180


Samuel présente

Tome 3


La manne spirituelle des derniers marcheurs adventistes


en chemin vers la Canaan céleste.

Arrivée, le Mercredi 20 Mars 2030.



« Quel est donc le serviteur fidèle et prudent, que son maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ?

Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi !

Je vous le dis en vérité, il l'établira sur tous ses biens. »

Matthieu 24 : 45 à 47


Index des thèmes traités en fin d’ouvrage


La manne spirituelle des derniers marcheurs adventistes


Tome 3


Prolongation des révélations divines reçues depuis le 07/03/2020

Les nouveaux messages inspirés continuellement par Dieu


Messages de l’auteur


Selon qu’il est écrit dans Apo.2:26 : « A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations. », Jésus-Christ fait partager à son serviteur, son prophète, la connaissance de son jugement sur toutes choses, telles que les sujets, religieux, politiques et économiques. Car il fait accomplir ses projets en agissant dans tous ces domaines qui régissent l’humanité.

Parmi les œuvres de Jésus-Christ, se trouve l’inspiration constante de sa lumière, aussi importante pour la vie spirituelle de ses élus, que le fut la manne donnée chaque jour aux Hébreux rassemblés par Dieu au désert du Sinaï.

Ceux qui la cherchent trouveront dans les articles écrits dans cet ouvrage, la garantie d’une pensée divine authentique, qui m’engage en tant que témoin, et qui les responsabilise devant Dieu et son saint suprême jugement. Car le refus de sa lumière est cause d’une rupture de relation entre lui et sa créature.

L’inspiration révélée dans ces lignes n’est que l’accomplissement de la promesse faite par Jésus à ses serviteurs, dans Mat.28:18 à 20 où, pour soustraire ses interlocuteurs au doute, il est écrit : « Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi: Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde.»



Après avoir présenté dans « Explique moi Daniel et Apocalypse » l’étude détaillée, verset après verset, de ces prophéties divines, je présente dans cet ouvrage, selon l’inspiration divine du moment, des analyses de synthèse sur des thèmes traités dans ces prophéties, mais aussi sur l’actualité du moment. Ce regard englobant est riche et il favorise la maîtrise de la compréhension offerte par Dieu au nom de Jésus-Christ. Ces témoignages nouveaux ont pour lui autant de valeur que les premiers et pour ses élus, ils rendent clair et compréhensible ce qui était crypté et impénétrable.

J’ajoute que dans les temps difficiles que nous allons devoir traverser, la connaissance de ces articles fera toute la différence pour obtenir ou pas, du Christ, son indispensable aide et son soutien divin pour vaincre comme il a vaincu. Car ses élus sont invités à « garder ses œuvres jusqu’à la fin » du monde, dans « la patience et la persévérance » qui caractérisent les vrais « saints » de Dieu.




M1- Le réchauffement climatique

Ce sujet brûlant de notre actualité de ce début de l’année 2025, marqué par l’incendie aux USA de Los Angeles et avant lui, l’inondation de Valence en Espagne, va recevoir dans ce message une divine explication.

Il est écrit dans Luc 19:37 à 40 : « Et lorsque déjà il approchait de Jérusalem, vers la descente de la montagne des Oliviers, toute la multitude des disciples, saisie de joie, se mit à louer Dieu à haute voix pour tous les miracles qu'ils avaient vus. Quelques pharisiens, du milieu de la foule, dirent à Jésus : Maître, reprends tes disciples. Et il répondit : Je vous le dis, s'ils se taisent, les pierres crieront ! »

Les disciples de Jésus de ce moment étaient tous des Juifs israélites. Aussi, le premier sens que Jésus donne à ces « pierres » qui « crieront » désigne les païens qui allaient se convertir en bénéficiant de sa grâce, selon ces paroles dites par Jean le baptiseur, dans Matthieu 3:9 : « et ne prétendez pas dire en vous-mêmes : Nous avons Abraham pour père ! Car je vous déclare que de ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham. »

Ce message était hautement spirituel, mais un sens littéral peut également lui être donné, et ceci par le témoignage écrit sur les murs des tombeaux des pharaons égyptiens et d’autres vestiges antiques porteurs de messages qui éclairent l’antiquité la plus lointaine.

Je viens d’apprendre par un document télévisé que des recherches scientifiques conduite dans le tombeau d’un des premiers pharaons de l’histoire de l’Egypte ont révélé l’expérience d’un grand drame qui a pris la forme d’une famine au point que « les femmes se sont mises à manger leurs enfants ». Le témoignage des hiéroglyphes égyptiens s’arrête là. On trouve dans la sainte Bible un cas similaire concernant une famine imposée à Israël, selon Lamentations 2:20 : « Vois, YaHWéH, regarde qui tu as ainsi traité ! Fallait-il que des femmes dévorassent le fruit de leurs entrailles, les petits enfants objets de leur tendresse? Que sacrificateurs et prophètes fussent massacrés dans le sanctuaire du Seigneur ?» Ce temps de Jérémie est comparable au notre, les deux étant marqués par le châtiment final de la sainte alliance tombée dans l’apostasie. Les sujets du pharaon ont mis son corps dans son tombeau en compagnie des corps momifiés de tous ses fidèles soldats morts au combat, pour sa cause. Or, une première analyse au carbone 14 de ces corps a permis de situer leur mort vers 4200 avant notre temps actuel soit, 4200 BP (Before : avant ; Present : maintenant). Une guerre civile avait opposé les Egyptiens entre eux : Thèbes, au Sud, contre Héracléopolis, au Nord dans le delta du Nil. D’autre part, des examens de « carottes » prélevées dans le sol de l’Afrique tropicale ont tous révélé, par la présence d’oxyde de fer, un temps de sécheresse exceptionnelle dû à une succession de 20 années sans pluie. Le document télévisé présente ces carottes de terre conservées aux USA dans un laboratoire. Et effectivement on remarque sur l’extrême base de ce long carottage, une zone où la terre rouge contient des oxydes de fer. Ces prélèvements ont été effectués au Kilimandjaro, au Niger, et les autres pays de la zone tropicale africaine mais aussi dans un lac égyptien nommé Moéris, le prélèvement a été fait dans la vase du fond de ce lac. Et le carottage révèle également la particularité de ces 20 ans de sécheresse absolue et meurtrière située vers 4200 BP. Le lac était bien supérieur et grandement étendue avant cette sécheresse exceptionnelle.

Ces découvertes expliquent donc l’état désertique actuel de cette zone qui a été avant 4200 BP, une terre herbeuse riche en faunes et en flores. Et ceci explique la présence dans ces déserts de grandes pierres sur les faces desquelles on trouve gravées des scènes de chasse et des animaux qui vivent dans l’actuelle savane africaine, telles les gazelles, admirablement reproduites.

Il a donc suffit de 20 ans pour Dieu, pour que cette savane riche et luxurieuse se transforme en un désert aride stérile mortel. Et pour obtenir ce résultat, il lui a suffit de refuser la pluie du ciel que dans la savane actuelle, les animaux attendent chaque fin d’été, moment où ils sont menacés de mort par la sécheresse des étangs et des cours d’eaux. Pour les scientifiques, ces constats s’arrêtent là et pour moi, c’est là que tout commence. Car ils n’attribuent pas au Dieu créateur cette sécheresse, contrairement à moi. Et déjà, cette année, 4200 BP, représente l’an 1800 après le péché d’Adam et Eve. Or, le déluge d’eaux du temps de Noé est rattaché à l’année 1655 que je préfère à l’année 1656 du calcul mathématique pour une raison spirituelle : le nombre 1655 totalise le nombre 17, symbolique du jugement de Dieu. Je situe la naissance d’Abraham vers 1948. Or entre le temps du déluge et la naissance d’Abraham, la Bible révèle l’expérience de Babel. C’est alors que la découverte de ce temps de 20 ans de grande sécheresse prend intérêt comme ayant pu justifier le grand rassemblement humain à Babel. Car la Bible ne présente pas la cause de ce rassemblement ordonné par le roi Nimrod. Avant Nimrod et ses contemporains, les Akkadiens vivaient dans cette partie de la terre dirigés par le grand Gilgamesh. Et leur disparition trouve une explication dans ces 20 années de sécheresse mortelle. Les populations de la zone tropicale ont été décimées sur toute la terre. Cette seconde punition divine après celle du déluge donne une bonne raison aux survivants de chercher dans le regroupement, la possibilité de réduire les causes de leurs affrontements meurtriers. Car, quand la sécheresse s’intensifie, les cœurs humains sèchent également, et ils s’affrontent à mort pour des disputes d’eaux devenues à ce point précieuses et vitales.

Le témoignage des tombeaux égyptiens présente un autre intérêt ; les momies des soldats sont de taille normale actuelle. Or, les huit personnes embarquées dans l’arche avaient la taille antédiluvienne des géants. Leurs enfants allaient naître en taille réduite actuelle rapidement et s’étendre sur la terre. Cependant, Dieu fait une exception pour la terre de Canaan, où les Hébreux vont retrouver des géants qui la peuplent. Dieu a voulu donner ce témoignage, afin que ses « fils fidèles » croient à leur existence. En effet, nous lisons dans Genèse 6:4 : «Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu'elles leur eurent donné des enfants : ce sont ces héros qui furent fameux dans l'antiquité. » Dieu explique ces choses à Moïse dont la taille est semblable à la notre. Moïse a appris l’existence des géants qui ont épouvanté les espions hébreux envoyés sur le sol de Canaan. Ce sont les « Anakims », les fils d’Anak. Et la nature, elle-même, partageait la norme géante de sa population. Les Hébreux portent à deux, une seule « grappe de raisin » selon Nombres 13:23 : « Ils arrivèrent jusqu'à la vallée d'Eschcol, où ils coupèrent une branche de vigne avec une grappe de raisin, qu'ils portèrent à deux au moyen d'une perche ; ils prirent aussi des grenades et des figues. » Ainsi, dans son explication, Dieu dit à Moïse que la taille géante était la taille normale de tous les antédiluviens car « l’antiquité » citée dans ce verset concerne le temps antédiluvien. Mais la version de Louis Segond supprime injustement les termes « et aussi » qui donnent tout son sens à ce verset qui dit réellement : « Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, et aussi, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes… »  Ainsi, dans ce verset rectifié, Dieu dit à Moïse que l’apostasie obtenue par les alliances par mariage des deux lignées humaine de Caïn et de Seth n’ont pas eu d’incidence sur la taille géante des humains antédiluviens ; « les fils de Dieu » étant la lignée de Seth, et « les filles des hommes » désignant la lignée rebelle de Caïn. Et les noms des héros de ce temps antédiluvien ne nous sont pas révélés, ils ont disparus, noyés par les eaux du déluge. Seuls, Noé et sa famille avaient cette connaissance qu’ils n’ont pas fait partager aux postdiluviens. Elle était devenue inutile. Et les nouveaux héros furent les Akkadiens de Gilgamesh, puis Abraham le serviteur et prophète de Dieu. Les derniers géants de Canaan devaient être détruits par Dieu devant l’avancée de son peuple Israël. Et l’un des tous derniers du genre, nommé Goliath, était philistin et fut tué par la pierre lancée par la fronde du jeune David.

Géante, grande ou petite, la vie humaine ne dépend que du bon vouloir de Dieu qui donne vie ou mort selon sa justice et son jugement suprême.

La découverte de l’existence de ces 20 années de sécheresse absolue de la zone tropicale terrestre nous donne donc la cause de l’existence de son aspect désertique, aride et stérile. Il est évident qu’en 4200 BP (anglais : Before Present : avant maintenant), les hommes ne produisaient aucune pollution atmosphérique, et ils étaient soumis et dépendants des lois imposées par la nature. La cause du châtiment infligé était donc spirituelle et divine, car rapidement après le déluge, l’humanité nouvelle est redevenue rebelle et idolâtre. Ceci, à un tel niveau, que Dieu a encore été contraint de la frapper de mort localement et partiellement.

En agissant ainsi, Dieu a voulu laisser, par cet aspect de désert, le témoignage historique de son action punitive. Et ce témoignage nous permet de comprendre la cause du réchauffement climatique qui frappe la terre entière depuis quelques années en notre époque du temps de la fin. Que l’homme souille et pollue la création de Dieu n’est pas contestable et pas ignoré. Cependant, ces seules actions humaines sont incapables de provoquer un changement du climat universel. Des témoignages scientifiques confirment une intensification du rayonnement solaire, mais cette explication est écartée par les groupes « écologistes » qui préfèrent l’explication des pollutions humaines qu’ils combattent politiquement. Et ce choix est très compréhensible, car les humains incrédules sont incapables d’expliquer la cause de l’intensification du feu solaire. Ils se replient donc sur des causes provoquées par l’homme.

Là encore, c’est la foi au Dieu créateur qui fait toute la différence. Pour ses élus enseignés et instruits de sa connaissance, le voir réagir, n’a rien d’étonnant. Et pour ces élus, la chose est facilitée puisqu’ils constatent l’intensification du mal qui s’étend sur toute la terre, gagnant tous les esprits humains naturellement rebelles et contestataires. Nos rebelles contemporains vont disparaître en grand nombre, tués au cours de la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale qui vient. Mais, selon Apocalypse 16:8-9, Dieu réserve aux rebelles survivants, par le « quatrième » de ses « sept derniers fléaux », une chaleur solaire extrême : « Le quatrième versa sa coupe sur le soleil. Et il lui fut donné de brûler les hommes par le feu ; et les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a l'autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire. » La fin de ce verset impute au refus de « donner gloire » au Dieu créateur la cause de ce châtiment solaire. Elle éclaire donc en même temps, la cause du réchauffement climatique que nous constatons actuellement. C’est alors que nous trouvons dans Apocalypse 14:7 l’évocation de cette exigence divine rattachée aux deux dates 1843 et 1844 : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. » Ce verset exige le respect du quatrième des dix commandements qui concerne la pratique hebdomadaire du repos du septième jour sanctifié par Dieu dès la création du monde et de la dimension terrestre. Mais ce verset s’achève en citant « les sources d’eaux ». Dieu nous rappelle ainsi notre besoin vital de ces « sources d’eaux » qu’il fait tarir en premier en signe de sa malédiction. Et ces « sources d’eaux » sont littéralement et spirituellement vitales pour l’élu humain. Littéralement, parce que notre corps physique composé de 75 % d’eau ne peut pas survivre sans être réhydraté après trois jours, en moyenne généralisée ; et spirituellement, parce que la foi humaine nécessite d’être étanchée par la vérité biblique enseignée par Dieu dans sa sainte Bible uniquement. C’est elle qui sert de référence à tout ce qui reçoit le nom de « vérité ».

Les deux choses sont donc indissociables et nous enseignent que la disparition de l’eau est parallèle à la disparition de la vérité dans les esprits humains. Cependant, Dieu n’agit avec puissance et force sur cette privation d’eau que dans des moments choisis par lui pour adresser un message solennel, un avertissement salutaire, aux êtres humains rebelles et contestataires séduits et esclaves de leur liberté liberticide.

Dans cette liberté outrancière, les papes du catholicisme romain ont osé lutter contre la diffusion de la sainte Bible et se sont odieusement avec « arrogance » permis de modifier le texte de ses dix commandements écrits dans Exode 20. Ils ont religieusement légitimé l’abandon du vrai sabbat imposé par l’empereur Constantin en 321, et ont consacré au repos hebdomadaire à sa place, le premier jour dédié dans le paganisme romain au dieu solaire qu’ils nommaient « sol invictus » soit, le « soleil invaincu ». Tu peux ainsi mieux comprendre, pourquoi après la fin du temps de grâce, le « quatrième fléau » s’accomplit par la brûlure du soleil véritable créé par Dieu, qui cause ainsi de terribles souffrances à ses adorateurs païens et faussement chrétiens catholiques et protestants. Et le cas des protestants est encore plus indigne et plus coupable parce qu’ils ont accès, comme le clergé catholique actuel, à la sainte Bible et se réfèrent à elle pour justifier leur doctrine de foi. Dans la comparaison des deux cas, les membres adeptes du catholicisme romain apparaissent comme étant les victimes d’une ignorance biblique, ce qui n’est pas le cas des adeptes des religions protestantes que l’adventisme apostat a rejoint officiellement en 1995.

Sur la terre, les êtres humains sont conduits à apprécier fortement le soleil qui les éclaire, les réchauffe et fait pousser les graines et les plantes. L’appréciation est si forte, qu’exploitant la situation, le diable leur inspire l’idée de le diviniser. Et c’est facile, parce qu’ils pensent qu’ils lui doivent tout, la vie, la croissance et la douce chaleur. Une analyse poussée de la création terrestre montre que Dieu a prévu ce type de situation et qu’il l’a rendu illégitime dès que le péché de désobéissance a été accompli par Adam et Eve.

La création terrestre enseigne des leçons spirituelles cachées de haute importance. Regardons ce soleil que Dieu a créé après la terre, au 4ème jour. La terre présente donc une valeur supérieure à celle du soleil. C’est une immense boule de feu dans lequel se renouvellent sans cesse des millions d’explosions nucléaires. A une distance calculée et choisie par Dieu, la terre tourne autour de lui, bénéficiant de ses rayons lumineux et chauds. Sans saison ni cycle de saisons, le temps s’écoule régulièrement en alternant 12 heures de jour et 12 heures de nuit. Pour obtenir ce résultat, la terre tourne sur elle-même sur un axe Nord-Sud vertical à 90°. Sous cette condition, la rotation autour du soleil ne change rien, mais tout change à cause du péché commis par Eve et Adam. Dieu donne à l’axe de la terre une inclinaison de 23°. Mais ce qu’il nous faut relever, c’est que cet axe reste continuellement orienté vers la même direction, indépendamment du soleil autour duquel elle tourne, et tourne en même temps sur elle-même sur son axe polaire. Cette condition créée par Dieu est inexplicable humainement. Car, Dieu nous donne l’impression que sa main ou son esprit céleste maintient la terre dans son orientation vers lui, en la rendant indépendante du soleil. Celui-ci prend du coup l’aspect d’un instrument utilisé par Dieu et non celui d’une divinité indépendante. Grâce à ce principe d’inclinaison et de maintien de son orientation vers la même direction au cours de son tour du soleil, Dieu a créé le principe des quatre saisons : le printemps, l’été, l’automne et l’hiver. Quand l’hémisphère Sud est le plus proche du soleil, c’est l’été et au même moment l’hémisphère Nord est en hiver. Six mois plus tard, le processus est inversé. Les deux saisons intermédiaires du printemps et de l’automne présentent le même rapport envers le soleil. C’est donc Dieu qui a établi selon sa volonté la saison du commencement du cycle saisonnier et qui a choisi de l’appeler : Printemps soit, premier temps. Ainsi, c’est l’établissement du péché qui provoque le renouveau du temps de la grâce divine.

Le rôle de l’humanité commence seulement après le péché qui va permettre à Dieu de démontrer son amour pour ses créatures dans son incarnation en Jésus-Christ. A noter que le cycle saisonnier est perçu par tous les habitants de la terre, où qu’ils se trouvent mais de manières différentes selon leur position longitudinale. Dieu a voulu inscrire dans sa création l’offre universelle de son salut. En constatant le cycle saisonnier, les êtres humains ont tous la preuve de la première conséquence du péché originel.

C’est dans l’été de l’hémisphère Nord, que le lieu le plus proche du soleil est le tropique du Cancer qui passe par la Mauritanie, le Mali, l’Algérie, la Libye, l’Egypte et l’Arabie, là où l’islam est apparu. Ces pays sont frappés à 90° par le rayonnement solaire, et c’est cette zone du type savane que Dieu a changé en désert en 20 ans de sécheresse continue en 4200 BP. Dieu a choisi de faire naître l’islam dans cette latitude marquée par la mort végétale et animale. Malgré ses horribles péchés, la zone européenne n’a pas été marquée par ce signe symbolique du désert. Dieu a voulu marquer la différence entre les lieux où la foi chrétienne est représentée, même si elle y est mal représentée, et les lieux où elle est rejetée et combattue ouvertement.

Quand le soleil chauffe l’air terrestre et son sol, l’été approche préparant de terribles orages images de la colère divine. Avec le temps, les esprits humains s’échauffent au point de s’affronter, emportés par leur colère. Ceci, en sorte que le réchauffement climatique actuel ne fait qu’accompagner « l’irritation des nations » prophétisée dans Apocalypse 11:18 : « Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. »

En nos jours actuels, nous pouvons de jour en jour, mieux comprendre la cause de cette « irritation des nations ». Les populations occidentales assistent, sans pouvoir les empêcher, à la venue au pouvoir de dirigeants « dictateurs » dans de grandes nations telles que la Russie, la Chine, l’Inde, et même, encore plus étonnant et inquiétant, aux USA, après le Brésil. L’ordre, la norme et les valeurs adoptés par les démocraties occidentales sont remis en cause par ces puissances terrestres nouvellement développées. Et je dois encore le rappeler, mais à elles deux, l’Inde et la Chine représentent 3 milliards d’êtres humains ; leurs avis et leurs désirs méritent donc d’être pris en compte et respectés, quels qu’ils soient.

Et oui, l’orage est une authentique expression de la colère divine, le signe de sa colère personnelle que l’homme peut ignorer à cause de son invisibilité. L’orage est produit par le contact entre de l’air très chaud et de l’air très froid. Deux contraires s’affrontent comme Dieu et le diable, le vrai et le faux, le bon et le mauvais. Et dans ce contact, des éclairs persistants semblent vouloir déchirer la voute céleste. S’ajoute à cela, le terrifiant grondement ou fracas du « tonnerre » selon que le lieu de contact de la foudre avec le sol terrestre est éloigné ou pas. Dans Apocalypse 10:3, Dieu compare sa voix aux « sept tonnerres », confirmant ainsi mon explication : « et il cria d'une voix forte, comme rugit un lion. Quand il cria, les sept tonnerres firent entendre leurs voix. » Note que l’homme est plus épouvanté par le fracas du tonnerre que par l’éclair de la foudre qui est le vrai danger. Celui que la foudre du ciel frappe n’entend pas le tonnerre, il est déjà mort. Le bruit du tonnerre n’est donc destiné qu’à rappeler aux êtres humains qui se détournent de lui, la toute puissance du Dieu créateur qui le crée et l’utilise. Mais les hommes s’éloignent toujours plus de la possibilité de comprendre le sens de ces choses dont ils connaissent le principe et son fonctionnement de manière scientifique.

Le réchauffement climatique que nous constatons en notre époque n’est donc pas dû essentiellement aux pollutions produites par les hommes mais par la toute puissance du Dieu créateur qui a déjà donné un exemple de ce que sa colère peut faire, il y a 4200 années dans la zone tropicale africaine et arabique, depuis islamisée, sur le tropique curieusement nommé « tropique du Cancer ». Pour désigner un lieu frappé par la mort, on ne peut, ni mieux faire ni mieux dire.




M2- Le peuplement de la terre


Cette étude porte notre attention sur le récit de la Genèse et sur le symbolisme prophétique des éléments créés cités.

Le lecteur normal de la Bible est loin d’imaginer la richesse de l’enseignement donné dans Genèse 1 et 2. Et ce qu’il faut relever, c’est l’ordre chronologique dans lequel les éléments de la vie terrestre sont présentés, car Dieu va utiliser pour sa dernière prophétie biblique, Apocalypse, ces éléments pour prophétiser l’ordre dans lequel les entités masquées prophétisées vont se présenter au cours du troisième tiers des 6000 ans d’histoire humaine terrestre.

La première idée à retenir, c’est que cette construction de la dimension terrestre démarre sur une page noire. Rien ne préexiste de tout ce que Dieu va créer. Cette dimension terrestre est illimitée comme son Créateur divin. Et de même qu’un peintre porte sur une toile sa première touche du pinceau, Dieu crée dans cette dimension illimitée, la terre. Elle n’a alors que l’apparence d’une énorme boule d’eau et Dieu lui donne pour nom « abîme » parce qu’elle ne contient encore aucune forme de vie. Ce nom « abîme » est repris et cité dans Apocalypse, chaque fois, pour désigner « l’absence de la vie » et le début d’un processus construit par Dieu. Dans cette révélation, « l’abîme » est rattaché au diable parce qu’il va faire son possible pour limiter, au maximum permis par Dieu, le nombre des élus sauvés par le sang du Christ. Il devient ainsi, dans Apocalypse 9:11, « le roi de l’abîme » qui tente de faire échouer le plan du salut préparé par Dieu en falsifiant les traductions de la sainte Bible écrite « en hébreu et en grec » : « Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. » Plus tôt, en 1793, « la bête qui monte de l’abîme » fait guillotiner des multitudes de gens royalistes et de prêtres catholiques après le roi et la reine de France ; Louis XVI et Marie-Antoinette. Cette « bête » instaure l’athéisme national qui rejette ainsi toute possibilité de salut éternel. Le Révolutionnaire athée naît, vit et meurt sans espérance de résurrection ; il se trompe et l’ignore, car il sera bien ressuscité, mais uniquement pour apprendre qu’il a rejeté la vie éternelle offerte par Dieu à ses élus et qu’il va devoir subir une « seconde mort » plus redoutable que la première.

Sous ce nom « abîme » cité dans Genèse et Apocalypse, Dieu prophétise dès le commencement qu’après 6000 ans de sélection de ses élus, la terre retrouvera son état « abîme » « informe et vide » du premier jour, pendant le temps du septième millénaire. Dans ce même temps, les élus seront dans le royaume des cieux, occupés à juger avec Jésus-Christ les méchants morts célestes et terrestres.

D’une manière encore très subtile, Dieu place ce premier jour sous le signe de la séparation des deux positions opposées que représentent à ce moment de la création sa conception de vie divine et celle que l’ange rebelle devenu Satan, le diable, défend et justifie. Les deux camps opposés sont symbolisés par la nuit et le jour, les ténèbres et la lumière. Dans cet ordre, parce que les ténèbres se présentent en premier dans cette création terrestre. Au fil de la révélation de la sainte Bible et déjà à la lumière de Genèse 2, il apparaît que Dieu fixe son choix sur le « septième jour » pour en faire le « sceau sanctifié » de sa propriété. Aussi, en opposition au « septième jour », le « premier jour » va représenter le jour du camp des « ténèbres », le jour du diable et des adorateurs qu’ils séduits.

Tout le destin de la terre est prophétisé par cette prédominance des « ténèbres » dans le récit de cette création divine. De cette manière, Dieu nous révèle que cette dimension va être livrée au diable, pour que sa méchanceté soit révélée par les œuvres qu’il va faire accomplir par les humains qui reproduisent sa rébellion. Le plus extraordinaire est que, dès ce « premier jour » marqué comme « séparation » du camp des ténèbres du camp de la lumière, Dieu prophétise la forme que prendra le combat final qui l’opposera au diable à l’heure de son glorieux retour au titre de Micaël pour les Hébreux, et Jésus-Christ pour les derniers vrais adventistes chrétiens. Dans l’ultime épreuve de foi, le « septième jour » de Dieu combattra spirituellement le choix du « premier jour » du diable qui sera alors vaincu et sera condamné à vivre isolé sur « l’abîme » soit, la terre désolée privée de toute vie terrestre.

Dans le deuxième jour, les mots clés sont « séparation » et les « eaux ». Le but que Dieu se fixe est de « séparer les eaux du bas des eaux du haut », et ce message traduit encore le désir de Dieu de « séparer » la vie céleste de la vie terrestre. La zone de séparation est appelée « ciel » et désigne l’atmosphère terrestre constituée de gaz comme l’eau (H2O) mais dans des proportions différentes et principalement de l’Oxygène. Avec la lumière du soleil, le jour, la vie céleste représentée par les étoiles du ciel disparaît à la vue humaine, l’atmosphère illuminé devenant opaque sépare réellement le monde étoilé du monde du sol terrestre. Cette fréquence du mot séparation révèle le besoin pour Dieu de trier, pour le purifier, en séparant son camp de celui du démon rebelle ; ce qui est la raison même de la création de cette dimension terrestre.

Au troisième jour, les mots clés sont « terre » et « mers ». Mais le procédé du rassemblement des eaux est aussi à relever. Car le rassemblement concrétise le moyen de séparer les camps humains ou angéliques célestes, ce qui va devenir le cas dans l’utilisation symbolique des mots « mers » et « terre » dans Apocalypse.

Dans cette prophétie, désignant le catholicisme papal romain et le pouvoir royal civil, « la bête qui monte de la mer » dans Apocalypse 13:1 « rassemble » sous sa domination ses adeptes catholiques qu’elle séduit et trompe. Et « les eaux » sont encore et toujours symboliques des masses humaines, car le projet terrestre de Dieu vise à séparer dans ces masses humaines, ses élus des déchus. Depuis le premier jour, les « eaux » cachent l’identité des vies humaines que la terre va porter à partir du sixième jour et jusqu’au retour de Jésus-Christ. Apocalypse 17:15 confirme ce symbolisme : « Et il me dit : Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues. » C’est en ordonnant le rassemblement sous son autorité, que le papisme catholique provoque la séparation des élus de Dieu et d’autres jugés par Dieu « hypocrites ». Et c’est donc en refusant le rassemblement proposé que les vrais élus de Jésus-Christ se démarquent et se séparent en sortant du camp séduit et trompé. Ils sortent donc de l’église catholique papale dite chrétienne de la même manière que la terre sèche est sortie de la mer dans le récit divin de Genèse 1:9-10 : « Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l'amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. » Comme le précise ce verset, « les eaux des mers » sont toutes reliées entre elles et forment bien un « amas d’eaux » qui représente symboliquement toutes les vies humaines dispersées sur la surface de la terre. A partir de l’année 1170, par l’œuvre accomplie par le Lyonnais Pierre Vaudès dit Pierre Valdo, Dieu lance son œuvre de Réforme dont le temps fort sera le XVIème siècle. La séparation obtenue est basée sur la reconnaissance du vrai témoignage de la sainte Bible. C’est par sa traduction correcte disponible en langue provençale (appelée aujourd’hui langue franco-provençale) que Pierre Valdo obtient la conversion des premiers protestants de l’ère chrétienne. La première entité symbolisée par « la terre », c’est lui, et son œuvre vaudoise. Au XVIème siècle, l’invention de l’imprimerie par presse favorise la production biblique et donne aux témoins de l’époque une réputation plus grande que celle de Pierre Valdo. Mais ces nouvelles traductions sortent des presses calvinistes de Genève et elles comportent d’importantes erreurs dont certaines ont été conservées jusqu’à notre époque. C’est à cause de ces déformations que la Bible « détruit » la vérité écrite originellement « en hébreu et en grec » dans Apocalypse 9:11. Ce mot « terre » symbolise idéalement la religion protestante engagée dans une Réforme qui n’a jamais été achevée. « La terre » peut être à l’image de Pierre Valdo productrice de très bons fruits ; mais elle peut aussi produire une piètre qualité de mauvais fruits ou autres récoltes que le protestantisme de Jean Calvin a semés autour de lui et après lui jusqu’aux USA.

Pour Dieu, la terre a vocation à produire des fruits, recevoir des semences, et produire avec abondance et qualité. C’est aussi ce qu’il attend de « la terre » protestante symbolique. Mais le bon fruit est rare et ceux qui dominent en nombre sont indignes et hypocrites. Ils honorent des « héros » qui ont pris des armes et tué des Catholiques armés ou pas ; alors que Jésus a interdit à ses apôtres de faire ces choses à l’heure de son arrestation par les gardes du Temple juif. De plus, à l’heure où Dieu exige la restauration de « son repos sanctifié du septième jour » soit, à partir de 1843 et 1844, ils méprisent le retour de Jésus annoncé prophétiquement pour ces deux dates et refusent d’abandonner la pratique du repos dominical romain quand l’exigence divine leur est présentée. Le nom de Jésus ne suffit pas pour être un authentique chrétien, car Dieu se présente en Jésus-Christ, en Fils parfaitement obéissant donné comme le modèle que ses élus doivent imiter en toute chose. En multitudes, des gens sont trompés par les fausses représentations chrétiennes et cette stratégie diabolique est à ce point importante que Dieu en fait le thème de sa prophétie dans Apocalypse 9, où on trouve de multiples comparaisons trompeuses suggérées par l’abondance du terme « comme ». Dans ce chapitre, Dieu ne fait que confirmer les propos tenus par Jésus qui nous dit dans Matthieu 7:15 : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. » Ces « loups ravisseurs » sont ces gens religieux qui n’entrent pas aux cieux et combattent pour empêcher les autres d’y entrer, comme les pharisiens hypocrites de l’époque de son ministère terrestre. Dieu les rassemble sous l’étiquette nommée « rebelle »que Dieu dénonce particulièrement dans Ezéchiel 2 dans lequel, sur 10 versets, le mot « rebelle » est cité 6 fois.

Dans l’histoire du XVIème siècle, le mot « terre » tient un rôle important dans son sens littéral, puisque coïncident au même moment, le début officiel de la Réforme protestante, traditionnellement rattaché au témoignage du moine allemand Martin Luther, et la redécouverte du continent Nord-américain qui allait devenir la terre d’accueil des premiers protestants anglicans exilés depuis l’Europe. Littéralement et spirituellement soit, en symbole, le protestantisme est ainsi doublement rattaché au mot « terre ». Et en France, cet esprit rebelle protestant va se métamorphoser en athéisme libre-penseur en se révoltant contre son roi en 1789. Il le guillotinera avec ses alliés aristocrates en 1793 et 1794.

Revenant dans le récit de la Genèse, en ce troisième jour, Dieu fait ressortir le sec nommé terre des amas d’eaux appelés mers. Le rassemblement des eaux devait se faire en un même lieu et déjà les eaux symbolisant des vies humaines, cette description correspond à l’expérience de la tour de Babel où sur son ordre, Nimrod rassembla les habitants survivants de toute la terre. Et je rappelle que selon le message précédent, la zone tropicale du Cancer fut victime d’une sécheresse mortelle de 20 années entières, 4200 ans avant nous. Il est donc temps de réaliser que depuis le premier jour, les descriptions divines citées décrivent la terre frappée par le péché. Et ceci avec raison, puisque la terre est créée par Dieu avec tous les éléments de sa dimension, pour devenir le royaume du péché soit, le royaume du diable. Ainsi, tous les éléments cités sont en relation directe avec le thème du péché.

Nous avons l’habitude d’attribuer le nom « péché originel » à la désobéissance d’Adam et Eve, et cette interprétation qui n’est pas totalement fausse nous empêche de prendre en compte le vrai, le premier péché originel qui fut commis par le premier ange créé par Dieu, son premier vis-à-vis libre, qui est devenu Satan, le diable, dont la stratégie est celle du « dragon » ouvertement persécuteur ou celle de la ruse qui le fait « serpent » séducteur et trompeur.

Que veut donc nous dire Dieu à travers sa création terrestre ? Qu’il construit le futur domaine du diable, où il fera démonstration de ses œuvres, et Dieu y fera aussi sa démonstration de la parfaite obéissance, et par sa victoire sur le péché et la mort, en Jésus-Christ, il le retiendra prisonnier dans son domaine terrestre où pendant mille ans, seul et isolé, il attendra l’heure du jugement dernier pour son anéantissement par la seconde mort. Genèse 1 :11, le verset qui vient, va confirmer ce raisonnement : « Puis Dieu dit : Que la terre produise de la verdure, de l'herbe portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. » Qui a besoin de ces choses ? L’homme que Dieu va former au sixième jour sur la terre et tous les animaux terrestres créés avant lui, dans ce même sixième jour. Cependant, avant le péché, la vie humaine ne dépend pas encore de sa nourriture. Adam et Eve mangent par plaisir et non par nécessité. La situation va changer après le péché, les aliments offerts par la terre travaillée par Adam à la sueur de son front, vont favoriser le prolongement de sa vie et sa nourriture devient une absolue nécessité. Le principe de la nutrition du corps humain pécheur nécessite cette production alimentaire terrestre que ce verset Genèse 1:11 décrit. Le souci du péché est encore dans la pensée de Dieu dans ses œuvres accomplies le 3ème jour.

Puis vient le quatrième jour. Genèse 1:14-15 : « Dieu dit : Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue du ciel, pour séparer le jour d'avec la nuit ; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ; et qu'ils servent de luminaires dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. » Des êtres éternels ont-ils besoin de marquer ou calculer le temps ? Non, car l’éternité n’est qu’une longue continuité sans fin. C’est donc bien à l’intention de l’homme devenu mortel par le péché originel, que Dieu destine l’utilité de cette création de « luminaires placés dans l’étendue du ciel ». Ces luminaires vont être aussi très utiles pour Dieu qui va ainsi, pouvoir inscrire son projet salvateur dans un programme daté révélé en son temps. Il va ainsi pouvoir responsabiliser ses créatures humaines en instaurant ses fêtes prophétiques au cours de ses deux alliances, la première étant juive, et la seconde, chrétienne.

Très tôt, les marins ont appris à exploiter cette carte céleste pour identifier leur position terrestre. Mais, le verset 16 présente le soleil et la lune : « Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit ; il fit aussi les étoiles. Dieu les plaça dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre, » J’ai déjà fait remarquer comment Dieu dit le soleil plus grand que la lune qui cependant prennent tous deux à l’œil humain une même taille. En analysant ce verset dans sa relation avec le péché, la précision donnée par Dieu prend encore plus d’intérêt. Seul Dieu peut nous apprendre que la terre fut créée avant le soleil et la lune. Et à cause de son symbolisme de Dieu lui-même, le soleil est réellement bien plus grand, mais plus éloigné de nous que la lune symbole du camp des ténèbres sataniques ; taille du soleil : 1 392 700 kilomètres de diamètre ; taille de la lune : 3 474 kilomètres de diamètre ; éloignement du soleil : environ 149 000 000 de kilomètres ; éloignement de la lune : en moyenne 384 400 kilomètres. Note que jusqu’à ce quatrième jour, la lumière qui produisait le jour venait de Dieu directement. Et, au 4ème jour, Dieu se retire et se rend invisible, en se faisant remplacer par la lumière du soleil, sa créature. Dans cette action, il prépare encore la situation du péché en laquelle l’homme ne pourra plus voir Dieu et vivre. Mais ce remplacement de Dieu par le soleil prophétise la tentative romaine de l’empereur Constantin et de ses successeurs lointains, les papes catholiques. Eux-aussi vont remplacer le jour du repos glorieux divin par le jour souillé des païens idolâtres adorateurs du soleil. Et dans les deux cas, l’initiative de se retirer ou de se faire remplacer vient de Dieu lui-même. J’ai réellement beaucoup apprécié cette inspiration qui conduit à renverser le raisonnement en redonnant à Dieu la gloire de créer et d’organiser les œuvres du camp du bien comme celles du camp du mal. Ainsi, dans les pires situations où les ténèbres dominent et cachent la lumière, Dieu garde le contrôle absolu sur la situation. En fait, les ténèbres lunaires n’existent que parce que Dieu se retire et cache sa lumière aux êtres humains qui n’en sont pas dignes. Genèse 1:18 : « pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d'avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. » Le thème du péché est encore présent, puisque ces astres célestes ont mission de « séparer » le jour, de la nuit, la lumière, des ténèbres. Cette « séparation » prend l’aspect spirituel de la « sanctification » divine. Dieu « sanctifie son camp par sa vérité », sa lumière en Christ, son jour du repos, le septième. Le soleil et la lune « président » au jour et à la nuit mais ne règnent pas sur eux. Un président n’est pas un roi. Le choix de ce verbe « présider » réduit la gloire de l’élément créé par Dieu qui dit ainsi à ses élus : le soleil et la lune sont mes créatures, rien d’autre.

Dans la norme de la semaine de sept jours que Dieu va donner à l’humanité entière pour marquer le temps, les astres du ciel ne tiennent aucune place, aucun rôle. Ses jours ne portent que leur numéro d’ordre numérique : premier jour ; deuxième jour, troisième jour …, jusqu’au septième jour. Le départ du décompte des semaines est fixé par Dieu à partir de la première semaine de sa création que nous suivons dans cette étude. Etant créé le sixième jour, Adam va pouvoir prolonger le comptage des semaines dans la conformité au choix fixé par Dieu dans la logique de sa création terrestre. Et à travers le temps, tous les sept jours, en septième position, le sabbat va être l’unité du calcul du temps. Cependant, le diable va combattre cet ordre divin et tenter de le remplacer par le sien qui honore le dieu soleil auquel il fait rattacher le premier jour de la semaine divine. Il met ainsi en œuvre le rôle que Dieu a prophétisé au sujet du premier jour qui, en tant que jour des ténèbres, se sépare du camp de la lumière divine ; le dimanche du premier jour se sépare du sabbat du septième jour sanctifié.

La terre produit ses fruits et bénéficie des rayons du soleil qui les fait pousser et croître jusqu’au mûrissement complet. L’homme et les animaux terrestres disposeront ainsi d’une abondante nourriture, bonne et agréable, uniquement végétale. Dieu lui-même atteste que cette réalisation est « bonne ». Et il sera bon pour ses élus de retenir cette leçon jusqu’au retour glorieux du Christ, où leurs corps terrestres souffrants recevront la nature céleste incorruptible de l’éternité.

Vient maintenant le cinquième jour. Dieu crée « les animaux qui vivent dans les mers » et aussi, « les oiseaux qui volent dans le ciel sur la terre ». Il multiplie leurs espèces. Cette création animale dans les mers et le ciel vit en parallèle avec la vie sur la terre émergée. La création marine est indépendante et constitue un milieu de mort par opposition à la vie sur terre. En cause, la salinité de leurs eaux qui rend stérile la terre qu’elles recouvrent. Sous l’angle du péché, elle va devenir un milieu impitoyable dans lequel le poisson le plus gros dévore le plus petit que lui, d’un bout à l’autre de la chaîne de la vie présente. De plus dans ce milieu fermé, les déchets des cadavres et les déjections des animaux marins se répandent dans l’amas des eaux. Dans sa sagesse, Dieu a créé des espèces de mollusques et crustacés qui ont pour rôle de consommer ces déchets pour les recycler et les réduire. Ces choses font des mers le domaine de l’impureté la plus grande de la création terrestre. On peut ainsi comprendre pourquoi Dieu a donné à Israël une liste de choses impures qu’il ne doit pas consommer, et ses élus en Christ se reconnaissent dans cet Israël qu’il chérit particulièrement, pour son amour obéissant. Ainsi, Dieu regroupe en ce cinquième jour les espèces qui nagent sous l’eau et celles qui volent soit, deux caractéristiques qui ne sont pas naturellement données à l’être humain qui se distingue d’eux en ce qu’il marche sur la terre.

Les explications que je viens de donner font de la mer salée le symbole idéal de l’humanité qui reste animale parce qu’elle n’est pas en relation avec son Dieu créateur. Cette humanité consomme des aliments jugés impurs par Dieu et il la tient pour impure. Ce jugement concerne la religion catholique et la religion protestante qui se rendent coupables de ces choses. Mais « la mer » ne symbolise que le catholicisme papal romain. Parce qu’ils se déplacent dans l’air en volant, les « oiseaux impurs » symbolisent les mauvais anges comme le suggère ce verset d’Apocalypse 18:2 : « Il cria d'une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, » Je précise que les anges sont des esprits célestes qui se déplacent dans notre dimension terrestre sans besoin d’ailes. Les ailes ne sont dans la Bible que le symbole de cette capacité des anges et de l’esprit de Dieu de se déplacer sans être soumis aux lois physiques de notre dimension terrestre.

Voici enfin le sixième jour, en lequel Dieu crée la vie animale terrestre. Elle est aussi créée en de multiples espèces que Dieu a classées ensuite comme pures ou impures dans Lévitique 11. Cette classification a pour but de prescrire pour ses élus, parmi les animaux terrestres, ceux qu’ils peuvent manger et ceux qu’ils ne doivent pas manger ; ceci pour des raisons sanitaires que Dieu, leur créateur, est le premier à connaître. Car comme pour la mer, certains animaux terrestres sont des nettoyeurs de déchets et leurs chairs corrompues sont dangereuses pour la santé de l’homme ; le porc est de ce type, un nettoyeur dont la consommation est interdite par Dieu, mais seulement à ses élus qui lui obéissent. Dans Lévitique 11:3 et 4, Dieu indique les critères qui distinguent les animaux purs des animaux impurs : « Vous mangerez de tout animal qui a la corne fendue, le pied fourchu, et qui rumine. » ; « Mais vous ne mangerez pas de ceux qui ruminent seulement, ou qui ont la corne fendue seulement. Ainsi, vous ne mangerez pas le chameau, qui rumine, mais qui n'a pas la corne fendue : vous le regarderez comme impur. » Et Dieu cite encore d’autres espèces dans les versets qui suivent. Ces précisions ne concernent que le temps du péché pendant lequel, Dieu autorise, après le déluge, l’homme à manger la viande qu’il classe pure, pour raccourcir le temps de sa vie ; avec un résultat très efficace. Depuis 1843, la sanctification totale exigée par Dieu de la part de ses élus s’accompagne de l’abandon volontaire de la nourriture carnée animale, l’Esprit préconise le retour au végétalisme, et au minimum, au végétarisme, car ce qui est mort n’est pas l’alimentation de ceux qui veulent vivre éternellement au ciel et sur la « nouvelle terre », car là, il n’y aura plus de mort. La mort est la conséquence du péché, et les élus ne peuvent se nourrir du péché.

Dans ce même sixième jour, l’homme est créé par Dieu. Mais relève la différence entre la présentation de l’homme que « Dieu forme à son image et à l’image de ses anges », et les animaux que la « mer » et « la terre » « produisent ». L’homme est « formé à l’image de Dieu », car cette dimension terrestre a été faite pour qu’il la peuple, selon Genèse 1:26-27 : « Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. » Les œuvres réalisées les cinq premiers jours étaient faites pour eux. Leur présence est le couronnement de l’œuvre créatrice terrestre de Dieu. Et dans son innocence originelle, le premier homme est en tout point comparable à Jésus-Christ. Sauf qu’il va pécher et que, contrairement à lui, Jésus-Christ va vaincre le péché et la mort. Au soir du sixième jour, la création terrestre est entièrement achevée. Et Dieu referme à ce moment le chapitre 1 de Genèse. Il a pour cela une bonne raison spirituelle prophétique. Car le thème suivant relatif au « septième jour » est présenté à part au début de Genèse 2. La fin de Genèse 1 est à l’image de la situation des hommes pécheurs de la fin du sixième millénaire pour lesquels le repos du sabbat du vrai « septième jour » n’a ni valeur ni obéissance. Pour eux, hommes, femmes, et enfants, la vie va cesser là, au retour glorieux de Jésus-Christ. Cette interprétation est renforcée par la précision « il créa l'homme et la femme ». J’ai toujours pensé qu’Eve a été formée après ce « sixième jour » de la création, et en l’incluant dans ce « sixième jour », Dieu donne à ce « sixième jour » sa valeur prophétique de « sixième millénaire ». Je justifie cette explication par le fait que l’homme représente prophétiquement Jésus-Christ, l’homme du genre mâle qui prophétise la norme céleste des élus des deux genres terrestres.

Le « septième jour » ne concerne que les vrais élus destinés à entrer dans l’éternité offerte par Jésus-Christ. C’est pour cette raison que ce sujet sanctifié est présenté au début de Genèse 2. Car le « septième jour », que Dieu « sanctifie » après avoir formé Adam et Eve, prophétisait le « septième » millénaire qui va offrir à Dieu et ses élus rachetés le vrai repos auquel ils aspirent ; Dieu comme ses élus.

Et au sujet du « septième jour », je veux faire remarquer que dans Genèse et Apocalypse, son accomplissement en « septième millénaire » est toujours séparé et présenté dans un chapitre indépendant différent de ceux qui évoquent le temps terrestre de la vie des élus. C’est le cas dans Genèse ou le chapitre 1 présente la vie terrestre prolongée pendant 6000 années ; et le chapitre 2 prophétise par le « septième jour sanctifié », les « mille ans » de la vie céleste des juges, les élus rachetés.

Le même découpage sépare les 6000 ans terrestres d’Apocalypse 2 et 3, et Apocalypse 4 représente les 1000 ans célestes. C’est encore le cas, dans le thème des « sept trompettes », les six premières sont présentées dans Apocalypse 8 et 9 et « la septième » est présentée, bien séparée des précédentes, annoncée dans Apocalypse 10:7 : « mais qu'aux jours de la voix du septième ange, quand il sonnerait de la trompette, le mystère de Dieu s'accomplirait, comme il l'a annoncé à ses serviteurs, les prophètes. » ; puis elle est développée dans Apocalypse 11:15 : « Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient : Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ; et il régnera aux siècles des siècles. »

L’enseignement de ce chapitre 11 est très riche, car il évoque, comme les chapitres 12 et 13, le survol des 2000 dernières années de l’histoire terrestre de la sélection des élus de Dieu soit, toute l’ère chrétienne. Et son enseignement évoque donc le temps du règne papal catholique romain qui, instauré en 538, prend fin en étant détruit momentanément par l’athéisme révolutionnaire français établi en 1793. Dieu nomme ce régime exécuteur de sa justice « la bête qui monte de l’abîme » au verset 7. Un montage subtil lui impute deux accomplissements le « premier » en tant que « quatrième trompette » et le « second » en tant que « sixième trompette » qu’il nomme « second malheur », parce qu’il précède le « troisième malheur » que la « septième trompette » représente à partir du verset 15. En lui imputant ce nom de « second malheur », l’Esprit invite le lecteur à comprendre ce qui relie les deux accomplissements de cette pensée athée révolutionnaire. Et que peut-on alors remarquer ? C’est que depuis la Révolution française de 1789, la libre pensée établie à cette époque s’est prolongée dans le temps sous la forme du régime de la démocratie que les nations occidentales ont adopté et qui constitue un héritage lointain de l’Athènes grecque dont Dieu fait dans Daniel 2, 7, et 8, l’image symbolique du péché. Le jugement de Dieu qui est révélé dans la prophétie est ainsi complet et la boucle qui le relie à Daniel 2 se referme. Tout est dit et tout est compris. Ainsi éclairé, l’élu est préparé pour l’épreuve de foi de la « septième trompette ». Il connaît le jugement de Dieu et il l’approuve et le démontre par sa fidélité et sa fermeté dans son respect du repos du septième jour ordonné et sanctifié par Dieu dès le « septième jour » de sa création terrestre.

Après l’autorité abusive et persécutrice du régime du péché de la monarchie catholique et du papisme romain, l’humanité occidentale est tombée dans le piège de la libre pensée révolutionnaire, puis démocrate. Dieu n’est honoré ni par l’un ni par l’autre, et la démocratie a simplement favorisé le développement du mal soit, du péché du modèle grec. Le long temps de paix compris entre 1945 et 2022 a simplement favorisé une extension maximale de ce péché, et le Dieu créateur a obtenu la démonstration qu’il voulait obtenir pour justifier sa manière de juger soit, sa conception du bien et du mal. Cette démonstration complète sa victoire en Jésus-Christ contre le péché, la mort et l’inventeur du péché, Satan, le diable.

Depuis Daniel 2, dans lequel la vision du colosse aux pieds d’argile et de fer soit, de soumission et de rébellion, fondement de la prophétie, place le régime grec sous le signe du péché. Mais quel type de péché lui vaut ce rôle ? L’image de la statue nous donne la réponse en lui attribuant le symbole du ventre et des cuisses soit, en mettant en position central, l’organe sexuel. Ceci, parce que Dieu a retrouvé dans la vie sociale des Grecs, les pratiques homosexuelles des Sodomites du temps de Lot, le neveu d’Abraham. Or, dans sa conquête constante de nouvelles libertés, l’humanité occidentale a reproduit ce modèle, et en France, après son élection en 2012, le président François Hollande, socialiste, a rendu légitime et légal le « mariage pour tous » qui justifie les mariages homosexuels de gens du même sexe. Cette abomination redonne au Paris de 2012 l’image dégradante de Sodome et des Grecs antiques. C’est aussi en France, un retour vers le temps révolutionnaire en lequel, le relâchement complet des mœurs vaut à sa capitale, Paris, d’être nommée symboliquement « Sodome et Egypte » soit, sodomie homosexuelle et péché rebelle, dans Apocalypse 11:8 : « Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. » En disant « leur Seigneur » et non « le Seigneur », l’Esprit élimine l’identification à Jérusalem, et l’expression « leur Seigneur » indique que le lieu ciblé est une ville dans laquelle, « le Seigneur » des « deux témoins » bibliques a été spirituellement « crucifié » de nouveau ; ce qui est conforme au statut historique de Paris où les Révolutionnaires libres-penseurs l’ont rejeté et combattu, tel ce Voltaire qui l’a odieusement traité « d’infâme ».

Le temps de l’utilité de la terre peut prendre fin et revenant en sonnant de la « septième trompette », le glorieux Christ divin va activer cette fin en réduisant la terre en solitude soit, en aspect « abîme ». Et là encore, avec cette fin du type « abîme », c’est toute la prophétie biblique qui se reboucle et s’achève.

Dans toute son histoire, l’humanité a eu le choix entre 3 possibilités de type de gouvernance. L’homme pécheur a inventé la monarchie, puis en Grèce, la démocratie, dans son Israël terrestre, le vrai Dieu créateur a ensuite proposé sa théocratie, et rejetant les deux offres, les derniers pécheurs sont revenus à la démocratie choisie par des êtres humains aussi contestataires que le fut en premier, le diable, pour son malheur.

C’est pour sélectionner des hommes qui ne contestent pas son jugement que Dieu a peuplé la terre en multitudes de gens différents en aspect, physique, mental et religieux. Tous ceux qui se perdent, se perdent à cause de leur ignorance de l’offre de Dieu ou de leur refus de son offre. Ils reproduisent tous, le choix fait par Satan, le diable qui n’ignorait rien du caractère de Dieu et de sa juste souveraineté qu’il a osé contester.

Toutefois, la contestation n’est condamnable que lorsqu’elle attaque la cause de la vérité divine, car dans son ministère terrestre, Jésus-Christ fut avant ses apôtres et ses vrais disciples, le Maître de la contestation. Mais la cible de sa contestation était le clergé religieux juif représenté par la tribu de Lévi à laquelle appartenaient Moïse, Marie, et Aaron. Déjà, Moïse avait été contesté par sa sœur et son frère, et l’héritage charnel de la fonction sacerdotale ne pouvait que produire un fruit désastreux de fonctionnaires sans foi ni loi pour eux-mêmes. Ce sont ces gens indignes de leur charge que Jésus reprit sévèrement, les menaçant de la punition de la géhenne.

Alors que les hommes se distinguent entre eux par des apparences physiques, par leur couleur de peau et leur type racial, pour Dieu, la distinction se fait uniquement sur leur caractère et leur esprit. Pour lui, ils sont tous des Adams porteurs de caractères très différents. En sorte que la terre entière n’aura été peuplée pendant 6000 ans que par de multiples formes d’Adam et Eve ; et parmi eux, Dieu a sélectionné ses élus rachetés par Jésus-Christ.






M3- Les mensonges religieux


Sous la forme chrétienne, les mensonges religieux ne sont pas tous facilement identifiés. Ceci, parce qu’ils sont souvent construits à partir d’enseignements cités dans la sainte Bible, mais sont mal interprétés par le lecteur.

Un exemple concret de ce type de mensonge concerne les anges célestes. L’héritage religieux occidental est fondamentalement celui du catholicisme romain qui n’a jamais été en relation avec Dieu dans toute son histoire, depuis son commencement et qui ne le sera jamais, jusqu’à sa fin. Ainsi privé de l’Esprit de Dieu, les lecteurs de ce catholicisme n’ont pris les mots bibliques que dans leur sens littéral, et toute leur doctrine repose sur cette lecture littérale, alors que source de toute sagesse, dans ses révélations, Dieu fait appel à des constructions reposant sur de grandes subtilités ; ce qui rend la compréhension de celles-ci inaccessible aux ordinateurs modernes dotés de l’intelligence artificielle. Et à ce sujet, la machine ne peut comprendre que ce que l’homme qui l’a conçue peut lui-même comprendre. De cette manière, selon ce principe, les secrets de Dieu sont bien gardés car Dieu ne donne pas ses perles aux pourceaux selon Matthieu 7:6 : « Ne donnez pas les choses saintes aux chiens, et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu'ils ne les foulent aux pieds, ne se retournent et ne vous déchirent. »

En ce qui concerne les anges, la tradition catholique déforme leur aspect réel, ses peintres leur ayant donnés l’apparence d’angelots qui sont des bébés nus ailés ou plus rarement celle de jeunes hommes aux longues chevelures blondes également ailés. Faut-il s’en étonner ? Non, puisque le texte biblique d’Ezéchiel et d’Apocalypse décrivent cette apparence d’hommes ailés.

L’aspect des bébés relève du pur fantasme humain inspiré par le diable et sa doctrine catholique romaine. Pourquoi ce choix de l’aspect du bébé ? Simplement pour imager la parfaite innocence de ces anges. Mais même cette explication est injustifiée par ce que nulle part la sainte Bible présente un bébé qui naît porteur du statut de l’innocence, à l’exception du bébé Jésus-Christ, né Jésus de Nazareth. Sur ce point, l’enseignement divin est clair, selon Romains 3:23 : « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ; » et 5:12 : « C'est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu'ainsi la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché, » L’innocence des bébés n’est donc qu’un dogme mensonger du catholicisme romain. Et Jésus peut condamner ce mensonge qui ne tient aucun compte de son enseignement.

Car il a dit selon Matthieu 22:29-30 : « Jésus leur répondit : Vous êtes dans l'erreur, parce que vous ne comprenez ni les Écritures, ni la puissance de Dieu. Car, à la résurrection, les hommes ne prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. » Ces paroles du Christ s’adresse donc encore aujourd’hui aux catholiques romains qui ne comprennent, ni les Ecritures, ni la puissance de Dieu. Et depuis 1843-1844, ce statut est partagé par les diverses formes du protestantisme et par l’adventisme officiel depuis 1994. L’explication donnée par Jésus est limpide : il n’y a dans le ciel ni mari ni femme mais uniquement des anges créés directement par Dieu. Il n’y a donc dans le ciel aucune reproduction et aucune créature à l’image d’un bébé, puisque Dieu a formé le premier homme dans son aspect adulte et non sous une forme de bébé. L’aspect du bébé est strictement terrestre et dû au principe de procréation des couples humains.

Selon les paroles de Dieu, lui-même, nous savons que les anges sont à notre image, puisque « Dieu a formé l’homme à son image » déjà partagée par ses anges célestes qu’il associe à son œuvre créatrice, selon Genèse 1:26-27 : « Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. » Je donne ici l’explication de cette forme pluriel, « faisons », exceptionnelle, que Dieu emploie ici pour s’exprimer. Car partout quand il parle, il le fait à la première personne du singulier, confirmant ainsi l’unicité de sa personne. Je profite de ce sujet pour rappeler que « le dogme de la trinité » ne désigne pas trois personnes divines mais trois rôles portés par le même Esprit divin dans son plan du salut préparé pour ses élus humains. Dieu est par sa nature le Créateur soit, « le Père » qui en « Fils » nommé Jésus-Christ rachète ses élus, et il revient en « Saint-Esprit » cohabiter en eux pour les instruire et les diriger.

Le deuxième gros mensonge, également hérité du catholicisme, concerne le sujet de la sanctification. Dans la religion catholique ce droit de sanctifier dit canonique est revendiqué et appliqué par ses papes successifs. Ils décrètent ainsi « saints » des gens qui les ont fidèlement servis, eux et non Dieu qui est d’un tout autre avis. Des multitudes de gens trompés révèrent ses « faux « saints » et pratiquent, sans en avoir conscience, ce que l’apôtre Paul nomme le « culte des anges », dans Colossiens 2:18 où il dit : « Qu'aucun homme, sous une apparence d'humilité et par un culte des anges, ne vous ravisse à son gré le prix de la course, tandis qu'il s'abandonne à ses visions et qu'il est enflé d'un vain orgueil par ses pensées charnelles, » On retrouve cette apparence d’humilité dans le comportement des moines des monastères catholiques. Ils portent la robe de bure mais aussi la tonsure sur la tête, ignorant l’interdiction de Dieu de faire ce genre de chose. Et en signe de contradiction, Dieu demandait à ceux qui se consacraient à lui par le vœu du « naziréat » de ne pas couper leurs cheveux et de les laisser pousser à l’exemple du célèbre juge Samson.

Les papes sont d’autant plus disqualifiés pour désigner des saints qu’ils sont tenus par Dieu comme ses ennemis qu’il condamne et par le fait que Dieu seul peut octroyer la sainteté à ses créatures car il est seul à pouvoir juger de la dignité de celles-ci, connaissant leurs pensées les plus cachées. Et à ce sujet, l’offense papale est des plus graves qui puissent être faites parce qu’elle concerne directement ce droit unique et absolu du Dieu créateur suprême.

La fausse sanctification est l’essence et le matériel de toute la supercherie religieuse catholique. Et Dieu confirme ce jugement en donnant dans sa prophétie biblique une place fondamentale au sujet de la sanctification. C’est le cas dans Daniel et jusqu’à la fin d’Apocalypse qui s’achève par ces mots au dernier chapitre, le 22ème et au verset 21 que seule parmi toutes les traductions bibliques française, la version de N.L. Darby respecte et traduit correctement en citant le mot « saints » : « Que la grâce du Seigneur Jésus Christ soit avec tous les saints ! » Visiblement le sujet est important pour être attaqué par le diable de cette manière. Important ? Il est simplement vital et fondamental, car dans son jugement Dieu ne sauvera que ceux auxquels il aura reconnu la dignité de la sainteté.

N’est pas « saint » qui le prétend simplement, car pour Dieu et ses élus, « la sainteté » est une norme, une conformité au modèle qui doit être imité et reproduit, un modèle parfait nommé Jésus-Christ, exemple de fidélité parfaite, d’obéissance parfaite, et d’amour parfait. Il a pu ainsi faire dans Jean 14:6 cette déclaration : « Jésus lui dit : Moi, je suis le chemin, et la vérité, et la vie ; nul ne vient au Père que par moi. » Le catholicisme romain et ses dogmes mensongers sont à l’opposé absolu de lui, « l’autre chemin, le mensonge, et la mort ».

N’est « saint » que ce que Dieu désigne comme tel. Et dès le début de la Bible, le premier sujet de « sainteté » concerne sa « sanctification du septième jour » citée dans Genèse 2:2-3 : « Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu'il avait faite : et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu'il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. »

Il faut bien comprendre que le Dieu créateur présente là, le fondement de toute la sainteté que nous allons retrouver dans les récits de la sainte Bible. Ces deux versets instaurent la sanctification du repos du septième jour et ils prophétisent le temps du septième millénaire dans lequel Dieu et ses élus rachetés partagerons le repos parfait et s’emploieront à juger les rebelles morts célestes et terrestres chacun, individuellement, cas par cas. Or pour juger ces rebelles, Dieu sélectionne ses juges adjoints parmi les humains sélectionnés par Jésus-Christ qui les a rachetés en offrant sa vie pour expier leurs péchés.

Il y a donc dans la « sanctification du septième jour », l’annonce de la victoire du Christ sur le péché et sur la mort. Le « repos du sabbat » est donc lui-même prophétique de cette victoire finale de Dieu en Jésus-Christ ; ce qui justifie dans Apocalypse 6:1, les paroles tenues dans ce verset : « Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre. » Je précise l’intérêt de ce détail, Jésus-Christ est armé d’un « arc », qui tue à distance, tandis que dans le « sceau » suivant, le diable tient « une grande épée », utilisée pour le combat rapproché, ce qui est justifié par son conditionnement terrestre, depuis que Jésus l’a chassé du ciel, selon Apocalypse 12:8-9.

L’honneur rendu au « repos du sabbat » est donc le moyen d’honorer la victoire obtenue par Jésus-Christ ; c’est beau et c’est simple ; si simple que le diable ne pouvait se priver de l’attaquer. Mais lui imputer cette attaque est déjà trop l’honorer, car redoutable pour qui n’est pas sous la réelle protection de Dieu, il n’en est pas moins que sa créature comme tout être céleste ou terrestre. Le diable ne fait qu’accomplir les œuvres que Dieu lui a préparées d’avance comme il le fait pour toutes ses créatures en fonction de leur choix et de leur obéissance à ces valeurs, ses normes révélées par ses lois. Ce qui a pris l’aspect d’une attaque contre le sabbat n’est pas une attaque, mais plus subtilement, le signe d’une appartenance au camp du diable ; le sabbat étant lui-même le signe de l’appartenance au Dieu créateur selon Ezéchiel 20:12-20 : « Je leur donnai aussi mes sabbats comme un signe entre moi et eux, pour qu'ils connussent que je suis YaHWéH qui les sanctifie…/… Sanctifiez mes sabbats, et qu'ils soient entre moi et vous un signe auquel on connaisse que je suis YaHWéH, votre Dieu. ». Depuis le commencement, Dieu sélectionne le meilleur et il laisse au diable le reste. Et ce reste majoritaire pour lequel la vérité divine a peu d’importance, Dieu l’a livré au mensonge catholique qui a hérité de l’empereur Constantin 1er son repos hebdomadaire du premier jour, l’ex « jour du soleil » rebaptisé par les Catholiques, « jour du Seigneur » soit, en français, « dimanche ».

Le mensonge catholique est dénoncé par Dieu, dans Apocalypse 13:5 : « Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes ; et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois. » ; 13:6 : « Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. »

Les accusations de Dieu sont concentrées dans ces deux versets dans lesquels les termes « blasphèmes et blasphémer » ont le sens du mensonge et de dire des mensonges. Je rappelle que Jésus-Christ a été condamné au titre de blasphémateur pour s’être dit « Fils de Dieu », ce que les Juifs considéraient être un odieux mensonge. Le vrai sens du mot n’est pas l’insulte, les mots grossiers que les êtres humains s’envoient dans la figure. Et ce sens du mensonge confirme la norme du camp diabolique, le diable étant « le père du mensonge » selon Jean 8:44 : «Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge. » « Le père du mensonge » qui combat « la vérité » selon le verset qui suit : « Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas. »

La vérité contre le mensonge et le mensonge qui combat la vérité résument toute la grande tragédie des siècles mais accomplit le projet pour lequel la dimension terrestre a été créée par Dieu. Il ne pouvait en être autrement. Et dans le message précédent, nous avons pu relever les « séparations » successives qui dans Genèse 1 conduisent à la « sainteté » de Genèse 2, des élus sélectionnés par Dieu chez lesquels il restaure en Jésus-Christ « son image ». Pour répondre à ses exigences, les élus doivent identifier le mensonge que Dieu condamne et c’est le rôle qu’il a voulu donner à sa prophétie biblique construite principalement sur Daniel et Apocalypse ; Daniel et Jean étant « deux prophètes » représentant des « deux témoins » bibliques de Dieu que sont, dans Apocalypse 11:3, les deux saintes alliances, l’ancienne et la nouvelle. A noter que ces deux livres, Daniel et Apocalypse, sont les plus ignorés par les lecteurs de la sainte Bible.

Le verset Apocalypse 13:6 mérite toute notre attention : « Et elle ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. »

Déjà la formule, « elle ouvrit sa bouche », établit un lien avec Daniel 7:8-20 : « Je considérai les cornes, et voici, une autre petite corne sortit du milieu d'elles, et trois des premières cornes furent arrachées devant cette corne ; et voici, elle avait des yeux comme des yeux d'homme, et une bouche, qui parlait avec arrogance. …/… et sur les dix cornes qu'il avait à la tête, et sur l'autre qui était sortie et devant laquelle trois étaient tombées, sur cette corne qui avait des yeux, une bouche parlant avec arrogance, et une plus grande apparence que les autres. » Dans ces versets, les « yeux » imputés à la Rome papale désigne sa voyance soit, sa prétention à la fonction de « prophétesse » qu’Apocalypse 2:20 lui impute : « Mais ce que j'ai contre toi, c'est que tu laisses la femme Jézabel, qui se dit prophétesse, enseigner et séduire mes serviteurs, pour qu'ils se livrent à l'impudicité et qu'ils mangent des viandes sacrifiées aux idoles. » Je précise que cette prétention apparaît dans le nom de son Etat soit, Vatican ; le terme « vaticiner » signifiant « prophétiser » dans son origine latine.

Dieu est donc lui-même directement la cible de ses mensonges et déjà, par le fait de prétendre le servir alors qu’il n’en est rien.

Elle « blasphème son nom » soit, ment au sujet de son caractère et de son comportement ; soit, tout ce qu’il représente et fait sa réputation. Ses persécutions dirigées contre les lecteurs de la Bible sont opposées au désir du vrai Dieu qui sélectionne ses élus par leur attitude fidèle envers sa sainte Bible. Autant le vrai Dieu est bon et miséricordieux, autant elle est cruelle et haineuse envers ses fidèles serviteurs qu’il bénit et sélectionne pour la vie éternelle. Alors que Jésus enseigne ses élus à pardonner les offenses venues de leurs ennemis, elle punit de mort ceux qui l’offensent en résistant à son autorité pour obéir au vrai Dieu.

Elle « blasphème son tabernacle ». Le « tabernacle » construit par Moïse n’était que l’image prophétique de l’Eglise du Christ, la vraie sainte Maison de Dieu. Appelé aussi « temple », ce « tabernacle » représente Jésus-Christ en personne selon ses paroles lancées en défit aux Juifs qui l’entouraient, citées dans Jean 2:19 à 21 : « Jésus leur répondit : Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai. Les Juifs dirent : Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce temple, et toi, en trois jours tu le relèveras ! Mais il parlait du temple de son corps. » Selon Ephésiens 5:23, l’Eglise est bien « le corps » de Jésus-Christ : « car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. »

Dans ses mensonges, la doctrine catholique conteste toute cette vérité qu’elle foule aux pieds en recherchant sa propre gloire et celle de ses dirigeants, les papes, les cardinaux et les évêques. Elle présente au monde son organisation comme étant la représentation de l’autorité de Dieu sur la terre. Elle a ainsi obtenu la crainte des rois et des seigneurs et celles des petites gens, tous trompés par les apparences. Mais ses excès de haine persécutrice ont dressé l’esprit libertaire contre elle, et contre le vrai Dieu dont elle se réclame. En conséquence, l’athéisme s’est développé, gagnant en Occident de plus en plus d’adeptes au fil du temps de la paix et de la liberté. Et contrairement à la cause du déluge d’eaux du temps de Noé, les humains d’aujourd’hui ne se rendent pas coupables de l’idolâtrie païenne polythéiste mais de l’athéisme et de l’esprit libertaire anarchiste. Se croyant libre en rejetant toutes les formes religieuses, l’humain rebelle de 2025, est plus esclave que jamais du péché qui le domine et dirige ses choix de vie.

Elle « blasphème ceux qui habitent dans le ciel ». Par cette expression, Dieu conteste les jugements établis par l’église catholique romaine. Dans sa doctrine, elle ajoute dans le ciel un lieu situé entre l’enfer et le paradis qu’elle appelle le « purgatoire » ; une nouvelle invention de Rome non héritée des Grecs qui n’ont inventé eux que le dogme des « enfers » créé par la synthèse de leur croyance dans l’immortalité de l’âme et le constat de l’existence du magma en fusion libéré par les éruptions volcaniques, nom tiré de leur dieu des enfers nommé Vulcain.

Il est temps de balayer cet amas d’ordures mensongères et de rendre au ciel, la description qui lui revient. Il n’y a dans le ciel, ni paradis, ni purgatoire, ni enfer et cependant il y a bien dans le projet de Dieu, un paradis et un enfer. Mais ce qui échappe à l’intelligence de ses ennemis, c’est que ce paradis et cet enfer ne prendront forme et réalité qu’avec le jugement dernier au cours duquel le feu de la « seconde mort » venu du ciel et du magma en fusion souterrain terrestre consumeront les rebelles, et toutes les œuvres de la terre, transformée dans l’action en étang de feu. Quand au paradis, il faudra attendre le renouvellement de l’aspect de la terre pour le trouver et y vivre. Le paradis fut terrestre au début de la création terrestre par Dieu. Il n’a jamais été céleste et ne se retrouvera que sur cette terre actuelle renouvelée et adaptée à la vie éternelle de ses habitants, Dieu et ses élus rachetés.

Le royaume des cieux où Jésus prépare une place pour ses élus selon Jean 14, n’est jamais appelé paradis dans les saintes Ecritures. Le lien qui est fait est la conséquence d’une tradition humaine longtemps entretenue par l’enseignement catholique romain. Le séjour des élus dans le royaume céleste de Dieu, est limité à « mille ans » consacrés au jugement des créatures célestes et terrestres rebelles. En ce qui le concerne, le paradis nommé « Eden » a au contraire une durée illimitée, le temps de l’éternité héritée par les bienheureux rachetés de Jésus-Christ, sélectionnés avant et après son ministère terrestre, pendant 6000 ans.

Dieu donne dans Apocalypse 12:12 cette précision : « C'est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer ! Car le diable est descendu vers vous, animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps. »

L’Esprit décrit ce qui est arrivé après la victoire du Christ sa mort et sa résurrection. En Micaël, Jésus-Christ a chassé du ciel Satan et ses démons célestes, le ciel a donc été entièrement purifié et ses habitants ont toute raison de s’en réjouir. Pourraient-ils réagir ainsi, s’il existait dans leur ciel, un enfer ou un purgatoire ? Evidemment non, et Dieu n’a jamais évoqué l’existence d’un purgatoire. Quand à son paradis et son enfer, j’en ai donné les explications, les deux sont terrestres, chacun en leur temps prophétisé par Dieu dans ses révélations pour le temps de la fin.

A la lumière d’Apocalypse 12:7 à 12, le ciel a retrouvé sa pureté et Satan et ses anges rebelles sont devenus terrestres, le ciel leur étant interdit. Le temps d’action qui leur reste au moment de leur expulsion du ciel, est de 2000 ans qui ont commencé le 3 Avril 30, jour de la mort de Jésus-Christ, mais en réalité, depuis le 20 Mars 30, jour du printemps de cette année 30 qui prévaut pour le temps compté par Dieu selon Exode 12:2 : « Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois ; il sera pour vous le premier des mois de l'année. ».

Le dogme catholique impute aux habitants du ciel la présence de créatures qui n’y sont pas encore, si elles doivent un jour s’y trouver. Pour les membres du catholicisme, le diable lui-même vit encore au ciel et Dieu supporte sa présence. Il impute aussi au ciel, la reine du ciel, « la Vierge marie » qui n’y est pas encore, car elle attend avec tous les vrais saints, le jour du retour en gloire de Jésus-Christ pour être ressuscitée. Ce sophisme diabolique séduit des multitudes de gens qui fondent littéralement devant son image et ce qu’elle représente de sainteté. La vision d’une femme, mère de Jésus, image de la douceur, captive les âmes trop sensibles et mal instruites bibliquement. Dans ce subterfuge, le diable réussit un coup de maître qui lui permet de dominer sur des multitudes d’esprits humains séduits et trompés que Dieu ne peut plus et ne veut plus protéger.

Le culte de cette fausse Marie simulée par des visions diaboliques est la conséquence directe de la croyance en l’immortalité de l’âme hérité du philosophe grec Platon. L’homme pécheur s’attache facilement à tous ce qu’il juge agréable et pour le diable, il est facile de l’appâter et de le prendre dans ses filets. Les êtres superficiels ont besoin d’asseoir leur foi sur des preuves visuelles, et la vision de la « vierge » que de nombreux témoins attestent est très consolante et fortifiante. Des multitudes de créatures humaines construisent ainsi leur foi religieuse sur la foi et les expériences d’autres créatures trompées par les ruses du diable. Un verset de la Bible cité dans Jérémie 17:5 prend alors toute sa valeur : « Ainsi parle YaHWéH : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour son appui, et qui détourne son cœur de YaHWéH ! »

Pour échapper à cette malédiction qui frappe et concerne toute l’humanité, il n’existe qu’un seul moyen, c’est de prendre appui sur Dieu en étudiant assidument, et aussi sérieusement que la situation le justifie, sa sainte parole biblique, sa seule écriture inspirée. Les catholiques qui ont aujourd’hui accès à la parole de Dieu, la sainte Bible, sont encore victimes du poids des années d’obscurantisme de ce régime religieux qui a construit sa force, sa puissance, et son prestige dans le mépris total des grandes vérités divines bibliques. Pour ces catholiques, la pensée du pape actuel est plus importante que tout ce que la Bible peut dire ou enseigner. La méfiance envers l’institution a d’autant plus disparu qu’elle ne persécute plus personne et se présente à l’inverse, victime des ennemis religieux musulmans qui l’agressent.

Avec Marie, la vierge, de multiples saints et saintes catholiques sont vénérés et adorés. Et il faut bien le constater, le « culte des anges » cachés derrière ces saints et saintes est devenu une normalité, bien que Paul ait mis les chrétiens en garde contre cette pratique dans Colossiens 2:18. Mais ce « culte des anges » est aussi amplifié par le désir de personnes inconsolables de reparler à leur cher défunt disparu. Et exploitant la croyance en l’immortalité de l’âme, les mauvais anges se jouent de la crédulité de leurs victimes et se font passer pour leurs chers disparus. Voilà comment le mensonge catholique conduit aux relations spirites post-mortem des foules de gens catholiques, protestants et autres religions maudites après le judaïsme.

A son tour, la religion protestante est restée prisonnière du mensonge en refusant de se conformer aux exigences de sainteté divines instaurées depuis le printemps 1843. La première exigence de Dieu a été la démonstration de la joie que l’annonce du retour de Jésus-Christ suscitait ou pas chez les Chrétiens de cette époque. Des annonces précises et datées pour 1843 et 1844 ont été faites sur le sol des USA. Ce n’était que le premier test de la foi de l’époque ; le deuxième concernant l’acceptation de la restauration du « repos du sabbat » du samedi, le vrai « septième jour ». Mais il est vrai que le premier test fut déterminant et que tous ceux qui ont méprisé l’annonce de la venue du Christ en 1843 ou en 1844 sont tombés en disgrâce quelle que soit la justification de leur comportement. Ce n’est que tardivement, que Dieu m’a donné de comprendre le vrai sens qu’il donne au sabbat et que révèlent clairement les deux versets cités dans Ezéchiel 20:12-20. L’homme n’a pas vraiment à choisir d’honorer le sabbat, parce que c’est Dieu qui le donne à ceux qu’il trouve dignes de sa « sainteté », puisqu’il est comme son adversaire, le dimanche romain, un signe d’appartenance ; « le sabbat », « le sceau de Dieu », pour Dieu, « le dimanche », « la marque de la bête », pour le diable. Pour être du nombre de ses élus rachetés, Dieu ne sélectionne que des êtres humains logiques et cohérents, conscients de la juste valeur de ses exigences au niveau général de « l’amour de la vérité », expression qui résume tout ce que doit être et ce que doit faire un élu du Christ. Celui qui invite ses élus à partager son éternité céleste ne peut que trouver chez eux, la joie suscitée par la pensée de son retour. Qui n’agit pas ainsi, est écarté et livré au diable ; ceci, en toute justice et logique.

Ecoute ce que Jésus dit dans Apocalypse 14:5 au sujet de ses derniers élus adventistes : « … et dans leur bouche il ne s'est point trouvé de mensonge, car ils sont irrépréhensibles. » Il précise encore dans Apocalypse 22:15 : «  Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ! » Derrière ce terme « impudiques » Jésus cible, en plus de « l’impudicité » charnelle, « l’impudicité » spirituelle qu’il impute, en premier, à l’église catholique romaine, et en second, aux religions, protestante, anglicane, et adventiste qui entrent dans l’alliance « œcuménique », avant son vrai retour glorieux final. Apocalypse 17:5 confirme l’accusation portée contre le catholicisme symbolisé par « la prostituée » « Babylone la grande » : « Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. » Il convient de relever combien les images proposées par Dieu trouvent dans l’histoire un sens justifié : l’origine du décret en 533 instaurant le régime papal romain est due à la « prostituée » nommée Théodora, devenue l’épouse de l’empereur Justinien 1er, et « amie » du premier pape en titre, nommé Vigile 1er, exerçant réellement l’autorité suprême papale à partir de 538.

Dieu a particulièrement marqué dans la nature le début de cette instauration papale, en plongeant la terre entière dans de profondes ténèbres glaciales, où selon les témoins historiques, « le soleil éclairait comme la lune » ; des ténèbres causées par les super-éruptions successives de deux volcans diamétralement opposés dans la zone équatoriale, le Krakatoa en Indonésie en Novembre 535, et l’Ilopango au Salvador en Février 536. Le froid intense a aussi caractérisé le long règne du roi catholique persécuteur Louis XIV, dit le « roi-soleil », qui a marqué l’apogée de l’outrance religieuse de ce régime papal romain.

Les mensonges religieux sont aujourd’hui, en 2025, propagés par les fausses revendications successives du judaïsme, et celles de toutes les dénominations chrétiennes officielles et non officielles autres que « l’adventisme du septième jour » dissident que je représente, étant depuis le 14 Juin 1980, jour de mon baptême, dépositaire des oracles divins et des prophéties bibliques dont je présente depuis 1982 de claires et limpides explications en harmonie avec la révélation biblique entière ; et ces interprétations ont été constamment confirmées et renforcées par les nouvelles inspirations divines, depuis ma radiation officielle en Décembre 1991. Je tiens mon ministère prophétique d’une vision directe divine reçue au printemps 1975. De telles déclarations m’engagent sous le regard de Dieu, et je le fais parce que je sais en qui j’ai cru et je connais celui qui m’inspire ses divines réponses qui éclairent ce qui est mystérieux et incompris.





M4- Le temps des monstres purificateurs


Les monstres dont je parle ne sont pas ceux de l’antiquité…et encore que, un lien peut aussi être établi avec ceux de l’antiquité. Les monstres que mes propos ciblent apparaissent comme le fruit porté par une lente mais constante conquête du capitalisme occidental anglo-américain. Il aura suffit de bénéficier d’une longue paix qui a succédé à la Deuxième Guerre Mondiale, pour que le pays sorti vainqueur soit, les USA, prenne l’aspect que nous voyons aujourd’hui.

Dieu m’a appelé au baptême le 14 Juin 1980 et au moment où je suis entré dans son service, le monde entrait, lui, dans l’ère informatique imposée par le progrès technique. Les USA ont accueilli les blouses blanches et grises les plus performantes de la terre entière, leur offrant de bons et gros salaires et toutes les commodités pour le développement de leurs recherches. Le résultat a été une avance de ce pays dans ce domaine d’avant-garde.

C’est dans la Silicon Valley qu’en la riche Californie se sont développés les derniers monstres de l’histoire. Je parle de monstres avaleurs de peuples transformés en marchandise nourricière.

Nous avons longtemps été conditionnés par l’organisation de l’ONU qui après l’ancienne SDN a tenté de favoriser les relations et les échanges internationaux. L’ONU a ouvert ses portes à toutes les nations indépendantes de la terre, libres ou pas. Mais il est important de le réaliser, cet ONU était organisée et dirigée par les USA, le pays vainqueur de la Seconde Guerre Mondiale, en marche vers sa domination hégémonique terrestre. S’appuyant sur sa victoire dans le Pacifique et en Europe, le nouveau géant américain a été suivi et obéi par toutes les nations européennes affaiblies et certaines dévastées, la France exceptée, dans un premier temps seulement, en 1958, quand le général de Gaulle est venu diriger son pays. Mais en 2007, le président Nicolas Sarkozy a tué cette indépendance en réintégrant la France dans l’organisation militaire de l’OTAN.

J’ai vécu toutes les phases de cette histoire française et européenne. Et j’ai vu comment le capitalisme américain a transformé la France. Les progrès techniques, réalisés aux USA, attiraient le regard des Occidentaux et séduisaient les populations ; après la radio et la musique turbulente de sa jeunesse, le réfrigérateur, la voiture, et la télévision, l’Occident était unanimement à l’image de son modèle. Jusqu’au 16ème siècle et même jusqu’en 1940, l’Amérique des USA était silencieuse et presqu’ignorée par les nations européennes. Et c’est avec raison que, dans sa révélation prophétique de Daniel 7:7, et Apocalypse 12:3, 13:1 et 17:3, Dieu ne fait référence qu’à cette puissance européenne convertie au catholicisme papal romain. Il illustre cette Europe soumise aux papes romains par l’image de « dix cornes », la « corne » étant le symbole d’une puissance agressive. Dans cette illustration, le régime papal agressif est représenté par une 11ème « corne » nommée, et c’est important, « petite corne » car paradoxalement, évoquant cette « petite corne », l’Esprit lui impute le fait d’être « plus grande que les autres ». Et en effet, faible par elle-même, la papauté domine les rois de la terre. Selon Daniel 7:24, les « dix cornes » vont sortir de l’empire romain et former dix royaumes indépendants qui désignent les ethnies qui peuplent l’Europe occidentale après la chute de l’empire romain ; dix ethnies qui peuplaient les terres des actuels onze pays européens : L’Espagne et le Portugal, l’Italie et la Suisse, l’Angleterre, la Hollande, la Belgique, le Luxembourg, la France, l’Allemagne et l’Autriche. Ces ethnies étaient bien au nombre de dix au moment de la chute de l’empire romain, mais pour Dieu ce chiffre « 10 » a été choisi en raison de la signification spirituelle des chiffres. « 10 », c’est 2 fois 5, et « 5 », c’est le chiffre de l’homme. Or, dans la statue de Daniel 2, les « pieds » sont composés « de fer et d’argile » soit, deux caractères humains opposés inconciliables ; ce que confirme le verset 43 : « Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. » Le chiffre « 10 » reçoit, ici dans Daniel 7, la même signification que celle des « 10 vierges » de la parabole de Jésus ; « 10 vierges » soit, « 5 folles et 5 sages ». Et ces proportions chiffrées ne représentent pas du tout le rapport réel des fous et des sages trouvés dans l’humanité, car les fous désignés par Jésus sont en réalité des gens normaux qu’il juge fous en raison de leur imprudence et de leur attitude rebelle envers lui. Et cette catégorie de personne désigne la presque totalité des humains occidentaux et des autres peuples de la terre. Les chiffres symboliques sont donc très trompeurs.

La domination universelle a été donnée par Dieu aux peuples faussement chrétiens mais chrétiens tout de même. Dans l’infidélité du catholicisme romain, les royaumes et nations actuelles de l’Europe ont pu recevoir par la colonisation les royaumes de la terre offerts par le diable à Jésus-Christ au moment de sa tentation. Pour obtenir cette domination, il lui suffisait de se prosterner devant le diable soit, exactement ce que le monde occidental a fait en reconnaissant la légitimité de la religion catholique romaine. Il y a 26 siècles avant notre temps actuel, Dieu a appelé Daniel pour lui révéler en image le destin de la religion juive et celui de la religion chrétienne. La prophétie divine ne quitte jamais ce thème religieux chrétien. En agissant ainsi, Dieu témoigne d’un total mépris et désintérêt pour tout ce qui n’est pas chrétien. Et ce comportement est des plus logiques, après que Jésus ait déclaré : « Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie ; nul ne vient au Père que par moi ». Son combat contre le diable ne concerne que ses trompeuses contrefaçons religieuses chrétiennes ; la première étant catholique et romaine. Mais dire que Christ combat le diable n’est pas vraiment juste, car son combat vise à protéger ses saints élus et non à combattre le diable qu’il a laissé libre d’agir afin que les humains impies le rejoignent dans sa rébellion et partagent son triste sort final au jour du jugement dernier.

Le premier monstre de l’histoire européenne chrétienne est sans contestation possible, le régime impérial romain que Dieu illustre dans Apocalypse 12:3 : « Un autre signe parut encore dans le ciel ; et voici, c'était un grand dragon rouge, ayant sept têtes et dix cornes, et sur ses têtes sept diadèmes.» Ce grand et terrible monstre décrit comme tel dans Daniel 7:7 : « Après cela, je regardai pendant mes visions nocturnes, et voici, il y avait un quatrième animal, terrible, épouvantable et extraordinairement fort ; il avait de grandes dents de fer, il mangeait, brisait, et il foulait aux pieds ce qui restait ; il était différent de tous les animaux précédents, et il avait dix cornes. » Et Daniel 7 :24 confirme sa succession par « dix royaumes » européens soumis à la Rome papale : « Les dix cornes, ce sont dix rois qui s'élèveront de ce royaume. Un autre s'élèvera après eux, il sera différent des premiers, et il abaissera trois rois. » Le régime papal romain succède donc au régime impérial en prolongeant sa force brutale, terrible et extraordinairement forte. A noter que le quatrième animal prolonge sa domination jusqu’au temps de la fin, par la succession de ses deux régimes, successivement, impérial, puis, papal. Toutes les colonisations réalisées sur la terre ont été européennes. C’est ainsi que ce petit territoire placé au centre du monde a imposé sa domination et conquis d’immenses terres découvertes telles les Amériques, l’Afrique, l’Inde et l’Australie.

Le temps de la colonisation a préparé la chute du deuxième monstre formé par les nations républicaines européennes. La guerre interne de 14-18 et celle de 39-45 ont fait perdre aux nations des colons la dignité de leur autorité. De plus, les pays colons ont préparé leur perte en instruisant les populations colonisées. Des étudiants formés en France sont devenus les chefs des forces d’indépendance des nations colonisées et les unes après les autres, toutes ou presque ont obtenu par le sang ou pas leur indépendance. Le monstre s’est brisé les dents.

Cependant, ces deux guerres qui ont brisé la puissance européenne, ont enrichi les USA qui fournissaient des armes, du matériel, en grandes quantités. Le réveil de ce géant a eu deux causes : dans l’Océan Pacifique, l’attaque de Pearl Harbor par les Japonais le Dimanche 7 Décembre 1941, à 10 heures du matin, à l’heure du rassemblement religieux dans les temples et églises locaux ; et les attaques des convois américains par les sous-marins allemands, dans l’Océan Atlantique. La capacité productive exceptionnelle des USA s’est révélée dans son engagement guerrier. Un nouveau monstre était en croissance.

En 1944, les USA combattent l’Allemagne et le Japon sur les deux champs de bataille, l’Européen et le Pacifique, et remportent finalement la victoire contre les deux ennemis. Dès lors, le monstre domine toutes les nations mais il se contente de les coloniser idéologiquement en leur imposant ses valeurs capitalistes. Le monstre n’a qu’un ennemi, le communisme apparu dans la Russie soviétique. Evitant le choc direct avec la Russie, pendant la « guerre froide » le combat oppose les deux idéologies contraires dans les pays qui soutiennent la cause communiste. Après de nombreuses initiatives meurtrières, les USA mettent eux-mêmes fin à leur guerre tueuse. Dans le même temps, de nouveaux monstres concurrents se sont développés en Chine, puis en Inde, principalement.

Dans le monde de 2025, les petites nations sont écrasées et méprisées. L’heure est favorable aux monstres très puissants. L’Europe, elle-même, est devenue trop faible, affaiblie par sa perte d’emploi, son chômage, et sa consommation presqu’exclusive de produits fabriqués en Asie. L’Europe occidentale, Union Européenne, Royaume-Uni, Suisse et Norvège, s’est trompée en fondant sa force sur ses 535 millions d’habitants. En face d’elle se trouvent l’Inde et la Chine qui comptent chacune plus d’un milliard quatre cent millions d’êtres humains. Mais en 2025, ce nombre d’habitants ne signifie plus rien, et les dirigeants européens découvrent horrifiés qu’un petit pays, comme la Corée du Nord, agressif et surarmé, est plus redoutable que toute l’Europe réunie.

Le fractionnement des pays du monde sépare le camp occidental du camp oriental dominé par la Russie et ses alliés. La prochaine Guerre Mondiale se présente comme le choc des Titans, et je peux seulement maintenant comprendre pourquoi, dans sa prophétie de la sixième trompette, Dieu insiste sur la force et le pouvoir destructeur des puissances engagées dans la guerre. Et dans sa description, Dieu insiste sur la force et la puissance détenue par les seuls dirigeants de ces blocs monstrueux qui s’affrontent avec rage et haine.

En 2025, en ce jour du Lundi 20 Janvier, aux USA, le nouveau président Donald Trump prête serment devant sa nation. Son élection redoutée par les Occidentaux est ainsi confirmé, et s’ils la redoutaient, c’est parce que le nouveau président n’a rien caché de ses intentions concernant son programme politique. Et la seule image que je donnerai à cette situation, c’est le retour dans l’arène d’un taureau furieux décidé à venger les multiples attaques qu’il a subies de la part du camp de son prédécesseur, Joe Biden, le démocrate. De plus, il a entendu les commentaires hostiles des Européens. Etant soutenu cette fois par les trois chambres politiques américaines, il est bien décidé à mettre en œuvre les choses qu’il a annoncées jusqu’au soir de la veille de sa prestation de serment. Et ces mesures qu’il veut instaurer sont à l’opposé de l’humanisme apprécié dans le camp occidental. L’homme normal ne comprend pas ce changement brutal qui se produit aux USA, et c’est normal. Car c’est uniquement en Dieu que ces choses trouvent leur explication. L’élection d’un homme différent est pour lui le moyen d’imposer à l’humanité son programme conçu depuis la fondation du monde.

Pendant de longues années de paix, le capitalisme a tissé sa toile en favorisant le développement de la science informatique et de ses services internet adoptés par toutes les nations de la terre. Et dans cette puissance exclusive, les inventeurs américains se sont fabuleusement enrichis et constituent de nouveaux monstres qui s’imposent aux nations devenues dépendantes de leur service. Les USA rassemblent les multimilliardaires les plus riches de la terre. Le libéralisme de ce capitalisme a favorisé la croissance constante de ces fortunes portées par un seul homme. Les USA recueillent aujourd’hui, les avantages de leur choix de ne pas favoriser l’étalon or, et de choisir leur Dollar qui l’a remplacé. A l’origine de ce changement se trouve ce raisonnement des Américains qui ont estimé que valoriser l’or ne suffisait pas. Et l’actualité leur donne raison, car la vraie richesse n’est pas dans l’or mais dans la capacité technique et les systèmes qui font la richesse de ce pays. Et il est vrai que cette richesse est vulnérable et fragile, mais ses services internet étant devenus indispensables, ses entreprises informatiques sont solides et résistantes.

La vraie puissance des USA ne repose pas sur ses stocks de lingots d’or inutilisés, mais sur le caractère indispensable de sa technologie mise au service de toutes les nations riches. Les nations se retrouvent dans l’état de ce drogué devenu dépendant de sa drogue, et pour elles, cette drogue indispensable se nomme internet, Google, Microsoft, Amazon et détenue par le seul Elon Musk, l’offre Starlink.

Les nations européennes ont été hameçonnées les unes après les autres par l’offre internet de Microsoft et au grand regret des personnes âgées comme moi, cette technologie a été adoptée, tuant l’ancien système qui offrait des services humains directs multiples. Le robot informatique tue le service humain et le remplace, déshumanisant les relations humaines. Ainsi, avant que des armes nucléaires s’en chargent, les êtres humains sont détruits psychiquement par la robotique. Le problème du progrès technologique, c’est que personne ne peut l’arrêter sans détruire l’humanité entière. La nouveauté appréciée dès son invention finit par détruire l’esprit et la mentalité des êtres humains. Et les jeunes qui naissent avec ces choses les considèrent comme leur normalité et ne pensent qu’à pousser encore plus loin leur développement.

Dieu est donc contraint à intervenir pour bloquer cette expansion constante. Et ce moyen est l’élection d’un homme agressif, décidé à privilégier le sort de son seul pays : « America First ». Son succès électoral s’explique par les conséquences portées par la gouvernance humaniste du camp démocrate. Ce sont les excès abusifs qui provoquent le besoin de mesures inverses. L’humanisme démocrate a favorisé les relations internationales de l’Amérique avec les Européens qui l’ont rejointe aux côtés de l’Ukraine contre la Russie. Mais cet humanisme a favorisé l’entrée illégale de nombreux immigrés mexicains sur le sol américain. Cet excès est insupporté par les nationaux qui imputent à ces immigrés des actes délinquants et leur insécurité. Aussi, quatre ans plus tard, ils votent massivement pour le président républicain qui revient au pouvoir, hostile envers l’Europe et la Chine, et décidé à mettre fin à l’immigration mexicaine et plus largement sud-américaine catholique.

Ce qui se produit aux USA, explique la croissance du parti nationaliste français, le R.N. de Marine Le Pen. Le même problème de l’immigration provoque la même réaction hostile envers les immigrés. Mais en France, le R.N. est combattu par une majorité prête à s’allier contre lui dans les élections, et le vote à deux tours des élections françaises bloque systématiquement son accès au pouvoir. En plus de cela, l’installation en France de nombreux autres habitants des nations européennes change les proportions des électeurs. Aux USA, la détermination des patriotes américains est bien plus grande et plus vive en raison du caractère plus dur des Américains du camp républicain.

Depuis son origine, l’Amérique s’est formée par un rassemblement de gens venus de toute la terre, c’est pourquoi, le droit national de gens ethniquement différent est resté légitime et justifié. Mais le racisme latent de certains blancs américains ne peut être nié, et en témoigne, dans un passé pas si lointain, le succès momentané du Ku-Klux-Klan persécuteur des Noirs. Il ne faut pas oublier le fait que depuis son instauration, l’expérience américaine renouvelle l’expérience de la « tour de Babel », en rassemblant en son sein des êtres humains séparés mentalement par de multiples critères. Le choc de ces pensées contraires était inévitable et le niveau de l’insupportable étant atteint, le bloc, le plus riche et influent, retrouve le soutien majoritaire populaire. A la société soumise aux compromis constants vient s’opposer un régime « droit dans ses bottes » qui n’entend pas gouverner par des compromis, mais par des décrets. Le président Donald Trump incarne le changement absolu dans lequel les Américains placent leur espoir sociétal.

Dieu organise la vie terrestre humaine, puissamment et souverainement. C’est donc lui qui crée les conditions et les formes des changements qu’il juge nécessaire. C’est là qu’il faut relever ce qui caractérise son nouvel instrument, Donald Trump. Ce n’est pas un homme politique mais un homme d’affaires immobilières que son métier a enrichi. Or par cette origine, ce président ne peut être que pacifiste sans être pacifique. Il sait que la guerre est néfaste pour les échanges commerciaux internationaux, et son Amérique ne s’enrichit que par ce commerce international. Il ne fera donc rien qui favorise la guerre et fera tout son possible pour obtenir l’arrêt de celles qui sont engagées en Ukraine et à Gaza. Mais son possible n’inclut pas un engagement guerrier. Confiant dans la puissance mondiale des USA, il ne fera appel qu’à la pression commerciale. Et j’entends déjà sur les plateaux télévisés des journalistes et des consultants qui confondent leur espérance avec la réalité des faits. Au sujet de la guerre en Ukraine, Donald Trump dit à Vladimir Poutine que par sa guerre il détruit sa Russie. Et ce constat n’est pas faux, mais dans ses propos, il ne menace pas la Russie comme l’entendent certains commentateurs. Il est donc vrai que la fabrication des bombes absorbe des capitaux qui manquent ensuite pour les dépenses sociales nationales. Sauf, qu’étant engagé dans cette guerre à cause des agressions ukrainiennes contre des Russes ukrainiens par sa victoire contre l’Occident, Vladimir Poutine peut espérer se faire rembourser toutes ses dépenses militaires. En fait, Donald Trump a fait de la paix universelle, le programme de son combat présidentiel. Mais il ignore le projet de Dieu qui est tout autre et va le découvrir dans le temps qui vient. Et il ignore le rôle principal que Dieu lui fait jouer dans son programme, car lui qui ne veut que la paix universelle, vient au pouvoir pour la faire cesser.

Dès son premier mandat, il y a huit ans, son nom « Trump » m’a permis de reconnaître en lui l’homme que Dieu va utiliser pour mettre en œuvre son châtiment de la « sixième trompette » car le mot anglais « trump » signifie : trompette. Or, ce n’est pas en entrant dans la guerre que les USA vont déclencher la guerre, c’est paradoxalement, en étant déterminé à ne pas se laisser engager avec ses troupes dans le moindre conflit. Car son retrait, prive l’Europe occidentale de son soutien et la livre aux assauts russes. Les chances européennes sont nulles en raison de la division interne du camp européen. L’Europe désunie est placée entre les USA réellement unis et la Russie unifiée sous le commandement de son président perpétuel. Et quand les monstres se confrontent le pouvoir décisionnaire unique est un avantage indéniable.

Le Lundi 20 Janvier 2025, aura été marqué par des images étonnantes de ce président sorti d’une activité commerciale et soutenu publiquement par un groupe des plus riches milliardaires américains, enrichis par le développement et l’exploitation universelle de la technologie numérique. Tous ces gens ont des raisons d’empêcher la guerre mondiale. Mais, leur désir n’est pas celui du Dieu vivant ; ils vont le découvrir, pleins d’amertume dans les années qui sont devant nous. Les Européens sont donc prévenus et déjà depuis longtemps, et ils vont devoir s’organiser pour résister seuls à leurs ennemis ; la Russie et l’islamisme terroriste guerrier.

En Ukraine, la guerre se prolonge uniquement à cause des fournitures d’armes données aux armées ukrainiennes par le camp occidental de l’OTAN et de l’U.E. C’est pourquoi, le combat s’éternise sur une ligne frontale. Le retrait des USA change les données de la situation, car isolée, l’Europe est affaiblie et devient une cible pour la vengeance russe. Or, la Russie peut bénéficier d’une attaque globale contre l’U.E. et l’OTAN européen. Les normes guerrières seront changées et le rôle des sous-marins russes peut permettre de multiples invasions du sol de l’U.E. La Russie bénéficiera de ces multiples moyens d’agressions dont elle dispose ; sous-marins, et missiles hypersoniques invulnérables. Face à cette multiplication de lieux d’attaques, les armées européennes seront incapables de les repousser toutes. Et la loi du nombre, livrera l’Europe au vainqueur russe.

Mais pour que ce sinistre scénario s’accomplisse, il faut que l’Europe soit agressée sur son sol, par l’islamisme terroriste dans les régions du Sud. Cette attaque changera les données de la situation européenne, et le président Poutine trouvera là une opportunité favorable pour une attaque du camp occidental européen.

Que sont les guerres, sinon des signes visibles révélant la colère de Dieu dont la malédiction pèse sur tous les peuples de la terre ? Ce verset cité dans 2 Chroniques 1:9 confirme mes propos en disant au roi Asa : « Car YaHWéH étend ses regards sur toute la terre, pour soutenir ceux dont le cœur est tout entier à lui. Tu as agi en insensé dans cette affaire, car dès à présent tu auras des guerres. » C’est la paix que nous devons trouver étonnante et anormale, car pendant les 6000 ans d’histoire terrestre, l’humanité coupée de Dieu n’a connu que des guerres. et dans Daniel 9:26, Dieu dit : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » Jésus précise dans Matthieu 24:6 à 8 : « Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres : gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des douleurs. »

Je suis troublé par la précision donnée par Jésus qui dit : « nation contre nation » car notre actualité donne ce rôle à l’Ukraine et la Russie. Et cette vision des choses semble s’imposer par le fait que Jésus répond à la question de ses disciples qui lui disent au verset 3 : « Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » Jésus, élargit-il sa réponse en évoquant les persécutions qui se sont prolongées au long de l’ère chrétienne ? Si ce n’est pas le cas, alors tous ses propos nous concernent et vont s’accomplir dans les cinq ans qui sont devant nous. Cependant, les réponses données par Jésus semblent bien répondre, en premier, au sort imminent réservé à ses apôtres, si l’on tient compte de ces versets 15 et 16 : « C'est pourquoi, lorsque vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, que celui qui lit fasse attention ! Alors, que ceux qui seront en Judée fuient dans les montagnes ; … » Ainsi, Jésus répond prioritairement à l’inquiétude de ses apôtres et il nous annonce en même temps, que la persécution de ses élus durera jusqu’à la fin.

Il convient donc de s’interroger sur le sens que Dieu a voulu donner à la longue paix instaurée en Europe depuis 1945 jusqu’en 2022. Ce qui est certain, c’est qu’elle ne constitue pas le signe de sa bénédiction des peuples concernés. En fait c’est même le contraire soit, le signe de la malédiction si l’on tient compte du raisonnement suivant. Dans le passé, la fréquence resserrée des guerres empêchait le développement du mal. La longue paix dont nous avons bénéficié est une paix opportuniste qui offre à Dieu la possibilité de laisser le mal atteindre son apogée. Et c’est bien ce qui s’est accompli comme nos dérives mentales sexuelles sociétales le prouvent depuis 2012 en ce qui concerne la France. Dix ans plus tard, la guerre a commencé en Europe, entre l’Ukraine et la Russie en signe que l’apogée du mal était atteint.

Que cherche Dieu dans les guerres ? Des morts et encore des morts ; 60 millions de morts dont 6 millions de Juifs dans la Seconde Guerre Mondiale. Et le génocide des Juifs n’avait pour but que de faire porter à leurs survivants la responsabilité de tous les problèmes posés aux nations occidentales, jusqu’au « temps de la fin » marqué par la « Troisième Guerre Mondiale » décrite dans Daniel 11:40 à 45. La forme concrète de cette malédiction internationale repose sur le retour des Juifs sur leur ancien sol national repeuplé par des arabes musulmans pendant leur dispersion. Au nom de Jésus-Christ, le Dieu créateur organise de la sorte un sujet de dispute insoluble entre les Juifs et les Musulmans palestiniens. Et les conséquences de ce drame ciblent les nations occidentales infidèlement chrétiennes.

Depuis qu’ils ont dit à Ponce Pilate au sujet de Jésus-Christ, « Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! », les Juifs ont été porteurs de la malédiction de Dieu qui veille à ce que leurs propos soient accomplis. Pendant tout le règne papal persécuteur, les Juifs hollandais ont été les banquiers qui finançaient les guerres des rois européens. Et le retour des Juifs en Palestine en 1948 est encore dû à la puissante et riche communauté juive installée aux USA où règnent des banques juives qui financent les activités du monde entier et particulièrement celles de l’Europe occidentale.

Ne dit-on pas que « l’argent est le nerf de la guerre » ? Et ce sont les banques juives qui le possèdent. La puissance actuelle des USA est en grande partie entre leurs mains. C’est ce qui explique le soutien inconditionnel d’Israël par les USA, aujourd’hui comme hier. Les Juifs sont les meilleurs agents du capitalisme américain qui a formaté l’Allemagne hitlérienne vaincue. Un lien a été tissé entre l’Allemagne et les USA, et la France a renoncé à son indépendance pour créer avec cette Allemagne capitaliste, l’Europe Unie actuelle qui regroupe les nouvelles conquêtes de ce capitalisme insatiable. La conquête de l’Ukraine a été le pas de trop ; celui où l’on s’achoppe, se ruine, et se détruit en se fracassant contre la Russie et ses alliés.

Les valeurs du monde et celles de Dieu sont diamétralement inversées. Aussi, ce que le monde appelle des monstres, Dieu les nomme « agents purificateurs », car ils n’ont pour mission que de détruire les nations chrétiennes rebelles et incrédules qui le déshonorent par leurs œuvres abominables.

Je relève dans les dernières nouvelles, ce fait vécu aux USA. Au nom de la compassion, une femme, évêque épiscopale de Washington, a plaidé dans sa messe en faveur des gays, des lesbiennes et des transsexuels qui s’inquiètent ; ceci, en présence du président Trump qui est sorti du lieu très contrarié. J’ai pour lui une réponse à laquelle il ne pense pas : « Quand la religion plaide en faveur de l’abomination, est-elle encore la religion ? » Ce qui est relevable, c’est qu’après le président russe orthodoxe, le nouveau président des USA dénonce et veut combattre les dérives homosexuelles abominables que l’Europe occidentale continue de justifier ; c’est dans ce sens qu’ils constituent des « monstres purificateurs », après Adolf Hitler. Ces monstres tueurs sont loin d’être parfaits mais ils n’en sont pas moins, les instruments de la colère divine, comme dans la Révolution française, l’athéisme le fut pour la monarchie catholique. Proposant de mettre en parallèle les « trompettes » d’Apocalypse 8 et 9 avec les « châtiments » annoncés pour Israël dans Lévitique 26, Dieu définit dans le verset 25 le rôle qu’il donne à son « sixième châtiment » : « Je ferai venir contre vous l'épée, qui vengera mon alliance ; quand vous vous rassemblerez dans vos villes, j'enverrai la peste au milieu de vous, et vous serez livrés aux mains de l'ennemi. » Tel est son programme imminent pour l’U.E. et ses habitants.





M5- Les répétitions de l’histoire



Le grand Dieu créateur a montré sa sagesse en faisant écrire des expériences vécues par l’humanité depuis la formation du premier homme, Adam. Il a choisi ce qui devait être écrit et ce qui ne devait pas l’être. Ceci dans le but de donner à ses élus la possibilité d’enregistrer des leçons concernant des situations qui pouvaient ou devaient se représenter au fil du temps de l’histoire terrestre.

Voici une application de ce principe. Dieu a annoncé à Abraham qu’il donnerait la terre de Canaan à sa prospérité « dans quatre générations », précisant que « l’iniquité des Amoréens » n’était « pas encore à son comble ». Et les choses se sont accomplies comme Dieu l’avait prédit. 400 ans environ plus tard, Dieu a détruit les géants qui peuplaient Canaan, livrant ainsi la terre de Canaan à son Israël. L’Esprit de Dieu m’a permis de relever une analogie entre cette expérience antique et celle de la terre américaine des USA. Car aujourd’hui en 2025, quatre cent ans se sont écoulés depuis le début du XVIIème siècle où cette terre américaine a recueilli des européens persécutés, migrants arrivés sur le navire nommé « Mayflower » en 1620. Je relève cet autre analogie entre l’Amérique dont le nom évoque l’amertume et Canaan, le fils de Cham, que Noé avait maudit. En fait, les chrétiens protestants venus s’installer aux USA fuyaient les persécutions catholiques pratiquées en Europe. Et d’autres en plus grand nombre sont venus pour trouver la liberté et le profit. La vie était dure et les humains immigrés étaient aussi durs et méchants. En peu de temps, la terre américaine a été ensanglantée peuplée de meurtriers. La religion protestante portait un fruit amer hérité de son fondateur Jean Calvin. On a souvent comparé l’Amérique à la terre promise, la nouvelle « Canaan ». Hélas, cette « Canaan » reproduisait la méchanceté des géants Cananéens et n’avait rien de ressemblant avec le paradis de Dieu. Cette nouvelle « Canaan » avait donc elle aussi devant elle quatre générations avant que Jésus-Christ ne la détruise par l’éclat de son avènement le 20 Mars 2030 ; moment ou les élus de Jésus-Christ entreront, eux, dans la « Canaan » céleste où la méchanceté n’est plus depuis la victoire de Jésus-Christ et son expulsion du ciel de Satan et ses anges rebelles soit, depuis le « dimanche » 7 Avril 30, le premier jour de la semaine juive divine, en lequel Jésus devait se présenter dans le ciel au Père et à ses saints anges pour être intronisé.

La comparaison de l’Amérique avec Canaan est justifiée puisque le nom Canaan signifie : marchand, commerçant soit, ce qui caractérise parfaitement les USA organisateur des règles de l’OMC, l’Organisme Mondial du Commerce ; les « marchands de la terre » que Dieu cite dans Apocalypse 18:11 : « Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à cause d'elle, parce que personne n'achète plus leur cargaison, …».

L’histoire terrestre est celle de cette méchanceté apparue avant la création terrestre dans l’esprit du premier rebelle, Satan le diable qui fut la première créature céleste créé par Dieu. De même, dans l’expérience terrestre, sur les deux premiers fils qu’ont eus Adam et Eve, l’aîné nommé Caïn fut le premier meurtrier de l’histoire terrestre, en tuant par jalousie son frère Abel. La méchanceté était donc créée avec la liberté donnée par Dieu à sa première créature et jusqu’à la dernière, comme une conséquence de cette liberté. Et dans le temps, cette méchanceté n’a fait que croître. Nous avons vu, dans un message précédent comment le récit de la création terrestre présenté dans Genèse 1 donne aux 5 premiers jours de cette œuvre divine la création des symboles prophétisant des entités humaines porteuses de la méchanceté soit, du péché. Tous ces symboles sont utilisés par Dieu dans sa révélation Apocalypse et se résument, depuis le pire jusqu’au meilleur, par l’athéisme de « l’abîme », le catholicisme de « la mer », le protestantisme de « la terre ». Et enfin en dernier, « l’homme » de l’adventisme du septième jour dissident des tous derniers jours. En réalité, le mot « abîme » symbolise l’absence de relation avec Dieu soit, le paganisme religieux et l’athéisme que Dieu juge de la même manière et dont la fin des deux est la « perdition ». C’est pour cette raison que Dieu dit dans Apocalypse 17:8 au sujet du catholicisme, première apostasie et forme du christianisme de la « bête qui monte de la mer » d’Apocalypse 13:1 : « La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. »

Ce verset nous donne les clés de l’interprétation des trois « bêtes » citées dans Apocalypse. Mais il cible essentiellement les deux « bêtes » chrétiennes d’Apocalypse 13, que sont « la bête qui monte de la mer » soit, le catholicisme persécuteur qui était et n’est plus jusqu’à « la bête qui monte de la terre » soit, le protestantisme persécuteur qui va apparaître à la fin du monde. Et dans ce verset, l’Esprit souligne le privilège qu’il donne à ses élus adventistes qui seuls savent, par la prophétie, que la religion protestante animera la dernière persécution terrestre. En inversant la forme, l’Esprit veut mettre en évidence le privilège exclusif de ses saints élus dont « le nom a été écrit dans le livre de vie dès la fondation du monde ». Et leur privilège est d’être éclairés par « le témoignage de Jésus ».

La persécution est la forme prise par la méchanceté d’un régime fort, décidé à imposer ses valeurs et sa norme religieuse à toute l’humanité sur laquelle il règne. Le méchant ne supporte pas la contradiction et ne se laisse pas raisonner. Se sentant fort, il n’a recours qu’à la force pour contraindre à l’obéissance ses opposants. Alors que la vraie religion tient compte des normes établies par Dieu, la fausse religion est faussement religieuse, parce que ceux qui la dirigent ne donnent aucune importance à ce que Dieu pense et approuve. Des gens s’engagent dans la religion sans savoir pourquoi ils le font. Ils sont manipulés et poussés à prendre des décisions que les démons leur font croire être les leurs, alors que les idées apparues dans leur pensée sont inspirées par le diable et ses anges rebelles. Dès qu’ils sont engagés, ils défendent bec et ongle le camp auquel ils appartiennent. Et la haine qu’ils ressentent envers ceux qui leur résistent leur est également inspirée par les méchants anges rebelles. Le premier meurtrier de l’histoire humaine soit, Caïn fut la première victime de cette méchanceté inspirée par les démons et Dieu confirme cette chose en disant dans Genèse 4:7 : « Certainement, si tu agis bien, tu relèveras ton visage, et si tu agis mal, le péché se couche à la porte, et ses désirs se portent vers toi : mais toi, domine sur lui. » Ce verset devient très clair, en le traduisant ainsi : « Satan se couche à la porte et ses désirs se portent vers toi ; mais toi, domine sur lui ». Dans ce verset, « la porte » désigne la pensée et la volonté personnelle de Caïn qu’il peut opposer, s’il le veut vraiment, aux attaques du diable qui l’incite à « pécher » contre Dieu. En lui disant : « mais toi domine sur lui », Dieu affirme que l’homme a la possibilité de résister au diable. Mais pour résister au diable, il faut déjà savoir que nos pensées peuvent être celles du diable qui a la capacité de s’emparer de notre esprit et d’alimenter nos pensées et nos réflexions intérieures mentales.

Le problème de notre humanité c’est qu’elle ne donne de l’importance qu’à ce qui est visible ou capté par nos cinq sens : la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût et le toucher ; alors que le plus important est invisible parce que spirituel. Et c’est précisément dans l’esprit de chacun de nous que se livrent les plus importants combats entre Dieu, le diable et nous-mêmes.

Dans le passé, au temps de l’obscurantisme religieux du catholicisme romain, la coalition formée par la monarchie et l’église papale qui réunies constituent la « bête », avait recours à la torture pour contraindre ses opposants à abjurer leur foi résistante. Le premier roi, particulièrement rebelle, nommé Philippe V dit le Bel, fit brûler sur un bûcher le chef des Templiers, Jacques de Molay. Pour instaurer ce type de châtiment, le diable et ses démons ont provoqué des scandales dans l’église catholique elle-même. Dans un couvent, des sœurs religieuses furent saisie de frénésie démoniaque qui ont particulièrement irrité ses dirigeants. De plus, dans la population française totalement inculte, la religion était représentée par le prêtre local et la hiérarchie du clergé. Pour ces personnes incultes, le mot vérité n’avait pas de sens, car ils ignoraient et la Bible et son contenu ; ils ne connaissaient que le prêtre serviteur du pape qui prétendait représenter Dieu sur la terre. Leur soumission au système catholique était d’autant plus obtenue qu’ils voyaient les rois et les seigneurs eux-mêmes se soumettre à l’autorité papale. Cependant, des gens se livraient à la sorcellerie punie du bûcher par l’église. Et la majorité des gens du peuple trouvait juste ces châtiments faits au nom de Dieu et pour sa gloire. L’église profita de ce soutien populaire pour conduire au bûcher ses opposants religieux, accusant même les prophètes de Dieu d’activité diabolique, à l’image des vrais sorciers. Les masses populaires ignorantes et totalement incultes ne faisaient pas la différence et soutenaient donc la persécution croyant honorer Dieu. Et partiellement, lorsque les victimes étaient de vrais sorciers ou sorcières, l’exécution mortelle était divinement légitimée. Mais souvent, l’église de l’inquisition a confondu des activités naturelles comme la préparation des essences des plantes à des actions de sorcellerie, injustement.

Cet exemple montre combien l’ignorance spirituelle est dommageable pour l’être humain qui se laisse ainsi manipuler par le diable et ses démons, les véritables auteurs des crimes qu’ils font exécuter par leurs agents humains. Dieu a donc bien raison quand il exalte « l’intelligence » dans Daniel 12:3 et 10 : « Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité …/… Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. »

Ce mot « intelligence » est repris aujourd’hui pour l’imputer aux puissants microprocesseurs informatiques qui n’ont d’intelligence que la capacité de mémoriser d’innombrables données que l’homme fait entrer dans leur mémoire artificielle électronique. Les plus récents sont extrêmement performants et sont capables d’annuler les barrières linguistiques créées par Dieu au temps de la tour de Babel. Ce fait doit être pris en compte pour comprendre la vraie nature du progrès technique réalisé. Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale et le relèvement des ruines dues aux combats, les nations occidentales n’ont fait que progresser dans la maitrise technologique ; organisant ainsi la préparation de leur dernière bataille menée contre Dieu et ses normes du bien et du mal. Et sur ce sujet, l’I.A. est incapable de prendre une position personnelle, car elle ne peut donner pour réponse que la position de l’homme qui l’a programmée.

Au contraire de la machine, l’esprit humain a la vie, la vraie, celle qui permet de relever les jeux d’esprits et d’éprouver des sentiments. Et seule cette forme de la vie est capable d’apprécier ou pas, les subtilités du montage prophétique proposé par Dieu à ses appelés rachetés par le sang de Jésus-Christ versé pour expier les péchés de ses seuls vrais élus. Dans cette vie réelle, Jésus a dit à ses disciples dans Jean 6:63 : « C'est l'esprit qui vivifie ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie. » Il y a donc à côté du langage ordinaire, un deuxième langage qui est, lui, spirituel, et qui se base sur des symboles et des images comparatives présentés par Dieu. Ce langage fut magnifiquement et sublimement utilisé par Jésus-Christ dans ses nombreuses paraboles que l’I.A. est incapable de discerner et apprécier. L’intelligence, la vraie, ne se trouve que sous la forme du raisonnement et de la capacité de déduire des réponses justifiées moralement par des arguments. Mais cette intelligence humaine fonctionne très lentement et l’aide de l’I.A. est sur le plan de la vitesse infiniment précieuse et supérieure. L’I.A. est déjà appréciée, à en juger par le succès évident des ordinateurs que j’utilise et apprécie, en premier. Mais, cette invention détourne les êtres humains de l’essentiel, leur connaissance du jugement de Dieu qu’ils ignorent et continuent d’ignorer, parce que l’usage immodéré de l’ordinateur et du téléphone numérique portable captive leur intérêt et tout leur temps. C’est pourquoi je relève dans la sainte Bible, la mise en garde de Dieu contre les prodiges techniques qui devaient séduire les multitudes humaines, selon Matthieu 24:24 : « Car il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus. » ; et Apocalypse 13:13-14 : « Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait. »

Ces paroles de Jésus-Christ sont, actuellement, et déjà depuis 1945, date de l’utilisation des premières bombes atomiques par les USA contre le Japon, en accomplissement. Il ne reste à s’accomplir que la dernière annonce du dernier verset : « disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait. » Cette phrase impute aux USA protestants la reproduction d’un régime impérial dans lequel le pouvoir civil et le pouvoir religieux sont placés sous une norme unique imposée à tous les humains vivants. Ce gouvernement universel dirigera les survivants de la Troisième Guerre Mondiale qui vient. Et nous connaissons dès à présent son instigateur et son chef. Il est apparu, renversant l’ordre mondial établi par ses prédécesseurs et se nomme Donald Trump. Son prénom « Donald » signifie en langue gaélique écossaise, « prince du monde » ; et son nom « Trump » signifie « trompette ». Nous avons donc trois « prince du monde » en scène mondiale ; Mrs Trump, Poutine et Zelensky ; les deux « Vladimir » et « Volodymyr ».

Le temps des accords et des marchés est fini. Le nouveau chef des USA fait sortir son pays des accords de l’OMC que son pays les USA ont imposés après 1945 à tous leurs alliés et aux autres peuples du monde. La cause de cette sortie est simple : le haut coût des productions américaines réduit leur capacité de les exporter ; le marché n’est plus favorable aux USA, donc, les USA se retirent. Quelle magnifique preuve d’intelligence trouvée chez cet homme qui condamne la stupidité de ses alliés européens, respectueux des règles et des lois jusqu’à la ruine et la mort de leur peuple et de leur régime tout entier ! Aveugles et insensés, les Européens sont tombés dans le piège de cette « lettre qui tue » par manque d’intelligence produite par « l’esprit » humain et divin, comme Jésus le dit, par l’apôtre Paul, dans 2 Corinthiens 3:6 : « Il nous a aussi rendus capables d'être ministres d'une nouvelle alliance, non de la lettre, mais de l'esprit ; car la lettre tue, mais l'esprit vivifie. » Et pour être encore plus clair, il ajoute au verset suivant, concernant les tables des dix commandements de Dieu : « Or, si le ministère de la mort, gravé avec des lettres sur des pierres, a été glorieux, au point que les fils d'Israël ne pouvaient fixer les regards sur le visage de Moïse, à cause de la gloire de son visage, bien que cette gloire fût passagère, combien le ministère de l'esprit ne sera-t-il pas plus glorieux ! »

La gloire dont parle Paul était présente dans l’Adam créé à l’image de Dieu, et dans lequel la vie n’était pas divisée, pas compartimentée. L’intelligence donnée par Dieu est comme une essence illimitée. La vie entière de ses créatures intéresse le Dieu créateur. L’homme, qui retrouve en et par Jésus-Christ l’image de Dieu, ouvre son intelligence à tout ce qui se présente à lui, physiquement et spirituellement. C’est son intelligence qui guide ses jugements et c’est Dieu qui a fixé les limites des normes du bien et du mal. C’est sur ce sujet que les élus et les déchus humains se séparent pour vivre une fin opposée dans l’absolu : la vie éternelle pour l’élu, la mort dans l’anéantissement complet de son être, pour le déchu.

Pourquoi Paul nomme-t-il « ministère de la mort » les tables de la loi des dix commandements de Dieu ? Simplement, parce que la loi écrite n’a aucun effet pour payer le prix du péché originel qui condamne l’homme à devoir mourir. Pour lever cette condamnation, le sang du juste parfait devait couler, selon qu’il est écrit dans Hébreux 9:22 : « Et presque tout, d'après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n'y a pas de pardon. »

Mon témoignage écrit le prouve, il n’y a pas de barrière pour diriger l’inspiration divine, car la vie est illimitée, non pour l’heure au niveau de sa durée, mais au sujet de son développement et de ses aspects.

Le monde incroyant suit l’évolution de l’actualité qui se présente à lui comme un feuilleton qui captive son intérêt, et les démons s’amusent d’eux, les conduisant alternativement dans l’angoisse et dans l’espoir. Mais si l’angoisse est justifiée, ce n’est pas le cas pour l’espoir, car l’humanité avance vers le pire de son expérience « depuis que les nations existent », selon Daniel 12:1 : « En ce temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton peuple ; et ce sera une époque de détresse, telle qu'il n'y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu'à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. » C’est ce verset qui confirme le fait que Jésus-Christ et Micaël, traduit par Michel en français, sont une seule et même personne divine ; ce qui justifie l’annonce d’Apocalypse 12:7 : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, » Mais l’important est de comprendre que ce combat a eu lieu, deux mille ans avant le 7 Avril 2030 soit, le jour de la résurrection de Jésus-Christ, le 7 Avril 30, premier jour de la semaine qui a succédé à la semaine pascale, au milieu de laquelle Jésus a été crucifié, le 3 Avril 30 ; conformément à l’annonce de Daniel 9:27 : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; … »

Au soir du 24 Janvier, la décision de Donald Trump a été annoncée ; les USA n’aideront financièrement qu’Israël et l’Egypte. Et cette décision est lourde de conséquence pour les Européens et leur protégée, l’Ukraine, officiellement lâchée par Donald Trump. Son sort est donc désormais lié à celui de ses soutiens européens qui seuls peuvent encore lui venir en aide. Ce choix d’Israël et de l’Egypte du nouveau « Kaiser » des USA est civilement logique, car les USA veulent encourager l’Egypte à rester l’alliée d’Israël afin de ne pas réduire leur influence sur la région. Mais il est aussi édifiant sur le plan spirituel, car les USA donnent officiellement leur soutien au « péché » que représentent ces deux peuples. La Bible ne dit pas que l’Egypte est le symbole du péché, car elle ne fait que le suggérer par les faits qui lui sont imputés. Ceci permet à Dieu de donner au mot « Egypte » diverses significations révélées par ses expériences relatées dans la sainte Bible. Cet élargissement enrichit la prophétie et je peux ainsi dire d’Israël et de l’Egypte qu’ils ont tous deux résisté à l’autorité du Dieu créateur et se sont rebellés contre lui ; ce qui définit le péché fait contre Dieu. Mais ce nom « Egypte » peut aussi suggérer son accueil du peuple Hébreu contre lequel le nouveau Pharaon s’est dressé, le mettant en esclavage. C’est aussi ce qui caractérise Paris la ville ciblée par l’Esprit, dans Apocalypse 11:8 : « Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Égypte, là même où leur Seigneur a été crucifié. » En effet, Paris était une ville qui a accueilli la religion chrétienne et qui la persécute ensuite en adoptant l’athéisme national qui fait d’elle la première forme historique de la « bête qui monte de l’abîme ». Et ce nom « Egypte » que Dieu lui décerne symboliquement est mérité, tant son attitude rebelle envers l’autorité divine est grande et ressemblante à celle du pharaon de l’exode des Hébreux. Un verset résume sa nature, en disant dans Esaïe 36:6, parlant de la « confiance » : « Voici, tu l'as placée dans l'Égypte, tu as pris pour soutien ce roseau cassé, qui pénètre et perce la main de quiconque s'appuie dessus : tel est Pharaon, roi d'Égypte, pour tous ceux qui se confient en lui. » Ce même type de comportement est donc imputé par Dieu à Paris, la capitale de la France, et son histoire justifie cette accusation ; notamment, par le massacre des Protestants accueillis à Paris pour fêter les fiançailles d’Henri de Navarre et de la princesse Marguerite, à la Saint-Barthélemy, en 1572.

Et à son tour le nouveau président protestant des USA actuels apporte son soutien exclusif aux deux peuples rebelles de la révélation biblique : Israël et l’Egypte. La malédiction qui pèse sur la religion protestante depuis le printemps 1843 est ainsi confirmée et authentifiée.

Ces interprétations prophétiques me permettent de démontrer combien la révélation biblique est puissante et efficace pour partager le jugement de Dieu au sujet des peuples, des nations, des royaumes et des langues du temps passé et de notre actualité. Ce discernement est d’autant plus nécessaire que les ennemis de Dieu prennent officiellement l’apparence trompeuse de le servir et de le reconnaître ; ce qui caractérise indéniablement la religion protestante vivante et active ; ce qui justifie ce verset de Proverbes 14:12 : « Telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c'est la voie de la mort. »

Il est intéressant de relever le découpage des 400 ans de l’histoire des USA en deux parties de 200 ans. Car ce pays a pris officiellement son indépendance en 1776, grâce à une aide financière française qui a ruiné la France et préparé la Révolution qui a fait tomber la tête du généreux donateur, Louis XVI. Et un plaisant jeu de mots rattache au marquis de Lafayette chargé de l’aide donnée aux américains, la faillite subie par la France. Ce roi, surnommé, « le roi ouvrier » ne voulait pas être roi et les guerres menées par l’Angleterre ne trouvaient pas en lui, le chef, le stratège nécessaire. Il trouva donc plus facile d’aider la révolte des Américains et obtint par cette aide, l’affaiblissement de l’Angleterre chassée de l’Amérique des USA. Cependant, cette aide ruinant totalement son pays, le roi Louis XVI a, lui-même, organisé la cause de la famine qui a justifié la grande Révolution du peuple français, le 14 Juillet 1789, année où, aux USA, les Américains ont adopté leur première Constitution nationale. Cette époque marque donc réellement l’entrée en scène historique du peuple américain qui vient relayer la puissance française pour dominer l’Europe que Napoléon 1er allait dominer pendant quelques années jusqu’à sa défaite à Waterloo. Pour remplacer la France, au niveau européen et mondial, les USA devront attendre les Guerres Mondiales européennes qui vont affaiblir cette puissance française du vieux monde et réduire sa domination coloniale et ses ambitions de puissance et de prestige.

Il me faut présenter encore cette autre leçon exemplaire qui concerne l’obéissance et la désobéissance aux ordres donnés par Dieu et c’est dans l’expérience vécue par Israël que Dieu nous la présente.

Je le rappelle, Israël est un échantillon charnel de l’humanité dont il présente toutes les qualités et tous les défauts. Et à ce titre, dès sa sortie de l’Egypte pharaonique, il est têtu et très désobéissant, à l’image de nos sociétés actuelles. Dieu dirige son peuple vers la terre promise peuplée en son Sud par des géants, les « réphaïms ». Douze espions sont envoyés sur la terre de Canaan ; dix en reviennent terrorisés et deux seulement font confiance au Dieu qui les conduit pour vaincre ces géants, Caleb et Josué sont leurs noms. La foi des 12 vient d’être mise à l’épreuve et l’attitude des dix condamne le peuple entier à errer pendant 40 années dans le désert de l’Arabie et celui de l’Egypte au sud de Canaan. Après la mort de Moïse, sous la conduite de Josué et Caleb, l’Israël survivant entre dans la terre promise. Dieu élimine les géants en les frappant par des maladies mortelles provoquées par des piqûres de frelons. D’autres peuples non géants doivent être vaincus par Israël et Dieu ordonne de les exterminer. Et là, le peuple au coup raide désobéit à l’ordre de Dieu, il laisse survivre les Phéniciens du Liban et les Philistins de la Palestine actuelle. Agissant ainsi, Israël ne prend pas possession de toute la terre promise par Dieu, et son humanisme lui a valu des agressions venant des descendants de ces ethnies étrangères qu’il a laissé survivre.

Cette première réelle désobéissance a été la cause des attaques continuelles du premier Israël choisi par Dieu. Et ce qui est remarquable, c’est que 3500 ans plus tard, l’Israël actuel subit les mêmes attaques pour les mêmes raisons. L’ordre donné par Dieu d’exterminer des nations qu’il condamnait pour leur vie pécheresse abominable irrémédiable peut nous paraître dur, mais il était nécessaire pour assurer à son peuple Israël la disparition du risque du désir de vengeance des descendants des peuples vaincus. Au fil des siècles, les guerres se prolongent par ce désir de venger la défaite subie précédemment. N’est-il pas remarquable que la fin de l’histoire d’Israël reproduise les causes de sa première malédiction divine imputée il y a 3500 ans, environ ? Ceci d’autant plus que les mêmes territoires sont concernés au début et à la fin. Dans cet exemple, Dieu nous enseigne que lui désobéir coûte, finalement, très, très, cher.

Ses saints fidèles comprennent parfaitement bien cette absolue nécessité d’exterminer les opposants rebelles, en sorte qu’ils attendent le retour de Jésus-Christ, sachant qu’il se chargera d’anéantir les vies rebelles terrestres et célestes pour assurer le bonheur éternel de ses bienaimés élus, les nouveaux habitants du ciel.




M6- Des coupables inexcusables solidaires


Aujourd’hui, Lundi 27 Janvier 2025, l’Europe occidentale célèbre le 80ème anniversaire de la libération des prisonniers juifs et slaves des camps nazis découverts sur le sol de la Pologne par les armées russes qui progressaient vers l’Allemagne. Ainsi, le devoir de mémoire vient rappeler le terrible sort imposé par Adolf Hitler, aux Juifs, aux Tsiganes et aux Roms.

L’événement est en effet relevable par son caractère exceptionnel auquel les Nazis ont donné pour nom : « la solution finale ». Et les Juifs l’ont nommée « Shoah » ce qui signifie : Destruction, tempête, affliction, lieu désert.

Partant de ce constat, si j’ignorai son vrai sens, je serai prêt à imputer ce verset de Daniel 12:1 à cette sinistre « Shoah » dans laquelle 6 millions de civils Juifs, vieillards et vieilles, hommes, femmes et enfants, ont été anéantis, consumés dans des fours crématoires, après avoir été gazés, asphyxiés par le gaz Zyklon B : « En ce temps-là se lèvera Micaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton peuple ; et ce sera une époque de détresse, telle qu'il n'y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu'à cette époque. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. » Qui peut contester l’idée que ce temps de la « Shoah » a été pour les Juifs un temps de détresse suprême ? Personne, bien sûr, et cependant, Dieu ne désignait pas cette « Shoah » dans sa prophétie. Car cette détresse annoncée est précédée par le retour glorieux du Christ, mais soyons honnête, le texte ne dit pas que Micaël revient, seulement qu’il se « lève ». Si bien que ce texte peut convenir pour évoquer la première venue de Jésus-Christ dans une lecture superficielle. La prophétie est si imprécise que les deux venues du Christ, celle du début et celle de son retour glorieux, peuvent être interprétées. Mais ces deux interprétations ne sont possibles qu’en isolant cette prophétie des autres enseignements du livre de Daniel. Or, précisément, la synthèse de tous les enseignements prophétisés dans son livre, nous oblige à donner à ce verset de Daniel 12:1, une interprétation concernant son seul retour glorieux final.

La seule possibilité d’interpréter doublement ce verset permet à Dieu d’adresser des leçons que seuls ses élus vont pouvoir comprendre. Avec un grand soin rusé pour ne pas provoquer la réaction impulsive des Juifs, la « Shoah » a pris l’aspect d’un transfert vers l’Allemagne et la Pologne de populations juives dirigées vers des camps de travail forcé ; ce qui n’avait rien d’étonnant de la part du camp vainqueur. Et depuis son exil forcé, le peuple juif a accepté son rôle victimaire qui le rend docile et soumis envers ses dominateurs vainqueurs.

Ce verset de Daniel 12:1 présente, en premier, « le lever de Micaël » soit, le retour du Christ et en second, « la grande détresse » exceptionnelle qui l’accompagne et le marque. Le thème du retour de Jésus-Christ est accompli dans l’engagement « adventiste » depuis le printemps 1843. Et les Adventistes fidèles ont part à la « première résurrection » et vont entrer dans l’éternité au printemps 2030. La « grande détresse » annoncée n’est pas pour eux, mais pour l’humanité rebelle ; la « grande détresse » est leur châtiment. Cette présentation de la cause suivie de son châtiment est analogue à celle de Daniel 9:26 qui a justifié ou condamné les Juifs du ministère terrestre de Jésus-Christ : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché,(la cause) et il n'aura pas de successeur personne pour lui. (La conséquence ou châtiment) Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. »

Dans ces deux cas et deux époques du début et de la fin, le rejet ou mépris touchant Jésus-Christ est payé par un châtiment. Dieu montre par ce moyen que son jugement est identique pour les Juifs et pour les Chrétiens ; la même cause est punie de la même manière par la détresse et la mort.

Ceci éclaire la leçon que Dieu donne aux deux religions juive et chrétienne en organisant un génocide de son premier témoin historique, le peuple Juif qu’il tient pour coupable, depuis son refus du plan du salut divin fondé sur la mort expiatoire de Jésus-Christ. Mais à son sujet, je remets en cause la compréhension que j’ai eue au sujet d’Israël, jusqu’à cette heure. Béni ou maudit, Israël reste en « premier né » le peuple de Dieu selon Exode 4:22 : « Tu diras à Pharaon : Ainsi parle YaHWéH : Israël est mon fils, mon premier-né. » Et c’est précisément parce qu’il reste son peuple que Dieu lui inflige correction après correction jusqu’à nos jours, et la dernière qu’il lui prépare sera pire que toutes les autres. En 1948, Dieu a fait favoriser le retour des Juifs sur leur terre nationale ancestrale pour qu’ils y soient jugés et punis. De plus, ce retour sur la terre de Canaan, affirme la priorité d’Israël sur les revendications arabes musulmanes et celles des islamistes religieusement fanatiques.

Israël est au peuple de Dieu ce que le catholicisme romain est au christianisme infidèle soit, la source et la référence. Quand le peuple de Dieu est frappé par sa malédiction, il perd l’accès au salut, mais reste le peuple de Dieu jusqu’à sa destruction totale. Nous autres, Chrétiens, nous avons tendance à oublier facilement que c’est la racine juive qui nous a reçus et non le contraire. D’origine païenne, nous avons bénéficié d’une faveur divine au nom de sa grâce rendue possible par la victoire de Jésus-Christ. Mais malheureusement, la totalité des églises chrétiennes a reproduit la faute du peuple juif en oubliant la grâce dont toutes ces églises ont bénéficié. Elles ont ainsi commis l’erreur de se glorifier aux dépens des Juifs maudits pour leur incrédulité. L’avertissement donné par l’apôtre Paul dans Romains 11:18 à 21, a donc été ignoré. Mais l’existence même de cet avertissement témoigne contre les méprisants et il les culpabilise devant Dieu : « ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte. Tu diras donc : Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté. Cela est vrai ; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas à l'orgueil, mais crains ; car si Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus. »

Si les Chrétiens reproduisent les fautes des Juifs, c’est donc que la culpabilité première est dans leur première expérience religieuse historique. C’est un immense honneur que d’être reconnu en tant que « peuple de Dieu ». Mais ce privilège oblige et les manquements sont sévèrement châtiés.

Le récit de Genèse 4 l’atteste, Dieu se fit offrir les premiers sacrifices animaliers. Et étant éleveur, Abel offrit un sacrifice animal que Dieu put apprécier en raison de sa signification symbolique de son rachat des péchés par Jésus-Christ, « l’agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde ». Sur le plan spirituel, l’homme était totalement inculte, car il avait tout à découvrir, et chaque chose, en son temps, seulement. Si le projet salvateur conçu par Dieu avait été clairement compris dès le commencement ou au cours de la première alliance, cette vérité sublime aurait fuité et ce serait transmise d’homme à homme, de génération en génération. De plus, les rites sacrificiels auraient été expliqués et remplacés en étant abandonnés. Or, ces choses ne se sont pas produites parce que Dieu a jalousement gardé secrète sa démonstration d’amour pour ses élus. Ceci, pour le constat et les déductions logiques qui s’imposent à notre réflexion.

Je vais maintenant expliquer, pourquoi Dieu tient pour hautement coupable, le refus du Messie rédempteur, Jésus-Christ, par les Juifs de l’ancienne alliance.

La cause de la condamnation divine se trouve dans ces versets de Genèse 1:26-27 : « Puis Dieu dit : Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme. »

Contrairement aux animaux marins, célestes et terrestres, l’homme est « créé à l’image de Dieu », et dans ce statut « d’image de Dieu », il n’est en rien comparable à un animal, car il représente infiniment plus. Dès lors, aucune mort animale n’a suffisamment de valeur pour racheter une âme humaine. C’est ce que confirme ce texte d’Hébreux 10:3 à 7 : « Mais le souvenir des péchés est renouvelé chaque année par ces sacrifices ; car il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés. C'est pourquoi Christ, entrant dans le monde, dit : Tu n'as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m'as formé un corps ; tu n'as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché. Alors j'ai dit : Voici, je viens (Dans le rouleau du livre il est question de moi) pour faire, ô Dieu, ta volonté. » Paul impute ces paroles à Jésus-Christ qui résume et révèle le sens de son ministère terrestre. Il ne manque à cette explication que l’argument que je présente aujourd’hui et qui justifie pourquoi, « il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte le péché » : ils n’ont pas été créés « à l’image de Dieu ». Et le rachat des péchés ne pouvait être obtenu que par la mort d’une vie parfaite, porteuse de « l’image de Dieu », présentée uniquement en Jésus-Christ, le Dieu créateur incarné, lui-même.

Selon ce simple raisonnement, les rites sacrificiels, ordonnés par Dieu, ne pouvaient qu’avoir une valeur symbolique prophétisant le sacrifice de Jésus-Christ, le « nouvel Adam » venu rattraper la faiblesse du premier « Adam ».

Cette explication est extraordinairement simple, mais elle repose sur une lecture pleine d’intérêt de la Parole de Dieu ; une lecture attentive. De plus ne l’oublions pas, le fruit porté par notre intelligence dépend entièrement de la volonté du Dieu créateur tout-puissant qui ouvre l’intelligence ou la ferme. Or, j’ai l’avantage de vivre dans le temps de la grande lumière qui ne pouvait être offerte par Dieu avant « le temps de la fin » que nous vivons.

Il nous faut aussi bien comprendre que l’homme n’a été « à l’image de Dieu » qu’avant le péché. Car le péché lui fait perdre cette « image » divine et l’abaisse au rang et statut d’un animal évolué de niveau supérieur aux autres animaux. Dès lors, le projet de Dieu ne visa qu’à restaurer « son image » dans ses élus faute de pouvoir le faire pour toutes ses créatures humaines.

En reproduisant les rites sacrificiels divins dans toutes les religions du paganisme polythéiste, le diable a créé une grande confusion religieuse universelle. Jusqu’à ce qu’il médite et réfléchisse individuellement, l’être humain naît dans un contexte particulier et une culture différente selon le lieu terrestre concerné. Aussi, logiquement, chacun tient pour vérité, la culture dans laquelle il est né. Et si Dieu ne le conduit pas vers sa lumière, chacun va honorer sa culture originelle et la transmettre à sa descendance. Ce point est fondamental à comprendre : c’est Dieu qui cherche sa brebis égarée et personne ne peut mieux l’identifier que lui, parce qu’il sonde les pensées les plus secrètes de ses créatures vivantes célestes ou terrestres. Avant même de les créer, Dieu s’est résigné à l’idée de faire entrer dans la vie des créatures dont le destin n’est que de la traverser sans en rien obtenir ni retenir.

Confrontés à la « Shoah », les humanistes rebelles cherchent vainement comment expliquer un fait d’une telle sauvagerie abominable. Se fondant sur leur seul jugement, ils se perdent en conjecture et ne parviennent pas à trouver les réponses. Ce n’est pas étonnant, puisque les réponses ne sont disponibles qu’en Dieu, son jugement et ses motivations. Après chaque catastrophe et chacune des deux guerres mondiales de 1914 et 1939, ils ont répété à qui voulait l’entendre : « Plus jamais ça ! ». Cependant, ils n’ont aucunement le pouvoir d’empêcher le renouvellement de ces drames que Dieu leur impose, Dieu le Créateur, le Tout-Puissant. Et chaque fois, le retour du drame confirme sa toute-puissance.

Dans son ignorance, l’incrédule ne voit que les agents humains du drame. Et l’agent utilisé par Dieu, pour mettre en œuvre ses desseins destructeurs, est regardé et jugé comme un monstre. Or, ce n’est pas le cas, Adolf Hitler, le modèle du genre, était végétarien et aimé d’une femme nommée Eva Braun. Il avait une vie de famille normale, était entouré de ses meilleurs amis comme beaucoup d’autres êtres humains. Et de cet homme normal sont sorties des idées vengeresses, des désirs de conquêtes, et une haine viscérale des Juifs.

Le comportement des églises et des religions envers ce sujet démasque leur situation spirituelle maudite par Dieu. Car, un vrai serviteur du Dieu vivant et Tout-Puissant, se doit de reconnaître que rien ne peut s’accomplir sans que Dieu le veuille. Je rappelle ce verset où le Dieu sage et Tout-Puissant nous dit dans Ecclésiaste 7:14 : « Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, réfléchis : Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que l'homme ne découvre en rien ce qui sera après lui. »

Voici que le temps du bonheur est derrière nous et que devant nous se présente le temps du malheur. Le Tout-Puissant nous dit donc : Réfléchis ! Médite ! Car tout ce qui arrive a une explication ; le malheur est une conséquence dont il faut découvrir la cause. Car les causes charnelles terrestres ne donnent pas la bonne réponse qui ne se trouve qu’en Dieu. Les causes terrestres ne sont que les conséquences des causes spirituelles, et si ces causes spirituelles ne sont pas identifiées et rectifiées, les conséquences terrestres se multiplient et se prolongent jusqu’à déclencher des drames meurtriers entre les entités humaines coupables.

Etant les victimes plus ou moins consentantes du rejet religieux, les gens de notre époque sont inquiets et cherchent auprès des devins et des astrologues, des réponses capables de calmer leur anxiété. Ils ne peuvent avoir affaire qu’à des escrocs qui sont eux-mêmes séduits et trompés par des démons célestes qui les utilisent, comme le diable utilisa le serpent pour séduire Eve. Mais, ces démons peuvent néanmoins favoriser des choses dans lesquelles Dieu n’intervient pas et les laisse agir. L’accomplissement de l’annonce d’un devin ne permet pas de rattacher son action à Dieu, contrairement à ce que les gourous et les devins occultes peuvent prétendre.

L’Esprit nous dit dans Esaïe 8:19-20 : « Si l'on vous dit : Consultez ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l'avenir, qui poussent des sifflements et des soupirs, répondez : Un peuple ne consultera-t-il pas son Dieu ? S'adressera-t-il aux morts en faveur des vivants ? A la loi et au témoignage ! Si l'on ne parle pas ainsi, Il n'y aura point d'aurore pour le peuple. »

Les réponses à l’anxiété ont été préparées d’avance par Dieu qui les a écrites dans les prophéties de la sainte Bible qui constitue selon Apocalypse 11:3, ses « deux témoins ». Et c’est donc en elle, que ses élus identifient à « sa loi et son témoignage », qu’ils peuvent trouver toutes les réponses nécessaires pour être convaincus que Dieu dirige les faits et les événements qu’il fait accomplir conformément à son programme prophétisé révélé à ses seuls rachetés élus.

Tout homme peut devenir un monstre si Dieu ou les démons l’inspirent dans ce sens. La monstruosité n’est pas dans la chair, mais dans l’esprit humain que Dieu sélectionne pour agir de manière monstrueuse.

La « Shoah » est jugée monstrueuse par les humains séparés de Dieu. Cependant, ce qui concerne les Juifs prend un caractère particulier parce qu’ils sont officiellement pour toute la terre, le « peuple de Dieu ». Or, déjà au temps du prophète Jérémie, Israël a été durement châtié par le peuple chaldéen du roi Nébucadnetsar. En – 586, intervenant pour la troisième fois, l’armée chaldéenne a détruit Jérusalem et son saint Temple bâti par le roi Salomon. Après 70 années de déportation à Babylone prophétisées dans Jérémie 25:11, où Dieu dit, « Tout ce pays deviendra une ruine, un désert, et ces nations seront asservies au roi de Babylone pendant soixante-dix ans. », Israël est revenu sur son sol national. Il a de nouveau été frappé par la colère de Dieu pour son refus du messie Jésus, en 70, cette fois, par les armées romaines, et de nouveau, Jérusalem et son saint Temple restauré et agrandi par le roi Hérode ont été entièrement détruits par des soldats romains devenus incontrôlables. Depuis cette destruction, les Juifs survivants ont été dispersés parmi toutes les nations de la terre, et Dieu les utilise comme un levain qui fait lever toute la pâte humaine dans un but paradoxal positif et négatif. Par leur présence parmi les peuples, ils concentrent l’attention des hommes sur le Dieu unique créateur de la terre et tout ce qu’elle contient et porte. Leur pratique du repos du sabbat du vrai septième jour dénonce l’illégitimité du repos du premier jour du dimanche romain, pour les Occidentaux, et le repos du sixième jour de l’islam. Leur alimentation dite « casher » condamne le mépris témoigné à ce sujet par les Chrétiens. Mais ces choses positives sont rendues sans valeur pour eux-mêmes, à cause de leur refus du Messie Jésus qui seul peut enlever la condamnation du péché que Dieu leur impute ainsi qu’à toute l’humanité depuis Adam et Eve.

Pour ce péché suprême, Dieu ne cesse de châtier son peuple Israël, le premier coupable que soutiennent les nouveaux coupables, et à tous, Dieu adresse ce message cité dans Jérémie 25:29-30 : « Car voici, dans la ville sur laquelle mon nom est invoqué je commence à faire du mal ; et vous, vous resteriez impunis ! Vous ne resterez pas impunis ; car j'appellerai le glaive sur tous les habitants de la terre, dit YaHWéH des armées. Et toi, tu leur prophétiseras toutes ces choses, Et tu leur diras : YaHWéH rugira d'en haut ; de sa demeure sainte il fera retentir sa voix ; il rugira contre le lieu de sa résidence ; il poussera des cris, comme ceux qui foulent au pressoir, contre tous les habitants de la terre. »

En effet, ce verset n’a rien perdu de sa valeur car il exprime un jugement de Dieu qui se transporte dans le temps de génération en génération jusqu’à l’heure de son accomplissement final. Et en 2025, depuis 1948, « le lieu de sa demeure » est de nouveau peuplé par son Israël « son fils premier-né », et « les nations de la terre » occidentales ont trahi, par leur désobéissance, leur engagement chrétien. Les coupables se soutiennent et se montrent solidaires les uns envers les autres. Mais relève-le, dans leurs échanges, il n’est absolument pas question de Dieu. Les liens établis sont strictement humains ; Dieu et sa volonté sont complètement ignorés. D’autres valeurs les ont remplacés telles que le marché et les profits commerciaux. C’est pourquoi, Dieu s’emploie à provoquer une grande crise économique mondiale qui va conduire les coupables dans des guerres meurtrières où chaque camp prétendra lutter pour la gloire de son Dieu, vainement et fanatiquement.





M7- L’incarnation du Dieu créateur


Ce mystère religieux est assurément la chose la plus difficile à comprendre pour un être humain limité dans toutes ses capacités. Et le postulat qui s’impose à toute l’humanité est de croire à cette affirmation citée dans la sainte Bible et qui nous dit dans Luc 1:36-37 : « Voici, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils en sa vieillesse, et celle qui était appelée stérile est dans son sixième mois. Car rien n'est impossible à Dieu. » Cette expérience miraculeuse fut déjà vécue par Sarah l’épouse d’Abraham qui enfanta son premier fils, Isaac, à l’âge de 100 ans. Et notre postulat tient en ces quelques mots : « Car rien n'est impossible à Dieu. » Cette déclaration a été faite par l’ange Gabriel dont le nom signifie « celui qui voit la face de Dieu ». Croire en Dieu, croire à son existence, exige de notre part que nous croyons au miracle ; nom donné aux actions surnaturelles faites par Dieu. Et le premier miracle qu’il a réalisé, c’est sa création de notre dimension terrestre qu’il certifie, dans son récit de Genèse 1, 2 et 3. Ce récit a été présenté par Dieu à son serviteur Moïse, et le recevoir avec confiance à ce titre est la base, la condition, incontournable pour établir une relation avec lui.

Dans notre vie humaine marquée par des successions de secondes, de minutes, d’heures, de jours et nuits, de mois et d’années, toutes choses paraissent statiques. Cependant au fil du temps d’énormes changements ont lieu et notre aptitude à nous adapter fait que nous ne les relevons pas suffisamment. Et ceci concerne l’humanité moderne à laquelle la science et la technologie explique la cause physique des choses. Mais la science ne fait que découvrir les principes et les lois physiques que Dieu a créées. Et la science ne peut pas prouver l’inexistence de Dieu, ni expliquer pourquoi ces lois et ces principes existent. Toutes ces réflexions nous ramènent au début du postulat car Dieu existe et pour lui seulement, « rien n’est impossible ». Or je suis né en France, pays où un dicton populaire dit ; « impossible n’est pas français ». Ce type de prétention fanfaronne révèle à lui seul la nature de ce pays France qui a pris la tête du camp de la contestation dirigée contre Dieu ; et ceci, depuis sa naissance nationale vers 508 sous le roi Clovis 1er ; un barbare de la tribu des Francs, converti au catholicisme romain, encore non papal, mais dont l’évêque de Rome bénéficiait déjà d’un grand prestige religieux. Après avoir soutenu le mensonge d’un christianisme déformé, en 1792, ce pays France a sombré dans l’abîme sans fond des ténèbres tueuses, en devenant le fer de lance de la pensée athée apparue chez ses libres penseurs que la postérité a nommés avec arrogance ses « lumières ».

L’incarnation de Dieu est donc un miracle, une chose que nul autre que lui ne peut faire. En les créant, Dieu a donné à chacune de ses créatures, des caractéristiques qui lui sont propres ; un corps dit céleste ou spirituel pour ses anges ; et un corps matière, physique, pour les êtres humains. Les anges ne peuvent pas par eux-mêmes prendre un aspect physique terrestre charnel. De même, les corps terrestres ne peuvent pas prendre la caractéristique céleste du corps des anges. Et ce qu’aucune créature ne peut faire, Dieu l’a fait dans son incarnation en Jésus-Christ. Nous ne devons même pas en être étonnés, car ayant créé toutes ses créatures célestes et terrestres, Dieu pouvait s’offrir son incarnation dans la vie terrestre.

En abordant ce sujet de l’incarnation de Dieu nous devons donc oublier toutes nos limitations humaines qui ne s’appliquent pas pour l’esprit du Dieu créateur auquel je le redis, « rien n’est impossible ». Sa décision est instantanément transformée en réalité visible. Animé des meilleures intentions, Dieu n’en fait pas moins appel à la stratégie de l’espion infiltré dans le camp ennemi. Sauf que son espionnage ne vise pas à découvrir ce qu’il sait déjà sur la condition de la vie humaine terrestre. Sous l’aspect humain de Jésus-Christ, Dieu expérimente leur faiblesse, car Jésus est aussi faible que toi et moi sur le plan physique seulement. Car la différence entre lui et nous est invisible, cachée dans son esprit. C’est là que résident sa force et la cause de sa victoire, car Jésus porte en lui l’expérience de sa vie céleste vécue sous le nom « Micaël » qui signifie : « Celui qui est comme Dieu ». Ce que nous pouvons et devons comprendre c’est qu’étant avant tout un Esprit illimité, Dieu peut se dédoubler et rendre sa doublure plus ou moins dépendante de lui. Et dans le cas de Jésus incarné, cette dépendance est totale. Jésus traverse sa courte vie terrestre en orphelin privé de sa nature divine. Et ceci explique son grand besoin de prier, d’entrer en contact avec l’Esprit non incarné qui soutient les univers de ses créations célestes et terrestres.

Reprenons les étapes de son ministère terrestre et de son passage sur la terre du péché. Détail important donné dans Esaïe 7:14 : « C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d'Emmanuel. »

Relève-le avec intérêt, dans ce texte original hébreu, Dieu ne dit pas la « vierge » comme dans le grec de la nouvelle alliance, mais « la jeune fille », et cette jeune fille est choisie par Dieu à cause de sa lignée qui est dans la postérité de David ; c’est là, l’unique raison du choix divin. Le Christ vient pour accomplir la promesse faite par Dieu au roi David et déjà avant lui à la tribu de Juda selon Genèse 49:10 : « Le sceptre ne s'éloignera point de Juda, ni le bâton souverain d'entre ses pieds, jusqu'à ce que vienne le Schilo, et que les peuples lui obéissent». Le nom « Schilo » signifie : celui à qui appartient (le règne, la puissance, et la gloire, de la prière royale sacerdotale enseignée par Jésus). Et pour David, dans 1 Rois 2:45 : « Mais le roi Salomon sera béni, et le trône de David sera pour toujours affermi devant YaHWéH. » et Esaïe 9:37 ou 36 : « Donner à l'empire de l'accroissement, Et une paix sans fin au trône de David et à son royaume, L'affermir et le soutenir par le droit et par la justice, Dès maintenant et à toujours: Voilà ce que fera le zèle de YaHWéH des armées. »

Mais, je reviens sur ce verset d’Esaïe 7:14 : « C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe, voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d'Emmanuel. » Remarque-le avec moi, le Messie envoyé par Dieu n’a pas reçu le nom « Emmanuel », mais celui de « Jésus », soit, en hébreu, « Yéschoua » qui signifie : YaHWéH sauve. Le mystère de l’incarnation trouve son explication dans la complémentarité de ces deux noms que l’Esprit impute à l’homme nommé Jésus de Nazareth : « Emmanuel », qui signifie : Dieu avec nous ; et « Jésus », qui signifie : YaHWéH sauve. Le plan du salut divin est ainsi révélé dans toute sa clarté. Dieu vient parmi nous pour nous sauver du péché, par l’expiation qu’il a portée en Jésus-Christ. De plus, l’Esprit n’a pas menti, car il ne faisait que prophétiser la pensée de la jeune fille nommée Marie qui savait dans son cœur et son esprit que son fils était le Fils de Dieu comme l’ange le lui avait annoncé. Il était donc réellement pour elle, « Emmanuel » soit, « Dieu avec nous ».

Dès l’âge de 12 ans, le « Fils de Dieu » entre dans l’âge adulte et marque ce passage en témoignant pour la vérité céleste de « son Père ». Sa nature divine autant que charnelle et terrestre le pousse à l’engagement et déjà à 12 ans, il enseigne dans le temple, tentant de diriger les raisonnements des anciens juifs qu’il rencontre au temple de Jérusalem. Jésus sait déjà à cette heure que les Juifs sont remplis de faux préjugés qui vont les empêcher de reconnaître son ministère salvateur. Ses questions subtiles et habiles visaient à permettre à ses interlocuteurs de découvrir les faiblesses de leurs raisonnements spirituels.

Agé de trente ans, il doit entrer dans le temps de son témoignage terrestre. Depuis quelques temps, avant lui, son cousin Jean baptise, dans les eaux du Jourdain, les Juifs qu’il appelle à la repentance et au fruit de repentance. Il prépare ainsi le chemin du Seigneur qui vient après lui.

Après son baptême, Jésus fait un jeûne alimentaire de 40 jours et 40 nuits. Et il en ressort affaibli et affamé, comme nous le serions en agissant de même. Mais cette faiblesse n’est que physique, car au contraire, ce temps de jeûne passé en méditations et en prières, n’a fait que renforcer sa force et sa volonté mentale et morale. Ce chiffre de 40 jours et nuits rappelle les épreuves humaines marquées par des échecs successifs du peuple hébreu et même avant lui, ce fut la durée pendant laquelle les eaux du déluge sont tombées sur la terre pour anéantir toute forme de vie terrestre ; Noé et sa famille exceptés. Il y eut les 40 jours et nuits pendant lesquels Moïse était auprès de Dieu sur le Mont Sinaï de l’Arabie alors que le peuple resté au pied de la montagne s’était donné un dieu en fondant l’or égyptien pour lui donner l’aspect d’un veau d’or fêté dans l’immoralité des outrances sexuelles ; les coupables étant détruits par Dieu. Il y eut les 40 jours et nuits de l’espionnage de Canaan  et le peuple a été condamné à errer pendant 40 années dans le désert ; « une année pour chaque jour » où ils ont péché contre Dieu en refusant d’entrer en Canaan à cause des géants qui l’habitaient.

Jésus avait donc derrière lui, cette condamnation divine de tous les échecs de l’humanité depuis Adam et Eve. Et c’est déjà là, que nous trouvons le lien le plus direct avec son temps de jeûne qui a marqué son entrée en ministère car avant d’en être jugé digne, Jésus devait en donner la preuve concrètement en étant soumis à l’épreuve des tentations de Satan, le diable.

Jésus se trouve donc dans un état affamé conséquence d’une privation de nourriture pendant 40 jours et 40 nuits. La précision est importante, car ce jeûne suivi par Jésus, condamne le jeûne hypocrite et sans justification du Ramadan de l’islam qui autorise les jeûneurs à manger la nuit après le coucher du soleil ; manière de confirmer l’intérêt donné aux ténèbres nocturnes. De plus, celui qui jeûne ainsi le jour, témoigne à son entourage par sa privation qu’il est un bon musulman fidèle et obéissant. Car, de toute manière, la nuit, les œuvres humaines sont incontrôlées et donc sans intérêt stratégique ni pour le diable ni pour la religion et ses dogmes.

Alors que la faim tenaille ses entrailles, dans une vision, le diable se présente à lui et lui propose de faire appel à sa puissance divine à laquelle il a renoncé pour le temps de son incarnation. Il lui eut été si facile d’ordonner que les pierres soient transformées en pain savoureux, le diable le sait et le lui propose. Eve, en son temps, se fit pas prier ni supplier, pour accepter de désobéir à Dieu. A l’opposé, Jésus résiste à Satan et lui dit selon Luc 4 :4 : « Il est écrit : L'Homme ne vivra pas de pain seulement. » Déjà la formule, « il est écrit » témoigne du désir d’obéissance à son Père céleste et ce faisant, Jésus indique à ses futurs rachetés que le diable ne doit être combattu que par la loi écrite de la Parole de Dieu. Sa parole qu’Hébreux 4:12 compare à « une épée à double tranchants ». Jésus et le diable se livre un authentique duel et le perdant y perdra sa vie.

La suite est la réponse donnée par Jésus : « L'Homme ne vivra pas de pain seulement ». L’expérience de Moïse en a donné la preuve, puisqu’il passa 40 jours et 40 nuits au sommet du Sinaï en présence de Dieu, sans manger, mais aussi et surtout, sans boire, ce qui constitue un vrai miracle exceptionnel. Jésus se rappelle de ces choses et sa réponse le prouve. Elle est sage et mesurée, car le miracle est une chose rare utilisée par Dieu que dans des cas exceptionnels. Et en dehors de ces rares cas, la normalité est bien que l’homme vive par le pain qu’il mange. Mais cette réponse de Jésus nous dit également que le pain ne suffit pas à lui seul pour faire vivre l’homme. Il révèle ainsi, son besoin d’une authentique relation établie avec Dieu qui est dans son divin projet la seule raison de sa création de créatures libres parmi lesquelles il peut sélectionner ses élus éternels.

Cette réponse de Jésus-Christ nous invite à reconsidérer le sens donné à notre alimentation charnelle. Il est bon et nécessaire de redonner à cette nourriture terrestre le sens qu’elle avait pour Adam et Eve avant le péché soit, un plaisir supplémentaire accordé par Dieu à ceux qui l’aiment et lui obéissent.

Dans toute la révélation biblique, Dieu indique ce que l’homme peut manger et ce qu’il ne doit pas manger, mais il ne prescrit jamais le nombre de repas qu’il doit prendre dans le cycle du jour et de la nuit. Une émission scientifique récente démontre que le cycle alimentaire de l’être humain repose sur 24 heures. Et la même étude démontre l’utilité et l’efficacité du jeûne intermittent qui offre, après le repas, un repos de 16 heures aux organes humains. L’habitude des trois repas pris dans la journée est donc une hérésie alimentaire qui fatigue les organes privés de leur temps de repos. La digestion exige déjà elle-même environ 6 heures et le reste du temps devrait profiter aux organes pour qu’ils se reposent et se préparent au mieux pour digérer le prochain repas.

L’incarnation de Jésus-Christ n’a pas seulement l’intérêt de sauver les pécheurs, ses élus rachetés, sa manière de vivre est aussi une leçon très précieuse. Et au sujet de la nourriture, Jésus préférait s’en passer pour favoriser son temps de prière, selon Jean 4:31 à 34 : « Pendant ce temps, les disciples le pressaient de manger, disant : Rabbi, mange. Mais il leur dit : J'ai à manger une nourriture que vous ne connaissez pas. Les disciples se disaient donc les uns aux autres : Quelqu'un lui aurait-il apporté à manger ? Jésus leur dit : Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m'a envoyé, et d'accomplir son œuvre. » J’ai adopté moi-même la fréquence alimentaire d’un seul repas végétarien pris dans la matinée, et mes 80 ans s’en trouvent bénéficiaires. Le jeûne fortifie, le jeûne régénère, le jeûne protège l’être humain, car il favorise l’état réactif de ses anti- corps naturels. Si le corps bénéficie de la privation de nourriture, il n’en est pas de même pour la nourriture de l’esprit humain. Il est facile de comprendre que rien ne peut remplacer le temps passé en relation avec le Dieu créateur qui incarne par sa nature divine, le miracle permanent.

Dans son incarnation Jésus-Christ nous révèle le bon comportement conforme à l’idéal de Dieu. Et son attitude envers le sujet de l’alimentation nous présente un homme rassasié dans tous les sens du terme. Mais il donne la priorité à son esprit avant son estomac, mettant ainsi en pratique son enseignement de Luc 4:4 : « Il est écrit : L'Homme ne vivra pas de pain seulement. » Cette volonté de rassasier le besoin de son esprit permet de comprendre les excès alimentaires de gens frustrés dans divers domaines dans lesquels ils sont conscients d’échouer, d’être nuls. Car le corps et l’esprit sont soumis aux mêmes lois et le corps exprime la frustration de l’esprit humain. Ainsi, la frustration de l’esprit est traduite par le désir de combler, de remplir l’estomac, et ce type de comportement conduit vers l’obésité et le diabète ; soit, la maladie car, dans ce cas précis, le mal a dit et révélé l’existence du mal être de l’esprit. Quand sa vie le déçoit, quand ses relations humaines sont ressenties comme des échecs successifs, l’homme se retrouve seul avec ses cinq sens : la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût, et le toucher, et l’un, l’autre, ou plusieurs de ces cinq sens va devenir le seul sujet de son plaisir. Et pour l’être frustré, le plus facile à satisfaire est celui de la nourriture qui est absorbée par pur plaisir, comme ce fut le cas avant le péché. Mais ces conditions d’innocence ne sont plus et pour l’homme pécheur, dans ses excès, le plaisir alimentaire peut se transformer en terrible et mortelle malédiction.

Jésus-Christ a le désir de sauver l’homme de la condamnation du péché, mais il ne peut rien faire pour celui qui détruit son âme, corps et esprit, par des excès alimentaires ou autres. Par sa vie parfaite, Jésus est venu présenter le modèle de l’homme parfait aux habitants de la terre. Et quelle est l’utilité d’un modèle ? Ce qu’il représente est une invitation à l’imiter, le reproduire, dans l’idéal, de le cloner. Mais la décision est laissée librement à la volonté des humains pécheurs. Car Dieu ne contraint personne à l’imiter ; il appelle, il invite, mais ne contraint personne. Et c’est là, la raison de son amour pour ses élus qui librement viennent à lui, attirés par sa personnalité révélée en YaHWéh dans l’ancienne alliance, et en Jésus-Christ, dans la nouvelle alliance. Il obtient alors le résultat donné à son projet éternel et par son plan salvateur, il sélectionne ses compagnons d’éternité qu’il voulait obtenir quand il était encore seul et sans vis-à-vis libre et indépendant.

La maladie n’a pas la même cause au temps de Jésus et au nôtre. L’Israël que Jésus côtoyait obéissait aux lois alimentaires prescrites dans la « Thorah » juive ; ce qui n’est pas le cas de l’humanité chrétienne actuelle. Malgré cette protection légale de principe, l’Israël ancien était frappé par des maladies et des infirmités que Jésus guérissait. La cause de ces maladies n’était pas le non respect des lois divines mais la déformation de la religion organisée par Dieu. Les rabbins juifs avaient ajouté aux lois divines des lois inventées par eux, et ces lois rajoutées déformaient le caractère véritable du Dieu législateur, l’auteur des lois originelles. Israël payait par de nombreuses maladies la trahison commise envers Dieu, et le premier signe de sa réprobation fut d’enlever au peuple juif son entière indépendance nationale entre – 400 et la venue de Jésus le Messie.

Au cours de l’ère chrétienne, le faux christianisme catholique puis protestant va apporter à la loi divine, lui-aussi, des changements non voulus par Dieu. Les lois anciennes sont ignorées et de nouvelles lois inventées par l’homme les remplacent. Ainsi, l’une après l’autre, les deux alliances divines apostasient en leur temps pour la même raison : elles remettent en cause la stabilité parfaite de la conception de Dieu du bien et du mal. Ce n’est donc pas sans raison que dans ses premiers discours publics, Jésus dit, dans Matthieu 5 :17 à 21 :

« Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. »

« Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. »

« Celui donc qui supprimera l'un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. »

« Car, je vous le dis, si votre justice ne surpasse celle des scribes et des pharisiens, vous n'entrerez point dans le royaume des cieux. »

« Vous avez entendu qu'il a été dit aux anciens: Tu ne tueras point; celui qui tuera mérite d'être puni par les juges. »

« Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère mérite d'être puni par les juges ; que celui qui dira à son frère : Raca ! Mérite d'être puni par le sanhédrin ; et que celui qui lui dira : Insensé ! Mérite d'être puni par le feu de la géhenne. »

Pour bien saisir ce que Jésus enseigne, il est impératif de lire tous ces versets, parce qu’ils sont complémentaires et ne doivent pas être isolés, au risque de déformer l’enseignement donné par Jésus-Christ. Ces versets condamnent le faux enseignement chrétien actuel en rappelant la constante et perpétuelle priorité qui doit être donnée à la parole de Dieu écrite inchangeable ; « Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. »

Ainsi, jusqu’à sa venue glorieuse, le texte de la « Thorah » juive est la grille dont les lettres jugent, justifient ou condamne les Juifs charnels et spirituels. Et ce témoignage biblique se prolonge en Ecriture pendant tout son ministère terrestre, après sa mort et sa résurrection, il prendra la forme des 4 Evangiles écrits par quatre témoins dont deux oculaires. A ce témoignage des Evangiles, Dieu ajoutera les Actes des Apôtres et les nombreuses épîtres inspirées de ces témoins choisis par lui. Et au sujet de ses déclarations Jésus a dit dans Jean 12:48 à 50 : « Celui qui me rejette et qui ne reçoit pas mes paroles a son juge ; la parole que j'ai annoncée, c'est elle qui le jugera au dernier jour. Car je n'ai point parlé de moi-même ; mais le Père, qui m'a envoyé, m'a prescrit lui-même ce que je dois dire et annoncer. Et je sais que son commandement est la vie éternelle. C'est pourquoi les choses que je dis, je les dis comme le Père me les a dites. »

Après ces épîtres inspirées, en fin du 1er siècle, Dieu a donné à l’apôtre Jean sa vision nommé Apocalypse soit, Révélation. Et dans ce livre, Dieu révèle à ses serviteurs « les choses qui doivent arriver bientôt » ; des choses qui concernent le destin futur de l’Eglise, l’Elue du Christ jusqu’à la fin du monde. Et cette révélation est construite sur des symboles et des expressions dispersées dans les livres des « deux témoins » bibliques de Dieu.

Dans Apocalypse 10:9 : « Et j'allai vers l'ange, en lui disant de me donner le petit livre. Et il me dit : Prends-le, et avale-le ; il sera amer à tes entrailles, mais dans ta bouche il sera doux comme du miel. » Dans ce verset, Jésus compare le livre de sa Révélation à un aliment « doux comme le miel ». Nous retrouvons ici, cette nourriture divine à laquelle il a, en premier, donné priorité sur la nourriture terrestre. Et il montre ainsi à ses élus que ce principe est perpétuel et ne doit pas changer, jusqu’à son retour dans sa gloire divine.

Jésus a prouvé, par son activité physique incessante, que sa faible alimentation n’affaiblissait pas sa résistance physique. Ses longues marches de ville en ville, dans le désert et sur les chemins avec ses apôtres et ses disciples, en témoignent.

Finalement, qui était donc Jésus-Christ ? Dieu soit, Micaël fait homme, et sans sa toute puissance restée l’exclusivité du « Père céleste », l’Esprit auquel il obéissait et dont il dépendait.




M8- La concurrence


Ce mot concurrence est terrible car il porte des conséquences mortelles.

La concurrence est une notion rattachée au péché originel commis par Adam et Eve. Dans la vie animale, la concurrence se solde par la mort du plus faible dévoré par le plus fort. Les espèces animales se côtoient, se croisent, sans aucune agressivité lorsqu’elles sont rassasiées. Mais dès que la faim les tenaille, les mêmes animaux se déchirent et se dévorent.

Après le péché originel, l’être humain s’est retrouvé mis en concurrence avec son prochain. Et la conséquence a été la mort d’Abel jalousé par son frère de sang Caïn. La concurrence est véritablement le signe de la malédiction divine. Pour t’en convaincre je te propose d’examiner les conditions de la vie céleste et de la vie terrestre avant le péché. Les créatures de Dieu ne sont absolument pas en concurrence car elles ont les mêmes droits et les mêmes devoirs. La vie d’un ange ne dépend pas de la vie d’un autre ange, car tous obtiennent de Dieu ce qui leur est nécessaire. Dans la vie créée, humaine et animale, les végétaux trouvés en abondance et se reproduisant continuellement, servent de nourriture pour toutes les espèces créées par Dieu ; ce qui exclut toute forme de concurrence, selon Genèse 1:29-30 : « Et Dieu dit : Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d'arbre et portant de la semence : ce sera votre nourriture. Et à tout animal de la terre, à tout oiseau du ciel, et à tout ce qui se meut sur la terre, ayant en soi un souffle de vie, je donne toute herbe verte pour nourriture. Et cela fut ainsi. »

Dans le principe de la procréation des humains pécheurs, les spermatozoïdes de la semence de l’homme sont en centaines de millions mis en concurrence pour féconder l’ovule femelle, et un seul d’entre eux remporte la victoire. Si on considère le fait que la normalité de l’enfantement de la femme est d’un seul enfant ; le cas des jumeaux étant une anormalité que Dieu utilise pour marquer les deux choix placés devant l’homme, quand l’un des deux est dans la ligne de la postérité bénie d’Abraham. L’unique spermatozoïde vainqueur est une image prophétique de Jésus-Christ, l’unique vainqueur du combat de la foi par lequel, après lui, d’autres vainqueurs, ses élus, le suivent. De plus, ces centaines de millions de spermatozoïdes sont très nombreux à l’image de notre humanité globale du temps de la fin. Dans ce principe, Dieu prophétise sa sélection des élus rachetés en Jésus-Christ, car il les choisit parmi des centaines de millions d’êtres humains. Toutefois, la concurrence prend une forme différente, car la réussite des uns n’empêche pas la réussite d’un autre. L’être humain reste le seul responsable de ses choix spirituels et de son comportement envers Dieu et ses légitimes exigences.

Au regard humain, les religions monothéistes sont apparemment en concurrence, mais là encore, Dieu fixant lui-même la norme de la vraie religion, toutes les autres, celles qui ne se conforment pas à cette norme partagent en réalité le même statut de religion déchue, rejetée par Dieu. C’est uniquement quand elles se comparent avec la religion élue que la jalousie des fausses religions prend une forme haineuse, parce qu’elles se sentent mises en concurrence. Ce comportement a été celui de l’église catholique papale romaine de l’inquisition. La jalousie religieuse ou pas est la conséquence d’une mise en concurrence non supportée.

La concurrence a été normalisée dans l’humanité du péché et son caractère maudit a été oublié et ignoré. Aujourd’hui, beaucoup de gens totalement ignorants du sujet religieux, considèrent la concurrence comme une chose logique et naturelle. Ce comportement légitime pour l’humanité ce principe de concurrence qui concerne les espèces animales et de ce fait animalise l’humanité.

La concurrence est-elle inévitable dans la vie humaine marquée par le péché depuis Adam et Eve ? Je pense que non, car Dieu a organisé la vie humaine en lui donnant pour base, le lien familial. Et au sein de la famille, il n’y a pas de place, normalement, pour la concurrence, mais au contraire, elle se caractérise par une complémentarité solidaire. La concurrence apparaît quand elle s’applique à deux familles différentes qui choisissent de se concurrencer plutôt que de collaborer. La vie humaine est ainsi organisée sur la base de cellules successives : la famille, la ville, le pays, l’empire, le monde. Et à tous ses niveaux, l’être humain a toujours le choix entre la concurrence et la collaboration dans la complémentarité solidaire.

Dans un caractère égoïste, l’être humain cherche à profiter de la concurrence pour s’emparer des richesses produites par l’activité humaine.

Cette pensée égoïste est aujourd’hui représentée par l’idéologie politique et économique du capitalisme libéral occidental. Et, celui-ci est né en Angleterre, le pays de la religion anglicane créée par le roi Henri VIII dont la seule raison de son existence avait pour but de légaliser son divorce avec son épouse espagnole légitime ; ceci pour pouvoir épouser la jeune et belle Anne de Boleyn. La malédiction divine a donc produit ce système politique égoïste qui a conquis le monde occidental. Alors que l’Angleterre s’est affaiblie, les USA l’ont relayée et sont devenus les représentants mondiaux du capitalisme libéral. Cette fois, c’est la religion protestante, calviniste et luthérienne, qui est porteuse de cet égoïsme suprême.

En Occident, la vieille Europe des dix cornes, marquée majoritairement par la religion catholique a été influencée par l’idéologie athée des pays de l’Est socialistes de l’ancienne URSS. Cette norme socialiste est entrée en concurrence ou rivalité avec la vie catholique des Européens déjà gagnés par la pensée du capitalisme libéral. Bénéficiant d’une grande liberté, la France est particulièrement devenue le terrain de la concurrence qui oppose le capitalisme libéral au socialisme communiste. Mais au fil du temps, le capitalisme libéral s’est imposé et le socialisme s’est embourgeoisé ; le parti communiste s’est réduit au point de presque disparaître, absorbé par le parti socialiste patronal. La Russie, elle-même, l’a abandonné.

Opposé à l’extrême, autant qu’il est possible de l’être, ces deux systèmes de gestion populaires que sont le capitalisme et le communisme sont entrés en concurrence décidés à vaincre l’adversaire. A l’avidité individualiste du capitalisme s’est opposée la gestion collectiviste des individus regroupés et rassemblés. Et la vérité biblique me permet de le dire, les deux étant séparés, entièrement coupés de Dieu. Car, en apparence généreuse, le collectivisme communiste n’était pas motivé par l’amour de son prochain, comme ce fut le cas des premiers Chrétiens au sujet desquels Actes 4:32 déclare : « La multitude de ceux qui avaient cru n'était qu'un cœur et qu'une âme. Nul ne disait que ses biens lui appartinssent en propre, mais tout était commun entre eux. » Sans relation avec Dieu, le communisme russe ne pouvait qu’être froid, calculateur et meurtrier. Dans l’Est de l’Europe, le communisme a disparu, remplacé par la religion orthodoxe qui a été rétablie. Et le communisme collectiviste n’est plus appliqué qu’en Chine et en Corée du Nord, où il est dirigé par deux dictateurs indiscutés.

Dans le jeu de la concurrence qui opposait le commerce américain au commerce européen, les USA ont fait entrer la Chine communiste dans l’OMC. Suscitant la convoitise des investisseurs occidentaux, la Chine est devenue l’unique pays producteur de la grande fabrication mondiale. Et en conséquence, les entreprises américaines et européennes ne pouvaient que délocaliser leur production en Chine ou disparaître. Dès lors la production des pays riches occidentaux s’est tarie, accompagnée par la hausse du chômage local, aux USA et en Europe. Aux USA, le pouvoir politique est resté le même malgré les alternances gouvernementales ; le capitalisme a constamment soutenu ses riches investisseurs de la « Bourse » américaine.

Parallèlement, en Europe, la construction européenne a placé les décisions entre les mains des technocrates de Bruxelles et sa commission européenne mise au service du capitalisme mondial. De ce fait, les députés nationaux ont accompagné et légalisé les décisions qui ne demandaient plus leur avis, et les usines ont fermé leurs portes les unes après les autres dans une indifférence gouvernementale totale.

Depuis 2020, les coûts financiers énormes dus aux deux ans de blocage de l’activité imposés par un jeune président ambitieux, « immature » et « sans expérience » et les dépenses créées par son opposition à la Russie et son aide militaire donnée à l’Ukraine ont eu l’effet d’une onde de choc qui a réveillé les peuples européens. Ils se découvrent avec horreur, beaucoup plus faibles qu’ils pensaient être. Et aussi beaucoup moins riches et influents au niveau mondial que ce qu’ils imaginaient. C’est pourquoi, je vois dans cette actualité s’accomplir la vision « du colosse aux pieds d’argile et de fer mêlés », avec son explication donnée dans Daniel 2:43 : « Tu as vu le fer mêlé avec l'argile, parce qu'ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront point unis l'un à l'autre, de même que le fer ne s'allie point avec l'argile. » Dieu, pouvait-il mieux faire, pour annoncer ce que nous voyons aujourd’hui s’accomplir ? Une simple image montrée par lui remplace de longs discours.

Après la concurrence des idéologies gestionnaires, est apparue la concurrence entre le travailleur humain et le robot mécanique informatique. Et devenue très riche, la Chine a rattrapé tout son retard technique. Elle a enrichi l’Allemagne qui l’a originellement équipée en machines-outils pour ses chaînes de fabrication, et elle a tué la production française et n’a plus besoin aujourd’hui ni de l’une ni de l’autre, si ce n’est pour leur vendre ses propres productions.

L’Occident est donc devenu la victime du monstre chinois qu’il a créé. Sa production à bas prix, rend toute concurrence extérieure, vaine et perdue d’avance. Ces chaînes automatisées produisent énormément pour un moindre coût qui est amorti avec le temps. Si bien que l’homme peut avec raison se demander si sa survie n’est pas en jeu. Le robot concurrent le pousse de côté et compromet son utilité. D’autre part, l’énorme richesse détenue par quelques génies américains est utilisée pour développer encore plus cette production automatisée. L’humanité est soumise à un tel désordre que la valeur des monnaies chute ; elles sont remplacées par des monnaies virtuelles ; bref, le monde sombre dans la folie et l’angoisse.

En 2025, le capitalisme libéral dominateur, amplifie brutalement sa guerre concurrente. Le nouveau président américain, Donald Trump, impose aux Européens ses conditions pour conserver des relations internationales ; or, l’Amérique est très riche, et l’Europe se trouve, elle, ruinée et menacée de destruction par la Russie.

Pour en arriver là, les USA ont organisé la concurrence internationale en fixant les normes des échanges. Le remplacement de « l’étalon-or » par leur monnaie nationale, le « Dollar » constitue un signe spirituel à relever. Cette action confirme la malédiction de leur religion protestante, puisque « l’étalon-or » abandonné est bibliquement le symbole de « la foi », selon ce verset de 1 Pierre 1:7 : « afin que l'épreuve de votre foi, plus précieuse que l'or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l'honneur, lorsque Jésus Christ apparaîtra, …» Ainsi, « la foi » américaine est passée derrière sa monnaie nationale, le « Dollar » qui, pris pour étalon international, a mis les USA à l’abri de toute dépréciation extrême de sa monnaie. Ce changement lui a d’autant plus profité que ses multiples grosses entreprises nationales et internationales sont prises en compte pour la valeur de son « Dollar étalon ».

Conscients de leur puissance, les Américains ont fait accepter par leurs alliés européens, les règles qui régissent l’OMC, l’ONU, et l’OTAN. Résistant sous la présidence du général Charles De Gaulle, la France a fini par se soumettre après avoir renoncé à son indépendance pour la construction de l’Europe du marché commun devenue l’actuelle U.E. aux 27 nations membres.

En ce début du mois de Février 2025, la concurrence est relancée comme jamais. Mais cette fois, il n’est plus question de proposition mais d’imposition présentées aux Européens. Au sein de l’Europe, la France a été affaiblie et ruinée en étant mise en concurrence avec les autres nations européennes. Le régime capitaliste libéral dominateur au sein même de l’U.E. a placé les entreprises européennes en concurrence avec la Chine communiste dont les prix plus que bas ont provoqué l’abandon de la production européenne de secteurs entiers : textiles, ménagers, télévisions, téléphones et dernièrement, de voitures électriques aux prix non-concurrençables. Je m’interroge, sachant la cause, et je dis : Comment les dirigeants politiques français ont-ils pu ainsi détruire la production française au profit d’achats chinois et penser que ce pays pourrait survivre ? Il a fallu du temps, et pour moi de la patience, pour voir enfin éclater et apparaître la conséquence de ces choix politiques et économiques égoïstes et désastreux. Mais cette ruine que je voyais venir est aujourd’hui, bien confirmée au désespoir des Français trompés et trahis par leurs élites politiques.

En 2025, l’humanité se métamorphose et se transforme en monstres prêts à s’affronter comme des animaux affamés. L’orgueil et l’égoïsme sont assumés par des pays riches composés de gens fortunés qui détiennent à quelques uns toutes les richesses mondiales. Après avoir rendu les populations de toute la terre esclaves de sa haute technologie, l’Amérique de Donald Trump peut imposer à tous sa domination et ses décisions. Cette dépendance technologique a enrichi comme jamais quelques multimilliardaires qui soutiennent le nouveau président qui annonce, sans aucune gêne, son projet d’annexer le Groenland, qui convoite le Canada et veut contrôler le canal du Panama, mais aussi, la Bande de Gaza.

La dernière concurrence oppose le monstre américain au monstre chinois, au monstre européen et au monstre russe. Les géants de l’heure, les nouveaux « Titans », sont en concurrence pour dominer le monde et comme Dieu l’a révélé à ceux qu’il aime, l’Américain « part en vainqueur et pour vaincre » comme Jésus-Christ qui le détruira au jour de son retour glorieux.

Quand je considère l’histoire humaine, je relève que l’expérience américaine est courte et jeune : 400 ans depuis le début de son peuplement par des européens et seulement 200 ans depuis sa construction nationale. Son expérience était nouvelle comme une sorte de ballon d’essai dont personne sur terre, n’imaginait le résultat final. Et l’Europe composée de vieilles nations a commis une tragique erreur en voulant adopter sa norme multiethnique raciale, culturelle et cultuelle. La France qui est à l’origine en tête de cette adoption, avait rejeté la Bible en laquelle l’expérience de Babel annonce la forme de la fin de l’expérience américaine qui la renouvelle. Le mépris témoigné envers la sainte Bible, cette sainte Parole de Dieu écrite, aura donc causé la perte des USA, des Français et des Européens qui les ont suivis dans leur choix incrédule rebelle.

En résumé de tout ce qui vient d’être dit et démontré, la concurrence n’est pas une bonne chose puisqu’elle conduit des gens, des royaumes, des nations, des empires, à s’affronter jusqu’à la mort. Et là, se trouve la limitation que peut porter l’image du stade utilisée par l’apôtre Paul dans 1 Corinthiens 9:24-25, dans laquelle il n’y a « qu’un seul » vainqueur, comme, il le fait lui-même remarquer ; ce qui n’est pas le cas, pour la sélection de Dieu qui bénit tous ceux qui comblent son attente : « Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu'un seul remporte le prix ? Courez de manière à le remporter. Tous ceux qui combattent s'imposent toute espèce d'abstinences, et ils le font pour obtenir une couronne corruptible ; mais nous, faisons-le pour une couronne incorruptible. » Obéir à Dieu ne nuit à personne sur la terre et l’élu n’est donc pas mis en concurrence avec son prochain. Tous ceux qui vont se perdre ne sont que les victimes de leur propre libre-choix. De même, ceux qui vont vivre éternellement seront les bénéficiaires du même libre-choix donné par Dieu à toutes ses créatures célestes et terrestres ; ceci, depuis sa création de son premier vis-à-vis céleste, l’ange de lumière devenu, depuis sa rébellion contre Dieu et ses valeurs, Satan le diable. Mais heureusement, la lumière triomphera et anéantira les ténèbres !



M9- Le bon sens apparaît


Ce message ne peut qu’être court, mais n’en est pas moins précis.

Qu’est-ce qui me porte à faire une telle analyse ? L’évidence des faits. Car je relève que les temps en lesquels les deux guerres mondiales précédentes ont été rendues possibles étaient marqués par la domination de grands chefs. En 1914, l’Allemagne prussienne était dirigée par l’empereur Guillaume II. Et ce pouvoir sans partage, l’a porté à vouloir agrandir sa domination en conquérant de nouvelles terres qui appartenaient à la France. En leur temps, Napoléon 1er et Napoléon III en ont fait autant.

Quel est le lien avec le bon sens ? La simple logique du raisonnement qui veut que le plus fort impose sa loi au plus faible que lui. Ce principe s’impose à l’humanité depuis le commencement, au moment où, à travers le serpent, Satan a vaincue la résistance humaine. Depuis ce début, jusqu’en 1945, des guerres incessantes ont opposées les êtres humains. En 1939, il y eut Hitler et Staline, deux dictateurs pervers qui, après s’être associés pour se partager la Pologne, se sont affrontés à mort, jusqu’à la défaite de l’Allemagne et la mort d’Hitler en 1945. C’est pourquoi, on ne relèvera jamais suffisamment le caractère exceptionnel des 80 années de paix dont le monde occidental a profité pour porter à son apogée le fruit de son amour pour la liberté.

Incontestablement, la paix qui s’est instaurée en 1945 a été obtenue grâce à la mort d’Hitler, le plus envieux et ambitieux des dictateurs de l’heure. A Yalta, les grands de la terre se sont partagé les terres des nations vaincues et les derniers dictateurs se sont endormis les uns après les autres dans une ambiance internationale tendue où les nations étaient séparées en deux camps principaux : l’Ouest et l’Est. Ce qui a favorisé la paix a été le régime parlementaire des démocraties. Sans dictateur, les peuples adoptent des accords favorables à la paix recherchée et souhaitée par l’immense majorité des êtres humains vivants. Ce modèle démocrate pourrait apparaître comme le régime idéal sauf qu’il provoque de grandes frustrations chez ceux qui n’acceptent pas le compromis politique, économique ou religieux. Et même s’ils ne sont représentés que par de petites minorités, ils n’en sont pas moins dérangeants et efficaces.

Car qu’est-ce qu’une démocratie ? C’est un immense océan dans lequel les gros poissons mangent les plus petits, dans lequel, des meurtres, des crimes anthropophages se produisent constamment, dans l’indifférence de tous, ce qui lui donne en surface l’apparence d’une mer calme et tranquille. Car dans une démocratie, l’argent est roi ; la possession et la richesse conduisent au pouvoir politique des hommes dont les décisions vont enrichir encore plus les riches qui les soutiennent. Et pour calmer les foules exploitées exigeantes de toujours plus de liberté, les barrières légales morales sont enlevées, permettant au peuple de jouir de nouvelles libertés justifiant l’abomination de plus en plus grande et perverse.

Dans les parcs des villes, les enfants jettent du pain aux canards qui se pressent vers eux ; les riches dominateurs agissent de même avec les populations pauvres.

Le thème de la paix occidentale est à ce point exceptionnel, que Dieu en fait mention dans sa prophétie d’Apocalypse 7:1, désignant néanmoins une paix spirituelle : « Après cela, je vis quatre anges debout aux quatre coins de la terre; ils retenaient les quatre vents de la terre, afin qu'il ne soufflât point de vent sur la terre, ni sur la mer, ni sur aucun arbre. » La paix que Dieu souligne dans cette prophétie ne concerne que les relations entre les seuls êtres humains chrétiens. Car la relation de l’homme avec Dieu prend un caractère nouveau à partir de 1843, selon les termes du décret fixé dans Daniel 8:14 qui détermine cette date. Les guerres continuelles ayant eu une cause religieuse jusqu’en 1840, la paix de pouvait en premier que concerner ce type de paix religieuse. En 1840, les armées anglaises et russes chrétiennes ont mis fin à la domination musulmane Ottomane des Turcs Seldjoukides. Les guerres opposant les Chrétiens catholiques aux Chrétiens protestants avaient cessé au moment de la Révolution française entre 1789 et 1798. Et la lutte entre les Chrétiens et les Musulmans a donc à son tour pris fin en 1840. Peu de temps avant et après, ce fut le temps des guerres des colonisations : Algérie, Afrique noire, Asie…etc.

Au temps fixé par lui, par son décret de Daniel 8:14, de nouvelles conditions sont établies par Dieu, pour sauver ses élus par la grâce de Jésus-Christ qui les sanctifie par sa vérité. Dieu ne fait qu’exiger la restauration des vérités apostoliques oubliées et remplacées dans la doctrine catholique romaine papale. Les épreuves nommées « adventistes » vécues aux USA en 1843 et 1844 sont ignorées par les multitudes chrétiennes internationales qui sont de la sorte privées d’un précieux poteau indicateur ancré et fixé par le Dieu créateur pour éclairer ses saints élus. En 1843, Dieu dénonce le non achèvement de la Réforme protestante qui conserve énormément de sujets doctrinaux faux et mensongers hérités de la doctrine catholique papale romaine. Or, le Souverain suprême de la vie céleste et terrestre ne peut accepter que sa vérité ne soit pleinement restaurée et honorée par les élus qu’il sauve par Jésus-Christ.

Dans ce programme de restauration de sa vérité, Dieu avait posé la première pierre de sa reconstruction en l’an 1170, en conduisant un homme riche, lyonnais, nommé Pierre Vaudès, ou Valdo, à traduire le texte biblique latin en sa langue franco-provençale. Il fut ainsi le premier homme qui a rendu à Dieu par Jésus-Christ le culte que lui rendaient les douze apôtres, le repos sabbatique du septième jour étant compris dans les vérités restaurées. Après son époque et sa fidèle résistance, le groupe vaudois qu’il avait formé a été vaincu et dispersé par les attaques catholiques. De ce fait, entre le 15ème et le 18ème siècle, la Réforme protestante n’a pas reproduit son fruit de vérité initiale. Dieu a donc accepté, dans la frustration de sa gloire légitime, de reconnaître provisoirement l’imparfaite fidélité des martyrs protestants qui ne prenaient pas les armes, préférant perdre leur vie ou leur liberté.

Les causes des guerres religieuses ayant cessé, des guerres sporadiques de conquêtes territoriales les ont remplacées en 1870, 1914 et 1939 ; trois guerres dont l’ennemie de la France fut l’Allemagne prussienne, puis hitlérienne.

Le retour de Jésus étant prévu pour le printemps 2030, le début du dernier siècle de l’humanité est l’année 1930. Bien que la guerre de 1870 ne soit pas une guerre mondiale, elle fut néanmoins pour l’Europe, très meurtrière et donc très importante. Entre 1870 et 1914, il s’écoule 43 ans ; ensuite, entre 1918 et 1939, nous avons 20 années de paix. Les Guerres de 1914 et 1939 sont apparues pour punir l’iniquité des Chrétiens occidentaux tombés dans la vie luxurieuse et la débauche. Pour obtenir ce résultat, il a fallu 43 années de paix, premièrement, et 20 années de paix, secondement, et ce témoignage révèle une accélération du processus qui conduit l’homme à être dominé par le mal. Démonstration faite et obtenue, Dieu a donné à la Seconde Guerre Mondiale un aspect destructeur intense ; destruction des villes et d’une partie de leurs habitants bombardés par les nouveaux maîtres du ciel : les avions militaires, chasseurs et bombardiers. La punition a été très grande avec ses 60 millions de morts et disparus. Et parce que cette guerre représente son avant-dernier avertissement, Dieu a fait cibler particulièrement la communauté juive par le chef nazi Adolf Hitler dont la « solution finale » a fait mourir quelques 6 millions de Juifs et juives, vieillards hommes, femmes et enfants.

Le désastre fut si grand qu’il a fallu attendre l’année 1968 pour que l’esprit frondeur de la jeunesse réapparaisse en France. 1945 à 1968 fut le temps du relèvement des ruines, et 1968 marqua le début des revendications libertaires. En 1974, après les décolonisations, les pays arabes reprennent le contrôle de la vente du pétrole et du gaz. Les pays musulmans s’enrichissent au détriment des Européens qui eux s’appauvrissent. L’entrée de la Chine dans l’OMC va encore plus les appauvrir et les rendre dépendants de ses productions. Pour étouffer d’éventuelles révoltes populaires, les dirigeants occidentaux lèvent toutes les barrières morales, tous les tabous religieux et offrent à leur population la jouissance de la liberté au sens propre et au sens figuré (sale). En France, c’est en 2013, le vendredi 17 mai, que le président Hollande fait, avec difficulté, adopter légalement le droit au mariage pour tous, « gays, lesbiennes, et transsexuels ». La démocratie prend alors l’apparence d’une démone « crasse » abjecte et licencieuse au niveau jamais atteint, ni en 1870, ni en 1914, ni en 1930 ou 1939. Par cette action, Paris confirme son nom symbolique « Sodome » que Dieu lui attribue dans Apocalypse 11:7.

Relevons que dans la même année 2013, la cause de la guerre d’Ukraine est déclenchée par les manifestations « d’Euromaïdan », suivi par le putsch de « Maïdan », qui renverse son président russe élu.

Après l’outrage de 2013, Dieu a inauguré « le temps de la fin » en offrant à ses élus une abondante lumière spirituelle au printemps 2018, dont la fixation de la date du retour de Jésus-Christ pour le printemps 2030. Puis 2020 a été l’heure du début de ses derniers châtiments : le virus du Covid-19 a bloqué pendant 2 années l’économie française au prix d’un grave endettement. Liés les uns aux autres par les accords européens, les pays partenaires se sont mutuellement soutenus en ruinant toute l’Europe consommatrice, mais de moins en moins productrice pour exporter vers l’étranger.

C’est dans ce climat peu favorable aux Européens de l’U.E. que la guerre en Ukraine a conduit le chef de la Russie à se comporter en dictateur inflexible. Depuis quelques temps, le chef de la Chine venait d’obtenir son titre de président à vie. Et le chef de la Corée du Nord dispose lui-aussi de ce pouvoir suprême qui favorise des prises de positions immédiates non discutées. L’avantage stratégique est pour ces dictateurs qui redoutent cependant tous le pire soit, la mort propagée par l’affrontement nucléaire.

Dans le camp des démocraties, le nouveau président Donald Trump se distingue en ce qu’il n’est pas un homme politique professionnel formé dans les écoles administratives des USA, comme c’est le cas généralisé en Europe occidentale. Et ce que je relève, c’est que cet homme n’a en sa faveur que son simple bon sens humain appliqué dans sa formation professionnelle de chef d’empire immobilier. Donald Trump n’est pas à l’aise dans son costume présidentiel au droit restreint par les autorisations données par le Congrès américain. De plus, il a en face de lui, ses adversaires qui ne sont pas, eux, retenus par des obligations légales, car ils font et interprètent la loi de leur pays. Malgré son handicap politique, le président Trump bénéficie d’un soutien quasi miraculeux des trois chambres politiques américaines, le Congrès, le Sénat et la Cour suprême.

Comme un extra-terrestre descendu sur la terre, le président Trump exprime franchement et ouvertement ses visées, ses objectifs, qui visent à enrichir l’Amérique, sa nation, et lui redonner son rôle dominateur incontesté qu’elle avait en 1945. Or cette ambition se heurte au souhait du camp des « BRICS » qui veulent enlever au dollar de la monnaie américaine sa valeur d’étalon mondial. Ces deux objectifs étant totalement inconciliables, une guerre finale totale est facilement prévisible. Mais avant cela, des arrangements provisoires et de courtes durées sont possibles pendant cette année 2025.

Dans un monde régi par l’argent, Donald Trump pense que tout peut s’acheter : la matière, les produits, les terres, et les âmes humaines. Avant lui, les papes de l’église catholique ont voulu obtenir et ont obtenu la domination sur les biens et les âmes humaines. Aussi, dans la condition actuelle où la valeur suprême est l’argent et la richesse, beaucoup sont prêts à suivre Donald Trump.

Son désir de contrôler le passage du Panama, de faire du Canada le 51ème Etat américain, d’acheter le Groenland, et de contrôler la Bande de Gaza, épouvante tous les peuples de la terre. Et si l’homme se permet d’exprimer ses souhaits, c’est précisément parce qu’il n’est pas un homme politique corrompu par l’hypocrisie exigée par cette profession politique. Il dit ce qu’il pense et tente de faire ce qu’il dit. C’est si logique comme comportement qu’il convient de relever le haut niveau de la perversion universelle des peuples que son comportement étonne. Pour ces autres peuples, la tromperie et l’hypocrisie sont considérées comme des valeurs normales. Et pour ces gens, se comporter franchement et sans hypocrisie est comme une intervention extra-terrestre. Et en fait, c’en est bien une, puisque sa mission est organisée par le Dieu créateur qui vient à travers le président Trump, bouleverser et chambouler, l’ordre international hypocrite qui règne depuis 1945.

L’Amérique a de gros avantages qui lui permettent de parler fort et de faire pression sur ses adversaires. Elle est très riche en biens et matières, géographiquement isolée, et puissamment équipée en armements de toutes sortes.

En ce mercredi du 5 Février 2025, Donald Trump épouvante tous les médias en proposant devant Benjamin Netanyahou, le chef actuel d’Israël, de faire de la Bande de Gaza, une « Côte d’Azur » reconstruite et gérée par l’Amérique après que les Palestiniens qui y vivent actuellement soient accueillis par l’Egypte et la Jordanie ou d’autres pays arabes.

Cette idée peu paraître inconcevable et injuste, cependant il présente pour la première fois une solution au problème que représente la cohabitation des Juifs avec les Palestiniens. Prenant ouvertement parti pour Israël, placé sous la protection américaine depuis 1948, Donald Trump trouve logique de frustrer 2 millions de Palestiniens pour régler un problème qui peut embraser le monde. Qui peut s’opposer à ce raisonnement logique ? Dans la Bible, le chiffre « 2 » désigne l’imperfection et c’est bien l’imperfection qui empêche le règlement de la cohabitation de deux peuples antagonistes. En intervenant souverainement, les USA constituent un 3ème camp, et « 3 » est le chiffre de la perfection, dans la sainte Bible. Quand deux enfants se disputent un objet, offrir l’objet en question à un troisième enfant peut constituer une bonne résolution du problème qui oppose les deux premiers enfants.

A qui appartient la terre ? Des peuples se succèdent au fil du temps sur des terres dont ils font leur sol national. Mais au cours de l’histoire, certains sont décimés et remplacés par d’autres qui font du territoire conquis, leur terre nationale. En premier, Dieu a organisé et mis en œuvre l’extermination des Amoréens pour offrir à son peuple Israël une longue existence paisible. Mais dès ce commencement de sa vie nationale, Israël a désobéi à Dieu et il a laissé survivre des habitants de la ville de Gaza entre autres. Il en a résulté la présence d’un ennemi séculaire nommé « Philistin » que Dieu a su utiliser pour punir les infidélités de son Israël juif charnel pendant son histoire.

N’est-il pas remarquable que cinq années avant son retour final, la paix mondiale dépende d’un conflit opposant les habitants « Palestiniens » de Gaza à l’Israël actuel ? Or, ces habitants actuels de Gaza ne sont pas les descendants des anciens Philistins, mais des arabes nomades dispersés sur la terre nationale des Juifs renommée Palestine par les Romains ; ceci pendant le temps de la dispersion des Juifs parmi les nations de la terre, depuis 70 jusqu’en 1948.

Le caractère insoluble du conflit qui oppose aujourd’hui les Palestiniens aux Israéliens est, pour Dieu, le moyen de rappeler à Israël sa première désobéissance : il n’extermina pas les habitants de Gaza, comme Dieu le lui avait ordonné. Le souvenir de cette première faute est projeté par le Dieu créateur en 2025, pour attirer tous les regards humains sur les conséquences portées par la désobéissance aux ordres qu’il a donnés.

La solution proposée par Donald Trump n’aura jamais l’efficacité de l’ordre donné par Dieu, parce que seule la mort rend la descendance rebelle inactive. Et en proposant l’accueil des Palestiniens dans d’autres pays arabes, le président américain sous-estime l’entêtement de certains combattants palestiniens fanatiquement attachés à leur revendication territoriale. L’homme d’affaire américain est insensible à la valeur sentimentale et religieuse que les Palestiniens actuels donnent à un petit territoire où les Juifs sont revenus s’installer. Lui, le riche, ignore que la dernière propriété du pauvre, c’est sa terre ; celle sur laquelle il est né. Mais cet attachement, au demeurant très légitime, peut être remis en cause par Dieu qui seul décide à qui la terre doit être donnée. Et c’est dans cette aptitude à accepter humblement sa très sainte volonté, que l’être humain peut témoigner d’une foi authentique. Dieu demanda à Abram de quitter la terre et la maison de son père, nous enseignant ainsi à recevoir ce qu’il nous donne et accepter de perdre ce qu’il nous reprend. Or, ce n’est pas là, le comportement de nos Palestiniens musulmans qui témoignent ainsi eux-mêmes contre leur religion.

Nous passerions à côté d’un message adressé par notre subtil Dieu créateur, si nous ne relevions pas l’intérêt du nombre « 80 » qui est le nombre des années comprises entre 1945 et 2025. « 80 », c’est 40 + 40 et ce chiffre 40 fut le temps de l’épreuve de l’Israël de l’ancienne alliance. Relève ces analogies : au terme des 40 ans, Israël allait entrer en terre de Canaan, de même au terme des 80 ans, l’Israël spirituel de Jésus-Christ s’apprête à entrer dans le royaume céleste de Dieu, la Canaan céleste. Or, Dieu condamna la génération incrédule testée à mourir pendant le temps du séjour au désert. Et ce furent donc les générations suivantes qui furent autorisées à prendre possession de la terre de Canaan. De même, Dieu a attendu, 80 ans soit, le temps que meure la génération qui a vécu le châtiment de la Seconde Guerre Mondiale, pour soumettre les générations suivantes à l’épreuve de sa « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale. Et cette analogie cible l’incrédulité d’une génération victime ou témoin de la « shoah », la tentative nazie d’exterminer les Juifs, les premiers pécheurs coupables d’incrédulité pour le projet salvateur de Dieu, basé sur Jésus-Christ et sa divine grâce. Dieu a tenu pour coupable d’incrédulité cette génération qui n’a pas compris que ce châtiment des Juifs venait de lui, de même que la Seconde Guerre Mondiale entière. Depuis 1945, de nouvelles générations ont obtenu un délai de 80 ans pour recevoir Dieu et le comprendre. Mais elles échouent et font le mal pire que leurs pères. En conséquence, le châtiment divin, mortel cette fois, de sa « sixième trompette », vient les frapper pour les détruire, grandement.

« La loi du plus fort est toujours la meilleure », a dit par dérision, le sage Jean de la Fontaine dans sa fable « le loup et l’agneau ». Elle est non seulement la meilleure, mais aussi, divine, car c’est Dieu qui a placé la vie entière sous toutes ses formes sous ce principe ; et ceci à juste raison, parce que le plus fort, c’est lui, et dans son projet créationniste, il sortira vainqueur et honoré par ses élus, quand il aura anéanti tous ses ennemis célestes et terrestres. La loi actuelle des compromis cessera d’exister et la norme de la valeur divine la remplacera éternellement. Le compromis est le résultat injuste obtenu dans une confrontation d’idées humaines imparfaites. Dans la vie céleste bénie par Dieu, cette situation n’est plus, la parfaite pensée divine s’impose à toutes ses créatures pour leur bonheur et leur parfait accord.

Je ne sais si Donald Trump aura la possibilité de mettre en œuvre son projet concernant Gaza, mais je suis certain que s’il tente de le faire, le monde oriental musulman va se soulever comme un seul homme pour l’en empêcher. Mais, ne sommes nous pas dans l’attente d’un soulèvement musulman contre l’Occident chrétien prophétisé dans Daniel 11:40 ? Ce sujet concernant Gaza pourrait être sa cause.



M10- La perversion du bon jugement


Dans la soirée du 6 Février 2025 soit, du 7 Février dans le temps divin, j’ai suivi une émission sur une chaîne info où l’invité était Mr Bruno Retailleau le nouveau ministre de l’intérieur du gouvernement Bayrou de la France. Des échanges avec des téléspectateurs, gens du peuple présents sur le plateau, m’ont permis de découvrir la clé des problèmes civils et religieux actuels.

Le ministre très désireux de régler les problèmes de violence qui se multiplient dans le pays, se heurte à un problème d’application des lois émises par les députés français. Le problème est le suivant : les députés votent des lois que les juges de la République sont chargés d’appliquer. Si les choses se passaient ainsi, les coupables seraient systématiquement punis et incarcérés ou expulsés du pays. Seulement, les juges n’appliquent les lois qu’après s’être donné le droit de les interpréter. Le mot fatal et responsable est lâché ; c’est un verbe, le verbe « interpréter ». En utilisant ce droit d’interpréter, les juges n’appliquent plus la loi ; ils se permettent de ne pas la respecter. Avec raison, la Constitution de la 5ème République française, offre à la Justice une entière indépendance envers le pouvoir politique dirigeant exécutif. La justice est donc totalement libre vis-à-vis des hommes politiques et ne doit en ce cas pas subir l’influence du camp politique mis au pouvoir. Mais cette indépendance est abusivement exploitée quand le résultat permet la non-application de la loi promulguée par la chambre des députés. L’indépendance des chambres de la République est censée permettre d’éviter les influences des groupes politiques différents et même totalement opposés. Mais par nature, les juges sont des humains et des citoyens qui ne sont pas indépendants totalement, puisqu’à titre individuel, ils favorisent des idées politiques qu’ils partagent et approuvent dans leur comportement professionnel de juges. La véritable neutralité est rare ou n’existe pas. En plus de ce problème imputable à l’indépendance outrepassée de la justice, un autre problème vient empêcher l’application des lois soutenues et promulguées par les représentants nationaux du peuple français. Il s’agit du blocage ou de l’autorisation donnée par le Conseil Constitutionnel formé par les anciens présidents de la République, restés vivants, tous ayant été rejetés par les électeurs français à la fin de leur mandat présidentiel. Un pouvoir décisionnaire de nuisance leur reste attribué. Est-ce légitime et intelligent ?

A ces deux blocages vient s’ajouter un troisième qui concerne le pouvoir du commissariat européen et de la députation européenne dont les jugements prévalent sur les décisions nationales. Peut-on faire mieux pour s’empêcher d’agir et de réagir contre les problèmes qui se présentent et s’imposent en notre époque troublée, perturbée par l’intensification des sujets néfastes que les populations subissent chaque jour davantage ?

La France, la deuxième démocratie de l’histoire mondiale moderne après les USA, a été choisie par Dieu, comme un modèle type de l’histoire de la religion chrétienne. Ses rois ont été puissants, craints, respectés et enviés par beaucoup de rois et leurs peuples. Sous Louis XIV, la séduction a atteint son apogée et ce roi nommé « le roi soleil » a fait culminer les arts et le luxe en faisant bâtir sa résidence de Versailles. Et si j’en viens à évoquer ce roi, c’est parce qu’il incarne le contre-modèle de notre démocratie actuelle ; son opposé dans l’absolu. Il n’avait, lui aucune difficulté pour appliquer ses lois. Il les créait seul et les faisait appliquer sans donner à quiconque le droit de les interpréter ; sous peine de mort ou d’incarcération. Par dérision subtile, le Dieu créateur suprême et Souverain au titre de « Roi des rois et Seigneur des seigneurs » a plongé son règne de « roi soleil » dans de profondes mortelles « ténèbres » ; ceci, jusqu’au jour de sa mort, puis le soleil du ciel est réapparu, réchauffant la nature et les hommes.

Entre l’excès de Louis XIV et l’excès de notre démocratie moderne, il y a place pour un juste milieu équilibré, n’est-ce pas le cas ? Ce fut le cas entre 1945 et 1968, l’année de la rébellion de la jeunesse française étudiante, les enfants des riches privilégiés et trop gâtés de la République française. Influencés par les débordements libertaires sexuels qui caractérisaient la jeunesse américaine, le mal américain s’est implanté en France et dans toute l’Europe occidentale.

En Amérique comme en France, un grand pouvoir décisionnaire est donné aux juges. Et ce choix est dû à l’intensification de l’influence de la science traitant de la psychiatrie. Le droit de l’interprétation a été donné en premier aux psychologues devenus les maîtres penseurs des sociétés démocrates. Quand le psychiatre a parlé, la justice s’incline et n’applique plus la loi prévue pour punir le crime, le meurtre, le vol ou le viol. En conséquence, le mal se prolonge et fait de nouvelles victimes. Qui profite de cette situation ? Le diable, Satan. Et Dieu ne voit en cela que la conséquence du mépris dont il est personnellement objet. Le mal ne fait que retomber sur la tête de ceux qui le méprisent. Et c’est en cela que la connaissance de la sainte Bible, sa divine parole écrite, est utile et vitale, car elle met en garde l’homme, en annonçant la mort de ceux qui le méprisent.

Le cas civil de la France et des autres démocraties occidentales éclairent d’une lumière éblouissante le cas du problème religieux de notre temps.

Parlant de Dieu, les hommes le nomment en grec le « logos », soit la « Parole », reprenant le témoignage de l’Evangile de Jean où il dit dans le chapitre 1, au verset 1 : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. » Confirmant sa déclaration, nous lisons dans Genèse 1:1 : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. » Ces deux versets se complètent merveilleusement en nous révélant que la Parole est un verbe, le verbe « créer », le premier verbe que Dieu s’impute et qu’il donne à son action.

Comparons maintenant, dans ces deux sources bibliques, le deuxième thème évoqué par Jean : « la lumière », selon Jean 1:4-5 : « En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue. » Genèse 1:3-4 répond : « Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. » Ce verset 3 révèle que Dieu « crée » en donnant un ordre exprimé par sa « Parole » ; ce qui fait de lui, la Parole divine incarnée en Jésus-Christ.

Cette mise en scène biblique dirige notre attention sur l’autorité de Dieu dont la « Parole » obtient instantanément ce qu’il ordonne. Or ce modèle ressemble beaucoup plus à celui de Louis XIV qu’à celui de nos démocraties actuelles qui se détruisent par l’excès de liberté qui donnent à leurs juges le droit d’interpréter les décisions légiférées par les députés de la représentation du peuple.

Au cours de l’histoire des deux alliances divines, les peuples ont été placés sous la domination souvent tyrannique des rois qui jouissaient du pouvoir absolu sur eux. Ce que la Bible nous apprend, c’est que le mal n’est pas dans le principe de ce pouvoir parce qu’il est calqué sur le modèle divin. Le vrai problème se trouve dans le roi qui hérite de son titre, quelle que soit sa moralité, et sa situation envers Dieu. Si le roi n’a pas la crainte du vrai Dieu, son règne va être terrible pour son peuple, de même que le sort de l’humanité livrée à Satan est terrible pour elle.

La monarchie avait sur la démocratie l’avantage d’apprendre aux hommes à obéir aux ordres donnés par le roi. L’homme était ainsi naturellement formé pour obéir et pouvait ainsi agir de même envers Dieu. Et dans des siècles marqués par de profondes ténèbres spirituelles, dans l’ignorance de la vérité biblique, les multitudes populaires se soumettaient à l’église catholique romaine papale en pensant servir Dieu et lui obéir. Aussi, a-t-il fallu attendre l’impression mécanique de la Bible traduite en de multiples langues, pour que sa connaissance permette aux élus du Christ de se distinguer des déchus, par leur obéissance à ses ordres, ses commandements et ses ordonnances ; ceci, en partie, au temps de la Réforme, et intégralement, depuis 1843-1844 comme l’exige son décret cité dans Daniel 8:14 dont la vraie et bonne traduction est : « Et il me dit : Jusqu’à deux mille trois cent soir-matin et la sainteté sera justifiée ». Le « Logos » divin a parlé et son ordre a été exécuté au terme des 2300 années prophétisées soit en 1843, au printemps ; cette durée ayant pour début celui des « 70 semaines » qui conduisent à Jésus-Christ dans Daniel 9:24 soit, selon Daniel 9:26, le premier mois de la septième année du règne du roi perse Artaxerxès 1er. L’action est située en 458 avant Jésus-Christ, et la précision se trouve dans Esdras 7:7.

La traduction de la Bible en de multiples langues a permis donc aux êtres humains bénéficiant d’une complète liberté de choix d’obéir ou pas aux ordres de Dieu clairement exprimés. Car ce point est extrêmement important car il trace la ligne de démarcation entre les élus et les déchus : Dieu ordonne des choses et ne permet pas à ses créatures d’interpréter ses ordres clairement exprimés. Nous pouvons ainsi comprendre que l’homme se comporte civilement comme il se comporte religieusement : il interprète les ordres au lieu de leur obéir. Dans le laxisme humaniste des êtres humains, l’interprétation favorise le prolongement du mal, seulement, mais l’interprétation des ordres donnés par Dieu conduit les coupables à la mort éternelle ; ce qui est beaucoup plus grave.

Il est nécessaire de relever que la Bible présente deux sortes de messages : des messages clairs et des messages prophétiques cryptés ou codés. En réalité, les choses ne sont pas aussi tranchées car des textes littéraux clairement exprimés comme c’est le cas du récit de Genèse 1 ; portent en même temps des messages prophétiques comme je l’ai démontré. Mais certains textes comme Daniel et Apocalypse ont par nature vocation à devoir être interprétés. Mais, même dans cette démarche, Dieu se réserve le droit de donner le code de ses prophéties et il condamne, après avertissement, les « interprétations particulières humaines » données à ses prophéties, selon 2 Pierre 1:20-21 : « sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. » Et le code que Dieu présente à ses élus est indiscutable parce qu’il se trouve dans les écritures saintes de la Bible. Dieu peut seul revendiquer la possession d’une réelle indépendance, étant créateur de toute chose et de toute vie. Aussi, quand il ordonne, il veut être obéi. Et je me souviens, l’ayant mémorisée, cette leçon apprise pendant mes classes militaires en 1963 : « La discipline faisant la force principale des armées, il importe que tout supérieur obtienne de ses subordonnés une obéissance entière et dans tous les instants ». Dieu peut-il exiger moins que les officiers et les sous-officiers de l’armée française ?

La leçon est claire et précise, l’ordre n’est pas un conseil, un avis, donné à interpréter. Et ce droit à l’interprétation est la cause des échecs subis actuellement par nos démocraties occidentales et elle est aussi la cause des malédictions qui frappent toutes les religions chrétiennes tombées dans l’apostasie généralisée. Les révélations des prophéties sont un plus que Dieu réserve à ses seuls élus qu’il identifie par leurs œuvres. L’accès à sa lumière n’est donné qu’aux appelés qui se montrent obéissant et mettent en pratique tout ce qui leur ordonne dans sa sainte Bible. En Jésus-Christ, le Saint-Esprit dirige leurs pensées et leur permet de comprendre ce qui subsiste et ce qui disparaît dans les ordres donnés par Dieu. Le secret de cette possibilité se tient dans l’intelligence que Dieu leur donne pour l’application spirituelle.

La leçon étant donnée et révélée à ses serviteurs, Dieu suscite le réveil de l’ancien régime autocrate. Partout sur la terre, se lèvent des dictateurs assoiffés de pouvoir et d’autorité. Le temps du règne des démocraties prend fin sous nos yeux. L’avenir proche conduira à l’affrontement d’immenses blocs composés de nations partenaires unies pour faire la force.

Le mot perversion signifie bien ce qu’il dit : perdre la version normale. Et l’humanité a bel et bien perdu de vue la normalité de la possibilité du vivre ensemble qui disparaît progressivement dans l’échelle, famille, ville, région, nation, et bloc de nations unies. Les démocraties découvrent et subissent aujourd’hui les conséquences du regroupement de multiples ethnies aux cultures et cultes religieux très différents et totalement incompatibles les unes avec les autres. Il ne suffit pas de vouloir, faut-il encore pouvoir, obtenir ce que l’on souhaite. Et entièrement coupés de Dieu les esprits humains ont appelé chance, richesse, ce qui vient les détruire, car après l’expérience de « Babel », la punition divine de son imitation est beaucoup plus grande.

La France offre à nos esprits actuellement un bel exemple de ce qui constitue « la perversion du jugement », titre de ce message n°10. Il faut dire qu’elle vient de vivre pendant 80 années dans une longue paix qui pouvait faire croire à ses élites politiques et médiatiques que le défit du vivre ensemble humaniste était gagné. Elle se sent tellement la mère de tous ses enfants multiethniques qu’elle les traite comme des enfants, ne voulant pas voir le fait que l’enfant musulman est enrôlé dans l’islam sans avoir eu à approuver ce choix. Et dès qu’il va à l’école, il rencontre les frères de sa communauté religieuse et réalise alors avec eux, combien il est différent des enfants naturels du pays. Sur les réseaux internet spécialisés, il découvre les messages islamistes, ses frères coreligionnaires et ne peut qu’approuver leur jugement porté contre les « chiens » occidentaux. Aussi, à l’âge où il s’y décide, l’enfant accueilli et francisé devient un combattant pour Mahomet et respectant son Coran, il reprend en son nom la lutte contre les « infidèles » occidentaux, mais aussi, contre les « musulmans infidèles ».

Les intellectuels français ne devraient pas oublier que dans chaque enfant se cache un futur adulte et « qu’aux âmes bien nées la valeur n’attend pas le nombre des années », comme l’a dit « le Cid de Corneille ».

Il reste encore un point qui explique le laxisme de l’action de la justice de la France. Ceci ne concerne pas mes vraies sœurs en Christ que Jésus reconnaît et bénit comme il bénit mon ministère à son service, mais l’entrée des femmes dans la politique et le métier de juge et d’avocat a considérablement influencé le changement de la forme prise par cette justice française. Les femmes ne sont pas moins intelligentes que les hommes mais elles réagissent en mères. Or, quand il a créé le couple humain, Dieu a donné à l’homme et la femme des rôles différents conforme à leur aspect physique. L’homme est tout muscle et force, physique et esprit. A l’opposé, la femme est harmonie et douceur, car elle doit apporter à sa progéniture son amour sa tendresse et sa compassion. C’est ainsi qu’il a conçu son rôle d’aide donné à Adam, de même que l’Eglise des élus est « l’aide » de Jésus-Christ. Le sens prophétique spirituel donné à la femme n’a pas pour but d’annuler le sens littéral qui la concerne charnellement, mais au contraire, les deux formes ont une valeur perpétuelle que l’humanité devait honorer jusqu’au retour du Christ. Or, depuis 1968, l’esprit de révolte apparu en France a eu pour prolongement la révolte « féministe ». Les femmes sont entrées en concurrence avec les hommes, elles ont pris une partie de leurs emplois et de leurs professions. Et elles sont aujourd’hui majoritaires sur les plateaux des chaînes télévisées dont la spécialité est de séduire les téléspectateurs. Elles sont encore plus nombreuses à devenir avocates et juges. La norme actuelle est l’unisexe, l’égalitarisme demandé par les travailleurs, non accepté par les patrons et les PDG des sociétés anonymes, est favorisé et encouragé, pour le droit des femmes. Ce n’est pas là, la norme que Dieu a mise en marche au sixième jour de sa création du ciel et de la terre. C’est le fruit final d’une société humaine entrée en rébellion totale contre le Dieu unique qui l’a créée.

Or, le rebelle prépare lui-même son châtiment par la perversion de son jugement.

La valeur nationale, le privilège de bénéficier d’un endroit de la terre où nous sommes nés, avons grandi, et vécu toutes nos expériences, est d’une immense valeur que certains vont découvrir quand ils vont se voir retirer cet avantage. La pensée nationaliste devrait être ressentie comme l’appartenance à une famille qui s’est transmis un héritage de siècle en siècle. Hélas, la naissance des USA a considérablement changé cet état d’esprit et l’humanité occidentale, qui a combattu au prix de 60 millions de morts pour préserver ses droits sur sa terre nationale, est devenue mondialiste et universaliste ; à l’image de son modèle américain peuplé de gens venus de tous les pays de la terre. Les Blancs sont arrivés en Amérique, et de plus en plus nombreuse cette immigration a repoussé jusque dans quelques réserves les survivants des habitants à la peau cuivrée du pays. Ce qui leur est arrivé menace tout peuple qui se laisse envahir par l’immigration. Le processus peut prendre plus ou moins de temps selon qu’il s’accompli dans la paix ou la violence, mais la fin est la même dans les deux cas ; les plus nombreux finissent par dominer le pays. Après la terre américaine, les Blancs des USA ont favorisé l’immigration juive sur leur ancien sol national rebaptisé entre temps, la Palestine. Et là encore, usant de la force et de plus en plus nombreux, la Palestine est redevenue l’Israël du peuple Juif. Une minorité d’arabes musulmans a été tolérée sur son sol. Depuis 1850, la France a colonisé l’Algérie, la Tunisie, le Maroc et des zones de l’Afrique noire. Par des guerres ou des accords, ces colonies ont retrouvé leur indépendance, mais dans ces peuples, la haine du colon est restée intacte. La tension actuelle des relations entre la France et l’Algérie devenue libre en 1962 après une longue guerre coloniale, n’est que le témoignage de cette vieille rancœur algérienne.

C’est alors qu’il convient de se rappeler ses paroles d’Apocalypse 13:10 qui exprime la justice selon Dieu, celle qu’il fait accomplir : « Si quelqu'un mène en captivité, il ira en captivité ; si quelqu'un tue par l'épée, il faut qu'il soit tué par l'épée. C'est ici la persévérance et la foi des saints. »

Depuis 1962, la France a recueilli sur son sol, quelques familles algériennes « harkis » qui collaboraient avec la France contre son ennemi, le FLN algérien. Puis, d’autres familles sont venues en France pour des causes économiques. Et un homme qui vient de mourir, Jean Marie Le Pen, quel que soit le jugement de son caractère et de son état d’esprit, a fait preuve de bon sens et de perspicacité, en dénonçant très tôt le danger de cette immigration musulmane. Il a été diabolisé par tous les partis politiques français de droite et de gauche. Mais à l’heure de sa mort, les faits viennent lui donner raison, car l’immigration devient le sujet majeur des discussions médiatisées. Enfin, la vérité vient s’imposer aux gens qui l’ont constamment combattu et qui se retrouvent aujourd’hui dans l’assemblée nationale et au gouvernement exécutif. Les jeunes gens d’aujourd’hui n’en sont pas conscients, car ils n’ont pas vécu ces choses. Mais la situation tendue actuelle n’est que la conséquence du refus obstiné de ces hommes politiques et médiatiques aveuglés par l’esprit humaniste universaliste mercantile. Au fil du temps, ils ont courbé l’échine, subissant des révoltes, des violences, des meurtres et des décapitations, et sont restés dans la même attitude aveugle et sourde. Dès les années 65 à 70, l’immigration est devenue la cause de la délinquance. En 1968 ou 1969, après le vol de la « Mobylette » de mon père, à notre domicile, les bras ballants, découragé et désabusé, assis sur une chaise,  un agent de la police a déclaré à ma mère en ma présence : « Que voulez-vous ma pauvre dame, on les arrête et ils sortent du Palais de Justice avant nous ! »

Une fois de plus, c’est Dieu qui a décidé du moment pour mettre le sujet de l’immigration sur la table médiatique. Il lui a suffi pour le faire de créer la tempête qui a dévasté l’île de Mayotte. L’attention de tous les Français a été dirigée sur cette île où les habitants expérimentent une authentique submersion migratoire des populations des trois îles des Comores restées indépendantes. C’est en étant confrontés à ce problème que l’actuel premier ministre François Bayrou et ses ministres sont contraints de reconnaître que l’immigration est un problème dont les conséquences peuvent devenir très grandes et très graves, prenant la forme de la violence et la mort. Et ceci, après avoir diabolisé, pendant des décennies, l’homme qui les mettait en garde contre le danger de l’immigration musulmane. Et Mayotte et les autres îles des Comores étaient toutes musulmanes. Après l’expérience douloureuse vécue avec l’Algérie, la Tunisie et le Maroc, tous musulmans, la prise en charge de Mayotte par la France, jusqu’à lui donner le statut de département, a été insensée et irresponsable. La décision fut prise par des gens aveugles qui voyaient et des sourds qui entendaient.

Cette situation est à l’image du combat spirituel, car longtemps Dieu aura appelé les hommes à la repentance, en vain, mais le temps vient où son châtiment s’abat sur eux et les emporte. Comme la vengeance, le châtiment de Dieu est un plat qui se mange froid ; car sa grande « colère », exprimée par ses « sept derniers fléaux » d’Apocalypse 16, est réservée pour la fin, dans l’année 2029 qui vient et qui va être marquée le vendredi 13 Avril par le passage de l’astéroïde « Apophis », qui inquiète beaucoup de monde. Mais déjà, pour préparer le contexte universel de cette fin, le châtiment immédiat qui vient est celui de la « sixième trompette » décrite dans Apocalypse 9:13 à 21 ; et dont la stratégie est présentée dans Daniel 11:40 à 45.

Je le rappelle, 2029 est, dans le calcul de Dieu, la 6000ème année depuis le péché commis par Eve et Adam ; et la 2000ème année depuis le printemps qui a précédé la mort et la résurrection de notre divin Sauveur Jésus-Christ attendu, pour son retour divin glorieux, pour le printemps 2030.

L’immigration est un problème moderne causé par les conséquences de la colonisation. Au temps de l’ancien régime monarchique, les peuples défendaient bec et ongles leur territoire. Le droit du sol ne posait aucun problème. Et l’immigrant non désiré le payait au prix de sa vie comme c’était encore le cas dans l’Afrique tribale et le redevient dans l’Afrique actuelle déchirée par la recherche du profit et de l’enrichissement provoquée par l’envol des prix des « terres rares » ; noms donnés aux minerais rares utilisés dans la fabrication des téléphones portables et de la nouvelle technologie. C’est ainsi, qu’après l’Ukraine et Gaza, un nouveau foyer guerrier embrase la RDC attaquée par le Rwanda. Les pays alliés frontaliers sont prêts à s’engager pour l’un ou l’autre camp, au point que l’Afrique entière va s’embraser dans cette année 2025.




M11- Le jugement perpétuel et éternel


Ce jugement perpétuel et éternel a été offert à l’homme créé à l’image de Dieu, c'est-à-dire à Jésus-Christ, le nouvel Adam en qui Dieu retrouve son image après le péché commis par le premier Adam.

Adam est créé par Dieu, doté de la capacité de connaître le bien et le mal. Mais déjà ce verbe « connaître » que Dieu utilise ne porte pas le sens restreint de l’identification intellectuelle que nous lui donnons dans notre culture actuelle. Ce verset de Genèse 4:1 lui donne le sens d’une connaissance, illustrée par l’image du partage sexuel : « Adam connut Eve, sa femme ; elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit: J'ai formé un homme avec l'aide de YaHWéH. » Que veut dire Dieu par ce verbe connaître ? Faire des deux êtres, mâle et femelle, « une seule chair », selon Genèse 2:24 : « C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. »

Dieu reprend ce verbe « connaître » pour définir le type de relation qu’il veut obtenir entre lui et ses élus rachetés : Jean 17:3 : « Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. » Et cette connaissance a pour but, l’unité en Dieu, selon le verset 21 : « afin que tous soient un, comme toi, Père, tu es en moi, et comme je suis en toi, afin qu'eux aussi soient un en nous, pour que le monde croie que tu m'as envoyé ».

En tenant ces propos, Jésus évoque la relation spirituelle qui est illimitée contrairement à l’enveloppe charnelle du corps physique. En effet, échappant aux lois et contraintes physiques, l’esprit de Dieu et ceux de ses créatures peuvent se fondre l’un dans l’autre, et Dieu peut obtenir ainsi, la relation avec ses vis-à-vis qui satisfont son besoin d’amour. Le mot « communion » désigne également cette relation voulue par Dieu et ses élus ; ce qui signifie « vivre en commun » dans un paisible et doux partage. On peut ainsi mesurer la nécessité vitale, pour l’homme pécheur, d’être réconcilié avec le Dieu créateur qui le condamne à mourir à cause de son péché originel hérité et ses péchés personnels. La mort expiatoire de Dieu en Jésus-Christ a accompli ce miracle et la grâce a rendu possible, cette connaissance de Dieu ou « communion » avec et dans son Esprit saint.

Nous lisons dans Genèse 3 :22 : « YaHWéH Dieu dit : Voici, l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement. »

Dieu ne dit pas « comme nous » mais « comme l’un de nous ». Par cette subtile différence, Dieu désigne l’ange rebelle devenu pour Dieu « Satan » l’adversaire et « le diable » soit, l’ennemi. Cette désignation du diable, et de lui seul, cible le moment où le diable a commencé à attirer vers lui d’autres anges prêts à le suivre dans sa rébellion. Car l’expression « connaître le mal » signifie : avoir commis le péché en désobéissant à Dieu. Sur la terre, les parents ont été, dans tous les temps, les mieux placés pour apprécier l’obéissance de leurs enfants ou pour souffrir de leur désobéissance. Ils sont ainsi les mieux formés pour comprendre ce que ressent Dieu, qui apprécie ou subit l’un ou l’autre de ces deux témoignages opposés de la part de toutes ses créatures.

Sans que le mot jugement soit prononcé, le récit de Genèse 2, établit les bases du jugement divin et du jugement humain. Nous lisons au verset 9 : « YaHWéH Dieu fit pousser du sol des arbres de toute espèce, agréables à voir et bons à manger, et l'arbre de la vie au milieu du jardin, et l'arbre de la connaissance du bien et du mal. » Ces deux arbres aux natures opposées imagent la loi divine imposée à l’homme. Ensuite Dieu donne ses ordres au verset 16 et 17 : « YaHWéH Dieu donna cet ordre à l'homme : Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. » L’ordre de Dieu est entendu et reçu par Adam et Eve. Mais dépendante de sa formation depuis Adam, Eve va céder à la tentation plus facilement que son mari Adam. Après sa création, Eve a été prévenue par Adam, mais ce n’était pas Dieu qui lui parlait, mais l’homme mâle, son vis-à-vis semblable à elle. Au cours de l’histoire, cette différence va constamment se renouveler et expliquer pourquoi, le serviteur qui parle au nom de Dieu est reçu avec beaucoup de doute ou carrément rejeté par ses partenaires humains. Les inspirations divines directes ou les visions où Dieu parle directement à ses serviteurs ont sur l’esprit de ces derniers, un effet de conviction durable, et très solide. Il en est de même si la vision est diabolique.

Dans son choix d’imiter Eve pour partager son sort pécheur, Adam se rend encore, par amour, plus coupable que son épouse ; précisément, parce qu’il agit en pleine connaissance des conséquences que son choix va avoir pour lui. Mais paradoxalement, dans ce choix, il sublime le plan du salut divin en anticipant l’esprit de sacrifice que Dieu démontrera par son incarnation en Jésus-Christ.

Notons-le, dans le jardin de Dieu tout est permis, excepté l’unique « arbre de la connaissance du bien et du mal ». Dans cette définition « bien et mal », Dieu cible l’expérience de Satan, créé parfait, l’ange « Astre brillant, fils de l'aurore l’Etoile du matin » selon Esaïe 14:12 : « Te voilà tombé du ciel, Astre brillant, fils de l'aurore l’Etoile du matin ! Tu es abattu à terre, toi, le vainqueur des nations ! » Il est devenu après sa rébellion soit, son expérimentation du mal, Satan et le diable. Et en le suivant, en premier, des anges célestes sont devenus avant les hommes des images vivantes « du bien et du mal ».

Il est donc important de bien comprendre que le mal n’a pas été expérimenté par Dieu, ni par Jésus-Christ, ni par aucun des anges restés fidèles à Dieu ; et que ce « mal » est imputé uniquement à ceux qui pèchent contre Dieu, volontairement ou pas, car les conséquences pour Dieu et le coupable sont les mêmes. L’acte du péché volontaire ne fait qu’intensifier la culpabilité.

Les notions « bien et mal » justifient ou culpabilisent les êtres humains dès l’âge de 12 ans où ils entrent dans l’âge adulte et deviennent responsables de leurs actions. Concernant Jésus-Christ, Esaïe 7:15 prophétise : « Il mangera de la crème et du miel, jusqu'à ce qu'il sache rejeter le mal et choisir le bien. » Et Luc 2:42 rapporte ce témoignage : « Lorsqu'il fut âgé de douze ans, ils y montèrent, selon la coutume de la fête. » Luc dit ensuite aux versets 45 à 50 : « Mais, ne l'ayant pas trouvé, ils retournèrent à Jérusalem pour le chercher. Au bout de trois jours, ils le trouvèrent dans le temple, assis au milieu des docteurs, les écoutant et les interrogeant. Tous ceux qui l'entendaient étaient frappés de son intelligence et de ses réponses. Quand ses parents le virent, ils furent saisis d'étonnement, et sa mère lui dit: Mon enfant, pourquoi as-tu agi de la sorte avec nous ? Voici, ton père et moi, nous te cherchions avec angoisse. Il leur dit : Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas qu'il faut que je m'occupe des affaires de mon Père ? Mais ils ne comprirent pas ce qu'il leur disait. » A ce moment, où il devenait adulte, Jésus rappela à ses parents terrestres sa nature céleste, mais « ils ne comprirent pas » son message spirituel.

Comme les hommes ordinaires, Jésus a pu marquer son « rejet du mal » en témoignant de son souci de servir son Père céleste, dès l’âge de douze ans. Son modèle révèle ce que Dieu attend de tous ses élus qui, selon les paroles de Jésus, « naissent de nouveau », ce qui signifie renaître d’en haut. Car Dieu ne se fait aucune fausse illusion, connaissant dès le commencement de sa création les noms de tous ses futurs élus rachetés par le sang versé par Jésus-Christ. Dans Jean 8:23, Jésus parle aux Juifs : « Et il leur dit: Vous êtes d'en bas ; moi, je suis d'en haut. Vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. » Dans Jean 3, son échange avec l’ancien nommé Nicodème est d’une grande clarté, car Jésus le rencontre en secret et il connaît son désir de comprendre. Sans aller jusqu’à lui annoncer sa mort, il compare son expérience salutaire expiatoire « au serpent élevé par Moïse dans le désert » au verset 14, mais dès le verset 13, il dit : « Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel. Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. »

Dans Daniel 8:11, l’Esprit prophétise au sujet du « perpétuel » qui désigne le sacerdoce « perpétuel » de Dieu en Jésus-Christ (Hébreux 7:24). Or le terme « perpétuel » couvre tout le temps donné à la création terrestre soit, les 6000 années que Dieu a programmé pour sélectionner ses élus rachetés par le sang versé par le Messie prophétisé. Avant la nouvelle alliance inaugurée par le sang de Jésus-Christ, dans l’ancienne alliance, Jésus existait sous l’aspect du personnage nommé Micaël qui se présente à Daniel dans Daniel 10:13 et 21 ; 12:1. Micaël signifie : qui est comme Dieu. Micaël n’est pas pour les anges le « Fils de Dieu », il est l’image angélique sous laquelle Dieu leur apparaît. C’est par sa naissance dans l’humanité que Jésus devient le « Fils unique de Dieu ». Par nature toutes ses créatures anges et humaines sont ses enfants parce qu’il est leur Créateur, donc leur Père. C’est pourquoi, dans Jean 3:13, Jésus donne à Nicodème une révélation qui fait de lui, le Dieu créateur incarné : « Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel. » Jésus ne nie pas les expériences vécues par le vieil Hénoc, Moïse et Elie, mais il place sa montée au ciel au-dessus de leurs expériences, parce que lui seul est « descendu du ciel » pour obtenir leur salut et leur possibilité de monter vivants au ciel, ce qui concerna Hénoc et Elie.

C’est donc sa nature divine cachée parfaite et sans péché qui fait de Jésus-Christ, l’homme divino-humain, l’âme parfaite digne de pouvoir racheter les élus terrestres en s’offrant en sacrifice volontaire à la mort, étant porteuse de leurs péchés, pour les expier pour eux à leur place. Et dans Jean 3:16, Dieu résume sublimement sa rédemption des élus pécheurs, disant : « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » Et c’est à ce « Fils unique » nommé Jésus de Nazareth que le Dieu Esprit a « remis tout jugement » selon Jean 5:22-23-24 : « Le Père ne juge personne, mais il a remis tout jugement au Fils, afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui n'honore pas le Fils n'honore pas le Père qui l'a envoyé. En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. ». Jésus est venu pour sauver le monde selon Jean 12:47 : « Si quelqu'un entend mes paroles et ne les garde point, ce n'est pas moi qui le juge ; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. » Son jugement est différé, repoussé au temps de sa résurrection. Car c’est seulement à partir de ce moment où la valeur de son rachat des péchés des élus a été authentifiée dans le ciel par l’Esprit et ses saints anges, que Jésus est entré dans sa fonction de Juge unique.

Mais déjà, avant sa mort, Jésus annonce les bases de son futur jugement et il dit dans Marc 16:16 : « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.

Ce verset pose la base du salut chrétien mais il est mal compris, car dans ces mots, le verbe « croire » est souvent incompris et mal interprété. Parce que les hommes charnels lui donnent uniquement le sens charnel littéral de reconnaître une réalité concernant, un fait ou une personne. Et pour sa part, Jésus juge la croyance sur les œuvres qu’elle provoque chez ses créatures. Sa conception donnée au verbe « croire » implique donc beaucoup plus que ce que les humains charnels lui attribuent. L’incompréhension humaine est la conséquence de l’esprit limité des êtres humains, car à l’inverse celui de Dieu est illimité et très exigeant ; il ne se satisfait pas de ce qui est imparfait et inachevé. Dans ses reproches à ses contemporains juifs, Jésus cite cet exemple de Matthieu 23:25 à 28 : « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et qu'au dedans ils sont pleins de rapine et d'intempérance. Pharisien aveugle ! Nettoie premièrement l'intérieur de la coupe et du plat, afin que l'extérieur aussi devienne net. Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins d'ossements de morts et de toute espèce d'impuretés. Vous de même, au dehors, vous paraissez justes aux hommes, mais, au dedans, vous êtes pleins d'hypocrisie et d'iniquité. »

Le reproches que Jésus présente dans ces versets ont une valeur perpétuelle, car ils condamnent aujourd’hui tous les Chrétiens qu’il ne reconnaît pas pour ses élus rachetés ; précisément, parce qu’ils reproduisent les fautes commises par les Juifs hypocrites avant eux. Leur suffisance les condamne car ils ne se soucient pas de plaire à Dieu en étudiant dans la sainte Bible, ce qu’il aime, approuve et ce qui le réjouit. Le Croyant hypocrite privilégie ses propres préférences à l’image de ce que fit naturellement Caïn qui ne comprit pas pourquoi son offrande fut dédaignée par Dieu, alors que celle d’Abel fut agréée. Au jour du jugement, et dans leur vie actuelle, les croyants hypocrites ne comprennent pas plus que Caïn que leur service offert à Dieu est ignoré et méprisé par lui.

Les œuvres humaines sont produites par des caractères humains différents et ses œuvres produites reproduisent ces différences.

A l’extérieur du plat, l’homme voit un engagement religieux trompeur qui n’échappe pas au Dieu Esprit qui sonde sa créature. Et cet intérieur du plat, est nourri d’égoïsme, de satisfaction de soi, d’orgueil et d’ambition personnelle. Et en réalité, le péché commis dans ce cas est double car Dieu condamne un caractère indigne de lui mais aussi une revendication d’appartenance à sa personne qui le déshonore. La vie des gens faussement religieux ressemble à l’aspect tranquille d’une grande mer ou un océan. Mais que se passe t-il dans les profondeurs ? Des luttes incessantes et un grand tumulte où les plus petits passent leur temps à chercher un abri pour échapper aux dents des plus gros. Telle est l’image que Dieu donne aux êtres humains qui soutiennent et servent « la bête qui monte de la mer » soit, la première forme historique du christianisme persécuteur diabolique dans Apocalypse 13:1. Ecrasée dans le sang par « la bête qui monte de l’abîme » dans Apocalypse 11:7, cet organisme catholique romain a perdu son soutien monarchique décapité en 1793. Une paix religieuse en a résulté, favorable à l’étude et l’avancée de la lumière divine dans son reste élu, mais aussi, hélas, profitable à l’esprit incrédule né dans la Révolution française. Et la religion protestante a été la grande bénéficiaire de cette évolution des faits. Ainsi, le monde occidental s’est scindé en deux parties concurrentes, les USA protestants et l’Europe influencée par la France des libres-penseurs athées mangeurs de curés et ennemis de toute idée religieuse.

Jésus ne pouvait alors porter son attention que sur ces USA composés de protestants infidèles, hypocrites, dans leur immense majorité. Et c’est ce qu’il a fait en soumettant ses habitants à ses deux épreuves de foi prophétiques successives du printemps 1843 et du 22 Octobre 1844. L’imperfection et l’apostasie doctrinale étaient généralisée, et pour identifier légalement ses vrais élus, Jésus devait les conduire à se distinguer par l’intérêt sincère qu’ils donnent à sa révélation biblique ; et dans cette sainte Bible, plus particulièrement à ses messages prophétiques suggérant le temps de sa venue pour son grand retour glorieux final. Car dès son départ au ciel, des anges présents avaient dit dans Actes 1:11 : « Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l'avez vu allant au ciel. » Jésus avait lui-aussi beaucoup insisté sur son retour, disant dans Jean 14:2 à 6 : « Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin. Thomas lui dit : Seigneur, nous ne savons où tu vas ; comment pouvons-nous en savoir le chemin ? Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » La question que pose Thomas révèle la nature encore très charnelle des apôtres choisis par Jésus et son comportement fut normal car l’humanité juive était autant charnelle que le reste des êtres humains. Ce n’est qu’après sa résurrection que Jésus a expliqué à ses apôtres, pourquoi il devait mourir et ressusciter.

Dans sa réponse donnée à Thomas, Jésus se présente comme étant « le chemin, la vérité et la vie ». Il ne se présente pas comme « le marcheur » mais « le chemin » sur lequel ses élus doivent avancer vers la vie éternelle, en honorant la vérité divine qui est exprimée par ses lois et toutes ses valeurs.

Une grande incompréhension de ce message explique la désobéissance des faux chrétiens. Car ce verset est interprété comme concernant uniquement Jésus lui-même, comme si Jésus affirmait qu’il était sauvé lui-même par les perfections de ses œuvres. Or, Jésus n’est pas venu pour se sauver lui-même mais « pour sauver le monde », dans la mesure où son offre est proposée au monde entier, à tous les peuples, les langues, les nations, les royaumes et les tribus.

Or, Jésus n’est pas que le parfait modèle que nous devons imiter, il est aussi le grand Juge souverain suprême qui juge les juges de la terre eux-mêmes. Et ce que beaucoup oublient dans leur engagement religieux, c’est qu’au titre de juge suprême, c’est lui et lui seul qui évalue et teste la valeur de l’engagement religieux de tous ceux qui se réclament de son salut ou de son nom. Cette perspective expose donc ceux qui lui font du tort et le déshonorent à sa vengeance et sa colère. Il est donc dans l’intérêt de l’homme d’apprendre à connaître les volontés divines, les vraies, et d’acquérir par l’étude de la sainte Bible, un jugement exercé, expérimenté, et approuvé par Dieu.

Je passe ainsi du jugement divin au jugement humain.

Depuis notre naissance, nous les êtres humains, nous découvrons la vie sans idée préconçue, et notre personnalité enregistre de multiples expériences. Pour l’homme qui ignore la révélation divine biblique, il n’y a ni bien, ni mal et les seules notions que ses parents lui apportent sont celles qu’ils ont reçues eux-mêmes de leurs parents. En Europe d’origine chrétienne, les valeurs chrétiennes se sont imposées et elles dominent les esprits ; même ceux des gens athées. Mais ces valeurs ne sont reconnues que par héritage culturel. Le même principe s’applique à toute l’humanité actuelle, en Orient l’héritage est bouddhiste, au Moyen-Orient, musulman, et en Afrique, un partage concurrent de l’islam, du christianisme et du paganisme animiste.

Ce que tous les êtres humains ont obtenus du Dieu créateur est la liberté de leur choix et de leur décision soit, l’aptitude à juger perpétuellement les risques encourus par leur libre choix. En regardant ses créatures terrestres et célestes, Dieu ne voit que des petits juges qui portent les conséquences de leur libre choix.

Quand il a voulu se faire connaître en dehors d’Israël, Dieu a exploité sa déportation à Babylone pour se révéler au roi Nébucadnetsar, le roi du peuple chaldéen. Après des épreuves cuisantes, ce roi est devenu un élu zélé et fidèle. Il a su utiliser sagement son droit de jugement personnel et s’est humilié devant le Dieu Tout-Puissant. Ce qu’a fait ce roi puissant et dominateur, le plus petit des hommes peut le faire avec encore plus de facilité car sa condition le maintient dans l’humilité. C’est vrai au niveau du principe, mais entièrement faux, au niveau de la réalité pratique. En effet, Dieu trouve dans le cœur de certains des plus pauvres, plus d’orgueil que dans le cœur du roi Nébucadnetsar. La norme du caractère humain échappe à toute logique. Car c’est la forme du caractère individuel de chacun qui est déterminante. Et la norme du caractère qui apparaît repose sur énormément de combinaisons, de critères, hérités génétiquement ajoutés au seul hasard. Ce hasard a en effet sa place dans la création de Dieu quand il lance un processus successif reproductif. De multiples accouplements ont produits d’innombrables formes génétiques et il faut ajouter à ces critères, le hasard du lieu de la naissance de chacun et chacune. Mais Dieu se donne le droit souverain d’intervenir dans ce hasard pour favoriser l’accomplissement de son projet programmé pour l’humanité. Il est vrai que naître dans un pays musulman réduit considérablement les chances de s’engager sur le chemin tracé par Jésus-Christ. Il en est de même pour ces multitudes de gens nés dans le bouddhisme. Mais Dieu s’est exprimé à se sujet en disant dans Romains 9:18 à 22 par l’apôtre Paul : « Ainsi, il fait miséricorde à qui il veut, et il endurcit qui il veut. Tu me diras : Pourquoi blâme-t-il encore ? Car qui est-ce qui résiste à sa volonté ? O homme, toi plutôt, qui es-tu pour contester avec Dieu ? Le vase d'argile dira-t-il à celui qui l'a formé : Pourquoi m'as-tu fait ainsi ? Le potier n'est-il pas maître de l'argile, pour faire avec la même masse un vase d'honneur et un vase d'un usage vil ? Et que dire, si Dieu, voulant montrer sa colère et faire connaître sa puissance, a supporté avec une grande patience des vases de colère formés pour la perdition, et s'il a voulu faire connaître la richesse de sa gloire envers des vases de miséricorde qu'il a d'avance préparés pour la gloire ? »

Ai-je à justifier, personnellement, pourquoi je suis né en France dans une famille chrétienne engagée ? Non bien sûr, j’en suis incapable, ce qui ne m’empêche pas de reconnaître une faveur qui profite aujourd’hui à Dieu que je sers et suis heureux de servir. Mais autour de moi des multitudes de gens ont bénéficié des mêmes avantages et ne se sont pas pour autant mis à l’écoute attentive de Dieu et de sa vérité révélée. Son choix de me bénir, n’est-il pas ainsi justifié ? Notre droit individuel de juger décide donc de notre avenir éternel et Dieu n’a placé devant nous que deux chemins, selon Deutéronome 30:19-20 : « J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité, pour aimer YaHWéH, ton Dieu, pour obéir à sa voix, et pour t'attacher à lui : car de cela dépendent ta vie et la prolongation de tes jours, et c'est ainsi que tu pourras demeurer dans le pays que YaHWéH a juré de donner à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob. »

Au début de la création, « la vie et la mort » était rattachées à deux arbres : « l’arbre de la vie » et l’arbre de la mort dit « de la connaissance du bien et du mal ». Aujourd’hui et depuis le printemps 1843 jusqu’au retour de Jésus-Christ, la vie et la mort sont rattachées à deux jours marquant le repos hebdomadaire de l’être humain : le jour de la vie soit, le repos du sabbat du septième jour sanctifié par Dieu depuis sa création de la dimension terrestre ; le jour de la mort soit, le repos du premier jour, l’ex « jour du soleil » rebaptisé dimanche par la religion catholique papale romaine ; mais aussi, de manière plus évidente, le repos du sixième jour pratiqué dans l’islam par les Musulmans.

Entre ces deux époques séparées par 4000 ans ou presque, en l’an 30, par sa mort expiatoire, l’arbre de vie a pris l’aspect de Jésus-Christ et l’arbre de mort dit « arbre de la connaissance du bien et du mal » a pris l’aspect de la Thora juive utilisé par Satan pour rejeter le vrai Messie envoyé par Dieu, Jésus-Christ dit Jésus de Nazareth ; en apparence, un Juif parmi tant d’autres. C’est ainsi qu’à la foi s’est opposée la loi enseignée par Dieu mais totalement incomprise par les chefs, les dirigeants et le clergé religieux juif.

Le plus étonnant pour nous tes serviteurs, O Dieu suprême, est de découvrir que les Chrétiens infidèles ont, à leur tour, fait un mauvais usage des saintes Ecritures, mal traduites pour justifier le péché humain selon Apocalypse 9:11 : « Elles avaient sur elles comme roi l'ange de l'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon. » Ce verset dénonce l’usage destructeur de la sainte Bible, écrite originellement « en hébreu et en grec » comme ces deux noms « Abaddon, Appollyon » qui signifient : Destructeur. L’action est imputée aux Chrétiens protestants infidèles héritiers de la Réforme qui a suscité les « Guerres de Religions » entre les Catholiques et les Protestants entre le XIIème et le XVIIIème siècle. Et l’ange de l’abîme qui domine sur eux est Satan le diable qui sera condamné à vivre isolé pendant « mille ans » sans ses anges démoniaques, sur la terre désolée, privée de tous ses habitants humains et ses animaux ; ce qui lui redonne sa caractéristique nommée « abîme » de Genèse 1:2 : « La terre était informe et vide: il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. »

Nous lisons dans Apocalypse 20:1 à 3 : « Puis je vis descendre du ciel un ange, qui avait la clef de l'abîme et une grande chaîne dans sa main. Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans. Il le jeta dans l'abîme, ferma et scella l'entrée au-dessus de lui, afin qu'il ne séduisît plus les nations, jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. Après cela, il faut qu'il soit délié pour un peu de temps. » Verset 7-8 : « Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre; leur nombre est comme le sable de la mer. » Les « nations » citées sont les coupables anges et humains ressuscités pour le jugement dernier, afin de subir le châtiment de la « seconde mort ». Verset 9-10 : « Et ils montèrent sur la surface de la terre, et ils investirent le camp des saints et la ville bien-aimée. Mais un feu descendit du ciel, et les dévora. Et le diable, qui les séduisait, fut jeté dans l'étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète. Et ils seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles. » Verset 14-15 : « Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. »

Ces versets prophétisent le sort réservé par Dieu aux Juifs et Chrétiens infidèles et rebelles, soit le sort des gens qui se perdent eux-mêmes par leur jugement erroné. Qui peut dire que le droit individuel de juger a peu de valeur ? Au jour du jugement dernier, ces rebelles seront ressuscités par Dieu afin qu’ils voient de leurs yeux, la gloire héritée par les élus rachetés selon Apocalypse 20 :4 : « Et je vis des trônes; et à ceux qui s'y assirent fut donné le pouvoir de juger. Et je vis les âmes de ceux qui avaient été décapités à cause du témoignage de Jésus et à cause de la parole de Dieu, et de ceux qui n'avaient pas adoré la bête ni son image, et qui n'avaient pas reçu la marque sur leur front et sur leur main. Ils revinrent à la vie, et ils régnèrent avec Christ pendant mille ans. » La première phrase du verset 5 est une précision mise entre parenthèse qui prophétise une seconde résurrection ; celle des rebelles : « Les autres morts ne revinrent point à la vie jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. … » La suite du verset 5 doit être placée au début du verset 6 : « C'est la première résurrection. Heureux et saints ceux qui ont part à la première résurrection ! La seconde mort n'a point de pouvoir sur eux ; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, et ils régneront avec lui pendant mille ans. »

Voilà donc où conduisent les deux chemins présentés par Dieu devant les libres choix humains.

Apocalypse 20 vient éclairer le rôle donné dans la tradition catholique aux enfers. Il est donc déterminant de donner au mot « abîme » le nom de la terre privée d’habitants qu’elle ne retrouve que pour le jugement dernier. Et « l’étang de feu et de soufre » n’est pas sans lien avec l’enfer de la religion grecque dont le gardien est nommé Vulcain. Le feu souterrain craché par les volcans qui entrent en éruption, particulièrement pour marquer les grands moments du péché terrestre, comme en 535 et 536, finit par tenir le rôle principal pour la purification complète de la surface de la terre souillée par l’humanité.




M12- La crise mondiale du capitalisme


Le sujet que j’aborde là, concerne l’économie, et ce thème civil et profane nécessite une bonne intelligence que Dieu offre seulement à ses vrais enfants. Car l’économie prend un intérêt spirituel quand Dieu l’utilise pour affaiblir ses ennemis. Et je le rappelle, c’est en Dieu que se trouve l’explication à tout ce qui s’accomplit sous le soleil et la lune soit, de jour et de nuit.

Il y a deux types d’économie : la bonne et la mauvaise.

La bonne consiste à retenir autant que possible à l’intérieur d’une nation, les profits obtenus par le travail des entreprises locales. Pour ce faire, l’investisseur actionnaire doit être citoyen du pays où se trouve son entreprise. Cette condition a prévalu jusqu’en 1969, année de la fin du mandat du général de Gaulle.

La mauvaise économie lui a succédé après 1969 à cause de l’idéologie européiste. La mauvaise économie est exactement l’inverse de la bonne. Elle consiste à ne pas retenir le profit du travail local en le donnant à des investisseurs étrangers. De ce fait, le pays survit mais ne s’enrichit plus. Et c’est la cause de l’endettement abyssal de la France actuelle livrée aux décisions du président Macron, l’ex-banquier de la Banque Rothschild. Face au chômage, le président invite des étrangers à investir leurs capitaux pour créer des emplois en France. De la sorte, il obtient bien des emplois, mais pas l’enrichissement de son pays français, car le travail fourni ne fera qu’enrichir le pays de l’investisseur. Et cédant à la proposition des prêts des fonds de pensions américains, la France s’est laissée séduire et piégée par les USA qui font ainsi financer les retraites de leurs travailleurs par les intérêts à taux d’usure payés par les travailleurs français.

1843 est la date de la grande lumière divine qui permet de comprendre le jugement que Dieu porte sur l’évolution de la religion chrétienne. Et dès cette date, Dieu a organisé ses attaques successives portées contre l’Europe infidèle des « dix cornes ». En 1870, une grande guerre européenne provoque la chute du régime impérial de Napoléon III. C’est alors le temps des grandes colonisations qui sont à l’origine de l’enrichissement des colonisateurs européens et qui donnent naissance au capitalisme dont la base est la City à Londres, en Angleterre, le pays le plus colonisateur de toute l’histoire humaine. En 1914, la première Guerre Mondiale a encore pour centre l’Europe et plus précisément la zone de la frontière qui sépare la France de l’Allemagne. En 1939, l’Allemagne nazie se lance dans une conquête vengeresse et début 1945, elle est vaincue par les alliés occidentaux. Après avoir été vaincus et occupés par l’Allemagne, les pays européens subissent la décolonisation exigée par les pays occupés et conquis. Le capitalisme doit sa puissance à ce temps de colonisation, c’est pourquoi, après la décolonisation sa survie n’a reposé que sur le choix de l’investissement qui s’est porté sur le Japon et l’Allemagne, les deux pays vaincus par les alliés occidentaux.

L’Europe s’est trouvée confrontée à une submersion de produits construits par le Japon, dans des usines crées par les fonds américains.

Une deuxième attaque est venue de l’Angleterre, pays de redistribution des produits fabriqués à Hong-Kong, leur dernière zone coloniale jusqu’en 1997.

En 1957, la composition originelle de l’Europe du marché commun concernait six pays sans l’Angleterre. Mais, en acceptant son entrée dans l’Union en 1973, les Européens ont fait entrer dans leur communauté, un authentique « cheval de Troie » qui, par ses dérogations particulières, ne faisait que siphonner les capitaux européens. Ses exportations des productions d’Hong-Kong ont noyé l’Europe dont les habitants se sont rués sur ces offres au prix exceptionnellement bas. Ce faisant, ils détruisaient leurs entreprises locales et leurs propres emplois.

En 1974, Dieu frappe encore l’Europe, en donnant la gestion du pétrole et du gaz aux pays arabes propriétaires des gisements. Une hausse de 40 % brutale plombe l’économie européenne. Pour la première fois de son histoire, la France s’endette.

En 1976, à la ruine précédente, Dieu ajoute la charge des travailleurs immigrés musulmans et de leurs familles autorisées à s’installer en France par la loi du regroupement familial.

Le commerce aérien subit les attaques des pirates palestiniens de l’OLP.

En 1995, aux choses précédentes, Dieu ajoute le terrorisme islamiste du GIA, puis en 2001 aux USA, les tours du World Trade Center sont détruites par les pirates du groupe Al-Qaïda.

A son tour dans les années 2010, le groupe DAESH terrorise les Occidentaux par ses décapitations collectives filmées et présentées sur les réseaux sociaux d’internet.

Au début de 2020, Dieu confronte l’humanité entière au virus Covid-19 répandu à partir d’un laboratoire français installé en Chine RPC. Après Israël et l’Italie, la France est « confinée », son économie est bloquée pendant deux années.

En 2022, Dieu allume un feu en Europe de l’Est entre l’Ukraine et la Russie. Les USA de Joe Biden et les Européens aident financièrement et par dons d’armes le camp ukrainien. Pour la deuxième fois, le renoncement au gaz russe, pour cause de sanction, vient renchérir son prix et enrichir les pays fournisseurs : les USA et la Norvège.

En 2023, le 7 Octobre, les Palestiniens du groupe Hamas lancent un raid meurtrier contre le Sud d’Israël.

Ainsi, est résumée, l’évolution des faits qui ont construit notre ruine actuelle.


Cette crise du capitalisme se produit à cause des excès du capitalisme mondial. En son temps, une crise avait eu raison de l’idéologie purement communiste de l’URSS. Son échec militaire dans la guerre en Afghanistan lui a été fatal. Et il n’est pas inutile de retenir que cet échec fut déjà causé par le soutien militaire américain donné aux Afghans. Les lanceurs individuels de missiles américains portés sur l’épaule ont détruit avec facilité les chars et les hélicoptères russes. La Russie ne s’imposait plus et dut, humiliée, se retirer de l’Afghanistan. En réaction en chaîne, le régime russe entier s’est écroulé et Mr Gorbatchev a ouvert la Russie à la culture occidentale. Le capitalisme est entré dans les esprits des oligarques du régime et la Russie est devenue un enfer pour les pauvres, menacés par les armes des tueurs des riches. Après le président Eltsine, alcoolique notoire, Mr Patrouchev, chef du FSB, a placé la Russie sous l’autorité de Vladimir Poutine, lequel a obtenu la soumission des oligarques enrichis par les biens communs de l’état dont ils s’étaient emparés.

La situation mondiale était nouvelle, le capitalisme triomphait, le communisme russe ayant disparu. Mais le capitalisme est comme le cancer, insatiable. Dans son succès mondial, le capitalisme américain a fait entrer la Chine dans le commerce mondial, l’OMC. L’extrême bassesse du niveau de vie chinois a dès lors offert à la cupidité des investisseurs une main d’œuvre d’esclaves dociles et actifs. Les profits retirés ont alors atteint des niveaux jamais atteints. Et dans le même temps, l’Amérique enchaînait les nations européennes en leur faisant adopter son réseau de communication internet qui favorisait la possibilité pour toute personne ayant l’accès au réseau de devenir un agent de bourse individuel et particulier. Les dirigeants des nations séduites n’ont pas réalisé les conséquences de ce nouvel outil qui a complètement renversé les équilibres internes maintenus jusque là dans les nations occidentales. De plus en plus nombreux et dispersés parmi les nations riches, les investisseurs sont devenus les vrais propriétaires des entreprises appelées « société anonyme », comme aux USA et en Allemagne. Les entreprises patronales du vieux système ont été rachetées et transformées en sociétés anonymes entièrement dépendantes des actionnaires investisseurs. De ce fait, ces actionnaires étrangers ou locaux pouvaient se retirer à tout moment pour rediriger leur investissement, aussi la situation des entreprises et de leurs employés est devenue précaire, instable et souvent cause de faillites tragiques.

Faut-il que Dieu ait aveuglé les dirigeants politiques et les économistes pour qu’ils ne prévoient pas les conséquences désastreuses de la nouvelle situation établie et renforcée de jour en jour. Je décris cette situation : la nation vit de l’argent produit par ses entreprises et ses commerces. Au minimum, ces activités permettent la vie interne et les dépenses sont couvertes. Hélas, ceci était l’ancien système, car dans le nouveau, l’argent produit par le travail de plus en plus rare s’envole aux quatre vents des cieux vers les actionnaires dispersés dans le monde. Les profits n’étant plus retenus dans le pays du travail, les dirigeants ne peuvent plus couvrir les dépenses de leur nation. Et la Chine fonctionne comme une pompe aspirante, siphonnant les activités industrielles productrices de tous les pays riches ; USA, Europe, Japon, Australie. Elle est devenue l’usine du monde qui équipe les besoins des humains dispersés sur toute la terre. Et en conséquence l’argent de tous ces pays vient l’enrichir et leur manque.

Internet et la Chine forment ensemble l’arme qui dynamite la situation des nations riches. Dans cette affaire, l’argent reste bien la racine de tous les maux. Les profits exponentiels obtenus dans l’investissement en Chine et en Asie, dans les pays pauvres longtemps sous-développés, ruinent et détruisent les anciennes nations riches par l’action de leurs riches les plus cupides. Je ne peux comparer cette situation qu’au cas mortel de l’extension d’une tumeur cancéreuse. Qui aurait pensé que le commerce pouvait tuer ? Le constat est difficile pour des gens habitués à la richesse et l’opulence construite pendant les 80 années qui se sont écoulées depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale ; un événement que nous fêtons depuis chaque année le 8 Mai depuis le 8 Mai 1945. Cette date tourmente mon esprit et je ne serai pas étonné si la Troisième Guerre Mondiale éclatait en cette année 2025 après cette date du 8 Mai. J’ai déjà évoqué l’intérêt de ces 80 années soit, 40 + 40. Ce chiffre 40 étant dans la Bible synonyme d’un temps d’épreuve religieuse, Dieu a doublé ce temps pour conduire l’humanité capitaliste dans son excès suprême. Parce que ce capitalisme insatiable dévoreur est de religion protestante qu’il dénonce et condamne dans sa révélation de l’Apocalypse depuis 1843.

Pour comprendre combien cette date du 8 Mai 1945 est importante, je rappelle les choses suivantes : Le Dieu créateur qui a placé dans le ciel des astres qui constituent l’horloge universelle du temps, fait accomplir avec une grande précision les faits qu’il prophétise d’avance. Or, nous avons derrière nous le témoignage du passé et déjà, ce châtiment de Jérusalem venu en l’an 70 soit, 40 ans après le Mercredi 3 Avril 30 en lequel Jésus-Christ est mort crucifié par les Romains à la demande du clergé Juif et une partie du peuple. De plus, dès la fin des 40 années d’épreuve de vie dans le désert d’Arabie et de l’Egypte, les Hébreux sont entrés sur la terre de Canaan. Il n’y a donc apparemment pas de raison pour qu’en 2025, à la fin des 80 années de paix et d’épreuve, le 8 Mai, l’entrée en Guerre Mondiale soit différée et repoussée en 2026.

Les USA se sont enrichis constamment par les guerres qu’ils ont allumées en versant de l’huile sur le feu ; ceci partout sur la terre, en marchands d’armes et « marchands de la terre » selon Apocalypse 18, livrées aux deux camps antagonistes si la chose est possible. Après la Seconde Guerre Mondiale, ils ont asservi les nations alliées qu’ils sont venus secourir en combattant l’envahisseur allemand et l’agresseur japonais. C’est terrible à dire, mais les USA sont incapables d’agir pour autre raison que leur intérêt. Ce peuple a naturellement le goût du risque et la recherche de la richesse. La cause de leur immigration sur le sol américain est inscrite dans leurs gènes. Et en 1944, la victoire de l’Allemagne aurait été très dommageable pour eux, pour leurs investissements réalisés pour leurs alliés. Les convois américains se dirigeant vers l’Angleterre, en colonne, étaient attaqués et coulés par les sous-marins U-Boat allemands. Les intérêts financiers des USA étaient donc compromis et concernés. L’Allemagne nazie devait donc être vaincue. Et elle l’a été, mais pas par les USA seuls, par la Russie soviétique arrivée la première sur Berlin, la capitale des nazis. En conséquence, l’Amérique a dû se résigner au partage de Yalta qui s’est tenue du 4 au 11 Février 1945 et qui donnait aux Russes la Pologne et la partie Est de l’Allemagne jusque dans Berlin. Déjà à l’époque, le général Patton vouait une haine épaisse aux Russes et proposait de les combattre tout de suite. Il est mort accidentellement, officiellement, et les chefs américains n’approuvaient pas sa position. La paix s’est installée, jusqu’au moment où la Russie sentant la menace de l’idéologie capitaliste a élevé le mur qui l’a isolée et a favorisé l’ambiance tendue de la guerre froide. Les deux pays ont soutenu des guerres en aidant leurs alliés sans s’affronter directement. En 1961, dans la baie des Cochons, près de Cuba, la confrontation des deux grands a frôlé un échange de bombes nucléaires. Mais le chef russe, Krouchtchev, a fait marche arrière et il a renoncé à installer ses rampes de fusée sur le sol de Cuba dirigée par Fidel Castro.

Cette reculade des Russes en 1962 devait être suivie par l’échec de leur guerre en Afghanistan entre 1979 et 1989 qui a provoqué la chute du régime soviétique.

Après ces oppositions, le capitalisme s’est imposé partout sur la terre sauf en Corée du Nord. La Chine l’a adopté dans un double système capitaliste pour sa relation commerciale extérieure et communiste pour la gestion de sa population interne. Elle a pu ainsi devenir l’usine de production mondiale que personne ne peut concurrencer. Le capitalisme permet à un seul homme de tirer seul profit du travail de multitudes exploitées. De ce fait, l’enrichissement possible d’un seul homme est sans limite et ses investissements l’enrichissent toujours plus ainsi que sa nation. Les USA présentent les écarts de niveau de vie de ses habitants les plus élevé, atteignant aujourd’hui des sommets iniques et dangereux. Entre le pauvre qui ne peut pas payer un loyer et le riche à centaines de milliards de dollars, un écart abyssal se creuse. Et avec le temps et l’extension de ces écarts, des individus milliardaires imposent leur service et leur vision politique et économique à toutes les nations devenues clientes de leurs services.

Depuis l’élection de Donald Trump, l’influence des milliardaires se fait plus pressante et plus décontractée. Ils tiennent le monde occidental entre leurs mains, le montrent, et les dirigeants sont contraints de soumettre leur nation à leurs exigences.

Dans les jours actuels, le projet de Dieu prend forme et se précise : Donald Trump se dirige vers la décision de sacrifier sur l’autel de la paix, la pauvre Ukraine encouragée dans sa guerre contre la Russie par le président des USA précédent, Joe Biden au nom prémonitoire. Les nouveaux « princes du monde » selon la signification de leurs noms, Donald et Vladimir s’entendent pour imposer à l’Ukraine les conditions exigées par les Russes. Et ceci ressemble beaucoup à l’entente de l’Allemagne et la Russie qui se sont partagé la Pologne avant de s’affronter dans une guerre férocement meurtrière. Et nous savons, par Daniel 11:40, que l’histoire va se répéter bientôt, à cause d’une opportunité que la Russie va saisir au bond dès qu’elle va se présenter ; je parle ici de l’attaque musulmane menée contre le Sud de l’Europe, et plus précisément l’Italie papale, cible prioritaire de la colère divine. Comment hésiter, alors que l’Europe, qui lui a résisté en armant son ennemie l’Ukraine, se trouve en difficulté, assaillie par des musulmans rancuniers pleins de haine. C’est ainsi que le heurt du « roi du midi » favorise l’invasion massive du « roi du septentrion », comme Daniel 11:40 l’annonce : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui, et le roi du septentrion fondra sur lui avec des chars, des cavaliers et de nombreux navires ».

Le projet de Dieu concernant le châtiment des nations européennes s’accomplit. Alors que l’Europe est occupée par les armées russes et musulmanes qui la pillent du Nord au Sud, les bombes nucléaires des USA frappent la Russie sur son sol, détruisant sa capitale et ses grandes villes. Cette terrible nouvelle enflamme la colère des armées russes qui ripostent en envoyant leurs missiles nucléaires contre les villes des USA à leur tour détruites et dévastées, en grande partie. Et pour la troisième fois de l’histoire, les soldats américains interviennent sur le sol dévasté de l’Europe. Paris disparaît dans le feu nucléaire ; « du feu dans un grand cercle » comme l’a prophétisé Michel Nostradamus. Les troupes russes vont ainsi être repoussées jusque sur la terre d’Israël où elles seront exterminées, selon Daniel 11:45 : « Des nouvelles de l'orient et du septentrion viendront l'effrayer, et il partira avec une grande fureur pour détruire et exterminer des multitudes. Il dressera les tentes de son palais entre les mers, vers la glorieuse et sainte montagne puis il arrivera à la fin, sans que personne lui soit en aide. »

La Russie étant détruite ainsi que ses alliés, la Chine, la Corée du Nord, l’Inde, le Pakistan et tous les peuples idolâtres de la terre ; les survivants vont vivre le temps des « sept derniers fléaux de la colère de Dieu » ; ce qui laisse penser qu’il ne reste que des vrais et des faux chrétiens. Bien affaiblie, l’Amérique protestante sort néanmoins victorieuse contre son ennemie de toujours, la Russie. Le désastre est si grand que la situation impose une gouvernance universelle. Les survivants se rencontrent et s’accordent pour adopter ce régime universel. Le diable est dans l’action et il inspire aux survivants la haine contre le sabbat divin, il les convainc d’imposer le repos hebdomadaire unique du dimanche, excitant la haine contre les Juifs et leur sabbat. Cette imposition aura été instaurée sur le sol américain avant ce temps final. Ces marchands de la terre ne peuvent que favoriser l’adoption d’un seul jour de repos qui favorise les temps de travail et les échanges relationnels commerciaux. Pour sa part, le diable qui les inspire donne à cette action une autre raison. Il sait que son temps d’action s’achève et veut humilier le Dieu créateur et son messie Jésus, le Micaël des anges célestes. L’éradication de l’obéissance au saint sabbat de Dieu est son but. Un décret est alors promulgué rendant le dimanche romain obligatoire sous peine d’être boycotté économiquement par les autres survivants. Cette mesure est prophétisée dans Apocalypse 13:17 : « … et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. » Subissant des souffrances de plus en plus grandes causées par les derniers fléaux de Dieu, les rebelles finissent par décider d’exterminer les serviteurs de Dieu qui résistent et restent fidèles au repos du sabbat : verset 15 : « Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. »

Au jour du printemps 2030, le 20 Mars, Jésus intervient pour sauver ses élus restés fidèles comme il le fit pour Daniel et ses trois compagnons livrés à la mort par les Chaldéens. Et comme au temps d’Esther, le sort promis aux élus du Christ est subi par les rebelles tués par lui et « étendus sur la face de la terre comme du fumier ». Les élus n’assistent pas au spectacle macabre, car ils sont entrés dans le royaume des cieux avant l’hécatombe finale qui commence par le châtiment de « Babylone la grande », la ville de Rome ensanglantée par le sang des saints, les vrais Chrétiens, dans son régime impérial et son régime religieux papal. Toute la fausse sainteté catholique et protestante meurt dans « la vendange », massacrée par ses victimes qu’elle a séduites et trompées. Et les derniers survivants s’entretuent jusqu’au dernier. « Le dernier fléau de Dieu, le septième », tombe sur les derniers survivants sous la forme de « pierres de grêle » d’une taille énorme estimée à « un talent » soit, près de 42 kg. Mais ce mot « talent » prend spirituellement son sens dans la parabole de Jésus, sa parabole des « talents » dans laquelle il remet à ses différents serviteurs « un talent » monnaie que les plus avisés font fructifier. Le méchant serviteur choisit, lui, d’enterrer son « talent » pour le restituer à Jésus tel qu’il le lui a donné. La colère de Jésus demeure sur lui et il subit son châtiment mortel confirmé par les « pierres de grêle » du « septième et dernier fléau de Dieu ».

Le capitalisme idolâtre l’argent et les richesses et c’est lui qui corrompt l’esprit des êtres humains. Cet amour de l’argent et des richesses caractérise successivement « la mère des prostituées Babylone la grande » et son relai protestant des « marchands de la terre ». Cette ressemblance et le partage de la malédiction divine favorisent leur association dans la dernière phase de l’histoire humaine terrestre où Dieu l’image sous le nom de « la bête qui monte de la terre » dans Apocalypse 13:11 à 18.

L’écroulement du régime communiste soviétique a beaucoup amusé les moqueurs capitalistes occidentaux, mais ils ne riront plus quand les conséquences de la crise du capitalisme provoqueront la plus grande destruction guerrière de l’histoire humaine.

La question se pose : Le capitalisme a-t-il réellement triomphé contre le communisme ? Officiellement oui, cependant, en l’exploitant en Chine, le capitalisme a construit la crise qui finit par le dévorer et le détruire, comme une proie indigeste avalée peut provoquer la mort de l’avaleur.

Notre actualité est marquée par le désarroi des Européens qui voient Donald Trump parler à Vladimir Poutine que la justice de la Haye veut juger comme criminel de guerre. Perdant le soutien américain, les Européens se découvrent faibles et vulnérables. Ils ne comprennent pas ce qui leur arrive. Le changement du président des USA change leur situation. Celui qu’ils détestaient et redoutaient est sorti vainqueur, et il ne partage pas l’opinion du précédent au sujet de l’Ukraine. Je l’ai entendu dire que l’Occident avait poussé ses conquêtes vers l’Est abusivement ; je ne garantis pas la précision des mots, mais l’idée de sa réponse. Dans cet état d’esprit, Donald Trump ne peut que reconnaître le tort que l’Ukraine et les Européens ont fait à la Russie ; l’Ukraine, en premier, en renversant, en 2013, son président légitime russophone et russophile et en demandant son rattachement à l’OTAN et à l’U.E. Je rappelle que j’ai personnellement approuvé et partagé cette analyse, dénonçant l’aveuglement et l’injustice du camp européen. Aussi puis-je maintenant apprécier de voir Dieu donner à la vraie justice, la force de son légitime droit.

Aujourd’hui, Jeudi 12 Février 2025, se tient à Munich, en Allemagne un rassemblement des dirigeants européens. Or, ce matin, à Munich, à environ 300 mètres du lieu du rassemblement, un Afghan demandeur de papier a fait une vingtaine de victimes, en fonçant sur elles avec une voiture utilisée comme bélier. Ainsi, à l’heure où une paix imposée s’apprête à faire cesser momentanément la guerre menée par la Russie, le « roi du septentrion » de Daniel 11:40, contre l’Ukraine, un élément individuel appartenant à la religion du « roi du midi » se signale aux Européens. Et désormais, c’est de ce camp-là, que va venir, en diversion, une grande attaque qui favorisera l’invasion de l’Europe par les Russes.

L’évolution historique de ce « roi du midi » est intimement liée à la France que la papauté italienne tient pour « sa fille aînée » ; précisément parce que la monarchie française a été son soutien armé perpétuel. L’Iran est devenu ce pays islamiste précurseur parce que le régime du roi, le shah, a été renversé par la révolution islamique préparée par l’ayatollah Khomeiny depuis sa propriété française située à Neauphle-le-Château. En raison de son passé colonialiste, la France a sur son sol la plus grande représentation musulmane de tous les pays européens. Et certains d’entre eux, ce sont illustrés comme les plus durs et les plus cruels dans les massacres perpétrés par les combattants du groupe DAESH. Ces islamistes d’origine française, musulmans accueillis ou français de vieilles origines éprouvent particulièrement la haine contre l’Europe et en premier, contre la France. Les islamistes syriens qui viennent de renverser le président Bachar Al-Assad de la Syrie se sont retournés contre leurs adeptes extrémistes dont ils condamnent et combattent les excès ; ils n’ont pas de haine particulière contre l’Occident, comme ceux d’entre eux qui viennent de l’Occident. En 2025, l’armée française reste la première armée européenne et la France est seule, en Europe, à détenir l’arme nucléaire. Bien que devenue laïque, « La fille aînée » de l’église catholique romaine va encore devoir défendre la sécurité européenne quand elle va être attaquée. C’est pourquoi, elle va être particulièrement concernée par l’attaque du « roi du midi » dirigée principalement contre l’Italie papale et elle. Parmi les pays qui haïssent la France, l’Algérie vient en tête car elle garde un amer souvenir de sa guerre d’indépendance de 1954 à 1962. Et Dieu, autant que le diable, veille à ce que ce souvenir ne soit pas oublié par les instruments de sa colère ; parce que leur haine est sa haine, leur colère, sa colère, leur vengeance, sa vengeance.

Je relève cette subtilité : Selon Daniel 11:40, « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui… ». Ce « lui » désigne le faux christianisme infidèle catholique et protestant réparti en Europe et dans ses excroissances, les USA et l’Australie. Ce verbe « heurter » prendra bientôt une forme puissante, mais il qualifie déjà les actes islamistes constatés en 2001 à New-York contre les tours du « World Trade Center » « heurtées » et détruites par deux avions piratés, mais aussi les renouvellements depuis le 14 Juillet 2016 à Nice en France, par l’usage du camion bélier qui « heurte » violemment des groupes de personnes et en tue 86. Ce type d’action a frappé l’Allemagne le 21 Décembre 2024 à Magdebourg, et aujourd’hui encore à Munich.

Les choses accélèrent, car en ce Jeudi 13 Février 2025, Donald Trump fait savoir qu’après un long échange téléphonique d’1 heure 30 mn avec Vladimir Poutine, ils ont convenu d’une rencontre pour la date peu probable du 20 Avril ou du 9 Mai prochain, jour où la Russie fête sa victoire sur l’Allemagne nazie. Voici donc que 24 heures après mon intérêt donné au 8 Mai 1945, l’actualité confirme le rôle mondial imminent des 8 et 9 Mai 1945 prochains.

A Grenoble, une grenade a été jetée dans un bar. Ce genre de scène rappelle celles qui devenaient la norme quotidienne à Alger entre 1954 et 1962.




M13- Le premier jour


En tant que chrétien baptisé et instruit comme Adventiste du septième jour resté au service de Jésus-Christ en dépit de ma radiation par l’œuvre officielle, depuis 1980, j’ai passé toutes mes années à essayer de démontrer la justification de l’obéissance au repos du sabbat du septième jour sanctifié par Dieu. J’ai reçu de lui, d’abondantes lumières qui ont révélé tout son sens prophétique.

Aujourd’hui, « dimanche » 16 Février 2025, premier jour de la semaine, je viens présenter mon étude centrée sur ce premier jour évoqué de manières différentes dans la sainte Bible.

La première évocation du premier jour est celle que Dieu décrit dans Genèse 1 :

Verset 1 : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. »

Dieu lance par ces mots sa création de notre dimension terrestre formée d’un espace sidéral qui s’étend à l’infini dans toutes les directions et il crée dans cet espace la terre dont l’aspect est celui d’une boule d’eau. Cette création originelle est réalisée dans une obscurité totale, dans le noir absolu. Et cette obscurité ne pose aucun problème pour Dieu pour lequel la vue ne repose pas sur ses yeux mais sur sa maîtrise complète et son contrôle absolu de tout ce qu’il crée.

Le principe sur lequel il construit notre dimension terrestre reflète une réalité spirituelle caché car une autre dimension céleste précède notre dimension terrestre. C’est cette dimension céleste appelée « le royaume de Dieu » qui est donc aussi suggérée par le mot « cieux » et relève-le, le mot « cieux » précède le mot « terre » ; ce qui est logique dans les deux significations. En message spirituel, ce mot « cieux » suggère donc l’éther dans lequel les anges de Dieu évoluent, passant de la dimension céleste à la dimension terrestre au gré de la volonté de Dieu. En citant ce mot « cieux », Dieu certifie l’existence d’une dimension céleste invisible pour l’homme qu’il va créer et conduire à peupler la surface de la terre. Jésus reprendra cette expression en donnant à ses élus le titre de « citoyens du royaume des cieux ».

Verset 2 : « La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. »

Dans son état originel, encore non peuplée, la terre est dite « informe et vide ». Sons aspect extérieur est à l’image de l’heure du déluge d’eau du temps de Noé. Cette surface d’eau justifie le nom « abîme », car l’eau qui recouvre la terre est très profonde et le mot « abîme » est lié à la fois à l’eau et à l’idée de la profondeur. Ce mot « abîme » va être utilisé par Dieu dans sa prophétie Apocalypse pour désigner les « profondeurs de Satan », citées dans Apocalypse 2:24 (: « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; »), dans Apocalypse 17:8 (« La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. »), 11:7 (« Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l'abîme leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera. »), 20:1 à 3 (« Puis je vis descendre du ciel un ange, qui avait la clef de l'abîme et une grande chaîne dans sa main. Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans. Il le jeta dans l'abîme, ferma et scella l'entrée au-dessus de lui, afin qu'il ne séduisît plus les nations, jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. Après cela, il faut qu'il soit délié pour un peu de temps.»).

Ce n’est qu’à la fin du premier siècle de notre ère, que Dieu a fait connaître par son Apocalypse à l’apôtre Jean et à ses serviteurs la vocation de la terre à retrouver, à la fin des 6000 ans et au début du 7ème millénaire, son état « informe et vide », entièrement dépeuplée, qu’elle avait au commencement de la création et qui lui valait son nom « abîme ».

Ces deux premiers versets prennent pour cible prophétique, le camp des ténèbres qui oblige Dieu à construite son plan du salut qu’il démontrera et fera accomplir sur la terre qu’il crée dans ce but. Note que ce verset 2 porte le signe de l’imperfection symbolisée par le chiffre « 2 ».

Verset 3 : « Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. »

Le chiffre 3 de ce verset symbolise la perfection qui caractérise le camp de « la lumière » divine. Dieu et sa perfection font irruption dans cette création terrestre nouvelle où il va combattre le camp des ténèbres. L’Esprit dira dans Jean 1:4-5 au sujet de « la Parole » divine : « En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue. »

Verset 4 : « Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. »

Le chiffre 4 porté par ce verset est le symbole de la norme universelle.

Dieu témoigne en faveur de ses valeurs, en faveur de sa « lumière » qui a vocation à rester la seule valeur universelle éternelle. Il la recommande ainsi à ses élus comme étant la norme de la vie éternelle. Puis son message devient tranchant, ferme et solennel : « Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres » Cette séparation est rendue nécessaire depuis que dans le royaume des cieux, l’ange de lumière créé en premier par Dieu est entré en rébellion contre lui. En écho à ce verset, l’Esprit inspire à Paul son « fidèle témoin », ces paroles de 2 Timothée 2:19 : « Néanmoins, le solide fondement de Dieu reste debout, avec ces paroles qui lui servent de sceau : Le Seigneur connaît ceux qui lui appartiennent ; et : Quiconque prononce le nom du Seigneur, qu'il s'éloigne de l'iniquité. » La « séparation de la lumière d’avec les ténèbres » n’est pas un conseil, mais un ordre donné par Dieu ; un ordre qui va justifier les saints obéissants et condamner les faux croyants désobéissants. C’est aussi un projet éternel que Dieu va mettre en œuvre par la grâce proposée par Jésus-Christ. Ce principe conditionne entièrement la sélection universelle des élus rachetés par le sang versé par Jésus-Christ.

Verset 5 : « Dieu appela la lumière jour, et il appela les ténèbres nuit. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour. »

Les mots « lumière » et « jour » du bien, « ténèbres » et « nuit » du mal, délivrent le code spirituel que Dieu utilise dans l’Evangile de Jean et dans la révélation Apocalypse qu’il lui a donnée en fin du premier siècle de notre ère.

La révélation concernant le premier jour s’achève au verset 5 placé sous le symbolisme du chiffre 5 qui est le chiffre de l’homme. Le témoignage de ces 5 premiers versets et de tous ceux qui suivent est celui que Dieu adresse directement à tous les hommes et toutes les femmes de tous âges, et de toutes les origines ethniques.

Il est donc clair que « la lumière » a visité les hommes cachée dans l’aspect humain de Jésus-Christ selon les paroles de Jean 1:9 à 14 : « Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l'a point connue. Elle est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point reçue. Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu. Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. »

Si l’on examine l’accomplissement du projet de Dieu, nous voyons que le temps du ministère terrestre de Jésus-Christ est, avant sa mort, accompli dans un temps de « ténèbres » absolues. Jésus fait de nombreuses déclarations que personne ne comprend, ses douze apôtres compris. Ces amis fidèles devaient attendre « le premier jour » de la semaine qui a suivi les deux sabbats de la semaine pascale pour que Jésus leur apparaisse ressuscité et qu’il leur explique le sens donné à sa mort expiatrice de leurs péchés. Le temps « lumière » ne commence donc qu’en ce premier jour marqué par sa résurrection. Et en tant qu’observateur du saint sabbat de Dieu, nous aurions grand tort si nous méprisions l’importance de ce premier jour où la « lumière » a été donnée aux élus du Christ.

Dans son étonnante sagesse, Dieu a trouvé le moyen de ne pas le faire oublier en conduisant ses ennemis à en faire le jour de leur repos hebdomadaire. De cette manière, le souvenir de l’importance du sabbat a été confié aux rites religieux des Juifs, et le souvenir du premier jour lumière où ressuscité, Jésus s’est présenté en chair et en os à ses apôtres bien-aimés, a été rappelé par le repos du dimanche du catholicisme romain.

Ces deux jours, le premier et le septième sont d’égale importance, cependant seul, le sabbat du septième jour porte la légitimité d’être marqué par le repos sanctifié par Dieu. Et si les ennemis de Dieu contestent ce jugement divin, ils le font au prix de leur perdition éternelle. Mais saluons cette sagesse de Dieu qui fait porter son enseignement, même par ses ennemis les plus extrêmes. Ainsi porteur d’une malédiction divine extrême, le dimanche romain est utile à la cause de Dieu.

Selon le témoignage biblique, le Mardi soir ou premier soir du mercredi 3 Avril 30, Jérusalem fut couverte de ténèbres et à l’heure de la mort de Jésus, une tempête a frappé la région et même, un tremblement de terre a fracturé le rocher sur lequel, au pied du mont Golgotha, la croix, sur laquelle pendait le corps sans vie de Jésus, était enchâssée. Ce temps nuageux obscur s’est probablement prolongé à Jérusalem pendant tout le temps des « trois jours et trois nuits » pendant lesquels Jésus est resté officiellement dans son tombeau. Cette expression doit être rectifiée selon son accomplissement, en la forme réelle de « quatre nuits et trois jours » ; temps compris l’entrée au tombeau et l’apparition à Marie, Jean, puis ses apôtres.

Le « premier jour » est celui où Jésus a été intronisé par Dieu le Père et ses saints anges. L’intronisation s’est effectuée dans la journée du premier jour après que Jésus a rencontré et parlé à Marie de Magdala dans le jardin du tombeau, selon qu’il est écrit dans Jean 20:17 à 19 : « Jésus lui dit : Ne me touche pas ; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. Marie de Magdala alla annoncer aux disciples qu'elle avait vu le Seigneur, et qu'il lui avait dit ces choses. Le soir de ce jour, qui était le premier de la semaine, les portes du lieu où se trouvaient les disciples étant fermées, à cause de la crainte qu'ils avaient des Juifs, Jésus vint, se présenta au milieu d'eux, et leur dit : La paix soit avec vous ! » Etant intronisé, Jésus peut maintenant être touché par Thomas selon Jean 20:27 : « Puis il dit à Thomas : Avance ici ton doigt, et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois. »

Jean aimait si fortement Jésus qu’il ne retient dans son témoignage que les éléments spirituels, ayant été insensible au séisme et à la tempête qui ont frappé Jérusalem en ce jour ténébreux de son arrestation, de son jugement et de son exécution mortelle. Selon Jean, Marie de Magdala s’est présentée à l’aurore au tombeau qu’elle a trouvé déjà ouvert et vide, il faisait encore sombre.

Les témoignages complémentaires des autres Evangélistes complètent ce témoignage de Jean. Nous lisons dans Matthieu 27: 45 et 50 à 53 : « Depuis la sixième heure jusqu'à la neuvième, il y eut des ténèbres sur toute la terre. … /… Jésus poussa de nouveau un grand cri, et rendit l'esprit. Et voici, le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu'en bas, la terre trembla, les rochers se fendirent, les sépulcres s'ouvrirent, et plusieurs corps des saints qui étaient morts ressuscitèrent. Étant sortis des sépulcres, après la résurrection de Jésus, ils entrèrent dans la ville sainte, et apparurent à un grand nombre de personnes. » Je le rappelle, Jean et Matthieu sont les deux seuls témoins oculaires des faits témoignés. Et plus âgé, Matthieu donne un témoignage plus complet plus détaillé que celui du jeune Jean.

Grâce aux découvertes de notre frère Ron Wyatt, nous savons que la fracture du rocher, dans lequel la croix du Christ était enchâssée, a permis l’écoulement du sang de Jésus, sur le propitiatoire de l’arche divine cachée dans une grotte souterraine située au-dessous de la croix, à environ six mètres de profondeur. Aussitôt que le sang a touché le propitiatoire et que Jésus a expiré, des saints sont sortis de leurs tombeaux ressuscités par l’Esprit du Père céleste. Ces paroles de Jésus citées dans Jean 11:25, ont été ainsi confirmées : « Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; » Ainsi la mort du prince de la lumière offre la vie à ses élus ; « la vie » qui est « la lumière des hommes » selon Jean 1:4 : « En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. »

Chaque moment de ce temps, où Dieu fait accomplir en Jésus-Christ son plan du salut, est marqué dans un but pédagogique qui confirme son accomplissement. Ainsi, la mort de Jésus a pour fruit la résurrection finale des saints morts et des saints restés vivants dont un exemple témoin est donné au moment même de la mort de Jésus. Il faut attendre ensuite le premier jour de la semaine suivante pour que le Christ ressuscité, « lumière », éclaire l’intelligence spirituelle de ses saints élus fidèles. Et cette phase « lumière » est dans le plan du salut, fondamentale, car c’est par elle, que l’homme peut recevoir ou rejeter la lumière divine. C’est aujourd’hui encore, cette lumière divine qui m’éclaire ainsi que ceux qui lisent mes écrits. Dieu n’a pas fini de nous étonner.

Mais la vraie obéissance exige que chaque élément de ce plan de salut soit honoré de la manière qui convient à Dieu. Car si ce n’est pas le cas, la religion est vaine. Dieu se fait une gloire de révéler à ses élus l’harmonie complète de son projet, sa cohérence parfaite, sa logique parfaite. Sa nature éternelle est révélée dans sa construction de la Bible révélée pour les cinq premiers, à Moïse l’image prophétique du guide céleste nommé Jésus-Christ, il y a de cela, pas moins de 3500 années.

La mort de Jésus a fait cesser toutes les fêtes juives parce qu’elles ont trouvé leur accomplissement en sa mort et sa résurrection. C’est donc vainement, que les faux croyants célèbrent encore depuis sa mort, la Pâque juive ou les Pâques catholiques romaines. Depuis sa résurrection, Jésus ne reconnaît comme célébration que la pratique de la sainte Cène précédée par l’indispensable lavement des pieds et le baptême de l’engagement officiel individuel de ses rachetés. Un baptême qui doit être pratiqué en immersion totale du corps du baptisé pour être reconnu par Dieu ; sous la condition que la personne baptisée soit reçue et approuvée par lui. Dans la sainte Cène, les symboles utilisés doivent être à l’image de la perfection du Christ ; un pur jus de raisin rouge pour symboliser le sang de Jésus-Christ et du pain non levé pour symboliser son corps. Le diable se plait à faire remplacer ces choses pures par du pain levé et du vin alcoolisé dans la sainte Cène pratiquée par ses victimes trompées et séduites.

Dieu est attentif à la valeur que nous donnons aux symboles qu’il a choisis pour représenter et concrétiser un acte d’engagement religieux de ses rachetés élus. Notre propre attention est donc requise, afin de ne pas déshonorer Dieu et son Christ sauveur.

Le premier jour ne donne pas lieu à une fête particulière ordonnée par Dieu. Le jour de la « lumière » est aussi le premier jour du travail de l’homme qui va être suivi par cinq autres jours qui lui appartiennent pour faire tous ses ouvrages profanes et civils. Conformément aux enseignements de Genèse et de Jean, ceux qui rejettent la vraie « lumière » divine se séparent des élus en donnant au premier jour de la semaine le rôle que Dieu donne au septième et qu’il a « sanctifié » dès le commencement selon Genèse 2:2-3 : « Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu'il avait faite : et il se reposa au septième jour de toute son œuvre, qu'il avait faite. Dieu bénit le septième jour, et il le sanctifia, parce qu'en ce jour il se reposa de toute son œuvre qu'il avait créée en la faisant. »

La confiance que nous plaçons dans la sainte Bible divine est fondamentale pour justifier notre choix et notre comportement religieux. Satan connaît l’importance de cette croyance aux 6000 ans précis du programme terrestre de Dieu. Aussi, pour perdre les âmes humaines qu’il séduit, il fait présenter par des scientifiques honorés des théories évolutionnistes qui donnent à la terre une existence de milliards d’années. Ces mensonges sont continuellement présentés dans toutes les émissions scientifiques télévisées et dans tous les établissements d’enseignement.

La vérité est très différente, le Dieu créateur est extrêmement précis dans tout ce qu’il crée et organise. C’est pourquoi, dans l’ordre du temps qu’il compte et mesure, le septième jour ne peut à aucun prix être remplacé par le premier jour catholique ou le sixième jour de l’islam.

La célébration du sabbat sanctifié par Dieu a donc ce caractère particulier d’être une fête juive qui n’a pas été rendue caduque et vaine par la mort et la résurrection de Jésus-Christ. Ceci pour ces trois raisons : 1- Le sabbat prophétise le repos du septième millénaire au début duquel les élus rachetés entreront dans l’éternité ; son accomplissement est donc encore dans le futur aujourd’hui, à 5 ans devant nous. Il doit donc encore être pratiqué et honoré. 2- Le sabbat prophétise le repos du septième millénaire qui est la récompense de la croyance des vrais élus rachetés par Jésus-Christ. 3- Le sabbat est une récompense obtenue par Jésus-Christ, par sa mort expiatoire des péchés de ses élus.

En plus d’être une fête juive ordonnée par Dieu dans l’ancienne alliance, le sabbat est avant tout, une fête qui peut et doit être célébrée par tout homme et toute femme, quelle que soit son origine, sa couleur et sa nation ; parce qu’il n’y avait au temps d’Adam et Eve, ni juif, ni chrétien, ni musulman, mais l’être humain dont les successeurs se sont séparés et combattus à cause de leurs choix religieux différents et de leur méchanceté. Et personne sur la terre ne peut prétendre de ne pas descendre de ce premier couple que Dieu a créé et bénit, puis maudit à cause de leur désobéissance, donnant ainsi un avertissement perpétuel en transmettant en héritage la mort qui frappe tous les êtres humains et les créatures terrestres.

Pour conclure ce thème consacré au « premier jour », je peux dire que celui qui a été marqué par l’apparition du Christ ressuscité a été pour ses apôtres un jour béni, lumineux, qui leur a procuré une joie sans pareille. Et cette lumière qui a éclairé leur esprit les a conduits à s’engager dans le travail missionnaire pour leur divin maître. Ils ont pu ainsi répandre l’Evangile qui est parvenu jusqu’à nous, qui vivons en 2025, grâce à leurs témoignages regroupés dans le nouveau « témoin » de Dieu que constituent les témoignages de la nouvelle alliance de la sainte Bible. Cependant, dans Apocalypse 11:3, Dieu ne présente pas un seul témoin, mais ses « deux témoins », confirmant ainsi la nature indispensable de l’enseignement écrit dans les livres de l’ancienne alliance.

Dans le projet de Dieu, « le premier jour et le septième » représente « l’alpha et l’oméga » de l’unité du temps que représente la semaine ponctuée au fil du temps par la célébration de son saint sabbat honoré pendant 6000 ans par ses vrais serviteurs humains. Chaque fois que Dieu a construit une relation intime privilégiée avec l’un de ses serviteurs, depuis Adam, Dieu lui a fait connaître ses lois, ainsi que la bénédiction et sa sanctification du sabbat du septième jour. Mais ces précisions ne furent pas transmises par des écritures comme la Bible écrite sur des parchemins par Moïse a pu le faire ; sous la dictée directe de Dieu.

Le « premier jour et le septième » sont donc entièrement complémentaires parce qu’ils marquent des temps fondamentaux du plan du salut préparé et accompli par Dieu. Etant complémentaires ils ne s’excluent pas mutuellement l’un par l’autre, et l’élu de Dieu doit honorer l’un et l’autre selon la forme que Dieu leur a décernée.

Finalement c’est encore la Bible qui va permettre de trancher au sujet de la concurrence de ses deux jours respectivement placés « au début et à la fin » de la semaine, écoutons l’Esprit nous dire par Salomon dans Ecclésiaste 7:8 : « Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. » Le « sabbat du septième jour » vaut donc mieux que « le premier jour », et sachant ce que les deux représentent, tous ses élus partagent son avis. Dans ce verset, l’Esprit met en parallèle « la fin d’une chose » avec « l’esprit patient ». Il faut donc que l’élu attende et fixe son attention « patiemment » sur le moment « de la fin » qui vient ; ce qui est le fruit de la sagesse.



M14- L’heure de la confusion


Je pense avoir trouvé, avec ce titre, « l’heure de la confusion », la définition du changement universel provoqué par l’élection du président des USA, Donald Trump, entré en fonction depuis le 20 Janvier 2025.

Tel un éléphant dans un magasin de porcelaine ou l’arrivée d’un chien dans un jeu de quilles, il bouleverse, renverse et casse tout ce qui a prévalu avant lui. Et grâce à lui, les pensées humaines les plus obscures sont démasquées. En fait, son arrivée porte les effets du révélateur de la photographie ; avant lui nous avions la vision du négatif inscrite sur la pellicule ; après lui nous obtenons la photo positive sur papier glacé.

Depuis le 8 Mai 1945, en entrant dans son temps de paix, l’humanité s’est reconstruite sur des bases totalement hypocrites établies entre des pays fatigués de se combattre et rendus capables d’accepter les conditions imposées par les deux grands vainqueurs ; dans l’ordre d’arrivée à Berlin : Les Russes, puis les Américains. La fin du XXème siècle s’est déroulée dans cette ambiance tendue opposant le bloc Ouest au bloc Est replié derrière son « rideau de fer ».

En 1989, le mur de Berlin est tombé, détruit par les Allemands de l’Est qui ont profité de l’écroulement de l’URSS politique et économique. Cette action allait dans le sens d’un désir occidental de s’étendre vers l’Est qui fut entièrement confirmé par le regroupement des deux Allemagnes au profit de celle de l’Ouest, cette Allemagne prospère et riche qui a été formée et enseignée par la culture américaine capitaliste qui l’occupait.

Il y a énormément de sagesse dans les proverbes et les dictons populaires, plus ou moins connus. Mais je propose cet exemple qui dit : « la faim fait sortir le loup du bois » qui évoque le principe qui veut qu’une chose peut favoriser l’apparition d’une autre chose. Et appliqué à notre situation mondiale et plus encore, occidentale cela signifie que la ruine économique démasque les caractères humains cachés.

Etant français, et c’est la raison du choix de Dieu pour mon ministère, la plus grande partie des 80 années de paix établies depuis le 8 Mai 1945, s’est accomplie sous le régime de la 5ème République. Or cette constitution établie par le général Charles de Gaulle a fait cesser les recherches des compromis politiques. La forte majorité présidentielle de l’assemblée des députés imposait ses lois et les faisait adopter sans aucun problème, au point que les groupes de l’opposition n’étaient là, que pour la forme, afin de conserver un aspect démocratique très hypocrite. Les Français n’étaient plus sensibilisés par les soucis des sujets politiques, si ce n’est dans les syndicats ouvriers qui couraient derrière les ajustements créés par l’inflation monétaire traduite par des hausses constantes du coût de la vie pour tous, riches et pauvres. Mais, pendant le septennat du général de Gaulle, la France ne manquait pas de travail car elle se relevait de ses ruines et son économie prospérait à cause de la croissance de la consommation de sa population. Les bons patrons se disputaient les bons ouvriers, très appréciés à cette époque par des patrons qui géraient leurs entreprises en « pères de familles ». Il fallait reconstruire les immeubles et les maisons détruites et loger les nouvelles générations auxquelles venaient s’ajouter les premières vagues de l’immigration musulmane maghrébine. Les Français se sont ainsi totalement déconnectés de la politique, étant uniquement préoccupés par leur vie individuelle devant laquelle la liberté des mœurs s’est ouverte et offerte. On est ainsi passé progressivement, à Paris, du « métro, boulot, dodo » au « vélo, chômo, porno ». La crise favorise le déplacement en vélo, la destruction des emplois provoque le chômage, et la recherche du plaisir individuel ou en couple conduit à la pornographie qui suscite les « gay pride » ou « fierté homosexuelle ».

Les Français de source ont été envahis par des européens qui ont profité de l’Europe Unie pour s’installer en France. La photographie d’une scène urbaine des années 50 comparée à la même réalisée en notre époque nous donne le meilleur témoignage de cette vérité controversée. De plus, il suffit de relever les noms de famille portés sur les boîtes aux lettres des maisons et des immeubles pour en être totalement convaincu. Mais ce constat ne règle pas le problème, parce que les jeunes générations le constatent comme les anciennes mais sans y relever le moindre problème. Et c’est normal, puisqu’ils n’ont connu la France que sous cet aspect cosmopolite qui leur convient. C’est en cela, que nous pouvons comprendre la raison pour laquelle Dieu a donné 80 ans de paix aux « dix cornes » européennes occidentales dont la France et l’Italie en cibles principales. Car il fallait que disparaissent les anciennes générations sensibles à l’immigration. Et en authentique signe de ce raisonnement, le chef de tête de cette opposition à l’immigration musulmane, Jean-Marie Le Pen, vient de mourir au début Janvier 2025. J’ai moi-même 80 ans depuis 2024, et je vois disparaître beaucoup de gens de mon âge qui n’ont pas bénéficié de la protection de Dieu comme moi ; et ceci, en toute justice, parce qu’ils ne se sont pas souciés de le rechercher pour obéir à ses ordres, et ses décrets bénis.

Je vois donc en la mort de Jean Marie Le Pen la confirmation du principe appliqué pour les Juifs retenus dans le désert par Dieu pendant 40 ans.

La déconnection du peuple français de la politique a donc eu pour cause l’unique importance donnée aux députés et aux ministres élus et mis en postes. Mais à ce drame s’est ajouté un deuxième niveau d’affaiblissement qui a concerné cette fois le législatif et l’exécutif français. La construction de l’U.E. a rendu la plupart de leur décision dépendante des autorisations du gouvernement européen. Nos hommes politiques ont donc eux aussi après le peuple, réagi de la même manière soit, dans un état d’esprit désabusé, ils ont ressenti pour leur activité une partielle inutilité.

La gouvernance à deux étages est une totale malédiction qui confirme la valeur d’imperfection donnée au chiffre « 2 ». A cause de leurs vieilles existences nationales, les nations européennes restent fondamentalement accrochées à leur indépendance nationale. L’U.E. n’existe à l’heure actuelle que pour des intérêts commerciaux et malgré l’intensification de son pouvoir législatif, le gouvernement européen reste à l’image du premier « marché commun » de 1957.

Les effets de la ruine sont très différents selon les individus concernés touchés. Certains tombent dans un grand abattement, mais d’autres réagissent de manière coléreuse, pleins de rancœur envers les hommes politiques qui ont pu faire les choix désastreux qui ont tué la prospérité de leur pays. La ruine imposée par l’organisation de Dieu a précisément le but de réveiller la colère et l’indignation des victimes des politiciens. En 1789, la faim a fait sortir du bois les loups affamés révolutionnaires et en 1793, Louis XVI a perdu sa tête parce que son aide donnée aux Américains avant 1776, a ruiné son royaume et conduit son peuple à la famine. « Famine ! » Ce mot me fait frémir, car l’humanité n’a jamais été autant menacée par ce fléau qu’en nos jours actuels. Les populations ont augmenté en nombre constamment et des villes gigantesques les ont accueillies repoussant toujours plus loin leurs limites urbaines. Pour nourrir ces populations, en temps de paix, des multitudes de véhicules apportent depuis la campagne ou les centres alimentaires, d’énormes quantités d’aliments de toutes sortes. En situation de guerre, ces déplacements des véhicules sont bloqués, empêchés, par les services armés qui doivent avoir l’exclusivité des voies routières. C’est pourquoi la dépendance alimentaire va apparaître comme étant la cause majeure de la mort des habitants des grandes villes du monde touchées par la Troisième Guerre Mondiale qui vient. Comment se préparer à un tel avenir ? Bien difficile à dire ; car stocker un minimum de conserves ne permettra que de survivre un minimum de temps. D’autre part, détenir un gros stock de réserves peut susciter chez d’autres affamés, la convoitise qui peut dans ce cas causer la mort de l’homme prévoyant. Nous devons donc nous préparer à devoir faire face à des temps de jeûnes forcés où nous découvrirons l’inimaginable résistance du corps humain créé par Dieu. Et c’est encore là, le but que Dieu donne à la famine : contraindre l’homme à apprendre à ne compter que sur lui et sur sa compassion. Car d’une manière perverse, dans la paix et la prospérité, l’être humain apprend à « vivre de pain et surtout de viande seulement », oubliant que Jésus a aussi ajouté « mais aussi, de toute parole sortie de la bouche de Dieu ». Et ce rajout est plus important que le pain lui-même, car Dieu peut faire vivre un homme sans manger et sans boire comme il en a donné en Moïse, une preuve vivante réelle ; et ceci, pendant « 40 jours et 40 nuits » selon Exode 34:28 : « Moïse fut là avec YaHWéH quarante jours et quarante nuits. Il ne mangea point de pain, et il ne but point d'eau. Et YaHWéH écrivit sur les tables les paroles de l'alliance, les dix paroles. »

Ce verset présente le grand avantage de mettre en parallèle la nourriture humaine et sa nourriture spirituelle représentée par les deux tables des dix commandements de Dieu. La scène qui nous est décrite nous transmet un message divin que Jésus exprime clairement en disant : « l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu ». Disant cela, Jésus nous montre la fidélité exemplaire de Moïse et nous invite à l’imiter, lui, Moïse, qui n’était réellement, qu’un homme comme nous, toi et moi.

Les « quarante jours et quarante nuits » vécues par Moïse en présence de Dieu étaient à l’image du séjour au désert de 40 ans que Dieu allait imposer à Israël pour son manque de confiance envers Dieu. Dieu montrait par cette scène, son projet d’inscrire sa loi sur les tables de pierre que formaient les cœurs endurcis des Hébreux arrachés à l’esclavage égyptien. Et au terme des quarante ans, Dieu confia les enfants d’Israël aux deux seuls hommes dignes de cette charge, Caleb et Josué, les deux espions qui firent confiance à Dieu pour vaincre les géants qui vivaient sur le sol de la terre de Canaan. Dieu a réussi à graver sa loi dans les cœurs de chair de ces deux hommes présentés en exemples à imiter. Il les élève, il les honore, et s’offre la compagnie de Moïse, en lui permettant d’entrer au ciel après sa mort, âgé de 120 ans et encore plein de force et de santé ; ce qui est l’âge type que Dieu donne à l’homme avant de le détruire par les eaux du déluge.

Depuis 1843, Dieu a formé le même projet en construisant sa religion « adventiste du septième jour ». Depuis cette date, deux expériences adventistes américaines situées en 1843 et 1844 lui ont permis de sélectionner de véritables élus, peu nombreux, 50 personnes au 23 Octobre 1844. Mais le nombre réduit n’est pas le plus important, car Dieu privilégie la qualité sur la quantité. Le bénéfice de la grâce offerte par Jésus-Christ ne profite qu’à ceux des candidats rachetés dont la confiance et la fidélité est conforme à la qualité exigée par Dieu.

Né en 1944, je suis à l’image de Caleb et Josué, attentif aux messages donnés par Dieu, par sa sainte Bible, dans ses prophéties mais aussi dans la vie globale, dans nos faits qui créent l’actualité. J’ai vécu deux fois « quarante ans » et je peux dire que toute sa divine loi est écrite dans mon cœur ; et cette connaissance me permet de décrypter ses messages subtilement codés. J’ai été baptisé dans l’année 1980 et j’ai vu arriver au pouvoir, en 1981, cette gauche socialiste humaniste que j’ai, un temps approuvé et en laquelle j’ai même espéré. Jusqu’à ce que je réalise, dès 1982, son aveuglement chronique, parce qu’elle devait mettre en œuvre la terrible malédiction divine qui frappe la France entière, son peuple et ses dirigeants politiques et économiques.

Voici une preuve concrète de cet aveuglement. Une journaliste faisait l’éloge du président Macron qui, disait-elle, a su voir en premier le danger représenté par la Russie du président Poutine. Cette personne oublie simplement que le danger qui nous menace aujourd’hui n’est que la conséquence du risque qu’il a fait prendre à sa nation et à l’Europe, en justifiant par son soutien à l’Ukraine, une position agressive qui ne pouvait qu’irriter la Russie contre la France et ceux qui la suivent dans son attitude agressive guerrière. En pleine incohérence, ces gens dénoncent le comportement de Donald Trump et son partenaire Elon Musk, les comparants aux Nazis hitlériens alors qu’ils soutiennent l’Ukraine dont le groupe ouvertement et revendiqué Nazi nommé « Azov » est l’idole du peuple ainsi que son fondateur le « SS Bandera ». Des journalistes, des hommes politiques, d’anciens chefs militaires, tous agissent et parlent d’une même voix, tous aveuglés par Dieu pour favoriser leur agressivité envers la Russie afin qu’elle vienne sur eux pour les détruire.

Aujourd’hui, Lundi 17 Février, se tient à Paris, à l’Elysée, un grand rassemblement des chefs européens invités par Mr Macron pour trouver une solution aux problèmes posés par la déclaration de la représentation américaine à Munich, la veille, soit le dimanche 16 Février. Dans cette déclaration, les USA ont invité les Européens à prendre seuls en charge le problème ukrainien. Les Européens se voient donc seuls livrés au risque d’un affrontement direct contre la Russie : Panique à bord. Je pense que ce 17 Février placé sous le signe symbolique du jugement, va porter des conséquences graves et irréparables, mais Dieu le veut, Dieu le peut, et Dieu l’obtient. De plus, se produisant un « Lundi », jour de la Lune, ce rassemblement est placé sous le signe des ténèbres.

Ce changement, qui est la conséquence de l’élection du président Trump, transforme fondamentalement la situation confortable établie depuis le 24 Février 2022, dans un contexte de soutien et d’engagement américain donné à l’Ukraine et à l’Europe. En fait, c’est le sol qui se dérobe sous les pieds des dirigeants européens. Et je loue Dieu pour sa parfaite justice, car ce qui arrive aujourd’hui est l’exacte contraire de ce qui s’est produit dans la guerre des Balkans et en Ukraine le 24 Février 2022. Les attitudes agressives passées des pays européens reposaient sur la confiance placée sur l’imposante puissance des USA. Dans la guerre des Balkans, la Serbie fut écrasée par les bombes larguées par les bombardiers américains. Et fièrement, les armées européennes ont arrêté, le chef de la Serbie qui fut traduit devant le tribunal de la Haye auquel, seuls, les Européens donnent le titre de « Tribunal international » ; car ni les USA, ni la grande Russie ne l’ont reconnu.

Une fois de plus, je fais appel à Mr Jean de La Fontaine et à ses fables dont l’une a pour titre « la grenouille et le bœuf ». Dans cette fable, la grenouille entreprend de devenir aussi grosse que le bœuf et à la fin l’inévitable se produit : elle éclate. Ce que nous vivons est aussi la fable « du corbeau et du renard ». En faisant l’éloge de la voix du corbeau, le renard finit par manger le fromage que le corbeau serrait dans son bec. Ces fables dénoncent les défauts de nos élites européennes marquées par l’ambition et l’orgueil. En cela, les régimes des démocraties reproduisent les défauts déjà trouvés dans les monarchies de l’ancien régime que Jean de La Fontaine ciblait à son époque. Son corbeau et sa grenouille étaient le roi Louis XIV et ses grands, ses courtisans.

L’histoire de la grenouille est aussi celle de l’Europe. Le regard porté sur une carte du monde révèle la taille réduite de cette Europe d’où sont sortis les conquérants des immenses terres américaines et Australiennes. Ces grands continents, maintenant bien peuplés, dépassent en richesse la terre européenne originelle et il ne reste aux Européens que l’héritage d’un passé puissant et glorieux. Mais, le prestige ne fait pas la force, et les dirigeants européens le découvrent aujourd’hui. Le piège divin a parfaitement fonctionné, comme « Israël » en son temps, l’homme du type européen est devenu « gras et replet », consumériste pendant 80 années de paix. Cette paix a été si longue que coupés de Dieu les penseurs des démocraties et des royaumes parlementaires ont été convaincus que tout risque de guerre en Europe était écarté. Mais déjà dès le 24 Février 2022, une première pensée européiste a été contredite par les faits. Pour les convaincre d’accepter de renoncer à leur complète indépendance nationale, les constructeurs de l’U.E. disaient aux populations qu’en faisant l’Europe on éliminait le risque de guerre interne. Or, la guerre déclenchée en Ukraine a été intensifié et a impliqué l’Europe et ses populations à cause de l’engagement de la présidence européenne des députés soit, Mr Charles Michel, et de la Commission soit, Mme Ursula Von der Layen. Après hésitations et double positionnement, après avoir été humilié par le mépris du président Poutine, le président français a fini par s’engager de plus en plus dans le combat mené par l’Ukraine revendicative nazie.

Dans sa grande et impressionnante sagesse, Dieu sait organiser en les suscitant des faits qui conduisent les hommes à changer leur comportement. Et par cette contrainte, à révéler leur vraie nature, leur vrai caractère. Le lion paraît paisible quand il est repu, mais quand la faim le tenaille, il devient impitoyable même pour ses lionceaux et ses lionnes. Nous avons passé 80 ans flottant dans une barque sur un lac apaisé et le temps change préparant une grande tempête meurtrière. Devant les faits, les gens ne réagissent pas tous de la même manière et aussi vite les uns que les autres. Certains semblent retenus par une force invisible qui leur fait refuser l’évidence du changement. Et ce principe concerne aujourd’hui l’U.E. composée de 27 nations aux expériences et caractères particuliers et différents. L’entente parfaite est donc exclue et chaque décision est âprement discutée pour être ou pas approuvée. Face au risque d’une attaque russe, il y a deux manières de réagir, la résistance armée si la force disponible le permet ou la capitulation si ce n’est pas le cas. Toute l’histoire est une continuité de conquêtes victorieuses et de défaites parfois cuisantes. Le grand temps de paix obtenu entre 1945 et 2025 a produit un effet durable sur les esprits humains libérés de la peur de la guerre, ce qui constitue une grande première dans toute l’histoire humaine, les guerres ayant de tout temps été redoutées et craintes par les humains. Mais sur la fin des 80 années, cet effet a été renforcé puissamment par la contrainte causée par le virus Covid-19 qui a conduit les Français en confinement pendant deux ans. Il faut relever la conséquence d’une privation de liberté d’aller et venir, réellement traumatisante pour l’esprit humain. Nos esprits on été marqué profondément et nous portons encore le traumatisme subi. Le mécanisme de la vie d’avant a été rompu et n’est pas revenu ; ceci, parce qu’à la place d’un regain d’activité, l’esprit humain subit constamment l’annonce de mauvaises nouvelles qui créent l’angoisse et favorisent la déprime généralisée.

En tant que serviteur de Dieu, nous échappons partiellement à ces effets, parce que nous savons par la prophétie biblique que nous allons vivre « un temps de détresse tel qu’il n’y en a jamais eu depuis que les nations existent, jusqu’à ce moment-là », selon Daniel 12:1. J’attends personnellement ces choses depuis l’année 1982 et les faits attendus ne produisent pas sur moi ce que produisent les faits non attendus qui surprennent des esprits humains non préparés. Aussi, avec l’aggravation de la situation, des gens paniqués vont préférer se donner la mort, eux-mêmes. On voit des gens agir ainsi pour des causes d’échecs professionnels, causes de faillites ou échecs sentimentaux. Les mêmes personnes ne supporteront pas de vivre dans l’angoisse d’être tuées.

Mais ce qui condamne toute chance d’éviter le pire c’est la ruine actuelle de la France endettée de 3300 Milliard d’Euros. Et de 80 années de paix passées à discuter de sujets secondaires et de lutte contre la dénonciation de l’immigration musulmane. Mais ce n’est pas seulement cette immigration musulmane qui a changé la nature de la France et lui a donné son visage actuel. L’immigration intra-européenne constante est grandement en cause. Et, ce n’est que dans un contexte de guerre que va apparaître la conséquence de ce brassage ethnique européen. Car la construction européenne a tué l’esprit nationaliste des nations membres en favorisant des mélanges ethnique sur l’ensemble de ses territoires. Mais logiquement, les pays les plus riches sont ceux qui ont été le plus convoités par les différentes immigrations, aussi, la France, l’Allemagne, et l’Angleterre longtemps restée dans l’Europe, ont été transformées ethniquement et présentent un aspect cosmopolite, cause de multiples problèmes relationnels. Et en situation de guerres ce mélange va s’avérer épouvantable, les positions et les engagements étant différents selon les ethnies concernées ; le plus redoutable étant la présence de groupes internes hostiles, agissant en type de « cinquième colonne ». L’ennemi de l’intérieur est plus efficace que l’ennemi externe, c’est aussi vrai en religion qu’en politique et activité guerrière. Cette pensée a été exprimée par celui qui a dit : « protéger-moi de mes amis, car mes ennemis ; je m’en charge ».

Ce que ne comprennent pas les êtres humains coupés de Dieu, c’est que les peuples de la terre vivent et accomplissent le rôle que Dieu a programmé pour eux. Or, dans toute son histoire, depuis la Révolution d’Octobre 1917, la Russie soviétique et démocratique a toujours utilisé sa richesse pour construire des armes, des bombes, des avions, des fusées, des missiles en vue d’une attaque venant de l’Amérique capitaliste. Pendant qu’en Occident, l’argent était utilisé pour acquérir des biens matériels de confort et de plaisir, en Russie, l’argent détenu par l’Etat était consacré à la production de tanks, de navires, de sous-marins Diésel puis nucléaire de plus en plus gros et performant.

Il est vrai que l’apparition des drones a permis à l’Ukraine de détruire de puissants navires russes, mais cette vulnérabilité de la flotte russe n’est pas exclusive, un résultat identique serait obtenu contre un navire américain, anglais ou français. Et la guerre qui vient confirmera bientôt mes propos.

La réunion des dirigeants « forts » européens à Paris ce 17 Février a été causée par l’avalanche de reproches présentés clairement par le vice-président des USA, J-D-Vance, aux dirigeants européens et ukrainiens réunis la veille à Munich. Ces chefs européens, droits dans leurs bottes, ne supportent pas facilement d’entendre des reproches qui les condamnent ; et qui cependant sont totalement justifiés, au point qu’il me semble entendre Dieu leur parler. Ce qui est pour lui une habitude car il ne frappe jamais ses ennemis sans leur faire savoir pourquoi il les frappe. Et les reproches adressés pour des causes profanes sont aussi rejetés et refusés que les reproches religieux venant de Dieu. Quand on est orgueilleux et rebelle, on reproduit l’action de l’ange lumière qui a fait de lui, le diable et Satan.

Examinons ces reproches faits par J-D-Vance. En Europe, la liberté recule. Les principes démocratiques sont violés, et il prend en exemple, la Roumanie, où l’élection du camp favorable à la Russie vient d’être annulée sous prétexte d’ingérence russe pendant la campagne électorale. Et ce reproche est justifié, car les électeurs sont responsables de leur choix étant placés devant des influences contraires venant de toutes sortes d’origines. En quoi, un électeur dit libre se voit-il interdit parce qu’il partage des idées soutenues à l’étranger ? Depuis 1945, ce principe règne et divise l’Occident capitaliste des pays de l’Est socialistes.

Le plus étonnant, c’est que le reproche de ce non respect démocratique européen vient d’un chef des USA capitalistes. Mais en regardant la situation historique, c’est simplement normal, parce que les USA ont inventé la démocratie libre, ce sont-eux qui sont à l’origine de cette prise de liberté que la statue porteuse de ce nom proclame dans la baie de New-York. Et la France qui l’a offerte aux Américains a donc bien reconnue par cette action leur paternité de la liberté. A son tour et après eux, la France républicaine s’est dotée de sa devise « liberté égalité fraternité », ajoutant ainsi, à la liberté américaine, ses choix sociaux humanistes de « l’égalité et la fraternité ». Hélas, pour ses peuples, l’Europe est devenu un monstre d’inégalité et de mélange ethnique cosmopolite hostile à la fraternité. Dans l’élection du FIS, le Front Islamique du Salut algérien, la France des « droits de l’homme et du citoyen » a fait pression sur le gouvernement algérien pour qu’il annule le vote du peuple algérien. Et voici, qu’en 2025, en Roumanie, l’Europe approuve encore une annulation illégitime, alors qui peut dire que les reproches formulés par D-J-Vance sont injustifiés ?

Acceptant de grandes inégalités sociales, les Américains restent les seuls défenseurs du principe absolu de la liberté. Et, l’homme honnête doit reconnaître que leur conception est conforme à celle que Dieu a voulu donner à la vie humaine. Le bon sens humain de gens sages ne dit-il pas « Qui sème le vent récolte la tempête » ? Qu’y a-t-il de mal dans le fait que l’homme subisse les conséquences de ses choix et de ses actions ? Dieu agit ainsi, selon Jérémie 17:10 : « Moi, YaHWéH, j'éprouve le cœur, je sonde les reins, pour rendre à chacun selon ses voies, selon le fruit de ses œuvres. ». En Europe, l’abus des mesures sociales enlève aux individus toute leur responsabilité, et la société entière en pâtit. Les dirigeants politiques achètent les âmes humaines par des protections sociales qui évitent les rébellions populaires. Ils peuvent ainsi prolonger et favoriser l’activité financière des grands groupes qui font, eux, beaucoup de profit, comme c’est le cas, aux USA. Ainsi, paradoxalement, composée de grands groupes industriels et financiers très riches, l’Europe est devenue réellement de plus en plus pauvre.

Le recul démocratique européen est une vivante réalité. Et la diabolisation des ennemis politiques y est devenue la norme. Il suffit, que le désir du respect de l’autorité nationale soit revendiqué et proposé pour que l’auteur de la proposition soit comparé à Adolf Hitler le fondateur du parti nazi allemand. Mais le plus risible dans l’affaire, c’est que ceux qui dénoncent constamment des « Nazis » soutiennent l’Ukraine dont la forme actuelle rebelle et nationaliste a été organisée par le groupe Azov publiquement et ouvertement revendiqué « Nazi » et héritier de son fondateur SS, nommé Bandera. On ne peut donc trouver meilleur exemple d’aveuglement des intelligences européennes. Et c’est encore là, une œuvre du Dieu créateur venu sauver ses élus sous le nom du Juif Jésus-Christ.

La confusion ne fait que croître, tant dans le domaine profane que celui de la religion. Sur toute la terre, la chaleur s’intensifie et paradoxalement, le monde est de plus en plus enténébré. Et ce paradoxe est divinement justifié. Les hommes sont victimes du culte qu’ils rendent inconsciemment au soleil, l’astre qui diffuse la lumière de leur vie ; et cette lumière artificielle les aveugle et les plonge dans de profondes ténèbres qui les conduisent à la mort. Longtemps recherché et apprécié sur les bords des plages, le soleil brûle à présent la chair et les récoltes, les terres et les forêts. Il fait évaporer les eaux des rivières et des lacs et installe la sécheresse parce que les cœurs humains sont devenus durs et secs.

Cette sécheresse du cœur devient la norme nouvelle parfaitement incarnée en Donald Trump, J-D-Vance, Xi-Jin-Ping le chef chinois, et tous les dirigeants européens, Vladimir Poutine et son allié de la Corée du Nord, Kim Yong Un. Ce sont tous des autocrates assoiffés de pouvoir et de puissance. Ils se lèvent et apparaissent sous cet aspect nouveau parce que l’heure vient pour Dieu de « délier les quatre anges retenus » depuis 1840 soit, la dernière confrontation guerrière des Occidentaux et des orientaux musulmans, à l’époque, les Turcs Ottomans. Leurs héritiers sont aujourd’hui, la Turquiyé du président Erdogan dont le nom signifie « guerrier farouche », qui est très hostile envers les Européens occidentaux tout en étant membre de l’OTAN.

Apocalypse 7:1 à 3 et 9:13 à 15 évoquent respectivement le temps où les vents des guerres religieuses ont été stoppés par Dieu et le moment où il les relâche : « Après cela, je vis quatre anges debout aux quatre coins de la terre ; ils retenaient les quatre vents de la terre, afin qu'il ne soufflât point de vent sur la terre, ni sur la mer, ni sur aucun arbre. Et je vis un autre ange, qui montait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant; il cria d'une voix forte aux quatre anges à qui il avait été donné de faire du mal à la terre et à la mer, et il dit: Ne faites point de mal à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu'à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. » …/ … « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. »

Tu peux ainsi le constater, ces deux thèmes du « scellage » et de la « sixième trompette » reprennent les mêmes sujets et celui de la « sixième trompette » referme le temps où la paix chrétienne religieuse universelle a officiellement commencé soit, 1840. Parce que dans cette guerre de 1840, l’Europe chrétienne a combattu l’islam ottoman lancé dans une conquête territoriale sur le sol européen.

Il est bon de relever la différence des mots soulignés de ces versets : l’arrêt des guerres religieuses est rattaché à « la terre » alors que la reprise de la guerre concerne le peuple européen symbolisé par « le fleuve Euphrate ». Cette différence me porte à interpréter ce mot « terre » comme symbole religieux du protestantisme américain qui fut en 1843 et 1844, « la terre » où Dieu a semé et fait germer le mouvement adventiste qu’il bénit en « adventisme du septième jour » universel, en 1873. Il y eut bien aux USA en 1865 la guerre interne dite « de Sécession », mais elle n’avait pas une cause religieuse officielle. Et cependant, Dieu punissait déjà, le mépris témoigné pour ses épreuves adventistes de 1843 et 1844.

Il est essentiel de comprendre qu’au fil du temps, la culpabilité humaine s’intensifie chaque fois que Dieu intervient pour offrir à ses élus une plus grande lumière éclairant son projet de salut et son programme d’actions.

Ainsi, l’Europe est, en premier, tombée par refus des restaurations des vérités protestantes présentées par Dieu depuis 1170 par Pierre « Valdo ». Puis à son tour, la religion protestante américaine calviniste, ou luthérienne est tombée en 1843 et 1844 pour son mépris, son indifférence coupable, témoigné pour des annonces prophétiques annonçant le retour glorieux de Jésus-Christ. Et en 1873, Dieu officialise sa reconnaissance de « l’Eglise Adventiste du Septième Jour » qui représente la dernière forme institutionnelle de son Elue. Toutes les autres religions chrétiennes sont officiellement rejetées par Dieu et livrées au diable et ses démons. Ensuite l’Adventisme du septième jour est répandu dans toutes les nations de la terre entière où la chose est possible. En tête, la Suisse est de ce nombre suivie par la France. Dans cette France, Dieu m’appelle en 1975 pour une mission prophétique que je découvre en 1980 après mon baptême par immersion totale et par choix adulte, réfléchi et assumé. Dans l’année précédente, en 1979, Israël a fait alliance avec l’Egypte, et dans cette nouvelle situation, le message prophétisé dans Daniel 11:40 à 45, devient logique et donc interprétable et compréhensible. En 1982, la Troisième Guerre Mondiale était annoncée pour 1983 par Jean de Fontbrune selon ses interprétations des prophéties de Michel Nostradamus. Et ma lecture de Daniel 11:40 à 45 semblait lui donner raison. J’ai donc adopté ce point de vue que j’ai justifié par mon décryptage de Daniel 11:40 à 45. Je conserve donc cette compréhension depuis 1982. Et le décryptage complet de la prophétie Apocalypse m’a fait découvrir la date 1994 obtenue comme terme des « cinq mois prophétiques cités dans Apocalypse 9: 5 et 10 dans le thème de la « cinquième trompette ». Convaincu par l’Esprit de Dieu comme William Miller en son temps, j’ai donné à cette date 1994, l’annonce du vrai retour de Jésus-Christ. En Novembre 1991, l’église m’a officiellement radié de ses membres parce que je refusais de remettre en cause ce qui me semblait être une évidence.

1994 est venu sans que Jésus ne revienne, mais je ne l’attendais plus pour cette date depuis une année, n’ayant pas vu non plus, en 1993, la Guerre mondiale qui doit précéder son retour. Ce n’est qu’ensuite en 1996, que l’Esprit a éclairé mon intelligence. Mes fausses annonces n’avaient pour but que de faire tomber le masque trompeur et hypocrite des dirigeants adventistes du septième jour. Soit, une reproduction de l’œuvre accomplie par William Miller qui a permis à Dieu de démasquer l’hypocrisie religieuse protestante de son époque.


Aujourd’hui dans le monde, d’autres masques trompeurs tombent, et particulièrement, ceux derrière lesquels se cachent les dictateurs en herbes des fausses démocraties occidentales.

Je le précise, ce terme « faux » que j’impute à mes annonces non accomplies ne me gêne pas, car la sainte Bible nomme sagesse, le principe de prêcher le faux pour obtenir le vrai, comme en a témoigné en son temps, le sage roi Salomon. Dieu nous a utilisés de la même manière, William Miller et moi, chacun en notre temps, pour faire tomber les masques de la fausse religion qui répand la confusion dans les esprits humains. Le « faux » est l’arme secrète du « Dieu de vérité » source de la vraie sagesse.

La confusion est la conséquence de l’esprit de Babel réveillé par les USA et après eux par la France dont le modèle a été donné aux peuples réunis dans l’U.E. actuelle. Il te faut comprendre que cette construction européenne est le fruit d’une malédiction collective de l’Europe entière ; l’Europe Occidentale des « dix cornes » de Daniel 7:7-24 et Apocalypse 13:1, 17:3, auxquels il faut ajouter, les nations entrées dans l’alliance des six pays du « marché commun » originel ; l’ensemble regroupe aujourd’hui 27 nations. Dieu a réuni dans cette alliance, toutes les cibles de sa principale colère ; les nations chrétiennes ou originellement chrétiennes, catholiques, orthodoxes, ou protestantes.

Sous le prétexte de protection de la paix, trahi par la présidente de la Commission européenne et le président des députés européens après le 24 Février 2022, les peuples signataires ont été victimes d’une gigantesque escroquerie. Et depuis le traité de Maastricht, les députés européens et nationaux ont regardé les prix des aliments et des produits divers monter, sans intervenir, comme les vaches qui regardent passer les trains ; elles lèvent la tête, puis se remettent à brouter l’herbe qui les rassasie. Et en plus, les commissaires européens se sont employés à ruiner les nations riches pour favoriser les investissements dans les pays pauvres entrants. La France est aujourd’hui ruinée, non par une guerre dévastatrice, mais par ses seuls choix politiques idéologiques.




M15- Un pays trop loin


Le titre de ce message reprend le titre d’un film traitant de la Seconde Guerre Mondiale soit, « Un pont trop loin ». Dans le scénario basé sur un fait réel, l’Angleterre lance une attaque contre l’armée allemande qui occupait encore la Belgique. Dans le projet, plusieurs ponts devaient être pris et franchis. Le dernier pont était celui d’Harleim. Et cette dernière bataille fut perdue à cause d’une résistance allemande efficace et les difficultés des Anglais à faire avancer les renforts nécessaires. Ce seul échec final rendit l’opération entière vaine.

Dans sa vie courante, il arrive souvent aux êtres humains de faire une fois de trop divers types d’actions. La vie céleste créée premièrement par Dieu est sujette au temps qui s’écoule comme nous. La différence entre les anges et nous est qu’ils ont reçu de Dieu un corps incorruptible qui peut donc vivre aussi longtemps que Dieu le permet. Ils ne sont donc pas pour autant immortel, car l’immortalité est strictement divine. Mais possédant cette immortalité, il peut offrir à ses créatures de vivre éternellement en sa compagnie. Et c’est la récompense que Dieu promet à ses élus rachetés par Jésus-Christ.

Pour toutes ses créatures, leur vie c’est du temps. Et ce temps offre à toutes, célestes et terrestres, le moyen de comprendre les valeurs divines, de les approuver ou de les rejeter. Au premier commencement de la vie céleste, l’ange de lumière, créé en premier, a été créé parfait. Dieu ne lui a pas donné une femme, un vis-à-vis féminin, mais des frères célestes, anges comme lui, en grands nombres. Reconnaissants envers Dieu, leur Créateur, tous le louaient et le servaient dans l’amour fraternel partagé, pur et sans ombre.

Parce que toute assemblée de créatures doit être organisée, comme il l’a ordonné plus tard pour Israël, Dieu a organisé dans la vie des anges, une autorité hiérarchique. Le premier ange créé dominait tous les anges, n’ayant au-dessus de lui que « Micaël » l’expression divine angélique. Tous servaient et glorifiaient l’Esprit du Père, incomparable et unique. Les chefs célestes ne reçoivent pas un salaire pour le service qu’ils font. Les anges vivent donc dans des conditions entièrement égalitaires et seule l’autorité des chefs marque une différence. Ces conditions auraient pu se prolonger éternellement.

Hélas, et Dieu le savait depuis le début, l’obéissance qu’il obtenait des anges subordonnés a fait mal réagir l’ange supérieur placé au-dessus de tous les autres. L’orgueil s’est formé dans son esprit, et progressivement, cet orgueil a suscité dans son esprit des pensées contestataires envers les valeurs divines. Ce qui est né dans cet ange créé parfait était l’embryon du péché.

Dieu n’a pas cherché à l’éviter, car pour l’éviter, il aurait été contraint de devoir se contenter de vis-à-vis programmés pour l’obéissance servile, sans liberté, ni l’intelligence libre qui peut l’apprécier. Il a créé des vis-à-vis pour recevoir leur amour ou leur haine, et entre ces deux extrêmes, la froide indifférence. Dans le temps de vie qui leur est donné par Dieu, ses créatures peuvent choisir la forme qu’elles vont donner à leur rapport avec Lui. Et la question qui se présente est alors celle-ci : jusqu’à quel niveau, Dieu peut-il supporter la contestation de ses valeurs ? Ces différents niveaux successifs sont à l’image des ponts du film anglais. Et Dieu seul décide de la limite de ce qu’il supporte. Le mal est apparu dans le premier ange créé et partageant ses idées avec d’autres anges, ce mal a été transmis à ces anges qui l’ont approuvé. Tant que le mal était uniquement dans un seul ange, l’offre de pardon de Dieu était possible ; à condition que le coupable reconnaisse sa faute, et se repente sincèrement, étant décidé à ne pas recommencer son erreur de jugement. Mais l’extension du mal rendait cette offre inefficace, parce que celui qui avait eu en premier connu le mal était encouragé par le soutien qu’il recevait des mauvais anges qui partageaient ses idées.

J’insiste encore sur ce sujet, parce qu’il est fondamental pour notre compréhension : c’est en parfaite connaissance des conséquences portées que Dieu a donné la liberté entière à ses vis-à-vis célestes puis terrestres. Les valeurs s’étendent dans les deux sens opposées, du bien ou du mal, et chaque chose, chaque principe, a son contraire absolu ; c’est inévitable quand ces valeurs sont soumises à l’entière liberté. Mais Dieu n’avait pas l’intention de vivre éternellement avec des créatures contestataires ; et son projet du salut prévoyait de les détruire et de les anéantir entièrement à la fin du temps des épreuves. L’amour de ses élus étant le but recherché par Dieu, il fallait organiser une démonstration divine de son amour pour ses créatures pour attirer vers lui celles qui sont dignes de son amour.

Les Chrétiens savent dire que « Dieu est amour » comme les Musulmans disent « Dieu est grand ». Et malgré ces belles paroles, les deux lui désobéissent, plus ou moins dans l’ignorance. Il faut vraiment qu’il soit « amour » pour supporter aussi longtemps des vies rebelles qui contestent son autorité exprimée dans ses lois, ses valeurs, ses principes, ses commandements. La première des choses que nous devons reconnaître, c’est sa divine patience, qui n’est pas à notre échelle humaine, mais à son échelle divine immortelle et éternelle. Mais sa patience n’est pas éternelle et ne peut qu’avoir une limite que le temps éternel ne permet pas de chiffrer, de mesurer. Dieu avait besoin d’un instrument de mesure pour fixer la limite de sa patience et c’est là, une raison de sa création terrestre.

En effet, dans la vie céleste, la vie est une longue continuité sans coupure, se prolongeant constamment. Dieu crée donc la dimension terrestre prophétisant sa durée pour 7000 ans par les sept jours de la semaine de la création. Ce fut une mauvaise nouvelle pour les mauvais anges, car Dieu a ainsi mis en marche une horloge du temps universel multidimensionnel. Imagine l’effet produit dans leurs esprits ; les rotations de la terre sur son axe et autour du soleil prennent l’aspect du tic-tac de l’horloge qui compte le temps qui leur reste à vivre avant d’être anéantis par Dieu, comme le condamné à mort attend l’heure de son exécution dans sa prison. En créant la dimension terrestre, Dieu a lancé un défi à Satan et ses anges rebelles. Puisqu’il conteste sa façon de gouverner, Dieu lui offre un terrain neutre pour donner forme à ses idées. Dieu ne prend pas de risque parce qu’il sait d’avance ce que va produire leur méchanceté. Et il a dans son projet de salut une arme secrète, un joker qui lui permettra d’obtenir les élus désirés. Le combat qui s’engage entre Dieu et le camp démoniaque n’a pas le même but dans les deux camps. Dans le camp du diable, pour être vainqueur il faut remporter une victoire totale et infliger à l’adversaire un échec complet. A l’opposé, Dieu ne combat que pour obtenir l’amour de son petit troupeau d’élus rachetés par le sang versé par Jésus-Christ. Et il sera pleinement satisfait de ce résultat ; et ayant atteint son but, il pourra alors user de sa puissance divine pour anéantir tous les rebelles ; anges et humains.

Satan et tous les démons ont un jour, dans le temps éternel, franchi la limite supportée par Dieu et après eux, des milliards de créatures humaines ont fait et font encore de même. Les anges avaient sur les humains un gros avantage : ils savaient que Dieu existe et que sa puissance est redoutable. Car aujourd’hui, l’horloge du temps qui marque celui qu’il leur reste à vivre ne sert aux êtres humains qu’à mesurer un temps qu’ils croient éternel. Ils ont refusé de croire aux 6000 ans programmé par la sainte Bible pour conduire au retour du Christ et aux « mille ans » du septième millénaire que seul et isolé, Satan vivra sur la terre désolée, parce que ses habitants humains rebelles auront été tous détruits jusqu’au dernier, quand le Christ divin reviendra soit, au printemps 2030.

Je passe maintenant du « pas trop loin » au « pays trop loin ». Et depuis le partage de Yalta, en 1945, il existe de multiples exemples. Le régime de Mac Arthur des USA a lancé une chasse meurtrière contre les communistes américains, leur vouant une très forte haine. Devant cette agressivité, la Russie soviétique a dressé un « rideau de fer » virtuel et réel prenant la forme du mur de Berlin. A Yalta, la Russie a reçu en dédommagement de guerre, la Pologne et les pays Baltes frontaliers de l’Europe occidentale capitaliste. La domination russe s’est prolongée jusqu’en 1990 où une crise économique et politique a fait cesser la domination soviétique. Profitant de la situation, les pays conquis à Yalta se sont libérés et ont repris leur indépendance, sans que la Russie soit en capacité de les empêcher de le faire. Et dans ce contexte, les pays Baltes, la Pologne, et la Roumanie, ont rejoint l’alliance européenne de l’U.E. Au fil du temps, la Russie s’est relevée économiquement et politiquement et a accepté de perdre les pays obtenus à Yalta. Et c’est là que je relève l’avant dernier pas franchi par le camp européen et américain, quand ils ont combattu la Serbie dans la guerre des Balkans. Là, ils ont déjà profité de l’affaiblissement momentané de la Russie soviétique, pour intervenir sur des territoires de l’ancienne Yougoslavie communiste où les ethnies, Serbe orthodoxe, Croate catholique, et Bosnie Herzégovine, musulmane, se combattaient après la mort du dictateur Tito. Le camp occidental interventionniste a alors choisi d’écraser les Serbes et de protéger la Bosnie et les Croates soit, d’écraser des alliés de la Russie et de protéger des Musulmans, et des Catholiques adorateurs et serviteurs zélés du Pape romain. Pour mieux humilier la Serbie, son territoire natal du Kosovo lui a été enlevé et donné aux immigrés albanais qui étaient à l’origine de brutalités commises envers des Serbes. Arrêté et jugé par le tribunal de la Haye, le chef Serbe Slobodan Milosevic est mort en prison. Ces injustices occidentales ont gravé dans les esprits des Serbes une rancœur que le temps n’efface pas et qui se réveillera à l’heure du grand affrontement de la « sixième trompette ». Ce pas là était déjà de trop, mais la Russie n’a pas cherché à venger la Serbie son alliée de toujours. La paix et les échanges commerciaux ont prévalu et la Russie est devenue le pays fournisseur de gaz à l’Europe et principalement, à l’Allemagne alimentée directement par le gazoduc Gazprom 1 détruit ensuite par des saboteurs ukrainiens.

Le « pas de trop » ou « pays de trop » a été accompli quand l’Ukraine s’est mis dans la tête le projet de rejoindre le camp européen, libre, riche et prospère. Dieu seul sait quelles ont été les causes et les responsables de ce choix, mais une chose est sûre : l’Ukraine n’était pas une conquête de Yalta ; elle était Russe et elle était devenue une république indépendante des pays de l’Est qui vivait en bonne relation avec la Russie mère et les autres républiques de l’Est.

Le vrai « pas de trop » a été la demande de l’Ukraine à entrer dans le camp de l’OTAN, mais la superficialité des européens qui diabolise le nationalisme ne leur permet pas de comprendre ce qu’on ressenti les gens de la Russie, peuple et dirigeants restés, eux, très conservateurs et ayant en mémoire le mal que le capitalisme des USA et des Européens leur a fait, en profitant de leur faiblesse passagère pour étendre leurs influence vers l’Est. Dans cette pensée, on peut mieux comprendre l’effet de la présence de chars allemands, et américains, sur le champ de bataille de l’Ukraine. Pour l’homme russe, l’Otan attaque la Russie qui est donc mise en danger.

Dans l’actualité, j’entends Donald Trump interpréter la guerre de l’Ukraine comme je le fais moi-même. Car la Bible elle-même invite l’homme à vérifier sa capacité de répondre au besoin rendu nécessaire pour faire la guerre à son ennemi. Et je ne peux qu’approuver ce conseil divin de pure sagesse. Jésus dit dans Luc 14 :31-32 : « Ou quel roi, s'il va faire la guerre à un autre roi, ne s'assied d'abord pour examiner s'il peut, avec dix mille hommes, marcher à la rencontre de celui qui vient l'attaquer avec vingt mille ? S'il ne le peut, tandis que cet autre roi est encore loin, il lui envoie une ambassade pour demander la paix. » Quelle différence, pouvons-nous relever entre cette conduite sage divine et la réaction agressive du jeune dirigeant de l’Ukraine et du groupe Azov nazi qui l’a porté au pouvoir ! Aussi, ne faut-il pas s’étonner de ce que les rebelles occidentaux le soutiennent et lui rendent gloire.

Les détails du début sont ignorés injustement par les analystes des faits. Car la guerre en Ukraine n’a pas commencé le 24 Février 2022, mais beaucoup plus tôt, en 2013, à cause d’un putsch populaire entraîné par le groupe nazi Azov qui voulait enlever à la Russie son influence majoritaire russophone et russophile en renversant, par la violence, le président légalement élu de l’Ukraine. Ce pays était corrompu à l’extrême et le soutien venu des Occidentaux est si paradoxal, pour ces chasseurs de nazis, que leur manipulation par Dieu devient évidente.

Le comportement actuel des dirigeants politiques au sujet des groupes nazis est très paradoxal. Les Occidentaux nazifient le président Poutine leur nouvel Hitler mais soutiennent l’Ukraine actuelle soulevée contre la Russie et sa culture, par les vrais nazis revendiqués du groupe Azov fondé comme je l’ai plusieurs fois rappelé par le nazi SS ukrainien nommé Bandera qu’ils tiennent pour leur héros national. De son côté, l’Amérique de Joe Biden, l’ancienne Amérique, n’est pas préoccupée par le problème nazi. Ceci, pour la simple raison qu’en 1945, le pays en a accueilli certains qui, étant scientifiques, ont été honorés et appréciés par la nation et ses dirigeants. Et depuis 1945, 80 ans se sont écoulés, le temps d’une génération né à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. En conséquence les générations actuellement au pouvoir ne donnent pas au nazisme sa nature terrible originelle imposée par le socialiste allemand Adolf Hitler porté légalement au pouvoir par son peuple.

L’appréciation du nazisme est très particulière. Car, pour beaucoup de gens de tous âges, le nazisme ne peut qu’être allemand. C’est une terrible erreur qui empêche de voir la situation réelle qui se présente au fil du temps. Et on stigmatise encore aujourd’hui les néo-nazis allemands mais on ne le fait pas quand ceux qui portent l’uniforme des Waffen-SS et la croix gammée sont ukrainiens.

Une profonde fracture vient de séparer le camp occidental en deux camps : celui des USA qui imposent leur position et celui des Européens qui se sont toujours senti forts en se croyant couverts par le bouclier nucléaire américain. C’est pourquoi, il est intéressant de relever ce détail subtil : Donald Trump est aussi celui qui « trompe » ; je précise que cette idée n’est décelable qu’en langue française. Car, le renversement de politique qu’il impose « trompe » toutes les espérances des alliés des USA. Etant l’instrument principal de la « sixième trompette » d’Apocalypse 9:13, par son retrait de protection, il livre l’Europe occidentale à la vengeance russe.

Le « pas de trop » n’est franchi que par les êtres maudits par Dieu. Ceux qu’il a prédestinés pour être des vases conçus pour la perdition. J’utilise ici ce verbe « prédestiner » qui définit une anticipation du destin. Ce verbe a besoin d’être bien compris car il est communément mal interprété par les multitudes chrétiennes. Cette prédestination est imputé à Dieu et à lui seul. Car ayant mis en route une reproduction mécanique qui donne à chaque individu un génome unique obtenu par des associations de certains gènes paternels et d’autres gènes maternels, toutes les créatures humaines sont génétiquement uniques. La « prédestination » doit son nom au fait qu’avant de créer ses créatures entièrement libres et indépendantes intellectuellement, Dieu a formé un plan de salut et un projet qu’il a programmé d’avance. Dans ce projet, il y aura les élus et les perdus, mais Dieu n’impose à aucun d’eux d’être l’élu ou le perdu. Le résultat dépendra entièrement de leur libre choix individuel. Cependant, n’étant pas limité comme ses créatures angéliques et humaines, Dieu voit le futur tel qu’il va s’accomplir, et il connaît donc avant qu’elles soient nées, les choix que toutes ses créatures vont faire après leur naissance soit, leur entrée dans la vie.

Ce sujet est très important, parce que le diable inspire aux créatures les plus faibles des idées défaitistes par lesquelles il tente de les convaincre que lutter est inutile parce que son combat est perdu d’avance. Se sentant minable et convaincue de n’y rien pouvoir changer, l’âme faible abandonne le combat et se résigne à se considérée comme ayant été prédestinée à être perdue. Souvent dans ce cas, j’ai entendu dire : « Tu as de la chance, tu as la foi, moi j’ai bien essayé, mais je n’y arrive pas ». Que manquait-il à ces personnes, la foi ? Non pas, mais la vraie connaissance de la vie humaine, son fonctionnement sous le regard et le contrôle du Dieu créateur Tout-Puissant.

Il est aussi très important de savoir qu’aucun être méchant de nature peut se convertir et devenir bon. C’est impossible et le salut est réservé qu’aux créatures naturellement bonnes et remplies d’amour de la vérité.

Pour démontrer cette affirmation je vais prendre pour exemple, deux hommes hors du commun cités dans la sainte Bible : le roi chaldéen Nébucadnetsar et l’apôtre Paul, né Saul de Tarse.

Nébucadnetsar avait une nature que Dieu pouvait convertir. Son règne puissant et élevé, a favorisé un comportement de fierté orgueilleuse. Mais relève-le avec moi, il avait en lui un grand amour pour la vérité, et il en donne la preuve en condamnant à mort ses sages, ses devins, ses scientifiques, qui se montrent tous, incapables de dire au roi le scénario de sa vision nocturne. Ces gens se targuent et se vantent d’être en contact avec les divinités, si c’est vrai, rien ne leur est impossible. Dans ce raisonnement, Nébucadnetsar se rapproche du vrai Dieu pour lequel son raisonnement est juste, logique, et conforme au vrai pouvoir divin. Il n’avait donc qu’à être délivré de son orgueil, pour devenir un élu glorifiant le seul vrai Dieu, ayant été prédestiné à le devenir.

Le cas de Saul de Tarse est différent, parce que c’est son zèle pour Dieu qui le conduit, aveuglément, à persécuter la religion chrétienne qui va, selon lui, mettre en danger l’héritage religieux séculaire juif. Comme il en témoigne plus tard, Paul a été instruit par le sage Gamaliel et il se montre respectueux envers ce qu’il tient pour être la vérité divine. Paul n’est ni rebelle, ni désobéissant, il est même l’extrême opposé de ces choses. Son attachement et son souci de ne pas déplaire à Dieu est tel, qu’il faut un miracle divin pour l’arracher à sa fidélité. Notre situation mondiale actuelle témoigne en faveur de Paul qui redoutait les conséquences du changement. C’est en sachant tout cela que Jésus est intervenu sur le chemin de Damas pour l’arracher à son aveuglement spirituel. Et en le rendant réellement aveugle, il lui signale la nature de son erreur de jugement. Le « trop » est comme le « pas assez » ; on a coutume de dire que les extrêmes se rejoignent. Quand se présente à nous quelque chose de nouveau, la méfiance est légitime, et seule l’analyse approfondie des choses nouvelles annoncées peut légitimement conduire au rejet ou à l’acceptation. Il est stupide de rejeter systématiquement une nouveauté, mais il est tout autant stupide de l’accepter sans l’examiner attentivement. L’aveuglement spirituel de Paul est de ce premier type. Mais, personne avant Jésus n’avait remis en cause la norme religieuse pratiquée par l’Israël des Hébreux et des Juifs. La loi de Moïse et les révélations des prophètes étaient devenues un totem religieux supérieur à tout et devant lequel tout devait plier et s’incliner. Le problème était l’incompréhension de ces textes auxquels Dieu donnait des sens prophétiques et symboliques en plus du sens littéral discernable par tous leurs lecteurs.

Si Jésus n’était pas venu pour expliquer, lui-même, le message spirituel prophétique des rites et des textes de la sainte Bible, personne n’aurait pu comprendre pourquoi il est mort crucifié, en apparence, injustement, et le plus étonnant, volontairement, en offrant sa vie au martyre.

J’ajoute ce troisième exemple qui est l’opposé des cas précédents en évoquant Judas Iscariot le traitre choisi par Jésus pour être l’un de ses douze apôtres. C’est encore en pleine connaissance de sa méchante nature que Jésus l’a choisi, non pour le servir, mais pour le trahir. Un tel homme ne peut pas se convertir, car il est comme une terre pierreuse sur laquelle rien ne peut ni germer ni pousser. Jésus le sait voleur et cependant lui confie la trésorerie de son groupe qui le suit. Judas assiste à ses miracles et au lieu de se réjouir d’être privilégié par Dieu, il forme des projets de gloire terrestre, se voyant déjà ministre du grand roi Jésus 1er. Il ne pouvait pas changer sa nature et ne l’a pas changé. Au soir de l’arrestation de Jésus, il a franchi le « pas de trop », en venant lui offrir un baiser, pour le désigner, selon le moyen décidé avec le chef des gardes Juifs. Ensuite, pour ne pas lui donner le temps ou l’occasion de se repentir, le diable lui a inspiré le désir de se pendre pour mourir. Mais pourquoi s’est-il réellement pendu ? Est-ce par honte et repentance ? Mais non, cet homme froid, menteur, voleur, ne pouvait pas se repentir. La cause de sa mort fut la déception de voir ses projets de grandeur s’écrouler sous ses yeux. Car au lieu de s’emparer du pouvoir du pays entier, comme il l’avait espéré, Judas a vu Jésus, rester muet et docile comme un agneau qui se laisse tondre ou égorger ; sans se plaindre ou protester, Jésus a subi la flagellation romaine, sa chair étant déchirée par les embouts métalliques attachées au bout des longues lanières de cuir ; puis portant sur son épaule le lourd « patibulum », il s’est laissé crucifier au pied du Mont Golgotha. Judas a fait ce jour-là, ce que beaucoup d’hommes font après une faillite professionnelle ou un échec familial dans lequel le rejet est insupporté, ou encore, paradoxalement, par peur de la mort : il s’est suicidé ne supportant plus de vivre.

La vie est en même temps la meilleure et la pire des choses. Quand elle est remplie d’espérance placée dans le bonheur à venir, elle est la meilleure des choses. Mais quand l’âme humaine est assaillie par des contrariétés qui la rendent ténébreuse, la vie devient la pire des choses et beaucoup, dans ce cas, ne la supportent plus.

Pendant les trois ans et six mois de son ministère terrestre, Jésus a traité Judas comme ses onze autres disciples, sachant qu’il était un agent du diable infiltré dans son groupe apostolique, mais aussi sachant pourquoi sa présence était nécessaire. Judas était un représentant de cette nation juive hostile envers son « messie ». Il était aussi, le médium à travers lequel, Satan, « l’arbre de la connaissance du bien et du mal » faisait mourir son ennemi, Jésus, « l’arbre de la vie ». C’est à cette occasion que « le serpent blessa le talon » de l’homme, lequel ressuscité « lui écrasera la tête » selon Genèse 3:15 : « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. » De même, l’annonce de Genèse 3:14 prophétise le confinement terrestre du diable sur la terre après la victoire de Jésus : « YaHWéH Dieu dit au serpent : Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. » Satan vivra seul sur la terre désolée pendant « mille ans » et au jugement dernier, la terre sera son tombeau.




M16- Le mirage de la paix


Il en est de la paix comme d’un mirage ; plus on s’avance dans sa direction, plus elle s’éloigne de nous.

Aujourd’hui, c’était le Lundi 24 Février 2025. Chacun à sa façon a voulu marquer ce troisième anniversaire de l’invasion russe sur le territoire de l’Ukraine. Les principaux dirigeants européens se sont rendus à Kiev rejoignant le dirigeant ukrainien, mais pour sa part, le président de la France, Emmanuel Macron, a préféré se rendre aux USA, pour rencontrer le président Trump. Les deux chefs d’Etat se sont donc rencontré et ont échangé leur position et leur avis. Sans surprise, chacun d’eux est resté sur ses positions, maintenant bien connues après de multiples déclarations publiques faites par chacun d’eux. Si bien que la première idée qui m’est venue à l’esprit a été : tout ça pour ça ! Un échange téléphonique aurait pu remplacer ce coûteux déplacement apparemment inutile. Puis une seconde idée m’est venue ; à la différence du téléphone, cette rencontre a permis au président Macron de présenter au peuple américain, ce que pensent les Européens au sujet de l’Ukraine et de la Russie. Il a ainsi utilisé, une tribune offerte par son ami adversaire, le président Trump, et il en a profiter pour rencontrer le Sénat américain, semant ainsi le positionnement européen dans les instances dirigeantes de la nation. A la Maison Blanche, devant les journalistes et le président Trump, Macron s’est exprimé dans un long discours en Français que le président ne comprend pas. Le peuple américain aura donc entendu ses propos traduits pour l’information sans que le président Trump puisse le contredire. Sur le plan tactique, le jeune président s’est montré plus malin que le vieux Trump, qui pour autant n’a pas été dupe, puisqu’il a lui-même fait l’éloge de sa malignité. Il a dit qu’après avoir revu la traduction de l’un de ses discours fait en Français, il n’avait pas reconnu les propos qu’il lui avait tenus. Donc, la rencontre s’est effectuée en apparence de manière chaleureuse et amicale. Mais les deux hommes sont restés sur leur propre position initiale. Et quelles que soient leurs déclarations, les deux présidents agiront selon leur propre point de vue.

En conséquence, la situation n’a pas avancé d’un seul pouce. Et cette rencontre n’aura encore été qu’une gesticulation de plus, de la part de gens pris dans un piège et qui cherchent désespérément un moyen d’en sortir.

Pour obtenir une paix favorable à des échanges commerciaux réciproques avec la Russie, le président Trump est prêt à tout sacrifier : l’Ukraine et l’Europe. Mais cette affaire se présente comme la peau de l’ours qui ne peut être vendue que quand l’ours est tué. Et dans ce rôle de l’ours se trouve la Russie qui est prête, pour sa part, à vendre sa peau très chèrement. Et ce prix sera payé en Troisième Guerre Mondiale que Donald Trump déclare ne vouloir à aucun prix.

Ce que je constate, c’est que ce qui s’est engagé est un dialogue de sourds. En Europe et aux USA, on n’entend que ce qu’on veut bien entendre. Et le piège n’est pas pour les USA, car le président Trump ne se laissera jamais contraindre à faire ce qu’il ne veut pas faire. Par contre, côté européen, prendre ses désirs pour des réalités porte les plus terribles conséquences. Le dilemme est le suivant : Trump veut laisser derrière lui l’image de l’homme qui a réussi à imposer la paix sur toute la terre. Il n’est en rien un homme de guerre car il déteste la guerre qui ruine et qui tue des vies humaines. Et à ce titre, il ne se laissera jamais entraîner dans un affrontement guerrier ni pour l’Ukraine, ni pour l’Europe, ni pour Gaza.

De leur côté, les Européens considèrent l’Ukraine comme un pays européen qu’il n’est cependant pas. Car candidat à entrer dans l’U.E., ce pays est un pays de l’Est, devenu fraichement indépendant et longtemps considéré comme une province de la Russie soviétique. Pour leur malheur, les Européens occidentaux ont encouragé sa trahison envers ses nations sœurs de l’Est. Et ils l’ont aidé, en se ruinant pour la soutenir dans sa guerre contre la Russie. Je rappelle donc une nouvelle fois les fautes commises par les nations occidentales :

  1. Soutien donné au renversement du président russe légitimement élu.

  2. Soutien donné à un putsch populaire soulevé par les nazis d’Azov.

  3. Soutien donné à une purification ethnique dirigée contre la Russie.

  4. Soutien donné à l’un des camps d’une guerre civile ukrainienne.

C’est pour ces quatre raisons que la Russie est entrée en action pour aider la minorité russe attaquée et regroupée dans le Donbass à l’extrême Est du pays. Contrairement aux Occidentaux, la Russie avait, elle, une juste raison d’aider des russophones et russophiles ukrainiens à résister aux attaques meurtrières lancées par les troupes recrutées par Kiev. C’est ainsi qu’en 2014, les armées russes se sont emparées de la Crimée avec le soutien de ses habitants ; soit, selon le principe de l’autodétermination soutenu par la France.

Le commerce avait réussi à faire accepter, par la grande Russie, l’indépendance des pays Baltes, de la Pologne, la Roumanie, qui depuis le partage de Yalta en 1945, se tenaient entre l’Europe et elle. Tous ces pays ont profité de la chute de l’URSS pour rejoindre le camp occidental de l’U.E. et de l’OTAN. La Russie restait séparée de l’U.E., par la Biélorussie et l’Ukraine. Et la Russie acceptait cette situation. Mais lorsqu’en 2022, le chef de l’Ukraine a demandé de faire entrer son pays dans l’OTAN, alliance militaire occidentale, un pas de trop a été franchi. La Russie est entrée en Ukraine espérant que ses colonnes de chars suffiraient pour ramener la présidence ukrainienne à la raison. Cependant, soutenu par le président américain Joe Biden, l’Ukraine a réagi avec violence détruisant rapidement les colonnes de chars russes grâce à ses drones tueurs extrêmement efficaces. La Finlande et la Suède ont à leur tour rejoint l’OTAN ; ce qui rend la guerre russe encore plus nécessaire. La Finlande était aussi une séparation indépendante placée entre la Russie et l’Europe.

Chaque Bombe, chaque drone, chaque missile, tiré par le camp ukrainien contre la Russie, oblige celle-ci à se montrer, plus forte et déterminée. Le camp occidental est convaincu, à tort, que ses bombes peuvent donner la victoire à la Russie, alors que dans l’histoire passée, les témoignages de son invincibilité sont nombreux. Pour la détruire, il faudra utiliser des bombes atomiques, mais le conflit n’est encore que de forme conventionnelle et dans ce style de guerre, les pays de l’Est et la Russie représentent une écrasante force. Cette force russe n’est pas dans le nombre de sa population estimée à environ 144 millions d’habitants. Sa force réside dans le dictat de sa présidence qui peut agir ou réagir immédiatement en face de tout nouveau problème. De plus, depuis 1917, la Russie a collectivement travaillé presqu’uniquement pour construire son équipement militaire très coûteux : en chars d’assauts, avions, navires, bombes et missiles nucléaires et conventionnels. Ce peuple a constitué un énorme stock de bombes selon le rôle que Dieu devait lui donner dans son projet programmé et prophétisé dans Daniel 11:40 à 45, Ezéchiel 38 et 39 et Apocalypse 9:13 à 21.

Les Occidentaux se sont longtemps appuyés sur la protection nucléaire américaine qui leur donnait la possibilité de se montrer arrogants et dominateurs. Ils se sont comportés comme ce gamin chétif qui cherche querelle à plus fort que lui en comptant sur son grand frère pour le défendre et le protéger des coups que son arrogance mérite. Imagine que le grand frère refuse alors de le protéger ; qu’arrive-t-il au gamin arrogant ? Il se fait massacrer. C’est là, précisément, le projet que le grand Dieu créateur a conçu pour punir les habitants de l’Europe Occidentale infidèlement chrétienne.

Après trois ans pendant lesquels ils ont armé l’Ukraine et causé la mort de 500 000 russes, il est trop tard, pour revenir en arrière et réparer les torts faits à la Russie. Ils n’ont donc pas d’autre choix, que celui de prolonger le combat contre elle, en espérant, la vaincre, avec le soutien des USA. Or, depuis 2024, le président Trump encore non réélu leur a fait savoir qu’il ne les défendrait pas. Au pire pour eux, il avait dit qu’il les livrerait aux armées russes. Depuis son élection en 2025, il ne dit plus cela, mais n’annonce pas son intention de les aider autrement qu’en recherchant la paix avec Poutine.

Certains pays européens comprennent le changement de situation et refusent de s’engager davantage dans cette guerre menée contre la Russie : la Pologne, la Hongrie, l’Espagne, l’Italie. Mais d’autres sont d’avis de combattre plus directement l’armée russe en se mettant aux côtés des Ukrainiens : l’Angleterre et la France, deux pays nucléaires, et les pays Baltes, la Finlande, etc.

L’Europe occidentale est de ce fait, divisée et donc, affaiblie.

La guerre menée en Ukraine n’est rien d’autre qu’une guerre civile où s’opposent deux conceptions de sociétés différentes : l’une veut échapper au dictat de la domination russe, l’autre veut rester sous cette domination de la grande Russie. A la faveur des circonstances, les demandeurs de liberté et d’indépendance ont approuvé la nationalisation de l’Ukraine dont Kiev, la capitale est aussi le berceau de la nation russe. Le chaos politique qui caractérisait la Russie au moment de sa chute a favorisé l’enrichissement des oligarques russes qui se sont emparés des richesses de la nation et sont à l’origine de la formation de nombreuses républiques indépendantes restées liées à la grande Russie. Et l’Ukraine était l’une d’elle. Sa gouvernance est restée dans la norme anarchique sous laquelle elle s’est séparée de la Russie que l’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine a redressée par la mise au pas de tous les oligarques russes du pays. L’anarchie et la corruption caractérisaient cette Ukraine indépendante dans laquelle des voix s’élevaient, demandant à rejoindre l’alliance européenne. Les pays Baltes et la Pologne ont réintégré l’U.E. retrouvant ainsi leur indépendance perdue depuis 1945 au partage de Yalta. La Pologne était catholique et libérée du joug soviétique, elle a retrouvé son engagement catholique, ayant donné au catholicisme romain, son pape, Jean Paul II, né Karol Vojtila.

L’Ukraine a aussi fait sa demande pour entrer dans l’U.E. mais la chancelière allemande Angela Merkel a refusé son entrée à cause de son énorme corruption interne en 1990-1991. Dans les années qui ont suivi, après le renversement du président russe en 2013, cette corruption phénoménale a été confirmée par les exactions commises par ses présidents et présidentes successifs qui ont été établis. Et en 2019, le jeune acteur comédien nommé Volodymyr Zelensky a été élu, soutenu par le groupe Azov nazi et son riche oligarque qui les finance. Exploiter, le caractère populaire d’un artiste était un bon moyen pour rassembler les suffrages populaires. Et je rappelle qu’en France, le comédien nommé Coluche, lui-aussi, en grand succès populaire, était poussé à se présenter comme candidat pour la présidence de la France ; ce qui crée un lien avec l’expérience de l’Ukraine. Il représentait un risque réel pour ses concurrents politiques et eut la bonne et heureuse idée de mourir, tué dans un accident de la route, en moto. Le président ukrainien avait, lui, une tache à remplir : séduire les dirigeants de l’U.E. et les impliquer dans sa guerre menée contre la Russie.

L’arrivée du président Trump, de retour au pouvoir des USA, renverse la situation qui prévalait jusque-là. Mais avant lui déjà en 2017, l’élection du jeune président Macron a apporté un changement considérable à la gouvernance française et européenne. L’importance qu’il donne aux textes de loi est nouvelle et change réellement la France qui n’a longtemps regardé que ses intérêts personnels. Avant lui, la France a lutté contre l’Algérie qui elle-aussi ne demandait qu’à retrouver sa liberté et son indépendance. Et quand la Corse demande elle-aussi son indépendance, comment se comporte la France qui aujourd’hui soutient l’Ukraine ? Elle réprime et étouffe les révoltes. La question se pose alors : Quand et sous quelle condition une nation peut voir son indépendance reconnue ? Depuis Macron, la situation mondiale doit être figée, pour demeurer inchangée pour l’éternité. Ainsi, seules les frontières établies et reconnues depuis 2017 sont pour lui légitimes. Pourquoi, parce que selon lui, la territorialité des nations est inviolable et le droit national, souverain. C’est là, la dernière conséquence de ce long temps de paix que Dieu a donné aux habitants de l’Europe occidentale. Né dans ce contexte de paix, ce jeune homme pense que cette paix est obtenue par le respect des règles européennes établies. Il ignore qu’elle n’est qu’un temps conforme à une stratégie divine par laquelle il favorise la démonstration des extrêmes excès des populations européennes qu’il condamne et veut détruire. Et ce temps de destruction se présente parce que nous approchons du jour de la fin du monde en lequel Jésus-Christ va revenir dans sa gloire céleste, pour anéantir jusqu’au jugement dernier, toute vie humaine et animale sur la terre. Et le retour de Jésus-Christ est programmé pour le printemps 2030 et ceci sans changement possible, car la date de son retour se présente 2000 ans après l’année de sa mort, datée au mercredi 3 Avril 30. Mais le temps divin ne se compte pas de Pâque en Pâque mais de printemps à printemps. Jésus se présentera donc au printemps de l’an 2030.

En 313, après 10 ans de terribles persécutions romaines, l’empereur Constantin 1er a fait cesser l’opposition contre la religion chrétienne. Cette première paix historique a été la cause de la transformation perverse de la religion chrétienne apostolique. C’est pourquoi, il est bon de mettre en comparaison cette première paix et la dernière que nous vivons depuis 1945. Nous pouvons le faire car elles ont pour Dieu, le même but : conduire l’humanité dans ses excès. Dans toute son histoire, jamais la religion chrétienne n’a atteint le sommet d’abomination qu’elle commet aujourd’hui en acceptant de reconnaître la légalité des lois civiles laïques qui justifient la vie homosexuelle et ses perverses versions. Individuellement, nous ne pouvons pas empêcher ce genre de chose, mais Dieu condamne ceux qui les approuvent et bénit ceux qui les condamnent, comme il les condamne.

Aujourd’hui, la démonstration voulue par Dieu a été faite et au 8 Mai 2025, les dernières 80 années de paix vont prendre fin. La paix tant désirée par les humains, dont le président Trump, va s’évanouir comme cesse un mirage dans le désert du Sahara ou autres. A sa place, la méchanceté humaine va dominer partout sur la terre. Une grande partie de l’humanité ne connaîtra jamais plus la paix, car elle sera détruite par « l’épée, le feu, la famine, la mortalité » épidémique, et comme des « bêtes sauvages », les empires de la terre vont s’affronter et faire mourir beaucoup de gens de tous âges et des deux sexes. Et un temps de courte fausse paix attend les survivants rebelles dans un contexte de dernier gouvernement universel. Ce point est intéressant à relever : l’humanité occidentale est déjà mentalement prête pour accepter un gouvernement universel car ses peuples ont partiellement renoncé à leurs droits nationaux en se soumettant aux directives de la gouvernance européenne ou celle des USA.

Ce qui attend le président Trump est un avenir très paradoxal, car ce champion de la paix devra ordonner la destruction de la Russie en l’anéantissant par une attaque nucléaire. Il ignore encore cette phase finale et espère trouver avec le président russe un accord de paix et des échanges commerciaux favorables à leurs deux pays. Mais rien ne se passera comme il le souhaite. Aux USA, les excès pervers ne sont plus supportés par l’Amérique puritaine qui se réveille et soutient Donald Trump qu’elle tient pour instrument de la volonté de Dieu depuis qu’une balle a éraflé son oreille droite sans le tuer. Cette action confirme la fin des 80 années de corruption mentale et physique. La religion reprend sens aux USA mais aussi en Russie où, devenu très religieux, mais orthodoxe, le président Poutine condamne la corruption et la perversion du monde occidental dont l’Ukraine incarne le pire exemple.

Rendons grâce à Dieu qui offre à ses fils et filles fidèles, dans l’actualité, la preuve que le protestantisme américain représente bien ces « marchands de la terre » cités dans Apocalypse 18. En effet, Donald Trump l’homme d’affaire immobilier replacé à la présidence des USA se présente comme le modèle type du genre en achetant la paix avec la Russie et l’Ukraine en entrant dans la gestion de leurs « terres rares ». Il a, dit-il, 350 milliard de Dollars à récupérer de la part de l’Ukraine et de son côté, Vladimir Poutine lui propose de gérer les terres rares de la Russie. Avant lui, il faut remonter à la gouvernance de la première ministre anglaise Thatcher pour retrouver un pareil esprit mercantile : « I want my money back » ; « Je veux que revienne mon argent », disait-elle aux députés et commissaires européens. Et au sujet de l’argent utilisé pour aider l’Ukraine, Donald Trump a précisé qu’il ne s’agit que de prêts qui doivent être remboursés d’une manière ou d’une autre. Mr Macron est alors intervenu pour préciser que les Européens, eux, donnaient leur argent à l’Ukraine ; les populations peuvent donc être fières d’être ruinées pour une noble cause par leurs dirigeants qui ne leur demandent en aucun cas leur avis sur la conduite à suivre ; si c’est cela la démocratie, qu’est-ce qu’une dictature ? Car la facture est énorme : plus de 170 Milliards d’Euros. Et cette somme, c’est de l’huile versée sur un feu inextinguible soit, une action ruineuse qui ne favorise pas la paix, mais la repousse, en favorisant la guerre et ses destructions. Les conséquences pour nous, européens sont bien réelles, les prix de l’énergie s’envolent et cette hiver ma facture d’électricité est énorme. Je relève qu’avant d’appliquer une baisse de 15 % imposée à EDF, le prix du kw/heure était de 0,1887 Euros HT. De ce fait la baisse du 01/02/2025 l’a réduit à 0,1343 Euros HT. Mais parallèlement, les coefficients bougent continuellement et les tarifs sont appliqués en temps réel jour par jour grâce au relevé automatique des compteurs jaunes Enedis. Ceci prouve encore que démocratie rime avec escroquerie. Mais le pire est encore à venir… Car plus la technologie se développe, plus elle coûte cher aux citoyens. Et avec Elon Musk aux côtés de Donald Trump, la technologie et le contrôle des individus ne vont que se renforcer. L’Intelligence Artificielle va remplacer des multitudes d’emplois humains ajoutant ainsi le chômage de masse aux autres difficultés présentes. Aussi ne tarderons-nous pas à découvrir que le progrès tue : l’emploi, c’est déjà constaté ; et la santé humaine subit elle-aussi les conséquences de la pollution engendrée par la course au progrès. Mais, ce ne sont là que des conséquences logiques de défis lancés contre les lois naturelles ; en sorte que Dieu fait retomber sur les têtes des êtres humains les fruits de leurs œuvres.

Aussi, n’est-ce que pour quelques temps encore que les hommes vont espérer instaurer la paix qui, réellement, tel un mirage, s’éloigne de nous chaque jour un peu plus.

Mais, paradoxalement, à l’opposé de la paix terrestre, pour les élus de Jésus-Christ, la vraie paix éternelle et céleste qu’il leur apporte s’approche, elle aussi, chaque jour, un peu plus.

L’évolution politique et sociale du monde occidental s’explique ainsi : les partis conservateurs de la droite libérale peu sociale profitent de l’exaspération des masses populaires qui subissent les conséquences de la surpopulation immigrée. Comme les partis de gauche sociaux ne répondent pas à ce problème, les masses populaires n’ont pas d’autre choix que de se tourner vers ces droites libérales qui ne peuvent et veulent que réduire les aides sociales. En France, le RN se distingue des autres partis de droite par son souci social, mais il suffira que les droites s’assemblent et s’accordent pour que ce signe distinctif du RN disparaisse.

En règle générale, la pensée de droite est morale et peu généreuse et celle de la gauche est l’inverse en contraire absolu.

La cause de la prochaine agression commise par le « roi du midi » de Daniel 11:40, sera religieuse et musulmane soit, islamique. Or, une guerre religieuse n’en est pas moins une guerre qui devrait être traitée par des militaires et non des policiers. Car depuis 1995, les actions islamistes sont traitées par les policiers et des tribunaux civils. Quelle erreur de jugement ! Les djihadistes islamistes ont une position nationaliste islamique, en conséquence de quoi, le combat et les tribunaux qui s’occupent de leur cas devraient être militaires et non civils. Car une guerre religieuse ne relève pas du statut de la justice commune civile dont le rôle est de juger la délinquance et non la guerre faite pour un profit étranger.

Les accords commerciaux que Donald Trump veut passer avec Vladimir Poutine pour exploiter des minerais russes peuvent devenir la cause de la destruction de la Russie par les USA. Ceci, parce qu’en attaquant l’Europe, la Russie va faire échouer cet accord auquel le président américain donne une très grande importance, comme un trophée, signe de sa victoire stratégique pour obtenir la paix. Donald Trump ne lui pardonnera pas d’avoir été la cause de son échec, mais comment Mr Poutine pourrait-il s’imposer de ne pas profiter de l’occasion favorable pour attaquer l’Europe agressée par les combattants islamiques ?

Dans l’immédiat, la bonne relation nouvelle qui s’établit entre la Russie et Donald Trump isole encore plus l’U.E. ; ce qui confirme que Dieu la prend pour cible de sa colère et qu’il prépare la mise en œuvre de son châtiment.

24 heures après mes précédents propos, Donald Trump franchit un pas de plus. Il propose une carte nationale contre 5 millions de Dollar, invitant même des oligarques russes, le même Trump annonce une taxe de 25 % sur les produits européens, visant particulièrement les voitures allemandes. Il accuse l’Europe d’avoir « arnaquée » (mot originel rectifié) les USA. Qu’en est-il en réalité ? C’est le jeu de la libre concurrence imposé par les USA qui se retourne contre eux ; leur haut niveau de vie les rend incapables de combattre la concurrence étrangère moins chère. Les règles du jeu commercial devenant défavorables aux USA, Donald Trump les casse, à la romaine.

Nos journalistes occidentaux sont saisis et étonnés de voir que le gouvernement Trump prie Dieu avant de travailler. Ce petit détail explique pourquoi il utilise Donald Trump pour piéger le camp européen. En fait, que se passe-t-il ? Dieu rassemble les gens riches aux USA, parce qu’ils seront, après la destruction des Européens et des Russes, la dernière puissance terrestre ennemie qu’il frappera par « les sept derniers fléaux de sa colère » d’Apocalypse 16.

En cette journée du Mercredi 26 Février 2025, le gouvernement français vient d’annoncer la prise de mesure concrète envers l’Algérie parce qu’elle refuse de reprendre les OQTS (Obligation de Quitter le Territoire Subite). Il se pourrait bien que cette querelle devienne la cause de l’attaque du « roi du midi » de Daniel 11:40. L’application des mesures prises devrait se faire dans quelques semaines ; soit, peu avant le 8 Mai.

Après avoir hésité, le président ukrainien s’apprête à signer la transaction commerciale concernant les terres rares de son pays qui doit être signée avec Donald Trump, ce vendredi. L’air de rien, cette transaction va permettre d’expliquer le futur comportement du président américain et sa destruction finale de la Russie. La jouissance des profits espérés par cette transaction va entièrement dépendre de l’acceptation du plan de paix par Vladimir Poutine. Aussi, ce dernier sera tenu pour seul responsable si ce plan de paix échoue ; et ce sera le cas, à cause du changement de situation que va créer l’intervention du « roi du midi », probablement algérien et autres arabes alliés, contre la France et l’Italie.

Toutes ces choses se produisent 48 heures après la rencontre entre le président Macron et le président Trump qui confirme, en homme d’affaire, son rôle type des « marchands de la terre » d’Apocalypse 18.

Pour les Européens, les USA prennent subitement l’image de ce « pharaon » de « l’Egypte » qui conduit Dieu à dire à son sujet dans 2 Rois 18:20-21 : « Tu as dit : Il faut pour la guerre de la prudence et de la force. Mais ce ne sont que des paroles en l'air. En qui donc as-tu placé ta confiance, pour t'être révolté contre moi ? Voici, tu l'as placée dans l'Égypte, tu as pris pour soutien ce roseau cassé, qui pénètre et perce la main de quiconque s'appuie dessus : tel est Pharaon, roi d'Égypte, pour tous ceux qui se confient en lui. »




M17- Toute la gloire du Dieu suprême


Dans ce message je vais évoquer des choses qui n’appartiennent qu’au seul vrai Dieu, ce qui fait de lui, le glorieux Dieu suprême, créateur de tout ce qui vit, existe, visible ou non.

Sans que personne n’en sache la cause, l’inspiration démoniaque donnée aux hommes rebelles les a conduits à croire à l’existence de multiples divinités, mais jamais en une seule divinité. De ce fait, les démons inventent des religions païennes dans lesquelles les fausses divinités reproduisent la vie humaine sous tous ses plus odieux aspects : adultères, vengeance, méchanceté, violence…etc. Dans ces fausses religions, souvent un dieu important domine les autres comme le Zeus, grec, ou Jupiter, romain. Et dans le camp du mal, les humains trouvent dans ces divinités des comportements identiques aux leurs ; ce qui légitime toutes leurs méchantes actions. En conséquence, leur type d’existence se transmet de génération en génération, comme ces Aztèques qui pratiquaient des sacrifices humains offerts au dieu soleil. Sans une intervention divine ces pratiques se prolongent perpétuellement. Mais Dieu veille à ce que de telles pratiques cessent avec la disparition de l’ethnie coupable entière.

A l’opposé de ces conceptions païennes, le vrai Dieu est un, unique en esprit. Et il est heureux pour ses élus qu’il en soit ainsi, parce qu’étant seul, il n’a qu’une seule pensée, une seule norme de valeur qu’il n’a pas à disputer contre une autre divinité. Et parce qu’il est unique, il possède la capacité de construire un bonheur éternel. Je sais que soumis aux conditions de notre vie présente, cette croyance au projet de Dieu est difficile à évaluer.

Quand je regarde en arrière la vie que je menais avant ma conversion et mon baptême, je vois un homme dont l’esprit s’intéressait à beaucoup de choses, dont la musique sur la guitare qui absorbait tout mon intérêt. J’aimais tellement cette activité que j’ai voulu en vivre. Mais depuis ma plus petite enfance, Dieu s’était fait une petite place dans mes pensées, ayant eu la chance de bénéficier de la connaissance religieuse de mon oncle et ma tante protestant et darbyste. A l’âge de 36 ans, Dieu s’est fait pressant, et m’a voulu tout à lui. La vérité concernant le sabbat du vrai septième jour m’a conquis et j’ai trouvé alors le désir et la volonté de m’engager à son service en acceptant de recevoir le baptême pratiqué en immersion totale ; ce que je n’avais jamais voulu faire jusque-là. Une vision nocturne reçue en 1975, prenait alors tout son sens et mon baptême l’accomplissait. Dès cette expérience, Dieu est devenu le sujet de ma pensée constante. J’ai étudié et découvert des explications nouvelles qui venaient compléter, et parfois remettre en cause, celles que l’église adventiste du septième jour avait déjà reçues de Dieu par le ministère de Mme Ellen White. Entre 1844 et 1980, 136 années s’étaient écoulées au cours desquelles beaucoup d’événements mondiaux et spirituels s’étaient accomplis. Et déjà là, les créatures que nous sommes savent que Dieu choisit les temps et les moments pour faire avancer, souverainement, la connaissance de sa lumière. Qui suis-je pour justifier ses choix ? Un souffle qu’il anime et inspire pour sa seule gloire et mon grand bonheur.

Dans la religion païenne, le gourou dont se servent les démons reçoit des explications pour répondre à des questions que lui posent ses adeptes et clients. Les sujets de ces questions concernent des faits de leur vie actuelle, professionnelle ou amoureuse. Car les êtres humains sont naturellement inquiets et aiment recevoir des informations sur lesquelles ils pensent pouvoir s’appuyer et souvent les réponses qui leur sont données les encourage et les fidélisent envers le médium révélateur. Ces derniers reçoivent divers noms que la sainte Bible désigne dans Deutéronome 18:14 : « Car ces nations que tu chasseras écoutent les astrologues et les devins ; mais à toi, YaHWéH, ton Dieu, ne le permet pas. » Israël n’a pas obéit selon Jérémie 27:9 : « Et vous, n'écoutez pas vos prophètes, vos devins, vos songeurs, vos astrologues, vos magiciens, qui vous disent : Vous ne serez point asservis au roi de Babylone ! » Et leur désobéissance les a conduits effectivement en captivité à Babylone pendant 70 ans prophétisés par Dieu à Jérémie.

Note bien la différence : les païens se servent de leurs fausses divinités, alors que le vrai Dieu se fait servir par ses élus rachetés et ses saints anges. Contrairement aux fausses divinités derrière lesquelles se trouvent uniquement les démons célestes, le vrai Dieu exige de ses élus qu’ils lui fassent confiance, et ceci, d’une manière absolue, dans tous les instants de leur vie. Il est leur seule garantie, leur seule sécurité, leur seule protection, leur seul inspirateur, le seul objet de leur dévotion, de leur culte et de leur destin. Et ce mot « culte » est la racine du verbe « cultiver ». Pour Dieu le vrai culte qui lui est agréable n’est pas ce moment hebdomadaire marqué par un jour de repos. La culture nécessite une attention constante et elle est à l’image de la vie des élus rachetés qui réjouissent l’amour de Dieu.

Le vrai Dieu est constamment disponible, en tout moment et en tout lieu. Il ne répond pas à l’image de ces commerces et de ces praticiens qui ne reçoivent qu’aux heures d’ouvertures prescrites en dehors desquelles ils sont indisponibles. Tu diras peut-être que Dieu a ordonné le repos du sabbat du septième jour qui constitue un temps privilégié particulièrement important. C’est vrai, mais ce temps privilégié par le repos ordonné par Dieu est un plus qui n’enlève en rien la nécessité de rester en communion constante avec lui par la pensée pendant les six premiers jours de la semaine prévus pour des activités civiles « profanes ». Des soucis matériels constants eux-aussi préoccupent nos pensées, mais même dans ces petites choses, l’aide de Dieu peut être nécessaire et obtenue.

Dieu est invisible, inodore, et peut facilement être ignoré par sa créature humaine. Il dépend de chacun de nous que sa réalité prenne la puissance dans nos pensées. Car, il reste invisible, mais reste également constamment actif. Nous ne devons pas nous laisser tromper et influencer par nos yeux, notre vue oculaire. Nous ne sommes pour lui, que des vies que sa puissance anime, contrôle et dirige quand nous le reconnaissons pour notre seul et vrai Père céleste. C’est seulement notre esprit obéissant tourné vers lui qui fait de nous des « fils de Dieu ». Car n’est « fils » que celui qui confesse et reconnaît son « Père ». Dieu est esprit et nous sommes aussi, par sa volonté créatrice, des esprits auxquels il a fait le don de la liberté et de l’indépendance. En sorte que ce que nous ne faisons pas, personne ne peut le faire à notre place. Et cette liberté donnée par Dieu est une arme redoutable, car mal utilisée, elle conduit l’âme humaine à la mort et l’anéantissement éternel.

Les démons inspirateurs et manipulateurs cachés derrière les fausses divinités poussent leurs victimes à commettre le mal que Dieu condamne, car bien sûr, pour les fausses divinités, le mal n’existe pas, ou s’il existe, c’est pour donner au faux bien, une légitimité. Car dans sa vie terrestre, l’homme ordinaire sait que toute chose a son contraire absolu. C’est pourquoi, le paganisme ne fait pas exception et propose souvent les dieux du bien et le dieu du mal. Il n’est donc pas étonnant que, pour sa part, le vrai Dieu présente à l’inverse, au singulier, « sa lumière », et au pluriel, « les ténèbres » ; « sa lumière » qui est une, comme lui, et « les ténèbres » qui sont multitudes, comme les démons célestes et terrestres.

L’invisibilité de Dieu favorise logiquement l’incroyance humaine parce que l’homme donne importance qu’à ses yeux et plus largement, à ses 5 sens. Dieu le sait et le savait avant même de le créer et il a choisi néanmoins de rester invisible. Déjà ce choix nous étonne, car nous avons de la peine à comprendre pourquoi Dieu se prive de la gloire qui lui reviendrait s’il était visible par toutes ses créatures. Mais ce raisonnement est humain et très limité. En réalité, Dieu n’a besoin d’aucune créature pour savoir qu’il est glorieux au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer. Car il n’est pas en recherche de gloire, mais d’amour et rien que d’amour. Peu lui importe que des créatures ingrates le glorifient ou pas, son amour exige des sentiments d’amour et non des simagrées, des simulacres de glorification. Et le texte d’1 Corinthiens 13 martèle ce discours amoureux de Dieu. Il rend vaines toutes les formes de la fausse religion basée sur des rites reproduits de manière traditionnelle de génération en génération. A l’inverse de cette pratique digne de robots mécaniques, les ordonnances et commandements divins ont toujours une intelligente explication et une bonne raison d’être pratiqués et honorés. A travers la pratique, Dieu informe ses serviteurs, il les enseigne et leur fait partager un aspect de son projet salvateur. Ainsi, Dieu a sur sa concurrence diabolique l’avantage de donner de l’intelligence à toutes ses ordonnances ; mais pour l’apprécier cette intelligence, il faut l’avoir déjà reçue de Dieu. C’est pourquoi il dit dans Daniel 12:3 et 10 : « Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité …/…Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. »

A la lumière de ces versets, il est confirmé que la relation avec Dieu ne repose pas sur ce mot « foi » d’origine latine que j’évite de citer, mais sur une authentique intelligence qui n’a rien à voir avec « la foi du charbonnier » de l’expression populaire. C’est un raisonnement intelligent qui conduit des gens intelligents à l’évidence que l’intelligence est de source divine. La réflexion humaine est placée devant un postulat qui s’impose de lui-même. Il est ; donc inutile de chercher à expliquer l’existence de Dieu : « Il est », un point c’est tout, ou selon l’époque actuelle, point barre. Et je ne fais là, que prononcer en français la traduction du nom hébreu de Dieu qui est : « YaHWéH ».

A partir de ce postulat, nous pouvons profiter des messages qu’il nous adresse dans sa sainte Bible, dans ses deux témoignages successifs. Or, c’est précisément la lecture de ces deux témoignages qui fait appel à la véritable intelligence digne de Dieu. Car que font les êtres dépourvus de cette intelligence ? Ils remplacent le premier témoignage par le second, comme si ce second témoignage avait valeur de nouvelle loi divine qui annule l’ancienne. Cette analyse est fausse, parce que la loi divine est représentée par deux témoignages successifs que je peux définir comme l’avant et l’après Jésus-Christ. L’Esprit confirme et rappelle cette vérité dans Apocalypse 11:3, disant en désignant la sainte Bible entière : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. »

Les changements imposés par le passage sous le nouveau témoignage, concernent uniquement des rites qui prophétisaient la mort de Jésus-Christ. Passer du symbole à la réalité ne change pas toute la loi divine, mais simplement quelques formes rituelles données à son application. Et Dieu confirme ce projet en disant dans Daniel 9:27 en parlant du « messie » : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ;… » « Le sacrifice et l’offrande » sont donc les seules choses que la mort de Jésus-Christ rend caduques et justiciables de prendre fin. En particuliers, ni le second commandement, qui interdit la prosternation devant des images de créatures, ni le quatrième commandement, qui ordonne le repos du vrai septième jour, ne sont modifiés par la mort de Jésus-Christ. Le texte entier des dix commandements de Dieu n’est donc, en rien, changé par le changement de l’alliance. Les seuls changements s’appliquent aux fêtes religieuses juives listées dans Lévitique 23, après le sabbat hebdomadaire qui y figure en tête. L’abandon des fêtes juives est aussi justifié par le changement d’aspect de l’Israël de Dieu, qui n’est plus une nation terrestre regroupée derrière ses frontières, mais une assemblée d’esprits terrestres sélectionnés par Dieu sur toute la terre, au nom de Jésus-Christ. Et pour tous ses élus, jusqu’à son glorieux retour, le repos du sabbat du vrai septième jour, notre actuel samedi occidental, prophétise la venue du septième millénaire au début duquel, par son retour, Jésus fera entrer ses élus rachetés dans sa glorieuse éternité céleste.

Le titre donné à ce message est une exigence du Dieu créateur qui, après avoir supporté, avec une patience inouïe toute divine, les abominations commises par les catholiques et les protestants hypocrites, ordonne à ses vrais élus, du printemps 1843 à l’automne 1844, dans Apocalypse 14:7 : « Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. »

Ce message n’est pas nouveau car Dieu a déjà dit dans l’ancienne alliance dans Esaïe 42:8 et 48:11 : « Je suis YaHWéH, c'est là mon nom ; et je ne donnerai pas ma gloire à un autre, ni mon honneur aux idoles. …/…C'est pour l'amour de moi, pour l'amour de moi, que je veux agir ; car comment mon nom serait-il profané ? Je ne donnerai pas ma gloire à un autre. »

Le rappel fait en 1843 et 1844 n’est justifié qu’à cause du long temps de ténèbres spirituelles qui a prévalu jusqu’à ces dates fixées par Dieu comme temps d’un renouveau spirituel qui a reçu le nom « adventiste ». Et il est édifiant de relever que le sujet qui a glorifié Dieu dans ces deux dates, a été l’attente fervente du retour de Jésus-Christ par ses vrais élus de l’heure, peu nombreux il est vrai, mais combien plus valorisés à cause de leur tout petit nombre et de leur rareté. C’est donc uniquement au titre de signe de leur adoption par Dieu qu’ils ont adopté les uns après les autres l’observance du repos du vrai sabbat hebdomadaire par lequel comme l’indique Apocalypse 14:7, ils montrent qu’ils « Craignent Dieu, et lui donnent gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et ils adorent celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. »

Mais 1844 n’était pas l’an 6000 de l’histoire terrestre. Et pour les élus de l’époque qui n’avaient pas encore pris conscience du sabbat transgressé, le mot « jugement » a mal été interprété. Ce mot ne prenait sens qu’à la lumière éclairant le sabbat du septième jour. Et sans ce regard, les idées humaines ont prévalues ; ils ont ainsi construit la doctrine du jugement dit « investigatif », anticipant pour 1844, l’action du jugement céleste qui ne commencera qu’après le printemps 2030. Cette fausse interprétation du jugement céleste est devenue une pierre d’achoppement qui juge et condamne les Chrétiens « adventistes du septième jour » hypocrites. Car les gens hypocrites sont aussi orgueilleux et refusent d’admettre leurs erreurs ; ils se ferment ainsi eux-mêmes les portes du ciel ; car Dieu n’accueille que la bonté, la douceur, la soumission, la docilité et l’intelligence du cerveau et du cœur qui permet de comprendre et d’aimer sa vérité.

La gloire de Dieu a pris une forme humaine en s’incarnant sous l’aspect humain de Jésus-Christ. Et pour les gens pleins d’orgueil, cette gloire divine est très déconcertante et disons-le, paradoxale. Car sous l’inspiration du diable, l’idée de la gloire est apparue dans la prestance, les beaux vêtements richement brodés à l’or fin, les trônes somptueux, et les palais merveilleux constitués de tentures et de marbre. Le méchant se dit alors au sujet de Jésus-Christ : « Ce n’est pas sous cet aspect miséreux que le Dieu du ciel peut apparaître ; lui qui possède la terre et toutes ses séduisantes richesses ». Ce qu’il dit là, c’est ce qu’il penserait faire s’il était à la place de Dieu ; et il montre par sa pensée qu’il ne le connaît pas. Car c’est précisément parce que des richesses somptueuses lui appartiennent déjà que Dieu recherche dans ses élus d’autres choses que la vie matérielle ne lui donne pas. Dieu a essayé de définir l’objet de sa recherche par des mots, des images, pendant toute l’ancienne alliance dans les écritures des prophètes et autres écrivains bibliques. Mais les mots ne suffisent pas, alors il présente un modèle vivant en Jésus-Christ. Il est humble, doux et parfaitement obéissant, zélé pour Dieu jusqu’à l’indignation justifiée quand il chasse les vendeurs du temple et prend à parti, en dénonçant leurs péchés, les hypocrites religieux pharisiens et sadducéens de son temps. Puis il redevient calme et serein envers ses douze apôtres ses premiers disciples. Par lui, l’intelligence de Dieu dénonce les incohérences humaines et leur indignité pour juger leur prochain. Jésus a déclaré qu’il est venu non pour juger, mais pour sauver le monde ». Certes, son ministère s’est achevé par sa mort qui peut sauver ses élus rachetés, mais avant de mourir, sa vie exemplaire a bel et bien condamné à mort le monde pécheur rebelle. Car Dieu a offert au monde, le maximum de chance qu’il pouvait espérer de sa part. Avant de mourir, Jésus a fait découvrir les vraies valeurs célestes que les humains n’avaient jamais imaginées possibles. Ceux qui ont approché Jésus ont éprouvé des sensations uniques étant irradiés par son amour contagieux. Car en Jésus-Christ, le royaume des cieux était descendu au milieu d’eux. Après avoir goûté à ces effets désirables, ils sont restés seuls ; Jésus s’est livré pour leurs péchés, mais ils l’ignoraient et ne pensaient qu’à la perte de l’ami qui leur procurait tant de bonheur. Jésus leur avait dit : « si le grain de blé ne meurt, il ne peut porter du fruit ». Il fut mis en terre, dans le tombeau du riche, mourut et germa, ressuscité au troisième jour il est apparu en germe le quatrième jour au matin, à ses élus terrestres. Incarnant et reflétant toute la gloire divine, Jésus a semé cette gloire divine dans le sol de la terre du péché. Et ce germe a formé « l’arbre de vie » qui nourrit ses fruits soit, ses élus rachetés.

Nous lisons dans Zacharie 3:8 : « Écoute donc, Josué, souverain sacrificateur, toi et tes compagnons qui sont assis devant toi ! Car ce sont des hommes qui serviront de signes. Voici, je ferai venir mon serviteur, le germe. » Ce « germe » était annoncé aux élus de l’ancienne alliance, et il est venu en Jésus-Christ. Dieu dit encore dans Jérémie 23:5 : « Voici, les jours viennent, dit YaHWéH, où je susciterai à David un germe juste ; il régnera en roi et prospérera, il pratiquera la justice et l'équité dans le pays. » Il dit aussi dans Jérémie 33 :8 : « En ces jours et en ce temps-là, je ferai éclore à David un germe de justice ; il pratiquera la justice et l'équité dans le pays. »

Est-il venu en Israël quelqu’un de plus juste qui ait pratiqué la justice et l’équité mieux que Jésus-Christ ? Telle est la question que ces versets posent à tous les lecteurs de la sainte Bible et à laquelle Dieu les somme de répondre.




M18- Les fruits de la malédiction divine


Dans toute l’histoire de la terre, les infidélités de ses serviteurs sont toujours ou très souvent punies par Dieu, en les livrant à leurs ennemis.

C’est en livrant Israël aux Philistins que Dieu faisait savoir à son peuple que ses péchés n’étaient plus supportés. Le livre des Juges témoigne de l’application de ce principe. En Maître et Juge suprême du jeu terrestre et céleste, Dieu impose son juste jugement en faisant accomplir par ses créatures les œuvres qui accomplissent son jugement : les unes en tant qu’instrument de son châtiment, et les autres humains en observateurs et témoins oculaires au titre de victimes châtiées ou au titre de simples observateurs étrangers.

Si l’action de Dieu en esprit est invisible, il n’en est pas de même de ses châtiments qu’il veut rendre bien visibles et inoubliables. Il agit ainsi comme le doit un bon père de famille auquel il dit dans Proverbes 22:15 : « La folie est attachée au cœur de l'enfant ; la verge de la correction l'éloignera de lui. » ; il dit également dans Proverbes 23:14-15 : « N'épargne pas la correction à l'enfant ; si tu le frappes de la verge, il ne mourra point. En le frappant de la verge, tu délivres son âme du séjour des morts. » Ces ordres sont donnés par le Dieu créateur source et témoin du plus bel amour qui se puisse concevoir et sur ce sujet personne ne peut lui apprendre quelque chose. Mais faut-il encore tenir compte que ses propos sont adressés à ses seuls vrais serviteurs qui sont en capacité de le comprendre. Le père auquel il adresse ce type d’ordre n’est pas un malade mental, un fou furieux qui prend plaisir à frapper son enfant. C’est un père aimant qui frappe à regret l’enfant qu’il aime et doit éduquer. Et cette éducation débute par l’apprentissage de l’obéissance qui, comme Dieu le dit, « délivre son âme du séjour des morts ». Dans l’histoire d’Israël, ce « séjour des morts » a souvent ouvert sa bouche pour engloutir des milliers de vies rebelles frappées par les châtiments de Dieu. Sachant combien la mémoire humaine est oublieuse, Dieu a fait écrire dans la sainte Bible, le témoignage de ses multiples châtiments historiques de la perverse désobéissance humaine. L’enfant qui n’apprend pas à obéir à ses parents terrestres n’obéira pas davantage aux ordres donnés par le Père céleste, et condamné comme pécheur rebelle, il finira « poussière » dans le sol de la terre qui est le seul et unique « séjour des morts ».

Les ténèbres spirituelles ont dominé dans l’Europe occidentale depuis 313 jusqu’en 1843, année marquée pour un jugement divin qui a concerné la religion protestante sommée d’achever la Réforme engagée entre 1170 et 1843. De même que les ténèbres n’ont point reçu la lumière au temps de Jésus-Christ dans la nation juive, les ténèbres catholiques et protestantes n’ont pas non plus reçu la lumière adventiste apparue entre 1843 et 1873. Les ténèbres ont été livrées au diable et ses démons et la lumière a éclairé uniquement le peuple adventiste du septième jour entre 1873 et 1994 (plus précisément : 1993). Quand je dis la lumière, je désigne l’approbation de Dieu pour une organisation religieuse qu’il a reconnue comme étant sa dernière assemblée chrétienne. Mais la lumière divine est définie par ce verset cité dans Proverbes 4:18 : « Le sentier des justes est comme la lumière resplendissante, dont l'éclat va croissant jusqu'au milieu du jour. » Dans ce verset, le mot qu’il convient de relever, vu son importance, est le verbe « croissant ». Il donne à la lumière divine une progressivité dans le temps. De ce fait, la lumière du début est faible alors que la lumière finale est forte. Et ce message exige donc des serviteurs de Dieu qu’ils restent constamment attentifs à toute lumière nouvelle que Dieu leur présente par ses prophètes soit, des hommes qu’il choisit pour porter et présenter ses nouvelles lumières. Et cette attention est nécessaire jusqu’au jour du retour glorieux de Jésus-Christ où le besoin de lumière prophétique cessera pour toujours. Il y a un début et une fin pour toutes les époques évoquées par les 7 messages d’Apocalypse 2 et 3. Or, sous le message de « Pergame », Dieu désigne dans Apocalypse 2 : le début du temps de l’adultère spirituel commis par la religion chrétienne romaine contre Dieu. Les dix années de persécutions du message précédent soit, de « Smyrne » place ce début du temps de l’adultère sur l’an 313 ; l’année où la paix religieuse ordonnée par Constantin fait cesser les persécutions et fait la promotion mondaine de la religion chrétienne. Ceci au détriment de la vérité écrite dans la sainte Bible. 313 est donc l’année du début du temps des ténèbres qui va se prolonger jusqu’en 1843-1844. Au cours de cette période, le régime papal s’insère entre 538 et 1798 soit, de l’instauration du premier pape jusqu’à la fin de la Révolution française en laquelle le pape Pie VI a été arrêté à Rome et conduit vers Paris, il est resté à Valence pour cause de maladie et il est mort en prison, en 1799, dans cette ville où je vis et sers le Dieu de vérité. A l’intérieur de ce règne papal, la Réforme protestante s’insère à son tour dans ce règne de 1260 années entre 1170 et 1843. Le grand temps fort de cette Réforme est le XVIème siècle marqué par les Guerres de Religions dans lesquelles les ligues catholiques et les Huguenots protestants s’affrontent férocement, se rendant coup pour coup.

Sortant d’un long temps de ténèbres, les protestants du XVIème siècle avaient peu de lumière, car la capacité de lire la Bible, vendue sous le manteau depuis sa reproduction mécanique, était encore très restreinte, persécutée, car interdite par le papisme et la monarchie catholique romaine. En conséquence, la vérité répandue concernait particulièrement le salut par la foi en Jésus-Christ qui rend les œuvres catholiques entièrement inutiles et maudites. Cette vérité conserve toute sa valeur depuis cette époque jusqu’à la nôtre et dans Apocalypse 2 :24-25, Dieu le confirme en disant aux Protestants : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. » Dans le verset 24, le verbe « connu » prend son sens spirituel divin de l’expérience sexuelle de Genèse 4:1 : « Adam connut Eve, sa femme ; elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit : J'ai formé un homme avec l'aide de YaHWéH. » Et cette allusion à la sexualité dénonce l’acte d’adultère religieux papal cité dans Apocalypse 2, au verset 22 : « Voici, je vais la jeter sur un lit, et envoyer une grande tribulation à ceux qui commettent adultère avec elle, à moins qu'ils ne se repentent de leurs œuvres. »

En 1843, le décret de Daniel 8:14 condamne la religion protestante, car Dieu exige à partir de cette date, la restauration de toute la vérité qu’il rappelle à ses derniers serviteurs « adventistes du premier jour » dans un premier temps, jusqu’en 1863 où, aux USA, ils fondent « l’église adventiste du septième jour » que, par Daniel 12:12, Dieu bénit et confirme à la date de l’année 1873 où leur mission universelle commence.

La prophétie divine fixe des dates qui marquent les grands moments de l’évolution de la lumière divine qui commence avec la découverte de la sainte Bible par le premier protestant, le Lyonnais Pierre Vaudès dit « Valdo » qui l’a en premier traduite en sa langue locale franco-provençale et l’a mise en pratique parfaitement. Il a fallu attendre 1873 pour retrouver cette perfection, conforme au christianisme apostolique du premier commencement. Mais cette perfection ne concernait pas la compréhension prophétique dont l’importance est apparue progressivement. En 1994, ne voyant que le retour de Jésus-Christ pour marquer cette date, j’ai présenté cette interprétation à mes frères et sœurs adventistes de l’église locale de Valence sur Rhône. L’adventisme du septième jour étant la septième et dernière église, cette date ne pouvait que désigner le temps du retour de Jésus-Christ. Cependant, je n’avais pas pensé à une autre explication que l’Esprit m’a fait découvrir en 1996 : 1994 marquait la fin de la bénédiction de l’adventisme du septième jour officiel. Dans toutes les étapes de l’avancement de la vérité divine, le refus de la lumière a toujours été châtié par Dieu de la même manière ; il rompt sa relation avec les coupables individuellement et collectivement soit, au titre d’église officielle. Animé des meilleures intentions possibles envers mes frères et sœurs adventistes, je n’avais pas pensé de moi-même que l’adventisme institutionnel pouvait être abandonné par Dieu, et à ma grande surprise, c’est cependant ce qu’il a fait, et finalement rien n’est plus logique, puisque Dieu nous prévient qu’il ne fait exception pour personne ; en conséquence, le refus de sa lumière par l’adventisme institutionnel l’a condamné ; Jésus l’a « vomi » dès 1994.

Les châtiments spirituels ne sont identifiables qu’à la lumière de la prophétie qu’ils ont refusée officiellement en Décembre 1991, date où ils m’ont radié solennellement de l’œuvre ; et confirmant leur vomissement par Jésus, dès le début de l’an 1995, ils ont rejoint l’alliance protestante. Ces sentences de Dieu et leurs applications sont uniquement révélées par la construction prophétique dans Apocalypse 3, et 9 où sont citées deux fois, aux versets 5 et 10, la durée des « cinq mois » qui déterminent la date fatidique de 1994. Mon travail prophétique a confirmé le caractère « croissant » de la lumière divine qui devient avec le temps une arme redoutable remis à ses vrais serviteurs ; cette épée de l’Esprit sort de la sainte Bible, « la Parole de Dieu » ainsi définie dans Hébreux 4:12 : « Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. » De plus, la parole prophétique est recommandé par l’apôtre Pierre qui nous dit dans 2 Pierre 1:19-20 : « Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos cœurs ; sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. »

Et de plus, le ministère de l’esprit de la prophétie constitue le témoignage de Jésus, selon Apocalypse 19:10 : « Et je tombai à ses pieds pour l'adorer me prosterner ; mais il me dit : Garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères qui ont le témoignage de Jésus. Adore Prosterne-toi devant Dieu. Car le témoignage de Jésus est l'esprit de la prophétie. »

Ce témoignage de Jésus est aujourd’hui vital, tant la domination des ténèbres spirituelles est grande et dominante. Avec le temps, les différences entre le bien et le mal sont devenues de plus en plus subtiles. Les adventistes ont commis la même erreur que les Juifs de l’ancienne alliance. Ils se sont appuyés sur l’héritage donné par Dieu pour justifier leur refus de la nouvelle lumière qui apporte des explications nouvelles. C’est pourquoi, dans Apocalypse 3:17, le message de Jésus déclare nul l’héritage retenu jusqu’à la nouvelle lumière que l’Adventiste indigne de ce nom rejette impudemment : « Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu…»

Passons maintenant au châtiment visible, cuisant et ressenti, par l’homme charnel moderne. Deux Guerres Mondiales l’ont exprimé en 1914 et en 1939 sur le même sol européen. Ces deux guerres reproduisent par analogie les deux premières interventions du roi chaldéen Nébucadnetsar qui a envoyé ses armées contre son Israël juif infidèle, successivement, en – 605 et en – 597. Ces deux avertissements ont été suivis en – 586 par une troisième intervention dans laquelle Israël a été entièrement détruit avec son temple et ses habitants survivants ont été conduits en déportation à Babylone. En analogie, avec ce troisième châtiment, nous allons subir la Troisième Guerre Mondiale ou « sixième trompette » d’Apocalypse 9:13. Elle se prépare sous nos yeux depuis l’année 1990, date où profitant de l’affaiblissement de la Russie jusque-là soviétique, les pays passés sous contrôle russe au partage de Yalta de 1945 ont repris leur indépendance et sont entrés dans l’alliance de l’OTAN et dans l’U.E. Sont concernés, les pays Baltes, la Pologne, et la Roumanie. Cette remise en cause du partage de Yalta est fondamentale parce qu’elle est la cause de tous les événements qui se sont accomplis après cette date et ont construit notre situation actuelle. Notons que l’Ukraine était déjà une terre russe et n’a pas été concernée dans le partage de Yalta en 1945. Cependant, profitant de la situation, elle a aussi pris son indépendance en 1990 et a demandé d’être admise dans l’OTAN et l’U.E. Pour cause de grande corruption sa demande a été rejetée par l’Allemagne très influente et autoritaire en 1990.

La corruption interne de l’Ukraine a rendu sa gouvernance très difficile ; plusieurs présidences se sont succédé et dans la composante ukrainienne du peuple, frontalière de l’Europe occidentale, le désir d’Europe s’est maintenu. Au point qu’en 2013, un soulèvement populaire entraîné par le groupe nazi Azov a renversé du pouvoir, parce qu’il s’opposait à cette demande, le président russophile légitimement élu. Une guerre civile a alors opposé l’ethnie ukrainienne à l’ethnie ukrainienne russophile. Les puissances occidentales sont alors intervenues pour tenter de régler pacifiquement le problème. Un accord a été passé à Minsk dans lequel, l’Ukraine a accepté de renoncer à près de trois mille ogives nucléaires en échange de la garantie de la protection occidentale. Le camp de Kiev espérait toujours pouvoir à terme rejoindre l’OTAN. En Ukraine le combat contre le Donbass russophile frontalier de la Russie a repris. En 2014, voyant des ukrainiens russophiles en difficultés, Vladimir Poutine a envoyé son armée qui a annexé par référendum la Crimée où se trouve Yalta. Et là nous touchons en 2014, un sujet très significatif qui prépare la Troisième Guerre Mondiale, 69 années après le partage de Yalta. Vladimir Poutine fait alors construire un long pont qui relie la Crimée à la Russie. La guerre civile éclatée en Ukraine se poursuit pendant 8 années jusqu’en 2022 où le jeune président Zelensky élu depuis 2019, lance un appel pour rejoindre l’OTAN, ce qui conduit le président russe Poutine à faire entrer les chars d’assaut de son armée sur la terre ukrainienne dans le Donbass à l’Est et au Nord depuis la Biélorussie. De Kiev, la capitale ukrainienne mais aussi berceau historique de la Russie, Zelensky s’appuie sur le groupe Azov ultranationaliste nazi pour résister à l’invasion russe. De nombreux volontaires dont des russophones, comme le jeune président, les rejoignent. La jeune présidence ukrainienne est très en avance sur la Russie pour les nouvelles technologies qui produisent des drones qui viennent changer la forme des affrontements guerriers. De grandes quantités de drones sont achetées à la Turquie qui les construits. Sur le terrain, des colonnes de chars sont clouées sur place pilonnées par de toutes petites machines volantes aussi difficile à tuer qu’un moustique ; et de plus, mille fois moins chères qu’un tank. Cette arme nouvelle a donné l’avantage immédiat à l’Ukraine dans l’année 2022. Les aides occidentales arrivées sous la forme des canons ultra-précis français « César » et américains « Highmar » donne encore un avantage à l’Ukraine qui frappe en touche chirurgicale, des cibles hautement stratégiques qui mettent la Russie en grande difficulté. En 2023, des chars américains et allemands sont donnés aux Ukrainiens mais en 2024, leurs offensives sont stoppées devant les lignes de fortification préparées par les Russes pour empêcher l’avancée ukrainienne vers la Crimée. Entre temps, la Russie reçoit des drones fournis par l’Iran qu’elle fabrique à son tour elle-même. Dès lors, la Russie résiste et reprend l’offensive contre l’Ukraine aidée par des armes et des combattants venus de la Corée du Nord.

Combattant avec les mêmes armes, les deux camps s’équilibrent et les positions s’enterrent, un peu comme dans la guerre frontalière de 1914-1918. Le canonnage des lignes est réciproque et le besoin d’obus des deux camps est immense.

Battu aux élections de 2021, et convaincu d’avoir été frustré de sa victoire, l’ex président Donald Trump regarde impuissant à l’empêcher, le nouveau président démocrate Joe Biden donner à l’Ukraine de l’aide et des armes pour des centaines de milliards de Dollar qui partent en fumée. Pour cet homme d’affaire, ce gaspillage est insupportable. Et vainqueur aux élections de 2025, il le fait savoir. L’homme d’affaire n’apprécie que la paix parce qu’elle ne tue pas des gens et favorise les échanges commerciaux et l’enrichissement des commerçants.

Parvenu au pouvoir depuis le 20 Janvier 2025, il met en pratique le programme qu’il a annoncé pendant sa campagne électorale. Son projet est d’obtenir la paix en faisant cesser tous les grands conflits actuels, en Ukraine et à Gaza. Pour obtenir ce résultat il est prêt à sacrifier les grands principes internationaux qui ont prévalu dans le monde jusqu’à lui. Depuis Yalta, en 1945, 80 années de paix se referment comme la charnière d’une porte, car en 2025, son grand désir de paix va paradoxalement provoquer la Troisième Guerre Mondiale. En effet, comme ce fut le cas longtemps sur la terre, l’instauration de la paix entre des adversaires est obtenue au prix de compromis et de perte de territoire par le plus faible. C’est ainsi que Donald Trump pense pouvoir faire cesser le combat de l’Ukraine qui est malheureusement pour elle la plus faible. De son côté, Poutine se montre ouvert et reconstruit des relations avec l’Amérique ; chose qui met en fureur le président ukrainien et ses soutiens fidèles occidentaux dont la France et l’Espagne.

Pensant par ce moyen amadouer Donald Trump, Zelensky lui a proposé de passer un accord pour lui vendre la gestion de ses terres rares d’une grande valeur. Ceci pour répondre à la demande du président américain de lui rembourser la valeur de 300 milliards de Dollar donnés à l’Ukraine par son prédécesseur détesté Joe Biden. Une rencontre officielle en vue de signer un accord a eu lieu ce vendredi 28 Février 2025 à Washington, à la Maison Blanche.

Cette rencontre a donné lieu à une dispute publique entre Zelensky et Trump et son équipe politique dont le vice président JD.Vance. L’échange s’est si mal passé que la conférence finale devant les journalistes a été supprimée.

Je pense pouvoir légitimement dire, qu’en ce jour du 28 Février 2025, le glas a sonné la proche fin pour l’Ukraine et son alliée, l’U.E. Je vais maintenant expliquer les causes de cet échec.

Dès que son regard se porte sur Zelensky, Donald Trump voit ses 300 milliards de Dollars partis en fumée. Et cette seule pensée rend Zelensky détestable. C’est donc dans cet état d’esprit que l’homme d’affaire a rencontré le chef de guerre ukrainien auquel tout a réussi jusqu’à ce jour. Si bien qu’il pense encore pouvoir convaincre Donald Trump de garantir la sécurité de l’Ukraine par une présence active de l’armée américaine en sa faveur ; ce que Donald Trump a fondamentalement exclu. De même que la guerre et la paix sont des contraires absolus, les caractères et les objectifs des deux personnages sont opposés dans le même absolu soit, inconciliables.

Au cours de l’échange, deux moments ont été décisifs pour conduire à la dispute : Dans sa haine envers la Russie, Zelensky a cité Poutine en le traitant de tueur ; ce que ne pense pas Trump qui travaille pour renouer des liens amicaux avec lui. Le deuxième moment a été cette réflexion adressée à Trump par Zelensky ; je cite : « Ce n’est pas parce que vous parlez plus fort que vous avez raison ». JD.Vance silencieux jusque-là, est sorti de son silence et a reproché à Zelensky de ne pas respecter l’Amérique en reprenant son président. Le ton et les échanges ont encore monté jusqu’à la décision du président Trump de mettre fin à la rencontre. Mais cette rencontre avait mal commencé, l’un des hommes présents ayant fait à Zelensky des reproches sur sa tenue militaire habituelle jusqu’à lui demander s’il possédait un costume.

Ainsi, comme je l’ai dit plus haut, les objectifs de ces deux hommes sont inconciliables. Et c’est en plaçant au pouvoir des USA, un homme d’affaire qui n’est pas un homme politique, que Dieu renverse une situation jusque là favorable à l’U.E., la cible principale de sa colère. L’actualité confirme mes précédentes analyses dans lesquelles je donnais à la présidence de Joe Biden, un temps favorable pour séduire l’U.E. et l’impliquer dans la guerre faite à la Russie par l’Ukraine.

Le futur proche est facile à décrire. Se sentant trahis par les USA, les pays européens les plus vindicatifs vont s’unir pour défendre leur chère Ukraine et ils vont en payer un prix très cher. Car la Russie n’est pas la Serbie si facile à dominer avec l’aide des Américains en 1992. Cette fois, cette aide indispensable sera absente et à l’heure de l’offensive russe lancée contre l’U.E., les pays européens vont devoir compter que sur leur faible force et faible armement conventionnel.

L’échec de la rencontre de Washington repose sur l’esprit « jusqu’au-boutiste » du jeune dirigeant ukrainien et de ses soutiens européens. Face à ce constat, je relève l’analogie entre cet entêtement forcené rebelle et celui du pharaon égyptien du temps de l’Exode. Et cette comparaison est très justifiée parce que dans les deux cas, Dieu châtie pour détruire et tuer ses ennemis et ceux de son peuple fidèle. L’immoralité publique qui a caractérisé Volodymyr Zelensky, le comédien graveleux avant sa présidence de l’Ukraine, ainsi que les exhibitions honteuses de ses « fémens », ont fait de l’Ukraine, le laboratoire d’expérimentation du péché le plus avancé, le plus extrême. C’est donc par elle, que Dieu a séduit les pays de l’U.E. pour les conduire vers leur commune destruction.

Pour autant le modèle Trump est loin d’être glorieux, car son amour pour l’argent le rend hideux. Mais son intérêt pour la vie des gens le rend supportable. Car comme chacun des êtres humains, cet homme produit du bien et du mal. Son amour immodéré de l’argent en fait un riche au sujet desquels Jésus a déclaré dans Luc 6:24 : « Mais, malheur à vous, riches, car vous avez votre consolation ! ». Et 1 Timothée 6:10 nous dit : « Car l'amour de l'argent est une racine de tous les maux ; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments. » ; et « les maux » qui le frapperont ainsi que son pays viendront directement de Dieu et déjà, en premier, de la part de cette Russie dont il veut devenir l’ami, en « marchand de la terre » dans le contexte de la « sixième trompette » ou Troisième Guerre Mondiale qui vient. Il frappera, en premier, la Russie, parce qu’il ne lui pardonnera pas d’avoir trahi sa démarche amicale et il lui imputera la responsabilité de son échec dans sa tentative d’instaurer la paix universelle sur toute la terre.

Ceci dit, son attitude envers la réduction de la richesse de l’Amérique est justifiée. Car son intérêt pour l’argent le rend plus lucide que les gens politiques de son pays et des Européens. Il est le premier qui prend conscience que la suppression des « écluses financières », que constituent les taxes imposées aux importations étrangères, est responsable de l’endettement colossal de son pays. En France, la suppression de ces taxes avait été dénoncée par des observateurs déjà plus lucides que ses dirigeants politiques. Et le temps finit par leur donner raison. Je précise que j’étais de ce nombre et que j’ai été témoin du sabotage économique de la France par ses élites politiques vendues à l’Europe financière.

Les autres pays tels que la Chine, l’Inde, le Japon, l’Australie, seront eux aussi, détruits par leurs adversaires respectifs potentiels. L’U.E. détruite par la Russie, la Russie détruite par les USA, c’est en grand vainqueur sans partage que ces USA obtiendront la domination universelle convoitée depuis la Seconde Guerre Mondiale qui a réveillé le monstre endormi.

Le dernier châtiment divin prendra pour cible le dernier gouvernement universel et les survivants humains dispersés sur toute la terre irradiée après les échanges nucléaires. Après la loi dominicale, le fruit de la malédiction extrême, la colère de Dieu s’abattra sur les rebelles sous la forme de ses « sept derniers fléaux » décrits dans Apocalypse 16. Avant le « septième », Jésus reviendra dans sa gloire divine céleste, pour enlever de terre tous ses élus rachetés ; les morts seront ressuscités et les vivants seront transmués, tous recevront un corps céleste comme les saints anges fidèles de Dieu pour entrer au ciel dans le royaume de dieu. Alors sous l’image de « la vendange » d’Apocalypse 14, sur la terre, la colère des victimes des mensonges religieux se portera sur les enseignants de ces mensonges, juifs, catholiques, orthodoxes, protestants, anglicans et adventistes, tous rebelles abandonnés et livrés au diable par le Dieu de vérité, le Tout-Puissant, Jésus-Christ, Micaël, YaHWéH.

Au sujet de la Chine gloutonne qui vampirise les emplois occidentaux, nous ne devons pas oublier que ce sont les USA et les Européens qui l’ont enrichie en lui abandonnant tous leurs secteurs économiques. Cette erreur stratégique est directement imputable à la malédiction divine qui frappe l’Europe. Elle a construit son malheur en voulant reproduire le modèle des USA qui ont imposé leurs règles. De plus en Europe, l’abandon économique des souverainetés nationales a placé tous les peuples sous la domination d’un dictat économique et financier. Les Européens se sont retrouvés prisonniers d’une « pensée unique » imposée par la gouvernance européenne. La France, sans laquelle l’U.E. n’existerait pas, a été victime de sa 5ème Constitution républicaine de type monarchique présidentiel. L’absence d’implication du peuple français dans les choix économiques a donné aux pouvoirs exécutifs successifs une liberté de choix et d’actions incontrôlables. D’une manière insensée digne d’un aveugle, les politiques ont privilégié le capital soit le profit immédiat au détriment de l’emploi qui construit la richesse sur le long terme. Les profits pharamineux obtenus par l’exploitation des travailleurs chinois ont rendus fous les financiers de toute la planète dont ceux de la France et de l’Europe. Après la casse des emplois, apparaît la ruine et la faillite d’une société devenue folle à en mourir. Tous ces choix désastreux ont enrichi des individus et des groupes cotés en « bourse ». Mais les pauvres sont aujourd’hui encore plus pauvres et de plus en plus mécontents, irrités et insatisfaits. Ils mourront bientôt tués dans une guerre qui ne les concernait pas, mais que les riches argentiers ont encouragée et financée espérant tirer de gros profits par les reconstructions au temps où la paix sera rétablie. Erreur fondamentale ! La paix ne reviendra pas et personne ne relèvera les ruines qui vont être causées par la guerre à outrance qui vient.




M19- L’Europe divisée


L’U.E. actuelle est malgré son nom très divisée. Cette Union n’est pas celle des peuples qui restent divisés par leurs langues et leurs propres intérêts. Les peuples n’ont été d’ailleurs que tardivement consultés au sujet de la construction de la nouvelle Europe occidentale ; celle du marché commun n’était qu’un traité passé entre les hautes sphères dirigeantes de six pays qui ont accepté les normes mises au point par la France et l’Allemagne. Les deux pays riches dont l’injustice a été démontrée par leur acceptation de l’entrée de l’Angleterre dans cette alliance sous les conditions particulières qu’elle a exigées. Ainsi est né l’Europe de l’injustice, l’Europe à la carte, construite à l’image d’un « fast food » où chacun entre, prend son plateau, se sert en choisissant ses plats, paie, s’assoit et mange. Elle est encore plus injuste par son système dit « Robin des bois ». Si elle prenait aux riches pour aider les pauvres ce serait presque louable bien qu’injuste. Mais ce n’est pas ce qu’elle fait : Elle nourrit et engraisse les plus riches, les investisseurs, et leur livre de nouveaux pays pauvres à exploiter. Elle fait ainsi payer par les anciens pays riches la création de nouveaux concurrents qui les privent de leurs emplois, en leur faisant payer les grosses subventions qui sont allouées à ces nouveaux entrants.

Je veux ici, signaler la malédiction que représente pour les Européens, leur accueil des pays de l’Est qui se sont auto-libérés de la Russie en 1990.Jusqu’à cette date, les Européens des « dix cornes » de Daniel 7:7 et plus précisément d’Apocalypse 17:3, vivaient en paix, dans la prospérité, et l’insouciance. Cependant, ils ignoraient que la date 1994 a été fixée par Dieu pour mettre fin à son alliance avec son institution officielle instaurée aux USA depuis 1863 et qu’il bénit officiellement prophétiquement en l’année 1873. Il a choisi son nom : église adventiste du septième jour. Dans ce constat je mélange volontairement les faits civils et religieux, parce que Dieu organise les deux et chacun d’eux confirme l’unité de son projet.

Après avoir porté mon ministère prophétique auprès des adventistes de l’institution, le grand Dieu créateur m’a fait découvrir la signification du sabbat du septième jour : l’anticipation prophétique du septième millénaire. Depuis 2018, l’Esprit m’a permis de connaître la date du commencement de ce septième millénaire soit, le jour du printemps 2030, le 20 Mars qui sera le jour où notre divin Seigneur et sauveur reviendra dans la gloire céleste de ses saints anges.

L’histoire humaine chrétienne est ainsi marquée par une succession de dates proposées par Dieu dans ses prophéties. Il offre ainsi à ses élus, mais à eux-seuls, un parcours fléché qui trace le programme préparé par Dieu. A la base de cette construction, se trouve la mort de Jésus, le mercredi 3 Avril 30 qui permet de situer son retour final pour le printemps 2030 soit, 2000 ans moins quelques jours.

Entre temps, les ténèbres du catholicisme romain ont prévalu depuis 313. Son règne du type papal s’est étendu entre 538 et 1798, cessant par l’action de la Révolution française qui a mis Pie VI en prison à Valence où il est mort en 1799.

La date suivante est 1844. Elle est obtenue comme terme des « 2300 soir-matin » soit 2300 années posées sur la date – 457 (réelle : – 458) ou « 7ème année du roi Artaxerxès » d’Esdras 7:7, qui conduit à la « 70ème semaine » (d’années) du ministère terrestre de Jésus-Christ, le « messie » prophétisé dans Daniel 9:25. La date 1844 ouvre le temps d’une grande purification de l’Evangile éternel déformé par des siècles de pratique enténébrée abominables. Et dans la Réforme protestante engagée au XVIème siècle, les protestants hypocrites, bien plus nombreux, ont captivé les esprits humains au détriment des vrais élus de Jésus-Christ de l’époque. C’est si vrai, que dans Daniel, dans sa prophétie, l’Esprit n’évoque pas cet événement de la Réforme, mais cible et développe uniquement le ministère du Christ (Daniel 9:24 à 27), le règne papal ténébreux (Daniel 7:8-24-25), et le temps de la purification doctrinale de 1844 (Daniel 8:13-14).

Mais 1844, n’est que le début d’une dernière phase qui s’achève tragiquement en 1994. Je précise qu’en raison de la découverte d’une erreur sur la date de base qui est – 458 et non – 457, les dates réelles de cette chaîne sont 26, 1843 et 1993. Cependant cette erreur ne change rien pour le jugement que Dieu a porté sur l’institution adventiste du septième jour ; ses fautes mortelles ayant été commises le 22 Octobre de l’année 1991 (demande d’entrer dans la Fédération protestante). Dans la même année, en Décembre, le message prophétique que je présentais au nom de Jésus-Christ a été rejeté et j’ai été radié officiellement de l’œuvre.

Les dates 1990 et 1991 se suivent et je relève qu’au même moment, l’église adventiste vivait le temps final de son alliance avec Dieu et que l’Europe des « dix cornes » accueillait dans son alliance, les pays de l’Est et leur haine de la Russie. La ressemblance est encore plus grande, puisqu’en même temps, les deux accueillent la malédiction qui va à terme causer leur perte ; pour l’Europe, les pays de l’Est, et pour l’Adventisme, le Protestantisme maudit par Dieu depuis 1843.

En entrant dans l’Europe, les pays de l’Est admis on reçu des aides financières européennes qui les ont aidés à se relever économiquement. En 1990, la candidature de l’Ukraine a été refusée à cause de sa corruption par l’Allemagne. Mais les autres pays ont été admis. Dans les pays Baltes et dans tous les pays sortis du camp de l’Est, la population comprenait des Russes. Et en raison de leur longue exploitation par la Russie, les vrais Baltes vouaient une grande haine à la culture russe. Et c’est dans ces pays Baltes que les premières mesures antirusses ont été adoptées ; ceci au détriment de la composante russophone et russophile. Un autre pays, la Pologne, a pris quelques temps pour revenir à son catholicisme historique, ayant eu elle-aussi à combattre l’esprit russe de la culture soviétique. Ainsi, elle est passée de « Solidarnosc » à l’adoration de Marie et de son pape Jean-Paul II. Son émigration vers les différents pays riches occidentaux a fini par causer le « brexit » ; la sortie de l’Angleterre de l’Union Européenne.

L’Europe a donc connu deux époques successives marquées par 2 traités de Rome. La première était une alliance commerciale, la seconde était une alliance beaucoup plus politique, exigeant des partenaires l’acceptation de gros compromis et la renonciation à leur indépendance. Et dans la seconde, la malédiction est entrée sous l’aspect des pays échappés du camp de l’Est à partir de 1990. Ensuite, renouvelant sa demande d’adhésion à l’Europe et l’OTAN, l’Ukraine a agressé la culture russe en persécutant les ressortissants russes vivant sur sa terre nationale à partir de 2013. Par cette action, un piège était tendu aux Européens victimes de leur nature maudite par Dieu. Ils ont réagi comme en 1992 au sujet des Balkans où la Bosnie Herzégovine était agressée par les Serbes. Rendus arrogants par le soutien américain de l’époque, ils ont voulu intervenir pour imposer leur justice européenne.

La guerre des Balkans a eut lieu à cause de la division des ethnies qui composaient l’ancienne Yougoslavie du dictateur Tito. Ce mot division est une clé biblique que présente Daniel 5. La nuit où le royaume de Babylone tomba entre les mains du roi Mède Darius, Dieu mit à l’épreuve le roi chaldéen Belschatsar, petit fils et successeur du roi Nébucadnetsar. Ce roi impie qui ne tira aucune leçon de l’expérience de son grand-père utilisa de manière profane les vases de sainteté du trésor du temple hébreu rapporté de Jérusalem. Dieu fit alors un miracle qui épouvanta le roi. Il vit une main écrire sur le mur quatre mots : « méné, méné tekkel, upharsin ». Daniel fut appelé pour expliquer la chose ; les mots signifiaient « compté, compté, pesé, divisé » : début du règne, « compté » ; heure de l’épreuve, « compté » ; jugement de Dieu, « pesé » ; sentence mortelle, « divisé ».

Ce principe compté, compté, pesé, divisé, est appliqué par Dieu dans toutes ses alliances provisoirement passées avec des serviteurs ; le diable en premier, Adam en second, les antédiluviens en troisième, Sodome et Gomorrhe en quatrième, Israël en cinquième punie après 40 ans d’épreuve, puis Israël en tant que nation sur la terre de Canaan, et la fin est arrivé avec la première venue de Jésus-Christ, pour le temps de son épreuve de confiance et de fidélité. Le messie étant rejeté Dieu porte son jugement : « pesé » ; en 70, les Romains détruisent Jérusalem et la sainteté, clergé, population et temple : « divisé ».

Le principe est encore plus évident pour l’ère chrétienne que la prophétie marque et découpe par des dates fixées par Dieu. Mais là encore, seule la période qui commence en 1843 débute sur une date obtenue par des durées bibliques chiffrées : 1828 ; 1843-1844 ; 1873, trois dates construites respectivement sur Daniel 12:11, Daniel 8:14, Daniel 12:12 ; 1994 obtenue par Apocalypse 9:5-10, et là s’achèvent les dates construites sur les durées chiffrées proposées et écrites dans la sainte Bible. A ce stade de l’avancement de l’histoire du christianisme tout ce qui devait s’accomplir avec l’église de Jésus-Christ en forme institutionnelle a été accompli. Je peux ainsi affirmer que le premier compté de l’église adventiste du septième jour est attaché à la date 1873. Cependant, l’épreuve de fidélité du type adventiste prend sa source au printemps 1843, date de la première attente du retour de Jésus-Christ. Cette attente fut renouvelée et suivie par une seconde pour la date du 22 Octobre 1844. Ce type d’annonce n’a pas été renouvelé avant mon annonce du retour de Jésus-Christ pour 1994, qui a été pour l’adventisme du septième jour, l’heure officielle de la fin du délai de « cinq mois » soit, 150 ans que Dieu avait programmés pour la mettre à l’épreuve. Les tractations engagées le 22 Octobre 1991 ont abouti et l’église a officiellement confirmé son rattachement à la Fédération protestante, dans l’année 1995.

Il est temps de comprendre que les dates construites par Dieu ont aujourd’hui l’intérêt de montrer à ses élus que son jugement est justifié, et qu’il a tout révélé ce qu’il allait faire. C’est alors qu’on peut comprendre que la précision des dates était réellement secondaire, puisque les vrais dates n’ont pas été connues avant 2018 par ses serviteurs ; l’année où la septième année du roi Artaxerxès m’est apparue comme étant – 458 et non – 457. Le message prophétique était donc faussé d’une année. Mais ce qui rend cette erreur sans importance, c’est l’intérêt que prend l’année 1991 et surtout le 22 Octobre 1991, date anniversaire de la seconde épreuve adventiste dans laquelle Jésus était attendu pour le 22 Octobre 1844. Ainsi, connaissant leur projet de rejoindre l’alliance protestante, Dieu leur a fait engager cette décision au jour anniversaire de la date où pour la première fois, les pionniers de l’œuvre ont été sélectionnés : « compté » ; la deuxième fois est arrivée en 1991 date du second « compté » ; en 1994, fin du délai accordé, Dieu a jugé « pesé » ; et en 1995 ils ont confirmés leur alliance avec la Fédération protestante écrivant spirituellement le mot « divisé ».

Alors que la prophétie de Daniel, l’ignore, Apocalypse donne sa plus grande part de révélation au protestantisme pour révéler aux élus de Dieu la malédiction qui frappe ce protestantisme depuis 1843. Car, cette prophétie était destinée à éclairer les derniers adventistes fidèles concernés par le vrai retour final de Jésus-Christ. Et tout adventiste digne de ce nom ne peut ignorer qu’en exigeant le respect de la pratique du repos du vrai sabbat, Dieu condamne son anti-modèle, le repos du premier jour de la semaine appelé par l’église catholique impie « Jour du Seigneur » ; ce qui est la traduction du nom d’origine latine « dimanche » ; ceci, afin de dissimuler son vrai nom romain originel qui est le « jour du soleil invaincu » comme l’appelait, avec ses autres adeptes païens, l’empereur romain Constantin 1er qui l’a imposé dans l’empire le 7 Mars 321 par un décret.

En évoquant le « dimanche » du catholicisme romain, je tiens le sujet qui explique toute la malédiction qui pèse sur nos sociétés occidentales européennes. Ainsi se crée le lien qui relie le religieux à la vie civile. Car croyant ou incrédule tout être humain subit le jugement de Dieu qui le justifie ou le condamne. Comme le nom de Daniel l’enseigne, Dieu est mon Juge, ton Juge, notre Juge. Le sort de chacun de nous dépend de son jugement. Alors peut-on trouver sur la terre quelque chose de plus précieux que ces révélations bibliques de Daniel et Apocalypse, dans lesquels Dieu écrit son jugement et les épreuves de fidélités successives, et par lesquels il va, jusqu’à la dernière minute de la vie terrestre, tester la fidélité de ses élus ?

L’incroyant va devoir payer comme le croyant infidèle sur la terre actuelle les conséquences du mépris des avertissements que Dieu a rendus disponibles à toute personne désireuse de l’honorer et le servir. C’est l’inspiration de l’Esprit qui me permet de comprendre aujourd’hui comment mon pays la France a construit les malheurs qui vont le frapper terriblement. Mais sachant ces choses, je ne me considère déjà plus comme un français mais comme un habitant du monde parce que le jugement de Dieu est à cette échelle universelle. Depuis Babel, le monde est divisé par des langues qui ont justifié le regroupement en tribus, en peuples, en royaumes et en nations. En notre époque, le développement d’internet et des réseaux d’informations ont permis de surpasser le problème des langues. En conséquence, l’Europe s’est construite dans un grand rassemblement de langues différentes parlées. Mais pour chaque simple individu de cet ensemble, son lien relationnel ne passe que par son langage natal. L’intérêt des alliances n’est pas pour la masse populaire qui ne quitte parfois pas les limites de son département ou sa région. Les alliances comme celles de l’U.E. n’ont réellement d’intérêt que pour les dirigeants politiques et les grands patrons d’industrie ou du commerce. Le but recherché est l’extension commerciale : plus de clients pour plus de profits. La guerre qui vient a pris sa source dans le soutien donné à l’Ukraine, mais qui a décidé de donner ce soutien ? Le peuple ? Non, ses dirigeants politiques, aveugles envers tout ce qui n’est pas la politique. Car il est encore une terrible malédiction qui explique la facilité de diriger une masse populaire ; cette malédiction est la spécialisation professionnelle des individus. Les multitudes humaines sont divisées par les sujets de leurs intérêts. Chacun devient un expert dans son domaine, mais devient un âne envers ce qui n’est pas dans son centre d’intérêt. Je compare l’homme moderne à une personne myope comme une taupe qui marche au ras du sol, les yeux fixés sur le sol qui est devant eux. La vie est un tout multiple, elle ne peut être comprise que dans un regard panoramique englobant le plus large possible. Mais cette description n’est pas celle de gens spécialistes qui ne comprennent rien à ce qui sort de leur spécialité, simplement, parce qu’ils n’y prennent pas d’intérêt. La personnalité des gens repose sur leur profession ; on est docteur, professeur, secrétaire, ouvrier agricole, ouvrier dans l’industrie ou le bâtiment, alors qu’il faudrait simplement être l’homme fait à l’image de Dieu. Non seulement, la spécialisation professionnelle restreint le champ de l’analyse mais encore elle concentre l’attention sur la vie charnelle, la vie physique et elle rend difficile aux gens la possibilité de s’intéresser au sujet spirituel qui traite de l’invisible, l’immatériel.

Dieu a été contraint de m’arracher à ma vie active, en me présentant deux fois en une année sa « Tragédie des Siècles » tant mon activité de musicien me retenait. Quand je pense à cet appel de Dieu, je pense à l’appel d’Abram cité dans Genèse 12:1 : « YaHWéH dit à Abram : Va-t-en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai. » En vérité, nous ne pouvons évaluer l’offre du Seigneur qu’en étant déconnecté de nos activités professionnelles qui exercent sur nous une puissance qui nous tient esclave. Une fois libéré, j’ai pu apprécier à sa juste valeur le privilège d’être ainsi délivré d’une passion que je trouvais normale et que tout homme trouve normal. Le problème est ainsi, dans notre normalité qui exclut l’intérêt pour le sujet spirituel. Et je parle d’un intérêt basé sur l’intelligence, le désir de comprendre, afin d’obéir au Dieu invisible pour entrer dans ses grâces. Dans mon cas, ma normalité gardait une place pour le spirituel, je lisais, sans la comprendre, la prophétie d’Apocalypse et c’est pourquoi, Dieu m’a appelé pour le servir. Je n’avais besoin que d’être détaché de l’activité de musicien guitariste qui faisait danser les gens les samedis et les dimanches, dans ma région. Dieu m’a laissé le choix et j’ai dû prendre la décision de la rupture, à l’évidence, nécessaire.

Je suis maintenant convaincu que tout être humain a la nécessité d’être libéré de tout ce qui le rend spirituellement aveugle. Cette libération peut être partielle car l’homme doit vivre de son travail, mais son travail ne doit pas le rendre esclave afin de garder du temps pour son instruction spirituelle. La connaissance spirituelle devient alors une normalité compatible avec une vie professionnelle active modérée et équilibrée.

Les conditions de vie de la Genèse ont disparues en notre époque moderne. L’incrédulité généralisée et particulièrement en France, l’incroyance, sont les fruits de la vie moderne qui offre à l’humanité, le confort matériel et une relative sécurité ; de plus en plus attaquée et mise en danger. Après le péché originel, Dieu a transformé sa création ; nous lisons dans Genèse 3:17-18 : « Il dit à l'homme : Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l'arbre au sujet duquel je t'avais donné cet ordre : Tu n'en mangeras point ! Le sol sera maudit à cause de toi. C'est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l'herbe des champs. C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes dans la terre, d'où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière. »

Pour Adam et sa descendance, le travail était devenu dur et indispensable pour survivre. Dieu a volontairement rendu dur le travail de la terre, trouvant là le moyen de rappeler à l’homme sa culpabilité qui en fait un être devenu mortel. Relève l’intérêt de cette expression : « C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain ». Qui aujourd’hui en Occident, mange son pain à la sueur de son front ? Quand j’étais encore un enfant j’ai assisté au battage du blé et j’ai vu des hommes sur les fronts desquels coulait la sueur dans laquelle se collait la poussière créée par la batteuse de l’époque. Aujourd’hui, c’est assis confortablement dans un gros véhicule agricole que l’homme moissonne et récolte le grain de blé ; sans sueur et sans poussière. La vie moderne fait oublier le péché et ses conséquences. En perdant de vue le péché, l’être humain ne voit plus non plus le Dieu créateur qui a condamné son péché. Dans de nombreux domaines, la vie moderne efface les conséquences du péché et il en est ainsi depuis Babel où Dieu sépara les hommes par des langues ; mais aujourd’hui, les langues ne les séparent plus, des appareils informatiques traduisent en temps réel toutes les langues en toutes langues. Pour la santé c’est pareil ; des médicaments permettent de soigner toutes sortes de maux et maladies. La pharmacopée offre ses productions pour soustraire l’homme aux conséquences de ses transgressions alimentaires ou de son type d’existence. Tous ces palliatifs modernes suppriment la pensée vers Dieu. Et nous avons là, l’explication des paroles tenues par Jésus qui a dit dans Luc 18:18 : « Je vous le dis, il leur fera promptement justice. Mais, quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » La question que Jésus pose concerne la quantité et la qualité de la foi que la vie moderne rend rare. Pour lui le modèle parfait fut son expérience et celle de ses onze apôtres, le douzième étant un démon. Si Jésus met en doute cette possibilité de trouver la foi quand il viendra, c’est parce que le long temps de paix des 80 années comprises entre 1945 et 2025 a presque intégralement tué la vraie foi. La guerre, la vie précaire menacée de mort vont réveiller la vraie foi mais uniquement pour la dernière épreuve adventiste.

Nous sommes entrés dans cette dernière épreuve adventiste du septième jour depuis le printemps de l’année 2018, en lequel Jésus-Christ m’a fait connaître avec mon frère en Christ, Joël, la date de la dernière attente de son retour glorieux qui sera le jour du printemps 2018 pour l’hémisphère Nord de la terre. C’est donc la quatrième annonce de sa venue depuis 1843. Cette fois, le calcul donnant ce résultat est des plus simples et sans lien avec les chaînes datées précédentes. Sur un total de 6000 années de sélection des élus par Dieu, les 4000 premières années conduisent à la mort de Jésus-Christ ; et les 2000 années restantes nous mènent à sa seconde venue, cette fois glorieuse, divine et céleste, au printemps 2030 où s’achèveront les 6000 années de la vie terrestre et des péchés humains.

Cette dernière attente adventiste est prophétisée par Jésus dans sa parabole des « dix vierges ». Et je relève encore une application parallèle de cette parabole sur le plan spirituel et sur le plan civil profane. Dans la parabole, des vierges sages se préparent pour le retour de l’époux. Les vierges folles ne se préparent pas et quand l’époux revient, elles ne sont pas prêtes. L’époux repart avec les vierges sages et les vierges folles sombrent dans le désespoir. Ce récit résume l’essentiel de cette parabole. J’ajoute cette précision : la préparation consiste à remplir les vases d’huile symbole du Saint-Esprit de Dieu en Jésus-Christ.

Le sujet de cette parabole est donc l’impréparation. Et que se passe-t-il en cette heure dans l’U.E. ? Un brutal changement de comportement du chef des USA, place l’Europe impréparée militairement à devoir faire face à une menace Russe, justifiée depuis que l’Europe s’est associée à la cause de l’Ukraine. Dans le spirituel et le civil, l’impréparation est mortelle ou porte des conséquences mortelles. Je n’exagère pas en disant que pour mes Français ex gaulois, le ciel leur tombe sur la tête. Et à son tour, Jean de la Fontaine leur dit, moqueur, par sa fable du lièvre et de la tortue : « Rien ne sert de courir ; il faut partir à point ». Un autre dicton dit : « le temps perdu ne se rattrape jamais ». Pris de panique en apprenant que Donald Trump gèle momentanément toutes les aides militaires destinées à l’Ukraine, les nations de l’U.E. s’entêtent et cherchent le moyen de remplacer l’aide des USA. Problème ! Les finances européennes ne sont pas au mieux. Et les décisions pour des énormes dépenses militaires sont difficilement acceptées dans des nations démocratiques. Mais, la 5ème République est une monarchie républicaine et le grand pouvoir détenu par son président autoritaire saura obtenir des députés l’investissement que sa seule décision guerrière personnelle rend nécessaire pour honorer son engagement envers l’Ukraine. Le jeune président Macron va coûter de plus en plus cher aux Français qui l’ont élu.

Aujourd’hui, le mercredi 5 Mars 2025, Donald Trump vient de porter un coup décisif contre l’Ukraine, en lui coupant l’aide de la recherche satellite si précieuse pour expliquer ses destructions précises d’objectifs stratégiques russes. Cette décision provoque la panique des dirigeants qui réalisent qu’ils sont cette fois vraiment seul en face de la Russie. En conséquence, en France, le président Macron adresse ce soir un discours aux Français pour dit-on officiellement, rassurer les Français soudainement très inquiets. Il est grand temps pour eux de se réveiller, car à ce sujet, je relève encore la même longue indifférence pour la politique civile et la religion du Dieu créateur. Le président a cité le temps de l’innocence des Français insouciants ; le mot innocence ne convient pas pour désigner une coupable indifférence qui les rend aveugles et sourds. Le discours dont le but annoncé est de rassurer les Français a en réalité le but de les inquiéter suffisamment pour qu’ils soient prêts à consentir à de gros sacrifices financiers et sociaux.

S’ils avaient été réveillés et intelligents les Français auraient comme moi relevé la véritable escroquerie que constitue la création de l’U.E. Et à ce sujet je relève encore une démarche identique entre le fonctionnement de l’Europe et la gestion nationale interne française. Un président français a eu l’idée de faire payer par l’entreprise nationalisée d’EDF la création de nouveaux concurrents. Faut-il être stupide pour croire que cette concurrence peut faire baisser les prix, alors qu’elle n’ajoute que l’enrichissement de personnes qui se nourrisse en parasite sur la production d’EDF. Et l’Europe fonctionne de la même manière, faisant financer leurs concurrents par les pays membres anciens les plus riches.

Quatre personnes ont décidé d’aider l’Ukraine et portent l’entière responsabilité du drame vers lequel nous nous dirigeons : Joe Biden, Volodymyr Zelensky, Ursula Von der Layen, Charles Michel, et après leurs engagements, le ministre anglais Boris Johnson et Emmanuel Macron. Les Français sont désinformés par 3 chaînes info privées appartenant à des propriétaires privés richissimes, dont la puissante famille Bouygue, père et fils, qui fut à l’origine de la demande de la loi du regroupement familial. Je suis né avant la création de l’Europe et j’ai donc pu assister, jour après jour, à l’abandon de l’indépendance nationale et ses conséquences : un abandon laxiste de la gestion du pays par les hommes politiques. Quant à l’Europe, elle n’a pas cessé de détruire l’emploi français pour favoriser l’investissement des actionnaires dans les pays pauvres entrants.

La malédiction divine s’est installée sur la France très progressivement et le premier signe de celle-ci, a été le passage à la 5ème République, à demi, démocratique et à demi, dictature. Les presque pleins pouvoirs remis à un seul homme étaient un vrai danger, un vrai risque qui a conduit à notre situation actuelle. Le président Sarkosy a mis le chaos en Libye, son successeur François Hollande a trahi ses électeurs ; l’ennemi de la finance l’a grandement enrichie. Et en nommant ministre E.Macron, il a facilité sa présidence, bien qu’il ait témoigné d’arrogance envers la population. Et sur ce sujet, les deux présidents se valent ; le vieux se moque dans le privé des « sans dent » et le jeune harangue et tangue des jeunes hommes au cours de ses déplacements.

Il est évident et logique que l’indifférence est un trait de caractère qui se révèle autant dans les sujets civils que les sujets religieux. Ainsi les mêmes gens marqués par ce comportement indifférent sont les victimes des escroqueries politiques et des escroqueries religieuses qui conduisent l’une et l’autre à la mort ; la première mort, pour l’escroquerie politique, et la seconde mort, pour l’escroquerie religieuse. Mais en réalité, c’est le comportement envers le sujet religieux qui détermine la réaction de Dieu qui livre, alors, sa créature à l’aveuglement de l’indifférence et ce faisant, à ses ennemis politiques et religieux qui causent sa perte.

Le peuple français qui n’a pas d’oreille pour écouter la vérité de Dieu est abreuvé de mensonge par les hommes politiques et les médias sur les plateaux desquels des anciens officiers en retraite rejouent l’arrogance de 1914 et 1939. Ces plateaux télévisés se transforment en réunions d’Etat-major où chacun présente son opinion, dans la pensée unique de la culpabilité russe. Non ! La guerre n’a pas commencé en 2022, mais en 2013 par un renversement du président ukrainien russophile élu, et après ce renversement, par la chasse à l’homme russophile sur tout le territoire de l’Ukraine, jusqu’en 2022, où la Russie est intervenue pour défendre ses ressortissants ukrainiens russophiles et russophones.

En résumé, que s’est-il passé ce soir ? Un président pompier incendiaire s’est adressé aux français plus divisés que jamais dans toute l’histoire de France pour demander leur aide afin déteindre le feu qu’il a allumé. Sur qui compte-t-il ? Sur ces Français adoptés ayant fui la guerre dans leur pays d’origine ? Ou sur ces Français porteurs de deux ou trois nationalités ? Et parmi eux se trouvent les vrais ennemis de la France qu’ils détestent, étant eux-mêmes motivés par un engagement religieux musulman.

L’Europe et la France partage les mêmes problèmes, les deux sont extrêmement divisées et ne savent pas dire « non » au pays qui veulent entrer dans son alliance. Pourtant, aux deux, savoir dire « non » aurait évité la guerre de l’Ukraine et pour la France, l’adoption de l’île de Mayotte peuplée uniquement de Musulmans. Le « non » est regardé comme une réponse autoritaire, alors que le « oui » témoigne de l’humanisme bien pensant. Plus nombreux, les soutiens du « oui » sont responsables de toutes les erreurs de choix acceptées, dont l’U.E.

M20- Regard spirituel sur le monde de 2025


Il me semble l’avoir déjà dit, mais, longtemps, la cause de la séparation de l’Amérique de l’Europe occidentale était pour moi une question sans réponse, car elle n’était pas encore l’U.E. arrogante actuelle. Dieu avait donc une bonne raison de cibler en priorité cette U.E. des « dix cornes » qui concentre toute les causes de sa colère sur le Vatican, l’Etat pontifical romain. S’il est vrai, que les USA sont historiquement une excroissance de l’histoire européenne, il est tout aussi vrai que ce fils est entré en concurrence avec sa mère, qu’il est prêt à sacrifier, commettant ainsi un matricide typiquement grec, sa mère étant nommée « Europa ». Mais le serviteur éclairé que je suis ne s’étonne pas de cette chose, puisque je répète depuis longtemps que les nations n’ont pas d’ami, mais que des concurrents qui privilégient leurs propres intérêts et Donald Trump est, sur ce sujet, pire que l’Harpagon avare de Molière. La vie réelle n’est pas celle que fantasment les « Bizounours » de la télévision enfantine. Et les symboles de « bêtes » auxquelles Dieu compare les régimes autoritaires du monde occidental confirment ce jugement.

Ce jour est le Jeudi 6 Mars, le jour du Jupiter romain ou Zeus grec. Après son discours adressé au peuple français, le président Macron, fortifié par bientôt 8 années de présidence, a lancé un appel vers ses collègues étrangers pour organiser la défense européenne. Et des journalistes ont évoqué le retour du « Jupiter » français, fort à propos. Il est vrai que depuis son apparition dans le cadre du Louvre, en 2017, ce jeune nouveau « Bonaparte » ambitionne de devenir le nouveau « Napoléon ». Et pour s’en convaincre, il suffit de se rappeler de cette déclaration qu’il fit à propos du virus Covid-19, dans un discours adressé aux Français : « Nous sommes en guerre ». Notre jeune ambitieux pensait combattre un virus alors qu’il combattait déjà contre Dieu. Il avait raison, car Dieu lui a, dès ce moment, déclaré la guerre. Nous serons demain le vendredi 7 Mars, date anniversaire du 7 Mars 321, en laquelle le sabbat du « sceau du Dieu vivant » fut remplacé par le « jour du soleil invaincu » de l’empereur romain païen Constantin 1er le grand. Dieu va-t-il marquer cette date par un fait grave et important ? Je le saurais dès demain. Mais déjà aujourd’hui, la rencontre organisée à Bruxelles peut favoriser pour notre « Bonaparte » un pas de plus vers le futur « Napoléon ». Ce qui est sûr, c’est que son discours dans lequel il présente la menace russe a fortement irrité les dirigeants de la Russie qui prennent ce discours comme une déclaration de guerre. Pour devenir le nouveau « Napoléon », le président Macron a quelques avantages sur ses collègues européens. Et le premier de ces avantages est qu’il dispose de l’arme nucléaire et qu’il est le seul à détenir depuis la sortie des Anglais de l’U.E. Ceci me conduit à confirmer la malédiction de la maîtrise de cette arme redoutable, décision prise par le valeureux Général de Gaulle. Pourquoi, malédiction ? Mais parce que cette arme terrifiante a conduit les présidents français à se croire plus puissants qu’ils ne l’étaient en réalité. Pour être clair, disons qu’elle a favorisé leur « arrogance » ; cette « arrogance » que le Tout-puissant Dieu créateur tient en horreur depuis qu’elle a été la cause de sa punition humiliante infligée à l’orgueilleux roi Nébucadnetsar.

De l’avis de militaires qui savent de quoi ils parlent, la restructuration de l’Europe pour produire son propre armement ne donnera des résultats que dans un délai de dix à 15 années. Ce qu’ils ignorent, c’est que Dieu ne leur laisse plus que cinq ans avant de les exterminer. Ils vont donc prendre des résolutions et décider de beaucoup de choses qui ne seront jamais appliquées. Si je compare leur situation à la « parabole des dix vierges », ils viennent de découvrir que leurs vases d’huile sont vides et qu’ils doivent se rendre chez les marchands d’huile pour les remplir de nouveau. Et au milieu de leur projet, ils sont surpris par les attaques successives du « roi du midi » et du « roi du septentrion » de Daniel 11:40. Quelle précieuse prophétie qui a changé mon âme entière ! L’explication de Daniel 11:40 à 45 est si subtile que seul l’Esprit qui l’a fait écrire par Daniel pouvait en donner l’explication. Et comme on peut le constater, cette annonce ne visait pas à prévenir les humains pour qu’ils empêchent Dieu d’accomplir son projet destructeur. Mais elle avait pour but de faire savoir aux saints élus que ce drame doit venir de Dieu, qu’il en est l’auteur et l’organisateur suprême. En effet, désormais, personne devant l’évidence ne va ignorer les faits réels vécus, mais seuls, les élus avertis de ces choses vont les attribuer à la volonté du Dieu créateur, lui-même. Pour un lecteur superficiel, la prophétie de Daniel 11 met en scène 2 entités principales qui sont les « rois du midi » lagides et les « rois du septentrion » séleucides ; et de temps en temps, une troisième entité qui concerne Rome. A Partir du verset 36, l’Esprit cible en priorité, cette entité romaine devenue papale en 538 pour 1260 jours-années cités en années solaires dans Daniel 7:25 : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps. »

L’idée d’un saut de plusieurs siècles d’histoire entre les versets 33 et 36 ne s’invente pas ; elle est inspirée par Dieu ou ne l’est pas. Pour s’ouvrir à cette explication, mon esprit avait été préparé par Dieu à une analyse de synthèse de tous les chapitres du livre de Daniel, ce qui n’a jamais été fait avant moi. Car en effet, l’étude individuelle des chapitres est édifiante, mais ne conduit pas loin le lecteur, alors que la synthèse globale construit des révélations subtiles impossibles à identifier sans ce moyen. Pour saisir la logique de la pensée de Dieu, il faut impérativement lui ressembler soit, bénéficier d’une grande ouverture d’esprit et regarder la Bible entière comme étant le support d’une gigantesque somme de données fournies pour éclaircir un code secret. Comme les robots informatiques, les hommes superficiels ne voient que les mots, car ils sont eux-aussi incapables de discerner les allusions subtiles proposées par Dieu ; et ceci, tout simplement parce qu’il ne le leur permet pas.

Dans Apocalypse 18, Dieu a utilisé des termes qui permettent de comprendre la séparation des USA du camp de l’U.E. soutien de la Rome papale. Le camp européen est associé à « Babylone la grande, devenue un repaire de tout esprit impur et odieux » ; l’Esprit évoque en dehors de ce camp, « les marchands de la terre » qui désignent subtilement les marchands protestants américains soit, ce qui caractérise ce que devient l’Amérique nouvelle de Donald Trump, le modèle du genre, qui n’hésite pas à profiter de la faiblesse de l’Ukraine pour lui faire signer son accord pour gérer les richesses minières, les terres rares du pays.

Apocalypse 18 cible l’heure du dernier châtiment de Rome après le retour du Christ et l’enlèvement de ses élus rachetés vers son royaume céleste. La Rome catholique papale est ainsi livrée à la colère de ses adeptes trompées par ses mensonges religieux. Cette action cible particulièrement les survivants de l’Europe. Nous lisons les versets 9-10 : « Et tous les rois de la terre, qui se sont livrés avec elle à l'impudicité et au luxe, pleureront et se lamenteront à cause d'elle, quand ils verront la fumée de son embrasement. Se tenant éloignés, dans la crainte de son tourment, ils diront : Malheur ! Malheur ! La grande ville, Babylone, la ville puissante ! En une seule heure est venu ton jugement ! » Ces « rois de la terre » sont les puissants dirigeants européens qui ont soutenu le catholicisme ou l’Etat pontifical romain. La phrase clé du verset 19 est : « Se tenant éloignés dans la crainte de son tourment ». L’ayant soutenue et approuvée, ces dirigeants craignent d’être traités comme « Babylone la grande ». Et la colère de leur peuple les frappera en toute divine justice.

Cette action punitive est prophétisée dans Apocalypse 17:16 : « Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu. » Selon Apocalypse 17:12, « l’heure » citée désigne le temps de la dernière épreuve de foi finale : « Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête. » « Mais qui reçoivent autorité comme roi » cible « l’heure » où les « dix cornes et la bête qui monte de la terre » jugeront et détruiront la « prostituée » soit, la ville de Rome. Cette subtilité repose sur la définition du rôle des « rois et des trônes » donnée dans Apocalypse 20:4 : « Et je vis des trônes ; et à ceux qui s'y assirent fut donné le pouvoir de juger… »

Après le camp des coupables catholiques, l’Esprit cible les Protestants, les derniers grands « marchands de la terre », au verset 11 : « Et les marchands de la terre pleurent et sont dans le deuil à cause d'elle, parce que personne n'achète plus leur cargaison, …»

Ensuite nous lisons les versets 15-16 : « Les marchands de ces choses, qui se sont enrichis par elle, se tiendront éloignés, dans la crainte de son tourment ; ils pleureront et seront dans le deuil, et diront : Malheur ! Malheur ! La grande ville, qui était vêtue de fin lin, de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles ! En une seule heure tant de richesses ont été détruites ! » Relevons avec intérêt, que ces Protestants « marchands de la terre » craignent eux-aussi de subir le sort de la Rome catholique, et la cause de cette « crainte » justifiée est leur soutien donné au « jour du soleil » romain, le « dimanche » qu’ils ont justifié en tant que « premier jour » qui honore la résurrection de Jésus-Christ ; ce que Jésus ne leur a jamais ordonné de faire. Les adeptes du protestantisme auront donc autant de raison, que les catholiques, de verser le sang de leurs pasteurs qui ont soutenu la justification du repos dominical romain maudit par Dieu. Dans ses dernières déclarations officielles, Donald Trump a confirmé son projet de prendre le contrôle du canal de Panama et son désir de construire de nombreux navires, pour transporter les produits commerciaux confirmant ainsi sa nature de « marchand de la terre » prophétisé par Dieu.

Ayant maintenant démontré ce qui fait sa priorité, Donald Trump sera prêt à tout pour parvenir à préserver la paix mondiale qu’il veut instaurer. Autant dire que ceux qui vont être tenus pour responsables de son échec devront en payer chèrement le prix. Et c’est dans ce rôle néfaste pour ce projet de paix que le chef de guerre Macron va intervenir dans son action défensive réactive à la crainte d’une attaque russe. Et il agit bien ainsi depuis le commencement en pompier incendiaire qui allume le feu qu’il prétend vouloir éteindre. Depuis le début, la Russie ne voulait que retenir l’Ukraine dans son camp de l’Est et elle n’avait aucunement l’intention d’arrêter ses échanges commerciaux avec l’Occident ; et donc aucune raison de l’attaquer. Le drame qui vient repose sur une fausse interprétation des faits qu’on appelle un procès d’intention. Et toutes les décisions prises par les dirigeants de l’U.E. n’ont consisté qu’à se ranger sous la bannière de l’agressif Joe Biden qui détestait la Russie et son président Vladimir Poutine. Ce dernier est resté au pouvoir depuis 1991, ce qui a offert à la Russie une grande stabilité politique et économique. En opposition complète à ce modèle, les nations occidentales démocratiques libérales changent de gouvernement tous les 4, à 7 ans, selon les pays. La protection du bouclier américain a rendu les Occidentaux arrogants et interventionnistes. Et là, les ONG humanistes sont principalement en cause. Elles ont exercé une pression constante sur les hommes politiques et les journalistes des médias pour les pousser à intervenir dans des conflits étrangers comme la guerre des Balkans, allant jusqu’à faire juger le chef Serbe par le tribunal européen de la Haye prétendu international, alors que seule l’Europe occidentale le reconnaît. Et je dois encore rappeler le rôle belliqueux et agressif tenu par le président Sarkozy qui a mis le chaos en Libye et offert, aux islamistes ennemis de l’Occident, un nouveau territoire, pour élargir leur influence agressive.

Alors que l’actualité continue de diriger les regards vers l’Ukraine et la Russie, dans l’ombre et le silence, « le roi du midi » prépare son attaque contre l’Occident. C’est encore Dieu qui va choisir le moment pour la lancer. Car la haine islamiste ne s’achète pas et ne peut s’éteindre par un quelconque moyen parce que Dieu lui-même l’attise. La religion de l’islam a été instaurée uniquement pour être pour Dieu un instrument punitif contre l’infidélité du catholicisme romain. C’est pourquoi elle fut fondée par son prophète Mahomet sur la fin du VIème siècle immédiatement après l’instauration du régime papal en 538. Il est temps de tenir compte de cette prophétie que Dieu a fait sur la descendance arabe d’Ismaël le patriarche des arabes musulmans actuels. Dieu dit d’Ismaël et subtilement, de sa descendance, dans Genèse 16:12 : « Il sera comme un âne sauvage ; sa main sera contre tous, et la main de tous sera contre lui ; et il habitera en face de tous ses frères. » Ce portrait robot n’est-il pas conforme à la réalité témoignée par l’histoire ? Si les dirigeants français avaient eu connaissance de cet avertissement divin, auraient-ils pris le risque de laisser l’islam s’installer en France sur leur territoire national ? Certainement, non ; sous condition qu’ils croient à son existence et qu’il est bien l’auteur de ces propos bibliques. Ce récit de Genèse 16 prend pour nous en 2025 une très grande importance, en raison de l’agression imminente des islamistes contre l’Europe « chrétienne », même si elle l’est infidèle envers Jésus-Christ. Dans Genèse 16 la scène décrite est semblable à la situation relationnelle actuelle des Juifs et des Musulmans. On y voit, Agar la servante égyptienne être maltraitée par sa maitresse Saraï, l’épouse légitime d’Abram l’Hébreu ; ceci, de même, qu’à Gaza, les Palestiniens subissent de la part des Juifs la colère allumée par le raid meurtrier du 7 Octobre 2023. Et Dieu, pensant au rôle des descendants d’Ismaël permanent jusqu’à leur disparition finale dit à sa mère Agar, au verset 10 : « L'ange de YaHWéH lui dit : Je multiplierai ta postérité, et elle sera si nombreuse qu'on ne pourra la compter. » J’ajoute, malheureusement, pour l’Occident.

Dans l’invisibilité, les anges de Dieu s’activent auprès des personnes de grande influence comme l’ange Gabriel qui révèle son action à Daniel dans Daniel 10 :13 : « Le chef du royaume de Perse m'a résisté vingt et un jours ; mais voici, Micaël, l'un des principaux chefs, est venu à mon secours, et je suis demeuré là auprès des rois de Perse. » Gabriel a reçu l’aide de Micaël celui qui allait venir s’incarner et naître sous le nom de Jésus de Nazareth. Où est donc Gabriel en ce début du vendredi 7 Mars 2025 ? Avec Donald Trump, Vladimir Poutine, ou encore Emmanuel Macron ? Toute l’œuvre divine est assurée par des multitudes de bons anges chargés d’orienter les décisions humaines face aux mêmes tentatives pratiquées par les anges démoniaques. Mais les bons anges bénéficient de la puissance divine pour vaincre le camp ennemi et imposer le projet décidé par Dieu ; ceci, de même que le vainqueur impose sa loi au vaincu. L’exemple présenté dans Daniel 10:13 le prouve, quand la chose est nécessaire, Micaël intervient en personne directement.

Nous sommes entrés, juste avant le printemps qui vient, en ce 7 Mars 2025, anniversaire du 7 Mars 321, dans un temps de vérité qui revient en force. En effet, l’extrême franchise décomplexée du président Trump met fin à des décennies de situations hypocrites dans tous les domaines, à cause des conventions établies par les sociétés démocratiques républicaines dès la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Seule l’époque du Général de Gaulle fut marquée par cette franchise politique. Le général ne cachait pas ses idées et il a donné à la France une totale indépendance que ses successeurs ont sacrifiée pour construire l’U.E. actuelle. La construction de cette alliance européenne a reposé sur une hypocrisie majeure, puisque cette démarche a été présentée comme un facteur de paix durable pour ses membres adhérents. En réalité, c’était la paix installée qui a permis la construction de cette alliance hypocrite que Dieu a supportée jusqu’en 2022 année où la guerre est revenue sur le continent, après celle des Balkans. L’Europe devait assurer la paix ; elle a pris parti pour la guerre au côté de l’Ukraine. Elle devait assurer la prospérité ; la France est plus appauvrie et endettée que jamais. Elle devait défendre ses valeurs ; elles sont plus compromises que jamais, étant prête à être détruite par ses ennemis du « midi » et du « septentrion ». Et je me dois de rappeler que depuis l’abandon des monnaies nationales et l’adoption de l’Euro, les prix alimentaires des fruits de saison ont été multipliés par 10 soit, ils ont progressivement augmenté de 1000 % ; ce qu’aucun journaliste ou homme politique dénonce. Ceci est directement la conséquence du passage sous les directives du gouvernement européen qui laissant libre le marché engraisse les gens les plus riches et les plus cupides ; les seuls qui profitent de l’Europe et de sa libre concurrence.

En ce jour du 7 Mars 2025, des messages publics sont échangés par médias interposés, entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron. Hier, Mr Poutine a comparé Mr Macron à Napoléon (j’avais eu cette même idée) et mr Macron a rappelé depuis Bruxelles que le seul pays envahisseur actuel c’est la Russie qu’il a jugée « révisionniste ». Au cours de la réunion tenue à Bruxelles proposée par Mr Macron à ses collègues européens, le président français a déclaré ouvertement que la menace pour l’Europe était la Russie. Aujourd’hui, visiblement irritée par cette présentation ; la Russie menace l’Europe de mesures prises contre elle. Ainsi, la confrontation entre l’Ukraine et la Russie change et devient l’Europe contre la Russie. Ces propos ne font que prophétiser la situation vers laquelle on se dirige, jour après jour. Après un intense bombardement sur l’Ukraine rendue aveugle par l’arrêt des renseignements américains stratégiques, nous apprenons que deux mirages offerts par la France sont entrés en activité pour protéger le ciel de l’Ukraine. Ce n’est qu’un début mais qui fait la guerre, le soldat ou son armement ? Quand cet équipement représente, la formation militaire, la dotation d’armes sophistiquées modernes précises, en camions, tanks, en canons et obus, en missiles et en avions ? Qui fait la guerre ? L’homme ou le fournisseur du matériel ? Je crois que Mr Poutine s’est déjà fait une opinion sur ce sujet et qu’il ne manquera pas l’occasion de la faire connaître brutalement et soudainement dès que l’opportunité de l’heure le lui permettra et l’y contraindra. J’ajoute ceci, quand les relations internationales deviennent aussi tendues et publiques, quelle valeur les conventions relationnelles établies jusque là peuvent-elles conserver dans les camps opposés ? Entre l’Occident européen et la Russie, les prises de position sont de plus en plus clairement et publiquement présentées, l’engrenage infernal mis en route le 24 Février 2022 se prolonge et arrive vers son terme : l’heure de l’engagement officiel de la Troisième Guerre Mondiale que Dieu a prophétisée dans Daniel 11:40 à 45, dans Apocalypse sous le symbole de la « sixième trompette » d’Apocalypse 9:13 à 21 ; et dans Ezéchiel 38 et 39.

Il a suffit à Dieu, de conduire au pouvoir des USA, son « joker », Donald Trump qui vient, comme Antiochos IV Epiphane pour les Juifs, favoriser le châtiment des Européens qui le haïssent très largement, du politique au journaliste, les deux agents informateurs, et beaucoup plus souvent désinformateurs, des populations européennes.

Connaissant la fin que Dieu va donner aux événements, la bonne entente actuelle entre Mr Poutine et Mr Trump reproduit ce moment de l’histoire qui concerne le roi grec séleucide Antiochos IV et son neveu égyptien lagide Ptolémée VI,  dans Daniel 11:27 : « Les deux rois chercheront en leur cœur à faire le mal, et à la même table ils parleront avec fausseté. Mais cela ne réussira pas, car la fin n'arrivera qu'au temps marqué. » Tout en évoquant « la fin » de l’expérience du roi grec séleucide Antiochos IV, l’Esprit suggère que la situation décrite ressemble à celle qui prévaudra avant le vrai « temps de la fin » qui nous concerne aujourd’hui et qui vient « au temps marqué » par Dieu qui le décrit dans Apocalypse 9:15 comme étant : « l’heure, le jour, le mois et l’année ». Ce vrai temps de la fin qui nous concerne aujourd’hui est évoqué dans Daniel 11 :40 : « Au temps de la fin, le roi du midi se heurtera contre lui. Et le roi du septentrion fondra sur lui comme une tempête, avec des chars et des cavaliers, et avec de nombreux navires; il s'avancera dans les terres, se répandra comme un torrent et débordera. ». La guerre qui a éclaté en Ukraine depuis l’année 2013 dans laquelle je situe son commencement sur le sol ukrainien de la place Maïdan, à Kiev où un soulèvement populaire d’Ukrainiens nationalistes a renversé le président ukrainien Russe légitimement élu en exercice parfaitement légal. La cause de ce soulèvement populaire a été la demande de l’entrée de l’Ukraine dans l’alliance européenne par une composante ukrainienne du peuple. Et je me souviens encore de cette réflexion faite par un journaliste d’une télé-information qui a dit, parlant des insurgés : « Oh ! Et parmi eux, il y a des nazis ! » Ce témoignage prouve combien l’Occident ignorait tout de l’Ukraine. Mais ce qui est le plus étonnant, c’est qu’après cet événement, il a été souvent rappelé que les Ukrainiens ont pour héros national ce SS nazi ukrainien nommé Bandera. Et malgré cela, le soutien a été donné à ce peuple qui honore un SS nazi. Mais le pire, c’est que ce culte pour les nazis y est encore publiquement et officiellement reconnu puisque représenté par le groupe Azov, ouvertement revendiqué « nazi ». Où sont donc passées les voix qui dénonçaient les « nazis » réfugiés en Argentine et autres pays de l’Amérique du Sud et du Nord. Pour l’homme que je suis, ayant été témoin de ces choses, ce changement de comportement est injustifiable si ce n’est par la disparition progressive des hommes et des femmes de mon âge. Pour les jeunes gens nés sous l’U.E. le nazisme se réduit à ce qu’il nomme « l’extrême droite » et qu’ils continuent d’imputer au RN, malgré son aspect plus social que l’ancien FN. Mr Gabriel Attal, l’ex premier ministre dont la nomination a été la plus courte de l’histoire de la 5ème République donne tout son soutien massif à la cause ukrainienne et ne cesse de dénoncer le RN d’extrême droite. Il incarne, avec Mr Macron qui agit de même, la preuve vivante de la justesse de mon analyse et de ma remarque.

De manière totalement inconsciente, l’humanité actuelle témoigne d’une incohérence immense qui constitue le fruit apparent de la malédiction divine qui la frappe. Et cette incohérence est la conséquence des 80 années de paix au cours desquelles progressivement, les peuples européens ne se sont préoccupés que de s’enrichir ou de s’amuser. Et dans cette démarche, libérée de la tutelle russe en 1990, la jeune nation de l’Ukraine a fait pire que les nations européennes. J’avais déjà relevé le fait que l’Espagne devenue libre avait rapidement renversé les tabous religieux et moraux que le général Franco faisait encore respecter. Dans sa libération des mœurs, elle est allée plus loin que les autres nations européennes. Et à son tour, l’Ukraine a surpassé en abominations le modèle espagnol.

A ce sujet, il faut relever la concordance de ces deux faits survenu en 2013 : En France, le vote de la loi qui a légalisé l’abominable mariage des homosexuels, et en Ukraine, le début de la guerre menée contre la culture russe qui va provoquer à terme, le châtiment des Français abominables.

Ce développement toujours plus rapide en faveur du mal condamné par Dieu est le signe le plus évident de l’approche du temps où il ne peut que châtier durement les outrages commis par des gens rebelles irrécupérables. Et ce temps est là, juste devant nous, quelque part après le 8 Mai 2025, date où s’achèveront les 80 années de paix commencées le 8 Mai 1945. La guerre en Europe a officiellement cessé avant cette date par la reddition sans condition de l’Allemagne nazie. Mais la « sixième trompette » a un caractère universel qui fait d’elle, la Troisième Guerre Mondiale. En 1945, il a fallu attendre la victoire des USA sur le Japon, pour que la Seconde Guerre Mondiale soit officiellement terminée et officialisée le 8 Mai 1945 qui est un jour férié fêté chaque année depuis cette date en France et dans d’autres pays européens.

La guerre est contagieuse, ceci d’autant plus quand Dieu ne la freine plus mais la provoque. L’humanité entière va se retrouver comme aspirée dans un tourbillon de violences, car l’agressivité libérée des uns crée l’agressivité retenue des autres. Remarque-le, tous les commentateurs politiques journalistes ou essayistes quelconques sont unanimes et pensent que la paix est la seule issue possible pour sortir d’une guerre. Il est vrai qu’ils ont derrière eux des siècles et des millénaires d’histoire qui leur donne raison. Mais ce que je sais et qu’ils ignorent, c’est en quel temps je vis dans le programme conçu par le grand et unique Dieu créateur, mon « Père céleste » qui éclaire mon intelligence sur ce qu’il fait accomplir en le mettant en œuvres concrètement. Et mon raisonnement est que la formule, « au commencement », que je lis dans Genèse 1:1, suggère que ce commencement va être suivi d’un « fin » que je retrouve confirmée dans Daniel 11:40 : « Au temps de la fin …». C’est cette connaissance qui fait de moi un « fils de Dieu » qui reconnaît son « Père céleste » ; ceci, après avoir été racheté par le sang versé par Jésus-Christ dont la victoire a rendu possible mon rachat et celui de tous ses élus sélectionnés pendant 6000 années jusqu’à son retour glorieux du jour du printemps 2030.

Cette prise de conscience du temps réel compté par Dieu a fait de moi un vrai « citoyen du royaume des cieux », en sorte que je peux moi-aussi prétendre avoir deux nationalités ; celle de la vie céleste éternelle et celle de la vie terrestre provisoire. Le regard que je porte sur la vie terrestre en a été complètement transformé. Ce que d’autres tiennent pour impossible, Dieu l’a programmé et j’attends son accomplissement. Dans Daniel 12:12, l’Esprit dit : « Bienheureux celui qui attendra jusqu’à 1335 jours ». Dieu désigne ainsi ses élus comme étant « ceux qui l’attendent » ; or, n’attend réellement que celui qui a été prévenu du temps de sa venue. Pendant des siècles de ténèbres, les chrétiens ont pensé que Jésus viendrait « comme un voleur » et que le jour de son retour ne pouvait pas être identifié. Mais en 1843, en annonçant le retour de Jésus pour cette date, le prophète William Miller a changé la règle du raisonnement. Ce qui paraissait impossible dépendait d’une révélation divine appropriée cachée dans les textes des prophéties de Daniel et Apocalypse. Bénéficiant d’encore plus de lumière que lui et devenu observateur fidèle du saint sabbat du septième jour, j’ai découvert, conduit par Dieu, l’importance prophétique du récit de la Genèse dont la semaine de la création nous fait entrer dans le temps réel programmé par Dieu. Je ne doute pas que, si le repos du sabbat du septième jour avait été présenté comme type prophétique du septième millénaire, beaucoup de chrétiens l’auraient mis en pratique sans discuter. Mais une preuve, même la plus évidente, ne permet pas d’identifier un vrai élu sélectionné par Dieu. C’est pourquoi, les vérités divines les plus importantes sont restées cachées et scellées afin que les élus démontrent par leurs recherches approfondies, la profondeur de leur attachement au Dieu de vérité qui a inspiré ses prophéties d’aspect obscur. Dieu avait averti Daniel que le livre de son témoignage devait rester « scellé jusqu’au temps de la fin » : Daniel 12:9 : « Il répondit : Va, Daniel, car ces paroles seront tenues secrètes et scellées jusqu'au temps de la fin. »

Le vrai « temps de la fin » est le moment précis où la Troisième Guerre Mondiale de la « sixième trompette » va s’accomplir. Tout s’est accompli tel que Dieu l’avait annoncé, car il avait dit dans Daniel 12:4 : « Toi, Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu'au temps de la fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera. » Ainsi, la connaissance du livre de Daniel a simplement commencé publiquement en 1843 et pour William Miller, en privé, en 1816. Mais ce n’était pas encore le « temps de la fin ». Le « temps de la fin » a été encore seulement préparé entre 1980 et 1991, quand l’Esprit m’a inspiré pour décrypter entièrement le livre de Daniel du chapitre 1 au chapitre 12 ; ce n’est qu’alors que la connaissance du livre de Daniel a atteint son « augmentation » maximale. Et Dieu a attendu ce décryptage complet de Daniel et Apocalypse pour condamner, en Décembre 1991, le refus de cette divine lumière par l’adventisme institutionnel.

Avec 2013, l’année 2017 a aussi été marquée par la malédiction de Dieu en menant au pouvoir les deux chefs d’Etat actuels des USA et de la France, Donald Trump et Emmanuel Macron. Donald Trump avait été critiqué, moqué, grandement méprisé et détesté par les Français. Elu, le président n’a pas oublié cette attitude méprisante, renouvelée pour son élection en 2025, par les mêmes Français. Aujourd’hui, sa rancœur prend forme de vengeance d’autant plus qu’il se retrouve en face du même jeune président de ces Français irrespectueux. Son comportement paternel envers le jeune Macron avait plutôt favorisé de bons rapports entre eux. Mais aujourd’hui, aigri par sa défaite officielle des élections de 2021, Donald Trump se trouve confronté au président Macron qui a fraternisé avec son vieil adversaire national Joe Biden. Et on ne change pas ses sentiments comme on change de chemise. La haine portée sur Joe Biden, longtemps éprouvée et ressassée pendant 4 ans, se reporte aujourd’hui sur tous les alliés qui le soutenaient et souhaitaient sa victoire en 2025, et après son retrait, la victoire de sa suppléante, Kamala Harris ; le président Macron étant en tête de cette espérance.

Cette expérience a aussi son type analogue dans celle du peuple Juif qui sur une fausse rumeur a cru que le roi Antiochos IV était mort et il fêtait celle-ci dans la joie et l’allégresse. Mais en campagne contre l’Egypte, le roi n’était pas mort et parvenu jusqu’à lui, la nouvelle de la joie exubérante des Juifs causée par l’idée de sa mort l’a rendu fou de rage. Et en remontant vers son pays, traversant Israël, il a vidé sa colère sur le peuple de Jérusalem et son clergé religieux ; et c’est alors, qu’en – 175, il a dressé « l’abomination du dévastateur » citée dans Daniel 11:31 : « Des troupes se présenteront sur son ordre ; elles profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le sacrifice perpétuel, et dresseront l'abomination du dévastateur. » Derrière cette expression se cachent des sacrifices humains et celui de porcs sur l’autel du temple de Dieu ; des morts en grands nombres.

En ce « jour du Seigneur », le premier jour de la semaine où il est apparu ressuscité à ses apôtres, l’actualité de la Syrie de ce 9 Mars 2025 est marquée par le massacre de gens Alaouites par des islamistes dans le Nord du pays ; le nombre des victimes civiles serait entre 300 et 700. Le nouveau dirigeant promet de punir les responsables appelant à l’unité du pays. Mais l’insécurité et l’instabilité de ce pays pourrait lui redonner le rôle majeur du « roi du midi » cité dans Daniel 11:40. Si la chose se confirmait, nous aurions alors l’accomplissement le plus logique que ce texte biblique nous suggère. Car Daniel 11 a pour sujet les « sept guerres de Syrie », celle qui va s’accomplir étant la septième du récit. Et la France est fortement impliquée par le lien qui la relie au Liban voisin qui a été sa création…




M21- Les nouveaux Romains


L’actualité vient confirmer cette vérité que la prophétie divine a révélée il y a de cela ; environ 2000 ans. Les Etats-Unis d’Amérique du Nord sont réellement les nouveaux Romains qui imposent pleins de force et d’arrogance leurs lois et leurs normes au reste de l’humanité. Ils ont avec la Rome ancienne plein de choses en commun.

Et déjà cette vocation impériale visible dans l’aigle qui apparaît dans son sigle national et sa monnaie, son dollar devenu l’Etalon de la monnaie mondiale. A l’époque de Jésus, la monnaie romaine était utilisée à Jérusalem. Jésus confirme que la pièce de monnaie payée pour l’impôt portait l’effigie de César. L’Amérique possède les plus gros stocks d’or de la terre et constitue ainsi le pays le plus riche du monde. De même que le dicton dit « tous les chemins mènent à Rome », toutes les richesses se retrouvent en terre américaine dirigée depuis Washington, sa capitale présidentielle.

La domination de l’ancienne Rome s’étendait sur toute l’Europe Occidentale et sur les rives Sud de la mer Méditerranée. La nouvelle Rome règne sur tout l’Occident.

La Rome latine imposait sa loi par la force de ses légions qui étaient composées de soldats engagés provenant des pays conquis de l’Empire. De même, les nouveaux romains américains sont les descendants des pays qui composent l’Europe, l’Afrique et jusqu’à la Chine. Les deux Rome ont un caractère cosmopolite.

Les deux Rome ont aussi en commun de n’agir que pour l’intérêt de leur propre puissance. Et les deux, poursuivent un rêve hégémonique.

Les deux Rome accèdent à la norme impériale en venant aider des pays en guerre. Dans Daniel 8:9, Dieu prophétise l’extension de l’ancienne Rome républicaine en ces termes : « De l'une d'elles sortit une petite corne, qui s'agrandit beaucoup vers le midi, vers l'orient, et vers le plus beau des pays. » L’identification de la Grèce dans l’expression « de l’une d’elles » justifie une fois de plus le rôle de ce pays que Dieu présente comme type du péché dans les symboles qui le représentent dans Daniel 2 : « le ventre et les cuisses » ; Daniel 7 : « le léopard tacheté aux quatre ailes d’oiseau » ; Daniel 8 : « le bouc ». Ainsi, de conquête en conquête, c’est « le péché » grec qui s’est étendu dans tout l’Occident traditionnellement chrétien. Le parcours de sa transmission est le suivant : Grèce, Rome, Europe, Etats-Unis d’Amérique du Nord.

Le plus ancien type du « péché » était celui de « l’Egypte », mais la domination qui a suivi était occidentale et comme Daniel 8:21 le précise, « le péché » grec s’est imposé par les conquêtes de son jeune roi conquérant, Alexandre le grand : « Le bouc, c'est le roi de Javan, La grande corne entre ses yeux, c'est le premier roi. » Il suffit de remplacer le mot « bouc » par le mot « péché » ; le nom « Javan » par le nom « Grèce » ; pour désigner Alexandre le grand, « le premier roi » grand conquérant des Grecs, lui-même étant macédonien.

Il est donc clair, que Dieu a pris le péché de la civilisation grecque comme cible prophétique de sa juste colère. La civilisation grecque s’est imposée pendant quatre siècles dans tout l’Occident et jusqu’au fleuve de l’Indus, lieu où la conquête d’Alexandre le grand s’est arrêtée. Il est mort empoisonné à l’âge de 33 ans, son règne dura dix ans, et il ne laissa derrière lui aucun héritier. Et c’est critère en font un type parfait de l’anti-christ dont la domination guerrière en fait un type prophétique de Rome qui va lui succéder après environ deux siècles. Le morcellement de son empire va permettre à Rome d’intervenir dans la Grèce en proie à une guerre civile qui oppose l’Achaïe à l’Etolie qui lui demande son aide. C’est ainsi que comme l’ange Gabriel l’avait dit à Daniel, par le « Sac d’Apamée » de – 160, Rome a fait de toute la Grèce une colonie romaine. Cette leçon historique révélée dans la Bible méritait d’être prise en compte et retenue. Mais dans sa malédiction continuelle, l’humanité n’a pas su bénéficier des avertissements écrits dans la sainte Bible. Et continuellement, des peuples en guerres internes ont appelé à leur aide des pays étrangers qui les ont finalement dominés et exploités. Et ce dicton de sagesse populaire se vérifie et se confirme : « Mieux vaut un petit chez-soi qu’un grand chez-les-autres ». Loin de cette sagesse, les dirigeants des pays riches se sont jetés dans le piège et ont apprécié pour un temps seulement de profiter de la puissance d’un pays dit « ami » et plus justement « allié ».

A ce sujet, la confiance européenne s’est construite sur deux interventions de l’Amérique pour aider l’Europe en 1914 et en 1942. Toutefois, pour cette seconde intervention, il faut relever qu’elle n’est pas intervenue dès le début de cette seconde Guerre mondiale qui n’était en 1939-1940 qu’européenne. En 1914, les corps armés américains engagés étaient composés de volontaires. Et en 1939, l’Amérique restait ce peuple éloigné, peuplé de blancs dispersés sur un pays immense et de quelques Etats où se trouvait une majorité de Noirs sortis de l’esclavage. L’Amérique n’était regardée que comme une grande campagne peuplée de paysans, d’éleveurs et d’agriculteurs et déjà en 1939, son regard était tourné vers l’océan Pacifique qui la rattache au Japon et à la Chine. Elle disposait déjà de puissants navires de guerre ancrés dans le port militaire de Pearl Harbour.

Je vis en France, au centre de cette Europe occidentale qui a dominé le monde pendant presque 2000 ans. Mais si j’étais américain, je placerai mon pays au centre du monde portant mon intérêt vers l’Atlantique mais aussi vers ce Pacifique riche de cultures orientales très particulières et si différentes des cultures occidentales. C’est d’ailleurs de la Chine que le grand voyageur Marco Polo a rapporté des épices, le tissu de soie, et la poudre à canon utilisée pour des feux d’artifice éblouissants. Notre vie occidentale a été complètement transformée par cet apport venu de l’Orient, aux mœurs et coutumes raffinés bien supérieurs à ceux qui prévalaient jusque-là dans toute l’Europe. Mais cette Europe avait une raison spirituelle pour devenir la zone centrale du monde : la religion chrétienne ; celle du vrai Dieu de l’ancien Israël. C’est donc ce christianisme favorisé par l’empereur Constantin en 313, puis imposé par la Rome papal à partir de 538, qui a fait de l’Europe Occidentale actuelle le territoire des « dix cornes » évoquées dans Daniel 7:7 et 24 et dans Apocalypse 12:3, 13:1, 17:3.

Il est intéressant de relever que la croissance de la lumière divine s’accomplit du Moyen-Orient soit, d’Israël, vers l’Extrême Occident suivant ainsi l’avancement du « soleil » qui se lève à l’Est et se couche à l’Ouest. En effet, la religion chrétienne est né en Israël et sa dernière forme terrestre disparaitra sous la domination tyrannique des actuels USA. Déjà cette croissance vers l’Occident apparaît dans ces versets de Daniel 8:4-5 : « Je vis le bélier qui frappait de ses cornes à l'occident, au septentrion et au midi ; aucun animal ne pouvait lui résister, et il n'y avait personne pour délivrer ses victimes ; il faisait ce qu'il voulait, et il devint puissant. Comme je regardais attentivement, voici, un bouc venait de l'occident, et parcourait toute la terre à sa surface, sans la toucher ; ce bouc avait une grande corne entre les yeux. » Israël est le lieu géographique de référence de ces actions successives concernant ; « le bélier » mèdes et perses ; et « le bouc » grec. Ces identifications sont clairement données dans Daniel 8:20 et 21. L’identification de Rome est moins évidente et exige le partage de la vérité divine disponible en Jésus-Christ. Pour la recevoir de Dieu, l’appelé doit avoir jugé correctement les religions, catholique, orthodoxe, protestante et adventiste, en sachant de manière précise ce que Dieu reproche à chacune d’elles. Car la vérité divine n’est offerte par Dieu qu’à ceux des humains qui partagent son jugement sur la base unique de ses valeurs. Dieu ne prend rien à personne car c’est lui qui a tout inventé, imaginé, créé et qu’il fait accomplir. L’imitateur, c’est le diable, qui au titre de créature est comme nous soit, limité. Il n’a fait qu’inspirer à ses victimes humaines l’idée de reproduire les rites sacrificiels par lesquels Dieu prophétisait son œuvre en Christ, son jugement du péché et des pécheurs. Mais les païens pratiquent ces choses vainement en les adressant à de fausses divinités qui n’existent pas et n’ont jamais existé. Les fausses célébrations n’honorent que le diable et les multitudes de démons qui l’accompagnent dans sa voie de perdition.

En créant Israël, Dieu a donné aux humains une leçon vitale. Son peuple n’est en sécurité terrestre qu’à l’abri derrière ses frontières nationales. Ayant une vocation universelle, la religion chrétienne ne pouvait pas bénéficier de cette sécurité frontalière absolue. Mais la leçon donnée par Dieu constitue néanmoins un solennel avertissement contre le danger des cohabitations des religions concurrentes dont les conséquences sont ravageuses et mortelles. Le catholicisme avait bien compris la nécessité de ne pas cohabiter avec les protestants rebellés contre son ordre religieux. Et l’Europe des « dix cornes » est restée essentiellement catholique, jusqu’à l’extension de l’Europe Unie dont les membres sont passés de 6 à 27, incluant la religion orthodoxe et l’anglicanisme qui est une version catholique sans son pape remplacé par l’archevêque de Canterbury. Mais peu importe, car ce mélange odieux ne fait que confirmer le nouvel aspect de l’alliance des « dix cornes » depuis l’adhésion des protestants nordiques et des pays de l’est orthodoxes, telle qu’Apocalypse 18:2-3 la décrit : « Il cria d'une voix forte, disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l'impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. » Ce verset est la description exacte du jugement que Dieu porte sur toute la société occidentale qu’il cible plus particulièrement que les autres nations de la terre parce que le nom de Jésus-Christ y est revendiqué et profané.

Dans le rôle de Babylone, nous avons la ville de Rome et son siège papal du Vatican.

Dans le rôle des esprits impurs nous avons le diable et ses démons célestes.

Dans le rôle du « vin bu par les nations », nous avons la doctrine catholique romaine et sa pratique du repos du premier jour « dominical ».

Dans le rôle des « rois de la terre », nous avons les puissants monarques et les puissants présidents des Républiques modernes occidentales.

Dans le rôle des « marchands de la terre », nous avons, depuis Marco Polo et avant et après lui, tous ces riches armateurs et groupes financiers qui enrichissent des commerçants occidentaux. Et bien sûr, en derniers, les commerçants de l’Amérique impérialiste capitaliste libérale dont Donald Trump le président élu en 2025 est le type même du genre.

En ce jour du Mardi 11 Mars 2025, on signale une grave catastrophe concernant un cargo américain transporteur de Kérosène victime d’un incendie après avoir été heurté par un navire. En mer du Nord.

Cette expression « marchands de la terre » raisonne dans la prophétie comme ces « marchands du temple » que Jésus a dénoncés et chassés, dans sa juste indignation. En fait, Dieu a une bonne raison pour pointer du doigt, dans cette dernière prophétie de l’Apocalypse, l’activité commerçante. Le commerce enrichit de biens matériels l’être humain, et la richesse détourne le riche de son attention pour Dieu. Le principe n’est pas nouveau ; il est perpétuel.

Dans le style de sa composition, le message du Christ est confirmé par cette double citation, « elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ». On se souvient que Jésus utilisait l’expression, « en vérité, en vérité, je vous le dis » ; ceci, pour donner plus de force à la vérité de ses propos. Ici, il signe sa déclaration qui dépose une accusation contre la ville papale de Rome et ses adorateurs directs ou indirects.

L’impérialisme américain est à l’origine de la rencontre qui est organisée aujourd’hui, en Arabie où des émissaires ukrainiens et américains doivent se rencontrer en vue de construire les bases rendant possible la paix entre la Russie et l’Ukraine. La puissance des USA qui a, à l’origine, encouragé et aidé le combat de l’Ukraine contre la Russie est maintenant renversée à l’extrême ; le président Trump ne partageant pas l’opinion de son prédécesseur Joe Biden.

Le constat de l’inconvénient du régime démocratique versatile et changeant, risque de faire apprécier le régime des dictatures longtemps combattues et discréditées par les populations occidentales.

Nous assistons à un brusque renversement de situation qui conduit les humains vers la remise en cause de leurs valeurs qui ont condamné le nationalisme exacerbé jusqu’au simple nationalisme du type français RN. En fait, la construction européenne et son verbiage ont placé les populations occidentales dans une pensée analogue à celle de l’humanisme universaliste qui prévaudra après la fin de la Troisième Guerre Mondiale sur toute la terre pour toute l’humanité survivante. Cet état d’esprit commun va ainsi être frappé de mort successivement par la « sixième trompette » et après elle, par la « septième trompette » de Dieu au retour de Jésus-Christ. Ce qui va séparer ces deux trompettes c’est la dernière épreuve de foi que l’Esprit prophétise et confirme dans Apocalypse 3:10 : « Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. »

Ce message ne peut pas profiter aux faux chrétiens qui n’ont pas la clé de sa compréhension. Jésus l’adresse uniquement à ses élus et le présente en forme positive, affirmative, mais aussi, conditionnelle, précisant : « parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi ». Il confirme ainsi, qu’il juge ses rachetés sur leurs « œuvres » qu’il constate ; des « œuvres » accomplies, individuellement, par chacun de ses élus rachetés. L’importance donnée aux « œuvres » confirme la déclaration inspirée à l’apôtre Jacques, citée dans Jacques 2:17 : « Il en est ainsi de la foi : si elle n'a pas les œuvres, elle est morte en elle-même. »

Le jugement de Dieu sur ses créatures est permanent, jour et nuit. Je relève l’importance du critère que constitue l’appréciation du temps par l’humanité. Elle pense toujours avoir devant elle le temps de se préparer pour répondre au problème qui se présente soudainement devant elle. Depuis le début de la guerre de l’Ukraine soit, depuis trois ans, la perspective et la crainte d’un affrontement des Européens contre la Russie existent et ont épouvanté les dirigeants européens. Dans sa parabole Jésus a donné son avis sur la valeur du temps de vie donné aux humains citée dans Luc 12:16 à 20 : « Et il leur dit cette parabole : Les terres d'un homme riche avaient beaucoup rapporté. Et il raisonnait en lui-même, disant : Que ferai-je ? Car je n'ai pas de place pour serrer ma récolte. Voici, dit-il, ce que je ferai : j'abattrai mes greniers, j'en bâtirai de plus grands, j'y amasserai toute ma récolte et tous mes biens ; et je dirai à mon âme : Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour plusieurs années ; repose-toi, mange, bois, et réjouis-toi. Mais Dieu lui dit : Insensé ! Cette nuit même ton âme te sera redemandée ; et ce que tu as préparé, pour qui cela sera-t-il ? »

Le problème qui se présente aux êtres humains qui vivent aujourd’hui est le même : ils ne savent pas que Dieu a décrété l’heure de leur mort, avant celle de l’anéantissement complet de toute l’humanité au retour de Jésus-Christ. Et s’ils ignorent ses desseins, c’est à cause de leur sous-estimation de l’importance de ses textes prophétiques et surtout, l’importance de leur obéissance qui constitue la seule preuve de la confiance qu’il place en lui. Dieu ne peut bénir que des êtres absolument convaincus qu’il est la source parfaite de l’intelligence, de la sagesse, de la vraie science, parce qu’il dit et qu’il est réellement le seul et unique Dieu Tout-puissant.

Comme « l’homme riche » de la parabole, les dirigeants européens se consultent pour renforcer leur équipement militaire. En ce jour-même une réunion à Paris rassemble à la demande du président Macron des chefs militaires de 30 nations occidentales. Mais pas un seul d’entre eux et des journalistes ou des hommes politiques n’envisage la possibilité d’une attaque russe très proche. Leur équipement militaire ne peut atteindre le niveau suffisant avant plusieurs années, entre 5 et dix ans, voire davantage. Et comme à « l’homme riche » de la parabole, Jésus s’apprête à leur dire « Insensé ! Cette nuit même ton âme te sera redemandée ; et ce que tu as préparé, pour qui cela sera-t-il ? » Leur situation est réellement comparable à celle de « l’homme riche », parce qu’ils représentent les pays dits « riches » et qu’ils ignorent que toute vie humaine va disparaître sur la terre, après le retour glorieux de Jésus-Christ attendu pour le printemps 2030.

Le modèle type suprême de cet homme riche est l’Américain si bien représenté par son président Donald Trump qui convoite les richesses minières de l’Ukraine depuis que le président Zelensky s’est servi d’elle pour tenter de gagner le soutien américain. Mais il faut relever que l’opinion de Donald Trump, sur l’Ukraine, était déjà faite et arrêtée avant cette offre des ventes des terres rares ukrainiennes.

De même que l’élection de Donald Trump a produit un renversement de situation pour l’Europe entière, l’attaque islamique prophétisée dans Daniel 11:40 va de nouveau étonner et épouvanter les peuples européens méridionaux. L’agressivité islamique est bien connue mais elle est restée sous estimée, étant considérée seulement à la lumière de quelques actions individuelles ou groupées accomplies depuis 1995 en France, aux Pays-Bas et récemment en Allemagne, principalement. La France compte néanmoins déjà quelques 300 morts civils tués par les islamistes.

Il est certain que l’attaque menée par l’islam intégriste va constituer la plus grande surprise pour les dirigeants occidentaux préoccupés par une éventuelle attaque menée par la Russie. Ainsi, la Russie et l’Ukraine portent un rôle de diversion qui fait sous-estimer le risque islamique. Et à son tour, l’attaque islamique fera diversion, pour favoriser l’attaque russe redoutée.

Au jour de cette attaque imprévue par les êtres humains, mais révélée par Dieu à ses seuls vrais élus, tout le travail laborieux effectué par les politiciens américain sera réduite à néant. Je précise qu’une fois de plus, la priorité au risque islamique dénoncé continuellement par le RN de Marine Le Pen, va donner raison à ce parti diabolisé par le président Macron.

Quelle sera la réaction de Donald Trump quand il verra fondre tous ses espoirs de paix universelle ? Ne voulant pas la guerre il se retirera, ruminant l’heure et la forme de sa vengeance contre la Russie conquérante et victorieuse sur le sol entier de l’U.E.

Car Donald Trump place réellement son espoir dans la paix universelle, pensant que tout homme ou pays s’achète ; question de prix uniquement. Son état d’esprit étonne et choque les caractères des gens européens habitués à l’opposé à se sacrifier pour l’intérêt partagé par toute la communauté de l’U.E. C’est à ce titre, que les pays riches subventionnent les aides des pays pauvres entrants. Mais cette générosité demandée et exigée de la part des peuples est une escroquerie hypocrite, car en réalité, l’entrée de pays pauvres favorise par leur exploitation l’enrichissement des groupes financiers investisseurs. L’attitude de Donald Trump a au moins le mérite d’afficher clairement sa nature mercantile insatiable. Et s’il peut se permettre d’être aussi transparent c’est précisément parce qu’il n’a pas reçu de formation politique.

Au terme de cette journée du Mardi 11 Mars 2025, la rencontre entre les Américains et les Ukrainiens se solde par l’accord d’une cessation de feu provisoire de 30 jours, sur terre, sur mer, et dans le ciel. La proposition sera ensuite présentée à la Russie, mais aucune autre condition n’a été évoquée. En théorie, l’idée de cesser le feu est souhaitable pour tout être pacifique, mais pour les chefs militaires engagés dans le combat cette idée est insupportable, voire inacceptable. Toutefois, ils peuvent se résigner et obéir à leur chef national, mais ils garderont pour longtemps des sentiments vengeurs contre l’ennemi. Le sujet explosif de l’accord est évité car il dépend de la position russe. La paix ! Oui ! Mais sous quelles conditions ?

Ce détail est de loin le plus important de la démarche : que peut lâcher l’Ukraine dans cet accord ? De plus, au moment de la décision que l’Ukraine doit prendre, un soutien militaire européen se construit sous l’engagement du président Macron. Si la victoire ou l’éventuelle possibilité de la victoire se dessine pourquoi signer des accords préjudiciables ?

Ainsi les efforts du président Trump en faveur de la paix sont paradoxalement affaiblis par les arrogances guerrières organisées par le président Macron. Le chef des nouveaux Romains saura se souvenir de cet effet destructeur de sa démarche, et il trouvera là, une juste raison de laisser la France subir la dévastation perpétrée par les armées russes.

La situation mondiale actuelle rappelle étrangement celle qui prévalut en – 168 pour le roi séleucide Antiochos IV Epiphane, ce qui signifie l’illustre. Daniel 11 le présente entre les versets 21 à 33. Mais c’est le témoignage des historiens qui rapporte des détails intéressants à relever. Dans sa dernière campagne menée en – 168 contre ses ennemis qui n’étaient autres que ses neveux et sa nièce lagides égyptiens, deux Ptolémée et une Cléopâtre, Antiochos IV fut bloqué et stoppé par l’intervention du légat romain nommé Popilius Laenas. Détail parlant, il traça un cercle sur le sol autour des pieds du roi grec séleucide et lui intima l’ordre de ne sortir de ce cercle qu’avec l’acceptation ou le refus d’obéir à l’ordre donné, au risque d’être tenu pour ennemi de Rome, en cas de refus. A l’époque, Rome disposait d’une puissante base maritime installée sur l’île de Chypre. Elle était devenue l’autorité suprême mondiale du moment et pour longtemps. Avant lui, et avant le roi Séleucos IV mort assassiné puis son fils Démétrios écarté par les Romains, le roi Antiochos III, son père, avait subi une cuisante défaite en étant battu par l’armée romaine. Son pays fut soumis à une lourde dette et le futur Antiochos IV, son plus jeune fils, fut pris en otage par les Romains. Les rois séleucides avaient donc compris ce qu’était la puissance militaire romaine dont la devise latine était « lex dvra lex » soit, la loi est dure mais la loi est la loi.

Aujourd’hui, dans ce rôle de Popilius Laenas, nous avons le président Trump qui, s’appuyant sur sa puissance militaire bien réelle, se contente de faire pression sur les deux belligérants ukrainien et russe. Seulement, convaincre le chef ukrainien en difficulté est beaucoup plus facile que convaincre la Russie en situation de force et de domination, étant elle-même depuis longtemps un pays puissamment armé.

Dans sa situation actuelle, sans la force des USA, l’OTAN est comme la foi qui renie ce qui en fait sa force soit, une ombre trompeuse affaiblie. Pour la Russie, qui se trouve en position de force et reprend, lentement mais sûrement, le territoire russe de Koursk occupé par les Ukrainiens, l’heure actuelle n’est pas favorable au « cessez le feu » proposé par Donald Trump. Je pense que les Russes vont demander aux Américains de mettre au frais l’offre actuelle, en attente de leur reconquête complète du territoire de Koursk.

Je pense que le jugement que les Occidentaux européens portent sur la capacité militaire de la Russie est faussé parce que Vladimir Poutine a voulu donner à son intervention contre l’Ukraine une forme conforme à son « opération spéciale » qui contredit tout projet d’attaque contre l’Occident. Ils oublient qu’en situation de guerre mondiale, la Russie lancera des attaques multiples simultanées contre tous les pays occidentaux qui ne sauront pas unifier leurs forces, ayant à résister localement chacun chez soi.

Du côté de l’Ukraine, la rencontre tumultueuse entre Zelensky et Donald Trump a porté son fruit. Le très combattif Volodymyr Zelensky vient de vivre la plus grande peur de sa vie qui consiste à perdre totalement le soutien américain. Il n’est donc pas étonnant qu’il revienne soumis et prêt à signer tout ce que les USA lui présente, car rien ne serait pire pour lui que d’avoir contre lui, la colère américaine. Il ne perd pas espoir que la tentative de paix américaine échoue mais préfère en laisser la responsabilité à la Russie qui n’a réellement rien à gagner dans une paix immédiate.

J’apprends que ce 11 Mars 2025, 40 ans se sont écoulés depuis l’élection de Mr Gorbatchev soit, depuis l’année de la fin de l’alliance soviétique et l’heure de l’ouverture de la Russie aux Occidentaux ; l’heure de la « Transparence ». Les 80 années de paix commencées en 1945 sont donc aussi 40ans + 40 ans pour la Russie ; 40 ans d’alliance soviétique + 40 ans d’ouverture vers l’Occident.

J’entends des gens critiquer l’autocratie de Donald Trump par des Français qui oublient que la 5ème Constitution de leur République offre un pouvoir autocrate à son président, sans qu’ils trouvent la chose anormale ; l’autocrate est toujours chez les autres. A l’inverse, aux USA, le président Trump bénéficie d’une majorité exceptionnelle dans toutes les sphères gouvernementales du pays.




M22- L’actualité mondiale en fables


Ma première fable est une parodie calquée sur « le corbeau et le renard » attribuée à Jean de la Fontaine, sauf que le corbeau est remplacé par des poules.

Je n’en ferai pas mystère, mon renard a pour nom Volodymyr Zelensky président de l’Ukraine depuis l’année 2019.

Ce renard ukrainien voulait entrer dans le poulailler européen, mais un grillage bien solide et une porte l’empêchait d’entrer. En 2013, il défoula sa colère sur les petits oursons d’une ourse puissante qui le regardait faire ruminant sa vengeance. Il attendit quelques années et revint en 2022 se présenter devant le poulailler européen se disant en danger de mort parce que menacé par une ourse mal léchée. Bonnes enfants mais pas dupes, les poules et le coq du poulailler hésitaient sur la conduite à suivre. Faire entrer un renard dans un poulailler, c’était livrer à la mort plusieurs poules ; d’autre part, peut-on rester insensible à la détresse de ce pauvre renard menacé de mort ? Le renard se souvint de la fable du corbeau et du renard et se mit à flatter les poules, leur disant que leur plumage était beau et que leur caquetage était le plus beau chant entendu dans les ramages de la nature. Rougissantes de plaisir devant ces compliments, nos poules européennes prirent la décision d’offrir une partie de leurs œufs au renard flatteur, mais ne lui ouvrirent pas, cependant, la porte du poulailler. Le renard était ainsi pris en charge par les poules, mais il avait à répondre aux attaques de l’ourse rendue furieuse par la mort de ses petits oursons. Nos poules européennes s’étaient conduites comme le corbeau de la fable ; elles étaient victimes d’un rusé flatteur. Les poules européennes avaient été influencées par l’avis des poules américaines dont le coq en chef était Joe Biden. Puis ces poules américaines changèrent leur chef de basse-cour. Un nouveau coq fut élu, nommé Donald Trump.

Le nouveau coq était l’opposé absolu du précédent. Sa seule politique était de type mercantile. L’aide en œufs donnée au renard coûtait fort cher et le nouveau coq voulait mettre fin à cette aide, mais il sous-estima la force de la ruse du renard. Le renard savait combien le nouveau coq était intéressé par la richesse et il lui proposa de gérer ses terres rares d’une très haute valeur, après leur exploitation difficile et coûteuse. Dans un premier temps, le renard refusa de signer l’acte de vente du projet minier. Dans la puissance absolue d’un aigle royal, suite à un second refus de signer, le coq américain malmena le renard dans une rencontre officielle qui eut lieu, chez lui, à Washington, le lieu de sa basse-cour. Ceci eut tant d’effet mondial qu’une partie des poules américaines lui en fit le reproche. Or, dans son orgueil naturel, le coq américain ne veut pas déplaire à ses poules américaines et il organisa une nouvelle rencontre, cette fois en Arabie, avec des renardeaux représentant le renard. Ayant été menacé par le coq de cesser de l’approvisionner en œufs et de l’abandonner à la colère de l’ourse, le renard changea sa stratégie. Il ne devait perdre à aucun prix le soutien du coq américain. Il était donc dans l’intérêt du renard d’impliquer le coq dans son camp ; car ce coq américain puissant comme un aigle royal aurait, dans le territoire du renard, des intérêts à défendre contre l’agressivité de l’ourse. Son attitude changea donc subitement, acceptant toutes les conditions imposées par le coq américain.

Dans cette stratégie nouvelle employée par le renard, celui qui se fit avoir, fut le coq américain, pris au piège de sa convoitise insatiable. Car la soumission du renard l’oblige à lui redonner les œufs de ses poules ; ce qui était exclu à l’origine de sa démarche ; le voilà donc piégé par ses propres décisions.

En Arabie, le renard et le coq américain sont tombés d’accord pour un cessez-le-feu d’un mois entre le renard et l’ourse. Mais l’ourse n’a encore pas dit qu’elle acceptait de signer l’accord qui, en plus, ne répond pas aux conditions imposées par l’ourse dans ses échanges téléphoniques avec le coq américain. Tous les animaux de la planète qui suivent avec passion le déroulement de ces faits se font balader par les actions du coq, qui manquent visiblement de clarté et de ligne ferme, excepté son désir de paix. Et pour notre coq américain faire accepter par l’ourse d’autres conditions qu’elle a établies et déjà fixées, c’est une autre affaire qui frise l’impossible. Ceci, d’autant plus que le coq ne dispose plus de moyens de pression sur l’ourse, car tous, ou presque tous ceux qui étaient possibles ont été déjà appliqués, et sans obtenir le résultat recherché.

La suite du feuilleton de l’actualité est donc facilement prévisible. L’ours va refuser cet accord non conforme à son exigence déjà formulée. Après le temps d’une trompeuse réussite, le coq américain va à terme essuyer un terrible échec et, très contrarié, il va devoir se résigner à abandonner son projet de paix. Il vient d’ailleurs de dire en ce 12 Mars qu’en cas de refus de l’ourse, je cite : « des gens continueront à mourir pour rien ». Quel sera alors sa décision ?

Je pense que contrairement à ce qu’espèrent des poules journalistes européennes, le coq américain va se désengager du problème du renard, acceptant même de renoncer à ses richesses minières. Il reviendra donc à son programme initial, abandonnant le renard au seul soutien des poules européennes, jusqu’à ce que l’ourse vienne les croquer tous en même temps.

Dans sa basse-cour américaine, le coq va se changer en aigle royal puissant et redoutable. Plein de rancœur, il en veut à tout le monde, à l’ourse bien sûr, au renard qui l’a manipulé, mais aussi au coq français qui se faisant chef de guerre du poulailler européen a affaibli ses chances de faire la paix avec l’ourse. Car parlant tous pour obtenir la paix, la basse-cour européenne pense l’obtenir par la guerre, alors que le coq américain pense l’obtenir par la paix immédiate. Or, les deux tentatives sont vouées à l’échec, parce que le Dieu tout-puissant fait échouer les tentatives de paix et favorise tout ce qui provoque la guerre. Le temps lui appartient, la décision est sienne, et l’animale humanité rebelle dispersée sur toute la terre est depuis longtemps son ennemie.

Le poulailler européen va être surpris par l’attaque de multitudes de pintades agressives venues du « midi », et parmi elles, de nombreuses déjà présentes dans la basse-cour. Cette attaque « surprise » va obliger les poules européennes à envoyer leurs forces combattantes dans ce « midi » agressif. L’ours trouvera là, l’occasion idéale pour assouvir sa vengeance et elle forcera les défenses du poulailler européen, dérobant les œufs et croquant des poules, elle se remboursera les intérêts de ses avoirs gelés, et peut-être confisqués, pour les donner en aide au renard et ses renardeaux. Mis à feu et à sang, le poulailler européen est dévasté. C’est le moment que l’aigle royal choisit pour intervenir et anéantir la maison de l’ourse et ses oursons. Reposé et bien préparé, l’aigle royal frappe en premier l’ourse par surprise. Et ce coup fatal décide de l’issue du combat. L’aigle est vainqueur et l’ourse n’est plus.

Ma deuxième fable parodie cette fois la fable de « la cigale et la fourmi » du même Jean de la Fontaine, dont le nom même évoque une pureté enfantine quasi divine. Je renvoie les lecteurs intéressés vers les œuvres originales et me contente d’exploiter leurs leçons.

Distribution des rôles

La fourmi : la Russie

La cigale : l’Europe

La thermite : l’Amérique

C’est si vrai ! Depuis 1945, la fourmi soviétique s’est montrée besogneuse avec ses symboles parlants de « la faucille et du marteau » qui ont permis de créer des richesses essentiellement consacrées à la production de l’armement militaire. Car depuis 1945, la concurrence s’est engagée entre la fourmi et une grosse thermite grosse mangeuse, insatiable, américaine.

Entre les deux extrêmes, au centre, en Europe, une cigale passait son temps à chanter car c’était l’été, le temps chaud qui ne favorise pas l’amour du boulot. Elle allait et venait, faisant des tournées artistiques et dépensait sans compter tout ce qu’elle avait et recevait, mais sans préparer ses armées ; car c’était la paix.

De son côté depuis le printemps, la fourmi travaillait pour son équipement ; prévoyant sagement des temps moins cléments. De la cave au grenier, elle a fait le plein, en obus, en fusées, préparés pour la fin.

Le beau temps ayant comme toute chose une fin, l’automne vint et la cigale eut faim. Un danger la menaçait, car la fourmi était irritée. Et le comportement de l’amie thermite s’était inversé. Aux armes ! Aux armes, criait-elle ! Mais d’armes, elle n’en avait point ou pas assez pour résister à la fourmi quand elle vint l’attaquer. Moralité : chantez et dansez cigales, mais demain, vous serez mangées.

Le temps perdu ne se rattrape jamais – Notre cigale réalisa trop tard son erreur, alors qu’elle ne pouvait plus produire l’armement nécessaire dans le temps de vie que Dieu lui a destiné dans son programme.

Jean de la Fontaine a imagé tant de situations différentes en regardant les humains et les animaux que les leçons de ses fables constituent un recueil de sagesse. Aux deux fables déjà présentées, j’ajouterai volontiers la morale finale du corbeau et du renard : « le corbeau honteux et tout confus jura mais un peu tard qu’on ne l’y reprendrait plus ». Mais la réalité actuelle est bien plus dure, car elle n’offrira pas à nos corbeaux actuels la possibilité de profiter de leur malheureuse expérience qui va les conduire massivement à la mort.









M23- Le vrai sens des choses


Pour le grand Dieu créateur venu se révéler en Jésus-Christ, l’humanité entière est à l’image de la vie animale, composée de végétariens, de carnassiers et même d’espèces cannibales. Parmi les plus dociles et les plus doux, se trouvent les brebis, les agneaux, soumis au bélier conducteur du troupeau. En l’absence d’un berger assisté par ses chiens, les brebis avancent continuellement uniquement préoccupées de brouter l’herbe qui est devant leurs yeux. Elles peuvent ainsi se disperser sans s’en rendre compte et s’égarer, en se retrouvant isolées dans des lieux pleins de dangers mortels.

Note que Dieu n’a pas doté la brebis d’armes agressives ou défensives, ni de la capacité de fuir rapidement. Elle n’a pas de crocs ni de griffes et incarne la totale vulnérabilité. Ceci parce qu’elle représente exactement l’image de ce que doit être un élu racheté par Jésus-Christ. C’est sur ce modèle que Jésus a construit son Eglise, son Assemblée d’élus fondée sur ses douze apôtres, tous choisis par lui en connaissance absolue de leurs différents caractères ; celui de Judas, compris. Et déjà son nom « Judas » faisait de lui l’image prophétique du royaume de Juda ayant pour capitale la ville de Jérusalem. Celui qui vendit Jésus aux Juifs religieux pour trente deniers était à leur image ; le traître pour la cause de Dieu. Les onze autres apôtres formaient avec Jésus en pierre angulaire, la principale, le fondement de son Elue spirituelle ouverte aux humains de toute race, de tout peuple, sur toute la terre.

En l’an 65, les terribles persécutions, du diabolique empereur mégalomane et matricide, Néron, nom qui vient du latin « nero » qui signifie noir soit, ténébreux, ont fait mourir cruellement et injustement tous les apôtres excepté Jean. Son nom signifie : Dieu a donné. Persécuté à son tour par l’empereur Domitien, il s’avéra que Jean était rendu par Dieu indestructible, ayant résisté et survécu à un bain d’huile bouillant. L’empereur le mit donc à l’écart en l’exilant isolé sur l’île de Patmos où Dieu lui a donné la vision nommée Apocalypse ; mot traduit du grec « Apocalupsis » qui signifie : Révélation.

Le sort donné aux 12 apôtres prophétisait le projet de Dieu de 2000 ans d’histoire terrestre.

  1. La mort de l’apôtre Judas prophétisait la mort de l’Israël charnel et rebelle de l’ancienne alliance.

  2. La mort de 10 apôtres prophétisait le temps de la domination romaine ténébreuse impériale, puis papale à partir de 538. (10 apôtres pour le temps des « dix cornes » de Daniel 7:7-24)

  3. La vie indestructible de Jean prophétisait « le temps de la fin » vécu par les derniers adventistes du septième jour dissidents attendant le retour de Jésus-Christ pour le printemps 2030.

C’est en effet aux derniers adventistes que Jésus destine cette Révélation précieuse qui ne devait ni ne pouvait être comprise qu’en 1995 soit, après avoir tiré les leçons de la 3ème fausse attente du retour de Jésus pour le 22 Octobre 1994.

Tu peux le relever, dans ces trois points, je ne cite pas l’œuvre de la Réforme protestante. Je ne fais que tenir compte du jugement divin qui est révélé prioritairement par le livre historique et prophétique écrit par le prophète Daniel dont le nom signifie, précisément : Mon Juge est Dieu. Dieu tient en horreur la tiédeur et il le dit dans Apocalypse 3:16 : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche ». Ce message condamne l’adventisme institutionnel que Jésus juge « tiède ». Or l’adventisme du septième jour honore le sabbat qui est pratiqué de manière traditionnelle et universelle officiellement depuis 1873 ayant eu un caractère uniquement américain depuis 1863, année de la création de l’Eglise adventiste du septième jour. En quoi consiste sa « tiédeur » ? Le manque d’amour de la vérité, et de la vérité prophétique qui garde encore tous ses secrets même au sujet du sabbat à l’heure où Dieu m’a appelé pour éclairer progressivement intégralement cette compréhension vitale soit, au printemps 1975, par une vision nocturne, et en 1980 par mon baptême adventiste.

Etant une outre neuve, Jésus pouvait me remplir d’un vin nouveau, je n’avais jamais été baptisé avant ce 14 Juin 1980 et je n’avais que fréquenté, plus ou moins assidûment, l’église Réformée protestante. Entre 1974 et 1980 mon intérêt pour la Bible n’a fait que croître et la « Tragédie des Siècles », l’ouvrage écrit par Ellen White la messagère adventiste du Seigneur Jésus-Christ a réussi à m’arracher à ma passion musicale, après deux présentations différentes de l’ouvrage par deux personnes qui ne se connaissaient pas. J’ai trouvé dans ce livre les clés qui me manquaient pour comprendre le juste jugement de Dieu. Avec ces clés, la prophétie s’ouvrait devant moi, et l’Esprit de Dieu ou de son ange a dirigé ma lecture, les déductions, mes raisonnements, et ma juste exploitation des preuves bibliques donnant la signification des symboles cités dans les textes prophétiques de Daniel et Apocalypse. Je pense pouvoir réellement dire que j’ai été le premier homme pour lequel Apocalypse est devenue Révélation. Pour ne pas créer de confusion, je continue à le nommer Apocalypse, mais ce nom obscur ne correspond plus à la claire compréhension que j’ai maintenant de tout ce qui y est révélé ; c’est pourquoi, Apocalypse est devenue dans mon cœur et mon esprit : Révélation.

Ainsi l’adventisme institutionnel officiel est tombé en disgrâce à cause de sa « tiédeur » puisque Jésus l’exigeait « bouillant » pour rester digne de sa grâce. La pratique traditionnelle du sabbat ne le protège plus et ne le sanctifie plus. Car selon son programme dans lequel sa lumière est comme la lumière resplendissante du soleil qui s’en va croissant depuis l’aube jusqu’au milieu du jour, son exigence concernant ses élus croît, elle aussi, parallèlement.

Qu’est-ce que l’adventisme du septième jour ? Rien d’autre qu’une assemblée de chrétiens protestants décidés à achever la réforme restée inachevée depuis le XVIème siècle. C’est cette satisfaction d’une réforme inachevée qui conduit Dieu à contester aux Protestants, leur nom « protestants » qu’ils ne méritent plus de porter ; précisément, parce qu’ils ne protestent plus mais fraternisent avec le catholicisme papal, l’ennemi de Dieu depuis sa création, catholique en 313 et papal en 538. Cette alliance constitue le fruit d’un jugement humain différent du jugement divin. On voit que les faux protestants et Dieu ne reprochent pas à la religion catholique les mêmes choses. Les faux protestants ne lui reprochaient que la violence de ses persécutions. Pour sa part, Dieu lui reproche son mépris pour toute sa parole divine écrite : sa sainte Bible ; dont elle a fait interdire la lecture personnelle dans son règne ténébreux ; dont elle a réduit et transformé le texte originel de ses dix commandements.

Il n’est pas difficile de comprendre ces choses :

  1. le Juif qui n’a pas la foi pour Jésus-Christ n’est plus un Juif pour Dieu.

  2. Le Catholicisme n’a jamais été reconnu par Dieu.

  3. Le Protestantisme a perdu son statut protestant en 1843.

  4. L’Adventisme du septième jour institutionnel a perdu son statut béni et sanctifié en 1994.

Toutes ces chutes sont causées parce que les groupes cités refusent d’offrir au Dieu créateur la gloire d’une Réforme complète et achevée qui redonne à l’Elue de Dieu sa gloire resplendissante apostolique et plus encore si la chose est possible. Notre dernière génération d’élus bénéficie d’une lumière divine incomparable, car Dieu a éclairé sa prophétie qui révèle le sens du vécu passé et celui de l’avenir.

Dieu a permis à ses élus d’identifier les mensonges que de fausses traductions des textes bibliques originaux écrits « en hébreu et en grec » comportent pour justifier des pratiques condamnées par Dieu. Je souligne ces deux fruits diaboliques que sont le culte du premier jour de la semaine et la prière adressée à Dieu en position debout. Pour le culte du premier jour, la seule référence trompeusement revendiquée pour le justifier est ce verset : Actes 20:7, mal traduit du grec. Dans le texte grec, il est écrit : « Le premier sabbat, nous étions réunis pour rompre le pain. Paul, qui devait partir le lendemain, s'entretenait avec les disciples, et il prolongea son discours jusqu'à minuit. » Le mot « jour » rajouté par le traducteur n’existe pas dans l’original grec. Et le mot « semaine » désigne donc le « sabbat » et non la « semaine » ; les deux mots étant désignés en grec par le même mot « sabbaton ». Le récit décrit devient ainsi très logique après le verset 6 où il est dit : « Pour nous, après les jours des pains sans levain, nous nous embarquâmes à Philippes, et, au bout de cinq jours, nous les rejoignîmes à Troas, où nous passâmes sept jours. » l’homme Juif converti au Christ, qu’est Paul, respecte le temps « des pains sans levain » de la fête de Pâque. Son séjour à Troas est de « sept jours » et dans ces « sept jours » se présente le premier sabbat, jour du culte chrétien où les saints « rompent le pain », comme Jésus l’a enseigné. Le fait que Paul devait repartir le lendemain, confirme que ce jour de réunion était un sabbat honoré par son repos à Troas.

Cette tromperie repose sur l’ajout du mot « jour » qui fait de cette traduction une interprétation et non une traduction sincère et honnête. Ce verset étant dénoncé, il ne reste aucun moyen de justifier le culte rendu à Dieu le premier jour de la semaine. Il ne reste donc que le signe hérité du paganisme romain impérial de Constantin 1er qui l’a ordonné par son décret du 7 Mars 321.

La deuxième faute concerne l’abandon de la prosternation dans la prière adressée à Dieu. Faut-il que je le répète ? Ce comportement révèle la perte du sens du mot sacré, du mot sainteté, du mot divinité que seul le Dieu créateur représente, n’ayant en face de lui aucun autre esprit créateur comme le sien. Et à ce sujet, il a fallu encore une injuste traduction du texte grec de Marc 11:25 dans lequel le verbe grec « istemi » présenté sous la forme « stékété » désigne une attitude de fermeté et non la position debout qui est rendue par la forme « stasis ». Il semble que le diable ait particulièrement choisi le traducteur Oltramare pour falsifier sa version du texte grec de la nouvelle alliance. Ce n’est donc pas sans raison que sa version a été reprise par Louis Segond pour ses célèbres versions très appréciées par les lecteurs de la langue française privilégiée par les imprimeries protestantes calvinistes de Genève.

Ceci est la version faussée : « Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses. »

Ceci est version la plus correcte : « Et, lorsque fermement, vous faites votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses. »

L’attitude que nous avons dans la prière révèle la conception individuelle que nous avons de Dieu. Etant en prière, nous sommes des suppliants qui s’adressent et parlent au Dieu vivant qui nous regarde et se tient devant nous, même s’il reste invisible. Celui qui se prosterne devant sa face montre qu’il le voit tel qu’il est. Celui qui reste debout en prière montre qu’il ne le voit pas tel qu’il est, puissant et redoutable pour ceux qui le méprisent, mais bon et compatissant pour ceux qui l’honorent comme on doit l’honorer.

Le thème de ce verset est l’obtention du pardon de « Dieu » qui « résiste aux orgueilleux et fait grâce aux humbles », selon ce qui est écrit dans Jacques 4:6 et 1 Pierre 5:5. Or, cet « orgueilleux » et cet « humble » sont les exemples cités par Jésus dans Luc 18:10 à 14 : « Deux hommes montèrent au temple pour prier ; l'un était pharisien, et l'autre publicain. Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même : O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ou même comme ce publicain; je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. Le publicain, se tenant à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l'autre. Car quiconque s'élève sera abaissé, et celui qui s'abaisse sera élevé. »

Quiconque s’approche de Dieu pour obtenir sa protection et son salut doit comprendre, qu’étant lui-même parfaitement parfait, ses leçons ne mettent en mots que des sens opposés à l’extrême. Entre les deux, se situe la tiédeur, l’imperfection qu’il déteste et insupporte. Il oppose ainsi ; le froid au bouillant, les ténèbres et la lumière, l’orgueilleux à l’humble, définissant ainsi les critères de son camp et celui du diable ; les deux camps étant porteurs de valeurs diamétralement opposés.

Quel était le problème du pharisien cité par Jésus ? Tout ce qu’il dit est justifiable, mais il montre son orgueil en oubliant qu’il est porteur du péché qu’il a hérité comme tous les humains depuis Adam et Eve. Il est peut-être trompé sur la valeur qu’il donne aux sacrifices animaliers offerts pour le pardon des péchés selon les rites ordonnés par Dieu dans l’ancienne alliance. Mais, l’intelligence humaine est tenue responsable quand elle donne à un animal la même valeur qu’à l’être humain créé à l’origine à l’image de Dieu. Or, les pharisiens de son époque se trouvent confrontés à cette parfaite image de Dieu portée par Jésus-Christ. C’est pourquoi par cette parabole, Jésus accuse d’orgueil tous les pharisiens de son ministère, et au-delà, tous les pharisiens chrétiens qui vont apparaître jusqu’au moment de son retour glorieux au printemps 2030.

Les vrais « fils de Dieu » passent inaperçus, tant ils sont rares en nos jours où la science et la technologie accaparent les priorités des esprits humains. Mais au fil du temps, d’une manière intemporelle, la lecture de la sainte Bible est restée le moyen de porter l’attention sur Dieu et ses glorieuses activités.

L’expression « jour du Seigneur » apparaît en de nombreux textes de la nouvelle alliance, mais partout où elle apparaît, elle désigne uniquement le jour glorieux de son retour final, en lequel, précisément, le repos du sabbat du septième jour qui le prophétise trouvera son parfait accomplissement dans le septième millénaire au début duquel il apparaîtra dans sa gloire céleste.

On ne trouve donc, dans les écrits de la nouvelle alliance, aucune citation de l’expression « jour du Seigneur » qui soit rattachée à un jour de repos particulier qui puisse justifier le repos actuel du premier jour.

Le faux christianisme qui honore le repos de ce faux « jour du Seigneur » se trouve donc dans la situation paradoxale d’être détruit par Jésus-Christ au moment du vrai « jour du Seigneur ». La sagesse de Dieu est confondante, car je relève qu’il fait prophétiser par ses ennemis leur sort terrible final.

A l’opposé, les élus obéissants qui honorent Dieu en pratiquant le sabbat du septième jour prophétisent leur entrée dans l’éternité du septième millénaire. Le premier jour et le septième jour sont bien des signes d’appartenance aux deux camps diamétralement opposés ; celui du diable et celui du Dieu vivant, le grand Dieu créateur.

Notre lecture de la Bible s’enrichit considérablement quand on entre dans le mode de la pensée de Dieu qui regarde la vie par le prisme de ses opposés absolus. C’est en appliquant ce principe que j’ai eu la certitude que Dieu ferait connaître à ses serviteurs fidèles la date du temps de son retour final. Ceci grâce à ce verset d’Apocalypse 3:3 : « Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. » Il suffit de renverser la forme négative du texte en forme positive et nous obtenons : « … Si tu veilles, je viendrai comme un voleur, et tu sauras à quelle heure je viendrai vers toi. »

Ma confiance a été récompensée puisqu’en 2018, au début du printemps, l’Esprit a dirigé mon esprit vers le calendrier juif qui a permis de situer la mort de Jésus le mercredi 3 Avril 30. 2000 ans plus tard mais au premier jour du printemps, Jésus reviendra confirmant cette explication.

Nous ne devons individuellement jamais nous sentir liés par la participation ou le baptême pris dans une église quelle qu’elle soit. Le seul lien qui reste indispensable c’est notre lien avec l’Esprit de Dieu et toute sa vérité. En son temps, l’apôtre Paul a commis l’erreur de rester fidèle à sa religion juive héritée. Et il a persécuté les saints rachetés de Jésus-Christ en croyant honorer Dieu par son zèle. Depuis son expérience, d’innombrables âmes humaines se perdent pour la même raison. Les amitiés, la famille, terrestres, n’offrent pas la vie éternelle ; Dieu seul la propose et encore, sous ses conditions.

Etant libres dans tous nos choix, nous avons tous des opinions personnelles au sujet de beaucoup de choses dans tous les domaines de la réflexion. Mais nos opinions personnelles ne comptent que pour peu de chose quand on les compare au jugement de Dieu. Seule sa façon de juger la vie importe, car elle est obligatoirement la meilleure, la plus sage, la plus juste donc, la plus précieuse à connaître et à partager avec lui.

Après un échange sur ce sujet, j’aborde ici un principe utilisé par Dieu. Ce principe consiste à prêcher le faux pour savoir le vrai. Dans ce cas précis le faux diffère du mensonge parce que sa motivation est bonne. J’ai été ébloui par la sagesse divine révélée par le roi Salomon qui réussit à démasquer la fausse mère et à identifier la vraie mère d’un enfant objet de la dispute. Pour obtenir ce résultat, prévoyant la réaction de la vraie mère, il n’hésite pas à ordonner de couper le corps de l’enfant en deux parties. La vraie mère s’identifie en préférant dans ce cas renoncer à son enfant.

Cette méthode est si efficace que Dieu l’emploi constamment quand il met à l’épreuve de l’attente du retour de Jésus ses rachetés en 1843, 1844, et 1994. Ces dates ne sont pas des inventions humaines mais des poteaux indicateurs construits sur des durées chiffrées citées dans la sainte Bible. Et la chaîne complète de ces dates utilisées dans l’histoire accomplie est – 457 ; + 27 ; 538 à 1798 ; 1828 ; 1844 ; 1873 ; 1994. La précision de ces dates était si peu importante que les dates construites sur la chaîne, ayant pour base – 457, est fausse d’une année ; car j’ai découvert cette erreur tardivement. Dans Esdras 7:7, « la septième année du roi » Artaxerxès est – 458 ; sa première année étant en – 465 ; ce qui donne ensuite les dates + 26 ; 1843 ; 1993. Mais cette rectification justifiée n’a plus de réelle utilité, les événements ciblés par ces dates ayant tous été accomplis.

A chacune de ces dates Dieu rattache un enseignement vital, car dans toutes les épreuves qu’il organise, le principe des opposés absolus est appliqué, le conduisant à bénir un comportement et à maudire le comportement inverse. Les trois fausses attentes du retour de Jésus-Christ ont été pour Dieu le moyen d’identifier ses rachetés jugés dignes de sa bénédiction et de démasquer à l’inverse ceux de ces rachetés trouvés indignes de sa bénédiction et donc seulement dignes de sa malédiction. Quand une date annonce le retour de Jésus-Christ, chaque créature humaine réagit selon sa propre nature, avec foi, ou sans foi, ou encore dans l’indifférence. Dieu agit alors envers elle en conséquence, selon ce qu’elle mérite.

Dans la prophétie, une deuxième chaîne de dates se construit sur la date 538 qui a marqué l’heure de l’instauration du régime papal romain. Les dates suivantes obtenues sont : 1798, fin du règne intolérant papal ; 1828, début de l’attente adventiste et 1873 fin du temps des deux premières épreuves adventistes. Le Seigneur de vérité m’a réservé l’exclusivité de la définition de ces deux dates 1828 et 1873 obtenue par les durées 1290 et 1335 jours citées dans Daniel 12:11-12. Cette chaîne commence en 538 et s’arrête en 1873. Elle vient révéler le statut maudit de la religion protestante mise à l’épreuve entre 1828 et 1873. Car ce n’est qu’en 1873 que la lumière divine éclaire la justification des deux attentes adventistes de 1843 et 1844. En réalité, c’est l’instauration officielle universelle de l’église adventiste du septième jour, en 1873, qui condamne définitivement la religion protestante testée et condamnée par son attitude en 1843 et 1844. C’est la restauration du « sabbat du septième jour » qui est venue confirmer la poursuite de l’œuvre de réforme exigée par Dieu. Mais il serait faux de retenir uniquement la pratique du sabbat, car la cause principale de la malédiction protestante concerne d’autres vérités très importantes, comme la réforme sanitaire et l’abandon du dogme de l’immortalité de l’âme ; choses rectifiées dans la doctrine « adventiste du septième jour ». En donnant un sens à ces deux épreuves, Dieu peut condamner en toute justice les chrétiens protestants qui ne tiennent pas compte de ses exigences.

Dans Apocalypse 2:24-25, Dieu expose les bases de son jugement des protestants auxquels il dit : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. »

La présentation du règne papal cité dans Daniel 7:25 est adressée aux protestants en ces termes : « Il prononcera des paroles contre le Très Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi; et les saints seront livrés entre ses mains pendant un temps, des temps, et la moitié d'un temps» C’est cette durée retrouvée dans Apocalypse 12:6-14 qui, traduite en « 1260 jours » détermine pour son début, l’année 538 et pour sa fin, 1798. Et nous venons de le voir, les protestants de l’époque « Thyatire » sont confrontés à ce règne catholique intolérant. Ils connaissent donc ses péchés et tout ce que Dieu lui reproche. Cependant, à l’époque, le problème du sabbat est ignoré ainsi que les autres points évoqués plus haut, c’est pourquoi, faisant allusion à la future restauration de la vérité exigée par le décret de Daniel 8:14, à partir de 1843 et de 1873, Dieu leur dit dans Apocalypse 2:24-25 : « A vous, à tous les autres de Thyatire, qui ne reçoivent pas cette doctrine, et qui n'ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils les appellent, je vous dis : Je ne mets pas sur vous d'autre fardeau ; seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. » Mais bien sûr, déjà à l’époque concernée, les protestants à qui Jésus adresse ce message devaient être des êtres doux et pacifiques, reproduisant la docilité du Christ prophétisé comme un agneau qui se laisse tondre docilement sans bouger ou chercher à s’échapper.

En résumé, en 1843 et 1844, Dieu condamne les protestants qui méprisent l’annonce prophétique de son retour. Et en 1873, il condamne les protestants qui méprisent son exigence de restaurer les vérités foulées aux pieds par le catholicisme ; choses qui constituent des péchés qu’ils ont hérité de lui et continuent de pratiquer. En fait, la vérité rétablie dans l’église adventiste du septième jour les condamne définitivement.

Mais à son tour l’église adventiste va être menacée par ce message qui va la condamner à la fin des « cinq mois » d’Apocalypse 9:5-10 soit, 150 ans réels que Dieu lui donne soit, en 1994. Car Dieu déclare dans Apocalypse 2:25 et 26 : « seulement, ce que vous avez, retenez-le jusqu'à ce que je vienne. A celui qui vaincra, et qui gardera jusqu'à la fin mes œuvres, je donnerai autorité sur les nations. » Or, béni en « Philadelphie », l’adventisme officiel est maudit en « Laodicée » pour cause de n’avoir pas « gardé jusqu’à la fin ses œuvres » présentées par son prophète Samuel, en France, à Valence sur Rhône. Ceci, en dépit de l’avertissement donné dans le message de « Philadelphie » dans Apocalypse 3:11 : « Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. » Et « sa couronne » a été prise en 1994 à cause de la disparition de l’amour de la vérité.

Ce message fait apparaître le fait que le jugement de Dieu s’exerce sur deux niveaux. Le premier niveau juge l’attitude envers la révélation biblique prophétique ; le second niveau juge l’homme sur son aptitude à mettre en pratique les vérités que sa sanctification exige.

Pour être encore plus clair et précis, je dis que le premier niveau du jugement de Dieu juge la croyance et le second niveau juge l’obéissance des chrétiens et avant eux, des Juifs qui ont bénéficié de trois ans et six mois pour accepter ou rejeter après la mort de Jésus-Christ, le salut qu’il a apporté par sa mort volontaire expiatrice, le mercredi 3 Avril 30.

Ces deux niveaux du jugement de Dieu sont absolument complémentaires mais très différents. Car la croyance non mise à l’épreuve peut être très trompeuse. Ce qui n’est pas le cas pour l’obéissance dont le témoignage est spontané et donc rendu évident sans possibilité de masquer ou de tromper quiconque. Et ces deux niveaux du jugement divin concernent en fait, la foi et les œuvres qu’elle produit.

Le bon sens est la clé de la véritable intelligence. Le retrouver permet d’accéder à la lumière divine. Seul, il permet de tirer de la sainte Bible une lecture nourrissante et favorable. Et à ce sujet, nous pouvons mieux comprendre ces paroles de Jésus-Christ citées dans Matthieu 5:18 : « Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. » Il a dit au verset 17 qui le précède : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. »

Sur la croix, les derniers mots de Jésus ont été : « Tout est accompli », mais pas « tout est arrivé ». Ces deux verbes, bien que ressemblant, marquent deux étapes du programme de Dieu séparés par 2000 ans. Par sa mort, Jésus a « accompli » la mission prophétique de la loi au seul plan sacrificiel. 2000 ans plus tard, à son retour en gloire, le jour du printemps 2030 qui vient, « tout sera arrivé ».

Le verset 18 confirme donc d’une manière absolue que la loi ne perd aucun de ses enseignements jusqu’au retour final de Jésus-Christ et jusqu’au renouvellement des cieux et de la terre au début du 8ème millénaire éternel. La loi ne disparaîtra que lorsque le problème du péché aura été entièrement solutionné soit, après la « seconde mort » infligée aux rebelles célestes et terrestres. Car pendant le septième millénaire, le jugement rendu par les saints rachetés et Jésus-Christ reposera sur l’enseignement complet de toute la loi biblique construite sur ses deux alliances successives.

La loi divine est un recueil de témoignages et les témoins sont utiles à l’heure du jugement. Chacun des coupables sera tenu responsable en fonction de la lumière divine donnée à son époque.

Au niveau de la mise en pratique de la loi divine, légalement puisqu’annoncée par Dieu dans Daniel 9:27, par sa mort expiatrice, Jésus fait « cesser le sacrifice et l’offrande » d’animaux, parce qu’ils n’avaient qu’une valeur symbolique et prophétisaient son sacrifice humain parfait. La veille de sa mort, par la sainte Cène, Jésus a révélé à ses apôtres l’unique changement apporté dans la nouvelle alliance : le sacrifice de son corps en remplacement des sacrifices animaliers. Ce seul changement est scellé par le versement de son sang, juste, et parfaitement innocent. Mais dans la sainte Bible, la présentation des fêtes et des rites sacrificiels restent les témoins du plan du salut conçu par Dieu. Il en est ainsi, pour toutes les prophéties qui s’accomplissent et qui représentent des étapes de son grand programme salvateur propice à ses seuls élus.

A nous qui vivons le temps de la fin, Dieu nous offre le privilège, de découvrir toutes les étapes successives de l’histoire de la terre victime du péché et de toutes ses conséquences. Dieu fait de nous, de notre génération d’élus, ses témoins devant ses anges fidèles et devant les multitudes démoniaques célestes et terrestres. C’est en recevant ces choses dans nos cœurs et nos esprits, et en les mettant en œuvre, que le projet prophétisé dans Daniel 8:14 trouve son complet accomplissement ; en première fausse traduction : « le sanctuaire est purifié » et en bonne traduction : « la sainteté est justifiée ».




M24- Le véritable temps du calendrier de Dieu


Le sujet que je présente aujourd’hui est un cadeau du ciel qui vient marquer le passage du premier jour du printemps qui vient ce Jeudi 20 Mars 2025, jour où l’année 5996 depuis la création commence, à 5 ans du retour en gloire du divin Seigneur Jésus-Christ.

Avant de lancer une opération militaire ou de sécurité policière, les membres actifs du commando règle tous leurs montres à la même heure, puis ils déclenchent l’action de leur programme. Nous allons découvrir ainsi un nouveau sens qui vient éclairer dans Apocalypse 9:15, l’expression : « prêts pour l’heure, le jour, le mois, et l’année » ; une heure décisive en laquelle le grand Dieu tout-puissant Jésus-Christ, Micaël, YaHWéH, livre les « paisibles » mais ingrats habitants des « dix cornes » européennes, aux cornes redoutables de leurs ennemis musulmans et orthodoxes russes rendus furieux.

Ce printemps 2025 est donc le temps choisi par Dieu pour que ses élus comptent en années le temps comme il le compte lui-même. On se souvient que dans Daniel 7:25, ce que Dieu impute à la « petite corne » soit, le roi papal romain, c’est qu’il « espérera changer le temps et la loi. » Que signifie ce verbe « espérera » ? Déjà en premier, c’est qu’il n’y parviendra pas, ou plus précisément, que pendant un certain temps, même si ce temps a été assez long, dépassant largement le temps de son règne intolérant de « 1260 jours-années » annoncé dans ce même verset. La restauration de la vérité engagée depuis 1170 par l’œuvre quasi-parfaite de Pierre Vaudès dit « Valdo » devait atteindre ce même niveau avant le moment marqué par « l’heure, le jour, le mois et l’année » dont le temps réel devient calculable depuis que ces choses sont connues et rattachées à la mort expiatrice de Jésus-Christ soit, le 13ème jour du printemps de l’année 30, « à 15 heures,  le mercredi 3, Avril, 30 ». Le jour de la Pâque du rite juif était célébré le 14ème jour entre les deux soirs soit, exactement « 3 heures » après que Jésus a remis son esprit à Dieu. C’est donc sur la connaissance de ce calendrier juif que repose notre compréhension de l’année du retour en gloire final du Sauveur ressuscité et entièrement divinisé, dont la date est le jour du printemps 2030 qui vient ; et qui n’est plus, en ce printemps 2025, qu’à 5 années pleines devant nous.

Ce nombre « 2030 » est en vérité l’an 6001 du calendrier compté par Dieu de manière ascendante depuis le péché d’Adam et Eve ou le premier jour de la création terrestre ; les deux possibilités ayant leur logique, je ne peux encore pas trancher et dire quelle est la bonne. Mais connaissant maintenant la date de la fin, nous pouvons retrouver, les dates réelles des événements bibliques fixées par des durées chiffrées dans les textes prophétiques de Jérémie, Daniel, Ezéchiel ; et Matthieu et Apocalypse ; et Genèse, dont j’ai révélé le caractère prophétique.

L’année 6001 correspondant à notre année 2030 du calendrier usuel romain actuel, nous sommes en 2025, en 5996. De la même manière, nous pouvons situer la mort de Jésus-Christ en l’an 4001 depuis le début du comptage du temps par Dieu. Et l’année 2029 représente la 2000ème année de ce comptage qui débute sur sa mort salvatrice des élus.

Mais il est utile de retrouver la vraie date de la naissance de notre divin sauveur. Car notre calendrier actuel est faux, ayant été établi stupidement sur la date de la mort du roi Hérode le Grand, ce roi arabe qui dominait la Judée pour Rome. Et déjà, des historiens ont décelé pour ce seul événement une erreur de « 4 ans » dans la date retenue par le moine Denys-le-Petit ; un nom prédestiné pour ne pas entrer dans le royaume des cieux. Ces « 4 ans » réduisent donc de 4 ans l’estimation des dates de notre calendrier actuel. Mais dans mes calculs établis depuis mes études prophétiques achevées vers 1982, je donnais à ce retard « 2 années » de plus, citées dans Matthieu 2:16 : « Alors Hérode, voyant qu'il avait été joué par les mages, se mit dans une grande colère, et il envoya tuer tous les enfants de deux ans et au-dessous qui étaient à Bethléhem et dans tout son territoire, selon la date dont il s'était soigneusement enquis auprès des mages. »

A l’origine je n’ai tenu compte que de ces « deux ans » entiers, parce que Dieu l’a voulu ainsi. Car, en effet, ces « deux ans » ajoutés aux « quatre ans » d’erreur de la mort du roi Hérode, portaient le retard total à 6 années qui donnaient à ma date 1994, obtenue comme fin des « cinq mois » d’Apocalypse 9:5-10 soit, 150 années réelles écoulées depuis le 22 Octobre 1844, la date de la plate-forme adventiste ; la seconde date où les premiers adventistes espéraient entrer au ciel.

En ce printemps 2025, je remets en cause cette valeur de « deux ans » tenant compte, cette fois, de la précision, « et en dessous », qui l’accompagne dans le verset biblique. Le raisonnement qui s’impose aujourd’hui est le suivant : Le roi Hérode ne voulait manquer à aucun prix de tuer le messie susceptible de le remplacer sur le trône de la Judée. Aussi, choisit-il une marge supérieure et inférieure d’une année, en prenant pour repère, la date où les mages venus le visiter lui avaient dit avoir vu l’étoile conductrice pour la première fois ; ce que le texte précise dans ce même verset : « selon la date dont il s'était soigneusement enquis auprès des mages ». Sous cette nouvelle analyse, notre calendrier actuel ne retarde que de 5 années au lieu de 6 années. Ce nouveau calcul donne à Jésus au jour de sa mort l’âge de 34 ans, et le début de son ministère, en Automne, à 30 ans et six mois ; ce que confirme ce texte cité dans Luc 3:23 : « Jésus avait environ trente ans lorsqu'il commença son ministère, étant, comme on le croyait, fils de Joseph, fils d'Héli,… »

Les données que je viens de présenter sont solidement imposées et confirmées par le texte biblique et l’inspiration de Dieu. Mais les utiliser présente des difficultés qui favorisent la possibilité de faire des erreurs de calculs. En son temps William Miller en a fait et à mon tour, j’en ai également fait. Entre 1980 et 1991, j’ai utilisé les calculs reconnus dans l’église adventiste du septième jour au sujet des « 70 semaines » de Daniel 9 et des « 2300 soir-matin » de Daniel 8:14. Plus récemment, j’ai découvert que « la septième année » du roi Artaxerxès 1er était l’année – 458 et non – 457. Or, une nouvelle vérification du comptage imposée par les données nouvelles reçues concernant la mort de Jésus-Christ qui représente l’an 4001, la date – 457 s’impose comme base du calcul. Les historiens attribuent bien l’année – 465 comme étant la première année du règne du roi mais ce règne a commencé en – 463 et dans ce calcul, l’an – 457 est effectivement « la septième année » de son règne. Ce sujet est névralgique et hautement stratégique puisqu’il permet de fixer l’année, du baptême et de la mort de Jésus, et celle de la fin de l’ancienne alliance juive.

Dans Daniel 9, par la prophétie des 70 semaines du verset 24, Dieu nous donne, à partir du verset 25, des détails précis permettant le calcul : « Sache-le donc, et comprends ! Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu'à l'Oint, au Conducteur, il y a sept semaines et soixante-deux semaines, les places et les fossés seront rétablis, mais en des temps fâcheux. » Les « sept semaines » concernaient les Juifs de retour de la captivité et à cette durée, l’ange ajoute « soixante deux semaines », ce qui représente en tout : « 69 semaines ». L’explication qui suit va concerner « la 70ème semaine » au milieu de laquelle, Jésus-Christ devait être crucifié : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. » Cette dernière phrase casse la chronologie du sujet de la guerre, et permet à l’ange de revenir sur l’œuvre du Messie : « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande ; …» J’arrête ici volontairement ce verset, parce que la dernière phrase concerne « le dévastateur abominable » romain et papal clairement désigné : « le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur. » Le vrai message en hébreu est beaucoup moins clair et plus spirituel : « Et sous l’aile seront les abominations de la dévastation et jusqu’à la ruine et ce qui a été résolu fondent sur la désolée ». « L’aile » présente la double image symbolique du pouvoir romain impérial « aux ailes d’aigles » et du pouvoir papal qui se place « sous l’aile » des anges démoniaques. « La désolée » concerne la terre qui deviendra l’abîme désolé, privé de ses habitants humains, et la prison du diable pendant le septième millénaire.

Nous avons maintenant toutes les données nécessaires pour calculer la date du baptême de Jésus, de sa mort, et de la fin de l’alliance. Pour ce faire, nous avons en plus depuis 2018, la connaissance du calendrier hébreu dans lequel la semaine pascale ou « 70ème semaine » place la mort de Jésus, le Mercredi 3 Avril 30 soit, littéralement, « au milieu de la semaine » pascale et le 13ème jour du premier mois de l’année 30. Trois heures après 15 heures, l’heure de sa mort, le sabbat exceptionnel de la fête de Pâque commençait, marquant à 18 heures le début du Jeudi, sur le 14ème jour prévu par la loi. Le vendredi fut un jour normal suivi par le jour du sabbat hebdomadaire du quatrième commandement de Dieu.

Le calcul

Les données en jours et semaines doivent être converties en jours qui représentent des années selon le code divin donné à Moïse dans Nombres 14:34 : « De même que vous avez mis quarante jours à explorer le pays, vous porterez la peine de vos iniquités quarante années, une année pour chaque jour ; et vous saurez ce que c'est que d'être privé de ma présence. » Le code est également présenté au prophète Ezéchiel contemporain de Daniel : Ezéchiel 4:5-6 : « Je te compterai un nombre de jours égal à celui des années de leur iniquité, trois cent quatre-vingt-dix jours ; tu porteras ainsi l'iniquité de la maison d'Israël. Quand tu auras achevé ces jours, couche-toi sur le côté droit, et tu porteras l'iniquité de la maison de Juda pendant quarante jours ; je t'impose un jour pour chaque année. ».

La plus grande durée est celle des « soixante dix semaines » : 70 x 7= 490 jours. La plus courte est celle des « 69 semaines » : 69 x 7 = 483 jours. Et entre les deux, « le milieu de la semaine » pascale est un printemps et le 487ème jour.

Les 483ème et 490ème jours-années ciblent deux automnes mais commencent par deux printemps. Le printemps est donc la saison que nous devons retenir. En commençant par le printemps, ces trois durées prophétiques axent la semaine pascale sur une durée totale de huit années comprises depuis la 483ème jusqu’à la 490ème année réelle comprise. Les durées prophétisées représentent des années que l’histoire empile les unes sur les autres dans la vie réelle comme les cubes d’un jeu d’enfant. Il importe donc de ne retenir que cet aspect du type « intervalle » et non de date anniversaire du type « piquet ». Notre calendrier romain ne pose pas de problème causé par la fausse ou la vraie naissance de Jésus-Christ. Dans notre calendrier usuel erroné, sa naissance est précédée par l’an – 1 et suivie par l’an + 1. De la sorte, les jours-années se suivent et leurs valeurs s’ajoutent comme des « cubes » d’enfants.

Les durées chiffrées bibliques converties en jours-années, 483 jours, 487 jours, et 490 jours présentent la 70ème semaine sur une forme axée sur le 487ème jour, le jour-année central en lequel Jésus est mort, d’une manière parfaitement symétrique construite depuis l’automne 26 à l’automne 33. Les six derniers mois de l’an 26 entre dans cette semaine d’année et à la fin, ce sont les six premiers mois de l’an 33 qui sont retenus. Cette symétrie graphique est à l’image de la perfection divine, puisqu’on la retrouve dans le lieu très saint du tabernacle, dans lequel l’arche de l’alliance et son autel, le propitiatoire, est placée au centre de la pièce, entre deux gigantesques chérubins aux ailes déployées qui se rejoignent au-dessus de l’arche dans une symétrie parfaite que nous retrouvons dans le chandelier à sept branches et lampes.

Cette configuration a une signification. Jésus apporte au printemps 30, désigné par le jour central, le 487ème, le salut et son sacrifice parfait, dans une humanité pécheresse frappée de mort comme la saison de l’automne qui la symbolise : la saison appelée morte. La mort est avant lui, et la mort est après lui, mais entre les deux, Dieu a réglé le problème du péché, car il est venu l’expier dans la chair de Jésus-Christ. Une autre explication prioritaire place, dans cette configuration, la Pâque de sa mort expiatrice entre deux « Yom Kippour » ou « Jour des Expiations » du péché, fête juive célébrée chaque automne, « le septième mois, le 10ème jour », selon Lévitique 23:27.

Donnée approximative, confirmée dans Luc 3:23, « Jésus avait environ trente ans quand il commença son ministère ». A l’automne de la 483ème année, il avait 30 ans et six mois, étant né au printemps, 30 ans plus tôt. Cependant, établissant son calendrier que nous utilisons, le moine Denys le Petit a ignoré cette vérité, et pensant trouver dans la mort du roi Hérode un repère proche, il a opté pour ce choix. Mais ce faisant, la mort du roi Hérode est décalée par une erreur de quatre ans, identifiée depuis, mais non rectifiée. En conséquence l’âge du Christ réel de 30 ans est devenu 25. « Au milieu de la semaine » pascale, l’âge de Jésus estimé faussement est donc 29 ans et les « 490 années » se sont achevées en 33.

Ces valeurs fausses sont cependant les seules qui permettent de situer les événements dans le temps historique accompli ou à accomplir. Mais à titre indicatif, je peux dire que les valeurs véritables des trois dates d’années commencées toutes par un printemps et fixées par la prophétie sont : 31 ; 35 ; et 38. Cependant, Jésus avait réellement 34 ans, lorsqu’il a offert sa vie sur la croix. J’ai rajouté aux fausses dates 26 ; 30 ; 33 : « 5 années », qui regroupent les « 4 ans » de l’erreur du moine Denys-le-Petit, et « l’âge d’1 an » que Jésus avait, à l’heure du massacre des enfants de Bethléhem auquel il échappa, se trouvant en cette heure, en Egypte.

Disposant des fausses dates 26 ; 30 ; 33, nous pouvons établir la date commune de leur commencement. Il suffit de retrancher 33 à 490 ; ou 30 à 487 ; ou encore 26 à 483 pour obtenir dans les trois calculs la date – 457. Cette date est « la septième année » du règne du roi perse Artaxerxès 1er dit « Longue main » ; ce qui place sa première année en l’an – 463. Et en dépit de la datation des historiens qui la situent en – 465, c’est celle que Dieu atteste et qu’il a choisie. Car nous trouvons dans Esdras 7:7, « la parole qui a annoncé que Jérusalem sera rebâtie » selon Daniel 9:25. Le calcul impose donc cette année – 457 et fixe le début du règne de ce roi à l’année – 463. Nous lisons dans Esdras 7:7 : « Plusieurs des enfants d'Israël, des sacrificateurs et des Lévites, des chantres, des portiers, et des Néthiniens, vinrent aussi à Jérusalem, la septième année du roi Artaxerxès. » Le verset 9 indique la saison du printemps : « il était parti de Babylone le premier jour du premier mois, et il arriva à Jérusalem le premier jour du cinquième mois, la bonne main de son Dieu étant sur lui. » Le verset 13 confirme l’ordre royal : « J'ai donné ordre de laisser aller tous ceux du peuple d'Israël, de ses sacrificateurs et de ses Lévites, qui se trouvent dans mon royaume, et qui sont disposés à partir avec toi pour Jérusalem. ». Avant ce roi, successivement, le roi Cyrus et le roi Darius avaient eux-aussi autorisé la reconstruction de la maison de Dieu. Mais c’est le décret du troisième, Artaxerxès, qui est pris en compte.

La date – 457 est aussi la base des « 2300 soir matin » de Daniel 8:14 et là encore, une simple soustraction des deux nombres donne la fin de cette durée pour le printemps 1843 ; ce qui donne : 2300 – 457 = 1843. Dieu a organisé une deuxième épreuve adventiste dans laquelle le retour du Christ était fixé au 22 Octobre 1844. Cette date est donc uniquement historique et rattachée à cette seconde épreuve adventiste qui a marqué la fin de ce type d’épreuve de foi, pour cette époque. Cette date 1844 a pris une grande importance pour les pionniers de l’adventisme et ceci non sans raison, parce que « la fin d’une chose vaut mieux que son commencement », lit-on dans Ecclésiaste 7:8. Et ce fut dans cet automne 1844, que Joseph Bates adopta, le premier, la pratique du repos du sabbat du septième jour avant ses frères et sœurs en Christ adventistes.

Dans notre calendrier romain, la mort de Jésus-Christ est située sur l’an 30 qui reste encore aujourd’hui l’année 4001 des 6000 ans de l’histoire du péché terrestre. Or, l’an 30, auquel 5 ans doivent être rajoutés pour retrouver la véritable année marquée par la mort de Jésus-Christ, place l’année de sa vraie naissance 35 ans avant sa mort. Ce décalage de 35 ans qui sépare sa vraie naissance et l’année de sa mort explique notre actuel dépassement de l’an 2000.

Basé sur la fausse naissance de Jésus estimée « an 1 », 31 ans avant sa mort, notre calendrier atteindra l’an réel 6000 ou 2000 en 2029. Et le printemps de l’an 2030 sera « l’an 1 » du « septième millénaire » qui s’ouvrira pour Jésus-Christ et ses fidèles rachetés.

Dans ce nouveau calcul, la fin des « 2300 soir matin » établit la date 1843 sur laquelle se posent les 150 années des « cinq mois » d’Apocalypse 9:5-10. Nous obtenons ainsi la date 1993, qui justifie la malédiction adventiste survenue sur l’église officielle le 22 Octobre 1991, jour du vote secret de la décision des dirigeants de l’œuvre d’entrer dans l’alliance de la Fédération protestante. En Novembre 1991, après une tentative de conciliation mal vécue par le pasteur local, l’une des trois personnes venues témoigner avec moi a vu une lumière tomber du ciel verticalement dans une zone non éclairée. Le sabbat suivant, j’ai été officiellement radié de l’œuvre adventiste institutionnelle.

Dans l’ancienne datation et le décalage de 6 ans au lieu des 5 actuels, la date 1844, sur laquelle j’ai posé les « cinq mois » ou 150 années réelles d’Apocalypse 9:5-10, était utile pour justifier mon annonce du retour de Jésus-Christ pour 1994, qui était donc réellement dans notre faux calendrier le possible an 2000. A l’époque, l’an 4001 était sensé marquer la naissance de Jésus-Christ, au printemps. Mais ce calcul était faux, parce qu’il reposait sur la naissance de Jésus-Christ, alors que l’année 4001 était celle de sa mort ; ce qui explique une erreur de 35 années soit, l’âge atteint par Jésus quand il est mort. Parce qu’il est né au printemps 3966, 5 ans avant l’an 1 de notre calendrier. La 34ème année de la vie de Jésus-Christ qui précède l’an 4001 de sa mort était l’an 4000. Je relève avec intérêt, que la somme de la date 3966 de la vraie naissance de Jésus-Christ est le nombre 24 soit, 12 + 12 comme les deux alliances (12 patriarches ; 12 apôtres ; 12 tribus scellées).

Pouvant ainsi partager avec Dieu sa manière de compter le temps, notre relation avec lui s’intensifie et augure d’une vrai rencontre physique et spirituelle qui n’est plus qu’à 5 années devant nous. Et c’est en ce printemps, que Dieu dirige notre attention sur cette vraie naissance de Jésus-Christ qu’il nous faut situer en – 5 soit, 5 ans avant l’an 1 de notre calendrier usuel latin et romain soit, faussement chrétien. Nous allons entrer dans ce printemps 2025 en partageant la connaissance du temps divin exact. Ce qui me conduit à dire que le message concernant « le temps » dans Daniel 7:25 est définitivement réglé par Dieu. L’espérance du roi papal subit un cuisant échec : ses changements sont identifiés et rectifiés.

Dans le même verset, l’espérance du changement concerne aussi « la loi » divine. Elle a en effet subi beaucoup d’outrages de la part des catholiques dans un premier temps, mais aussi depuis 1844, par les protestants. La loi divine se compose des écrits canoniques des deux alliances successives, les premières révélations divines ayant été faites par Dieu à Moïse, le guide de l’Exode et les dernières ayant été reçues en vision par l’apôtre Jean sur l’île de sa captivité nommée Patmos. Le début et la fin de la rédaction biblique s’accomplissent dans la captivité organisée par ces deux monstres symboles du péché, « l’Egypte », et Rome », successivement, impériale puis papale.

L’histoire d’Israël est construite par Dieu de manière à rappeler aux êtres humains qu’ils naissent porteurs du péché et qu’il n’existe aucun innocent parmi eux à l’égard du péché ; ce que Paul confirme dans Romains 3:19, en disant : « Or, nous savons que tout ce que dit la loi, elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée, et que tout le monde soit reconnu coupable devant Dieu. » Il n’était donc pas utile pour le diable et Rome de déformer la loi divine, puisque cette loi ne visait qu’à accuser et condamner l’être humain héritier du péché par nature depuis Adam et son péché.

Dans l’ancienne alliance, sous son aspect national, l’Israël de Dieu restait fidèle à la lettre de la loi écrite en hébreu, lue et comprise par tous les Hébreux qui composaient cet Israël. Le diable n’avait donc aucun moyen de falsifier ces textes de l’ancienne alliance.

Dans la nouvelle alliance qui s’ouvre aux païens cette impossibilité disparaît, parce que les païens ignorent l’hébreu et qu’ils n’ont connaissance principalement, que du grec et du latin romain. L’enseignement biblique n’est alors constitué que de textes originels traduits de l’hébreu, pour l’ancien « témoin » et du grec, pour le nouveau « témoin », qui n’offrent plus la garantie de la précision des paroles originelles. En 313 soit, 318 ou 4284, la multitude de gens faussement convertis maîtrise le grec et le latin mais écarte volontiers la version hébraïque de l’ancienne alliance. Ainsi, l’hébreu et le grec sont considérés, « langues mortes ». Sous la domination tyrannique romaine, le latin s’impose comme langue religieuse, favorisant ainsi l’adoption des mensonges inspirés aux faux pères de l’église catholique romaine. Pour les Chrétiens, les « ténèbres » spirituelles s’approfondissent et s’épaississent ; l’enseignement de l’ancienne alliance disparaît et le missel catholique romain remplace les écritures de la nouvelle alliance. La norme romaine remplace la norme divine.

En 538, avec l’instauration du régime papal, cette fois, c’est « le Chef » céleste de l’Eglise, Christ, qui est remplacé par un chef terrestre élu par les cardinaux du clergé catholique romain et qui reçoit le titre religieux de Pape soit, le père spirituel supérieur que ses adeptes osent nommer « Très-saint père » malgré l’interdiction ordonné par Jésus-Christ dans Matthieu 23:9 : « Et n'appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux. » Ce remplacement du Christ par le pape est prophétisé dans Daniel 8:11 et 25 : « Elle s'éleva jusqu'au chef de l'armée, lui enleva le sacrifice perpétuel, et renversa le lieu la base de son sanctuaire…. /…A cause de sa prospérité et du succès de ses ruses, il aura de l'arrogance dans le cœur, il fera périr beaucoup d'hommes qui vivaient paisiblement, et il s'élèvera contre le chef des chefs ; mais il sera brisé, sans l'effort d'aucune main. » Le terme « perpétuel » désigne l’intercession céleste que Jésus possède en exclusivité. Sur la terre les Chrétiens perdent son intercession croyant la trouver dans le pape terrestre.

En 1170, c’est en traduisant la Bible et en la mettant en pratique scrupuleusement, que Pierre Vaudès permet au Christ de reprendre momentanément et exceptionnellement son sacerdoce perpétuel. Car les ténèbres se referment après lui sur son œuvre et son groupe des Vaudois du Piémont italien. Au XVIème siècle, des protestants sincères et pacifiques ont pu bénéficier encore exceptionnellement de sa grâce et de son intercession céleste. Ils ont bénéficié du progrès technique qui a favorisé, par l’impression littéraire mécanique, la diffusion de la sainte Bible en diverses langues parlées dans l’Europe occidentale. L’œuvre de la Réforme ne repose que sur la découverte de la vérité divine écrite dans la sainte Bible entière que Dieu présente au titre de ses « deux témoins » dans Apocalypse 11:3 : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. »

Cette Réforme ne fut que partielle et la gloire de Dieu exigeait une restauration complète qu’il a imposé par son décret de Daniel 8:14 à partir de la date 1844 que ce verset construisait entre 1816 et 1982. La date construite apparaît aujourd’hui comme étant l’année 1843.

Aujourd’hui, Jeudi 20 Mars 2025, c’est le premier jour du printemps et à l’heure où Dieu me fait rectifier le calendrier de son programme en appliquant le recul de 5 années au lieu de 6 de la date de la naissance de Jésus-Christ, en ce même jour, à Bruxelles, les dirigeants européens se sont réunis et se sont donné un délai de 5 ans pour préparer le relèvement de leur force militaire et commerciale. Ils se donnent jusqu’en 2030, pour réussir leur projet et ne savent pas que Dieu a pour eux, en 2030, formé le projet de les anéantir tous.




M25- Devenir citoyen du royaume des cieux


Il y a la théorie et la pratique pour devenir un citoyen du royaume des cieux. En théorie, les symboles de l’engagement religieux du baptême par immersion totale, et la participation à la sainte Cène, quand elle est précédée du lavement des pieds, font d’un racheté, officiellement, un citoyen du royaume des cieux. Mais qu’en est-il réellement ? La nature de la personne baptisée est encore très attachée aux valeurs terrestres. Et le symbolisme du rituel religieux observé n’a que la valeur d’un but à atteindre. Et selon les personnes et le plus grand nombre, ce but ne sera même jamais atteint. C’est le cas pour des multitudes de faux chrétiens victimes de la présomption de la foi. Ils veulent plaire à Dieu sous condition qu’il les accepte tels qu’ils sont avec leurs défauts de caractère et leurs péchés. Ils se tranquillisent trompeusement en s’appuyant sur le grand nombre de gens qui pensent comme eux. Ils ignorent que la loi du nombre est une valeur humaine et uniquement humaine. Leurs priorités sont terrestres et aujourd’hui très humanistes. Les mêmes personnes qui méprisent les valeurs célestes divines, tout en se réclamant de son salut, sacrifient volontiers les valeurs nationales de leur pays natal. Les valeurs humanistes écrasent tout, les exigences religieuses, commerciales, politiques, nationales, car les esprits de ces gens ont été formatés sur le modèle mondialiste sous lequel ils sont nés, en grande majorité.

Le changement actuel des relations internationales vient les frapper au foie ou à l’estomac. Et il faut du temps pour qu’ils réalisent pleinement que le monde entier se trouve menacé par la guerre. Ceci, parce qu’ils ne se sont en rien préparé mentalement à cette éventualité. A l’opposé, j’ai pensé voir s’accomplir la grande Troisième Guerre Mondiale en 1983, puis en 1993 ; et la voici qui vient en 2025 ou 2026, à cause d’une situation ukrainienne instaurée en 2022 et d’une situation juive en guerre à Gaza depuis 2023. Ceci, parce que, comme Habakuk, je veillais sur une « tour de garde » spirituelle. Avant mon baptême, ma lecture de la sainte Bible entière en 1974 portait déjà ses effets bénéfiques ; j’attendais le drame final et j’ai pensé devoir le vivre en 1983 et en 1993.

Les gens devraient comprendre que pour entrer dans le royaume céleste de Dieu, une préparation spéciale est autant nécessaire que celle à laquelle sont soumis les cosmonautes pour leurs expériences spatiales. Les deux préparations exigent beaucoup de la part des candidats. La préparation pour le royaume des cieux concerne l’esprit des rachetés, alors que la préparation pour l’expérience spatiale concerne le corps humain et sa résistance physique. Mais dans les deux cas, l’être humain doit dépasser les limites de sa normalité.

Entre 2025 et 2030, nous allons vivre la leçon enseignée par la parabole des dix vierges, pour la quatrième et dernière fois. Il est encore temps pour tous les êtres vivants de se préparer à rencontrer leur Dieu. Et cette préparation est nécessaire et exigée par Dieu comme le prouve son message imagé dans Apocalypse 19:7-8 : « Réjouissons-nous et soyons dans l'allégresse, et donnons-lui gloire ; car les noces de l'agneau sont venues, et son épouse s'est préparée, et il lui a été donné de se revêtir d'un fin lin, éclatant, pur. Car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints. » Relève au passage l’intérêt de retrouver dans ce verset l’expression « justes des saints » qui authentifie ma rectification donnée à la traduction de Daniel 8:14 : « Et il me dit : Jusqu’à soir matin, deux mille trois cent, et sera justifié la sainteté » Ce verset était traduit avant moi : « Et il me dit : Deux mille trois cents soirs et matins ; puis le sanctuaire sera purifié. »

La première leçon donnée par Dieu par ces deux messages est la suivante : Entre 313 et 1843, date de la fin des 2300 années citées, le sanctuaire religieux que représentait l’Eglise chrétienne était « impur », souillé par les péchés instaurés officiellement par le catholicisme romain devenu papal en 538. Ce sanctuaire représentait le catholicisme et le protestantisme sorti de lui comme « la terre sort de la mer », dans Genèse 1:9-10 : « Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous du ciel se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse. Et cela fut ainsi. Dieu appela le sec terre, et il appela l'amas des eaux mers. Dieu vit que cela était bon. » Les fruits portés successivement par « la mer » symbole du catholicisme dans Apocalypse 13:1 et par « la terre » symbole du protestantisme apostat dans Apocalypse 13:11, sont restés « impurs ».

En 1980, Dieu m’a appelé pour clarifier la prophétie restée obscure et incomprise. En 1991, j’ai présenté officiellement à l’église adventiste du septième jour locale de Valence, un ouvrage polycopié intitulé « la Révélation de la Septième heure ». Et ce livre présentait ma nouvelle traduction du texte de Daniel 8:14 dans laquelle les mots « sainteté justifiée » remplacent les mots « sanctuaire purifié ». Cette traduction réelle nouvelle était adaptée pour une présentation à l’église adventiste du septième jour « sanctifiée », contrairement au catholicisme et au protestantisme restés « impurs ». Les destinataires des deux versions n’étaient pas les mêmes. Aussi en rejetant le message et en radiant de l’œuvre son auteur, l’adventisme du septième jour officiel a perdu dès 1991 et définitivement en 1994, son statut de « sainteté justifiée » par la grâce de Jésus-Christ.

En vérité, le sanctuaire « impur » jusqu’en 1843-1844 est resté « impur », relayé par la « sainteté » adventiste à cette date. De même dans l’image symbolique de la « nouvelle Jérusalem » d’Apocalypse 21, l’église chrétienne a pour fondement les noms des « douze apôtres » et à partir de 1843, date actuelle du calcul, l’Elue adventiste est symbolisée par « douze portes » et « perles » portant les noms des « douze tribus scellées » d’Apocalypse 7.

Que peut exiger en priorité le Dieu de vérité de la part de ses rachetés en Christ ? Qu’ils identifient et honorent sa vérité et qu’ils prennent en horreur le mensonge comme il le tient en horreur lui-même. Qu’ils prouvent par leur comportement qu’ils croient à son existence, en obéissant à ses ordonnances et ses commandements. Qu’ils choisissent le bien et rejettent le mal. Qu’ils s’intéressent à ces activités et identifient l’accomplissement de ses annonces prophétisées. Que toutes leurs œuvres témoignent qu’ils sont les futurs citoyens du royaume céleste éternel de Dieu. Et enfin, que leurs œuvres témoignent qu’ils sont devenus des citoyens du royaume des cieux en privilégiant en toute chose le choix céleste, ce qui implique le détachement envers les valeurs terrestres.

Ce programme ambitieux élève la valeur du salut payé, par sa douloureuse et atroce mort, par Jésus-Christ.

Ma préparation a été longue et progressive. J’ai aujourd’hui 80 ans, bientôt 81, et je découvre maintenant le fruit porté par cette longue préparation. J’écoute les informations répétées inlassablement sur les chaînes info télévisées. Et en entendant répéter en boucles des paroles vaines par des gens qui ignorent le sort que Dieu leur prépare, je mesure, je savoure mon privilège d’homme préparé et éclairé par le Dieu créateur tout-puissant. Je loue et bénis le nom de Jésus-Christ par lequel Dieu m’a arraché à une vie superficielle qui menait à la mort. La passion musicale a été remplacée par la passion prophétique qui dirige toutes mes pensées vers le Dieu céleste invisible, mais si puissant dans son action.

Cette relation éternelle qui a commencé au jour de mon baptême en 1980, me conduit en ce jour du printemps de son année 5996 à glorifier et à célébrer dans mon esprit l’anniversaire de son œuvre de sa création terrestre, aujourd’hui menacée de grandes destructions et dévastations que je sais inévitables.

Ma lecture de la Bible entière me permet de retrouver dans les événements internationaux des reproductions des expériences rapportées dans ses divins écrits. Je vois les grands de ce monde foncer tout droit dans les pièges que Dieu et le diable leur tendent, parce qu’ils sont leurs ennemis communs. Le diable n’aime pas ceux qui lui obéissent comme Dieu peut le faire. Les démons agissent comme peuvent le faire ceux qui ont déjà tout perdu, excepté le droit de vivre jusqu’au retour de Jésus-Christ, au printemps 2030 qui vient.


Le mot « printemps » signifie premier temps


L’étude de ce sujet est pleine d’enseignements spirituels. Et ce n’est pas sans raison que ce Jeudi 20 Mars 2025, premier jour du printemps, est choisi par Dieu pour me donner de nouvelles lumières spirituelles. Observons la terre sur le plan astronomique. Le printemps est causé par l’inclinaison de 23,5 degrés de l’axe de la terre qui passe par ses deux pôles Nord et Sud.

Au début de la création terrestre, avant le péché commis par Adam et Eve, la terre tournait sur son axe parfaitement perpendiculaire ce qui donnait à la nuit et au jour, une rigoureuse exacte longueur ; cette égalité était l’image de la neutralité de la vie terrestre, créée par le Dieu créateur pour régler le problème du péché produit par le libre choix donné à ses créatures célestes. Et le même libre choix a été donné ensuite à l’homme et la femme créées par Dieu au sixième jour. Nous pouvons alors comprendre ce qui est arrivé quand Eve, se retrouvant momentanément seule, est interpelée par le diable qui lui parle en utilisant le serpent, comme un médium occulte, devin ou astrologue, le fait aujourd’hui.

Eve est séduite par la beauté et l’apparente intelligence de cet animal visiblement supérieur, puisqu’il parle. Dans sa pensée, se forme l’idée que Dieu l’a trompé et que son avertissement de peine de mort, si elle ou son époux Adam mange du fruit interdit, a simplement le but de leur faire peur pour les priver d’un don supérieur. C’est ce que suggère, les paroles dites par le serpent selon Genèse 3:1 et 4-5 : « Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que YaHWéH Dieu avait faits. Il dit à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? …/…Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. » Alors au moment même où Eve porte le fruit à sa bouche, l’axe de la terre chute et s’incline de 23,5 degrés. Cette chute terrestre témoigne de la chute spirituelle d’Eve, puis d’Adam qui l’imita parce qu’il préférait mourir avec son épouse, à cause de l’amour passionnel qu’il éprouvait pour elle. Le péché fut donc la cause de la perte de la neutralité printanière. En péchant contre Dieu, Adam et Eve ont épousé la cause du diable ; ils n’étaient plus neutres mais passés à l’ennemi. Se découvrant nus et éprouvant pour cela de la honte, ils ont témoigné qu’un grand changement s’était produit en eux. Cette réaction de honte témoignait qu’ils avaient maintenant en eux la connaissance du bien et du mal. Avec la perte de l’équinoxe toute l’année, la terre entière a été maudite et touchée par le processus de la mort. Mais rien n’était encore visible pour eux. Leur tragique situation, devenue nôtre, leur a été présentée par Dieu lui-même dans une scène de jugement décrite dans Genèse 3:8 à 24. Mais dans le verset 21 nous lisons : « YaHWéH Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit. » La compassion de Dieu pour ses faibles créatures humaines prophétise, par « des habits de peaux », la couverture de la justice qui est imputée, au nom de Jésus-Christ, aux seuls vrais élus qui produisent le fruit de la repentance.

Ainsi chaque année, une fraction de seconde, durée réelle d’un équinoxe du printemps et de l’automne, vient rappeler aux êtres humains, le péché qui a causé la perte de leur innocente neutralité et les a rendus dignes de la mort. Le péché est consommé, le cycle des saisons s’enclenche par le basculement de l’axe terrestre et le jour augmente au dépend de la nuit ; puis arrivé au solstice de l’été, le processus s’inverse, passe par l’équinoxe de l’automne et se prolonge jusqu’au solstice de l’hiver après lequel la nuit se raccourcit au bénéfice du jour qui croît jusqu’au nouvel équinoxe du printemps.

Les deux solstices de l’été et de l’hiver symbolisent la vie maximale et la mort maximale qui sont les témoins des deux offres que Dieu présente au pécheur humain, selon Deutéronome 30:19 : « J'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre : j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postérité, »

Renseignements pris, cette année sous le méridien de Greenwich, l’équinoxe est passé à 9 heures 01 minute 30 secondes GMT soit, à l’heure où Jésus-Christ a reçu dans ses poignets et ses pieds les clous acérés qui ont percé sa chair pour le clouer sur « le patibulum  et le stipes » de sa croix, pour sa crucifixion douloureuse et atroce. Je relie ce message avec celui de la « sixième trompette » d’Apocalypse 9:11 à 21 qui cible la zone géographique du camp de l’U.E. regroupant les « dix cornes » citées dans Daniel et Apocalypse, et symbolisées dans Apocalypse 9:14, par « le grand fleuve Euphrate » ciblé par la colère de Dieu : « et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve d'Euphrate. »

Ce message est précédé, au verset 11 et 12, par la mise en scène du Christ intercesseur dont les ordres produisent l’effet cité au verset 15 : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuassent le tiers des hommes. » La mort ainsi ordonnée est la conséquence de la colère que Dieu porte sur l’Europe occidentale qui méprise la valeur de sa mort, en sacrifice volontaire expiatoire. Ayant méprisé l’offre et les conditions de la vie, l’Europe faussement chrétienne est livrée à la destruction et la mort. Et le nom Euphrate qui lui est symboliquement attribué révèle sa soumission à « Babylone la Grande » soit, la Rome papale dont le nom Rome a été donné aux deux « traités » sous lesquels son Union a été officiellement construite.

Ce jour du printemps est marqué par une intensification de la tension qui oppose l’Europe Unie occidentale, lâchée par les USA, à la Russie. S’accusant mutuellement, les deux camps se préparent pour la guerre. J’entends sur les ondes les Européens annoncer qu’ils se donnent jusqu’à 2030 pour se préparer. Et en ce même jour des menaces de mort adressées à la France arrivent de l’Algérie, disant : « l’heure est arrivée de faire payer la France ! »

La question se pose : comment les Européens peuvent-ils croire que la Russie va attendre qu’ils soient prêts pour les attaquer ? Le piège de leur longue insouciance et aveuglement coupable se referme sur eux. Dieu les livre à leurs ennemis, comme il l’a fait tant de fois pour son peuple Israël dans l’ancienne alliance, jusqu’à sa destruction par les Romains en l’an 70, conformément à la prophétie de Daniel 9:26 : « Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur personne pour lui. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire la sainteté, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre. »


Dieu ne bénit le premier temps qu’au titre de première saison. Car paradoxalement, il fait dire par Salomon dans Ecclésiaste 7:8 : « mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. » Ces paroles exaltent la longue expérience qui permet à l’esprit hautain de devenir un esprit patient. Dieu dirige les regards humains sur la fin de l’histoire terrestre, bien préférable à ses commencements marqués par le péché et ses conséquences. Car la fin, c’est l’heure du « jugement » et de la « récompense » des saints élus rachetés comme Apocalypse 11:18 le prophétise : « Les nations se sont irritées ; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre. »

Si Dieu place le printemps en première saison, c’est parce que ses conditions équinoxes sont conformes à celles de la terre originellement pure de tout péché. L’organisation par Dieu de la semaine de sept jours exprime la mise en œuvre du principe cité par Salomon : «  la fin d’une chose vaut mieux que son commencement ; …» Qui peut contester le fait que « mille ans » de vie céleste est meilleur que 6000 ans sur la terre du péché ? Psaumes 84:10 répond : « Mieux vaut un jour dans tes parvis que mille ailleurs ; je préfère me tenir sur le seuil de la maison de mon Dieu, plutôt que d'habiter sous les tentes de la méchanceté. »

Dieu a gravé dans la vie humaine, depuis la première semaine de la création du monde, la prophétie du « septième millénaire » céleste en « sanctifiant » le « septième jour » de la semaine par le repos mental et physique. Dieu ne donne pas sa lumière aux pourceaux et il le prouve en ayant masqué le vrai sens du sabbat qu’il a caché sous son rôle de mémorial de son œuvre créative du commencement. Il a jalousement gardé secrète cette vérité révélée à ses derniers serviteurs adventistes comme un signe qui concrétise le dernier « témoignage de Jésus ».

Au printemps 2018, la découverte du calendrier juif présentant la semaine pascale du mois d’Avril 30, a permis d’établir la date du retour de notre Sauveur Jésus-Christ prévue pour le printemps 2030 dont le premier jour soit, le 20 Mars, marquera le premier jour du septième millénaire céleste pour les seuls élus reconnus et rachetés par Jésus-Christ ; soit, l’an 6001 du calendrier de Dieu.

On donne au printemps le nom de « renouveau ». Ce critère marque les deux venues du Messie Jésus. Dans son ministère terrestre vécu entre les années 31 et 35 du vrai temps divin a instauré les bases du « renouveau » spirituel que constitue la nouvelle alliance dont l’élément principal est l’offrande de son sang humain venu remplacer et valider le sang animal qui le symbolisait et le prophétisait jusqu’à lui. Puis, au printemps 2030, il reviendra pour apporter le « renouveau » spirituel d’un corps et d’une vie céleste offerts à ses élus rachetés.

Prophétisant le temps de ce « renouveau », le sabbat instaure le repos de l’âme, après 6000 ans de travail éreintant à cause du péché.

Le « renouveau » prend aussi une forme politique internationale en ce jour du printemps 2025, et je rappelle que c’est seulement aujourd’hui que nous entrons dans la fausse année 2025 marquée par cette saison du printemps. Car cette année 2025 est réellement l’année 5996 du calendrier ascendant compté par le grand Dieu créateur ; et depuis la mort de Jésus-Christ en l’an 4001, l’année 1996. La grande destruction nucléaire est pour l’année 2028 ; ou 5999 ; ou 1999.

La perception du septième millénaire était invisible avant mon témoignage. Car après quelques pionniers adventistes du XIXème, j’ai été dans le XXème siècle le premier adventiste du septième jour convaincu que le temps terrestre était limité à 6000 années ; et je précise que j’avais en moi cette conviction bien avant ma rencontre avec l’église adventiste. Cette idée était tellement naturelle pour moi que la confirmation donnée par Ellen White dans sa « Tragédie des Siècles » ne m’a pas étonné. J’avais évoqué l’expression « six mille ans » dans le chant intitulé « On ne croit plus en rien » que j’ai composé et écrit en 1974, alors que j’étais musicien guitariste chanteur dans un cabaret, au Havre ; un chant que tu peux retrouver sur le site « retourjc2030.com » avec d’autres chants et documents. Les derniers 4 mois de 1974, de retour à Valence, j’ai entrepris la lecture complète de la sainte Bible m’attardant sur le livre Apocalypse. Et au printemps 1975, le Dieu lumière m’a annoncé en image dans une vision son appel pour ma mission prophétique. En 1980, mon baptême adventiste du septième jour scellait la vision après deux présentations de la « Tragédie des Siècles » au cours de l’année 1979.

Le « renouveau » de la lumière exige une outre neuve capable de porter le vin nouveau. J’avais cette caractéristique ayant été préparé par Dieu pour cette mission prophétique. Et comme au temps des Juifs de l’ancienne alliance, comme le dit Jean 1:5 : « la lumière luit dans les ténèbres mais les ténèbres ne l’ont point reçue ». Aussi, de même que Dieu a mis fin à son alliance avec les Juifs nationaux en l’an 33, selon Daniel 9:25, il a mis fin à son alliance avec l’adventisme institutionnel, après 1991, en 1994 selon Apocalypse 9:5-10.

Dans sa sainte Bible, Dieu a donné les avertissements qui justifient sa condamnation des gens qui n’en tiennent pas compte. Je cite Matthieu 24 :

Verset 42 : « Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra vient. »

Verset 43 : « Sachez-le bien, si le maître de la maison savait à quelle veille de la nuit le voleur doit venir, il veillerait et ne laisserait pas percer sa maison. »

Verset 44 : « C'est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l'homme viendra vient à l'heure où vous n'y penserez pensez pas. »

La lumière donnée en 2018 par Jésus-Christ confirme ce message. Car la date du vrai retour de Jésus ne repose pas sur une donnée biblique chiffrée mais sur la découverte d’un calendrier juif et ce que sa datation du 3 Avril 30 implique par déduction.

Verset 45 : « Quel est donc le serviteur fidèle et prudent, que son maître a établi sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ? »

Cette précision soulignée en gras rend toute mystification impossible. La qualité de la nourriture donnée l’atteste. Le « temps convenable » désigne l’attente adventiste que le verset 46 qui suit confirme en disant « à son arrivée ».

Verset 46 : « Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi ! »

Verset 47 : « Je vous le dis en vérité, il l'établira sur tous ses biens. »

Ceci est la part réservée au bon serviteur


Verset 48 : « Mais, si c'est un méchant serviteur, qui dise en lui-même : Mon maître tarde à venir, »

Cette méchanceté est ressentie en premier par Dieu qui sonde les pensées les reins et les cœurs. L’expression « Mon maître tarde à venir » résume le fruit de l’impatience humaine des êtres méchants. On ne trouve chez ces gens aucun besoin de comprendre les désirs de Dieu et ses Révélations.

Verset 49 : « s'il se met à battre ses compagnons, s'il mange et boit avec les ivrognes, »

Mon frère en Christ Joël a été témoin d’une bagarre entre des adventistes irrités, dans l’église de Valence, un jour de sabbat après ma radiation.

Ces « ivrognes s’enivrent du vin d’impudicité de Babylone la Grande ». Dieu désigne ainsi les Catholiques, et les apostats protestants et depuis 1994, les adventistes qui les ont rejoints, selon Apocalypse 17:2 : « C'est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à l'impudicité, et c'est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés. »

Verset 50 : « le maître de ce serviteur viendra le jour où il ne s'y attend pas et à l'heure qu'il ne connaît pas, »

Ce sort est réservé aux apostats protestants selon Apocalypse 3:3 : « Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde et repens-toi. Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai sur toi. » ; Ces Protestants apostats sont rejoints par les adventistes apostats après 1994.

Verset 51 : « il le mettra en pièces, et lui donnera sa part avec les hypocrites : c'est là qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents. »

Dans ce verset, le mot « hypocrites » désigne comme dans Daniel 11:34 les ligues catholiques et protestantes armées : « Dans le temps où ils succomberont, ils seront un peu secourus, et plusieurs se joindront à eux par hypocrisie. » Le « secours » cité repose sur l’usage des armes par des protestants qui luttent contre les ligues catholiques meurtrières. Sous ce mot « hypocrite » Dieu désigne tous les faux chrétiens qui ne tiennent pas compte de ses ordres, car ils ne l’aiment pas et ils le prouvent par leurs œuvres.


M26- La ruine avant la mort



Dieu dispose de multiples moyens de nuire à ses ennemis terrestres, et nous avons déjà subi l’un d’eux sous l’aspect du Virus Covid-19 apparu en Chine en 2019, et en Europe ainsi que dans le reste du monde en 2020.

Le climat est aussi entre ses mains et sa volonté, une arme redoutable. Et l’actuel dérèglement des températures relevées en divers lieux de la terre en est l’exemple parfait. Le désordre et le chaos sont les signes extérieurs de son courroux et de l’approche de la limite de sa divine longue patience. Les grands glaciers fondent de plus en plus vite et les humains s’angoissent à la pensée de ne plus obtenir des rivières utiles pour arroser les cultures et permettre à des poissons et d’autres créatures aquatiques de vivre. Des lacs se rétrécissent et disparaissent progressivement. Par ces choses, Dieu annonce l’approche de la fin de la vie sur la terre.

La fausse religion chrétienne dite « catholique romaine » a changé son langage depuis que, contrainte et forcée par la ruine que lui a imposée la Révolution française, elle évoque le « bon Dieu » que la colère humaine invoque souvent indignement…en imprécation injurieuse. Ainsi, après avoir été, selon elle, inspirée par lui de manière infaillible, et avoir ainsi torturé à mort toute personne osant la contredire, ce même « Dieu » est soudainement devenu « le bon Dieu » qui pardonne tout et de préférence à prix d’argent s’il vous plaît.

La vérité concernant Dieu est bien différente. Il est parfaitement amour et parfaitement justice de manière perpétuelle et éternelle. Son amour a été démontré et sublimé par son incarnation en Jésus-Christ, le messie terrestre qui a offert sa vie pour le rachat des péchés de ses seuls vrais élus. Sa justice a été elle aussi démontrée par les châtiments infligés à son Israël souvent rebelle, au cours du temps de l’ancienne alliance. Mais subitement, dès l’entrée dans la nouvelle alliance, les Chrétiens ne voient plus la justice de Dieu qui pourtant se prolonge de la même manière qu’elle le faisait envers les Juifs rebelles.

Cette nouvelle manière de présenter Dieu uniquement sous son caractère amour, explique le comportement des chrétiens protestants. Je ne parle pas des gens qui héritent de la religion protestante mais de ceux qui la choisissent et l’adoptent par leur libre décision. Le Dieu que les pasteurs leur ont présenté est à l’image de la France humaniste qui supporte toutes les injures et les vexations sans réagir. Le Dieu que ces gens construisent dans leur esprit est à l’image du Christ ensanglanté cloué sur sa croix après avoir subi une terrible flagellation par trois lanières de cuir au bout desquelles des crochets métalliques étaient fixés pour déchirer la peau du supplicié. Les multitudes chrétiennes sont restées sur cette image du Christ pacifique, faible et agonisant.

En plein paradoxe, alors qu’ils célèbrent le jour de sa résurrection, chaque dimanche en observant le jour du repos instauré par l’empereur Constantin 1er, ces gens semblent oublier que Jésus s’est lui-même ressuscité apparaissant à ses disciples le premier jour de la semaine qui a succédé aux deux sabbats de la semaine pascale. Car le Jésus qui leur est apparu, portait encore les stigmates de sa crucifixion, mais il avait un corps glorifié sans trace de sang ; un corps physique qui pouvait apparaître et disparaître subitement au gré de sa seule volonté. Ce Jésus renouvelé était Micaël, le grand YaHWéH, le Dieu créateur. Son corps n’avait plus rien pour épouvanter, comme les visions de Daniel 10 et Apocalypse 1 le décrivent ; « un corps brillant comme la lumière du soleil, des pieds comme de l’airain embrasé, des yeux comme des flammes de feu ». Ces images terrifiantes ne sont que symboliques. Dieu est en Christ, redoutable, non par son aspect visuel, mais par sa puissance active. Il a créé le ciel et la terre, et tout ce qui s’y trouve, il y a de cela, 5996 années. Ainsi, poursuivant les Hébreux sortis de l’esclavage égyptien, Pharaon, les chars égyptiens et leurs cavaliers furent retenus momentanément par un grand feu qui descendait du ciel, mais ce ne fut pas par ce feu qu’ils furent détruits ; c’est par les eaux de la Mer Rouge qui se refermèrent sur eux qu’ils furent noyés et périrent.

Ce témoignage suscite cette question : Comment après avoir vu ce feu du ciel, ces gens ont pu s’engager dans un chemin séché creusé dans l’eau par Dieu devant eux ? Cet exemple est très utile pour comprendre qu’ils ont été aveuglés par Dieu qui avait résolu de les exterminer.

Comme les Egyptiens de cet exemple, aujourd’hui nous voyons des dirigeants, des chefs d’Etats, des ministres, des députés, des hommes politiques, des journalistes, tenir des propos déraisonnables, parce qu’ils sont aveuglés par Dieu comme les Egyptiens de l’Exode. Ainsi, le témoignage de l’expérience des Egyptiens constitue pour moi la preuve absolue de l’accomplissement du projet de Dieu concernant les rebelles de mon époque.

Aujourd’hui, Vendredi 21 Mars 2025, les médias européens apprennent horrifiés qu’aux USA, Donald Trump signe un décret par lequel il ferme et supprime le ministère de l’enseignement. Ainsi avant la ruine et la mort, Dieu attaque la norme politique qui a caractérisé les démocraties occidentales jusqu’à ce jour. Déjà le président Milei prenant en main une tronçonneuse a supprimé dans son pays l’Argentine, beaucoup de ministères qu’il tenait pour inutiles. A son tour, le président des USA veut tailler et réduire les dépenses des Etats-Unis et commence par le ministère de l’éducation scolaire. Son but est de faire disparaître toute trace de la pensée Woke qui a remis en question les valeurs religieuses américaines. Les Français laïques et pour beaucoup, incroyants, n’en reviennent pas d’un tel changement. Ce qu’ils ne comprennent pas, c’est qu’avant de les ruiner et les détruire, Dieu attaque leurs valeurs démocratiques auxquelles ils sont très attachés, convaincus que la longue paix maintenue en Europe depuis 1945 est due à ces valeurs démocratiques.

Cependant imperturbablement, aux USA, l’instrument utilisé par Dieu attaque, les uns après les autres, tous les sujets sociaux créés par la liberté outrancière des mœurs. Les aides contre le « sida » sont supprimées. Comment ne pas voir là, l’action du Dieu qui condamne les pratiques homosexuelles de la sodomie et autres pires perversions commises avec des animaux ? Visiblement, la religion reprend les rennes du pays parti en dérive. Et cette religion est celle du protestantisme évangélique qui soutient inconditionnellement Israël contre les palestiniens arabes musulmans. C’est aussi celle qui livre l’Europe à la Russie en lui refusant son soutien militaire. L’océan Atlantique se creuse et prend la forme d’un abîme qui deviendra bientôt infranchissable tant les idées européennes sont opposées aux idées des nouveaux Etats-Unis d’Amérique de Donald Trump.

Cette nouvelle situation oppose deux types de civilisations inconciliables que l’histoire religieuse a construites. Le nouveau pouvoir est à l’image de la religion protestante calviniste qui, la sainte Bible en main, sanctionne et punit tous les hommes qui contestent son autorité. Jean Calvin revit dans cette nouvelle Amérique religieusement amère et autoritaire. Mais ces excès sont devenus nécessaires tant l’abus de liberté a perverti le pays entier. Seul le changement permet de régler les problèmes créés par les excès.

A l’opposé de ce modèle, l’Europe refuse tout changement et pense conserver son autorité, que par ce moyen qui favorise la pensée unique. Ainsi paradoxalement, revendiquant le nom démocratie, l’Europe impose une règle qui restreint et empêche tous les changements rendus nécessaires par l’évolution de la situation internationale et nationale. Ce comportement reproduit celui des Juifs que Jésus-Christ a rencontré pour leur offrir les conditions de sa nouvelle alliance. Le changement a été refusé parce qu’il a été considéré comme un danger mortel pour la nation juive et les normes et rites de son ancienne alliance. En premier, l’apôtre Paul a réagi de cette manière, et avant de le juger, lui et ses frères et sœurs nationaux, nous pouvons comprendre cette légitime crainte. Ceci d’autant plus, que Jésus n’est pas venu sur terre pour convertir à tout prix les êtres humains, parce qu’il est simplement venu chercher des brebis qui lui ressemblent et sont prêtes à apprécier et adopter ses valeurs amour et justice. En dépit des apparences, Saul de Tarse était de ce nombre dans son zèle aveugle. Dieu connaissait son cœur et il en a fait un persécuteur de son Elue chrétienne pour donner de la force à cette doctrine nouvelle par sa propre conversion chrétienne. Son témoignage était d’autant plus puissant qu’il était reconnu comme un homme qui connaissait parfaitement la loi divine. Il était donc le meilleur agent pour présenter avec l’Esprit saint de Jésus-Christ tous les arguments bibliques qui justifient le projet salvateur préparé par Dieu et accompli par Jésus-Christ. Sa création de nombreuses églises chrétiennes dans l’actuelle Turquie a témoigné de son efficacité.

Hélas pour l’Europe, un tel homme n’existe pas aujourd’hui pour convertir à la sagesse divine les esprits fermés et bloqués des Européens. A l’opposé des USA, où Donald Trump casse les lois et les règles qui ont prévalu jusqu’à sa seconde élection, les dirigeants européens s’accrochent désespérément à la défense de leurs principes légaux. Et l’engagement pour la cause de l’Ukraine a été la conséquence directe de cette priorité donnée à la loi qui ne doit être changée à aucun prix. Les 80 années de paix européenne ont conditionné les esprits des Européens et leur ont fait croire que la stabilité des accords et des traités étaient la cause du maintien de cette paix. En France, ils n’ont réussi, en vérité, qu’à museler les mécontentements des électeurs, ce qui explique l’éclatement des partis politiques et leurs profondes divisions qui sont apparues à l’occasion des élections successives européennes et législatives faites en 2024.

Assis sur un baril de poudre, le président Macron joue la carte de la peur, en agitant le risque d’une guerre menée contre la France ou l’Europe par la Russie. Le pompier incendiaire place ses contrats contre l’incendie.

Se sentant lâchés par les USA les nations européennes s’affolent et redoutent une agression russe et la situation exige un réarmement impossible à réaliser dans un délai court immédiat. C’est pourquoi, les avis commencent à les diviser et l’Italie refuse le réarmement, invoquant le fait que ce gaspillage de crédit nuit aux besoins actuels de sa nation. Avec les mêmes besoins, les Français réagissent différemment entraînés pour le pire par le jeune président autoritaire Macron. Dans l’actualité, des échanges médiatisés entre la Russie et la France deviennent de plus en plus menaçants. Il en est de même des échanges entre la France et les USA. Le vice président Vance et le président Trump s’accordent pour juger « parasites » les Européens.

Pourtant, tout l’Occident subit aujourd’hui la crise provoquée par le libéralisme capitaliste imposé comme modèle par les USA à tous leurs alliés depuis 1945, jusqu’au président Trump. En arrivant au pouvoir national, les défenseurs du capitalisme libéral découvrent que leur système crée des archi-milliardaires mais ruine la gestion de l’Etat. C’est en ce sens que se confirment mes propos par lesquels je considère que ce que la crise économique que nous vivons aux USA et en Europe est une crise du système capitaliste libéral dont les conséquences mondiales sont énormes et dépassent celles de l’écroulement du régime soviétique des années 1990.

En Arabie, les rencontres russes et ukrainiennes organisées par les USA se prolongent et les avis mondiaux se partagent entre l’espoir et l’échec.

Aujourd’hui, le Jeudi 27 Mars 2025, le président Macron réunit à Paris ses homologues européens en vue de préparer la sécurité de l’Ukraine après un accord de paix préalable. L’insistance de ce président français à défendre la cause de l’Ukraine provoque la colère des Russes qui font de lui ouvertement la cible de leur menace. La stratégie de la Troisième Guerre Mondiale qui vient est donc confirmée et nous savons maintenant pourquoi les choses vont se passer de cette manière. Se mettant en tête des pays européens pour défendre l’Ukraine, le jeune et ambitieux, orgueilleux, caractériel et vindicatif, Macron prépare le sort tragique de sa capitale Paris qu’une chaine info évoque aujourd’hui sous un bandeau portant l’inscription : « Paris, la ville anti-Poutine ». Nul doute que ce jeune homme orgueilleux et frustré par son échec national cherche à se relever sur le plan européen international. Son animosité contre la Russie est partagée par des générations de gens trop jeunes ayant pris le train de la vie politique en marche. Une grande majorité d’entre eux est née dans l’Europe unie sous son label U.E. Ces gens n’ont entendu parler de la Russie que comme un peuple sous-développé dont le régime communiste s’est écroulé en 1989. Ils ont longtemps ignoré les clauses du partage de Yalta de 1945, et beaucoup les ignorent encore. En conséquence, étant nés sous le régime européen prospère, ils ne peuvent qu’approuver le jugement porté par un homme de leur âge et de leur expérience. Jeune président lors de son mandat, Nicolas Sarkozy a appris qui était Vladimir Poutine le nouveau « Tsar » de la Russie et n’a pas caché que selon lui, l’idée de recevoir l’Ukraine dans l’OTAN n’était pas réaliste pas plus que de l’accueillir dans l’U.E. Ceci explique qu’après lui, l’élection d’un président socialiste François Hollande a détourné l’attention de la Russie en imposant son abominable mariage pour tous. Et c’est lui qui a mis en selle, comme ministre, le jeune Emmanuel Macron que Dieu a imposé aux Français dans deux élections présidentielles successives. Son caractère autoritaire, entêté et borné, fait de lui l’homme qui devait attirer la colère russe sur la France républicaine et laïque. Les jours de Paris, reine du monde, sont comptés. Le feu nucléaire russe la détruira en milieu de nuit, pendant que ses habitants dormiront aussi paisiblement que le contexte du moment le permettra. Le président Macron veut les lauriers de la gloire mais ne veut pas porter seul les conséquences de ses décisions. C’est ce qui apparaît dans ses propos et ses actions contradictoires. « La Russie ne doit pas gagner » ; « il ne faut pas humilier la Russie » ; un pas en avant et deux pas en arrière quand le risque devient trop grand, c’est tout le « en même temps » du président Macron. Mais son comportement agace la Russie, car il ranime le feu de la témérité quand ses partenaires semblent se décourager. Il apporte son soutien aux pays les plus haineux des Russes ; paradoxalement des pays anciennement russes tels que les pays Baltes, petits mais hargneux comme des teignes à l’image de l’Ukraine.

Le piège tendu à l’U.E. devient évident. Ils paient leur accueil des ces pays qui étaient sous le joug de la Russie soviétique. La Pologne fut prise en dommage de guerre en 1945, contrairement aux autres pays qui étaient depuis longtemps dans l’empire Russe. Ainsi, ces pays entrés dans l’Europe et l’OTAN ont apporté dans l’U.E. leur haine de la Russie. Et sans intelligence, les Européens soutiennent ceux qui ont apporté la peste dans l’Europe, que la guerre menée, par les Russes et leurs alliés, va bientôt dévaster.

Les réunions se succèdent à Paris et en d’autres villes, ensemble on se sent fort et puissant ; mais on est ruiné dans tous les pays et particulièrement en France. Les deux années frappées par le Covid-19 ont épuisé la prospérité et seul l’endettement a permis de surnager au naufrage. De son côté, préparée par Dieu pour son œuvre destructrice, la Russie de l’Esclavonie a méticuleusement et sans répit produit des armes, des bombes terrifiantes et maintenant des drones copiés sur le modèle iranien, son premier fournisseur de drones.

Selon le bon vieux principe capitaliste, l’argent achète tout, même les âmes humaines. Dans ce tout il y a le pouvoir, la domination sur les autres peuples ; alors quand il n’y a plus d’argent ou pas assez, le pouvoir est perdu ainsi que la domination, la gloire, l’honneur, et la force ; le vainqueur se retrouve vaincu.

Je relève en cette soirée du 27 Mars 2025, une information qui révèle que Vladimir Poutine dénonce la militarisation de l’île Mayotte. Il se peut que cette annonce nous donne la cause des attaques menées par le « roi du midi » contre l’Europe catholique papale, dans Daniel 11:40. Le président russe soulève là, un sujet qui met la France en accusation de non respect des règles internationales définies par l’ONU. Car, pour garder Mayotte en sa propriété, la France n’a tenu aucun compte des résolutions onusiennes votées et imposées lors de l’offre de liberté et d’indépendance proposée aux 4 îles de l’archipel des Comores situé entre l’Afrique et l’île de Madagascar. Le résultat du vote proposé était selon l’ONU, indivisible. L’archipel des Comores était considéré comme une nation composée de quatre îles. Or, en 1974, seuls, les Comoriens de l’île de Mayotte ont voté pour rester attachés à la France ; les trois autres ayant voté et choisi leur complète indépendance. En ne respectant pas les clauses préalablement prévues pour ce vote, la France s’est mise en situation de non respect du droit international onusien. En fait, elle a fait à Mayotte, ce que la Russie a fait en Crimée en 2014. Le président russe tient dans cette affaire un solide argument contre la France qui condamne son annexion de la Crimée soutenue en 2014 par un vote exprimé par les habitants locaux. Vladimir Poutine dispose donc du moyen d’enflammer la colère des Comoriens, tous musulmans. Et cette colère ne peut qu’être partagée par les autres peuples musulmans déjà remplis de haine contre la France longtemps coloniale. Mayotte signifie dans la langue arabe : « mort ». Cette île de la « mort » peut donc devenir idéalement l’étincelle du feu qui va frapper de « mort », la nation haïe française et ses partenaires « concurrents » de l’U.E.

Par son accusation au sujet de Mayotte, le président Poutine allume un feu de diversion qui favorisera, en « roi du septentrion », son invasion des terres de l’Europe occidentale. Le « heurt » prophétisé qui désigne l’attaque du « roi du midi » est encore plus justifié, puisque Mayotte est non seulement proche de la France, mais porte le statut de département français et de région ultrapériphérique européenne. En fait, étant indivisibles légalement, trois îles des Comores sont frustrées de leur droit sur l’île Mayotte. Le sujet est grave, parce que dans cette affaire, la France est en faute et a imposé son choix au nom de la loi du plus fort ; soit, ce que la France reproche à l’action actuelle de la Russie. Ce sujet de Mayotte est d’autant plus stratégique pour la Russie qu’elle est présente dans le canal du Mozambique et soutien la cause des îles comoriennes. En ce même jour, le président russe, que le camp occidental veut boycotter et isoler, rappelle qu’il a dans le monde de nombreux amis, ce qui est exact. Alors qui est aujourd’hui, le plus isolé, la Russie ou l’Union Européenne lâchée même par les USA ?

Le Dieu créateur ne se contente pas d’imposer sa justice et ses châtiments ; il dénonce avant cela, la culpabilité de la cible de sa colère, de manière concrète irréfutable. Et la chose étant ignorée par la majorité des jeunes gens français actuels, je le rappelle, déjà, pour empêcher les islamistes du FIS algérien vainqueur aux élections du pays, la France a demandé aux autorités FLN du gouvernement algérien de ne pas reconnaître ce résultat électoral.

Le comportement des Français confirme leur incapacité à reconnaître leurs propres fautes et comme les faux chrétiens ils pratiquent l’autojustification qui irrite terriblement le Dieu créateur. Et cette incapacité de juger en toute justice apparaît également au sujet de la guerre en Ukraine, car ils se font laver le cerveau par des jeunes femmes ukrainiennes qui viennent sur les plateaux des télévisions se plaindre de l’invasion russe de leur pays, sans rappeler que des Russes civils étaient persécutés et tués en Ukraine, depuis le putsch de Maïdan, à Kiev en 2013, par des nazis du groupe Azov soit, avant cette intervention de la Russie de 2014 et 2022.

Après « le mariage pour tous », Dieu présente sa réponse : « la ruine pour tous ». Et c’est pour l’imposer à tous qu’il a fait élire président des USA, Donald Trump (sa trompette), dont l’aigreur construite par sa mise à l’écart momentanée et son humiliation l’a préparé pour appliquer des mesures hostiles sans sourcilier. Sa décision d’imposer 25%, sur tous les produits importés va porter la ruine à son apogée pour tous les pays dits jusque-là, « riches ».




M27- Le piège prophétique


Le grand Dieu créateur manipule toutes ses créatures et c’est bien son droit de le faire. Il revendique être l’auteur du bien et du mal dans la mesure où il inflige aux rebelles des maux. Il peut donc faire « du » mal et en aucun cas, « le » mal. Il est source du bien qu’il représente dans toute sa divinité.

Je lis dans Deutéronome 29:29 : « Les choses cachées sont à YaHWéH, notre Dieu ; les choses révélées sont à nous et à nos enfants, à perpétuité, afin que nous mettions en pratique toutes les paroles de cette loi. »

« La parole de Dieu est comme une épée à double tranchant », mais aussi comme une pièce de monnaie pourvue de deux faces. Bien comprise, elle est bénédiction pour une face, et incomprise et mal interprétée, elle est malédiction sur son autre face. Même pour un usage béni, par les serviteurs prophètes appelés par Dieu, la prophétie est exploitée de manière différente par lui au fil du temps qui passe ; la compréhension et l’interprétation des messages varient d’une époque à une autre. Et c’est logique, puisque « le sentier des justes est comme la lumière du soleil qui s’en va croissant depuis l’aube jusqu’au milieu du jour ». Au fil du temps, la compréhension de la prophétie s’améliore avec l’apparition des événements qui l’accomplissent. Il est donc normal, que la prophétie soit mal interprétée jusqu’au temps où elle doit être bien comprise.

Le titre de ce message fait de la prophétie un piège uniquement pour les vrais ennemis de Dieu. Et la prophétie n’est pas la cause de leur statut d’ennemis de Dieu. Quand il prophétise, Dieu ne parle qu’à ses élus (Apocalypse 1:1), auxquels il révèle l’identité de ses ennemis qui sont aussi les leurs.

Le meilleur exemple que je peux donner d’un piège prophétique se trouve dans Daniel 7 et Daniel 9, et dans les deux cas il concerne l’interprétation des données de durées de temps chiffrées.

Dans Daniel 7:25, la période citée soit : « un temps, des temps, et la moitié d’un temps » désigne trois ans et six mois. Le premier piège est de compter ces années en valeur d’années réelles de 365 ou 366 jours. En prophétie, Dieu saute l’obstacle de l’imprécision de nos années solaires, en donnant à ces années prophétique la valeur forfaitaire arrondie de 360 jours ; l’année se composant de 12 mois lunaires de 30 jours. Cette année prophétique est purement symbolique et elle exploite le code de Nombres 34:14 et Ezéchiel 4:5-6 : « un jour pour une année ». La ressemblance très proche de la durée réelle de « 1090 jours » de cette durée de « 1260 jours »-années prophétiques a conduit certains interprètes à imputer au contexte juif cette durée prophétique qui concerne le règne persécuteur papal romain de notre ère chrétienne. Les « 1090 jours » concernent, en jours réels, le temps de l’abomination établie par le roi séleucide grec Antiochos IV Epiphane dans Daniel 11:31. Cette durée est révélée dans le livre apocryphe des Maccabées. Daniel ne donne pas cette précision concernant la durée de cette action.

La construction divine de la prophétie ressemble énormément à celle des pyramides égyptiennes dans lesquels les architectes égyptiens multipliaient des pièges mortels destinés à empêcher les violeurs de tombeaux de parvenir jusqu’à la salle mortuaire du pharaon défunt. La prophétie biblique offre plus que l’accès à l’or et aux richesses cachées près du pharaon endormi ; elle offre plus que le « saint graal mythique » des chevaliers du roi Arthur ; elle offre l’amitié et la protection amoureuse du Dieu vivant.

Les gens qui s’intéressent aux prophéties bibliques sont rares et ceux qui le font ne sont pas appelés à le faire, par Dieu. En conséquences, leurs interprétations sont fausses et trompent les gens qui les découvrent et leur font confiance. Mais cette utilisation trompeuse est prévue dans la stratégie de Dieu. Un seul faux prophète est écouté par des multitudes de gens qui le suivent et lui font confiance, à leurs dépens. Car Jésus a invité ses élus à la plus grande prudence en prenant l’image du serpent qui ne peut ni courir, ni s’envoler pour fuir ses ennemis. Seul Dieu est digne de confiance ; et la chose peut sans doute choquer, mais aucun homme n’est digne de confiance, quel qu’il soit, et je m’inclus dans ce nombre. La confiance ne peut reposer que sur le résultat obtenu par une étude individuelle personnelle du sujet proposé qui crée la conviction de la certitude de l’appréciation divine de la solution du problème étudié. Ceci nécessite une lecture personnelle de la sainte Bible et une bonne connaissance de son enseignement. Si la prophétie est d’origine biblique, son explication est alors donnée dans cette même sainte Bible. Dieu assiste notre étude de sa sainte Bible en dirigeant l’esprit de ses serviteurs vers les textes où ils peuvent trouver les clés de l’interprétation.

Les êtres humains ont tout à découvrir pour comprendre le sens de la vie dans laquelle ils sont entrés sans en recevoir le mode d’emploi. Seul celui qui prend conscience et connaissance du Dieu vivant peut comprendre ce que représente une vie coupée de Dieu. C’est par cette reconnaissance mutuelle que l’élu et Dieu sont fils et Père et que l’humanité ignorante et séparée est seulement comparable à une vie animale de qualité supérieure.

En 2025, la prophétie de Daniel 9 va piéger des multitudes de chrétiens protestants qui partagent la même interprétation de « la 70ème semaine » du verset 24. Et le piège est dans les versets 26 et 27. L’Esprit a volontairement obscurci la construction du récit prophétique en évoquant au verset 26 la destruction de Jérusalem par les Romains qui dressent à leur tour, après Antiochos IV Epiphane, leur « abomination du dévastateur ». Si bien que ne renommant pas, au début du verset 27, le nom du sujet soit, celui du messie concerné par l’action, l’ennemi impute l’alliance d’une « moitié de semaine » au dévastateur qui va agir à la fin du monde. Ainsi est née cette théorie qui prophétise une guerre dévastatrice qui va durer « 3 ans et six mois ». D’autres imputent cette guerre à la seconde moitié de la 70ème semaine qui couvre réellement le temps entre la mort de Jésus-Christ et la mort en martyr du diacre Etienne. Et le pire pour ceux qui croient à cette explication est que la chose va effectivement prendre forme réelle et s’accomplir entre 2025 et 2028 inclus. Et dans cette accomplissement, le dévastateur ne sera pas seul, ni grec ni romain, mais russe, américain et chinois, principalement, et d’autres pays nucléarisés.

Je rappelle souvent dans mes échanges l’importance de ce verset de Daniel 10:12 où l’ange Gabriel dit à Daniel : « Il me dit : Daniel, ne crains rien ; car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre, et de t'humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues, et c'est à cause de tes paroles que je viens. »

Dans ce verset, le plus important est cette précision : « et de t'humilier devant ton Dieu » ; car il ne suffit pas d’avoir à cœur de comprendre pour que Dieu agisse favorablement. Ce qui est déterminant, c’est cette attitude réellement humble devant Dieu que personne ne peut tromper. Où trouvons-nous la preuve de cette humilité tant appréciée par Dieu chez Daniel ? Dans la prière qu’il lui adresse dans Daniel 9: 4 à 20 qu’il faut lire personnellement impérativement. Dans sa prière, Daniel apparaît comme le publicain de l’exemple donné par Jésus ; il se reconnaît pécheur et confesse les fautes commis par tout son peuple précisant au verset 13 : « …nous n’avons pas été attentifs à ta vérité ». Dans cette prière, Daniel présente toutes les causes qui éclairent le sens que Dieu donne à la vision Apocalypse donnée à Jean à la fin du premier siècle de l’ère chrétienne.

Car dans Daniel 10, les versets 1 à 10 décrivent l’être apparu dans la vision de Daniel. Il est presque identique à celui que décrit Jean dans Apocalypse 1:13 à 16. Selon Daniel 10:1 cette vision annonce « une calamité » qui vient frapper l’alliance infidèle. Le personnage décrit dans les deux visions est terrifiant et l’image donnée à son visage permet de définir son contexte historique et son identification ; « l’éclair » du dieu grec olympien nommé Zeus pour Daniel, et « le soleil qui brille dans sa force » dans la vision donnée à Jean. Dans son action punitive, Dieu s’identifie à la divinité païenne du peuple persécuteur qu’il utilise pour frapper son peuple infidèle Au temps de Daniel le persécuteur prophétisé était grec, et celui qui sévissait déjà au temps de Jean était Romain et adorateur du « soleil invaincu ». Dans sa phase impériale comme dans sa phase papale, la ville de Rome a été le trône de ses deux régimes persécuteurs successifs adorateurs de ce dieu astral « solaire » païen.

La vie a pris une apparence trompeuse, car la Rome papale officiellement chrétienne et catholique est restée pour Dieu la Rome adoratrice du « soleil invaincu ». Et si Dieu ne révèle pas ces choses dans ses prophéties à ses serviteurs, personne ne réalise la malédiction du repos du premier jour de la semaine qui, rebaptisé « jour du Seigneur » par l’église catholique romaine, est restée pour Dieu le jour qui honore le dieu « soleil invaincu », en latin, « sol invictus ». Ce que nous devons comprendre, c’est que le problème n’est pas seulement le nom du jour, mais plus encore son numéro d’ordre dans la semaine, car ce premier jour vient remplacer son septième jour qu’il a sanctifié et béni dès sa création de notre dimension terrestre, au septième jour. Cette sanctification avait une cause prophétique, si bien que le changement du jour du repos attaque et déforme le projet prophétisé par Dieu. Or, c’est déjà pour cette raison, qu’en son temps, à titre d’exemple, Moïse se vit interdire son entrée en Canaan et resta seul pour mourir sur la montagne du désert. Moïse avait seulement « frappé deux fois le rocher d’Horeb » pour qu’il donne son eau, alors qu’il devait simplement lui « parler » la seconde fois. Pour Dieu, ce rocher prophétisait Jésus-Christ qui devait être « frappé une seule fois » pour donner l’eau de la vie éternelle à ses élus rachetés. Dieu a utilisé Moïse pour révéler l’importance qu’il donne à ses prophéties qui révèlent le programme qu’il a préparé pour les six mille ans de l’histoire du péché terrestre jusqu’à l’instauration de la vie éternelle promise aux élus qu’il sélectionne au fil du temps.

Le changement du jour du repos par Rome est du même type que la faute de Moïse, mais aggravé par le mépris témoigné pour des ordonnances divines clairement exprimées. Moïse avait, lui, l’excuse de l’ignorance du projet prophétisé par Dieu et sa faute fut créée par un excès de colère envers son peuple rebelle et contestataire. Pour Rome, seule, son arrogance envers Dieu est la cause de son action rebelle et de ses outrages qui dépassent l’entendement normal.

Dans le combat qui oppose Dieu au diable, ses créatures célestes et terrestres doivent choisir leur camp, car il n’y a pas de place pour la neutralité. Les deux choix proposés par Dieu s’impose : l’éternité avec lui dans la soumission et l’obéissance à sa volonté, ou à l’opposé, la mort et l’anéantissement de l’être tout entier pour tous les autres cas.

L’être présenté dans Apocalypse 1 est bien Jésus-Christ lui-même en activité punitive. Et finalement, l’explication est encore plus subtile. L’image présentée illustre la compréhension chrétienne qu’avait l’empereur Constantin 1er en 313 quand il a autorisé et soutenu la pratique de la religion chrétienne. Cette description est le fruit d’un syncrétisme religieux qui associe le Christ à son dieu solaire, ce qui était la conviction de cet empereur romain Constantin 1er qui est à l’origine de la grande mystification religieuse chrétienne pendant toute notre ère depuis son époque en 313, jusqu’au retour de Jésus-Christ attendu pour le jour du printemps 2030 soit, l’an 6001 du projet divin.

Dès ma petite enfance, j’ai bénéficié de l’influence religieuse protestante darbyste qui était pratiquée par mon oncle et ma tante paternels. Je n’ai pas été baptisé et je suis donc resté libre jusqu’au véritable appel de Dieu pour adopter en adulte responsable le sabbat et l’adventisme. Mon contact avec la sainte Bible reposait sur les versions J.N. Darby et Louis Segond. Dans ma version darbyste de 1916, une table des datations des événements est présentée dans la préface de l’ouvrage. La naissance du Christ est située en l’an 4000 depuis Adam. C’est ainsi que j’ai toujours eu la conviction que nous vivions les deux derniers milliers d’années avant son retour en gloire. Ma conviction des 6000 ans terrestres menant à son retour me préparait pour ma mission prophétique adventiste, mais je ne pensais pas à chercher dans la Bible une prophétie concernant la datation de sa venue. Seule la prophétie de l’Apocalypse retenait mon attention, car j’étais convaincu que son message cachait des vérités très importantes. Et c’est seulement en entrant dans l’adventisme du septième jour que j’ai découvert l’intérêt de la prophétie de Daniel, et que William Miller avait un jour estimé pouvoir dater son retour successivement en 1843 et 1844. Ces deux attentes vaines n’encourageaient pas la démarche pour une troisième. C’est donc par simple curiosité religieuse légitime que j’ai cherché les clés bibliques de cette obscure prophétie de l’Apocalypse. Adoptant une pratique et une méthode rigoureusement biblique, je savais que les noms propres avaient une signification précise dans la langue grecque ou dans l’hébreu. Les noms cités des sept Eglises d’Apocalypse 1 définissent les époques des messages adressés par Jésus à son Elue au cours de l’ère chrétienne dans Apocalypse 2 et 3. Et libre et sans contrainte, j’ai déplacé dans le temps, la date 1844 que l’adventisme traditionnel rattachait à la seule septième et dernière église nommée « Laodicée ». Et c’est probablement la grande différence entre mon interprétation et l’interprétation traditionnelle qui rattache à chaque message une église et non une époque. Le principe époque m’a permis de placer sous le temps adventiste tous les messages d’Apocalypse 3, ce qui m’a conduit à comprendre que le découpage en deux chapitres des trois thèmes principaux d’Apocalypse 2 à 9 soit, « les messages ou lettres, les sceaux et les trompettes », était basé sur cette date 1844. La compréhension de cette structure spirituelle a été fondamentale, car elle était d’une logique incontestable. Et en conséquence de ce découpage, les « cinq mois » de délai donnés par Dieu aux faux prophètes dans le thème des « trompettes », dans Apocalypse 9:5-10, devaient être situés après 1844 ; ce qui créa la date 1994. A ma grande surprise, cette date pouvait révéler l’année du retour de Jésus-Christ ; un message difficile à faire passer et accepter dans une église traumatisée par ce sujet depuis les deux échecs des années 1843 et 1844. Mais, Dieu n’est-il pas le maître absolu qui révèle à ses serviteurs ses secrets au temps choisi par lui ? De toute évidence, c’était le cas. J’ai donc porté ce message jusqu’à ma radiation de l’œuvre pour cette raison en Novembre 1991.

Après 1994, Dieu m’a permis de comprendre le sens qu’il a donné à cette expérience. Le piège prophétique n’était pas pour moi, mais pour une institution tombée dans l’apostasie la plus complète. Car désireuse d’être aimée, même par ses ennemis spirituels, l’église adventiste de l’époque « Laodicée » a voulu entrer dans l’alliance protestante où le repos du dimanche romain est fermement pratiqué. Sans avoir son retentissement, mon action prophétique a eu les mêmes effets que les deux annonces successives de William Miller. Par lui, Dieu a criblé la religion protestante ; par moi, il a criblé, la religion adventiste du septième jour qui se croyait en sécurité, parce qu’elle est prophétiquement dans l’Apocalypse la septième et dernière église terrestre du Christ. Son attachement irraisonnable au découpage traditionnel lui a été fatal, mais logique, car l’institution se réclame d’un message dans lequel Jésus lui annonce qu’il va la « vomir ». Son erreur a été de ne pas retenir mon explication qui situe le temps de la bénédiction de l’adventisme du septième jour dans le message adressé à « Philadelphie », l’époque précédente située en 1873, la date que j’ai pu construire par mon décryptage de Daniel 12:11 et 12 : « Heureux celui qui attendra, et qui arrivera jusqu'à mille trois cent trente-cinq jours ! » Et qu’en est-il de celui qui attend encore le retour de Jésus pour le jour du printemps 2030, comme le Seigneur lui a permis de le comprendre ? Il est encore plus « Heureux » et se sent réellement béni par Dieu.

Et pour lui et ses frères et sœurs en Christ encore très rares, la prophétie ne sera plus jamais un piège.

Après la mort expiatoire de Jésus-Christ en faveur de ses seuls élus, la prophétie est la chose la plus sacrée et la plus « sanctifiée » que Dieu présente aux êtres humains. Elle n’a pas vocation à être comprise par le premier lecteur qui se présente pour la lire. Et pour tous les ennemis de Dieu, elle reste un piège qui les rassure faussement dans leurs convictions. Car en raison même de leur aspect obscur impénétrable, les prophéties divines sont faussement interprétées par les faux prophètes qui s’emparent d’elles et leur donnent leur propres interprétations avalées par tous les chrétiens superficiels qui sont les plus nombreux, en multitudes.

C’est encore en lisant le rouleau du prophète Jérémie, que Daniel découvrit la prophétie des « 70 années » de déportation à Babylone. Il trouva là, la réponse dont il avait besoin. Comme William Miller, après lui, j’ai moi aussi trouvé les réponses à toutes les questions que la foi suscite ; et me présentant en dernier, les réponses que j’obtiens de Dieu et par sa sainte Bible sont précises et définitives.


Index des thèmes traités


Prolongation des révélations divines reçues depuis le 07/03/2020

Les nouveaux messages inspirés continuellement par Dieu



Pages Numéros et titres des messages

2 Messages de l’auteur


3 M1- Le réchauffement climatique

9 M2- Le peuplement de la terre

19 M3- Les mensonges religieux

27 M4- Le temps des monstres purificateurs

35 M5- Les répétitions de l’histoire

42 M6- Des coupables inexcusables solidaires

48 M7- L’incarnation du Dieu créateur

55 M8- La concurrence

59 M9- Le bon sens apparaît

65 M10- La perversion du bon jugement

73 M11- Le jugement perpétuel et éternel

81 M12- La crise mondiale du capitalisme

89 M13- Le premier jour

95 M14- L’heure de la confusion

106 M15- Un pays trop loin

112 M16- Le mirage de la paix

120 M17- Toute la gloire du Dieu suprême

125 M18- Les fruits de la malédiction

133 M19- L’Europe divisée

142 M20- Regard spirituel sur le monde de 2025

151 M21- Les nouveaux Romains

159 M22- L’actualité mondiale en fables

162 M23- Le vrai sens des choses

170 M24- Le véritable temps du calendrier de Dieu

177 M25- Devenir citoyen du royaume des cieux

185 M26- La ruine avant la mort

191 M27- Le piège prophétique



197 Index des thèmes traités



Conseil aux lecteurs


Cet ouvrage est susceptible de subir constamment des modifications (corrections, rajouts ou suppressions). Aussi, pour savoir si d’importantes modifications ont été apportées, dans chaque mise à jour proposée, vérifiez et comparez le numéro de page de l’index des thèmes mentionnés ci-dessus, avec celui de la version précédente que vous possédez.



Moi, Samuel, serviteur inspiré de Jésus-Christ, je remercie et associe à l’élaboration de cette œuvre, mes compagnons, frères et sœurs en Christ qui, par leur aide précieuse et leurs talents individuels favorisent les corrections des fautes d’orthographe, de frappe, et d’erreurs de détails historiques, qui permettent de rendre ce divin enseignement digne du Dieu de vérité qui l’inspire. Ils ont ainsi apporté leur pierre à la construction de cet édifice spirituel. Qu’ils en soient tous éternellement bénis !