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Samuel présente
Tome 2
La manne spirituelle des derniers marcheurs adventistes
en chemin vers la Canaan céleste.
Arrivée, le Mercredi 20 Mars 2030.
« Quel est donc le serviteur fidèle et prudent, que son maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ?
Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi !
Je vous le dis en vérité, il l'établira sur tous ses biens. »
Matthieu 24 : 45 à 47
Index des thèmes traités en fin d’ouvrage
La manne spirituelle des derniers marcheurs adventistes
Tome 2
Prolongation des révélations divines reçues depuis le 07/03/2020
Les nouveaux messages inspirés continuellement par Dieu
Messages de l’auteur
Selon qu’il est écrit dans Apo.2:26 : « A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations. », Jésus-Christ fait partager à son serviteur, son prophète, la connaissance de son jugement sur toutes choses, telles que les sujets, religieux, politiques et économiques. Car il fait accomplir ses projets en agissant dans tous ces domaines qui régissent l’humanité.
Parmi les œuvres de Jésus-Christ, se trouve l’inspiration constante de sa lumière, aussi importante pour la vie spirituelle de ses élus, que le fut la manne donnée chaque jour aux Hébreux rassemblés par Dieu au désert du Sinaï.
Ceux qui la cherchent trouveront dans les articles écrits dans cet ouvrage, la garantie d’une pensée divine authentique, qui m’engage en tant que témoin, et qui les responsabilise devant Dieu et son saint suprême jugement. Car le refus de sa lumière est cause d’une rupture de relation entre lui et sa créature.
L’inspiration révélée dans ces lignes n’est que l’accomplissement de la promesse faite par Jésus à ses serviteurs, dans Mat.28:18 à 20 où, pour soustraire ses interlocuteurs au doute, il est écrit : « Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi: Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde.»
Après avoir présenté dans « Explique moi Daniel et Apocalypse » l’étude détaillée, verset après verset, de ces prophéties divines, je présente dans cet ouvrage, selon l’inspiration divine du moment, des analyses de synthèse sur des thèmes traités dans ces prophéties, mais aussi sur l’actualité du moment. Ce regard englobant est riche et il favorise la maîtrise de la compréhension offerte par Dieu au nom de Jésus-Christ. Ces témoignages nouveaux ont pour lui autant de valeur que les premiers et pour ses élus, ils rendent clair et compréhensible ce qui était crypté et impénétrable.
J’ajoute que dans les temps difficiles que nous allons devoir traverser, la connaissance de ces articles fera toute la différence pour obtenir ou pas, du Christ, son indispensable aide et son soutien divin pour vaincre comme il a vaincu. Car ses élus sont invités à « garder ses œuvres jusqu’à la fin » du monde, dans « la patience et la persévérance » qui caractérisent les vrais « saints » de Dieu.
M1- Quand Jésus-Christ se fâche
Ce sabbat 9 Septembre 2023, alors que les grands de ce monde poursuivent leur rencontre du G20 en Inde, un tremblement de terre d’une amplitude de près de « 7 » sur l’échelle de Richter s’est produit au Maroc à 23 heures locales dans la nuit du vendredi au samedi, son épicentre se trouvant au Sud-ouest de Marrakech dont le nom signifie « protection de Dieu » ou « la terre de Dieu » selon certains. Ce qui est sûr, c’est que le roi Mohamed 6 est, par sa famille, un représentant direct du prophète Mahomet ; ce qui lui vaut le titre de « Commandeur des Croyants ». Un séisme sur cette ville est donc un message adressé par Dieu à ce représentant de l’islam créé par le prophète Mahomet.
Le peuple marocain, comme tous les pays arabisés du Maghreb, est un peuple fier et orgueilleux, et devant ce genre de catastrophe, ces gens ont une réponse toute prête séculaire : « Dieu l’a voulu ! » soit, en arabe : « Inch Allah ! ». Il faut dire que le Coran n’invite pas l’homme à s’interroger sur la cause des malheurs qui le frappent, contrairement à la Bible qui nous dit par Salomon, dans Ecc.7:14 : « Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, réfléchis : Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que l'homme ne découvre en rien ce qui sera après lui. » Donc, réfléchissons ensemble à la situation qui se présente devant nous, en examinant toutes les données du problème.
Il y a environ presque 2000 ans, une barque traversait la mer de Galilée. A son bord se trouvaient Jésus et ses douze apôtres. Mais retrouve avec moi le récit de ces faits tels que Matthieu, l’un des douze, en témoigne, dans Mat.8:24 à 27 : «et voici, il s'éleva sur la mer une si grande tempête que la barque était couverte par les flots. Et lui, il dormait. Les disciples s'étant approchés le réveillèrent, et dirent : Seigneur, sauve-nous, nous périssons ! Il leur dit : Pourquoi avez-vous peur, gens de peu de foi ? Alors il se leva, menaça les vents et la mer, et il y eut un grand calme. Ces hommes furent saisis d'étonnement : Quel est celui-ci, disaient-ils, à qui obéissent même les vents et la mer ? »
L’expérience vécue par ces « douze apôtres » nous enseigne plusieurs leçons. Et la première chose qui peut étonner est cette précision : « Et lui, il dormait ». Comment et pourquoi, Jésus dormait-il en de pareilles circonstances ? Ce sommeil était réel, il n’était pas feint par Jésus. Et déjà pour expliquer cette possibilité de dormir, il y a le fait que dans sa parfaite justice, l’esprit de Jésus est dans une paix totale, car seule la paix et la sérénité permettent le bon et profond sommeil. Jésus reprend ses apôtres pour l’incrédulité qu’ils manifestent parce qu’ils ont déjà reçu des preuves de sa puissance divine mise en action dans des miracles. Et ces témoignages reçus devraient les rassurer ; Jésus étant avec eux, ils n’avaient rien à craindre. Ensuite, il donna une leçon qui prend aujourd’hui une grande importance pour comprendre l’actualité concernant Marrakech. Sur sa parole, « les vents et la mer se calment ». Il nous reste à donner notre réponse personnelle à la question posée par le dernier verset de ce récit : « Quel est celui-ci, disaient-ils, à qui obéissent même les vents et la mer ? » Pour moi et selon ma « foi », c’est le Dieu Tout-puissant, le Dieu créateur qui juge, sauve ou détruit, ses créatures et sa création, selon que sa justice parfaite l’exige.
En faisant écrire ce témoignage dans la sainte Bible, Dieu nous laisse libre d’exprimer notre « foi », individuellement, sans pression, ni contrainte. Et le résultat de ce choix n’est pas sans conséquence, selon qu’il est écrit dans Habakuk 2:4 : « Voici, son âme s'est enflée, elle n'est pas droite en lui ; mais le juste vivra par sa foi. » C’est donc ma « foi » qui me conduit aujourd’hui à voir dans le drame qui frappe le Maroc, un acte punitif infligé par Jésus-Christ à ce pays, ses habitants, et son roi au titre de « Commandeur des Croyants », titre qu’il conteste et condamne.
Pourquoi le Maroc ? Avant lui, la Turquie responsable de l’islamisation du sol maghrébin a été également frappée par un grand tremblement de terre, aussi est-ce au Maroc et au descendant direct du prophète Mahomet que Jésus-Christ, le Dieu Tout-puissant, s’en prend. Et le Maroc lui a donné une bonne raison de s’en prendre à lui, car ce pays interdit à la sainte Bible de pénétrer sur son territoire. Les touristes qui se rendent au Maroc sont emprisonnés, puis expulsés, s’ils sont trouvés porteurs d’une Bible. Ce pays oppose, plus que tout autre pays musulman, une opposition farouche à la vérité transmise par Dieu en Jésus-Christ. De plus, pour des raisons humanistes opportunistes, la France a favorisé ses relations avec ce pays qu’elle a colonisé jusqu’en 1956. Il est devenu libre et indépendant après de tragiques massacres de Français. Appelé du temps des Romains, Mauritanie, le pays des Maures est devenu le Maroc au 16ème siècle, lorsqu’un descendant de Mahomet a fait de Marrakech le lieu de sa résidence et la capitale du pays. Actuellement, sa capitale est Rabat. La faveur accordée par la France pour sa relation avec le Maroc se paie très cher. Car ce pays produit le haschich ou cannabis, l’utilise et le vend. Et déjà en 1926, cette drogue fut cause de la guerre du Rif qui opposa la population marocaine à l’Espagne et à la France. Actuellement, au gré d’allers et retours incessants entre le Maroc et la France, cette drogue se répand ainsi dans toutes les régions de France par des transporteurs de préférence très jeunes, très nombreux et très ingénieux qui innovent sans cesse, pour échapper aux contrôles des douaniers et tromper leur vigilance. Des tonnes de cette drogue viennent faire rêver des jeunes et des moins jeunes en recherche de sensations nouvelles. L’humanité est ainsi dégradée et avilie, et la société entière porte le fardeau de cette charge, nuisible et néfaste. Le désir des hommes politiques de conserver ce lien d’échange rend la lutte contre ce fléau inefficace et vaine. Il est désormais trop tard pour endiguer ce flot de drogue douce, qui est porté par un flot migrateur trop élevé, puisque la communauté marocaine installée en France représente, à elle seule, environ un million sept cent mille personnes. La France a favorisé le Maroc pour sa relation avec l’Europe de l’Union. Elle y a installé et délocalisé une usine de sa régie nationale « Renault », trouvant, au Maroc, une main d’œuvre nombreuse et pas chère. Les intérêts commerciaux et industriels se paient donc par un pourrissement de la société française livrée au cannabis et autres drogues encore plus néfastes. Mais c’est aussi, la cause de la croissance de la religion de l’islam en France, dans laquelle se manifeste, de plus en plus, de la haine pour le pays d’accueil, tant les valeurs locales laïques sont différentes de celles qu’enseigne le Coran de Mahomet. Il n’est pas difficile de comprendre que ces valeurs sont entièrement incompatibles l’une avec l’autre. L’islam condamne tout ce que le laïcisme justifie. Et si des affrontements plus forts n’ont pas encore eut lieu, c’est uniquement parce que parmi les musulmans accueillis, beaucoup acceptent de transgresser les lois religieuses pour conserver la jouissance de vie offerte par le pays laïque de l’accueil. Car il en est de la religion de l’islam comme du christianisme. Les deux ont leurs « hypocrites » qui cherchent avant tout à tirer le meilleur profit de la situation qui s’impose à eux. En s’installant en France, beaucoup de Musulmans découvrent le mode de vie européen, s’y attachent et s’y accrochent. L’islam n’est pas dominé par un chef et ceci permet à ses adeptes de vivre cette religion au gré de leurs choix personnels. A son origine et jusqu’en 538, il en était de même pour la religion chrétienne enseignée par les douze apôtres de Jésus-Christ. Et cette situation a été rétablie, depuis la fin du règne persécuteur papal catholique romain qui fut imposé entre 538 et 1798. Cette liberté de choix individuelle est une offre divine que l’intolérance humaine fait disparaître de temps en temps par la volonté du Dieu créateur ; ceci afin que les humains apprennent le prix que leur coûte leurs mauvais choix.
L’idée que Jésus-Christ puisse se fâcher et se mettre à organiser des destructions de vies humaines est, pour certains chrétiens, inconcevable. Ces gens n’ont retenu de lui que la douceur de son caractère et pour beaucoup de Catholiques, uniquement l’image du bébé Jésus porté dans les bras de Marie, sa mère terrestre qui fut, en fait, la première « mère porteuse » de l’histoire humaine. Il est évident que sous cet aspect, Jésus ne peut faire, ni du bien, ni du mal à quiconque. Mais la Bible, nous présente un autre Jésus, celui qui entre en ministère terrestre âgé de 31 ans et six mois et en ministère céleste d’intercession à 35 ans. Il a pour mission de représenter un aspect de Dieu que l’ancienne alliance n’avait pas reconnu : le Dieu amour autant que justice. Car dans l’ancienne alliance, le Dieu justice avait été si clairement perçu qu’Israël ne voulut plus être dirigé par lui et demanda à avoir à sa tête, un roi humain, comme les autres nations païennes. Dieu accéda à leur requête et ils en subirent toutes les dramatiques continuelles conséquences.
Dans la chair, Jésus témoigne de l’affection que l’humanité relève uniquement dans son expression physique : les paroles douces, la main qu’on serre longuement, le sourire sympathique, et l’aide concrète apportée pour guérir et soulager les maux. Il y a bien toutes ces choses dans son ministère terrestre, mais il y a aussi, de sévères réprimandes et des condamnations tranchantes sans appel pour les personnes concernées. Dans cette sévérité, nous pouvons retrouver en Jésus-Christ, le Dieu invisible de l’ancienne alliance. Sa colère s’enflamme lorsqu’il chassa au début de son ministère les marchands et leurs animaux du temple, selon Jean 2:14-15 : «Il trouva dans le temple les vendeurs de bœufs, de brebis et de pigeons, et les changeurs assis. Ayant fait un fouet avec des cordes, il les chassa tous du temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il dispersa la monnaie des changeurs, et renversa les tables ; et il dit aux vendeurs de pigeons : Otez cela d'ici, ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic. » La chose se renouvellera à la fin de son ministère une semaine avant sa mort, selon Mat.21:12-13 : « Jésus entra dans le temple de Dieu. Il chassa tous ceux qui vendaient et qui achetaient dans le temple ; il renversa les tables des changeurs, et les sièges des vendeurs de pigeons. Et il leur dit : Il est écrit : Ma maison sera appelée une maison de prière. Mais vous, vous en faites une caverne de voleurs ». Jésus exprima ainsi, dans ces actions violentes, son indignation et sa condamnation d’un comportement sacrilège des Juifs qui, peu à peu, avaient fini par légitimer la présence des marchands d’animaux dans le parvis du temple de Jérusalem. Mais le parvis du temple était un lieu sanctifié par Dieu et donc inapproprié pour en faire un lieu de ventes commerciales. Ici, Jésus utilisa des cordes comme un fouet, mais dans son jugement universel, il va utiliser sa parole, comme une épée qui tranche et sépare, enlevant la vie aux être humains déchus. Et bientôt, en 70, il enverra les Romains tuer et massacrer le peuple rebelle et incrédule.
Dans notre actualité, Jésus-Christ a dit à la terre, « tremble et secoue la zone de Marrakech », et la terre a tremblé et a renversé des maisons sur leurs habitants surpris dans leur sommeil, pour certains, qui ne se réveilleront jamais plus, sinon pour comparaître devant Dieu et son jugement dernier. Et dans cette action, je relève qu’en frappant à 23 heures, Dieu a particulièrement ciblé, pour les faire mourir, les plus vieux et les plus jeunes. Ceci parce que les personnes âgées se couchent de bonne heure ainsi que les tous jeunes enfants dont les bébés. Pour l’âge intermédiaire et pour les jeunes hommes, 23 heures, c’est l’heure des divertissements nocturnes, habitude très développée dans les pays aux soirées chaudes. Et ce choix divin qui cible les personnes âgées n’est pas nouveau, car le virus du Covid-19 a lui-aussi pris pour cibles privilégiées des personnes âgées. Et en ciblant ces âges avancés, Dieu punit une longue expérience de rébellion continuelle envers sa volonté révélée et exprimée dans sa sainte Bible. Pour ces morts, la fin du temps de grâce individuelle a pris fin. Le futur, et ses terribles dernières expériences, concerne des nouvelles générations auxquelles l’offre de grâce est encore proposée et le restera jusqu’à leur mort individuelle ou, collectivement, jusqu’à l’heure de la fin du temps de grâce qui cessera alors définitivement pour tous les êtres humains. Lorsque des personnes âgées sont restées sourdes aux appels de la grâce divine préférant honorer des traditions religieuses humaines héritées de père en fils, Dieu trouve inutile de prolonger leurs vies sur sa terre. Car la vie sur terre n’est prolongée que pour ceux qui honorent sa volonté selon Lév.18:5 : « Vous observerez mes lois et mes ordonnances: l'homme qui les mettra en pratique vivra par elles. Je suis YaHWéH ».
Le mépris et la guerre menés contre la sainte Bible de Dieu est payé très cher par les coupables ; en tout temps. En 1793 et 1794, ce mépris a été payé par la mort de dizaines de milliers d’êtres humains guillotinés, et de millions par d’autres moyens dans tout le pays, tous tenus pour coupables d’avoir soutenu avec leur roi et leur reine, le régime catholique papal romain. Et chose à relever, Dans Apo.11:13, Dieu compare ce génocide républicain à un « tremblement de terre » : « A cette heure-là, il y eut un grand tremblement de terre, et la dixième partie de la ville, tomba ; sept mille hommes furent tués dans ce tremblement de terre, et les autres furent effrayés et donnèrent gloire au Dieu du ciel. » Cette comparaison confirme le signe d’avertissement que Dieu donne aux « tremblements de terre » qui frappent les peuples au temps qu’il choisit. Lorsqu’un « tremblement de terre » se produit quelque part sur la terre, aussitôt, les scientifiques s’empressent d’expliquer aux victimes et aux autres gens que la chose est produite par le heurt de deux plaques tectoniques. Mais leur réponse n’explique pas pourquoi ce heurt est provoqué, car ce qu’ils imputent au hasard et aux probabilités est en réalité la conséquence d’une décision divine. Et de même qu’en Jésus-Christ, il calma instantanément une tempête, de même, à l’heure et au lieu choisi par lui, il ordonne et suscite un choc sismique, selon qu’il est écrit dans Amos 3:6 : « Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ? »
Je rappelle qu’en signe prophétique annonciateur de la future Révolution française républicaine nationalement athée, le Dieu créateur YaHWéH Micaël Jésus-Christ, suscita un violent « tremblement de terre » qui dévasta au Portugal sa capitale Lisbonne, située à son épicentre, le Sabbat ou samedi 1er Novembre 1755 à 10 heures du matin ; jour de la « fête des morts » pour les Catholiques. Et déjà, il dévasta en même temps le Maroc et d’autres pays. Je précise qu’au Portugal (comme au Maroc actuel), aucune sainte Bible n’était tolérée, sous peine de mort. A cette occasion, Lisbonne subit les ravages de trois raz-de marée connus sous le nom de « tsunami », et Dieu en profita pour adresser aux survivants un message subtil spirituel, ceci en épargnant entièrement la rue occupée par les prostituées de la ville ; selon que Jésus avait déclaré dans Mat.21:31 : «Lequel des deux a fait la volonté du père ? Ils répondirent : Le premier. Et Jésus leur dit : Je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le royaume de Dieu. » Ce témoignage constituait une puissante accusation que Dieu déposait contre l’Eglise catholique romaine papale qui colonisait les esprits des humains vivant dans cette ville où l’on comptait pas moins de 120 églises, toutes archis-pleines en ce jour de cérémonie religieuse, et toutes détruites par le séisme et ses tsunamis. La leçon a-t-elle été entendue et comprise ? Aucunement, les humains ont reconstruit leur ville et ils ont renouvelé leur adoration pour la « bête » religieuse. Notons la subtilité de la chose. Dans Apo.13:1, le régime papal associé aux monarchies catholiques est appelé « la bête qui monte de la mer », aussi en 1755, Dieu renvoie cette « bête sous la mer », le lieu d’où elle est sortie. Mais ce retour vers son origine ne prendra son accomplissement que lorsqu’en 1792, le roi de France Louis XVI est renversé par les Républicains français. En 1793, il est guillotiné avec la reine son épouse et à partir de juillet 1793 jusqu’en juillet 1794, dans l’époque dite de la « terreur », les courtisans monarchistes et le clergé catholique subissent le même sort. A l’heure même de sa mort, ce roi catholique demanda les services d’un prêtre catholique ; il mourut donc en exemple de la foi catholique et paya pour eux, les crimes perpétrés par ses prédécesseurs assis sur le trône de la France depuis Clovis 1er, le premier roi des Francs. Le papisme qui trouvait en lui son plus puissant soutien est stoppé et son chef Pie VI est emprisonné et meurt incarcéré en 1799 dans la prison de la Citadelle de la ville de Valence où je réside, en France métropolitaine. Cette ville de Valence fut aussi, logiquement, choisie par Dieu pour y installer sa première « église adventiste du septième jour », après la Suisse d’où le message fut importé par un drômois particulièrement zélé nommé Carayon. Ses premiers et derniers élus français se trouvent donc sur le lieu marqué quadruplement par l’histoire : 1- Lieu de formation militaire de Napoléon Bonaparte officier d’artillerie, et « l’aigle » cité dans Apo.8:13 ; 2- Lieu où le pape Pie VI meurt en 1799 « la tête blessée à mort de la bête» dans Apo.13:3 ; 3- lieu où s’instaure la première église adventiste du septième jour dans toute la France, visitée par Madame Ellen G.White, la messagère du Seigneur à cette époque ; 4- lieu où Dieu organise entre 1980 et 1994, la 3ème épreuve de foi adventiste, et donne, en 2018, la lumière qui conduit à la 4ème et dernière attente du retour glorieux et victorieux de Jésus-Christ, qui s’accomplira au printemps 2030.
Chaque « tremblement de terre » révèle le Jésus-Christ qui se fâche. Pour le monde incrédule, le temps de sa douceur est passé et il la conserve uniquement pour ses relations privilégiées avec ses vrais élus qu’il inonde de sa lumière. C’est pour nous, qui aimons sa vérité, en action et non simplement en paroles trompeuses, qu’il ouvre son ciel et donne ses explications. Mais pour les autres, il reprend son aspect de feu dévorant qui tue et détruit comme il le fit pour les Egyptiens de l’Exode. Oui, nous avons encore aujourd’hui en Dieu ce double aspect qu’il prit dans la nuée qui descendait du ciel, nuée du côté de son peuple, mais feu dévorant du côté de ses ennemis.
Pour les pays extrêmement religieux du monothéisme, les « tremblements de terre » sont très dérangeants, car comment justifier ces faits auprès de leurs adeptes ? Il est sûr que c’est ce type de question qu’ils redoutent le plus, mais l’apostasie est à un tel niveau qu’il ne vient même plus aux esprits humains l’idée de questionner leurs représentants religieux au sujet de ces séismes. Je rappelle qu’encore, récemment, des secousses sismiques ont frappé en Italie des lieux spirituels prestigieux, puis il y a eu la Turquie, et en ce début de sabbat du 9 Septembre, cette importante destruction sur Marrakech, au Maroc.
La multiplication, de ces séismes universels qui frappent dans de nombreux pays, prophétise un grand bouleversement qui va renverser les dominations actuelles, afin de donner existence à une dernière forme de gouvernement unique universel qui fixera des lois devant être appliquées et respectées par tous les survivants de la Troisième Guerre Mondiale. Car ce conflit monstrueux et nucléaire va détruire les nations qui existent aujourd’hui. C’est ici que la comparaison de la « 4ème et de la 6ème trompette » d’Apo.8 et 9 prend tout son intérêt, car Dieu ayant symbolisé la « 4ème trompette » par un « tremblement de terre », il suggère que la « 6ème trompette » est également un « tremblement de terre », mais beaucoup plus grand, puisqu’après l’aspect national français, il devient, cette fois, européen et même universel. Ceci donne donc aux « tremblements de terre » réels constatés, un rôle qui prophétise le grand génocide universel que va provoquer l’accomplissement complet de la Troisième Guerre Mondiale ; par laquelle, pour la dernière fois, avant la fin du temps de grâce, Jésus-Christ va vraiment se fâcher et faire connaître aux humains incrédules et rebelles, le haut niveau de sa juste colère.
Les fausses religions du monothéisme se ressemblent toutes, au niveau de leur comportement, quand elles sont frappées par des fléaux naturels qu’elles devraient toutes imputer à une action du Dieu qu’elles prétendent servir et honorer. Mais au lieu de cela, elles préfèrent se taire et attirer l’attention de leurs adeptes vers d’autres sujets. Et hypocritement, elles deviennent respectueuses envers les explications données par les scientifiques incroyants ou incrédules qui leur rendent là, un précieux service. Car, comment pourraient-elles expliquer à leurs adeptes que ce Dieu, qu’ils veulent servir, les frappe mortellement ?
J’aime la subtilité du message transmis par l’image du « tremblement de terre ». Ce phénomène, dit naturel, remet en question un ordre normal établi et maintenu longtemps au point que la possibilité d’un « tremblement de terre » pourrait être oubliée par l’être humain. La vie des hommes repose et se développe dans des conditions de stabilité du sol prolongée sur des décennies. Ceci ; jusqu’au jour où l’impensable se produit. Et cette situation image merveilleusement bien la situation de l’homme sans Dieu. Sa vie se prolonge en apparence sans conséquences pour lui. Et cependant, le Dieu invisible décompte le nombre des jours qu’il lui reste à vivre, et puis un jour, brusquement, sa fin arrive, par vieillesse, maladie, ou par la guerre, comme celle qui va frapper avant l’année 2030. Que produit un « tremblement de terre » sur l’homme ? Il le déstabilise, lui fait perdre son équilibre. Et nous l’oublions facilement, mais, si nous parvenons à rester debout sur nos jambes et nos pieds, c’est à cause de la stabilité du sol sur lequel nous évoluons. En nous enlevant la possibilité de cet équilibre, Dieu révèle son désir de renverser la domination humaine qui, porteuse du péché, conduit une rébellion ouverte levée contre lui et sa vérité biblique. Chacun peut relever la validité de l’image donnée par un « tremblement de terre » : tout ce qui est sur le dessus du sol est renversé par un soulèvement du sol inférieur souterrain, l’action reproduisant l’effet du soc de la charrue de l’agriculteur. Il y a peu de temps, nous avons donné aux soulèvements des populations arabes le nom de « printemps arabes » et ils se sont multipliés remettant en cause la situation de paix établie sur les peuples pendant le long temps de domination de l’Occident faussement chrétien. Cette domination doit maintenant être renversée par les peuples maintenus dans l’infériorité, jusqu’à notre époque actuelle. Ceci, conformément aux effets provoqués par un « tremblement de terre », qui exprime le jugement du Dieu juste et bon qui punit la méchanceté, la cupidité, l’orgueil, le mensonge et l’arrogance, constatés dans la gouvernance mondiale occidentale au cours de 77 années comprises entre 1945 et 2022, ou 75 années, si l’on considère que Jésus a commencé « à se fâcher », en livrant l’humanité au virus du Covid-19, au début de l’année 2020.
A la fin du sabbat du 9 Septembre et son séisme à Marrakech, venant de la mer, une violente tempête d’une ampleur exceptionnelle a frappé la côte Est de la Libye au niveau de la ville de Derna. Dans la nuit du dimanche au lundi, la montée subite des eaux a fait rompre deux barrages et la ville de Derna a été frappée par un mur d’eau qui a semé sur son passage la mort et la destruction. Et ce fait me rappelle les murs d’eaux qui permirent aux Hébreux de traverser sains et saufs la « mer Rouge », alors que ces mêmes murs d’eaux s’abattirent sur les chars et les cavaliers de l’armée du pharaon qui les poursuivaient pour les tuer. Dans ces actions, Dieu cible visiblement l’islam revendiqué par ces deux nations. Mais la leçon est encore plus grande et plus précise pour la France. Car, dans ce génocide de Derna, dont les victimes vont atteindre le nombre de 10000, voire davantage, Dieu vient de faire mourir les gens que le Colonel Kadhafi voulait exterminer. En effet, cette ville de Derna était devenue en 2011 le fief libyen de la cause islamiste, l’embryon du futur califat installé plus tard en Syrie et en Irak. Mais il ne put mener à terme son projet, parce qu’influencé par la demande de l’humaniste Bernard-Henri Lévy, le président français Nicolas Sarkozy fit intervenir l’armée française contre lui et ses forces armées, jusqu’à la mort du guide libyen. Note, qu’après cette intervention de la France, la Libye a été livrée au chaos politique et que la cause islamiste a pu se développer dans cette région Est. C’est depuis cette Libye, que les Européens, dont la France, voient partir des embarcations d’immigrés qui les forcent à les sauver des naufrages et à les accueillir, augmentant dangereusement la charge financière pour ces pays européens et mettant en danger leur entente ethnique. En une nuit, Dieu vient de condamner l’intervention française contre la Libye, en détruisant la population même, que la France voulait protéger, étant elle-même frappée par Dieu d’un aveuglement spirituel.
On ne la changera pas, toujours convaincue de ses « droits de l’homme » et de son devoir moral humaniste, la France offre, jusqu’à l’ingérence, ses services, son aide secouriste, à ces deux pays qui la refusent de la même manière dans un premier temps comme un réflexe naturel ; ce qui confirme la montée de l’hostilité contre elle. Ce second fait s’est produit dans le jour du 11 Septembre 2023, ce qui fait que cette date du 11 Septembre est triplement marquée par l’histoire organisée par le Dieu créateur. Le 11 Septembre 1973, les « Dollars » américains offerts par la CIA favorise l’assassinat du président élu Allende et placent à la tête du Chili ses assassins ; une junte militaire dirigée par le général Pinochet. Le 11 Septembre 2001, la cible de la colère de Jésus-Christ était les deux tours du « World Trade Center » (Centre Mondial du Commerce) de New-York, dont la fondation par Henry Hudson est datée au 11 Septembre 1609. En 2001, les instruments de la colère divine furent les islamistes du groupe Al-Qaïda. Et cette fois, le 11 Septembre 2023, sa cible est le camp islamiste lui-même. Ces pays musulmans sont fiers et orgueilleux et ils n’ont pas digéré le fait d’avoir été manipulés et exploités par les nations européennes occidentales. Et lorsque Dieu lui-même les frappe, leur orgueil est attaqué, et leur humiliation décuple leur haine pour les Occidentaux qui s’en sortent toujours mieux que les autres. La jalousie vient alors alimenter cette haine qui ne s’éteindra qu’avec leur mort, après des agressions et des affrontements guerriers meurtriers. Exploités sur le plan économique, les pays du Maghreb ont toujours vécu dans un sentiment de concurrence avec les royaumes et les nations européennes de religion chrétienne. A la source de cette concurrence se trouve la revendication d’être le vrai serviteur de Dieu. Les musulmans croient que le fils offert en sacrifice par Abraham était Ismaël le père fondateur des peuples arabes. Mais la Bible nous dit que ce fut la mort d’Isaac, fils de Saraï, son épouse légitime, que Dieu demanda. Depuis ce moment et cet enseignement, l’Arabe et le Juif sont en conflit perpétuel. Et le Christ étant lui-même juif, le conflit s’est étendu à la religion chrétienne. Et pour Dieu lui-même, il n’est rien de plus efficace que la religion pour séparer les hommes et les pousser à s’affronter jusqu’à la mort du vaincu. Et c’est encore lui qui fixe le temps et l’heure où ces affrontements doivent s’accomplir.
Sur l’espace de trois jours, les deux extrémités du Maghreb ont été frappées par Jésus-Christ par ses armes naturelles, le vent, la tempête, le séisme qui obéissent tous à sa voix pour entrer en action et pour cesser d’agir. Mais ce regard est celui de la vraie foi, et pour les incrédules et les incroyants soit, tout le reste des humains, ces deux pays sont les malheureuses victimes de deux hasards parfaitement naturels dont on explique les causes scientifiquement. Et pour le rapprochement des deux actions, c’est selon eux simplement un manque de chance, une surprenante et improbable probabilité inattendue.
Je relève qu’à Marrakech et à Derna, le drame a frappé les habitants pendant la nuit. Pour Dieu, l’action visait donc à éliminer des vies incapables de se repentir en se convertissant à la vraie religion du Christ. Mais ce message est aussi adressé aux Occidentaux, car la colère de Jésus-Christ les menace pareillement et pour les mêmes raisons d’entêtement irréversible, et de conversions devenues impossibles. Mais dans sa révélation donnée dans Dan.11:40-45 et Apo.9:13-21, Jésus a révélé à ses élus que le châtiment des Européens viendrait sous la forme de la Troisième Guerre Mondiale et sa destruction nucléaire ; ce qui place ce châtiment peu de temps avant la fin du temps universel de la grâce divine. Et selon des précisions fondées sur les prophéties de Nostradamus, la destruction nucléaire de Paris va s’effectuer également de nuit.
Selon l’habitude prise en Occident, la tempête qui a détruit Derna a reçu le nom « Daniel ». Sachant que ce nom signifie : « Dieu est mon juge », les victimes de cette ville ont leur signification et leur explication. C’est en effet, le jugement divin de Jésus-Christ qui les a frappées et faites mourir, à cause de leur zèle pour la fausse religion monothéiste qui déforme le plan du salut qui a été construit, exclusivement, sur la personne du « messie » Jésus-Christ et sur sa mort expiatoire volontaire ; deux choses essentielles combattues farouchement par tous les musulmans.
Quand Jésus se fâche, sur la terre, « les nations s’irritent », et leur irritation n’est que la conséquence de l’irritation, bien plus grande et plus conséquente, du Dieu créateur Jésus-Christ. Son irritation personnelle est ainsi révélée par l’irritation des nations et l’irritation relevée dans notre actualité a été programmée soit, prophétisée et révélée par Dieu dans Apo.11:17 : « Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. » Ce verset résume les faits qui se sont accomplis, successivement, jusqu’au grand retour glorieux de Jésus-Christ rattaché au symbole de la « septième trompette ». Nous nous trouvons à l’heure présente dans la première phase citée en ces termes : «Les nations se sont irritées ». Pour irriter les nations, depuis l’année 2020, Jésus-Christ a frappé l’humanité par le virus souvent mortel du Covid-19 apparu, en premier, en Chine populaire. Prenant modèle les uns sur les autres, les dirigeants des nations ont adopté la décision de confiner soit, « de mettre en quarantaine » pendant deux années, leur population, et la conséquence a été pour tous un affaiblissement économique. Et cet affaiblissement des puissances occidentales a porté encore plus de conséquences néfastes pour les pays pauvres, sous-développés, mais exploités, du tiers-monde. Ensuite, en Ukraine, à Kiev, le « putsch » de la place Maïdan injustement accepté et soutenu par le camp de l’OTAN a renversé son président russe légitimement élu, ce qui a grandement « irrité » le chef de la nation russe, Vladimir Poutine. Les putschistes ont mené une guerre contre les résistants russes habitant à l’Est de l’Ukraine, si bien que la Russie est intervenue mais en 2014, elle s’est contentée de prendre le territoire de la Crimée. La guerre des Ukrainiens de Kiev contre les russes de l’Est du pays s’est donc prolongée pendant 8 ans. Et lorsque le nouveau jeune président élu par Kiev a demandé à rejoindre l’OTAN, pour le chef russe, la mesure était dépassée. Et il est donc entré avec ses chars sur le sol ukrainien. Depuis, la guerre oppose ces deux peuples et à travers eux, les peuples qui soutiennent ces deux camps. Visiblement, ces deux camps sont identifiables à l’OTAN dirigée par les USA et la Russie. L’irritation actuelle n’est pas encore à son comble, et elle n’atteindra ce comble, son sommet que lorsque la stratégie guerrière décrite dans Dan.11:40 à 45 s’accomplira. Nous voyons déjà les deux camps regrouper leurs alliés respectifs. Les conséquences des sanctions prises contre la Russie par l’OTAN et l’Europe Unie ont provoqué une déstabilisation des prix parce que l’économie moderne dépend essentiellement des sources d’énergie : le pétrole, le gaz, l’uranium, l’eau, le soleil, et le vent. Après le choc inflationniste de 1974, les Occidentaux européens subissent un renchérissement énorme des prix de ces énergies issues du pétrole et du gaz russe frappés par l’interdiction du camp qui soutient l’Ukraine, par des sanctions mais aussi par de très coûteuses offres d’armes et de munitions.
Depuis la Seconde Guerre Mondiale, le progrès technique a complètement bouleversé l’aspect stratégique de la guerre. Autrefois, redoutables et presque invincibles, les chars de combat sont aujourd’hui décimés et détruits par les tirs réalisés par des drones tueurs, petits, tels des guêpes tueuses contre lesquelles un géant lui-même ne peut rien. Et ici, il nous faut comprendre que, particulièrement, la Russie a subi, jusqu’à l’heure présente, beaucoup de revers en raison de son impréparation liée à son caractère personnel. Pendant la guerre froide, la Russie et ses alliés se sont repliés derrière le symbolique « rideau de fer », prenant une attitude défensive. En conséquence, elle n’a pensé qu’à développer des armes défensives et surtout des armes atomiques redoutables, mais uniquement utilisables en dernier recours. Dans le même temps, dans la richesse et l’opulence, le camp occidental a exploité sa connaissance technique pour développer des armes agressives de très haute qualité et précision. Et là encore, le choix occidental se distingue de la Russie en ce qu’ils ont placé dans le ciel, des satellites qui leur donnent le contrôle de tout ce qui se fait sur la terre. Les USA, l’Angleterre et la France disposent de ce type de satellites qui espionnent les activités des peuples dispersés sur la terre entière, et c’est surtout le cas des USA, les premiers dans ce domaine. Et cet avantage se traduit par un avantage stratégique sur l’adversaire ou l’ennemi. Les réussites des bombardements de zones stratégiques de la Russie par les tirs des Ukrainiens reposent sur cette connaissance des données GPS fournies par ces satellites espions. Après son affaiblissement momentané des années 1990, la Russie ne s’est pas suffisamment dotée de cet équipement céleste si précieux et si efficace. Sur le plan conventionnel, elle ne devrait donc pas pouvoir vaincre le camp de l’OTAN, cependant, Dieu a prophétisé son action momentanément victorieuse sur les nations de l’Europe. Aussi, pour permettre au projet de Dieu de s’accomplir, pour une raison ou pour une autre, les USA doivent retirer leur aide à leurs alliés de l’OTAN ; probablement pour des raisons politiques. Les élections présidentielles américaines prévues pour la fin de l’année 2024, vont donc porter à la présidence, Donald Trump ou un candidat favorable à sa politique de désengagement des USA dans les problèmes des Européens. Elle finira par se réengager dans leur guerre, mais uniquement pour anéantir la Russie et ses alliés après qu’ils aient pillé, dévasté, et détruit les richesses européennes et leurs grandes capitales dont Paris, particulièrement ciblé par Dieu, par l’expression « grande ville », qui la désigne dans Apo.11:8. Le désengagement des USA peut être aussi causé par un engagement militaire contre la Chine au sujet de l’île de Taïwan. Mais pour le camp européen, le moment décisif du changement de sa situation va dépendre de l’agression imputée au « roi du midi » africain et largement, musulman. Occupée à régler ces problèmes d’agressions venues du Sud, l’Europe sera soudainement envahie par les armées russes du « roi du septentrion », conformément à l’annonce prophétique de Dan.11:40 : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires ; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. »
Ainsi la chose essentielle que Jésus veut faire comprendre à ses élus, c’est que l’irritation des nations n’est que la conséquence de sa propre irritation dont il nous a révélé également les causes spirituelles multiples qui se sont accumulées au fil du temps. Parmi toutes ces causes, l’abandon du sabbat depuis le 7 Mars 321 reste le critère le plus visible, mais il n’est que la conséquence d’un mépris final généralisé, mais débuté en 313, pour les révélations apportées par la sainte Bible entière ; ce que Dieu condamne et châtie, en Jésus-Christ, au titre de témoignage d’incrédulité et d’incroyance. C’est le rôle qu’il donne au châtiment de sa « sixième trompette » décrite dans Apo.9:13 à 16 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. Le nombre des cavaliers de l'armée était de deux myriades de myriades : j'en entendis le nombre... …».
La « voix » qui s’exprime est celle de Jésus qui se présente en position d’intercesseur, placé devant « l’autel » des parfums, dans le rituel du symbolisme du sanctuaire. Il met fin à son intercession et ordonne que soit « tué » le « tiers des hommes » qui vivent sur le territoire européen désigné par le « grand fleuve Euphrate ». La précision « deux myriades de myriades » évite les fausses interprétations prématurées données à cette guerre. Seul, le contexte final actuel, permettant par sa démographie mondiale le rassemblement militaire de « deux cent millions » de combattants, peut accomplir cette prophétie.
M2- La logique divine
Bizarrement, ce terme « logique » n’apparaît jamais dans le texte biblique, alors qu’en notre époque de la fin, il a pris une importance de premier rang. En effet, notre vie actuelle repose sur la soumission à l’impérialisme de la technologie informatique à laquelle nous devenons tous, les uns après les autres, obligatoirement soumis. Nous sommes assistés et dirigés par des machines qui travaillent sans état d’âme et beaucoup plus vite que l’être humain. En de nombreux domaines, la machine vient remplacer l’homme, car elle est beaucoup plus rentable, et dans des sociétés mises en concurrence, le plus avancé en ce domaine s’assure la domination sur la terre. Nous savons que le dernier dominateur de l’histoire terrestre sera le peuple américain des USA. Et c’est ce pays qui a déjà pris dans son filet informatique toutes les nations de la terre. En rendant indispensable le réseau « internet », de son invention, ce pays contrôle déjà les faits et gestes d’une grande partie de l’humanité, et cette domination ne fera que se renforcer avec le temps, parce que Dieu a voulu donner cette dernière domination terrestre à cette puissante nation qui représente le protestantisme apostat. Donc, l’homme moderne est particulièrement apte à comprendre ce que ce mot « logique » veut dire. A l’origine, ce terme désigne, chez l’être humain, un raisonnement simple et droit qui résulte du bon sens et de l’évidence. Placé en face d’un commandement de Dieu, l’obéissance de l’homme à ce commandement est une réaction « logique ». Ce comportement humain tient compte de toutes les données de la situation. Dieu donne la vie et la mort et lui obéir permet de vivre, tandis que lui désobéir conduit l’homme à être détruit par le Dieu créateur. Donc déjà à lui seul, le simple esprit de conservation favorise le choix « logique » de l’obéissance chez l’être humain mortel. S’ajoute, chez lui, à cette raison, des sentiments ressentis et éprouvés ; ce que n’éprouve pas le robot ou la machine informatique. Et ces sentiments humains justifient autant l’obéissance que la désobéissance. Tout ce que l’homme aime plus que Dieu le porte à la désobéissance, et ceci « logiquement », parce que son moi et ses désirs l’aveuglent au point de ne plus pouvoir évaluer la sentence de mort que produit sa désobéissance au Dieu qui le fait vivre.
Je présente donc aujourd’hui un Evangile nouveau que je fonde sur ce seul mot « logique ». Car à lui seul, il représente tout ce que Dieu attend de la part de l’homme. Au point même qu’il exprime le principe de la vie idéale selon la norme divine. C’est un terme qui s’est souvent trouvé dans ma bouche lorsque je cherchais à justifier l’obéissance qui est due à Dieu. Cette évidence m’a toujours parue « logique ». Dans la vie libre qu’il a créée, les comportements « illogiques » n’existent qu’à cause de ce droit à la liberté, dont en premier, le diable Satan a fait un mauvais usage. Tout en rappelant à son sujet, dans Ezé.28:15 : « Tu as été intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus créé jusqu'à celui où l'iniquité a été trouvée chez toi. » En notre temps de la fin, la machine sans âme vient montrer à l’humanité ce qu’est la vie sans âme et sans liberté. Car la machine informatique n’est pas libre, mais entièrement programmée par l’homme, pour effectuer les tâches qui lui sont assignées. La machine n’éprouve aucun sentiment et elle représente ce que l’homme aurait pu être si Dieu ne l’avait pas créé libre et capable de sentiments. Aujourd’hui, les informaticiens ont mis au point un programme informatique d’une puissante efficacité et il s’appelle le « Chat GPT ». Ses capacités de réponses sont étonnantes et il réalise plus rapidement que des milliers d’hommes les opérations qui lui sont présentées. Mais en dépit de cet avantage, il garde l’inconvénient majeur de ne pas avoir une âme sensible et de ne pas identifier les jeux d’esprits. Ses réponses reposent sur l’analyse d’innombrables données que les hommes ont placées dans sa mémoire. Et les réponses que ce logiciel donne sont cent pour cent « logiques » ; ceci, parce que le programme ne peut rendre que des réponses « logiques ». A la base, le langage informatique repose sur le principe du oui et du non traduits en informatique par une impulsion électrique de polarité « plus (+) » ou « moins (-) ». Relève la démarche identique de ce langage informatique avec cet enseignement de Jac.5:12 : « Avant toutes choses, mes frères, ne jurez ni par le ciel, ni par la terre, ni par aucun autre serment. Mais que votre oui soit oui, et que votre non soit non, afin que vous ne tombiez pas sous le jugement. » La leçon a été donnée en premier par Jésus-Christ lui-même selon Mat.5:37-38 : « Ne jure pas non plus par ta tête, car tu ne peux rendre blanc ou noir un seul cheveu. Que votre parole soit oui, oui, non, non ; ce qu'on y ajoute vient du malin. » Ce verset est souvent mal interprété, car Jésus ne fait ici qu’interdire à ses élus de « jurer » sur quelqu’un ou quelque chose situé dans le ciel ou sur la terre, dans le but de convaincre leurs interlocuteurs de leur sincérité. En fait, dans notre vie terrestre, le oui et le non ne suffisent pas pour expliquer des choses compliquées. Dieu n’a pas créé l’homme pour qu’il agisse comme un robot ou le « Chat GPT » de l’heure actuelle. Et depuis plus de quarante ans que je les relève et les mets en lumière, les subtilités prophétisées par Dieu sont indécelables par « Chat GPT » ou une machine encore plus performante. Entre l’élu de Jésus-Christ et le logiciel robot, il y a toute la différence qu’apporte la vie donnée par Dieu. Lorsqu’il nous arrive de commettre des erreurs dues à notre liberté, nous avons parfois dans la pensée le regret d’être aussi libres et responsables. Cependant, si nous n’avions pas cette liberté, que serait notre existence ? Celle du robot « Chat GPT », incapable d’apprécier les subtils jeux d’esprits conçus par l’Esprit illimité du Dieu créateur. Et, personne ne peut mieux apprécier la valeur de la vie libre donnée par Dieu que ses élus auxquels il révèle ses pensées cachées et ses projets.
La machine est incapable d’apprécier l’amour de Dieu démontré en Jésus-Christ, alors que l’homme peut, s’il est un élu, lui, apprécier cette démonstration d’amour et y répondre. La machine ne fait ni bien ni mal, car elle est incapable de faire la différence entre les deux choses, sinon sur le plan de la « lettre » qu’elles représentent. Cependant, n’éprouvant pas des sentiments, et incapable d’apprécier la norme morale ou immorale, le jugement confié à la machine peut causer d’énormes maux à l’humanité. On lui doit déjà le chômage, la déstabilisation des emplois humains et des services proposés, et le risque énorme serait de lui confier les décisions à prendre par les dirigeants des pays. Et ce risque est réel parce que je relève que les jeunes gens qui gouvernent aujourd’hui, en France et dans le monde occidental, adoptent tous des comportements ressemblant aux robots qu’ils utilisent couramment et systématiquement, depuis nombres d’années et au cours de leur instruction et formation professionnelle. Mais, faut-il s’en étonner ? En fait non, car qu’est-ce que l’homme impie dont l’intelligence bloquée par Dieu ne lui laisse que la possibilité d’agir comme un robot piloté pour le conduire à sa perte, par Dieu et le diable ? Un simple robot d’apparence humaine.
Dieu a créé l’homme qui a produit le robot. Aussi, pouvons-nous retrouver, en Dieu lui-même, à la fois, un Esprit illimité qui, plein de sentiments, fonctionne comme celui de l’homme, et un super robot pensant qui ridiculise par sa mémoire illimitée toutes les productions humaines dans l’intelligence artificielle.
Dieu a créé le principe de la « logique » qui est dans sa nature de toute éternité. Et ce mot « logique » peut-être associé au mot « vérité » que Jésus est venu incarner dans sa perfection. C’est au nom de son comportement « logique » que le Dieu de vérité condamne à mort le menteur et le mensonge. Car, « logiquement », il condamne tout ce qui s’oppose en contraire absolu à ce qu’il approuve. Paradoxalement, au temps de la fin, en faisant construire l’intelligence artificielle par les êtres humains, Dieu dirige leur attention vers lui-même, car ils retrouvent dans ce comportement d’une « logique » absolue, celle qui anime et motive les décisions prises par le Dieu créateur. Entre Dieu et la machine, l’homme subit la faiblesse de sa nature sentimentale ; or, cette faiblesse n’existe, ni en Dieu, ni dans la machine. La situation créée apporte la démonstration que l’être humain ne peut obtenir des réponses idéales qu’en Dieu, parce qu’il a, lui, les avantages de l’homme qui pense et ressent et ceux de la machine qui traite les données à la vitesse du courant électrique. Et là encore, sa rapidité dépasse cette loi de l’électricité qu’il a créée. Son Esprit fonctionne sur la vitesse de sa pensée qui voyage et survole le passé, le présent et le futur, dans l’instantané.
Nous avons donc en Dieu un modèle parfait du sens porté par le mot « logique ». C’est son Esprit « logique » qui l’a conduit à appliquer la sentence de mort sur nos premiers parents Adam et Eve, aussitôt après qu’ils ont désobéi à son interdiction de manger du fruit interdit, qui n’était d’ailleurs que le support terrestre charnel et physique du principe d’entrer en relation avec le diable, le Satan, que « l’arbre de la connaissance du bien et du mal » représentait, prophétiquement, dans le « jardin » donné par Dieu. Dès cette expérience, Dieu a rappelé aux humains qu’ils occupent sur la terre une place située sur son domaine ; celui qu’il a créé. Il a fixé les règles qui conditionnent les bonnes relations entre lui et ses créatures. Après le péché, Dieu ne renonce pas à sa propriété terrestre, mais, restant « logique », il va la laisser diriger par le diable, puisque l’homme a choisi de lui obéir, mais pas plus que pendant 6000 ans. Et dès le début du septième millénaire, il reviendra, en Jésus-Christ, reprendre au diable, la terre qui lui appartient de droit et de fait. Les élus étant enlevés au ciel et les déchus étant anéantis sur la terre, il fera de cette terre, l’ex-royaume de Satan, une prison sur laquelle il le retiendra isolé pendant tout le temps des « mille ans » du septième millénaire prophétisé par le sabbat du septième jour de nos semaines.
Il est facile de comprendre que, Dieu représentant en lui-même la perfection du raisonnement et du comportement « logique », il demande à ses créatures élues de lui ressembler. Pour répondre à cette demande, l’élu doit apprendre à vivre sur le respect des principes, sans se laisser affaiblir par ses sentiments soit, il doit apprendre à se méfier, comme de la peste, de sa faiblesse humaine. La « logique » parfaite ne se trouve donc qu’en Dieu et en tous ceux qui renaissent de lui soit, exclusivement, ses élus rachetés par le versement du sang innocent de Jésus-Christ. Et il faut relever ce paradoxe, qu’en créant « l’intelligence artificielle », des êtres humains, naturellement, eux-mêmes, illogiques dans leur comportement, ont néanmoins construit leurs machines sur la base de la « logique » la plus simple et la plus basique. Je me permets ici, de contester ce terme « intelligence artificielle » utilisé pour les logiciels informatiques et les ordinateurs. Et vu que Dieu ne reconnaît pour « intelligent » que l’élu qui écoute sa voix et marche sur le chemin qu’il lui trace, selon Dan.12:3 et 10, je ne fais que révéler sa pensée à ce sujet : « Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité…/…Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. » Le choix des informaticiens concepteurs de ce mot « intelligence » est judicieux et séduisant, car il invite à la confiance, les humains que ces machines dirigent. Mais en fait au-dessus de ces machines et de leurs concepteurs humains se trouvent encore unis pour la cause, Dieu et le diable. Car le but est de conduire l’humanité massivement rebelle et incrédule à sa perte. En fait, cette fausse « intelligence » n’est que l’aboutissement « logique » de l’évolution technique humaine. Au début de cette évolution se trouve l’écriture qui permet de transmettre des mots par des signes tracés sur des tablettes d’argile, puis sur du parchemin et finalement sur du papier. Au deuxième stade après la découverte de l’électricité, l’homme a transmis ses messages par le code « Morse » transmis sur des fils câblés réunissant des localités en l’Occident, puis dans tous les pays ouverts à la civilisation occidentale. Dans le langage du Morse, la base logique repose sur le point et le trait soit, sur une impulsion électrique courte pour le point (.) ou longue pour le trait (-). Un alphabet est donc construit sur un ensemble de configuration avec plus ou moins de points et de traits. C’est ce même principe que le langage informatique a développé, dans la suite du temps, le point étant remplacé par la polarité négative ou moins (-), et le trait étant remplacé par la polarité positive, le plus (+). Et là encore, les mots vont être construits sur des configurations de combinaisons multiples qui vont être analysées et traitées à la vitesse du circuit électrique employé. En fait, il est évident que dans cette construction, le mot « intelligence » n’a pas sa place, car il ne s’agit, dans toute cette évolution historique, que de programmations travaillant de plus en plus vite. Après l’écriture manuelle, l’homme a inventé la machine à écrire, mais même assistée par l’électricité, la machine suit un programme que l’homme lui a imposé. Au début de son développement, le langage informatique a été basé sur l’écriture de « 0 » et de « 1 ». Sur carte de carton, des trous et des pleins ont assuré la même fonction dans le système initial. Et aujourd’hui, nos « pc » transportables ou non, fonctionnent des milliards de fois plus vite. Mais nos machines ne sont capables que d’identifier des figures numériques analogues. Elles ne peuvent qu’utiliser les données que l’homme fait, lui-même, entrer dans sa mémoire. Aussi, ces machines méritent uniquement d’être considérées comme des assistantes du travail humain. Et construites par l’homme, elles ne font que reproduire les schémas des pensées humaines imparfaites et illogiques.
Dieu se tient au-dessus de toutes ses créatures célestes et terrestres et il ouvre ou ferme souverainement « le robinet » de l’intelligence qu’il leur donne. L’intelligence n’est pas un droit que l’homme peut revendiquer, surtout si Dieu la lui refuse. Elle n’est dans ce cas qu’une fausse revendication trompeuse, déjà, en premier, pour celui ou celle qui la revendique à tort ; et en second, pour ceux et celles qui croient à l’existence de cette fausse intelligence. En fait, « l’intelligence », la vraie que Dieu donne à ses élus, est une langue secrète réservée à des initiés. « L’intelligence » est aussi « logique », ou elle n’est pas. La « logique » repose sur le raisonnement le plus simple et le plus évident, ce qui la rend adaptée même pour des enfants pour le moins non pervers, comme ceux qui croissent en notre temps actuel. C’est dans une langue secrète, inaccessible aux gens indignes, que Dieu parle à l’esprit de ses vrais serviteurs, ses prophètes, ses bien-aimés élus. Et la preuve de l’existence de cette langue secrète est donnée par la capacité de ses prophètes à interpréter et à comprendre les messages délivrés par des images et des symboles représentés par des mots trompeurs qui confirment ainsi que « la lettre tue » et que seul, « l’Esprit » de Dieu « la vivifie » en inspirant notre « esprit » humain, selon 2 Cor.3:5-6 : « Ce n'est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. Il nous a aussi rendus capables d'être ministres d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'esprit ; car la lettre tue, mais l'esprit vivifie. »
Ce « témoignage de Jésus-Christ » t’est présenté aujourd’hui dans le décryptage de son Apocalypse. C’est le même Esprit divin qui conduit aujourd’hui, mon esprit humain à œuvrer de manière « logique » et à rechercher et trouver dans la sainte Bible, les explications très simples de ces messages imagés. La chose est si simple que chacun est en droit de se demander pourquoi cette œuvre n’a pas été réalisée plus tôt. La réponse est encore plus simple : parce que Dieu ne l’a pas permis avant le temps fixé par lui pour le faire par l’instrument humain qu’il a également choisi pour cette tâche. De plus, les derniers événements prophétisés devaient être proches de leur accomplissement et parmi ceux-ci, celui du changement de camp de l’Egypte qui s’est accompli en l’année 1979, année de ma rencontre avec « l’église adventiste du septième jour » ; la dernière institution encore reconnue par Dieu à cette date ; ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.
Seul un esprit « logique » peut relever les comportements et les propos paradoxaux tenus par le jeune président des Français, l’ex-banquier Emmanuel Macron. Aussi insensibles que lui à la « logique », les journalistes politiques et les hommes politiques ne les relèvent pas et soutiennent aveuglément les décisions qu’il prend et qui les conduisent tous à leur perte. Mais là encore, l’explication de ces comportements est en Dieu qui leur fait construire eux-mêmes le drame qui va les frapper massivement. Dieu les a déjà jugés et maintenant, ils organisent eux-mêmes, par leur soutien donné à l’Ukraine, le futur affrontement avec la Russie et ses alliés, les BRICS, les républiques musulmanes et la Corée du Nord. Pour ses élus, l’approche de la fin du monde, et déjà, des nations, devient en toute « logique », l’avenir prophétisé par Dieu. Mais pour ceux qu’il n’éclaire pas, l’espérance trompeuse ne fait que se prolonger, puisque comme le dit ce dicton : « Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ». Mais que vaut cette espérance qui n’est en réalité qu’une trompeuse illusion ? Ceux qui bénéficient de sa lumière savent que Dieu donne à chacun le salaire que ses œuvres méritent. Nous assistons à une séparation définitive, comparable à celle qui se présenta quand Noé et sa famille entrèrent dans l’arche qui allait les sauver de la noyade généralisée. A l’extérieur de l’arche, des masses humaines se moquaient de Noé et de son arche, comme nos contemporains se moquent de notre intérêt pour la parole prophétique divine. Mais à l’heure où Dieu a ouvert les écluses des cieux, leurs rires moqueurs se sont changés en cris d’angoisse, mais il était trop tard pour eux, et s’élevant toujours plus haut, les eaux les ont recouverts en leur donnant la mort par noyade. L’eau éteint le feu, mais qui peut lutter contre l’eau ? L’arme utilisée par Dieu était imprévisible et hors du contrôle humain. Seule la réelle relation établie avec Dieu permit à Noé de connaître à l’avance le projet destructeur décidé par Dieu. C’est pourquoi, c’est en croyant à l’accomplissement de son projet révélé, qu’à notre tour, nous construisons l’arche spirituelle qui va sauver nos vies au temps du terrible malheur que Dieu prépare pour ses ennemis moqueurs et méprisants. Il existe néanmoins une différence entre notre dernière épreuve et celle du déluge dans lequel l’arche sauva Noé, et sa famille composée de sept personnes. En effet dans Ezé.14:13 à 20, Dieu donne trois situations mortelles dans lesquelles il place Noé, Daniel et Job et il précise que dans chaque cas « …ils ne sauveraient ni fils ni filles, mais eux seuls seraient sauvés ». La famille de Noé profita donc de l’arche indignement et elle ne fut sauvée du déluge que pour favoriser le repeuplement de la terre après ce déluge. Notre cas est, aujourd’hui, celui que Dieu fixe et détermine dans ce texte d’Ezéchiel où l’élu est sauvé sans sa famille, de manière individuelle, car cette fois, Dieu tient compte de la foi individuelle de chaque être vivant. Il nous présente, dans ces trois hommes, Noé, Daniel et Job, l’image des gens qu’il peut et veut sauver pour en faire ses compagnons d’éternité. Depuis que ce texte a été écrit, nous avons découvert d’autres personnages donnés en modèles, après Jésus-Christ, à cause de leur fidélité constante envers Dieu et les normes de la vie qu’il exige. Dix apôtres sur les douze qu’il avait choisi sont restés fidèles jusqu’à leur mort en martyre. Le onzième, Jean, n’est pas mort en martyre, parce que Dieu l’a rendu indestructible pendant sa vie terrestre. Ne sachant plus quoi faire de lui, finalement l’empereur romain persécuteur Domitien, jeune, païen, cynique et arrogant, l’a isolé sous garde romaine sur l’île de Patmos ; Jean y a reçu le message prophétique que Dieu nous a adressé, particulièrement, nous qui vivons les dernières années de l’histoire de l’offre de la grâce divine. Nous n’avons pas plus de raison de mourir maintenant que l’apôtre Jean en son temps. Et c’est bien là, le message secret que Jésus nous a adressé, en rendant la vie de Jean indestructible. Mais faut-il encore que Jésus retrouve en nous, l’image conforme au Jean héritier de son Apocalypse, sa sainte Révélation. Et la réponse à cette angoissante question sera donnée par Jésus-Christ lui-même, et uniquement, par lui. C’est pour des élus ressemblant à Jean, comme Daniel et ses trois compagnons, que Jésus intervient miraculeusement pour préserver leur vie. Et ce n’est pas sans raison que dans son Evangile, Jean se désigne lui-même par l’expression : le « disciple que Jésus aimait » ; expression reprise trois fois, dans Jean 20:2, 21:7 et 20. Et Jésus avait bien des raisons pour aimer particulièrement Jean, parce qu’il lui est resté fidèle pendant toute sa vie et qu’il ne l’a pas quitté, même à l’heure de son arrestation et de sa crucifixion ; Jean était au pied de sa croix et en dernier témoignage, avant de rendre son dernier soupir, Jésus lui a confié sa mère terrestre, Marie, la vraie.
Déjà sur la terre, tout au long de son ministère, Jésus s’est efforcé de révéler la norme du jugement de Dieu. Dans ce but, il a multiplié des exemples construits en forme de paraboles qui exigent des auditeurs un esprit « logique » et simple semblable à celui d’un enfant. Et là encore, le jugement de Dieu a permis aux uns de comprendre et aux autres de ne rien comprendre, parce qu’il connaît la pensée de toutes ses créatures. Les pratiques religieuses séculaires de la fausse foi et fausse religion l’ont fait oublier, mais dans sa parabole de la brebis perdue, Jésus enseigne que c’est bien lui, le « bon Berger fidèle » qui prend l’initiative d’aller à la recherche de sa brebis égarée. Ce point là est fondamental, mais les conversions forcées l’ont masqué et fait oublier et ignorer pendant des siècles d’enseignements religieux mensongers. Cette idée est pourtant si simple et si logique ! Pourquoi Dieu devrait-il rechercher des brebis rebelles ? Qui, sur la terre, recherche la compagnie d’une personne contredisante ? Personne, donc Dieu non plus. Or, la raison de l’existence de la religion est pour l’homme et pour Dieu uniquement la recherche et la sélection d’amis éternels. Quel rôle tient l’être rebelle dans ce projet d’amour sans nuage ? Il reste le vase raté par le maître potier et n’est plus utile à rien et il finit à la casse, brisé et détruit. Dans toutes les industries, dans les chaînes de productions, des défauts de conception conduisent des produits vers la boîte à déchets. La procréation humaine fonctionne de la même manière. Dans tout ce que l’humain fait naître, Dieu ne retient pour lui que ce qu’il considère comme digne de son amour et de son offre de vie éternelle, et le reste, c’est pour l’anéantissement, la destruction complète et définitive de la « seconde mort » du « jugement dernier » d’Apo.20:13 à 15 : « La mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et le séjour des morts rendirent les morts qui étaient en eux ; et chacun fut jugé selon ses œuvres. Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. »
Dieu nous donne dans sa parole la preuve de sa parfaite « logique » lorsqu’il nous dit dans Mat.25:29 : « Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l'abondance, mais à celui qui n'a pas on ôtera même ce qu'il a ». Car de quoi parle-t-il ? De la foi, sans laquelle il est impossible de lui être agréable. Aussi sous cet aspect qui peut paraître paradoxal, Dieu délivre un message parfaitement « logique ». Dans son amour pour ses élus, il encourage ses serviteurs fidèles afin d’intensifier et de prolonger leur fidélité. Ainsi, en toute justice et « logique », il donne sa lumière aux êtres qui l’apprécient et la recherchent. Et je peux dire que comme Daniel selon Dan.10:12, mon désir de « comprendre » ses prophéties a été exaucé au-delà de toutes mes espérances : « Il me dit : Daniel, ne crains rien ; car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre, et de t'humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues, et c'est à cause de tes paroles que je viens. ». Et je me souviens de cette année 1974, en laquelle musicien dans un cabaret, j’étais perturbé à cause d’une expérience sentimentale douloureuse et diabolique. Dieu m’a alors inspiré les paroles de ce chant dont le titre est : « On ne croit plus en rien ». Tu peux le retrouver sur le site « attentejc2030.com » parmi les nombreux autres chants écrits par la suite. Mais déjà dans ces paroles, je témoignais de ma foi pour les 6000 années du programme terrestre divin. Je n’avais pas encore compris le sens prophétique des six jours de nos semaines, mais sachant que depuis Adam jusqu’à Jésus-Christ 4000 ans environ s’était écoulés, le soudain développement technique démarré vers 1800 me portait à croire que Jésus reviendrait en l’an 2000. En 1975, une vision donnée par Dieu prophétisa son appel pour mon ministère prophétique engagé après mon baptême adventiste en Juin 1980. Et à partir de cette nouvelle naissance, le fruit est né, sous l’aspect d’un décryptage biblique des livres prophétiques de la Bible, en premier, l’Apocalypse, en second, Daniel, et en troisième, la Genèse soit, paradoxalement, dans le sens contraire de l’ordre croissant, dans l’ordre décroissant soit, de « l’oméga vers l’alpha », de la fin vers le commencement qui livre les clés principales du temps du projet divin. Dans un premier temps, mon attente du retour de Jésus-Christ pour l’an 2000 semblait être confirmée par le retard de 6 années dans la datation de la naissance de Jésus dans notre faux calendrier. Ce retard confirmait la date 1994 obtenue par le calcul des données prophétisées dans Daniel et Apocalypse. Et ce n’est qu’après 1994, que Dieu m’a permis de comprendre le vrai sens qu’il a voulu donner à cette date 1994. Elle devait marquer son rejet de l’institution « adventiste du septième jour » officielle, rejet motivé pour les mêmes démonstrations de désintérêt pour ses annonces prophétiques témoignées en 1843 et 1844 par les groupes de la religion protestante. Pour son jugement, dans ces deux situations, Jésus s’appuie sur un constat relevé et enregistré par ses témoins angéliques invisibles et indiscutables. Et pour les hommes vivant sur la terre, le témoignage historique confirme ces comportements ou ces « œuvres » que Jésus juge souverainement.
J’ai associé les mots « logique » et « vérité ». Mais ces deux mots se distinguent en ce sens que la « vérité » est difficile à identifier, parce qu’elle représente la pensée de Dieu mise en action, et en partie, révélée dans la sainte Bible. A l’opposé, la « logique » est très facilement identifiable, car elle est identifiée à des œuvres constatées, indiscutables. Et dès qu’une personne agit de manière « logique » ou « illogique », toute personne dotée d’intelligence peut s’en rendre compte et le comprendre. Beaucoup de gens utilise le mot « logique » sans pour autant se comporter eux-mêmes de manière « logique ». La raison de ce paradoxe est simple : pour être correctement vécue et pratiquée, comme « la vérité », la « logique » doit être aimée par celui qui l’exalte et l’évoque. Car l’homme ne respecte et honore que ce qu’il aime, et aime vraiment.
M3- Les grandes visites
Le 21 Septembre 2023, date anniversaire de l’abandon du régime monarchiste de la France le 21 Septembre 1792, la France a reçu, en visite officielle, le nouveau roi d’Angleterre, Charles III et son épouse la reine consort Camilla. Le peuple de France a offert au roi un accueil chaleureux très enthousiaste, criant « vive le roi », au point que le roi aurait déclaré : « finalement ces Français ne sont pas si républicains que ça ». Et en vérité, il n’a pas tort, car se montrant capables de supporter, sans se révolter, la dictature de la 5ème République, et surtout, la gouvernance autoritaire cynique de son dernier président, ils prouvent qu’un régime monarchiste ne les effraierait pas. Dans un luxe semblable aux soirées organisées par Louis XIV, à Versailles, dans la « galerie des glaces », une longue table dressée a accueilli et rassemblé 170 convives. Dans cette rencontre, le vrai roi sans pouvoir d’une monarchie parlementaire a visité le président, porteur du pouvoir illimité d’un roi, de la République française. Cette attablée où les deux rois ont partagé un repas avec leurs plus proches amis et soutiens m’a rappelé ce verset de Dan.11:27 : « Les deux rois chercheront en leur cœur à faire le mal, et à la même table ils parleront avec fausseté. Mais cela ne réussira pas, car la fin n'arrivera qu'au temps marqué. » Je suis honnête, ce verset ne concerne pas nos deux rois actuels, mais le roi séleucide et le roi lagide de la Syrie et de l’Egypte, vers – 170. Cependant, l’hypocrisie et la fausseté concernant, depuis cette lointaine époque, toute l’humanité maudite par Dieu, je ne peux m’empêcher d’établir un lien. En sorte que ce verset peut être pris comme un avertissement divin à validité constante. Et cette idée est encore justifiée par cet autre jugement divin révélé dans Dan.2:43 : «Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. » Et cette fois, ce jugement divin est bien de validité constante, puisqu’il concerne l’Europe occidentale depuis son aspect originaire de dix royaumes jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ.
Les chefs de deux pays ruinés cherchent donc à renforcer leur lien, s’appuyant l’un sur l’autre, et là encore, la situation me rappelle la parabole des « deux aveugles » qui finissent par « tomber dans une fosse », selon Mat.15:14.
Après cette visite royale, est venue à 16 heures le jour suivant, le vendredi 22 Septembre, le début de la visite du pape François à Marseille. Ainsi commence dès ce jour, la visite de la grande séduction qui ne trompera que les gens maudits par Dieu. Dès son arrivée à Marseille, le pape s’est rendu à la basilique « Notre-Dame-de-la-Garde » rappelant que les Marseillais l’appellent la « bonne mère ». Et ce fait suffit à lui seul pour en faire des maudits de Dieu. Le but de cette visite est d’exhorter les gens religieux à se montrer accueillants envers les émigrés venant du Sud. Sa visite prend donc une forme œcuménique et les représentants locaux des autres religions étaient à ses côtés pendant qu’il adressait son premier discours séducteur. Prends les paroles de Jésus et mets les dans la bouche de ce serviteur du diable et tu comprends ce que l’Esprit divin nomme « ange de lumière ». En fait, ses paroles sont irréprochables, parce qu’il reprend des pensées enseignées par Jésus-Christ, mais il les utilise dans une démarche strictement humaniste, sans tenir compte des priorités que Dieu donne à la situation spirituelle de ses créatures. Lui, le pape, l’instrument diabolique de la séduction, lui qui transgresse les commandements de Dieu, vient donner des leçons de comportements religieux aux êtres humains. Ses discours ne peuvent être reçus que par des gens maudits parfaitement humanistes qui, comme lui, privilégient les droits de la créature au-dessus des devoirs envers Dieu. Et tous ceux qui vont être sensibles à ses discours sont déjà coupables envers Dieu de ne pas avoir tenu compte du message présenté au temps de la Réforme protestante, au 16ème siècle. De même que l’alliance juive devait disparaître remplacée par la nouvelle alliance fondée par Jésus-Christ, la religion catholique romaine devait disparaître remplacée par la religion protestante jusqu’en 1843. Ensuite, à partir de cette date, et encore plus depuis 1873, ce protestantisme devait disparaître, remplacé par « l’adventisme du septième jour ».
Le pape vient donc présenter à Marseille, un discours humaniste à un auditoire humaniste. Dieu n’est pas honoré dans cette affaire, et il organise cette visite uniquement pour maudire davantage les masses humaines idolâtres. Sa visite à « Notre-Dame-de-la-Garde » a pour but de bien placer son action sous la bénédiction de la « Vierge » diabolique à laquelle il voue une grande dévotion. Par cet engagement public, il associe à son péché, tous ceux qui participent à son action. Et, en conséquence, le sang versé par Jésus-Christ ne peut pas leur être imputé à justice. Le diable les tient et il peut leur faire partager sa propre condamnation. Etre religieux ne signifie pas être stupide, bien au contraire, le véritable élu est, selon Dieu, doté d’intelligence, et d’une intelligence particulière qui prend l’aspect de la sagesse. Et cette sagesse suppose des analyses en profondeur pour chaque sujet étudié car la prudence est de mise et conseillée par Jésus-Christ, selon Mat.10:16 : « Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes ». Il est facile de dire « il faut accueillir », cependant relève-le, Dieu lui-même a interdit à son peuple de faire des mariages avec des étrangers. Le pape semble ignorer cet ordre divin, et beaucoup d’autres, beaucoup plus importants. Or la raison pour laquelle Dieu a interdit ces mariages est aussi celle qui justifie aujourd’hui le refus de l’accueil d’étrangers aux coutumes et religions différentes de la religion chrétienne originelle adoptée depuis le premier roi de France, Clovis 1er en 496. Toute notre culture repose sur cette base chrétienne qui constitue le ciment fédérateur des nations rassemblées dans l’Europe Unie. Ce que ne comprennent pas les humanistes, c’est qu’en premier, le Dieu créateur Jésus-Christ transforme en malédiction, l’accueil des étrangers païens idolâtres. Au nom des souffrances qu’il a endurées, Jésus-Christ, ne peut pas approuver l’accueil de gens qui importent leur religion païenne. Et le résultat de ce type de mélange ethnique maudit, reproduit la situation de « la tour de Babel », sauf que, maintenant, le jugement de Dieu ne se fera pas par une confusion des langues, mais par une effusion du sang des êtres coupables rassemblés.
Ne pouvant pas exhorter les hommes à l’obéissance aux commandements de Dieu et toute sa vérité doctrinale, le pape utilise le langage de l’amour contre lequel personne ne peut s’opposer. Le message d’amour devient dans sa bouche l’appât irrésistible qui fait de cette bouche séductrice un hameçon redoutablement efficace. Il reste que les hommes ne tombent pas tous dans ce piège. Car sans être un élu et bénéficier de l’intelligence donnée par Dieu, des êtres humains sont convaincus et conscients que l’arrivée massive des étrangers du Sud représente un véritable danger pour leur pays. Il leur suffit de relever les nombreuses réactions agressives qui se sont produites depuis les premières années d’accueil entre 1950 et 1960. La situation s’est clairement dégradée depuis l’accueil des émigrés algériens ; chose logique puisque la relation avec ce pays s’est terminée de manière sanglante en 1962 sur l’ordre : « la valise ou le cercueil ». Les Algériens accueillis après cette date, avaient donc soutenu le combat mené contre la France. Ces émigrés arrivant sur son sol pour les seules raisons économiques, leur ressentiment contre les Français n’allait pas pour autant disparaître miraculeusement. En fait, ces gens de religion musulmane nationale ont installé en France leur mode de vie, leur culture et leur religion. Pendant des décennies, ils ont grandi parmi nous, génération après génération, mais le mélange n’a jamais pris, parce que le religieux musulman n’est pas compatible avec le Français agnostique ou athée. La France révolutionnaire de 1792 est devenue, pour un temps, nationalement athée, mais elle a conservé les bases de la vie chrétienne. Si bien que la fausse foi chrétienne est restée compatible avec les formes de vie adoptées par les libres penseurs de la France. Au nom du respect de la liberté de chacun, la cohabitation a été rendue possible et avec le temps, la libre pensée est devenue majoritaire. C’est alors que l’islam est arrivé, beaucoup moins conciliant en matière religieuse, d’où l’apparition de révoltes sporadiques contre l’Etat des « mécréants », les « infidèles » condamnés par Allah dans le Coran de leur prophète Mahomet. Accueillir encore plus de gens de cette religion est donc quasiment suicidaire. Et chacun peut donc ainsi juger de la nature et de la valeur du conseil du pape qui encourage ce choix suicidaire.
Cette visite papale à Marseille ne s’est pas renouvelée depuis 500 ans, ce qui nous renvoie au 16ème siècle en lequel le visiteur papal actuel était l’ennemi mortel de la France. Dieu nous adresse ainsi un message subliminal : les apparences actuelles sont trompeuses et ne sont dues qu’à la nécessité imposée par le contexte de paix. Mais, le régime papal est resté pour Dieu, le même agent par lequel le diable séduit les habitants de la terre.
Quant à l’Angleterre, elle s’incline, elle aussi, devant les nécessités imposées par le contexte actuel où son économie est très affaiblie et son autorité, en grande partie, perdue. Elle est étranglée par la crise économique et doit satisfaire une population hétéroclite du type « Babel » arrivée de toutes ses anciennes colonies du « Commonwealth ».
Dans la même semaine, une autre visite importante, cette fois aux USA, à l’ONU, a eut lieu. Le président de l’Ukraine s’est adressé aux pays du monde représentés, dénonçant encore « l’injuste » agression de son pays par la Russie. Il en a profité pour dénoncer ceux de ses partenaires européens qui « feignent » de le soutenir ciblant ouvertement la Pologne. Vexé, son président a tenu des propos qui laissaient entendre un abandon du soutien militaire donné à l’Ukraine. La situation a depuis été partiellement réparée, mais des griefs séparateurs demeurent. La Pologne se trouve envahie par les céréales produites en Ukraine et sa propre production devient invendable, étant plus chère. La concurrence économique pourrait donc faire éclater le soutien européen. Ceci d’autant plus que l’aide donnée à l’Ukraine et la conséquence des sanctions prises contre la Russie provoquent une grande inflation et fait augmenter dangereusement le prix de la vie pour les peuples européens. Déjà, par son président, Viktor Orban, la Hongrie a refusé d’appliquer les sanctions contre la Russie et refuse les émigrations sur son sol national. Un autre pays, la Slovaquie, risque de lâcher l’Ukraine à son tour. A son sujet, j’ai pu constater la nullité d’un journaliste qui citant le futur dirigeant de ce pays a rappelé les faits historiques indéniablement accomplis en Ukraine. Comme je le pense également, il rappelle que la guerre actuelle de l’Ukraine n’a pas commencé en 2022, mais en 2014, par l’agression des Ukrainiens nazis contre les Russes ukrainiens et leur langue russe. Après avoir rappelé ces choses, le journaliste a dit que ce pays avait la nostalgie de la gouvernance russe. Il est évident que la précision des faits historiques ne l’intéresse pas. Alors que pour juger du sujet, l’exactitude des faits accomplis est la seule chose qui devrait être retenue. La résilience des Européens n’est peut-être pas aussi forte que les dirigeants européens le souhaitent. Et de plus, le système démocratique provoque des changements des dirigeants nationaux qui peuvent apporter des bouleversements dans les décisions politiques.
Au sujet de cette guerre qui oppose principalement l’Ukraine à la Russie, je dois préciser ce qui suit. Il se peut qu’en apparence et pour un premier temps, la Russie perde sa guerre contre l’Ukraine et qu’elle soit contrainte à renoncer à ses conquêtes territoriales de l’Est de l’Ukraine et même de la Crimée. Si ces choses se produisaient, cela ne signifierait pas pour autant que mes interprétations des prophéties de Daniel 11:40 à 45 seraient fausses et devraient être abandonnées. Le fait que les choses ne s’accomplissent pas encore ne signifie pas qu’elles ne s’accompliront plus jamais. Il ne s’agit que d’une question de temps. Et depuis le début de l’invasion russe du 24 Février 2022, nous assistons à des actions qui préparent le grand affrontement qui conduira la Russie à envahir l’Europe. Mais, Dieu a tenu à préciser que cette invasion succéderait à des attaques menées par le « roi du midi » africain et arabe musulman. Aussi, la Russie peut subir une défaite contre l’Ukraine et l’armement occidental qui lui est donné, mais ensuite, profitant de l’attaque menée par le « roi du midi », elle va trouver l’opportunité d’écraser les nations européennes en les agressant dans une mobilisation générale massive à laquelle la Russie renonce dans son combat actuel qu’elle tient à appeler « opération spéciale ». Cette insistance du chef russe à conserver cette norme pour ce combat, prophétise une autre phase qui ne sera plus une simple « opération spéciale » mais une action guerrière massive d’envergure. Dans cette guerre que la prophétie cible, la Russie fera usage de son impressionnante flotte maritime dont de très nombreux sous-marins nucléaires qui favorisent l’invasion surprise qui manque au combat actuel de la Russie. Car sa faiblesse actuelle repose sur la supériorité du contrôle effectué par les satellites espions qui permettent au camp occidental de voir en temps réel, toutes les actions des armées russes. Un débarquement nocturne à partir des sous-marins sera, lui, indétectable pour les caméras des satellites occidentaux. L’actualité démontre cet avantage du contrôle satellite puisque la connaissance des données GPS vient de permettre à l’Ukraine de frapper le centre de commandement de la marine située à Sébastopol, causant dégâts et morts, y compris des haut-gradés.
Enfin, je rappelle que la foi ne repose pas sur ce que nos yeux voient et constatent. Tout au contraire, la foi véritable consiste à croire aux annonces prophétiques faites par Dieu dans sa sainte Bible, alors même que les choses annoncées ne semblent pas possibles. Cette foi là exprime une confiance absolue pour l’annonce faite par Dieu. Et on peut le comprendre, il organise, volontairement, trompeusement, les faits pour permettre aux incrédules de douter de l’accomplissement des choses annoncées. Ainsi, seuls ses élus qui ne se laissent pas influencer par l’aspect momentané des choses, se montrent dignes de se voir imputer la vraie foi par Dieu, et la « justice éternelle » du Christ qui est sa récompense.
Dans la semaine qui vient de s’écouler, le 21 Septembre a encore été marqué par la restitution à l’Azerbaïdjan, du territoire du Karabakh arménien enclavé dans ce pays. Ecrasé militairement, le camp arménien indépendantiste, en population majoritaire, a accepté sa reddition et sa soumission à l’Azerbaïdjan. Les problèmes touchant cette région de la terre sont significatifs d’un message spirituel donné par Dieu. L’Arménie, jusque-là protégée par la Russie, à cause de sa demande d’adhésion à l’OTAN, perd cette protection et se retrouve face à la Turquie, son ennemie séculaire mortelle, et l’Azerbaïdjan, l’autre composante turque. Cette zone de la terre fut le lieu où sur le mont Ararat, l’arche de Noé échoua à la fin du déluge. Ce territoire est donc marqué comme le pays où la repopulation de la terre a commencé. Et l’existence même de l’Arménie étant remise en question, Dieu signale l’engagement de la dépopulation terrestre universelle, puisque les 8 milliards d’êtres humains actuellement recensés doivent tous disparaître ; les derniers, au printemps 2030, à l’heure du retour glorieux de Dieu en Jésus-Christ. De plus, la Turquie a provoqué un terrible génocide du peuple arménien en 1915 et 1916, années où, en Europe, la Première Guerre Mondiale avait commencé ; ce qui relie le début de la Première au début de la Troisième Guerre Mondiale, actuellement, en début d’engagement. Dans la ville de Valence où je vis, une forte communauté arménienne est présente depuis l’arrivée de quelques familles arméniennes à partir de 1915 ; grâce à leur entraide fraternelle communautaire, ils détiennent, aujourd’hui, la majorité des commerces de cette ville, préfecture du département de la Drôme, et étant religieusement d’origine chrétienne, leur insertion dans le peuple français n’a pas posé de problème. Mais le drame qui frappe aujourd’hui l’Arménie me permet de prévoir la venue de nombreux émigrés arméniens qui vont trouver, dans la communauté déjà installée en France, et particulièrement à Valence, des lieux d’accueils fraternels favorables. Il se peut aussi, que la France se sente, moralement, obligée d’intervenir pour soutenir l’Arménie par un engagement militaire contre ses agresseurs turcs et azéris. Mais l’intérêt économique et politique rend ce soutien peu probable, car la France est liée à la Turquie par leur commune adhésion au pacte de l’OTAN, et pour sa part, l’Azerbaïdjan vend son gaz à l’Europe pour remplacer le gaz russe sanctionné, refusé et abandonné, par le camp de l’OTAN.
M4- Les paradoxes de l’âme humaine
Dans la Bible, le premier inspiré qui s’est exprimé sur ce sujet des paradoxes de l’âme humaine est l’apôtre Paul qui décrit si bien le désarroi de l’être humain livré à ses contradictions, dans Rom.7:14 à 24 : « Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ; mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?... Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur !... Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché. »
Le mécanisme du principe auquel tous les êtres humains sont soumis depuis Adam et Eve nous conduit tous à pousser ce cri qui exprime notre besoin de l’aide divine : « Qui me délivrera du corps de cette mort ?... Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur!... » Paul, donne la réponse à notre problème : « Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur !... ». Cette seule phrase résume le principe du salut offert, par Dieu, au titre de grâce basée sur la foi placée sur son incarnation en Jésus-Christ. Mais la leçon donnée par Paul ne s’arrête pas à la fin de ce chapitre, car dans le chapitre 8 qui suit, il va développer le fonctionnement pratique, bien concret, du principe de la grâce divine. Paul s’est placé dans la situation tragique qui concerne tous les êtres humains, mais pour les vrais serviteurs de Dieu, la situation va évoluer vers « la sanctification » et dans cette démarche, ils vont devoir, par amour pour Dieu, vaincre le péché et l’abandonner en donnant à leur esprit, un regain de motivation qui leur en donnera la force et la possibilité. Car Jésus est venu sur la terre pour obtenir la « fin du péché », non seulement sur le plan dogmatique théorique, mais sur le plan littéral. Mais seuls ses vrais élus lui rendent cette gloire, en obtenant la victoire sur leurs péchés. Des rechutes sont possibles jusqu’à la fin marquée par le retour de Jésus-Christ. Mais à l’heure de sa venue glorieuse, la victoire sur leurs péchés devra être complète. Et le contexte de vie de ce moment favorisera cette absence du péché. Le temps de la dernière épreuve de foi exigera des élus une sanctification pure et intégrale de toute leur âme.
Le principe de la grâce fait que plus on aime Dieu et ses normes de vie, moins on aime ce qu’il désapprouve. Et c’est pourquoi, la victoire finale n’est possible que pour des élus qui aiment Dieu très fortement. Nous sommes faits à l’image d’une balance à double plateaux. L’un représente l’amour pour Dieu et l’autre concerne l’amour du monde. Et Dieu peut seul évaluer, sans se tromper, lequel des deux plateaux est le plus lourd. Chez l’élu, l’amour pour Dieu domine, mais ce n’est là que la phase débutante de sa conversion. L’exigence du salut basé sur la foi l’engage dans un combat qu’il doit livrer contre lui-même, contre ses faiblesses charnelles de tout type, parce qu’elles représentent le péché, et que le péché doit disparaître, pour que la mort de Jésus-Christ n’ait pas été vaine.
Dans Romains 8, Paul met en évidence le combat qui oppose l’esprit de l’être humain, aux exigences de la chair, qui le conditionnent de sa naissance jusqu’à sa mort.
L’homme naturel incrédule ou incroyant restera jusqu’à sa mort la victime inconsciente de ses faiblesses charnelles humaines. Il ignore et voudra ignorer, la juste condamnation divine qui pèse sur lui. Mais ce n’est pas pour ce genre d’être humain que Jésus est venu mourir en offrant sa vie à la crucifixion romaine. Il est venu sur terre et a souffert, volontairement, pour donner à ses élus une forte motivation de combattre le mal et le péché. En reconnaissant un élu qui lui appartient comme un esclave appartient au bon Maître qu’il représente, Jésus lui offre son aide précieuse. Il dirige ses pensées vers le bien et l’encourage à progresser dans cette voie. Mais Jésus ne transforme pas sa créature par sa puissance illimitée comme beaucoup le pensent et l’espèrent. Sa puissance créatrice contraignante divine changera, seulement, le corps de chair de ses vrais élus en corps spirituel lorsqu’à son retour en gloire, ils devront quitter la terre du péché. Mais pour être ainsi transformés physiquement, les élus doivent auparavant obtenir la transformation mentale de leur esprit terrestre. Et c’est donc ce combat que Paul évoque dans Romains 8:5 à 8, disant : « Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit. Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix ; car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas. Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu. » Dans ces versets, Paul nous explique pourquoi, le salut n’est pas possible pour les êtres humains qui vivent dans « l’affection de la chair » avec ses faiblesses de tout type. Ceux qui agissent ainsi « ne sauraient plaire à Dieu » ; ce qui démasque toute les revendications trompeuses de la fausse foi sous ses multiples aspects. Il parle ensuite des vrais élus approuvés par Dieu et dit : « Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. » Paul nous indique un moyen pour savoir si Christ habite en nous. Nous savons que Christ condamne l’affection de la chair et qu’il ne peut donc pas cohabiter dans l’esprit d’une créature qui agit de cette manière. Seule, la pureté du corps et de l’esprit d’un véritable élu rend possible cette cohabitation avec l’Esprit divin de Jésus-Christ. Paul dit ensuite, dans Rom.8:10-11 : « Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l'esprit est vie à cause de la justice. Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. » La « mort » désignée dans ces versets est la première « mort » ; celle qui a été causée par le « péché » originel depuis Adam et Eve. Et cette « mort » n’est pas enlevée par la « justice » du Christ. Sa grâce ne fait disparaître que la « seconde mort » réservée pour tous les êtres non élus et non reconnus par Jésus-Christ. A l’opposé, la promesse de vivre éternellement est donnée aux vrais élus, parce qu’ils bénéficient de la justice parfaite de Jésus-Christ. Cette justice leur est imputée au moment de leur baptême. Mais au retour du Christ, cette justice imputée deviendra impartie, parce que le combat livré, continuellement, en eux-mêmes, contre le mal, aura reproduit, en eux, la justice portée par Jésus-Christ de manière personnelle.
Paul dit encore aux versets 12-13-14 : « Ainsi donc, frères, nous ne sommes point redevables à la chair, pour vivre selon la chair. Si vous vivez selon la chair, vous mourrez ; mais si par l'Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez, car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu. » L’élu est redevable au Dieu Esprit qui le sauve. A ce titre, il va collaborer avec l’Esprit du Christ qui vient cohabiter en lui, pour faire « mourir les actions du corps » qui génèrent le « péché ». Le verset 13, « Si vous vivez selon la chair, vous mourrez » concerne les membres des religions qui revendiquent la fausse foi. Tous ceux qui justifient le « péché » dans les œuvres religieuses qu’ils pratiquent et approuvent. Ces versets sont d’une très grande importance, car ils témoignent de la nécessité de renoncer à la pratique du péché charnel. Mais le péché n’est pas que charnel, il est aussi, bien plus gravement, spirituel, quand il consiste à contredire des déclarations faites par Dieu, lui-même, dans les écrits de sa sainte Bible, des deux alliances. C’est alors que sous l’aile de la religion, le péché devient le mensonge qui nie ou déforme la sainte vérité divine biblique.
C’est sous cet aspect religieux que nous trouvons les comportements paradoxaux humains les plus néfastes. Des gens prétendent aimer et servir Dieu, alors même qu’ils lui désobéissent et osent justifier leur démarche rebelle. Comment expliquer une telle situation ? La réponse est dans la séparation en deux camps distincts de tout ce qui vit sous forme angélique ou humaine. Deux camps qui constituent le bien, et son opposé absolu, le mal. Les anges et les humains créés par Dieu, subissent les conséquences de ces deux pensées qui les habitent à des dosages différents. Et ce dosage individuel n’est évalué que par Dieu, mais il représente notre véritable « moi », car il résume tout ce que nous représentons pour Dieu, notre divin Juge, « un élu ou un déchu ». Sur la terre, il a fallu attendre les progrès scientifiques pour découvrir l’intérêt de nos empreintes digitales. Il est venu à la vie des milliards d’être humains et pas de cas d’empreintes digitales reproduites en double. Chaque créature a sa signature dans ces empreintes physiques charnelles. Depuis, la science a encore découvert le génome de l’ADN, encore plus précis et toujours unique pour chaque créature. Les croyants, les vrais, peuvent relever en cela, la preuve que Dieu veut donner, à chacune de ses créatures, une empreinte spécifique qui la distingue des autres qui lui ressemblent, mais uniquement en trompeuse apparence.
Nos paradoxes humains sont ainsi reproduits en milliards d’exemples différents uniquement par le dosage des proportions « bien et mal » qui les habitent et les constituent. Et ce principe s’applique autant au niveau esprit que celui de la chair. Dans l’exemple donné par l’apôtre Paul, ce dosage du bien et du mal doit être changé chez l’appelé pour qu’il devienne un élu de Jésus-Christ. Le mal doit régresser et le bien doit progresser jusqu’à éteindre le mal et ses fruits. Dans la vie humaine, tout est en constante évolution : les cellules physiques meurent et sont remplacées ; plus difficilement, les cellules des neurones sont également partiellement renouvelées jusqu’à l’âge de la vieillesse où ces cellules fonctionnent de moins en moins bien. La vie spirituelle repose sur le même principe du renouvellement, mais dépendant uniquement du bon vouloir et de la puissance du Dieu créateur, elle ne faiblit pas avec l’âge et même dans un corps âgé d’octogénaire, j’en témoigne, le discernement spirituel n’est pas affaibli par l’âge. Le paradoxe est donc énorme, car le corps physique s’affaiblit quelque peu, mais l’esprit reste vif et vigilant. C’est alors que la norme de l’éternité apparaît et se rappelle à la pensée humaine. L’esprit d’une créature ne vieillit pas. Cependant, la mort peut marquer sa fin, brutalement, selon que Dieu le décide ou le permet. Dans les trois religions monothéistes, des multitudes de gens se réclament d’un salut et d’un droit à la vie éternelle qu’ils n’obtiendront jamais. Quel paradoxe ! Des multitudes d’autres croient à leur réincarnation, ignorant que, selon Héb.9:27-28, le vrai Dieu n’offre qu’une seule chance, une seule vie terrestre, à ses créatures : « Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seul fois, après quoi vient le jugement, de même Christ, qui s'est offert une seul fois pour porter les péchés de plusieurs, apparaîtra sans péché une seconde fois à ceux qui l'attendent pour leur salut. »
Sur le plan collectif, ces paradoxes individuels humains sont reproduits. Et que voyons-nous en regardant la terre et l’humanité actuelle ? Les peuples occidentaux héritiers des Evangiles de la sainte Bible se comportent d’une manière opposée dans l’absolu à l’image portée par Jésus-Christ. Ils deviennent de plus en plus violents envers ceux qui ne partagent pas leurs idées. Et ce n’est pas le moindre des paradoxes qui apparaît dans la guerre de l’Ukraine qu’ils soutiennent et arment au prix de centaines de milliers de morts ukrainiens et russes ; ceci au titre de défenseurs de la paix et de la justice. Mais il ne s’agit pas de la paix et de la justice de Dieu mais de leur conception personnelle de ces deux choses. Voulant défendre la paix, ils alimentent la guerre, parce qu’ils placent leur conception de la justice, partagée par des accords humains et des règles élaborées et acceptées par les pays occidentaux, qui ont longtemps géré les pays sous-développés de la terre. Ils invoquent leurs règles imposées aux autres peuples au temps de la victoire, pour justifier l’aide militaire donnée à l’Ukraine. Pendant des milliers d’années, précisément, six mille ans moins six ans et demie, des dominateurs se sont élevés imposant toujours leur loi par leur victoire dans leurs guerres. Dans Daniel, Dieu construit sa prophétie sur les dominateurs qui se sont succédé depuis l’empire chaldéen du roi Nébucadnetsar. « La loi du plus fort est toujours la meilleure » a dit et écrit le fabuliste Jean de la Fontaine, à propos du loup qui dévore les agneaux. En Ukraine, qui est le loup et qui est l’agneau ? Nos humanistes responsables de la mort de cinq cent mille âmes humaines vont sans aucun doute dire qu’ils sont les agneaux et accuser la méchante Russie d’être le loup. Mais l’Europe a donné son soutien à un loup en suivant le choix guerrier encouragé par les USA qui portent dignement le symbole du loup ravisseur qui arrache à l’alliance russe un pays qui lui était rattaché : l’Ukraine. En suivant le choix du loup américain, l’Europe se prépare un destin d’agneau que le loup Russe exaspéré et irrité viendra dévorer en son heure, probablement en 2025 ou 2026.
« C’est donc à leur fruit que vous les reconnaîtrez », a dit Jésus au sujet des prophètes et des êtres humains dans Mat.7:20. Les Occidentaux ne se réclament plus des valeurs chrétiennes, car en majorité ils sont devenus incroyants. Mais en eux, les bases chrétiennes sont restées, valeurs de paix, d’amour et de justice. Cependant, incapables de comprendre que les choses arrivent et s’accomplissent selon la volonté du vrai Dieu créateur invisible, ils appliquent mal les valeurs chrétiennes héritées. Mais après tout, ils ne font que reproduire le modèle d’injustice que la religion catholique papale romaine leur a présenté comme justice chrétienne pendant « 16 siècles » depuis le roi des Francs, Clovis 1er. La société semi-athée de notre temps final ne pouvait pas faire mieux que ce que la fausse foi chrétienne a fait pendant ces « 16 siècles ». « On ne peut donner que ce qu’on a reçu » dit ce dicton, et ne recevant pas de Dieu, le bien, mais du diable, le mal, le jugement européen est logiquement faussé et orienté vers le choix du mal. Pendant des milliers d’années des peuples ont été conquis et ont perdu leur indépendance, absorbés et regroupés sous l’autorité du vainqueur dont la loi sera toujours la meilleure et la norme imposée. Notre temps n’échappe pas à cette règle historique, sauf qu’en notre époque, le monde occidental s’est pris à rêver d’une éternité de paix, d’alliance et d’entente mondiale. Les valeurs occidentales étant considérées par les Occidentaux comme les meilleures, il devenait nécessaire de les faire reconnaître par tous les peuples de la terre. Et c’est ce que la longue domination européenne occidentale a réussi à faire jusqu’en l’année 2022, où la dispute, provoquée par la demande d’adhésion à l’OTAN de l’Ukraine, a suscité la colère guerrière de la Russie ; et depuis 2023, le regroupement des alliés de cette Russie est venu remettre en cause la domination hégémonique du camp américain de l’OTAN qui rassemble les plus anciennes et les nouvelles nations européennes occidentales. De plus, en accueillant les anciens pays colonisés par la Russie, l’Europe et le camp de l’OTAN ont trouvé des peuples aigris et rancuniers envers la Russie nouvelle reconstruite par le président Vladimir Poutine. Du coup, le rassemblement du camp de l’OTAN est composé de gens irrités et haineux et de gens plus pacifiques ou moins teigneux. Ce mélange hétéroclite ne devrait pas tenir très longtemps, car ceux qui haïssent la Russie la haïssent vraiment, et ceux qui sont pacifiques lui trouvent des circonstances atténuantes et partagent les torts avec les Ukrainiens, auteurs et organisateurs du « putsch » de Maïdan qui a été, en 2013, à l’origine des attaques menées contre la culture russe et son président ukrainien russe légalement élu. Le gouvernement des « putschistes » a entrepris ensuite une guerre contre les Ukrainiens russes de l’Est restés attachés à leur culture russe. Et nos Occidentaux, défenseurs de la paix et des valeurs humanistes sont restés pendant 8 ans indifférents à la guerre dont cette population ukrainienne et russe était victime de la part de gens qui avaient pour instigateurs et héros nationaux, les nazis. On relève bien là, de nombreux paradoxes qui sont les fruits portés par l’humanité séparée de Dieu.
Habitant en France, je trouve en son trop jeune président, Emmanuel Macron, un modèle, hors du commun, des paradoxes humains. Chez lui, le paradoxe semble être une nature fondamentale de son être. On relève dans sa vie, des paroles paradoxales et des comportements paradoxaux. Lui qui avait annoncé et revendiqué, lui-même, « l’immaturité et l’inexpérience » n’a pas déçu ses électeurs, mais combien parmi eux avaient relevé son propos ? Le message du moment était, « tout, sauf le Front national », rebaptisé depuis « Rassemblement National ». On peut comprendre alors pourquoi l’avertissement donné par le futur Président n’a eu aucun effet sur les électeurs épouvantés et formatés par des dizaines d’années de diabolisation du mot « national ». Et ceux qui ont ainsi agi par haine de ce terme national en paieront le prix fort, en voyant ou en partageant la destruction de leur « unique » nation, de sa terre et d’une partie de son peuple. Pour compenser, son immaturité et son inexpérience, le jeune homme est volubile et dans un style typique de la jeunesse, il masque son manque de réflexion et d’analyse, par un flot de paroles au rythme très accéléré qui donne le change à ses auditeurs et lui donne l’impression de maîtriser tous les sujets abordés. Cette technique ne peut tromper bien sûr que les gens superficiels, hélas, les plus nombreux dans la masse des électeurs français !
Je rappelle donc cet autre paradoxe, au sujet de son jugement porté sur les deux « putsch » de Maïdan en Ukraine, et plus récemment, celui du Niger. Dans les deux cas, le président légitimement élu est renversé et notre président soutient celui de l’Ukraine et condamne celui du Niger.
Dans l’actualité, un autre foyer dans les Balkans risque de reprendre feu. On signale un amassement de chars d’assaut serbes sur la frontière avec le Kosovo. Et ce fait nous rappelle une action à imputer au camp européen et à l’OTAN. En 1999, frappée par les bombes américaines, la Serbie a été contrainte à abandonner le territoire du Kosovo aux Albanais qui étaient au fil du temps venus s’y installer. Ceci au titre du droit du sol européen qui donne à la population qui y habite et y vit, le droit de constituer une nation indépendante. Pour les Serbes, le Kosovo représente la terre de leur origine et ils ne se sont jamais résolus à renoncer à sa propriété. A l’époque, des Russes alliés des Serbes, se trouvaient sous ces bombardements, mais la Russie était à ce moment, faible et en crise, ruinée. Je me souviens des circonstances qui ont fait entrer l’ex-Yougoslavie en conflit ethnique. En visite au Kosovo, le président serbe Milosevic a reçu des plaintes de Serbes qui dénonçaient des brutalités qui leur étaient imposées par des Albanais locaux. Entendant ces choses, le président serbe s’est enflammé d’indignation et c’est ainsi que la guerre a commencé. Mais la Serbie ne fut pas la plus forte, car l’OTAN est venu défendre la Bosnie musulmane, la Croatie catholique romaine et à la fin, elle a donné le Kosovo aux Albanais musulmans. Là encore, « la loi du plus fort a été la meilleure », mais l’injustice commise n’a jamais été acceptée et le temps passant, la situation redevient favorable pour la Serbie qui peut maintenant compter sur le soutien de la Russie devenue, aujourd’hui, ouvertement, l’ennemie du camp de l’OTAN. Ainsi, ceux de l’OTAN qui ont enlevé à la Serbie le territoire du Kosovo qui lui appartenait officiellement, défendent aujourd’hui, un territoire ukrainien qui a longtemps appartenu à la Russie soviétique. Ces anciens défenseurs de l’interventionnisme international, reprochent à la Russie, aujourd’hui, son intervention contre l’Ukraine. Mais, ils ont cependant instauré ce principe et portent la responsabilité des injustices commises dans ces interventions. La guerre des Balkans a donc maintenant toute chance de reprendre, car les haines ethniques des pays concernés, qui reposent sur trois religions concurrentes du monothéisme, qui les divisent, n’ont pas disparues. Aujourd’hui, le principe interventionniste de l’OTAN apparaît sous son vrai jour qui est l’autoritarisme soit, le dictat du camp qui se croit le plus fort à cause du grand nombre de nations riches réunies qui le composent.
Le paradoxe se trouve uniquement dans les êtres créés par Dieu car, en ce qui le concerne, on ne trouve aucun comportement paradoxal dans le grand Dieu créateur. Le paradoxe est la conséquence de l’imperfection de ses créatures angéliques et humaines. Et étant lui-même parfait en toute chose, il est logique de ne pas en trouver en Dieu. Le paradoxe consiste à ne pas respecter les valeurs qu’on approuve. Et si en Dieu, nous pouvons trouver tout et son contraire, il ne transgresse, cependant, jamais, ses principes et leur norme. Dans la démonstration d’amour et dans l’exécution de sa justice, il est irréprochable et porte toutes ses actions dans la perfection. Les anges fidèles que Jésus n’a pas chassés du ciel sont à son image, parfaits et obéissants. Et à la fin du monde présent, les élus rachetés de la terre se joindront à eux pour partager cette perfection éternellement. Le comportement paradoxal actuel des pécheurs humains rachetés sera oublié et remplacé par cette perfection divine.
M5- La première mort n’est qu’un sommeil
Oui ! La « première mort » n’est qu’un sommeil comparativement à la « seconde mort » qui sera un anéantissement complet et définitif de la vie. Mais pour qui n’est pas éclairé par la prophétie de l’Apocalypse, l’expression « seconde mort » peut étonner, voire faire rire. C’est cependant bien par la « seconde mort » que le plan salvateur proposé par Dieu prend tout son sens.
Des êtres humains ont déjà donné au « sommeil » le nom de « petite mort ». Et ils ne se sont pas trompés, car Dieu, lui-même, a voulu créer une relation entre ces deux mots « sommeil et mort ». Mais cette relation ne fonctionne que pour la « première mort » imposée par Dieu à l’humanité pour punir la désobéissance d’Adam et Eve, ou plus précisément dans l’ordre chronologique des faits, d’Eve et Adam. Le premier point commun qui relie la première « mort » et le « sommeil » est que l’un et l’autre sont momentanés et pour l’espèce humaine, suivis d’un réveil soit, d’un retour à la vie consciente. Pour les êtres humains et divers animaux à sang chaud, le « sommeil » est utile pour permettre à l’organisme entier de se fortifier en se régénérant. Le « sommeil » et la première « mort » sont des expériences strictement humaines terrestres. Les bons anges célestes et les mauvais anges terrestres n’ont aucun besoin de « sommeil », car ils ne connaissent pas la forme terrestre de la fatigue qui ne concerne que ce qui est chair terrestre.
Le « sommeil » est un sujet fondamental dans la révélation divine du plan salvateur de Dieu, parce qu’il est une image de ce qu’allait être « la mort » dans le récit de sa création de la « femme », l’aide et compagne d’Adam, le premier homme. Cet enseignement donne à la « mort » un rôle utile qui doit être bien compris. Car, le camp hostile à la vérité du plan salvateur de Dieu s’attaque, particulièrement, à la « mort » de Jésus-Christ ; exemples : les Musulmans confessent croire à l’existence de Jésus-Christ, mais ils refusent de croire qu’il est « mort » sur la croix, allant jusqu’à prétendre que le traître Judas l’a remplacé sur cette croix pour être crucifié à sa place. Il se trouve qu’en réponse à ce mensonge, Jésus a préparé à l’avance dans Apo.1:18, cette réponse affirmative : « Je suis le premier et le dernier, et le vivant. J'étais mort ; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts. » Reconnaître qu’il est bien mort crucifié démasquerait la tromperie qui consiste à prétendre que le fils qu’Abraham devait sacrifier pour obéir à Dieu était Ismaël le fils de l’Egyptienne Agar et non Isaac le fils de Sara, son épouse légitime. De même, de nos jours, l’église faussement chrétienne, mais bien païenne, catholique romaine papale, laisse ses autorités ecclésiastiques assurer que Jésus n’est pas mort volontairement, mais que la méchanceté humaine l’a fait mourir. La « mort » de Jésus est donc bien attaquée et contestée.
Hélas pour ces contradicteurs de tous poils, loups ravisseurs en soutane, costume ou habit asiatique ou djellaba arabe, Dieu a placé dans le récit de sa création terrestre une preuve que Jésus devait bien mourir sur la croix, et volontairement, pour obtenir le droit d’imposer à toutes ses créatures le principe inflexible de sa justice. Il disposait par nature de la puissance pour le faire, mais il voulait le soutien de ses bien-aimés fidèles avant de mettre sa puissance en action. Et ce soutien lui fut définitivement acquis quand il a montré jusqu’où son amour pour ses rachetés terrestres pouvait le conduire ; l’offrande de sa vie charnelle terrestre pure et parfaite en rançon pour payer les péchés de ses élus.
Le détail de cette révélation concerne le « sommeil » dans lequel Dieu fait tomber l’homme pour prélever une de ses « côtes » dont il forma « la femme ». Dans ce récit, Adam symbolise Jésus-Christ et le « sommeil » dans lequel Dieu le plonge, prophétise sa « mort » expiatoire. C’est sur cette « mort » préfigurée que Jésus va construire le salut offert à l’assemblée de ses élus qu’il symbolise à titre collectif comme son « Epouse » qui va, à son réveil, soit après sa résurrection, devenir son « aide », selon Gen.2:18 : « YaHWéH Dieu dit : Il n'est pas bon que l'homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui. » ; ceci, pour rassembler les autres élus au fil des deux derniers millénaires, jusqu’au printemps 2030, date de son retour triomphal glorieux où les derniers rebelles seront tués par la première « mort ». Les mots bibliques placés entre guillemets (« ») résument le projet salvateur organisé par Dieu. Et tu peux relever ainsi l’importance de cette « mort » programmée du Christ, sans laquelle personne ne pourrait être sauvé.
Le long héritage religieux du catholicisme a obscurci pendant longtemps l’importance de la « mort » de Jésus, en dirigeant nos pensées sur la date présumée de sa naissance. Or cette date, n’est pas précisée clairement dans le témoignage biblique, et nous pouvons maintenant en comprendre la raison. Elle était inutile et trompeuse jusqu’au temps où Dieu a choisi d’ouvrir la connaissance de ses élus sur ce sujet. Dans mes travaux, l’analyse de Mat.2:16 m’a permis de comprendre que la date officielle de notre calendrier était fausse et en retard de six années. Et avant 1994, cette donnée confortait mon attente du retour du Christ pour l’année 1994 qui était en vérité l’année 2000 de sa vraie naissance ; mais l’année 2000 dans notre faux calendrier décalé de 35 années par rapport au vrai temps fixé par Dieu. Mais, cette précision perdit son intérêt après 1994 et ce n’est qu’en 2018 que, pour moi, la « mort » de Jésus-Christ est devenue l’élément fondamental du grand projet salvateur préparé par Dieu ; et particulièrement, la date de cette « mort » fixée au 3 Avril 30 de notre faux calendrier usuel. Et s’il faut une preuve encore de l’importance de cette « mort » momentanée du « Messie », nous la trouvons dans ce texte d’Héb.9:22 : « Et presque tout, d'après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n'y a pas de pardon. » ; « pas de pardon » donc, pas de salut possible. Cette déclaration inspirée par Dieu rend sans valeur toutes les revendications des fausses religions non chrétiennes, ainsi que celles des religions chrétiennes qui dévalorisent ou contestent la « mort » volontaire de Jésus-Christ. Toute attaque dirigée contre la « mort » du Messie Jésus est le signe d’une initiative diabolique maudite par Dieu.
Dans le récit de la création de Gen.2:22-23, Dieu nous dit : « Alors YaHWéH Dieu fit tomber un profond sommeil sur l'homme, qui s'endormit ; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. YaHWéH Dieu forma une femme de la côte qu'il avait prise de l'homme, et il l'amena vers l'homme. » Dans ces deux versets, Dieu prophétise en Adam, le rôle salvateur de Jésus-Christ, et sans que ce soit précisé, à la lumière de ces autres précisions données par Jésus dans Mat.25:34, je peux dire que la « côte » prélevée sur Adam était de son « côté droit » : « Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde. » Pourquoi une « côte » ? Parce que la « femme » soit, « l’Elue », qui va être créée à partir d’elle, a vocation à vivre à son « côté », et sur son « côté droit », le « côté » de sa « bénédiction ». Car le verset 41 précise au sujet des autres êtres humains : « Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez-vous de moi, maudits ; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. »
La fin du plan du salut est résumée par cette expression de Gen.2:23 : « et il l'amena vers l'homme ». Cette courte phrase prophétise l’heure de la victoire finale où « l’Elue », rendue éternelle, entrera au titre d’ « Epouse », dans la présence de Dieu en Jésus-Christ, son « Epoux ».
L’humanité ne regarde pas la « mort » comme un « sommeil », qu’elle soit religieuse ou profane. Cette idée a été apportée par Jésus-Christ qui a beaucoup étonné ses premiers auditeurs. Pour l’homme, la « mort » est quelque chose d’irréversible et la disparition de la vie dans l’absolu. Jésus a apporté son regard divin fondé sur son projet salvateur complet qui prévoie deux « résurrections » placées l’une au début du septième millénaire, réservée pour ses élus rachetés, et l’autre, placée à la fin de ce même septième millénaire, pour exterminer tous les êtres déchus anges et hommes. A part les derniers élus restés vivants au retour de Jésus-Christ, tous les êtres humains meurent et sont ressuscités une seule fois. Dans les deux cas, pour les deux camps opposés, la « mort » prend la forme d’un « sommeil » dont le réveil s’effectue par leur « résurrection ». Tous ceux qui ont été vivants seront ainsi ressuscités comme ce verset d’Esaïe 45:23 l’enseigne : «Je le jure par moi-même, la vérité sort de ma bouche et ma parole ne sera point révoquée : tout genou fléchira devant moi, toute langue jurera par moi. » Ainsi, la justice de Jésus-Christ protégeant la vie de ses élus, seuls les êtres terrestres déchus sont amenés à « mourir » deux fois. La première « mort » vient rappeler à l’homme, l’existence du péché qui le condamne à la première et la « seconde mort ». Cette « seconde mort » est au titre de châtiment final plus redoutable que la première, et ne doit donc pas être ignorée. Le principe du jugement divin n’a été clairement révélé que par Jésus-Christ, et il a présenté, dans sa Révélation nommée « Apocalypse », le programme complet auquel il faisait référence pendant son ministère terrestre. Ainsi, environ 65 années après sa mort expiatoire terrestre, et peut-être 70 ans précis, Jésus a donné des explications permettant de mieux comprendre les enseignements qu’il a présentés en présence de ses apôtres. Et la première « mort », temps de « sommeil », fait partie de ses enseignements. Jésus profita de la « mort » de son ami Lazare de Béthanie, frère de Marie et de Marthe pour présenter cet enseignement. C’est pourquoi, bien qu’averti très tôt, de cette « mort » de Lazare, Jésus tarda volontairement et attendit plusieurs jours avant de se rendre à Béthanie auprès des deux sœurs endeuillées. Le corps de Lazare était donc entré au tombeau depuis plusieurs jours quand Jésus fit à ses disciples la déclaration citée dans Jean 11:11 à 14 : « Après ces paroles, il leur dit : Lazare, notre ami, dort ; mais je vais le réveiller. Les disciples lui dirent : Seigneur, s'il dort, il sera guéri. Jésus avait parlé de sa mort, mais ils crurent qu'il parlait de l'assoupissement du sommeil. Alors Jésus leur dit ouvertement : Lazare est mort. Et, à cause de vous, afin que vous croyiez, je me réjouis de ce que je n'étais pas là. Mais allons vers lui.» Arrivé à Béthanie, Jésus s’adresse à Marthe : « Jésus lui dit : Ton frère ressuscitera. Je sais, lui répondit Marthe, qu'il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. » Note-le ! La réponse donnée par Marthe n’est pas contredite par Jésus, parce qu’elle constitue la norme de la condition des morts enseignée aux Juifs, et que cette norme reste donc, la seule véritable conforme au projet établi par Dieu jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ, au printemps 2030. Cette affirmation de Marthe, confirmée par Jésus, condamne la conception païenne que le faux christianisme donne à la condition des morts. Comparaison n’est pas raison, aussi, lorsque Dieu compare la « mort » au « sommeil » de l’homme cela ne signifie pas que la vie du mort peut encore faire des rêves. Ceci d’autant plus que dans Ecc.9:4 à 6, l’Esprit a fait dire par Salomon : « Pour tous ceux qui vivent il y a de l'espérance ; et même un chien vivant vaut mieux qu'un lion mort. Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront ; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri ; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil. » Ecc.9:10 précise encore : « Tout ce que ta main trouve à faire avec ta force, fais-le ; car il n'y a ni œuvre, ni pensée, ni science, ni sagesse, dans le séjour des morts, où tu vas. » Les comparaisons ont donc une limite et la première raison pour laquelle Dieu compare la première « mort » au « sommeil » c’est que l’une et l’autre sont suivis par un réveil ; l’homme ressuscité et l’homme réveillé reprennent conscience et vie. Le « sommeil » de la première « mort » peut durer jusqu’à un maximum d’un peu moins de 7000 ans environ comme ce fut le cas pour Caïn, le frère d’Abel, le premier mort de l’humanité. Mais à son réveil, ressuscité, il n’aura aucune conscience d’être resté anéanti pendant ce long temps. Et c’est là un autre point de ressemblance avec notre « sommeil » nocturne ou diurne. Nous nous couchons et nous nous endormons, nous rêvons ou pas, puis nous nous réveillons, incapables de dire combien de temps nous avons dormi sans nous référer à une horloge ou une montre. Dieu et les anges ne dorment jamais, car ils ne connaissent pas les effets de la fatigue qui est strictement liée à la faiblesse charnelle humaine.
Après Jésus, l’apôtre Paul évoque à son tour la « mort », en la comparant à un « sommeil », dans 1 Thes.4:14 : « Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l'ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n'ont point d'espérance. » Je précise donc encore que cette comparaison entre la « mort » et le « sommeil » n’est applicable que pour la « première » « mort », parce que les élus et les déchus sont, chacun en leur temps, ressuscités par Dieu et sont ainsi réveillés après le « sommeil » mortel.
Regardons maintenant ce que représente pour l’homme, le « sommeil ». Il lui offre un temps de « repos », de préférence nocturne. Ce « repos » lui est nécessaire à cause de la fatigue ressentie après sa journée de labeur, car dès le premier homme, après le péché, ce labeur est fatigant et épuisant, Dieu ayant endurci le travail de la terre. Aujourd’hui, les hommes font travailler des machines et se réservent des taches intellectuelles, mais certains métiers restent nécessairement manuels et très fatigants. Le « repos » nocturne est donc encore très utile. Mais en fait, chaque journée de 24 heures a été organisée par Dieu pour transmettre à l’humain un message. La succession « ténèbres » nocturnes et « lumière » diurne lui rappelle qu’il vit pour choisir son camp, de préférence et de bien préférable, celui de la « lumière » qui, toujours présenté en dernier, prophétise le camp de la victoire finale. Ensuite, le soir suivant se présente pour lui rappeler, par son « sommeil » nocturne, que la « mort » est au bout de sa vie terrestre. Et qu’alors, ses œuvres, accomplies de jour comme de nuit, le classeront, dans le jugement de Dieu, au nombre des élus ou au nombre des déchus de la grâce divine.
Je ne peux parler de la « mort » sans évoquer les cimetières où aboutissent en Occident tous les humains, dans la mesure du possible, lorsque les corps sont ensevelis soit, présents. Car ceux qui disparaissent en mer ne le sont pas, mais, pour eux et Dieu, cela n’a aucune importance, parce que la vie humaine est un assemblage de pièces que Dieu peut reproduire quand il le veut. C’est ce qui caractérise la vie des déchus quand ils seront ressuscités pour le jugement dernier dans la deuxième « résurrection ». Quant aux élus, le cas est bien différent, parce qu’à leur résurrection, « la première », selon Apo.20:5, les élus recevront un corps céleste incorruptible, comme celui des anges célestes actuels. De leur ancienne norme terrestre, Dieu ne ressuscitera que l’aspect mental psychique, afin de conserver le caractère, les sentiments, éléments essentiels trouvés dans ses élus, ses rachetés bien-aimés.
Ainsi, autre point commun, la « mort » et le « sommeil » offrent à l’homme le « repos ». Et ce n’est pas sans raison que sur toutes les tombes où sont couchés des gens de la religion catholique, les mots trompeurs « ici repose » suivis des données identitaires du défunt sont gravés sur les stèles qui présentent souvent l’aspect d’une croix. Cependant à la lumière des révélations données par Jésus-Christ dans son Apocalypse, ce « repos » mortel aura bien été l’unique « repos » dont ces gens catholiques, et depuis 1843, protestants, auront bénéficié. Car dans Apo.14:11, l’Esprit déclare : « Et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles ; et ils n'ont de repos ni jour ni nuit, ceux qui adorent la bête et son image, et quiconque reçoit la marque de son nom. » Cette situation s’applique à l’heure du châtiment du feu destructeur de « l’étang de feu » qui donne la « seconde mort ». Mais subtilement, en conjuguant le verbe « avoir » au temps présent dans l’expression « ils n’ont de repos ni jour ni nuit », l’Esprit porte une accusation contre les membres de la religion catholique de manière permanente, et depuis 1843, contre les Protestants, au sujet de leur irrespect du repos sabbatique qu’il a ordonné et sans qu’ils le sachent, programmé comme signe prophétique du septième millénaire au cours duquel ses vrais élus rachetés les jugeront. L’accusation portée par Dieu cible toutes les fausses conceptions humaines du jour du repos religieux observé. Pour les Catholiques et les Protestants, le repos dominical se résume par la messe ou le culte rendu à Dieu, pendant une heure et demie, le dimanche matin. Et les 22 heures et trente minutes qui restent sont utilisées pour vaquer à des occupations de loisir ou de jardinage. Outre le fait que le dimanche n’est pas le jour choisi par Dieu pour être rencontré par son peuple racheté, cette conception religieuse formaliste basée uniquement sur un culte d’une heure trente est aux antipodes de son ordonnance. Car Dieu exige de ses vrais élus, un abandon total de leur être vivant pendant les 24 heures complètes de son saint septième jour sanctifié au repos ; et qui couvre le temps complet qui s’écoule entre deux couchers du soleil débutant le vendredi soir et s’achevant le samedi soir. Cette donnée est impérativement ordonnée par Dieu, dès le premier septième jour de sa création terrestre selon Gen.2:2-3, et il l’a rappelée plus tard dans le quatrième de ses dix commandements donnés à son serviteur Moïse, selon Exode 20:8 à 11.
Pour vivre le « sabbat » dans la conception qui lui est agréable, l’élu racheté doit faire, du « sabbat » de Dieu, ses « délices », comme l’enseigne Esaïe 58:13-14 : « Si tu retiens ton pied pendant le sabbat, pour ne pas faire ta volonté en mon saint jour, si tu fais du sabbat tes délices, Pour sanctifier YaHWéH en le glorifiant, Et si tu l'honores en ne suivant point tes voies, en ne te livrant pas à tes penchants et à de vains discours, Alors tu mettras ton plaisir en YaHWéH, Et je te ferai monter sur les hauteurs du pays, Je te ferai jouir de l'héritage de Jacob, ton père ; car la bouche de YaHWéH a parlé. »
Ce verset nous présente la situation dans laquelle le sabbat doit être perçu et vécu par ses élus rachetés par le sang de Jésus-Christ. Mais l’amour ne s’ordonne pas et ce verset nous présente un simple appel lancé par Dieu, une exhortation adressée à ceux qui l’aiment, car le sabbat ne peut être agréable pour Dieu que dans une réciprocité d’amour partagée entre lui et ses élus. Il faut en effet aimer Dieu et apprécier de se trouver en sa compagnie, pour vivre agréablement les 24 heures de son sabbat sanctifié. Nous sommes loin de l’obéissance à un « fardeau » pesant imposé. C’est en fait, la conception que nous avons du sabbat qui fait de nous des élus rachetés ou des gens religieux qui se nourrissent de fausses illusions et de fausses espérances du salut. Dans ce verset, l’offre de Dieu est présentée de manière conditionnelle, car on relève trois fois la mention du terme « si ». Cette offre divine présentée si clairement rend l’être humain qui la lit responsable de son choix. Dès lors, le rejet de ces conditions par l’homme le rend définitivement coupable envers Dieu. Et toutes ses revendications religieuses sont rendues vaines, et trompeuses car elles jettent l’opprobre sur Dieu lui-même en déformant son caractère et sa volonté révélée. Au point que le Dieu offensé déclare dans Apo.18:21, au sujet de cette église catholique papale romaine qu’il nomme symboliquement « Babylone la grande » : « Alors un ange puissant prit une pierre semblable à une grande meule, et il la jeta dans la mer, en disant : Ainsi sera précipitée avec violence Babylone, la grande ville, et elle ne sera plus trouvée.» Dans cette image, Dieu accuse l’église catholique romaine d’avoir scandalisé les âmes de ses adeptes. Et ceci les prépare à devenir les exécuteurs de sa sentence exprimée dans Apo.18:6 : « Payez-la comme elle a payé, et rendez-lui au double selon ses œuvres. Dans la coupe où elle a versé, versez-lui au double. » Ceci pour accomplir l’œuvre appelée « vendange » dans Apo.14:19 : « Et l'ange jeta sa faucille sur la terre. Et il vendangea la vigne de la terre, et jeta la vendange dans la grande cuve de la colère de Dieu. ». Dans cette « vendange » sont tués les faux enseignants religieux : « Et la cuve fut foulée hors de la ville ; et du sang sortit de la cuve, jusqu'aux mors des chevaux, sur une étendue de mille six cents stades. » Le sang versé est celui des faux enseignants religieux qui ont déformé l’enseignement donné par Dieu. L’Esprit s’appuie sur l’image inspirée dans Jacques 3:3, où l’enseignant religieux est comparé au cavalier qui dirige un « cheval » par le moyen du « mors » placé dans sa bouche. La mauvaise conception du repos divin sera payée beaucoup plus chère que les plus optimistes l’auront envisagé, mais il est vrai que cette vérité n’apparaîtra qu’au dernier moment de l’histoire de l’humanité terrestre pécheresse ; au temps de la « septième trompette », temps évoqué dans Apo.16:19 : «Et la grande ville fut divisée en trois parties, et les villes des nations tombèrent, et Dieu, se souvint de Babylone la grande, pour lui donner la coupe du vin de son ardente colère. » Jusque-là, l’optimisme trompeurs des êtres déchus dominera et dirigera leurs décisions et leurs choix de vie. Et ils construiront, eux-mêmes, les faits qui les rendront encore plus coupables aux yeux de Dieu, préparant ainsi, leur propre sentence mortelle inévitable.
Alors retiens ce message adressé par Dieu, puisque chaque jour de 24 heures, dans ton combat de la foi, tu dois vaincre les ténèbres et donner gloire à sa lumière divine, sachant que la mort punit l’infidèle et l’infidélité au bout du chemin de la vie terrestre ; et ceci d’autant plus que, selon sa divine et souveraine volonté, la mort peut te prendre n’importe quand, avant la fin collective programmée, par Dieu, pour le printemps 2030.
M6- Le malheur frappe Israël
Au milieu de la septième année qui précède le retour glorieux de Jésus-Christ, et au milieu du sabbat du septième jour du 7 Octobre 2023, vers 6 heures du matin, les combattants du Hamas palestinien ont lancé une attaque sur le sol de la nation nommée Israël. Accompagnés par l’envoi de 5000 roquettes sur Israël, en créant 80 brèches dans le mur de séparation élevé et construit par les Israéliens autour de la frontière de la bande de Gaza, ils sont entrés dans la zone sud d’Israël par voies, terrestre, marine et aérienne. Arrivant du ciel sur des ULM, certains sont tombés sur une « rave party » organisée dans le désert où étaient encore plus de trois mille jeunes Israéliens qui continuaient à danser et exprimer leur insouciance, mais aussi, leur irréligiosité. Les tueurs du Hamas ont tué 260 des participants de cette fête et en ont emmené d’autres en otages vers Gaza. En divers point, les guerriers musulmans sont entrés dans des « kibboutz » et dans les maisons, tuant et massacrant leurs occupants juifs. Le bilan aux dernières heures du 14 Octobre s’élève à plus de mille trois cents cinquante morts et environ 3000 blessés israéliens. Depuis, Tsahal, l’armée israélienne a réagi, et elle bombarde et cible les lieux reliés au Hamas de la ville palestinienne, Gaza.
En faisant arriver ce drame un jour de Sabbat, de plus marquant la fête de Succoth (fête des cabanes), Dieu adresse à Israël un message. Il renouvelle et confirme celui que nous pouvons lire dans Esaïe 1:13 : « Cessez d'apporter de vaines offrandes : J'ai en horreur l'encens, Les nouvelles lunes, les sabbats et les assemblées; Je ne puis voir le crime s'associer aux solennités ». Visiblement, « Dieu ne change pas », comme il l’a déclaré lui-même dans Mal.3:6.
Cette attaque surprise menée contre Israël en cet Automne 2023, le 7 Octobre à 6 heures locales du matin, prend une grande ressemblance avec celle qui frappa la base américaine installée aux îles Hawaï, à « Pearl Harbour », le dimanche matin du 7 Décembre 1941, vers les mêmes heures soit, 6 ou 7 heure du matin. Cette ressemblance ne doit en fait rien au hasard. Les USA et Israël sont historiquement et politiquement extrêmement liés.
Pour horribles que soient les massacres accomplis, pour l’homme spirituel que je suis, ce que je trouve de plus horrible dans ces faits, c’est le comportement des victimes frappées. Car enfin, la nation des Juifs n’est pas une nation comme les autres, parce que son origine est due à des interventions miraculeuses du Dieu créateur. Ne serait-ce qu’à ce titre, tout Juif devrait reconnaître cette filialité divine. Et ce qui me parait, abominable, c’est de trouver au milieu du sabbat sanctifié par le vrai Dieu tout-puissant, une jeunesse israélienne irrespectueuse en train de se livrer au plaisir de la danse sur des rythmes endiablés, recherchant des sensations charnelles par les moyens de la musique et des diverses drogues.
Pour le lecteur éclairé de sa Révélation nommée Apocalypse, cette action est visiblement due à un ordre donné par Jésus-Christ. Cette Apocalypse présente clairement le statut maudit de la religion juive en les nommant : « la synagogue de Satan » dans Apo.2:9 : « Je connais ta tribulation et ta pauvreté (bien que tu sois riche), et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan. » Ce statut n’a plus été changé, puisqu’il est encore confirmé pour la date 1873, selon Apo.3:9 : « Voici, je te donne de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent ; voici, je les ferai venir, se prosterner à tes pieds, et connaître que je t'ai aimé. »
L’action subie actuellement n’est que la quatrième du genre après la déportation à Babylone en – 586, la dispersion romaine des survivants juifs parmi les nations en 70, et la « solution finale » nazie allemande en 1942. Car derrière la colère des combattants du Hamas, il y a Jésus-Christ dont la colère est justifiée par son rejet de la part du peuple juif ; rejet qui confirme le mépris témoigné pour ses souffrances. C’est pourquoi, cette attaque actuelle du Hamas doit être rattachée à l’action qui concerne la « sixième trompette » d’Apo.9:13 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, » Par le symbole des « quatre cornes de l’autel d’or », l’Esprit évoque Jésus-Christ dans son rôle exclusif d’intercesseur pour les pécheurs humains que son sang rachète. Mais lorsque l’offre présentée par Dieu devient systématiquement méprisée et rejetée, le Christ intercesseur devient le Christ justicier qui exige des pécheurs impénitents qu’ils assument, dans l’expiation mortelle, la conséquence de leur rébellion contre le Dieu Juge qu’il représente.
Nous savons par la prophétie de Dan.11:40 à 45, que la colère divine porte sur deux cibles principales qui sont : en dernier, la fausse foi chrétienne, et avant elle, la religion juive rebelle. Concernées dans cette prophétie de Daniel, ces deux cibles le sont également dans ce message de la « sixième trompette » qui apporte des compléments d’informations sur ce même conflit qui prend la forme de la « Troisième Guerre Mondiale ».
J’ai dit plus haut, que les USA et Israël étaient liés historiquement et ce lien ne peut être plus fort parce qu’en 1948, les USA, vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale, ont imposé aux autres nations alliées l’autorisation donnée aux Juifs de recréer leur Israël national sur le sol de leurs ancêtres devenus entre temps la Palestine repeuplée par des arabes nomades et citadins. Cette installation fut donc ressentie comme une injustice inacceptable par les peuples arabes chassés ou colonisés par les Juifs. Nous assistons en 1948, à la troisième installation d’Israël sur son sol national. Au temps de Josué, dans sa sagesse toute divine, Dieu ordonne l’extermination des Cananéens qui occupaient alors le territoire. Israël fut ainsi en bénédiction divine protégé contre les vengeances des descendants vaincus. Ses ennemis étant tous morts et exterminés, Israël ne devait pas avoir à souffrir ce type de situation meurtrière. En – 586, frappés par la malédiction de Dieu, les survivants d’Israël sont conduits en captivité à Babylone pendant 70 années. Au retour déjà, le territoire resté accessible, des arabes s’y sont installés et les Juifs de retour ont dû les combattre pour reprendre la propriété de leur sol national. Frappé une seconde fois, en 70, par les troupes romaines, à cause de son rejet national officiel du messie Jésus de Nazareth, Israël perd son sol national et ses survivants sont dispersés parmi toutes les nations qui composent l’empire romain. Nous voyons que chacune de ses actions punitives est justifiée de la part de Dieu, car le malheur n’arrive jamais de sa part, sans cause ; et cette cause est toujours un ou des graves péchés commis contre lui.
Le retour des Juifs accompli en 1948 se distingue des deux faits précédents, en ce sens qu’ils réintègrent leur sol national en restant frappés par la malédiction de Dieu ; l’Israël qui reprend forme nationale est entièrement maudit par lui. Le retour sur son sol ne peut donc en aucune façon être interprété comme le signe de sa bénédiction par Dieu. Bien au contraire, Dieu organise une situation d’injustice, afin que la colère des arabes délogés se transforme en malédiction pour tout le camp occidental chrétien. Cette intention divine est confirmée par ce verset de Zac.12:2 : « Voici, je ferai de Jérusalem une coupe d'étourdissement pour tous les peuples d'alentour, et aussi pour Juda dans le siège de Jérusalem ». C’est ainsi que, dès leur installation sur l’ancienne Palestine, les Juifs ont dû combattre les agressions des peuples arabes frontaliers. En 1967, dans la « Guerre des six jours », mieux armé que ses agresseurs, Israël a été victorieux contre tous ses ennemis beaucoup moins bien équipés. Les mitraillettes et les mitrailleuses occidentales des Israéliens tiraient sur des hommes armés de vieux fusils de chasse. Les Palestiniens vaincus devinrent un fléau international et adoptèrent la stratégie du piratage aérien. La malédiction divine prit ainsi une forme concrète pour tous les peuples riches occidentaux. Les vols commerciaux étaient piratés et détournés avec, déjà, des prises en otages des passagers. Avec le temps et les pourparlers, le leader palestinien, Yasser Arafat, adopta une sorte d’alliance fragile avec le camp occidental et Israël. Mais de nombreux pays arabes ont gardé depuis cette époque une grande haine envers les Juifs et les Occidentaux. En 2023, au milieu du sabbat du 7 Octobre, cette haine conservée éclate de manière concrète par l’attaque menée par les combattants du parti Hamas palestinien.
Se produisant au milieu de la septième année qui précède le retour puissant et glorieux du divin Jésus-Christ, cet embrasement constitue une phase importante de la Troisième Guerre Mondiale mise en préparation le 24 Février 2022 par la guerre que se livrent la Russie et l’Ukraine. Les camps du soutien se forment : les USA, l’Europe, l’Angleterre et l’Australie soutiennent Israël, dans l’autre camp, se trouvent les peuples arabes musulmans, la Chine et la Russie déjà combattue de manière indirecte par l’Occident de l’alliance de l’OTAN. A l’heure de son extension sur l’Europe, la Russie combattra également Israël comme Dan.11:41 le prophétise : « Il entrera dans le plus beau des pays, et plusieurs succomberont; mais Édom, Moab, et les principaux des enfants d'Ammon seront délivrés de sa main. »
Pour leur drame à venir, les observateurs occidentaux dénoncent la haine des combattants du Hamas, et ils ne voient qu’elle et ne la comprennent pas, même si certains trouvent à la cause palestinienne des justifications. Leurs problèmes insolubles restent leur incroyance et leur incrédulité. Ils ne voient que des causes terrestres politiques et économiques, au demeurant, bien réelles. Mais en Occident, des décennies d’immigrations et de brassages ethniques, sinon parfaitement satisfaisants, ont néanmoins permis des cohabitations rendues possibles. Mais ce que leur agnosticisme, leur incroyance, les empêchent de comprendre, c’est que cette haine humaine n’est qu’un échantillon d’une colère divine dont un exemple déjà accompli est témoigné dans la sainte Bible, dans Ezéchiel 9:5 à 7 : « Et, à mes oreilles, il dit aux autres : Passez après lui dans la ville, et frappez ; que votre œil soit sans pitié, et n'ayez point de miséricorde ! Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes ; mais n'approchez pas de quiconque aura sur lui la marque ; et commencez par mon sanctuaire ! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. Il leur dit : Souillez la maison, et remplissez de morts les parvis !... Sortez !... Ils sortirent, et ils frappèrent dans la ville. »
On impute à l’action du Hamas palestinien, la mort de 40 bébés israéliens. et celle de vieillards et de jeunes gens, d’hommes et femmes.
J’ai déjà rappelé et présenté ce témoignage terrifiant présenté par le prophète Ezéchiel, prophétie qui a eu son premier accomplissement en – 586. A cette époque, l’instrument de la colère divine fut le roi chaldéen Nébucadnetsar. Le sabbat 7 Octobre 2023, l’instrument de cette même colère divine est l’armée du Hamas palestinien, en attente du relais qui sera donné sous peu aux soldats russes qui seront, eux-mêmes, exterminés sur les montagnes d’Israël, selon Ezé.38:16 : « Tu t'avanceras contre mon peuple d'Israël, comme une nuée qui va couvrir le pays. Dans la suite des jours, je te ferai marcher contre mon pays, afin que les nations me connaissent, quand je serai sanctifié par toi sous leurs yeux, ô Gog ! » . Dieu utilisera la Russie et ses partenaires musulmans pour châtier son Israël infidèle, mais ensuite, il détruira la Russie, l’instrument de sa colère ; la chose est confirmée dans Ezé.39:11 : « En ce jour-là, je donnerai à Gog un lieu qui lui servira de sépulcre en Israël, la vallée des voyageurs, à l'orient de la mer ; ce sépulcre fermera le passage aux voyageurs. C'est là qu'on enterrera Gog et toute sa multitude, et on appellera cette vallée la vallée de la multitude de Gog. » Cette action est aussi prophétisée dans Dan.11:45 : « Il dressera les tentes de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide. »
En 2023, la situation mondiale a beaucoup changé, les crises économiques successives ont affaibli les pays occidentaux qui n’impressionnent plus les pays arabes musulmans, devenus les propriétaires gestionnaires vendeurs de leur propre pétrole et gaz, à ces Occidentaux. La guerre de l’Ukraine avec la Russie fait ressortir l’extrême faiblesse du camp européen, qui pris dans l’engrenage se demande comment il va pouvoir encore aider financièrement et militairement l’Ukraine si le conflit se prolonge. Les faits ont des spectateurs qui commencent à percevoir la faiblesse de nations qu’ils haïssent. Et ce constat est favorable pour des projets belliqueux. Une grande cause de cette faiblesse occidentale repose sur le fait que l’effet des armements traditionnels est remis en cause par l’usage de petits drones espions ou tueurs extrêmement efficaces contre des chars lourds. Les cartes du jeu sont rebattues et dans cette nouvelle condition, les petits « David » ont tous leur chance contre les anciens « Goliath » et l’heure de la vengeance devient, pour beaucoup, possible.
Dans notre vie moderne actuelle, les populations vivent dans des conditions de sécurité uniquement théoriques, car les frontières n’existent plus ou sont devenues impossibles à protéger, efficacement, contre des envahisseurs potentiels. De plus, en Europe, les populations sont mélangées et rien ne pourrait empêcher des gens déterminés de déclencher un massacre local type « saint-Barthélémy » contre une ethnie ou une religion détestée. Ce qui vient d’arriver en Israël en apporte la preuve. Et finalement, longtemps décrié et contesté, le choix américain de laisser à la population l’accès libre aux armes de combat, peut, seul, mettre en échec, ou au moins réduire les conséquences et les effets, des attaques menées contre les particuliers. Ils disposent au moins de la possibilité de défendre eux-mêmes, leur vie ; ce qui reste un droit de l’homme essentiel. A l’opposé, en Europe, chaque individu confie son existence à un service de sécurité national dont les possibilités sont très limitées et incapables de répondre à de multiples agressions simultanées. Ce caractère faussement « sécurisé » des villes modernes est évoqué dans Ezé.38:11 : « Tu diras : Je monterai contre un pays ouvert, je fondrai sur des hommes tranquilles, en sécurité dans leurs demeures, tous dans des habitations sans murailles, et n'ayant ni verrous ni portes ; »
Déjà, par souci de comportement humaniste, les dirigeants politiques refusent d’empêcher l’immigration qui force la volonté des populations européennes. Comment pourraient-ils protéger leurs ressortissants contre des attaques menées à l’intérieur de leurs nations ? La chose est devenue impossible et l’avenir ne tardera pas à en apporter la démonstration. Les services de la police municipale se montreraient incapables d’empêcher le massacre d’un grand nombre de gens. Et l’armée elle-même ne pourrait répondre à des attaques dispersées dans de nombreux lieux d’une même ville. Après avoir dénoncé longtemps le « racisme des partis nationalistes », les gens humanistes aveuglés et pleins d’illusions vont subir les conséquences de leur combat insensé, et c’est au prix de leur vie, qu’ils en paieront le prix. C’est pourquoi, l’action qui s’est produite en Israël, ce sabbat 7 Octobre 2023, est de nature à faire disparaître les fausses impressions de sécurité des populations des villes modernes actuelles, dans tout l’Occident, et en France particulièrement, où l’ennemi de demain a grandi et vit encore auprès des citoyens locaux. Nous pouvons ainsi comprendre que, pour qu’un tel drame devienne possible, il suffit que Dieu et le diable inspirent à des combattants une détermination totale illimitée. A plusieurs reprises, les actions sanglantes menées par des petits groupes islamistes, d’Al Qaïda et de Daesh, ont démontré cette possibilité, et sortant de la population française, ils n’ont pas eu de murs à détruire pour atteindre leurs cibles, car ils étaient et sont encore, déjà, sur le sol français. Et malgré ces sinistres avertissements, des Français humanistes se sont farouchement entêtés à défendre le modèle multiethnique de leur société.
Au fil du temps, des précisions sont révélées sur le drame qui frappe Israël qui compte plus de mille trois cents cinquante morts et dont environ 200 personnes de tous âges ont été enlevés et transportées en otages à Gaza, par les islamistes du Hamas. Des combattants du Hamas sont restés en Israël continuant leurs exactions et leurs massacres le 11 Octobre. Mais le comble est que l’action guerrière du parti Hamas palestinien a été en partie financé par des subventions payées par l’Europe, détournées de leur but initial par les chefs du parti Hamas qui dirige la bande de Gaza depuis le 14 juin 2007. L’argent reçu a été utilisé pour construire des tunnels souterrains bétonnés dans lesquels des roquettes sont stockées jusqu’à leur tir sur Israël. Dieu a ainsi fait financer, par les Européens humanistes, les peuples africains et arabes qui vont les agresser et les tuer. La malédiction de l’humanisme occidental est ainsi clairement et concrètement révélée et identifiée.
Le 12 Octobre à 20 heures, à la télévision, le président Emmanuel Macron a appelé les Français à l’union. Avec raison, il redoutait que l’affrontement entre Israël et le Hamas suscite en France un réveil d’attentats individuels ou collectifs chez les partisans de la cause islamiste. Il n’a pas eu longtemps à attendre puisque le lendemain, le 13 Octobre, 3 années, presque jour pour jour, après la décapitation du professeur d’histoire Samuel Patty, dans le lycée Gambetta d’Arras, un autre professeur, cette fois de lettre, est mort d’un coup de couteau porté à la carotide. L’agresseur est lui aussi, un musulman d’origine russe tchéchène. Il n’a pas 18, mais 20 ans, et lui aussi voulait tuer un professeur d’histoire ; un autre professeur lui a échappé et s’est mis en sécurité à l’intérieur du lycée.
Je peux donner ici la raison du choix des professeurs d’histoire, ce que les commentateurs laïcs ne peuvent pas faire. A l’origine de ce choix, se trouve l’Esprit de Jésus-Christ qui utilise l’islamiste comme instrument de mort. Et Jésus combat contre la République qu’il illustre comme un régime de péché dans Apo.17:3 : « Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. ». Cette couleur rouge « écarlate » est celle du péché, selon Esaïe 1:18. En ciblant les professeurs d’histoire, Jésus combat contre les théories de l’évolutionnisme que l’école de la République, l’usine qui fabrique les incroyants et les incrédules, Jésus combat ceux qui combattent sa vérité et enseignent le mensonge. Les enseignants religieux sont particulièrement visés par Dieu selon Jacques 3:1, mais les enseignants laïcs portent la responsabilité de faire adopter par leurs étudiants les normes abominables nouvelles de la théorie des genres et l’acceptation des déviances sexuelles. De plus, un professeur d’histoire devrait tenir compte du témoignage biblique sur lequel bon nombre de sources explicatives de l’enseignement laïc s’appuie ; n’ayant pas d’autres sources pour la remplacer. Et je le rappelle, ne serait-ce que lui, notre faux calendrier prêche Jésus-Christ venu en chair, chaque jour que nous vivons. La faute du professeur d’histoire laïc consiste donc à retenir de la Bible uniquement ce qui l’intéresse et il rejette la vérité globale du salut qui ne l’intéresse pas. Moi-même, en étudiant la prophétie, je fais appel au témoignage de l’histoire que la Bible et des historiens spécialisés rapportent pour ouvrir la connaissance des gens comme moi et je l’espère, beaucoup d’autres. Mais la foi joue le rôle principal, car je m’appuie sur la Bible, et sur l’histoire, uniquement dans la mesure où elle confirme ce que dit la Bible.
La haine de la République de l’islamiste répond à la nécessité de combattre, convertir à l’islam ou tuer les « mécréants » et il n’a aucunement conscience d’être utilisé par Jésus-Christ, le Dieu Tout-puissant. Et je rappelle que si Jésus l’utilise, c’est parce qu’il ne permet pas à ses vrais élus de combattre avec des armes leurs ennemis et les siens. Et ceux que Dieu lui fait juger « mécréants » sont les membres et le clergé des fausses religions chrétiennes infidèles et les gens athées et libres-penseurs.
Le monde occidental témoigne de la malédiction divine qui le frappe par les œuvres insensées qu’il pratique. Que dire d’un homme qui fait installer son ennemi dans son pays, dans sa maison ? Qu’il n’a pas sa raison et bien c’est précisément le cas des pays que Dieu prive de son intelligence ; ils multiplient les erreurs de choix et de décisions qui les mettent en danger, et en danger mortel. Dans un comportement aveugle humaniste, la France a donné en aide à la ville de Gaza, 300 millions d’Euros pour renouveler les canalisations d’eau qui alimentent la ville. Or, les gens du Hamas, utilisent les tuyaux métalliques prévus pour cet usage, pour en faire des roquettes qu’ils envoient sur les villes d’Israël. La France a donc financé sans le savoir la production d’armes du Hamas.
Il n’est rien de pire que la bipolarité et, dans son code symbolique des chiffres, pour Dieu, le chiffre « 2 » symbolise l’imperfection. Et cette imperfection concerne la situation de nos deux peuples israélien et palestinien qui revendiquent des droits sur un même pays, chacun le faisant au nom d’une réelle légitimité. Aucun pays ne peut régler ce dilemme, mais les deux concurrents ont leurs soutiens respectifs. Nous avons donc là, toutes les conditions favorables pour un grand conflit mondial dans lequel les nations arabes lutteront pour la cause palestinienne, mais en réalité, surtout, pour sa haine du peuple juif dont l’existence constitue, par sa légitimité historique religieuse, le témoignage de leur illégitimité musulmane. Et cette concurrence remonte à l’époque d’Abraham en laquelle, par erreur d’interprétation du projet de Dieu qui lui avait promis un fils, il obtint un fils d’Agar la servante de sa femme Sara. Et ce fils nommé Ismaël jalousa Isaac, le fils légitime obtenu par Sara à l’âge de cent ans. Aujourd’hui encore, cette concurrence se prolonge, car les musulmans déforment l’histoire d’Abraham en prétendant que le fils présenté pour le sacrifice était Ismaël et non Isaac ; ce qui est faux, comme chacun peut le comprendre, en découvrant dans la Bible, le rôle que Dieu donne à la descendance d’Isaac jusqu’au messie Jésus. De plus, l’islam est apparu vers la fin du 6ème siècle, longtemps après que le projet de Dieu entier se soit accompli, par Israël, jusqu’à Jésus-Christ, le messie annoncé dans les prophéties de la Bible. Les deux concurrents sont donc victimes d’une même malédiction divine, Israël, pour son refus du messie Jésus, et l’islam, pour sa déformation du plan du salut proposé par Dieu. Depuis 1948, les deux camps maudits se disputent la terre de la Palestine, et entraînent dans leur malédiction, les autres peuples de la terre, tous également maudits. Et l’aboutissement de ce drame est l’accomplissement de la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale que nous voyons s’organiser sous nos yeux.
Au niveau collectif, la malédiction des peuples repose sur la même cause : leur non-conformité au plan du salut divin qui passe, exclusivement, sur la foi témoignée pour l’œuvre rédemptrice de Jésus-Christ. Mais tous les maudits ne le sont pas de la même manière. Car dans son inspiration divine, le diable a largement différencié et multiplié les options de ses fausses religions. En Asie, des milliards d’être humains se transmettent depuis des siècles et des millénaires des doctrines plus philosophiques que religieuses, puisqu’elles ne font pas référence au Dieu créateur révélé par la Bible et son premier témoin Israël. En ne le mettant pas en cause, ces doctrines prennent seulement le sens de l’inutilité et leurs adeptes ne seront pas « tourmentés » dans le feu de la « seconde mort » du « jugement dernier » d’Apo.20, conformément à cette précision révélée par Jésus-Christ dans Apo.19:20-21 : « Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre. Et les autres furent tués par l'épée qui sortait de la bouche de celui qui était assis sur le cheval ; et tous les oiseaux se rassasièrent de leur chair. » Je précise que le temps de la « seconde mort » ne viendra qu’à la fin du septième millénaire selon l’enseignement d’Apo.20. Cependant, subtilement, dans ce verset, Jésus semble rattacher son verdict à l’heure de son retour en gloire et en fait, il a pour agir ainsi, une bonne raison. Car c’est à l’heure de son retour glorieux que le sort futur de tous les êtres humains se décide définitivement ; les élus entrent dans la vie éternelle, et les déchus disparaissent dans la première mort, dans l’attente de la deuxième résurrection par laquelle ils reprendront momentanément vie, pour subir le châtiment du jugement dernier décidé, collectivement, par Jésus et ses élus, au cours du jugement accompli au ciel pendant « mille ans », selon Apo.20. Les religions non juives, chrétiennes ou musulmanes pratiquent donc des cultes idolâtres typiquement païens que le vrai Dieu a toujours condamnés. Ensuite, vient le cas de l’islam qui se revendique de la « soumission » au Dieu créateur de la sainte Bible, mais qui dénonce des « mensonges » colportés par Israël, dans ses saintes Ecritures. Entre autres accusations, ils prétendent que le fils sacrifié d’Abraham fut Ismaël, le fondateur de la descendance arabe actuelle, d’où leur attachement au mont du temple où ils ont élevé une mosquée, après la destruction du temple juif de l’an 70. Le nom de cette mosquée, « Al-Aqsa », qui signifie, « la sainte », concrétise leur désir de servir Dieu. Mais leur démarche est vaine, car Dieu n’a pas fait détruire le temple juif pour le remplacer par un temple musulman, et cette destruction du temple juif n’était pas que justifiée par sa colère contre leur incrédulité témoignée en œuvres. La véritable cause de cette destruction était qu’après la mort expiatoire de Jésus-Christ, le rôle prophétique de ce temple juif terrestre qui le préfigurait devenait inutile et caduque. Ainsi par cette destruction du temple juif, Dieu a donné à l’humanité, la preuve que l’œuvre du Christ était parfaitement accomplie. Par son sang versé sur la croix au pied du mont Golgotha, tout pécheur sincèrement repentant peut être réconcilié avec Dieu, où qu’il se trouve. Et ce principe a été rappelé par ce célèbre verset cité dans Jean 3:16 : «Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » Je suis certain que ce verset est celui qui a été le plus souvent cité de tous les versets de la sainte Bible et cependant, j’ose affirmer qu’il n’est pas compris par tous ceux qui s’appuient sur lui pour revendiquer le salut de Jésus-Christ. La première partie du verset nous rappelle l’amour de Dieu, élément de base de son caractère et raison de sa création de vis-à-vis libres : « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique». Mais déjà là, l’islam s’exclut parce qu’il ne repose pas sur l’amour de Dieu, mais sur sa crainte, qui exige donc « une soumission » des candidats pour l’éternité. C’est pourquoi, son fruit est dur et rigoureux et son comportement, plus fanatique que religieux. De plus, en précisant « qu’il a donné son Fils », l’Esprit confirme la mort donnée à Jésus au titre de Fils de Dieu par son incarnation dans la chair terrestre ; mort contestée et niée par les Musulmans. Mais l’islam témoigne, cependant, d’une vérité que Jean 3:16 enseigne et que les chrétiens infidèles semblent vouloir ignorer : Dieu exige, réellement, l’obéissance soit, « la soumission », à tous ses commandements, ses ordonnances, ses préceptes et ses lois physiques sanitaires, mentales et morales révélées et prescrites dans sa sainte Bible. Car la seconde partie de ce verset précise : « afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle ». La « seconde mort » est ainsi rappelée en opposition à la « vie éternelle » qui sera la part reçue par ses vrais élus. En conséquence de ce constat, le diable fait partager sa culpabilité mortelle, aux Musulmans qui ne fondent pas leur relation avec Dieu sur l’amour, et aux faux chrétiens, qui au nom de l’amour de Dieu, justifient, odieusement, leur désobéissance et ne se soumettent pas à sa divine volonté révélée.
Dans Apo.19:20, l’Esprit présente les plus coupables des pécheurs sous les symboles « la bête et le faux-prophète ». Il désigne ainsi principalement, les deux camps catholique et protestant de la religion chrétienne, mais en nommant le « faux prophète », en plus du témoignage protestant, celui de l’islam, composante des trois religions monothéistes, juive, chrétienne, et musulmane, est, sinon, principalement, visé, pour le moins, inclus, dans cette malédiction divine révélée. Le « prophète » Mahomet, auteur du Coran qui est venu concurrencer la sainte Bible, n’est qu’un « faux-prophète » de plus, par lequel des multitudes de gens sont détournés du salut proposé par Dieu. Car sa position est superficiellement trompeuse, parce qu’il prétend reconnaître le personnage historique nommé Jésus, mais en niant sa mort volontaire expiatoire, cette reconnaissance est rendue vaine. Il confirme l’attente du retour glorieux de Jésus qu’ils nomment « Issa », mais sans reconnaître l’amour divin accompli par son expiation au titre de « Messie », que peuvent attendre du Christ, les Musulmans, sinon une juste et inévitable condamnation ? Il en sera de même pour les faux chrétiens qui, déformant le sens de l’amour de Dieu, se rendent encore plus coupables que les Juifs et les Musulmans. En se réclamant tous du service du Dieu créateur unique, logiquement, ils partageront le même jugement de Dieu en étant châtiés par la « seconde mort ».
Il est relevable que Jésus savait que des multitudes innombrables allaient se perdre en ne se soumettant pas aux conditions du salut présentées et exigées par Dieu. Il nous donne l’exemple de deux comportements « rebelles » dus à la nature pécheresse héritée par tous les êtres humains, en citant l’exemple parabolique de « deux fils » dans Mat.21:28 à 30 : « Que vous en semble ? Un homme avait deux fils ; et, s'adressant au premier, il dit : Mon enfant, va travailler aujourd'hui dans ma vigne. Il répondit : Je ne veux pas. Ensuite, il se repentit, et il alla. S'adressant à l'autre, il dit la même chose. Et ce fils répondit : Je veux bien, seigneur. Et il n'alla pas. Lequel des deux a fait la volonté du père ? Ils répondirent : Le premier. Et Jésus leur dit : Je vous le dis en vérité, les publicains et les prostituées vous devanceront dans le royaume de Dieu. Car Jean est venu à vous dans la voie de la justice, et vous n'avez pas cru en lui. Mais les publicains et les prostituées ont cru en lui ; et vous, qui avez vu cela, vous ne vous êtes pas ensuite repentis pour croire en lui. » Ainsi, les élus se sauvent avec justesse d’un péril collectif généralisé. La colère divine, qui se manifeste par les guerres qui mettent aujourd’hui Israël et les peuples arabes musulmans en pensée prioritaire, est donc bien justifiée.
(suite)
En ce début de semaine du 16 Octobre, des détails intéressants sont apportés sur le « raid » mené par le Hamas palestinien, le sabbat 7 Octobre 2023. J’apprends par une chaîne info spécialisée, que c’est à 7 heures et 10 minutes qu’un soldat israélien a transmis à ses chefs le message : « nous sommes en guerre », en voyant surgir en moto et en camions des hommes armés venant du Sud. Cette expression « nous sommes en guerre » avait été formulée par le président Macron quand, au début de l’année 2020, il avait dû prendre des mesures sanitaires suite à l’apparition de l’épidémie du virus nommé Covid-19. Ainsi, dans ces deux situations, la guerre menée par Dieu a bien été engagée et il signe particulièrement dans cette seconde guerre menée par lui contre Israël en rattachant cette action doublement aux chiffres « 7 et 10 » dont le total donne le nombre « 17 » qui symbolise le jugement par Dieu. Je dis doublement, puisque l’action commence au matin du sabbat 7 du 10ème mois et à 7h 10mn.
Lançant en grande force son armée forte d’environ 300 000 soldats, Israël a placé la bande de Gaza sous siège. Mais, je relève que décidément, les vieux militaires peinent à remettre en cause les stratégies guerrières de leurs anciennes époques. J’assiste à la même réaction en Israël que dans la Russie de Vladimir Poutine. Dans la guerre de l’Ukraine, les Occidentaux ont apporté la preuve d’une grande maitrise d’arme téléguidées qui permettent d’effectuer des frappes à précision « chirurgicale ». Or des images nocturnes de Gaza permettent de localiser de manière précise, les pas de tir d’où sont lancées les roquettes sur Israël. Et nous savons, par les films de propagandes présentés par le Hamas, que chaque zone de tir est rattachée à un tunnel où sont stockées ses roquettes. Une destruction précise de tous ces pas de tir devrait donc facilement régler la menace qui s’exerce sur Israël. Mais non, à l’intelligence tactique, le vieux baroudeur des groupes de commandos israéliens que représente le chef actuel de l’Etat hébreu, Benjamin Netanyahou, préfère le combat massif mené par des chars d’assaut et des troupes nombreuses. Les pas de tirs des combattants du parti Hamas, se trouvent à l’intérieur de grands bâtiments tenus par ces hommes, et leur destruction permettrait d’obstruer l’accès aux tunnels souterrains contraignant leurs occupants à sortir par les extrémités opposées ou à mourir de faim et de soif en restant à l’intérieur. Mais si les choses ne sont pas traitées de cette simple manière, c’est en raison du choix de Dieu qui consiste à favoriser, continuellement, l’intensification et l’aggravation des oppositions belliqueuses des peuples. Cette intention divine est révélée dans Apo.9:14, par ce message : « Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate ». Jusqu'au moment où j’écris ces choses, la situation mondiale est entièrement conditionnée et placée sous des règles établies par le camp occidental conduit par l’autorité des USA, le grand pays sorti en vainqueur incontesté de la Seconde Guerre Mondiale. Et depuis 2022, la guerre en Ukraine a provoqué un schisme mondial et une remise en cause des valeurs occidentales par la Russie, l’Iran, la Chine, l’Inde, le Brésil, et de nombreux pays africains. Ces divergences opposées des peuples transcrivent, en action, l’action de « délier les mauvais anges diaboliques » auxquels, selon Apo.7:2, Dieu devait donner l’autorisation de « faire du mal à la terre, à la mer, aux arbres » : « Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu.» « La terre et la mer » symbolisent, respectivement, dans l’ordre, la religion protestante et la religion catholique romaine dans le symbolisme utilisé dans l’Apocalypse de Jésus-Christ. Mais plus largement, « la terre » désigne les peuples croyants et « la mer », les peuples païens dans leur masse anonyme. Et ce dont il nous faut tenir compte, c’est que sous ce terme « mer », l’Esprit cible principalement, la mer Méditerranée et ses peuples riverains car elle se trouve au centre de la zone dans laquelle, Dieu a révélé, organisé, et fait se prolonger, la révélation de son offre du salut qui repose exclusivement sur son œuvre expiatoire accomplie par son incarnation en l’homme nommé Jésus de Nazareth, mort volontairement, au titre de « Christ » en grec ou « messie », en hébreu. Ce terme signifie « celui qui est oint ». Or l’onction divine ne signifie pas obligatoirement que celui qui est oint ou messie doit mourir. L’onction est le terme qui désigne la reconnaissance par Dieu de la dignité d’une personne humaine. Et celle de Jésus-Christ était prophétisée par Dieu comme devant s’accomplir au début de la 70ème semaine de Dan.9:24 : « Soixante-dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier l'iniquité et amener la justice éternelle, pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. » L’onction est une image de l’Esprit divin comparé à de l’huile, l’unique source d’énergie qui éclaire les lampes à huiles dans l’Antiquité. L’onction du Saint des saints a trouvé son accomplissement, lorsque du ciel une voix a parlé disant, dans Mat.3:17, au sujet du Christ baptisé par Jean le baptiseur : « Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection. » Ce qui s’est accompli pour Jésus-Christ se renouvelle pour chaque vrai élu baptisé en son nom. A son tour, l’élu va être considéré par Dieu comme un fils bien-aimé, sans que Dieu vienne le proclamer depuis le ciel, car pour remplacer ce témoigne basé sur des paroles, Dieu va l’illuminer de sa lumière de sagesse et d’intelligence, lui ouvrant son cœur, son affection, et lui apportant toute sa divine protection.
Reprenant le symbolisme de « la terre, de la mer, et des arbres », ces derniers symbolisent, individuellement, les êtres humains qui, comme eux, portent, mais spirituellement, des fruits bons ou mauvais. Et au temps de la fin où nous nous trouvons, au milieu de l’année 2023, les fruits portés par l’homme sont épouvantablement mauvais, tant en Occident qu’en Orient, qu’au Septentrion et au Midi. Ceci, au point que nous constatons la situation que faisaient redouter ces paroles du Christ, dans Luc 18:8 : « Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre? » La réponse est dans notre actualité, sous nos yeux, actuellement, largement et généralement, non, et très faiblement, oui, puisque nous partageons, entre quelques-uns, sa divine lumière, signe et témoignage de notre sainte onction.
Au fil du temps, la précision des chiffres du nombre des victimes de cette nouvelle guerre embryonnaire, s’affine et nous donne plus de 1400 personnes israéliennes mortes, 199 personnes israéliennes prises en otages, et déjà, 2460 personnes palestiniennes civiles mortes dans les bombardements israéliens de la ville de Gaza. L’exigence de la « loi du talion » pourrait être considérée comme satisfaite, mais c’est oublier que l’objectif d’Israël est l’éradication du groupe combattant du Hamas. Et Israël ne saurait renoncer à cet objectif. L’attente de l’offensive constatée en cette heure n’est justifiée que pour obtenir une évacuation complète des Palestiniens civils de la ville de Gaza. Et la chose est freinée par le Hamas qui, craignant de perdre son bouclier humain, empêche cette évacuation. Un témoignage médiatique informe qu’ils stoppent les voitures, confisquent les papiers d’identité et les clés des voitures de ceux qui fuient la ville. Certains des véhicules qui sortent explosent soudainement sur la route ; explosions dues à quoi, cause accidentelle, de bombonnes de gaz, ou tirs du Hamas ? Les deux voies routières qui conduisent vers le sud sont ainsi bloquées, obstruées et l’heure de l’attaque israélienne est, en conséquence, retardée. Israël se trouve actuellement sous pression de la part de ses alliés occidentaux, mais aussi, de la part du camp arabe ennemi séculier héréditaire. Je ne doute pas que, bientôt, lassé de ces échanges diplomatiques pesants, tout Israël s’engage dans le conflit qui va changer la situation du monde entier, accomplissant ainsi la mise en œuvre du projet prophétisé par Jésus-Christ qui concerne sa « sixième trompette ».
Le lundi 16 Octobre, vers 17h30 mn, à Bruxelles, un islamiste tunisien de 45 ans, en présence illégale, mais connue des services de sécurité belges, a tué deux supporters suédois avec un fusil d’assaut « Kalachnikov ». Au matin du 17 identifié et repéré, après une fusillade avec la police, il a été mortellement blessé. Mort, il ne dira plus rien et son dernier acte n’aura fait que confirmer le danger mortel représenté par la religion de l’islam dans sa pratique intègre héréditaire. Il ne reste que les Occidentaux laïcs pour croire à une pacifique intégration des Musulmans. Et je le rappelle, la présence d’un seul musulman en Europe justifie l’intervention des islamistes qui doivent venir le contraindre à ne pas fauter contre l’islam en se soumettant à la Charia, la loi islamique.
Le mardi 17 Octobre, le président russe Vladimir Poutine, rend visite à son homologue chinois Xi Ping. Le partage des idées russes et chinoises est ainsi officialisé par une alliance qui sert d’avertissement adressé au camp occidental. Dans ce mois d’Octobre placé sous des signes sinistres, le mardi 17, aura dans un proche avenir, été marqué, tout particulièrement : le jour de Mars (dieu de la guerre, romain) et le 17 : nombre du jugement divin. Cette alliance est pour les Occidentaux une très mauvaise chose pour plusieurs raisons dont la principale était la dépendance économique envers ces deux pays jusqu’en 2022. L’Occident a pris lui-même l’initiative de rompre cette dépendance envers la Russie, mais la situation de rechange n’a pas été prévue, car ce même Occident européen se trouve maintenant pris en otage par sa dépendance énergétique envers les pays arabes et musulmans alliés potentiels ou déclarés de la Russie et de la Chine. L’Europe s’est tournée vers l’Azerbaïdjan pour lui acheter son gaz et ce pays en profite pour écraser l’Arménie. Ainsi toutes les sanctions prises contre la Russie se retournent contre leurs instigateurs décideurs européens. Dans le projet de Dieu, l’Europe est ainsi affaiblie, prête à être livrée à ses ennemis musulmans et russes. La stratégie guerrière du Dieu suprême est imparable, car son action et son contrôle sont universels. Mais il n’agit pas directement lui-même, et l’essentiel de ses châtiments sont infligés par l’intermédiaire des instruments anges et hommes qu’il a créés. Le rôle des mauvais anges est de loin le plus important et dans Apo.7:2 il est précisé : « Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant ; il cria d'une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer, et il dit :… » Qui peut avoir ainsi « donné de faire du mal à la terre et à la mer », sinon celui qui calme la tempête par son ordre soit, le divin Jésus-Christ ? Et nous pouvons ainsi comprendre l’utilité pour Dieu d’avoir laissé en vie, les démons angéliques rebelles. Quand le « temps de la fin » arrive, ces démons célestes sont rendus libres d’agir à leur guise ; et au titre de condamnés à mort en sursis, ils ne trouvent leur plaisir qu’à faire souffrir et mourir le plus possible d’êtres humains. Et c’est en prenant possession des esprits humains que Dieu leur livre, que les démons agissent dans la vie charnelle terrestre. Les fausses religions, les divergences politiques et économiques, tout est bon pour être utilisé dans le but de diviser les êtres humains et les pousser à se combattre à mort. C’est parce qu’ils nient la cause véritable du mal humain, que les peuples occidentaux, devenus incroyants ou incrédules, deviennent incapables de juguler le mal qui se développe parmi eux. Pour soigner le mal, les médecins eux-mêmes doivent le diagnostiquer ; il en est de même du péché, ce mal que Dieu seul définit et stigmatise. Certains péchés sont définis par la transgression des dix commandements de Dieu, nommés clairement et gravés sur des tables de pierres par le doigt de Dieu. Mais cette liste de dix manières de pécher n’est pas exhaustive. Comme souvent dans notre humanité, cet arbre gigantesque cache une forêt qui commence avec le simple fait de ne pas aimer Dieu, « de tout notre cœur, de toute notre âme, et de toutes nos pensées ». Et si cette condition exigée par Dieu, dans Mat.22:37, n’est pas satisfaite, quelle importance faut-il donner au respect ou à l’irrespect des autres ordonnances ? La loi divine est rédigée en dogmes clairs pour simplifier et révéler, pour l’homme, une attitude mentale invisible chez son prochain. Et nous sommes tous le prochain mystérieux des autres êtres humains. C’est là, le sens que l’Esprit donne, dans la sainte Bible, à la loi divine mise en action par des rites religieux à caractère prophétique. C’est à ce titre que, pour un temps seulement, la loi est comparée par Paul à un pédagogue qui conduit un enfant à son école. Mais le rôle de ce pédagogue cesse quand la leçon d’amour est donnée par Dieu à l’occasion de son ministère rédempteur accompli par l’expiation des péchés des élus par Jésus-Christ. La loi et sa lettre perdent alors leur rôle exclusif pour justifier ou accuser l’homme pécheur. Après son œuvre expiatoire accomplie en Christ, Dieu a pu juger les hommes sur les sentiments que ce sacrifice volontaire leur fait éprouver pour lui. Il trouve chez eux, ou ne trouve pas, la norme d’amour qu’il exige de la part de créatures invitées à partager sa vie éternellement. Ce principe a concerné, en premier, le temps de l’ancienne alliance, mais dans la nouvelle alliance il prend une application individuelle. Car au début de notre rencontre avec Dieu, nous sommes semblables à un enfant qui a tout à apprendre de Dieu, aussi, dans un premier temps, la loi écrite reprend pour nous, son rôle de pédagogue, jusqu’au moment où, entièrement éclairés et gagnés par l’amour de Dieu, le principe de l’amour dévalue la norme écrite de la lettre qui ne condamne plus mais prescrit la norme de la vie du racheté sanctifié ; ce que je définis par l’opposition des expressions « être sous la loi » et « être avec la loi ». Pour un pécheur rebelle, l’obéissance due à Dieu est regardée comme un « fardeau » ; ce qui n’est plus le cas pour celui qui obéit pour exprimer son amour pour Dieu. Ainsi, dans l’amour, la notion de « fardeau » disparaît ou le rend « léger » selon l’expression citée par Jésus-Christ, dans Mat.11:29-30 : « Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger. »
Ce mercredi 18 Octobre, le président des USA, Joe Biden, vient rencontrer en Israël le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. Les deux hommes ne partagent pas les mêmes idées, mais dans les circonstances de l’assaut de la ville de Gaza, cette rencontre s’imposait pour calmer ou tenter de calmer les menaces des pays musulmans irrités, et en premier, l’Iran, grand soutien du parti Hamas et du Hezbollah libanais. Nous assistons donc à de multiples tentatives diplomatiques qui ont pour but de tenter d’apaiser la situation explosive créée entre Israël et les multiples pays musulmans dispersés sur la terre. Espérant encore pouvoir exploiter la détention de quelques 220 à 250 otages israéliens revendiqués par lui, le Hamas suggère l’idée de les délivrer contre 6000 palestiniens détenus par Israël qui est placé, dans ce contexte, sous la pression des nations alliées auxquelles appartiennent certains de ces otages détenus à Gaza. Mais le choc subi par Israël est largement supérieur à l’émotion suscitée pour les otages et je pense que ceux qui retiennent le bras armé d’Israël ne le retiendront pas encore très longtemps.
Le jugement du monde est donc en train de se définir par ces deux rencontres qui s’effectuent, successivement, le mardi 17 Octobre, en Chine, et le mercredi 18 octobre, en Israël. Les futures belligérants qui vont se combattre férocement jusqu’à la complète destruction officialisent leur alliance avec leur allié principal ; la Chine, pour la Russie et les USA, pour Israël. Bien au-dessous du niveau de ces nations, l’Europe est absente, et sous le nom symbolique « Euphrate » dans Apo.9:14, elle sera surtout la principale cible victime de la « sixième trompette » ordonnée par Jésus-Christ.
Un peu avant le décollage de l’avion présidentiel américain, au soir du mardi 17 Octobre, une roquette est venu frapper de manière providentielle, pour la cause du Hamas, un hôpital dans Gaza faisant plus de 200 morts. Dans toutes les villes arabes, en Turquie, et dans les autres pays musulmans, des populations sont sorties dans les rues, pour exprimer, publiquement et en masse, leur colère contre Israël, accusé de cette faute. Mais est-il réellement le coupable de ce drame ou est-il le jouet d’une machination diabolique venant d’un groupe islamiste local. Israël impute cette action au Djihad Islamique, un groupe islamiste qui cherche à profiter de la situation. Après tout, en 1939, pour envahir la Pologne, Adolph Hitler n’a pas eu de scrupule pour faire attaqué par un commando allemand portant des uniformes polonais et parlant en polonais, une station radio allemande installée juste à côté de la frontière polonaise. Les islamistes sont-ils plus scrupuleux et moins pervers qu’Adolph Hitler ? Qui empêche les civils palestiniens de sortir de la ville afin de se mettre à l’abri dans le sud de la bande de Gaza ? Le Hamas ou un groupe islamiste ? Ce qui est certain, c’est que ce n’est pas Israël. Ceux qui retiennent des civils pour en faire des boucliers ne peuvent-ils pas faire mourir 200 innocents palestiniens pour exciter la colère arabe musulmane mondiale contre Israël ? A qui profite le crime ? Si Israël avait voulu tuer les occupants d’un hôpital, n’aurait-il pas lancé son offensive, qu’il retient encore provisoirement, alors que son désir de détruire le Hamas est intense ? La rencontre de Joe Biden et Benjamin Netanyahu va prendre une forme inattendue, la situation du contexte ayant gravement changé. Et ce changement se traduit par un bouleversement complet du programme que le président américain s’était fixé avant le drame de l’hôpital de Gaza. Sa visite va être beaucoup écourtée, car les rencontres prévues en Jordanie, avec les dirigeants des pays arabes encore en contact avec les Occidentaux, sont toutes annulées. Et cette nouvelle situation me fait réaliser l’utilité de ce drame imprévu. Il nous permet de comprendre que quelles que soient les preuves qui innocentent Israël dans ce bombardement, aucune ne permettra de faire changer les opinions arabes hostiles chroniquement envers Israël. Les 200 morts de ce drame tombent à point pour renforcer cette haine sans remède. Et les preuves de cette innocence existent et Israël les a présentées sous forme de photos aériennes qui témoignent de tirs venant de Gaza à 19 heures locales soit, 7 heures du soir, le mardi 17 Octobre. De plus, en criant et scandant les mots « djihad », « Hamas », « Allah Akbar », les masses arabes civiles se présentent comme des soutiens inconditionnels des groupes Hamas et des islamistes. Israël a donc en face de lui que des ennemis qui souhaitent son extinction. C’est alors que ses alliés lui deviennent néfastes par la distinction qu’ils font entre le civil et le combattant islamiste. Si bien qu’Israël pourrait justement tenir ces propos : « Que Dieu me protège de mes amis car, mes ennemis, je m’en charge ». Mais visiblement, Dieu n’est pas prêt pour protéger Israël de ses amis et la situation actuelle récente dans laquelle il se trouve accusé, témoigne de sa malédiction qui ne peut disparaître qu’en reconnaissant Jésus-Christ pour son messie prophétisé dans ses saintes Ecritures. Je le rappelle, Israël attendait et attend encore un « messie » libérateur qui lui donne la victoire sur ses ennemis. Jésus-Christ est bien venu en libérateur, mais seulement pour libérer les vrais Juifs du péché, l’ennemi doublement mortel.
En l’organisant au cours des siècles, le concept de vie occidental s’est construit sur des valeurs humanistes particulières. Les guerres opposaient des chrétiens contre d’autres chrétiens et c’est ce qui explique la possibilité de mettre en place des règles de comportements acceptées par les belligérants. Sous le nom « accords de Genève », ils ont établi, des normes qui doivent être respectées par les combattants et leurs chefs : droit des prisonniers, droit des civils, et droit des combattants. Depuis 1948, le retour des Juifs sur une partie seulement de leur sol ancestral a soulevé un problème qui a touché, les peuples arabes du Moyen-Orient. Ces peuples, longtemps colonisés, sont majoritairement musulmans et non signataires des « accords de Genève », ils ne placent pas de limite à l’expression de leur action guerrière. Et déjà, la guerre de la Russie et de l’Ukraine montre encore que les deux camps ne respectent pas vraiment les règles de ces accords. C’est pourquoi, nous ne devons pas être étonnés du fait que les combattants de l’islam les ignorent totalement. Les « accords de Genève » ne concernaient que les Occidentaux, ils ont vécus et vont disparaître, dans la guerre qui vient, les uns avec les autres. La visite raccourcie du président des USA, va permettre à Israël de régler ses comptes avec le Hamas, plus rapidement que prévu. Alors que sur la terre les peuples veulent identifier l’auteur coupable de l’explosion de l’hôpital, il se peut que l’auteur se trouve dans le ciel, dans le camp des anges démoniaques célestes. Car ils existent, pour intensifier « le mal » et ses effets guerriers terrestres.
En France, les effets de la guerre menée contre le Hamas à Gaza suscitent des réactions belliqueuses chez les immigrés d’origine arabe musulmane. Dans les écoles, des jeunes n’hésitent pas à témoigner de leur haine des Juifs et … de la France elle-même. Des mesures autoritaires sont enfin adoptées par le nouveau jeune ministre de l’éducation, Gabriel Attal. Mais ces mesures arrivent bien tard, uniquement, pour constater l’existence d’ennemis auxquels, aveuglément, la France a offert, son sol, le gîte, la nourriture, et la nationalité française. Les erreurs finissent toujours par être payées très chères.
Les signes précurseurs de l’explosion de la colère musulmane apparaissent sous la forme d’un réveil des attentats islamistes perpétrés par des individus qui placent leur action sous l’égide du rattachement aux groupes DAESH ou Al-Qaïda. Et dans l’impossibilité de repérer à l’avance toutes les réactions spontanées d’individus fichés ou pas, les autorités nationales sont condamnées à se restreindre à établir des constats, en exprimant la désolation et la consternation au sujet des nouvelles victimes tuées. Après, les attentats dus au groupe du GIA en 1995, sporadiquement, d’autres actions du même type se sont accomplies jusqu’aux dernières relevées en ce mois d’Octobre 2023 à Arras et à Bruxelles. Une seule question se pose, angoissante, quand ces actions vont-elles se multiplier simultanément ?
Dans la soirée du 18 Octobre, de nouvelles informations donnent à l’affaire de l’hôpital le caractère d’une énorme mystification, car finalement, l’hôpital de Gaza n’a pas été bombardé, il est resté lui-même intact et c’est seulement, le parking à voitures placé devant lui qui a été victime des retombées d’une roquette qui a explosé dans le ciel au-dessus de lui. On ne trouve aucun cratère sur le sol de ce parking incendié uniquement en surface. Un film tourné en continu par la chaîne arabe Al-Jazeera en donne la preuve en image. On voit le lancement de roquettes islamistes dont la trajectoire passe au-dessus de l’hôpital. Le pas de tir se situe dans un cimetière qui se trouve à proximité de l’hôpital au Sud-ouest, côté mer, selon les propos enregistrés, par Israël, de deux islamistes palestiniens. L’une de ces roquettes change soudain de direction et explose en vol, l’instant d’après, un incendie fait exploser l’essence des véhicules stationnés sur le parking. Et le parking se transforme en un énorme brasier dont une photo a été diffusée sur toute la terre en temps réel instantané. Nous voyons là, la malédiction de cette technologie de l’information qui ne protège plus, mais aggrave la conséquence des faits qui s’accomplissent. De plus, on apprend maintenant que le nombre des victimes présentes sur le parking se limite à quelques dizaines de personnes, et que nous sommes donc bien loin des 200 victimes annoncées. Ayant suivi ces choses en continuité sur les chaînes « info », j’ai vu comment, en premier, un Palestinien de Gaza qui n’était cependant pas sur le lieu de l’hôpital a cité 500 à mille victimes, dont le nombre a été réduit à 200 par la suite par d’autres témoignages. Et finalement, ce nombre n’est que de 30 à 50 personnes, de plus, victimes d’un accident, et non d’un bombardement volontaire. Mais ce fait a cependant mis dans la rue, instantanément, des millions de musulmans arabes ou pas, dans leurs différents pays. L’hostilité naturelle des Arabes musulmans envers la France vient d’être, à cette occasion, clairement démontrée à Tunis, où des manifestations ont visé l’ambassade de France. L’heure est venue pour les Français de découvrir que le Front National, si longtemps diabolisé, était simplement le plus perspicace, le plus visionnaire, et la moins stupide des représentations politiques françaises.
L’intervention du président américain avait pour but de calmer et d’apaiser les relations occidentales et orientales musulmanes. Mais, Jésus-Christ vient de faire échouer cette tentative, car son but est d’obtenir la mort du « tiers des hommes », comme en témoigne son message prophétique d’Apo.9:13 à 15 : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. »
Peuples européens, tremblez, car vous êtes la cible principale de cette colère divine de Jésus-Christ. Vous êtes ce « fleuve Euphrate » placé sous la malédiction d’une « Babylone la grande » symbolique qui est l’institution « mère » religieuse catholique papale romaine, son Etat pontifical du Vatican, et « ses filles » protestantes depuis 1843, selon Daniel 8:14 : « Et il me dit : Jusqu’à 2300 soir-matin et la sainteté sera justifiée ». Ceci est l’exacte traduction du texte hébreu.
Et c’est encore cette institution religieuse infidèle et païenne, cible de la colère de Dieu qui marque les obsèques des gens tués à cause de la culpabilité qu’elle porte personnellement envers Dieu lui-même et envers les hommes qu’elle trompent par ses messes que l’Esprit compare à des « enchantements » magiques, dans Apo.18:23 : « la lumière de la lampe ne brillera plus chez toi, et la voix de l'époux et de l'épouse ne sera plus entendue chez toi, parce que tes marchands étaient les grands de la terre, parce que toutes les nations ont été séduites par tes enchantements ». Ses prières, ses messes et ses sacrements sont vains et ont autant d’effet que les rites religieux de leurs ennemis musulmans, qui se contentent, eux, de recouvrir le corps de leur morts d’une toile et de le mettre, promptement, dans « la poussière » de la terre.
C’est ainsi, que depuis 1995, date des premières victimes du groupe GIA, le groupe Islamiste Algérien, la France offre encore en ce 19 Octobre 2023, des funérailles quasi nationales à sa dernière victime en date, le professeur Dominique Bernard tué par un jeune islamiste tchéchène, comme le précédent, qui a décapité le professeur d’histoire Samuel Paty, en 2020, au moment où il sortait du collège où il enseignait. Qui sera le, ou les, prochains ?
Les statuts des religions catholiques et protestantes ne sont pas identiques bien que frappées toutes deux par la malédiction de Dieu. La seconde, protestante, est coupable d’infidélité envers Dieu qui l’a néanmoins reconnue jusqu’au printemps 1843. Le statut de la première, catholique, est pire que la seconde, car l’organisation papale romaine n’a jamais été reconnue par Dieu depuis son instauration officielle de l’année 538. Au moment où Dieu a choisi de faire disparaître les rites juifs pratiqués à Jérusalem, rites rendus inutiles dans la nouvelle alliance faite en Jésus-Christ, la Rome impériale païenne s’est succédé à elle-même, en adoptant la forme religieuse d’apparence chrétienne du régime papal romain ; lequel a conservé les formes et les rites hérités de son paganisme traditionnel. Elle a donc reproduit sur la terre, trompeusement et en toute malédiction pour les humains, le sacerdoce terrestre que Dieu voulait faire disparaître, parce que le nouvel intercesseur, Jésus-Christ, crucifié et ressuscité, est devenu céleste. En conséquence, les rites catholiques terrestres ont couvert et rendu inutile l’intercession de Jésus-Christ jusqu’au printemps 1843. C’est pour confirmer cet enseignement que Jésus s’est montré en action d’intercesseur soit, de sacrificateur, dans une vision céleste donnée à trois Adventistes au matin du 23 Octobre 1844. La date 1843 étant fixée comme terme des 2300 années réelles citées dans Daniel 8:14, il était nécessaire pour Dieu, de faire ressortir le jugement exceptionnel dont il a fait bénéficier la foi réformée entre 1170 et 1844. En ces deux dates, Dieu a présenté la pratique de sa sainte vérité ; en 1170 par Pierre Valdo, le fondateur des groupes vaudois, et en 1844, par la présentation de son saint sabbat du septième jour à un premier Adventiste sélectionné nommé Joseph Bates. Ce jugement exceptionnel est suggéré dans Apo.2:24, par la possibilité de Dieu d’exiger un « autre fardeau » non exigé au temps de l’œuvre de la Réforme : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; » Cet « autre fardeau » est le respect du sabbat ordonné par le quatrième des dix commandements de Dieu et il est exigé par lui à partir du printemps 1843. Dieu le donne aux vrais adventistes sélectionnés par son jugement, au titre de son saint « sceau » divin royal, à partir du 23 Octobre 1844, au matin. Ainsi, adopté individuellement par les adventistes élus par Dieu, le sabbat a donné son sens au mouvement « adventiste », et l’église « adventiste du 7ème jour » est née du rassemblement de ces deux thèmes religieux en 1863 aux USA seulement, et à partir de 1873, en mission universelle officialisée par l’Esprit de Dieu en Jésus-Christ.
Ceci est l’histoire du commencement béni de l’adventisme du septième jour. Mais cette bénédiction a été perdue, officiellement, en 1994. Car les héritiers n’étaient plus dignes de leur héritage, et ils en ont donné eux-mêmes la preuve, en rejetant l’annonce du retour de Jésus-Christ que je leur ai présentée et annoncée pour 1994. Le mépris et l’indifférence des dirigeants leur a été fatal. Jésus les a « vomis » en 1994, au moment où mon annonce prenait son véritable sens : celui de démasquer l’hypocrisie religieuse de l’adventisme international et que le message adressé à « Laodicée », dans Apo.3:14 à 21, confirme. Ainsi l’annonce était erronée par le choix de Dieu, lui-même, mais la date 1994 obtenue par le calcul prophétique était juste, bonne et conforme à son projet prophétisé. Et en entrant dans l’alliance protestante rejetée en 1843, officiellement, au début de l’année 1995, l’adventisme officiel institutionnel a confirmé lui-même que Jésus-Christ venait de le « vomir ».
Après ce jugement concernant sa dernière institution officielle, Jésus-Christ a préparé le temps du début de ses châtiments collectifs et individuels. C’est dans ce sens qu’est apparue, au début de l’année 2020, la paralysie économique des nations occidentales dans lesquelles les populations ont été confinées, contraintes à ne sortir qu’en portant un masque, et à terme, à ne sortir que sous la condition d’être vaccinées par un vaccin dont personne, pas même ses créateurs, n’est en mesure de prévoir les conséquences néfastes dans le cours ou le long terme. Ensuite, le 24 Février 2022, l’Europe a gagné une ennemie mortelle, la Russie, en choisissant de soutenir la guerre nationaliste de l’Ukraine qui a choisi de passer du camp russe au camp de l’OTAN, commettant ainsi une désertion et une trahison aux yeux de la Russie. Puis le 7 Octobre 2023, un raid meurtrier du Hamas palestinien mené sur le territoire Israélien a pour résultat, après la réaction vengeresse d’Israël, et l’utilisation d’une annonce trompeuse du bombardement d’un hôpital de Gaza, un soulèvement de toutes les nations musulmanes arabes ou pas, contre Israël et contre les nations européennes de l’OTAN.
A ce sujet, je relève dans la soirée du Jeudi 19 octobre, l’impact réel dû à la fausse information concernant l’hôpital de Gaza prétendu « bombardé » par les Israéliens. Sur la chaîne info, les manifestations de masses des populations arabes hostiles envers Israël et tout l’Occident, ont produit un effet visible. Sur le plateau télévisé, tous les animateurs ont, pour la première fois, reconnu la possibilité d’une Troisième Guerre Mondiale. Et ils ont pris réellement conscience de l’isolement du camp occidental devenu l’objet de la haine pour les autres peuples de la terre. Et ceci explique pourquoi, également conscient de cette situation, le président américain Joe Biden, en vieil homme sage et avisé, a voulu exhorter Israël, en lui conseillant de ne pas se laisser conduire par sa rage et son désir de vengeance, rappelant que les USA ont commis des erreurs en agissant ainsi après le 11 Septembre 2001 en lequel les deux tours du World Trade Center ont été incendiées et détruites par deux avions de ligne détournés par un commando du djihad de Ben Laden, le groupe islamiste Al-Qaïda. C’est dans cette heure difficile, qu’Israël peut identifier ses vrais amis ou ses vrais alliés. Mais la position des USA est aussi justifiée par la puissance financière et le poids politique de l’imposante communauté juive vivant sur son sol qui manipule les USA, majoritairement chrétiens. En fait, la retenue momentanée de l’ardeur guerrière d’Israël contre le Hamas aura eu une influence positive, en évitant l’hécatombe de ses soldats qu’un assaut irréfléchi aurait produite. Israël se veut maintenant inventif, mais ne renonce pas à son projet initial qui est la destruction des chefs et des tueurs du Hamas. Cependant, l’élargissement du conflit devient inévitable, car ce projet déplaît à l’Iran et à ses groupes de combattants externes antisionistes présents dans tous les pays arabes musulmans.
Bénéficiant de la connaissance de la phase européenne de la Troisième Guerre Mondiale révélée dans Dan.11:40 à 45, le développement de la guerre de Gaza est assez facile à prévoir. Attaqué de multiples parts, Israël, pourrait néanmoins résister aux attaques des pays arabes. Mais il ne résistera pas à l’attaque de la Russie et sera dévasté dans un premier temps, ainsi que l’Europe occidentale attaquée, elle, au sud par les islamistes arabes et au nord par la Russie. Seule l’intervention nucléaire des USA viendra changer la situation, libérant des peuples, mais condamnant, paradoxalement, toute chance de survie sur la terre.
La situation mondiale actuelle reproduit le découpage qui prévalait en 1948, date où le retour des Juifs sur leur terre natale ancestrale a provoqué un partage basé sur deux livres religieux, la Bible et le Coran, trois jours de repos, le vendredi de l’islam, le samedi des Juifs et le dimanche des faux chrétiens, et deux prophètes, Jésus-Christ et Mahomet. Autant dire que les relations entre ses trois opinions ne pouvaient être que tendues, hypocrites ou ouvertement hostiles et agressives. J’ajoute que dans les deux camps, Dieu est celui qui bénit, et le diable, celui qui maudit. Alors que la vérité est tout autre : Dieu est celui qui bénit ou maudit. Ceci me permet de relever que le comportement des populations révèle la valeur de leur religion. Et dans le réveil haineux actuel des arabes de Jordanie, de Syrie, du Liban, de l’Arabie, du Yémen …etc, nous voyons des gens pour lesquels « Dieu est grand » mais seulement quand il leur donne raison, autrement, l’action est imputée au diable. Il n’est venu à aucun d’eux l’idée que ce qui s’accomplit est pour le moins, autorisé par le grand Dieu créateur qu’ils nomment Allah. Et l’absence de ce raisonnement est due au livre sacré de leur religion, le Coran, dans lequel, l’islam est présenté comme l’unique version de la vraie révélation divine. Dès lors, tout ce qui le conteste est attribué au diable. Ces gens ignorent que Dieu a précédé dans le temps cette démarche, en donnant à Israël, sa sainte Bible basée sur le témoignage historique relevé en tout temps par les témoins choisis par lui depuis Moïse. Et c’est seulement dans cette Bible que Dieu a voulu révéler sa personnalité complète et les lois universelles qu’il prescrit pour tout être humain, où qu’il se trouve sur la terre ; Israël n’est que la nation qu’il a choisie pour en faire la dépositaire de ses oracles, de ses statuts, de ses commandements et de l’accomplissement du salut des pécheurs rachetés par son sacrifice expiatoire accompli en Jésus-Christ.
Ainsi, en position centrale, Israël a, côté Orient, les populations musulmanes qui pensent que Dieu est avec elles contre Israël, et à l’Occident, des populations héritières du faux christianisme animées des mêmes pensées. Mais à notre époque, dans ce camp occidental, l’opinion de Dieu est le dernier souci des masses devenues en majorité incrédules et incroyantes. La phase de la Troisième Guerre Mondiale que Dan.11:40-45 nous présente, concerne l’Europe faussement chrétienne ou athée, « Israël », les peuples arabes africains de la « Libye » et de « l’Ethiopie », et la Russie orthodoxe. Ce sont donc bien, les religions des deux livres, la Bible et le Coran, qui s’affrontent en combats mortels. Et si Dieu a ainsi organisé le destin des hommes, c’est précisément, pour punir le mépris témoigné dans les deux camps pour sa vérité révélée dans la sainte Bible, le premier et l’unique livre de sa divine révélation qui s’est achevée par la prophétie nommée « Apocalypse » qui signifie précisément : Révélation. Pour punir les fautes d’Israël, autrefois, dans l’ancienne alliance, Dieu faisait appel aux Philistins qui résidaient déjà à Gaza. Aujourd’hui, pour punir Israël et l’Occident perverti, il fait aussi appel aux Palestiniens de Gaza et leurs partisans musulmans des pays arabes.
Dans ce dernier conflit, le camp occidental s’engage porteur d’un lourd handicap qui est son souci humaniste et c’est vraiment une cause de faiblesse et d’hésitation très néfaste pour atteindre les buts recherchés. Au milieu d’un conflit, seul, Dieu peut protéger les créatures qui méritent sa protection. Pour les humains la chose est simplement impossible. Le plus gênant pour les Occidentaux est le jugement humaniste qu’ils portent sur la population palestinienne dont les fils sont aujourd’hui dans les rangs des combattants du Hamas. Victimes de leurs illusions séculaires de ne pouvoir qu’être aimés, les Occidentaux construits sur des valeurs chrétiennes viennent de découvrir brutalement la haine que leur vouent des multitudes musulmanes orientales et maghrébines. Mais incapables de changer leur nature humaniste, ils sont piégés par elle, et cherchent, dans la population palestinienne, les vies qui méritent d’être épargnées. Dans cette population ne se trouvent que des Palestiniens, hommes, femmes et enfants, hostiles à Israël dont ils souhaitent la ruine et la disparition qui leur permettraient de retrouver leur territoire en entier. Et qui peut condamner ce type d’espérance ? Dieu, seul, le peut, car cette espérance est contraire et s’oppose à ce qu’il a voulu faire accomplir. Mais, cette réaction rebelle est l’effet recherché par lui, pour conduire à l’affrontement les peuples soulevés contre l’Europe dans laquelle sera « tué le tiers des hommes », selon Apo.9:14.
En entrant dans Gaza, les soldats israéliens vont se trouver sous les feux croisés du groupe Hamas et des autres groupes islamistes indépendants palestiniens. La jeunesse qui n’a pas évacué la ville est autant hostile que ces combattants islamistes. Observer un comportement humaniste dans ces conditions est un vœu pieu mais irréalisable.
Ce qu’il convient de relever, c’est l’importance de cette phase du positionnement des peuples musulmans entiers qui vont justifier à leurs yeux des agressions contre les nations européennes au titre de « roi du midi » dans la prophétie de Dan.11:40. Or, ces réactions hostiles sont encouragées et armées par la Russie et l’Iran à cause du soutien occidental donné depuis le 24 Février 2022 à l’Ukraine. Je peux dire que, de la sorte, la guerre de l’Ukraine apporte à la Russie l’ouverture d’un deuxième front, cette fois islamique, qui va renverser la situation et favoriser sa victoire momentanée contre ses ennemis occidentaux dans son agression conduite au titre de « roi du septentrion » dans ce même verset de Dan.11:40. Et c’est donc bien dans l’ordre, « roi du midi » puis « roi du septentrion », que la phase funeste pour l’Europe occidentale va s’accomplir, comme l’indique la prophétie divine donnée à Daniel dont le nom signifie « Dieu est mon juge ». Il se révèle aussi depuis l’année 2020, comme étant « le Juge » punisseur de l’humanité entière, et depuis le 24 Février 2022 et le 7 Octobre 2023, comme « celui qui juge » le mépris témoigné pour sa sainte Bible et ses divines saintes révélations, en ciblant de sa colère, successivement, l’Europe chrétienne infidèle, et Israël, son « premier né » et premier « pécheur ».
M7- La séduction et l’agression du « roi du midi »
Ce n’est plus un secret, ce « roi du midi » désigne l’islam arabe et africain. Et il est temps de comprendre comment cet islam étranger né en terre arabe vers la Mecque en Arabie saoudite est devenu séducteur des Français, particulièrement, puis leur agresseur.
Au sortir de la Deuxième Guerre Mondiale, la France était la quatrième puissance du monde en raison de sa colonisation dans divers lieux de la terre, en Extrême-Orient, le Vietnam et le Cambodge ; au Moyen-Orient, le Liban et la Syrie ; en Afrique du Nord, le Maghreb, Maroc, Algérie, Tunisie ; en Afrique Occidentale, la Côte d’Ivoire et le Sénégal ; dans l’Océan Indien, Madagascar et la Réunion ; dans l’Océan Pacifique, la Nouvelle-Calédonie et Tahiti ; en Amérique, la Guadeloupe, la Martinique et la Guyane. Les liens établis avec tous ces pays ont eu pour conséquence l’accueil de leur population sur le sol de la France métropolitaine. Ainsi, après la prise d’indépendance de la plupart de ces nations, le peuple français a accueilli des habitants déçus par les conditions économiques de leur nation libérée. L’image de la population française s’est ainsi peu à peu colorée et a reproduit une représentation de son régime colonialiste. Evidemment, le rapport colon colonisé n’engendrait pas les meilleurs sentiments, et dans de nombreux cas, un esprit de rancune a été conservé jusqu’à notre époque contre l’ancien colon. Ceci, parce que, la France colonisatrice ne favorisait pas l’accueil des colonisés. Ils étaient exploités mais instruits et dans la mesure du possible, retenus dans leur pays. En sorte que, sur le sol de la France, la pureté raciale française était préservée et conservée. La situation a donc été changée après les prises d’indépendance des pays colonisés. Les anciens colons n’ont pas réagi comme les anciens colonisés. Pour les Français, l’offre d’indépendance ne pouvait que créer la reconnaissance et l’affection pour cette liberté donnée. Mais pour le colonisé libéré, les sentiments étaient très différents. Et, pour certains, le fait même, de devoir revenir sous l’aile économique du pays colon, était vécu et ressenti, comme une humiliation cuisante qui entretenait une douleur profonde. Ceci a particulièrement été le cas pour des pays de religions musulmane, ce qui concerne ces trois anciens pays colonisés par la France, le Maroc, l’Algérie et la Tunisie. Avec ces pays, la rupture et l’obtention de l’indépendance a été obtenu en versant le sang, et ce fut le cas successivement, particulièrement, pour le Maroc et l’Algérie avec lesquels la blessure ne s’est pas refermée. Et les agressions islamistes qui tuent aujourd’hui des Français sont faites par des ressortissants de ces trois pays et des Tchéchènes russes accueillis en plus, plus récemment.
Soyons honnêtes, les Français ont longtemps mal vécu, le mélange ethnique racial et religieux qui leur a été imposé par leurs dirigeants politiques de toutes tendances. Seul, le parti du Front national a très tôt dénoncé et annoncé les conséquences futures et déjà immédiates de l’accueil de l’étranger musulman. Le taux de la délinquance a rapidement explosé et les prisons françaises ont été remplies de jeunes gens d’origine maghrébine. Cependant, soumis au dictat européen de plus en plus directeur à ce sujet, le peuple français a dû subir l’immigration des étrangers encouragée et même imposée par les règles européennes. L’incapacité du vivre ensemble a eu pour conséquence, le regroupement des étrangers dans des quartiers fuis par la population française. Des zones communautaires ont ainsi pris forme, en dépit du statut d’intégration qui bénéficie à l’étranger accueilli et nationalisé. Car au fil du temps, l’enfant né sur le sol de France devient un Français avec tous ses droits de Français et d’Européen.
Le problème de cette nationalité basée sur le sol et non sur le sang n’apparaît que dans les temps d’oppositions et d’agressions verbales et physiques. Car, la France a accueilli, non seulement des gens persécutés dans leur pays, mais également des représentants de leurs persécuteurs. En conséquence, les problèmes étrangers sont importés sur le sol français. Depuis des siècles, la communauté juive est présente en France comme la funeste « rafle du Vel d’hiv » parisien de 1942, en témoigne. Ensuite, depuis 1962, date de la fin de la sanglante Guerre d’Algérie, des Algériens et d’autres maghrébins se sont installés également dans notre pays. La France a donc sur son sol, la communauté juive et son ennemie religieuse la religion de l’islam soit, la brebis et le loup égorgeur.
Pendant des décennies, ces deux communautés ont supporté de vivre sans problème majeur dans notre République gérée de manière laïque. Et il faut relever le fait que cette position laïque ne favorise pas la compréhension des problèmes religieux pour les dirigeants et les hommes et femmes politiques français. Sous le gouvernement socialiste de François Mitterrand, pour apaiser les tensions, le régime a cherché des moyens d’unifier la société française disparate multicolore et il a trouvé, dans le sport, la possibilité de mettre l’étranger de couleur en valeur. C’est ainsi que le sport et particulièrement le « football » a fait de l’étranger la nouvelle idole du peuple dont l’exemple type a été le Français d’origine algérienne Zinedine Zidane, par lequel la France a remporté la coupe du monde en 1998. La séduction du peuple a parfaitement fonctionné et l’aspect majoritaire noir des joueurs du foot français n’a pas gêné les supporters devenus eux-mêmes de plus en plus typés et colorés.
J’attire ton attention sur ce rôle du sport qui renouvelle l’expérience de nos ancêtres les Gaulois, eux-mêmes séduits par les Romains grands amateurs du sport après les Grecs. Le sport a toujours séduit et attiré des foules d’êtres humains, de même que d’autres types de spectacles comme celui du théâtre également hérité des Grecs. Cette ressemblance avec ces peuples confirme la nature païenne qu’ils ont transmise à nos démocraties modernes actuelles. Et bien sûr, cet héritage est maudit pour nous comme il le fut pour eux. Et pour nous aujourd’hui, cette malédiction prend la forme d’une séduction mortelle. Car c’est maintenant que les droits du sol sont revendiqués légitimement par la religion de l’islam, que ses guerriers islamistes tuent des citoyens français laïcs. Tu peux comprendre ainsi, la raison pour Dieu de donner à l’humanité une longue période de paix de quelques 77 années en 2022. Ces années étaient utiles pour préparer la situation infernale dans laquelle les populations européennes se trouvent en 2023.
Sautant dans l’actualité, nous avons vécu le 7 Octobre 2023 l’événement qui constitue le fait le plus grave depuis 1948, date du retour des Juifs en Palestine. Et si je dis, le plus grave, c’est parce que les circonstances ont beaucoup changé depuis les victoires écrasantes obtenues par Israël sur ses ennemis arabes et palestiniens en 1967 dans la « guerre des six jours » et en 1973 dans la « guerre du Kippour ». Je l’ai déjà dit, ce temps de victoire reposait sur un armement très supérieur à celui des arabes, mais aujourd’hui, en 2023, l’art militaire vient d’être entièrement remis en cause dans la démonstration faite en Ukraine, par l’usage des drones et des destructions précises téléguidées. Actuellement, Israël rassemble un grand nombre de chars d’assauts qui peuvent être impressionnants mais peuvent être détruits très facilement par un petit drone tueur. La victoire d’Israël, si elle est obtenue, le sera à un prix beaucoup plus élevé que dans ces actions passées.
En France, le sport si populaire a été à Paris, confié à la gestion du Qatar. Il gère le « PSG », le Paris-Saint-Germain, l’équipe sportive parisienne du « football ». Il devient ainsi un acteur incontournable du jeu français dans lequel il place beaucoup d’argent que ses puits de pétrole et de gaz lui rapportent. Or, ce Qatar, qui a réussi à séduire par le sport les Français, finance également l’islam en France et à l’étranger, et particulièrement le parti Hamas palestinien suite à un accord passé avec les Israéliens eux-mêmes. Au soir du 20 Octobre soit, au début du sabbat du 21 Octobre, le Qatar a offert aux USA, la libération de deux femmes américaines otages du Hamas. La séduction du Qatar atteint son comble, puisqu’il prend l’aspect d’un pompier incendiaire, en finançant le Hamas et sa capture d’otages en Israël, et en ordonnant des libérations. Pour consolider sa séduction sur la France, il fera sans doute libérer les otages binationaux français israéliens.
Quel est le but recherché par le Hamas ? Diviser pour mieux régner. Car en libérant des otages occidentaux il apaise la colère de ces pays, et le choix des USA en premier, témoigne qu’il les craint le plus. En fait, le Hamas utilise ses otages afin de gagner du temps, car le temps est nécessaire, pour donner à la colère des peuples arabes l’intensité bouillante de son explosion internationale. Il sait que, pris sous les feux de cette colère multipliée, Israël ne sera plus en mesure de le détruire, conformément au projet qu’il a annoncé. Et une fois de plus, ce qui est fondamental dans ces faits, c’est que c’est Jésus-Christ, le Dieu tout-puissant, qui offre au Hamas cette possibilité d’action. Il lui a offert l’explosion de la roquette par laquelle le Hamas a accusé Israël et dressé contre lui, les peuples arabes indignés et révulsés. Et maintenant, en libérant des otages occidentaux binationaux, il apaise leurs dirigeants et leurs peuples, isolant toujours plus Israël, l’ennemi principal.
Cependant, ne nous y trompons pas, la colère soulevée contre Israël concerne également les nations occidentales de moins en moins chrétiennes. La haine arabe ne se contentera pas d’être exprimée contre Israël, mais aussi contre ses soutiens européens, et un « heurt », prophétisé dans Dan.11:40, contre ces nations européennes placées sous l’égide de la Rome papale, va s’accomplir marquant ainsi, officiellement, « le temps de la fin ».
Le mardi 24 Octobre 2023, le président français Emmanuel Macron s’est envolé vers Israël. La décision a été prise après qu’il ait constaté, à Paris, une manifestation bruyante de soutien à la cause palestinienne. Le jeune président est obligé de reconnaître, en lui-même, que les positions de ses adversaires du Front ou Rassemblement national étaient plus avisées que les siennes, et face au danger qui prend forme, il a pris peur. Monsieur « en même temps » se trouve donc en position de « grand écart » soucieux à la fois de confirmer son soutien à Israël et à présenter aux Palestiniens l’espérance d’améliorations de leur situation dramatique. En rencontrant des dirigeants officiels, le président espère obtenir leur écoute et leur collaboration. Mais ce que ne réalise pas cet homme encore jeune, c’est que la situation créée actuellement, ne dépend plus des chefs, parce que la population irritée est, elle-aussi, jeune et, comme lui, elle n’écoute plus ses anciens.
Nous nous trouvons à l’heure de vérité, sans être encore, à l’heure de la vérité. La vérité actuelle concerne la situation mondiale qui devient beaucoup plus lisible lorsque les masques tombent et que les faits s’imposent.
A la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, l’Amérique a vaincu tous ses ennemis et, dans sa position de vainqueur, elle a organisé le monde sur la base de ses valeurs. Avec ses alliés et les nations vaincues, elle a posé les bases de ce qu’elle considère la norme internationale. Et déjà là, nous avons la cause des conflits actuels. Car, les valeurs posées par l’Amérique ne se justifient que par sa propre expérience qui est venue remettre en cause des principes perpétuels de liberté des nations. Après la Révolution française les droits de l’homme et du citoyen sont devenus fondamentaux dans ces nouvelles valeurs imposées par l’Occident. Cependant, ces droits étaient une nouveauté qui remettait en question, la liberté de chaque nation et de chaque peuple qui choisissait son type de gouvernance, ceci, en toute vraie liberté. Or, ce principe de liberté autorise les peuples à vivre sous la direction, d’un roi, d’un dictateur, d’un président ou d’un chef religieux soit, un type de gouvernance qui n’est pas obligatoirement conforme au modèle choisi par les Occidentaux. Si bien que ce qui ressort aujourd’hui, c’est qu’en se regroupant sous les directives américaines, les alliés ont construit une forme contraignante de régime autoritaire qui, s’appuyant sur sa force et son union, a imposé sa norme à toutes les autres nations appelées longtemps « le tiers-monde ». Et bien l’expression va aujourd’hui désigner l’Europe et les USA, car c’est la proportion que représente le monde occidental sur l’ensemble des 8 milliards d’être humains vivant sur la terre. La chose est à remarquer, car c’est bien en s’efforçant d’isoler la Russie, que l’Europe et ses alliés se découvrent, eux-mêmes, en quantité minoritaire. Et pour conduire à ce résultat, il aura fallu le déclenchement de deux guerres successivement engagées entre l’Ukraine et la Russie, et Israël et le Hamas palestinien.
La norme occidentale américaine est responsable dans les deux guerres. L’Amérique a encouragé l’Ukraine à rejoindre son camp de l’OTAN et en attendant de confirmer cette adhésion, elle lui offre ses armes et ses fonds financiers. L’Amérique représente, religieusement et principalement, la religion chrétienne et ses deux principales composantes réconciliées et alliées, protestante et catholique. L’héritage de la malédiction catholique devient visible, puisqu’elle met en pratique, ce principe que Dieu impute au régime papal romain dans Dan.11:39 : « C'est avec le dieu étranger qu'il agira contre les lieux fortifiés ; et il comblera d'honneurs ceux qui le reconnaîtront, il les fera dominer sur plusieurs, il leur distribuera des terres pour récompense. » Tout y est, le relai passé entre Rome et le Protestantisme américain est parfaitement confirmé par le soutien des USA à l’Ukraine soutenue parce qu’elle « reconnaît » le régime de l’OTAN. En réponse l’Amérique défend son droit sur sa « terre » qu’elle arrache à l’alliance russe. Car l’Ukraine était libre et indépendante, mais elle l’était dans une alliance russe qu’elle a trahie en 2022, en demandant son rattachement à l’OTAN. Les politiques et les journalistes occidentaux membres de ce camp de l’OTAN ne mesurent pas les conséquences d’arracher ainsi, terre après terre, des territoires placés en 1945 dans le camp de la Russie soviétique au partage de Yalta en Crimée. Et ce n’est donc pas le hasard qui fait que ce territoire de la Crimée a été repris par la Russie dès 2014. La guerre actuelle conduite par l’Ukraine, qui fait de sa reprise de la Crimée le but suprême de son combat, ne fait que confirmer l’idée que Dieu pointe du doigt le partage de Yalta remis en cause par l’appel séducteur de l’Occident lancé vers l’Ukraine.
En regardant maintenant vers Israël, nous retrouvons comme responsables du conflit actuel, les Américains des USA. Car ce sont eux qui, en 1948, ont imposé aux autres nations de la terre, leur décision de donner aux Juifs réchappés de la tentative de l’extermination allemande nazie, une terre nationale sur leur ancien sol national devenu depuis leur dispersion générale et totale, la Palestine. Prends bien conscience, que cette dispersion s’est accomplie, il y a presque deux mille ans, et que pendant toutes ces années, des populations arabes sont venues s’installer dans le pays dont les propriétaires avaient été chassés par les Romains avec interdiction d’y revenir sous peine de mort. En sorte que le temps où elle est appelée « Palestine » est supérieur aux 16 siècles en lesquels elle a porté son nom juif « Israël ». De même, comparons les expériences de ses deux installations. Au temps de Josué, Dieu extermine les géants qui peuplaient cette terre qui s’appelait alors la terre de Canaan (nom du plus jeune des fils de Cham). Par cette extermination, Israël s’installe sur une terre délivrée de tout ennemi, pour le temps immédiat et le long terme. Cette première installation est visiblement organisée par Dieu qui bénit son peuple et lui offre sa paix et la sécurité.
A l’opposé de cette action, en 1948, l’installation des Juifs est réalisée dans un contexte de guerre permanente qu’ils doivent mener contre les arabes palestiniens qui n’acceptent pas, ni ne comprennent pas, pourquoi le malheur des Juifs persécutés est consolé par leur propre malheur. L’injustice créée est bien réelle. Et la malédiction du peuple Juif réinstallé est visible dans l’existence et la survie des victimes de cette injuste réinstallation. Ce n’est plus un peuple béni qui se réinstalle, c’est un peuple maudit par Dieu, et son installation est soutenue par le peuple chrétien le plus maudit après la religion catholique romaine : l’Amérique du Nord, les USA, fondateurs de l’ordre nouveau instauré lui-même sur une terre nouvelle arrachée aux indigènes amérindiens à peau cuivrée, les véritables Américains. Les deux continents des Amériques ont été conquis, le continent Sud par la religion catholique par les Espagnols et les Portugais, et le continent Nord, a été, lui, peu à peu envahi par des immigrés européens anglicans, protestants, catholiques, orthodoxes, et biens d’autres religions. En prenant leur indépendance en 1776, les USA reconstruisent sans y penser, le modèle de la « tour de Babel », puisqu’ils rassemblent dans une même nation, des gens venus de tous pays et de toutes langues, et de toutes couleurs de peau ; une condition que Dieu a voulu détruire, en dispersant les peuples auxquels il a donné des langues parlées différentes en cette unique et originelle occasion. La reconstruction de la norme de Babel constitue en elle-même une cause de terrible malédiction pour les derniers humains de l’histoire terrestre. Et ceci, parce qu’en naissant sous ce principe, en Occident, personne ne pense à le condamner et le remettre en cause. Cependant, le témoignage de la sainte Bible est là pour rappeler ce mépris manifesté envers la volonté du Dieu créateur qui concrétise la faute de l’Occident pécheur ; un Occident maudit par lui autant qu’il a pu le bénir en lui révélant, sa sainte Bible et les conditions exclusives de son salut individuel basé sur Jésus-Christ, mort et ressuscité.
Le rassemblement du camp de l’OTAN des Occidentaux ne repose pas sur une norme de vérité unique imposée à tous les membres unifiés. Dieu seul exige ce genre de chose pour le camp de ses élus, car son chemin est étroit, précis, défini et normalisé. Dans la société occidentale, les conditions d’alliance sont moins exigeantes. Ce que l’Amérique des USA veut obtenir, c’est principalement, la reconnaissance de ses valeurs ; ce qui laisse encore beaucoup de liberté aux options individuelles que chacun peut choisir d’appliquer. Car cette union doit tenir compte du principe de liberté qui fait aussi toute sa faiblesse, parce que les choix individuels provoquent des dissensions et des conflits internes. C’est donc avec raison, que Dieu peut illustrer le camp de la liberté occidentale sous l’aspect d’un colosse « aux pieds d’argile et de fer » fragile et fort « en même temps ». La construction prophétique révélée depuis Daniel 2, pose les bases du caractère romain qui va se succéder jusqu’au « temps de la fin » qui désigne notre époque. Au fil du temps, c’est en héritant la malédiction romaine que ce caractère du « fer » se transmet jusqu’à nous ; et aujourd’hui, c’est par les USA qu’il est représenté, et unis dans l’alliance œcuménique, le catholicisme et le protestantisme américain constituent en effet ce mélange de « fer et d’argile ». Mais ce mélange est parfaitement illégitime, c’est pourquoi, Dieu peut dire à leur sujet, dans Dan.2:43 : « Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. » Dieu n’a voulu, par cette révélation, qu’ouvrir nos yeux sur une réalité masquée : Nous sommes, collectivement, tous les victimes d’alliances religieuses et profanes « hypocrites » passées par des dirigeants politiques chargés de favoriser des échanges commerciaux et techniques, pour que les riches s’enrichissent et que les pauvres soient transformés en consommateurs aveugles. En Occident, la consommation doit faire oublier les problèmes religieux et la méthode a été terriblement efficace, puisque la France croyante de 1945 est devenue, visiblement, progressivement incroyante jusqu’en 2023. Et à cette date, sa population se trouve confrontée à un problème religieux très grave. En effet, depuis le 7 Octobre 2023, le monde entier découvre la haine religieuse musulmane du parti Hamas par le massacre de plus de 1400 Juifs sur leur territoire contesté et insupporté par tous les Musulmans.
Ce drame surprend tous les peuples et il contraint les humains à prendre individuellement et nationalement, position en faveur des Juifs ou des Palestiniens. Cependant, étant en face de deux illégitimités, l’option raisonnée est ni l’un, ni l’autre. Le choix en faveur des Juifs donne une légitimité à l’Amérique, le pays fort et vainqueur en 1948. Le choix en faveur des Palestiniens donne raison au Dieu créateur qui a chassé les Juifs de leur terre nationale à partir de 70. Mais pour autant, ce peuple palestinien, en majorité musulman, n’a droit à aucune bénédiction divine particulière.
Les interprétations prophétiques sont multiples, car en prophétie, les mots et les images ne portent que les sens que Dieu leur donne. Et dans sa sagesse et sa puissance, on découvre des accomplissements qui sont à la fois littéraux et spirituels. Prenons pour exemple ce verset de Zac.12:3 : « En ce jour-là, je ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples ; tous ceux qui la soulèveront seront meurtris ; et toutes les nations de la terre s'assembleront contre elle ». Derrière le nom « Jérusalem » se trouve la ville juive de ce nom qui sera littéralement investie par les nations et meurtrie sévèrement dans la guerre qui s’engage. Mais ce nom qualifie aussi, symboliquement et spirituellement, le peuple des derniers saints de Jésus-Christ qui sera composé de Chrétiens et de Juifs sincères qui le reconnaîtront et se convertiront à lui, dans la dernière heure du temps humain terrestre. De plus, des messages basés sur l’enchaînement d’images sont également proposés par l’Esprit illimité de Dieu. Voici un exemple de ces choses : dans l’annonce de sa « sixième trompette », Dieu utilise des symboles déjà cités dans la « cinquième trompette » qui la précède. De la sorte, Dieu suggère que les deux « trompettes » ont la même cible soit, l’Union Européenne et ce que l’histoire confirme, son extension américaine protestante et catholique. Dans Apo.9:12, sous le nom « Euphrate », Dieu désigne l’Europe au titre de terre originelle de naissance de la religion protestante représentée, « au temps de la fin », par l’Amérique des USA. En sorte que le message de la « cinquième trompette » concerne plus, depuis 1844, l’Amérique, que l’Europe restée catholique, et devenue plus récemment incroyante ou musulmane. En désignant le camp occidental par le nom « Euphrate », l’Esprit cible à la fois, le sol européen et américain et le lieu oriental dans lequel le conflit prend sa forme concrète. Car le « fleuve Euphrate » est bien situé en Iraq, pays frontalier de l’Iran, et l’Iran est derrière le plus fort soutien donné à la cause islamiste du groupe Hamas palestinien. Le message spirituel se double donc d’un sens littéral trompeur. C’est ainsi que l’accomplissement de la guerre actuelle qui s’engage entre l’Occident faussement chrétien et l’islamisme oriental va tromper les lecteurs non bénis de la sainte Bible. Car cet accomplissement littéral n’est en réalité qu’un masque qui vient cacher la vérité spirituelle uniquement discernée et identifiée par les vrais élus de Dieu en Jésus-Christ. De plus, ce terme « Euphrate » réapparait dans Apo.16:14, ce qui crée un faux lien qui relie le conflit de la « sixième trompette » et celui d’ « Harmaguédon », nom symbolique qui désigne le combat spirituel mené contre les derniers observateurs du sabbat, et qui justifie l’intervention de Jésus-Christ dans son retour glorieux. Cependant, ce retour du nom « Euphrate » cible, dans ce contexte final, le gouvernement universel organisé et dirigé par les survivants des USA ; ce qu’Apo.13:13 impute à « la bête qui monte de la terre » protestante formée « à l’image de la bête qui monte de la mer » catholique. Nous lisons dans Apo.16:12 : « Le sixième versa sa coupe sur le grand fleuve, l'Euphrate. Et son eau tarit, afin que le chemin des rois venant de l'Orient fût préparé. » Dans cette image, le premier message qui apparaît est celui d’une annonce de la destruction de la vie humaine symbolisée par « l’eau », sur le territoire Occidental dirigé par l’Amérique. En plus, au sens spirituel, l’Esprit reprend ici un fait historique qui, accompli en – 536 par le roi Darius le Mède, décrit le « tarissement » ou l’assèchement, du « fleuve Euphrate » qui lui permit de s’infiltrer dans la ville chaldéenne de « Babylone » et de la conquérir. Par ce rappel, Dieu prophétise la fin de la Rome papale catholique que Jésus-Christ va vaincre et faire détruire par les victimes qu’elle a séduites et trompées.
Je relève une dernière raison pour Dieu de désigner ses derniers ennemis terrestres par ce nom symbolique pris au réel « fleuve Euphrate ». Ce fut dans cet endroit que Dieu situa le jardin, l’Eden, qui fut le berceau de l’humanité ; le lieu où il créa Adam et Eve, le premier homme et la femme formée à partir de l’une de ses côtes. Subtilement, la révélation de l’histoire terrestre humaine se referme sur l’évocation de ce lieu biblique plein de sens soit, le lieu qui suggère le premier, et le dernier homme, qui disparaît à son tour de la terre qui va rester ainsi désolée pendant « mille ans » avec pour seul habitant, Satan le diable, jusqu’à sa mort et son anéantissement, au jugement dernier.
Je relève trois raisons principales qui justifient les guerres : 1- La religion ; 2 - L’idéologie politique et économique ; 3 - La conquête du sol d’une nation. Selon, le type de guerre, l’un ou l’autre, deux, ou les trois ensembles de ces causes peuvent être à l’origine des conflits. Alors que les deux premières Guerres Mondiales ont eu pour cause des désirs de conquêtes nationales en opposant entre elles des nations chrétiennes, au moins au niveau de l’Europe, la troisième Guerre Mondiale concerne cette fois, la troisième religion monothéiste, l’islam, mot masculin qui signifie, paradoxalement, « soumission », mais soumission à Allah, le Dieu unique. Car, pour ces peuples musulmans, il n’est pas question de se soumettre aux nations infidèles chrétiennes qui les ont déjà trop longtemps colonisés. Pour comprendre les changements de la situation mondiale, il faut réaliser qu’elle se construit par des phénomènes que nous connaissons bien puisque nos réactions personnelles réagissent selon un même principe qui est basé sur le temps qui passe. Telle situation est en son début acceptée, mais avec le temps, elle finit par ne plus l’être, soit parce que nous changeons nous-mêmes, soit parce que la situation du début a empiré et atteint la limite du supportable. Ce que j’explique là, c’est la cause du massacre de familles juives en Israël, le 7 Octobre 2023, mais aussi, la cause de l’agression russe contre l’Ukraine depuis le 24 Février 2022. Et en ce Mercredi 25 Octobre 2023, l’Esprit divin a dirigé mon esprit vers une explication que je trouve géniale et merveilleusement simple et logique. En fait, les deux faits, que je viens d’évoquer, délivrent à l’humanité un même message de la part de Dieu : Dans les deux cas, l’Occident grignote progressivement la terre qui appartient à son adversaire. Car Israël est un pont occidental implanté au Moyen-Orient. Et l’exaspération du parti Hamas palestinien résulte, d’un grignotage constant du sol possédé par les Palestiniens en Cisjordanie, par les Israéliens qui construisent des îlots juifs, et accaparent pour eux l’eau du Jourdain dont les Palestiniens se voient privés, parce que « l’eau » disponible, elle-même, se raréfie. Si l’on tient compte de ces choses, alors l’explosion de colère palestinienne à laquelle nous assistons se justifie. De même, l’Occident a aussi grignoté constamment la part des terres placées dans le camp russe au partage de Yalta en 1945. Les trois pays baltes ex-terres russes ont rejoint l’Europe et l’OTAN, lorsque la Russie a été affaiblie et en crise politique et économique. Et l’OTAN a pour son futur malheur accueilli ces trois pays perdus par la Russie. La Pologne a fait de même, étant également accueillie par l’Europe et l’OTAN. D’autres pays situés dans ce camp russe ont également choisi leur rattachement à l’Europe sur sa frontière Est : la Hongrie, la Tchécoslovaquie, partagée aujourd’hui en deux pays européens, la Roumanie et la Bulgarie. Faut-il encore s’étonner de trouver chez le président russe actuel, une réaction causée par une exaspération provoquée par ce grignotage constant des nations de son alliance par l’Occident jamais rassasié ? Nous le voyons ainsi très clairement, l’Occident « glouton » est l’unique responsable des deux guerres qui construisent la Troisième Guerre Mondiale qui va le consumer.
Ayant identifié, la cause humaine de ce drame qui s’est engagé et se développe dans le temps, il apparaît certain qu’aucun discours de quiconque ne sera en mesure d’empêcher son accomplissement ; et en personne, Dieu y veille. Car ne l’oublions pas, avant d’être celle des hommes, cette guerre est la guerre de Dieu qui trouve dans le mépris de sa volonté révélée que tous lui témoignent, la cause de son châtiment effectué par sa « sixième trompette » symbolique, mais combien retentissante, par ses explosions de colères et de bombes conventionnelles, et uniquement à la fin, de bombes nucléaires.
La dernière explosion de colère manifestée par le parti Hamas palestinien a pris la forme d’un massacre horrible, mais reconnaissons-lui au moins son efficacité. Car par cette unique action, il a réussi à réveiller les consciences humaines dispersées sur toute la terre et à sensibiliser les esprits égoïstes repliés longtemps sur eux-mêmes, démontrant ainsi le malheur de son peuple frappé injustement sous le regard indifférent des nations du monde, en dehors de l’Iran, son unique et vrai soutien. Mais ne t’y trompe pas, la colère de Dieu ne vise pas cette indifférence témoignée envers les hommes, de plus pécheurs entêtés puisque musulmans. « L’indifférence » que Dieu punit, c’est celle que les êtres humains montrent envers les « souffrances » réellement injustes que Dieu a portées dans la chair de Jésus-Christ, car c’est de lui qu’il est question dans ces paroles prophétisées dans Esaïe 53:3-4 : « Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; et nous l'avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. »
Ainsi dans son incontestable sagesse, Dieu a placé, sur les USA et l’Europe occidentale, chrétiens infidèles et coupables, la responsabilité des conséquences du retour des Juifs en Palestine, dès 1948 ; ceci, afin que la colère palestinienne musulmane se soulève contre eux et les entraînent dans une Troisième Guerre Mondiale génocidaire déjà, partiellement, engagée à ce jour.
Ce mercredi soir, qui marque bibliquement l’entrée dans le jeudi 26 Octobre, de consternantes nouvelles rendent inquiets les médias français. La Russie résiste, l’Ukraine fatigue, et dans son voyage vers l’Orient, le président Macron très volubile a adressé à chaque dirigeant rencontré, ce qu’il pouvait accepter d’entendre reprenant ainsi en international sa tactique nationale du « grand débat », sauf que, la mise en action de ce qu’il propose est devenu impossible ; le grand Dieu créateur y a veillé. En outre, le président Turc, Erdogan, encore membre de l’OTAN, vient de légitimer le combat mené par les combattants du Hamas, les désignant comme « libérateurs » qui combattent pour sauver leur terre. Et le pire pour nos médias occidentaux, c’est qu’il exprime une vérité incontestable. Le temps qui passe profite au Hamas car peu à peu, les opinions publiques mondiales évoluent. Sentant le danger venir, Israël lancera bientôt son offensive retardée, pour son malheur et celui des habitants de toute la terre.
M8- Qui est qui ?
Pour répondre à cette question, il nous suffit d’identifier le statut spirituel que Dieu donne au sujet concerné, et ensuite, nous devons tirer toutes les conséquences du résultat obtenu. Et c’est bien dans ce but que Dieu a préparé ses révélations prophétiques destinées à éclairer l’entendement de ses rachetés élus.
Je souligne dans ce rôle, l’importance qu’il convient de donner à cette journée du 26 Octobre 2023 placée sous le nombre « 26 » qui est le nombre du nom de Dieu soit, « YaHWéH ». Et je vis moi-même, en France, dans le département de la Drôme dont le numéro est aussi « 26 ». Et c’est depuis Valence, le chef-lieu et préfecture de ce département, que j’écris ces pages, afin que tu partages avec moi et ses autres enfants bien-aimés, la beauté de sa vérité révélée. Beauté, parce que je trouve beau, ce qui est intelligent et logique et cette intelligence spirituelle que Dieu me donne me rend réellement vivant et fait de moi un bienheureux qui lui appartient. Je ressens particulièrement cette relation directe avec le grand Dieu créateur, par le fait que son choix des dates fixées pour accomplir des actions signées par lui, m’est adressé particulièrement, puisque pour apprécier ces dates, il faut connaître la norme de son code numérique et l’apprécier comme il le mérite. Ce privilège est partagé par tous ses vrais enfants bien-aimés.
Au début de cette étude, se trouve donc la pensée de Dieu et son jugement. Il a créé l’homme et sa femme à partir de l’une de ses côtes, donnant à Adam ainsi une suprématie sur la femme, son « aide ». Mais Dieu ne l’a pas prévenu que cette « aide » devait l’aider à se perdre. Et s’il ne l’a pas fait, c’est parce que la chute du couple était dans son projet salvateur. En effet, dans l’image d’Adam, il prophétise Jésus-Christ, et dans celle d’Eve, formée à partir de lui, il prophétise l’Elue, la sainte assemblée de tous ses élus rachetés sur la terre. De même qu’Eve, qui signifie « Vie », donne « la vie » aux enfants humains ; l’Elue convertit et offre à Dieu de nouveaux élus qui vont hériter de « la vie éternelle ».
Regardons maintenant l’humanité coupable d’avoir péché soit, désobéi à une interdiction précisée par Dieu. Cette désobéissance a justifié que les humains meurent, disparaissent de la surface de la terre, et retournent à la poussière, matière à partir de laquelle Dieu a originellement créé et formé Adam. La culpabilité est portée par l’homme et la femme, puisque tous deux ont désobéi. Dans son châtiment, Dieu tient l’un et l’une pour coupable. Cette culpabilité héritée par la descendance humaine concerne l’être humain qu’il soit civil ou militaire. Et ce principe divin est ignoré par nos sociétés laïcs qui ont, elles, choisi de faire une distinction entre le civil et le militaire, au point d’en faire une règle officielle parmi d’autres regroupées sous le nom de « Conventions de Genève » ; des « Conventions » humaines que Dieu ne reconnaît absolument pas. En conséquence, son jugement concerne perpétuellement, l’homme et la femme civils ou militaires. Car son jugement concerne toutes ses créatures qui vivent par sa divine puissance créatrice. Examinons de plus près encore ce sujet. En quoi, le civil devrait-il être tenu pour innocent et le militaire pour seul coupable ? Avant d’être militaire, le soldat était un civil et finalement le soldat n’est qu’un civil qui porte un uniforme ou pas. De plus, l’actualité guerrière le prouve, c’est bien le civil qui excite à la guerre le soldat. Et ce dernier combat, prêt à donner sa vie pour le bénéfice des civils de sa nation. Les règles fixées à Genève ne sont donc pas logiques et résultent d’une sensiblerie humaniste apparue dans l’humanité moderne.
Celui qui est venu mourir sur une croix pour offrir la vie éternelle à ses rachetés élus a cependant déclaré dans 1Sam.15:3, sans renier son amour pour ses créatures : « Va maintenant, frappe Amalek, et dévouez par interdit tout ce qui lui appartient ; tu ne l'épargneras point, et tu feras mourir hommes et femmes, enfants et nourrissons, bœufs et brebis, chameaux et ânes. » Les gens, qui ignorent ce témoignage donné par la sainte Bible, jugent ce type d’action comme étant « monstrueuse », cependant ce n’est pas un « monstre » qui l’a ordonné, c’est le Dieu amour et justice qui sauve en prenant les souffrances de ses élus sur lui-même. Dans le cas qui vient d’être cité, la cible de la colère de Dieu était Amalek, soit, les Arabes de l’époque du roi Saül. Mais dans sa parfaite justice, au comble de son péché, Israël, le peuple qu’il a choisi, a été frappé de la même manière, la même rigueur, et les mêmes cibles, selon Jér.44:7 : « Maintenant ainsi parle YaHWéH, le Dieu des armées, le Dieu d'Israël : Pourquoi vous faites-vous à vous-mêmes un si grand mal, au point de faire exterminer du milieu de Juda hommes, femmes, enfants et nourrissons, en sorte qu'il n'y ait plus de vous aucun reste ? » Et enfin, ce témoignage d’Ezé.9:6 atteste que la menace divine a été mise en œuvre : « Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes ; mais n'approchez pas de quiconque aura sur lui la marque ; et commencez par mon sanctuaire ! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. »
Ce que les humanistes jugent « monstrueux » n’est que le fruit porté par une grande colère toujours justifiée quand elle est divine, ou injustifiée ou pas quand elle est humaine. L’homme étant la proie de la colère, la forme de cette colère peut atteindre des sommets d’horreurs. Et le fruit porté ne dépend pas que de l’individu mis en colère. Car, dans sa colère, l’homme éprouve un impérieux désir de faire du mal à sa ou ses victimes. Et ce désir de faire du mal n’est pas qu’humain. Car Apo.7:2-3 nous révèle l’existence de ceux qui poussent les hommes à « faire du mal » : les mauvais anges célestes, les démons et leur chef, le diable Satan : « Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant ; il cria d'une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer, et il dit : Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. »
Dans les faits divers, et de plus en plus nombreux, on relève les actions d’hommes qui se mettent soudainement à tirer avec leur arme sur des enfants écoliers ou des passants anonymes. Arrêtés, quand ils le sont, ils témoignent souvent d’avoir obéi à un ordre ayant entendu en eux-mêmes une voix. Ils ne mentent pas, mais cette vérité n’est recevable que par l’homme spirituel dont l’intelligence est rendue efficace par Dieu. Et cet homme spirituel est rare en notre époque moderne pervertie.
Sachant qu’en 2023, la totalité de l’humanité se trouve sous la condamnation de Dieu, la réponse à la question « qui est qui ? » est facile à donner : personne, excepté une minorité indécelable dans la masse humaine. Mais tout ce qui porte un caractère officiel et public est placé sous la malédiction de Dieu. Dans Apo.6:17, Dieu pose ce type de question : « car le grand jour de sa colère est venu, et qui peut subsister ? » Pourra subsister celui ou celle que Dieu marque de son « sceau » divin royal dans Apo.7. Aussi ce chiffre 7 cible le saint sabbat du septième jour qui ne prend son rôle de « sceau » de bénédiction que pour les vrais adventistes du septième jour soit, des Chrétiens qui aiment comprendre les révélations divines et se réjouissent chaque sabbat parce que Jésus-Christ leur a fait connaître son sens prophétique qui symbolise, au titre de septième jour, son retour au début du septième millénaire. Ce camp-là appartient incontestablement au Dieu de vérité, Jésus-Christ, Micaël, YaHWéH ; tout le reste appartient au diable.
Dans ce camp diabolique, « qui est qui ? »
L’histoire de France qui nous est enseignée repose sur des témoignages d’historiens dispersés au long des siècles. Ils ont toujours été influencés par les idées de leur époque. Et pendant longtemps, le régime catholique romain était considéré comme le représentant de Dieu sur la terre des humains. C’est à cette influence que nous devons les plus grands récits de cette histoire de France qui exalte des hommes comme Charlemagne et plus tard, le personnage de Jeanne d’Arc. Je peux dire aujourd’hui que selon la révélation divine, les voix qu’elle dit entendre pour rencontrer le dauphin, le futur roi Charles VII, étaient des voix de démons qui organisaient de cette manière, la trompeuse tragédie des siècles, sanglante, pour lui donner une apparence divine. Car, enfin, pourquoi Dieu aurait-il voulu favoriser un camp anglais ou français qui ne l’honorait ni l’un, ni l’autre. Dans le récit de la « Pucelle », la foi mystique ténébreuse est seule bénéficiaire, car dans son expérience, elle présente la France catholique en odeur de sainteté, ce que l’Apocalypse dénie. L’histoire de France est cependant construite sur un modèle que Dieu a fait appliquer par le diable. Officiellement, c’est Dieu qui dirige son histoire, mais il le fait en retrait par les œuvres du diable et de ses démons. Car, ni Satan, ni ses démons, ni quiconque d’autre dans le ciel ou sur la terre ne peut échapper à son contrôle et à son inspiration, en sorte que ce verset d’Amos 3:6 révèle une importante vérité : « Sonne-t-on de la trompette dans une ville, sans que le peuple soit dans l'épouvante? Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que YaHWéH en soit l'auteur ? » Ce qu’il nous faut comprendre, c’est que Dieu trace le cadre de l’histoire terrestre, mais il laisse au diable la charge de faire et d’organiser le mal en actions concrètes. Ainsi, supervisant et dirigeant la vie en fonction de sa volonté et de son projet, Dieu prend à son compte les œuvres bénies par lui, et il laisse aux démons la mise en œuvre des formes du mal imposé aux pécheurs terrestres. C’est pourquoi, l’histoire étant écrite par des hommes spirituellement ignorants, la forme donnée à leur témoignage est conditionnée par cette ignorance. C’est aussi ce qui conduit des hommes à faire de certains personnages de grands héros alors que le regard spirituel éclairé ne voit en eux que de sinistres et sanglants bouchers. Et bien sûr, le plus important est de savoir que sous son titre honoré de « très saint père », le pape installé à Rome, n’est que le serviteur aveugle mais zélé du diable et des démons. Ceci dit, tous ceux qui entrent dans son alliance partagent sa culpabilité devant le vrai Dieu. Ainsi, il n’est pas difficile de savoir « qui est qui ? » Le jugement de Dieu repose sur des raisonnements très simples, mais qui demandent à être fermement appliqués, comme doivent l’être des principes.
Dans l’actualité, au niveau international, « qui est qui ? »
Ce domaine s’éclaircit grandement à la faveur des faits qui s’accomplissent depuis le 7 Octobre 2023 en Israël et à Gaza. J’y reviendrai mais relève déjà l’avantage tiré de l’invasion russe de l’Ukraine le 24 Février 2022. Jusqu’à cette date, les nations de la terre se rencontraient à l’ONU, des alliances et des marchés étaient conclus entre des gens et des peuples dans des relations « hypocrites » maintenues malgré les signes avertisseurs donnés par les secousses brutales dues aux peuples musulmans immigrés ou dans leurs pays. Car, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la mésentente des Occidentaux et des Musulmans était visible et le drame qui vient, prévisible. Et les partis nationalistes occidentaux l’avaient prévu et constamment dénoncé. Mais en vain, parce que l’humanité ne devait pas échapper au châtiment que Dieu a préparé pour la punir. Les années des faux semblants se sont donc écoulées, laissant entrevoir la possibilité d’une paix définitive. Mais voilà que brusquement la trahison de l’Ukraine envers l’alliance russe a conduit l’armée Russe à envahir le sol national de l’Ukraine devenue indépendante depuis 1991. La prise de sanctions contre la Russie a favorisé l’identification des nations européennes et ainsi, la Hongrie a révélé son désaccord avec les mesures prises par le camp européen et les USA. Dans l’union de l’OTAN, la Hongrie a ainsi révélé sa position particulière qui embarrasse beaucoup les autres pays membres. La Russie, jusque là amicale et commerciale, est devenue d’un seul coup, l’ennemi public numéro un.
Mais dans ce « qui est qui ? », les révélations apportées dans la journée du 26 Octobre 2023 sont effarantes et surprenantes. Car, les visites du président Macron aux acteurs du Moyen-Orient ont des effets inattendus. Dénonçant les combattants du Hamas comme terroristes islamistes tels le groupe DAESH après le président des USA Joe Biden et le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, le président de la Turquie, Erdogan, a fait publiquement éclater et révéler son indignation au sujet de cette comparaison. La parole du président Macron a donc des effets particuliers. La Turquie révèle ainsi sa nature musulmane qui la porte tout naturellement à soutenir les actions du groupe Hamas. Cette divergence au sein même de l’OTAN rebat les cartes et va encore plus la fragiliser.
De plus, en cette même journée, les médias reconnaissent publiquement ce qui va devenir dans un mois, l’échec de la contre-offensive de l’Ukraine car ses armées ne parviennent pas à briser les défenses russes qui intensifient leurs attaques contre une enclave ukrainienne située à Avdiivka près de Donetsk. Pour la première fois, l’armée ukrainienne donne des signes de fatigue face à une armée russe qui augmente sans arrêt ses munitions et ses effectifs pour remplacer ses nombreux morts. Avec une naïveté étonnante, les commentateurs des chaînes info n’hésitent plus à envisager, la nécessité de reprendre des relations avec la Russie. Mais comment peuvent-ils imaginer que le président russe va leur pardonner, la fourniture des canons, des munitions, des obus, des chars et des missiles qui ont détruit la vie d’environ 190 000 Russes, voire davantage ? La Slovaquie confirme l’arrêt de son aide militaire donnée à l’Ukraine. Qui d’autre va l’imiter ?
Cette journée du 26 Octobre 2023 est aussi marquée par une action des chars israéliens entrés par une brèche du mur de l’Est de la bande de Gaza. Ce jour est donc placé sous le signe d’un basculement de la situation internationale sans précédent. Et, les déclarations publiques faites par le président Macron ont l’avantage de faire tomber le masque des fausses alliances et particulièrement au sujet de la Turquie que sa religion musulmane place avec ses pays frères religieux. Le nom de son président « Erdogan » signifie en turc, « guerrier farouche ». Son attitude souvent belliqueuse envers la France, va faire de lui son principal proche ennemi. De plus, la France s’est farouchement opposée à l’admission de la Turquie dans l’Union Européenne. Et pour son malheur, la France, a sur son sol, la présence d’une non négligeable communauté turque, en plus des communautés maghrébines et africaines également musulmanes.
A en juger par leur caractère opposé dans l’absolu, la présence de l’islam religieux rigoriste et autoritaire, sur le sol de la France républicaine libertaire et laïque, ne pouvait que laisser présager une fin vécue dans l’affrontement mortel. Et pour mieux comprendre encore la cause de ces comportements incompatibles, nous devons tenir compte de la chose suivante. Le grand Dieu créateur ne donne en réalité à toutes ses créatures angéliques et humaines que la liberté de choisir leur camp. Chacune choisit le camp qui lui plait, lui convient, en fonction de sa nature personnelle. Ce choix étant fait, Dieu reste le maître absolu sur toutes ses créatures, il laisse vivre le camp des démons pour les utiliser, afin de faire du mal et leur rôle individuel est très important, car contrairement aux hommes qui meurent et disparaissent, les mêmes démons organisent le mal du début de la création de la terre jusqu’au retour glorieux de Jésus-Christ. Ils ont pour chef, le diable Satan, le premier ange parfait créé par Dieu. Mais c’est encore Dieu qui choisit la forme que le mal doit prendre. Et c’est donc dans ce sens que nous devons comprendre le verset qui donne Dieu comme auteur du bien et du mal. Le bien se résume par le choix de l’obéissance à sa volonté, la bénédiction et le bonheur et logiquement, le mal consiste à choisir le contraire absolu de cette option. L’être humain est systématiquement, soit béni, soit maudit, par Dieu. Il n’existe pas de troisième voie. Cependant la norme de la malédiction est large et progressive, elle concerne le païen idolâtre, le libre penseur athée et finit par la trahison de l’alliance chrétienne qui constitue la plus grave culpabilité.
Qui est la France ? C’est un pays au destin à la fois prestigieux et particulièrement coupable devant Dieu. Au milieu de tous les peuples, ce pays a eu une grande influence sur les pays qui l’ont admiré et ont reproduit son modèle. Dès 496, son premier roi Clovis 1er s’est converti au catholicisme romain organisé par l’empereur Constantin. Il lui a donné son soutien militaire et fut ainsi un fervent défenseur de l’évêque de Rome. A son tour, grand admirateur des arts et de la culture italienne, le roi français François 1er favorisa la foi catholique après avoir épousé l’italienne Catherine de Médicis. Il fut à l’origine des premières guerres de religions menées contre les Réformateurs protestants au cours du 16ème siècle. A son tour, la France a séduit les peuples européens et autres, par le faste de Versailles organisé par le roi-soleil, Louis XIV qui fut aussi le plus grand persécuteur de la foi réformée protestante en créant le corps des « dragons » spécialisé pour la chasse aux « hérétiques », selon les accusations prétendues par Rome. La malédiction monarchique a alors atteint son comble. Après elle, Dieu a organisé son châtiment, en suscitant le soulèvement du peuple maltraité et mal nourri et sa Révolution Française du 14 Juillet 1789. Le châtiment atteint son comble pendant une année entière de « Terreur » du 27 juillet 1993 au 27 Juillet 1994. La guillotine fait, en ce temps, tomber des têtes de monarchistes, de prêtres et de simples suspects, jour et nuit. Tout ce sang versé coule pour venger l’alliance divine trahie et usurpée selon l’enseignement parallèle de la « quatrième trompette » d’Apo.8:12 avec le « quatrième châtiment » présenté en avertissement prophétique par Dieu dans Lév.26:23 à 25 : « Si ces châtiments ne vous corrigent point et si vous me résistez, je vous résisterai aussi et je vous frapperai sept fois plus pour vos péchés. Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi. » En second accomplissement cette annonce devient dans l’ère chrétienne, selon Apo.8:12 : «Le quatrième ange sonna de la trompette. Et le tiers du soleil fut frappé, et le tiers de la lune, et le tiers des étoiles, afin que le tiers en fût obscurci, et que le jour perdît un tiers de sa clarté, et la nuit de même. » Qui frappe ainsi « le tiers du soleil, de la lune et des étoiles » ? L’épée qui venge la sainte alliance construite sur la grâce obtenue par Jésus-Christ, et sous l’aspect des révolutionnaires français, cette épée vengeresse frappe la coalition catholique coupable, la monarchie et le clergé romain. C’est au temps de ce châtiment que la liberté républicaine donne naissance à la libre pensée qui explique l’incroyance religieuse généralisée de notre époque sur la terre de France. En 1776, les USA ont gagné leur indépendance envers la couronne anglaise, mais en France en 1789, la déclaration des « droits de l’homme » porte la France à la tête du principe de la liberté. Plus tard, c’est elle qui offre à l’Amérique du Nord, sa statue de la « Liberté » dressée devant New-York, la ville type du « Nouveau Monde » qui ne fait que restaurer un type ancien nommé, « Babel ». La concurrence s’engage alors entre la France et les USA ; c’est à qui se montrera le plus défenseur du principe de la Liberté. Mais alors que les USA favorisent le commerce et l’enrichissement de leurs capitalistes, la France suit un chemin différent, influencée par la pensée socialiste, plus conforme à ses droits de l’homme, droits individuels sociaux et moraux. Mais sans loi divine et donc sans frein, la forme de sa liberté tombe dans l’excès et devient « libertaire ». Des dérives mentales récentesvenant des USA sont adoptées et le mal est appelé bien comme le bien est appelé mal. A ce niveau la France et ses imitateurs sont prêts pour subir le châtiment divin. A cette fin, Dieu avait inspiré aux monarques européens les conquêtes de terres pour les coloniser. Les monarchies espagnole et portugaise furent les premières qui placèrent l’Amérique du Sud en colonies selon un partage géographique défini par le pape romain. L’Angleterre s’engagea dans cette colonisation à son tour, puis la France fit de même en Extrême-Orient au Moyen-Orient et en Afrique où elle colonisa le Maghreb musulman et des pays de l’Afrique noire. A la fin de ce temps de colonisation, elle a accueilli sur son sol, des ressortissants de ces pays devenus indépendants ou restés sous la gestion française. On ne peut que comprendre maintenant la malédiction qu’a représentée la colonisation pour les pays colonisateurs. Car, le résultat est un mélange ethnique cosmopolite explosif qui met en contact des religions concurrentes au passif sanglant, et des idéologies diverses, plus ou moins adaptées pour le vivre ensemble. Mais ce qui rend cette cohabitation des diversités humaines explosive ce n’est pas la nature humaine, c’est l’inspiration diabolique des personnes mises en contact, et cette cohabitation a été voulue et organisé par la volonté de Dieu, de la même façon qu’il a organisé la Révolution française entre 1789 et 1798, dans les deux cas, pour « venger son alliance » méprisée ou trahie.
Qui est donc cet islam que Dieu utilise depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale comme épée ou instrument de sa vengeance ? Relevons déjà dans les symboles choisis pour le représenter, le croissant de lune et le sabre. Ce rattachement à la lune, l’identifie aux puissances des ténèbres mais en « croissant » seulement, soit, de manière moindre que le régime papal romain et le faux christianisme européen qui sont, eux, illustrés par la « lune entière » dans Apo.6:12 : « Je regardai, quand il ouvrit le sixième sceau ; et il y eut un grand tremblement de terre, le soleil devint noir comme un sac de crin, la lune entière devint comme du sang, » le sabre représente sans mystère, la nouvelle épée vengeresse de l’alliance divine chrétienne méprisée, pour les derniers jours. Le rôle préparé pour l’islam par Dieu devient évident quand on sait que l’islam est apparu à la fin du siècle dans lequel, en 538, le régime papal catholique romain a été instauré. Ainsi, ce catholicisme est utilisé par Dieu pour châtier le mépris de la vérité biblique chrétienne. Mais en suscitant l’islam, Dieu prépare une verge qui punira à son tour le premier instrument de sa vengeance. Et ce que Dieu prépare par sa « sixième trompette » n’est que le juste retour de colère des Musulmans agressés en premier par les « Croisades » chrétiennes lancées par la papauté triomphante du Moyen-âge sur la terre d’Israël que Dieu avait livrée aux Musulmans. Ainsi une grande et sanglante « Lunade » : le « djihad », va répondre aux sanglantes « Croisades » parfaitement injustifiées. Pour porter le message contradicteur de l’islam, Dieu a choisi les peuples arabes dont le fondateur n’est autre qu’Ismaël le fils d’Abram et d’Agar la servante égyptienne de Sarah la légitime épouse. La concurrence entre Ismaël et Isaac le fils légitime, s’est prolongée jusqu’à notre temps de la fin où elle oppose encore leurs descendants. Cette concurrence a donc toujours existé, mais en fondant l’islam, les Ismaélites ont officialisé et renforcé leur prétention et revendication. A la faveur des décolonisations et du choc pétrolier de 1973, les peuples arabes se sont enrichis et ont pu progressivement racheter des biens européens avec leur argent payé pour obtenir leur pétrole et leur gaz. Pris au piège des conséquences économiques, la France et ses alliés européens ont ainsi été contraints à devenir de plus en plus conciliants envers ces pays arabes fournisseurs d’énergies devenues indispensables. Mais qui sont donc ces Ismaëlites ? Je laisse le grand Dieu créateur, le véritable auteur et inspirateur de la sainte Bible, nous donner sa réponse. Nous la trouvons, dans Gen.16:12 où Dieu prophétise au sujet d’Ismaël et de sa descendance : « Il sera comme un âne sauvage ; sa main sera contre tous, et la main de tous sera contre lui ; et il habitera en face de tous ses frères. » Ce témoignage du récit entier est à prendre en compte, car les ordres donnés par Dieu à Agar dans le verset 9 s’appliquent aujourd’hui à ses descendants musulmans : « L'ange de YaHWéH lui dit : Retourne vers ta maîtresse, et humilie-toi sous sa main. » Où est le Musulman prêt à s’humilier devant la descendance d’Isaac soit, Israël et plus encore, devant Jésus-Christ ? Heureusement pour les Occidentaux, cette descendance fut longtemps et souvent divisée par des querelles internes. Le Maghreb fut en premier envahi et converti à l’islam par les Arabes. Ensuite, jusqu’en 1840, sous la domination turque seldjoukide, l’islam s’est lancé dans une grande conquête de territoires, envahissant et convertissant les Balkans au Sud-est de l’Europe. Mais les Musulmans furent bloqués par la Pologne. Jusqu’à notre époque, ils sont restés en Thrace orientale, en Albanie et en Bosnie-Herzégovine. Cette expérience de la Pologne justifie aujourd’hui son comportement nationaliste opposé à toute immigration musulmane, c’est aussi l’attitude de la Hongrie, que l’islam a occupé cruellement.
Un autre pays européen est concerné par la cohabitation avec l’islam ; il s’agit de l’Allemagne. Sous la direction d’Adolf Hitler et après lui, l’Allemagne a pactisé avec la Turquie devenue, pour un temps, laïque à l’époque d’Atatürk. Ce changement de nature, favorisa alors une grande immigration turque vers l’Allemagne. Mais depuis l’élection du président Erdogan, le retour du religieux s’est progressivement renforcé en terre turque, mais aussi chez ses ressortissants immigrés en Allemagne, dont de nombreux agents du gouvernement turc, nommés « loups gris ». Et depuis la récente déclaration de ce président Erdogan qui légitime le Hamas, l’Allemagne se découvre ayant, sur son sol, une adversité religieuse interne extrêmement dangereuse pour elle. Quant à la France, elle cumule son handicap, car elle a sur son sol, des représentations de tous les pays musulmans. Et ceci confirme les paroles prophétisées par Michel Nostradamus concernant cette situation française finale dans sa Centurie I Quatrain 18 : « Par la discorde négligence gauloise sera passage à Mahomet ouvert… » Or, ce « passage ouvert à Mahomet » a une histoire qui prend sa source dans la colonisation du Maghreb, mais aussi, par le rôle que la France a tenu en favorisant la germination des verges de la colère divine. C’est en effet, sur cette terre de liberté aveugle, qu’est né en région parisienne en 1978-1979, à Neauphle-le-Château, dans une résidence clôturée, dans l’esprit de l’Ayatollah Khomeini, la pensée du réveil djihadiste iranien qui est à la base de tous les groupes djihadistes actifs actuels. La France a aussi enfanté et nourri, les premiers Djihadistes algériens du groupe GIA entré en action sur son sol à Paris, en 1995. Puis c’est encore d’elle que sont sortis les combattants islamistes les plus durs du groupe DAESH qui est apparu après le groupe Al-Qaïda. Le régime libertaire enfante donc idéalement les verges qui doivent le frapper mortellement, confirmant ainsi la prédiction de Michel Nostradamus dont l’intérêt est de prophétiser des détails que la Bible ne fournit pas au sujet du destin de la France ; détails couvrant les événements depuis son époque jusqu’à la fin du monde soit, de l’année 1555 jusqu’au retour de Jésus-Christ programmé pour le printemps 2030.
Tout ce qui s’accomplit chaque sabbat au cours du mois d’Octobre 2023 porte la signature du Dieu créateur et de son ordre du temps.
Ce mois se présente sous l’ordre donné par Dieu au début de sa création terrestre. Les quatre sabbats qui se présentent successivement le 7, le 14, le 21, et le 28, dans ce mois d’Octobre, marquent tous le véritable « septième jour sanctifié », par Dieu, qui définit la fin de chaque semaine. Cette sanctification était liée au repos de la vie éternelle que notre divin Sauveur Jésus-Christ devait gagner pour ses élus rachetés par sa mort expiatoire. Je savais que cette configuration viendrait confirmer mon attente d’un événement important prophétisé pour l’année 2023, pour des raisons sur lesquelles je donnerai en détail les explications dans un autre message. Dieu interpelle l’humanité par l’entrée de Tsahal l’armée israélienne dans la ville de Gaza, dans la nuit du sabbat 28 Octobre. Et les conséquences de cette décision seront immenses puisqu’elles vont soulever la colère des multitudes musulmanes et ainsi réveiller et pousser à la guerre le camp du « roi du Midi » cité dans Dan.11:40. Ce choix de Dieu, de faire accomplir par Israël des actions guerrières en ce jour de sabbat, apporte une réponse à la question « qui est qui ? » concernant Israël, ce peuple qui est resté seul à observer de manière nationale le respect du sabbat et l’ordre biblique enseigné par Dieu. Cependant, tout en soulignant l’existence du sabbat, dans cette action guerrière, Israël le souille et le traite comme un jour profane. De la sorte, par ce témoignage donné en œuvre, il témoigne lui-même que Dieu l’a abandonné. Le sabbat est saint parce que sanctifié par Dieu pour faire de ce jour un jour de prière et d’adoration de sa divine personne. Mais parallèlement, ce peuple témoigne du fait que Dieu avait fait de lui le dépositaire de ses oracles, de ses lois et ses commandements. Dans l’affrontement entre Israël et l’islam, la seule légitimité historique est pour Israël ; ceci, même si le salut ne lui est plus donné depuis son rejet du messie Jésus-Christ. Alors que Jésus identifie cet Israël rebelle à la « Synagogue de Satan » dans Apo.2:9 et 3:9, Dieu l’utilise encore, mais uniquement, pour que sa malédiction soit partagée par le reste de l’humanité encore plus coupable que lui ; sa cible principale étant devenue « au temps de la fin », tout l’Occident chrétien infidèle. Israël prend ainsi le rôle d’une bombe incendiaire jetée parmi les peuples incrédules ou incroyants. Et cette utilisation ressemble à l’image qui révèle ce même rôle donné par Dieu à l’instauration du régime papal catholique romain de 538, dans Apo.8:8, où ce régime persécuteur est désigné par le symbole d’une « montagne embrasée jetée dans la mer ». En remontant, dans le temps, cette action se retrouve chez Samson qui selon Juges 15, brûla les champs de blé des Philistins en enflammant des flambeaux attachés à la queue des renards qu’il envoya vers eux.
En conclusion, « qui est Israël ? » Le dernier et unique témoin historique d’une ancienne alliance injustement méprisée et sous-estimée par les multiples églises chrétiennes. C’est pourquoi, après les avoir mis à l’épreuve de l’amour de la vérité biblique et prophétique, Dieu a regroupé à partir du 22 Octobre 1844, ses derniers élus au sein d’une église officielle dont le nom « adventiste du septième jour » témoignait des deux critères sur lesquels se fondait sa foi, sa croyance, sa doctrine : « adventiste » : foi aux annonces du retour du Christ ; et « du septième jour » : foi témoignée en œuvre par l’observance du sabbat sanctifié par Dieu, puisque sa pratique respectueuse est ordonnée par le quatrième de ses dix commandements. Et ce quatrième commandement ne fait que rappeler le souvenir de cette « sanctification du septième jour » de la première semaine de la création, selon Gen.2:3 : « Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. » J’ai apporté à cette déclaration divine une interprétation prophétique qui va s’accomplir, par l’entrée des rachetés élus dans le repos céleste du septième millénaire, au printemps 2030 qui vient avec le retour en gloire de notre Seigneur Jésus-Christ.
M9- Révélation : la Troisième lecture
En ce faux « jour du Seigneur », premier jour de la semaine divine, du 29 Octobre 2023, j’ouvre la rédaction de ce nouveau message. Mais avant de l’aborder, il convient de faire le point sur les actions déjà accomplies dans le monde terrestre.
Depuis déjà 21 mois, l’offre d’armes à la Russie, et les déclarations publiques de la nécessité d’obtenir la victoire de l’Ukraine et la défaite de la Russie, ont donné à celle-ci une justification pour envahir l’Europe Occidentale au temps qui lui sera favorable.
Ce temps favorable se prépare en Orient dans la guerre que le Hamas palestinien a lancé contre Israël le Sabbat 7 Octobre 2023. Ce groupe Hamas apparaît donc comme le détonateur d’un processus qui vise à enflammer de colère contre les Occidentaux, tous les peuples musulmans. En donnant aux Palestiniens du Hamas l’initiative de l’agression, Dieu place la responsabilité de cette ultime exaspération sur l’implantation d’Israël dans l’Orient arabe. Le Hamas prend ainsi le rôle de fer de lance de toute la cause arabe musulmane que symbolise le « roi du midi » de Dan.11:40. De la sorte, Dieu confirme la malédiction portée par Israël, et les USA, qui leur ont fait retrouver leur sol national ancestral sur la terre rebaptisée Palestine. Pour les Arabes musulmans, Israël est rattaché au camp occidental qui a longtemps imposé son ordre. En lançant son offensive contre Gaza le 28 Octobre 2023, Israël a provoqué la colère des populations des pays arabes musulmans et leur haine se portent maintenant sur Israël et sur les peuples occidentaux qui le soutiennent. Nous avons là, tous les éléments qui préparent l’accomplissement du « heurt » du « roi du Midi » prophétisé dans Dan.11:40. Or, comme je l’ai toujours rappelé, ne se heurtent que des personnes qui marchent sur un même sol. Cette condition est celle de l’Europe dans laquelle, après des années d’immigration non contrôlée, les communautés arabes musulmanes côtoient les populations chrétiennes et incroyantes occidentales. Le « heurt » prophétisé dans Dan.11:40 va donc s’accomplir par des affrontements internes, et externes, car des agressions des nations musulmanes viendront s’ajouter aux combats internes. C’est dans cette situation dramatique des Européens que le « roi du Septentrion » russe interviendra, massivement, pour venger le rejet et l’isolement dont il a été l’objet de leur part. Après les sanctions prises contre lui et l’offre d’armes à son ennemie, l’Ukraine, la Russie dévastera l’Europe et se remboursera au centuple les frais que l’Occident et tous ses ennemis lui auront occasionnés. Dan.11:43 : « Il se rendra maître des trésors d'or et d'argent, et de toutes les choses précieuses de l'Égypte ; les Libyens et les Éthiopiens seront à sa suite. » Les peuples arabes retrouvent leur comportement naturel et se livrent au pillage et les Africains font de même. Et au sujet d’Israël, qui sera envahi par les Russes : Ezé.38:12 : « J'irai faire du butin et me livrer au pillage, porter la main sur des ruines maintenant habitées, Sur un peuple recueilli du milieu des nations, Ayant des troupeaux et des propriétés, Et occupant les lieux élevés du pays. » « Les lieux élevés » sont fertiles soit, les plus riches et les plus prospères ; précisément, ceux qu’Israël s’est réservé dans la Palestine occupée depuis 1948.
La subtilité du montage prophétique est extraordinaire et digne du grand Esprit du Dieu créateur, car juste avant d’évoquer au verset 40, le « temps de la fin » où le « roi du Midi » se « heurte » contre l’Occident chrétien rebelle, dans le verset 39 qui précède, Dieu impute à cet Occident le comportement ainsi décrit : « C'est avec le dieu étranger qu'il agira contre les lieux fortifiés ; et il comblera d'honneurs ceux qui le reconnaîtront, il les fera dominer sur plusieurs, il leur distribuera des terres pour récompense. » Ce verset décrit précisément l’action des USA qui ont offert à Israël, « une terre pour récompense », dans l’Orient arabe du « roi du Midi ». De la sorte, Dieu nous indique la cause du « heurt » qui va être porté contre les Occidentaux. Et en remontant plus haut, au verset 38, Dieu désigne l’amour des richesses qui a conduit l’Occident faussement chrétien à devenir puissant et à coloniser longtemps le « roi du Midi » arabe et africain : «Toutefois il honorera le dieu des forteresses sur son piédestal ; à ce dieu, que ne connaissaient pas ses pères, il rendra des hommages avec de l'or et de l'argent, avec des pierres précieuses et des objets de prix » Et jusqu’à la fin du monde, l’Occident va conserver cette nature « arrogante » héritée du régime papal catholique romain ; « arrogance » que Dieu dénonce et précise dans Dan.7:8 : « Je considérai les cornes, et voici, une autre petite corne sortit du milieu d'elles, et trois des premières cornes furent arrachées devant cette corne ; et voici, elle avait des yeux comme des yeux d'homme, et une bouche, qui parlait avec arrogance.» et dans Apo.13:5 : « Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes ; et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois. ». Dieu a placé, sur les USA, la responsabilité du dernier conflit mondial qui va les conduire à la tête de l’ultime régime universel. Alors, l’Amérique supervisera la dernière rébellion humaine portée contre les lois de Dieu et, tout particulièrement, contre l’observance de son saint « sabbat du septième jour ». Alors, s’accompliront tous ces versets : Apo.3:10 : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. » ; 13:15 : « Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. » ; 17:14 : « Ils combattront contre l'agneau, et l'agneau les vaincra, parce qu'il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois, et les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec lui les vaincront aussi. » 19:19 à 21 : « Et je vis la bête, et les rois de la terre, et leurs armées rassemblés pour faire la guerre à celui qui était assis sur le cheval et à son armée. Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre. Et les autres furent tués par l'épée qui sortait de la bouche de celui qui était assis sur le cheval ; et tous les oiseaux se rassasièrent de leur chair. »
Je le rappelle, j’ai annoncé et fait connaître ces explications prophétiques concernant la Troisième Guerre Mondiale à plusieurs témoins depuis l’année 1982, l’attendant pour 1983. J’ai attendu ensuite cet accomplissement pour l’année 1993 et finalement, en 2023, une deuxième guerre construit sous nos yeux la cause de son imminente concrétisation, alors que 333 semaines nous séparent du jour du retour de notre Sauveur et Seigneur, « le Roi des rois », Jésus-Christ.
En synthèse générale de l’histoire humaine, le principe du « heurt » est, à la base, venu de l’Occident catholique européen. Le premier « heurt » porté contre l’islam arabe fut celui des « Croisades ». Et aujourd’hui, le dernier « heurt » qui va provoquer la Troisième Guerre Mondiale est dû au « heurt » porté en 1948 par les USA contre la Palestine ; ceci, en implantant sur son sol, une « tumeur maligne » nommée Israël que, dans Apo.2:9, Dieu n’hésite pas à appeler « synagogue de Satan ».
J’aborde maintenant ce thème nouveau qui concerne une troisième lecture de la Révélation prophétique.
Pourquoi une troisième lecture ? Parce que la compréhension de la prophétie s’est accomplie sur trois expériences successives : la première s’est construite sur l’interprétation prophétique adoptée par la tradition adventiste héritée de ses pionniers, dans laquelle le découpage rattachait la septième église nommée « Laodicée » à la date 1844, interprétée alors comme la date de la fin du monde. La seconde est celle que j’ai construit entre 1980 et 2023 qui présente une explication complète des 12 chapitres de Daniel et des 22 chapitres d’Apocalypse. Dans cette seconde lecture, le découpage des thèmes principaux sur la date 1844 m’a conduit, dans Apo.9, à fixer le retour de Jésus-Christ pour l’année 1994 obtenue comme terme des « cinq mois » prophétiques cités aux versets 5 et 10.
Je précise que je suis né en 1944 soit, 100 ans après 1844, ce qui correspond par rapport à la date 1994, exactement, aux deux tiers des 150 années prophétisées par les « cinq mois » d’Apo.9:5-10. Cette configuration de la succession « deux tiers un tiers » se retrouve dans les dates 1828, 1843 et 1873 sur lesquelles les prophéties de Daniel 8 et 12 construisent l’annonce de l’épreuve adventiste de 1843 et 1844. Dans ces deux expériences séparées par 150 années, Dieu a donc posé sa signature, en donnant aux deux l’aspect du rapport des dimensions du sanctuaire hébreu dans lequel le lieu saint occupait les deux tiers du tabernacle et le saint des saints ou lieu très saint occupait le tiers restant.
Le décryptage était bon ainsi que la date, mais le message ne visait pour Dieu qu’à mettre la foi adventiste officielle à l’épreuve. Dans ce test, dans l’époque nommée « Laodicée », l’adventisme officiel n’a pas reçu avec joie la nouvelle du retour de Jésus-Christ pour 1994 que je lui ai officiellement présenté en 1991. Après une rencontre avec trois témoins, le comité local de Valence s’est réuni et a rejeté mon message, m’invitant à y renoncer ou à être radié des registres de l’Eglise adventiste. En Novembre 1991, après une dernière confrontation avec l’assemblée locale, j’ai accepté ma radiation officiellement. A cette époque, plein de foi et d’espoir, j’attendais avec mes témoins frères le retour en gloire du Seigneur. Mais j’attendais surtout l’accomplissement de la Troisième Guerre Mondiale qui au titre de « sixième trompette » devait obligatoirement précéder la « septième » qui symbolise le retour de Jésus-Christ. La déception fut ainsi vécue progressivement contrairement à l’expérience des Adventistes de 1843 et 1844.
Depuis cette expérience, après 1994, j’ai appris et compris le sens que Dieu a voulu donner à mon annonce de son retour. Le rejet de la lumière prophétisée devait lui permettre de « vomir » l’organisation officielle, comme il l’a annoncé dans le message adressé à l’assemblée de « Laodicée », dans Apo.3:16. Mon compagnon de service et frère en Christ, Joël, a, depuis ces choses, obtenu des explications sur des faits que nous ignorions alors. Depuis le 22 Octobre 1991, des officiels de l’église adventiste avaient pris ce jour-là, la décision ratifiée par un vote, de présenter la demande de son entrée dans la fédération protestante ; alors que la prophétie et la simple intelligence permettaient de comprendre, qu’au titre d’observateur du dimanche romain, ce protestantisme était tombé depuis 1843-1844, sous la malédiction de Dieu. Or, la date du 22 Octobre 1991 est une date anniversaire du fondement adventiste de la deuxième épreuve accomplie le 22 Octobre 1844. L’assemblée des membres adventistes n’a été mise au courant de ce changement de statut qu’en 1995. Ainsi le « vomissement » par Jésus-Christ a été officiellement justifié et confirmé.
L’interprétation prophétique que j’ai présentée repose sur une méthode rigoureusement fondée sur le principe protestant hérité du 16ème siècle, « l’Ecriture et l’Ecriture seule ». Je ne laisse en aucun cas place à des « interprétations particulières » soit, externes à la Bible, chose contre laquelle nous sommes tenus en garde par ce verset de 2 Pierre 1:20 : « sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, ». Et malgré le respect de ce principe appliqué avec rigueur, le retour du Christ ne s’est pas accompli en 1994. J’avais donc commis une erreur involontaire. Et ce ne sont pas mes contradicteurs qui l’ont découverte, mais bien moi, lorsque Dieu a bien voulu me permettre de la découvrir, c'est-à-dire, après que mon aveuglement partiel ait produit le test de foi qu’il voulait provoquer. Ceci dit, le décryptage que j’ai fait est conforme au résultat programmé par Dieu. La Bible a permis la lecture claire de ses messages codés. Mais à cette rigueur de la méthode, s’ajoute l’expérience vécue par le prophète. Or, mon esprit a été fortement marqué par le problème relatif au sabbat. Ce qui m’a conduit à lui donner une importance supérieure à toute autre chose. C’est là qu’intervient la nécessité de faire du récit prophétique une troisième lecture.
Cette troisième lecture repose sur une connaissance globale du sujet prophétique, qui me permet de tirer des enseignements fondés sur les faits accomplis. Ainsi déjà, à la base du calcul du terme des « 2300 soir-matin » de Dan.8:14, se trouve la date – 457 héritée de la tradition adventiste. Or cette date est fausse, puisque dans Esdras 7:7 à 9, « la septième année du roi » Artaxerxès 1er se situe en – 458. Les années 1844 et 1994 construite sur cette base deviennent donc 1843 et 1993 et les deux, au printemps. Mais ce calcul rigide n’est pas conforme aux enseignements donnés par l’histoire accomplie. Car dans son test de foi, Dieu n’a pas donné au sabbat la priorité que je lui ai donnée dans ma deuxième lecture. En fait, sa priorité c’est l’homme, pas « le sabbat qui a été fait pour l’homme », comme Jésus s’est plu à le préciser dans Marc 2:27 : « Puis il leur dit : Le sabbat a été fait pour l'homme, et non l'homme pour le sabbat, ». Aussi, devons-nous analyser le déroulement des faits accomplis dans l’ordre de leur accomplissement historique.
La fin des « 2300 soir-matin » a marqué le printemps 1843 au titre de commencement des épreuves de foi adventistes et le sabbat n’y tient encore aucun rôle. La « sainteté » qui devait être justifiée au terme des « 2300 soir-matin » ne concernait que celle des « saints » chrétiens sélectionnés dans l’épreuve et celle du sacerdoce céleste « perpétuel » repris au papisme romain par Jésus-Christ, qui reprend une relation directe avec ses nouveaux « saints » chrétiens élus. Cette interprétation est conforme aux faits accomplis. En conséquence, l’interprétation du message de « Sardes » varie sensiblement. En 1843, la condamnation du protestantisme repose sur sa démonstration de mépris d’une part envers des annonces prophétisées par la Bible par William Miller, et d’autre part en 1828 en Angleterre par les conférences adventistes d’Albury Park ; tout ceci comme le dernier adventisme officiel qui, rejetant mon annonce et mon œuvre prophétique biblique, a été « vomi », à son tour, en 1993, pour la même cause, aggravée par la richesse spirituelle du message proposé. Les hommes, que Jésus béni au printemps 1843, dans le message de « Sardes », sont encore des Protestants ou des Catholiques observateurs du dimanche romain. Dieu ne les bénit donc que pour leur témoignage d’intérêt et de foi pour le message délivré par William Miller. A ce niveau de l’analyse, le printemps 1843 ne marque que le début des épreuves, or, « la fin vaut mieux que le commencement » dit le roi Salomon dans Ecc.7:8 et cette fin de l’épreuve n’est venue qu’à l’automne 1844, laissant les derniers adventistes encore plein de foi, tristes et déçus. Jésus a prophétise alors sur eux dans « Sardes » disant, « ils marcheront avec moi en vêtements blancs parce qu’ils en sont dignes ». Disant ceci, il leur promet le salut symbolisé par les « vêtements blancs » dans le verset 5 qui suit : « Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs ; je n'effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges. ». En attendant d’entrer au ciel, sur la terre, Jésus devait rassembler ses « saints » sélectionnés au sein d’une nouvelle assemblée chrétienne officielle. Le rassemblement s’est opéré entre l’automne 1844 et 1873 uniquement sur le sol américain, l’église adventiste américaine ayant déposé ses statuts officiels en 1863. Parallèlement, depuis le matin du 23 Octobre 1844, Jésus dote son épouse, son Eglise, du signe de son appartenance au Dieu créateur que constitue « le sabbat du septième jour » selon Ezé.20:12 et 20 : « Je leur donnai aussi mes sabbats comme un signe entre moi et eux, pour qu'ils connussent que je suis YaHWéH qui les sanctifie…/… Sanctifiez mes sabbats, et qu'ils soient entre moi et vous un signe auquel on connaisse que je suis YaHWéH, votre Dieu ».
J’ai présenté en premier l’explication de Daniel 12 jamais réalisée jusqu’à moi. Et j’ai identifié la nouvelle date 1873 obtenue à la fin du livre de Daniel, dans Dan.12:12, comme terme des « 1335 jours » prophétisés : « Heureux celui qui attendra, et qui arrivera jusqu'à mille trois cent trente-cinq jours ! ». Un de mes compagnons des années 1992 à 2014, non adventiste donc, non marqué par la date 1844, a osé faire ce que je ne me serai jamais permis. Il a repris la date 1873 pour base d’un nouveau calcul en réutilisant la durée des « cinq mois » d’Apo.9:5 et 10, et a annoncé la Guerre Mondiale pour l’année 2023. M’ayant fait partager son interprétation, dans un premier temps, j’ai trouvé la chose injustifiable. Cependant, l’année dernière, j’ai repris cette idée, y trouvant une possibilité spirituelle. En fait, la prophétie a parlé et son message textuel a été décrypté et rendu clair. A partir de là, toute autre avancée spirituelle ne dépend plus que de la volonté de Dieu et donc de la relation qui est construite avec lui. Mais attention, nous pouvons aussi devenir les victimes d’une heureuse coïncidence, ce qui est le cas de la relation des dates 1873 et 2023 séparées par 150 années.
Regardons les données du texte concernant les « cinq mois » : « Il leur fut donné, non de les tuer, mais de les tourmenter pendant cinq mois ; et le tourment qu'elles causaient était comme le tourment que cause le scorpion, quand il pique un homme. » Le texte concerne bien les « faux-prophètes » qui font condamner aux « tourments » de la « seconde mort » les humains qui adoptent et soutiennent leurs mensonges religieux. Mais en troisième lecture, la date 1994 définit l’heure du « vomissement » de l’adventisme du septième jour institutionnel entré en mission universelle en 1873, date en laquelle, Jésus l’a béni, selon Dan.12:12 : « Heureux celui qui attendra, et qui arrivera jusqu'à mille trois cent trente-cinq jours ! » Mais c’est déjà depuis 1843 et 1844 que le reste du monde religieux a été maudit par Dieu.
Le message de la « cinquième trompette » fait allusion aux élus « scellés » du « sceau de Dieu » dans Apo.9:4 : « Il leur fut dit de ne point faire de mal à l'herbe de la terre, ni à aucune verdure, ni à aucun arbre, mais seulement aux hommes qui n'avaient pas le sceau de Dieu sur le front. » Mais, la « cinquième trompette » a pour thème le temps d’activité des « faux prophètes » et non celui des « saints scellés » qui reçoivent le « sceau de Dieu » depuis 1844. Et le premier de ces « saints scellés » fut, dans l’année 1844, le capitaine Joseph Bates qui adopta en premier adventiste la pratique du Sabbat.
Le 7 Octobre 2023, l’opération meurtrière des combattants palestiniens du parti Hamas doit être interprétée comme l’accomplissement d’une deuxième cause donnée à la Guerre Mondiale et non comme la date qui marque le début de cette guerre universelle terrible. Le temps du « scellage » ne s’achèvera qu’à l’ouverture des hostilités meurtrières menées contre les cibles prophétisées dans les prophéties de Daniel et Ezéchiel soit, dans Daniel, le sol catholique européen attaqué en premier par les Arabes et les Africains musulmans, puis par les Russes, et dans Ezéchiel 38-39, le sol d’Israël attaqué par la Russie elle-même, et les « nombreux peuples » qui seront avec elle. Or, il apparaît clairement qu’en date du Jeudi 2 Novembre 2023, ni l’une ni l’autre de ces choses n’est encore accomplie.
La fin du « scellage » ne changera rien sur la terre, car elle concerne, uniquement, les anges fidèles de Dieu chargés de protéger les élus « scellés » jusqu’au retour glorieux du Vainqueur des nations, Jésus-Christ. Mais cette protection prend une importance majeure pour les élus, sachant qu’une Guerre monstrueuse se présente devant eux, avec ses dommages et ses terribles conséquences inévitables.
En 1991, c’est encore le 22 Octobre, jour de la « fête des expiations » que l’adventisme officiel a commis le péché mortel de voter pour demander son alliance avec les Protestants. Dès ce jour, Jésus l’a condamné et à la fin de la même année, au mois de Novembre, le refus officiel de mon annonce de son retour pour 1994 n’a fait que confirmer, par ma radiation des registres, la justification de cette première condamnation. Destiné à mal finir, l’adventisme officiel a été fondé et renié par Dieu, le 22 Octobre rattaché, originellement, au thème du péché et à son expiation dans la fête juive du « Yom Kippour ».Et ce principe, Dieu l’a écrit dans sa création : le printemps signifie « la vie », et l’automne signifie « la mort ».
En fait, quelle signification doit-on donner à l’année 2023 ? Elle constitue avant tout autre interprétation, le moment où les deux causes successives qui justifient les affrontements prophétisés sont accomplies, successivement, en 2022, et 2023, année du début des « sept » dernières années de l’histoire humaine terrestre. Ce chiffre « sept », dont Dieu fait son « sceau » porte une valeur qui méritait d’être marquée par lui d’une manière particulière. Mais je le précise, ni la guerre de l’Ukraine, ni celle d’Israël et des Palestiniens n’accomplissent les prophéties de la Bible. On ne peut donc pas dire encore que l’autorisation « de tuer » donnée aux faux-prophètes, dans Apo.9:5, a été validée en 2023, mais les conditions favorisant cet accomplissement sont, elles, accomplies. Car qui sont ces « faux-prophètes » concernés dans Apocalypse 9 ? Les faux Chrétiens occidentaux qui ne combattent pas encore directement leurs futurs ennemis de l’islam belliqueux qui ne les a pas encore agressés, ni la Russie.
Bien que changées par les deux actions successives, les relations internationales de la situation mondiale actuelle peuvent donc encore se prolonger pendant plusieurs années, jusqu’en l’année 2026, particulièrement concernée en raison de sa position centrale des sept dernières années et du chiffre « 26 » qui est le nombre du nom hébreu de Dieu « YaHWéH ».
Dans le livre de Daniel, Dieu construit deux chaînes de dates prophétiques. Celle qui établit les dates pour ses élus bénis reposent sur l’année – 458 selon Dan.9:25 et Esdras 7:7 à 9. Elle propose les dates, 26 selon Dan.9:27, 1843-1844 selon Dan.8:14, et 1993-1994 selon Apo.9:5-10. La deuxième chaîne établit des dates qui concernent la malédiction divine et propose les dates, 538 selon Dan.12:11, 1798 selon Dan.7:25 et 12:7, 1828 selon Dan.12:11 et 1873 selon Dan.12:12. Cette dernière date 1873 porte paradoxalement pour l’adventisme le double caractère de la bénédiction et de la malédiction ; bénédiction pour l’adventisme universel en 1873, mais malédiction pour lui en 1994. La bénédiction de 1873 n’était que provisoirement donnée par Dieu. Il nous présente cette expérience adventiste institutionnelle comme une dernière leçon et une mise en garde adressée aux candidats qui souhaitent bénéficier de la grâce obtenue par Jésus-Christ.
Dans ses prophéties, Dieu nous révèle son jugement sur les divers aspects de l’évolution de la religion chrétienne. Il nous donne la possibilité de situer les époques concernées en fixant des durées chiffrées en jour-année qui nous permettent de déterminer des dates. Mais il nous laisse la possibilité d’utiliser notre intelligence pour faire le meilleur usage de ses révélations et là, c’est notre perspicacité individuelle personnelle qui devient importante. Il nous faut deviner les conséquences que vont porter des événements constatés dans notre contexte international actuel.
Les données actuelles concernent la Russie et les peuples arabes et africains musulmans. Dans la guerre engagée entre Israël et les combattants du Hamas, les peuples musulmans vont reconnaître dans cette armée du Hamas leurs nouveaux héros et plus longtemps ils résisteront à Israël, plus forte sera leur espérance et leur soutien à cette armée. Peu à peu, l’idée de pouvoir vaincre les puissances occidentales se renforcera jusqu’à ce qu’en grand nombre, l’idée se concrétise en attaque offensive du sol européen. Ce conflit engagé entre Israël et le Hamas a pour conséquence d’éclipser celui de l’Ukraine qui en ces derniers jours voit s’évanouir son rêve de victoire contre la Russie. Nous voyons que ce premier conflit peut s’arrêter parce que son rôle est accompli ; son seul but réel était de conduire la Russie au désir de se venger des Européens. C’est ce qu’elle fera après leur agression conduite par le « roi du midi » qui désigne les peuples arabes et africains musulmans. Et cette première agression aura pour cause le soutien occidental donné à Israël depuis 1948 jusqu’à sa guerre portée contre Gaza le 28 Octobre 2023.
Le monde entier se partage, chacun et chaque pays approuvant l’un des deux camps qui s’affrontent à Gaza. Mais les saints illuminés par le Dieu lumière savent que ces deux choix sont injustes, parce qu’ils sont trouvés coupables devant Dieu, l’un et l’autre. Ce troisième avis n’est cependant pas imputable à une réelle neutralité, car appartenir au camp du Dieu créateur révélateur, c’est approuver le juste jugement de ce Dieu « juste et bon ». Et ce sont ces qualités qu’il désire voir louer et glorifier plutôt que d’entendre répéter fanatiquement « Dieu est grand » par des êtres remplis de haine. Le Hamas n’a jamais caché son objectif qui reste l’élimination physique du peuple Juif réinstallé en Palestine. Et cette intention est témoignée en œuvres puisque depuis sa prise de pouvoir de la bande de Gaza en 2007, il a consacré toutes ses finances, et les subventions reçues d’Europe, de l’ONU et des alliés arabes, à creuser sous terre un labyrinthe de voies plus ou moins larges, pour assurer sa protection contre l’attaque israélienne actuelle qu’il a consciemment provoqué par son raid meurtrier du 7 Octobre 2023. Chaque coup de pelle et de pioche et le travail de machines spécialisées pour creuser sous terre, proclamait l’attente du jour de vengeance actuel. C’est pourquoi, le drame engagé n’a pas de solution possible. Et lorsque deux légitimités s’affrontent avec la même détermination, comme c’est déjà le cas pour l’Ukraine et la Russie, c’est le plus fort qui finit par imposer son autorité au plus faible. Nous découvrons la conséquence du mépris témoigné pour les leçons que Dieu a fait écrire dans la sainte Bible, pour tous les peuples monothéistes. Et parmi toutes ces leçons, celle de la vie commune qui a conduit Dieu à séparer les humains par des langues différentes à « Babel ». Et cet esprit de « Babel » a repris forme dans le modèle du catholicisme romain, sa dureté, sa cruauté et sa domination tyrannique. Cet état d’esprit a été hérité par le camp occidental qui a voulu imposer aux autres peuples ses valeurs et ses normes avec la même détermination qu’on trouvait dans l’inquisition papale romaine qui refusait toute concurrence et n’acceptait pas l’existence d’une autre religion devant elle. C’est cet esprit de « Babel » et de « Babylone la grande » qui a été hérité par le protestantisme américain triomphant auquel nous devons la décision d’implanter la nation Israël sur son territoire devenu, pendant sa longue dispersion, la terre arabe de la Palestine.
L’humanité composée d’incrédules, d’incroyants et de fausses religions est incapable d’identifier le piège que Dieu a préparé devant ses pas, progressivement au fil des millénaires, des siècles, des années et précisément, en 1948, en faisant revenir les Juifs dans la Palestine par l’autorité des USA maudits par lui depuis 1843 et 1844.
Sur les ondes télévisées, des commentateurs animent des plateaux dans des échanges incessants retournant les problèmes en tout sens sans leur trouver de solution. Ils démontrent leur incapacité due à leur mépris de la révélation divine biblique en tenant des propos hors de sens. Tous ou presque donnent à l’antisémitisme la forme de ce qui devrait être appelé l’antijudaïsme ou l’antisionisme. Car les Arabes étant autant sémites que les Juifs, leur haine ne peut ne peut pas condamner l’origine sémite. Ce terme antisémite qualifiait déjà à tort la haine des Juifs des non sémites de descendance occidentale de la Seconde Guerre Mondiale, les « nazis » allemands et autres. Et dans notre actualité, c’est encore le cas, car la dispute engagée oppose les descendants sémites des deux fils d’Abraham : Ismaël et Isaac.
Les nouvelles guerres se déroulent dans les plus mauvaises conditions pour les stratèges militaires. Car, la victoire contre l’ennemi repose le plus souvent sur l’effet de surprise. Mais comment surprendre un adversaire qui bénéficie des témoignages vidéo diffusés sur les réseaux d’« internet », mais aussi sur les écrans de télévisions des chaînes spécialisées dans l’information ? Comment combattre l’ennemi sous l’œil des caméras de ces journalistes qui veulent tout voir et tout comprendre ? Sur ce point, mais ce n’est pas le seul, l’invention « internet » devient une véritable malédiction pour les combattants et leurs chefs contrôlés ou ciblés par des drones observateurs ou tueurs. De plus, les particuliers deviennent des témoins universels en utilisant leur téléphone mobile qui enregistrent le son et l’image. Dans les guerres anciennes, les combattants ne subissaient pas ces pressions internationales. Et les chefs des combattants du Hamas ont bien compris les changements de la situation mondiale. En petit nombre par rapport à leur ennemi Israël, ils ont compté sur les effets portés sur l’opinion publique mondiale et savaient que leur opération sanglante allait provoquer une terrible riposte de la part d’Israël. Mais ils ont aussi prévu que cette riposte faisant des victimes civiles, ses alliés occidentaux allaient retenir son bras vengeur et l’empêcherait d’atteindre son projet de détruire entièrement les combattants du Hamas et leurs chefs. Ils attendent donc un soulèvement général de tous les peuples musulmans ou un blocage imposé à Israël par les Occidentaux. Et pour l’heure, ni l’une ni l’autre de ces espérances se réalise. Mais, dans le long terme, l’une ou l’autre s’imposera.
Il est intéressant de relever que, dans sa prophétie de Zac.12 :2, Dieu cite « Jérusalem » et non, Israël : « Voici, je ferai de Jérusalem une coupe d'étourdissement pour tous les peuples d'alentour, et aussi pour Juda dans le siège de Jérusalem. » Les déclarations officielles des chefs arabes confirment l’importance qu’ils donnent à la ville « Jérusalem ». La terre de l’ancienne Palestine n’est vraiment revendiquée que par les Palestiniens chassés. Les autres peuples musulmans sont attachés à la ville nommée « Jérusalem » à laquelle ils reconnaissent un caractère messianique. Et c’est pour cette raison qu’ils préconisent et exigent que le statut de cette ville soit, au minimum, partagé entre les Juifs et les Musulmans. Quant à la terre, disent-ils, elle appartient à Dieu et ne peut donc être la propriété de personne. On peut ainsi comprendre, pourquoi Dieu avait fait détruire cette ville par les Romains en l’an 70. Elle ne fut rebâtie que pour le malheur des peuples de la terre, par les Romains, et en dernier par les Turcs. Et le malheur s’est présenté en l’année 1948, avec le rétablissement du peuple Juif persécuté à mort par l’Allemagne nazie vaincue. Or, depuis la conquête de la zone de la vieille ville de Jérusalem en 1967 (Guerre des six jours) par Israël, rien n’est autant insupportable pour les Juifs que de devoir partager avec l’islam, les lieux saints de Jérusalem. La présence de deux mosquées sur l’esplanade de leur ancien temple justifie leurs pleurs sur le mur des lamentations qui soutient cette esplanade du côté juif. Mais leurs lamentations ne sont pas entendues par Dieu et les pleurs font peu à peu place à la colère et à la haine ; choses attisées depuis le 7 Octobre 2023. Leur victoire probable sur le Hamas pourrait mettre en danger l’existence de ces deux mosquées insupportées. Et là, les peuples musulmans se lèveront sans hésitation, comme un seul homme, pour combattre le Juif et le Chrétien occidental dans son pays.
En attendant l’aggravation du drame, les deux porte-avions américains s’approchent du lieu explosif. Et cette situation me fait comparer l’Amérique à un garnement qui a fait une grosse bêtise et se tient à l’écart redoutant les conséquences portées par son action ; dans son cas, en 1948. Mais que personne ne s’y trompe, cette présence américaine n’est là que pour tenter d’éviter le pire ; car un conflit généralisé mettrait fin à sa possibilité de continuer à s’enrichir par la consommation des nations soumises à ses valeurs et ses normes. En leur temps, et pour les mêmes raisons, les Romains agissaient de-même, imposant par le glaive la « pax romana », la paix romaine.
La décision des USA d’implanter Israël en terre arabe peut s’expliquer par leur enseignement chrétien qui apprend aux hommes à ne plus faire de distinction entre tous les humains quelle que soit leur race, leur couleur ou leur langue. Mais ceci ne s’applique pas à la religion au sujet de laquelle, Jésus a tenu à mettre en garde ses serviteurs. Or, étant rejeté par lui depuis 1843-1844, le monde occidental et les USA ont sous-estimé le danger représenté par l’islam, étant convaincus de pouvoir, à terme, les convertir ou à obtenir, pour le moins, de bonnes relations avec les Musulmans. Et je peux dire que l’humanisme actuel de ces nations occidentales n’est que la conséquence de l’enseignement chrétien déformé et perverti. Ils ont tous hérité de cet ordre donné par Jésus, « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » Mat.22:39 : « Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »
Un autre élément justifiant le retour des Juifs en sol palestinien repose sur la très forte influence de la communauté juive américaine. Et en particulier sur ses banquiers qui tiennent les plus grosses fortunes du pays sous leur contrôle. Le banquier Rothschild soutint particulièrement le projet de cette reconstruction de l’Etat hébreu sur son ancien sol national, achetant une propriété à Rosh Pina en Galilée en 1884. Une arrivée massive de Juifs se produira à partir de 1920 sous le contrôle des Anglais jusqu’à l’indépendance donnée à Israël en 1948.
En ce sabbat matin du 4 Novembre 2023, le Seigneur me fait partager un sublime message. On retient d’Abram, devenu ensuite, après son acte de foi, Abraham, qu’il fut le « père des croyants » à juste titre, mais personne ne l’a encore jamais présenté comme le « père des incrédules », et c’est ce que je fais aujourd’hui. Abram n’était pas parfait en toute chose, il mentit, partiellement, à Pharaon au sujet de sa femme qu’il présenta au titre de sa sœur. Dieu ne le lui reprocha pas et il profita de l’occasion pour faire savoir à Pharaon qu’Abram était son prophète. Il se trouve que le drame que nous allons voir s’amplifier sur la région d’Israël a sa source dans l’expérience vécue par Abram. J’ai déjà rappelé qu’Ismaël le père fondateur des Ismaélites, les arabes actuels, fut, par sa jalousie du fils légitime Isaac, un ennemi constant bien que demi-frère. Et ayant pour père Abram, il réclame sa part de bénédiction et se trouve en lutte perpétuelle avec la descendance légitime juive. Le point de départ de ce drame fut le manque de foi d’Abram et de Saraï. Dieu avait promis à Abram de lui donner un fils. Le couple aurait dû donc attendre l’accomplissement de la promesse divine. Ce qu’il ne fit pas et trouva en Agar la servante égyptienne le moyen « humain » d’accomplir la promesse de Dieu ; en tous cas, c’est ce qu’ils pensaient faire. Or leur initiative ne faisait que témoigner d’un manque de foi envers la promesse de Dieu. Reste à comprendre pourquoi Dieu a permis cette faute ; c’est uniquement dans un but prophétique. Car Abram fut le père des incroyants et des incrédules tout autant que des croyants véritables. Mais c’est au nom d’Abraham et non Abram qu’il devint le père des vrais croyants soit, après avoir accepté de donner son fils unique légitime, Isaac, en sacrifice. Et c’est dans cette expérience que Dieu lui fit prophétiser la future offre en sacrifice de Jésus-Christ, venu au monde au titre de « Fils de Dieu » et « fils de la promesse » prophétique. Abram et Saraï commirent la faute de ne pas savoir attendre le fils promis et ce thème de l’attente du Fils est typiquement celui de l’adventisme instauré depuis 1843 aux USA. Mais ce sujet de l’attente concerne également les Juifs descendants d’Abram, puisqu’ayant refusé Jésus-Christ, ils continuent d’attendre le « Messie » promis par Dieu. Or, en 2023, la faute d’Abram et de Saraï est commise par les Chrétiens, les Juifs et les Arabes, puisque tous sont loin de la seule Vérité révélée, tous conçoivent d’une manière humaine personnelle, la venue glorieuse du Fils de Dieu qu’ils nomment le « Messie ». Ils témoignent ainsi tous du même manque de foi qui fut pour la descendance d’Abram, une cause de malheur perpétuel qui prophétisait le funeste destin final de l’ancienne alliance et le non moins funeste destin final de la nouvelle alliance, toujours pour cette même raison : le manque ou l’absence de la foi véritable que Jésus ne retrouve que rarement à notre époque. Or, que cherche-t-il ? Des hommes parfaits ? Impossible, l’homme parfait n’existe pas et il n’y en eut qu’un dans toute l’histoire humaine, ce fut Jésus de Nazareth parce qu’il vint du ciel et qu’il était Dieu lui-même dans une incarnation terrestre. Ce que Dieu cherche encore aujourd’hui, c’est cette obéissance qu’il trouva chez Abraham, l’homme qui obéit à Dieu lorsqu’il lui donne un ordre. C’est par ignorance que ce couple créa le malheur nommé Ismaël. Dieu se servit d’eux pour prophétiser la conséquence du manque de foi qui fut révélé par l’incapacité « d’attendre » l’accomplissement de ce que Dieu annonce. On peut alors comprendre le sens de bénédiction que Dieu donne à ce verset de Daniel 12:12 : « Bienheureux celui qui attendra jusqu’à mille trois cent trente cinq jours ». Toute la bénédiction des élus repose sur cette aptitude à attendre patiemment qu’il accomplisse ce qu’il prophétise. Mais cette foi exige une succession de choses et de comportements. En premier, il faut s’intéresser à ce que Dieu a déclaré. En second, il ne faut pas se tromper de livre ; la Bible écrite par le témoignage des Hébreux des deux alliances successives, et rien d’autre. En troisième, aimer les prophéties et désirer les « comprendre » comme Daniel béni en son temps pour cette raison, selon Dan.10:12. Et en quatrième, interpréter ces prophéties par le code que la Bible seule nous propose.
Coupable de ne présenter aucun de ces critères, l’humanité actuelle est livrée au malheur qui va finir par l’anéantir.
C’est ainsi que la dispute entre les deux demi-frères est rappelée à l’humanité par la revendication de la ville « Jérusalem » et surtout celle de l’emplacement de l’ancien temple hébreu. Or, cette dispute est illégitime, parce que, par la bouche de Jésus-Christ, Dieu a retiré toute valeur religieuse à ce lieu que représente « Jérusalem ». En effet, Jésus avait prophétisé les conditions qui allaient être établies après sa mort et sa résurrection et il avait dit à la femme samaritaine dans Jean 4:21 : « Femme, lui dit Jésus, crois-moi, l'heure vient où ce ne sera ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père. » Jésus répondit ainsi à la femme qui venait de lui dire : « Nos pères ont adoré sur cette montagne ; et vous dites, vous, que le lieu où il faut adorer est à Jérusalem. » Ce dialogue illustre et prophétise, après l’intervention chrétienne des croisades, la situation actuelle des Juifs et des Arabes qui se disputent le lieu où il faut adorer Dieu. Et la réponse de Jésus est affirmative et il rejette les options juives et arabes. Seuls ses élus chrétiens tiennent aujourd’hui compte de ses paroles et adorent Dieu « en esprit et en vérité » comme il l’exige d’eux, au verset 24 : « Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent l'adorent en esprit et en vérité » Tous les Chrétiens savent que Dieu doit être adoré « en esprit », mais seuls ses élus l’adorent « en vérité » soit, dans la conformité de la vraie foi. Et ainsi, après Jésus lui-même, selon Jean 15:10, ils « gardent les commandements » du « Père céleste », en témoignage de « l’amour » qu’ils éprouvent pour lui, en Jésus-Christ : « Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, de même que j'ai gardé les commandements de mon Père, et que je demeure dans son amour. »
Toi qui lis ces choses que j’écris, tu te crois peut-être insignifiant et sans valeur. Détrompe-toi, car tu as plus de valeur pour Dieu que tout ce qui t’entoure. Pour t’en convaincre, fais cette expérience : ferme les yeux, tu ne vois plus rien, et tout ce qui t’entoure pourrait disparaître sans que tu disparaisses, car si Dieu le veut, ta pensée, ton ressenti d’être vivant peuvent se prolonger éternellement, et à son retour en gloire en Christ, tu le vivras dans un corps céleste.
M10- La part des maudits
Le moins que je puisse dire au sujet de « la part des maudits » c’est qu’elle n’est pas enviable. Mais à quoi reconnait-on la « malédiction divine » ? Ce témoignage biblique de Jér.8:14-15 apporte une réponse : « Pourquoi restons-nous assis ? Rassemblez-vous, et allons dans les villes fortes, pour y périr ! Car YaHWéH, notre Dieu, nous destine à la mort, il nous fait boire des eaux empoisonnées, parce que nous avons péché contre YaHWéH. Nous espérions la paix, et il n'arrive rien d'heureux ; un temps de guérison, et voici la terreur ! » La malédiction divine confirmée par les malheurs qui l’accompagnent a toujours pour cause le péché pratiqué contre Dieu. Et que les peuples le reconnaissent ou pas ne change rien à la situation, car ils sont inexcusables.
Notre temps de la fin est marqué, par l’extension sur toute la terre habitée, du réseau de communications internationales « internet » et des lignes téléphoniques qui offrent la possibilité d’accéder à un contenu culturel universel. Dans ce flot d’informations, chaque pays et chaque peuple présente librement sa conception et son regard concernant l’humanité et ses origines. Ainsi, malgré les frontières, les idées peuvent passer d’un pays à un autre. Et seule la Chine contrôle jalousement l’accès de ses ressortissants au réseau mondial créé par les USA. Elle n’y parvient que partiellement, car les idées profitent de la moindre occasion de même que l’eau s’écoule par la moindre fissure.
A tous ces peuples, ces langues, ces religions, Dieu a offert la révélation de sa pensée et de son programme dans sa sainte Bible. Elle constitue l’unique source d’explications légitimes en remontant dans le temps, jusqu’au temps de la création terrestre ; ce qu’aucune autre source écrite n’a jamais fait avant ou après elle. De plus, la Bible est le fruit d’une construction progressive évolutive, les livres qui la composent étant écrits par des témoins successifs. Et en citant les âges des descendances successives depuis Adam, la Bible nous affirme que nous parvenons à notre époque au terme de six mille années d’histoire terrestre. C’est peu, pour ceux qui sont habitués à entendre les propos tenus par les scientistes qui attribuent à la terre des milliards d’années, chose impossible à prouver. Mais, ces mensonges ont un goût agréable parce qu’ils ne présentent pas la menace de mort portée par l’image du Dieu vivant qui condamne le péché. Cependant, ne leur en déplaise, c’est ce témoignage biblique qui reste le plus fiable et le plus digne d’être pris en compte. Car ce témoignage est celui d’hommes souvent morts en martyres à cause de leur service effectué pour le Dieu créateur YaHWéH.
Dieu peut condamner l’incrédulité parce qu’elle n’a aucune légitimité dans tous les domaines, parce que la vie est évolutive et ce qui n’a pas reçu son explication en un temps peut fort bien la recevoir plus tard. Dans sa découverte de la vie, l’homme doit s’attendre à tout car la vie est un miracle divin dans lequel rien n’est impossible. Si l’homme voit ses propres actions être limitées, il n’en est pas de même pour celles que le Dieu créateur peut mettre en action. Sans Dieu, la vie sur terre ne peut être expliquée, car comme je l’ai déjà dit, l’intelligence et la complexité des systèmes organiques des créatures vivantes ne peuvent pas être obtenues par le simple hasard. De plus, par la démonstration d’un montage prophétique intelligent et construit, j’apporte dans mon siècle, une preuve digne de confiance et de foi que, dans l’invisibilité totale incontestable, une vie spirituelle s’active au service de Dieu ou contre lui.
Qu’arrive-t-il donc à ceux qui ne croient pas ? En premier, ils se regroupent afin de s’appuyer les uns sur les autres, car à plusieurs, ils se sentent forts, mais depuis quand la vérité dépend-elle du nombre ? L’union fait la force humaine, mais que, la force. Or, cette force humaine est trompeuse, car elle est ciblée par la force du Dieu tout-puissant devant lequel, à la fin, elle sera terrassée. Mais aussi longtemps que le Dieu esprit se tiendra dans son invisibilité, la force humaine s’imposera sur toute la terre unanimement coupable. Dieu a mis en garde les humains contre la confiance qu’ils placent sur d’autres êtres humains. Il le dit clairement dans ce verset de Jér.17:5 : « Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son cœur de YaHWéH ! » A son tour, Jésus a présenté cet exemple des « deux aveugles » dans Mat.15:14 : « Laissez-les : ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles ; si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse. » Cette sagesse divine condamne sans appel le comportement moutonnier des êtres humains et je le rappelle, parallèlement, Jésus a toujours exhorté ses disciples à faire preuve de « prudence » et donc de se méfier de leur prochain ; Mat.10:16 : « Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes. » Car la malédiction divine prend aussi la forme des relations hypocrites qui piègent les créatures trop confiantes. Relève avec moi, la divine sagesse, ou sapience, du grand Dieu créateur qui a placé autour de l’humanité des animaux porteurs d’une caractéristique spécifique et parmi eux, le « serpent » symbole de danger pour l’homme mais également de réelle faiblesse pour le « serpent » lui-même. Car il n’a ni croc, ni griffe, pour faire peur à l’être humain ou aux autres animaux. Cependant, il est dangereux à cause du dard venimeux caché dans sa gueule. La description ainsi faite justifie pour Dieu de prendre son image pour comparer les enseignants religieux qui prophétisent le mensonge dans Jac.3:8 : « mais la langue, aucun homme ne peut la dompter ; c'est un mal qu'on ne peut réprimer ; elle est pleine d'un venin mortel. » Et ainsi, logiquement, ce symbole du « serpent » va désigner le chef papal du régime catholique romain dans Apo.12:14 : « Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin qu'elle s'envolât au désert, vers son lieu, où elle est nourrie un temps, des temps, et la moitié d'un temps, loin de la face du serpent. » Je profite de cette évocation pour rappeler le jeu subtil de l’Esprit divin, qui, dans ce chapitre 12 repose sur les symboles opposés dans l’absolu du « dragon » de la force et du « serpent » de la ruse et de la faiblesse. Le récit évoque successivement, au verset 3, le « dragon » de la Rome impériale, ensuite le « serpent » de l’évêque de Rome qui règne entre 538 et le 12ème siècle, et qui redevient le « dragon » du verset 16 parce que l’œuvre de la réforme protestante a démasqué sa nature diabolique. Sous Louis XIV, le « fleuve » persécuteur catholique a atteint son apogée et à réussi à réduire au minimum le développement du protestantisme en France. C’est pourquoi ; le message du verset 16 concerne principalement l’action de « la terreur » révolutionnaire de 1793-94 : « Et la terre secourut la femme, et la terre ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa bouche. » Car seule cette action a effectivement « englouti » entièrement le catholicisme français persécuteur ou pas, depuis le roi jusqu’à ses partisans monarchistes en passant par tous les prêtres du clergé. Le châtiment de Dieu punissait ainsi le péché catholique commis envers lui, sa loi, sa norme de la vérité et du salut proposé par sa grâce en Jésus-Christ.
La vérité est mise à la disposition de tout homme, puisque cachée dans les révélations présentées dans toute la Bible. Il en est de la vérité comme ces champignons qui poussent au milieu des champs et des bois et dont très peu sont cueillis et mangés par les hommes. Des multitudes de champignons sont finalement rongés par les vers et les insectes. Pour les manger, il faut en premier que l’homme les recherche, et il en est ainsi de même pour la vérité divine.
Le signe de la malédiction divine irréfutable est l’échec ; échec dans les espérances, échec dans l’action engagée, échec dans la tentative de trouver une solution ou une explication au malheur qui frappe. Et à ce titre, depuis le printemps de l’année 2020, l’humanité entière est soumise à des échecs successifs. Après la lutte contre le Covid et la déclaration prophétique du président Macron, en France, « Nous sommes en guerre » ; en février 2022, une véritable guerre a éclaté en Europe de l’Est entre l’Ukraine et la Russie, et l’Europe s’est laissée entraîner dans un problème qui ne la regardait pas, pour « défendre ses valeurs occidentales » ; valeurs condamnées par Dieu dans ses prophéties bibliques et par le président russe Vladimir Poutine de religion orthodoxe moins coupable mais coupable tout-de-même. Les deux camps portent la même malédiction divine qui repose sur la pratique du repos hebdomadaire du dimanche soit, le jour du soleil imposé par l’empereur païen romain Constantin 1er le grand ; ceci, depuis le 7 Mars 321.
Ici, nous devons revoir ce verset de Jér.8:15 : « Nous espérions la paix, et il n'arrive rien d'heureux ; un temps de guérison, et voici la terreur ! ». Cette « terreur » s’est déjà accomplie une première fois entre 1793 et 1794. Et voici qu’en 2023 soit 230 années plus tard, la « terreur » réapparaît. Pourquoi ? Parce qu’elle est la part réservée aux « maudits ». Entre ces deux époques de « terreur », les ententes partielles des belligérants occidentaux avaient permis de respecter plus ou moins des règles de conduite par les pays qui se combattaient, mais ces accords ont été adoptés par des peuples, alors qu’ils étaient en paix et se parlaient par le moyen de la Société Des Nations remplacée, après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, par l’Organisation des Nations Unies. L’unification ainsi réalisée reposait sur des règles établies par les USA tout-puissants, vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale et à cette époque les peuples du tiers-monde étaient tous plus ou moins colonisés par les nations occidentales ; l’Angleterre étant le plus puissant et le plus colonisateur dans ce camp occidental européen. En 2023, souffrant des conséquences des sanctions prises contre la Russie par les Européens suivistes des USA, les populations du Sud, ayant toute retrouvé au cours du siècle leur indépendance, se dresse contre l’autoritarisme occidental imposé depuis 1945. Or, aucun de ses peuples du Sud ne s’est engagé à respecter les engagements des accords de Genève. Aussi, notre contexte actuel met en conflit deux camps pour lesquels la guerre n’a pas la même forme, ni le même sens et encore moins, le même but. Ce changement redonne à la guerre son caractère naturel originel qui veut que le bon ennemi est l’ennemi mort, simplement, parce que c’est uniquement mort qu’il ne peut plus nuire.
En Occident, un long temps de paix a fini par faire croire aux humains que tous les problèmes pouvaient être réglés par des échanges de paroles et de marchandises. Ils ont cru pouvoir convertir à leurs normes tous les peuples de la terre et sont devenus de plus en plus confiants dans leur force et leurs idéaux. Cependant, cette réussite était trompeuse, car elle ne reposait, en réalité, que sur la paix que Dieu a voulu favoriser, pour donner à ce camp occidental la possibilité de développer leur méchante société, jusqu’à sa forme abominable finale dont l’aspect actuel n’est que révélateur de ce qu’elle peut encore devenir.
Il faudra donc du temps pour ces Occidentaux, pour qu’ils réalisent que les accords de Genève ont autant de valeur pour les pays du Sud que l’autorité occidentale remise en question. Sur la terre revient l’ordre considéré comme naturel pendant des millénaires. Chaque peuple revendique le droit naturel de s’organiser à sa convenance propre. Et les Occidentaux n’ont pas voulu l’accepter, mais des peuples sont très heureux d’honorer un roi placé à leur tête, ou un gourou religieux en lequel ils placent leur confiance. Si ces choix ne les sauvent pas, ils restent cependant ceux de leur libre choix. De plus, l’Occident ne peut rien leur apporter en matière de salut puisqu’il l’a aussi perdu. Ainsi, étant tous maudits par Dieu, aucun des peuples n’est en possibilité et en dignité de se présenter en modèle aux autres peuples.
Si la puissance est incontestablement la norme reconnue ou contestée des USA, la culpabilité de la France monarchique, puis républicaine, est historiquement fondamentale. Car les USA se sont formés vers 1776, tandis que la France normalise des peuples et des populations depuis 496. C’est donc logiquement sur son histoire que Dieu a basé la construction de sa révélation prophétique destinée à éclairer l’intelligence de ses derniers serviteurs qui s’apprêtent à voir s’accomplir le vrai retour final de Jésus-Christ au printemps de l’an 6001, lorsque six mille ans seront entièrement écoulés. Il ne faut donc pas trouver étonnant que, s’adressant à ses derniers témoins de l’histoire terrestre, Jésus leur dit : « car le temps est proche » dans Apo.1:3 ; et : « Je viens bientôt » dans Apo.22:20. Mais ce privilège qui est le nôtre est accompagné du terrible inconvénient d’avoir à traverser l’époque ou la détresse et l’angoisse doivent saisir avec puissance toute l’humanité livrée à une nouvelle « terreur » qui est la part réservée aux « maudits ».
En s’affranchissant de ses devoirs envers Dieu, la France a fait la promotion de ses « droits de l’homme » et sa pensée est devenue la base de l’évolution de toutes les nations occidentales qui, l’imitant, ont adopté le modèle puissant et dominateur des USA. Or, depuis le mois d’Octobre 2023, les jours « 7 » et « 28 » ont fait apparaître concrètement au Moyen-Orient, le dernier aspect guerrier des peuples musulmans qui ne respectent aucune règle ni aucune convenance observées jusque-là dans les guerres. Le camp Hamas utilise finement la population de Gaza pour qu’elle lui serve de bouclier humain. L’attaque du « 7 Octobre » sur la terre d’Israël a été menée pour le double objectif d’humilier Israël et de le rendre détesté auprès des nations mondiales. Pour les peuples arabes, la cause était déjà gagnée depuis 1948, mais le but réel de ce raid court et meurtrier était de convertir l’opinion des sociétés occidentales consternées et horrifiées, dans un premier temps, par l’action du Hamas. Le Hamas comptait sur la réaction punitive d’Israël pour renverser la situation à son avantage. C’est pourquoi, l’attaque du « 7 Octobre » ne s’est pas prolongée, car en ce jour des dizaines de milliers de combattants auraient pu entrer sur le sol Israélien et pour y développer son combat. Mais peut-être aussi que ces combattants du Hamas ne sont pas aussi nombreux qu’on le dit de manière médiatique. Ce qui est sûr, c’est que le Hamas a choisi de revenir sur le sol palestinien de Gaza et en fait, plus exactement dans les tunnels souterrains de cette bande de terre de Gaza. Ils ne pouvaient ignorer que la ville allait être bombardée et atrocement frappée par la vengeance israélienne. Et le plan préparé s’accomplit à la lettre. La ville martyre devient le théâtre d’un spectacle de désolation qui fait des victimes civiles en grand nombre ; ce qui bouleverse les sensibilités occidentales et irritent fortement les esprits arabes et musulmans. Mais ce plan n’est pas seulement celui du Hamas palestinien, il est avant tout organisé par le Dieu créateur qui conduit des nations rebelles vers un affrontement terriblement meurtrier. Une fois de plus, les Occidentaux sont victimes d’un dilemme impossible à trancher ; ils restent horrifiés par les massacres accomplis par les combattants du Hamas mais sont tout autant horrifiés par les victimes civiles de l’action israélienne. La place des dirigeants occidentaux est peu enviable, car ils doivent prendre position entre deux choix opposés qui ne règleront rien. Approuver l’un ou l’autre des deux belligérants, c’est se faire l’ennemi du camp désapprouvé. Et la situation conflictuelle instaurée met particulièrement en danger les nations occidentales qui ont, au nom des « droits de l’homme », reconstruit de multiples « tours de Babel » dans lesquels on retrouve des ressortissants porteurs des valeurs des deux camps en conflit. C’est particulièrement les USA et la France, les deux moteurs des « droits de l’homme » que le danger d’affrontement menace le plus. Conscient du problème, le président Macron se retrouve à tenir « en même temps » des propos supportables par les deux camps mais qui ne règlent pas son problème. Dieu signe encore là, sa capacité à créer des situations insolubles pour l’humanité. Tentant une union nationale sur la demande du président du Sénat et de la présidente juive de la chambre des députés des Français, une marche en faveur du refus de l’antisémitisme a été organisée ce dimanche 12 Novembre 2023. J’en retire plusieurs conséquences. La première est le nombre de 105 000 participants sur Paris et 183 000 sur toute la France. Mais que veulent dire ces chiffres ? Le motif de la marche étant en faveur de la paix et de l’entente, alors dans ce pays de 67 millions d’habitants, quelle est la difficulté pour réunir 183 000 personnes qui souhaitent conserver la paix ? En second, les observateurs ont pu remarquer que ces participants étaient en majorité blancs, chrétiens et juifs. L’islam n’était pas ou peu représenté. En troisième, le thème de l’antisémitisme affiché n’était pas la vraie raison de ce rassemblement de gens humanistes avant tout. Ils ont confondu l’antisémitisme avec l’antiracisme qui est le véritable objet de leur souhait. Car le racisme s’exerce également envers les blancs et non seulement, les Juifs et les Arabes qui sont tout deux sémites. Le parti gouvernemental a profité de ce projet pour révéler sa détestation du front national devenu le rassemblement national, évoquant un passé originaire raciste lointain de son fondateur originel Jean-Marie Le Pen. Mais face à la Bible et la séparation des peuples par Dieu, par le moyen des langues et des frontières nationales, qui peut reprocher ce racisme naturel et biblique ? Uniquement des êtres sans foi, ni loi divine. Le racisme a longtemps protégé des peuples invités à vivre paisiblement les uns à côté des autres, sans s’agresser pour autant. Ce racisme ne repose pas sur la détestation d’une autre ethnie, mais sur la prise de conscience que les différences augmentent les risques des affrontements. Quand ces différences concernent à la fois, la couleur de peau, la langue d’expression, la culture d’un pays, l’habillement de ce pays, et la religion de ce pays, alors l’affrontement dans le temps n’est plus seulement un risque, c’est une certitude qui apparaît au temps choisi par Dieu. Et ce temps de vérité est aujourd’hui arrivé.
J’ai encore relevé dans la marche du 12 Novembre, à Paris, que les dirigeants placés en tête ont, par trois fois, stoppé la marche pour entonner l’hymne national français nommé la « Marseillaise ». Or, à la fin du refrain de ce chant, ces défenseurs du rassemblement cosmopolite disaient « qu’un sang impur abreuve nos sillons ». La question se pose alors, qu’est-ce que ce sang impur aujourd’hui ? Celui de l’étranger arabe ou juif ? Inacceptable. Celui des monarchistes ? Ils ne gênent plus personne. En tant de paix active, ce sang impur n’a aucune signification, car le sang impur ciblé par ce chant était à l’origine celui des royaumes étrangers qui agressaient la France républicaine libérée et indépendante, en 1792, à Valmy. Mais en citant encore cette expression de « sang impur », je trouve paradoxal de trouver ces paroles dans la bouche de gens qui défendent et justifient l’impureté raciale du sang de leur nation. Mais ce paradoxe est révélateur de ce jugement que Dieu porte sur notre modèle de société occidentale américaine, française et européenne, selon ce qu’il déclare sur son rassemblement organisé à la gloire du catholicisme romain qu’il désigne par l’expression « Babylone la grande » dans Apo.18:2 : « Il cria d'une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, »
En résumé, cette marche ressemblait plus à un enterrement qu’à une victoire, ce fut en fait plus sûrement une sorte d’incantation dans laquelle les fautifs ont tenté de se rassurer, espérant en même temps éloigner d’eux, le spectre d’un futur hideux et tragique qui se dessine dans l’actualité.
La part des maudits est révélée depuis le « 7 Octobre » par le drame qui a frappé, en premier, le peuple juif nommé Israël. Cette priorité est biblique selon que Dieu a déclaré par la bouche de son serviteur Paul, dans Rom.2:8-9 : « mais l'irritation et la colère à ceux qui, par esprit de dispute, sont rebelles à la vérité et obéissent à l'injustice. Tribulation et angoisse sur toute âme d'homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec » Ainsi, la tribulation frappant aujourd’hui « le Juif », le tour du « Grec » vient après lui, et ce « Grec », c’est notre société occidentale entière construite précisément sur le modèle culturel et religieux de la Grèce antique païenne.
Le « Grec » européen a longtemps dominé et organisé des situations dramatiques. Par ses guerres coloniales, il a décimé des populations du tiers-monde et dans le confort et la richesse, ce « Grec » a été le spectateur profiteur de choses horribles. Un autre défilé en faveur des Palestiniens s’est présenté derrière une banderole portant l’écriture du mot juif « TSEDEQ » qui signifie JUSTICE. Ces personnes ignorent la malédiction de leur engagement religieux musulman, mais ce qu’elle n’ignore pas, c’est l’INJUSTICE qui leur a été imposée en 1948, quand les Juifs ont obtenu l’autorisation de reprendre une partie de leur ancienne terre nationale. J’aimerai leur faire savoir pourquoi ils ont été victimes de cette injustice, mais les explications reposent sur un jugement divin qui condamne toute autre religion et offre de salut hormis celles qui reposent sur la mort expiatoire de Jésus-Christ. Ainsi, sans se convertir en son nom, ils sont condamnés à mourir dans la haine et l’amertume. Pourtant, s’ils acceptaient cette conversion, ils obtiendraient de Dieu une inimitable consolation, en apprenant que l’INJUSTICE, qu’ils ont subie, a pour but de provoquer la destruction et un grand châtiment du camp occidental auteur de cette INJUSTICE. Comprendre le sens réel que Dieu donne aux actions terribles aide ses serviteurs à les accepter et les supporter. Mais ce n’est possible que dans le chemin de vérité tracé par Jésus-Christ. Ce nom continue de représenter la « lumière » des hommes intelligents, puisque Dieu réserve la compréhension de ses actions uniquement à ses vrais serviteurs qui le servent en esprit et en vérité soit, en conformité aux exigences divines révélées.
« La part des maudits » se résume par un seul mot très court et très précis : la mort. Aussi, lorsque Dieu organisa la semaine de sept jours relatée dans Genèse 1 et 2, nous devons bien le comprendre, les six premiers jours, image prophétique des six mille premières années de l’histoire humaine, représentent six mille ans placés sous le signe du règne de « la mort ». Selon Rom.6:23, « le salaire du péché c’est la mort », et notre système terrestre a été créé par Dieu afin de régler définitivement soit, éternellement, le problème du péché. Dans Apo.6:8, nous lisons : « Je regardai, et voici, parut un cheval d'une couleur pâle. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l'accompagnait. Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l'épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre. » Dans le texte original grec le mot ici traduit par la couleur « pâle » fut littéralement « verdâtre ». Ce mot porte ainsi la personnalisation de « la mort » qui n’a jamais été une personne, mais uniquement un principe par lequel Dieu fait souverainement cesser la vie de ses créatures, terrestres dans un premier temps. Il est intéressant de relever le fait que le nom « Zelensky » du président de l’Ukraine entrée en guerre avec la Russie le 24 Février 2022, signifie : « verdâtre ». De la sorte, Dieu a rattaché à sa présidence, l’heure de « la mort » de l’humanité pécheresse incrédule et incroyante endurcie. « La mort » aura été le triste privilège des habitants de la terre, puis qu’aucune créature de Dieu n’est morte avant l’homme ; le premier étant Abel tué par son frère Caïn. Officiellement, « la mort » a régné sur l’humanité jusqu’à Jésus-Christ, mort lui-même sur la croix au pied du mont Golgotha le 3 Avril 30 de notre faux calendrier Romain. Soit, au début de l’an 4001 du programme divin des six mille ans. Reprenant sa vie, comme il l’avait annoncé à ses apôtres, Jésus s’est lui-même ressuscité et s’est montré à ses apôtres, leur apprenant qu’il avait pour eux vaincu « la mort et le péché ». C’est ce qui conduit l’apôtre Paul à dire dans un ton lyrique, dans 1 Cor.15:55-56 : « O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? L'aiguillon de la mort, c'est le péché ; et la puissance du péché, c'est la loi. » C’est cette victoire du Christ qui lui permet de prophétiser « la mort de la mort » dans Apo.20:14 : « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. » Mais, ceci ne se produira qu’à la fin du septième millénaire qui va s’ouvrir uniquement au printemps 2030 qui vient. Jusque-là, le règne impérieux de « la mort » va se prolonger et soustraire à la vie toutes les créatures rebelles humaines et animales terrestres. L’expérience terrestre vécue par Jésus-Christ est venue éclairer le projet de l’éternité divine préparé, pour ses seuls élus sélectionnés au titre d’âmes humaines rachetées par son sang expiatoire versé volontairement. La résurrection de Jésus, étant constatée et confirmée par ses témoins apôtres et disciples, a enlevé, à « la mort », sa puissance sur les esprits des vrais saints. L’éternité promise était devenue une réalité reçue par leurs yeux et leurs oreilles, ainsi que leurs mains et leurs doigts, tel le cas de l’apôtre Thomas. D’un seul coup, par la vie d’un seul homme, tout le plan de Dieu prit forme et sens. C’est pourquoi, Dieu avait centré tout son programme de salut sur ce ministère qu’il a accompli en Christ après 4000 années de temps du péché humain soit, aux deux tiers du temps global de la sélection des élus des six mille années prophétisées par la succession de nos semaines de six jours + un, le sabbat. Il convenait de bien mettre à part ce sabbat, en raison de sa signification prophétique du repos du septième millénaire en lequel, entrés dans l’éternité, dans la présence de Dieu en Jésus-Christ, les saints jouiront d’un réel repos, car tout risque de perdre leur éternité aura cessé.
De même que des spectateurs peuvent quitter la salle de projection avant la fin du film parce qu’ils en connaissent la fin, les « fils de Dieu » peuvent et doivent regarder la vie mondaine profane ou faussement religieuse comme étant déjà accomplie puisque condamnée par Dieu, elle est prête à disparaître. Le prolongement de la vie ne sera qu’en Dieu et son Christ, Jésus.
La part des « maudits » est, finalement, plus la perte de l’avantage de l’éternité du bonheur offert par Dieu à ses élus que le châtiment mortel qu’ils vont devoir subir, dans de plus ou moins longues et intenses souffrances.
L’histoire humaine et celle de l’ère chrétienne qui nous concerne le plus sont marquées par des successions de guerres conformément à ce que Jésus a déclaré dans Mat.24:6 : « Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres: gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. » La longue paix prophétisée dans Apo.7:1 ne devait concerner que le sujet religieux chrétien. En fait, les guerres se sont succédé en permanence. Après la malédiction de 1843 et 1844, aux USA, « la guerre de Sécession » a opposé des Chrétiens américains séparés au sujet de l’esclavage des Noirs ; la religion était en cause, il s’agissait d’une interprétation biblique différente sur le sujet dans les deux camps opposés. Ensuite en Europe, la guerre de 1870 a aussi opposé des Chrétiens européens et les deux guerres de 1914 et 1939 ont fait de même. Depuis 1843, les nations chrétiennes européennes se sont engagées dans la voie du colonialisme et c’est ainsi que pendant que les Européens jouissaient d’une paix religieuse, leurs efforts guerriers se portaient contre des nations faibles, désorganisées, pour les coloniser, en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie. Après de nombreuses années d’exploitations, recevant l’instruction occidentale, ces peuples se sont révoltés et ont repris, dans le sang versé, leur indépendance nationale. Mais ces luttes ont laissé des traces indélébiles dans les esprits des gens meurtris dans leur chair ou celle de leurs parents. C’est ainsi que Dieu s’apprête à réveiller les colères endormies de ces victimes de l’arrogance occidentale. Leur colère meurtrière sera « la part » des dominateurs « maudits ».
En 1945, à Yalta en Crimée, le partage de l’influence politique mondiale a opposé les deux grands vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale : la Russie soviétique communiste et les USA capitalistes. La Russie arriva la première à Berlin pour vaincre l’Allemagne nazie, suivie de peu par les USA qui ont libéré avec les Anglais, l’Europe occidentale et l’Afrique du Nord concernées par la guerre. La France sauva son honneur et son indépendance grâce à l’action du Général de Gaulle qui s’est placé au côté de l’Angleterre dès le début du conflit. L’armistice signé entre l’Allemagne nazie et le Maréchal Pétain n’eut ainsi pour elle aucune fâcheuse conséquence que les USA auraient bien aimé lui infliger. Ces USA vainquirent le Japon en 1945 et prirent dans la zone du pacifique un rôle dominateur incontestable. A partir de ce moment, le monde entier s’est divisé en soutenant le communisme russe ou le capitalisme américain. Ces deux idéologies politiques et économiques sont à l’origine de fractures béantes qui ont partagé des nations jusque-là unies. Partout cette lutte d’influence a suscité des guerres sanglantes entre des frères, des pères, des fils et des filles. Et le choix politique a tenu hors de l’Europe occidentale, le même rôle destructeur que ses combats internes religieux. La France a colonisé l’Indochine située au Sud de la Chine, aujourd’hui partagée en nations : le Vietnam, le Laos et le Cambodge. Les guerres de la décolonisation se sont prolongées entre 1945 et 1962 pour la France. Après la domination française, les USA et la Russie se sont disputé l’influence politique des peuples devenus indépendants et c’est ainsi que nous avons aujourd’hui, en Corée, la Corée du Sud capitaliste et la Corée du Nord communiste, de même qu’il y eût un Vietnam du Sud vaincu depuis par le Vietnam du Nord. Ces nations adoptèrent le choix politique et économique du pays qui les a soutenues dans leur lutte d’indépendance. L’Algérie fut soutenue par la Russie et opta pour le modèle communiste. Au Vietnam, après les Français, les Américains ont tenté de s’imposer en versant des pluies de bombes au napalm sur la résistance du Nord et ils ne l’ont pas vaincu. Ici et là, sur toute la terre, ces influences idéologiques dressent encore des familles les unes contre les autres, et c’est pourquoi, sur toute la terre, la guerre n’a jamais cessé, et elle a même permis à des gens de construire leur fortune, en fabriquant et vendant les armes qui enlèvent la vie des êtres humains. Les paroles de Jésus ont été et sont encore ainsi confirmées : « il y a guerre, jusqu’au temps de la fin ».
Ce n’est donc pas sans raison que, depuis le 24 Février 2023, la Russie s’est rendue coupable d’un engagement guerrier contre l’Ukraine, bien que la réelle culpabilité incombe à l’Ukraine et ses agressions internes contre sa population et la culture russe depuis 2014. Et une dernière fois, avant un affrontement direct entre les deux peuples, la Russie s’est opposée aux USA qui soutiennent et arment les Ukrainiens. De plus, les USA portent seuls la lourde responsabilité d’avoir autorisé le retour des Juifs en terre devenue palestinienne. Qui alors peut contester l’accusation des peuples arabes quand ils dénoncent les USA qu’ils nomment « le grand Satan » ?
Le statut religieux des nations détermine le fruit de leur influence sur la terre. Dans son Apocalypse, Dieu dénonce et confirme la chute du protestantisme américain et mondial depuis 1843 et 1844 et la date 1873 vient à son tour confirmer cette déchéance par la bénédiction donnée à la foi « adventiste du septième jour ». Il ressort de l’analyse que je viens de présenter que « les fruits » de mort, portés, parallèlement, par la Russie soviétique communiste athée et les USA officiellement chrétiens et protestants, témoignent de la malédiction des deux puissants pays de l’après-guerre de 1939-1945. Depuis deux décennies, deux autres pays, la Chine et l’Inde, sont devenus des puissances militaires redoutables enrichies par l’adoption du commerce capitaliste. Cependant, la Chine a conservé dans son régime intérieur le modèle communiste absolu, toujours persécuteur envers les religions étrangères mondiales. Et qui a favorisé la création de ces deux monstres en puissance ? Les USA qui ont encore une fois imposé aux nations unies par le traité de l’ONU, l’autorisation donnée à la Chine d’entrer dans le commerce mondial (l’OMC) en conservant son double système capitaliste et communiste. Ils furent les premiers à prendre des actions dans ce nouveau marché dont les profits exorbitants ont détruit les équilibres du commerce occidental. Et ce qui fut si profitable aux premiers servis devient aujourd’hui une malédiction terrible pour leurs descendances. La Chine a grossi à nos dépens ; plus elle s’est enrichi, plus nous nous sommes appauvris et devenus dépendants de ses productions devenues exclusives pour toute la terre. Jésus avait dit que « nul ne peut servir deux maîtres ». En choisissant deux systèmes politiques et économiques opposés dans l’absolu, la Chine s’est enrichie, mais en ruinant le commerce et l’industrie des Chrétiens occidentaux frappés par sa malédiction.
Comprendre la situation mondiale de notre temps consiste à comprendre les choses que Dieu met en œuvres pour faire accomplir son projet concernant toute l’humanité. Mon analyse repose sur la révélation de son jugement, c’est pourquoi, contrairement, aux informations données par les différents médias, mes explications sont objectives car je ne m’associe à aucun camp profane terrestre. Il n’en est pas de même des journalistes et des hommes politiques dont les propos sont influencés par leur appréciation humaine personnelle des sujets étudiés. Si la religion reste bien la vraie cause du malheur qui frappe les peuples, par contre, ce malheur prend forme par des choix politiques et économiques injustes et désastreux faits par leurs dirigeants nationaux. On ne peut donc pas séparer les causes religieuses des causes profanes. Le malheur, « part des maudits », concerne les deux sujets.
En entendant les propos tenus sur un plateau télévisé, je relève l’énorme difficulté que représente pour un homme incroyant, incrédule ou peu pratiquant, le fait de comprendre la puissance de l’engagement religieux total, nommé intégrisme par les humanistes. Pour l’incroyant, tout choix reste le fait de son appréciation et de sa décision humaine. A l’opposé, pour l’homme religieux, son engagement tient compte d’une nécessité que l’existence de Dieu lui impose. C’est pourquoi, il est difficile ou impossible de le conduire à renoncer à ce qu’il croit être un signe d’obéissance au Dieu qui a créé et qui juge la vie des humains. Et la vraie foi chrétienne se construit aussi sur ce principe que Jésus-Christ a rappelé aux hommes dans Mat.10:28 : « Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne ». Contrairement aux multitudes chrétiennes infidèles, les Musulmans partagent cet avis et trouvent ainsi une bonne raison de pratiquer, sans compromis, leur Islam.
La part des « maudits » consiste, pour eux, à se retrouver entourés de faux amis qui n’attendent que l’occasion pour prendre leur place, prêt à les détruire. Des relations parfaitement hypocrites sont ainsi maintenues. Et à ce sujet, le rôle du Qatar est un type du genre. Il a su se rendre indispensable envers tous en apportant des finances énormes aux pays et aux gens qu’il aide. En France, il est venu soutenir l’existence et la persistance des communautés musulmanes, exploitant le « football » dans ce pays où cohabitent de multiples ethnies. Le sport est unificateur, même si la passion du sport finit par provoquer des violences. La même idolâtrie réunit superficiellement des êtres divisés par les religions, les coutumes et les idéologies. Le projet de conquête de la France par l’islam repose sur le temps et la multiplication de la démographie musulmane sur son sol. Les Français, les moins avisés de ces « maudits », ont commis l’erreur de naturaliser leurs ressortissants nationaux par le droit du sol, se condamnant ainsi à produire des adeptes de choses incompatibles ; ce qui provoque des affrontements de plus en plus brutaux, jusqu’à devenir meurtrier. Ainsi s’est accompli le quatrain 18 de la 1ère centurie du prophète Michel Nostradamus qui avait prédit cette situation : « Par la discorde négligence gauloise sera passage à Mahomet ouvert…» Et « Mahomet » est bien entré sur le sol français, représenté par une population musulmane de plus en plus irritée par le conflit ouvert entre Israël et les Palestiniens. Et pour assouvir leur colère, ils trouvent déjà sur le sol de la France une communauté juive vulnérable impossible à protéger. En qualifiant de « négligence » cette « discorde gauloise », le prophète confirme les conséquences finales désastreuses et tragiques que cet accueil funeste va porter dans peu de jours ou de mois. La deuxième partie de ce quatrain confirme des affrontements sanglants, en disant : « De sang trempé la terre et mer Senoise (la Seyne sur Mer), le port Phocen (Phocéen soit, Marseille) de voiles et nefs couvert ». Détail historique à relever : c’est du port de la Seyne sur Mer qu’en 1830 est partie la flotte militaire qui a conquis et colonisé l’Algérie.
M11- Le libre choix
Le principe du libre choix est à la base du projet de vie conçu par le vrai Dieu créateur. Déjà, le mot « libre » témoigne de l’importance qu’il donne à l’idée de la liberté. Or, paradoxalement, cette idée de liberté n’a été défendue et révélée que par Jésus-Christ dans son ministère terrestre révélateur. Et le sens qu’il a donné au mot « libre » est limité en ce qu’il définit l’état opposé au péché qu’il a présenté comme un « esclavage ». Le second terme, le mot « choix », auquel Dieu rattache la liberté donnée à ses créatures, rend celles-ci entièrement responsables de leur destin. La créature qui bénéficie du « libre choix » ne peut donc tenir pour coupable et responsable de ses fautes, ni Dieu, ni les anges célestes, ni les humains terrestres, mais elle-même, seule. L’entourage des créatures peut favoriser et encourager le choix fautif, mais pour autant, le choix d’écouter et de suivre des conseils et des avis d’autrui ne retire pas la culpabilité de celui ou celle qui accepte de mettre ces avis en pratique. C’est pourquoi Dieu a tenu à mettre en garde l’homme contre son prochain, en faisant écrire dans Jér.17:5 : « Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son cœur de YaHWéH ! » Et en mettant l’homme en garde contre son prochain, Dieu luit dit qu’il s’adresse directement à lui, dans les Ecritures saintes de sa Bible, dans laquelle il a fait choix des mots et des verbes qui y sont inscrits pour exprimer sa pensée. En réponse à sa mise en garde de Jér.17:5, Dieu nous dit dans Deu.30:19-20 : « J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité, pour aimer YaHWéH, ton Dieu, pour obéir à sa voix, et pour t'attacher à lui : car de cela dépendent ta vie et la prolongation de tes jours, et c'est ainsi que tu pourras demeurer dans le pays que YaHWéH a juré de donner à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob. »
Contrairement à l’apparence des termes, ce verset s’adresse à toi et à moi, car le premier destinataire, l’Hébreu, n’était que le modèle du serviteur de Dieu que tous les élus sélectionnés, par lui, parmi tous les peuples, étaient destinés à devenir ; et ce projet est une invitation lancée à tous les êtres humains jusqu’à la fin du monde marquée par le retour glorieux du Seigneur Jésus-Christ. L’ancien Israël ne s’est pas transmis uniquement par le sang et la chair. L’exemple de la prostituée Rahab de Jéricho nous est révélé pour en témoigner. Face au danger qui menaçait son peuple et sa ville, au nom de son « libre choix », elle choisit de se placer sous la puissance du Dieu d’Israël. Dieu regarde toutes ses créatures et il observe attentivement les choix qu’elles font constamment dans des domaines divers. A toi et à moi, il dit encore : « choisis la vie ». Et la présence de ce verbe « choisis » constitue la meilleure preuve que Dieu n’impose pas ses valeurs, il ne fait que les exposer et les proposer à ses créatures terrestres. Mais, à ceux qui ne font pas le bon choix proposé par lui, Dieu ne cache pas la conséquence du choix contraire ; ce sera la mort. Or, la mort peut être donnée pour diverses raisons. Dans l’offre divine, la mort sera la conséquence de l’inadaptation de la créature rebelle aux conditions de vie établies pour la vie éternelle. Il n’y a dans ce jugement pas une once de méchanceté, de dureté tyrannique. La colère divine n’est pas présente dans ce type de jugement et c’est ce qu’il révèle par la différence de traitement qui apparaît dans Apo.19:19-20 : « Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre. Et les autres furent tués par l'épée qui sortait de la bouche de celui qui était assis sur le cheval ; et tous les oiseaux se rassasièrent de leur chair ».
Les premiers ont part à la colère de Dieu, parce qu’ils se sont réclamés de lui en le trahissant. Les autres sont détruits sans haine, ni colère, mais seulement par nécessité. Nous voyons dans ce texte que, pour Dieu, l’humanité forme trois camps, celui de ses élus, celui des croyants chrétiens infidèles déchus et celui des croyants et incroyants non reconnus des diverses religions non chrétiennes.
Le « libre choix » individuel est concrétisé par l’acceptation ou le refus des valeurs divines révélées concrètement par les textes de ses lois. Selon Dieu, le chemin de la vie est représenté par ses lois, ses ordonnances et ses commandements. En dehors du respect pratique pour cette norme divine, tout autre choix conduit à la mort définitive soit, à l’anéantissement de l’âme humaine entière. C’est en raison de ce choix binaire que Dieu porte sa colère contre les hommes qui proposent un troisième choix qui déforme la norme divine, et qu’ils imputent, impudemment, à Dieu, lui-même. Dans ce cas, la fausse norme prend la forme d’un mensonge qui nuit à la cause de Dieu. Sa juste colère qui frappe ces personnes et ces religions est alors parfaitement justifiée.
La Bible est un livre épais qui témoigne de choses innombrables, dont les lois divines, et des expériences vécues relatées par des témoins oculaires. Cependant, c’est en quelques mots seulement qu’il révèle le but de sa création de vies libres. Nous avons le privilège de bénéficier de ce texte écrit par le prophète Ezéchiel dans Ezé.28 où d’une manière subtile, il parle au « prince de Tyr » et adresse soudainement ses propos à Satan, l’ange créé en premier, entré en rébellion dans la suite du temps et qu’il nomme, non pas « prince », mais cette fois « roi de Tyr ». Il lui dit aux versets 12 à 19 :
Verset 12 : « Fils de l'homme, prononce une complainte sur le roi de Tyr ! Tu lui diras : Ainsi parle le Seigneur, YaHWéH : Tu mettais le sceau à la perfection, tu étais plein de sagesse, parfait en beauté. » Dieu confirme la perfection originelle de l’état et de la nature du premier ange créé par lui.
Verset 13 : « Tu étais en Éden, le jardin de Dieu ; tu étais couvert de toute espèce de pierres précieuses, de sardoine, de topaze, de diamant, de chrysolithe, d'onyx, de jaspe, de saphir, d'escarboucle, d'émeraude, et d'or ; tes tambourins et tes flûtes étaient à ton service, préparés pour le jour où tu fus créé. » Ici, Dieu enlève au diable tout prétexte pouvant justifier sa rébellion. Il rappelle qu’il fut fêté et sujet d’une grande joie pour Dieu son Créateur et donc, son Père.
Verset 14 : « Tu étais un chérubin protecteur, aux ailes déployées ; je t'avais placé et tu étais sur la sainte montagne de Dieu ; tu marchais au milieu des pierres étincelantes. » La création du premier ange fut suivie de la création de multitudes d’anges que ce verset compare à des « pierres étincelantes ». Dieu rappelle qu’il avait lui-même placé sous sa domination tous les anges créés après lui. Il fut donc aimé, et honoré par Dieu.
Verset 15 : « Tu as été intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus créé jusqu'à celui où l'iniquité a été trouvée chez toi. » Dans ce verset, Dieu évoque son changement d’attitude : successivement, il fut, selon son « libre choix », « intègre » puis « inique ».
Verset 16 : « Par la grandeur de ton commerce tu as été rempli de violence, et tu as péché ; je te précipite de la montagne de Dieu, et je te fais disparaître, chérubin protecteur, du milieu des pierres étincelantes. » Dieu présente son verdict : Satan est condamné. Dieu explique les causes du changement de la pensée du diable : « la grandeur de ton commerce » qui désigne ses relations avec les autres anges.
Verset 17 : « Ton cœur s'est élevé à cause de ta beauté, tu as corrompu ta sagesse par ton éclat ; je te jette par terre, je te livre en spectacle aux rois. » La richesse favorise la domination comme la « beauté » favorise l’attirance et la séduction. Satan n’a pas su résister à la tentation de l’orgueil, car les honneurs qui lui étaient légitimement rendus l’ont poussé à en désirer toujours plus. Le problème n’était pas dans son entourage, ni dans son expérience, il était uniquement en lui, dans sa nature incapable de vivre dans l’humilité parfaite. Dans de pareilles circonstances, la créature ne doit pas oublier qu’elle reste une créature du Dieu vivant qui distribue les rôles et juge avec parfaite justice. Le diable fut ainsi le premier qui, voulant s’élever par orgueil, fut abaissé par Dieu concrètement, puisqu’expulsé du ciel, « il a été précipité sur la terre avec ses anges », comme le confirme et le prophétise Apo.12:9 à 12.
Verset 18 : « Par la multitude de tes iniquités, par l'injustice de ton commerce, tu as profané tes sanctuaires ; je fais sortir du milieu de toi un feu qui te dévore, je te réduis en cendre sur la terre, aux yeux de tous ceux qui te regardent ». Au verset 16, « la grandeur de ton commerce » désignait les relations du diable avec les anges, cette fois, Dieu dit « l’injustice de ton commerce », ce qui suggère son activité menée contre Jésus-Christ et ses élus. Dans ce verset, Dieu nomme « commerce » les différents types de relations séductrices et hypocrites qu’il inspire aux êtres humains en échange de leur soumission à son autorité identifiée ou pas. Ce mot « commerce » exclut de ces relations tout intérêt réel pour le partenaire. Le but est uniquement d’obtenir satisfaction, et pour obtenir satisfaction de la part des humains, le diable et ses démons ne manquent pas de moyens. Leur seul objectif est de les détourner de la vérité que Dieu peut bénir afin de rendre impossible le salut proposé par la mort volontaire de Jésus-Christ. N’obéissant pas à la vérité, il ne peut pas les sauver. Dans son réquisitoire, Dieu prophétise l’anéantissement du diable, « sur la terre ». Il y sera brûlé jusqu’à l’anéantissement dans « l’étang de feu et de soufre » de la « seconde mort » prophétisée dans Apo.20:10 : « Et le diable, qui les séduisait, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète. Et ils seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles. » Avant mon entrée dans l’adventisme, ce verset me porta à croire à des « tourments » « éternels » et je pense que beaucoup sont, comme je le fus, victimes de la trompeuse apparence de ce texte. Mais c’est encore là, une preuve de la sagesse de Dieu, qui offre à ses ennemis incapables de relever sa subtilité, la possibilité de justifier, bibliquement, leurs mensonges religieux.
Verset 19 : « Tous ceux qui te connaissent parmi les peuples sont dans la stupeur à cause de toi ; tu es réduit au néant, tu ne seras plus à jamais ! » Ceux qui « connaissent » l’existence du diable sont les trois religions monothéistes principales fondées sur le témoignage biblique hébreu : le Judaïsme, le Christianisme, et l’Islam. Pour bon nombre d’entre eux, le diable est considéré comme la divinité du mal opposé au Dieu du bien. On peut donc comprendre pourquoi Dieu prophétise leur stupeur et leur étonnement en le trouvant, au jugement dernier, dans la même situation qu’eux. Les vrais adorateurs conscients du diable sont rares, mais ils existent bien sur la terre. Les victimes du diable, les plus nombreuses, sont celles que ses mensonges inspirés ont trompées religieusement. Et ce sont les actions diaboliques religieuses chrétiennes que Dieu cible particulièrement dans son jugement révélé, principalement, dans ses prophéties de Daniel et Apocalypse.
Nous trouvons dans ce jugement du diable et le récit de son expérience, la possibilité de comprendre la raison qui conduit Dieu à pousser ses créatures humaines à procréer et multiplier leur descendance. En quelques versets, l’Esprit nous donne une leçon complète. Il confirme l’état originel parfait du « futur » diable. Il n’avait aucune excuse pour justifier sa rébellion contre Dieu et finira, consumé par le feu avec toutes ses victimes. Cette expérience concernant le diable concerne également toutes les créatures du Dieu vivant. Nous bénéficions ainsi de plusieurs niveaux d’expériences pédagogiques. Le premier niveau est l’expérience céleste, dans laquelle le « libre choix » au sujet de la conception de la liberté a eu pour résultat la formation de deux camps opposés dans l’absolu. Alors que sa puissance divine lui aurait permis de détruire le camp des anges rebelles, Dieu démontre sa sagesse en préférant attendre le moment où le problème du péché sera entièrement réglé pour l’éternité. C’est alors qu’intervient, au second niveau, le rôle de sa création terrestre dans laquelle l’homme pécheur va devenir une créature mortelle. La mort prend ainsi une première apparence concrète. Elle constitue le salaire du péché et frappera à terme, cette fois, définitivement, tous les êtres créés par Dieu qui ont choisi la voie du péché par leur « libre choix ». En face de ce « libre choix » rebelle angélique et humain, Dieu utilise lui-aussi son « libre choix » pour prendre l’apparence humaine en Jésus-Christ et offrir en sacrifice sur la croix élevée au pied du mont Golgotha, son corps saint et juste exempt de tout péché. Ce sacrifice parfait, incomparable à tout autre sacrifice d’animaux ou d’êtres humains, permet au Dieu créateur de pardonner les péchés de ses saints élus. Mais comment identifie-t-il ses saints élus ? Là encore, intervient le « libre choix », car ce sont des êtres humains qui reconnaissent leur état pécheur envers Dieu. Ils en sont désolés et n’aspirent qu’à retrouver une réelle sainteté de corps et d’esprit. Aussi, connaissant leurs pensées, Dieu les dirige, par son inspiration, vers sa lumière révélée dans sa sainte Bible. Ils trouvent en elle, toutes les directives et les réponses qu’ils souhaitaient obtenir. Réconciliés avec lui, par le sang versé, par lui, en Jésus-Christ, ils peuvent être sélectionnés par Dieu qui les juge digne de partager son éternité. La sagesse humaine comprend bien que le partage de l’éternité ne peut être rendu possible que dans un partage réel d’amour profond et réciproque entre Dieu et ses élus.
Le « libre choix » est le critère absolu de la vraie foi. Toutes les fausses religions se démasquent et révèlent ce qu’elles sont réellement, quand elles se revendiquent de l’héritage de la tradition des pères. Le cas du Judaïsme, héritage de la foi des Hébreux, est partiellement différent, car de Moïse à Jésus-Christ, la religion était bien transmise de père en fils et en filles par l’héritage traditionnel. Pour autant, l’appartenance à cette religion juive ne faisait pas à elle seule le salut des héritiers. La circoncision de la chair n’était que le signe de l’appartenance à la tradition nationale juive. Et seule, la qualité de la relation établie entre Dieu et sa créature juive, faisait de celle-ci, un élu ou pas. Et déjà, c’était son « libre choix » de comportement qui permettait à un Juif d’être reconnu comme élu par Dieu. Et dans ce contexte, l’élu se distingue des non élus par son souci de plaire à son Dieu ; ce qu’il démontre en observant et mettant en action pratique, ses ordonnances et ses commandements. Quand le besoin se présentait, il offrait les sacrifices ordonnés pour expier ses péchés et offrait des sacrifices d’action de grâces.
La première venue du Messie Jésus a mis fin aux conditions instaurées dans la première alliance. Après la mort de Jésus-Christ, le mercredi 3 Avril 30, les animaux furent sacrifiés en vain. Ils ne pouvaient plus obtenir le pardon des péchés, car le sang humain parfaitement juste de Jésus-Christ les avait remplacés définitivement. C’est ce que prophétisait Dan.9:27, en disant : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; …» Cette semaine prophétique était, en année, l’an 30 et en jours, le mercredi, milieu de la semaine juive ordonnée par Dieu dès la création du monde.
En instaurant, les nouvelles conditions de la nouvelle alliance dans laquelle le sang de Jésus remplace celui des animaux purs sacrifiés, Dieu a placé les héritiers juifs et les héritiers païens sur un même niveau d’égalité de droits et de devoirs. C’est ce qu’exprime clairement l’apôtre Paul dans Gal.3:28-29, où il déclare : « Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus Christ. Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d'Abraham, héritiers selon la promesse. » Il précise encore dans Col.3:11 : « Il n'y a ici ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni libre ; mais Christ est tout et en tous. » La venue du Christ place donc tous les êtres humains dispersés sur la terre dans une parfaite égalité, car les conditions pour obtenir la grâce gagnée par Jésus-Christ leur sont proposées sous la même unique norme. Cependant, les Juifs, dépositaires officiels des saintes Ecritures ont sur les païens l’avantage de connaître les ordonnances divines, mais cet avantage se transforme en inconvénient, parce qu’ils pensent que ce rôle de gardien des Ecritures divines a fait d’eux définitivement des élus de Dieu. Et nombreux sont ceux qui encore de nos jours pensent qu’Israël, est le « peuple élu » de Dieu. Or l’élection a un sens définitif et absolu de salut obtenu ; ce qui ne peut s’appliquer à la nation Israël depuis son refus du « messie » Jésus. Le terme correct est donc « peuple choisi », mais « choisi » pour une mission à durée déterminée dont la fin était fixée au temps de la première venue du Christ. Ecoute donc Dieu exprimer lui-même cette chose dans Deu.14:2 : « Car tu es un peuple saint pour YaHWéH, ton Dieu ; et YaHWéH, ton Dieu, t'a choisi, pour que tu fusses un peuple qui lui appartînt entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre. » C’est ainsi, qu’au nom de son « libre choix », Dieu a aussi « choisi » de rejeter ce peuple à cause de son incrédulité transmise de génération en génération jusqu’à la première venue du « messie » Jésus-Christ pour son ministère terrestre. Ce dernier témoignage d’incrédulité a été fatal pour la nation Israël entière. Et les Chrétiens qui honorent encore ce peuple à cause de son passé historique commettent une faute et une erreur fatale, car Dieu demande à ses serviteurs de juger, comme il le fait lui-même, les hommes et les systèmes, objectivement, sans exception de personne ; ce dont ils se montrent incapables.
C’est pourquoi, il exprime son jugement clairement et souverainement lui-même, qualifiant l’ancienne alliance de « synagogue de Satan » dans Apo.2:9 et 3:9. Ne pas tenir compte de ce témoignage est un péché commis par ceux qui se perdent comme les Juifs se sont perdus et pour les mêmes raisons : l’incrédulité et l’esprit rebelle.
Rassembler les mots « libre et choix » constitue un pléonasme car peut-on faire un choix sans être libre ? Ou encore, peut-on se dire libre si on ne peut pas exercer son choix ? Evidemment non pour les deux cas. Mais mis ensemble, ces deux mots soulignent le rôle important de la liberté dont peu d’êtres humains ont su réellement profiter. L’histoire vécue sur six mille ans témoigne d’un asservissement continuel des peuples déjà asservis au péché. Des tyrans ont succédé à d’autres tyrans et tous ont remplacé la liberté par la servitude, la soumission et l’obéissance à un ordre humain imposé dans chaque peuple. Jésus avait déclaré aux Juifs, dans Jean 8:32 à 34: « vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. Ils lui répondirent : Nous sommes la postérité d'Abraham, et nous ne fûmes jamais esclaves de personne ; comment dis-tu : Vous deviendrez libres ? En vérité, en vérité, je vous le dis, leur répliqua Jésus, quiconque se livre au péché est esclave du péché. Or, l'esclave ne demeure pas toujours dans la maison ; le fils y demeure toujours. Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. » Les Juifs qui parlèrent en ces termes à Jésus-Christ semblent avoir oublié le séjour de 70 années à Babylone où ils furent conduits sous le statut d’esclaves. Et c’est tout leur orgueil qui s’exprime en disant : « nous ne fûmes jamais esclaves de personne ». Il est évident que dans un tel état d’esprit, les paroles du ciel ne pouvaient être, ni entendues ni comprises par eux. Car en fait, ils ont toujours été les esclaves de Dieu et cet esclavage hérité s’est prolongé par l’esclavage du « libre choix » de la nouvelle alliance. Et dans Apo.1:1 le mot « serviteurs » est, littéralement, « esclaves » : « Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt, et qu'il a fait connaître, par l'envoi de son ange, à son serviteur Jean ». L’esclave sert son divin Maître et il est donc aussi à ce titre son serviteur, mais son service est accompli sous le statut d’un esclave qui n’a ni droit, ni propriété et sur lequel son Maître a pouvoir de vie et de mort. Ce statut là est très différent du sens donné en nos jours au mot serviteur qui masque dans ce texte la dépendance entière des Chrétiens de l’autorité divine de Jésus-Christ. Ce mot serviteur, pris dans le sens actuel, donne au service de Jésus-Christ une liberté que Dieu ne lui donne pas ; ce qui justifie ainsi les dérives et les initiatives rebelles que nous pouvons aujourd’hui et depuis longtemps constater. Car le sang versé par Jésus offre à ses élus uniquement « l’affranchissement » de leur servitude du « péché » dont il les libère de manière concrète. Sauvés par lui, ils deviennent siens au titre d’esclaves volontaires. Tel est le processus de l’application du salut offert par la grâce divine obtenue par le sacrifice offert en « libre choix » par Jésus-Christ. Mais cette vérité n’est pas comprise parce que, jouissant d’une liberté entière, des humains inspirés par le diable ont présenté des normes fausses de ce salut divin. Et tous ces menteurs n’ont recherché qu’à obtenir la soumission des multitudes à leurs normes. Etant nombreux, ils se sont opposés les uns aux autres et ont ainsi donné à la religion du Dieu créateur unique, des aspects différents plus ou moins compatibles entre eux. Aussi, faut-il le comprendre, les élus servent Dieu en Jésus-Christ et non son Eglise. En rejoignant l’institution, l’être humain perd la possibilité d’exploiter l’avantage de son « libre choix ». Comme un mouton, il doit suivre le troupeau qui est devant lui, au risque de tomber dans un ravin. Beaucoup d’êtres humains ne se sentent en sécurité que soutenus par le grand nombre des frères et sœurs en Christ. Hélas pour eux, le grand nombre se perd tandis que Dieu retient et bénit un « tout petit » « reste » selon Apo.12:17 : « Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s'en alla faire la guerre au reste de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui retiennent le témoignage de Jésus. » Ainsi à la fin de l’ancienne alliance, il reste de l’Israël spirituel bâti sur Jésus-Christ un « reste », comme ce fut le cas dans l’ancienne alliance, selon Esaïe 10:22 : « Quand ton peuple, ô Israël, serait comme le sable de la mer, un reste seulement reviendra ; la destruction est résolue, elle fera déborder la justice. »
Aujourd’hui, en fin de l’année 2023, le mauvais usage du « libre choix » a enfermé toute l’humanité sous la colère destructrice de Dieu, et ces paroles d’Esaïe reprennent un sens actuel, « la destruction est résolue, elle fera déborder la justice ». La démonstration est ainsi faite que les deux alliances successives suivent un même programme doublement prophétisé par Dieu qui veille à son accomplissement et qui l’organise jour après jour. Mais, dans les deux alliances, la fin est la destruction qui n’est que la conséquence d’une malédiction mal comprise par toute l’humanité. Dès le début de l’humanité postdiluvienne, Dieu a fait dire à Noé, dans Gen.9:25 : « … Maudit soit Canaan ! Qu'il soit l'esclave des esclaves de ses frères ! » Etonnamment, Noé maudit le dernier fils de Cham, alors que Cham est seul en faute envers Noé. Dieu a profité de cette malheureuse expérience pour maudire le nom « Canaan ». Et cette malédiction visait moins le fils de Cham, « Canaan », que la terre qui allait porter son nom. Les Amoréens qui vivaient sur son sol furent exterminés par Dieu devant Israël en dépit de leur taille de géants. Mais ce même sol, fut livré aux Romains et les Juifs furent dispersés après leur refus du « messie » Jésus dans l’empire romain. Ils devinrent ainsi les « esclaves » des descendants de Sem et Japhet frères de Cham, accomplissant ainsi la prophétie de la malédiction de « Canaan » de Gen.9:26-27 : « Il dit encore : Béni soit YaHWéH, Dieu de Sem, et que Canaan soit leur esclave ! Que Dieu étende les possessions de Japhet, qu'il habite dans les tentes de Sem, et que Canaan soit leur esclave ! » Cette lourde insistance sur la malédiction de la terre de « Canaan » prend en nos jours tout son sens, puisque toujours porteurs, en 1948, de la malédiction due à leur refus du messie Jésus sur ce sol maudit au titre d’ancienne Canaan, le retour des Juifs va provoquer la Troisième Guerre Mondiale dans laquelle l’usage des armes nucléaires va éliminer soudainement des multitudes de vies terrestres humaines et animales. Après avoir chassé les Juifs de ce sol, Dieu a donné cette terre à l’idolâtrie arabe devenue musulmane. De la sorte, durant de longs siècles, en combats incessants, les Arabes descendants d’Ismaël, les Turcs, les Mongols, et beaucoup d’autres ont ensanglanté cette terre maudite. Dieu lui a enlevé toute marque de sainteté et elle est donc devenue réellement un sujet de malédiction pour tous les habitants de la terre. Dès 1948, avec le retour des Juifs sur ce sol maudit, les conflits opposant Israël aux Palestiniens chassés de leur terre ont eu des conséquences néfastes pour les peuples riverains, pour tout l’Occident dominateur, et même au-delà ; ce qui prépare l’accomplissement de ce verset de Zac.7:3 : « Et il arrivera, en ce jour-là, que je ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples; tous ceux qui en porteront le poids en seront grièvement déchirés, et toutes les nations de la terre s'assembleront contre elle ». Cette malédiction s’est prolongée jusqu’à notre année 2023, où depuis le 7 Octobre, l’attention et l’inquiétude du monde occidental se porte sur cette terre maudite. Il est confronté à un problème insoluble fruit direct de la malédiction prophétisée par Noé.
La tradition a attribué injustement aux Noirs africains la descendance de Cham et la malédiction de son fils « Canaan ». Des hommes mal inspirés y trouvèrent prétexte pour justifier l’esclavage des Noirs africains. Or, le nom « Canaan » n’a jamais désigné l’Afrique, mais uniquement ce petit morceau de terre situé entre le Liban et l’Egypte. C’est bien sur la terre de « Canaan » que Dieu a conduit son peuple Israël. Il y a séjourné pendant presque tout le temps de l’ancienne alliance et en a été chassé par les troupes romaines à partir de l’an 70. Les Juifs étant partis, que restait-il ? La terre de « Canaan » disponible pour de nouvelles malédictions jusqu’à notre époque du temps de la fin où sa malédiction s’étend aux habitants de toute la terre, pour provoquer une guerre aux effets comparables, partiellement, à ceux du déluge traversé par Noé, sa femme, ses trois fils et leurs femmes.
La malédiction de « Canaan » repose sur son expérience de « premier-né » des postdiluviens, au niveau de son rôle prophétique universel (le 4ème fils ; 4 = universalité). Il représentait ainsi, l’image des générations postdiluviennes parmi lesquelles sur la terre de « Canaan », Dieu allait installer Israël, son « premier-né », qui devait finir son témoignage, frappé par sa malédiction. Exode 4 :22 confirme ce titre donné par Dieu à Israël : « Tu diras à Pharaon : Ainsi parle YaHWéH : Israël est mon fils, mon premier-né. Je te dis : Laisse aller mon fils, pour qu'il me serve ; si tu refuses de le laisser aller, voici, je ferai périr ton fils, ton premier-né ». En relevant le puissant soutien que Dieu donna à son peuple dans ces circonstances, on peut mesurer l’énorme malédiction du peuple juif de retour en « Canaan », en 1948. Il prend la terre de gens qu’il chasse et crée ainsi un problème insoluble d’injustice, sans bénéficier de la puissance protectrice de Dieu.
On peut comparer les expériences vécues dans les deux alliances divines successives et relever des analogies. Ces expériences sont celles que produit le « libre choix » donné aux êtres humains et avant eux, aux anges célestes. En raison des œuvres produites, Dieu adopte les mêmes mesures. Ainsi, pour châtier les péchés commis par Israël et Juda, Dieu les conduit en déportation dans la Babylone chaldéenne pendant 70 années prophétisées par le prophète Jérémie. A son retour de la captivité, Israël est préparé pour accueillir la première venue du messie sur la terre. De même, dans la nouvelle alliance, à cause du péché commis en 313 et en 321 par le christianisme infidèle, Dieu le livre à la « Babylone » papale entre 538 et 1798. En mourant en 1799 dans la prison de la Citadelle de Valence sur Rhône, le pape Pie VI expie les fautes de l’Eglise catholique romaine après le soutien monarchique, guillotiné au cours de la terreur révolutionnaire française. Sortant de cette domination « babylonienne » spirituelle, les saints de Dieu vont être préparés pour la seconde venue du Christ à partir de 1843 et jusqu’au printemps 2030, où il va revenir, dans toute sa divine gloire céleste rendue visible pour tous les êtres humains restés encore en vie. Le « libre choix » permettra aux derniers élus de rejoindre dans leur décision, le choix de fidélité fait par les derniers Adventistes restés dignes de ce nom. Ce sera alors, pour les Juifs et les non Juifs, la dernière possibilité de bénéficier de la grâce divine offerte par Jésus-Christ. Le dernier test de foi reposera sur la sanctification du saint sabbat sanctifié par Dieu au repos depuis la fin de la première semaine de sa création terrestre. Cette sanctification du sabbat refermera donc le cycle terrestre de six mille années offertes par Dieu aux hommes pécheurs pour racheter leur âme au nom du sang versé par le « Messie » Jésus-Christ, « l’agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde », selon Jean 1:29 : « Le lendemain, il vit Jésus venant à lui, et il dit : Voici l'Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. »
Conclusion
Le « libre choix » donné à ses vis-à-vis était indispensable pour Dieu, pour lui permettre de juger ses créatures. Seule l’entière liberté d’action permet à chacune de ses créatures de révéler, par ses œuvres et ses initiatives, aux autres créatures ce qu’elle est réellement. Car seul Dieu est capable de lire dans leurs pensées. Or, il veut que ses élus puissent en connaissance de cause partager son jugement. Le « libre choix » donne à l’homme la possibilité de porter des fruits différents et c’est pourquoi Jésus a dit au sujet des « faux prophètes » mais aussi de notre prochain humain, dans Mat.7:15 à 20 :
Verset 15 : Le conseil avisé de prudence : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. »
Verset 16 : La méthode de l’identification : « Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. »
Versets 17-18-19 : le principe du jugement : « Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. »
Verset 20 : la sentence du discernement : « Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. »
Sans un mot de trop, et en langage imagé, Jésus vient de révéler le principe du jugement que Dieu porte sur chacune de ses créatures. On ne saurait faire ou dire mieux, son message est parfaitement clair et Dieu applique ces principes au riche et au mendiant, sans faire de distinction de personne, de rang, ou de classe.
Cependant, la première raison qui a conduit Dieu à donner à ses vis-à-vis la possibilité du « libre choix » concerne ses élus qui ne viennent pas en jugement, parce que Dieu, lui-même, les juge dignes de son éternité. Etant réellement en Christ, selon Jean 5:24, ils produisent librement le fruit d’amour qu’il approuve et apprécie et je n’hésite pas à le dire, qu’il recherche et exige en toute justice, car il est lui-même l’Amour dans toute sa perfection. Et si les élus en Christ ne viennent point en jugement, c’est parce que, dans ce jugement céleste accompli pendant les « mille ans » du repos « sanctifié » du septième millénaire, ils vont tenir le rôle de juges et ils jugeront avec Christ les anges et les humains rebelles. L’apôtre Paul l’a dit le premier dans 1 Cor.6:3 : « Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges ? Et nous ne jugerions pas, à plus forte raison, les choses de cette vie ? » Et en Christ, Dieu confirme la chose dans Apo.4:4 : « Autour du trône je vis vingt-quatre trônes, et sur ces trônes vingt-quatre vieillards assis, revêtus de vêtements blancs, et sur leurs têtes des couronnes d'or. » et 20:4 : « Et je vis des trônes ; et à ceux qui s'y assirent fut donné le pouvoir de juger. Et je vis les âmes de ceux qui avaient été décapités à cause du témoignage de Jésus et à cause de la parole de Dieu, et de ceux qui n'avaient pas adoré la bête ni son image, et qui n'avaient pas reçu la marque sur leur front et sur leur main. Ils revinrent à la vie, et ils régnèrent avec Christ pendant mille ans. »
Il importe que ses élus soient bien conscients de l’énorme souffrance que Dieu s’est imposé lui-même en s’engageant dans son projet de se donner des vis-à-vis libres bénéficiant du libre arbitre, du « libre choix ». Pour lui, la conséquence aura été, qu’il aura dû supporter avec patience, les agissements abominables de ses créatures de nature rebelle au cours de 6000 longues années. Ce qu’il a confirmé dans cette image pleine de symboles révélateurs dans Rom.9:21 à 23 : « Le potier n'est-il pas maître de l'argile, pour faire avec la même masse un vase d'honneur et un vase d'un usage vil ? Et que dire, si Dieu, voulant montrer sa colère et faire connaître sa puissance, a supporté avec une grande patience des vases de colère formés pour la perdition, et s'il a voulu faire connaître la richesse de sa gloire envers des vases de miséricorde qu'il a d'avance préparés pour la gloire ? », et en explication, nous lisons dans 2 Tim.2:20-21 : «Dans une grande maison, il n'y a pas seulement des vases d'or et d'argent, mais il y en a aussi de bois et de terre ; les uns sont des vases d'honneur, et les autres sont d'un usage vil. Si donc quelqu'un se conserve pur, en s'abstenant de ces choses, il sera un vase d'honneur, sanctifié, utile à son maître, propre à toute bonne œuvre. »
Aux souffrances dues aux méchantes œuvres des incrédules et des incroyants, Dieu s’est ajouté celles que lui infligèrent les Romains quand il porta les péchés de ses élus, sous leurs coups de fouet et la couronne d’épine enfoncée dans la chair de son crâne par ces soldats païens au sujet desquels Jésus a dit : « Père, pardonne leur car ils ne savent ce qu’ils font ». Et ils le conduire ensuite au lieu du « Crâne » traduction du nom juif du mont Golgotha, au pied duquel, le crâne ensanglanté fut crucifié vivant soit en pleine état de conscience et de sensibilité à la douleur physique. Mais ce que l’homme normal ne peut expérimenter, Jésus l’a atrocement vécu dans son esprit. On peut lire dans ce texte d’Esaïe 53:8 : « Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment ; et parmi ceux de sa génération, qui a cru qu'il était retranché de la terre des vivants et frappé pour les péchés de mon peuple ? »
Quelle fut donc la cause de cette « angoisse » ? Explication : né sur la terre de manière miraculeuse dans la matrice d’une jeune fille vierge nommée Marie, de la lignée du roi David, le fils de l’homme Jésus était réellement le Fils de Dieu qui s’est tenu auparavant auprès des anges sous le nom Micaël, nom qui signifie : qui est comme Dieu. L’Esprit vivant du Dieu indéfinissable a donc toujours porté un double état ; un aspect invisible de puissance créatrice que Jésus appelle « Père » et son double sous l’aspect visible de l’ange Micaël. C’est cet ange Micaël qui est né sur la terre sous l’apparence de l’enfant Jésus. Et c’est en raison de cette origine divine parfaitement pure, que Jésus est venu combattre le péché au titre de « nouvel Adam ». Là se trouve la cause de « l’angoisse » qu’il ressentit sur la croix. A ce moment, lui qui n’avait jamais été séparé de l’Esprit invisible créateur fut séparé de lui et privé de sa bienheureuse présence, parce que, sur la croix et depuis son arrestation, il a été fait « péché » pour en expier la culpabilité. Cette séparation de Dieu fut pour lui une expérience nouvelle qu’il a éprouvé seulement quand elle s’est accomplie. Et Jésus exprima alors cette « angoisse » qui contribua à le faire mourir plus vite que les hommes normaux, en la formulant, dans Mat.27:46 : « Et vers la neuvième heure, Jésus s'écria d'une voix forte : Éli, Éli, lama sabachthani ? C'est-à-dire : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » Ce cri « d’angoisse » sortait de la bouche de Jésus-Christ devenu pour la première fois un simple homme comme toi et moi, avant notre baptême, quand nous portions encore la culpabilité du péché hérité et des péchés commis par nous-mêmes. Mais, après que ce corps fut déposé de la croix et entré au tombeau, l’Esprit du Dieu créateur est revenu prendre dans ce corps la place qu’il y a toujours occupée. Il a permis ainsi à Jésus de se ressusciter lui-même, comme il l’avait annoncé à ses fidèles amis et apôtres. Sur la croix, en proie à d’atroces souffrances, pour un temps, Jésus perdit de vue la raison pour laquelle il était crucifié, mais la lucidité revint et il le confirma, en disant : « Tout est accompli » ; et il put remettre son esprit au « Père » et mourir de mort, comme tous les êtres humains. C’est cette mort qui donne au Christ sa victoire sur le péché ; il n’est donc pas étonnant que les fausses religions, catholique et musulmane, la dévalorisent ou la contestent.
Esaïe 53:8 dit aussi : « et parmi ceux de sa génération, qui a cru qu'il était retranché de la terre des vivants et frappé pour les péchés de mon peuple ? » Cette précision du prophète rend injustifiable l’interprétation juive qui fait, de celui qui était « retranché et frappé », le « peuple » Juif lui-même. Comment pourrait-il être, en même temps, celui qui était « frappé » et le « peuple » pécheur bénéficiaire de cette frappe ?
Dieu fit ainsi de son « libre choix » le moyen de révéler son immense amour pour ceux qui répondent logiquement à cet amour, parce qu’il est lui-même « le mendiant de l’amour ». Son « libre choix » l’a conduit volontairement sur la croix où il a gagné le droit de les sauver et de leur faire partager son éternité, dès le printemps 2030.
M12- L’Occident manipulé
En Occident, le succès de la science, dans tous ses divers aspects, porte la majorité de nos contemporains à croire, soit que Dieu est mort, soit qu’il ne s’intéresse que de loin à ce qu’il se passe sur la terre des hommes. Ces deux pensées sont infondées et injustifiées, car ces seuls versets cités dans Mat.10:29 à 31 témoignent du contraire, par la bouche de Jésus-Christ : « Ne vend-on pas deux passereaux pour un sou ? Cependant, il n'en tombe pas un à terre sans la volonté de votre Père. Et même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc point : vous valez plus que beaucoup de passereaux. » Notons déjà que l’animal ne peut expier les péchés de l’homme en raison de sa valeur bien inférieure. Mais il va de soi que cette haute valeur de l’homme estimée par Jésus-Christ ne concerne que celle qu’il donne à la vie de ses élus rachetés fidèles et aimants. Ce qui confirme la distinction que Dieu fait entre les « vases d’honneurs » et les « vases » des usages dits « vils » comme il l’a été rappelé dans le message précédent.
Ceci dit, Dieu ayant donné à tous le libre choix et la liberté d’action, comment expliquer qu’il parvient cependant à faire accomplir son propre programme fixé pour tous les êtres humains et les anges célestes ? La réponse est simple et courte : il manipule toute sa création tout en restant constamment invisible. J’ai bien expliqué que Dieu a donné à tous la liberté du choix mais en dépit de ce choix, il reste le Maître de la vie de tout ce qui vit et organise pour chacun des œuvres conformes aux choix fait par ses créatures. Les bonnes œuvres sont préparées pour les bons serviteurs, ses esclaves dociles et soumis. Les méchantes œuvres sont aussi préparées par Dieu qui délègue au diable, son ennemi, la domination et la mise en œuvre de ces méchantes œuvres. Peut-on imaginer que l’araignée ignore qu’un insecte s’est posé sur sa toile ? Non bien sûr, et il en est de même de l’Esprit de Dieu, l’auteur et le créateur de la vie, en laquelle nous sommes tous enfermés et dépendants.
Le passé
La manipulation est au cœur de l’histoire de la vie humaine sur la terre. La première fut l’œuvre de Satan qui, à travers le serpent, séduisit et trompa l’inconsciente Eve. La seconde manipulation due au diable, cette fois mentale, conduisit Caïn à tuer par jalousie son frère Abel. Ensuite il est vain d’en décompter le nombre, car les manipulations mentales réalisées par le diable et ses démons sont derrière toutes les méchantes et cruelles actions humaines. En raison de son orgueil naturel, l’être humain résiste et refuse l’idée de n’être qu’une faible créature livrée à des influences célestes invisibles, mais son refus et son opposition n’empêchent nullement Dieu de faire accomplir son programme ; ceci, parce que ce programme incluait son refus et sa résistance. Il faut s’approcher tout près de Dieu, pour comprendre, la défaite inéluctable de ses ennemis et ce verset d’Apo.6:2 devrait à lui seul t’en convaincre : « Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre. » Hélas, cette victoire ne sera confirmée officiellement qu’au retour en gloire de Jésus-Christ attendu pour le printemps 2030. Et jusque-là, des humains vont croire et attendre, d’autres vont douter, et d’autres vont vivre sans espérances les derniers jours de leur vie. Cependant, 2030 c’est demain, et c’est pourquoi, le Dieu de la lumière a voulu donner à ses fils fidèles toute la bonne compréhension de son « Apocalypse », sa sainte et vitale Révélation. Car c’est aujourd’hui qu’il faut en saisir tout le sens et les explications. Entrés dans le ciel, les élus n’auront plus besoin de sa lumière car cette Révélation a été préparée par Dieu en Jésus-Christ pour permettre aux derniers de ses vrais élus d’être nourris et fortifiés spirituellement en vue de la dernière épreuve de foi qui va soumettre à un test universel toutes les créatures restées vivantes après le déluge de feu, partiel, que va constituer, la destruction nucléaire de la Troisième Guerre Mondiale.
La situation de l’humanité actuelle s’explique donc de la manière suivante. Avant la création de la terre, le monde des anges s’est séparé en deux camps et le diable que Dieu nomme Satan est à la tête des anges rebellés. A la victoire de Jésus-Christ, sur le péché et la mort, le diable et ses anges ont été condamnés à mort bénéficiant d’un sursis de 3000 années de vie pour le chef, et de 2000 ans pour les démons ses adeptes. Comme l’enseigne Apo.12:12, la colère des condamnés angéliques va se porter et se décupler contre les habitants de la terre, où Dieu les contraint à survivre jusqu’au temps de leur première destruction : «C'est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. » Satan va vivre en conscience « mille ans » sur la terre, privée de toute autre forme de vie selon Apo.20:2-3 : « Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans. Il le jeta dans l'abîme, ferma et scella l'entrée au-dessus de lui, afin qu'il ne séduisît plus les nations, jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. Après cela, il faut qu'il soit délié pour un peu de temps. (le temps du jugement dernier) »
Dans Apo.12:12, le texte précise «… Malheur à la terre et à la mer !... » Ces deux termes « terre et mer » concernent les deux éléments essentiels de la vie sur la sphère terrestre. Dieu prophétise ainsi que ces deux éléments vont subir de graves dommages à cause des inspirations dues au diable et ses démons qui vont favoriser à terme, l’évolution de la science et de la technique qui vont polluer la terre et l’atmosphère, mais également la mer qui recueille partout les déchets toxiques rejetés et produits par l’humanité moderne. Les explosions nucléaires d’essais (2100 depuis 1945) et de combats rendront à terme la terre invivable sur son sol et dans ses eaux. Cependant, ces deux mots « terre et mer », éléments essentiels de la vie terrestre, sont aussi utilisés par Dieu dans un sens spirituel pour symboliser, par « la terre », la religion chrétienne protestante, et par « la mer », la religion faussement chrétienne catholique romaine. Par ce choix, Dieu nous dit que sur toute la terre, seule la religion revendiquée au nom de Jésus-Christ l’intéresse. Il place la terre et tous ses habitants sous son offre unique et exclusive du salut basé sur la mort expiatoire de Jésus-Christ, son œuvre personnelle divine et humaine. Bien que créée en première, dans ce message, Dieu place « la mer » après « la terre ». Par ce choix, Dieu dit qu’il tient la foi protestante rebelle des derniers jours pour plus coupable que la religion catholique restée longtemps l’ennemie de la sainte Bible dont elle interdisait la lecture à ses adeptes. A l’opposé, la foi protestante s’est construite sur le crédo dans l’unique parole écrite de Dieu. Elle ne peut donc pas se prévaloir d’une ignorance des vérités qu’elle contient, et à juste titre, Dieu peut la tenir pour plus coupable que la fausse foi catholique.
Parce que ces deux religions chrétiennes se revendiquent de Jésus-Christ, le diable et ses démons vont s’acharner contre elles d’une manière particulière, car si les incroyants ignorent ce que représente pour Dieu le mot vérité, les démons et le diable, eux, ne l’ignorent pas. Et tout leur combat consiste à l’attaquer, la détruire, et la faire mépriser et transgresser par leurs victimes humaines.
A ce niveau de la réflexion, il faut réaliser comment fonctionne l’être humain. Nous savons qu’il est, en général, de nature orgueilleuse et cet orgueil habite le pauvre autant que le riche. Souvent, une fois enrichi, le pauvre se comporte encore plus mal que certains riches. L’orgueil constitue donc le premier obstacle placé devant la vraie foi. Je profite du moment pour rappeler que la foi devrait exprimer uniquement la confiance placée en Dieu et dans ses saintes Ecritures bibliques. L’usage du mot foi pour des sujets profanes est illégitime, mais hélas, aujourd’hui, généralisé. Dans l’usage profane, croire avec confiance s’exprime par le mot conviction. Chez l’homme, comme chez Satan avant lui, l’orgueil rend impossible la relation avec Dieu, comme ce verset de Jac.4:6 l’enseigne : « Il accorde, au contraire, une grâce plus excellente ; c'est pourquoi l'Écriture dit : Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles. » C’est donc par orgueil, que des multitudes d’êtres humains passent à côté du salut parce qu’ils refusent de remettre en cause l’engagement religieux qu’ils ont déjà fait, ou qu’on a déjà fait pour eux, illégitimement. On les entend dire : « Je suis né X et je mourrai X ». Ce à quoi Dieu répond : « Qu’il te soit fait selon ta foi et tu mourras effectivement X, mais tu ne vivras pas dans mon éternité ». Et ce dicton populaire français confirme ce jugement divin, en disant : « il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ».
Le deuxième obstacle, qui s’oppose à la vraie foi, c’est l’indolence accompagné de désintérêt. Si les riches se laissent captiver par leur activité professionnelle qui les passionne et les comble de plaisir et de richesse, il n’en est pas de même des pauvres chez lesquelles l’indolence et le désintérêt prennent la forme du vide abyssal d’une vie recroquevillée sur elle-même, satisfaite par le ronron quotidien des taches journalières nécessaires. Parler des promesses de Dieu à ce type de personne a autant d’effet que faire résonner une cymbale ou un tambourin. Pour autant, en dépit de ces normes générales, le cas exceptionnel d’une remise en cause reste possible pour les riches et les pauvres. Et c’est sur cette vérité que repose la justification de l’espérance qui ne peut être déclarée vaine qu’à l’heure de la mort de celui qui espère ainsi faussement. Car en vérité, personne sur la terre ne peut dire ce que va être le dernier choix de son prochain, ni moi, ni un autre être humain. Dieu seul le sait et il en garde le secret.
La faiblesse de l’être humain repose aussi sur une conséquence de son orgueil : il est très sensible et soucieux de l’opinion que ses proches ont de lui. Et le poids de ce critère sur son existence est énorme. Pour essayer de se conformer au modèle approuvé, il en vient à dissimuler sa vraie nature, et tombe dans le comportement de l’hypocrisie. Il paie ainsi la conséquence de ne pas placer, en premier, sa confiance sur le Dieu qui le voit tel qu’il est, et qui n’ignore aucune des faiblesses qu’il s’efforce de cacher à ses proches humains.
Sur la terre, Jésus a parlé à Israël, leur présentant, en même temps, l’amour de Dieu démontré en œuvres, de guérisons des malades et des miracles qui délivraient des aveugles et des infirmes de leur malédiction. Et après ces choses, il savait aussi leur rappeler que les rebelles finiraient dans le feu de la géhenne. La foi apostolique sut se développer sur ce parfait équilibre de ces deux sujets opposés. Mais, en 313, sous l’influence de Rome, jusque là impériale et persécutrice des Chrétiens entre 303 et 313, la religion chrétienne s’est mise à utiliser principalement la menace de la mort et des tourments éternels pour s’assujettir les peuples de l’empire romain. Le passage de Pierre, crucifié à Rome vers 65, fut exploité par la curie romaine. Et de ce fait, l’évêque de Rome devint prépondérant dans la représentation chrétienne. Je rappelle qu’un évêque n’est rien de plus qu’un enseignant religieux comme le fut Timothée selon Paul. Or l’enseignant peut donner de bons ou de mauvais enseignements. Et la paix religieuse ayant favorisé de nombreuses fausses conversions, la qualité de l’enseignement romain n’était plus au rendez-vous. Il nous faut bien comprendre l’importance du changement apporté à cet enseignement basé essentiellement sur la peur de la mort éternelle. Pour échapper à cette malédiction, des multitudes de gens embrassaient la foi chrétienne et se croyaient ainsi protégées. Pour comprendre cette nouvelle conviction de masse, il nous faut tenir compte de l’inspiration diabolique des masses humaines. Dans l’invisibilité totale, ils placent des idées dans les pensées des humains inconscients et incapables d’imaginer qu’ils sont victimes d’une manipulation mentale démoniaque. La réussite est donc pour eux très facile. Et lorsqu’en 321, en inspirant Constantin à changer le jour du repos, Dieu fait accomplir par ces anges démoniaques, son projet d’enlever ce signe de sainteté à un christianisme occidental devenu indigne de lui, il retire à l’église du mensonge le sceau de sa sainteté et le fait remplacer par la marque honteuse de la flétrissure qui caractérise les traîtres de sa sainte alliance. Et cette marque de la honte est « le dimanche » adopté originellement le 7 Mars 321 sous son nom païen originel, « le jour du Soleil invaincu ». Et pourtant, par la victoire de Jésus-Christ le 3 Avril 30, ce Soleil invaincu était devenu un mort en sursis. Cependant comme aux anges démoniaques, un sursis de vie lui a été donné jusqu’au retour de Jésus-Christ. Ce jour maudit du « Soleil invaincu » sera même le mobile, le sujet, du dernier test de foi terrestre. Il était impossible pour les multitudes de croyants engagés dans le christianisme de lire la sainte Bible dont seules quelques copies de livres séparés parvenaient entre les mains d’hommes érudits, capable de lire et de l’étudier. Et déjà cette rareté privilégiait les gens riches et fortunés. C’est pourquoi, le christianisme est tombé sous la direction de familles nobles et très riches. De là, sont sortis les dirigeants de la religion catholique romaine qui avaient le souci de ne pas déplaire à l’empereur du moment. Dieu a formé l’homme à son image et Rome a formé une église de Dieu à sa propre image. La religion catholique romaine a repris les aspects de la religion de ses pères païens. Sauf que le nom des grands personnages de la Bible sont venus remplacer les noms des anciennes divinités païennes. Et pourtant encore de nos jours, inconsciemment, les jours de notre semaine rendent gloire aux principales divinités astrales romaines de cette lointaine époque. Mais qu’importe, puisque l’incroyance tout court a remplacé, aujourd’hui, la croyance païenne d’antan. Au nom de la liberté qu’il lui a donné, l’être humain peut agir comme il le veut et il ne s’en prive pas. Là encore, qu’importe, l’offre du salut ne concerne que ceux qui recherchent l’amour et l’approbation de Dieu en Jésus-Christ et en vérité.
Entre 321 et 533, l’église déjà meurtrie par des punitions divines meurtrières, s’est néanmoins prolongée sous une tutelle romaine favorisée par sa nature impériale. Mais l’empereur Constantin et ses successeurs ont abandonné Rome pour venir vivre dans l’Est de l’Europe occidentale. En 533, Théodora l’épouse de Justinien 1er, ancienne danseuse « prostituée », obtient de son époux pour un ami très proche nommé Vigile, le titre de Chef terrestre de l’église chrétienne universelle. En bon romain, il adopte le titre de l’ancien chef païen romain, « PONTIFEX MAXIMVS » que le français traduit par « Souverain Pontife ». L’image de l’ancienne religion romaine païenne se renforce donc et se confirme. Mais en 533, Rome se trouve occupée par le peuple des Ostrogoths et Vigile doit attendre 538, pour que, la ville étant libérée par le général romain Bélisaire, il puisse prendre place au Palais du Latran sur son siège papal ; car ce nom « pape » désigne un père spirituel supérieur chef des « papas », les pères de l’église catholique romaine. Et je rappelle que selon Jésus-Christ, cette appellation de « père » au sens spirituel, est interdite, selon Mat.23:9 : « Et n'appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux ». Ainsi, le premier chef terrestre de l’église catholique ne fut pas Pierre qui ne vint à Rome que pour y être crucifié, mais un intrigant, ami de l’ex-danseuse « prostituée » à ses heures et ce détail vaut la peine d’être relevé, car c’est précisément sous l’image d’une « prostituée » que Dieu va désigner l’église papale romaine dans Apo.17:1 : « Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m'adressa la parole, en disant : Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. » Et pour nous permettre de l’identifier, l’Esprit dit à son sujet, au verset 5 : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. » En lui donnant le nom « Babylone la grande », nom d’une ville antique chaldéenne détruite qui n’existait plus, Dieu nous oblige à rechercher une ville existante qui présente ses caractéristiques. Le nom est donné à titre symbolique et déjà dans la Bible, ce verset de Pierre écrit depuis Rome, dans 1 Pierre 5:13, permet son identification à Rome : « L'Église des élus qui est à Babylone vous salue, ainsi que Marc, mon fils. »
Captivés par les démons qui détournent leur attention vers des préoccupations secondaires, les humains restent ignorants des vérités révélées uniquement dans la sainte Bible. Et ils n’éprouvent aucune difficulté à accepter les mensonges chrétiens qu’ils légitiment après avoir longtemps légitimé des religions païennes. Cette fois, le diable et ses démons favorisent l’essor du catholicisme. Ils le poussent et ne le retiennent pas. En conséquence, la religion catholique romaine s’impose et s’assujettit tous les peuples occidentaux. Le pouvoir et le prestige du chef papal romain ne fait que croître dans le temps jusqu’à son hégémonie totale en Europe. Soumis à une grande ignorance, les gens n’entendent que les paroles des dirigeants catholiques qui les menacent de leur fermer l’accès au ciel. Et mieux, ils prétendent avoir le pouvoir de les faire condamner à des tourments éternel subis dans le feu de l’enfer. Et là, entre la Bible et le paganisme, ils évoquent l’existence d’un lieu que les Grecs situaient sous la terre, où les déchus condamnés par le pape et ses serviteurs doivent souffrir continuellement dans un feu qui les brûle sans les consumer. Cette terrible menace était efficace pour la majorité des créatures humaines qui redoutait à juste raison ce sort terrifiant. Le message du véritable Evangile de Jésus-Christ était ignoré de tous, et même des prêtres qui s’en remettaient à leurs supérieurs de la hiérarchie catholique. Ce qui avait été ainsi construit par Rome et ses papes n’avait plus rien à voir avec l’idéal religieux proposé par Dieu en Jésus-Christ. Le droit au libre choix avait été enlevé et l’autoritarisme religieux reposait uniquement sur des menaces. Dieu ne pouvait en aucune manière reconnaître cette sanglante organisation du crime comme étant sienne. C’est pourquoi dans toute sa Révélation prophétique, il ne s’adresse jamais à elle directement et parle d’elle à la troisième personne, pour bien marquer l’abîme qui le sépare d’elle. Par décision des papes, des cardinaux et des évêques, on fait torturer à mort les résistants et opposants de tous les types avec le soutien des monarques tremblants de peur devant les menaces de l’enfer. On torture, on brûle, on décapite, on écartèle les corps des suppliciés, ce qui conduit Dieu à comparer cette religion catholique romaine à une « bête qui monte de la mer » ; comprends, une « bête » persécutrice qui apparaît en premier au cours de l’ère chrétienne. Elle sort de « la mer » image des multitudes humaines vivantes et dispersées sur la terre européenne.
Enfin, en 1170, un lyonnais nommé Pierre Vaudés dit « Valdo », né en 1140, fils d’un riche artisan, traduit la Bible entière en langue provençale. Il découvre toute la vérité divine et se met à enseigner et à pratiquer une religion conforme à la norme apostolique originelle. Tout y est, respect du sabbat, respect des règles sanitaires, dans la foi au salut basé sur Jésus-Christ. Son groupe trouve refuge dans le Piémont italien où ils porteront le nom de « Vaudois ». Abominablement persécuté par Rome et ses soutiens royaux européens, le groupe se cache dans les montagnes, certains meurent d’autres subsistent et Pierre Valdo mourra lui, de mort naturelle en 1217. Après lui, les Vaudois vont abandonner la fidélité du sabbat et perdre la bénédiction de Dieu.
Vers 1500, l’impression des pages bibliques favorise la diffusion de la Bible traduite en langues dites vulgaires, les copies des originaux étant en latin, écrites à la main par les moines. En 1517, réagissant parce que scandalisé par la vente des « indulgences », le moine allemand Martin Luther, enseignant à Wittemberg condamne cet odieux péché. Dans le même temps, il réalise que l’organisation catholique entière est diabolique du sommet à la base. Il rend publique ses accusations en les affichant sur la porte de la cathédrale d’Augsbourg, et devient par ce fait, le fondateur officiel de la foi réformée nommée « protestante ». Comme Pierre Valdo, il mourra de mort naturelle béni et protégé par Dieu. Mais, dans le même temps, beaucoup ne partagent pas cet heureux sort et meurent dans la torture et les supplices ou liés par des chaînes dans les galères du roi de l’heure. La manipulation mentale activée par les démons angéliques rencontre un obstacle avec la publication de la sainte Bible. Grâce à son existence, celle des élus de Dieu est transformée. Ils découvrent le salut réel et partiellement ses conditions. Mais prêts à mourir pour la vérité comprise, Dieu se satisfait provisoirement. Car son plan prévoit une autre phase de sélection d’élus par lesquels il fera restaurer toute la vérité apostolique déjà comprise et reçu par Pierre Valdo en 1170. Cette acceptation provisoire, par Dieu, de l’imperfection doctrinale protestante, apparaît, subtilement, dans ce qu’implique la formule citée dans Apo.2:24-25 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne » Dans ce dernier verset, l’emploi de l’adverbe « seulement » confirme l’idée d’une approbation exceptionnelle, car ses élus savent, eux, que Dieu ne peut qu’exiger une réforme complète et parfaite. Celle-ci sera donc exigée par Dieu plus tard sous les trois dernières époques symbolisées dans l’ordre biblique chronologique par les noms « Sardes, Philadelphie et Laodicée » présentés dans Apo.3. A la lumière de ce verset, nous pouvons comprendre que Dieu accepte, provisoirement, une doctrine imparfaite de la part de ses élus protestants entre 1170 et 1843-1844 dates charnières où son exigence devait être la perfection apostolique. Mais, plus important pour lui, ses élus devaient témoigner du bonheur que suscitait l’annonce de son retour glorieux qui n’était pas le sujet de la préoccupation des martyres protestants des 16ème, 17ème, et 18ème siècles. Les nouveaux « fardeaux » exigés par Dieu de la part des élus qu’il veut sauver sont nombreux. La foi protestante a seulement restauré le principe du salut par la foi et l’autorité doctrinale divine donnée à la seule sainte Bible ; si précieuse pour échapper et résister aux mensonges de la manipulation diabolique. Les règles sanitaires « du pur et de l’impur » devaient être restaurées parce que la mort expiatoire de Jésus-Christ n’a pas changé la nature humaine. Mieux, sa mort et ses souffrances exigent des élus encore plus de sainteté qu’avant elle. Et le retour de la pratique du sabbat est la chose la plus logique qui soit. Le quatrième commandement du décalogue divin ne peut qu’être obéi par les saints élus qui l’aiment et l’apprécient, puisqu’en ce jour, Dieu les bénit particulièrement, en leur permettant de le rencontrer en esprit, dans le confort mental et moral d’un vrai repos physique et spirituel. De plus, pour favoriser l’étude et la diffusion de toute sa vérité restaurée, Dieu a imposé sa paix religieuse sur les terres de l’Occident. Les conditions idéales ont donc été organisées par Dieu pour permettre à ses vrais élus d’échapper aux mensonges religieux inspirés par les manipulateurs du camp du diable.
Mais ce temps de paix a confirmé une idée tragique et terrible : rares sont les élus de Dieu en Jésus-Christ. La chose est déconcertante et bien difficile à accepter par des multitudes de gens trompés, auxquels leurs enseignants religieux ont promis le ciel et son éternité au prix d’une étiquette représentée par la cérémonie du baptême. Et en baptisant des enfants incapables de signaler leur engagement mental et moral, le baptême lui-même a été rendu totalement vain. C’est uniquement dans la sainte Bible que Dieu nous révèle son avis sur ce que doivent être ses élus qu’il sauve. Dans Ezéchiel 14, il nous présente trois modèles d’hommes qui se sont distingués des autres par leur fidélité exemplaire : Noé, Daniel, et Job. Mesures-tu l’immensité de la tromperie effectuée par les manipulateurs faussement religieux ? L’emblème de la croix a été utilisé pour faire croire à tous que les morts s’endorment dans l’idée qu’ils rejoignent au ciel Jésus-Christ dans son paradis. Mensonge ! A son retour, les croix des cimetières seront toutes renversées et seul le petit troupeau de ses vrais élus entrera dans sa divine présence céleste.
Le présent
La malédiction de Dieu frappe aujourd’hui tous les habitants de la terre pour diverses raisons, mais pour la raison principale du mépris manifesté pour sa vérité biblique. La mauvaise foi des gens devient évidente quand on sait les écouter correctement avec l’intelligence que Dieu peut seul donner. Dans notre actualité, les médias évoquent et palabrent sur les deux conflits qui inquiètent de plus en plus les observateurs. Et je peux ici dénoncer les effets de la manipulation des masses humaines qui écoutent parler ou regardent agir les témoins médiatiques. Je te propose cet exemple. Concernant le sujet des échanges des otages contre des prisonniers palestiniens, le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou s’est exprimé disant : « Israël ira jusqu’au bout de son programme qui consiste à éliminer le Hamas et délivrer ses otages ». Curieusement, reprenant ses propos, sur les plateaux j’entendais de la bouche de tous ceux qui s’exprimaient, l’ordre inversé : délivrer les otages et éliminer le Hamas. Cette inversion des priorités est très parlante. Elle révèle la mauvaise foi des témoins des médias qui expriment ce qu’ils souhaitent et non la réalité que la situation impose et présente. Peut-on faire confiance aux gens qui préfèrent favoriser leur espérance plutôt que d’affronter la désagréable réalité ? Censés faire de l’information, ils ne font que manipuler des masses d’auditeurs et spectateurs. Et comme l’a dit, en parfaite connaissance, Jésus-Christ, dans Mat.15:14 : « Laissez-les : ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles ; si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse ». Dans le cas évoqué, « la fosse » sera celle où finissent les morts, dans les cas les plus favorables.
Entre 1945 et le 24 Février 2022, 77 années de paix ont été utilisées pour manipuler les Occidentaux. Et dans ce monde dit « libre », le rôle des médias a été fondamental. Brisant la solitude existant jusqu’à son invention, en premier, la radio a captivé l’attention des multitudes de gens dispersés dans les villes et les campagnes. Le phénomène s’est encore amplifié avec le transistor qui permet le déplacement de la source radio. Rares sont les gens qui échappent depuis ces inventions au besoin de cette compagnie virtuelle. C’est la radio et sa publicité qui ont labouré les cerveaux humains et en ont fait des consommateurs jamais rassasiés. Et ces premiers médias sont à l’origine du jeunisme américain, car ce pays, siège mondial du capitalisme, a compris très tôt que les jeunes étaient plus consommateurs que leurs parents. Remplacée par la télévision, la radio a conservé son intérêt, mais par l’image, la manipulation des masses est devenue encore plus efficace. J’ai relevé, comment, pour favoriser l’acceptation du mélange culturel et racial, les scénarii des publicités mettent en scène des couples mixtes, blancs avec noirs, asiatiques, ou maghrébins. Pour le lecteur de la Bible que je suis, je retrouve à la télévision la société multiethnique que Dieu a condamnée à « Babel », et les malheurs qui s’enchaînent et frappent cette société occidentale, particulièrement ciblée par Dieu dans sa révélation prophétique, ne m’apparaissent que comme une réaction logique de sa part. Car, l’expérience de « Babel » a été écrite dans la Bible pour inviter l’humanité à ne pas la renouveler. Le mépris pour cet avertissement est donc logiquement puni par Dieu avec force et grande colère.
La manipulation est omniprésente dans la guerre qu’Israël mène contre le Hamas caché dans Gaza. Ainsi, après avoir soutenu publiquement et fermement la résolution d’Israël de détruire le Hamas, les Américains et les Français font pression sur Israël pour limiter la destruction de Gaza. Au nom d’un équilibre souhaité, ils tentent de retenir le bras vengeur d’Israël. Et ce changement d’attitude est justifié par le risque d’un embrasement populaire dans ces deux pays composés de mélanges ethniques multiples. Ce dont ils étaient si fiers pendant les années de paix se transforme aujourd’hui en authentique cause de malédiction pour les deux nations modèles et guides des autres peuples européens. La leçon de Babel aurait dû éviter les drames devenus aujourd’hui inévitables, car le mal est fait. Et si ce drame est inévitable, c’est parce que Dieu lui-même agit et manipule les esprits humains, pour que l’étranger devienne insupportable. C’est alors qu’il faut le réaliser, la manipulation divine a commencé avec la colonisation du tiers-monde. A l’origine, les Américains ont détruit Alger pour mettre fin aux actions des pirates de cette ville. Derrière eux, les Français ont voulu s’installer sur le sol algérien. Après des luttes inégales très meurtrières, la France a fini par s’imposer jusqu’à son expulsion par le FLN algérien en 1962. L’accueil des Harkis favorables à la France est à l’origine du développement d’une population musulmane en France. Mais le régime « musclé » du général de Gaulle ne fut pas faible et sut imposer aux étrangers le respect de l’ordre français. Ensuite, le programme d’une Europe Unie, à l’image des USA, retira à la France, son indépendance et son autorité. Rendue totalement dépendante du gouvernement européen, elle se retrouve aujourd’hui ruinée et sans son industrie sacrifiée sur l’autel du profit obtenu par l’investissement d’actions placées sur la production chinoise ou asiatique. La manipulation américaine de l’Europe a été constante. Et le rôle de son cinéma et de ses grandes réalisations prestigieuses sorties d’Hollywood ont fait des USA le modèle envié et imité. Ceci nous conduit à notre temps actuel, en lequel son influence mondiale dominatrice est remise en cause par d’anciens et nouveaux grands pays regroupés sous le sigle des BRICS. Au sein même de l’Europe des 27 pays membres actuels, la manipulation est également constante et déterminante. La peur de ce que l’autre pense de soi est la cause d’engagements hypocrites qui ne tiennent pas dans le temps. Plus le risque de l’engagement guerrier se dessine, plus nombreux seront ceux qui remettront l’alliance actuelle en cause. Et la grande responsabilité des drames qui vont surgir et s’accomplir reposera sur le gouvernement européen qui a encouragé et favorisé à outrance les mélanges raciaux. Dans sa sagesse et sa toute puissance, le grand Dieu créateur invisible a fait construire par ses ennemis, les conditions de leur future destruction. Mais la manipulation ne cessera pas pour autant, avant le retour en gloire de Jésus-Christ.
En attendant cet heureux avènement, pour ses seuls élus, le Dieu créateur et inspirateur soumet Israël à la pression exercée par le sentimentalisme des peuples occidentaux. 77 années de paix ont limé leurs dents et leurs crocs, et les ont transformés en « agneaux » humanistes, cependant, destructeurs. La guerre qui va les atteindre va transformer ces « agneaux » en bêtes féroces ; ils redécouvriront alors la nécessité de tuer l’ennemi, subissant déjà des morts, à cause de la présence de cet ennemi sur le sol de leur pays.
Actuellement, de crainte de passer pour des monstres, les dirigeants d’Israël se trouvent contraints à accepter les propositions du Hamas concernant les échanges d’otages, « brebis craintives » rendues en échanges de prisonniers du type « loups égorgeurs », du moins, en devenir, pour les plus jeunes d’entre eux. Ils sont encore victimes de leur ignorance du programme de Dieu qui prévoit l’extermination de toute l’humanité au printemps 2030. Et tous les amis occidentaux d’Israël qui influencent sa décision, par sensiblerie humaniste, prêtent le flanc à leurs ennemis rusés de l’islam conquérant et ambitieux. C’est ainsi que Dieu livre, à leur tour, les populations occidentales à leurs ennemis ; chose qui a concerné Israël plusieurs fois déjà au cours de son histoire, depuis sa sortie d’Egypte, chaque fois que Dieu, son créateur et « Père », a voulu donner au reste du monde le signe et la preuve visible de la malédiction de son « fils premier-né ». Hélas, à cause de son mépris pour sa Révélation biblique, l’humanité entière n’entend pas, n’identifie pas, et ne comprend pas, ses divins avertissements.
Or, c’est uniquement dans la sainte Bible que Dieu montre le responsable de tous nos malheurs humains, depuis Eve et Adam : le diable, Satan, le chef céleste des esprits démoniaques manipulateurs. Et selon l’apôtre Jacques, la victoire de la foi consiste simplement à lui « résister », selon Jac.4:7 : «Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous. » « Résistez » tout est là, dans ce verbe que Marie Durand, protestante prisonnière de la foi pendant 40 années au 18ème siècle, dans la tour de Constance à Aigues-Mortes, avait gravé dans le sol de sa prison, dans une pièce ouverte à tous vents située au sommet de la tour. Mais attention ! L’ordre « résistez » est précédé d’une condition qui rend cette résistance possible : « soumettez-vous à Dieu ». Le paradoxe est que dans sa désobéissance, l’islam signifie : soumission. En sorte que les faux chrétiens et les vrais musulmans sont tous deux rendus incapables de « résister au diable » et à ses ruses mensongères religieuses.
Le plus incroyable dans le conflit, qui engage Israël, est ce rôle du Qatar qui tire parti pour sa gloire d’une situation qu’il a contribué à créer. Les Occidentaux sont contraints de « s’appuyer sur lui », pour obtenir la libération des otages du Hamas dont les chefs résident sur son territoire, dans des habitations luxueuses, loin des explosions et de la mort. Et cette situation me rappelle que Dieu a comparé l’Egypte à « un roseau cassé qui perce la main de celui qui s’appuie sur lui », dans Esaïe 36:6 : « Voici, tu l'as placée dans l'Égypte, tu as pris pour soutien ce roseau cassé, qui pénètre et perce la main de quiconque s'appuie dessus : tel est Pharaon, roi d'Égypte, pour tous ceux qui se confient en lui. » Le « pharaon » de notre temps se nomme islam, et tous les pays musulmans, aussi pacifiques qu’ils apparaissent, ne sont que les bras tentaculaires d’une pieuvre redoutable, sanguinaire depuis ses origines, dont la haine envers l’Occident fut éveillée par les Croisades chrétiennes et après elles, par les colonisations européennes, tout autant injustifiées.
Jésus a dit des hommes dans Mat.7:11 : « Si donc, méchants comme vous l'êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent. » il est vrai que l’être humain est méchant, envers Dieu et envers son prochain. Cependant, même lorsqu’il se livre à des actions horribles, il reste un être humain capable de tout pour protéger sa famille, son père, sa mère, ses frères, ses sœurs, sa femme et ses enfants. C’est pourquoi, en dépit de l’horreur, que le massacre des Juifs du 7 Octobre 2023 peut nous inspirer, nous devons tenir compte des énormes différences qui caractérisent le camp occidental et le camp arabe musulman. L’Occident s’est imposé le respect de règles que les populations du tiers-monde ne se sont jamais imposées. Pour eux, la fin mérite tous les moyens, sans exception et sans scrupules religieux ou autres. Prêts à toute outrance, ils ne s’imposent aucune limite lorsque leur colère s’exprime en actions terrifiantes. Les mots sont incapables de les apaiser et les esprits célestes encouragent leurs excès. Ces différences d’expériences rendent impossible tout dialogue entre les deux camps rivaux.
Je ne suis pas un monstre, mais un serviteur de Jésus-Christ, et ma connaissance de son projet révélé qui consiste à détruire entièrement la vie sur la terre au printemps 2030, me porte à relativiser l’importance de la libération des otages israéliens.
Au bout d’une semaine d’échange de 80 otages Israéliens contre 240 détenus palestiniens, le processus a pris fin en ce vendredi 1er Décembre 2023. Les bombardements Israéliens sur Gaza et les envois des roquettes sur les Kibboutz israéliens reprennent. Une trompeuse espérance de paix prend également fin. La situation insoluble de ce conflit est incomprise par l’Occident incroyant et le tiers- monde sous-développé. Les uns et les autres ne comprennent donc pas ce qui compose un être humain. Les Occidentaux pensent à tort que c’est l’enseignement qui forme l’homme. Quelle erreur ! L’homme est le produit d’un mélange de plusieurs paramètres qui sont : l’hérédité, la personnalité, et l’inspiration divine ou démoniaque. Ces trois critères justifient l’échec de l’assimilation des immigrés d’origines musulmanes intégristes. C’est à l’hérédité que nous devons le comportement belliqueux de la quatrième génération des immigrés maghrébins. Et ce détail rappelle un principe divin appliqué trois fois déjà ; la première au sujet des Amoréens que, selon son échange avec Abraham, Dieu devait détruire à la « quatrième génération », parce que leur iniquité n’était pas encore à son comble. La seconde se trouve dans le troisième commandement du Décalogue divin : Exode 20:4-5 : « Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, YaHWéH, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, …». La punition est donc aujourd’hui pour l’Occident qui méprise les avertissements bibliques donnés par Dieu dans sa sainte Bible. Il doit découvrir que l’école et son enseignement laïc républicain ou autre ne suffit pas pour faire un Français, un Belge, un Anglais ou un Américain. En livrant l’humanité à l’inspiration démoniaque, Dieu dispose du moyen de faire échouer toutes les tentatives menées par ses ennemis pour faire gagner leur désir de paix. La troisième mention de la « quatrième génération » concerne le temps que Dieu donne au règne du roi d’Israël nommé Jéhu et ses descendants, selon 2 Rois 10:30 et 15:12.
Le système du régime démocratique a fonctionné pendant longtemps en Occident, permettant de trouver des accords de plusieurs pensées différentes, mais depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la démocratie gouverne principalement sur le mode bipolaire, opposant la droite et la gauche. Ces deux pensées représentent deux maîtres et Jésus-Christ a dit que nul ne peut servir deux maîtres. Ceci signifie que la démocratie ne doit sa réussite provisoire qu’à la main de Dieu. Or, en notre temps, cette main secourable a libéré les mauvais anges, aussi, la conséquence est l’impossibilité d’obtenir des accords. L’agression remplace la négociation ; la violence remplace la paix.
La manipulation mentale repose sur le mensonge depuis la première duperie de l’histoire humaine. Mais en notre temps de la fin, le mensonge est présent dans tous les domaines, religieux, politiques et économiques. Les médias se chargent de transmettre et faire partager à des multitudes de fausses vérités parties de rumeurs transformées et amplifiées. La technologie est plus que jamais responsable, puisqu’on sait construire, aujourd’hui, de fausses voix et de fausses images produites par la technique informatique électronique. Dans ce monde de fausseté, seule la Bible, en version originale, reste invariablement stable, vraie et digne de notre confiance. Que Dieu bénisse l’étude de sa parole divine écrite ! En Jésus-Christ soit, en vérité !
Index des thèmes traités
Prolongation des révélations divines reçues depuis le 07/03/2020
Les nouveaux messages inspirés continuellement par Dieu
Pages Numéros et titres des messages
2 Messages de l’auteur
3 M1- Quand Jésus-Christ se fâche
14 M2- La logique divine
22 M3- Les grandes visites
27 M4- Les paradoxes de l’âme humaine
33 M5- La première mort n’est qu’un sommeil
40 M6- Le malheur frappe Israël
60 M7- La séduction et l’agression du « roi du midi »
70 M8- Qui est qui ?
79 M9- Révélation : la troisième lecture
91 M10- La part des maudits
102 M11- Le libre choix
113 M12- L’Occident manipulé
Conseil aux lecteurs
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Moi, Samuel, serviteur inspiré de Jésus-Christ, je remercie et associe à l’élaboration de cette œuvre, mes compagnons, frères et sœurs en Christ qui, par leur aide précieuse et leurs talents individuels favorisent les corrections des fautes d’orthographe, de frappe, et d’erreurs de détails historiques, qui permettent de rendre ce divin enseignement digne du Dieu de vérité qui l’inspire. Ils ont ainsi apporté leur pierre à la construction de cet édifice spirituel. Qu’ils en soient tous éternellement bénis !