation du modèle américain : les Etats-Unis. Ces USA sont en démarche de conquête mondiale et la première de leur conquête, c’est l’Europe, qui a abandonné son modèle de nations libres et indépendantes, et a épousé les normes de la culture américaine, ses modes musicales, ses mots et expressions. Le Français, ex langue diplomatique, a été remplacé par l’Anglais. Relève que cette réussite est, pour Dieu, le relèvement d’une tour de Babel dont l’Anglais est la nouvelle langue internationale. De nouveau, et cette fois malgré les langues étrangères, les êtres humains se rassemblent dans le but de se soustraire à la norme de vie fixée par Dieu. Mais ce que l’homme rebelle n’a pas prévu, c’est la conséquence finale de ces cohabitations de cultures et religions opposées. Le grand rassemblement porte en lui-même, par simple conséquence, son futur châtiment. Les agressions de l’islam guerrier accomplies au sein même des sociétés occidentales confirment la chose, et elles ne sont que le prélude lugubre d’une destruction massive qui se prépare en accomplissement punitif voulu et prophétisé par Dieu. Ainsi, le Dieu créateur punira cette dernière forme de la tour de Babel, et son châtiment aura, cette fois, des conséquences définitives, parce que mortelles. Pour autant, il ne s’agit là, que de la première partie de ce châtiment, qui intervient pour mettre fin au temps des nations. En effet, la Troisième Guerre Mondiale nucléaire, qui vient, va mettre fin aux systèmes nationaux que nous connaissons actuellement. La destruction planétaire annoncée ne laissera derrière elle que des « survivants » dispersés sur toute la terre. Ne pouvant plus relever les anciennes nations, ces survivants vont tout de même se regrouper, à l’échelle mondiale, sous la direction des USA, constituant ainsi, un nouvel Etat, une nouvelle étoile, représentant le reste du monde pour sa bannière étoilée. Ces survivants seront en partie des élus du Christ, et le reste, des rebelles qu’Apo.9:21 décrit en ces termes : « Les autres hommes qui ne furent pas tués par ces fléaux ne se repentirent pas des œuvres de leurs mains, de manière à ne point adorer les démons, et les idoles d'or, d'argent, d'airain, de pierre et de bois, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni marcher ; et ils ne se repentirent pas de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité ni de leurs vols. »
A la lecture de ces choses, je peux tirer la déduction que l’imminente destruction guerrière ne vient pas changer les hommes ; elle n’a donc bien comme but unique que celui de donner à l’humanité rebelle un solennel dernier avertissement de la part de Dieu aux hommes rebelles ; ce qui justifie son symbole de « 6ème trompette » dans Apo.9:13. J’en profite pour rappeler que, signe de l’attitude rebelle, le dimanche catholique romain hérité de Constantin 1er, depuis le 7 Mars 321, est la cause des châtiments successifs symbolisés par les cinq « trompettes » précédentes. L’avertissement suggère la venue d’un châtiment encore plus grand : le dernier. Il va venir avec l’accomplissement de la « 7ème trompette » qui, symbole du retour du Christ, va, cette fois, exterminer l’homme de dessus la surface de la terre. Car, enlevant ses élus vers son royaume céleste pour un séjour provisoire de mille ans, le Christ Dieu vainqueur fera de la terre désolée, pendant ce même temps, la prison du diable isolé au milieu des ruines que sa méchanceté aura provoquées.
En 2020, transformée par les avancées techniques, l’humanité se ressemble d’un bout à l’autre de la terre. Le rôle des médias est devenu prépondérant. Partout, en rentrant dans leur logement, les gens subissent le matraquage publicitaire qui revient toutes les 20 à 25 minutes sur les chaînes tv ou radio privées. Ce lavage de cerveau est imposé pour financer les programmes proposés et certaines de ces chaînes, spécialisées dans l’information organisent des débats où des êtres orgueilleux, envieux de notoriété, viennent exposer leur jugement sur les divers faits de l’actualité. Ce type de programme dirige l’auditeur vers des réponses qui se substituent aux siennes propres. Tout est fait pour arracher l’homme à ses opinions personnelles. Je relève que les avis exprimés sont, fondamentalement, liés à l’orientation du choix politique des individus. Aussi, peut-on comprendre combien ces débats sont sans intérêt réel, et que les seuls raisons de leur existence sont l’orgueil des uns et la cupidité des autres.
Les temps électoraux suscitent dans les cœurs et les esprits des humains, uniquement, des faux espoirs parce que la perfection n’est pas humaine, ni terrestre, depuis que Dieu a maudit la terre et ses habitants, après le péché d’Adam et Eve. J’ai sur beaucoup, l’avantage d’avoir compris le projet de Dieu qui a condamné les projets des êtres rebelles, et avec moi, je t’invite à te libérer des fausses espérances terrestres humaines. Dieu l’a décrété par lui-même, il aura le dernier mot et ses élus marcheront sur les corps des rebelles devenus « poussière ».
Avant ce temps, l’imperfection humaine se relève dans ses caractères extrêmes soit, dans l’extrémisme ; celui de droite et celui de gauche soit, des conservateurs et des novateurs, des libéraux et des socialistes, des riches et des pauvres, ou moins riches. Dans les pays de l’Est où il s’est développé, il ne manquait au communisme que l’Esprit divin de Jésus-Christ pour qu’il ressemble à la première Eglise composée par ses apôtres et ses disciples. Mais le modèle parfait aimé et approuvé par Dieu va encore plus loin dans l’abnégation de soi, puisque le maître doit se faire serviteur de tous et de ses serviteurs ; en matière d’égalité, la conception républicaine est battue et prend l’image de l’injustice type. La sagesse divine nous apprend à marcher sur une ligne exiguë située au milieu de ces choix extrémistes. Le sage retient de droite et de gauche les choses qui sont justes sous le regard du Dieu vivant. Et ce choix, qui se caractérise par son étroitesse, prend la caractéristique du chemin étroit religieux enseigné par Jésus, dans la Bible, à ceux qui veulent le suivre. Le bien et le bon ne se trouvent pas dans les positions extrémistes, mais le mal défini par Dieu se trouve, lui, chez les deux. Et vu que, sans l’Esprit de Dieu, « la lettre tue », l’élu a besoin d’être guidé dans ses jugements par l’Esprit qui est l’Esprit divin du Christ Jésus. Dans Thes.5:19 à 22, l’Esprit nous dit : « N'éteignez pas l'Esprit. Ne méprisez pas les prophéties. Mais examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon ; abstenez-vous de toute espèce de mal. » Mais ne te fais pas de fausses illusions, sans l’aide de Jésus-Christ, mettre en pratique ces choses est impossible, selon qu’il a dit dans Jean 15:5 : « Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. » Ce qui signifie qu’avec lui, la limite de l’impossible recule et que tout ce que Dieu juge bon peut devenir possible pour un être humain puisque « rien n’est impossible à Dieu » selon Luc 1:37 ; Dieu, qui lui propose en Jésus-Christ son aide indispensable.
« Ceux en qui Jésus ne demeure pas » brillent par l’éclat de leur inintelligence due à leur ignorance du sujet religieux. J’en ai relevé la preuve éblouissante sur les ondes « radio ». Un musulman pacifique s’insurgeait contre son rattachement à l’islam guerrier, parce qu’il se réclamait du Coran. Ni l’animateur, ni son invité, un philosophe, n’ont trouvé la réponse qu’il convenait de lui présenter. C’était consternant, parce que la réponse était simple. Il leur suffisait de faire remarquer au jeune musulman que le jugement du Coran repose sur le témoignage historique des œuvres accomplies par son auteur : Mahomet et son sabre convertisseur ; qui n’a fait que précéder l’épée des conversions effectuées par Charlemagne pour la gloire de la papauté romaine. Où est donc cette religion d’amour que ce jeune impute au Coran ? Pas dans son texte, ni chez son auteur, l’histoire en témoigne. Cet exemple met en lumière la conséquence du mépris du sujet religieux par la population française originelle gagnée, progressivement, par l’agnostisme et l’athéisme. Car là où Dieu n’existe plus, le mot religion perd son sens. Et quand ils sont confrontés au retour religieux, les intellectuels athées deviennent, subitement, muets comme des carpes. Pour eux, la religion était devenue et reste cet « opium du peuple » auquel, selon eux, certains humains sont devenus dépendants. Et les incroyants, les supportent, comme ils supportent et légitiment l’usage des vraies drogues qui, elles, tuent plus que la religion, en temps de paix. En fait, on ne peut que le déplorer, mais la représentation officielle de la religion a toujours été usurpée et trompeuse. En première, la religion juive source et modèle de base a perdu son accréditation divine au profit du christianisme apostolique naissant. Ordonné par l’empereur romain Constantin 1er, l’abandon du sabbat, le 7 Mars 321, a conduit Dieu à placer, en 538, cette foi chrétienne sous la domination dure et despotique des papes romains, dont la nature diabolique est révélée par la Réforme suscitée par Dieu à partir de 1170 et confirmée par les prophéties bibliques de Daniel et Apocalypse. En 1863, l’adventisme du septième jour dénonce la malédiction du dimanche romain et donc, en conséquence, celle des protestants qui le pratiquent en héritage de l’église catholique romaine ; cette malédiction résulte de l’entrée en application du décret de Daniel 8:14, au printemps 1843. Mais ce n’est pas fini, car testée entre 1991 et 1994 par les lumières prophétiques disponibles à l’époque, et expliquées dans cet ouvrage, l’église adventiste du septième jour a été « vomie » par Jésus-Christ. On mesure alors l’importance de la révélation prophétique, préparée par Dieu, pour éclairer ses élus, jusqu’à la fin du monde. Sans elle, il devient impossible de répondre positivement à ses exigences et ses attentes spécifiques en chaque époque. Aussi, je souhaite rappeler ici ces versets que l’Esprit a adressés à tous ses serviteurs ; ceux de la première et jusqu’à la dernière époque de la vie chrétienne, dans 2 Pierre 1:19 à 21 : « Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs ; sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »
« La prophétie est pour les croyants », a dit Paul, dans 1 Cor.14:22. Elle est donc pour une minorité très réduite dispersée parmi les multitudes humaines. En Occident, les humains devenus incrédules ou incroyants acceptent la religion tant qu’elle ne persécute pas les gens. C’est ainsi que les religions maudites par Dieu restent légitimées par les hommes qui ne comprennent pas que la malédiction divine vient sur les croyants et les religions qui lui font du tort, en désobéissant à ses lois. Et se réclamant de lui dans cette désobéissance, ils déforment sa nature aimante parfaitement juste et lui imputent leur modèle d’injustice. Les persécutions passées ou futures sont des conséquences, et non la cause, de la malédiction divine. Aussi, nous pouvons comprendre que, bien qu’elle ne persécute plus, l’église catholique papale romaine est restée dans son statut maudit par Dieu, depuis son instauration en 538. Remarque-le, cette église idolâtre n’a pas choisi, volontairement, de cesser de persécuter. L’arrêt de ses persécutions lui a été imposé par les Révolutionnaires français depuis 1792. Depuis ce temps, les diverses déclarations de repentance et les demandes publiques de pardon effectuées par les derniers papes sont sans valeurs pour Dieu, et n’ont pour but que celui de séduire et tromper l’humanité occidentale devenue uniquement « humaniste ». Relève aussi que son alliance œcuménique la réconcilie avec ses ennemis et adversaires religieux du passé : les Protestants. Mais cette réconciliation officielle trompeuse et fourbe vise uniquement à les étouffer, les asservir, et à relever son prestige personnel. De plus, ce rassemblement n’est devenu possible que depuis 1843, date où la foi protestante a été, à son tour, rejetée et condamnée par Dieu. Et après les Protestants, à leur tour, en 1995, les Adventistes du septième jour, ont rejoint le rassemblement œcuménique apostat, confirmant ainsi leur vomissement par Jésus-Christ, après l’épreuve de foi suscitée par l’Esprit entre 1991 et 1994 en France, à Valence sur Rhône. Il y a donc un temps pour produire, volontairement, le vrai fruit de repentance ; après ce temps favorable, il est trop tard pour se réclamer, collectivement, de la grâce de Dieu ; individuellement, l’offre ne cessera qu’avec la fin du temps de la grâce collective et individuelle. Ainsi, depuis les apôtres jusqu’au retour glorieux du Christ, la vraie foi chrétienne n’aura jamais cessé d’être ce « chemin étroit », que « peu trouvent », présenté par Jésus-Christ à ses Elus rachetés par son sang, pour qu’ils le suivent après et derrière lui.
Dans la progression de ses conquêtes des âmes humaines, après avoir dressé les religions, les royaumes, les nations, les peuples et les hommes, les uns contre les autres, le péché de l’orgueil et de l’égoïsme a fini par dresser les ligues féminines contre les humains du sexe mâle. Nul ne peut nier que les femmes ont subi des violences injustes de la part de l’humanité mâle dominatrice qui a imposé aux femmes, par sa force physique supérieure, sa volonté et ses idées. Mais reconnaissant bien cette faute imputable aux mâles, fallait-il y ajouter, une rébellion féminine, dont le fruit brise le principe du vivre ensemble de l’homme et de la femme ? A qui convient-il d’imputer cette rébellion ? A des femmes libres de tout devoir envers Dieu. En sorte que cette contestation féminine n’est que le dernier fruit créé par le péché humain. Et ses conséquences sont dévastatrices, car pour Dieu, elles marquent la nécessité de l’arrêt du prolongement de la vie sur la terre. Le couple humain n’ayant été créé par Dieu qu’à cette seule fin que constitue la procréation de l’espèce, six mille ans ou presque avant notre époque.
Les erreurs commises n’apparaissent pour ce qu’elles sont qu’avec la progression du temps qui favorise le développement de leurs conséquences. Ainsi, la situation établie en 1962 n’est plus celle de 2021. Les combattants algériens ou « harkis », accueillis avec réserve par le peuple français, qui n’a vu que les inconvénients de la guerre d’Algérie, ne posaient, au commencement, pas de problèmes immédiats. Beaucoup d’entre eux n’aspiraient qu’à être assimillés et être reconnus comme fils de la France installée en Algérie depuis 1830. Cependant, personne n’avait relevé qu’en Algérie déjà, la religion faisait cohabiter la foi chrétienne et la foi musulmane sans qu’elle se mélange, l’une d’un côté, l’autre de l’autre côté. Les populations des campagnes vivaient la présence française comme une occupation illégitime de 128 ans à l’époque du début des hostilités conduites par le groupe FLN ; le Front de Libération National. La vraie faute des Français envers la France fut d’accueillir sur le sol de France, après 1962, date des accords signés à Evian par la France et le FLN, des ressortissants algériens encore pleins de haine envers la France qui émigraient uniquement en raison de l’échec économique du nouvel Etat de l’Algérie libre et indépendante. La conséquence est apparue en 1995 avec les attentats du GIA, le Groupe Islamique Algérien, perpétrés sur la terre de France. Depuis des vocations favorables à la guerre sainte, le Djihad, ont été à l’origine des groupes Al-Qaïda et Daesh. Par son désintérêt et son mépris pour le sujet religieux, la France est devenue le berceau du réveil musulman soulevé en Iran par l’Ayatollah Khomeini qui l’avait préparé, sur le sol de France, depuis Neauphle-le-Château où il résidait. La France est donc encore ce terreau révolutionnaire universel fidèle à son image et son expérience révolutionnaire qui l’a conduite vers l’athéisme national en 1792. Pour elle, vient l’heure de payer, très chèrement, le prix de ses erreurs de jugements. La lueur de lucidité d’une minorité intelligente ne me semble pas capable d’obtenir un soutien des masses ignorantes. Et ceci explique pourquoi la France va subir le triste sort que Dieu lui prépare et qu’il prophétise en désignant, dans Apo.11:8, sa capitale Paris par le nom symbolique « Sodome » dont la Bible révèle la terrible fin, frappée par Dieu par une pluie de pierres de soufre enflammées.
L’acceptation aveugle et stupide de la bi-nationalité, par la République coupée de Dieu, place le dirigeant de la France dans une situation insoluble. Il doit tenir, aujourd’hui, un discours contre l’islam d’Etat opposé à la France, alors que des représentants de cette ennemie originelle sont devenus ses citoyens reconnus par leur présence sur son propre sol. Le problème posé au président de la France est le suivant : comment répondre à une menace de guerre avant que celle-ci soit déclarée et concrètement engagée ? Et la question est présentée à un homme qui privilégie l’humanisme. Le pacifisme ne sait changer que lorsqu’il est contraint à le faire par la situation qui s’impose à lui. C’est alors que l’humain « humaniste » se transforme en fauve sanguinaire pour rendre coup pour coup à l’agresseur.
Dans la vie animale, le moindre des insectes sait identifier une menace qui va enlever sa vie ; ceci au nom de son instinct de conservation. Je constate que dans l’espèce humaine cet instinct de conservation ne fonctionne plus ; l’homme est devenu plus aveugle et inconscient qu’un insecte. Devenu incapable d’identifier le danger qui le menace, il ne peut que succomber devant lui.
L’Homme et la Femme
Le mépris de l’ordre divin concernant ce sujet est responsable des grandes déviations constatables dans ce temps électoral. Car, depuis les « suffragettes » anglaises des années 1900 jusqu’à 2021, et bientôt 2022 en ce mois d’Octobre, proche de la fête juive du « jour des expiations », le féminisme est devenu une force contestataire politique et sociale, dans son expression extrême et dans la même époque, la pensée longtemps contrôlée des ligues LGBT, dans son nouveau sens de la perversion mentale, veut piétiner la domination des mâles, pour la surpasser et instaurer l’ère du choix des genres. La grande Guerre et sa destruction massive mettra promptement un terme à ces outrances, mais nous assistons à la démonstration du fruit de l’insatiable liberté pour lequel Dieu a offert à l’homme moderne, le temps de paix universelle le plus long de toute l’histoire humaine.
Pour ceux qui postulent une place auprès de Jésus-Christ, dans son royaume, céleste dans un premier temps, un retour vers les fondamentaux bibliques prescrits par Dieu s’impose. Aussi, dois-je le rappeler, en premier, Dieu a créé l’Humain dans sa version « mâle » de l’Homme. Ensuite, dans un double but, prophétique et prolifique, il a créé à partir de l’homme, une femme, afin de lui donner une « aide ». Déjà, ce terme « aide » la place en second. Après qu’Eve a désobéi à l’ordre de Dieu de ne pas manger du fruit du seul arbre interdit, et qu’Adam par amour pour Eve, en a mangé à son tour, Dieu a rendu son verdict et il a prononcé ces paroles dans Gen.3:16 : « Il dit à la femme : J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. » Ce statut féminin est gravé dans le marbre de la perpétuité de l’espèce humaine sur la terre. Mais avant de hurler contre ce statut d’infériorité, ô femme, entends le sens que Dieu donne à ce dominateur. Car, le statut proclamé n’a de sens que pour ceux qui lui appartiennent soit, des êtres nés de nouveau sur le modèle de Jésus-Christ. C’est pourquoi, inspiré par l’Esprit, Paul a développé ce sujet dans Eph.5:32, et il compare l’homme à Jésus-Christ, et la femme à l’Eglise, l’Elue de son cœur.
« Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur ; »
« car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. »
« Or, de même que l'Église est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses. »
« Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Église, et s'est livré lui-même pour elle, »
« afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, »
« afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible. »
« C'est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. »
« Car jamais personne n'a haï sa propre chair ; mais il la nourrit et en prend soin, comme Christ le fait pour l'Église, »
« parce que nous sommes membres de son corps. »
« C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. »
« Ce mystère est grand ; je dis cela par rapport à Christ et à l'Église. »
« Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari. »
Celui qui a parlé dans la Genèse dans toute sa puissance divine a placé ses explications dans la pensée de l’apôtre Paul pour nous révéler ce qu’implique la domination donnée au mâle. Mais je le redis, il s’agit là d’un idéal divin offert à l’humanité. Car pour accomplir et réussir ce magnifique projet, il faut un homme à l’image de Jésus-Christ et une femme, à celle de son Elue. L’amour évoqué est celui qui aime jusqu’à la mort ; l’offre de sa vie pour l’être aimé.
Qu’en est-il des couples terrestres ? Les raisons qui conduisent au mariage sont multiples, et quand bien-même l’amour y joue un rôle, faut-il encore qu’il soit égalitairement partagé. Beaucoup de gens se précipitent vers le mariage par peur de rester seuls ; en vieux garçons ou vieilles filles. D’autres, reposent sur des intérêts bien terrestres ; l’argent, les affaires, la notoriété. Pour toutes ces raisons et celles que j’oublie, le mariage réussi est un produit devenu rare comme l’or ou le pétrole. Que peut faire l’enfant de Dieu dans le cas d’une cohabitation qui échoue ? Le conjoint qui se comporte mal, agit sous le regard de Dieu, mâle ou femelle, il en rendra compte à son Créateur. Paul n’oublie pas ce risque, puisqu’il dit, dans 1 Cor.7:28 : « Si tu t'es marié, tu n'as point péché ; et si la vierge s'est mariée, elle n'a point péché ; mais ces personnes auront des tribulations dans la chair, et je voudrais vous les épargner. » A entendre Paul, le problème n’est pas nouveau, mais aussi vieux que le monde. Toutefois, Dieu a une priorité sur tout, et sur ce sujet de domination il passe en premier. Chaque créature a pour priorité le devoir de plaire au Dieu créateur. L’opposition, voire l’oppression imposée par un mari violent vaut les persécutions d’un régime religieux ou anti-religieux. La vraie foi sera toujours objet des attaques du diable et des démons qui prennent l’apparence d’un mari, d’un juge, ou d’un prêtre chrétien ou autre. La vraie paix terrestre n’existe que pour le célibataire (choix idéal selon Paul) qui vit caché ignoré par tous. C’est la situation dans laquelle la créature est engagée qui favorise ou défavorise la création des problèmes. Mais le devoir d’obéir à Dieu s’impose en tous types de situation et quand elle a obéit à ce devoir, la créature n’a plus qu’à s’en remettre à son Dieu qui voit tout, entend tout, et enregistre tout.
Cette réflexion me conduit à rappeler les termes cités dans la prière royale enseignée par Jésus-Christ : « …que ta volonté soit faite sur la terre et dans le ciel ». Aussi tu peux demander à Dieu tout ce que tu veux, mais n’oublie pas que seule sa volonté sera faite quoi que tu lui ais demandé. Dans sa prière à Gethsémané, Jésus avait demandé à Dieu de retirer la coupe qu’il devait boire mais il dit aussitôt, « toutefois non pas ma volonté, mais ta volonté ». De même que pour sauver ses Elus, Jésus devait boire la coupe présentée par le Père, certains Elus doivent subir les tribulations d’un mari méchant ou d’une épouse méchante, car la méchanceté n’est pas sexuée.
Dans le monde sans Dieu, la liberté reconnue conquise par les femmes agresse l’agresseur mâle qui a souvent profité de sa force physique supérieure pour maltraiter son épouse. Ces actes, révoltants et souvent profondément injustes reçoivent aujourd’hui la réponse que méritaient ces exactions. Dans le mariage comme dans la religion, le plus fort impose sa loi au plus faible, et c’est ce qui donne aux humains leur image de « bêtes » que Dieu leur attribue dans ses prophéties bibliques. En notre temps de préparation de la fin du monde, les deux chemins proposés par Dieu produisent par le choix du bien des hommes à l’image du Christ et par le chemin du mal, des « bêtes » à l’image du diable. Et le destin de chacun se construit au niveau de l’enfance par l’instruction que les sociétés sans Dieu apportent à leurs jeunes enfants. Ceci m’a conduit à te proposer cette réflexion qui concerne tous les enfants nés depuis 2018. Selon Dieu, l’enfant entre dans l’âge adulte quand il a 12 ans. C’est l’âge où en adulte, selon Dieu, il devient responsable de ses choix et de ses actions ; c’est l’âge requis pour rejeter le mal et choisir le bien. Or, au retour du Christ, au printemps 2030, l’enfant né en 2018 n’aura pas 12 ans mais seulement 11 années de vie soit, pas assez pour faire le choix du bien, et être sauvé en Elu. Depuis 2018, les enfants qui naissent ne seraient-ils pas déjà la génération inutile sacrifiée ? L’importance de cette date du printemps 2018 vient du choix de Dieu, car c’est lui qui a décidé souverainement de me donner un flot ininterrompu de lumière depuis ce moment ; le printemps 2018 soit, 12 années avant le printemps 2030.
Dieu et la science
Le lundi 4 Octobre, invité par la chaîne info C-News, le polémiste E.Z. a choqué la faune médiatique en comparant les interventions transgenres pratiquées aux USA sur des enfants de 3 ou 4 ans aux expériences conduites par le docteur nazi Josef Mengele dans les camps d’extermination au temps de la seconde Guerre Mondiale. E.Z. reproche au ministre de l’éducation de vouloir favoriser en France ce genre de société, suite à une directive adressée aux enseignants français qui semble soutenir cette pensée. Pour une fois, c’est l’homme de la droite républicaine qui évoque le spectre hideux du nazisme. A-t-il tort ?
Je crois qu’il soulève là un sujet de réflexion qui va nous mener loin.
Il semble même que l’on puisse dire que la science appliquée dans la santé ait eu pour conséquence de déposséder Dieu de ses prérogatives divines, que l’on peut résumer par le pouvoir de faire naître et celui de faire mourir. Mais dès l’origine, un troisième pouvoir appartient uniquement à Dieu, c’est le pouvoir de guérir ses créatures. Et pour ses élus, il reste encore, aujourd’hui, l’unique et exclusif médecin des corps et des esprits malades.
Aujourd’hui, les enfants sont conçus dans les éprouvettes de la science ou par des mères porteuses afin de permettre à toute femme stérile ou pas d’obtenir un enfant. Quelle peut être l’opinion de Dieu sur une telle situation, lui qui fait naître stérile ou pas les femmes ?
Pendant des millénaires, le recours aux plantes de la nature était la seule médecine pratiquée par l’humanité. Des chirurgiens ont, en tout temps, recousu la chair des plaies provoquées par des armes tranchantes. Les balafres et les cicatrices témoignaient de la bravoure des combattants. Mais la science ne permettait pas de faire mieux.
Voici ce que Dieu déclare au sujet des corps morts dans Nom.19:11 à 13 (la lecture complète jusqu’au verset 22 est recommandée) : « Celui qui touchera un mort, un corps humain quelconque, sera impur pendant sept jours. Il se purifiera avec cette eau le troisième jour et le septième jour, et il sera pur ; mais, s'il ne se purifie pas le troisième jour et le septième jour, il ne sera pas pur. Celui qui touchera un mort, le corps d'un homme qui sera mort, et qui ne se purifiera pas, souille le tabernacle de YaHWéH ; celui-là sera retranché d'Israël. Comme l'eau de purification n'a pas été répandue sur lui, il est impur, et son impureté est encore sur lui. »
« Le tabernacle de YaHWéH » est, à titre individuel, le corps de la créature, et au titre collectif, le peuple rassemblé. Le corps des morts souillent l’un et l’autre de ces tabernacles.
Ces ordonnances ont été prescrites pour Israël pour une durée perpétuelle, comme l’indique ce verset 21 : « Ce sera pour eux une loi perpétuelle. Celui qui fera l'aspersion de l'eau de purification lavera ses vêtements, et celui qui touchera l'eau de purification sera impur jusqu'au soir. » Ces précautions sanitaires étaient déjà ordonnées par le grand Dieu médecin, car il voulait éviter la contamination des microbes, des toxines et des bactéries mortelles que le corps mort produit en grandes quantités. La solution était le lavage des vêtements et du corps de celui qui a touché ou s’est approché d’un mort. Le processus de sa décomposition exige l’ensevelissement du corps mort le plus tôt possible, pour protéger les vivants. Dans la nature, Dieu a créé des espèces ailées ou dentées spécialisées pour faire disparaître la chair en décomposition des animaux morts. Mais les corps humains morts doivent disparaître selon des règles fixées par Dieu, par l’action humaine, par l’ensevelissement le plus souvent ou l’incinération. Et si ce n’est pas possible, dans la mer et sur la terre, les animaux nettoyeurs se chargent de les faire disparaître.
Vers le 13ème siècle, les premiers chirurgiens médecins ont entrepris des études du corps humain et les dissections des corps morts ont permis à Ambroise Paré d’éditer, en 1562, un ouvrage intitulé : « Anatomie universelle du corps humain ». Cette connaissance fut acquise en transgressant un interdit divin. Mais qui s’en est soucié ? Personne, et au contraire, l’humanité s’est appuyée sur cette connaissance, pour légitimer les recherches et toutes les avancées de la médecine jusqu’à notre époque du temps de la fin. Et l’humanité incrédule ou incroyante ignore la norme de la pensée du Dieu Tout-Puissant qui ne change pas. C’est pourquoi, en méprisant l’enseignement donné par Dieu, les médecins tuaient les patients qu’ils voulaient guérir. On se souvient de leurs remèdes, la saignée qui anémie le malade et l’arsenic qui l’empoisonne. Et surtout une absence d’hygiène fondamentale enlevait toute possibilité de guérison. En premier, Louis Pasteur et le docteur allemand Robert Koch prirent conscience du mal microbien et de la nécessité, pour le praticien, de se laver souvent et abondamment les mains. On mourut donc un peu moins, grâce à cette action purement sanitaire, déjà enseignée par Dieu. Mais parallèlement à cette avancée, les connaissances physiques et chimiques ont fait entrer la chimie dans la composition des médicaments avec des conséquences irréversibles pour l’immunité protectrice naturelle des corps humains. La chimie devient une drogue dont l’accoutumance crée le cycle infernal de la dépendance au produit. Quand l’action naturelle du corps est remplacée par un expédient chimique, la nature abandonne pour toujours son combat. Et la chimie a envahi tous les secteurs, agricoles, alimentaires, et médicaux, qui construisent le corps de l’homme moderne.
En plus de cette dégénérescence physique et chimique, s’ajoute celle qui est due aux perversions mentales sexuelles. Et pour couronner le tout, signes de décadence morale, des USA sortent les idées « fumeuses » selon E.Z., de la légitimité « transgenre » qui y construit son autorité. Au nom de la liberté, aux USA, tout est permis, tout est possible. Et le modèle américain s’exporte dans tous les pays occidentaux. Nous avons vu que la science transgresse les interdits fixés par Dieu ; disons qu’elle l’ignore. La science moderne qui s’interdit toute limite est elle différente du Joseph Mengele de l’Allemagne Nazie ? Les USA n’ont pas encore décrété « la solution finale », mais ils le feront, ce n’est qu’une question de « timing » du programme fixé par Dieu. A la fin de la Seconde Guerre Mondiale, les USA ont recueilli les savants allemands nazis pour exploiter à leur compte leurs connaissances. Le fruit de cet esprit dominateur illimité trouvé dans l’Allemagne d’Adolf Hitler, se retrouve maintenant dans la pensée de l’Amérique moderne. Et sa science repousse toutes les limites morales comme Joseph Mengele sut le faire, en profitant du contexte des camps d’exterminations dans lesquels il trouvait les cobayes humains morts ou vivants, pour tester les limites du possible. Les deux choses comparées n’en sont pas encore au même degré d’horreur, mais la démarche est commune : on repousse la limite du possible ; jusqu’où ? Sous l’aspect humaniste du chemin de l’enfer couvert de bonnes intentions, jusqu’où la science peut-elle nous entraîner ?
Dieu n’est ni sourd ni aveugle, et les diverses maladies modernes, Cancer, Sida, Alzheimer, Covid, sont les châtiments de la science arrogante et despote. S’il est vrai que les scientifiques manipulent les seringues et les éprouvettes, et maintenant, les génomes, c’est Dieu qui donne vie et efficacité aux tumeurs et aux virus qui apparaissent. « Arrive-t-il un malheur dans une ville sans que YaHWéH en soit l’auteur » (Amos 3:6). « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes, » (Ezéchiel 14:21).
La compatibilité de la République avec les religions
Les exigences soulevées par la religion musulmane, installée depuis 1962 sur le sol de la métropole française, provoquent des frictions avec son régime républicain. Pourquoi des problèmes apparaissent-ils uniquement avec cette religion ? Pour comprendre les problèmes nouveaux soulevés, il nous faut comprendre déjà pourquoi les religions précédentes n’ont pas créé ces problèmes. La République est un régime jeune construit sur l’écrasement du régime coalisé du papisme catholique romain et de la monarchie depuis 1792. Dans un premier temps, faisant table rase du passé, les révolutionnaires adoptèrent un calendrier qui remettait en cause l’héritage catholique. Des mois de 30 jours composés de trois semaines de dix jours remplaçaient la semaine de sept jours héritée du judaïsme. Mais le calendrier révolutionnaire fut abandonné et les Républiques successives se sont construites sur le temps du calendrier catholique. Ceci, explique la parfaite compatibilité du catholicisme avec le régime républicain puisqu’en prenant son calendrier, c’est la République qui s’est adaptée à la norme religieuse d’origine divine. Sans que nul n’en souffre, en 1981, le dimanche est passé de la première à la septième position des jours de la semaine. Mais ce changement n’entraîne aucune conséquence, ni pour les catholiques, ni pour les protestants, ni pour les républicains agnostiques ; ni d’ailleurs pour les « fils de Dieu » pour lesquels le dimanche reste le premier jour dans leur pensée, et le sabbat reste, également, le septième jour sanctifié par Dieu dès la fondation du monde. Lorsque Napoléon 1er a instauré son régime du Concordat, la norme du temps catholique a été reconnue comme norme officielle. Le catholicisme fut autorisé à pratiquer son ministère religieux et rien que lui. Le pouvoir civil lui imposa ses limites. Le protestantisme était très faible, et presque inexistant en France, où il était soumis aux mêmes droits et limites que la foi catholique. L’organisation du temps était imposée et acceptée par tous les courants religieux. Les minorités juives se fondaient dans cet ensemble, libres d’organiser leur temps religieux comme elles le voulaient. Individuellement et en communautés, elles pouvaient pratiquer le « shabbat » chaque septième jour et personne ne les en empêchait. Alors pourquoi ce qui a si bien marché avec toutes les religions monothéistes chrétiennes et juives ne fonctionne t-il pas avec l’islam ? Une seule raison s’impose, parce que Dieu en a décidé autrement.
L’islam a démontré son aptitude à se fondre dans la République française pendant 33 ans, entre 1962 et 1995, date du premier attentat djihadiste algérien sur son sol. Dans cette période de 33 ans, l’islam est resté une religion vécue en privé qui ne posait pas de problème. Mais cette religion créée par Dieu pour la dispute n’avait pas vocation à rester silencieuse et à l’heure choisie par lui, elle est sortie de son silence et a commencé son programme agressif de conquête en multipliant ses gestes de provocation. Soudainement, les femmes musulmanes sont apparues portant le foulard, le tchador, la burqa de l’extrémisme musulman pakistanais, ceci au moment où leur nombre avait considérablement augmenté. Tout observateur peut reconnaître l’apparence d’un piège qui se referme sur le peuple français, cible du Dieu créateur depuis toujours, et encore plus, depuis son adoption de l’idéologie républicaine. Traumatisée par le racisme du régime de l’Allemagne nazie, la France républicaine s’est efforcée de convaincre l’humanité de son parfait humanisme. Par crainte de passer pour un pays raciste, ses dirigeants n’ont pas su, punir en toute justice, les exactions commises par la jeunesse immigrée d’origine du Maghreb. L’indiscipline fut ainsi encouragée et elle s’est développée au point de transformer des zones de France en zones incontrôlées, et à ce jour, incontrôlable ; ceci parce qu’à l’opposition nationale et religieuse s’est ajouté l’enrichissement par le commerce illicite de la drogue. Avec de tels intérêts mis en jeu, la jeunesse d’origine étrangère délinquante se transforme en groupes factieux qui n’hésitent plus à tirer sur les policiers. Les permanences de la police nationale qui étaient installées dans ces zones furent attaquées et incendiées. Et là encore, de peur d’être jugés racistes, les dirigeants ont préféré abandonner la gestion de ces territoires perdus pour la République.
Faute de connaître le plan arrêté par Dieu, les dirigeants laïques n’ont pas pu tirer leçon des mauvaises expériences des cohabitations de la France républicaine avec les pays musulmans. Et après ces échecs de cohabitation subits, successivement, avec la Tunisie, le Maroc et l’Algérie, dans un aveuglement incroyable, ses dirigeants politiques, cédant à des intérêts particuliers des membres de leur parti, ont accueilli l’islam sur la terre de France, sans se préoccuper du risque encouru. Le passé nous a dit ce que sera l’avenir. L’arme du châtiment sera une fois de plus, et la dernière, inévitable et terriblement efficace. Le pacifisme du peuple français le prépare mal à réagir face à une agression guerrière massive, surtout quand l’ennemi se trouve en grande multitude déjà sur son sol, en réelle cohabitation et déjà dans un face à face. Mais le danger extrême repose sur l’intervention externe des peuples musulmans les plus belliqueux, haineux et rancuniers, parce que longtemps humiliés par la France. Le pire nous a été annoncé dans Dan.11:40 où Dieu prophétise l’ajout de l’agression de la puissante Russie, « le roi du septentrion », aux attaques musulmanes, « le roi du midi ». Alors que dire ? Celui qui vivra verra, car l’accomplissement doit se produire de façon imminente, entre 2022 et bien avant 2030.
Je rappelle que prétendre que l’islam est une religion d’amour consiste à remettre Jésus sur une croix, revient à lui arracher le bénéfice des souffrances que sa mort volontaire l’a conduit à endurer. Et de toute façon, comme tout pouvoir lui a été donné sur la terre et dans les cieux, toute attaque portée contre son œuvre sera expiée devant sa face.
Le piège de FATIMA
L’année 1917 fut marquée par des apparitions de la « Vierge » à Fatima au Portugal. Elle est apparue à trois très jeunes bergers ; âgés de 7 à 10 ans. Aujourd’hui, en Octobre 2021, cette vieille semence va porter son fruit, car dans les salles des cinémas, cet efficace instrument de propagande, un film relatant les faits va être projeté. Les élus sont protégés contre ce genre de séduction, mais il n’en est pas de même des masses humaines incultes et ignorantes. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, en 1945, jusqu’à ce jour, la foi a décliné et parallèlement, la richesse matérielle a grandi, mais avec la crise provoquée par le commerce mondial, l’humanité perd ses repères et ses certitudes. Une multitude risque donc de devenir sensible aux miracles attestés et reconnus par les autorités catholiques. Au cours de plusieurs rencontres, chaque fois le 13 du mois, la « Vierge » a apporté son secret. Ses messages principaux se résument en ceci : l’enfer est une réalité montrée en vision aux enfants ; Dieu veut que le cœur immaculé de Marie soit objet de la dévotion par tous ; l’église doit convertir les pays communistes et elle aura encore des martyrs. Mais à la fin, avec Marie, elle triomphera. En 1917, le communisme s’installe en Russie. Pour expliquer, le succès de ce message, il y a un miracle auquel ont assisté, au même moment, 17 000 personnes rassemblées. Je résume les faits : Deux coups de tonnerre, un éclair et un nuage est descendu vers le sol s’arrêtant sur le sommet d’un arbre qui s’est courbé sur un côté. Ensuite, le soleil a dansé, s’approchant et grossissant et se retirant en diminuant ; ceci plusieurs fois. Ce jour-là, Marie n’a pas été visible, les enfants visionnaires étant détenus. Nul doute que ce témoignage renouvelé en film, va avoir un effet certain. Le vide des esprits a besoin d’être comblé.
J’ai constaté que cette séduction est très ressemblante à la séduction d’Eve par le serpent. Chaque fois, le diable nomme des choses vraies, mais il les déforme. L’enfer est bien prophétisé mais pas sous ce nom et surtout, l’enfer n’est pas mais il sera. Quand à l’adoration de la « Vierge », seule la connaissance de la Bible nous en protège, et pour les ignorants, ce qui est visible est obligatoirement vrai. La vérité est beaucoup plus subtile car les apparences sont trompeuses. Satan utilise des enfants parce que les catholiques les tiennent pour innocents. Cependant dans l’affaire judiciaire d’Outreau, des enfants ont collectivement accusé faussement des gens d’actes de pédophilie ; alors, innocents les enfants ? Les faits le prouvent, leurs esprits sont manipulables par le diable et ses démons, tout comme ceux des adultes non protégés par Jésus-Christ.
Selon Dieu, ceux qui n’ont pas d’amour pour sa vérité, reçoivent une puissance d’égarement pour qu’ils croient au mensonge. Ces mystifications séductrices sont donc réalisées par le diable, mais avec l’accord de Dieu. Le film « Fatima » va donc séduire des foules de gens incrédules pour les culpabiliser entièrement ; avant que la mort ne les frappe.
Dans la semaine du 17 au 23 Octobre 2021, maudite par Dieu, la France républicaine est victime de ses choix et de ses erreurs de jugement. Dans des relations de plus en plus tendues et hostiles, le président algérien vient de rappeler à ses ressortissants qui vivent en France que leur devoir est d’y œuvrer pour défendre les intérêts de l’Algérie. Ainsi la défense du principe de la double nationalité se retourne contre le pays de France qui l’a adopté et défendu. La présence et l’organisation d’une « cinquième colonne » sur la terre de France prennent ainsi une forme vivante et réelle. Jésus avait raison de mettre en garde ses saints en leur disant : « Nul ne peut servir deux maîtres… ». La France a été trompée par le comportement docile et conciliant de la fausse religion chrétienne qui trahit depuis des siècles la foi du Christ. L’islam lui rappelle que Dieu est grand et prioritaire sur toute chose, avec sa brutalité de religion nationale contrainte et forcée qui caractérisait la religion catholique, quand elle avait le soutien du bras armé de la monarchie ou du dictateur en poste. La naissance du prophète Mahomet sur la fin du 6ème siècle, après l’instauration du régime papal en 538, avait bien, pour Dieu, le but de faire la guerre à la fausse foi chrétienne qu’il tient pour coupable. Et la chose va être confirmée dans le grand affrontement de la « sixième trompette » de l’Apocalypse soit, la « Troisième Guerre Mondiale » imminente.
Dans le passé, une fois déchu, le roi Saül eut recours aux prédictions d’une voyante, chose interdite par Dieu. Cependant, celle-ci ne put lui annoncer que des vérités inspirées par Dieu lui-même, bien que son œuvre était diabolique. A l’image de cet exemple, nous trouvons au 16ème siècle, le prophète Nostradamus d’une famille juive rebaptisée pour échapper à la haine des Juifs de l’époque. Ce prophète était apprécié pour ses talents d’alchimiste et d’astrologue par la reine mère Catherine de Médicis. Parmi ses « Centuries », nom donné aux chapitres de nombreux quatrains prophétiques qu’il a reçus en inspiration et portés par écrits, nous trouvons ce 18ème quatrain de la 1ère Centurie : « Par la discorde Négligence Gauloise, sera passage à Mahommet ouvert, de sang trempé la terre et mer Senoise, le port Phocéen de voiles et nefs couvert. » On ne saurait mieux dire. Le prophète impute aux Français, les anciens gaulois, un esprit de discorde et un comportement négligent qui vont favoriser l’installation de l’islam en France. Il évoque une invasion massive de cette religion arrivée dans des bateaux qui couvrent la surface du port de Marseille et ensanglante cette région sud du pays. Cette prophétie confirme celle de Dan.11:40-45 où l’islam est désigné comme « roi du midi ». En 2021, le développement des moyens d’information prend l’aspect de multiples chaînes « infos » sur lesquelles, entre les coupures publicitaires, tournent en boucle des plateaux composés de politiques ou d’essayistes d’opinions opposées. Les paroles du prophète sont ainsi confirmées ; c’est un flot incessant de paroles contradictoires qui n’aboutissent à aucun résultat ; l’inertie de la France prise entre des intérêts contradictoires est ainsi constatable et donc démontrée. Les conséquences seront donc désastreuses et meurtrières et les Français réaliseront, trop tard, que « gouverner c’est prévoir » comme l’enseigne un vieux dicton.
La France est changée par les situations auxquelles elle est confrontée. En 2017, l’élection de son jeune président, due au rejet du Front National diabolisé par le peuple conditionné par ses élites politiques, a créé un précédent dont personne n’a relevé les conséquences. Jusque-là, les candidats élus représentaient des partis politiques soutenus par de nombreux membres adhérents. Pour la première fois, le jeune président élu n’avait aucun parti officiel derrière lui et ce n’est qu’une fois élu et vainqueur, qu’il a recruté son assemblée législative. En sorte que ceux qui le rejoignaient profitaient de sa victoire pour entrer dans le camp politique victorieux. Jusqu’à ce moment, les députés étaient choisis et élus pour leurs choix politiques et économiques. Dans ce nouveau cas, il n’en est rien, seule l’ambition personnelle a été le mobile de l’engagement. Le président a ainsi disposé d’un soutien docile, prêt à obéir au doigt et à l’œil à son chef ; ce que l’on nomme une représentation de députés « godillots » qui devait favoriser le dirigisme accentué de cette nouvelle présidence, jeune, ambitieuse, et sans expérience comme le candidat l’avait lui-même revendiqué et reconnu.
En adoptant les avancées technologiques inventées par les USA, les peuples de la terre tombent dans les pièges que ces prodiges séducteurs constituent. Regardés comme des inventions géniales au début de leur apparition, internet et ses réseaux sociaux apparaissent comme des instruments qui favorisent le contact, l’endoctrinement, le regroupement sous de nombreuses formes d’êtres humains rebelles envers toute autorité. Et ayant fondé toute l’organisation des pays sur ces moyens techniques, les autorités nationales se trouvent face à des problèmes insolubles. Les rebelles de tous ordres trouvent dans internet l’instrument de propagande et de désinformation idéal ; de quoi satisfaire le plus exigeant des anarchistes. La malédiction prophétisée des USA est ainsi confirmée et par les réseaux sociaux d’internet, elle se répand sur toute la terre. Ces exemples confirment, également, l’exceptionnel développement du comportement « rebelle » des jeunes gens de la dernière époque, caractère « rebelle » hérité de leurs parents, tel que l’apôtre Paul l’a annoncé à son jeune frère en Christ appelé Timothée : 2 Tim.1:1-2 :« Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, irréligieux, insensibles, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là.»
Un documentaire télévisé me conduit à te mettre en garde contre les tentatives de personnes scientifiques qui détruisent le témoignage biblique soit, la foi aux déclarations du Dieu vivant transmises dans les Ecritures saintes. Le documentaire présenté proposait d’apporter des explications au sujet du déluge vécu au temps de Noé. A la fin des argumentations, une femme anthropologue annonçait fièrement que sa démonstration avait démystifié le sujet du déluge. J’ai assisté à une remise en cause entière du récit biblique révélé par Dieu. Selon les documentalistes, le récit du déluge aurait son origine dans la découverte du témoignage cunéiforme gravé sur des tablettes d’argile dans l’époque de Gilgamesh personnage ayant vécu après le déluge. De plus, le recouvrement des plus hautes montagnes révélé dans la Bible est nié parce que considéré par ces incrédules comme physiquement impossible ; le déluge n’est plus qu’une inondation de la région de la mer noire. Voilà le résultat obtenu, quand des personnes impies s’accaparent des sujets bibliques dans lesquels, la toute puissance infinie du Dieu créateur, pour qui rien n’est impossible, est en action, alors qu’elles ne croient pas à son existence. Je profite de l’occasion pour dire que loin d’être inutile, la découverte du témoignage de Gilgamesh renforce et confirme l’accomplissement du déluge de la Bible. Il nous donne donc de bonnes raisons de croire à l’inspiration divine révélée à Moïse vers 1500 avant Jésus-Christ.
La santé des hommes
J’aborde là un sujet éminemment religieux, car les premières déclarations, faites par Dieu après sa création de l’homme, ont concerné son alimentation. Il te faut comprendre que la santé de l’homme va dépendre principalement de la qualité de tout ce qui entre dans son corps, par sa bouche. Ce n’est pas un hasard si la bouche permet, d’émettre des sons, ceux de son langage, et l’entrée de son alimentation. Sur le plan spirituel, ces deux choses sont intimement liées. En prenant la parole de Dieu pour nourriture, l’homme va parler comme Dieu. Et cette parole divine constitue la perfection de l’enseignement recevable. Pour reproduire une approche de cette perfection, l’homme doit apprendre à filtrer les enseignements disponibles et ne laisser entrer en lui que le bon et le bien établis par le jugement de Dieu. Il en est de même, pour sa santé. Entre tous les choix d’aliments qui s’offrent à lui, il doit de manière responsable, filtrer et retenir uniquement ceux qui vont avoir, dans son corps et toute sa vie, les effets positifs du bien et du bon. Le bon parfait fut fixé en Eden mais une autre norme du bon et du bien fut, elle, fixée après le déluge et révélée à Moïse qui la présente et la développe dans Lév.11. Avec toute sa norme juive « casher » (viande lavée dans l’eau pour éliminer le sang), la consommation des viandes pures fut autorisée.
Hélas, que voit-on aujourd’hui ? Les effets désastreux d’une humanité qui s’est elle-même, par ses propres choix, émancipée et séparée de Dieu. Dès le début de l’année 2020, la punition du Covid-19 a été sa réponse adressée à l’impiété grandissante et dominatrice. Et il est édifiant de relever que ce premier châtiment collectif a pris pour cible l’humanité qui refuse de tenir compte des ordonnances alimentaires prescrites par lui, dès la fondation du monde, pour le bonheur et la santé du premier couple humain, Adam et Eve. En s’appuyant sur une pratique médicinale réelle du temps apostolique, dans Apo.22:2, Jésus-Christ image « la guérison » du péché des élus qu’il sauve : « Au milieu de la place de la ville et sur les deux bords du fleuve, il y avait un arbre de vie, produisant douze fois des fruits, rendant son fruit chaque mois, et dont les feuilles servaient à la guérison des nations ». Conformément à ce verset, les innombrables variétés de feuilles d’arbres et d’arbustes, les plantes, les légumes et les fruits sont les médicaments que Dieu a placés devant l’homme pour qu’ils le soignent tout en le nourrissant. La gloire de Dieu repose sur la perfection de sa création terrestre où l’homme et la nature sont dépendants l’un de l’autre. Autre image parlante, la nature est la branche sur laquelle l’homme est assis. En conséquence, si l’homme fragilise la nature, c’est lui qui chute et en paie le prix. Et c’est là que la science apparaît néfaste et tueuse, malgré son attribution au progrès. Il y a bien une progression, mais c’est celle du mal. Relève déjà que Dieu n’a pas donné un microscope à Adam après l’avoir créé. Le bonheur de l’homme et sa bonne santé ne dépendait pas de sa découverte de l’immensément petit invisible à l’œil nu humain, mais uniquement de son respect pour les règles fixées par Dieu qui a dit des végétaux : « Ce sera votre nourriture ». Aussi quand l’heure est venue pour Dieu de préparer l’extinction de la présence humaine sur la terre, au terme de six mille années, deux siècles de réveils et de domination scientifique ont pris le contre-pied de ses normes divines. Sur six mille ans au total, deux siècles seulement ont favorisé la mort au détriment de la vie. Notre normalité contemporaine est l’anormalité de l’ordre divin. La médecine moderne est né au temps de Louis Pasteur, le premier homme qui oppose aux lois divines une méthode de soins scientifiques qui détruit le virus de la maladie et soigne le patient. Relève que maladie et malédiction sont de la même racine, c’est pourquoi Dieu s’était glorifié de ce que, pendant les quarante années du séjour des Hébreux au désert, sous sa domination, la maladie n’avait touché personne. Par contre, des hommes rebelles avaient été tués, éliminés du milieu du peuple, par son jugement destructeur du péché et des pécheurs. Pendant ces quarante ans, la nourriture exclusive du peuple était la manne créée spécialement par Dieu pour nourrir ceux qui dépendaient de lui. Avec l’eau des sources qu’il faisait jaillir au désert, la manne, qui avait le goût d’un gâteau au miel, ne pouvait pas les rendre malades. Or l’absence de maladie est dans la vie de l’homme le premier bienfait et l’objectif n’est pas hors d’atteinte, puisque tout repose sur ses choix. Il n’est pas de choix qui soit sans importance, car le choix humain d’aujourd’hui prépare son devenir futur. Dans Apo.10:8 à 10, l’Esprit du divin Christ prophétise une conséquence du choix de l’amour de sa vérité prophétique, agréable à recevoir, comme ayant le goût du miel, la lumière prophétique fait de l’élu, une cible détestée et haïe par les derniers rebelles qui voudront le faire mourir. Pour lui, en ce jour, le goût du miel du début prendra forme de « douleurs » « aux entrailles », tant l’épreuve le plongera dans « l’amertume ». Mais, ne vaut-il pas mieux souffrir pour notre appartenance au Dieu créateur, que souffrir en étant frappé par lui au titre de son ennemi ? Tous les choix sont libres et ils auront leurs inévitables conséquences. Dans notre vie contemporaine, les choix positifs du commencement se sont inversés. La vie dans les villes avait favorisé des progrès dans la propreté, la salubrité, choses qui faisaient éviter des maladies, et en conséquence, l’âge de la vieillesse s’est élevé. Mais paradoxalement, ce gain a été perdu, par l’accoutumance aux médicaments chimiques, aux énormes concentrations humaines dans les grandes villes et les moyennes où l’eau de bonne qualité devient rare et dans lesquelles les pollutions de tous ordres se concentrent. Ceci, en sorte que l’habitant des campagnes devient l’être humain privilégié quoique soumis à un environnement défavorable et meurtrier causé par les pesticides et les engrais chimiques utilisés par les agriculteurs et les arboriculteurs locaux.
La chimie tue, la médecine chimique qui prétend soigner, tue elle aussi, les corps des esprits humains et la conséquence de ces tueries, c’est la mort du système immunitaire dont chaque être humain est doté dès sa naissance, sauf cas exceptionnel accidentel hors norme. Cette défense immunitaire était l’arme que Dieu avait donnée à ses créatures terrestres ; chose qui révèle son amour pour elles. C’est pourquoi, considérant que l’âme rachetée par Jésus-Christ lui appartient, corps et esprit soit, âme entière, j’ai choisi de témoigner de mon amour pour Dieu, en adoptant le régime alimentaire qu’il a prescrit pour ses enfants terriens dès la fondation du monde. Je dois à cette norme, une bonne santé, 55 kilogrammes pour 1,68 mètre, norme conservée depuis mes trente ans jusqu’à mes 77 ans actuels. J’ai appris à réduire mes repas (un principal par jour) et conserve ainsi la sveltesse et la souplesse qui favorisent le bien-être et l’activité. Le résultat obtenu témoigne ainsi du bienfait des ordonnances du Dieu amour qui ne souhaite que conduire ses élus au bonheur suprême pour l’éternité obtenue par Jésus-Christ de manière exclusive. Dieu ayant bu du lait devant Abraham, je ne me refuse pas ce précieux produit que j’apprécie beaucoup pour son goût et sa valeur nutritive quel que soit l’avis des spécialistes.
A l’opposé de cette démarche, de ce choix personnel, se trouve l’humanité séduite par le « serpent » diable qui lui dit encore après l’avoir dit à Eve « Vous serez comme Dieu ». A son tour, à la gloire du « serpent », symbole de la médecine moderne, repoussant toujours plus loin les limites, le chercheur scientifique veut créer la vie et détruire la mort, mais il trouve, sans le savoir, en face de lui, le Dieu Tout-puissant qui fait retourner contre lui ses découvertes, comme ce virus du Covid-19, né dans un laboratoire chinois, dans le pays adorateur officiel du « dragon » que Jésus identifie au « diable » dans Apo.12:9. Une fois de plus, le privilège est confirmé : « l’homme spirituel juge de tout et il n’est lui-même jugé par personne ». La nature a le droit et la possibilité de créer par erreur des croisements anormaux exceptionnels dont les effets se dissolvent dans la masse vivante. Mais la création de nouvelles molécules reproduites industriellement par la physique et la chimie appliquées portent des conséquences irréversibles. La nature est agressée dans l’air, dans l’eau et dans les profondeurs de la terre qui empoisonne la nourriture de l’homme ; elle est soumise à la domination de l’homme rebelle et méchant. Elle attend, elle-aussi, le jour de sa délivrance qui ne viendra jamais plus, jusqu’au renouveau créé par Dieu à l’aube d’un huitième millénaire éternel. Par la bouche de Paul, Dieu avait dit dans Rom.8:20-21 : « Car la création a été soumise à la vanité, non de son gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise, avec l'espérance qu'elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu ».
Dans la situation désespérée où nous nous trouvons, Dieu n’exige pas l’impossible de la part de ses élus, mais, uniquement, le choix sage dans ce qui reste possible.
La foi fruit du bon sens
Telle qu’elle nous apparaît la créature humaine constitue une expression de la perfection. Or, la perfection ne s’obtient pas sans la volonté d’une intelligence. Les proportions du corps humain lui offrent en plus d’un aspect agréable, des capacités d’actions multiples qui permettent à l’être humain de toucher, de saisir, de serrer des objets, d’entendre des sons, de sentir des odeurs, de goûter des arômes ; toutes choses qui exigent des constructions mentales intelligentes. Nous avons une preuve de la perfection divine représentée dans ses créatures humaines. Quand l’homme veut inventer une nouvelle créature, il ne peut que créer des déformations des choses réelles qui existent déjà parce que Dieu les a créées. Et toutes ces choses conçues par l’esprit de l’homme prennent des aspects monstrueux. Dans l’imagination des Grecs, on trouve le « cyclope » de l’île de Crète du poète Homère. Son géant n’est doté que d’un seul œil placé au milieu du front. Mais le Dieu créateur n’a pas commis, lui, cette erreur en créant la vie sur la terre. Ses créatures sont toutes équipées de deux yeux car c’est la condition indispensable pour gérer la situation dans l’espace. Un seul œil ne permet pas d’apprécier les distances correctement. De même, les inventeurs du monde de la fiction moderne prennent la vie qui existe et se contentent de la déformer en augmentant, exagérément, les oreilles, les yeux et toute autre partie des choses existantes. Assurément, en créant le premier homme, Dieu a réalisé un vrai chef-d’œuvre qui lui vaut toute notre adoration en paroles et en actions.
Les élections de France de 2022 et la malédiction divine
La semaine du 13 au 20 Novembre 2021, je suis arrivé à la quasi-certitude que le jeune président actuel sera reconduit dans les prochaines élections ; ceci pour les raisons suivantes : en 2017, les Français ont élu le président que Dieu leur a imposé, en créant une situation favorable. A cette fin, le candidat pressenti pour la victoire a été exclu de la course. Votant contre le « Front National » présenté pendant des décennies comme un épouvantail diabolique, les Français ont involontairement élu le jeune homme sans expérience, déjà connu comme étant arrogant et ambitieux. Sachant que la malédiction divine est la cause de la victoire de ce jeune homme élu, Dieu n’a pas de raison de l’enlever du pouvoir. Par la maladresse du jeune chef d’Etat mal inspiré, la malédiction divine doit conduire le pays jusqu’à sa ruine et sa partielle destruction que ses ennemis internes et externes vont accomplir dans le contexte imminent de la « sixième trompette » ou « Troisième Guerre Mondiale ». Il est trop tard, pour que la France change ses options. Son président vise une domination européenne qui le porte à soutenir et encourager les mélanges ethniques de la France et des autres pays européens. De plus, subissant les conséquences de la situation de la « Deuxième Guerre Mondiale », les Français cultivent un sentiment de plusieurs culpabilités. Le soutien du régime de Vichy collaborateur avec l’Allemagne est le premier. Le second est le passé colonialiste de la France. Les remords et les regrets ont tué l’esprit patriote du peuple. La crainte d’être considérés comme des gens racistes pousse les Français à accueillir sans regimber la misère de toute la terre. Et pour envenimer encore plus les choses, les minorités soutenues expriment maintenant des exigences sur de multiples sujets en sorte que la culture française et toutes ses normes sont attaquées par des idées venues des USA ou du Canada. La France et ses valeurs traditionnelles s’écroulent ensemble. L’esprit « Babel » produit son fruit de confusion et de séparation, au sein même du peuple de France de plus en plus férocement divisé.
Je rappelle le parcours suivi par la malédiction divine qui concerna en premiers les Juifs de l’ancienne alliance, comme le jugement divin exprimé par l’apôtre Paul l’a prouvé : dans Rom.11 : « les branches retranchées (ou coupées) du tronc » ; dans Rom.2:9 : « Tribulation et angoisse sur toute âme d'homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec ! ». Ce jugement est plus tard confirmé par Jésus-Christ qui nomme les Juifs « synagogue de Satan » dans Apo.2:9 et 3:9. Ce jugement divin porté contre son peuple fait apparaître qu’être le dépositaire exclusif de la sainte parole de Dieu écrite ne suffit pas pour rester dans son approbation. Bien au contraire, leurs écritures prophétiques ayant témoigné et annoncé aux Juifs la venue du Messie Jésus, la parole de Dieu écrite se retourne contre eux et condamne leur nation juive ; elles les jugent et les tuent ; choses accomplies littéralement par les Romains en l’an 70. Dans l’ère chrétienne, après l’abandon du sabbat remplacé par le « dimanche » établi comme « jour du soleil » par Constantin 1er, à partir de 538 la malédiction s’incarne par la religion catholique romaine qui, soutenue militairement par la France, va longtemps dominer sur le continent européen. Ses persécutions dirigées contre les Réformateurs du 16ème siècle vont forcer ces derniers à s’exiler vers des pays plus accueillants et parmi ces pays, la terre américaine nouvellement découverte ou redécouverte. Le roi français, Louis XVI, offre son soutien aux nationaux américains entrés en révolte contre le dominateur anglais. Les USA gagnent en premier la liberté et la majorité étant protestante, ce pays donne à la Bible une grande importance dans sa constitution jusqu’à notre époque. La liberté américaine est suivie par la liberté du régime révolutionnaire français imposé à tout le peuple de France. La liberté s’étend à d’autres peuples par les victoires militaires de l’empereur Napoléon 1er. La religion devient libre par son « Concordat », mais elle concerne, à cette époque, que les religions chrétiennes et juive, déjà très affaiblies par la libre pensée athée qui gagne les esprits humains. En 1843, aux USA, à cause de l’entrée en application du décret de Dan.8:14, le jugement de Dieu condamne la foi protestante et le fruit de la malédiction prend la forme de l’accueil des populations hispaniques catholiques. Comme vont en témoigner les films modernes du cinéma américain, les prêtres catholiques vont remplacer les révérends et pasteurs protestants. La réconciliation des deux religions ennemies a été ainsi confirmée, et l’Amérique porte alors l’aspect que Dieu va lui donner dans son rôle prophétique de « la bête qui monte de la terre » dans Apo.13:11 : « une bête comme un agneau qui avait deux cornes » ; « Deux cornes » soit, la foi protestante et la foi catholique. La malédiction juive ayant été clairement révélée par l’histoire, la prophétie évoque et révèle uniquement les malédictions protestante et catholique ignorées des masses humaines. Les deux religions chrétiennes étant frappées de la malédiction de Dieu, c’est l’athéisme qui est venu en premier combler le vide religieux laissé libre. La situation se gâte récemment à cause de l’entrée en scène de la religion de l’islam. Car celle-ci s’est développée dans les pays du Moyen-Orient en toute liberté, séparée du monde occidental. Sa caractéristique particulière est de ne point avoir de chef religieux et sa puissance repose sur l’adhésion et l’obligation héréditaires exclusives de ses membres. L’islam est une conception de religion où la vie de l’homme est entièrement placée sous la règle religieuse sans distinction de profane et de sacré ; ce qui correspond d’ailleurs au modèle donné par Jésus-Christ et ses apôtres. C’est bien ce que Dieu demande quand il dit aux Hébreux et aux Chrétiens dans Deu.6:5, 11:1, 30:6 et Mat.22:37, Mar.12:30 et Luc.10:27 : « Il répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée ; et ton prochain comme toi-même.». Le problème de l’islam est que l’amour exigé par Dieu repose sur la reconnaissance de son sacrifice mortel volontaire accompli dans la personne humaine et divine de Jésus-Christ ; ce à quoi l’islam ne souscrit pas. Le choc de deux civilisations, l’islam hyper-religieux et l’occident faussement chrétien, et clairement agnostique, va produire, et produit déjà, des agressions guerrières meurtrières orchestrées par le grand Dieu créateur qui punit ainsi l’abandon du zèle chrétien et l’infidélité des faux chrétiens occidentaux. La religion va ainsi conduire les peuples du monde dans des conflits terribles, car c’est par elle que le jugement de Dieu, qui les condamne toutes, s’exécute. En signe précurseur, en opposant les religions concurrentes, orthodoxe serbe au catholicisme croate et à l’islam de la Bosnie, la « Guerre des Balkans » a rappelé à l’Europe occidentale et à l’Europe orientale leur redoutable et tragique destin.
Dans le projet divin de la dernière épreuve de foi, les USA vont tenir le premier rôle ; celui du dominateur universel qui impose sa volonté, selon son avis, pour le bien de tous. Dans l’Apocalypse, cette entité américaine n’apparaît que dans Apo.13:11 sous l’image de « l’agneau à deux cornes » qui, représentant la foi protestante et la foi catholique coalisées, constitueront ensemble « la bête qui monte de la terre ». Les USA se sont construits à partir de 1776 sur une terre ignorée des hommes jusqu’au 16ème siècle. C’est ce qui justifie qu’elle ne soit pas mentionnée en tant que nation dans le livre de Daniel dont il nous faut comprendre sa particularité spécifique. Dans ce livre, le peuple de référence est l’Israël de l’ancienne alliance, le peuple de Daniel. Et tout particulièrement, Daniel 8 nous donne des précisions géographiques conformes aux situations des entités ciblées par la prophétie, et ceci, toujours par rapport au Moyen-Orient où se tient Israël. C’est pourquoi, dans Dan.11:40, la Russie y apparaît comme le « roi du septentrion (ou nord) », le « nord » par rapport à Israël. De même l’islam de l’Arabie est nommé « roi du midi (ou sud) », ce qui reste encore conforme avec la position d’Israël. Et parce qu’à l’époque du prophète Daniel, l’existence du continent américain est ignorée, Dieu ne la mentionne pas comme « roi », son existence est gardée secrète, mais il prophétise son action nucléaire punitive contre la Russie dont le « roi » et la domination vont cesser, détruits sur les montagnes d’Israël, après avoir, dans une grande colère désespérée, ensanglanté principalement l’Europe occidentale envahie et ciblée par la prophétie. En fait, pour Dieu et la vérité historique, l’Amérique n’est qu’une excroissance tardive des « dix cornes » ou « rois » européens concernés par la pratique du dimanche hérité de Constantin 1er. Et ceci concerne également le grand territoire de l’Australie et celui de l’Amérique du sud. Car en effet, dans Daniel 8, Dieu prophétise une domination venue de l’occident d’Israël ; celle de Rome. Le centre religieux de référence passe ainsi du Moyen-Orient à l’Occident. Et c’est depuis cet Occident « chrétien » que des peuples commenceront à peupler les deux continents américains ; dont celui du nord qui domine déjà toute la terre et colonise commercialement et culturellement toutes les nations séduites et exploitées, mais converties volontairement à son modèle de vie.
Semaine du 28/11 au 04/12/2021
L’actualité est centrée sur deux sujets principaux qui terrorisent les médias et le vieux peuple français. Il s’agit du virus Covid et du virus nommé nationalisme. Car, à en juger par les réactions haineuses des médias et de ceux qu’ils ont manipulés, pendant plus de cinquante ans, ces choses semblent être les deux cibles visées par leur colère. Eric Zemmour a osé dénoncer le risque d’un « grand remplacement » et sa seule erreur est de ne pas dire que ce « remplacement » est déjà accompli. Il est sûr qu’il peut encore s’amplifier dans une guerre civile ou la Guerre Mondiale qui vient, mais l’essentiel est déjà réalisé. Le remplacement est celui des idées et des normes de la pensée publique civile et politique. Comparons les situations opposées du début et du temps actuel de la 5ème République.
En 1958, au temps du général de Gaulle, la France libérée se compose principalement de deux partis politiques qui sont la droite catholique républicaine qui soutient le Chef d’Etat et en face d’elle une forte représentation des travailleurs français rassemblés sous l’égide du parti communiste d’inspiration russe et soviétique. L’esprit nationaliste règne dans les deux camps et le programme d’affranchissement envers les USA envahisseurs est soutenu par tous. Il faut donc avoir vécu en cette époque pour relever le changement, l’authentique renversement de ces valeurs comparativement à celles qui sont soutenues aujourd’hui par le plus grand nombre. En 2021, l’esprit national est diabolisé, parce que les vivants d’aujourd’hui n’ont, en France et en Europe, jamais connu un contexte de guerre dans leur propre pays. Favorisée par Dieu, la longue paix a produit un projet d’entente universelle qui prend son origine dans le dessein de la construction de la « tour de Babel » né dans la pensée du roi Nimrod. Pour l’opinion humaine, cette conception de la vie qui vise à établir une paix sûre entre les humains est noble et inattaquable. Pour l’enfant de Dieu, elle l’est tout autant, puisque c’est là, le modèle que Dieu va offrir éternellement à ses élus vainqueurs. C’est là que la Bible apparaît précieuse, pour comprendre ce que nous vivons, et ce qui fait toute la différence de la vision finale des deux camps, selon que Salomon, cette sagesse divine incarnée dans l’homme, déclare dans Ecc.1:9-10 : «Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. S'il est une chose dont on dise : Vois ceci, c'est nouveau ! Cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés ». Après Nimrod, au cours de l’histoire terrestre, cette tentative d’établir une paix universelle s’est renouvelée. Elle était le mobile des conquêtes des grands dominateurs de l’histoire, et parmi eux, il nous faut relever le résultat obtenu par le grand roi chaldéen Nébucadnetsar, dont le royaume obtint la paix, parce qu’il fut, personnellement, soumis et converti au vrai Dieu créateur de tout notre univers terrestre. Ce que les agnostiques incroyants ou incrédules ignorent, c’est que l’obtention de la paix, si précieuse et recherchée par tous, est impossible et uniquement obtenue par le bon vouloir de Dieu. Or, en Jésus-Christ, il n’a pas annoncé la paix, mais « l’épée » et des « guerres » en successions perpétuelles ; Matt.10:34 : « Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée » ; Matt.24:6 : « Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres : gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin ». Ainsi, Dieu seul réussira à créer un contexte de vie de paix universelle éternelle, parce qu’afin d’obtenir ce résultat, il aura préalablement sélectionné, trié et retenu, parmi les représentants de l’espèce humaine, les rares créatures trouvées conformes aux normes qui conditionnent la possibilité de cette paix gagnée, exclusivement, par Jésus-Christ, l’unique Sauveur universel. Il ne faut donc pas se tromper sur le sens des 76 années de paix données à ce jour à l’Europe occidentale, depuis la fin de la « Seconde Guerre Mondiale ». La métamorphose des esprits humains obtenue au cours de cette période apporte la démonstration attendue par Dieu. Ni la guerre, ni la paix n’ont permis aux humains rebelles l’établissement du bonheur partagé et la paix durable. Les illusions créées laissent place à la réalité : les différences raciales, ethniques ou religieuses, ne favorisent, ni la richesse, ni la paix, mais au contraire, l’opposition et la guerre. L’immigration se transforme en malédiction avec sa croissance au fil du temps. Tout n’est que question de proportion. Quand la minorité devient égalité, les exigences nouvelles apparaissent et s’imposent, et elles créent des problèmes insupportés par les Français de sang qui souhaitent jouir prioritairement de leur privilège national ; ce qui révèle la malédiction du choix républicain qui donne, même à ses ennemis, la nationalité par la naissance sur le sol de la France ou de ses territoires d’outre-mer ; quand elle n’est pas accordée pour de simples raisons de complaisance, personnelle ou pas, par les dirigeants politiques. Le résultat est explosif ; une querelle, plus forte que les autres, embrasera les camps remplis de haines mutuelles. La guerre civile rendra l’Europe fragile et disponible à l’invasion russe prophétisée par Dieu dans Dan.11:40. Une prophétie de l’obscur Nostradamus dit : « Romain pontife, garde-toi d’approcher la ville que deux fleuves arrosent ; ton sang viendra cracher là, toi et les tiens, quand fleurira la rose ». Ainsi, agressé en Italie par l’islam guerrier, le pape romain actuel cherchera sous peu refuge et protection en terre de France, à Lyon ; ville arrosée par le fleuve Rhône et la rivière Saône. Le prophète indique deux grands cours d’eaux d’aspect identique. Dans cette ville de Lyon consacrée au culte de Marie, un massacre des Chrétiens catholiques (= les tiens) et du pape est annoncé « quand fleurira la rose ». Cette rose fut prise comme emblème politique par le président socialiste François Mitterrand en 1981. Elle représente donc le passage de la France sous la pensée philosophique de centre-gauche du socialisme formé et grossi au détriment du parti communiste. Les successions historiques des gouvernances françaises, ont conservé ce caractère social ; qu’elles aient été de droite ou de gauche. La rose est donc encore, en 2021, en activité, puisqu’elle apporte son soutien aux immigrations musulmanes qui préparent sa perte. La rose est le symbole fleural de cet amour qui caractérise l’humanisme aveugle que Dieu s’apprête à détruire. Mais, Jésus lui-même, n’a-t-il pas dit : « Aimez vos ennemis ! » Oui, il a dit ces choses, mais c’est uniquement à ses élus fidèles que ses propos s’adressent ; pas aux humanistes incrédules et rebelles. Et ne l’oublions pas, cet ordre de Jésus a pour but, de renforcer la culpabilité de leurs ennemis, en plaçant de la sorte, des fagots de bois de plus sur leur tête, pour le jour où Dieu les jugera et les exterminera. Le but recherché par cet amour martyr n’est donc pas l’amour, mais la justice divine.
Je m’achemine progressivement vers l’âge qui fera de moi un octogénaire. Et aussi loin que je regarde en arrière, dès mon enfance, je me souviens avoir été enthousiasmé par la pensée de l’amitié fraternelle qui devrait unir les cœurs de tous les êtres humains. Mon âme vibrait en entendant les paroles de ce chant devenues le titre d’un film, paroles qui disaient : « Si tous les gars du monde devenaient de bons copains et marchaient la main dans la main, le bonheur serait pour demain ». J’ai donc appris par Jésus-Christ, qu’en lui seul, ce rêve magnifique universel s’accomplira. Car sur la terre actuelle du péché, Dieu ne le permet pas. Et pour l’empêcher, le diable et ses suppôts œuvrent efficacement. Ils inspirent aux humains des pensées haineuses qui les conduisent à mal interpréter celles des autres. Dans mon esprit humaniste, je me suis toujours comporté amicalement envers les étrangers auxquels j’ai spontanément su rendre service. Parallèlement, j’ai découvert la facilité de leur retournement et du réveil de leur haine ressentie envers leur pays d’accueil. Pour comprendre leur état d’esprit, nous devons réaliser que dans leur fierté naturelle, ils ressentent l’humiliation d’être revenus dans le pays colon pour y prospérer. Et cette fierté les conduit à mépriser encore plus les Occidentaux soumis aux compromis imposés par leur régime républicain de longue date. Car autant les débuts de la République française furent meurtriers et belliqueux, autant dans sa fin, elle apparaît faible et méprisable. Aussi, cette faiblesse bien réelle l’expose au mépris de ses ennemis et de ses concurrents européens qui profitent et s’enrichissent de sa ruine. J’ai longtemps été victime de faits désagréables que j’imputais à tort à un immigré algérien venu habiter dans mon immeuble. Dans l’intimité, il ne cachait pas qu’il éprouvait une forte haine envers la France et les Français. Ce n’est qu’en 2021, que l’installation de caméras vidéos m’ont permis de découvrir le vrai coupable des méfaits accomplis et constatés. Je l’avais placé hors de tout soupçon, en raison d’un comportement débile mais ouvertement amical. J’ai ainsi découvert que ce voisin, bien français, gravement dyspepsique et partiellement boiteux dont je ne parviens que difficilement à comprendre les sons qui sortent de sa bouche était réellement envers moi, en premier, menteur, voleur, dissimulateur, et incendiaire. Ces personnes débiles mentales sont jugées par les psychiatres, aptes à vivre au milieu des gens normaux. En vérité, ce sont des êtres sans défense, incapables de résister aux inspirations des démons qui font des actions méchantes à travers elles. En son temps, Jésus aurait dit à ces personnes débiles : « Démon, quel est ton nom ? » Aujourd’hui, la science humaine tente de réduire, par ses drogues, leur réaction violente quand c’est le cas, et quand ce n’est pas le cas, les démons continuent d’agir en toute tranquillité. Cet exemple montre la nocivité du jugement purement scientifique qui contribue, par son aveuglement, à intensifier les maux qui frappent l’humanité globale, croyante, incroyante ou incrédule. Avec raison, Paul a déclaré dans Eph.6:12 : « Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes ». Protégés par leur invisibilité, seule l’analyse d’une foi éclairée permet de les identifier comme véritables auteurs des méfaits commis. La France n’a eu à souffrir des conséquences de l’immigration qu’à cause des choix politiques et économiques faits par ses dirigeants présidentiels successifs. Ils ont ruiné leur pays en le livrant à la concurrence étrangère ; dans un premier temps, européenne, et ensuite, pour l’achever, par les délocalisations faites au profit de la Chine. C’est dans ce contexte de ruine que la présence étrangère est devenue une charge insupportable et le bouc émissaire de la pauvreté constatée. Et la cause islamiste n’a eu qu’à enfourcher une situation défavorable pour justifier ses exactions envers la France et le monde chrétien occidental global.
Dans le contexte très dur de l’après-guerre qui succédera à la Troisième Guerre Mondiale qui vient, les survivants rebelles penseront pouvoir, enfin, instaurer les conditions d’un gouvernement universel unique, qui permettra d’obtenir ce que Babel n’avait pas réussi à conserver. Le grand remplacement redouté et annoncé par Eric Zemmour, le candidat officiel pour la présidentielle de 2022, a déjà été signalé et prophétisé par Dieu dans Apo.18:2-3, en ces termes : « Il cria d'une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l'impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe ». L’aspect multi-cultuel de la France et des pays européens est souligné par le terme « impur » cité deux fois. Après la recherche de la pureté raciale du gouvernement nazi hitlérien, l’Europe entière, catholique et protestante, a pris le contre-pied absolu de cette démarche condamnée en se lançant dans une politique d’accueil qui a conduit au désastre qui apparaît aujourd’hui. Si la concurrence économique peut porter de graves conséquences financières, l’autre concurrence, elle, religieuse, est encore plus dommageable. Car elle conduit Dieu à intervenir personnellement dans l’histoire et la vie humaine pour punir les coupables. Les virus mortels et la guerre mondiale qui vient en sont les expressions visibles douloureuses concrètes. Et les vrais scientifiques et leur soutien composé d’innombrables perroquets propagandistes sont devenus les nouveaux prêtres des sociétés et des peuples occidentaux déchristianisés, gravement ramollis, décadents et soumis, bien que restant rebelles à la vérité profane ou religieuse. Le dictat de la communauté scientifique a remplacé le dictat religieux de la monarchie catholique romaine pour la prolongation du malheur des peuples concernés. Ce nouveau dictat est favorisé par l’accroissement de la puissance des dirigeants des grandes nations contemporaines. Ceci est révélé dans Apo. 9 :17, en message symbolique : « Et ainsi je vis les chevaux dans la vision, et ceux qui les montaient, ayant des cuirasses couleur de feu, d'hyacinthe, et de soufre. Les têtes des chevaux étaient comme des têtes de lions ; et de leurs bouches il sortait du feu, de la fumée, et du soufre ». Partout sur la terre, dans les pays qui la possèdent, la décision de l’usage de l’arme nucléaire est confiée à une seule personne. Et cette situation, aux conséquences destructrices épouvantables, est digne d’être relevée et révélée par le Dieu créateur des vies qui vont massivement être détruites, par ces moyens modernes terrifiants. Dans le verset cité, le mot « tête » désigne, selon Esa.9:14, le « magistrat » soit, dans Apocalypse 9, les chefs d’Etat ou présidents des nations. Et le mot « lion » leur impute la force, selon Juges 14:18, dans ce cas, nucléaire, suggérée par les termes « feu, fumée et soufre ». La chose est confirmée et appuyée dans le verset qui suit. Dieu impute aux paroles soit, aux « bouches » des magistrats, la décision de l’emploi de l’arme atomique : « Le tiers des hommes fut tué par ces trois fléaux, par le feu, par la fumée, et par le soufre, qui sortaient de leurs bouches ». En donnant aux actions nucléaires le nom de « fléaux », Dieu révèle sa responsabilité dans les actions destructrices et il les présente comme des conséquences de son divin jugement qui concerne tous les êtres humains qui vivent sur la terre, en quelques lieux qu’ils se trouvent et quelles que soient les religions qu’ils professent et confessent. Son unique projet salvateur basé sur Jésus-Christ, qu’ils méprisent, rejettent ou sous-estiment, les condamne tous à souffrir et à mourir à terme, uniformément. Cependant, parce que leur infidélité aura nui à la cause même du salut offert par Dieu en Jésus-Christ, tenus pour plus gravement coupables, les faux chrétiens subiront un sort plus dur, selon Apo.19:20-21 où ils sont désignés sous les symboles de la « bête » catholique et du « faux prophète » protestant. La différence révélée dans le verset 21 avec les autres peuples non chrétiens, apparaîtra à l’heure de leur destruction finale pour leur extermination définitive dans « l’étang de feu » qui donne la « seconde mort », selon Apo.20:14. Mais ceci, pas avant la fin du « septième millénaire » qui va commencer au printemps 2030.
Quand Satan chasse Satan
Pour étonnante que la chose paraisse, ce type d’action est une réalité. Chacun doit, en premier, se poser cette question et y répondre : Pourquoi Satan se priverait-il de ce type de ruse, lui qui n’a plus rien à perdre, ayant déjà perdu la vie éternelle dont il avait naturellement hérité au titre de premier ange céleste créé par Dieu ? Dans l’antichambre de la mort promise, Dieu ne lui a-t-il pas laissé la possibilité d’agir à sa guise jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ ?
Pour te convaincre que Satan chasse bien Satan, voici des arguments basés sur des déductions logiques qui s’imposent après avoir reçu la connaissance du message prophétique appelé « Apocalypse de Jésus-Christ » soit, « Révélation de Jésus-Christ ». Car c’est dans Daniel et Apocalypse, qu’en Jésus, Dieu révèle le véritable jugement qu’il porte sur l’église catholique romaine et ses papes successifs. Jamais sous son identité réelle, mais par des symboles, maudite par Dieu depuis son début en 538 et jusqu’à sa fin en 2030, l’église romaine y apparaît comme étant la cible principale de ses châtiments et de ses condamnations. Chez elle, Satan est chez lui. Dans Apo.13:3, lui, Satan, qui sous l’image du « dragon » d’Apo.12:3 avait ensanglanté les arènes romaines du sang chrétien par ses agents, les empereurs de Rome, donne à l’église dite « chrétienne » romaine et papale, je cite : « son autorité, sa puissance, et son trône ». La conversion de Rome au christianisme papal reconduit Rome dans une nouvelle forme de domination, cette fois uniquement religieuse, en sorte que cette succession est une forme de relais trompeur diabolique.
Dès lors, le piège doit rester ignoré par les peuples humains, aussi, l’église va devoir, en apparence, apparaître comme luttant contre le diable, l’ennemi vaincu par Jésus-Christ. C’est ainsi que l’organisation du diable instaure ces tribunaux inquisiteurs, censés lutter contre le diable et ses suppôts. Les cibles sont officiellement, les sorciers et les sorcières qui pratiquent des sciences occultes, précisément accusés d’avoir commerce avec le diable, mais en dehors de ces cibles justifiées, l’église persécute les vrais serviteurs et servantes de Dieu en Christ, ceci au nom de l’hérésie qui caractérise tout ce qui s’oppose à la norme de l’enseignement catholique romain officiel défini par le pape de l’heure.
Les multitudes humaines sont de la sorte trompées ; ces chasses aux démons masquent son identité diabolique. En apparence, elle prolonge les actions de Jésus qui, lui-même, chassait les démons pendant son ministère terrestre. Et aujourd’hui, comme à son époque, ceux qui bénéficient de ses délivrances par les prêtres exorcistes sont ses premiers et efficaces témoins. Ils ont constaté et ressenti dans leur chair et leur esprit, le changement qui explique leur nouvel état. Il est donc difficile, pour ces personnes d’accepter l’idée qu’elles ont été délivrées du diable ou de ses démons par le diable lui-même ou l’un de ses démons. Comme le « serpent » en Eden, le prêtre exorciste, n’est qu’un instrument intermédiaire soit, un médium, qui revendique un pouvoir donné par Jésus-Christ. Il est facile de comprendre que Jésus ne peut pas donner un quelconque pouvoir à un représentant de l’église ennemie à laquelle ses messages sont toujours adressés à la troisième personne, car il ne s’adresse jamais à elle par la deuxième personne du singulier ; la formule « tu » n’est appliquée que pour s’adresser à ses vrais serviteurs ; même si leur reconnaissance par lui n’est que provisoire. Ceci apparaît dans Apo.3:1 où ce « tu » concerne la foi protestante condamnée par Jésus en 1843. Dans l’époque qui précède, nommée Thyatire, le message du « tu » concerne également les protestants du 16ème siècle dont la bénédiction n’était que provisoire dans l’attente d’un « nouveau » « fardeau » qui désigne l’achèvement de la Réforme avec la restauration du sabbat sanctifié par Dieu depuis sa création de notre monde. Son exigence à partir de 1843 va justifier celui de Sardes où il lui dit « Tu passes pour être vivant et tu es mort ». Au 16ème siècle, les vrais serviteurs de Jésus-Christ étaient les cibles de la haine des ligues catholiques au service de la « fausse prophétesse » nommée symboliquement « Jézabel » par comparaison avec la reine des Juifs, l’épouse étrangère phénicienne adoratrice des Baals prise pour femme par le roi Achab. Elle avait, elle aussi, porté sa haine meurtrière sur les vrais prophètes de YaHWéH et en avait fait tuer 400. Ces choses sont expliquées en détail dans ce livre, aussi, je me contente de rappeler ici la façon dont Jésus refuse de s’adresser directement à cette dénomination religieuse catholique ni à aucun de ses représentants. Le cas du catholicisme étant révélé, à partir de 1843, « les ténèbres » prises pour « la lumière » vont s’intensifier en concernant cette fois la foi protestante sous ses multiples formes et dénominations. Aux USA, après cette date de 1843, les fruits de la malédiction divine apparaissent : la guerre civile interne dite de « sécession » ; la pratique intense de l’occultisme et du spiritisme. Et de nouveau, comme chez les Catholiques avant eux, dans les églises protestantes, les pasteurs abandonnés par l’Esprit du Dieu vivant exorcisent : « Satan chasse encore Satan ».
La leçon de l’histoire révélée est de comprendre que ne chasse pas vraiment Satan qui veut, mais seulement qui le peut, selon que Dieu le confesse pour son enfant et lui accorde ce pouvoir. Mais, faut-il pour cela, que l’exorciste soit lui-même trouvé « digne » par Dieu d’une telle action. Et dans Apocalypse seuls les « premiers adventistes » triés et sélectionnés par l’épreuve de 1843 sont reconnus comme étant « dignes de marcher avec Jésus revêtus de blanc » selon Apo.3:4. Hélas pour eux, l’histoire ne s’est pas arrêtée là car la même malédiction a frappé, cette fois l’adventisme officiel et depuis 1994, ses prières se joignent à celles des autres déchus qui l’ont précédé. Depuis, Satan n’est plus réellement chassé par personne, ce qui justifie l’extension de sa puissante influence malfaisante sur l’ensemble des peuples de la terre, dont l’occident faussement chrétien puisque selon Jésus-Christ, à Rome se trouve son « trône » selon Apo.2:13 : « Je sais où tu demeures, je sais que là est le trône de Satan. Tu retiens mon nom, et tu n'as pas renié ma foi, même aux jours d'Antipas, mon témoin fidèle, qui a été mis à mort chez vous, là où Satan a sa demeure ». Le tutoiement de ce message est justifié parce que Jésus trouve dans Rome ses disciples fidèles depuis que Paul et Pierre sont venus y apporter l’Evangile du salut. Mais en 538, date rattachée à ce message, le nouveau catholicisme romain est désigné et dénoncé comme porteur de la « doctrine de Balaam » dans le verset 14 qui suit : « Mais j'ai quelque chose contre toi, c'est que tu as là des gens attachés à la doctrine de Balaam, qui enseignait à Balak à mettre une pierre d'achoppement devant les fils d'Israël, pour qu'ils mangeassent des viandes sacrifiées aux idoles et qu'ils se livrassent à l'impudicité. ». Pour mieux la séparer de ses serviteurs dans le verset 15 il dit à son sujet : « De même, toi aussi, tu as des gens attachés pareillement à la doctrine des Nicolaïtes ». C’est donc sous le nom de « doctrine des Nicolaïtes » que Jésus désigne le régime papal naissant. Le nom Nicolaïtes est construit sur les mots grecs Niké et laos qui signifient peuple victorieux, ce qui désigne clairement pour l’époque la domination des derniers empereurs romains victorieux avant la chute et l’effondrement de l’empire. En 538, Vigile 1er est un personnage intrigant qui profite d’une relation intime avec Théodora la prostituée épousée par Justinien 1er, pour, en premier, s’asseoir sur « le trône de Satan » au palais du Latran à Rome. Ce couple impérial qui instaure la malédiction dans la foi chrétienne ressemble curieusement au couple également maudit par Dieu, Jézabel et Achab de l’ancienne alliance. Et ce n’est pas sans raison que le nom de « Jézabel » va désigner l’église romaine persécutrice du 16ème siècle dans le message nommé Thyatire qui signifie « porc en rut, et donner la mort avec souffrance » soit, l’heure de l’apogée de « l’abomination de la désolation » prophétisée dans Dan.9:27 : « ... le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur. » ; Souvent, parce que la traduction littérale propose un message qu’ils ne comprennent pas, les traducteurs de la Bible transforme et déforme le texte hébreu original. C’est le cas de ce verset mal traduit dont voici la traduction littérale : « Et sur une aile seront des abominations de la désolation et jusqu’à une extermination (ou une entière destruction) et elle sera brisée, [selon] ce qui a été décrété, sur la [terre] désolée ». Ce mot « aile » fut incompris et donc supprimé par Louis Segond dans sa traduction. Or, les ailes sont symboliques du caractère céleste et donc de la religion. Par ce symbole « aile », l’Esprit désigne la foi catholique dominatrice sur la France et sur l’Europe organisée elle-même sur le traité de Rome signé en 1957 et confirmé en 2004. Il est donc annoncé que la séduction du catholicisme papal romain, blessé à mort provisoirement par les Révolutionnaires français entre 1792 et 1798, devait être guérie par le Concordat de Napoléon 1er. Elle devait ainsi prolonger sa séduction fatale jusqu’au puissant retour glorieux de Jésus-Christ qui la démasquera et la détruira ainsi que tous ses partisans et soutiens rebelles, tous faussement chrétiens.
Evidemment, dès lors que son comportement envers ses concurrents religieux a entièrement changé, ne persécutant plus, parce que n’étant plus soutenue par le bras armé royaliste français, sa véritable nature est encore plus difficilement découvrable. Un amour humaniste trompeur la caractérise, mais le défaut de cet amour est précisément de ne le partager qu’avec des hommes, alors que seul l’amour manifesté pour Dieu en Christ désigne la vraie foi. Dans ses commandements cités dans Matt.22 :37-38, l’amour pour Dieu est désigné comme étant prioritaire : « Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C'est le premier et le plus grand commandement ». Puis il ajoute : « Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Et ce reproche adressé aux Juifs de son temps concerne aujourd’hui, depuis 1843, toutes les religions qui honorent et pratiquent religieusement le repos du dimanche de l’héritage catholique romain adopté depuis le 7 Mars 321, date où l’empereur Constantin 1er l’a imposé dans tout l’empire romain. Ce dimanche est devenu depuis 1843, le signe de l’adoration involontaire du diable. Les élus de Jésus ne peuvent qu’apprécier le fait que l’identification du chrétien maudit par Dieu soit devenue aussi facile et simple. Mais attention, une pratique uniquement traditionnelle du vrai sabbat ne suffit pas pour être béni et sauvé par le sacrifice de Jésus-Christ. Dans le cœur des humains, Dieu détecte et identifie le véritable amour de sa vérité et de sa personne, en pensée et en action ; ce sont là, les seules critères qui font, d’un appelé, son élu. Nous lisons dans Matt.15:3 : « Il leur répondit : Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition ? » Car les reproches adressés par Jésus conservent leur valeur jusqu’à la fin du monde. C’est d’ailleurs la raison de l’écriture du témoignage de l’ancienne alliance juive. Il a été relevé par écrit pour éviter aux chrétiens de la nouvelle alliance de commettre à leur tour les mêmes erreurs et les mêmes péchés. Hélas ! Ce reproche concernant toutes les organisations religieuses de la terre, cette autre déclaration de Jésus citée dans Luc 18:7-8 peut être déjà aujourd’hui tragiquement constatée : « Et Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tardera-t-il à leur égard ? Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » Cette question posée par Jésus, pour le moins inquiétante, devrait inciter à la prudence et la méfiance tout lecteur ou lectrice de sa parole et lui permettre au moins de comprendre que les grandes organisations religieuses ne le représentent pas, contrairement à leur prétention revendiquée. Les véritables élus sont, eux, cachés dans l’anonymat et c’est uniquement dans une sorte de clandestinité que le message de vérité de Dieu arrive dans les esprits humains qu’il en juge dignes.
En réalité, le seul moyen de chasser Satan, c’est de lui donner tort en acceptant de se soumettre au Dieu créateur et à ses lois parfaitement honorées par Jésus-Christ avant tous les hommes. C’est seulement dans ce cas, que lui, Jésus, nous offrant son aide, peut, en grand prêtre exorciste, expulser Satan et ses démons de notre vie, et ceci de manière strictement individuelle et sous condition de ne pas spéculer sur la grâce obtenue. Car, un retour vers le péché peut rendre l’obtention du pardon encore plus difficile et à terme, impossible.
Cependant pour être convaincu par ces leçons déduites qui s’enchaînent et se succèdent, il faut impérativement partager avec Dieu, son jugement révélé par Jésus-Christ. C’est ici, que les prophéties apparaissent comme incontournables et indispensables pour que l’appelé s’adapte aux exigences de Dieu de son époque, afin d’obtenir, en Jésus-Christ, le statut d’élu qui garantit son salut. Seule l’obéissance aux lois et principes divins, vécue dans un esprit critique, dans la crainte de déplaire au Dieu qui juge nos actions et nos pensées, apporte dans notre esprit le témoignage qu’il nous reçoit et qu’il est disposé à nous bénir ; ce que confirme ce verset de Rom.14:22 : « Cette foi que tu as, garde-la pour toi devant Dieu. Heureux celui qui ne se condamne pas lui-même dans ce qu'il approuve ! » Faut-il encore ne pas se tromper soi-même, en se jugeant d’une manière trop complaisante. Car Jésus est miséricordieux, exigeant, mais jamais complaisant.
Jésus-Christ candidat pour l’élection du dominateur des cœurs universels
Son programme
Il se résume par un seul verset : « Rendez à Dieu ce qui appartient à Dieu et à César ce qui appartient à César ». Adapté à la réalité de notre époque, ce texte devient « et à Rome ce qui appartient à Rome ». Dès lors, nous n’avons plus qu’à énumérer la longue liste des choses qui lui sont dues.
1- L’abandon du repos sabbatique hebdomadaire du véritable « septième jour » sanctifié par Dieu au repos de Dieu et de l’homme ; ceci dès la création du monde. Dans l’énumération des fêtes de YaHWéH, dans Lév.23, l’observation du sabbat hebdomadaire vient en tête des autres fêtes qui ont trouvé en la première venue du Christ leur accomplissement. Ce n’est pas le cas du sabbat dont l’accomplissement prophétisé ne s’accomplira qu’en 2030 par l’entrée dans le septième millénaire que le sabbat hebdomadaire sanctifié annonce. Son abandon par les chrétiens, pour obéir au changement de jour imposé par un décret de l’empereur romain Constantin daté du 7 Mars 321, est le premier péché duquel vont résulter beaucoup d’autres péchés contre la loi divine. Il est à ce titre à la base de toutes les formes de la malédiction de Dieu qu’Apo.8 et 9 présentent sous le nom symbolique de « trompettes ». Il y en aura « sept » et la « septième » s’accomplira par l’intervention en gloire de Jésus-Christ.
2- L’adoption du dimanche. A l’origine, appelé « Jour du Soleil Invaincu » par les païens de l’empire romain, il fut imposé par le faux converti impérial, Constantin 1er le grand, par un décret daté du 7 Mars 321. Dans une confusion d’esprit, le diable lui inspira l’idée que son dieu solaire et Jésus-Christ, le nouveau « Dieu » des chrétiens, n’étaient qu’une seule et même personne divine. Il est donc à l’origine de cette nouvelle doctrine chrétienne qu’Apo.2:13 nomme « doctrine des Nicolaïtes » soit, après traduction : « doctrine chrétienne du peuple romain vainqueur ». En opposition directe absolue au Sabbat, le « sceau du Dieu vivant », le dimanche romain, ex-jour du Soleil rebaptisé par la suite pour mieux séduire et cacher le piège satanique « Jour du Seigneur », va être présenté par Dieu au titre révélateur de « marque de la bête », dans Apo.13:16 ; 14:9-10 ; 16:2 ; 19:20 ; 20:4. Par leur acceptation de cette transgression du quatrième commandement de Dieu, la foi chrétienne s’est rendue coupable de pécher contre lui, et cette action est venue rompre l’alliance nouvelle actée sur le rachat des péchés effectué par Jésus-Christ. Ce péché pratiqué contre le texte biblique portait le caractère du péché volontaire qui annule le bénéfice de la grâce divine offerte dans la nouvelle alliance. Cette lourde faute va être suivie de « sept » sanctions punitives graduelles qu’Apo.8 et 9 nomment « trompettes ». Les « six premières » ayant un rôle d’avertissement, « la septième » mettra fin à la vie humaine sur la terre. Le fait de changer le nom « Jour du Soleil » par « Jour du Seigneur » constitue en lui-même un sacrilège arrogant supplémentaire contre le Seigneur Jésus-Christ. Il convient de relever que ce changement de nom n’a eu lieu que dans des pays de l’Europe latine dont l’Italie où siègent les papes. L’imputation du jour souillé par le culte solaire, au Seigneur Jésus-Christ, est donc une initiative purement romaine. Mais à son tour, en 1981, l’agnostisme français a fait adopter en Europe le fait que ce « Jour du Seigneur » romain soit considéré comme étant le « septième jour » de nos semaines. Une nouvelle attaque fut ainsi portée, contre l’ordre du calendrier établi par le Dieu créateur.
3- Le changement du texte du décalogue de Dieu. Dans Dan.7:25, Dieu l’avait prophétisé en ces termes : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps ». Les masses populaires étaient incultes et la lecture religieuse était exclusivement celle des prêtres et elle était lue uniquement en latin, la langue romaine. Les peuples assistaient donc à des séances de magie et d’enchantements séduisants mais dont ils ne comprenaient pas le sens. Ils ne retenaient que les noms des personnages bibliques, Marie, Joseph, Jésus, Saint-Pierre présenté par Rome comme le fondateur de l’église romaine, Saint-Paul, Saint-Jacques et une multitude d’autres saints réels ou fictifs. Aussi, sous prétexte d’en facilité la mémorisation, le texte des dix commandements de Dieu d’Exode 20 fut remanié par la curie romaine et son chef papal. Dans cette version, le deuxième commandement de Dieu fut supprimé pour que les ouailles et les prêtres puissent sans opposition et en toute légalité transgresser le commandement de Dieu initial en se prosternant devant les idoles déclarées saintes par l’épiscopat et le Saint-Siège. Pour masquer son arrogant forfait, l’impie romaine dédoubla le commandement concernant l’adultère, donnant ainsi à sa conception des dix commandements de Dieu, une apparente démarche de lutte contre le seul péché de la chair. Or, c’est déjà au péché de chair, l’acte sexuel, qu’elle rattacha la notion du péché originel ; ce n’était qu’un mensonge de plus, car le péché originel fut un péché contre l’Esprit étant eu pour cause le choix de la désobéissance d’Eve et Adam ; tous deux ayant été préalablement dûment avertis par Dieu des conséquences de leur désobéissance.
Si le dimanche est venu de Rome, par contre l’offre d’un jour de repos que Dieu a originellement rattaché et fixé exclusivement sur le « septième jour », est uniquement divine. C’est à la bonté de Dieu que nous devons un jour de repos hebdomadaire bien apprécié par tous les travailleurs. Et le paradoxe est que Dieu a permis au diable de faire de ce repos apprécié un sujet de malédiction et le support d’un test d’épreuve de la foi humaine. Aussi, le choix est des plus simple : rends à Dieu la gloire d’honorer son sabbat qui prophétise la vraie délivrance de la chair, et laisse le dimanche aux rebelles qu’il a déjà jugés et condamnés en attendant leur entière destruction.
4- Le culte rendu à Marie. Une fois coupés de Dieu, les esprits humains sont livrés par Dieu au diable. Dès lors, séduits par des visions spirites, les démons célestes se sont présentés à eux comme des envoyés de Dieu. Le subterfuge a bien fonctionné et pour couronner cette mystification, le diable a fait adopter par tous le dogme grec de Platon de l’immortalité de l’âme, par lequel l’apparition des morts allait être rendue logique et acceptable. Et qui apparaît ? Marie, la mère porteuse de l’enfant Jésus. Dans les cultures passées des autres ethnies, ce personnage était déjà omniprésent sous les noms « Sémiramis, Isis, Astarté, Diane, Artémise, Tanit, Vénus, et Aphrodite », toutes désignant la déesse païenne de la fécondité : la femme qui enfante et tient son enfant dans ses bras. Les démons peuvent encore rire de la stupidité humaine en voyant que la chose réussit à chaque fois.
Cependant, pour l’homme le sujet ne prête pas à rire mais à pleurer. Car croire à ce sophisme simulé par le diable constitue un acte d’idolâtrie puni de mort par Dieu. Aussi, repousse et ignore tout messager contredit par ce message d’Esaïe 8:20 : « A la loi, et au témoignage ; si l’on ne parle pas ainsi, point d’aurore pour le peuple ». Ce texte se traduit ainsi : La vérité approuvée par Dieu n’est proposée que dans la Bible de A à Z. Dans la loi qui est son témoignage exclusif jusqu’à la fin du monde. Et ceux qui ne suivent pas ce chemin purement chrétien ne bénéficieront pas de la délivrance que Christ apportera à ses élus. Je rappelle qu’à l’époque d’Esaïe, la loi désigne les cinq premiers livres de la Bible écrits par Moïse sous la dictée de Dieu. Quant au témoignage, il désigne les deux tables de sa loi des dix commandements dont le texte original fut proclamé par Dieu publiquement au peuple juif rassemblé, puis dicté à Moïse dans sa rédaction du livre Exode.
5- Les enchantements des messes catholiques. Tenues en haute sainteté dans ses dogmes, les messes catoliques sont dénoncées par Jésus-Christ par ce terme « enchantements » dans Apo.18:23-24 : « la lumière de la lampe ne brillera plus chez toi, et la voix de l'époux et de l'épouse ne sera plus entendue chez toi, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce que toutes les nations ont été séduites par tes enchantements, et parce qu'on a trouvé chez elle le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qui ont été égorgés sur la terre ». Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, en Croatie, un personnage nommé Pavelic illustre à lui seul le message de ce verset. Ce prêtre catholique romain chef d’un camp de prisonniers serbes mettait personnellement la main à l’ouvrage au point qu’après avoir torturés à mort des serbes orthodoxes, il est apparu pour célébrer la messe catholique dans une soutane rougie du sang de ses victimes. Mais ce n’est là qu’une tardive confirmation des actions que Dieu impute à l’église catholique, depuis Daniel jusque dans Apocalypse, et que ce verset d’Apo.18:24 rappelle et résume. Les messes catholiques ne rapprochent pas mais éloignent les pécheurs de Dieu. Non seulement inutiles, elles sont également néfastes, car elles glorifient le diable son réel inspirateur. Dans cette impiété, il sabote l’acte rédempteur du Christ en lui donnant un caractère magique renouvelé dans chaque messe selon ce qu’enseigne son dogme de la « transsubstantiation ». En vérité, le pécheur n’a aucun besoin de prêtres ni aucun intermédiaire humain, puisque sa prière sincère peut être accueilli directement par Christ, l’intercesseur doctrinal céleste entre le pécheur et Dieu. Si sa repentance est sincère, il lui suffit de produire devant Dieu, en œuvres, les fruits dignes de la repentance. La désobéissance est remplacée par l’obéissance ; l’ignorance est remplacée par la connaissance de sa divine révélation biblique.
6- Les fêtes religieuses catholiques : Noël ; Pâques ; Pentecôte ; l’Assomption ; la fête des morts.
L’adhésion aux fêtes religieuses ou civiles est significative, car c’est l’heure où ceux qui se ressemblent s’assemblent pour célébrer et confirmer dans la joie festive leur totale adhésion au sujet fêté. Dieu observe ces comportements humains ; il les juge et il les condamne. Les fêtes sont les leurres avec lesquelles les dominateurs capturent le soutien des masses populaires. Ils leur offrent ce qu’elles désirent.
a- Noël signifie naissance de Dieu, mais originellement, le 24 Décembre était dédié au dieu païen Tammuz représenté par le disque solaire adoré ensuite sous le nom Ré chez les Egyptiens. Sous prétexte de célébrer la naissance du Christ, les peuples trompés donnent gloire à ce dieu solaire païen en plus des honneurs qu’ils lui rendent chaque dimanche depuis le 7 Mars 321. En vérité, Dieu ne demande pas aux hommes de fêter la naissance de Jésus-Christ car il n’a laissé aucune demande qui aille dans ce sens, mais il exige des élus qu’ils reconnaissent sa mort expiatrice et la raison de son acceptation de mourir torturé, afin d’obtenir de leur part une réelle conversion qui entraîne des changements charnels et spirituels concrets.
b- Pâques. La vraie Pâque du projet de Dieu a trouvé son accomplissement le 3 Avril 30 de notre ère. Depuis cette date, la fête est devenue caduque et inutile. La foi en Christ, la véritable, porteuse du fruit attendu par Dieu, suffit pour porter le message de la Pâque et du « Jour des expiations », les deux fêtes s’étant accomplies à l’heure de la mort de Jésus-Christ.
c- Pentecôte. Cette fête fut ponctuelle et son accomplissement était prévu pour s’accomplir 40 jours après la mort du Christ. Sa prolongation chaque année est injustifiée.
d- L’Assomption. Cette fête purement et exclusivement catholique romaine célèbre la remontée de la vierge immaculée, tout comme les musulmans célèbrent la montée au ciel de Mahomet sur son cheval depuis l’esplanade de Jérusalem. Les mensonges ont la vie dure et ils sont soutenus par les multitudes que le sang du Christ ne sauvera pas. Les honneurs rendus à la vierge Marie sont injustifiés. L’adoration est exclusivement réservée pour Dieu. On prie et se prosterne devant Jésus-Christ dont la divinité a été vérifiée et affirmée par les témoins de sa résurrection. Mais l’adoration de tout autre créature, même angélique, est condamnée par le deuxième des dix commandements de Dieu. Pour sa part, Marie, née uniquement humaine, est héritière du péché originel ; lui attribuer la blancheur immaculée est donc injustifiable. Comme l’ange Gabriel l’a déclaré successivement, à sa cousine et à Marie elle-même, selon Luc 1:25-28-30, « une grâce » leur a été faite ; Pour Elizabeth celle d’enfanter Jean le précurseur annonciateur du Christ, et pour Marie, celle d’être la mère porteuse du Christ de Dieu. De plus, dans la religion catholique, la hiérarchie céleste est inversée ; le rôle principal est donné à la mère et le rôle secondaire à l’enfant Jésus, son fils. Les victimes de ces choses seront désagréablement surprises quand, dans toute sa gloire divine, le Dieu Tout-Puissant apparaîtra sous l’aspect du Christ, si longtemps méprisé et frustré. Lui qui a déclaré « Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre ». Où est le rôle de Marie ? La vraie Marie a connu bibliquement son époux Joseph selon Matt.1:25 : « Mais il ne la connut point jusqu'à ce qu'elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus ». Marie a porté après Jésus, les fils de Joseph selon Matt.12 :47 : « Quelqu'un lui dit: Voici, ta mère et tes frères sont dehors, et ils cherchent à te parler ». Marie n’était donc plus vierge après ces enfantements.
e- La fête des morts. Elle découle directement de l’adoption du dogme de l’immortalité de l’âme et ses conséquences sont énormes. Il rend les humains soucieux du regard des disparus et afin de ne pas les froisser, ils doivent les honorer en fleurissant leur tombe qu’il convient d’orner le mieux possible suivant les moyens de chacun. Et ce dogme est très favorable aux « marchands de la terre » que Jésus-Christ mentionne dans son dernier appel, dans Apo.18:11, avant la punition de « Babylone la Grande », l’église catholique qu’il illustre par l’image d’une « prostituée ». Pour les êtres humains, le dogme de l’immortalité les rend esclaves et victimes d’une élévation du coût de la vie parfaitement vaine et inutile. En vérité, les morts ne savent rien et leur mémoire est oubliée selon ce que Dieu a enseigné par la bouche du roi Salomon et que chacun peut lire dans Ecc.9:5-6. Ceci n’est pas l’opinion humaine de Salomon, mais une authentique affirmation que Dieu lui a inspirée : « Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront ; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri ; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil ».
7- La foi catholique et le péché. Le moins que l’on puisse dire c’est que sa vision sur le sujet est très imprécise et très personnelle. Sa conception du rachat des péchés à prix d’argent lui enlève tout lien avec l’authentique foi chrétienne. La vente de « ses indulgences » par le moine Tetzel ouvrit l’esprit du moine enseignant Martin Luther. Il fut le premier catholique engagé qui a découvert et dénoncé la nature diabolique de l’organisation papale romaine. Mais la chose ne s’arrête pas là, car selon elle, le péché peut être expié par le coupable par des punitions corporelles que le pécheur s’inflige lui-même. Dans ce cas, pourquoi Jésus est-il venu donner volontairement sa vie ? La loi changée, nous l’avons vu précédemment, la norme de l’expiation changée…que reste-t-il de la foi des apôtres ? Rien, sinon leurs noms exploités pour l’action idolâtre condamnée par Dieu. Ceux qu’elle appelle les « sept péchés capitaux » n’ont rien de capital auprès de Dieu qui fustige et punit uniquement la désobéissance envers ses ordonnances. Et nous l’avons également vu, elle stigmatise le péché de chair, elle, que Dieu condamne pour ses péchés accomplis contre son Esprit. Exploitant un verset biblique, elle a tiré profit du principe de la confession des péchés à ses prêtres par les pécheurs. Celui qui se confesse ainsi se place sous la dépendance spirituelle du prêtre et de l’église qui recueillent ainsi la connaissance de ses faiblesses. Cet ascendant sur les âmes explique la docilité des victimes séduites trompées. En vérité que dit la Bible à ce sujet dans Jac.5:6 : « Confessez donc vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace ». Dans ce texte, il n’est pas question de confesser les péchés à un clergé, mais de le faire égalitairement entre chrétiens, de disciple à disciple. Car le meilleur moyen d’éviter les disputes souvent dues à l’incompréhension des uns par les autres, consiste à régler les différents en exposant clairement les griefs soulevés ; ceci, d’homme à homme. Dans l’ancienne alliance la confession était adressée directement à Dieu selon Esd.10:11 : « Confessez maintenant votre faute à YaHWéH, le Dieu de vos pères, et faites sa volonté! Séparez-vous des peuples du pays et des femmes étrangères ».
Les USA
Les sujets que je viens de présenter concernaient Rome, mais en notre temps de la fin, l’humanité subit l’influence néfaste des pensées qui arrivent sur l’Europe depuis les USA et le Canada. Et là encore, il convient de « rendre à Dieu ce qui lui appartient, et au nouveau César américain, ce qui vient de lui ». Car dans ce « monde nouveau » où le président s’engage officiellement la main sur la Bible, sa constitution privilégie la liberté, érigée en déesse dans la baie de New-York. La liberté individuelle prime sur le droit biblique, au point que la science y est reconnue comme une religion ; ce que prouve l’existence de la puissante « scientologie ». C’est aussi, depuis les USA qu’est venue la norme des sociétés multi-éthniques, dont la première forme fut la tentative lancée par le roi Nimrod en élevant sa « tour de Babel ». Dieu suggère le lien entre les deux choses en caractérisant New-York comme la ville où sont apparues les premières « tour de Babel » modernes, les « Gratte-ciel ». Ce nom lui-même est révélateur de la pensée divine, et de celle du diable qui incite l’homme à irriter ou gratter Dieu. Et l’influence de ce « monde nouveau » est visible sur toute la terre, et partout, le challenge, ou défit, consiste à ériger la tour la plus haute, même au Moyen-Orient musulman et en Asie. La domination culturelle des USA n’est plus à démontrer et les œuvres de cette nation consistent de plus en plus à saboter les valeurs religieuses et civiles établies par le Dieu créateur ; tout cela, au nom de la sacro-sainte liberté des droits de l’homme d’origine française, de même que la statue nommée « Liberté ». Il n’y a pas de doute, par l’offre de cette statue aux USA, la France a bien passé le relais aux USA pour reprendre son combat contre celui que Voltaire nommait « l’infâme », lequel désignait le Christ et sa religion. Il faut reconnaître que l’aspect que la foi catholique lui avait donné, ne lui donnait pas entièrement tort. Mais, la vraie foi était dans la norme écrite dans la Bible et là, Voltaire n’avait aucune légitimité pour justifier son choix antireligieux. Car le véritable Christ et ses vrais disciples ne sont qu’amour et service pour leur prochain ; ils n’ont rien de « l’infâme », dans tous les temps et époques de l’ère chrétienne.
L’actualité moderne nous montre comment la science développée aux USA les enrichit et construit leur ascendant sur tous les peuples de la terre. Elle a proposé, en un temps record suspect, un vaccin « ARN messager » d’un nouveau genre, vendu à coups de milliards de Dollars aux pays riches occidentaux. La future « bête de la terre » « plume » ses victimes avant de les dominer, quand la guerre qui vient les aura terrassés et ruinés. Nos dirigeant mondiaux ont oublié que l’Amérique s’est peuplée à partir d’aventuriers cupides venus de toute la terre pour l’or de la Californie et des montagnes rocheuses, qu’ils ont inventé le jeu du « Poker menteur », et qu’avant le « Scrabble », leur jeu familial préféré était le « Monopoly ». Depuis, ce nouveau « trône de Satan », des pensées abominables naissent et visent à éradiquer de la culture traditionnelle européenne multiséculaire tous ses principes fondateurs. On lui donne le nom de « Wokisme ». Dans cette nouvelle pensée libertaire, l’homme n’est plus un homme et la femme n’est plus une femme ; l’aspect sexuel binaire fondé par Dieu est contesté et doit disparaître. Grâce aux transformations effectuées par les bistouris de la science chirurgicale, le choix du sexe devient individuel. A la bisexualité s’ajoute la transsexualité. Après les choix religieux présentés sur l’étalage d’un supermarché, c’est le choix de l’appartenance sexuelle qui profite de cette offre marchande. Depuis la légalisation de l’homosexualité, l’humanité se laisse emporter dans un flot délirant de revendications plus folles et contestataires les unes que les autres. Ce bouillonnement culturel dresse les esprits humains les uns contre les autres et il vient nourrir les causes qui séparent et conduisent l’humanité aux affrontements civils et religieux. Car pour les USA, le « Wokisme » a tout les droits accordés à l’engagement religieux ; puisque c’est l’homme qui décide individuellement de ce qui est religieux ou ne l’est pas. On croyait avoir tout vu, mais non, il restait encore d’impensables surprises à découvrir. Mais « fils ou fille de Dieu », futur ange céleste asexué, réjouis-toi, car l’extension de la pensée perverse confirme l’imminence du châtiment nucléaire prophétisé. Il va frapper le refuge de la fausseté et de la perversité qui depuis l’occident se répand sur toute la terre. Comme Dieu l’a dit au prophète Habakuk : « La prophétie ne mentira pas, elle s’accomplira, elle s’accomplira certainement », soit, de manière absolument certaine.
La nature et la science
Ces deux sujets sont fondamentalement en opposition parce que la nature est divine, alors que la science est humaine. La nature relève et dépend du Dieu vivant, elle évolue et se trouve constamment en changement. A l’opposé, la science repose sur des bases fixées et encore limitées, et son évolution est lente, peu encline à se remettre en question.
A l’origine de notre dégénérescence et de notre sensibilité aux maladies, il y a l’abandon du régime alimentaire prescrit par Dieu au premier couple humain ; le végétalisme, pour eux et tous les animaux. On peut relever la complémentarité parfaite de la vie animale qui respire l’oxygène de l’air et relâche du gaz carbonique indispensable pour la nourriture des végétaux qui, à leur tour, produisent l’oxygène nécessaire pour la vie des hommes et des animaux. Dans cet échange permanent, la vie sur terre pouvait se prolonger. Avec la maladie, l’homme a cherché à comprendre son propre fonctionnement afin de trouver des remèdes pour se guérir lui-même le plus rapidement possible. Et dans les temps modernes, les médicaments ont été créés, par des combinaisons de produits naturels dans un premier temps, puis par des molécules construites par des procédés chimiques aux effets secondaires plus ou moins fréquents et plus ou moins graves. Le Dieu créateur mérite plus que les scientifiques d’être glorifié car il est injuste pour l’homme, sa créature, de s’extasier sur ses propres créations techniques, alors que les êtres vivants représentent par eux-mêmes des machines animées extraordinaires. Dieu a naturellement doté ses créatures de systèmes de défenses immunitaires complexes et performants. L’homme ne l’a pas encore égalé et il ne l’égalera jamais. Mais, l’immunité naturelle est en réalité extrêmement fragile et elle peut être détruite très facilement. Notre cerveau fonctionne dès notre naissance comme un ordinateur, il a été programmé pour remplir des fonctions avec la recherche de la très haute précision. Prenons le cas de l’œil, il est programmé pour s’adapter à ce qu’il regarde avec la meilleure mise au point possible et sauf défaut dû à l’hérédité parentale, il y parvient aussi longtemps que ce qu’il regarde est défini par des lignes stables et précises. Mais que se passe t-il quand l’œil regarde une image floue aux lignes imprécises ? Il tente vainement d’obtenir sa mise au point, puis n’y parvenant pas, il abandonne le combat et la gestion de l’œil par le cerveau est déprogrammée. C’est alors que notre œil a recours à un verre correcteur fourni par la science des opticiens. La mise au point de l’œil est alors définitivement perdue, les muscles des yeux se relâchent et ne répondent plus aux actions nécessaires. La correction des verres va s’amplifier au cours du temps, et la mise au point naturelle est définitivement perdue. Le principe est identique pour l’ouïe. L’emploi des prothèses auditives enlève toute possibilité de retrouver une ouïe normale naturelle. La déprogrammation des fonctions normales du cerveau se fait chaque fois que l’homme lui impose une situation anormale à laquelle il ne parvient pas à s’adapter. Me suis-je éloigné du sujet religieux ? Pas du tout, car comprendre ces choses, c’est comprendre la vie que Dieu a créée. Savoir combien elle est fragile est nécessaire pour favoriser sa prolongation. Notre vie est un cadeau de Dieu notre véritable Père céleste et il est sensible à la manière dont nous le traitons, son cadeau. Le bonheur qui dépend d’une bonne santé découle de cette prise de conscience. Le respect de notre corps physique est une authentique œuvre de foi. Paul dit de notre corps qu’il est le « temple du Saint-Esprit ». As-tu remarqué la sainteté que les Juifs attribuaient au « saint temple » de Jérusalem. La même sainteté caractérisa le corps du Christ et celui de ses disciples que son sang sanctifie. Or l’actualité médicale révèle un paradoxe dangereux. Le masque couvrant le nez et la bouche a longtemps été imposé par les autorités médicales pour freiner la contagion du virus Covid-19. Le port du masque réduit la qualité de la respiration et favorise l’aspiration du gaz carbonique rejeté. L’oxygène indispensable pour purifier le sang dans les poumons est donc réduit. N’est-ce pas un paradoxe pour lutter contre une maladie qui attaque la capacité de la respiration des patients atteints. Il faut en effet être très patient pour supporter de pareilles directives inconséquentes. Et le pire est encore à craindre car c’est des USA que le vaccin des laboratoires Pfizer est venu, après le DDT qui a empoisonné les sols européens au sortir de la dernière guerre mondiale, ainsi que les semences OGM des productions Monsanto qui vise rien de moins que le monopole de la vente de la semence alimentaire, en allant jusqu’à attaquer en justice, les riverains de ses clients parce que des semences Monsanto ont débordé et poussé sur leurs terres limitrophes. Ce pays mérite bien l’expression « marchands de la terre » par laquelle Dieu le désigne dans Apo.18:11. Il ne faut donc pas nous étonner que Dieu prophétise sa domination de la dernière coalition universelle qui s’opposera à son sabbat sanctifié. La cupidité et l’amour de l’argent sont les racines de tous les maux. A son retour glorieux, Jésus le détruira.
Ce dont la science ne tient pas compte c’est que, bien qu’apparemment semblables et ressemblants, la composition des hommes est différente, car chaque créature est réellement unique. A l’heure où nous vivons, la science médicale agit non sur le cas personnel, mais sur le cas généralisé d’un grand nombre de personnes qui sont, en réalité, toutes différentes par leur héritage génétique. Et en fonction de ce génome hérité, ce qui peut guérir une personne peut en tuer une autre. La science est mise en difficulté, parce qu’elle court derrière les créations du Dieu créateur qui peut continuellement produire, par des actions humaines ou suscitées directement par lui, des virus, des cataclysmes, et toutes sortes de phénomènes naturels ou surnaturels. Disons donc que ses combats sont perdus d’avance. L’image est celle du choc du pot de terre contre le pot de fer. Dans les laboratoires, des chercheurs s’évertuent à découvrir, par tâtonnements, l’élément et le mode de guérison, sans tenir compte des effets dus au conditionnement individuel. Même dans la nature, on trouve des herbes et des plantes qui guérissent ou tuent selon les proportions utilisées. A dose légère, la tisane de tilleul favorise le sommeil, mais à forte dose, elle excite et empêche de dormir. La nature enseigne la difficulté de la pratique médicale. En tant que Chrétien, à l’écoute de Dieu, je constate que l’humanité s’est passée de la science physique et chimique pendant environ 5800 ans. Des hommes ont vécu sur la terre dans des conditions plus ou moins saines liées à des choix alimentaires plus ou moins nocifs et destructeurs, et ils en ont assumé les conséquences, en mourant, parfois, plus jeune que la normalité. Mais pendant ces 5800 ans, la nature n’a pas souffert de leur part. La science moderne est apparue comme un cadeau diabolique empoisonné, et son poison s’est répandu dans et sur toute la terre. Il faut être honnête et relever les dégâts accomplis. Ils portent des conséquences qui remettent, pour la première fois, la prolongation de la vie sur la terre en question. Ce simple constat ne justifie-t-il pas le remord ou le regret d’avoir ainsi laissé la science compromettre le bien-être et la vie. Loin d’être mise en accusation, la science domine religieusement les esprits des dirigeants politiques, et elle impose sa façon de voir. Dans l’actualité depuis l’année 2020, elle est à l’origine de la paralysie complète des nations européennes et occidentales. Car ses décisions sont obéies par les chefs d’Etats eux-mêmes. La malédiction de l’abandon de Dieu et de ses normes se paie très cher, et ce n’est là que le prélude, les arrhes de la facture du prix qu’il reste à payer.
A la même époque, vers 1843, on peut constater deux changements aux énormes conséquences. D’une part, un test de foi basé sur l’intérêt pour la parole prophétique divine met la foi chrétienne protestante des USA à l’épreuve. D’autre part, suite au résultat observé par Dieu, peu glorieux voire désastreux, les mêmes USA et l’Europe vont se lancer dans le développement de la science physique et chimique industrielle. En France, on voit la première voiture à vapeur ; en Angleterre, apparaissent les premiers trains à vapeur, les rails sillonnent les pays chrétiens et les pays colonisés. Puis, c’est au tour du pétrole qui alimente les moteurs à essence. Aux USA, les derricks pétroliers s’élèvent en nombre dans des zones hostiles restées longtemps désertes. A la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, la mise au point de la première bombe atomique, américaine, va être suivie par plus de 2000 explosions pour des essais jusqu’à notre époque. Faut-il chercher ailleurs la cause d’un réchauffement climatique ? Que représentent, en comparaison, les rejets du gaz carbonique des véhicules motorisés de notre temps, sachant de plus que le gaz carbonique est l’aliment du monde végétal ? Homme, tu récoltes aujourd’hui ce que pendant des générations, dans l’inconscience et l’insouciance, la science des hommes a semé. Le sujet des essais atomiques n’a fait l’intérêt des masses populaires que lorsque ces essais ont eu lieu près des lieux de vies humaines. Avec le temps, ces essais étaient réalisés dans des zones désertiques ou souterraines, voire au sein des mers. Aussi, l’humanité a sous-estimé leurs graves conséquences, car la terre est un vase clos, immense, mais tout de même limité. J’ai découvert sur internet, une vidéo qui présente en animation accélérée les successions de 2100 essais de bombes atomiques de diverses puissances. La chose est impressionnante et très révélatrice des conséquences portées pour l’atmosphère terrestre et pour le sol de zones irradiées, condamnées parce que rendu invivables pour des millénaires. La Tsar bomba russe détruit dans un cercle de feu toute vie animale ou végétale, sur un diamètre de 500 kilomètres et elle sera utilisée dans la Troisième Guerre Mondiale qui vient avant 2030. Dieu se soucie t-il aujourd’hui de l’état de sa planète ? Non, car il a connu dès le commencement sa fin. Elle est liée au sort de l’homme et n’a existé que pour le porter jusqu’à la destruction de son espèce au terme de 6000 années. Pour comprendre cette résignation de Dieu à une destruction qu’il a lui-même programmée, sache qu’entre 533, date du décret de Justinien qui instaure le régime papal romain, et 538, date de son installation effective à Rome, en 535 et 536, successivement, deux énormes volcans ont craché leurs poussières et leur gaz toxiques dans l’atmosphère, chacun aux antipodes l’un de l’autre ; l’un en Amérique centrale, l’autre en Indonésie. Sur toute la terre, la poussière s’est répandue dans les deux hémisphères, et le royaume impérial de l’empereur Justinien, couvert constamment de ténèbres, a été frappé par la famine et la peste faisant des milliers de morts. Ce fut la manière dont Dieu a voulu marquer l’heure de l’installation du régime papal ténébreux. Il n’a pas cherché à épargner sa planète. Dans nos temps modernes, l’homme a longtemps utilisé la mer et la terre pour recycler ses déchets. Mais en créant le plastique, par sa science, il a donné aux poissons et aux crustacés une nourriture qu’ils n’assimilent pas et qui les tue. Considère donc que cette chose ne fait que confirmer la fin du monde pour 2030. Car les erreurs accumulées et les dégâts, qui vont résulter d’une guerre nucléaire, ne laissent aucune chance de survie de long terme à l’espèce humaine créée, à l’origine, à l’image de Dieu. Avant cette destruction, va se présenter le problème de l’eau saine, buvable sans provoquer de maladie. Car, l’usage des pesticides et des engrais chimiques depuis leur première production aux USA, a souillé les terres agricoles et les nappes phréatiques souterraines, au point que l’eau buvable commence à manquer. Mais la science n’est pas seule en cause, car l’accroissement des populations dans les villes atteint aujourd’hui des tailles où surgissent des problèmes en chaînes. Quand ils vivaient dans la campagne, les hommes ne concentraient pas leurs déchets et ils tiraient de la terre chacun leur nourriture. Et la nature ne souffrait pas de leur présence. Le sol se régénérait naturellement année après année. L’abandon de ce type de vie marquait l’entrée dans un cycle infernal qui devait conduire à terme à l’impossibilité de survivre sur la terre.
La fausse piété
Comme cette expression l’indique, cette piété repose sur une « fausse » conception de l’amour. Ceux qui sont concernés vivent l’amour à sens unique. Leur satisfaction est centrée sur eux-mêmes ; ces personnes aiment Dieu et l’idée qu’elles se font de Dieu, et cela leur suffit. Cette conception de l’amour est fausse car l’amour se construit par une rencontre dont le but est l’échange et le partage d’un plaisir commun. Pour un croyant, il est important et indispensable de se soucier de la manière dont Dieu le juge, afin de ne pas se tromper lui-même sur la nature de sa relation établie ou pas avec Dieu. Jésus a dit à ses disciples fidèles : «Je vous donne ma paix ». Il ne s’agit pas d’une paix miraculeuse, mais simplement de la conséquence naturelle du repos de l’âme des élus, repos obtenu quand leur conscience ne les culpabilise pas ou plus. Et ce repos est donc le fruit naturel de l’obéissance aux ordonnances du projet salvateur défini et accompli par Dieu en Jésus-Christ. C’est alors que les mots de la Bible nécessitent d’être bien traduits. Contrairement à ce que certaines versions disent, Paul n’a pas dit « Tout ce qui n’est pas conviction est péché » mais, « Tout ce qui n’est pas la foi est péché ». La « conviction » peut concerner quelque chose de faux ; au contraire, « la foi » concerne la parole écrite de Dieu qui ne peut pas être fausse, spécifiquement, dans ses textes originaux « hébreu et grec ». Tu peux ainsi le comprendre, la vraie piétée et la fausse s’identifient et se démarquent l’une de l’autre, par la conception que chaque créature humaine donne à l’Ecriture biblique.
Sous l’inspiration des démons, l’aspect religieux peut prendre de multiples formes au gré de leurs inventions ; formes que la vie religieuse universelle révèle partout sur la terre. C’est pourquoi, dans sa sagesse, Dieu a gravé un chemin unique pour conduire le pécheur repentant vers son offre de salut qui repose exclusivement sur la mort de son Christ. Pour que ce moyen soit présenté aux hommes jusqu’à la fin du monde, il a fait écrire son projet dans la Bible. C’est pourquoi, le salut repose sur la vraie connaissance de ces saintes Ecritures, depuis les premières paroles écrites par Moïse sous la dictée de Dieu, jusqu’aux dernières, écrites par l’apôtre Jean, dont l’esprit fut ravi par Dieu, pour lui présenter les visions de sa Révélation appelée Apocalypse.
L’homme doit apprendre à se méfier de ses propres pensées, car il est incapable de distinguer parmi elles, celles qui viennent de lui-même, celles qui viennent de Dieu ou de l’un de ses anges, et celles qui viennent des démons diaboliques. Notre cerveau est « piraté » et dans cette situation, seule la Bible et ses enseignements nous offrent une garantie divine. En exemple, dès le début de son ministère terrestre, nous voyons Jésus repousser les tentations du diable en citant les Ecritures. Cet exemple nous est donné afin que nous l’imitions et que nous comprenions bien que la vraie piété ne peut reposer que sur l’accord parfait avec les normes de la sainteté fixées et révélées par la Bible entière. Souviens-toi de ce signe de ralliement qui caractérisait la foi protestante au 16ème siècle : « Sola scriptura » formule latine qui signifie « l’Ecriture seule ». Elle a gardé au fil du temps écoulé toute sa valeur et fait encore dans la dernière attente du retour glorieux de Jésus-Christ toute la différence entre la vraie et la fausse piété.
L’homosexualité
Ce sujet exige beaucoup d’attention. Dans le droit fil du thème précédent, la connaissance du « piratage » de notre cerveau est primordiale. Celui qui n’a pas cette connaissance attribue à la nature et à son fonctionnement tout ce qu’il ressent, et logiquement, normalise. Je lis dans Pro.29:18 : « Quand il n'y a pas de révélation, le peuple est sans frein ; Heureux s'il observe la loi ! ». Sans la foi et sa révélation, l’homme moderne occidental est incapable d’imaginer que, ce qui se passe en lui, peut être provoqué par une entité étrangère à sa personne. Comme Thomas, s’ils ne voient pas, ils ne croient pas. Et c’est là que se tient le problème, les pensées et ressentis de notre cerveau ne sont pas visibles. Mais, le ressenti reste individuellement indéniable. De la même manière que des pensées meurtrières sont inspirées par des démons à des tueurs, des incitations à se croire femme pour un homme ou l’inverse, homme pour une femme, se produisent et expliquent l’homosexualité et toutes sortes de perversions encore plus abominables. Le terme est lâché : « abomination ». C’est celui que Dieu donne dans la Bible aux pratiques qu’il juge et condamne. Dans l’ancienne alliance, le verdict divin était accompli par le peuple qui lapidait à mort, les humains coupables de ces « abominations ». Dans la nouvelle alliance, Jésus a pris en charge, personnellement, la rétribution méritée pour les fautes commises contre Dieu. « A moi la vengeance, à moi la rétribution » dit-il. Pour autant, le jugement de Dieu sur ces choses n’a pas changé et sa condamnation des abominations se prolonge jusqu’à la fin du monde, puisqu’il déclare dans Apo.21:27 : « Il n'entrera chez elle rien de souillé, ni personne qui se livre à l'abomination et au mensonge ; il n'entrera que ceux qui sont écrits dans le livre de vie de l'agneau. »
Dans l’ignorance, toute créature terrestre peut être trompée par les démons invisibles, mais cette excuse cesse parce que les interdits de Dieu sont révélés et portés à la connaissance des hommes, par les Ecrits de sa sainte Bible. C’est pourquoi, l’homosexualité et ses perversions constituent des maladies de l’âme humaine que le Tout-Puissant Jésus-Christ peut guérir, quand la victime est prête à se convertir et à obéir à toutes ses ordonnances. Il s’agit pour elle, de changer totalement de maître. L’être humain est, soit sous la dépendance de Dieu, soit sous celle du diable ou de ses démons. Il n’a que le choix entre la liberté dans l’obéissance à Dieu ou l’esclavage dans la soumission aux démons avec la mort pour destin.
Dans la nouvelle alliance, seul, ce texte de Paul, de Rom.1:26 à 32, rappelle la condamnation des déviations sexuelles par Dieu : « C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l'usage naturel en celui qui est contre nature ; et de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement . Comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à leur sens réprouvé, pour commettre des choses indignes, étant remplis de toute espèce d'injustice, de méchanceté, de cupidité, de malice ; pleins d'envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de malignité; rapporteurs, médisants, impies, arrogants, hautains, fanfarons, ingénieux au mal, rebelles à leurs parents, dépourvus d'intelligence, de loyauté, d'affection naturelle, de miséricorde. Et, bien qu'ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de mort ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais ils approuvent ceux qui les font ». Le comble de ces « abominations » est atteint aujourd’hui par le fait que des homosexuels au statut légalisé par les lois humaines se revendiquent publiquement du salut offert par Jésus-Christ. Les sociétés humaines modernes, qui, après avoir condamné ces choses, aujourd’hui les légalisent et les « approuvent », attirent sur elles la juste colère de Dieu. L’approbation porte donc de graves et terribles conséquences même pour ceux qui ne les pratiquent pas eux-mêmes. Tous vont connaître, sous peu de temps, la norme de sa juste colère. Mais ce type d’« abominations » n’est pas la cible principale du jugement divin révélé dans son Apocalypse, dans laquelle, ce terme « abomination » concerne les fausses religions chrétiennes qui justifient, par la pratique du dimanche, la glorification du jour païen consacré à la gloire du dieu Soleil. Ce type d’abomination idolâtre est rattaché, dans Apo.21:27, au terme « mensonge » soit, au contraire absolu de sa « vérité » qui désigne les normes de ses lois et la forme unique de son projet salvateur.
Dieu et le plaisir
Ce point est à relever, le plaisir a été créé par Dieu, pour encourager des actions rendues nécessaires dans son projet de vie sur la terre. Dans l’acte sexuel, le plaisir encourage la reproduction des espèces. C’est vrai pour l’homme et les animaux. Le plaisir gustatif existe pour encourager l’alimentation et la reproduction de nos cellules vivantes. La notion de plaisir permet à l’homme de dresser des animaux qui rattachent l’exécution d’une action au plaisir obtenu sous la forme d’une offre de nourriture agréable. Dieu agit de même avec ses élus auxquels il a déclaré en Jésus, dans Matt.7:7 : « Demandez, et l'on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l'on vous ouvrira ». « Chercher » constitue un effort, et « trouver » est sa récompense. Cette loi du plaisir qui s’applique dans tous les domaines démontre l’existence du Dieu créateur rempli d’amour pour ses créatures. Le hasard seul ne pourrait pas se soucier d’offrir du plaisir aux êtres qui vivent sur la terre. Ils méritent donc d’être appelés : créatures terrestres du Dieu vivant, et à ce titre, ils lui doivent, au minimum, respect, honneurs et gloire. L’adoration et l’amour de sa personne restent le supplément apporté par ses seuls élus. Comme Daniel, selon Dan.10:12, Ceux qui « cherchent à comprendre » les mystères proposés sous formes de révélations divines sont récompensés, en obtenant des réponses de la part de Dieu. L’effort de l’étude a pour récompense la connaissance qui transforme notre personnalité. Ce qui est vrai pour la nourriture physique l’est tout autant pour la nourriture spirituelle. C’est pourquoi, nous lisons dans Matt.4:4 : « Jésus répondit : Il est écrit : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu ».
Mais le plaisir est lié à une appréciation individuelle strictement personnelle. Le plaisir de l’un n’est pas forcément le plaisir de l’autre. Aussi, faut-il le comprendre, le plaisir justifié par Dieu ne se trouve que dans la norme de vie qu’il approuve. Le plaisir des élus n’est pas celui des déchus. La vie offre des plaisirs innocents mais, fruits de la perversion, d’autres types de plaisirs sont interdits et condamnés par Dieu. Ce sont ceux que les démons favorisent et encouragent dans les esprits des personnes rebelles ; les plus nombreuses, représentées en multitudes.
La France divisée et fracturée
Cette situation reconnue et constatée en fin 2021 aurait pu être évitée, si ses dirigeants avaient su tirer profit des leçons historiques rapportées dans la Bible.
La première leçon du témoignage de Dieu révèle la malédiction des mélanges humains incompatibles. Genèse 6 relate comment les mariages unissant des personnes du camp fidèle, les « fils de Dieu », aux « filles des hommes », le camp infidèle idolâtre, eurent pour conséquence la généralisation du mal et pour châtiment, la destruction entière par les eaux du déluge.
La deuxième leçon nous conduit à l’époque où la famille de Jacob soit, Israël, s’installa en Egypte auprès de Joseph devenu grand vizir du pharaon. Environ deux siècles plus tard, rassemblés à Gosen dans la région fertile du Nil, les Hébreux commençaient à être très nombreux ; plus d’un million d’hommes, les femmes et les enfants en plus. Cette croissance inquiéta, à juste raison, le nouveau pharaon, dont il nous faut saluer la prudence. Cette croissance pouvait d’un jour à l’autre susciter dans son pays d’Egypte une guerre interne. Ce pharaon va se montrer rebelle envers Dieu mais il n’était pas stupide. Il se souciait de l’intérêt de son peuple. La cohabitation des Hébreux et des Egyptiens avait atteint sa limite et elle prit la forme d’une terrible malédiction pour le peuple égyptien accueillant.
Un peu plus tard, après les dissuasives dix plaies de Dieu, le peuple devait errer dans le désert pendant quarante années au bout desquelles Israël entreprit de conquérir Canaan le pays des géants, les Amoréens, dont l’iniquité avait atteint son comble, 400 ans après l’annonce faite par Dieu à Abraham dans Gen.15:16 : «A la quatrième génération, ils reviendront ici ; car l'iniquité des Amoréens n'est pas encore à son comble ». Et là, afin d’assurer à Israël, son peuple, une tranquillité durable, Dieu entreprit d’exterminer les habitants du pays devant l’avancée des Hébreux. Il envoya sur les géants des frelons et des mouches venimeuses qui décimèrent leur population. L’ordre de Dieu qui fut donné à Israël était de ne jamais laissé survivre leurs ennemis. Aussi terrible que cet ordre peut paraître aux âmes sensibles et humanistes, il procède de la sagesse divine absolue du grand Dieu créateur. Laisser vivre un ennemi préparerait de manière certaine de l’hostilité chez ses descendants. Et Dieu voulait éviter à son peuple de connaître cette tragique situation. Israël a désobéi à cet ordre divin et finalement il en a subi douloureusement les conséquences. Après la faute des antédiluviens, tu peux comprendre, que Dieu essaie d’éviter de nouveaux mélanges humains pour préserver son peuple Israël des pratiques religieuses idolâtres des autres peuples entièrement païens.
La mise en garde de Dieu ne servit à rien, des mariages avec les étrangers attirèrent la colère de Dieu sur un Israël qui a sombré, finalement, dans l’apostasie et l’idolâtrie. Et la dernière leçon, nous la trouvons à Jérusalem après le retour de la déportation du peuple hébreu à Babylone en Chaldée, dans une action imputée au sacrificateur Esdras ; dans Esd.9:1 : « Après que cela fut terminé, les chefs s'approchèrent de moi, en disant : Le peuple d'Israël, les sacrificateurs et les Lévites ne se sont point séparés des peuples de ces pays, et ils imitent leurs abominations, celles des Cananéens, des Héthiens, des Phéréziens, des Jébusiens, des Ammonites, des Moabites, des Égyptiens et des Amoréens. Car ils ont pris de leurs filles pour eux et pour leurs fils, et ont mêlé la race sainte avec les peuples de ces pays ; et les chefs et les magistrats ont été les premiers à commettre ce péché ». Pour retrouver l’approbation de Dieu, une décision fut prise ; Esd.10 :3 : « Faisons maintenant une alliance avec notre Dieu pour le renvoi de toutes ces femmes et de leurs enfants, selon l'avis de mon seigneur et de ceux qui tremblent devant les commandements de notre Dieu. Et que l'on agisse d'après la loi. ». Et la chose fut accomplie ; Esd.10:17 : « Le premier jour du premier mois, ils en finirent avec tous les hommes qui s'étaient alliés à des femmes étrangères ».
En son temps, le prophète Balaam révéla au roi Balak comment en mariant les filles de son peuple aux fils d’Israël il pourrait le corrompre et le priver du soutien de Dieu. Au cours de l’ère chrétienne cette action s’est reproduite à une échelle plus grande et spirituelle. Dieu reprend symboliquement l’action de Balaam pour illustrer l’entrée du paganisme dans la religion chrétienne dans Apo.2 :14 : « Mais j'ai quelque chose contre toi, c'est que tu as là des gens attachés à la doctrine de Balaam, qui enseignait à Balak à mettre une pierre d'achoppement devant les fils d'Israël, pour qu'ils mangeassent des viandes sacrifiées aux idoles et qu'ils se livrassent à l'impudicité. » Le lieu concerné est Rome, « là ou es le trône de Satan » comme le précise le verset 13 précédent ; ceci en la date de l’an 538. Le tutoiement employé par l’Esprit se justifie par le fait qu’à Rome, il y a encore des vrais serviteurs de Jésus-Christ. Après Jérusalem, Rome est devenue le lieu à partir duquel l’occident a été christianisé plus qu’évangélisé. Car l’action a été conduite par les gens de « la doctrine de Balaam » et c’est la religion catholique romaine qui s’est répandue et non la véritable foi chrétienne.
Bien sûr, la France n’est pas Israël, mais en donnant ses leçons par l’expérience de ce peuple hébreu, Dieu les propose à tout homme intelligent pour qu’il en tire avantage, quel que soit son peuple et son origine natale.
On ne peut que relever combien il est dommageable pour les peuples de ne pas bénéficier d’une bonne relation avec Dieu. Car les conséquences finales sont la mort et la destruction.
La leçon que nous venons de voir repose sur les dangers des mélanges ethniques, et c’est principalement le cas de deux pays : les USA et la France. La France se distingue par le droit du sol qui donne automatiquement la nationalité française à tout enfant qui naît sur son territoire et ses possessions d’outre-mer. Le tragique destin de cette nation s’est construit sur des décisions quasi suicidaires : l’accueil de ses ennemis, mais aussi l’interdiction de relever les statistiques de la composition de sa population. Le problème, que redoutait Pharaon pour son Egypte, va s’abattre sur la France et entraîner sa ruine meurtrière. Dans Apo.11:8, le nom « Egypte » donné symboliquement à sa capitale Paris est donc bien justifié. En regardant son histoire, ce pays a été frappé par des malédictions en chaînes. Depuis Clovis le premier roi de France qui séduit par Rome est devenu le soutien de ses papes ; puis, au 16ème siècle, Paris marqua son attachement au catholicisme en luttant contre la foi réformée protestante. Ensuite, après sa Révolution et la République, elle est devenue une puissance coloniale. Et ce fut là que se prépara son malheur final. Elle a fini par perdre ses colonies asiatiques et celles du Maghreb. La décolonisation a marqué le début de son abaissement, mais le mondialisme et les médias ont conduit les populations africaines et nord-africaines à immigrer vers la France si ouverte et si accueillante pour profiter de son régime de liberté et de ses largesses sociales. Mais parmi ses arrivants se trouvent des musulmans pleins de rancœur envers l’ancien colon, et l’affrontement qui chassa la France de leur pays va se reproduire cette fois, sur la terre de la France que Dieu va leur livrer. Ainsi, l’Europe des « dix cornes » de Daniel 7:7-24 va être châtiée par une Troisième Guerre Mondiale à l’image de Juda qui fut frappée par Dieu trois fois, par le roi Nébucadnetsar, selon 2 Chr.36:5 à 21.
La cohabitation de plusieurs religions monothéistes au sein d’une même nation crée des problèmes en raison de la frustration des compromis rendus nécessaires pour obéir aux normes établies par cette nation qui accueille. Le jour de repos hebdomadaire crée à lui seul, des difficultés d’organisation du travail, sachant que le jour du repos observé par les chrétiens est le premier jour, celui des Musulmans est le sixième, et celui des Juifs et des élus chrétiens est le septième. Tôt ou tard, le Musulman vient exiger le respect de son jour de repos, le sixième ; le Juif fait de même pour obéir à l’ordre impératif de son Dieu ; le pays où le premier jour est la norme refuse ces exigences et c’est le clash et l’affrontement religieux. Car la soumission à une norme opposée à celle de la religion pratiquée crée un sentiment de frustration chez l’adepte insatisfait. En fait, la paix obtenue jusqu’à notre époque reposait sur l’absence de prise de conscience de cette frustration. La religion n’était pas le premier souci des immigrés venus du Maghreb, c’était le travail et l’argent pour vivre qui les ont contraints à traverser la Mer Méditerranée pour s’établir en France. Mais aujourd’hui, installés, nationalisés et en plus grand nombre, les Musulmans ressentent de plus en plus la frustration et leurs exigences se font de plus en plus pressantes.
Dans les populations accueillies par la France, on trouve des Noirs qui remplissent les églises adventistes de Paris et Lyon. Les populations noires ont mieux résisté à l’influence du courant laïc athée des Blancs occidentaux. Souvent animistes à leur origine, les Noirs ont toujours eu conscience de l’existence des esprits désincarnés et ils entretenaient avec eux des relations marquées par des manifestations visibles ; aussi, le surnaturel leur est naturel, contrairement aux Blancs sceptiques ou incrédules. L’approche vers le Dieu de vérité leur est ainsi facilitée.
Noël
Cette fête, dite chrétienne, est marquée par des critères qui ne peuvent que la faire haïr par le Dieu de vérité. Reposant sur le cumul du mensonge et de l’idolâtrie, tu peux comprendre que je n’exagère pas en portant ce jugement.
En premier, relève que cette fête n’a pas été organisée par la volonté de Dieu ; la Bible ne donne aucune précision pour fixer une date pour la naissance de Jésus, le Christ de Dieu. La raison de ce silence est que Dieu donne de l’importance à la mort de Jésus, pas à sa naissance. En organisant cette fête censée célébrer la naissance de Jésus, la religion catholique consolide et justifie sa représentation du Christ dans l’état de bébé tenu dans les bras de Marie, sa mère qui est, elle, objet de l’adoration principale.
La date choisie par Rome, le 25 Décembre, est originellement celle de la naissance du dieu humain Tammuz, fils de la déesse humaine Sémiramis, épouse du roi de Babel, le célèbre Nimrod, bien humain lui aussi. Tammuz était représenté par l’image d’un disque solaire. Le mot « Noël » vient du latin « dies natalis » qui signifie jour de naissance ; celle de ce Tammuz du paganisme. Chez les Romains, cette période était consacrée aux fêtes Saturnales marquées par des pratiques orgiaques. Pour plaire aux peuples qui aiment festoyer et voulaient conserver leur fête, le catholicisme a changé son motif. C’est ainsi que la naissance de Jésus a remplacé celle de Tammuz ou celle des Saturnales. Le lien entre Tammuz et Jésus était le disque solaire puisque, pour la Rome papale, le Christ est le dieu Soleil fêté et adoré le 25 Décembre et le premier jour de la semaine de l’ordre divin devenu, subitement, par la décision humaine, le « septième jour » depuis 1981, dans le dictionnaire Larousse ; cette nouvelle norme ayant été imposée par la décision ISO 8601de l’Organisation Internationale de Normalisation.
Les USA, mercantiles, et « marchands de la terre » dans Apo.18:11, ont créé le personnage mythique du père Noël. Ils lui ont donné son aspect et ses couleurs, blanche et rouge, qui caractérisaient déjà leur soda « Coca-Cola ». Les USA ont donné à cette fête son aspect et son but commercial, en renouvelant le principe de l’offre de cadeaux aux enfants, comme les païens le faisaient pour Tammuz. Ainsi, la fête qui enchante parents et enfants dans toutes les nations occidentales n’est qu’un concentré d’actions abominables aptes, uniquement, à irriter le Dieu de vérité, Jésus-Christ. Connaissant ces choses, ses élus feront bien de s’abstenir d’y participer.
La Bible témoigne de la « glorieuse liberté des enfants de Dieu ». Il ne faut pas se tromper sur le sens de ce mot « liberté », car il n’a de sens pour Dieu et ses élus qu’en opposition à « l’esclavage du péché ». En clair et précis, la créature obéit à Dieu ou au diable. L’obéissance à Dieu consiste à appliquer les normes de ses lois, et l’obéissance au diable consiste à désobéir à Dieu et entrer en contestation avec lui. Si la Bible souligne néanmoins l’apparition de cette « liberté des enfants de Dieu » c’est parce qu’en Jésus-Christ, hormis la célébration hebdomadaire du sabbat sanctifié, toutes les autres fêtes religieuses de l’ancienne alliance disparaissent. La vie religieuse est ainsi simplifiée à l’extrême et les « élus du Christ » jouissent d’une liberté concrète et bien réelle. Nul besoin d’intermédiaire terrestre, la vie continuelle de chacun devient un culte et la norme à suivre est écrite dans la Bible qui constitue selon Apo.11:3, les « deux témoins » du Dieu vivant. Et surtout, la relation maintenue avec Dieu, offre l’aide et le conseil de Jésus-Christ qu’il apporte en Esprit Saint à ceux qui lui appartiennent réellement ; et ceci, jusqu’à la fin du monde, selon sa promesse qui sera fidèlement tenue et honorée.
A l’image du Noël mensonger, l’usage répété du nom « Dimanche » consiste à justifier son caractère de « Jour du Seigneur » alors qu’il n’est en fait que le « jour du diable », et plus fortement depuis 1981, date où on lui a imputé la norme de « septième jour » de nos semaines. Au titre de « premier jour », l’appellation « Jour du Seigneur » pouvait être justifiée historiquement comme étant le jour où Jésus est apparu vivant et ressuscité à ses disciples. Mais cette résurrection ne justifiait pas pour autant d’être célébrée par un repos hebdomadaire au dépend du « Sabbat » sanctifié par Dieu. Afin de témoigner de notre attachement à la vérité établie par Dieu, avec mes frères et sœurs en Christ, nous avons débaptisé le « Dimanche » romain pour le rebaptiser « Soldi » ce qui le rend conforme au nom donné en langue anglaise « Sunday », et en langue allemande, « Sonntag ». En nommant ce jour « Soldi », la curiosité des interlocuteurs peut être éveillée et offrir l’occasion d’une explication salutaire. Il faut le relever, le nom « Jour du Seigneur », soit, « Dimanche » traduit du latin « Dies Domenica », ne s’est imposé qu’en France, « la fille aînée » et soutien armé historique de l’église catholique, en Espagne, au Portugal, et en Italie, où il porte le nom « Domenica », qui signifie « Seigneur » ; en Italie où se trouve le Saint-Siège papal, « le trône de Satan », lui-même, son inspirateur. Le comble de l’arrogance du catholicisme est qu’en italien, le mot « Sabato » désigne le saint sabbat de Dieu que Rome place en sixième position des jours de la semaine. Dans la norme française, cette action passe inaperçue parce que le mot « sabbat » et sa racine ont été remplacés par le nom « Samedi », dans lequel le remplacement du « b » par le « m » fait ignorer le nom « Sabbat ». Sous ce nom obscur « Samedi » il peut être confondu avec le « Saturday » anglais qui célèbre la gloire du dieu romain « Saturne ».
Les élus du Christ, Dieu de vérité, doivent donc, en connaissance, reconsidérer ces normes établies par le diable et construire leur relation avec Dieu, en adoptant, dans leur esprit et leur témoignage, sa norme du temps et celle de son calendrier hebdomadaire dans lequel, le premier jour de la semaine est un jour profane et même profané soit, souillé, par le paganisme romain comme les autres jours de la semaine, tous consacrés aux divinités astrales romaines. Selon Dieu, la semaine commence donc par le « Soldi », ou « faux Dimanche », et elle s’achève au septième jour, par « le Sabbat sanctifié », par son autorité suprême, pour le repos, dès le commencement de sa création du monde ; le repos éternel du septième millénaire prophétisé à la fin de chaque semaine et dans lequel les seuls « élus du Christ Jésus » vont entrer au printemps 2030 qui vient ; la date qui sera marquée par son glorieux retour.
Je rappelle la forme initiale de la semaine créée et instaurée par Dieu : Jour un, jour deux, jour trois, jour quatre, jour cinq, jour six, et jour sept sanctifié au repos et appelé Sabbat.
Victime d’une accumulation d’outrages, Dieu a déclaré sa guerre à l’humanité rebelle. Au début de l’année 2020, le président Emmanuel Macron a annoncé au peuple français, sur un ton grave, en le martelant, « Nous sommes en guerre ». Il a imputé l’agression au coronavirus apparu en Chine. Mais il n’a pas compris que cette action était mise en route par Jésus-Christ, le Dieu tout-puissant. Or il est essentiel de comprendre ceci : avec ce châtiment, Jésus dit aux hommes : « La paix sur terre, c’est fini, définitivement fini ». Et quand il conduit les hommes à créer un virus mortel, c’est parce qu’il veut obtenir la mort dans les rangs du camp rebelle. Aussi, faut-il le comprendre, quelle que soit l’efficacité technique des médicaments et vaccins conçus par la science humaine, ces moyens humains sont utilisés pour entraver et réduire les effets d’un châtiment divin. C’est pourquoi, Dieu multiplie les formes de ses attaques contre les coupables, comme l’indique ce verset cité dans Ezé.14:21-22-23 : « Oui, ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Quoique j'envoie contre Jérusalem mes quatre châtiments terribles, l'épée, la famine, les bêtes féroces et la peste, pour en exterminer les hommes et les bêtes,… il y aura néanmoins un reste qui échappera, qui en sortira, des fils et des filles. Voici, ils arriveront auprès de vous ; vous verrez leur conduite et leurs actions, et vous vous consolerez du malheur que je fais venir sur Jérusalem, de tout ce que je fais venir sur elle. Ils vous consoleront, quand vous verrez leur conduite et leurs actions ; et vous reconnaîtrez que ce n'est pas sans raison que je fais tout ce que je lui fais, dit le Seigneur, YaHWéH ». Relève que dans ce message terrifiant qui annonce une extermination, Dieu rappelle son projet salvateur qui est de sélectionner et préserver les humains restés les plus fidèles envers lui. Après « Jérusalem », en son temps, en l’an 70, c’est aujourd’hui aux peuples occidentaux chrétiens infidèles d’être visés par les armes redoutables utilisées par Dieu. Il conduira jusqu’à la fin son funeste projet et mettra en œuvre les moyens pour l’accomplir. A l’échelle mondiale, les habitants de la terre seront à terme exterminés. Après les virus, la famine, et la guerre civile, la guerre universelle nucléaire réduira encore le nombre des humains survivants. Ensuite, dans le contexte des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » décrits dans Apo.16, les derniers survivants seront soumis à la dernière épreuve de foi qui opposera le « Sabbat » et le « Jour du Soleil », le faux « dimanche » romain. La menace de mort qui ciblera les élus du Christ se retournera contre ses ordonnateurs, quand le Dieu qui sauve interviendra pour sauver ceux qui l’aiment dans la parfaite fidélité.
En marche vers le ciel
J’ai été baptisé en 1980 et j’ai donc atteint 40 ans de service pour Jésus-Christ en 2020. Or, un flot de lumière, incessant, est venu sous forme d’inspiration nourrir ma connaissance sur le sens des événements vécus. Dans la Bible, ce temps de 40 ans a particulièrement caractérisé l’expérience de Moïse. Il s’enfuit hors d’Egypte âgé de 40 ans et revint 40 ans plus tard pour guider l’exil de son peuple hébreu. En 2020, un temps de foi éprouvée a pris fin, puisqu’après des décennies de paix et de prospérité données aux peuples chrétiens occidentaux dominateurs, Dieu est entré en action, de manière identifiable pour ses élus. Le blocage économique provoqué par les effets surestimés du Coronavirus Covid-19 constitue la preuve visible de ce changement de comportement du grand Dieu créateur offensé, rejeté, et par tous les hommes ou presque, méprisé. Détail historique à relever, le virus Covid-19 est apparu en Chine 6 jours après que ses dirigeants aient pris la décision de modifier les écrits de la Bible, pour en expurger les citations non-conformes « à la vision du parti communiste chinois et de son chef ». Une telle agression contre la sainte Parole écrite de Dieu ne pouvait rester sans réponse de sa part. Le Covid-19 l’a exprimée.
Après la sortie d’Egypte, une longue marche dans le désert attendait le peuple hébreu. Pour nous aussi, depuis 2020, une dernière marche s’est engagée dans un contexte relationnel humain qui se dégrade et va se dégrader de plus en plus. L’heure est à la division, de manière analogue à ce que Dieu dit et fit, selon Zac.11:14 : « Puis je brisai ma seconde houlette Union, pour rompre la fraternité entre Juda et Israël. ». La référence à « Juda et Israël » n’est pas exclusive, car ces deux noms servent de support aux messages que Dieu adresse à ses serviteurs jusqu’à la fin du monde. Cette « seconde houlette » révèle la dernière conséquence de l’heure du jugement des nations par Dieu : la séparation ou désunion des peuples qui conduit à l’agression guerrière meurtrière. Or, cette « houlette » est précédée par la brisure d’une première « houlette » nommée « Grâce » selon Zac.11 : « Je pris ma houlette Grâce, et je la brisai, pour rompre mon alliance que j'avais traitée avec tous les peuples. » Ce verset révèle que dès le commencement de son projet créationniste, Dieu avait conçu son rôle de Messie qui devait sauver ses élus par le principe de la « Grâce » offerte et proposée à « tous les peuples ». Mais victime de l’indifférence et du mépris humain universel, qui lui donne comme le clergé juif la valeur de « trente sicles d’argent » cités dans le verset 12, dans son projet, Dieu finit par rompre cette « houlette », mettant ainsi fin à son offre de « Grâce ». Zac.11:12 : « Je leur dis : Si vous le trouvez bon, donnez-moi mon salaire ; sinon, ne le donnez pas. Et ils pesèrent pour mon salaire trente sicles d'argent. » En dehors de son application pour le temps de la fin, le principe de la succession de la rupture des houlettes « grâce et Union » s’accomplit individuellement pour les victimes qui meurent dans les temps marqués par « les trompettes » et les « fléaux de Dieu ». Dans une mise à jour du sabbat 18 Décembre 2021, j’ai expliqué l’importance du mot « derniers » dans l’expression « les sept derniers fléaux de la colère de Dieu ». Car cette précision suggère le versement d’autres fléaux dans l’époque qui précède la fin collective du temps de grâce. Et je le rappelle, pendant plus de 70 années de paix et de prospérité, des « fléaux » divins ont constamment frappé l’humanité sous formes de maladies modernes plus ou moins guérissables : le Cancer, le Sida, Alzheimer, et autres ; ce à quoi s’ajoutent, les morts victimes du tabagisme, de l’alcool, et des drogues chimiques ou naturelles qui déciment la jeunesse, des accidents de la route, des victimes des inondations, des éboulements de neige, des incendies, des catastrophes sismiques telluriques et volcaniques, des tsunamis, sans oublier les cyclones et les tornades qui ciblent particulièrement l’Amérique, etc… ; toutes choses qui résultent de l’inobservance des normes enseignées dans les lois divines. On se souvient comment pour répondre à la demande de viande du peuple hébreu, dans le désert, Dieu fit venir des cailles. Ils en mangèrent tant et si abusivement que des milliers en moururent. Les mauvaises habitudes alimentaires non conformes aux normes établies par Dieu font encore de nos jours des morts et des malades. Appliquées à l’échelle mondiale, ces normes alimentaires tueuses peuvent être considérées comme des « fléaux » punitifs conçus par l’unique Dieu créateur ; la maladie étant la conséquence inévitable des transgressions des lois naturelles établies dans sa création terrestre.
Dans l’anonymat et la séparation, les élus de Jésus-Christ se sont engagés depuis 2020, dans la dernière marche, en route vers le ciel qui s’ouvrira pour eux au printemps 2030. Et tous ces écrits que je présente et rassemble dans cet ouvrage, constituent, concrètement, cette nourriture spirituelle indispensable pour édifier et construire l’homme spirituel que doivent devenir tous ses élus. Comprendre le jugement de Dieu afin de l’approuver et de le partager avec lui est le but de cette alimentation spirituelle. C’est dans l’approbation et l’appréciation réciproque que se construit la communion entre Dieu et ses élus ; ceci, par le moyen exclusif de la « Grâce » obtenue par la foi active, basée sur le nom et les seuls mérites de Jésus-Christ.
Ce point est fondamental à retenir. Les vrais élus de Jésus-Christ ne sont pas visés par les fléaux de Dieu, et leur protection repose sur leur obéissance à ses lois. Dieu s’est engagé à faire apparaître la différence du traitement de ses élus et celui des êtres rebelles. Mais, logiquement, quand le soleil surchauffe, ses élus exposés en ressentent les brûlures comme les rebelles. Le traitement des élus se différencie essentiellement sur la nourriture de leur esprit quand les choix alimentaires du corps physique ont été approuvés par Dieu. La vie est un tout indissociable, Dieu ayant créé pareillement, le corps physique, l’esprit qui prend vie en lui, et l’aliment végétal, l’idéal de la Genèse, qui construit les cellules physiques qui composent son corps. Le respect de ces principes protège les élus contre la maladie parce que leur immunité naturelle en est renforcée. Dans la vraie foi, on ne se moque pas de Dieu, en désobéissant à ses lois et en réclamant son secours et son aide comme le font les faux religieux. Le chemin tracé par Jésus-Christ est celui de la vérité, toujours logique, simple et juste. Au bout de ce chemin béni par Jésus, après la traversée des dernières épreuves terrestres, notre marche aboutira dans le royaume céleste de Dieu où il nous a préparé une place selon Jean 14:1 à 4 : « Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin ». En vérité !
Les phases de la sanctification
Ce texte cité par Paul dans Héb.12:14 révèle l’aspect salutaire de son importance : « Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur ».
Qu’est-ce que la sanctification ? Paul nous le dit dans 1 Thes.4:17 : « Car Dieu ne nous a pas appelés à l'impureté, mais à la sanctification ». La « sanctification » est le contraire absolu de « l’impureté » donc, la pureté.
A lui seul, ce terme sanctification résume le programme salvateur divin qui se construit sur plusieurs étapes ou phases. Mais déjà pour saisir son sens et son but, nous devons prendre en compte le premier sens que Dieu lui donne dans Gen.2:3 où cette sanctification est rattachée au « septième jour » de sa création : « Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. » Ce verset est fondamental, car c’est sur cette déclaration divine que nous pouvons rattacher ensemble, le sabbat sanctifié par Dieu, et le chiffre « 7 » qui va, numériquement, désigner sa « sanctification » dans toute sa révélation. A ce titre, le sabbat sanctifié devient « le sceau du Dieu vivant » dans Apo.7:2 soit, le signe de sa personnalité divine. Jusqu’à ce jour, du « soldi » matin du 19 Décembre 2021, reprenant une interprétation héritée, je lui avais attribué le sens de chiffre de la plénitude. Or, ce terme n’apparaît pas dans ce texte de la Genèse, contrairement au verbe « sanctifia ». Aussi, même si cette plénitude peut être conservée pour un sens secondaire, le sens de sanctification a priorité sur lui. Aussi, ai-je aussitôt apporté cette modification dans tout cet ouvrage. Et je me dois de le faire, dans tous mes documents, car le message divin en est considérablement changé et enrichi. L’analyse de Dan.8:14 devient lumineuse et extrêmement logique et facile à comprendre. Sa traduction correcte, que l’Esprit du Christ m’a conduit à découvrir et rétablir, est : « Jusqu’à 2300 soir matin et sera justifiée la sainteté ». L’heure de l’entrée en application de ce décret prophétique est le printemps 1843. A cette époque, la foi chrétienne est représentée principalement en Europe par la foi papale romaine dont la « blessure mortelle » (Apo.13:3) portée par l’athéisme révolutionnaire français a été ensuite « guérie » par le concordat de Napoléon Bonaparte. Sous son nouvel aspect humble et soumis, la foi catholique reprend ses béatifications qui multiplient la canonisation de ses « saints » qu’elle offre pour être adorés à ses adeptes. Pour le vrai Dieu, cette action est idolâtre et donc abominable. C’est pourquoi, voulant « remettre les pendules à l’heure » soit, restaurer la norme de la véritable sainteté, Dieu proclame ce décret prophétique de Dan.8:14, dans lequel les mots « justice et sainteté » apparaissent. La possibilité d’attribuer « la justice » du Christ et le statut de « saint » n’appartient qu’à lui seul. Son message vient donc contester « l’arrogance » papale dénoncée dans Dan.7:8-20 et Apo.13:5. Ainsi, depuis le printemps 1843, le divin Christ a repris son autorité suprême abandonnée pendant des siècles de ténèbres au pouvoir religieux papal romain. Mais ce rétablissement n’apparaît qu’à ses élus qu’il éclaire individuellement selon leur amour pour sa vérité. La restauration de toutes ses vérités se réalise alors dans le secret de leurs cœurs et de leurs esprits. Le monde ignore tout de l’existence de ces liens qui rétablissent le dialogue avec le Dieu suprême. La fausse sainteté, établie en premier sur les papes, trompe les foules. Car n’est pas saint quiconque le prétend, mais, uniquement, celui que Jésus-Christ, le grand Juge divin, désigne comme tel parce qu’il le trouve digne de ce statut. Pour répondre à cette norme, en premier, la pratique du sabbat, image et sceau divin de la sanctification, doit être adoptée et fidèlement observée par les vrais élus chrétiens. C’est cette adoption qui conduit Jésus à bénir, particulièrement, en 1873, la foi adventiste du « septième jour » dans le message adressé à « Philadelphie », l’Elue de l’époque caractérisée par un réel « amour fraternel » signifié par ce nom grec, dans Apo.3:7 ; et ces chiffres signifient : 3 = la perfection ; 7 = la sanctification.
Dans 1 Cor.1:30, les mots « justice et sanctification » sont regroupés et attribués au seul Christ de Dieu : « Or, c'est par lui que vous êtes en Jésus Christ, lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse, justice et sanctification et rédemption, ». Lui seul peut donc attribuer et faire bénéficier ses élus de « sa justice » et de « sa sanctification » soit, sa pureté. Et c’est encore lui, Jésus, qui attribue ces choses sous l’image du Saint « Esprit » selon 2 Thes.2:13 : « Pour nous, frères bien-aimés du Seigneur, nous devons à votre sujet rendre continuellement grâces à Dieu, parce que Dieu vous a choisis dès le commencement pour le salut, par la sanctification de l'Esprit et par la foi en la vérité ».
Une première définition consiste à dire que la sanctification caractérise la pureté parfaite du Dieu Esprit lui-même, ce que confirme 1 Pierre 1:16 : « Vous serez saints parce que je suis saint ». Pour ses créatures déformées par le péché, la sanctification va consister à retrouver et reproduire l’image de Dieu dans l’esprit de leur corps terrestre. Car au commencement, dans son état de parfaite innocence et pureté, l’Adam (l’homme) fut créé à l’image de Dieu, selon Gen.1:26-27 : « Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme ».
En fait, la sanctification est un processus conçu par Dieu pour obtenir, à partir d’un pécheur repentant, un élu, « témoin fidèle et véritable ». Cette explication repose sur la compréhension du sens que Dieu donne aux descriptions par lesquelles il se présente dans les 7 époques successives évoquées par les noms des « sept églises » dans Apo.2 et 3. L’autre nouveauté, que j’apporte au nom de Jésus-Christ dans ce nouveau message, consiste à comprendre que ces différentes descriptions révèlent la norme du serviteur que chaque époque concernée doit produire pour sa gloire. Ceci était déjà partiellement compris, mais aujourd’hui ce principe est indispensable et prioritaire, pour comprendre le projet divin de la sanctification qui obtient le salut éternel. Au début de cet alinéa, l’expression « témoin fidèle et véritable » révèle et désigne le serviteur que Jésus vient mettre à part, donc sanctifier, à l’époque appelée « Laodicée ». Cette époque désigne sous la date 1994, l’heure de mettre à l’épreuve la foi de l’Adventisme officiel institutionnel. Jésus a fixé cette date en laquelle il a voulu tester son amour pour la vérité révélée par la parole prophétique, parce que sa sanctification originelle fut obtenue par ce type de test au temps des pionniers adventistes. Etait-elle encore digne d’être bénie par lui ? Dans son message, Dieu a prophétisé ce qui s’est réellement accompli à cette date. Trouvant, depuis des décennies, le peuple et ses dirigeants tièdes et formalistes, il les a « vomis » après 1994. Mais dans son message, il annonçait que sa grâce et son soutien allaient être individuellement conservés par ceux qui, témoignant d’amour pour sa vérité et son message prophétique, deviendraient pour lui et sa cause, ses « témoins fidèles et véritables ». C’est à ce titre, que depuis 1994, dans la dissidence, libéré de la tutelle institutionnelle après une radiation officielle en 1991, je reçois et communique la nourriture spirituelle qu’il continue fidèlement à offrir généreusement à ses élus ; ceux et celles qu’il aime. Les preuves ne se discutent pas, cette nourriture que je reçois et présente est le dernier « témoignage de Jésus » qui est encore et toujours « l’esprit de la prophétie », selon Apo.19:10. Cette nourriture vient en moi, et l’église institutionnelle, non seulement ne reçoit plus rien de Jésus, mais elle l’outrage, en faisant alliance avec ceux que ses prophéties désignent comme étant ses ennemis ; les serviteurs d’un faux christianisme utilisé par le diable pour tromper et perdre les âmes séduites.
Les phases successives de la sanctification nous sont révélées dans le montage de son Apocalypse. Ces phases sont, successivement, celles de la sélection et de la purification. En application historique, celle de la sélection est évoquée dans Apo.3:1, par l’époque nommée « Sardes ». Que vient faire Jésus à cette époque ? Il nous le dit en ces termes : « Écris à l'ange de l'Église de Sardes : Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort. ». En appliquant aux chiffres « sept » son sens premier de sanctification, Jésus nous dit qu’en cette époque nommée « Sardes » soit, depuis le printemps 1843 jusqu’à l’automne 1844, il vient pour sanctifier, par son Esprit divin, ses messagers qui constituent et construisent dans le temps son Elue perpétuelle qui deviendra, à terme, éternelle. Mais logiquement, l’épreuve fait apparaître des gagnants, et des perdants auxquels, retirant sa sanctification, Jésus dit : « Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort ». C’est lui, le grand et seul Juge qui le dit. La contestation de son jugement sera totalement vaine et sans aucun effet. Les tests de l’amour de la vérité, bâtis sur l’attente du retour de Jésus-Christ en 1843 et 1844, ont produit des effets aux conséquences définitives définies par de nouvelle normes d’obéissance aux lois divines abandonnées, dont en premier, le repos du sabbat du « septième jour » dont l’adoption constitue la seconde phase de la sanctification ; seconde phase qui est celle de la purification du péché. L’abandon du « soldi » au profit du « sabbat » est donc celle de cette purification sans laquelle le programme de la sanctification est interrompu. Il est donc impératif de comprendre le caractère progressif de l’œuvre de la sanctification car, sélectionnés pour leur démonstration d’amour pour l’annonce du retour du Christ, les chrétiens concernés pratiquaient traditionnellement le culte religieux catholique et protestant du « soldi », le « Jour du Soleil Invaincu » de Constantin 1er. A partir de cette sélection, ils devaient, individuellement, être purifiés de ce péché, en renonçant à ce culte au profit du culte du sabbat vers lequel la lumière de l’Esprit allait les diriger entre 1844 et 1863. Ceci, afin de répondre à l’exigence du décret de Dan.8:14, où correctement traduit, solennellement et de manière péremptoire conforme à sa suprême autorité, Dieu déclare : « Jusqu’à 2300 soir matin et la sainteté sera justifiée ». Ce message annonçait donc la nécessité d’accomplir une œuvre de sanctification rendue nécessaire à cause de l’abandon du sabbat depuis le 7 Mars 321, date où l’empereur Constantin l’a fait abandonner et remplacer, par son « Jour du Soleil Invaincu » païen souillé. Selon Dan.8:14, en 1843, date du terme des 2300 années suggérées, « la sainteté » nécessitait d’être « justifiée ». Ce qui signifie que, pour les disciples du Christ, les protestants les plus pacifiques, cette justice obtenue auparavant était remise en cause et à reconquérir à partir de cette date 1843. Cette mention de la justification rappelle l’importance du jugement que Dieu porte sur chaque candidat qui souhaite bénéficier de son offre de salut. Et cette justification est la réponse que Jésus-Christ donne aux efforts de purification manifestés par l’être appelé. Car après la justice du Christ imputée au pécheur repentant, vient le combat de la foi qui consiste pour lui, à obtenir la justice impartie soit, l’abandon total de la pratique du péché, afin de ressembler à Jésus-Christ que Dieu présente comme le modèle type, parfait, à imiter. Retenons donc l’association de la purification et de la justification intimement liées : sans purification, pas de justification. J’insiste sur ce point, la valeur donnée à la foi de chacun n’appartient qu’au Christ et à lui seul, mais par sa révélation, il a donné à ses disciples la possibilité de comprendre ce qu’il attend d’eux ; et donc, la possibilité de connaître quand ils sont réellement bénéficiaires de sa justice.
Avec le message de « Philadelphie » présenté dans Apo.3:7, les élus purifiés se sont regroupés sous une forme institutionnelle strictement américaine entre 1863 et 1873 où, bénis officiellement et lancés dans une mission universelle, ils sont entrés dans la phase d’une première sanctification que le verset « 7 » d’Apo.3 confirme. Je rappelle que cette date 1873 a été établie dans Dan.12:12. Là, Jésus adresse une béatitude aux Chrétiens qui attendront encore son retour, à cette date produite par le calcul qu’il propose de faire, à partir de cette durée prophétique de « 1335 jours ». Commençant en 538, date de l’instauration historique du régime papal romain qui mit « fin au perpétuel » sacerdoce de Jésus-Christ, cette durée s’acheva bien, « 1335 » années plus tard, en 1873, date où le Sabbat avait déjà été adopté, en signe de leur sanctification par Jésus.
En 1873, Dieu a sanctifié et béni, l’adventisme du septième jour, expression qui résume les deux vérités inséparables que sont le retour de Jésus-Christ et le sabbat sanctifié qui prophétise le gain de sa victoire sur le péché. Mais ce n’était là qu’une première étape de l’histoire adventiste ; celle de « son début, son commencement, son alpha », comme le suggère fortement Jésus dans Apo.1:8 où il dit : « Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant ». C’est pourquoi dans Apo.3:14, sous le nom « Laodicée » dont la signification précise est « peuple jugé », Jésus évoque la phase finale, la phase « oméga » des « cinq mois » ou 150 années d’activités institutionnelles programmées dans Apo.9:5-10. Que signifie le chiffre 14 de ce verset, sinon un redoublement du chiffre « 7 » ? Ce redoublement vient refermer en phase finale « oméga » le temps d’approbation de 150 années que Jésus a prophétisé dans son Apocalypse. L’arrêt de cette approbation divine fut justifié par une démonstration d’absence d’amour pour la vérité prophétique quand, inspiré par Dieu, je lui ai présenté entre 1982 et 1991, la possibilité du retour de Jésus-Christ pour 1994, date obtenue au terme des 150 années, ou « cinq mois » prophétisés dans Apo.9:5-10.
L’histoire adventiste ne s’est pas arrêté en 1994, car après cette date, moi, l’adventiste méprisé et radié officiellement par l’institution dès 1991, j’ai reçu du ciel les explications qui m’ont permis de comprendre pourquoi Jésus n’était pas revenu en 1994. Une fois de plus mais, la dernière, Jésus venait de lancer une fausse annonce pour tester la foi adventiste dans son premier fief historique français de la ville de Valence en Drôme (26). L’expérience vécue a eu valeur d’échantillon de la situation de l’adventisme universel. Partout sur la terre où il est représenté, Jésus n’y a vu que formalisme et tradition, lui qui exige le « zèle bouillant » et l’amour pour sa personne au-dessus de tout. Avec le temps, cette apostasie généralisée a été confirmée dès 1995, par le regroupement de l’adventisme institutionnel avec les observateurs traditionnels du « soldi » souillé romain. L’adventisme officiel est entré dans l’alliance œcuménique.
Cette analyse vient de donner un sens aux chiffres 1 ; 7 ; 14. 1 = sélection ; 7 = première sanctification ; 14 = deuxième sanctification. Et il faut ajouter à ces chiffres, le chiffre 21 qui, représentant 3 fois 7, désigne la perfection de la sanctification qui obtient alors le statut de la glorification. En effet, le chapitre 21 de l’Apocalypse a pour contexte celui de l’installation des élus devenus célestes, sur la nouvelle terre régénérée et glorifiée par Jésus-Christ, notre grand et tout-puissant Dieu créateur ; l’expression même du « Dieu Tout-Puissant ». Ce n’est pas sans raison qu’il est désigné comme le Dieu « trois fois saint » en raison de ce verset d’Esa.6:3 : « Ils criaient l'un à l'autre, et disaient : Saint, saint, saint est YaHWéH des armées ! Toute la terre est pleine de sa gloire! ». L’image et son message sont repris dans Apo.4:8 : « Les quatre êtres vivants ont chacun six ailes, et ils sont remplis d'yeux tout autour et au dedans. Ils ne cessent de dire jour et nuit : Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu, le Tout Puissant, qui était, qui est, et qui vient ! ». Cette triple sainteté, Dieu va, finalement, la faire partager par ses élus, triés et sélectionnés par son jugement, juste, parfait, et infaillible. Car le chiffre « 3 » symbolise la perfection, ce que confirme le dicton populaire : jamais deux sans trois. Et la chose se confirme de multiples fois dans l’accomplissement du programme prophétisé par Dieu : 3 déportations successives vers Babylone, 3 décrets royaux pour en revenir ; 3 fois 2000 ans pour le temps du péché terrestre ; 3 rôles divins pour sauver les pécheurs, Dieu étant successivement Père, Fils, et Saint-Esprit ; et 3 expériences adventistes successives en 1843-1844, en 1873, et en 1994 jusqu’en 2030, date de la fin de l’épreuve terrestre.
Les chiffres 1, 7, 14, et 21 ont maintenant pour toi une signification spirituelle qui est dans l’ordre croissant : la sélection et la purification qui obtiennent la justification ; la première sanctification ; la deuxième sanctification ; et la troisième sanctification ou la glorification. Or, cette sanctification est à la base de l’organisation de la première Pâque de l’histoire humaine, telle qu’elle s’est accomplie pour la délivrance du peuple hébreu mis en esclavage par les Egyptiens. Retrouvons donc ce contexte et la forme sous laquelle Dieu annonce aux Hébreux l’organisation de cette Pâque qui désigne l’heure où Dieu « passe » pour juger entre son peuple et ses ennemis. Ce passage divin s’accomplira pleinement par l’incarnation terrestre de notre Sauveur, Jésus-Christ. Qui sont ses ennemis et qui est son peuple ? La réponse est simple et tranchante. Son peuple l’écoute et lui obéit ; ses ennemis ne l’écoutent pas et lui désobéissent. Entre ces deux options certaines personnes errent sans pouvoir s’engager parce qu’elles ont réduit l’entière divinité de Jésus-Christ qui ne peut pas contredire le Dieu de l’ancienne alliance qu’il était en personne déjà lui-même.
Nous lisons dans Exode 12:1-2 : « YaHWéH dit à Moïse et à Aaron dans le pays d'Égypte : Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l'année ». Il est vital et salutaire de comprendre que ce « vous » ne se limite pas aux Hébreux de cette sortie d’Egypte. Ce « vous » concerne tous les élus de l’ancienne, et de la nouvelle alliance qui s’achève depuis 1843, par l’œuvre adventiste du septième jour, portée par ses derniers représentants dissidents, après 1994. Les élus du temps de la fin ont d’autant plus de raison d’adhérer de toute leur âme à cette idée, que ce verset leur apporte une précision qui va déterminer le temps du vrai retour de Jésus-Christ. Au moment de l’équinoxe du printemps, gravé dans la nature de manière perpétuelle, Dieu déclare à Moïse, que le printemps marque le début des mois de l’année de son calendrier et de son programme. Et il insiste en répétant : « il sera pour vous le premier des mois de l'année ». Dieu a donc choisi, le jour du printemps pour commencer et finir le temps de son projet salvateur terrestre. Ce choix de Dieu est prioritaire car il concerne sa vision et son ordre du temps. Et ce choix est conforme à l’ordre qu’il a établi à l’heure de sa création de notre monde terrestre. Car avant le péché d’Adam et Eve, sans inclinaison, la terre tournait sur son axe vertical et en conséquence, les jours et les nuits avaient le même nombre d’heures ; 12 heures de nuit suivies de 12 heures de jour ; ce qui correspond à la norme de l’équinoxe du printemps actuel. Au jour du péché originel, la terre fut inclinée et le temps de 6000 ans débuta sur un printemps, suivi par le premier été, puis par le premier automne et le premier hiver. Le cycle engagé devait se reproduire 6000 fois. C’est pourquoi, Jésus-Christ ne peut revenir qu’au début du printemps 2030. Nous pouvons fixer et dater son retour pour le Mercredi 20 Mars 2030.
Revenons sur le texte d’Exode 12 ; cette fois, sur le verset 3 dans lequel Dieu lance l’organisation de la première Pâque : « Parlez à toute l'assemblée d'Israël, et dites : Le dixième jour de ce mois, on prendra un agneau pour chaque famille, un agneau pour chaque maison ». Cette fête se construit sur le processus de la sanctification que nous avons vue. Cette phase est la première, celle de la sélection.
Nous lisons ensuite le verset 4 : « Ce sera un agneau sans défaut, mâle, âgé d'un an ; vous pourrez prendre un agneau ou un chevreau. » Cette exigence divine de pureté est justifiée parce que l’agneau ou le chevreau choisi va symboliser la perfection de Jésus-Christ, l’agneau de Dieu sans tache ni aucun péché. Nous retrouvons dans cette exigence les critères de la sélection du processus de la sanctification.
Verset 5 : « Vous le garderez jusqu'au quatorzième jour de ce mois ; et toute l'assemblée d'Israël l'immolera entre les deux soirs ». Cette action accomplira la phase purification de la sanctification engagée. Dieu la rattache au chiffre 14 qui nous l’avons vu, désigne la double sanctification. L’enseignement porté par cette première Pâque va concerner deux alliances successivement sanctifiées. De plus, placé entre le chiffre 7 et le chiffre 21, cette Pâque liée au chiffre 14 prophétise son accomplissement en Christ qui viendra entre la création où le sabbat sanctifié est rattaché au chiffre 7 et la fin du monde que l’on peut définir comme l’heure de la perfection de la sanctification ou celle de la glorification représentée par le chiffre 21. Pour répondre à une question qui m’a été posée au sujet de ce choix de Dieu de faire sa première Pâque au 14ème jour plutôt qu’au 7ème, la réponse apparaît dans cette étude, ce choix est guidé pour des raisons spirituelles qui ont conduit Dieu à attribuer au chiffre 7 la signification de la sanctification du sabbat. Dès lors ce chiffre ne peut pas recevoir en même temps une autre signification. Mais le rapport étroit entre le 7 du sabbat et le 14 de la Pâque existe ; le sabbat prophétisant le repos éternel gagné par l’agneau du 14. Ces chiffres témoignent subtilement du caractère inséparable du Christ et du sabbat. Spécifiquement depuis 1843, ce lien a été confirmé par Jésus-Christ, par son exigence de la pratique du sabbat de la part de ses élus. De plus dans l’ère chrétienne, la séparation du sabbat de Jésus-Christ a et va encore porter de terribles conséquences accomplies sous la forme des « six premières trompettes » de l’Apocalypse soit, des malédictions meurtrières successives. Les chiffres continuent de parler puisque lorsque nous additionnons le 7 et le 14 nous obtenons le chiffre 21 de la perfection de la sanctification ; ce qui se traduit par le message suivant : l’obéissance au sabbat (7) jointe à la grâce obtenue par la mort (14) du Christ, sa Pâque, offre aux élus concernés le statut de la perfection de la sanctification que Jésus va glorifier (21) à l’heure de son retour.
Dans la Pâque juive originelle, Exode 12 :7 évoque la phase de la sanctification par l’aspersion du sang de l’agneau sur les poteaux des habitations : « On prendra de son sang, et on en mettra sur les deux poteaux et sur le linteau de la porte des maisons où on le mangera ». Dieu propose aux Hébreux de manifester individuellement la possibilité d’obtenir sa protection. Le choix dépend de chaque créature laissée libre d’obéir ou pas à l’ordre donné. C’est par la réponse apportée librement par chaque personne que la phase de la sanctification va devenir possible ou pas. C’est là, la caractéristique spécifique de la sanctification : elle repose sur le choix individuel des êtres humains laissés libre jusqu’à la fin du monde de la rechercher et de l’obtenir. Celui qui n’aspergeait pas les poteaux de sa maison ne serait pas protégé à l’heure où la mort divine allait passer pour tuer les premiers nés des désobéissants hébreux ou égyptiens. Dans cette leçon, Dieu résume le plan salvateur conçu pour toute l’humanité devant laquelle, deux choix soit, deux chemins, sont placés ; l’obéissance et la vie ou la désobéissance et la mort. C’est pourquoi, même en Jésus-Christ, la condition de la réconciliation avec Dieu passe obligatoirement par l’obéissance et la production du fruit de repentance soit, le changement de la conduite des hommes et des femmes qui veulent bénéficier de sa grâce salvatrice.
La signification de la Pâque est révélée dans les versets 12 et 13 : « Cette nuit-là, je passerai dans le pays d'Égypte, et je frapperai tous les premiers-nés du pays d'Égypte, depuis les hommes jusqu'aux animaux, et j'exercerai des jugements contre tous les dieux de l'Égypte. Je suis YaHWéH. Le sang vous servira de signe sur les maisons où vous serez ; je verrai le sang, et je passerai par-dessus vous, et il n'y aura point de plaie qui vous détruise, quand je frapperai le pays d'Égypte ». Dans cette explication, Dieu applique le principe de la justification par la foi. Là où il verra le signe de l’obéissance, il offrira le bénéfice de la justice éternelle de l’agneau sans tache Jésus-Christ. Mais là où le signe de l’obéissance, l’acte de foi, sera absent, lui qui s’offrira un jour au titre de « premier-né » du projet du salut, tuera les « premiers-nés » des familles rebelles. Et les premières victimes furent les familles égyptiennes de l’heure de la première Pâque.
Dans Exode 12:18, le chiffre 21 apparaît : « Le premier mois, le quatorzième jour du mois, au soir, vous mangerez des pains sans levain jusqu'au soir du vingt et unième jour ». Dans le projet du salut historique, cette fête des pains sans levain représente la sanctification des élus depuis la mort du Christ (chiffre 14) jusqu’au temps de la fin où les élus atteindront la perfection de la sanctification (chiffre 21). Le pain lève par un processus de fermentation image de la souillure et du péché. L’interdiction du pain levé signifiait donc l’interdiction de cette souillure et du péché dans la vie des Hébreux fidèles et des vrais saints de Jésus-Christ.
Dans Dan.9:27, l’heure de la vraie Pâque est marquée par « une alliance pendant une semaine avec plusieurs ». Cette semaine se compte en années et en jours réels. En année, elle commence au baptême de Jésus, en l’automne 26 et s’achève avec la mort du diacre Etienne à l’automne 33, action reçue par Dieu comme un refus national définitif du Messie Jésus par le peuple hébreu. Jésus qui s’est présenté au peuple qui a demandé et obtenu du procurateur romain Ponce Pilate, sa mort par la crucifixion. Au milieu de la semaine soit le 3 Avril 30, par sa mort expiatrice, Jésus a fait cesser « le sacrifice et l’offrande » d’animaux qui le symbolisaient jusqu’à lui. Ce Mercredi 3 Avril 30, la Pâque de la mort (chiffre 14) du Messie fut accomplie, donnant au printemps de cette année 30 sa base de commencement des dernières 2000 années qui conduisent au terme des 6000 rotations de la terre autour du soleil, programmées par Dieu pour sélectionner et finalement sauver ses élus en Christ.
Comptée en jours réels, cette « semaine » de Dan.9:27 commença le 10ème jour du premier mois et s’acheva au 17ème jour. Au milieu réel de cette semaine, soit le Mercredi 3 Avril 30 et 14ème jour du même premier mois, Jésus offrit sa vie et mourut pour le rachat des péchés de ses seuls élus ; ceux qu’il juge dignes de bénéficier de son offre de grâce et qu’il justifie en les couvrant par sa parfaite justice personnelle. Dans cet enseignement apparaissent les chiffres 10, 14, et 17 porteurs d’un sens déjà vu pour le 10 et le 14. Mais le 17, apporte un message conforme à la situation concernée. Le chiffre 17 symbolise le jugement dans Apo.17. Dans cette semaine Dieu jugea le péché et il l’expia pour ses élus. Le 6 Avril 30, 17ème jour du mois, jour du sabbat, la semaine prophétisée s’acheva. Le lendemain, au matin du « soldi » 7 Avril, ressuscité, Jésus est apparu à ses élus. Cette résurrection renforçait la culpabilité du peuple hébreu incrédule, mais un sursis lui fut accordé jusqu’à l’automne 33, comme la leçon précédente l’a fait apparaître. Nous venons de voir l’utilité des chiffres 10, 14, 17, et 21 qui sont tous porteurs de leçons, mais ils n’ont pas priorité pour construire le calendrier de l’ordre du temps défini par Dieu. Celui-ci repose exclusivement sur sa déclaration d’Exode 12:2 vue au début de cette étude : « Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l'année ». Ainsi, dans la continuité de l’œuvre adventiste, poursuivant les efforts pour conserver la sanctification et la justification exigées par Christ, les derniers élus seront changés et glorifiés pour entrer le Mercredi 20 Mars 2030, dans la sainteté céleste du royaume de Dieu.
Paul et le repos prophétisé
Cette réflexion se fonde sur ce verset d’Héb.3:11 : « Je jurai donc dans ma colère : Ils n'entreront pas dans mon repos ! ». Guidé par l’Esprit, Paul comprit que le repos dont il était question concernait le repos obtenu par la paix du Christ. Ce raisonnement s’imposait parce que ceux qui étaient concernés par l’imprécation divine, les pères, connaissaient le repos du sabbat et le pratiquaient plus ou moins fidèlement. Il était clair que Dieu faisait allusion à un repos spirituel que l’élu chrétien trouve dans le pardon obtenu en Jésus-Christ. La logique de cet argument était indiscutable et elle était de nature à convaincre un Juif de se convertir à la foi du Christ.
Cependant, à son époque vers 4000 ans depuis Adam, Dieu ne lui a pas fait connaître le caractère prophétique de nos semaines de sept jours. Il ne vit donc pas le lien qui réunissait le sabbat hebdomadaire à la victoire du Christ sur le péché. Cette connaissance est notre tardif privilège car avant notre époque, elle aurait été cause de découragement pour ses serviteurs. Dieu a toujours voulu laisser ses serviteurs espérer vivre le retour du Christ à leur époque.
Héb.4:1 : « Craignons donc, tandis que la promesse d'entrer dans son repos subsiste encore, qu'aucun de vous ne paraisse être venu trop tard »
Deux mille ans après l’époque de Paul, ce verset conserve toute sa valeur, ceci d’autant plus que, cette fois, le temps accordé pour s’engager pour profiter de l’offre du Seigneur est aujourd’hui, réellement, court.
Les « Mille ans » célestes perdus à Milan
C’est en effet dans la ville italienne de Milan que s’est construite la trahison de la foi chrétienne qui l’a conduite à subir les châtiments des « sept trompettes » de l’Apocalypse. Ce message concerne l’époque « Smyrne » en laquelle pendant « dix ans » sous les persécutions terribles de l’empereur Dioclétien, les élus du Christ ont témoigné avec courage et abnégation pour la dernière fois de leur attachement à la pure vérité de la doctrine du salut en Christ. En pointant du doigt, cette terrible épreuve, l’Esprit du Christ, dirige notre attention sur les circonstances historiques qui lui ont mis fin.
Au bout de « dix ans » pendant lesquels Dioclétien a partagé son pouvoir avec un, puis deux autres empereurs associés, créant ainsi le régime de la « tétrarchie », Constantin 1er, le fils de l’un d’eux, les a combattus et vaincus. A l’occasion de sa victoire, dans la ville de Milan, il a mis fin officiellement par un décret daté de l’an 313, aux persécutions des Chrétiens, et ceci dans tout l’empire romain. C’est ainsi que nous pouvons retrouver dans l’histoire, la présence de cette dernière persécution de « dix ans », entre 303 et 313. Dans son message nommé « Smyrne », Jésus impute cette persécution au diable, Satan, confirmant ainsi son rattachement aux empereurs romains, les auteurs réels des faits. La paix obtenue fut appréciée par les pauvres gens martyrisés, mais cette paix allait bientôt porter des conséquences tragiques pour la foi chrétienne.
En 321 soit, huit ans plus tard, le 7 Mars, depuis sa ville de Milan, le même empereur Constantin 1er a promulgué un nouveau décret rendant le repos hebdomadaire du premier jour obligatoire. Que s’est-il passé entre ces deux dates ? Le diable a fait remarquer à l’empereur combien les choix individuels du jour du repos étaient dommageables et néfastes pour la prospérité de l’empire. Les Chrétiens se reposaient le septième jour pour le sabbat sanctifié par Dieu à cet usage, et les adorateurs du dieu astral païen romain honoraient le « Sol Invictus » romain soit, le jour du « Soleil Invaincu », le premier jour de la semaine divine observé par l’empereur païen lui-même. Dans tous les temps, ce problème resurgit, et les contraintes des dominateurs nivèlent ces différences en adoptant nationalement un jour de repos, religieux ou pas, unique. Dans l’histoire religieuse, ce fait est passé inaperçu, car l’arrêt des persécutions a eu pour conséquence la multiplication des fausses conversions dans la foi chrétienne. Et quand le nombre des faux Chrétiens est devenu majoritaire, la norme constantinienne est devenue le modèle dominateur à imposer.
En 538, par un décret impérial, Justinien 1er a donné au premier pape en titre, l’intriguant Vigile, la domination du christianisme universel, en même temps, Evêque de Rome. L’évêque de Rome élu légitimement par le peuple fut à cette occasion exilé et remplacé. Mais je le rappelle, le titre d’évêque n’était que celui de la reconnaissance d’un savoir et d’une connaissance religieuse réelle, qui ne lui donnait pas les pouvoirs d’un chef. Avec Vigile la norme change et celui qui siège à Rome devient le chef des autres évêques et des croyants de l’empire. C’est ainsi qu’avec le temps, la fausse foi chrétienne romaine est devenue la norme, donnant une fausse légitimité au jour du « Soleil Invaincu », rebaptisé depuis, jour du « Seigneur » soit, en latin, dies « Domenica » et en français « Dimanche ».
L’illégitimité du « Dimanche » romain est rendu visible par la pratique du sabbat conservée et observée, traditionnellement, en tout temps et toutes circonstances, par les Juifs dispersés dans les nations de la terre.
Comprends-tu, pourquoi devant cette usurpation religieuse, Dieu a multiplié ses châtiments sur les humains coupables ? Ce que l’histoire n’a pas relevé, Jésus le souligne et le révèle dans ses prophéties de Daniel et Apocalypse. Car la normalité religieuse chrétienne actuelle n’est pour Dieu que fausseté. Et l’humanité continue d’en payer le prix, et particulièrement depuis 2020 où la colère du Très-Haut a ciblé, la région de « Milan » ; là-même où le décret du 7 Mars 321 a été rédigé, faisant perdre à beaucoup d’appelés le droit de « juger les morts » pendant « mille ans », dans le royaume de Dieu où on n’entre que par le chemin de vérité enseigné par Jésus-Christ. Le 14 Mars 2020, le fléau divin nommé Covid-19 a frappé la ville de Bergame située au nord-est de Milan, exterminant les communautés religieuses des cloitres de la région, et faisant 6000 morts dans cette seule zone. Les habitants de la contrée ont demandé pourquoi un tel drame les a frappés. La réponse est dans les dates, le 14 Mars 2020 fut la réponse de Dieu à l’outrage du 7 Mars 321. Et pour les habitants concernés, l’heure est venue d’appliquer ce sage conseil de Dieu transmis par Salomon, dans Ecc.7:14 : « Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, réfléchis : Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que l'homme ne découvre en rien ce qui sera après lui ». La réflexion encouragée doit conduire les victimes à réaliser que, pour sa part, Dieu ne se résigne pas à accepter les outrages qui lui sont faits. Et au temps choisi par lui, il réagit et exprime sa juste colère. Bien que mortelles, les conséquences de ses fléaux constituent des signaux avertisseurs précieux qu’il adresse aux pécheurs, mais aussi, à ses élus eux-mêmes. Avec le fléau de la Covid-19, Dieu signale son entrée en action. Il sort d’un silence qui a permis aux humains occidentaux d’oublier jusqu’à son existence. Aussi, son « réveil » est marqué par de puissants effets. Mais bien que mortel, le fléau Covid-19 n’a pas vocation à exterminer les hommes. Il vient surtout confirmer aux élus l’approche des événements prophétisés pour le « temps de la fin ». Et des leçons précieuses se dégagent dans cette expérience d’épidémie mondiale. Epouvantés par le risque mortel, les hommes s’accusent les uns les autres, et on tient pour responsables ceux qui ne veulent pas être vaccinés pour diverses raisons personnelles. Deux positions parfaitement logiques s’opposent de manière irréconciliable. Et relevons le, cette opposition est celle de la foi religieuse contre la science sanitaire laïque athée humaniste. Dieu nous propose de voir en ces comportements, le type même des réactions que les derniers rebelles auront envers les fidèles observateurs du sabbat, réfractaires et opposés à l’obéissance du repos romain du « premier jour » imposé mondialement aux survivants du dernier conflit terrestre nucléaire. L’intérêt individuel devra s’effacer devant l’intérêt collectif. Et dans ce contexte final, les réfractaires seront punis de mort. Mais par son retour glorieux, Jésus retournera la mort contre ceux qui voulaient la donner. En Vérité ! Et là, en 2030, faute de fossoyeurs, les corps des derniers morts ne seront pas ensevelis, ils seront laissés en pâture aux oiseaux du ciel, les rapaces, parmi lesquels, en Europe, se trouvent les « milans » noirs ; ce terme « milan » trouve là un troisième rôle « macabre » qui contraste bien avec les « mille ans » du jugement qui sont, à partir de ce printemps 2030, la part des élus qui ont pu échapper aux conséquences mortelles du décret signé en 321 à « Milan » par l’empereur faussement converti, Constantin 1er, dit le Grand par tous ceux que Dieu juge, trop petits, eux-mêmes, pour entrer dans son éternité.
« Les travaux d’Hercule »
J’évoque sous cette expression la pharaonique difficulté que Dieu rencontre en notre temps moderne pour regagner les cœurs des êtres humains. Ils ont oublié son existence, ne se fondant que sur leur vue, ils vivent très bien sans lui. Il est vrai qu’à tout problème on peut attribuer des causes et les spécialistes sont là pour les expliquer. En fait, l’humanité du Noël 2021 se trouve dans l’état où les antédiluviens se trouvaient juste avant le déluge d’eaux. Déjà en 1992, huit personnes s’était présentées pour une seconde conférence que j’avais donnée dans un hôtel, avec pour sujet : « la Révélation de la Septième Heure ». En effet, huit personnes seulement embarquèrent dans l’arche salvatrice de Noé. La proclamation de la lumière divine qui venait expliquer clairement les prophéties n’intéressait plus personne, ni dans l’assemblée adventiste ni à l’extérieur d’elle. Depuis, cette lumière n’a fait que croître et en parallèle, dans le monde, l’iniquité a également cru. Au point que toutes les valeurs anciennes sont remises en cause. Sous la pression psychique des attaques virales, le peuple français, si fier de ses droits de l’homme, est devenu docile et manipulable, obéissant aux nouveaux devoirs que ses dirigeants lui imposent. Mais là encore, il y a une explication, de l’ancienne France, il ne reste que le sol, d’ailleurs lui-même souillé par l’usage immodéré des engrais et pesticides chimiques. Bien trop tard, des tentatives biologiques s’organisent, mais comme le temps perdu, les erreurs commises ne se rattrapent jamais. Un abîme s’est creusé entre les peuples occidentaux d’origines chrétiennes et le Dieu créateur. Pour renouer le dialogue et la relation, il suffit de s’intéresser de près à lui, car il n’attend du pécheur qu’une seule chose ; c’est qu’il le cherche. Dieu se laisse trouver par tous ceux qui le cherchent. Or, que constatons-nous ? Après deux années consécutives vécues dans la peur de la maladie et de la mort, nous n’entendons aucun cri de douleur monter vers Dieu ; l’espérance entière repose sur la science médicale. Les églises n’imputent pas au Tout-Puissant qu’elles sont censées représenter, ces fléaux viraux qui frappent les êtres humains sur toute la terre. Et c’est bien là la preuve que le mal est beaucoup plus faible que les dirigeants aveuglés les conçoivent. Si des millions d’hommes, de femmes, et d’enfants se mettaient subitement à mourir, le ciel serait assiégé de prières et d’implorations. Le mal n’est donc en réalité pas assez grand, pour réveiller la foi endormie ou absente.
L’inertie phénoménale du comportement des peuples explique pourquoi Dieu a fait allonger sur plusieurs siècles, la restauration des vérités dogmatiques chrétiennes qui étaient à reconstruire après le long règne ténébreux du faux christianisme catholique papal. Il s’est produit, pendant de longs siècles, un « lavage des cerveaux humains » dans le monde occidental. Aussi, l’impression graphique de la vérité biblique ne pouvait regagner les esprits humains qu’au fil de l’allongement du temps. La Bible coûtait cher et elle était rare. Les multitudes n’y avaient pas accès. Et l’œuvre de la Réforme a reposé sur des personnes riches et instruites. Le cas de Pierre Valdo en 1170 confirme la chose. Son cas mis à part, le savoir était entre les mains de ces gens riches, possiblement, cupides, cruels et corrompus comme Jean Calvin. Le petit peuple devait se contenter des miettes des choses qu’il entendait. Dès le début, après les actions du moine Martin Luther, le message essentiel retenu concernait le salut par grâce, opposé au salut par les œuvres inutiles, enseigné par l’église papale. La comparaison de l’écriture des « dix commandements de Dieu », de la Bible et de la forme réduite enseignée par les prêtres catholiques, permit de découvrir la suppression du second commandement par Rome. Il prescrit l’interdiction d’adorer et de se prosterner devant les créatures ; cette forme d’adoration n’étant due qu’à Dieu et lui seul. Ces deux vérités furent à la base de la foi Réformée. Mais l’inertie créée par la pratique séculaire du jour du repos romain empêcha les Réformateurs de découvrir la transgression du sabbat divin et surtout, son importance. Ils ignorèrent ainsi que cette transgression du jour sanctifié par Dieu était la cause du durcissement religieux qui les faisait souffrir jusqu’à les faire mettre à mort. Pour des gens incultes et ignorants, les jours qui se suivent se ressemblent tous et ce n’est que sur la base d’une habitude traditionnelle que le dimanche romain était pratiqué au titre de « jour du Seigneur ». Et il faut le remarquer, l’inculte et l’ignorance ne caractérisent pas le monde contemporains. Pourtant, dans cette société instruite, on réagit avec la même indifférence, mais avec une culpabilité intensifiée. Il faut vraiment être inspiré par Dieu pour découvrir l’importance du sabbat. Avant de devenir « adventiste », pratiquant protestant non baptisé, et après avoir lu entièrement la Bible, j’étais étonné du fait que la religion chrétienne n’ait pas conservé le sabbat juif pour son jour de repos hebdomadaire. Cet étonnement fut à la base de ma réelle conversion pour Jésus-Christ. La rencontre avec des Adventistes m’a dirigé vers le sabbat et le baptême. La cause de l’étonnement disparut ainsi grâce à la lumière adventiste. L’étude des prophéties et les réponses que Dieu en Christ m’a données m’ont qualifié pour l’action que je mène aujourd’hui pour lui. Un juste étonnement est à l’origine de cette métamorphose spirituelle. Il suffit de peu de chose, ce que Jésus appelle la foi et qu’il image par un grain de sénevé, pour que notre vie entière bénéficie de sa pleine lumière, fruit de sa grâce salvatrice. Au 16ème siècle, l’amour pour le Christ mort pour nos péchés suffisait pour obtenir sa grâce. A cette époque, Jésus n’exigeait pas d’autre « fardeau » comme il le dit dans Apo.2:24 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ». Il fallait l’aimer plus que notre propre vie et savoir identifier le camp du diable, son ennemi et le nôtre. Ces exigences divines demeurent encore en notre temps final, mais nous n’avons plus l’excuse de l’ignorance ; depuis 1843, et surtout 2018, des explications pour toutes ses révélations et les situations du monde actuel sont disponibles et parfaitement expliquées.
QUEL EST TON NOM ?
Juges 13:17-18 : « Et Manoach dit à l'ange de YaHWéH : Quel est ton nom, afin que nous te rendions gloire, quand ta parole s'accomplira ? L'ange de YaHWéH lui répondit : Pourquoi demandes-tu mon nom ? Il est merveilleux »
Le père du futur Samson n’obtint rien de plus, mais la réponse à cette question fut donnée à Moïse par le Dieu qui lui est apparu sous la forme d’un buisson ardent qui brûlait mais ne se consumait pas. L’expérience est relatée dans Exode 3. J’ai déjà souvent fait l’étude de ce sujet mais l’Esprit du Seigneur m’a fait découvrir aujourd’hui, le Vendredi 31 Décembre 2021, un aspect très important de ce récit. Cette nouvelle lumière repose sur la valeur chiffrée du nom de Dieu que les hommes devaient désigner selon son ordre par le tétragramme «יְהוָ֣ה » composé de quatre lettres de l’alphabet hébreu qui sont de droite à gauche, successivement, le « yod » dont la valeur numérique est 10 parce qu’il occupe la 10ème place dans cet alphabet ; puis vient un premier « Hé » dont la valeur est 5 pour les mêmes raisons et qui est le chiffre symbolique de l’homme ; puis le « wav » dont la valeur est 6 et chiffre symbolique de l’ange soit du diable ; et le nom s’achève par un second « Hé », ce qui porte le nombre total de l’addition de ces quatre lettres à 26 ; soit, 10 + 5 + 6 + 5. Je le précise, 26 est le nombre de lettres de l’alphabet français, c’est aussi le numéro du département français dans lequel Dieu m’a fait naître et vivre. Mais c’est également dans la ville où je vis qu’il instaura sa première église adventiste après la Suisse, pour propager sa lumière.
Quand il crée, le grand Dieu créateur ne se limite pas à la matière qu’il fait sortir du néant. Il est aussi d’une manière illimitée à l’origine des sciences mathématiques qui passionnent aujourd’hui des spécialistes qui n’hésitent pas à déclarer que la vie entière s’analyse et se construit sur des formules mathématiques. Je ne suis pas un spécialiste de cette science, mais je les approuve pleinement. Je regrette simplement, qu’ils n’attribuent pas cette science à son génial inventeur, le Dieu suprême. Mon approche des chiffres est uniquement spirituelle et c’est dans l’étude de sa « Révélation » que j’ai pu découvrir les messages cachés dans des chiffres et des nombres. Dieu a construit « Sa Révélation », et il la présente à ses élus. Sa compréhension repose sur celles des images, des lettres, et des chiffres qui la composent. Ce sont là, trois directions de pensées complémentaires qui forment ensemble une perfection harmonieuse uniquement divine et d’un concept tridimensionnel.
Dans ce contexte de fin d’année chez les humains de tradition romaine, les télévisions projettent sur le petit écran, des films qui accrochent le public enfantin et adulte. Et dans ce cadre, comme chaque année, le film des « Dix Commandements », tourné avec un énorme budget largement remboursé depuis sa première projection, vient d’être une fois de plus offert à nos regards ébahis. Car ce n’est pas le souci de glorifier la vérité qui fut la cause de sa création. Les producteurs américains ont compris l’intérêt d’exploiter à prix d’argent ce récit où le surnaturel est constant ; le cinéma permettant, par trucages habiles, de reproduire des scènes époustouflantes et impressionnantes comme l’ouverture de la mer rouge devant le peuple Hébreu acculé sur le rivage face à cette mer. Le film permet de passer un bon moment, mais j’invite ceux qui le visionnent à vite oublier la forme présentée pour retrouver, dans la Bible, le récit textuel de l’accomplissement réel de cette extraordinaire expérience. Depuis Adam et Eve et après Noé, jamais, Dieu ne s’est autant manifesté au côté d’un homme, Moïse, avec autant de puissance, d’effets, de résultats qui donnent à l’humanité le témoignage de sa réalité. Je reviendrai sur ce sujet, mais en premier, je reviens sur ce nom de Dieu que Moïse va découvrir sans avoir à lui demander : « Quel est ton nom ? ». Pour comprendre le comportement de Moïse, nous devons retenir du texte biblique le fait qu’il reçut dans son esprit l’influence opposée de deux cultures, celle de l’Egypte et celle des Hébreux auxquels il a toujours su appartenir contrairement au scénario du film. Aucun mystère sur son origine, la fille du Pharaon est en contact avec Myriam la sœur aînée de Moïse dès qu’il est découvert dans son panier flottant sur le Nil. Mieux, elle accepte de confier l’enfant à sa vraie mère, pour qu’elle l’allaite et le fasse grandir. Moïse a donc toujours su qu’il était hébreu et que les Hébreux étaient « ses frères ». Cependant devenu grand, selon le pacte établi avec la mère adoptive égyptienne, la vraie mère redonne Moïse à la fille de Pharaon qui le garde et l’élève « comme un fils » ; soit, avec tout l’amour et l’abnégation dont elle avait su faire preuve en le confiant provisoirement à sa vraie famille. C’est précisément, parce qu’il connaît son origine personnelle, qu’à quarante ans, il en vient à tuer un égyptien qui voulait tuer un de « ses frères hébreux ». Moïse est ainsi écartelé entre ses sentiments d’amour pour ses deux liens inconciliables ; une mère égyptienne digne de son amour et une mère du sang hébreu qui coule dans ses veines, tout autant digne de son amour. Et c’est justement le versement du sang qui l’oblige à privilégier l’origine de son propre sang. Dans son instruction, Moïse a reçu des Hébreux et des Egyptiens. Toutes ces croyances contradictoires ont besoin d’être triées et sélectionnées. Aussi, réfugié à Madian, Moïse, devenu gardien des troupeaux de son beau-père Jéthro, le Madianite, descendant du dernier mariage d’Abraham, découvre au Sinaï, Dieu qui se manifeste sous l’apparence d’un buisson enflammé. J’en profite pour tordre le cou à un mensonge public qui situe ce Sinaï au sud de la presqu’île égyptienne, alors que le vrai Sinaï se trouve à proximité de Madian à l’orient du bras oriental de la mer rouge, en Arabie, dans un lieu réellement désertique montagneux ; ce que confirme Gal.4:25 : « car Agar, c'est le mont Sinaï en Arabie, et elle correspond à la Jérusalem actuelle, qui est dans la servitude avec ses enfants ». Détail important, le crime commis par Moïse fut découvert et il lui fut attribué par le Pharaon. C’est donc pour échapper à cette colère égyptienne qu’il s’enfuit hors de l’Egypte. L’action le portait à s’appuyer sur ses origines hébraïques et le préparait ainsi à rencontrer réellement le Dieu de ses pères. Dans son esprit, Moïse se posait beaucoup de questions au sujet de ce Dieu invisible et déroutant. La question « Quel est ton nom ? » résume toute ses interrogations mentales non formulées. Elle prend alors plusieurs sens. En Egypte, le peuple de sa mère adoptive honorait de nombreuses divinités sinon inefficaces, pour le moins, invisibles. Mais le Dieu de ses frères l’était tout autant. De plus, s’appuyer sur lui, alors que ses enfants étaient livrés à la servitude de l’esclavage dur et meurtrier ne parlait pas en sa faveur. Les questions qu’il se posait étaient celles que se pose un homme en recherche de compréhension, tant la situation religieuse était déconcertante. « Comment le vrai Dieu peut-il livrer son peuple à la haine égyptienne ? »
Relève dans ses réponses comment Dieu démontre qu’il connaît et sonde les pensées secrètes des êtres vivants angéliques ou humains.
Dès le premier contact vocal, Dieu tranquillise Moïse qu’il nomme par son nom et il se présente à lui selon sa formule, au titre de « Dieu de ses pères, d’Abraham, d’Isaac, et de Jacob ». Sa croyance est ainsi légitimée. Tout de suite après cette présentation, Dieu évoque la situation de souffrance de son peuple mis en esclavage. Exo.3:7 : « YaHWéH dit : J'ai vu la souffrance de mon peuple qui est en Égypte, et j'ai entendu les cris que lui font pousser ses oppresseurs, car je connais ses douleurs. » Moïse peut encore là être rassuré, l’inaction de Dieu jusqu’à ce moment avait donc un sens. Et un but, que le verset suivant révèle : «Je suis descendu pour le délivrer de la main des Égyptiens, et pour le faire monter de ce pays dans un bon et vaste pays, dans un pays où coulent le lait et le miel, dans les lieux qu'habitent les Cananéens, les Héthiens, les Amoréens, les Phéréziens, les Héviens et les Jébusiens. » En dernier dans cette liste Dieu nomme les Jébusiens, la ville de Jébus deviendra sous le roi David la capitale du peuple hébreu nommée Jérusalem. La zone restera une enclave Jébusienne jusqu’à son règne.
Le programme de Dieu est ainsi clairement révélé à Moïse qui apprend alors qu’il va lui-même conduire son peuple dans sa marche vers la liberté divine.
Le verset suivant dit : « Moïse dit à Dieu : J'irai donc vers les enfants d'Israël, et je leur dirai : Le Dieu de vos pères m'envoie vers vous. Mais, s'ils me demandent quel est son nom, que leur répondrai-je ? » Ce verset nous conduit à réaliser que depuis son installation en Egypte, la famille de Jacob avait gardé un caractère tribal avant tout et que cette nature caractérisait encore plus les Hébreux réduits à l’esclavage. Un esclave n’a aucun droit si ce n’est celui d’obéir aux maîtres pour survivre. Dans ce contexte, l’engagement religieux collectif n’est plus possible et le peuple esclave devra tout réapprendre ; tout ce qu’Abraham a laissé en témoignage pour sa descendance et ce que Dieu viendra y rajouter. Moïse n’a pas reçu lui-même la connaissance du nom du Dieu de ses pères et sa formation intellectuelle le conduit à demander sous « quel nom » il va devoir l’annoncer à ses frères hébreux. Jusque-là, Dieu ne s’est jamais désigné par un nom. Sa réponse vient dans le verset 14 : « Dieu dit à Moïse : Je suis celui qui suis. Et il ajouta : C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël : Celui qui s'appelle 'je suis' m'a envoyé vers vous. » En fait pour correspondre au texte hébreu, la réponse de Dieu est encore plus télégraphique : « Je suis qui Je suis ». Mais même cette traduction traditionnelle ne permet pas de rendre de manière précise la réponse réelle de Dieu. En premier, relevons que cette expression suggère un certain énervement en Dieu quand ce sujet est abordé. En se donnant un nom, Dieu accepte d’être mis en comparaison avec d’autres divinités inventées par le diable et les hommes, des divinités qui n’existent pas en dehors de lui. Son agacement est donc justifié. Cependant, décidé à se placer au niveau des possibilités humaines de son peuple, il consent à se donner un nom « imprononçable » par toute autre personne que lui-même. Pour comprendre ce message, la lecture du texte hébreu est indispensable. Voici le verset hébreu d’Exode 3:14 : «וַיֹּ֤אמֶר אֱלֹהִים֙ אֶל־מֹשֶׁ֔ה אֶֽהְיֶ֖ה אֲשֶׁ֣ר אֶֽהְיֶ֑ה וַיֹּ֗אמֶר כֹּ֤ה תֹאמַר֙ לִבְנֵ֣י יִשְׂרָאֵ֔ל אֶֽהְיֶ֖ה שְׁלָחַ֥נִי אֲלֵיכֶֽם׃ ». Explications : les trois mots soulignés sont « Je suis qui Je suis ». Dans ces trois apparitions, le nom de Dieu commence par la lettre « aleph » ; « א ». Et cette lettre représente dans la conjugaison de l’hébreu, la première personne du singulier soit, en français « Je ». Ce pronom personnel, « Je », ne peut être revendiqué que par Dieu seulement, c’est pourquoi le nom que ses créatures vont prononcer va devenir sur son ordre, « YaHWéH » soit, « יְהוָ֣ה ». Le « aleph » du début du verbe est remplacé par le « yod » qui désigne la troisième personne du singulier dans la conjugaison des verbes hébreux soit, le pronom personnel « il ». C’est donc en connaissance de tous ces détails que vient maintenant la grande lumière promise pour cette étude.
Elle repose sur la valeur des nombres. Le nom de Dieu que les hommes peuvent prononcer, et qui débute par le « yod », avait pour valeur entière le nombre 26. Mais celui que Dieu seul peut prononcer, et qui débute par un « aleph » dont la valeur numérique est « 1 », a pour valeur entière, 1 + 5 + 6 + 5 soit, 17, le chiffre symbolique du jugement dans son Apocalypse. Ceci signifie que derrière le chiffre 26 qui lui est attribué quand son nom est évoqué par les hommes, se trouve le chiffre 17 par lequel Dieu se désigne lui-même confirmant son caractère de grand Juge universel. En fait, Dieu ne cesse pas de juger, le déroulement de son existence est une scène de jugement permanent collectif et individuel de toutes ses créatures. Il a gravé cette vérité dans son saint nom. Et ce nom imprononçable par l’homme l’est pour plusieurs raisons, et parmi elles, l’incompatibilité des règles grammaticales de l’Hébreu avec nos langues d’origines gréco-latines. Dans les temps des conjugaisons de l’hébreu le temps « présent » n’existe pas. Sa conjugaison repose sur le découpage principal binaire du parfait et de l’imparfait soit, l’action passée et l’action future. Mais apportant sa révélation en langue grecque, Dieu peut évoquer son nom en utilisant les trois temps du passé, du présent, et du futur, proposés dans cette langue. C’est ainsi que le grand Juge divin révèle son nom, en disant d’une manière adaptée à notre langue française d’origine gréco-latine, dans Apo.1:4 : « Jean aux sept Églises qui sont en Asie : que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était, et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône, ». « Celui qui est, qui était, et qui vient », la formule est renouvelée dans Apo.1:8 : « Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant. ». Le nom prononçable, mais intraduisible, est ainsi traduit et bien rendu, quant au nom imprononçable, tu en partages avec moi, aujourd’hui le secret caché : Dieu est le seul « Juge » que les hommes doivent craindre et apprendre à aimer. Car tout le projet qu’il a mis en route vise à « juger » entre pécheurs rebelles et élus fidèles, afin d’obtenir à la fin ce qu’il a voulu obtenir : l’amour librement éprouvés par ses élus fidèles. Le grand voyage éternel pourra alors se prolonger sans l’ombre d’un problème. Il cessera de juger et de condamner.
Et puisque sans son « yod », mais avec le « Aleph », le saint nom révèle Dieu comme le « Juge suprême », il n’est pas étonnant que le livre de Daniel, nom qui signifie « Dieu est mon Juge », ait été écrit pour préparer la découverte du « jugement » divin révélé en détails dans son Apocalypse, sa très sainte « Révélation ». Car c’est dans cette « Révélation » que Dieu révèle les clés de tous ses codes basés sur des images, des mots, et des chiffres. Le sujet porté dans chaque chapitre est en harmonie avec le chiffre qu’il porte selon sa signification dans le code chiffré de Dieu. Celui qui apparaît en premier est, bien sûr, le chiffre 7 qui désigne la sanctification divine, et par extension, le lien religieux établi, ou pas, avec lui. Ainsi, opposé au camp du « 7 » divin, nous trouvons le camp romain et ses « 7 têtes » d’Apo.12:3, 13:1 et 17:3. De la sorte, dans Apo.13, la véritable sanctification est remplacée momentanément par la fausse sanctification du régime papal romain entre 538 et 1798 et pour tous ceux que Dieu livre à ses ténèbres, jusqu’en 2030.
Dans le nom de Dieu, YaHWéH, la succession des trois dernières lettres conservées dans les deux formes du saint nom, les lettres HWH soit, 5 + 6 + 5, résument le programme conçu par Dieu, car le thème d’Apo.5 concerne « Jésus-Christ, le fils de l’homme ». Entre les deux « 5 » qui le concernent, le chiffre 6 de la lettre « wav » image la victoire apparente provisoire du diable longtemps dominateur des peuples terrestres. Mais destiné à la défaite et la mort, le diable a déjà été et sera finalement vaincu par Jésus-Christ. C’est ce qu’annonce le dernier « 5 », par lequel le saint nom de Dieu s’achève. Toutes les démonstrations nécessaires ayant été faites, la victoire divine annoncée sera complète.
Dans l’hébreu, la lettre « aleph » est la première de l’alphabet et le premier mot formé par cette lettre est « ab » qui signifie père. Le chiffre 1 qui la caractérise est donc symbolique de l’unité parfaite du Dieu créateur, l’Esprit du Père de toute forme de vie. Sans aucune surprise pour lui, les problèmes ne sont apparus que par la création des vies libres de ses créatures. Mais la solution du problème de la liberté était, elle aussi, déjà prête et programmée, elle aurait un nom : Jésus-Christ. Et la succession des chiffres 1 + 5 + 6 + 5 proclame la venue sur terre du Père (1) parti « en vainqueur (5) et pour vaincre (5) » le diable (6) et ses péchés. En vérité !
Le chemin, la vérité et la vie
Jésus nous a laissé cette déclaration célèbre connue par des multitudes de Chrétiens, dans Jean 14:6 : « Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » Dans ce verset, Jésus nous résume tout le plan du salut qu’il a conçu en Père, créateur de toute vie. Il le fait reposer sur trois étapes qui sont successivement 1- le moyen ; 2- la norme ; 3- le but final.
Le chemin est-il le but principal ? Non, cependant il reste le moyen incontournable pour quiconque veut atteindre le but final qui est la vie éternelle.
La vérité est-elle le but ? Non, pas plus que le chemin, cependant entrer dans sa norme, sa conformité, est indispensable pour quiconque veut obtenir le but final qu’est la vie éternelle. La compréhension de ce mot vérité devient donc salutaire. Sans entrer dans des détails qui compliquent les choses au grand plaisir du diable, comprends que la vérité c’est la norme que Dieu donne à la vie dans tous ses aspects. La vérité c’est sa conception des conditions qui offrent la possibilité du bonheur partagé. Et quiconque conteste ses conceptions de la vie se rend pécheur et inadapté pour vivre sous son regard pendant l’éternité. C’est en agissant ainsi que le premier vis-à-vis de Dieu s’est disqualifié pour vivre éternellement dans sa présence. Jésus a dit aussi dans Jean 8:32 : « vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira.». Il voulait dire qu’avec son aide, en obéissant à la loi divine, les pécheurs allaient trouver dans l’obéissance à Dieu, la liberté à l’égard de l’esclavage du « péché » qui est « la transgression de la loi » selon 1 Jean 3:4. C’est pourquoi, le sens de ce mot liberté doit être bien compris, car pour Dieu la vraie liberté n’existe que dans l’obéissance à ses concepts de vie. Il n’existe pas de troisième chemin pour l’homme pécheur par hérédité. Selon Deu.30:19, Dieu a mis en face de lui, deux uniques chemins dont l’un est l’unique, qui conduit à la vie, et l’autre, l’inique, qui conduit de manières multiples à la perdition et la mort éternelle soit, définitive ; l’être entier, corps et esprit étant définitivement anéanti.
Nous retrouvons dans cette triple association du « chemin », de la « vérité » et de « la vie », les trois phases du projet sanctificateur établi par Dieu. La sanctification de l’appelé par le moyen du sang versé par Jésus, sa sanctification par la norme de l’obéissance aux lois et principes approuvés par Dieu, et en dernier en salaire ou récompense finale, la sanctification de la glorification de l’appelé qui, accédant au statut d’élu, peut entrer dans la vie éternelle.
La justification par la foi oubliée
Jésus-Christ a, lui-même, tenu ces propos, en partie, inquiétants, dans Luc 18:7-8 : « Et Dieu ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tardera-t-il à leur égard ? Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »
Je ne doute pas un instant que Jésus trouvera la foi sur la terre quand il viendra, et ceci, parce que dans ce verset 7, il prophétise l’injustice qui persécutera ses derniers élus. Cependant la question qui se pose est la suivante : en quelle qualité et en quelle quantité ? Car il en est de la foi comme il en est du vin produit par la terre ; beaucoup de vignes et de vignerons, mais de quelles qualités ? Les bons vins sont rares et chers, et la vraie foi l’est tout autant et donc extrêmement appréciée par Jésus-Christ le Dieu Tout-Puissant, son Consommateur. Je reprends ici un sujet maintes fois abordé, celui de la « justification par la foi » et afin de le rendre encore plus compréhensible, je vais lui donner en parallèle une autre définition : « la justification par la sagesse », la forme religieuse de l’intelligence ; ceci en toute légitimité puisque Dieu déclare dans Dan.12:3 : « Et les sages brilleront comme la splendeur de l'étendue, et ceux qui ont enseigné la justice à la multitude, comme les étoiles, à toujours et à perpétuité.» Car il se trouve que dans ce mot « foi » chacun met tout ce qui constitue ses convictions personnelles ; ce qui caractérise, précisément, la fausse foi, bien aidée en cela par les mauvaises traductions des textes grecs originaux de la Bible. Rom.14:23 en est un exemple trouvé dans la version de Louis Segond : « Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu'il mange est condamné, parce qu'il n'agit pas par conviction. Tout ce qui n'est pas le produit d'une conviction est péché.» La bonne traduction nous est proposée dans la version J.N.Darby sous la forme : « mais celui qui hésite, s'il mange, est condamné, parce qu' il n'agit pas sur un principe de foi. Or tout ce qui n'est pas sur le principe de la foi est péché. » Or la foi, est un principe uniquement défini par Dieu pour exprimer ses convictions divines personnelles sur ce que doit être le comportement idéal de ses créatures. Et dans le cas de ce verset, la foi prescrit ce qui est consommable ou ne l’est pas dans Lév.11, mais déjà l’idéal fut prescrit par Dieu dès la fondation du monde, dans Gen.1:29 : « Et Dieu dit : Voici, je vous ai donné toute plante portant semence, qui est sur la face de toute la terre, et tout arbre dans lequel il y a un fruit d'arbre, portant semence; cela vous sera pour nourriture. »; Je ne saurai dire à quel point mon choix d’obéir à cet ordre me comble de joie et de satisfaction. Et ma santé physique et mentale en est la première bénéficiaire. La vraie foi s’empare de toutes les valeurs que Dieu approuve et bénit. Mais pour agir ainsi, l’être humain doit apprendre à la connaître et pour atteindre ce but, il ne faut pas se tromper au sujet du moyen. Car au titre d’Ecritures saintes, plusieurs choix sont proposés ; ceux des différentes versions des Bibles et celui du Coran. Le choix de l’intelligence soit, celui de la vraie foi, est en faveur de la Bible des Juifs que Dieu a créée en la faisant écrire au fil du temps pour en faire la dépositaire de ses oracles. Les preuves de ce choix se trouvent dans les récits bibliques eux-mêmes. Les « deux témoins » bibliques, l’ancien et le nouveau, se rendent mutuellement témoignage. Ils sont historiquement à l’origine de la foi du Dieu unique. Il ne s’agit donc pas de croire « à » mais de croire « en » ce Dieu qui possède seul l’immortalité ; ce qui signifie croire en la vérité portée et incarnée dans la personne divino-humaine de Jésus-Christ. Car la croyance « à » son existence n’est que la conséquence de la véritable intelligence donnée aux hommes élevés au-dessus des bêtes, les animaux qui n’ont, eux, reçu de Dieu que l’instinct de conservation dont l’homme profite également. Cependant le développement de son intelligence peut selon son caractère moral, de manière paradoxale, le priver du bénéfice de cet instinct de conservation. Le choix opéré par le diable et l’entêtement de sa rébellion contre Dieu en a donné la preuve. A la différence de l’animal, l’homme raisonne, il calcule, il déduit et tire des leçons des expériences. Et toutes ses facultés intellectuelles devraient, normalement, le conduire à comprendre qu’il ne peut exister d’intelligence sans un être intelligent qui l’ait créée. Le hazard peut-il créer le bon goût ? S’est-il soucier d’offrir d’agréables odeurs pour les nez humains ? Le penseur Pascal l’avait dit en prenant l’image d’un tableau qui a obligatoirement à son origine l’œuvre d’un peintre. En dehors de ce raisonnement simple et logique, la pensée humaine et diabolique peut imaginer des multitudes de concepts philosophiques aussi faux et mensongers que nuisibles.
L’annonce inquiétante faite par Jésus est aujourd’hui entièrement confirmée. Et la chose est remarquable, toutes les dernières lumières reçues du ciel aboutissent dans l’esprit d’un homme qui vit au milieu d’un pays où l’athéisme domine : la France républicaine détournée de Dieu par les écrits de ses maitres penseurs rebelles, « ses lumières » humanistes. En sorte que les dernières vérités, restaurées ou nouvelles, offertes par Jésus-Christ fleurissent dans un désert spirituel, dans lequel, côte à côte, deux départements en forme de poumons portent les chiffres religieux symboliques « 07 » et « 26 ». Les deux profitent de l’arrosage du fleuve Rhône qui circule entre eux du nord vers le sud. La région produit les fruits de ses nombreux vergers, et à l’emplacement du cœur se trouve la ville de Valence, premier fief historique adventiste français, où j’ai reçu le baptême en totale immersion à l’âge de 36 ans. La sainteté ne se trouve que là où Dieu la place, et ce fut son choix de faire mourir le pape Pie VI prisonnier dans cette ville en 1799, pour accomplir ce fait prophétisé dans Apo.13:3 : « Et je vis l'une de ses têtes comme frappée à mort ; et sa plaie mortelle avait été guérie ; et la terre tout entière était dans l'admiration de la bête. ». Et ce fut encore son choix d’y faire séjourner le futur empereur français Napoléon 1er, pendant sa formation d’officier artilleur ; Napoléon 1er, « l’aigle » d’Apo.8:13 : « Et je vis: et j'entendis un aigle qui volait par le milieu du ciel, disant à haute voix: Malheur, malheur, malheur, à ceux qui habitent sur la terre, à cause des autres voix de la trompette des trois anges qui vont sonner de la trompette ! » Qui peut dire que le chiffre « 26 », nombre du nom de Dieu « YaHWéH » (YHWH=10+5+6+5) prononcé par l’homme et numéro du département de la Drôme, ne représente rien à ses yeux ? Mais hélas, pour abattre « la bête qui monte de la mer » dans Apo.13:1, « bête » qui désigne la coalition de la papauté romaine avec la monarchie française son soutien armé principal depuis son premier roi Clovis 1er, Dieu a fait appel à la « bête qui monte de l’abîme », dans Apo.11:7 » ; laquelle désigne la Révolution française et son athéisme sanglant des années « Terreurs » 1793-1794. Comme Apo.13:4 l’avait prédit, « la plaie mortelle » de « la bête » allait être « guérie », et la foi catholique, cette fausse foi chrétienne, a pu se développer et multiplier ses adeptes avec d’autant plus de facilité qu’elle les enrôle dans leur berceau, en les baptisant à l’état de « bébés » tout de suite après leur naissance. Je remercie Dieu de m’avoir épargné cette expérience pratiquée dans la fausse foi catholique et la fausse foi protestante. Car, beaucoup de créatures sont piégées en donnant à ce baptême, pourtant non choisi, une valeur réelle. Je leur rappelle que, seules, celles qui croiront et qui seront baptisées seront sauvées. Et la foi est une affaire d’adulte et un fruit de sagesse, comme Daniel l’a enseigné ; le « bébé » n’est donc pas qualifié pour la démontrer. De plus, en en faisant le fruit d’un choix adulte, Dieu fait du baptême un choix qui engage et responsabilise, le baptisé. Car s’engager pour Dieu n’est pas sans risque et je le rappelle après Jésus et Jacques, les croyants seront « plus sévèrement jugés » que les incroyants. Matt.23:14 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous dévorez les maisons des veuves, et que vous faites pour l'apparence de longues prières; à cause de cela, vous serez jugés plus sévèrement.» Jac.3:1 : « Mes frères, qu'il n'y ait pas parmi vous un grand nombre de personnes qui se mettent à enseigner, car vous savez que nous serons jugés plus sévèrement. »
Ainsi, dans un désert d’irréligiosité, depuis 2018, l’Islam zélé est venu bousculer la norme athée du peuple français. Le concordat signé par Napoléon n’avait pas prévu les difficultés conséquentes de ce nouveau cas de figure. Car à l’époque de Napoléon, le concordat visait à établir des règles républicaines acceptables et adaptées pour les seules religions chrétiennes catholiques, et les protestantes en faible représentation en France. Un heurt imprévu, tel celui du Titanic en 1912 contre un iceberg, est venu dresser la foi fanatisée de l’islam contre l’athéisme. Ces deux représentations extrêmes étant l’une et l’autre coupées du grand Dieu créateur Jésus-Christ, le grand Juge des univers prépare la destruction de multitudes d’âmes dont les vies ne sont pas dignes d’être prolongées. Les « vases de terre » inutiles vont être impitoyablement « brisés ». Mais au milieu de ce carnage, il saura préserver l’intégrité des « vases d’honneur » qui lui appartiennent, parce qu’ils lui sont précieux, et parce qu’ils représentent sa gloire. Et la gloire de Dieu c’est la vraie foi de ses élus soit, leur parfaite adaptation au modèle idéal de sa conception divine et humaine.
Nul ne peut dire à quelle hauteur, individuellement, Dieu place, dans son jugement, le niveau de son exigence, mais nous sommes tous confrontés à son témoignage biblique dans lequel nous pouvons tous découvrir ce qui est à ses yeux, agréable, bon et parfait. Qui va déployer son zèle, pour devenir le champion de l’obéissance, et le « chouchou » du divin Maître de la fidélité dans l’amour ? C’est le combat de la foi, la vraie, dans lequel les apôtres du Christ se sont engagés et nous ont précédés jusqu’à ce jour du 3 Janvier 2022.
« La justification par la foi », ou « justification par la sagesse », permet d’identifier les cibles visées par les plaies divines. Ce sont tous ceux et celles qui méprisent ou exploitent faussement les enseignements de la Bible qui est représentée par ses « deux témoins » de l’ancienne et la nouvelle alliance, comme l’indique Apo.11:3 ; les deux ayant construit, de manière complémentaire, le message prophétique apporté aux Bienheureux élus de Jésus-Christ, les derniers dissidents adventistes du septième jour trouvés zélés et fidèles qui attendent son glorieux retour pour le printemps 2030.
« AUX LARMES CITOYENS ! »
Le temps de l’insouciance et des rires est terminé. Les ripailles et les somptueux festins étaient d’un autre temps. Et pour obtenir ce changement, le grand Dieu créateur n’a eu qu’à exploiter les séductions des nouveaux serpents appelés « science » et « culture », pour punir la société incrédule et ingrate ou incroyante séduite par ses prodiges et ses prouesses. Dans l’Occident dominé par le capitalisme froid et cynique, le plaisir de la consommation effrénée occupait les pensées des peuples. Mais voici que, depuis le début de l’année 2020, tout a été changé. Après le « Sida » tueur, l’apparition du coronavirus contagieux, le Covid-19, a fait cesser la norme habituelle de la vie jusque là faite de sorties et de chaudes rencontres amicales ou amoureuses. La distanciation est maintenant imposée et après avoir subi les conséquences des multiples adultères et les innombrables divorces dus à l’égoïsme, la cellule familiale des êtres humains éclate en morceaux qui s’éloignent les uns des autres à l’image de l’explosion d’une étoile dans le cosmos. Cependant, en France, un tel changement ne pouvait s’accomplir que par l’arrivée au pouvoir d’un jeune président, né sous la cinquième République et ce détail est lourd de conséquences. En 1958, l’adoption de cette Constitution proposée par le général De Gaulle fut dénoncée comme une dictature déguisée, par toute l’opposition politique de l’époque. C’était bien une dictature, finement organisée, le dictat étant obtenu par le soutien d’une majorité législative au service du nouveau prince élu. Malgré la résistance des vrais républicains de la quatrième République, la constitution de la cinquième fut adoptée. Pendant longtemps, dans le temps de sa prospérité, la France n’en a pas souffert. Elle ne posa pas de problème, mais alors que la pensée des Français était absorbée dans les diverses formes de la consommation, les présidents successifs ont engagé le pays dans des décisions et des directions funestes sur le long terme. Et celui-ci concerne notre époque, en laquelle, la nécessité de s’accorder avec les autres nations de l’Europe prive le président de la France de la possibilité de prendre des mesures pour favoriser son pays. Dans l’Europe unie, et ouverte à de nombreuses sources d’immigrations, les difficultés du monde viennent s’implanter et alourdir la charge des peuples déjà ruinés par la destruction des emplois suite aux délocalisations intra et extra-européennes. Et dans ce contexte où tous les peuples se fournissent en Chine, d’où il est également sorti, le virus Covid-19 provoque des effets secondaires imprévus : la désunion entre ceux qui se font vacciner et ceux qui ne veulent pas l’être. Comme si le sujet religieux et la politique ne suffisaient pas, voilà que le vaccin vient encore fractionner la société française. Elle avait bien besoin de ça !
Chacun trouve des raisons de justifier sa position. Le plus grand nombre, que j’appelle « les moutons », ignore ce verset de la Bible cité dans Jér.17:5 : «Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son cœur de YaHWéH ! ». Tous ceux-là sont convaincus par les arguments présentés par les scientifiques et les scientistes de la santé. Pourtant, ils ont tort car ils ne tiennent pas compte de l’existence de Dieu et se trompent en toute chose sur les vraies valeurs de la vie. Je sais par expérience qu’avec la plus grande volonté et toute la prudence nécessaire, j’ai souvent détruit des choses que je voulais réparer. Ce même risque s’applique à la santé des hommes. Et injecter dans le corps des molécules qu’il ne fabrique pas lui-même est loin d’être anodin et peut avoir les effets du poison à plus ou moins long terme. Victime des brimades imposées par la gouvernance scientifique et politique, les vaccinés imputent leur privation de liberté à ceux qui refusent le vaccin. Ils oublient que la situation est créée par les décisions des dirigeants. Mais ne pouvant ou ne voulant rien reprocher à ce dictat politique sanitaire, évitant de contredire les autorités, ils préfèrent diriger leurs ressentiments contre ceux qui ne partagent pas leur avis. Les moutons sont aussi des lâches et avant tout des esprits manipulables.
Dans l’autre conception, celle de ceux qui analysent et réfléchissent par eux-mêmes, le problème est vu différemment. Le vaccin ne sert plus qu’à obtenir le droit de vivre plus librement. Il ne protège pas à 100% du Covid, il n’empêche pas sa contamination, mais il réduit le risque des cas aggravés par la morbidité de l’âge et des maladies engendrées par les mauvaises habitudes apparues dans la vie moderne (tabac, alcool, drogues, …). Malgré 90% de gens vaccinés, des non-vaccinés entrent en hôpital et y meurent. Cette situation me fait penser à la méthode adoptée dans la culture biologique. Sur une parcelle entière semée, l’immense majorité de la surface est très légèrement traitée par des insecticides biologiques, et une petite partie de l’ensemble n’est absolument pas traitée ; elle est abandonnée aux insectes. Et le principe fonctionne parfaitement bien car entre la zone légèrement traitée et la zone non traitée, les insectes ne s’y trompent pas. Ils délaissent la zone traitée et se ruent pour se rassasier sur la zone non traitée. Notre Covid-19 fait de même. Il envahit le corps non-vacciné, ne trouvant que rarement la défense immunitaire naturelle capable de le neutraliser. Car l’humanité actuelle vit sous la loi chimique inventée par les USA depuis l’année 1945 jusqu’à aujourd’hui. Pour l’heure, le corps non-vacciné l’attire, mais il se peut que cette attirance soit amplifiée par son adaptation progressive aux anticorps créés chez les gens vaccinés. Le principe a été constaté pour les médicaments antibiotiques dont l’efficacité s’est affaiblie, et dans certains cas, n’a plus aucun effet. Dans un entêtement humaniste, le président Macron pense que la vaccination de tout son peuple peut mettre fin à la vie du virus. Sans me tromper, j’affirme que c’est une illusion et ceci pour plusieurs raisons. En supposant que tout le peuple soit vacciné, que fait le Covid ? Il mute et s’adapte aux anticorps qui le combattent, et reprend le combat sous une nouvelle forme encore plus agressive et contagieuse. Dans cette guerre qui lui est menée, le jeune président subit la puissance destructrice du grand Dieu créateur qui seul, est en mesure de faire cesser son fléau du moment. Mais ayant connu son projet, je sais qu’il n’a pas l’intention de le faire. Car déjà, dans l’anonymat de son invisibilité, il prépare les châtiments suivants. La majorité des êtres humains est incapable d’accepter l’idée d’être entrée dans une phase de destruction progressive de toutes les vies humaines dispersées sur la terre. Le Covid-19, et sa faible mortalité, n’est que le signe du commencement de cette hécatombe universelle programmée. Où sont les droits de l’homme ? Où sont les cris qui s’élèvent contre le génocide organisé par Dieu ? Réalises-tu combien notre époque ressemble à cette confrontation entre Pharaon et ses magiciens, et Moïse, Aaron et le Dieu Tout-Puissant ?
Parmi ceux qui refusent le vaccin, beaucoup font confiance à leur état de santé physique, car ils ignorent que c’est Dieu qui utilise le virus qui tue et bouleverse la situation économique, sociale et politique de l’humanité entière. Il se trouve que ni l’immunité naturelle, ni le meilleur état physique, ni les vaccins ne protègent pas contre le jugement de Dieu. La mort va frapper quiconque n’est pas réellement protégé par le sang expiateur de Jésus-Christ. Après le temps des rires, va succéder, maintenant, le temps des larmes, et déjà partout sur la terre des familles endeuillées pleurent leurs morts disparus soudainement. Au temps de Pharaon, les familles égyptiennes firent de même et à leur tour, les Hébreux ont pleuré leurs morts tombés dans le pèlerinage du désert pendant 40 ans, et chaque fois que Dieu l’a ensuite châtié pour ses péchés. C’est ici que je dois revenir sur ce critère qui est si fondamental pour comprendre ce que nous vivons. Tous nos gouvernants sont jeunes et ont grandi dans la 5ème République, qu’aucun parmi tous les hommes politiques qui se sont succédés n’ont jamais remise en question. Cette dictature déguisée en démocratie était et est encore regardée comme un modèle exemplaire de démocratie pour la seule et unique raison que nos monarques successifs ont laissé au peuple le droit de jouir de sa liberté, dans les plaisirs et la débauche. Dans ce climat d’insouciance, les riches pouvaient s’enrichir encore plus et les pauvres tenter leur chance au Loto et au PMU. La jeunesse « macronienne » (quasi-anagramme = ma connerie) est donc incapable de considérer le pouvoir autrement que dans sa forme absolue de cette 5ème République. Pour Dieu, le chiffre 5 est celui de l’homme. Il marque l’apogée de cette gouvernance humaniste de la France républicaine et dans l’indifférence générale, il a replacé le peuple français dans les conditions de l’ancien régime royaliste ou celui de l’empire, autoritaire, mais ouvert et accueillant. Le président Chirac fut à l’origine de cette expression : la pensée unique. Ce fut le cas pendant environ 70 années après la Seconde Guerre Mondiale. Le peuple brisé par l’Allemagne nazie est resté servile et docile dans tous les domaines, politiques et économiques, jusqu’à nos derniers jours, où le jeune chef d’Etat est confronté à des problèmes incessants et insolubles qui le rendent irritable et de plus en plus agressif ; aujourd’hui plus qu’hier mais moins que demain, jusqu’à être, lui-même, brisé et détruit, quand Dieu trouvera bon de le faire. Et de même, pour le peuple de France et ceux du monde, le pire est encore à venir. Les larmes n’ont donc pas fini de couler. « Aux larmes Citoyens ! » Car le comportement orgueilleux de la jeunesse dirigeante rend la remise en cause des décisions qu’ils ont prises, impossibles. Aussi longtemps qu’elle ne prend pas conscience de l’action conduite par Dieu, elle ne peut raisonner que sur ses bases et connaissances scientifiques. L’opposition entre vaccinés et non-vaccinés a donc une cause religieuse ignorée dans les deux camps. Le Créateur donne ainsi une cause à son œuvre séparatrice et désunificatrice. Les peuples pour lesquels « la lumière n’est que ténèbres et les ténèbres, leur lumière », sont soumis à un faux diagnostic en raison de leur total aveuglement causé par leur impiété et leur mépris de Dieu et ses puissantes révélations.
Nous lisons dans Amos 3:6 : « Sonne-t-on de la trompette dans une ville, Sans que le peuple soit dans l'épouvante ? Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ? » Ce verset désigne deux choses qui concernent doublement notre actualité. La première concerne la « trompette » qui va sonner sous peu pour la « sixième » fois dans le projet révélé par Dieu dans son Apocalypse, dans Apo.9:13. Elle va sonner, cette fois, non « dans une ville », mais sur l’Europe entière et sur toute la terre. Cette explosion de colère du Christ crucifié méprisé, universellement, est illustrée par les « quatre cornes de l’autel d’or qui est devant Dieu ». En réponse à ce mépris, il libère les mauvais anges, les démons, retenus selon Apo.7:1 à 3, depuis 1798, et encore en 1843. Car il faut le comprendre, Dieu cible la guerre religieuse qui n’est pas la cause principale des deux premières Guerres Mondiales. Pour la troisième, le texte dit : « et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. » Cette libération est cependant, et pour la troisième fois, encore très partielle, car les trois Guerres Mondiales se succèdent avec une puissance destructrice progressive. Ceci parce qu’elles sont toutes des avertissements adressés par Dieu aux pécheurs terrestres avant leur extermination qui viendra seulement après la fin du temps de grâce. Le nombre des victimes est donc réduit au « tiers » des êtres humains : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » La seconde partie du verset d’Amos 3:6 disait : « Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ? » Dieu n’est pas obligé de conduire l’action lui-même puisqu’il lui suffit de libérer les mauvais anges pour que le mal soit fait aux hommes que sa colère cible. Mais relève avec moi, qu’il revendique pleinement la responsabilité des maux qui frappent selon sa justice, les humains qui pèchent contre ses lois, ses ordonnances et le témoignage de son amour démontré et magnifié en Jésus-Christ.
Comparativement aux maux qui vont venir sur l’humanité avec cette « sixième trompette », les petits ravages dus au Covid-19 sont peu de choses. Cependant, il sonne et confirme le changement du comportement du Dieu Tout-Puissant dont les terribles ravages vont s’intensifier, progressivement, jusqu’à l’extermination finale annoncée à ses élus pour le printemps 2030. Comprends-le bien, ni l’homme, ni les démons n’ont le pouvoir de créer la vie. Mais avec l’aide des démons, la science humaine a appris comment la vie peut subir des modifications, en intervenant dans le génome du vivant. Les apprentis sorciers modernes ont appliqué cette pratique aux cultures des aliments avant de les appliquer à l’homme. Le succès obtenu avec les végétaux les ont encouragés à avancer plus loin, et dans un délire démentiel, ils ont produit dans leurs laboratoires le monstre qui les tue aujourd’hui. Les responsables du fléau sont-ils les mieux placés pour en délivrer l’humanité ? Il semble que la réponse soit, oui, selon les choix faits par les gouvernants aveugles et terrorisés de la planète entière. Mais Dieu et ses élus sont d’un tout autre avis et c’est le seul qui prévaudra et s’imposera, finalement, sur tous les autres.
Ne doutons pas un instant de l’authentique conviction qui anime et motive la jeune garde présidentielle car c’est là que se tient le problème. Comme le dicton le rappelle « l’enfer est pavé de bonnes intentions » et il faut retenir de l’histoire, qu’animé des meilleures et sociales motivations, pour favoriser la vie des pauvres, le président François Mitterrand a sacrifié l’avenir de la France pour régler un problème immédiat. Après le secteur du textile abandonné au profit de l’Asie, il a aussi sacrifié le secteur de la sidérurgie de l’Est privant ainsi la France de son indépendance, et créant du coup, un énorme chômage dans le Nord et tout l’Est du pays. Tout le monde peut se tromper mais quand celui qui se trompe est un chef d’Etat au pouvoir quasi-absolu, les conséquences pour le peuple conduit sont terribles et irrattrapables. C’est pourquoi, la sélection des chefs d’Etats qui arrivent au pouvoir, choisis par Dieu, éclaire ses élus sur l’avenir qu’il projette sur les peuples de la terre et surtout ceux de l’Occident infidèlement chrétien, sa cible principale qu’il désigne sous le nom symbolique « Euphrate » par ce qu’elle est placée sous la malédiction de son héritage catholique romain qu’il appelle dans la même image, « Babylone la Grande », l’institution officielle héritière de Constantin 1er le Grand, instaurée dans l’année 538. Mais sans le soutien armé des rois de la France et sa ville Paris que Dieu nomme symboliquement « Sodome et Egypte » dans Apo.11:7, cette domination ne se serait pas prolongée jusqu’à nos jours. C’est pourquoi, Rome, Paris, et l’Europe, sont devenues les cibles privilégiées de la colère du Dieu créateur Tout-Puissant, conformément à l’itinéraire chronologique de la progression du Covid-19. Mais les autres nations, chrétiennes ou pas, n’en sont pas moins coupables et elles partagent déjà avec elles le Covid-19 et auront leur part dans la destruction qui vient.
Une révélation numérique aux implications inattendues
Nous avons la preuve que dans ce qu’il construit, Dieu ne laisse que peu de place au hasard ; la Bible entière reposant sur des figures numériques révélées et démontrées par le mathématicien russe Yvan Panin. Dans mon inspiration de ce jour, le 7 Janvier 2022, l’Esprit m’a dirigé vers une meilleure compréhension des événements de la Genèse ; ceci en m’appuyant sur le code chiffré révélé dans les numéros des chapitres qui composent l’Apocalypse (explication complète dans « Explique-moi Daniel et Apocalypse » pages 156-157). Ainsi, en réduisant d’une unité la date 1656 retenue jusque là comme étant celle de l’année du déluge d’eaux, nous obtenons la date 1655 dont le nombre total est 17 soit, le chiffre symbolique du jugement divin. Et le déluge fut, effectivement, le premier grand jugement accompli par Dieu dans toute l’histoire humaine. Mais cette réduction d’une année sur les dates construites par les généalogies citées dans la Genèse entraîne d’autres révélations sur le déroulement du début de la vie d’Adam et Eve. Cette réduction d’une année implique les faits suivants. Adam et Eve ont vécu une année entière soit, 12 mois, dans leur état d’innocence et de parfaite pureté. Au cours de cette année, Eve a porté et mis au monde son premier fils Caïn, et elle l’a enfanté, sans douleur excessive. Ceci explique le sens des paroles que Dieu lui adresse dans Gen.3:16, après son péché : « Il dit à la femme : J'augmenterai la souffrance de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur, et tes désirs se porteront vers ton mari, mais il dominera sur toi. » Ce n’est qu’après le péché que, cette fois dans la douleur, Eve a enfanté Abel, et il était lui-même héritier du péché comme le seront, Christ, de par sa volonté rédemptrice, et ses disciples. Dans ce cas de figure, Caïn est à l’image du premier vis-à-vis créé par Dieu, le premier ange créé parfait appelé « Astre ou étoile du matin » dans Esa.14:12 : « Comment es-tu tombée des cieux, Etoile du matin, fille de l'aube du jour ? Toi qui foulais les nations, tu es abattue jusques en terre. » Cette version « Martin » atteste de ce nom « Etoile du matin ». En le comparant au « soleil » de notre système Dieu témoigne que la création de ce premier ange lui avait apporté de la joie. Je précise que seules les versions Martin et Jérusalem respectent le nom du texte hébreu. Les autres ont adopté la forme « Astre brillant » qui a donné au diable le nom « Lucifer » dans la tradition catholique et protestante.
Caïn est donc prophétiquement l’image du diable qui va tuer son frère, Jésus, imagé par Abel. Et après lui, sa haine meurtrière se portera sur ses héritiers spirituels soit, tous les élus de Jésus-Christ. Dans son enseignement, Jésus a dit du diable dans Jean 8:44 : « il est menteur et meurtrier dès le commencement » : «Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fond ; car il est menteur et le père du mensonge. » Or, le premier meurtre de l’histoire humaine fut commis par Caïn ; ce qui confirme son image du diable. Et à cause de ce rôle prophétique qui image le diable, nous pouvons mieux comprendre pourquoi, après qu’il ait tué son frère Abel, Dieu met un signe sur Caïn, afin que personne ne le tue. L’image du diable va jusque là, car en effet, le diable ne devait pas non plus mourir avant la fin du monde, comme Caïn, il jouit d’une protection spéciale parce qu’il porte en lui-même un rôle révélateur qui fait de lui le chef du camp rebellé contre l’autorité de Dieu. Ainsi, de même que la prolongation de la vie du diable a permis le regroupement des démons et des humains qui le rejoignent en l’imitant, la survie de Caïn engendra des imitations comme celle de Lémec, l’odieux moqueur et railleur, que cite Gen.4:23 : « Lémec dit à ses femmes : Ada et Tsilla, écoutez ma voix ! Femmes de Lémec, écoutez ma parole ! J'ai tué un homme pour ma blessure, et un jeune homme pour ma meurtrissure.» Car après s’être vanté de ces crimes, se moquant ouvertement de Dieu, il ajoute, au verset 24 : « Caïn sera vengé sept fois, et Lémec soixante-dix-sept fois ». Lémec n’était pas qu’un criminel, il était aussi fornicateur et adultère, ayant pris deux femmes contrairement à l’ordre donné par Dieu dans Gen.2:24 : «C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. »
Dans ce chapitre 4 de la Genèse, la signification du chiffre 4 étant le caractère de l’universalité, Dieu projette en image la progression du mal sur la terre, qui prenant forme en Caïn, s’achèvera, au temps du retour en gloire de Jésus-Christ, par sa confrontation avec des multitudes de peuples qui présenteront les critères du premier « Lémec ». Dans sa description, nous retrouvons déjà l’image des êtres humains qui vivent en notre époque. Même s’ils ne portent pas le nom « Lémec », on retrouve en eux la même impiété, le même mépris pour la gloire divine, et le même goût pour le sarcasme et la moquerie. A ces choses, il faut ajouter que, pour Dieu, les derniers rebelles seront coupables d’avoir mis en projet l’extermination des derniers élus. Les rebelles les auront condamnés finalement à mourir pour leur refus du dimanche catholique romain et leur entêtement à observer fidèlement le repos du sabbat sanctifié par Dieu ; ce qui confirme encore leur lien avec le « Lémec » meurtrier des deux hommes. Dans Genèse 4, Dieu continue de prophétiser l’avenir de l’humanité.
Dans ce nouveau regard sur les débuts de la vie terrestre, il apparaît que le péché originel commis, en première par Eve et en second par Adam, le fut après un an de vie parfaite. Et le péché accompli, le temps des 6000 ans, réservé au péché dans le projet de Dieu, a commencé. Une année après la création d’Adam et Eve, basculant sur son axe, la terre a été soumise aux changements des quatre saisons, au cours desquelles le processus de la vie et celui de la mort s’alternent perpétuellement.
La réduction d’une année, des calculs établis jusque là, concerne aussi l’année 1948 attribuée à la naissance d’Abraham. Raccourcie d’une année, elle devient 1947, et cette fois, le nombre de l’année totalise le nombre 21 soit, 3 fois 7, ce qui désigne la perfection de la sanctification. Ce chiffre est plus conforme à la symbolique divine pour marquer la naissance du fondateur des alliances passées entre Dieu et ses créatures. Car dans son image symbolique, dans Romains 11, « la racine de l’olivier franc », décrit par l’apôtre Paul, c’est lui, Abraham, le père des vrais croyants auxquels Dieu « impute », véritablement, sa justice en Christ selon Gen.15:6 : « Abram eut confiance en YaHWéH, qui le lui imputa à justice ».
Cette réduction d’une année sur les calculs établis dans la Genèse est sans incidence sur la date finale du printemps 2030 qui reste le début de la 2001ème année depuis la mort du Christ dans la Pâque de l’an 30. L’explication est très simple à comprendre. Les calculs des généalogies de la Genèse sont de forme ascendante et nous donnent la possibilité de créer des dates en cumulant des données chiffrées. La construction est logique et assez sûre, mais cette construction ne peut pas être poursuivie jusqu’à la fin du monde par absence de données chiffrées bibliques. Dans le sens inverse, marquant le début de l’an 4001, la mort du Christ est établie sur la base de notre faux calendrier dans son année 30 et il n’est pas possible d’utiliser ce faux calendrier pour établir la jonction avec le calcul ascendant offert dans la Genèse. Dans ce faux calcul, établi sur la fausse date de la naissance de Jésus-Christ, des dates ascendantes et descendantes ont été présentées mais aucune ne tient compte du temps réel compté par Dieu depuis le péché originel. Aussi, sa mort en Christ le 3 Avril 30, solidement établie dans notre faux calendrier, constitue le point d’appui du dernier tiers des six mille ans réservés au péché et à la sélection des élus trouvés par Dieu au milieu des pécheurs sur toute la terre.
La loi du grand Juge
Il est évident que tout jugement doit porter sur des textes de lois qui doivent, pour être légitimés, connus et reconnus par les personnes exposées au jugement. Les hommes ont bien compris la chose et pour ne pas être victimes de ce critère, ils ont décrété que nul n’est censé ignorer la loi. Dans nos civilisations occidentales, les lois civiles ont priorité sur les lois religieuses ; et tombées dans l’apostasie, les grandes institutions chrétiennes européennes ont accepté ce fait-accompli, et approuvé la règle laïque imposée par Napoléon 1er et les dirigeants venus après lui. Or, chacun peut le comprendre, placer la loi du Dieu créateur en-dessous des lois humaines est un choix suicidaire ou le choix inconscient fait par des incroyants. L’histoire du temps passé témoigne de ce que la France a hérité de l’athéisme révolutionnaire qui domine encore largement les esprits de son peuple. Son indifférence, voire son mépris pour la religion et son expérience, ont contaminé beaucoup de peuples sur la terre. Cependant, l’athéisme ne peut convenir qu’aux êtres humains qui refusent la réflexion et souhaitent passer à côté des questions dérangeantes. Ayant fait le choix contraire, j’ai souhaité et obtenu de Dieu, toutes les réponses aux diverses questions qui s’imposaient à moi. Aussi dans cet article, je vais présenter les étapes successives qui permettent à un vase vide d’être rempli d’huile sainte par l’Esprit de Dieu. Mais cette action divine s’appuie sur du concret, contrairement aux fausses religions païennes dans lesquelles les divinités imposaient, arbitrairement, leurs décisions transmises par les sorciers médiums inspirés par le diable et ses démons associés.
Le vrai Dieu se distingue en ce qu’il ne s’autorise pas lui-même à transgresser ses lois et ses principes. Il ne fait jamais d’exception pour personne. Sous son autorité, la loi est systématiquement appliquée. Mais, comme vu plus haut, pour être appliquée, elle doit être préalablement publiée. C’est le rôle de la sainte Bible qui constitue, de Genèse à Apocalypse, la loi divine. Les religions ont tort de réduire la loi divine à ses dix commandements. Car, aussi précieux et importants qu’ils soient réellement, ils ne représentent pas à eux seuls la loi divine. Jésus a bien dit au diable dans Mat.4:4 : « Il est écrit : L’homme ne vivra pas de pain seulement mais de toute parole sortie de la bouche de Dieu ». Ce fut la réponse qu’il opposa au diable qui l’incitait à créer du pain. Et cette « parole » divine est à l’origine de toutes les saintes Ecritures de l’ancienne et de la nouvelle alliance. Les figures numériques qu’elles comportent de manière exclusive attestent de cette ultra haute sainteté. Les cinq premiers livres, Genèse, Exode, Lévitique, Nombres, et Deutéronome, ont été écrits par Moïse, sous la dictée de Dieu, dans la tente d’Assignation. Ce sont donc, uniquement, des « paroles sorties de la bouche de Dieu ». Et le code numérique qui les sanctifie est infalsifiable. Les circonstances dans lesquelles les autres livres furent écrits sont différentes, mais présent ou absent, l’Esprit inspirateur de Dieu est à leur origine, car elles sont aussi sanctifiées par son code numérique. Pour comprendre que les Ecritures de la nouvelle alliance ont autant de valeur que celles de l’ancienne, Jésus a dit dans Jean 12:48 : « Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au dernier jour.». Ainsi, la loi divine s’est allongée par les Ecrits des Evangiles et les différents Epîtres des écrivains bibliques, Paul, Pierre, Jacques, Jude, et Jean. Et dans leurs versions originales grecques, le code numérique divin est encore présent.
Dans tous ces textes, Dieu a parlé, il a exprimé son jugement, il ne reste plus à l’homme qu’à se montrer obéissant pour lui plaire. Dans 1 Cor.4:9, Paul a dit : « Car Dieu, ce me semble, a fait de nous, apôtres, les derniers des hommes, des condamnés à mort en quelque sorte, puisque nous avons été en spectacle au monde, aux anges et aux hommes ». Que font ces multitudes d’yeux invisibles qui nous regardent ? Ils jugent nos œuvres et notre témoignage. Et ils constituent des témoins pour Dieu qui nous observe et nous juge lui-même pendant tout notre parcours de vie sur la terre. Et chaque fois que la chose devient possible, une relation est établie entre la créature et son Créateur. Là encore, c’est la loi qui fixe la condition de ce possible, et dans les deux alliances successives, le lien commun est l’obéissance. Celle-ci dépend de la lumière reçue par les humains. Nous ignorons la forme sous laquelle Dieu avait présenté sa loi aux antédiluviens, mais la norme « du bien et du mal » était connue, puisque le jugement de Dieu a remarqué, en premier, la fidélité de son serviteur Enoch ; une fidélité prolongée sur trois cent ans. Dieu ne put résister et il enleva vers lui, vivant, ce fidèle ami. Dans l’ancienne alliance, les lois divines sont clairement établies. Quiconque les transgresse devient coupable et mérite la seconde mort. Mais déjà, la mort expiatrice future du Christ peut bénéficier au pécheur, par l’offrande d’un sacrifice animalier qui anticipe et préfigure soit, prophétise, cette mort offerte pour les péchés des élus. Dans la nouvelle alliance, le sacrifice animalier a été remplacé par la mort volontaire du Christ et le pardon des péchés est obtenu directement par la prière du pécheur baptisé ; sous condition que celui-ci soit sincèrement désolé et contrit par sa faute contre la loi divine. Nous voyons que le moyen d’obtenir le pardon évolue dans le temps, mais le besoin du pardon est constant, parce que la loi d’accusation est perpétuellement active. Son rôle ne cessera pas avant la fin collective et individuelle du temps de grâce, qui précède, de peu, le moment du retour en gloire de Jésus-Christ.
Quiconque entend parler de ce Dieu unique et souhaite entrer dans son obéissance sera conduit par son Esprit vers lui. Quelles que soient ses origines, sa race, sa religion héritée, Dieu peut le détourner d’un funeste destin. Et s’il ne le fait pas c’est que la créature concernée n’en est pas digne. Son jugement infaillible détecte l’intensité de la sincérité humaine, en sorte qu’il n’est pas possible de le tromper. Ne tenant pas compte de ce pouvoir qui n’appartient qu’à Dieu, des humains le jugent injuste sans réaliser qu’il lui est impossible de pratiquer l’injustice ; la justice est la norme de sa nature divine.
Pour éduquer et former sa norme dans la vie de ses élus, Dieu les conduit vers sa parole écrite, sa sainte Bible. Sainte parce qu’il est lui-même saint dans la perfection de la norme. Alors que beaucoup entendent les paroles de Jésus-Christ et apprennent que le salut passe par lui, peu de gens comprennent la nécessité de lire entièrement la Bible depuis Genèse jusqu’à Apocalypse. La conséquence pour eux est de ne pas comprendre qui est réellement Dieu. L’idée qu’ils se font de lui est fausse parce qu’incomplète. Aussi dois-je faire remarquer, la manière dont les premiers chrétiens d’origine païenne furent instruits par les premiers disciples juifs de Jésus-Christ. La leçon nous est donnée dans Actes 15. Un concile fut réuni à Jérusalem à cause du rite de la circoncision que certains jugeaient obligatoire pour être sauvé. Relevons déjà que la tendance de l’époque n’était pas minimaliste. Et que, pour ces personnes, le sabbat était dans la norme enseignée, puisqu’il ne faisait pas l’objet de contestation par aucun des participants de cette assemblée. Ceci dit, les témoignages de Paul ont convaincu de l’inutilité de cette circoncision, mais le plus intéressant se trouve dans le compte-rendu prononcé par Jacques, dans les versets 13 à 21 que voici :
Verset 13 : « Lorsqu'ils eurent cessé de parler, Jacques prit la parole, et dit : Hommes frères, écoutez-moi ! »
Où est Pierre, le fondateur de l’Eglise du Christ selon l’église catholique romaine ? Ce mensonge papal est ici clairement apparent puisque Pierre est accusé de dissimulation et d’hypocrisie par Paul dans Galates 2:11 à 14, et que dans ce chapitre c’est l’apôtre Jacques qui présente le résultat des échanges du concile.
Verset 14 : « Simon a raconté comment Dieu a d'abord jeté les regards sur les nations pour choisir du milieu d'elles un peuple qui portât son nom. »
Le choix fut porté sur Ur en Chaldée où vivait Abram.
Verset 15 : « Et avec cela s'accordent les paroles des prophètes, selon qu'il est écrit : »
La foi des premiers chrétiens était construite sur la parole de Dieu qui reste cohérente du début à la fin. L’expression « il est écrit » utilisée par Jésus pour résister aux tentations du diable reste, dans tous les temps, la norme et la base de la foi véritable soit, de la vérité divine.
Verset 16 : « Après cela, je reviendrai, et je relèverai de sa chute la tente de David, j'en réparerai les ruines, et je la redresserai, »
Dieu prophétise les deux échecs successifs de la sainte ancienne alliance. Le premier a conduit Israël en déportation à Babylone, en Chaldée d’où il avait fait sortir Abram. Le second a placé Israël sous la domination de l’occupation romaine. C’est donc en Christ que Dieu va réparer les ruines et redresser son Israël qui sera dès lors spirituel ; la nation étant détruite par les Romains en 70, conformément à l’annonce prophétique divine de Daniel 9:26.
Verset 17 : « Afin que le reste des hommes cherche le Seigneur, ainsi que toutes les nations sur lesquelles mon nom est invoqué, dit le Seigneur, qui fait ces choses, »
Avec la grâce du Christ, les autres hommes peuvent entrer dans l’alliance nouvelle proposée par Dieu. Ce verset évoque « des nations sur lesquelles son nom est invoqué ». Au Moyen-Orient, autour d’Israël, la foi au Dieu unique s’était déjà répandue et l’exemple des Samaritains qui l’adoraient sur le mont Garizim le prouve. Les nations voisines subissaient elles-aussi l’influence religieuse de ce premier peuple conduit par le Dieu unique. Mais à l’inverse, les relations de proximité favorisaient également l’adoption de rites païens par certains juifs.
Verset 18 : « Et à qui elles sont connues de toute éternité ».
Ce verset concerne les « choses » que Dieu fait. C’est lui qui les « connaît de toute éternité ». Il les a programmées, les a prophétisées, et les fait accomplir.
Verset 19 : « C'est pourquoi je suis d'avis qu'on ne crée pas des difficultés à ceux des païens qui se convertissent à Dieu, »
La conversion des païens étant reconnue comme programmée par Dieu, le rite de la circoncision qui donnait aux Juifs un signe d’appartenance au Dieu créateur, spécifique, n’a pas de raison d’être imposé au reste de l’humanité qui peut, si elle le veut, entrer dans l’alliance de Dieu. Paul renforcera cette idée en disant dans Galates 3:28-29 : « Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus Christ. Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d'Abraham, héritiers selon la promesse.»
Verset 20 : « mais qu'on leur écrive de s'abstenir des souillures des idoles, de l'impudicité, des animaux étouffés et du sang ».
Le choix de ces trois critères est judicieux car dans l’histoire d’Israël, Dieu a puni sévèrement ces trois types de fautes. La souillure des « idoles » rappelle le veau d’or construit par Aaron, « l’impudicité » suivit cette abomination idolâtre et la consommation des « animaux étouffés et du sang » rend l’aliment indigeste, et en fait des poisons lents qui favorisent la mort de ceux qui les consomment.
Verset 21 : « Car, depuis bien des générations, Moïse a dans chaque ville des gens qui le prêchent, puisqu'on le lit tous les jours de sabbat dans les synagogues ».
C’est ce verset qui apporte la précision la plus importante. Il confirme la nécessité d’étudier Moïse même pour un converti d’origine païenne. Et étudier Moïse consiste à entreprendre la lecture de la Bible dès son commencement, par le livre de la Genèse. De plus, ce verset confirme la légitimité perpétuelle du saint sabbat de Dieu puisque les premiers païens convertis était invités à découvrir les Ecritures de Moïse dans les synagogues où il était lu chaque sabbat.
Je t’invite à réaliser ta chance d’avoir à ta disposition très facilement la sainte Bible, cette parole divine que les premiers païens convertis venaient « picorer » dans les synagogues juives. Car, on peut se demander, comment ils étaient reçus par certains juifs jaloux de leur privilège. Mais ils n’avaient pas le choix, les rouleaux sur lesquels la parole divine était écrite n’étaient que là. Et selon Matthieu 15:27, c’est bien comme des « petits chiens qui mangent les miettes du pain tombées de la table », que ces premiers chrétiens zélés devaient nourrir leur foi et leur insatiable désir de comprendre.
En notre époque d’apostasie généralisée, la nourriture spirituelle est disponible, mais elle est délaissée et les plats pleins ne se vident plus. Les humains se nourrissent de choses inutiles et gaspillent le temps de patience que Dieu leur accorde. Ce constat devrait te permettre de comprendre l’intense colère qui vient bientôt sur le monde ingrat et stupide.
En suivant la consigne donnée par Jacques, l’Esprit du Dieu vivant te conduit vers le premier livre de Moïse : la Genèse. Au commencement, c’est une page noire comme l’encre et les ténèbres du néant. Car avant qu’il crée la terre, notre dimension est ce néant d’obscurité totale que seuls les aveugles connaissent. Et à partir de ce rien, comme un magicien, sous les regards admirateurs de ses anges, Dieu présente un spectacle d’une gloire indescriptible. Sur son ordre, dans ces ténèbres, Dieu ordonne l’apparition de la terre et elle apparaît sous la forme d’une énorme boule d’eau.
Le premier chapitre de la Genèse est un monologue du Dieu créateur. Nul autre que lui s’exprime. Par ses paroles, Dieu construit la loi qu’il va donner et imposer à la matière, aux animaux, et qu’il présente aux êtres humains pour règles de leur vie. Il prononce les premiers mots qui écrivent sa sainte loi destinées à séparer en deux camps, les élus qui vont vivre éternellement et les déchus qui n’auront pas su profiter de l’offre de grâce et devront, finalement, disparaître pour toujours dans le néant à partir duquel Dieu les a tirés et créés.
Dieu le Père Pédagogue des nouveau-nés spirituels
L’idéal requis par Dieu est la perfection parce qu’il est lui-même parfait dans tous les angles sous lesquels on l’examine et le juge ; parfait en amour et parfait en justice. A ses yeux, nous, ses créatures, quels que soient nos âges, nous n’apparaissons que comme des « bébés » qui ont tout à apprendre. C’est pourquoi sa révélation biblique est construite sur la base pédagogique de la vie d’un « bébé ».
Dès sa conception, à l’approche de sa naissance, le « bébé » ne connaît pas le sens des mots qu’il entend depuis le ventre de sa mère, mais il fait déjà la différence entre la voix douce et la voix dure. Enfanté, ses yeux s’ouvrent et il découvre les images de la vie, et tout de suite, les questions qui se présentent à lui, dans son esprit, sont : « Où suis-je ? Quel sens porte ce que je vois ? ». C’est pourquoi, aux « bébés » adultes que sont ceux qui cherchent en lui les réponses, Dieu répond par Genèse 1. « Tu es sur la terre que j’ai créée en six jours ; et tu es un descendant de ma créature humaine créée le sixième jour ». C’est sur ce mode d’information, que Dieu a voulu construire la nouvelle naissance de ses élus qui, comme les bébés, ont besoin de recevoir de lui toutes les explications qui donnent du sens à l’existence du bien agréable et du mal qui fait souffrir. Dans une récente étude, j’ai démontré comment le nom de Dieu prononcé par lui-même portait numériquement la signification de Juge. Or, dans Gen.1, Dieu juge ses propres œuvres au fur et à mesure des jours qui se succèdent. Son premier jugement concerne, dans le verset 4, « la lumière » qu’il juge « bonne » en comparaison des « ténèbres » qui la précèdent. Il exprime encore son jugement dans les versets 10-12-18-21-25-31, en ces termes : « Dieu vit que cela était bon ». Il formule ce jugement à partir du moment où il a séparé « la terre, le sec », de « la mer », les grandes eaux. Dans toute sa révélation faite dans Gen.1, Dieu révèle son souci de pureté, en établissant des séparations entre les éléments et les espèces vivantes créées. Les mélanges entre espèces sont interdits et jugés par lui « impurs ». Ce qui rend cette séparation « bonne » révèle son futur jugement sur la foi protestante, la « terre » symbolique, séparée de son ennemie mortelle, la foi catholique, la « mer » symbolique ; l’une et l’autre étant cependant destinées à représenter, successivement dans le temps chronologique, deux « bêtes » agressives irrespectueuses de la liberté de conscience offerte à l’homme par Dieu. Elles constituent les deux thèmes d’Apo.13. Dans le début de son existence, la « terre » protestante a bénéficié de la bénédiction de Dieu jusqu’en 1843, ce qui n’a jamais été le cas pour la « mer » catholique, que Dieu n’a jamais reconnue pour sienne. Le jugement « bon » exprimé par Dieu repose sur le fait que la terre sèche va porter l’homme pour lequel la création terrestre est réalisée. En ce troisième jour, chiffre de la perfection, ce premier lien avec le futur Adam fait, de la « terre », la chambre et le berceau dans lequel la créature parfaite, l’homme, va être créée au-dessus de tous les animaux, parce que « créé à l’image de Dieu ».
Le troisième jugement « bon » émis par Dieu dans le verset 12 concerne la création des aliments végétaux qui seront, également, la nourriture parfaitement adaptée pour l’homme.
Le quatrième jugement « bon » concerne, dans le verset 18, la création des astres lumineux au quatrième jour. Dieu savoure, dès cette création, l’appréciation future de la chaleur et la lumière solaire par l’homme. Il sait d’avance combien il va l’apprécier quand, après le péché, le froid des hivers l’agressera. Et il profite de la création de ces astres pour en faire des symboles porteurs de messages précieux à connaître. La science a fini par gagner son combat contre l’obscurantisme religieux catholique, en prouvant que la terre tourne autour du soleil, contrairement à ce qu’enseignait l’église ténébreuse papale romaine diabolique mensongère, persécutrice et meurtrière. Et cette vérité illustre le principe, qu’à l’image du soleil, Dieu est au centre de toute chose, entouré par ses créatures comme le soleil est entouré des cinq planètes principales qui tournent autour de lui dans des orbites très différentes, dans notre système solaire, des noms attribués aux jours de la semaine romaine. A l’image du mal et des ténèbres, Dieu a aussi créé la « lune » qui, vue de la terre, prend la même taille que le cercle solaire. Cette fausse égalité prophétise la fausse puissance apparente du camp du mal qui va combattre Dieu et le bien pendant 6000 années durant lesquelles les jours vont succéder aux nuits. La science permet aujourd’hui de découvrir le véritable rapport des forces qui s’opposent ; le « soleil » image symbolique de Dieu étant, réellement, brûlant, consumant, et 400 fois plus gros que la « lune », l’image symbolique de ses ennemis religieux que Jésus nommait et dénonçait comme « puissances des ténèbres » sur lesquelles le diable règne souverainement. La « lune » ne tourne pas sur elle-même, et quand l’occasion se présente, cas de l’éclipse solaire, elle va jusqu’à masquer et recouvrir le « soleil » pour le regard de l’homme qui vit sur la « terre ». C’est précisément ce que le diable tente de faire par ses agents terrestres religieux. Les fausses religions s’activent pour cacher la vérité divine aux pécheurs, afin que les rayons de sa lumière ne leur parviennent pas, et qu’ils périssent d’anémie spirituelle. Mais elles ne sont pas conscientes d’être activées par les démons et le diable contre lesquels, toutes prétendent, faussement, lutter. Et cette intoxication qui aveugle accomplit ces paroles de Jésus citées dans Matt.6:23 : « mais si ton œil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres. Si donc la lumière qui est en toi est ténèbres, combien seront grandes ces ténèbres ! » Des multitudes de gens séduits et trompés prennent la fausse lumière, proposée par le diable, pour une authentique lumière divine. Ignorant l’intensité de la vraie lumière divine, ils sont satisfaits par l’enseignement religieux qui leur a été donné. Et si l’amour de la vérité ne les réveille pas, ils vont périr dans leur inconsciente ignorance. L’image est parlante, « la lune » cache aux humains, qui vivent sur la terre, l’arrière de son aspect, car ne tournant pas sur son axe, elle montre toujours aux hommes sa même face. Les entités auxquelles Dieu va la rattacher ont donc, religieusement, une nature mystérieuse diabolique qu’elles cachent aux êtres humains. En suivant ce symbole lunaire, les élus découvrent le jugement divin et l’identité de leurs ennemis communs. Dans Apo.6:12, « la lune entière » symbolise la coalition diabolique de la papauté et la monarchie française : « Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau ; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, » C’est aussi le cas dans Apo.8:12 : « Le quatrième ange sonna de la trompette. Et le tiers du soleil fut frappé, et le tiers de la lune, et le tiers des étoiles, afin que le tiers en fût obscurci, et que le jour perdît un tiers de sa clarté, et la nuit de même ». Ces deux actions qui versent « le sang » des ennemis de Dieu sont celles des deux « Terreurs » successives accomplies par les révolutionnaires français, en 1793 et 1794, d’un été à l’autre. Les élus savent que la foi chrétienne est un chemin unique et exclusif, c’est pourquoi, le symbole de la « lune entière » est rattaché à la fausse foi chrétienne et non à l’islam symbolisé par « un croissant de lune » dont l’illégitimité est logiquement et clairement comprise et admise par eux.
Parmi les astres, se trouvent aussi les « étoiles » qui sont des soleils ou des planètes. Les unes scintillent, les autres pas, et elles sont toutes différentes en aspect et en intensité lumineuse. Elles sont à l’image des élus du Christ, eux aussi chargés du rôle « d’éclairer la terre » selon Gen.1:15, et selon leur aptitude individuelle donnée par Dieu à chacun d’eux et d’elles. Les élus sont tous différents mais complémentaires, comme les « étoiles », ils brillent au milieu des ténèbres ambiantes qui dominent la vie des peuples. Et Dieu confirme ce symbolisme dans Dan.12:3 : « Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité » ; et dans Apo.12:1 : « Un grand signe parut dans le ciel : une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête ». La « couronne » confirme l’Elue du Christ victorieuse. Mais attention, « sauvé un jour ne signifie pas sauvé toujours ». Le jugement de Dieu, le Juge perpétuel de nos œuvres, abandonne au diable les appelés qui ne persévèrent pas dans sa vérité. L’exemple est donné dans Apo.12:4 : « Sa queue entraînait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre. Le dragon se tint devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer son enfant, lorsqu'elle aurait enfanté ». Cet « enfant » désigne la nouvelle naissance qui fait des appelés du Christ ses véritables élus. Ce résultat qui glorifie Jésus et son sacrifice est la cible principale du diable qui s’active pour empêcher la victoire des élus. Et dans ce verset, Dieu prophétise que le tiers des chrétiens va être « entraîné » par le diable pour partager sa perte finale. L’Esprit cible la conséquence de l’abandon du sabbat ordonné par l’empereur Constantin 1er, depuis le 7 Mars 321. La malédiction qui en a résulté a pris la forme de l’instauration du papisme en 538. Le papisme incarne la « queue » symbolique du dragon qui désigne le diable agissant sous l’autorité des empereurs romains. Ici la « queue », qui désigne « le prophète qui enseigne le mensonge » dans Esa.9:14, est rattachée au « dragon » diabolique impérial de même qu’Apo.13:2, le confirme, en disant : « La bête que je vis était semblable à un léopard ; ses pieds étaient comme ceux d'un ours, et sa gueule comme une gueule de lion. Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité. » La succession historique maudite de l’empire romain et du régime papal est ainsi confirmée.
En avançant dans les jours de la création, Dieu déclare encore « bon » ce qu’il créée le cinquième jour. Les poissons et tous les animaux marins ainsi que les oiseaux du ciel sont créés et concernés. Là encore, la sagesse de Dieu apparaît dans cette création d’espèces différentes mais complémentaires, car elles constituent les maillons d’une chaîne qui les relie les unes aux autres, chacune d’entre elles ayant un rôle spécifique à remplir dans le temps du péché terrestre. Cette chaîne sera alimentaire, mais aussi fonctionnelle, car certaines de ces espèces auront la charge de nettoyer la mer et les eaux des impuretés que toutes les espèces vivantes produisent. Toutes celles que Dieu va interdire à l’homme, pour s’en nourrir, ont part à ce rôle de filtres nettoyeurs. Les coquillages, les crustacés et les mollusques sont ces agents nettoyeurs dont la consommation met en péril la vie des humains. Et grâce à leur complémentarité active, les mers resteront des milieux pleins de vies animales et végétales jusqu’à la fin du monde où, par sa densité démographique et ses excès technologiques chimiques, l’homme mettra en péril la survie de la faune marine ; ce qui se prépare et apparaît déjà aujourd’hui. Les coraux perdent leur couleur et disparaissent dans les fonds des mers.
Dans ce même 5ème jour, Dieu juge encore « bon » d’avoir créé sur la terre des animaux aussi complémentaires que ceux des mers. Les uns comme les porcs, les sangliers, les grenouilles et les oiseaux carnassiers rapaces sont également des nettoyeurs chargés de recycler les déchets produits par d’autres espèces. Avec toute raison, Dieu va en interdire la consommation par l’homme devenu pécheur. Dans l’innombrable variété de ces espèces animales, Dieu va choisir parmi elles, certaines qui vont porter un message symbolique tel que la docilité de l’agneau, image de la justice, la puanteur du bouc, qui devient l’image du péché, la servitude du bœuf, la force du lion, la puissance de l’ours, la rapidité du léopard autre image du péché symbolisé par ses taches, tous ces symboles vont être utilisés par Dieu dans ses messages prophétiques dans Dan.7 et 8 et Apo.13:2.
Enfin, le 6ème jour, après avoir créé l’homme et la femme et après avoir prescrit leur alimentation et celle des animaux, le jugement de Dieu s’élève pour définir, cette fois, « très bon », l’ensemble de l’œuvre accomplie selon Gen.1:31 : « Dieu vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour ».
Ainsi, à son nouveau-né spirituel, Dieu a expliqué successivement où il se trouve et ce qui va l’accompagner dans sa vie sur la terre. Ces explications suffisent pour vivre mais elles ne répondent pas à une autre question : « Pourquoi, et dans quel but tu m’as créé ? »
Sa réponse, Dieu va la donner dans Genèse 2, en mettant à part dans ce chapitre 2, le message de la sanctification du « septième jour ». Verset 1 : « Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée ». Par ce verset Dieu confirme l’achèvement de la partie matérielle de sa création qui concernait les six premiers jours. En désignant par le mot « armée » les espèces vivantes, Dieu rappelle sa domination en Chef militaire qui les dirige et conduit. Le verset 2 dit ensuite : « Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu'il avait faite : et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu'il avait faite. » Cette double répétition marque une insistance sur une valeur à laquelle Dieu rattache toute sa gloire. La création est « l’œuvre qu’il a faite » et il ne se laissera pas enlever durablement cette action glorieuse, fruit de sa puissance créatrice. Le « repos » observé par Dieu était réel et parfait à ce moment de sa création terrestre. Mais il n’allait pas durer très longtemps, une année tout au plus, avant qu’Eve et Adam ne pèchent à leur tour contre lui. Et ce repos était relatif à cette seule création terrestre que Dieu a créée pour régler le problème du péché universel pratiqué auparavant par le diable et ses supporters angéliques ; le péché qui empêchait Dieu d’éprouver un véritable et authentique parfait « repos ». Le « repos » du moment était donc provisoire et en réalité bien imparfait. C’est pourquoi, en « sanctifiant le septième jour », Dieu évoque prophétiquement, le « repos » parfait qu’il obtiendra pour lui-même et ses élus quand leur sélection prendra fin au terme des 6000 années préfigurées par les six premiers jours de la semaine instaurée par Dieu. Au début du septième millénaire, il reviendra en Christ glorifié, pour mettre fin à la rébellion angélique et humaine. Ils seront tous exterminés et le diable seul leur survivra pendant le septième millénaire, isolé sur la terre transformée en désert ; la terre devenue sa prison pendant « mille ans » selon Apo.20:2-3.
Gen.2:3 : « Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. »
Cet enseignement est le verset clé de tout le projet programmé par Dieu. Dieu y rappelle qu’il « bénit et sanctifie le septième jour » à cause de « l’œuvre qu’il a créée en la faisant ». Pour obtenir ce « repos » parfait bien mérité, il va devoir, en personne, construire le moyen légal qui va lui permettre d’éliminer la rébellion universelle, ce sera « son œuvre ». Une « œuvre » qui va reposer sur son « expiation du péché » et sa démonstration d’une parfaite obéissance dans une chair identique à celle de ses créatures ; choses que Dan.9:24 enseigne. Pendant son ministère terrestre, jour après jour, jusqu’à sa mort sur la croix, Jésus-Christ a « œuvré » pour vaincre le péché, pour le condamner à disparaître définitivement dans la vie éternelle programmée pour accueillir ses bienaimés élus. On comprend mieux pourquoi, dans ce verset, Dieu insiste tellement sur « l’œuvre qu’il fait », car celle qui va racheter ses élus sera particulièrement atroce et difficile à subir. Et c’est uniquement en assumant ce devoir jusqu’à sa mort, qu’il obtiendra la victoire qui permettra le vrai « repos » spirituel final de l’Esprit de Dieu et de ses élus rachetés par son sang.
Pour Dieu les mots ont un sens précis. Celui de la « sanctification » est signe de vie éternelle pour les élus sélectionnés par lui, l’unique Juge, l’unique Victime expiatoire, l’unique Avocat de ses élus ; mais aussi, l’unique Exterminateur des empêcheurs du bonheur divin.
Le « septième jour » de sa création, Dieu rattacha à sa « sanctification du septième jour », « les œuvres » qu’il allait accomplir en Christ, car ce sont ces « œuvres » victorieuse contre le péché qui rendront possible « le repos » éternel sanctifié et prophétisé chaque fin de semaine, pendant 6000 années, par ses élus fidèles. Relève donc le fait que le quatrième des dix commandements de Dieu ne vise qu’à rappeler « la sanctification du septième jour » instaurée depuis sa création du monde. Le sabbat fut instauré, non pour les seuls juifs de l’ancienne alliance qui n’existaient encore pas, mais pour tous les élus sélectionnés au cours des 6000 ans programmés dans ce but, depuis Adam, jusqu’au dernier élu adventiste, des dernières heures de l’humanité.
La Covid-19 et le péché
Ce titre pourrait-être celui d’une fable de Jean Lafontaine mais ce n’est pas le cas. Cependant, comme les fables de ce célèbre conteur français, ce titre est celui d’une leçon morale que le grand Dieu créateur adresse à l’humanité des 10 dernières années dont le compte à rebours a commencé depuis le printemps 2020.
En voici donc l’explication : la Covid est une maladie qui en cas extrême conduit à la mort ceux et celles qui en sont atteints. Or, le premier point commun que nous pouvons relever entre le péché et la Covid, c’est la mort puisque il est écrit dans Rom.6:23 : « Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur. »
Deuxième point commun : les porteurs saints. Les humains porteurs de ce virus ne ressentent aucun effet, et se côtoyant avec leurs semblables, ils se contaminent et transmettent inconsciemment ce virus invisible silencieux. Pour sa part, le péché se transmet lui-aussi par contamination, par l’influence que les uns ont sur les autres. C’est aussi, notons-le, valable pour la vérité du royaume des cieux, mais Jésus mettait en garde ses élus contre « le levain des Pharisiens » ; « un levain d’hypocrisie » selon Luc 12:1 ; le péché qui « fait lever toute la pâte » selon Paul dans 1 Cor.5:6 : « C'est bien à tort que vous vous glorifiez. Ne savez-vous pas qu'un peu de levain fait lever toute la pâte ? » Ce qui signifie, qu’il contamine toute l’humanité. L’exemple du péché de Caïn qui conduit à ceux de Lémec confirme, dans Gen.4, cette contamination et cette transmission héréditaire.
Le troisième point commun est plus subtil mais pas moins criant de vérité. Le péché et la Covid concerne le souffle de l’homme. Nous savons que les décès dus au Covid meurent par ce qu’ils ne parviennent plus à respirer ; ils meurent donc étouffés. Et la science tente, quand la chose est possible, de pallier à ce manque en faisant appel à des respirateurs artificiels. Or, le droit de respirer fut la première chose que Dieu donna à l’être humain pour qu’il devienne un être vivant. La respiration est donc un sujet sur lequel Dieu règne souverainement et ce texte de Gen.2:7 nous le confirme : « YaHWéH Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l'homme devint un être vivant ».
Dans Psaumes 39:5, par la bouche de David, Dieu nous rappelle cette importante vérité : « Voici, tu as donné à mes jours la largeur de la main, Et ma vie est comme un rien devant toi. Oui, tout homme debout n'est qu'un souffle. -Pause. » La consigne de marquer une « pause » après ces paroles nous invite à méditer sur le sujet.
Et dans cette réflexion, nous devons réaliser que toute la création a été faite sur un modèle pédagogique qui délivre une leçon. Elle révèle la cause de l’existence du système terrestre ; toute sa dimension terrestre et céleste. Le but que Dieu se fixe est de résoudre le problème du « péché » créé par le principe de la liberté donnée à ses créatures. La dimension céleste du royaume de Dieu est contaminée par « le péché » et toutes ses créations devaient en être « purifiées ». Et ce projet de purification, Dieu l’a écrit dans sa création de l’homme, dans lequel la purification du sang qui circule en lui se fait par la respiration de ses poumons. Notre vie dépend de cette purification qui s’effectue à chaque respiration construite sur ses deux cycles fondamentaux successifs répétés continuellement de manière perpétuelle : l’aspiration de l’oxygène de l’air qui purifie le sang suivie par l’expulsion du gaz carbonique qui porte la souillure. A terme, après la victoire du Christ sur « le péché », la vie éternelle de tous les survivants, anges et hommes, sera parfaitement pure et donc exempte de tout « péché ». Il nous faut donc relever, l’importance fondamentale de cette purification qui est, du début et jusqu’à la fin, au centre de son projet de vie universelle. Tu peux comprendre ainsi, la juste exigence de Jésus-Christ de voir ses élus rompre avec la pratique du « péché », vu qu’il a donné sa vie parfaite en « expiation » pour ceux qu’il sauve réellement, parce qu’ils répondent positivement à son exigence. Ainsi, que l’être humain en soit conscient ou pas, Dieu lui dit à chacune de ses respirations : « Sois pur ! Rejette le mal ! Sois pur ! Rejette le mal ! Sois pur ! Rejette le mal ». Pendant son ministère terrestre, Jésus a multiplié les occasions d’enseigner cette vérité. Aux malades qu’il guérissait miraculeusement, il disait, selon Mat.8:2-3 : « Je le veux, sois pur » : « Et voici, un lépreux s'étant approché se prosterna devant lui, et dit : Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. Jésus étendit la main, le toucha, et dit : Je le veux, sois pur. Aussitôt il fut purifié de sa lèpre. » La « lèpre » est un symbole de l’impureté mais ce n’est pas un cas unique. Toute maladie résulte du péché, soit par hérédité, soit par conséquences de la transgression des bons principes de vie définis par Dieu. Car la maladie parle : le mal a dit. Et le mal qualifie le péché qui apparaît sous la forme des « comorbidités » comme les agents de la santé les nomment.
En dirigeant son premier fléau contre la respiration des hommes et des femmes, les hommes étant plus concernés parce qu’ils « dominent » sur la femme et endossent, à ce titre, la responsabilité du péché, Dieu donne à la Covid un caractère de châtiment final qui précède d’autres châtiments plus importants, mais qui sont, en opposition extrême, inversés au principe de la création du monde.
Du début jusqu’à sa fin fatale, la maladie Covid cible la respiration humaine. En premier, les victimes mortelles atteintes ne parvenaient plus à respirer, mais en second, les autres humains sont contraints de porter un masque qui réduit la qualité de leur respiration. Car, pour les directions sanitaires, le masque idéal, c’est celui qui est le plus hermétique et le plus étanche. Le problème est que pour se protéger de l’extérieur, l’individu affaiblit la purification de son propre sang. Le masque idéal ne doit donc pas coller au visage, afin de laisser le nez expulser librement le gaz carbonique exhalé, et de favoriser l’aspiration de l’air oxygéné inhalé. Par ce fléau, Dieu nous confirme que, cette fois, sa cible est bien la vie humaine entière ; celle des sociétés abominables qui ont atteint le niveau de l’immoralité et de l’impiété des antédiluviens de l’époque de Noé.
A en juger par le désarroi sincère des virologues les plus honnêtes, qui reconnaissent qu’ils ne comprennent pas le fonctionnement de ce virus qui ne fait que changer de nature et de comportement, le Dieu créateur est bien entré en action, lui qui contrôle, crée, et fait mourir ou vivre, tout ce qui vit. Nous sommes prévenus des conséquences de l’absence de la foi ; les multitudes vont ignorer cette explication, irrecevable, également, par les dirigeants politiques pleins d’orgueil et de suffisance. Il suffit donc à Jésus-Christ, notre Dieu tout-puissant, de laisser agir les humains livrés à leur aveuglement volontaire pour que, croyant soigner leurs maux, ils les favorisent jusqu’au pire. C’est ce que Dieu fait en disant dans Psa.7:15 à17 (ou 14 à 16) qu’il « fait retomber le mal du méchant sur sa tête » : « Voici, le méchant prépare le mal, il conçoit l'iniquité, et il enfante le néant. Il ouvre une fosse, il la creuse, et il tombe dans la fosse qu'il a faite. Son iniquité retombe sur sa tête, et sa violence redescend sur son front. » Ainsi, la punition du péché s’exprime par le retrait du souffle que Dieu a donné à l’homme pour qu’il vive. Et les révélations divines contenues dans Daniel et Apocalypse m’ont permis de démontrer que ce péché puni concerne la transgression de son sabbat que toute la terre, en dehors de l’Israël national sans Christ, transgresse en honorant, à sa place, le premier jour adopté sous son nom païen de « jour du soleil invaincu » sur l’ordre de l’empereur Constantin 1er le Grand. Cette grandeur humaine a osé faire abandonner la pratique du sabbat sanctifié par Dieu depuis sa création du monde. Alors, que celui qui lit ce message comprenne que ce premier châtiment du Covid n’est que le premier d’une série qui s’achèvera par une extermination complète de l’humanité sur la terre. « Le Covid et le péché » nous rappellent la relation que Dieu suggère entre le temps « alpha » et le temps « Oméga », « le début et la fin », qu’il cite dans le prologue de son Apocalypse dans Apo.1:8 : « Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant. ». Il insiste encore plus fortement dans l’épilogue, dans Apo.22:13 : « Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. ». Au temps « Alpha », Dieu donne le souffle de vie, au temps « Oméga », il le retire. Ceci, parce qu’au temps « Alpha », les êtres humains pèchent et la mort les frappe jusqu’au temps « Oméga » où les péchés concernent, à part les élus, toute l’humanité. A ce niveau intolérable, Dieu la frappe collectivement par la mort pour l’anéantir.
La respiration, fonction vitale de l’être humain est paradoxalement traitée avec indifférence par l’humanité du péché. Comment, l’homme peut-il justifier l’encrassement volontaire de ses poumons dû à son habitude de fumer, le tabac, le cannabis ou d’autres drogues, comme l’opium encore plus mortel ? Le corps humain est une enveloppe fragile dans laquelle vit un esprit humain que Dieu tient pour responsable de toutes ses actions. C’est pourquoi, au terme de l’histoire humaine, Dieu demande des comptes aux esprits humains corrompus par le mal en multitudes, comme il l’a déjà fait à de multiples reprises, mais déjà, en condamnant la vie globale avec la destruction universelle du déluge d’eaux au temps de Noé, l’an 1656 depuis le péché d’Eve et d’Adam. Dans cette date, le code numérique de la gématrie divine désigne le chiffre 17 du jugement divin. Et je le rappelle, depuis le 7 Mars 321, 17 siècles se sont écoulés jusqu’au printemps 2020 du calendrier de Dieu, où le fléau divin Covid-19 est apparu, créé dans les laboratoires humains en Chine, d’où il s’est répandu pour frapper l’humanité coupable entière. La Chine est officiellement le peuple adorateur du « dragon » qui désigne « le diable » dans Apo.12:9 : « Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. » Le diable est le premier pécheur et la première créature suscitée par Dieu. Il se trouve que par un choix fait par notre Créateur, à l’origine dans Gen.10:17, la Chine porte le nom « Sin » et dans la langue anglaise qui domine, en force, en autorité et en puissance commerciale, la dernière humanité du péché, ce mot « sin » signifie précisément, « péché ». Il en résulte que la punition du « péché » est sortie du pays type du « péché », adorateur du « dragon », « le diable ». Mais le dernier mot humain restera aux USA, l’expression puissante de cette langue anglaise. Ils incarneront l’ultime culpabilité du « péché », en tentant d’imposer aux derniers survivants humains, le repos du premier jour hérité de Rome. Ainsi, visiblement, le fruit de l’apostasie protestante, dans laquelle ce pays est tombé depuis 1843, apparaîtra et il incarnera le rôle du dernier Pharaon rebelle de l’histoire humaine. Il subira à son tour, la loi du Dieu créateur tout-puissant qui lui imposera ainsi qu’à Rome, les « sept derniers fléaux de sa colère », dont le premier est, curieusement lui-aussi, « un ulcère malin douloureux » et tueur selon Apo.16:2 : « Le premier alla, et il versa sa coupe sur la terre. Et un ulcère malin et douloureux frappa les hommes qui avaient la marque de la bête et qui adoraient son image. » ; et le dernier, le septième, s’achève par une pluie de pierres de grêle d’un talent (environ 42 kg) selon Apo.16:21 : « Et une grosse grêle, dont les grêlons pesaient un talent, tomba du ciel sur les hommes ; et les hommes blasphémèrent Dieu, à cause du fléau de la grêle, parce que ce fléau était très grand. ». Le caractère progressif de l’action destructrice entreprise par Dieu apparaît clairement dans la comparaison du virus Covid-19 invisible et actif ou pas, avec « l’ulcère malin douloureux », visible et réellement mortel dans son contexte de fin du temps de grâce et de fin du monde. Le dernier mot de ce chapitre 16 consacré au thème des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » est l’adjectif « grand ». Il représente à lui seul, Dieu, le plus grand et plus puissant qui finit par avoir le dernier mot, sur tous ses ennemis, et particulièrement, sur ceux qui l’ont défié au nom d’une « grandeur » humaine prétendue ; le « dimanche » catholique, ex-jour du soleil étant dû à Constantin 1er « le Grand » en 321, et à Justinien 1er « le Grand », qui instaura par Vigile 1er, en 538, le régime papal de Rome dont les chefs revendiquent de manière « impudente » (Dan.8:23 : « A la fin de leur domination, lorsque les pécheurs seront consumés, il s'élèvera un roi impudent et artificieux. ») le titre de « très-saint-père » (Mat.23:9 : « Et n'appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux »). Sache que les Italiens bien placés pour le juger surnomment ce régime religieux « la Saccra Mafia ». Ainsi, le « très-saint père » est en réalité le « très-saint-parrain » d’une mafia religieuse. Et ce n’est pas le modèle du pape Alexandre VI Borgia (16ème siècle), assassin notoire qui démentira cette affirmation.
Dans cette ultime épreuve de foi, la sanctification originelle du sabbat va, pour la dernière fois, séparer les humains, pour sanctifier et faire survivre les élus et conduire à la mort les déchus partisans du dimanche romain, « la marque de la bête » ; soit, « la marque » de son autorité humaine héritée de Constantin 1er, et du pape Vigile 1er et ses successeurs jusqu’au dernier pape en poste.
La loi du talion
Le mot talion a pour racine le mot latin « talis » qui signifie : tel, donc le sens de la réciprocité.
La loi du talion n’a pas disparue dans la nouvelle alliance car les paroles du Christ ont été incomprises. Dieu tient à cette loi et il n’entend pas s’en priver, car c’est sur la base de ce principe qu’il pourra légalement détruire et anéantir tous ses ennemis. Cette loi doit s’appliquer pendant les sept mille ans réservés au traitement du péché universel.
Voici comment nous pouvons comprendre que le rachat des élus se fonde sur le principe de la loi du talion : « tu donneras vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent …». Au commencement, la vie terrestre est si parfaite qu’elle était capable de se prolonger éternellement. Dans leur pureté originelle, Adam et Eve bénéficiaient de cette possibilité de vivre éternellement, parce que dans cet état de pureté, ils étaient tous deux « à l’image de Dieu ». C’est l’apparition du péché qui change la situation de la création entière dans laquelle l’homme perd son « image de Dieu ». L’homme étant devenu pécheur, Dieu le soumet à la Loi du Talion applicable aux animaux et aux autres hommes. Dans l’ancienne alliance, la loi sacrificielle prophétise le pardon du Christ, sans pour autant enlever le péché qui pèse encore virtuellement sur la tête du pécheur coupable. Dans l’ancienne alliance, le pécheur reste pécheur en dépit des rites religieux organisés par Dieu. L’homme ne peut pas retrouver « l’image de Dieu » dans cette situation et son statut est à peine au-dessus de l’animal. Quand il assassine, il mérite la mort prévue par le 6ème commandement du décalogue qui dit : « tu n’assassineras pas ». Quand il tue accidentellement, il doit dédommager l’offensé par la restitution d’un bien égal à celui qui est perdu, selon le principe de la loi du talion « vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent, …». En voici le texte exact cité dans Exode 21:23 à 25 : « Mais s'il y a un accident, tu donneras vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, brûlure pour brûlure, blessure pour blessure, meurtrissure pour meurtrissure.»
Regardons cette loi du talion sous le statut de la grâce divine apportée par Jésus-Christ. Dieu est l’offensé parce que l’homme pécheur lui désobéit. La loi du Talion l’autorise à faire mourir le coupable, puisque le salaire du péché, c’est la mort. Sauf que, Dieu propose à l’homme de se substituer à lui, pour subir son châtiment à sa place. C’est ainsi qu’il offre la vie de son Fils unique nommé Jésus-Christ. Et à qui cette mort va-t-elle être imputée ? A ceux qui vont en bénéficier : ses élus. L’élu est donc le véritable meurtrier de Jésus-Christ, parce que son péché a exigé cette mort expiatrice. Dans sa démarche, Dieu perd son Fils premier-né offert en sacrifice, mais spirituellement, tué par ses élus. Cette mort exige réparation et remplacement du Fils disparu. C’est alors que l’élu bénéficiaire et coupable de cette mort s’offre à Dieu pour compenser la perte de son Fils aîné. Cette démarche enlève à l’élu sauvé ses droits légaux donnés à l’homme animal et il devient, volontairement, l’esclave soumis à la volonté de celui qui le rachète. C’est donc, dans ce renoncement à ses droits humains, que l’élu retrouve en lui « l’image de Dieu » perdue depuis le péché d’Adam et Eve. Il est intéressant de relever le fait que dans Exode 21, le statut de l’esclave volontaire est cité avant la norme de la loi du talion. Nous venons de voir le lien qui unit ces deux sujets.
L’enseignement du Christ visait donc à enseigner qu’en passant sous le statut de sa grâce, le pécheur pardonné n’aurait plus le droit d’exercer les principes de la loi du talion contrairement aux autres êtres humains restés dans leurs péchés. Mais, pour Dieu, cette interdiction ne s’applique pas non plus, et c’est au nom de cette Loi que ses élus jugeront les méchants morts, pendant le septième millénaire, dans le royaume de Dieu. Car la loi du talion représente un principe de justice qui ne peut pas disparaître, parce qu’il est gravé dans le caractère même du Dieu créateur, législateur, rédempteur, régénérateur, juste et bon dans la perfection.
Dans les ténèbres qui les aveuglent, les hommes séparés de Dieu ont pensé pouvoir se montrer plus « bons » que lui en renonçant à la peine de mort contre les êtres humains. Ils ont renoncé de la sorte à rendre la vraie justice, car pour sa part, la venue du Christ ne l’a pas fait renoncer à exiger la mort des coupables. La transgression de sa loi provoquera jusqu’à la fin du monde, « le péché dont le salaire est la mort » selon Rom.6:23. Et l’unique moyen d’échapper à cette condamnation est d’entrer dans la grâce du Christ. Mais là, pour éviter la mort, Dieu exige un changement complet de vie ; le péché doit impérativement disparaître ; chose que les lois humaines n’exigent et n’obtiennent pas. Le rebelle assassin survivant peut donc librement retourner à sa méchanceté jusqu’à sa prochaine condamnation par les juges humains. La conséquence de cette fausse justice est qu’elle favorise le développement du mal au lieu de le réduire. C’est pourquoi, en maintenant sa condamnation du péché qu’il punit de mort, Dieu démontre toute sa sagesse que le vieux français nommait de manière spécifique sa « sapience », uniquement divine. Il offre aux élus la promesse d’un bonheur éternel qu’il pourra réellement leur offrir parce qu’il aura su sagement organiser les conditions qui rendent ce bonheur possible. Et pour mettre en place ces conditions, son projet se sera construit pendant les sept mille années prophétisées par nos semaines de sept jours. En entrant dans le 8ème millénaire, au renouvellement de toute chose, sur la nouvelle terre, les élus partageront unanimement cette pensée divine citée par le roi Salomon, dans Ecc.7:8 : « Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. »
En résumé, la Loi du Talion prophétise le plan du salut qui conduit les élus à renoncer à leur droit humain animal au profit de Dieu qui les prend en charge et se substitue lui-même à eux pour leur rendre justice, selon qu’il est écrit, dans Deu.32:35: « A moi la vengeance et la rétribution, quand leur pied chancellera ! Car le jour de leur malheur est proche, et ce qui les attend ne tardera pas. » et dans Héb.10 :30 : « Car nous connaissons celui qui a dit: A moi la vengeance, à moi la rétribution ! Et encore : Le Seigneur jugera son peuple. ».
En effet, l’esclave volontaire n’a aucun droit mais il a le devoir d’obéir à son Maître en toute chose. Et Jésus l’a clairement dit à l’attention de ceux qui veulent le suivre, en précisant à chacun d’eux : « qu’il renonce à lui-même ». Le verset complet est cité dans Mat.16:24 : « Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive. »
Quelques précisions utiles
L’histoire de l’ancienne alliance a été écrite pour permettre aux serviteurs de Dieu de la nouvelle alliance en Christ de décrypter le sens des images, des symboles et des durées chiffrées que l’Esprit utilise pour coder ses prophéties concernant, dans l’ère chrétienne, la période particulièrement ténébreuse comprise entre 538 et 1798. Sa dénonciation de la nature diabolique du plus puissant pouvoir terrestre fondé sur la coalition du régime religieux papal et la monarchie française qui l’a soutenu par les armes et l’autorité royale, depuis Clovis 1er son premier roi, exigeait l’utilisation d’un codage qui masque cette accusation. Les clés principales étant dans cette ancienne alliance, le décrypteur doit lire, et se laisser pénétrer par le style et le mode des expressions divines révélées dans ces anciens et ces nouveaux textes. Toutefois, il est important de comprendre que les clés spirituelles les plus importantes ont été cachées aux hommes par des erreurs commises par les traducteurs de ces saintes Ecritures. Mais Dieu connaît l’existence de ces erreurs, et de même qu’il favorisa la divulgation de la Bible pour éclairer la foi réformée protestante au 16ème siècle, en 1991, il me permit de découvrir de nombreuses erreurs présentes dans les traductions du livre de Daniel.
Et Dieu donna à l’année prophétique la forme de 12 mois de 30 jours. Cette norme n’est pas conforme à l’exactitude du temps solaire qui est de quelques 365 jours imprécis. Mais nous devons tenir compte qu’Israël utilisait ce calendrier lunaire de 12 mois de 30 jours. Lorsque la situation s’imposait, les Hébreux ajoutaient un 13ème mois pour rattraper le décalage pris sur le temps solaire. L’année de 360 jours est donc un format déjà connu des Juifs. Et le christianisme étant le prolongement de cette ancienne alliance, les codes divins utilisés dans les deux alliances sont les mêmes. Dieu donne ainsi à toute sa révélation écrite une norme unitaire parfaite, logique et cohérente. Les vrais pièges tendus aux hommes par le diable vont reposer sur les mensonges religieux publiquement et largement enseignés.
La prophétie et l’histoire sont les deux faces d’une même pièce. La prophétie annonce l’histoire par des images et des symboles, et en retour, par ses accomplissements relevés par de multiples historiens successifs, par ces témoins plus ou moins anonymes, l’histoire confirme l’interprétation donnée à la prophétie. Les deux sources des témoignages religieux et civils se recouvrent et se confirment mutuellement parfaitement, quand l’œuvre d’interprétation est dirigée par Dieu. Et la chose devient possible uniquement si les clés d’interprétation sont bien prises dans le texte biblique inspiré d’un bout à l’autre par l’unique Dieu créateur qui nous a visités sous l’aspect du Christ, baptisé sous le nom Jésus.
La clé du code selon lequel « un jour prophétique équivaut à un an réel » se trouve dans Nombres 14:34 et Ezéchiel 4:5-6. Nous lisons dans le premier : «De même que vous avez mis quarante jours à explorer le pays, vous porterez la peine de vos iniquités quarante années, une année pour chaque jour ; et vous saurez ce que c'est que d'être privé de ma présence. » Cet exemple révèle et confirme le choix de Dieu pour ce code auquel il rattache cet important message : « et vous saurez ce que c'est que d'être privé de ma présence ». Ceci signifie que le rôle des messages prophétiques reste l’unique lien avec Dieu quand il se retire et reste silencieux. Ce fut le cas pour Israël quand il fut déporté à Babylone et ce fut de nouveau ce qui lui arriva après son refus du Messie Jésus. Mais dans l’ère chrétienne, l’abandon du sabbat, le 7 Mars 321, a eu les mêmes conséquences pour les chrétiens infidèles. Dieu les a alors placés sous la domination tyrannique du régime papal despote et cruel instauré à partir de 538. Et, ceci, pour une durée de « 1260 » jour-année qui finirent en 1798. La norme lunaire de cette durée est ainsi utilisée pour désigner un nombre d’années solaires réelles. Pour te convaincre de la valeur des deux dates extrêmes obtenues soit, 538 et 1798, il suffit de savoir qu’en 538, un pouvoir civil, celui de l’empereur byzantin Justinien 1er, a installé le premier pape porteur du titre de chef universel de l’Eglise chrétienne, et qu’à l’opposé, en 1798, un autre pouvoir civil, cette fois républicain et français appelé « Directoire », a envoyé son représentant militaire, le général Berthier, à Rome, pour désinstaller le pape Pie VI de son siège papal, l’officier l’a conduit ensuite dans la prison de la Citadelle, à Valence dans la Drôme (26) où il est mort de maladie en 1799. Dans cette ville se trouve son fief adventiste historique français, où Dieu m’a fait baptiser en 1980. La synthèse des enseignements des chapitres 7 et 8 du livre Daniel révèle pourquoi les chrétiens furent ainsi livrés au despotisme romain. Dieu dit dans Dan.8:12 : « L'armée fut livrée avec le sacrifice perpétuel, à cause du péché ; la corne jeta la vérité par terre, et réussit dans ses entreprises. » « L’armée » spirituelle chrétienne étant « livrée » en 538 au papisme romain, le « péché » imputé et dénoncé par Dieu devait être pratiqué avant cette date 538. Ce raisonnement nous conduit vers la date du 7 Mars 321, en laquelle le repos du sabbat sanctifié par Dieu doublement, dès la création et dans le quatrième de ses dix commandements, fut transgressé sur l’ordre de l’empereur Constantin 1er. En révélant ces choses, Dieu nous fait partager la connaissance de son jugement sur une action humaine, injuste, outrageante et méprisante envers sa légitime gloire. Il permet ainsi à ceux qu’il aime d’identifier la cause de sa continuelle colère qui prend, dans l’ère chrétienne depuis 321, la forme des « sept trompettes » consécutives de l’Apocalypse.
La clé de tous les malheurs qui vont succéder à cet odieux méfait tient dans cet abandon du sabbat originellement sanctifié et ordonné par Dieu. Ce n’est que récemment que la raison de l’importance que Dieu lui donne m’a été révélée. Pour la plupart des êtres humains, le jour du repos hebdomadaire est une simple affaire de choix laissé aux hommes. Mais parce que la nouvelle alliance vient prolonger l’ancienne alliance divine juive, ses adeptes chrétiens ne peuvent pas partager ce point de vue. Les vrais disciples de Jésus-Christ savent que leur foi est construite sur les déclarations révélées dans toute la Bible, selon que Jésus a tenu à préciser dans Jean 4:22 : « Vous adorez ce que vous ne connaissez pas; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs ». Il ne leur reste alors qu’à accorder leurs œuvres avec les choses que Dieu enseigne et sanctifie par sa parole. La sainteté est dans le sabbat et en Jésus-Christ ; le sabbat ne faisant que prophétiser le grand repos éternel dans lequel, ses seuls élus, criblés par l’épreuve de vérité, entreront, finalement.
Marie, l’appât pour les idolâtres
J’ai déjà dénoncé le piège que constituent les apparitions de la Vierge, mais je viens aujourd’hui renforcer mes arguments.
Déjà, le nom Marie traduit de l’hébreu Myriam signifie : amertume ; tout un programme de malédictions imposées par Dieu. Pour Marie, elle-même, dans son annonce, l’ange lui dit, dans Luc 2:35 : « une épée te transpercera l’âme », prophétisant ainsi l’effet de la mort de Jésus, son fils crucifié. Mais la malédiction du rejet du fils de Marie sera aussi la cause d’une malédiction définitive pour le faux Israël national que Dieu fait détruire par les Romains en l’an 70. La troisième malédiction sera pour la religion catholique romaine idolâtre qui va tomber dans le piège de Satan qui apparaît à ses adeptes sous l’aspect et le nom de la « Vierge Marie ». Dans l’attente de sa résurrection, dans la poussière de la terre, la vraie Marie n’est pour rien dans cette escroquerie religieuse faite sur son nom.
Pour la religion catholique, Jésus est le fils de Marie. Cette vérité historique fut reconnue par l’église romaine byzantine qui adopta au concile d’Ephèse, le culte idolâtre rendu à Marie, en 431 soit, entre 321 et 538. Ephèse est le lieu présumé de la tombe de la « Vierge Marie », qui contredit ainsi le dogme mensonger de l’Assomption (ascension céleste de la Vierge Marie), adopté en 1954 par le pape Pie XII. Les vrais élus ont remarqué, eux, la distance que Jésus a voulu bien marquer, à plusieurs reprises, entre sa personne divine et sa famille terrestre d’adoption. Les Juifs croyants, eux-mêmes, accueillant Jésus comme leur roi, l’ont désigné comme « fils de David ». Et c’est là, l’unique raison du choix divin porté sur Marie, encore vierge et Joseph qu’elle devait épouser. Tous deux étaient des descendants de la lignée du roi David auquel Dieu avait révélé son projet qui allait s’accomplir en Jésus-Christ. La virginité de la vraie Marie n’avait pas pour but d’opérer un miracle qui devait en réalité être connu uniquement de Marie elle-même. Pour les voisins de la famille choisie, la naissance de Jésus n’a été qu’une naissance de plus, celle d’un enfant juif au milieu des autres. Mais pour Dieu et ses élus, ce détail révèle l’accomplissement d’un projet de salut global. Etant vierge, Marie ne peut mettre au monde qu’un enfant conçu par Dieu sans le moindre lien génétique avec sa mère, héritière du péché d’Eve et d’Adam comme toute leur descendance humaine. En effet pour rattraper la faute commise par le premier Adam, Jésus, venant au titre de « nouvel ou dernier Adam » selon 1 Corinthiens 15:45, doit s’engager dans l’épreuve terrestre avec toute la même pureté qui caractérisait le premier Adam avant son péché. Ainsi, Jésus a conservé cette pureté parfaite depuis sa conception jusqu’à sa mort. Ses luttes bien réelles étaient celles du Dieu créateur fermement décidé à vaincre le péché au prix de grandes souffrances qu’il a lui-même prophétisées dans sa sainte Bible. Il a lutté et il a finalement vaincu, en résistant aux tentations incessantes d’abandonner son projet salvateur élaboré pour sauver ses élus. Les raisons de se décourager ne manquaient pas ; l’apostasie du peuple était immense, les hommes moqueurs et railleurs comme aujourd’hui, et de plus, ses apôtres qu’il avait choisis, eux-mêmes n’entendaient pas ses enseignements. Heureusement pour nous, pauvres pécheurs, sa détermination à vaincre fut la plus forte et il a vaincu le péché, la mort et le diable, son premier adversaire.
Dès l’âge de 12 ans, entrant dans l’âge adulte, Jésus marque la distance entre lui et sa famille adoptive terrestre. Jésus étant resté seul au Temple de Jérusalem pendant trois jours, Marie lui adresse un reproche, évoquant son inquiétude à son sujet. La réponse de Jésus « remet les pendules à l’heure », car il lui répond : « Ne savez-vous pas que je dois m’occuper des affaires de mon Père ?» En fait, la réponse divine est cinglante mais bien justifiée, car cette famille humaine n’est utile que pour donner au Sauveur des hommes, justifiés et sanctifiés, une norme humaine, sans laquelle il ne pourrait, légalement, sauver personne. Cette apparente dureté était nécessaire pour confirmer la divinité de Jésus qui, en dehors de cette expérience, était un enfant exemplaire, obéissant et affectueux envers ses « parents » terrestres. Pendant les trois ans et six mois de son ministère, Jésus a encore voulu marquer sa distance divine envers Marie, sa mère adoptive, et ses frères. Ce point est important, il est écrit dans Mat.12:46 à 48 :
Verset 46 : « Comme Jésus s'adressait encore à la foule, voici, sa mère et ses frères, qui étaient dehors, cherchèrent à lui parler. »
Il s’agit bien de sa famille terrestre, et de plus, en citant « ses frères », ce verset confirme la fin de la virginité de Marie après la naissance de Jésus.
Verset 47 : « Quelqu'un lui dit : Voici, ta mère et tes frères sont dehors, et ils cherchent à te parler. »
Verset 48 : « Mais Jésus répondit à celui qui le lui disait : Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? »
Dans cette question, Jésus rompt et se sépare de tous ses liens familiaux terrestres. Il révèle en cela, sa vraie nature divine porteuse d’un projet de salut qu’il va proposer à toute l’humanité dispersée sur la terre.
Verset 49 : « Puis, étendant la main sur ses disciples, il dit : Voici ma mère et mes frères. »
Ce geste de Jésus évite toute incompréhension du récit. Il met bien en comparaison, sa famille terrestre et sa famille spirituelle que constituent ses disciples.
Verset 50 : « Car, quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère. »
La leçon est dure pour sa famille terrestre, mais Jésus n’est pas dans la sensiblerie, ses paroles enseignent des principes de vie et de mort. Indiquant le chemin de la vie, il le définit en disant : « quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux ». Et ce qui est sûr et démontré par la Bible entière, c’est que le choix idolâtre de l’adoration de la trompeuse et séductrice vierge Marie, est fermement condamné par Dieu dans le deuxième de ses dix commandements qui, bien qu’ayant été supprimé par Rome dans l’enseignement catholique entre 321 et 538, est resté écrit dans toute les versions de la sainte Bible. Chacun peut ainsi comprendre les causes de ses guerres religieuses menées dans le passé contre la Bible de Dieu et ses partisans fidèles, dans les temps qui lui étaient favorables ; ceux où le bras séculier de la monarchie française et des rois étrangers la soutenait. Car, il ne faut surtout pas sous-estimer ce détail, son pouvoir despote lui a été enlevé par la force militaire civile et elle n’a, à cette époque et jusqu’à la notre, jamais manifesté la volonté d’un quelconque regret au sujet de ses criminelles exactions commises envers Dieu et ses serviteurs humains. C’est alors que le moyen indiqué par Jésus pour identifier et juger la nature spirituelle des entités religieuses doit être appliqué. Il a dit dans Matthieu 7 :
Verset 15 : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. »
Les « faux-prophètes » ont, dans Esa.9:13-14-15, deux symboles : « la queue », et dans des conditions spéciales, « le roseau » : « Aussi YaHWéH arrachera d'Israël la tête et la queue, la branche de palmier et le roseau, En un seul jour. L'ancien et le magistrat, c'est la tête, Et le prophète qui enseigne le mensonge, c'est la queue. Ceux qui conduisent ce peuple l'égarent, Et ceux qui se laissent conduire se perdent.» Venant vers les disciples du Christ, « en vêtements de brebis », ils rejoignent l’Elue du Christ et prennent, en apparence seulement, l’aspect extérieur de gens religieux chrétiens. Ceci, afin d’agir en « loups ravisseurs », le « loup » étant le prédateur qui tue et dévore « les brebis ». Dans cette image parabolique, Jésus annonce les fausses conversions chrétiennes des agents qui servent inconsciemment le diable. Car il suffit qu’il ne soit pas dans l’amour de la vérité, pour que Dieu les laisse tomber sous la domination de Satan et ses démons angéliques rebelles. Jésus résume la future domination papale sur le christianisme universel que les rois terrestres vont reconnaître, en disant : «Ceux qui conduisent ce peuple l'égarent, et ceux qui se laissent conduire se perdent. » Ce jugement divin concernait déjà le clergé juif de son époque, mais le principe devait se reproduire dans la foi chrétienne qu’il est venu bâtir et dont il était la « pierre principale angulaire » de son fondement. Historiquement, nous savons qu’au début de son combat contre la foi chrétienne, le diable a agi en la persécutant, en guerre ouverte, ceci pendant les temps de domination impériale de Rome qu’Apo.12:3 symbolise par l’image du « dragon ». Mais ensuite, le diable a changé de tactique et il a appliqué celle de la « ruse » que Dan.8:25 impute à Rome : « A cause de sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l'arrogance dans le cœur, il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement, et il s'élèvera contre le chef des chefs ; mais il sera brisé, sans l'effort d'aucune main. » La stratégie de la « ruse » succède sous l’image de « la queue » à celle du « dragon » d’Apo.12:3. Et les symboles de la « ruse » sont rattachés au « dragon, le serpent ancien » « rusé » de Gen.3:1, qui est le « diable et Satan » selon Apo.12:9. Entrer dans l’Eglise du Christ pour la détruire de l’intérieur consiste à reproduire la tactique qui permit aux Grecs de s’emparer de la ville ennemie, Troie. Les Troyens avaient fait entrer eux-mêmes dans leur ville, alors qu’il était habité par des soldats grecs, le cheval abandonné sur la plage par l’armée grecque après son départ. Ce message est doublement confirmé dans Apo.2:12 par le nom « Pergame » qui désigne le lieu de la Troie historique et dont la signification désigne l’acte « adultère » qui fut aussi la cause de la guerre engagée entre les Grecs et les Troyens. Et derrière l’image de ces références historiques, Dieu désigne son ennemie de l’ère chrétienne, la Rome papale catholique et son clergé composé de cardinaux, d’évêques, de prêtres, de moines, et de « bonnes sœurs » soit, selon Jésus-Christ, les diverses formes apparentes des « loups ravisseurs » du diable, dont les chefs furent successivement installés au Palais du Latran, puis à St-Pierre de Rome dans la cité du Vatican.
Verset 16 : « Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? »
Les « fruits » sont aux arbres ce que les œuvres sont aux hommes. Jésus désigne les « fruits » « raisins » qui sont ceux de « la vigne » entretenue par Dieu, le « Maître de la vigne », selon Mat.20:8: « Quand le soir fut venu, le maître de la vigne dit à son intendant : Appelle les ouvriers, et paie-leur le salaire, en allant des derniers aux premiers. » ; et 21:40 : « Maintenant, lorsque le maître de la vigne viendra, que fera-t-il à ces vignerons ? » Les bonnes œuvres portées par les vrais serviteurs de Dieu sont dues à l’action qu’il accomplit en eux. Et à l’image de celles que Jésus a montrées dans son ministère, ces œuvres divines se caractérisent par la douceur, la bonté, mais aussi dans une grande fervente fidélité envers tous les aspects de sa vérité qui exprime et résume sa volonté que le verset 21 de cette étude va rappeler. Les « épines et les chardons » ont été créés par Dieu à cause du péché originel selon Gen.3:17-18 : « Il dit à l'homme : Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l'arbre au sujet duquel je t'avais donné cet ordre : Tu n'en mangeras point ! Le sol sera maudit à cause de toi. C'est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l'herbe des champs.» Le péché a apporté à la création de grandes modifications. Avant lui, la terre ne produisait rien de nuisible, pas le moindre poison. La dernière expression, « et tu mangeras de l'herbe des champs » révèle le changement de statut de l’homme. Créé à l’image de Dieu, il devient l’homme animal dans l’état duquel se retrouvera le roi Nébucadnetsar abêti par Dieu, selon Dan.4:25 : « On te chassera du milieu des hommes, tu auras ta demeure avec les bêtes des champs, et l'on te donnera comme aux bœufs de l'herbe à manger ; tu seras trempé de la rosée du ciel, et sept temps passeront sur toi, jusqu'à ce que tu saches que le Très Haut domine sur le règne des hommes et qu'il le donne à qui il lui plaît. » Ce châtiment eu pour cause l’orgueil qui caractérise « les épines, les chardons, et les scorpions rebelles », tous symboles des « fruits » portés par les serviteurs du diable.
Verset 17 : « Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. »
Jésus nous propose d’appliquer ce principe parfaitement logique pour juger la nature spirituelle de ceux qui se revendiquent de lui.
Verset 18 : « Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. »
Les « fruits » soit, les œuvres portées par l’homme ou une institution religieuse, révèlent sa véritable nature, ceci, sans possibilité de se tromper. Car les « fruits » obtenus par Dieu sont clairement établis dans les révélations de ses lois divines écrites dans la sainte Bible. Tout homme sera contraint de reconnaître ce fait quand il sera confronté au jugement de Dieu. Mais, la tromperie actuelle du diable repose sur l’interprétation que les hommes donnent à ce que Dieu juge « bon ». En fin psychologue, le diable offre aux hommes rebelles la définition du mot « bon » qu’ils aiment et préfèrent à celle que Dieu lui donne dans sa Bible. Et ce qu’ils apprécient concerne « l’amitié des peuples qui évite les guerres destructrices des biens et des hommes ». Le « bon » est pour des multitudes dans les normes établies par l’humanisme universel. C’est pourquoi dans sa dernière apparence de « serpent » trompeur, la religion catholique défend ces valeurs humanistes, en affichant un mépris total pour la norme de la vérité biblique établie par Dieu dans sa sainte Bible. Aussi, pour échapper à cette confusion, le principe indiqué par Jésus signifie que, là où est son saint sabbat et ses continuelles révélations, se trouve le camp de ses vrais saints élus. Mais à l’opposé, là où se trouve le dimanche romain hérité successivement de l’empereur Constantin 1er en 321, et du pape Vigile en 538, se tient le camp du diable, son ennemi et celui de ses élus. Le « bon fruit » est l’obéissance à la volonté de Dieu ; le « mauvais fruit », la désobéissance à cette volonté divine révélée et écrite dans sa sainte Bible.
Verset 19 : « Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. »
La séduction des hommes rebelles par le diable ne dure qu’un temps. Car dès son retour en gloire, Jésus va sauver ses élus qu’il va arracher à la mort que le camp rebelle allait lui donner. La mystification religieuse va ainsi prendre fin brutalement pour le camp diabolique que le Dieu tout-puissant Jésus-Christ détruit par son souffle. Mais cette destruction n’est pas la dernière, car le projet divin consiste à les ressusciter à la fin du « septième » millénaire, pour le jugement dernier. Ils seront alors jetés vivants dans « l’étang de feu » pour y être détruit dans un temps déterminé pour chacun d’eux par le jugement effectué pendant « mille ans » par Christ et ses élus.
Verset 20 : « C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. »
Le message du Christ est simple et tranchant. Ses vrais serviteurs s’identifieront eux-mêmes par les œuvres qu’ils accompliront. Et ceux du diable, le feront, eux-mêmes, également, en dépit de toutes leurs prétentions et revendications de servir Dieu.
Jusque là, nous avons ciblé, les mauvais fruits portés par le clergé juif et la foi catholique papale romaine. Mais à partir de 1843, à cause du décret de Dan.8:14 qui entre en application à cette date, la malédiction divine tombe sur l’intégralité des groupes religieux protestants. Et pour nous qui vivons les dernières années de l’expérience du péché terrestre, cette malédiction universelle prend de multiples formes. Les versets qui suivent vont confirmer la nature diabolique de certains faux disciples du Christ, catholiques ou protestants, et même, en dernier depuis 1994, adventistes du septième jour.
Verset 21 : « Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! N'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. »
En leur imputant le fait qu’ils l’invoquent en le nommant, « Seigneur, Seigneur ! », Jésus désigne bien des gens qui se réclament de son salut et prétendent le servir. La double répétition du mot « Seigneur » suggère que ce service se résume par cette seule forme religieuse. Jésus est reconnu comme « Seigneur », mais les œuvres de l’obéissance à la « volonté du Père » sont ignorées et absentes. En rappelant la nécessité de faire la « volonté du Père », Jésus confirme l’utilité de la Bible dans laquelle cette « volonté » divine est révélée de manière exclusive et infalsifiable, depuis Genèse jusqu’à Apocalypse dans ses versions originales en hébreu et en grec. Entre les sauvés et les perdus, la Bible va donc faire toute la différence. Et dans nos dernières années, la compréhension des messages prophétiques codés de cette Bible, resserre encore plus « le chemin » que Jésus avait dit « étroit ».
Verset 22 : « Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé par ton nom ? N'avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? Et n'avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? »
Ces serviteurs étonnés auront cependant disent-ils, « prophétisé, chassé des démons et fait beaucoup de miracles, par ton nom », celui de Jésus.
Verset 23 : « Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité. »
Je souligne ici l’importance du mot « jamais » dans la réponse de Jésus qui nous porte vers cette interrogation légitime : Mais alors, qui a fait les miracles et toutes ces choses ? Le diable et ses démons qui en ont la possibilité et peuvent tout se permettre avec l’accord de Dieu. Ce que Jésus appelle ici « l’iniquité » consiste à mépriser et à déformer la volonté de Dieu clairement définie dans sa sainte Bible et ses prophéties préparées pour notre temps et son épreuve de foi finale.
A propos de ces prophéties, j’admire la sapience de Dieu, cette sagesse divine élevée suprêmement au-dessus de tout ce que nous nommons intelligence. Car il a construit ses révélations codées en leur donnant un aspect suffisamment flou pour que chacun puisse les interpréter d’une manière qui lui convienne individuellement, selon son option religieuse. C’est par ce moyen, qu’il a pu protéger ses prophéties destinées à éclairer ses derniers serviteurs dans un contexte de liberté religieuse favorable. Un message trop évident et trop clair aurait été détruit par les fausses religions. La suppression, pure et simple, par le papisme romain, du deuxième des dix commandements de Dieu qui condamnait son culte idolâtre, en a donné une preuve exemplaire. Et par son flou et ses adaptations apparentes, la prophétie a permis à l’église catholique romaine de s’y donner le rôle de « l’Elue ». Affirmant, à qui veut l’entendre, son message « en dehors de l’église, point de salut », elle se présente comme l’unique assemblée bénie par Dieu. Dans l’Apocalypse, elle trouve dans Apo.12:1, l’occasion de se donner le rôle principal en donnant à la « femme porteuse de 12 étoiles sur sa tête » l’image de la Vierge Marie qu’elle sert et adore. Dieu a même facilité la chose en citant l’enfant mâle qu’elle a mis au monde en l’enfantant dans la douleur ; Marie et son Fils Jésus sont ainsi apparemment évoqués par Dieu au bénéfice de la foi catholique. Mais les apparences sont trompeuses car, dans son code prophétique, Dieu donne à la femme son sens « d’Epouse du Christ » déjà prophétisé dans Genèse 2:18 par la femme formée à partir de l’homme, en ces termes : « YaHWéH Dieu dit : Il n'est pas bon que l'homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui. » Selon le projet de Dieu, la femme, son Elue, devra être semblable au Christ auquel elle apportera son aide pour glorifier l’obéissance à la volonté divine révélée. Dans ce comportement la femme est vraiment l’Elue du Christ et cette femme victorieuse qu’Apo.12:1 nous présente. Et l’enfant qui va venir au monde dans les douleurs de son enfantement désigne le fruit d’obéissance porté par les élus dans leur renaissance en Christ. Car, l’enseignement de Jésus est formel, la réconciliation avec Dieu passe uniquement par la nouvelle naissance obtenue successivement et conjointement par l’eau et l’Esprit de Dieu, selon Jean 3:3-5 : « Jésus lui répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu…. Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. » « L’eau » désigne le baptême de repentance qui donne un sens à l’engagement chrétien et image la mort du vieil homme pécheur. Ensuite, « l’Esprit » désigne l’action divine qui va s’accomplir dans la vie du nouveau converti. Et c’est là que les fruits portés par les baptisés vont partager en deux camps tous les convertis de la religion chrétienne aux multiples formes. Les « fruits » portés par « l’Esprit » seront l’obéissance à la « volonté du Père », et ceux du diable conduiront à obéir au « très-saint-père » papal, et à travers lui, à l’empereur Constantin 1er, et en tête de toute la rébellion, au diable lui-même, en personne.
Le baptême est devenu trompeur, car peu de gens baptisés se montrent soucieux d’analyser leurs œuvres, pour y trouver la conformité avec celle de l’Esprit du Dieu vivant. De ce fait, l’action de l’Esprit divin est sous-estimée et elle prend une valeur uniquement théorique. Il ne reste donc plus dans ce cas que le seul baptême d’eau, et même lui, la fausse foi l’a dévalorisé en remplaçant l’immersion complète du corps du baptisé par l’aspersion de quelques gouttes d’eau sur sa tête. Ainsi, toute la cérémonie de la conversion est rendue vaine et morte.
L’image attendrissante d’une femme portant son enfant dans ses bras est strictement humaniste et elle repose sur la sensibilité, ou plus précisément dans ce cas, sur la sensiblerie des êtres humains non respectueux des principes divins. Car il faut bien relever qu’en Jésus-Christ, dans la chair identique à la nôtre, Dieu n’a témoigné ni de sensiblerie, ni de désobéissance à ses principes divins. Il était sensible aux souffrances humaines, et les a souvent soulagées en faisant des miracles, mais son obéissance à ses lois a été constante, jusqu’à sa crucifixion rendue nécessaire pour expier les péchés confessés par ses élus.
L’adoration de la « Vierge Marie » témoigne contre l’église catholique qu’elle n’a de chrétien que sa prétention à l’être. Elle n’est en vérité que l’héritière de Constantin 1er, l’empereur idolâtre fondateur du péché dû à sa confusion entre Christ, et le Soleil, sa créature. On a évoqué, à son sujet, une conversion tardive à la religion chrétienne. Celle-ci fut d’autant plus facilitée, qu’il lui avait donné lui-même la forme idolâtre de son origine païenne, puisqu’avec sa mère, il était adorateur du « Sol Invictus » le dieu Soleil Invaincu. Le repos du septième jour sanctifié par Dieu fut la victime prioritaire de la guerre engagée entre Jésus-Christ et Satan. En réaction à l’abandon de son saint sabbat, Dieu a réagi et il a suscité et suscitera encore des représailles plus évidentes que les rares apparitions de la fausse « Vierge Marie ». Mais l’humanité n’a pas identifié les châtiments divins et des foules de gens sont séduits par les messages et les apparitions de la « Vierge ». Dans ce comportement, cette humanité démontre la justesse du jugement révélé par Jésus-Christ, qui a donné au chemin qui conduit au salut l’aspect d’une « porte étroite », parce qu’il passe par les exigences divines bibliques, et à celui de l’idolâtrie qui conduit à la mort éternelle qui prend, lui, l’aspect d’une « porte « large et d’un chemin spacieux ». Mat.7:13 : « Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. »
Il me reste à t’expliquer pourquoi un aussi grand nombre d’être humains sont séduits par l’image de la Vierge Marie. L’explication prend sa source dans la norme que Dieu a donnée à sa création de la vie sur la terre. Il a doté l’homme d’une force physique supérieure à celle de la femme et il peut ainsi dominer physiquement sur elle. Mais en retour, il est fasciné et dominé par la femme, psychiquement, parce que sa descendance dépend d’elle. Et ce principe concerne tous les êtres humains quelque soit leur religion, leur race, leur peuple ou leur tribu, qu’ils soient éclairés par Dieu ou pas. Il est facile de comprendre que, séparés de Dieu, l’homme et la femme vont être poussés à diviniser les sujets qu’ils affectionnent le plus. L’homme va diviniser la force et aussi l’image de la femme qui porte l’enfant qui lui donne une succession, une descendance et bien sûr, l’enfant mâle, héritier de la force, sera privilégié par le mâle. Cette priorité de l’enfant mâle a conduit le roi Henri VIII d’Angleterre à faire décapiter deux de ses six femmes rendues, par Dieu, incapables de lui donner un héritier mâle pour assurer sa succession sur le trône, sauf un enfant (Edouard VI), mort à 15 ans. Henri VIII ignorait que le problème venait de lui et non de ses épouses. Détestant Martin Luther, ce fondateur maudit de la religion anglicane est mort, finalement, sans avoir obtenu de Dieu cette satisfaction. Mais partout sur la terre, l’absence de l’héritier mâle a provoqué des drames. La deuxième étape de la déification de la femme qui enfante remonte à l’époque de la tour de Babel, après le déluge d’eaux destructeur des vies impies terrestres. Dans un premier temps, les survivants se sont dispersés et regroupés en familles, puis en tribus, jusqu’à ce que Nimrod, le roi d’une tribu, lance une idée révolutionnaire. Sur le principe, l’union fait la force, il convainquit les humains de se rassembler dans un même lieu ; leur langue commune favorisant le règlement des problèmes relationnels. Dieu a réagi lorsque ce rassemblement a pris la forme d’un défi fondé sur l’élévation d’une tour pour atteindre le ciel. A cette époque, le roi Nimrod, sa femme Sémiramis, et leur fils mâle Tammuz, jouissaient d’un prestige élevé, reconnu et glorifié, par tous les habitants de Babel. De même que le dictateur romain Jules César voulut être déifié à cause de la quasi-adoration d’un grand nombre de Romains, la même pensée idolâtre est apparue auparavant chez les adorateurs du roi Nimrod et des membres de sa famille. En intervenant pour les séparer par des langues différentes donc, étrangères, Dieu dispersa ces populations sur la terre, mais elles emportaient avec elles, leurs pratiques idolâtres d’adoration des fausses divinités au premier rang desquelles se trouvaient Nimrod, Sémiramis et Tammuz. Sémiramis et Tammuz étaient représentés par l’image d’une femme portant dans ses bras son fils mâle et elle était la déesse de la fécondité, le sujet de l’affection principale des couples humains. La force et la fécondité sont restées partout sur la terre des sujets divinisés sous des noms différents, selon les peuples et leur langue tribale ou nationale. Depuis Babel, ce culte païen, s’est répandu partout sur la terre et sur le nord du continent africain où régnait en force la ville païenne Carthage (actuelle Tunis), l’ennemie continuelle des Romains. Avant d’être convertis à l’islam, les peuples de l’Afrique du nord étaient, comme ceux du continent européen entier, adorateurs des divinités héritées depuis Babel. Au fil du temps, les ressemblances entre ces divinités ont favorisé des assimilations et l’adoration de la force et de la fécondité a pu se prolonger sous de multiples noms. Cet héritage païen va nous permettre de comprendre comment le culte de la Vierge Marie a séduit les peuples faussement chrétiens européens et les peuples musulmans. Car les chrétiens et les musulmans retrouvent en la Vierge Marie, l’image de la fécondité qui les a séduits dans tous les temps. A la fin du sixième siècle de notre ère, l